Mercredi 23 juillet 2025 3 23 /07 /Juil /2025 17:59

Chanette 33 – L’escroc de Bourges 1 – William Paturel, soumis et marchand de biens
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Celles et ceux qui n’ont pas lu mes précédentes aventures (comme c’est dommage !) ignorent donc qui je suis. J’exerce le métier de dominatrice professionnelle… (ben oui, c’est un métier !) Je me prénomme Christine D (Chanette, c’est pour mes clients et quelques très rares intimes), j’ai, disons entre 35 et 40 ans, suis mariée avec un homme que je ne vois plus.. Taille moyenne, peau légèrement mate, visage ovale, cheveux mi-longs, fausse blonde, pas mal foutue (et modeste avec ça !). Mes récits ne sont pas des récits de domination, mais des récits d’aventures érotiques incluant éventuellement des passages de domination. Allez, c’est parti…

Surréaliste ! Cette matinée a battu tous les records d’absurdité…

Il était environ 10 heures, et j’étais occupée dans mon studio de travail de la rue des Saulniers avec Patrice, un soumis qui me rend visite de temps à autres.

Attaché nu sur une croix de Saint-André, les tétons et les testicules pris dans des pinces, je m’amusais à lui infliger des coups de martinets qui manifestement le ravissait puisqu’il était venu pour ça…

Moi, j’étais en tenue de dominatrice, bustier noir, cuissardes…

Et voilà que l’on frappe à la porte… et peu discrètement… (alors qu’il y a une sonnette !)

– On arrive, on arrive…

J’enfile un kimono et me dirige vers la porte d’entrée.

– Ouvrez, police ! Hurle une voix de marchande de poisson.

La police ? Qu’est-ce qu’elle me veut, la police ?

J’ouvre ! Il y a là une fliquette en civil avec un visage à faire s’enfuir en courant les 12 apôtres et leurs femmes, elle est accompagnée par trois poulets en uniforme.

– Madame D’Esde ?
– Ben oui c’est moi !
– Nous avons un mandat…Vous êtes en garde à vue, vous avez le droit de garder le silence et blablabla…
– Non, mais attendez… Qu’est-ce qu’on me reproche ?
– On vous dira tout ça au poste, habillez-vous s’il vous plait.

Deux des flics font le tour du studio en me répétant qu’ils ont un mandat…

– Il y a un mec à poil attaché contre une croix ! Revient confier à sa chef l’un des deux poulets.
– On va aller voir ça ! Répond la mémère

Elle s’approche de mon soumis qui ne comprend rien !

– Ne vous inquiétez pas monsieur, on est là pour vous aider… Je suppose que vous désirez porter plainte ?
– Un plainte pour quoi ?
– Mais c’est à vous de nous le dire, monsieur, coups et blessures, viol…
– Mais enfin, je vais très bien, tout cela n’était qu’un jeu !
– Vous avez peur de porter plainte ? Vous n’avez pas confiance dans la police ?
– La question n’est pas là, nous sommes en pleine confusion.
– Dans ce cas je vais vous demander de nous suivre en tant que témoin.
– Je suis désolé, j’ai un déjeuner de travail à midi…
– Vous vous ferez excuser !
– Certainement pas, c’est trop important.
– Dois-je vous rappeler que le refus de témoigner constitue un délit puni de 3 750 euros d’amende ?
– Si vous me promettez de me relâcher avant midi, je veux bien vous suivre.
– Je ne peux rien vous promettre, mais on va essayer, on va vous détacher, rhabillez-vous, monsieur. Bon madame D’Esde vous êtes prête ? On n’a pas que ça à faire.
– Presque !
– Pensez à vous munir de vos papiers d’identité, et de l’acte notarié concernant le bien immobilier que vous vous apprêtiez à acquérir.

Oh ! Je sens venir l’embrouille !

– C’est donc ça ? Mais je ne l’ai pas ici ?
– Ce serait où ?
– Chez moi !
– Ce n’est pas chez vous ici ?
– Non, ici c’est mon studio de travail !
– Quelle salade,! Eh bien on va faire un détour chez vous, c’est loin ?
– Au métro Place d’Italie.

On m’a menotté (pourquoi faire, je vous le demande un peu ?) Dans le fourgon, je n’ose croiser le regard de Patrice. Je suis mal et (au risque de me répéter) je ne comprends rien de ce qui se passe.

Arrivée en bas de mon domicile, je pique ma crise.

– Il n’est pas question que je monte chez moi en étant menottée.
– C’est juste une mesure de sécurité.
– Sécurité de quoi ? Vous êtes quatre, je suis seule ! Vous m’enlevez ça, vous me les remettrez en redescendant si ça vous amuse.
– On applique la procédure, madame !
– Alors je refuse de sortir du fourgon !
– Ce qui nous obligera à vous inculper pour rébellion !
– On ne peut pas dire que vous êtes arrangeants !
– Ce n’est pas notre rôle !
– Alors, je ne bouge pas ! J’ai un ami à l’IGPN, je lui donnerai de vos nouvelles.
– Bon, on ne va pas s’en sortir, vous deux, défaite-lui ses menottes et montez avec elle, récupérez ce qu’il y a récupérer et redescendez aussi sec.

Arrivé au commissariat on m’envoie direct en cellule. Ils interrogent Patrice.

Je n’ai appris que beaucoup plus tard que les policiers se sont satisfaits de son témoignage, ce qui ne les a pas empêché de le traiter de pervers et de l’inviter à aller se faire soigner avant de le laisser partir.

Je n’ai pourtant rien contre la police mais parfois, il y en a, faut se les farcir…

Allez, c’est mon tour.

– Je peux appeler mon avocat ?
– C’est votre droit.

J’appelle donc Maître Doubise qui évidemment est occupé, mais sa charmante secrétaire m’informe qu’elle m’envoie l’un de ses collaborateurs.

– Bon, commence la fliquette, Monsieur Patrice Dumaillet n’a pas souhaité porter plainte contre vous…

(Il n’aurait plus manqué que ça ! Non mais dès fois !)

– Donc, reprend la mégère, revenons à ce qui nous intéresse. Un aigrefin dénommé William Paturel, vous a selon toute vraisemblance confié abusivement l’usufruit d’une propriété située 15 avenue des hirondelles à Chamblis-les-Gonades.
– Hein ?
– Reconnaissez-vous ces faits ?
– J’ignorais que ce monsieur dont je ne connaissais que le prénom serait comme vous dites, un aigrefin. Mais si c’est le cas je suis sa victime. Depuis quand menotte-t-on les victimes ?
– Paturel est connu de nos services et utilise presque toujours le même mode opératoire, nous l’avons identifié grâce à ses empreintes laissées sur les interrupteurs électriques de cette propriété.
– Ah ?
– Dans quelles circonstances avez-vous rencontré ce monsieur Paturel ?
– Je vous répondrais quand vous aurez répondu à ma propre question, en attendant j’ai le droit au silence, non ?
– Bien, remettez-moi cette pétasse en cellule en attendant que son avocat se pointe.

Je vais m’énerver, je vais m’énerver…

Flashback

Je ne connaissais pas ce William, la quarantaine, brun, bel homme pour qui aime ce genre, jovial et volubile. Il a une grosse verrue sur la joue droite, un peu comme Robert De Niro, j’aime pas trop ça.

– Ça va je te plais ? Lui demandais-je en exhibant mon plus beau sourire.
– Vous êtes une belle femme !
– Parfait ! Alors qu’est-ce que tu aimerais que je te fasse ?
– J’aime bien qu’on me domine, mais j’aime pas trop la douleur…
– De la domination psychologique, en somme ?
– C’est cela !

Ce n’est pas trop ce que je préfère, mais business is business. Je demande au type de se mettre à poil après qu’il m’eut payé d’avance comme le veut la coutume.

– Je suis entièrement rasé ! Commente-t-il.

Ben oui, j’avais remarqué et à vrai dire je n’en ai rien à foutre. Je lui passe un collier de chien autour du cou, (faut toujours respecter les traditions) puis me saisissant d’un bâton de rouge à lèvres bon marché, j’écris « sous-merde » sur son torse.

– Et maintenant tu ouvres la bouche !
– Aaaah !

Il n’est pas idiot, il a parfaitement compris ce que j’allais faire, et le voilà qui bande alors que je n’ai même pas encore procédé !

Chanette3301Je lui crache plusieurs fois dans la bouche ! Il fait une tête bizarre, je ne saurais dire si c’est de la honte ou de l’extase ? Peut-être un mélange des deux, allez savoir ?

– Maintenant allonge-toi, toujours bouche ouverte, je vais te pisser dans la gueule !

J’ignore comment il va réagir, pour certains soumis le pipi est une humiliation, pour d’autre un cadeau ! Le petit monde de la soumission n’est pas si simple !

Je n’avais pas une grosse envie, mais il a tout avalé.

– Alors elle est bonne ma pisse ?
– Oui, maîtresse !
– Dommage que je n’ai pas une autre envie, je t’aurais volontiers chié dessus
– Ah ! Si vous pouviez le faire, maîtresse, ce serait la pire des humiliations.

Oui mais, la scato n’a jamais été trop mon truc, je n’ai rien contre mais bon… Et puis pour ce qui est du pipi, je peux en fournir pratiquement à volonté (je bois beaucoup d’eau), alors que le caca… bref je ne vais pas vous faire un dessin.

– Relève-toi, mets-toi à genoux et viens me lécher le cul, ça te donnera un avant-gout de ce que tu perds.

Je ne suis pas devant le miroir, je ne peux voir ce qu’il fabrique, mais je sens bien ses coups de langue qui ne tardent pas à me faire frétiller l’anus. J’ai toujours été très sensible du trou du cul !

– Ça te plait de me sucer mon trou qui pue la merde ?
– Oui, maîtresse ! Je ne suis bon qu’à ça, à lécher les culs bien sales.

Il n’est pas sale mon cul, (du moins, je ne pense pas) mais il faut toujours laisser les soumis fantasmer !

– Ne bouge pas, je vais chercher ma bite ! L’informais-je.

Il doit être un peu dur à la détente parce que son visage reflète alors l’incompréhension la plus totale ! Et quand il me voit m’harnacher de mon gode ceinture, il me fait son cinéma.

– Non pas ça, maîtresse, j’ai trop honte !
– Je m’en fous de ta honte ! Suce ! Suce cette bonne bite.

Bien sûr que c’était du cinéma, il prend le gode en bouche, le suce, le lèche l’engloutit

– Tu vois ce que tu es : un suceur de bite !
– Oui, maîtresse je suis un misérable !

C’est pas possible, il a dû lire les aventures de Tintin !

Et quand un soumis apprécie le gode, je lui pose la question qui le fait bien :

– C’est dommage que je n’aie pas un autre soumis sous la main, je t’aurais obligé à lui sucer la bite, c’est quand même plus agréable que du plastique, non ?

Pas de réponse !

– Eh ! Je t’ai posé une question ? Tu me réponds ou je te fous dehors !
– Je ne suis pas pédé, maîtresse !
– On ne dit pas pédé, on dit gay ou homo, cela dit ce n’est pas parce qu’on suce une bite qu’on est pédé !

Pas de réponse.

– Donc, ça ne te branche pas ? Repris-je.
– Non !
– Et admettons que je t’ordonne de le faire ?
– Oh ! ce serait trop la honte pour moi, mais si vous me l’ordonnez je le ferais avec humilité.
– Bon maintenant en levrette ! Je vais t’enculer !
– Oh, j’ai trop honte !

On commence à le savoir !

– Je t’ai déjà dit que j’en avait rien à cirer de ta honte ! Allez en position !

Je ne sais pas s’il s’attendait à ça, mais comme monsieur est un délicat et qu’il a la trouille que je lui fasse bobo, je lui tartine le cul avec du gel. Puis d’un bon coup de rein je fais pénétrer le gode dans son postérieur.

– Oh !
– Y’a un problème ?
– Non !

J’augmente la cadence et je le pilonne pendant cinq bonnes minutes, il se dissimule le visage sous ses avant-bras, dommage j’aime bien voir la tronche de mes soumis quand je les encule..

Il pousse un cri quand je le lui retire. J’aurais dû lui demander de se branler pendant que je lui bourrai le cul, on ne peut pas penser à tout.

– Et la prochaine fois, c’est une vraie bite que tu auras dans le cul…
– Non !
– Ta gueule, c’est pas toi qui commande ! Et si tu savais le nombre de mecs qui se sont fait enculer pour la première fois dans mon studio, donc tu ne seras pas le premier. Allez, on va finir en beauté, je vais m’installer dans le fauteuil, et toi tu vas te mettre à mes pieds.
– Oui maîtresse.

Je retire mes bottines et libère mes petits pieds.

– Maintenant tu vas me lécher les pieds, je pense qu’à cette heure-là ils ont bien transpiré et qu’ils puent la sueur, et en même temps tu vas te branler… et n’en fous pas partout, il y a des kleenex sur la petite table. Allez, exécution !

Ça n’a pas l’air de le motiver beaucoup. Tant pis ! Il lèche comme un manche, plus occupé à se branler qu’à s’occuper de mes petits pétons, il ne sait pas ce qu’il perd, cette andouille.

Il ne me lèche plus, il jute dans un kleenex que je lui jette ! Fin de la séance !

– Ah, vous m’avez bien déstressé ! Me confie-t-il en se rhabillant sans trop se presser.
– C’est ton boulot qui te stresses ?
– Un peu, oui…
– T’es dans quoi !
– Marchand de biens !
– Ah ?

En réalité je m’en fous complétement.

– En fait j’ai un créneau un peu particulier, j’achète en dessous du prix du marché des biens immobiliers… Il y a toujours des gens qui sont archi pressés de vendre suite à des circonstances particulières. Et quand je les revends j’empoche mon bénéfice au passage mais il me reste assez de marge pour vendre en-dessous du prix du marché. Comme ça tout le monde est content.
– Ah ?
– Vous savez, tous les produits que vous proposent les banques pour faire fructifier de l’argent, ça vaut ce que ça vaut, mais rien ne vaut la pierre ! C’est le meilleur des investissements, c’est du solide. Si vous avez de l’argent à placer, je vous le conseille.

Et là ça a fait tilt dans ma tête, voilà un moment que je voulais placer mes économies dont une grande partie dort bêtement dans un coffre à la banque, j’avais déjà pensé à l’immobilier mais faute de m’y connaitre je n’avais jamais creusé l’affaire.

– Si tu reviens me voir, tu pourrais m’apporter de la doc sur ce que tu as en vente en ce moment ?
– Mais avec grand plaisir !

Ça n’a pas traîné, huit jours plus tard il était de retour et me montrait quelques-uns de ces biens…

– Regardez celui-ci, à dix minutes du périph, il vaut 350 000 euros. Toute la famille est décédée dans un accident de voiture, ça revient à un vieux cousin qui n’en veux pas… je l’ai estimé à 300 000 et le revends 325 000. Une affaire, non ?
– On peut visiter ?
– Dites-moi quand, et on y va.

Nous y sommes allés le lendemain matin, c’est joli, bien entretenu, C’est un petit pavillon au milieu d’un joli petit terrain, il y a une table en bois pour manger dehors, un barbecue, un tobogan et une balançoire pour les gosses (je pourrais les ferais retirer) A l’intérieur rien n’a été enlevé, hormis le contenu du frigo…

– Pour débarrasser, je vous donnerais une adresse….
– Sinon on fait comment ?
– Vous avez les fonds ou vous avez besoin d’un prêt ?
– Non j’ai ! J’ai un gros coup de cœur pour cette baraque, je crois que je vais la prendre, je réfléchis quand même un tout petit peu et je vous appelle demain.
– Demain je vais être très occupé, c’est moi qui vous appellerais en fin d’après-midi.

Et donc vers 18 heures, je donnais mon accord.

– Je passe demain matin avec le notaire vers 11 h 30 et nous signerons la promesse de vente contre 10% du prix total. D’ici là vous aurez le temps de demander un chèque de banque de 32 500 euros.
– Avec le notaire ! Déjà ?
– C’est un ami, il me fait toujours passer en priorité.
– D’accord mais on ne va pas signer ça au studio, c’est un peu gênant, non ?
– Chez vous alors ?
– Je préfère, je vous donne l’adresse…

Tout un cirque pour verser des espèces sur mon compte. Il me faut remplir un papelard par lequel je certifie sur l’honneur que je ne suis pas en train de blanchir de l’argent et blablabla… tout cela est risible et agaçant.

Le notaire a délégué son premier clerc, une dénommée Sylvana Gambetti, fausse blonde à lunettes, la quarantaine sinon plus, belle prestance. On me fait lire l’acte, je ne m’attarde pas sur le fait que c’est l’adresse de mon studio qui y est indiquée et non celle de mon domicile estimant que cela ne doit pas être important.

J’hésite quand même un petit peu au moment de signer, ne souhaitant pas m’emballer. Ces messieurs-dames me proposent alors de me faire bénéficier de l’usufruit de mon acquisition avant la signature définitive, et de m’ont confié les clés.

Du coup, j’ai signé !

Puis, désireuse de prendre le plus vite possible possession des lieux, je diligentais l’entreprise de débarras dont ce William m’avait communiqué les références.

– Vous me virez tous les bibelots, les bouquins, les fringues, les godasses et tout ça, je ne garde que les meubles, la literie, les plantes vertes et la vaisselle. Dans la cave, il y a du pinard et des tableaux, je garde tout ça ! Pour l’extérieur vous me virez le toboggan et la balançoire.

Et le lendemain, je recevais un étrange coup de fil émanant d’une personne se réclamant des services du cadastre, me demandant si j’étais locataire ou propriétaire de ce fameux pavillon.

– Je serais bientôt propriétaire, je viens de signer la promesse de vente…
– Je suppose que vous possédez donc un acte notarié pouvant le certifier ?
– Evidement ! (elle m’énerve cette bonne femme)
– Pouvez-vous me communiquer le nom du vendeur et celui du notaire.?
– Je ne suis pas chez moi, je peux vous rappeler.
– Non, c’est moi qui vous rapperais, à quelle heure ce sera possible ?
– Ben demain, je photographierais l’acte sur mon téléphone…

Ce n’est qu’à postériori que cet appel m’a paru suspect… Et tout ça c’était il y a quinze jours.

Fin du flashback

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Mercredi 23 juillet 2025 3 23 /07 /Juil /2025 17:55

Martinov 30 – L’église de Sainte Pétassouille – 11- Madame la baronne reçoit
zmaid2

– Bon les enfants, ce fut une excellente soirée et vous avez le droit de féliciter notre soumise de la semaine. Proclame la Baronne
– Clap, clap, clap
– Je vous souhaite une bonne fin de nuit, je vais rester un moment avec Sara et Erika. Soyez discret en sortant.

Tout le monde se congratule. La baronne referme la porte après le départ de tout ce petit monde.

– Alors ma salope, ça t’a plus !
– C’était une expérience, j’avais quelques fantasmes comme ça, mais je ne pensais pas les concrétiser ce soir ! Répond Erika
– Très bien ! Et maintenant on va jouer cartes sur table. Je ne sais pas comment tu t’appelles pour de vrai mais ce n’est surement pas Erika ! Erika n’existe pas ! En fait tu es une copine de cette Jodie Machin-truc qui vient de Paris pour nous emmerder. J’ai bon ?
– Ben…
– Ben quoi ?
– Ben oui !
– Et tu cherches quoi ?
– En fait je suis historienne, j’aime bien faire des reportages sur les petits mystères autour des monuments historiques, des églises…
– Mais encore ?
– Je me suis laisser dire qu’il y aurait une pièce secrète entre ce local et le sous-sol de l’église…
– Encore cette fable ! Ecoute ma grande, j’en ai marre qu’on vienne fouiner dans mes affaires, alors on va faire simple. Tu vas aller faire dodo, demain je te veux ici avec la mère Jodie à 15 heures. Apporte des outils, je veux que vous repartiez avec un résultat.

Samedi 26 avril

Valentine (alias Erika) a très mal dormi, revivant en boucle les évènements de la nuit. Mais elle a mis le réveil de son téléphone à sonner à 8 heures ne voulant pour rien au monde rater l’occasion d’annoncer ce retournement de situation à Jodie et à Béatrice

– Ben dis-donc, poches sous les yeux, yeux cernés… tu as eu une nuit agitée ? Se gausse Jodie.
– Si vous saviez ?
– C’est racontable ?
– J’en sais trop rien, mais attendez-vous à un choc, j’ai négocié hier soir avec cette baronne que je ne connaissais pas…
– Hein ?
– Et même qu’on a rendez-vous à 15 heures devant sa porte blindée, elle m’a dit qu’on pouvait apporter des outils pour vérifier s’il y a une pièce secrète.
– C’est vrai, ça, tu ne nous mènes pas en bateau ?
– T’as qu’à pas me croire !
– Mais comment tu as fait ?
– Un concours de circonstances, je suis sortie acheter des clopes et il avait du monde devant la porte blindée. Je me suis pointée comme une fleur et ils m’ont pris pour une autre. (enfin c’est ce que j’ai cru)
– Et alors ?
– Alors je suis rentrée dans ce local, en fait c’est un local pour sado-maso, ils appellent ça un donjon.
– Et t’as fait quoi, tu t’es rincé l’œil ?
– Je préfère ne pas rentrer dans les détails.
– Cachotière !
– Bon écoutez les filles, c’est inespéré, puisqu’on peut apporter des outils, je vais faire un saut à Dijon acheter une caméra serpent, une perceuse et de l’enduit…

15 heures

La baronne est à l’heure.

– Bonjour ! Ah, je ne connais pas mademoiselle…
– Béatrice Clerc-Fontaine, chercheuse indépendance, Madame Keller m’a sollicité au cas où un passage secret serait inséré dans votre cloison mitoyenne.
– Enchantée, vous êtes charmante. Je vais ouvrir, je suppose qu’Erika vous a informé de ce que vous allez découvrir ?
– Erika ?
– Ah, c’est vrai je ne connais pas ton vrai prénom
– Valentine ! Oui, il sont au courant.

C’est peu dire que Jodie est subjuguée par le lieu, Pas Béatrice qui a eu déjà l’occasion de visiter quelques donjons privés…

– Je vous laisse opérer ! leur dit la baronne

Béatrice commence à tripoter le mur avec les mains sans rien déceler. Elle le passe ensuite au détecteur… qui ne détecte rien.

– Alors là, ça devient bizarre ! Je peux faire un trou, un tout petit trou, je reboucherai après, j’ai apporté du silicone.
– Trouez, ma chère, trouez.

Un petit coup de perceuse. Béatrice n’est pas trop bricoleuse mais parvient à faire un joli petit trou. Il n’y a plus qu’à y introduire la caméra serpent.

Moment de suspense !

Puis moment de déception, la caméra renvoie l’image du sous-sol de l’église. Les deux locaux sont donc directement mitoyens sans local intermédiaire, et par conséquent il n’y a pas de passage secret et pas de trésor non plus.

– Eh bien voilà, c’est fini ! Je rebouche et on vous laisse !
– On va s’en aller, merci de nous avoir permis d’entrer ici.
– Que voulez-vous, ça commençait à m’énerver, il fallait percer l’abcès… Je suppose que vous allez écrire un rapport, évidemment je vous demande d’être discrète, il vous suffira de dire que Madame la Baronne vous a autorisé à faire des vérifications et sans rentrer dans les détails.
– Cela va de soi.

On se quitte, mais au dernier moment…

– Béatrice ! Je peux vous appeler Béatrice.
– Comme vous voulez !
– Si vous pouviez rester cinq minutes, puisque vous êtes chercheuse indépendante, j’ai un petit truc à vous demander.
– O.K, les filles, vous m’attendez qu’on se dise aurevoir.
– On va se dire aurevoir ici, j’ai vraiment hâte de rentrer.
– Alors, salut les filles. Jodie je t’enverrais la facture, ravie de vous avoir rencontrées toutes les deux.

Bisous, bisous.

– T’as une façon de me regarder ! Lui dit la Baronne après le départ des deux autres femmes. Oh pardon, je vous ai tutoyé.
– Pas grave !
– Ça ne répond pas à la question.
– Ah ? Parce que c’était une question ?
– Oui !
– Eh bien, je trouve que vous avez un visage intéressant.
– Et éventuellement ce visage intéressant, tu aimerais l’embrasser ?
– Pourquoi pas ? Ce serait avec grand plaisir !
– T’as le temps de venir chez moi ?
– Tentatrice !
– Alors on y va !

Sur place la baronne invite Béatrice à s’assoir au salon, celle-ci ne comprend pas trop ce contretemps persuadée qu’elle était que son hôtesse allait lui sauter dessus.

– Un thé peut-être ?
– Oui à moins que tu ais du café.
– Ça marche ! Sara viens nous voir !

Elle arrive…

– Un thé au jasmin pour moi et un café pour cette charmante personne.! Qu’en penses-tu Béatrice de ma soubrette, elle est mignonne, non ?
– Très mignonne !
– Elle est très coquine, elle suce des bites, des chattes, des trous du cul… une vrai putain, n’est-ce pas Sara.
– Bien sûr madame !
– Sara, montre ton cul a notre invitée.
– Avec plaisir, madame ! Répond l’intéressée en dévoilant son joli joufflu qu’aucune culotte ne cache et que Béa est invité à caresser.

Sara part en cuisine, et la baronne ne fait toujours aucun geste d’approche en direction de Béatrice, non elle parle de ses ancêtres avec forces anecdotes. Notre belle chimiste fait semblant de s’intéresser à tout ça mais finit par se demander ce qu’elle fabrique ici.

Maintenant les tasses sont vides.

– Je croyais que tu voulais m’embrasser ? Minaude la baronne.

Enfin !

Béatrice ne répond pas, mais se lève, les visages se rapprochent, les bouches se collent, le baiser est profond, passionné… et baveux.

– Hum tu embrasses trop bien ! Et si nous nous mettions à l’aise ? Suggère la baronne.
– Bien sûr !
– Viens me défaire mon chemisier !

Vous pensez bien que Béatrice ne va pas bouder une telle proposition, elle déboutonne le vêtement, laissant apparaître un joli soutien-gorge en dentelle violette. Alors elle plote.

– Dégrafe-le !
– J’allais le faire… Quelle belle poitrine !

Béa a maintenant accès au gros tétons de la baronne, elle les titille un peu de ses doigts avant de les prendre en bouche et de le sucer avec gourmandise.

– C’est bon, hein ?
– J’adore !
– Enlève-moi le bas, je vais t’offrir ma chatte. Mais avant je veux te voir nue.

Pas de problèmes, les deux coquines se retrouvent à poil et se caressent en tous sens.

Beatrice se baisse afin d’avoir accès au sexe de sa partenaire, mais celle-ci, facétieuse se retourne.

– Et si tu goûtais à mon cul ?

Pas de problème pour Béatrice qui aime prédiquer cette caresse intime. Ses mains écartent les globes et sa langue s’en va fureter sur l’anus brun de la baronne…

– Hum ! Quel goût exquis !
– Ça ne sent pas un peu fort ?
– Ça ne me dérange pas !
– Coquine ! Tu n’aurais pas des tendances un peu scato ?

La question est gênante et Béatrice ne répond pas.

– Tu peux me répondre, je n’ai pas de tabous ! Insiste la baronne.
– Disons que ça m’est arrivée d’en faire dans des moments de grande excitation.
– Et là, maintenant tu es très excitée ?
– Oui !
– Mets moi un doigt dans le cul et remue le bien.

Béatrice mouille son index et l’introduit dans le trou du cul la baronne.

– Tu sens quelque chose ? demande cette dernière.
– Euh, oui !
– Alors ressors ton doigt et montre-le-moi… Hum on dirait qu’il n’est pas sorti bien propre.
– Hi, hi !
– Suce ton doigt, je t’offre ma merde, c’est un beau cadeau, non ?

Dans un état second quasi extatique, Béatrice lèche son doigt.

– Alors elle est bonne ma merde ?
– Délicieuse !
– Tu voudrais qu’on aille plus loin ?
– Pas trop loin quand même…
– Ne bouges pas, je reviens vite.

La baronne revient avec un joli gode très réaliste qu’elle recouvre d’un préservatif.

– Tiens, fous-le-moi dans le cul et fais-le bouger !

Béatrice pilonne ainsi la baronne pendant quelques minutes faisant miauler de plaisir cette dernière.

– Qu’est-ce que c’est bon de se faire enculer ! Tu aimes ça aussi, toi ?
– Oui, quand c’est bien fait !
– On fait une belle paire de salopes toutes les deux ! Allez retire-le.

Béatrice retire le gode légèrement pollué par cette introduction, et ne sait pas trop quoi en faire.

– Lèche-le, régale-toi !

Et encore une fois Béatrice s’acquitte de cette tâche en un prenant un plaisir trouble.

– On dirait que ça te fait mouiller de faire ça ! Remarque la baronne.
– Des fois faut pas chercher à comprendre.
– T’as raison, je vais m’allonger sur le canapé, tu vas venir me bouffer l’abricot…. Ah ce n’est pas très hygiénique après ce que tu viens de faire, il faudrait se rincer la bouche…
– J’y vais c’est où, ta salle de bain ?
– Ne bouge pas, j’ai une idée ! Sara ! Ramène ton cul !
– Madame m’a appelé ! Demande cette dernière.
– Oui tu vas pisser dans la tasse de mon invitée.
– Bien sûr, madame la baronne..

Sara soulève sa jupette sous laquelle elle n’a pas mis de culotte, rapproche la tasse de sa chatte et pisse dedans.

– Je vais goûter d’abord ! Décide la baronne. Humm c’est exquis !
– Je suis content que ma pisse plaise à madame.

La baronne tend la tasse à Béatrice qui en avale le contenu.

– Hum ! Délicieux !
– Si madame en veut encore, c’est possible ! Suggère la soubrette.
– Ma foi, pourquoi pas ! Répond Béa.
– Madame est gourmande mais je vais la satisfaire. Approchez donc votre bouche de ma petite chatte, on va faire ça en direct.

Sara s’approche de façon à mettre en contact son sexe avec la bouche de Béa, puis elle se lâche.

Du coup voici une bouche parfaitement rincée. Et cette fois la baronne s’affale pour de bon sur le canapé en écartant les cuisses. Béatrice n’a plus qu’à venir butiner cette chatte offerte et gluante de mouille, tandis que ses doigts viennent titiller ses gros tétons.

Martinov3011
A ce régime, la baronne ne résiste pas longtemps et se met à haleter. Béatrice enroule le clitoris de sa langue lui donnant le coup de grâce.

– Eh bé ! Tu es une super bouffeuse de chatte, toi !
– On fait ce qu’on peut ! Tu t’occupes un peu de moi, maintenant ?
– C’est la moindre des choses.

On permute les positions, c’est maintenant la baronne qui lèche mais avec un petit plus, Ce petit plus c’est son doigt qui s’est faufilé dans l’anus et qui n’en finit pas de bouger.

Cinq minutes plus tard, Béatrice éclatait son plaisir dans un geyser de mouille.

Moment calme, tendres bisous, cigarette puis vient cette demande insolite de la part de la baronne :

– J’aimerais que tu me fasses cadeau de ta petite culotte, ça me fera un souvenir.
– Si tu veux, je peux même te la dédicacer !

Un peu plus tôt…

Le hasard faisant parfois de curieuses choses, Antonio et Mattéo ont à leur grande surprise vu Jodie et Valentine sortir du local blindé.

– Merde, ça veut dire qu’ils ont trouvé le trésor ! Rouspète Mattéo
– Mais il est où, elles n’ont rien dans les mains !
– On n’a plus rien à perdre, on va leur demander.

Il s’approche, provoquant l’ire de Jodie.

– Vous êtes encore là vous deux, vous n’avez rien d’autre à foutre ?*
– Alors vous l’avez trouvé ce trésor ?
– Bien sûr des lingots d’or en pagaille, on a demandé à une camionnette de venir les prendre en charge.
– Ah ? Ah bon !

Ils s’éloignent de quelques pas et Mattéo chuchote à l’oreille de Mattéo.

On va attendre la camionnette, peut-être qu’on pourra subtiliser quelque chose pendant qu’ils la chargeront…

Et l’histoire ne dit pas combien de temps ils ont attendus…

Fin

Post-Scriptum. Ah, j’en vois certains qui protestent du fait que le professeur Martinov ne participe que de très loin à cet épisode. Rassurez-vous dans le prochain récit il sera là et bien là !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Mercredi 23 juillet 2025 3 23 /07 /Juil /2025 17:50

Martinov 30 – L’église de Sainte Pétassouille – 10 – Le donjon de la baronne
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Vendredi 25 avril.

– Non, non ! Explique le maire ! L’autrefois je vous ai accordé l’autorisation parce qu’il s’agissait d’une porte blindée qui ne faisait pas vraiment partie de l’église, mais là si on vous voit avec un serrurier tripoter l’entrée principale, je vais me faire allumer par l’opposition municipale. Et ce n’est pas la peine de me montrer vos nichons, sur ce coup je serais inflexible.

Dépitée, Jodie téléphone à la préfecture, après avoir raconté son histoire à quatre interlocuteurs différents et avoir supporté un temps d’attente interminable, un peigne cul lui répond.

– Monsieur le préfet ne peut accéder à votre demande, il est néanmoins disposé à motiver son refus auprès de votre ministère.
– Et là tout de suite, vous ne pouvez pas motiver ?
– Non, Madame, aurevoir, Madame !

« Bon c’est foutu, je n’en mourrais pas, sauf que s’il y vraiment un trésor, il va me passer sous le nez ! »

– On considère que ma mission est terminée, alors ? Demande Béatrice.
– On laisse passer la journée, on ne sait jamais, l’esprit d’escalier fera peut-être changer le maire d’avis… Et toi, Valentine ?
– Je vais faire comme vous, je partirais demain matin

Matteo et Augusto en ont marre. Il se sont pointés devant l’église fermée et tente d’obtenir des renseignements auprès de quelques paroissiennes qui tentent en vain d’y rentrer… Mais personne ne semble savoir ce qui se passe.

– On ne peut pas entrer dans l’église ! On ne peut pas passer par derrière ! On fait quoi ? On se barre ? Se désole Augusto.
– Et cet Igor qui devait nous rappeler, il a mon numéro, mais je n’ai pas le sien…
– On n’est plus un jour près, mais j’y crois plus trop à cette affaire.

Les trois femmes dinent ensemble. L’ambiance n’est pas vraiment à la fête, ce n’est pas toujours facile de digérer un échec, cela vaut surtout pour Jodie et Valentine. Béatrice pour sa part s’en fout un peu, elle n’a aucun intérêt personnel dans cette affaire et n’est là que pour remplir son contrat.

Chacune monte ensuite dans sa chambre…

Vers 22 heures, Valentine se rend compte qu’elle n’a plus de cigarettes. Elle descend donc et profite de la fraicheur de cette belle nuit…

Pour se rendre au café-tabac il faut passer derrière l’église. Et là elle aperçoit devant la porte blindée un petit groupe de sept ou huit personnes plutôt bien habillées… Et dans ce groupe, elle reconnait Igor.

« Mais qu’est-ce qu’ils foutent ? Ah on dirait qu’ils attendent quelqu’un pour rentrer ! Mais ils vont faire quoi là-dedans ? C’est peut-être une secte ou un groupuscule de je sais pas quoi ? Il y a même un chien… Je fais quoi, je préviens les collègues ? »

Elle n’arrive pas à se décider, et décide de jouer aux connes. Elle s’approche du groupe et gratifie les gens d’un grand bonjour…

Igor qui est aux côtés de la baronne lui souffle à l’oreille.

– C’est une copine de l’emmerdeuse de Paris, faites gaffe !
– O.K, on va bien s’amuser.

La baronne s’approche de Valentine :

– Ah ! Vous êtes Erika, je suppose ?

« Elle me prend pour une autre, jouons le jeu… »

– Eh oui !
– Je me demandais si vous alliez venir, je n’ai pas reçu de réponse à mon message.
– Ah ? je ne l’ai pas reçu.
– Pas grave ! On attend Gaby et on rentre… Ah la voici.

Et Valentine se retrouve à l’intérieur d’un petit donjon ! Avec tout ce qu’il faut, deux croix de St André, des chaines, et des étagères remplies d’une petite collection d’objets utilisés dans les séances sado-maso.

Les participants ne perdent pas de temps, certains se changent, allons-y pour le cuir et le latex… certains s’assoient sur des sièges réservés aux spectateurs. Igor se revêt d’un masque noir d’un ridicule achevé et la baronne un moment nue se revêt d’une guêpière laissant les seins et la chatte découverts…

Valentine se demande quoi faire, s’échapper, mais la porte blindée a été refermée de l’intérieur… Prétexter un malaise…

– Tu ne vas pas rester habillée ! Lui dit la baronne.
– C’est que je n’ai rien apporté…
– Apporté quoi ? Tu n’as besoin de rien, mets-toi à poil et reste comme ça, on va bien s’occuper de toi !

La baronne pensait alors que cette fouineuse paniquerait devant l’ambiance de la salle et réclamerait de pouvoir sortir. Ce qui lui serait refusé dans un premier temps, une situation propre à amuser la petite assemblée. Ensuite viendrait le temps des explications… Puis on la virerait… Une petite diversion amusante avant que la véritable soirée commence.

Sauf que la baronne ne s’attendait vraiment pas à ce que cette importune accepte sans sourciller de se mettre nue devant l’assistance. Son regard d’incompréhension croise celui d’Igor.

– Il nous ont envoyé une soumise pour nous espionner ? Lui chuchote Igor.
– Mais ça ne tient pas debout, voyons, comment aurait-elles su ? On va bien voir comment elle va réagir… Vous deux, passez-lui un collier de chien autour du cou et attachez-moi cette pute sur la croix…

Valentine se laisse attacher docilement.

« Puisque ça ressemble à un club sadomaso, je vais jouer la soumise de service, ça ne pouvait pas mieux tomber… » se dit-elle. Espérons simplement que ce ne soit pas des sauvages !

Martinov3010De sa position elle peut visualiser l’assistance, deux hommes et une femme blonde sont agenouillés, nus et collier de chien autour du cou.
– C’est qui cette nana ? Demande Gisèle, une grande perche brune au visage recouvert d’un loup et dont le seul vêtement est un bustier noir en vinyle qui laisse tout voir.
– Ben c’est Erika ! Répond la baronne
– Oui, mais tu l’as trouvé où ?
– Sur Internet, j’ai trouvé son profil intéressant… elle m’a dit qu’elle aimait bien les petites misères et les humiliations, n’est-ce pas Erika ?
– Oui madame !
– On dit « oui maîtresse », conasse !
– Alors… oui maîtresse.
– Allez on commence ! Regarde ses jolies pinces, je suis sûre qu’elles seront du plus bel effet accrochés à tes tétons de pute.

La baronne accroche les pinces faisant geindre la soumise, mais elle geint encore bien davantage quand une autre paire de pinces vint meurtrir ses grandes lèvres.

– Toi, viens la fouetter ! Dit-elle en s’adressant à Emile, un grand moustachu en caleçon à fleurs.

Emile s’avance et va pour se saisir de la cravache que lui tend la baronne.

– Tu ne vas pas la fouetter en caleçon quand même… tu as la trouille de montrer ta bite ou quoi ?

Vexé, Emile retire son caleçon, puis cravache en main, s’avance vers Valentine qui retient son souffle. Certes elle est maso, mais ça n’empêche pas l’appréhension. Après tout personne ne sait qu’elle est ici et on ne sait jamais ce qui peut arriver.

– Il y a un mot de sécurité, c’est Cactus qu’il faudra répéter deux fois, mais on serait tous très contrariés si tu l’utilisais pour un oui ou pour un non. Lui précise la baronne. Bon alors toi tu la fouettes ou tu attends le jour du débarquement ?

– On aurait peut-être dû la retourner ? Suggère le type.
– Bon tu commences à m’énerver, mets-toi à genoux ! Cédric va te remplacer !

Celui-ci est complétement nu et comme il a un peu joué avec sa bite, il bande comme un mulet de compétition !

Il arme la cravache et vise les cuisses de Valentine qui se contente de grimacer vilainement. Plusieurs coups suivent toujours au même endroit avant qu’il choisisse de viser le ventre.

Valentine supporte toujours, se contentant de pousser de petits cris de douleur… Mais voilà que l’homme lui vise les seins. Ça fait très mal, des larmes se mettent à couler sur le visage de la soumise emportant le rimmel dans la foulée.

Elle serre des dents se demandant si elle doit invoquer le mot de sécurité… La baronne en fine psychologue s’aperçoit de la situation et d’un geste indique au bourreau de lui fouetter le pubis. Il le fait, puis toujours sur l’ordre de la maîtresse de cérémonie range la cravache.

– Faut pas pleurer comme ça, ma bibiche, il t’a fait bobo à ta chachatte, le vilain monsieur. Un peu de salive de chien devrait arranger ça. Vient Moebius, viens lécher la dame !

Le gros labrador beige s’avance en remuant de la queue et se faufile entre les cuisses de Valentine, complétement tétanisée mais acceptant l’acte. On lui a déjà fait subir ce genre de choses dans un club parisien, mais elle a cependant une petite appréhension (ben oui, encore !). On ne sait jamais comment un chien peut réagir même si dans le cas présent il s’agit d’un labrador, une race peu agressive.

Le chien lèche lui procurant une sensation de bien être complétement insoupçonnée.

– Et maintenant c’est toi qui va lécher le chien ! Igor, détache-moi cette morue ! Gisèle (Gisèle est la grande perche brune) et Sara préparez le chien.

Les deux femmes couchent le chien sur le flan et sortent sa bite du fourreau qu’elle lèchent ensuite de conserve.

– Allez suce !

Ce n’est pas un problème pour Valentine qui vient lécher la bite rougeâtre et visqueuse du quadrupède. Elle se demande si on va lui demander de se faire couvrir par le chien. Mais non !

Eh, oui, il ne faut pas rêver, Valentine ne va pas être la seule esclave de la soirée, d’autant qu’on ne l’attendait vraiment pas. Elle est priée de se mettre en position d’attente, agenouillée.

– Emile, debout !

L’esclave se relève de sa position et se présente devant la baronne qui l’accueille d’une bonne paire de gifles.

– Ouvre la bouche, connard ! Lui ordonne-t-elle avant de lui cracher dans la bouche.
– Merci Maîtresse ! balbutie-t-il encore sonné par les gifles.
– Et maintenant tu vas me lécher le cul ! Tu sais que je ne m’essuie jamais avant de venir ici… Alors je veux que tu me fasses un cul tout propre. Allez lèche moi mon cul plein de merde !

Cela ne doit pas être une corvée pour cet esclave qui manifestement prend grand plaisir à lui taquiner le troufignon avec sa langue.

– Votre cul est délicieux, maîtresse.
– Bien sûr qu’il est délicieux. Et maintenant tu vas sucer la bonne bite de Cédric. Regarde comme elle bande bien.
– Oui maîtresse.
– Parce que tu n’es qu’un suceur de bites, c’est bien ça ?
– Oui maîtresse ! J’adore ça !

Cet acte n’a rien d’un corvée pour Emile qui se régale de cette fellation mais qui se demande quelle turpitude est en train de préparer la baronne.

La turpitude est arrivée derrière Emile. Sur un geste de la baronne, Igor s’est approché, bite en avant et après avoir écarté les globes fessiers d’Emile l’encule sans rémission.

– ,Aïe !
– Ta gueule ! Lui répond la baronne, quand on aime les bites on les aime partout. Allez Igor défonce lui le cul !

Emile est aux anges, il souffre de cette sodomie non préparée, mais n’est-il pas là pour souffrir ? Et puis cette bite qu’il a en bouche n’est-elle pas une jolie consolation ?

Cette bite est d’ailleurs si bien sucée qu’elle n’en peut plus et bientôt la bouche d’Emile se remplit du sperme pâteux de Cédric.

– Avale tout ! Connard !
– Glups !

Et pendant ce temps-là, Sara se défoule sur le cul de Gisèle en la gratifiant de violents coups de ceinturon.

– Il suffit, toutes les deux, il faut que je jouisse ! Venez vous occuper de moi ! Leur ordonne la baronne.

Gisele se jette sur les tétons érigés de la maîtresse des lieux, le suçant comme les plus subtiles des friandises; tandis que Sara fait jouer ses doigts, l’un dans le cul, un autre dans la chatte.

– Mieux que ça ton doigt… prend un gode, encule-moi avec.

Sollicité de la sorte, la baronne commence à gémir, son corps se tétanise, elle hurle sa jouissance et enlace Gisèle en lui roulant un patin bien baveux.

– C’est si bon de se sentir salope ! N’est-ce pas les filles ?
– C’est bien vrai, ça ! Approuve Gisèle

Le temps passe vite quand on se livre à ce genre de choses, la séance fut intense. On détache Erika mais en lui intimant l’ordre de s’agenouiller bouche ouverte. Vous aurez bien sûr deviné que la baronne qui n’en pouvait plus de se retenir lâcha son urine dans le gosier d’Erika qui savoura comme il se doit ce précieux breuvage.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Mercredi 23 juillet 2025 3 23 /07 /Juil /2025 17:48

Martinov 30 – L’église de Sainte Pétassouille – 9 – Il était trois coquines
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Igor aurait préféré se rendre seul au local blindé. Si vraiment il y a un trésor de caché il n’a aucune envie de le partager, ni avec Sara, ni avec personne d’autre ni encore moins avec ce Mattéo.

Sur place, il inspecte la cloison qui a été blanchie à la chaux, il la tripote dans tous les sens. En vain ! Il cogne sur le mur ! En vain ! Il donne même de grands coups d’épaule pour en éprouver la solidité, et ne réussit qu’à se faire mal !

– Arrête tes conneries ! Lui dit Sara, c’est juste une cloison.
– Y’a peut-être un passage secret !
– Et si c’est ça, tu crois vraiment que tu vas le trouver ?

« Passage secret mon cul, oui ! S’il y en a un je fais comment pour le trouver ? Faut que demande conseil à ce Mattéo… Et sinon il faudra casser, mais comment faire avaler ça à la baronne ? Il me faut du temps, j’aurais été seul, je me serais fait faire un double de la clé, mais avec cette Sara, impossible, elle est dévouée à sa patronne comme un caniche avec sa maîtresse. »

Ils quittent le local, Sara rentre chez la baronne avec la clé, tandis qu’Igor téléphone à Mattéo.

– Tu t’y connais en passages secrets ?
– Pourquoi cette question ?
– Je suis allé voir de l’autre côté, j’ai rien vu de particulier mais s’il y a un passage secret je ne sais pas comment le découvrir.
– Je n’y connais rien, mais il y une bonne femme sur le coup…
– Ah ? Et tu peux me la présenter !
– Ben non, on s’est engueulé, en fait on ne devrait pas être là…
– Tu peux me la montrer au moins ?
– Elle s’appelle Jodie Keller et elle est descendue à l’hôtel du cerf !
– Tu peux m’en dire un peu plus…

Il raconte ce qu’il sait (mais pas tout)

Mercredi 23 avril

Béatrice, Valentine et Jodie papotent dans la chambre de cette dernière en attendant l’heure de descendre dans la salle de restaurant.

– Allo, Madame Keller, c’est la réception, il y a là un monsieur Igor qui souhaite vous rencontrer, puis-je l’autorise à monter ?
– Certainement pas, je ne connais pas ce monsieur. Qu’est-ce qu’il me veut ?
– Euh attendez… Il me dit qu’il veut vous rencontrer pour vous parler de choses importantes.
– Quelles choses importantes ?
– Ben, je ne sais pas…
– Bizarre ça, je vais descendre.

Jodie demande à Béa et à Valentine de l’accompagner mais à distance.

Poignées de mains protocolaires.

– On peut s’assoir là-bas ! Propose Igor.
– Je vous écoute !
– J’ai appris incidemment que vous vous intéressez au sous-sol de l’église.
– Les nouvelles vont vite…
– Je suppose que vous savez que ces sous-sol sont mitoyens avec une partie privative appartenant à la baronne de Montalenvers.
– Vous en savez des choses…
– Et je me suis laisser dire qu’en fait, les deux locaux ne sont pas directement mitoyens, mais qu’il y aurait entre les deux une petite pièce secrète.

Igor attend une réaction de la part de son interlocutrice, mais ça ne le fait pas.

– Je suis amené, continue-t-il à rendre quelques menus services à madame la baronne et il m’est donc arrivé de devoir me rendre dans ce local.

Et tout d’un coup Jodie qui jusque-là se demandait comment couper court à cette conversation, est soudain intéressée, très intéressée même.

– Et vous en possédez la clé ?
– Non, elle reste en possession de Madame la Baronne.
– Mais vous pourriez l’emprunter ?
– J’ignore où elle la garde !
– Ben vous pourriez lui demandez !
– Elle ne me la confiera pas sans raison.
– J’ai du mal à vous suivre ! Qu’attendez-vous de moi au juste ? S’impatiente Jodie.
– Que vous me donniez des conseils au sujet des passages secrets.
– Mais vous rêvez mon vieux ! Les choses ne se passent pas comme ça ! Je vais vous posez une question simple : avez-vous la possibilité de me faire entrer dans cette pièce ?
– Je vais essayer.
– Ç’est ça essayez et quand vous serez prêts prévenez-moi, je vais vous donner mon numéro, et si vous n’avez rien à ajouter on va en rester là pour ce soir ! Bonsoir monsieur !

Et Igor ne sachant plus ni dire ni faire, s’apprête à quitter les lieux, dubitatif. Et en se retournant il aperçoit Jodie discuter avec deux autres femmes.

– Qui c’est celles-là ?

Jodie rend compte à Béatrice et à Valentine de son entretien.

– Mais qui lui a raconté tout ça ? Demande Béatrice.
– Si je lui avait demandé il ne m’aurait sans doute pas répondu mais il y a fort à parier qu’il s’agit des deux crétins…
– Les deux crétins ?
– Ben oui ! (elle explique) On se boit un petit digestif dans ma chambre ? propose Jodie

En chambre elle commandent trois marcassins (une spécialité locale en fait un cocktail à base de crème de cassis et de marc de bourgogne)

– J’ai lu quelque part que tu avais… on peut se tutoyer ? Demande Valentine à Béatrice
– Pas de souci.
– Donc qu’avec ton patron, vous avez inventé un élixir d’amour…
– Oui, ça été une découverte rocambolesque ! Au départ c’était pour les lapins et on s’est dit avec Martinov qu’on pourrait l’expérimenter sur l’homme, mais on ne voulait pas prendre de risque avec des cobayes, effets secondaires et tout ça… alors on l’a expérimenté sur nous-même, je vous dis pas dans quel état on était, on s’est bien marré !
– Tu m’as l’air plutôt délurée ! Reprend Valentine.
– Je ne suis pas délurée, je suis nature !
– Non mais je veux dire, tu aimes le sexe ?
– Ben dis donc, t’es bien indiscrète, toi !
– Excuse-moi !
– Pas de souci, : Moi aussi j’aime le sexe, mais on peut changer de conversation…
– Oui, parce que sinon dans trois minutes, tu vas me dire que t’es attirée par les femmes.
– Comment tu peux dire ça ?
– A ta façon de me regarder !
– Oh, ben ça alors !
– Et toi Jodie, t’en penses quoi ? Lui lance Béatrice.
– Je ne voudrais choquer personne…
– Je ne me choque pas comme ça !
– Alors on peut lui dire ?
– Oui !
– Alors disons, reprend Jodie, que Valentine et moi, on s’est un peu amusées entre filles.
– Je vois, et là vous auriez aimé faire un trio, J’ai bon ?
– Oh ! Fait semblant de se choquer Jodie
– En fait je ne suis pas contre ! Répond malicieusement Beatrice
– Ben voilà
– On fait comment ? Demande naïvement Valentine.
– On improvise, lui répond Jodie, mais on va se mettre à poil on sera mieux.

Tout le monde se déshabille dans la plus totale décontraction…

Un trio c’est toujours un peu bancal, en fait Jodie et Valentine ont envie de se taper Béatrice, quand a cette dernière elle est davantage attiré par Jodie que par l’historienne. Alors ça va se passer comment ?

Tout le monde commence à s’enlacer en position debout un peu comme dans la sculpture d’Antonio Canova. (Les Trois Grâces)

Béatrice est au centre, chacune des autres femmes lui caressant les nichons, mais elle ne reste pas inactive, ses mains descendant jusqu’aux sexes humides de ses deux partenaires.

Mais un trio qu’il soit lesbien ou non, ne saurait rester debout et ces dames se retrouvent quasi spontanément sur le doux plumard de la chambre d’hôtel de Jodie Keller.

Béatrice est allongée sur le dos, les cuisses légèrement écartées. Elle décide de rester passive, du moins pour le moment, et c’est à qui lui plotera et lui léchera les seins. C’est à qui viendra fureter du côté de sa chatte déjà humide sous l’effet de toutes ces tendres et sensuelles caresses.

Mais voilà que de façon tout à fait incongrue, Valentine se met à frétiller du cul. Une sorte d’appel animal en quelque sorte !

Jodie répond à cet appel en lui flattant le derrière, et puisque tout d’un coup on se s’occupe pus de Béatrice, celle-ci rejoint la fonctionnaire dans son pelotage de fesses et son léchage d’anus.

On finit par s’enlacer, s’embrasser (ben oui ce n’était pas encore fait). Qui a dit qu’il fallait être plus que trois pour faire une mêlée ? Encore un qui n’y connaissait rien.

Toujours est-il que Béatrice se retrouve avec la langue de Valentine sur sa chatte et le sexe de Jodie au-dessus de sa bouche.

Martinov3009
Et c’est qu’elle suce fort bien la Valentine emportant Béatrice dans la jouissance, et l’obligeant à lâcher son action sur Jodie. Mais cet abandon n’est que temporaire, vous pensez bien que Jodie ne souhaite pas lâcher l’affaire et rapidement Béa reprend son travail et envoie la fonctionnaire au ciel.

– Ben, et moi ? Proteste Valentine
– On arrive !

La bouche de Béa sur ses tétons…

– Plus fort sur mes tétons !

La langue de Jodie sur sa chatte, son doigt dans le trou du cul… Valentine ne tarde pas à miauler son plaisir à son tour

Non ce n’est pas terminé, ce petit trio a duré plus d’une heure mais évitons d’être répétitif dans nos descriptions…
,
– Allez, bonne nuit les filles, on réfléchit chacune de notre côté si on peut résoudre le mystère de cette cloison. Leur dit Béatrice en rejoignant sa propre chambre.

Jeudi 24 avril

Le lendemain matin les trois femmes prennent ensemble leur petit déjeuner dans la salle de restaurant de l’hôtel.

– J’ai peut-être une idée, commence Béatrice, il va falloir faire un petit trou dans la cloison, un tout petit trou de la taille d’une pièce de dix centimes d’euros….
– Non, proteste Jodie, on ne peut pas prendre le risque de détériorer ce qu’il peut y avoir derrière. Et puis d’abord on ne verra pas grand-chose…
– Si parce qu’on va acheter une caméra serpent, l’introduire dans le trou…
– Non ! C’est un véto ! Je ne prends pas ce risque-là ! Réitère fermement Jodie.
– On va creuser le plus haut possible, ils n’ont quand même pas planqué une œuvre d’art jusqu’au plafond.
– Pourquoi pas ? Une tapisserie ça peut s’accrocher jusqu’au plafond.
– Un petit trou dans une tapisserie, ça se répare !
– Ça ne va pas, non ?
– Alors tant pis, si vous ne voulez pas de mon idée, je me demande en quoi je peux continuer à vous aider ?
– Est-ce qu’on est vraiment sûre qu’il n’y a pas de passage secret ?
– Non, on peut rien affirmer…
– Alors il faut être sûre. On y retourne !

Et une demi-heure plus tard, Béatrice et Jodie étaient de nouveau devant la cloison. Valentine, elle, s’en était allé dans la sacristie dans l’espoir de trouver « quelque chose »

Béatrice se mit à toucher la cloison en tous sens, persuadée qu’elle ne trouverait rien, mais il lui fallait bien honorer son contrat !

Et soudain, une voix…

– Oh, Eh, il y a quelqu’un là-dedans ?
– Oui y’a nous ! Répond Jodie.
– Et vous faites quoi ?
– Si on vous demande…
– Je suis l’abbé Chamel, je vais remplacer le curé Bombillac pendant sa convalescence..

– Manquait plus que ça ! Soupire Jodie, on va monter le voir…

L’abbé Chamel est un jeune homme récemment sorti du séminaire et ordonné, cheveux courts, lunettes de myope, visage disgracieux.

Jodie ne le laisse pas parler.

– Quelques temps après son affectation, le curé Bombillac a constaté une anomalie à propos d’une dalle qui en fait dissimulait une entrée vers une pièce en sous-sol… je passe les détails mais il a adressé un mémoire à je ne sais plus qui, qui a fini par atterrir dans les bureaux de la préservation du patrimoine au ministère de la culture. Je suis donc là à ce titre.
– Je ne comprends pas…
– Ce n’est pas grave, ce que nous vous demandons, c’est de nous laisser faire notre travail.
– Mais il y a quoi en bas ?
– Rien.
– Mais s’il n’y a rien vous faites quoi ?
– Bon, écoutez on ne vous doit aucune explication.

Puis Jodie se tourne discrètement vers Béatrice et lui chuchote :

– File à la sacristie et dit à Valentine d’en sortir…
– Mais c’est où ?
– A droite au fond.

Béatrice continua son manège. Pas facile de faire semblant de chercher ! Alors pour donner le change elle expliqua à Jodie qu’elle avait senti comme une espèce de vibration, ce qui pouvait être la manifestation d’un système secret refusant de s’enclencher.

– Il me faudrait un stéthoscope, on peut trouver ça ici ?
– Je crains qu’il faille aller à Dijon !
– Et bien, allons à Dijon !

En revenant avec leur achat, Béatrice proposa de reprendre les investigations après une pause déjeuner.

– Excuse-moi, mais comme on est peut-être proche du but, je préférais qu’on déjeune après.

Et en arrivant devant la porte de l’église, il la trouvèrent verrouillée.

– Bizarre ! S’exclama Jodie en recherchant le double de la clé dans son sac à main.

Mais la clé ne rentre même pas dans la serrure !

– Ce con d’abbé a fait changer la serrure ! On fait quoi maintenant ? S’agace Jodie.
– Oh regarde… des bouts de scotch… il y avait un papier d’accroché, il a été arraché !

Les deux femmes regardent si ce papier arraché ne trainerait pas au sol, mais ne distinguent rien.

– Qui a pu enlever ce papelard ? S’interroge Jodie
– Des gamins, je suppose…
– Il ne doit pas être bien loin, ce curé !
– Oui mais ça veut dire où ?
– Il va finir par revenir, il a dû aller bouffer !
– On fait quoi ?
– On va déjeuner, on reviendra après.
– Et Valentine, elle est où ?
– Je l’appelle !

En fait Valentine s’était fait virer de l’église par l’abbé Chanel et se trouvait pour le moment à la bibliothèque municipale où elle désespérait de trouver quelque chose d’intéressant.

– On va bouffer « Aux deux hirondelles »; tu nous rejoins ?

Béatrice et Jodie l’informent du changement de la serrure de l’église.

– On est donc coincées ?
– Pas forcément, ce type outrepasse ses droits, je peux demander le concours du maire ou de la préfecture pour faire intervenait un serrurier… mais quelle perte de temps ! Explique Jodie.
– On peut faire autrement, il a un supérieur hiérarchique, cet abbé, non ? Intervient Valentine.
– Un évêque, je suppose ?
– C’est ça, un évêque…

Et la voilà qui cherche sur son portable le numéro de l’évêché de Dijon.

– O.K, vous me laissez faire, les filles ?

Elles le laissent faire.

– Allo répond une voix féminie nasillarde
– Allo, je voudrais parler à Monsieur l’évêque
– Vous voulez dire Monseigneur l’évêque ?
– Oui, bien sûr.
– Je peux vous demander à quel sujet ?
– Je suis paroissienne de l’église de Sainte Pétassouille et alors que je souhaitais aller m’y recueillir, j’ai trouvé porte close et…
– Je vous passe Monseigneur l’évêque

Elle lui répète tout ça…

– Voyons… vous savez je suppose, que le père Bombillac a été accidenté…
– Oui.
– Vous n’ignorez pas que nous manquons cruellement de prêtres. Il nous fallait parer au plus pressé en sachant qu’on ne peut pas tout faire. Nous avons donc demandé à l’abbé Chamel d’assurer une messe non pas ce dimanche mais le suivant, quant aux confessions elles auront lieu le vendredi… le vendredi 2 mai à moins bien sûr que le père Bombillac soit rétabli d’ici là.
– Mais pourquoi avoir fermé l’église ?
– On allait pas la laisser ouverte !
– On peut le joindre comment, l’abbé Chamel.
– Il serait pour le moins cavalier de vous fournir son numéro de portable, rendez-vous compte, si tout le monde faisait ça…

Valentine est un moment désarçonnée avant de trouver la parade.

– Je vais vous passez une personne qui doit absolument pénétrer dans l’église pour des motifs professionnel.
– Mais…
– Allo, je suis Jodie Keller, je travaille au ministère de la culture dans le département de la protection du patrimoine, et j’ai été missionnée pour étudier cette église…

Un silence, l’évêque semble réfléchir.

– Eh bien vous expliquerez à votre hiérarchie que des évènements inattendus vous ont empêché de mener à bien votre mission.
– Ecoutez…
– Mettons fin à cette conversation, s’il vous plait !

Et il raccroche !

– Merde, merde et mille fois merde. On fait quoi maintenant !
– J’en ai ma claque ! Y’a une piscine dans le coin ?
– Oui, j’ai vu un panneau près de l’école !
– Alors cette après-midi, je barbotte, demain je tenterai le coup auprès du maire et du préfet et si ça ne marche pas, je rentre au bercail ! Répond Jodie

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Mercredi 23 juillet 2025 3 23 /07 /Juil /2025 17:43

Martinov 30 – L’église de Sainte Pétassouille – 8 – Les pérégrinations d’Igor

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Valentine a photographié l’intégralité des vitraux de l’édifice religieux. Leur signification est souvent obscure mais témoigne à chaque fois de la place prépondérante que l’Eglise occupait en ces temps troublés.

– Je vais examiner minutieusement les photos dans ma chambre… Indique-t-elle
– Vous êtes à quel hôtel ? Lui demande Béatrice
– L’hôtel du Cerf !
– Comme nous…
– Il commence à faire frisquet, j’ai laissé un gilet dans ma bagnole, je vais le récupérer en passant.

Et voilà qu’elle pousse un cri strident :

– Qu’est-ce qu’elle nous fait l’historienne ? Se gausse Béatrice.

Valentine revient livide en tenant un papelard dans ses mains.

– Lisez ! Balbutie-t-elle.

On ne veut plus voir ta sale gueule ici ! Si tu ne fous pas le camp, on crame ta bagnole. »

– Mais qui peut m’en vouloir à ce point ? Je ne connais personne ici…
– Ben si vous connaissez le curé ! Rétorque Jodie.
– Je n’y avait pas pensé ! Ah, l’ordure !
– Mais vous lui avez fait quoi pour qu’il vous déteste autant ?
– On a juste eu quelques mots, mais là ça prend de ces proportions !

On conseille à Valentine de déposer plainte à la gendarmerie.

– Et vous soupçonnez qui ? Demande le brigadier.
– Le curé !
– Il recommence ses conneries, on a déjà eu quelques plaintes, une fois il a giflé une paroissienne et une autre fois il a agressé le boucher parce qu’il vendait de la viande le jour du vendredi saint. Il a un grain !

Et Valentine en profite pour raconter l’épisode de l’enfermement, Béatrice et Jodie se proposent comme témoins.

– Oh, mais ça devient grave, tout ça, séquestration, menaces physiques, violation de véhicule… Gendron, trouvez-moi le curé et amenez-le-moi ici. Mesdames laissez-moi vos numéros de portable je vous tiendrais au courant…

Sauf que le curé est nulle part. Mais la gendarmerie possède son numéro de portable.

– Allo, c’est le père Bombillac ?
– Non, c’est l’hôpital Dijon-Bourgogne. Le père Bombillac a eu un accident sur la route de Dijon, il est actuellement inconscient mais son pronostic vital n’est pas engagé. On ne savait pas trop qui prévenir…
– On va s’en occuper. Il va reprendre conscience quand ?
– Je ne peux pas vous dire exactement, je pense que c’est l’affaire de quelques jours.
– Ecoutez, je suis le brigadier de gendarmerie Dupré, je vais vous demander de me prévenir dès qu’il pourra parler… et ne le laissez sortir sous aucun prétexte. On le soupçonne d’avoir commis quelques grosses bêtises.

De leurs côtés, Mattéo et Augusto tentent d’échafauder un plan qui tienne la route…

– On se complique bien la vie ! Résume Augusto. Il suffit de persuader la baronne qu’il y a un trésor de planqué derrière sa cloison et de lui proposer de partager… ensuite on pourra toujours la doubler !
– Je me vois mal revenir vers elle après l’avoir laissé en plan avec sa pelouse ! Objecte Mattéo.
– Mais si justement, les femmes aiment les mecs qui osent tout !
– Pas convaincu !
– Essaie, tu verras bien… qu’est-ce que tu risques ?

Imaginez la stupéfaction de Sara quand elle aperçoit sur le petit écran de contrôle le visage de Mattéo.

– C’est pourquoi ?
– J’ai des choses très importantes à communiquer à Madame la baronne…
– Un instant !

– Madame, il y a Mattéo à la grille !
– De quoi ? Je croyais qu’Igor lui avait foutu la trouille… Et puis qu’est-ce qu’il vient foutre ici ? Il est gonflé tout de même ! Fais-le rentrer, je vais me débrouiller… Où est rangé mon flingue ?
– Dans le guéridon de l’entrée, Madame, mais il n’est pas chargé.
– On s’en tape ! Fais-le patienter dans le salon, je vais téléphoner à Igor !

– Igor ! Tu es libre aujourd’hui ?
– Yes !
– Apparemment, tu n’as pas été assez violent avec Mattéo l’autre fois, il est chez moi en ce moment !
– Ah ben merde alors !
– Alors tu te pointes devant chez moi, t’attends qu’il sorte, tu le files, tu le coinces, et cette fois tu fais en sorte qu’il dégage du coin ! Tu peux être là dans combien de temps ?
– En bagnole, cinq minutes, même pas.

La baronne laisse passer cinq minutes avant de rejoindre Mattéo au salon. Elle refuse la main que lui tend ce dernier.

– J’ai très peu de temps, soyez bref !
– Je ne suis pas jardinier…
– Oui, ben ça, ce n’était pas bien difficile à deviner, et c’est pour me dire ça que vous venez me déranger ?
– Non c’est plus compliqué…
– Je m’attends au pire.
– Madame il y a un trésor caché derrière la cloison arrière de votre local blindé.
– Sans blague ?
– Oui, quand je suis venu vous voir l’autre jour, je voulais trouver un moyen de pénétrer dans ce local, mais ça n’a pas marché. Alors je vous propose de jouer cartes sur table, on met à jour ce trésor et on se le partage.
– C’est tout ?
– Ben oui, ça a le mérite d’être simple !
– Dégage !
– Pardon !
– J’ai dit : dégage ! Tu comprends le français.
– On ne peut pas discuter !
– Dégage, triple con !

Et la queue basse Mattéo quitte les lieux.

« C’est bien les idées à Augusto, ça ! Comme si ça pouvait marcher ? » Grogne-t-il

Igor est au volant de sa voiture, il est prêt à toutes les éventualités, que sa cible soit à pied ou en voiture.

Mattéo sort, il est à pied et s’arrête au bout de 50 mètres afin de faire part par téléphone à Augusto de l’échec de sa tentative.

Dans ce quartier résidentiel, il y a peu de passage. Igor laisse sa proie avancer de 200 mètres puis le rattrape brusquement et l’agrippe par le colbac.

– Alors Ducon, tu croyais vraiment que mon avertissement c’était du bluff ?
– Eh ! Oh ! Lâchez-moi, vous vous trompez de personne !

Pas de violence physique lui avait dit la baronne, il trouve ça dommage mais il est bien obligé de faire avec.

– Je vais te dire un truc : Tu as une heure pour faire tes valises et foutre le camp d’ici, sinon je te casse la gueule !
– Mais vous vous trompez de personne, je vous dit !
– Pas du tout, ici, on n’aime pas les fouineurs, tu crois qu’on t’as pas vu faire le con derrière l’église.
– C’est ça qu’on me reproche, de m’intéresser à l’église ?
– Parfaitement ! Ce local appartient à la baronne de Montalenvers et tu n’as rien à y foutre.
– C’est bien dommage parce qu’il y a un trésor derrière la cloison et que cette baronne ne veut même pas le partager.

Imaginez la tête d’Igor qui ne s’attendait pas à cette « révélation » !

– Un trésor ? Et tu tiens ça d’où ?
– C’est une histoire assez compliqué ! Si vous voulez on peut en parler entre gens raisonnables.
– O.K. on va faire ça au bistrot !

Et au bistrot Mattéo lui raconte toute l’affaire, du moins ce qu’il en sait en tentant d’éveiller la curiosité (ou plutôt la convoitise) de son interlocuteur.

– Et on fait comment pour passer derrière la cloison ?
– Il doit y avoir un passage secret !
– Hum ! Répond Igor. Je suis censé vous avoir foutu la trouille, restez discret et ne tentez plus d’approcher la baronne ni sa bonne. Je vais essayer de creuser l’affaire !. Je vous tiendrais au courant, passez-moi votre numéro de portable.

Igor revient après de la baronne et lui livre une version fantaisiste de son altercation avec Mattéo.

– Avec la trouille que je lui ai foutu, s’il ne décampe pas d’ici, je n’appelle plus Igor !
– C’est bien mon grand. Pour la récompense, je ne suis pas trop en forme, il m’a énervé l’autre con. Mais je peux demander à Sara de te faire une pipe.
– Volontiers ! Ah, le mec il a essayé de me baratiner, il m’a parlé d’un trésor qui serait planqué derrière la cloison.
– N’importe quoi !
– Il y a quoi derrière la cloison ?
– J’en sais rien, le sous-sol de l’église, je suppose ?
– Ça ne nous couterais rien de vérifier !
– Vérifier quoi ? Et tu vas faire comment ?
– Je sais pas.
– Laisse tomber !
– Prêtez-moi la clé, je vais juste jeter un coup d’œil.
– T’es chiant. Sara ! Tu es où Sara ?
– J’arrive, madame.
– Sara, tu vas faire une bonne pipe à Igor, ensuite tu l’accompagneras au local derrière l’église, il veut juste regarder un truc.
– Bien Madame.

Sara conduit Igor dans la cuisine…

– Sors ta bite que je te la suce ! Lui dit Sara
– On ne va pas dans la petite pièce ? demande Igor.
– Madame a dit « juste une pipe »
– Et si je te donne un petit billet ?
– On peut faire d’autres choses, mais on ira pas dans la petite pièce…
– C’est quoi « autre chose » ?
– Ça dépend combien tu me donnes.

Igor sort 20 euros de son portefeuille.

– C’est quoi ça ? C’est un pourboire ? C’est tout ce que tu me proposes ?
– T’es vraiment une pute !
– De temps en temps ! Juste de temps en temps.

Igor ouvre de nouveau son portefeuille et en extrait 30 euros supplémentaires.

– Et avec ça, tu me fais quoi ?
– Tu peux me lécher la chatte ou alors je peux te donner une bonne fessée…
– Et si je veux t’enculer !
– C’est plus cher !
– Alors allons-y pour la fessée.
– Alors je vais m’assoir, tu baisses ton futal et tu te couches sur mes cuisses.

Sara s’est emparée d’une spatule en bois ajourée.

– C’est quoi ça ? demande Igor
– C’est pour te taper le cul.
– Tu ne peux pas le faire à mains nues.
– Tu ne crois pas que je vais m’abimer mes petites mimines délicates, alors maintenant silence !

Et Sara s’allume une cigarette et se met à frapper sans compter.

– J’arrêterai quand j’aurais fini ma clope !

Autant dire qu’elle ne se presse pas et que pendant ce temps les coups dégringolent sur le fessier d’Igor comme la chute des feuilles en automne.

Martinov3008La clope étant désormais fumée et le mégot écrasé, Sara stoppe sa flagellation.

– Allez debout et ne remonte pas ton pantalon,, c’est le moment de la pipe !
– Je ne peux pas voit tes nichons ?
– Fallait le dire avant, oh mais c’est qu’il bande bien le citoyen !

Et Sara commence par mettre en bouche toute la bite de l’homme, et comme elle n’a pas suivi de stage chez les avaleuses de sabres, elle envoie le membre à l’intérieur de ses joues.

N’ayant pas que ça à faire, elle connait quelques trucs permettant d’abréger la prestation. C’est d’abord un titillage frénétique du gland au-dessus de méat… Mais comme ça ne suffit encore pas, un doigt inquisiteur vient lui visiter l’anus…

– Oh !
– T’aime, ça, hein, enculé ?
– Oui, oui !

Encouragée, elle augmente la cadence, Igor n’en peut plus de se retenir et décharge de longues trainés blanchâtres !

– Eh bien voilà !

A suivre

Par vassilia-x-stories
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