Mercredi 23 juillet 2025 3 23 /07 /Juil /2025 16:25

Martinov 29 – L’archipel de Véga – 1- Envie pressante et client intrigant par Maud-Anne Amaro
Martinov

– J’ai envie de pisser, tu viens me la tenir ?
– Ben mon petit professeur ? Qu’est-ce qui t’arrive ? Lui répond Béatrice.

Mais qui sont ces étranges personnages ? se demandera le lecteur peu averti…

Le lecteur averti, lui comprend que nous allons retrouver ici le professeur Martinov, sexagénaire original, inventeur génial et obsédé sexuel. On lui demanda un jour un fertilisant pour lapins, débordé de travail il embaucha Béatrice, une jolie blonde sortie de l’école de chimie et assez délurée avec laquelle il découvrit le « lapin dur ». Voulant expérimenter le produit chez l’homme il se « sacrifia » avec Béatrice, ce fut un ouragan érotique. Depuis ces deux-là ont fait fortune grâce à cette découverte et prennent plaisir à baiser ensemble sans qu’ils ne considèrent comme amant et maîtresse…

Et c’est parti… on reprend.

– Je suis envahi par des pensées libidineuses, et je n’ai pas envie de me soigner.
– Tu devrais prendre de la camomille !
– Berck ! Bon, tu ne veux pas me faire plaisir ? Se désole le professeur Martinov.
– J’ai du travail…

Effectivement Béatrice était en train de tripoter des éprouvettes, revêtue d’une simple blouse blanche par-dessus ses sous-vêtements

– Le travail ça se rattrape, et puis c’est l’affaire d’une minute ou deux !
– Ben voyons, on ne me la fait pas, ça commence en branlette et ça finit en levrette
– Bon, n’en parlons plus !
– Allez, je vais me dévouer, sinon tu vas être de mauvais poil toute la journée !

Ils entrent dans les toilettes, et Martinov se débraguette et sort sa bite flasque.

– Non, non pas comme ça ! Proteste Béatrice.
– Comment veux-tu que je fasse ?
– Tu baisses ton pantalon et ton bénouze
– Pourquoi ?
– D’abord parce que c’est plus esthétique et en plus ça me permet de te foutre un doigt dans le cul !

L’argument est imparable, et Martinov s’exécute..

– Ecarte bien ton cul que je te le doigte !
– Mais mon envie de pisser ?
– Retiens toi !

Béa se mouille l’index et pénètre l’anus du professeur avant de le faire aller et venir comme il se doit.

– C’est bon, hein ?
– Ouiii !
– Mais ça ne vaut pas une vraie bite, n’est-ce pas ?
– Oh oui, une bonne bite que j’aurais bien sucé avant !
– Cochon !
– C’est malin ce que tu me fait, maintenant je bande, ça va pas être pratique pour pisser.
– Mon pauvre kiki ! Allez je ne te touche plus pendant une minute !

Et ça fonctionne, notre vert professeur débande quelque peu.

– Tu peux y aller maintenant !
– On y va, on y va !

Mais alors que Martinov pensait que Béatrice allait rester collée derrière lui, elle le contourne, s’accroupit devant lui et lui attrape la bite.Martino2901

– Tu fais quoi ?
– Moi aussi, j’ai le droit d’avoir des envies salaces ! Offre-moi ta pisse, mon petit professeur !
– Dans la bouche ?
– Ben oui, dans la bouche, pas dans les cheveux.

Petit moment de concentration au terme duquel le pipi de Martinov jaillit en un impertinent filet jaunâtre qui vient achever son parcours dans la bouche de notre charmante Béatrice.

– Hum, c’était bon, mais j’en ai foutu un peu partout, il va falloir que je me change, je vais chercher une blouse propre.
– Elle sont dans ma chambre ! Répond le professeur.
– Pourquoi dans ta chambre ?
– Je ne sais plus !
– Oh, toi tu es bizarre…

Et après que Béatrice eut enlevé sa blouse souillée, ils montèrent ensemble à l’étage… Et là sans autre préambule, la jeune femme se débarrassa de sa culotte et de son soutif et s’étala sur le lit.

– Tu fais quoi ?
– Tu crois que je n’ai pas compris ton petit manège, tu as envie de me sauter; alors allons-y ! A poil, mon petit professeur !
– Hi ! Hi !

Martinov se déshabille à la vitesse grand V. gardant uniquement ses horribles chaussettes.

Il vient sur lit se demandant par quoi commencer.

– Fait moi jouir, mon petit professeur, on verra le reste ensuite ! J’ai envie de ta bonne langue sur mon petit clito !
– On se met en 69 ,
– Si tu veux !

Et c’est parti ! La bite de Martinov est dans la bouche de Béatrice, laquelle se fait laper la chatte avec frénésie.

Et notre Béa de plus en plus coquine, après quelques énergiques mouvements de fellation change de cible et se met à butiner le trou du cul de son partenaire.

– T’aimes ça, hein vieux cochon ?
– Humpf, humpf.

Bien sûr qu’il aime ça, et cela l’encourage à s’appliquer davantage d’autant que la jolie blonde commence à emmètre des gémissements caractéristiques..

– Continue, continue !

Bien sûr qu’il continue, malgré le fait que Béatrice ait abandonnée toute action se laissant aller à la montée de sa jouissance.

Une jouissance fulgurante, elle crie, elle est en nage, elle est bien…

Et après quelques instants de récupération elle reprend sa fellation faisant juter la bite du professeur Martinov dans sa bouche gourmande, puis avalant tout ça avec un air canaille.

Et retour au boulot…

– C’est quoi le rendez-vous de 10 heures ? demande le professeur ?
– Un mec qui veut la composition d’un sceptre !
– Un spectre ?
– Non un sceptre, c’est un petit bâton que les monarques tenaient à la main, un symbole du pouvoir et d’autorité. Freud disait que c’était un substitut phallique…
– Ah ! Comme dans le sceptre d’Ottokar !
– Oui !
– Comme c’est de la chimie je te laisse conduire l’entretien…
– Mais bien sûr, mon petit professeur.

Le type arrive, un grand maigre avec une tête toute ronde, crâne dégarni, lunettes « sécurité sociale », costume éliminé, cravate ringarde

– Moineau, Jean-Bernard Moineau ! Se présente-il.
– Béatrice Clerc-Fontaine, enchantée, asseyez-vous, j’ai lu votre requête, vous m’avez apporté l’objet ?
– L’objet ?
– Ben, oui, le sceptre, c’est bien de cela qu’il s’agit ?
– Il n’est pas transportable.!
– Allons bon, et qu’attendez-vous de nous, alors ?
– Que vous vous déplaciez !
– Ce sera plus cher !
– Peu importe.
– Mais j’ai un peu de mal à suivre, pourquoi cet objet serait intransportable.
– Monsieur Woland ne me laissera pas l’en dessaisir.
– Et qui est donc ce monsieur ?
– Le propriétaire du sceptre.
– Autrement dit, vous voulez que nous analysions un objet qui ne vous appartient pas ?
– C’est plus compliqué que ça, j’ai acquis la certitude que ce sceptre est constitué d’un métal inconnu.

A ce stade, Béatrice en est à chercher la réplique qui mettra fin à cet entretien qui ne mène nulle part… mais elle n’est pas non plus à 5 minutes près et elle est curieuse de savoir jusqu’où le bonhomme ira dans ses délires.

– Monsieur Moineau, est-ce que je peux vous demander si vous avez des connaissances en physique-chimie et plus particulièrement en physique nucléaire ?
– Juste quelques souvenirs scolaires. Mais pourquoi cette question ?
– La table de Mendeleïev ça vous dit quelque chose ?
– Non. Mais quel rapport…
– Le rapport, c’est qu’un métal inconnu, ça n’existe pas et ça ne saurait exister. Je vais vous écrire « Mendeleïev » sur ce papier et vous vous renseignerez, je n’ai pas le temps de vous faire un cours…
– Mais si ça vient d’un autre planète ou d’une autre dimension ?
– La table de Mendeleïev est universelle, monsieur, elle s’applique à tout ce qu’il y a dans l’univers, les planètes, les étoiles.
– Alors là, pardon, je ne suis pas d’accord ! S’écria le bonhomme.
– Vous n’êtes pas d’accord alors que vous n’y connaissez rien ! Vous vous êtes trompé d’adresse, L’entretien est terminé, mon bon monsieur.

Mais Moineau reste collé sur sa chaise.

– Pourquoi prenez-vous plaisir à me rabaisser ?
– Je ne vous rabaisse pas, je vous dis ce que je pense.!
– 20 000 euros ce serait assez ?
– Pourquoi faire ?
– Pour vous déplacer et analyser ce sceptre.
– Paiement par chèque de banque ?
– Si vous voulez !
– Je vais me concerter avec le professeur Martinov, laissez-moi votre numéro de téléphone et allez prendre un café dans le coin, je vous rappellerais .

L’homme parti, Martinov, resté muet pendant l’entretien apostrophe Béatrice.

– Ça sent le coup fourré cette affaire, envoie le promener.
– 20 000 euros quand même !
– Justement ! Ou bien il est complètement fou ou alors il y a une grosse arnaque derrière. Dans les deux cas pas la peine de se bouger.
– J’aimerais bien savoir quand même ?
– Si tu as envie de prendre des risques inconsidérés…
– On va limiter les risques, je n’irais qu’après que le chèque de banque soit encaissé…
– Et s’il y a des risques physiques ?
– Je vais demander à Gérard de m’accompagner.

Nos lecteurs connaissent probablement Gérard Petit-Couture, ancien agent de la DGSE et très brièvement ministre, lui et sa charmante épouse Florentine sont des amis (très) intimes de Martinov et de Béatrice.

Vous voudriez qu’on vous décrive un peu Florentine (pour ceux qui n’ont pas lu leurs précédentes aventures) ? 1 m 75, un visage ravissant, la quarantaine, brune aux cheveux longs, des formes, du sourire, de la grâce et même des lunettes !

On fait donc revenir Moineau.

– On va peut-être prendre l’affaire, ça se passe où ?
– A Chartres, enfin, à côté. Vous viendriez quand ?
– Dès que le chèque de banque sera encaissé
– Euh je vais vous laisser un acompte de 1 000 euros en liquide, le solde quand j’aurais vos conclusions.
– Non, non si vous voulez me donner un acompte, c’est la moitié
– Un acompte de 5 000, ça le ferait ?
– On se croirait au marché aux tapis, mais bon, d’accord.
– Je file à ma banque et je reviens cet après-midi, donc je vous attends pour quand ?
– Après demain.
– Je vous attendrais devant la gare de Chartres.
– Ce ne serait pas plus simple de me donner l’adresse ?
– Non, vous risqueriez de vous perdre.
– Je ne serais pas seule, je viendrais avec un expert.
– Pas de souci.

Béatrice n’eut aucun mal à convaincre Gérard.

– On va passer vous faire un petit bisou avant de mettre tout ça au point, on pourrait faire ça autour d’une petite bouffe, vous êtes d’accord ?
– Mais bien sûr mon Gégé.
– Et Martinov aussi ?
– Cette bonne blague ! Bien sûr qu’il est d’accord !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 12 juillet 2025 6 12 /07 /Juil /2025 06:45

Les chasses du Comte Absalon par Firmin Dumigron
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Laissez-moi vous raconter cette délicieuse journée de débauche !.

Ah ! il convient que je me présente ! Je me prénomme Romuald, quarante ans, rentier, vivant en ménage avec Stéphanie.

Disons-le carrément, Stéphanie est une salope. Elle a de gros nichons et suce avec un savoir faire à couper le souffle, et ne manque pas d’en faire profiter mes amis. Son trou du cul est aussi accueillant qu’un syndicat d’initiative et elle se prête à tous mes jeux. Quand j’estime qu’elle n’a pas été sage, je la fouette, je la bondage, de toute façon elle adore ça !

Nous fréquentons les milieux libertins dans lesquelles se déroulent des partouzes souvent savoureuses, rarement décevantes.

Ce jour-là le Comte Boussemart de Voltran (ne cherchez pas, le nom a été changé) avait organisé une rencontre géante dans sa grande propriété du Val-Noisette. Pensez donc 18 couples ! Rien que ça !

Après que tous les invités soient arrivés, on ferma les grilles et le comte nous proposa un jeu divertissant qu’il intitula avec toute la poésie qui le caractérise « un lâcher de salope »

Le jeu se joue nu, mais nous gardons nos chaussures. On distribue à chaque homme un collier auquel est suspendu un feutre marqueur. (nous verrons pourquoi…) Ces dames sont invités à aller se cacher dans le sous-bois de la propriété. Les hommes seront « lâchés » un quart d’heure plus tard et devront s’efforcer de les rattraper..

Chaque femme rattrapé par un homme devra se laisser faire et accepter une pénétration ou une fellation puis sera marqué au bras avec le feutre. L’homme se marquera à son tour

Le femme la plus marquée sera fouettée devant tout le monde et se doit de préciser le comte « ne craigniez rien, mesdames, la punition sera dure, mais il n’entre pas dans nos intentions de vous abimer, cela doit rester un jeu.

L’homme qui sera le moins marqué aura pour gage d’être sodomisé devant tout le monde par un vit qu’il aura préalablement pris en bouche.

On demande à l’assistance si elle est d’accord. Deux couples se dégonflent. J’ignore où ils sont partis.

Le jeu peut commencer, ces dames courent vers le sous-bois, certaines était venues en escarpin, les pauvres, cela ne va surement pas les aider.

Un quart d’heure plus tard, le comte donne le signal de la poursuite. Imaginez seize gaillards, nus et la bite à l’air s’élançant comme des faunes en rut.

Le sous-bois ne permet pas énormément de cache, j’aperçois ma femme qui se fait alpaguer par un bellâtre. Elle se met en levrette par reflexe offrant son cul de déesse aux assaut du mâle. Joli spectacle qui me fait bander. L’homme excité comme un pou multipliait les coups de butoir faisant à chaque mouvement balloter les nichons de ma compagne et lui faisant pousser des miaulements de plaisir..

AbsalonJe serais bien resté à regarder, mais il me fallait aussi jouer le jeu, j’avais ne jolie rousse finissant de gober la bite de son partenaire, ses lèvres dégoulinant de sperme. Elle se redresse m’aperçoit et tente de s’enfuir, mais gênée par ses hauts-talons, elle ne peut aller bien loin. Je la rattrape facilement et l’immobilise, elle se laisse faire et je la caresse, la plote et la doigte avant de la baiser.
.
Je lui marque le bras avec mon feutre et j’oublie (volontairement) de me marquer moi-même.

J’aurais du me retenir de jouir, je n’ai plus 20 ans et j’ai besoin d’un temps de récupération pour recommencer. Alors je chemine dans le sous-bois dans lequel le gazouillement des petits oiseaux est remplacé par les râles de plaisir de la meute des partouzeurs.

Je crois de nouveau mon épouse qui se fait baiser tout en suçant une autre larron. Je regarde son bras, elle a déjà trois marque de feutre, avec ces deux là on va arriver à cinq… et peut-être davantage…

Mais un coup de sifflet strident annonce la fin du jeu. Nous sortons tous du sous-bois pour rejoindre le perron de la propriété.

Le comte nous fait lever les bras et compte les marques. Notre couple s’est distingué, Cinq marques pour Stéphanie, et aucune marque pour moi (puisque j’ai triché)

On demande à deux hommes de servir d’officiant afin d’attacher Stéphanie contre une sorte de portique, puis l’un des deux se saisit d’un fouet à lanières multiples et nous offre le charmant spectacle du fessier de mon épouse qui rougit sous les coups..

Puis le comte prend la parole et m’indique que je suis dispensé de gage, la tricherie paraissant manifeste.

M’en voilà contrit, mais alors qu’on nous propose de nous diriger vers le buffet, un des participan s’approche discrètement de moi et m’indique qu’il peut me donner mon gage.

Sa bite était délicieuse, et il m’a enculé avec fougue

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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Samedi 7 juin 2025 6 07 /06 /Juin /2025 08:05

Partouze savoyarde par Sylvain Zerberg
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Bonjour, je suis Vincent, 34 ans. Sorti d’une procédure de divorce pénible, je voulais profiter de mes vacances d’été pour me reconstruire.

J’avais choisi de louer dans un gite rural de Haute Savoie. Le site internet précisait que de très nombreuses randonnées s’y offraient pourvu que l’on soit amoureux de la nature.

Je suis arrivé le soir et après une bonne nuit réparatrice et un copieux petit déjeuner, je choisissais complétement au hasard l’un des chemins de randonnées. Je m’étais habillé léger, short et polo, mais bonnes chaussures de marche. Mon sac à dos renfermait un en-cas pour le midi et un sérum anti venimeux (j’ai toujours eu la trouille des serpents)

On m’avait indiqué que je croiserais problèmes des chamois. Tant mieux, j’adore les bêtes ! Après une heure de marche dans les pentes escarpées, je parvins à un petit faux-plat.

Mais ce faux-plat était occupé, non pas par des chamois mais par une étrange petite compagnie à l’arrêt. Quatre hommes et une femme, tous entre trente et quarante ans, et plutôt décontractée puisque la dame avait les seins à l’air et que l’un des types était complétement nu. Il y a aussi un gros chien de race interminée.

Bon je ne voudrais pas déranger, je vais pour croiser le groupe, on se salue comme c’est la tradition en montagne.

– Je m’appelle Sonia ! Me dit la fille.

Elle est vraiment très belle, brune, frisée, yeux bleus, sourire ravageur et des seins qu’on dirait des obus.

– Moi c’est Vincent ! Bonne journée.
– Me regarde pas comme ça, tu vas avoir une attaque !
– Que voulez-vous, je ne suis pas de bois.
– On s’apprêtait à faire une petite sauterie, si tu veux regarder ou participer tu es le bienvenu.
– Une sauterie ? Demandais-je n’étant pas certain d’avoir compris.
– Une partouze, quoi !
– Ben…

Je ne sais ni quoi dire, ni quoi faire ! Sonia, elle le sait, et me fout carrément sa main sur la braguette de mon short.

– Mais ça bande, ça !

Ce qui n’était pas tout à fait exact, disons que ma bite était demi-molle avant qu’elle ne me tripote et qu’elle s’est mise à bander quand elle m’a touché.

N’empêche que j’hésite toujours ! On est un peu con parfois…

– Allez, reste avec nous, j’aime bien quand il y a des nouvelles queues !

Je fais un petit signe de tête marquant mon acquiescement

Sonia retire sa petite culotte et invite la petite compagnie à se dénuder, puis en véritable maitresse de cérémonie se met à distribuer les rôles.

– Roland, tu étends une serviette et tu t’allonges dessus, Cédric tu passeras derrière, et Serge tu passeras devant. Les autres vous attendez votre tour.

Et c’est la mise en place.

Roland s’allonge, Sonia après s’être assurée de la rigidité de sa bite par quelques mouvements de branle s’empale dessus et remue doucement en position penchée. Cédric se pointe, bite en avant et l’encule tandis que Serge offre son sexe aux lèvres gourmandes de la belle brunette.

Evidemment je ne suis pas insensible au spectacle de cette fantaisie érotique et je bande comme un cerf. Gilles qui n’a pas eu l’honneur de faire partie de ce savant quatuor est à mes côtés et se branle nonchalamment.

Il a une très belle bite, ce citoyen, et du coup me reviennent en mémoire quelques séances de touche-bites de ma période étudiante. Un jour, Michael, un de mes camarades de fac m’avait montré en coup de vent des photos pornos vintage très explicites.

– Hé, je n’ai pas bien vu, pourquoi tu les ranges ?
– On peut les regarder dans un endroit tranquille si tu veux, t’as une idée ?
– Il n’y a personne à la maison cet après-midi, on peut y aller.

C’est ce que nous avons fait, sur place on a regardé les photos et on s’est mis la bite à l’air. Quand Michael m’a suggéré que je le suce, je n’ai même pas hésité, je l’ai sucé, et des années plus tard je me souviens encore de cette impression dans ma bouche, je faisais quelque chose de pervers et je me régalais. il m’a sucé à son tour, et quand il m’a proposé de m’enculer, j’étais tellement excité que j’ai accepté spontanément. L’introduction a été un peu déplaisante au point que j’ai voulu arrêter la chose, mais rapidement la douleur a fait place à un étrange trouble et finalement j’étais ravi de cette première sodomie.

Cette petite fantaisie fut ma seule expérience gay pendant des années, jusqu’au jour où trainant dans le quartier des sex-shop à Paris, j’entrais et par curiosité descendais au sous-sol de l’établissement qui était équipé de cabines vidéo projetant des films qui n’avaient rien à voir avec les journées mondiales de la jeunesse catholique. Il y avait aussi une petite salle « collective » d’une douzaine de places. Certaines cabines étaient entrouvertes. Je passais devant l’une d’elle où un senior se régalait de la bite d’un jeune homme. Bien sûr je bandais très fort, Dans une autre cabine un monsieur en costard cravate se branlait ostenssiblement en se plaçant de façon à ce qu’on voit bien sa bite. Je restais en arrêt devant l’entrée de sa cabine. Il me fit signe d’entrer, tel un zombie je rentrai et lui touchai le sexe, il me demanda si je suçai. Je répondis « oui » d’un signe de tête et j’embouchai ce membre magnifique.

– Tu veux que je t’encule ? Me demande le type.
– Si t’as une capote, je veux bien !
– D’accord, on va faire ça devant tout le monde.

On est allé dans la petite salle et il m’a pris comme une chienne devant les quelques spectateurs présents qui bien sûr s’astiquaient le manche…

Je me suis branlé jusqu’à la jouissance pendant qu’il m’enculait et j’ai quitté l’établissement en proie à des pensées contradictoires. D’un côté je suis toujours amoureux fou des jolies femmes et de l’autre je me demandais si je n’étais pas en train de vire ma cuti (quelle expression débile !)

J’ai donc décidé de rester tranquille et de ne plus tenter le diable. Et comme toutes les bonnes résolutions, j’ai tenu… trois semaines. Avant de retourner sucer des bites et de me faire prendre dans le même établissement.

J’ai ensuite bénéficié d’une belle promotion malheureusement assortie d’une mutation dans une ville moyenne de province. Là-bas peu d’endroits de drague et puis dans ces patelins où tout le monde se connait je ne désirais pas me faire remarquer. Je suis donc resté bien sage.

Et après ces petites réminiscences, revenons à la montagne.

– Elle te plait ma bite ? Me demande Gilles
– Elle est belle !
– Ça t’intéresse ?
– Pourquoi pas ?
– Tu veux me sucer ?

Vous pensez bien que je n’ai pas hésité, et l’instant d’après j’avais sa bite dans ma bouche ! Quelle sensation de sentir de joli cylindre de chair coulisser entre mes lèvres, de le taquiner de ma langue.

Et tandis que je le suce, on entend les jappements de plaisir de Sonia. Elle vient de faire juter la bite de Serge dans sa bouche et d’avaler son sperme. Elle s’apprêtait probablement à faire appel à Gille ou à moi pour le remplacer, mais se rendant compte que nous étions fort occupés l’un et l’autre, y renonça et accentua la cadence des ses mouvements.

Du coup Cédric pris son pied à son tour et décula, il passa devant Sonia afin que celle-ci lui nettoie sa bite gluante de sperme. Puis ce fut le tour de Roland tandis que la belle brune gueulait son orgasme si fort que l’écho de la montagne lui répondit..

– Non mais regardez-moi ces deux pédés ! Indiqua-t-elle après quelques minutes de récupération. Encule-le, je suis sûre qu’il aime ça !

J’abandonnais ma fellation et voulant montrer ma disponibilité, je me plaçais en levrette, cuisses écartées. Gilles habilla sa bite d’une capote, puis vint me lubrifier le trou de balle de sa langue avant de me pénétrer à la hussarde. Il a joui un peu vite… Dommage…

Mais je n’étais pas au bout de mes surprises.

Sonia se mis à genoux et fit venir les garçons autour d’elle. Je vins aussi.

– Et maintenant pause pipi !

Je ne sais plus qui a commencé le premier mais un jet de pisse suivit d’autres fusa sur le visage de Sonia qui en avala maintes rasades

– A mon tour de pisser ! Annonça la belle en se relevant. Un volontaire ?
– Moi ! Se proposa Serge.
– Je ne ferais peut-être pas que pipi ! Ajouta-t-elle.
– Je prends le risque !

Serge s’allongea sur la serviette. Sonia s’accroupit au-dessus de sa bouche et ouvrit les vannes libérant un joli filet doré que le coquin ingurgita comme il se doit.

– Bouge pas, je sens que je vais faire un beau boudin !
– Je ne bouge pas.

Sonia pousse, son anus s’ouvre, un petit étron demande à sortir, elle pousse encore et cette fois c’est un long boudin marron qui dégringole sur le visage de l’homme. La femme plonge son doigt dans le caca puis le lèche avec un air de défi.

– Hum ! pas mauvais ! Maintenant tu vas me servir de papier à cul, lèche mon cul !

Ce qu’il fit sans problème, je supposais alors qu’ils n’en étaient pas à leur coup d’essai.

Après ces joyeuses turpitudes, la petite assemblée me proposa de partager leur casse-croute du midi. J’acceptais et j’appris alors qu’à l’exception de l’un d’entre eux, ils se connaissaient tous, étant internes, infirmiers ou aides-soignants à l’hôpital de Clermont-Ferrand.

Certains s’étaient plus ou moins rhabillés, pas Sonia qui après avoir dévoré son sandwich manifesta le désir de se faire bronzer. Elle s’étendit sur la serviette, cuisses écartées, sa chatte charnue en évidence.

EstelleC’est alors que le chien que l’on n’avait pas entendu jusqu’alors vint renifler sa maîtresse et par l’odeur alléchée entreprit de lui lécher le minou.

– Qu’est ce que veux mon chien ? Oh quelle langue !

Au bout d’un moment le chien se mit à trépigner sans raison. Sonia lui attrapa la bite entre ses pattes arrière et l’introduisit dans sa bouche afin de la sucer..

Puis au bout d’un moment, excitée comme une puce, elle se mit en levrette offrant sa chatte aux assauts du chien qui tel un métronome la couvrit en cadence.

Apprès tout cela je suis redescendu. Je n’ai pas croisé les chamois, mais me suis dit que mes vacances commençaient bien.

fin du délire !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Samedi 31 mai 2025 6 31 /05 /Mai /2025 09:30

Prise par deux chasseurs par Claire N
Voy

Bonjour je m’appelle Iris. Je suis brune et j’ai 25 ans. On dit que je suis plutôt bien foutue, et je suis de nature plutôt soumise.

Comme tous les lundis je me rend dans une petite salle de gym pour maintenir ma forme. Arrivée dans les lieux, j’introduis ma carte d’accès et me dirige dans les vestiaires des femmes pour me changer. Une fois dans une cabine je suis surprise par un petit bruit de fond. Je stoppe mes mouvements afin de savoir ce qui se passe. Les bruits viennent du vestiaire d’à côté (évidemment). Et comme je le pensais les deux paires de pieds m’indiquent que deux personnes y batifolent allégrement. Curieuse de nature (et un peu voyeuse, on va dire) je m’assois par terre et sort de mon sac mon téléphone portable que je branche en position photos. Je peux ainsi constater que cette femme est en très bonne compagnie. Un homme est assis sur le banc et elle est à califourchon sur lui. Ses gestes sont lents. Et une des mains de son partenaire est sur la bouche de la femme pour étouffer ses gémissements. Le gland sort de sa chatte, elle se soulève un peu, saisit la bite et la dirige contre son anus. La pénétration se fait avec quelques difficultés mais ça rentre.

Moi à terre je me suis mise nue et mes doigts fouillent ma petite toison brune. Je sens le plaisir et l’envie monter en moi, j’aimerai les rejoindre, mais je n’ose pas. De leur côté les choses ont évolué. Il la prend en levrette et ne pouvant plus masquer ses bruits je peux l’entendre prendre son pied. Il continue son ramonage avant de rejoindre la bouche de sa partenaire qui est toujours à genoux devant lui. Il jouit à son tour et sa semence finit sur le visage la femme. Elle attrape le plus de sperme possible dans ses mains pour le porter à sa bouche et fini par enfouir le sexe entier entre ses lèvres afin de le nettoyer.

Ils s’épongent et sortent. Je m’allonge sur le dos et me masturbe et comme mon envie est très forte je m’introduit ma brosse à cheveux dans la chatte et trois doigts dans l’anus. Je prends mon pied.

Remise de mes émotions je termine de me changer et me rend dans la salle. Je passe devant les deux amants. Je ne peux m’empêcher de les regarder. Ils s’en rendent compte. Ils ne me quittent plus des yeux. Ils ont dû deviner que je les ai regardé. Je rougi d’abord. Je leur tourne le dos et me livre à quelques exercices mais mes pensées deviennent très vite érotiques voir porno.

Au bout d’un quart d’heure, n’ayant vraiment pas la tête à la gym, je décide de partir. Je repasse donc devant le couple en ne les quittant pas des yeux. Je me change et sort de la salle. Comme je le pensais les deux tourtereaux sont sortis et me suivent. Je vais jusqu’à ma voiture, ouvre toutes les portes et monte derrière. Ils sont près de moi ! J’ai mis les clefs sur le contact. L’homme a compris et s’installe au volant, la femme à ses côtés.

– Tu veux jouer les salopes ! Enlève tes fringues ! M’ordonne la femme.

On est encore en plein centre-ville et il y a beaucoup de monde dans les rues, mais j’obéis et me dénude. Le type fait le tour de la ville et à tous les feux rouges je sens le regard des passants et des automobilistes se poser sur moi. On sort de la ville. Du rétroviseur déréglé je sens le regard de l’homme se poser sur moi. La femme est restée silencieuse et je pense pensive. Il gare la voiture au bord d’un petit bois.

– Descends ! Me dit le type !
– A poil ?
– Ben oui !

Je sors du véhicule et il me fais signe de m’installer sur le capot. La chaleur du moteur me réchauffe. Il donne deux coups de Klaxon et au bout de cinq minutes je vois deux chasseur arriver. Petit conciliabule entre le couple et les nouveaux arrivants. Puis le quatuor se dirige vers moi. Dès qu’ils sont au niveau du pare-chocs les deux chasseurs tombent leurs pantalons exhibant des bites déjà bien bandées.

IrisToujours sur le capot; l’un des chasseurs rectifie ma position. Je suis sur le ventre, les jambes en direction du pare-brise et la tête vers l’avant. Je prends les bites dans les mains et les lèche l’une après l’autre. Le couple observe et ne bouge pas. Les deux chasseurs se bousculent légèrement pour profiter ma bouche, et soudain l’un d’eux me fait pivoter sur la droite et passe derrière moi. Il frotte son gland sur ma chatte et me pénètre en un seul mouvement. Il n’est pas très doux et je n’ai pu retenir un cri. Son compagnon toujours dans ma bouche, il me laboure sans précaution avec de grands mouvements et de grands râles. Il aurait dû faire bucheron. Celui qui me prend en levrette me soulève et il pose ses fesses sur le capot. Il sort son sexe de ma chatte en chaleur et toujours sans délicatesse m’encule. L’autre a fait le tour de la voiture et le sexe droit et humide, commence par poser son gland devant mon clitos et le tapote avant de me pénétrer à son tour. J’avais toujours rêver d’avoir deux sexes en moi mais jamais je n’avais pensé à une telle situation. Mon enculeur accélère ses mouvements et je sens très vite son foutre en moi. Ce sperme chaud fais basculer mes sens et je serre l’homme devant moi, je me plaque contre lui et je joui à mon tour. Mon esprit est dans une espèce de brouillard et je suis bien, plus rien n’a d’importance. Le deuxième chasseur éjacule sur mon ventre.

Est-ce terminé ? Non les deux chasseurs ont envie de pisser.

– Ouvre ta bouche, salope !

La salope fait de qu’ils demandent et je reçois tout leur pipi dans ma mignonne petite bouche. Puis les chasseurs repartent comme ils sont venus, sans ajouter un mot.

La femme se dirige vers moi et me roule une pelle tout en me caressant partout, elle m’entraine sur la banquette arrière de la voiture où elle me demande de lui brouter la chatte et de lui enfoncer un doigt dans le cul.

Pas de problème ! Cinq minutes plus tard, madame hurlait son plaisir.

– On te ramène en ville ! Me propose l’homme.
– Oui !
– T’aimerais qu’on te paye le restau ?
– Pourquoi pas ?

Fin

Rewriting d’un brouillon intitulé « Le vestiaire » trouvé sur le Net

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Claire N
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Samedi 24 mai 2025 6 24 /05 /Mai /2025 08:48

Danse avec Linda
(une histoire proposée par Dumigron)

Stamp Mature Sodo

Ma compagne, Caroline, est une ravissante petite brune sensuelle et coquine, court vêtue, joliment décolletée, très exhibitionniste, chaude, sensuelle et très nature. La base de notre entente est de conserver chacun une certaine liberté, mais de ne rien cacher à l’autre.

L’hiver dernier, nous nous sommes rendus à une soirée donnée par un ami qui souhaitait fêter une promotion professionnelle.

Marié tardivement, bon vivant, il vit dans une grande maison à la campagne, héritée de ses parents, et avait réservé l’hôtel du village afin que nous puissions tous – une trentaine de couples – passer tout le week-end ensemble et digérer un lendemain de fête peut être un peu difficile.

Je voulais que ma compagne, Caroline soit plus jolie et sexy que jamais, si cela était possible. Nous avions acheté un corset de résille noir, bas et mini-slip assortis, une petite jupe à damier noir et blanc et un gilet de cachemire blanc, assez largement ouvert sur ses superbes seins légèrement comprimés par la guêpière ! Un véritable appel au viol, presque un peu pute mais si joliment porté. Avec son sourire charmeur et son visage innocent qui contraste tant avec ses décolletés et déroute ses admirateurs, égale à elle-même, elle était une fois de plus à croquer.

Dans l’ensemble les femmes invitées étaient plutôt sexy, mais Caroline avait à son habitude ce petit plus indescriptible qui rend tous mes copains un peu amoureux d’elle. Seuls six ou sept couples nous étaient inconnus, et grâce à un punch maison, l’ambiance avait démarré très vite.

Je reconnaissais bien là le talent de notre hôte, c’est une technique dont nous usions pour mettre dans le bain nos amies lors de nos soirées de célibataires et les débarrasser de leurs inhibitions. Bien qu’habituée à la formule, Caroline avait commencé très fort et me semblait un peu gaie, ne cessant de passer en riant des bras d’un cavalier à ceux d’un autre. Ses amis qui la connaissaient bien, ne se privaient pas, sans insistance ni vulgarité, de lui caresser furtivement, et comme malencontreusement, les fesses et les seins, voire même d’écarter discrètement un pan de son gilet qu’elle refermait avec un air faussement réprobateur.

Elle est sans doute une des seules qui accepte, et provoque ce genre de privautés, et tous, m’enviant d’être l’élu, savent qu’ils peuvent pousser un peu ce jeu, mais que jamais elle n’accepte d’attouchements autres que sur ses seins et ses fesses, et ne tolérerait en aucun cas de se laisser entraîner au lit. Quant à moi il est de notoriété publique que ces situations m’amusent (savent ils même qu’elles me procurent beaucoup de plaisir) que je ne suis pas jaloux et profiterais de l’état d’excitation dans laquelle ils me la rendront. J’ai parfois laissé entendre à certains, sans qu’ils sachent si je plaisantais ou non, que je ne pourrais que les féliciter d’arriver à attirer Caroline dans leur lit !

Tout cela fait de nous un couple considéré comme très libéré, et aussi très énigmatique, car aucun ne peut se vanter d’avoir pu entrer dans notre véritable intimité, et Caroline qui ne cache pas notre entente, son appétit et le mien, joue le jeu en laissant planer le doute quant à d’éventuelles aventures. Elle est en un mot considérée comme chaude, sensuelle et libérée, sans tabous et très nature, mais désespérément fidèle et satisfaite (au goût de mes copains?) et chacun d’essayer de la faire craquer.

Ce soir ils ne s’en privaient pas. Après avoir fait danser ma compagne, je fleurtais gentiment avec Linda, une jolie brune, dont je venais de faire la connaissance, et dont le mari semblait essayer d’être celui qui ferai le plus danser Caroline. Je sentais ma jolie cavalière un peu gaie et je m’appliquais à la faire rire, quand soudain elle me demanda :

– Ça ne te gêne pas que mon mari drague ta femme avec autant de discrétion ?
– Pas du tout ! Cela me permet de danser avec toi. Mais si tu veux, je demande à Caroline de l’envoyer promener ?
– Non ! Moi ça ne me gêne pas ! Me répond Linda. Vous êtes assez libres tous les deux ?
– Je ne suis pas jaloux et j’aime la voir s’amuser ! Ça te choque ?
Je ne sais pas ! Mais est-ce qu’elle te trompe ?
– Je ne crois pas ! Et de ce côté-là nous sommes plutôt complices.
-Tu veux dire que vous faites des échanges ou des partouses ? Me demanda-t-elle d’une voix hésitante

Je la serrais un peu plus fort, et sentant qu’elle ne se dérobait pas, lui murmurais :

– La vie est courte, autant se donner quelques petits plaisirs comme celui de danser avec toi, par exemple ?
– Tu ne m’as pas répondu !
– Peut être que je n’ai pas trop envie de parler de ça pour l’instant.
– Je ne suis pas une oie blanche, et je ne suis pas si prude que tu as l’air de le penser ! Me répondit elle en se raidissant légèrement.

Je la ramenais contre moi et sentis ses seins s’écraser sur mon torse. Ce contact me troublait.

– Je suis capable de garder un secret ! Murmura-t-elle.

Elle semblait un peu hésitante et troublée. Je décidais de pousser un peu plus avant.

– Il nous arrive parfois d’admettre un partenaire dans nos jeux, mais très discrètement et toujours éloigné de nos amis ou relations.

Je la sentis frémir légèrement et ajoutais :

– Je n’aurai pas du t’en parler ! J’ai peur de t’avoir choqué et je serai désolé que tu me considères comme infréquentable !
– Je t’ai promis de garder le secret et je ne suis pas choquée, ou plutôt beaucoup moins que je ne l’aurai imaginé ! Je trouve que vous avez de la chance de vous entendre aussi bien ! Ma vie à moi me semble moins excitante !

Je saisis la perche. La brèche me semblait bien ouverte. Il fallait vraiment que le punch aie fait tomber nos inhibitions pour que nous puissions tenir une telle conversation.

– Tu n’as jamais trompé ton mari ?
– Je n’ai jamais osé ! Pourtant je sais qu’à lui, c’est déjà arrivé !
– Eh bien tente une fois ! Ce sera une expérience.
– Et toi, tu l’as déjà trompée ?
– Rarement, mais c’est arrivé ! Je préfère quand ça se passe avec elle. J’aime bien la voir comblée, la voir se donner devant moi à un homme qui lui plaît. Je dois te paraître totalement dévoyé ?
– Non ! Je ne sais pas pourquoi, mais je t’ai dit que ce soir ça ne me choquait pas, et c’est vrai ! C’est plutôt moi qui dois te sembler anormale en te posant ces questions ? Ça doit être le punch, mais j’ai envie que tu me parles encore…Si tu veux bien ? Me dit-elle en pesant un peu plus dans mes bras, tandis qu’une musique lente nous berçait et que nous dansions pratiquement sur place. Tu n’as pas envie de m’embrasser ?
– Ce que j’ai très envie de faire ! Lui murmurais je en déposant un discret baiser derrière son oreille.
– Mieux que ça !

Je collais ma bouche contre la sienne. Je l’ai senti se cambrer contre moi, son pubis est venu s’écraser contre ma cuisse. Elle devait sentir contre la sienne qu’elle ne m’était pas indifférente du tout. Heureusement que nous étions dans une relative obscurité, mais le morceau de musique finissant, j’ai choisi de me séparer – provisoirement- d’elle et l’ai entraînée prendre un verre. Caroline et Gilbert étaient invisibles, mais il y avait quatre pièces au rez-de-chaussée, en plus du jardin d’hiver et de la cuisine. La plupart de nos amis présents fleurtaient, en couples légitimes ou pas, et tout le monde semblait assez heureux et détendu.

– Tu crois qu’ils sont partis faire l’amour ? Me glissa Linda.
– Je ne sais pas ! Peut-être mais je ne crois pas !
– Pourquoi ?
– Parce qu’à ma connaissance elle ne m’a jamais trompé, mais après tout, je n’en suis pas sûr et cela m’est un peu égal? Ça t’ennuierai que ton mari…
– Non ! Ce soir je m’en fous ! Fais-moi danser encore !

J’avais très envie d’elle mais décidais de ne pas brusquer les choses. Cette situation était très excitante. A nouveau je l’ai prise dans mes bras, et j’ai senti ses seins et son pubis s’appuyer contre moi. Elle était ferme, chaude, douce et son parfum m’enivrait. Elle ne pouvait plus ignorer qu’elle me faisait bander et je ne faisais rien pour cacher mon état. Je voulais faire durer cet instant. D’une toute petite voix, elle me demanda :

– Vous avez déjà fait ça avec un autre couple ?
– Peu de fois, mais ça nous est arrivé.
– Et avec une autre femme ?
– Non parce qu’elle préfère les hommes. Dommage d’ailleurs ! Et toi, tu n’aimerais pas avoir deux hommes dans ton lit pour s’occuper de toi ? Te faire jouir sans interruptions ?

Elle a frémi, et j’ai repris d’une voix douce, glissant une main entre nos deux corps pour empaumer délicatement un sein rond et ferme :

– Ce n’est pas un de tes fantasmes ?
– Peut-être, mais ce n’est pas celui auquel je pense le plus souvent.
– Racontes moi ! Murmurais-je en accentuant la pression de ma main sur son sein, dont je sentais saillir le bout, sans qu’elle se dérobe.
– Il m’arrive de rêver qu’un de mes supérieurs plus âgé, qui m’impressionne, m’ordonne de me déshabiller devant lui, debout dans son bureau, et me caresse, me demande lui sucer la bite et pour finir m’encule devant sa secrétaire.

Sa voix était rauque, son corps pesait dans mes bras, sa bouche contre mon oreille, et sans cesser de lui caresser la poitrine, j’ai glissé mon autre main sur ses fesses, et tenté avec elle ce jeu que j’aime, celui des mots.

– Je voudrais être celui qui te demande de te déshabiller ! J’ai très envie de te retirer ta robe et de continuer à danser en te caressant !

Je la sentais réagir à mes mots et elle me semblait prendre le même plaisir que moi. Je continuais

– Mon plus grand bonheur serait de découvrir ton corps, de sentir monter ton plaisir. J’ai très envie de te faire l’amour et je voudrai te faire jouir !
– Continues ! Me dit-elle la tête sur mon épaule.
– Je voudrai faire glisser ta robe et sucer tes seins… Sentir sous mes lèvres ta jolie petite chatte mouillée et boire ta liqueur d’amour.

A l’abri de la pénombre, nous étions totalement imbriqués l’un dans l’autre, son sexe collé à ma jambe, ma queue écrasée sur sa cuisse, et je la sentais parcourue de frissons. Dans la paume de ma main, la pointe de son sein crevait le tissu.

– J’aimerai ouvrir tes jambes et passer la langue dans ton sillon…Sucer tes lèvres et ton clito… Caresser l’entrée de ton vagin et sentir ta mouille couler dans ma bouche.
– Continue…
– Je te retournerais, te lécherais ton petit trou avant d’y mettre un doigt, puis ma bite.

Ses fesses se contractaient sous ma main et elle se frottait imperceptiblement contre ma cuisse.

– J’aime quand tu te caresses sur moi… Reprit-elle
– Je voudrai te faire mouiller !
– C’est déjà fait ! Me dit-elle d’une voix rauque.
– Si nous étions seuls, je ne te laisserai que ta culotte jusqu’à ce qu’elle soit complètement trempé !
– Elle est trempé !
– Non ?
– Si ! Tu m’excites… Si tu me parles encore je vais jouir !

Je la sentais se branler franchement contre moi et je commençais à perdre les pédales.

– Tu me fais bander, jolie petite salope. J’ai envie de passer la main sous ta robe pour doigter ta petite chatte.
– Encore !
– Je veux ta mouille sur mes doigts et sur ma langue avant de m’enfoncer dans ton ventre.

Elle était comme parcourue par un courant électrique. Heureusement que l’obscurité nous enveloppait, car elle se frottait sur moi, les fesses contractées sous ma main, ondulant du bassin sans aucune retenue. Je la sentais au bord de l’orgasme, respirant par saccades. Moi-même au bord du plaisir, je repris :

– J’aime sentir ta chatte s’écraser sur ma cuisse… Ça m’excite d’imaginer ta petite cramouille ruisselante de foutre, tes jolies lèvres gonflées et ton clito dressé.
– Oh oui ! Je suis trempée et je n’en peux plus. Je vais jouir… Continue… Murmura-t-elle la voix chavirée.
– Je veux sentir ton odeur et boire ton jus? Enlève ta culotte et donne-le-moi !

Je l’ai sentie jouir alors que j’avais bien du mal à ne pas exploser, lorsque je lui ai dit :

– Je veux te respirer avant de te lécher… Je vais te montrer ce qu’on appelle se faire bouffer la chatte avant de te baiser !

Elle a jouit longuement, tremblante, tétanisée, la tête sur mon épaule, les cuisses serrées autour de ma jambe, tandis que je la soutenais, une main plaquée sur ses fesses. Je l’ai laissée se calmer, collée à moi, m’assurant d’un coup d’œil que personne ne nous prêtait attention. Mais les quelques couples présents étaient eux-mêmes plus occupés à se caresser en dansant. Toujours au bord du plaisir, je lui ai dit :

– J’aime te sentir jouir dans mes bras, mais maintenant j’ai envie de gouter à ta liqueur d’amour… Viens !
– Oh oui, mais pas ici… Mon mari et ta copine peuvent nous surprendre… Ils sont où ?
– Peut être en train de se tripoter là-haut ?
– Attends-moi ! Murmura-t-elle à mon oreille. Je reviens.

Je suis allé prendre un verre. Elle a réapparu une dizaine de minutes plus tard, me disant :

– Je ne les ai pas vus, mais pourtant toutes les chambres sont occupées ! Une véritable orgie ! Et dans le noir, je ne suis pas sûre que j’aurai pu les distinguer.
– Ça t’ennuie de savoir qu’ils sont peut-être en train de faire l’amour ?
– Non ! Ce soir je m’en fous ! Je suis bien avec toi… Mais j’aurai bien aimé être sûre que lui aussi…Tu m’as demandé quelque chose tout à l’heure.

Elle m’a glissé dans la main une petite boule de tissu noire et douce que j’ai aussitôt porté à mon visage. Sa culotte, minuscule et humide, sentait la noisette, la mouille, l’urine, la fille chaude.

– Tu sens bon ma petite salope, j’ai de plus en plus envie de boire ton jus d’amour directement à sa source

Elle s’est à nouveau écrasé contre moi.

– Tu es toute nue maintenant sous ta jupe ?
– Oui !
– Tu mouilles encore ?
– Oh oui ! Tu me fais toujours autant d’effet
– Je t’ai vraiment fait jouir ?
– Oui beaucoup ! Mais ne me dis pas que tu ne t’en es pas rendu compte ?
– J’aime te l’entendre dire !
– Salaud ! Tu m’as fait jouir très fort, et je crois que je n’avais pas joui comme ça, debout, dans les bras d’un homme, depuis bien longtemps. Maintenant je veux que tu décharges dans ma bouche….
– Viens !

Je l’ai entraînée dehors, le long du jardin d’hiver, malgré la température un peu fraîche. Je l’ai plaquée le long du mur, l’embrassant pour la première fois à pleine bouche. Elle répondait à mon baiser avec fougue. J’ai glissé la main sous sa jupe pour découvrir son coquillage nu et humide qui s’est ouvert sous mes doigts lorsqu’elle a écarté une jambe. Je me suis accroupi devant elle, le visage à la hauteur de son ventre. J’ai relevé sa jupe pour découvrir ses cuisses, le haut de ses bas et son ventre nu, sa toison brune plutôt fournie. J’ai soulevé sa cuisse pour la poser sur mon épaule. N’importe qui pouvait nous surprendre et à la faible lumière que dispensait le jardin d’hiver, j’ai vu son coquillage s’ouvrir, sa fourrure s’écarter et me révéler un sillon clair et luisant. Des perles de mouille brillaient dans ses poils. Du bout de la langue, j’ai déniché son clito, tendu, long et fin et l’ai délicatement pris entre mes lèvres et aspiré. Elle s’est mise à feuler en s’arcboutant, tendant son pubis vers ma bouche. J’ai glissé la langue dans son sillon en embrassant ses lèvres gonflées, avant de l’enfoncer dans l’entrée de sa chatte déjà ouverte et ruisselante. Elle me coulait dans la bouche en agitant son bassin, les mains posées sur ma tête.

Elle avait un goût de miel chaud, et je me suis mis à la laper à grands coups de langue, alternant baisers, succions et aspirations. Elle gémissait, agitée de soubresauts, et je l’ai léchée longtemps, comme j’aime, buvant son jus qui coulait sur mon menton et le long de ses cuisses. Elle mouillait comme une gouttière.

– Oh oui, c’est bon ! Tu lèche bien ! Je vais jouir… Continue… Oui ! Je jouis… Je jouis…

Elle m’a déchargé une impressionnante quantité de mouille dans la bouche. N’y tenant plus, je me suis relevé, déboutonné, et l’ai embrochée d’une seule poussée, la soulevant sous les fesses. Elle a noué ses jambes dans mon dos et je me suis senti aspiré jusqu’au fond de son vagin brûlant. Je la sentais ouverte, distendue, chaude et gluante, agitée de contractions, et je suis resté un moment sans bouger, planté en elle, lui parlant à l’oreille :

– Oh putain ! Tu es chaude et profonde ma salope !
– Je te sens bien… Ne bouge plus… C’est bon !
– Tu aimes te faire remplir et en avoir plein ta jolie cramouille ?
– Oh oui ! Tu es un salaud et un dégueulasse, mais j’aime quand tu me parles comme ça ! J’aime que tu me parles comme à une pute? Ça m’excite !
– Oui tu es ma petite pute et je vais te défoncer ta jolie chatte et me vider les couilles dans ton petit minou baveux !

J’ai glissé le doigt dans sa raie trempée pour le poser à l’entrée de son petit trou dans lequel je me suis un peu enfoncé. Elle n’a manifesté aucune répulsion.

– Tu as déjà été prise par-là ? Lui ai-je demandé à l’oreille
– Oui… Quelques fois mais pas souvent.
– Tu as déjà été baisée en sandwich par deux hommes ?
– Non, jamais.
– Je suis sûr que tu aimerais ça !
– Avec toi, peut-être? Tu es vraiment un beau salaud et j’aime ça !
– Je veux que tu sois très obéissante avec moi !
– Oui !
– Si tu as envie de me revoir ce sera sans culotte ni soutien-gorge? Seulement des bas !
– Oh oui !
– Je t’obligerais à sortir comme ça et je te montrerai ce que c’est que de se faire baiser par deux mecs pendant toute une nuit !
– Oui, oui !
– Je t’obligerai à sucer la bite de parfaits inconnus !
– Salaud ! Tu veux faire de moi une pute ?
– Oui et si tu ne suce pas correctement ce sera la fessée… devant tout le monde !
– Oh oui… baise-moi fort… je vais jouir… Je ferais ce que tu veux… baise-moi comme une pute !

LindaJe ne savais si elle était véritablement sincère et prête à accepter mes délires ou seulement suffisamment excitée pour répondre n’importe quoi, mais je sentais la pression de ses jambes autour de ma taille et les contractions de sa chatte sur ma queue. Tout son bassin ondulait, et la soulevant littéralement par les fesses je me suis mis à la pistonner comme un fou, arrachant presque mon sexe de sa cramouille béante pour changer brutalement d’orifice Je me suis senti soudain immobilisé dans l’étau de ses jambes, avec l’impression de m’enfoncer plus encore dans son cul. Je sentais son souffle chaud et sa respiration saccadée contre mon oreille. Elle s’est mise à feuler, et nous avons joui ensemble. J’ai déchargé dans son anus par longues saccades, avec un extraordinaire sentiment de tomber dans le vide ! J’ai dû longtemps rester planté en elle, et lorsque nous nous sommes déboités, nous sommes restés enlacés, accrochés l’un à l’autre pour ne pas tomber, sa tête sur mon épaule.

– Salaud, tu m’as enculé !
– J’ai peut-être été un peu brutal !
– Non ça m’a bien plu !

Tout à fait dégrisé, j’ai pris son visage dans mes mains après m’être rajusté, j’ai déposé un baiser sur ses lèvres en lui disant un peu brusquement :

– Cela fait partie des bonnes choses de la vie ! Rien ne nous empêche de nous revoir si tu le veux bien… Mais nous ne pouvons, ni toi ni moi, nous permettre de tomber amoureux… Et je suis sincère… tout ce que je t’ai dit est vrai.
– Tu aimerais que nous continuions à nous voir ?
– Oui… Mais seulement si ça ne te pose aucun problème !

Avant qu’elle ait pu répondre, je l’ai entraînée à l’intérieur. Nous avons pris un verre et à nouveau dansé, sans voir Caroline ni Gilbert. Linda se détendait et riait à mes bêtises, et ce n’est que plus tard que nous avons vu arriver son mari, l’air un peu perdu et hésitant. Il a tressailli en nous apercevant, et sans doute rassuré par mon sourire, s’est approché de nous. J’ai délicatement poussé ma cavalière dans les bras de son mari en leur disant : »à tout à l’heure » J’ai trouvé Caroline dans la pièce à coté au milieu d’un petit groupe et l’ai entraînée sur la piste dans un slow calme.

– Où étais tu passé ? M’a-t-elle doucereusement demandé.
– Et toi donc ? Il me semble ne pas t’avoir vue depuis un moment ! Ais-je répondu en riant.

Je l’ai sentie se troubler l’espace d’un instant, mais elle s’est reprise :

– Ce soir je n’ai pas eu une minute à moi… Gilbert m’a eu l’air de te trouver à son goût… Il m’a semblé que tu t’entendais bien avec sa femme !
– Tu as fait l’amour avec lui ?

Malgré cette question directe grâce à laquelle je pensais prendre l’avantage, elle m’a surpris en répondant sans hésiter et en riant :

– Pas vraiment l’amour, mais il a quand même réussi à me faire jouir ! Et toi tu as fait l’amour avec elle ?
– Oui !
– Si tu veux, on en reste là, me dit-elle doucement. Je crois qu’on est tous un peu pompette et qu’il vaut mieux ne pas essayer d’aller plus loin.
– N’empêche que j’aimerai bien savoir comment il t’a fait jouir ?

Gilbert et Linda sont arrivés à ce moment et se sont mis à danser comme nous, restant à l’autre bout de la pièce, semblant ne pas nous voir. Caroline, la tête nichée au creux de mon cou, m’a murmuré :

– Si tu veux tout savoir, il m’a emmenée dans une chambre, là-haut, et après m’avoir caressée, il m’a léché… Mais je n’ai pas voulu qu’il me baise, et il n’a pas insisté…et je l’ai sucé aussi pour le calmer?

Cet aveu m’a électrisé, elle a dû sentir mon sexe durcir et a écrasé son pubis sur ma cuisse en murmurant :

– J’ai envie que tu me prennes !
– Tu as remis ta culotte ?
– Non ! Je lui ao offert ! Il l’a gardé !

Nous sommes montés, mais toutes les chambres étaient occupées. Nous avons même aperçu dans la pénombre deux couples sur un lit… La soirée tournait à l’orgie, et faute d’un endroit pour nous isoler, nous sommes redescendus avec l’intention de regagner sagement l’hôtel. Gilbert et Linda dansaient encore, aux côtés de nos hôtes qui nous ont adressé un sourire complice et entendu. Nous avons parlé un peu avec eux et leur avons annoncé notre intention de nous retirer, ce que faisaient la plupart des couples encore présents. Gilbert nous a appris qu’ils logeaient eux aussi à l’hôtel, et nous avons décidé de rentrer ensemble, prenant rendez-vous avec nos amis pour le lendemain matin. Nous avons regagné notre base, et sagement, avec toutefois une certaine gêne et timidité, chacun a sagement regagné sa chambre. Aucun de nous ne savait que cette soirée n’était en réalité pas terminée, mais ceci est une autre histoire…

Fin

Léger rewriting, correction et reformatage d’un texte anonyme intitulé « Un couple libertin »

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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