Vendredi 30 août 2024 5 30 /08 /Août /2024 16:24

Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 1- Sierra par Nicolas Solovionni
stamp transblack

Bonjour, c’est de nouveau Ajas Stoffer, capitaine de vaisseau, vaisseau spatial, dois-je préciser, car l’action se passe dans le futur en l’an peut-importe lequel.

Je suis en ce moment sur Vargala station, mon port d’attache, une cité portuaire fréquentée par de nombreux baroudeurs de l’espace mais aussi par des gens assez peu recommandables. Le chaleur est écrasante en cette fin de matinée, des nuages menaçants se profilent à l’horizon.

J’ai fait fortune après une mission rocambolesque (voir Stoffer 2 – Les labyrinthes d’Orza) ce qui m’a permis d’acheter un cabaret sur cette planète.

Je n’ai à priori, plus aucune raison de sillonner l’espace mais il me manque. L’espace c’est une drogue !

Le cabaret en question, c’est le « Diable Rose » essentiellement animé par des transsexuelles (ben quoi ?)

Je ne m’en occupe pas beaucoup l’ayant laissé en gérance à la belle Riquita qui s’acquitte fort bien de cette tâche.

J’y passe de temps en temps, il faut bien montrer que j’existe. Et comme je suis un peu désœuvré ce matin je décide de m’y rendre de ce pas. I Ça y est, il pleut ! Mais qu’importe, le parapluie a été indenté en 1705 par un dénommé Jean Marius. Et c’est grande injustice que ce bienfaiteur de l’humanité ne soit pas honoré comme il le devrait ! Car depuis cette date, on n’a rien trouvé mieux que le parapluie pour se protéger de la pluie.

Vous me direz il est assez rare dans les textes ou les films de science-fiction de voir se balader des gens avec un paraflotte ! Que voulez *vous on ne peut pas penser à tout.

Bon, trêve de digressions, me voilà arrivé au cabaret dans lequel j’ai mon bureau attitré (normal, c’est moi le patron, non ?)

– Alors Riquita, quoi de neuf ?
– La routine… la routine… Ah ! On a embauché une nouvelle, elle veut absolument vous rencontrer…
– Parce que ?
– Je crois qu’elle se figure que tu vas pouvoir l’emmener dans l’espace !
– Elle a le droit de rêver, mais fais-la venir, ça ne coûte rien de discuter… et puis j’aime bien voir à quoi ressemblent les nouvelles

La voici, elle se prénomme Sierra, c’est une très jolie brune à la peau mate, Elle se pointe en maillot deux pièces argenté, les cheveux de jais en chignon et le sourire carnassier.

C’est qu’elle me ferait bander la travelotte !

– Ravie de faire votre connaissance ! Minaude-t-elle.
– Moi de même ! Répondis-je (que répondre d’autre ?)
– Si vous désirez tester mes talents, je suis à votre disposition !
– Je n’en doute pas un instant, mais vous désiriez me voir par politesse ou il y a autre chose ?
– A dire vrai j’ai un rêve fou, celui d’aller dans l’espace, de faire partie d’un équipage… Je me demandais si vous pouviez m’aider à réaliser mon rêve ?
– Carrément ?
– Je tente ma chance.
– Le souci, c’est que pour l’instant je reste au sol.
– Tant pis, je patienterai, vous voulez me voir complètement nue ?
– Si c’est pour m’influencer, sachez que je ne fonctionne pas comme ça.

Je suis tout de même un peu hypocrite sur ce coup-là !

– Je ne vous plaît pas ?
– Si bien sûr !
– Alors, regardez… ça ne vous engage à rien !

Et là voilà qui enlève ses bouts de chiffons qui lui servaient de sous-vêtements.

J’en a pourtant vu des merveilles mais là je suis subjugué, une magnifique peau cuivrée, des seins de rêves et une jolie bite qui pendouille.

Et la voilà qui pivote m’offrant la vue de son petit cul rebondi dont elle écarte les globes dévoilant son anus béant.

– Eh, oui, je viens de me faire enculer, le passage est encore ouvert, si vous voulez en profiter, ne vous gênez surtout pas !
– Tu m’as l’air un peu salope toi !
– Salope, je ne sais pas, marchande de plaisir je préfère…²

Riquita profite de la situation pour me mettre la main sur la braguette.

– Mais vous bandez, patron !
– On dirait oui, mais qu’est-ce que tu fabriques ?
– Je vais sortir cette bite, elle a besoin de prendre l’air.

Evidemment je me suis laissé faire, Riquita me caresse la pine et finit par la mettre dans sa bouche il fait digne à Sierra de venir la rejoindre et me voilà sucé par les douces langues de deux magnifiques créatures.

– On se calme les filles, vous allez me faire jouir trop vite.

Elle se redressent et c’est à mon tour de me pencher et de porter en bouche la délicieuse pine de Sierra

Stoffer201Je me régale, j’adore sucer des bites et celle-ci me convient fort bien. Sierra se laisse faire en m’offrant le plus beau de ses sourires.

Je lèche un peu ses belles couilles qui pendouillent, je la fais se retourner afin d’avoir accès à son petit trou. Il est charmant bien logé au milieu d’une superbe paire de fesses, je ne peux m’empêcher d’y porter la langue. J’adore ce petit gout très particulier.

Et pendant ce temps-là Riquita ne trouve rien de mieux à faire que de me doigter le troufignon.

Je sais par expérience que Riquita est une bonne enculeuse, mais aujourd’hui c’est la bite de Sierra que je veux dans mon cul. Et ça tombe très bien elle n’est pas contre. On se met en position Sierra y va de sa langue afin de bien lubrifier le petit endroit. Et hop, sa bite me rentre dans le cul avec une facilité déconcertante. Et c’est parti pour une série de va-et-vient qui me font vibrer de plaisir.

Et pendant ce temps-là Riquita est passée devant moi, m’offrant sa bite à sucer.

J’ai la place du roi, une bite dans la bouche, une autre dans le cul.

Riquita jouit la première m’envahissant le palais de son sperme que j’avale. Sierra vient à son tour et décule. Je me fais un plaisir de nettoyer de ma langue son sexe pollué.

C’est bien mignon tout ça mais je n’ai pas joui, alors j’invite les deux coquines à me faire une pipe à deux bouches. Et elles s’acquittèrent fort bien de cette tâche !

Troublante cette Sierra. Si je repars dans l’espace peut être que je l’emmènerai, mais je ne lui en souffle mot.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Mercredi 28 août 2024 3 28 /08 /Août /2024 08:26

Au hasard d’une Maîtresse par Yourka

Fetish2

– Arrête de regarder cette femme !

Les paroles de Léa me sortent de ma torpeur.

Une terrasse du café, bondée, tout le monde est sorti se faire lécher par un soleil trop longtemps absent. Les filles sont peu vêtues, leurs épaules retiennent à peine les bretelles de petits hauts légers. Assises et décontractées, leurs escarpins se balancent au bout d’orteils qui ne rêvaient que d’être nus, laissant voir leurs talons rougis par les chaussures d’un hiver pourri. Elles exhibent des jambes encore blanches qu’elles viennent juste d’épiler.

– Je ne regarde personne en particulier.
– Tu te fous particulièrement de moi, là !

Léa me fatigue. Oui, je regarde cette femme brune en face de nous. La seule qui ait osé une robe en maille très ajourée. Les seins nus apparaissent au-dessous, leurs pointes roses tranchent sur le blanc de la poitrine. Les peaux sont contrastées, le bronzage n’est pas encore celui de fin août et des retours de plages.

– Je ne me fous pas de toi mais je ne vais quand même pas regarder les chiens ou les pigeons !

Je ne vais pas refouler ma libido qui se réveille. L’envie de mettre des claques à Léa aussi.

– T’as qu’à me regarder moi, t’es vraiment un mufle de me provoquer comme ça, à mater cette conne.

Léa bouillonne, Léa trépigne, Léa m’horripile.

– C’est une conne ? Tu la connais? Elle est silencieuse, ta conne, tu me la présentes ?

Je n’ai pas vu les gifles arriver. A l’aller, mon nez semble s’envoler et au retour, cinq doigts, bagues comprises, qui cognent mon tympan. Les gens arrêtent leurs conversations et nous regardent, amusés ou étonnés. Voilà, on est au centre du spectacle.

Mon nez saigne, mon oreille siffle et la tentation de taper comme un sourd sur Léa me démange.

Bien sûr, pas de mouchoir, je pisse le sang dans mon jus de tomate. Un bloody Mary nature !

– Quel con, non mais quel con, alors !

Elle aurait pu dire – quelle conne- mais elle fonctionne autrement, Léa.

– T’es pas sortable, Léa. Me cogner le nez comme ça, pour rien.
– Pour rien ? Et là-dedans, tu vas me dire qu’y a rien? Elle me dit ça en m’attrapant entre les cuisses. Folle-dingue, les gens voient et entendent.

Je suis dans état pitoyable, les bourses écrasées dans une main de fer et je sens ma tronche bouffie qui doit certainement m’autoriser une entrée gratuite aux tours de Notre Dame, toute proche.

La douleur au nez provoque une montée de larmes, malgré moi.

– Et y pleure, maintenant, mon macho mateur !

Elle est déchaînée, Léa. Sa voix porte et tout le monde en profite. Elle est furieuse, ne se tient plus et cogne la table. Au deuxième coup de poing, sa main s’écrase sur son verre qui vole en éclats. Justice divine, des morceaux se plantent dans la paume. Chacun sa croix, chacun son sang, c’est à son tour de pisser rouge. Nous voilà comme deux abrutis. Moi abattu; elle, hurlant jusqu’à gêner la sieste de Marseille. Et pas de kleenex.

La brune s’est levée et vient vers nous. Je le vois tendre un mouchoir à Léa.

– Merci, vous êtes gentille.

Je n’en reviens pas. Un sommet d’hypocrisie, cette Léa.

– Faites voir cette main, ce peut être grave, si un tendon est coupé.

Et mon oreille interne alors? Et mon nez aplati ? Je rêve, je n’existe pas.

Léa lui tend sa main, elle ne dit plus rien, s’est calmée d’un coup. A moi de bouillir. La fille scrute cette main, penchée vers Léa. Bon, je vais encore me faire massacrer mais j’ai la vision de son décolleté en plein axe ! Et puis debout, sa robe dans le soleil me laisse un souvenir pour mes vieux jours.

Elle parle lentement, concentrée sur les plaies de mon hystérique notoire.

– Il faudrait aller dans une pharmacie retirer les bouts de verre.
– Ben oui, un dimanche, on va trouver ça sans problème.
– Ecoutez, monsieur, ne vous fâchez pas, je tente de vous aider.

Nous aider… la meilleure nouvelle de la journée.

– Je ne me fâche pas, je suis juste un peu éclaté.
– Tu l’as cherché, la ramène pas, dit Léa presque doucement.

C’est incroyable ! Léa à un vrai talent pour retourner les situations.

– Renversez votre tête en arrière, ça va aller, me dit la brune.

C’est ça, c’est ça. Et pour l’oreille, pas une petite sonatine de Schubert?

– Putain, ça fait mal, lâche Léa avec grâce.
– Bon, j’habite à côté, je peux vous y emmener. Là-bas, j’ai de quoi soigner tout ça.

Nous voilà invités chez elle. Le monde est curieux, parfois. Léa joue les gênées.

– C’est trop gentil, vous êtes sûre?

Gna gna gna, retenez-moi… La matée invite le mateur et sa mijaurée.

– Oui, sans problème, allons-y.

Sans problème, oui. Je vais marcher le nez en l’air. Sans problème.

L’appartement est grand, lumineux et pas meublé en kits à cent balles. L’odeur de l’argent, je le sens à des kilomètres, malgré ma truffe de bouledogue.

– Au fait, comment vous appelez-vous ? Moi, c’est Solen.
– Que c’est joli, moi, Léa. Et ça, c’est Marc.

Ça… Je suis aux anges, moi, présenté comme un machin annexe.

Solen file vers le fond de l’appart, nous laissant livrés à nous même.

– Tu vois, le dimanche, c’est pas toujours monotone, mon amour. Tu as mal… mhh ?

Ma tentative de dégel est un fiasco.

– Me gonfle pas, Marc ! Si tu laissais pas tes yeux n’importe où, aussi !
– Sont là, mes yeux ! Plantés sur toi. T’es chiante mais sensuelle, en colère.

Léa est assise sur un fauteuil trop profond pour elle, obligée de laisser ses jambes tendues pour toucher le sol. Ses mains posées sur les accoudoirs, sa jupe remonte à mi-cuisses. Des cuisses pas rachitiques, des cuisses pleines mais sans graisse superflue. Elle m’épuise, cette fille mais je dois être maso. Ses petits seins ronds, son long cou, ses cheveux noirs en carré sage, ses yeux sombres. Tout me plait, sauf son humeur épouvantable, sa jalousie, son intolérance chronique.

Mais le feu n’est pas que dans son humeur. C’est un coup d’enfer, une partenaire de lit, de table ou d’ascenseurs sans mesure, qui sait se donner entière. C’est en partie ce qui me la rend supportable. Et quand elle dort, j’oublie ses travers. Moi, bien entendu, je suis parfait…

Solen réapparaît équipée d’un tas de trucs premiers soins. Elle est pieds nus, les ongles vernis d’un rouge discret. Les pieds bien faits, soignés, de jolis doigts rangés à la perfection. Ca me parle, ça. Mais mieux vaut regarder le ficus dans son pot.

Mon portable sonne, j’avais rendez-vous, avec tout ça, j’ai oublié. Je devais passer relever auparavant des e-mails, des fichiers, chez moi pour ce rendez-vous de boulot.

– Je vais devoir vous laisser, je file me connecter au web avant mon rendez-vous déjà manqué. Léa, on se retrouve ce soir à la maison ?
– Quoi ? Tu vas me planter là, tu pouvais pas y penser plus tôt ?

Retour agressif de Léa qui oublie les causes de ce retard.

– Vous pouvez vous connecter ici, sur le PC dans ma chambre, me dit Solen.

Je trouve l’idée pratique et j’accepte.

La chambre est grande, le lit au centre n’est pas fait et de la lingerie a été oubliée çà et là. Mieux que les web bars, ça, comme décor! Du carrelage blanc à cabochons noirs, des tapis. Le PC trône sur un grand plan de travail parsemé de photos, de dossiers. De mode, me semble-t-il, ou dossiers de casting. Mais si ce sont des castings, ce n’est pas pour tous les yeux. Plutôt dénudés, les modèles, hommes et femmes. Dénudés et franchement offerts à l’objectif. Si Léa me surprend devant ça, je suis bon pour un deuxième service de taloches.

Le PC est sous tension, juste besoin de cliquer pour le lancer. La page d’accueil est surprenante. Un site carrément bondage, je suis tombé chez une gourmande. Je ne résiste pas à aller dans l’historique et le déroulé est édifiant. Chaque clic m’envoie sur des pages de photos de femmes et d’hommes dans de curieux ébats. Des photos qui marquent un goût pour les bobos SM et un penchant pour les jeux de fontaines. Cuisses ouvertes sur des bouches qui semblent avaler ça comme du petit lait.

Et parmi les membres enjoués de ce club humide, je vois la belle Solen accroupie sur la bouche d’un garçon plein de bonne volonté, qui joue l’urinoir d’un soir. Même pas une grimace, il est visiblement aux anges. Et moi, sur le cul !

– Vous n’êtes pas dans vos e-mails, on dirait !

Solen est dans mon dos, presque contre moi et je suis dans l’état d’un gamin surpris à fouiller dans le placard.

– Heu, je suis tombé là par hasard.
– Attention, c’est un hasard qui peut devenir un plaisir, si vous vous y étalez.

Instant surréaliste, cette femme est en train de tranquillement poser des jalons. Et la furieuse dans le salon ne sait encore rien de cet échange incongru. Heureusement.

Je tourne la tête et encaisse un regard appuyé. Solen a croisé ses bras sur ses épaules, déhanchée, amusée et dangereusement séduisante. Rien de vulgaire, même si je pense à l’image passée de son sexe inondant son amant.

– Qu’est-ce que vous fichez là?

Voilà Léa qui débarque, l’œil inquisiteur qui nous scrute. Sa main est bandée. Moi aussi, mais ailleurs. Et ça, elle le sent comme personne rien qu’à me regarder.

– Putain, c’est quoi, ce bordel, c’est quoi, ces photos?
– Rien, juste des photos de travail de Solen.
– Ah parce que ça, c’est un boulot ?
– Ecoutez, Léa, Marc n’est pas responsable, je n’ai pas pensé à les retirer.
– Mais c’est vous, sur l’écran, là ! Putain, elle pisse sur un mec… et toi, tu mates les pervers, t’es un parfait salaud.

Mai09Je n’ai pas droit à une gifle mais Léa est prête à bondir.

– Ecoute, fais pas une histoire pour ça, de toute façon, on s’en va.
– Ben pas avec moi, en tout cas. Te pointes pas à l’appart, espèce de dégueulasse.

Elle tourne les talons et se tire dans un concert de jurons très innovants et frais.

Je me retrouve seul avec Solen et rien ne me donne envie de partir à mon tour.

– Je suis désolée, me dit Solen, vous allez avoir du mal à la convaincre qu’il ne s’est rien passé.
– Mais non, ça ira, elle sait quand je lui mens. Et là, nous n’avons rien fait.
– Je ne parle pas du passé immédiat, je pense au futur proche.

Je prends ses mots en plein caleçon… et un grand coup de chaleur dans l’échine.

– Vous ne dites rien?

Je ne dis rien, non… ce serait un bafouillage total. Elle est là, à me jeter des sorts, m’empêchant d’exprimer le moindre truc cohérent.

Son pied nu se pose contre ma jambe, entame un petit mouvement pour glisser sous le bas de mon pantalon. Lorsqu’il atteint ma peau, je n’ai aucun moyen de taire un énorme soupir.

Mais ce n’est rien par rapport à ses mains qui se posent dans mon cou, ses cheveux qui balaient mon visage. Elle est parfumée discrètement, ses doigts courent dans ma nuque et son souffle chaud annonce un baiser très proche. J’ai déjà oublié Léa, mes futures explications de mec qui se noie dans ses contradictions. Je goûte l’instant sans vouloir me réveiller. Quand ses seins se collent à mon dos, je renverse la tête et reçois sa langue en pleine bouche.

– Hasard ? On en est encore au hasard, monsieur ?
– Oui, enfin maintenant non… mais si, quand même.
– Non, je vais te dire, moi. Tu es là parce que je le veux et si ce n’avait pas été par le biais de ce PC, de ces photos, c’est ta femme que je serais en train d’enlacer. Tu crois que je suis secouriste dans l’âme?
– Non, bien sûr…
– Je vous ai observé, vous transpirez l’amour explosif, l’amour qui pince. Qui fait mal !

C’est mon sexe qui va exploser si elle continue comme ça. Elle susurre plus qu’elle ne parle, ponctuant ses mots de petits coups de langue sur mes lèvres. Sûre d’elle, entreprenante, je ne tente pas de guider ses baisers.

Je sens la chaise se renverser lentement en arrière et me retrouve étendu sur le carrelage. Sa robe quitte ses cuisses pour remonter sur ses hanches et une culotte blanche minimale me saute au visage. Je ne pensais pas un jour être chevauché aussi vite, tout son corps se frotte sur moi, ses mains quittent mes cuisses pour défaire ma chemise et livrer mon torse à ses seins encore prisonniers d’un soutien-gorge juste rempli de ce qu’il faut, loin des énormes trucs des salons de chirurgie plastique. Je fais quoi, moi, là ? Parti d’un bar avec une hystérique, je suis submergé par ce corps chaud.

Je sens des doigts jauger mon pantalon, l’ouvrir et glisser entre le coton et ma peau. Sans empressement, la main saisit mon sexe pour le caresser sous le tissu. Et moi, de tirer sur sa culotte, libérer ces lobes, ces fesses blanches en laissant la culotte barrer le centre et l’accès d’un anus tout rose. Mais mes mains savent aussi trouver leur passage vers son sexe qui promet d’avoir du goût, tant son parfum agace mon nez. Ma langue ira plus tard s’y baigner. Là, je lui caresse les hanches, le bas du dos, en gardant une vue imprenable sur sa croupe.

– C’est pas ces caresses, que je désire. Je suis plus au lycée !
– Mais alors, ce ne sont pas des caresses… tu veux que je te pince, te morde?

J’ai soudain l’air con, j’en suis sûr, son cul dans mon nez, je me demande quel traitement elle attend de moi.

– Ok, je vais te montrer, si tu es d’accord pour te laisser guider !

Je dis oui, elle bondit d’un coup, effleurant mon nez de sa chatte que je n’ai pas eu le temps de manger.

D’un tiroir, elle sort une paire de menottes et les agite devant moi.

– Assieds-toi ! Les mains derrière le dos !

Je suis assez fou pour obéir à cette inconnue, fasciné par son cul, son style et son aplomb. Et puis, je saurai l’arrêter s’il le faut.

Je me retrouve les mains dans le dos, menotté. Poussé en avant, je tombe sur le ventre. Elle engage une séance de frottements de son corps sur le mien, ses ongles se mettent à mordre ma chair, le long des bras, en griffures juste appuyées. Ses dents vives s’attardent à mes épaules, acérées au point que je sens qu’une seule morsure un peu forte m’arracherait un bout de viande. Puis, elle se lève et debout devant moi, relève mon menton de son pied.

– Tu as aimé les regarder, lèche-les, lèche mes orteils !

Le ton a changé, ça ressemble à une injonction mais je ne déteste pas ça, lécher de jolis pieds. Seule ma position est particulière mais je me sens bander. Elle se caresse au-dessus de moi, je tente de la regarder mais son autre pied repousse ma tête.

– Tu lèches, tu ne me regardes pas !

Ses orteils sont trempés et leur légère odeur de cuir chaud imprègne mes narines.

Elle a juste marché le temps qu’il fallait pour qu’ils soient parfumés ainsi.

Maintenant accroupie, elle écarte ses cuisses devant moi, à quelques centimètres. Je la vois mouiller, je la vois s’ouvrir, je voudrais y glisser ma langue.

– Non, ne me touche pas !

La vraie torture ce ne sont pas les menottes ou les ordres. Ne pas la sucer entre les cuisses, si près de ma bouche, ça, c’est un supplice.

Elle étend le bras vers un tiroir et en sort un gode d’ébène. Long et mat, sec comme une trique de flic. Là, devant moi, elle le passe entre ses cuisses, le promène sur ses seins qu’elle pince de l’autre main. Sans s’en pénétrer vraiment, elle le glisse à peine dans son sexe, le tourne sur lui-même très vite, le roulant entre ses deux mains. Cuisses contactées, ses muscles se tendent et moi, je sens mon sexe gonfler, coincé entre ventre et carrelage. Rien à lécher, rien à saisir, rien à branler… là, je peux le dire. Elle joue un solo, une partie d’allumage en règle.

– Donne-moi ce gode, laisse-moi te prendre avec.

Je l’implore presque.

– Attends, autre chose, avant.

Des larges bandes de cuir viennent entraver mes chevilles. Là, je me demande quand je vais m’occuper d’elle à mon tour !

– Alors, tu veux jouer avec le gode? Elle prend un ton doucereux.
– Oui, j’en ai envie, je veux que tu le sentes entrer en toi, de mes mains.

Elle se baisse sur moi et me mordille les hanches, ses cheveux se baladent sur mes reins.

– Tu me ferais quoi, avec ce gode, dis-moi ? Elle me rend fou, avec cette question.
– Je te ferai tout ce que tu veux !
– Ou plutôt ce que toi, tu veux, mec !
– Oui… mais ce sera bon…
– Pour moi ? De me faire mettre par un gode ?
– Mais… il est à toi, tu aimes…
– Tu vas le mettre dans ma chatte, c’est ça ? Et le regarder s’enfoncer ?
– Oui… oui, ça…
– Et tu vas m’enculer aussi… ?

Je meure de l’entendre et de ne pas pouvoir la toucher.

– Oui, je t’enculerai avec, et de mon sexe aussi.
– Ah ! Ça te plairait tant que ça, de m’enculer ? Elle devient étrange, ses mots sont dits de façon monocorde.

Elle glisse sur mon dos, je sens sa chatte sur ma nuque, mouillée et collée à la base de mes cheveux, ses pieds recroquevillés sous ma bouche.

– Tu vois, le jeu que j’aime, c’est pas d’être enculée par un homme qui prend des baffes de sa pétasse ! Les baffes de ta nana, c’est pas les gifles d’une Maîtresse !

Une énorme claque me brûle les fesses. Ses cuisses se resserrent contre ma tête. Une autre claque vient sur mon cul, le bout des doigts atteint mes bourses, comme si on les pinçait. C’est douloureux mais je bande autant que j’ai peur.

– Faut que tu comprennes… c’est moi qui vais t’enculer. Quelque chose à dire?

Là, le jeu s’emballe. Je réfléchis à toute vitesse.

– Ecoute, j’ai jamais fait ça… je ne sais pas, enfin je préfère pas.
– Ah oui ? Et à combien de femmes t’as pas demandé leur avis ?
– Mais non, il ne s’agit pas de ça.

Je ne bande plus… je suis comme un con qui a joué trop loin.

– Moi, je crois que tu vas enfin connaître la sensation que tu penses être si agréable aux pétasses du huitième. C’est moi, qui vais t’enculer et si c’est aussi bon que tu le penses, tu en redemanderas !

Elle me colle le gode dans la bouche, forçant mes lèvres.

– C’est trop gros ? Tu verras, il sera plus à l’aise dans ton cul. Allez, lèche-moi ça ! Plus fort, mouille-le. Plus il sera mouillé, moins tu auras mal !

Je suis dans un cauchemar. Je suis piégé par une disjonctée du cul. Elle pousse l’engin dans ma gorge, à me donner des spasmes.

– Quel effet ça fait, une bite dans les amygdales ? Et encore, celle-là est propre ! Quand elle aura fouillé ton cul, tu la lècheras encore, promis !

Je ne peux pas parler, de toute façon, je ne sais pas quoi dire, rien ne semble pouvoir l’arrêter.

– Dis-moi, tu aimerais plutôt lécher ma mouille sur ce gode ? Tiens, un petit cadeau.

Je la sens au-dessus de moi s’enfoncer le gode, puis elle me tire par les cheveux et force à nouveau ma bouche. Le goût de sa chatte me fait un temps oublier ma position. Je lèche presque avec plaisir ce truc froid et dur.

– Voilà, tu commences à y prendre goût, tu vas voir, tu vas adorer le sentir de remplir les fesses.

Elle me caresse la joue, me gratte le bout du nez, passe un doigt entre mes lèvres et mes dents, un doigt à l’ongle vif qu’elle prend soin de me planter dans une gencive. Elle est folle mais là, elle ne s’occupe pas de mon cul et puis, ça, je me surprends à aimer.

– Bon, tu les as bien préparées, tes bourgeoises, avant de les sodomiser ?
– heu, je ne leur ai pas fait de mal, je crois avoir fait comme il faut.
– Comme il faut ? Tu sais, ça veut rien dire ça. Tu cherches à m’amadouer ? Je vais te dire, moi, comment j’aime ! A sec ! Enfin, pour mes esclaves, bien sûr. Leurs gémissements ne sont pas feints, là, j’en suis sûre. T’as juste le droit de le lécher encore un peu. C’est le moment de vérité.

Le truc sort de ma bouche. Là, je voudrais qu’il y reste. Elle passe une main sous mon ventre.

– Tu bandes mou, monsieur ! Ca va pas, ça.

Elle me tourne un peu, sur le côté, je me demande comment j’en suis arrivé là. Mais surpris, je sens ses lèvres se refermer sur moi et sa bouche me pompe enfin comme j’en rêvais. Un délice de fellation où les dents ne sont pas absentes. Bon, si elle était sérieuse dans ces menaces, elle aurait déjà recraché mon gland à l’autre bout de la pièce.

Mais d’un coup, je sens la brûlure d’un doigt qui plonge entre mes fesses. Je crie… un « non » peu convaincant. Son doigt me fouille en se repliant à l’intérieur, tel un crochet. J’ai mal mais sa bouche sait donner l’antidote. Encore un cri.

– Tais toi ! C’est pas un doigt qui va t’arracher des larmes ! Tu m’emmerdes.

Elle lâche ma queue, mon cul… Elle se lève et attrape un carré de soie rouge. Me voilà bâillonné, comme sur les photos de son bureau. Je suis aux abois, là, j’ai les jetons.

– Hé ! Il tremble comme un porcin, mon esclave !

Elle me bascule sur les genoux, je tente de résister mais une troisième gifle me barre les fesses. Les mains dans le dos, le cul en l’air, un bâillon et des liens… je ne peux rien faire. Je la sens derrière moi, sa main gauche plaquée à mon cul, paume collée en ventouse, elle semble se régaler de me dominer. A cet instant, malgré la peur, j’avoue une excitation bien malgré moi. Je sens un sein venir au centre de mon cul, une dernière caresse avant l’assaut.

– Tu préfères quoi ? Une bonne poussée au fond ou un petit va et vient de rodage?
– Je… écoute, non, je…

Elle n’a pas attendu ma réponse. Je sens soudain ce truc froid à l’entrée de mes fesses. Elle est silencieuse, comme concentrée. Sans violence, elle pousse doucement, tout doucement le gode. C’est gros mais je n’ai pas mal… juste le passage qui semble s’étirer. Je suis presque rassuré. Pas si terrible, finalement. Elle douce, je préfère ! Je sens de la salive couler entre mes fesses. En plus, elle renonce au « sec ». Ouf, je me sens mieux et je bande gentiment.

Mais soudain, je me sens transpercé, envahit, violé. Et une douleur insupportable me fige, prostré, la croupe tournée vers le ciel, le gode planté en trophée, comme sur un sommet vaincu. Sans le bâillon, tout Paris en profiterait.

– Là… tu es reçu au club, mon gros cochon !

Elle vient s’asseoir devant moi, la chatte tout près de mes lèvres et se masturbe si vite qu’elle jouit en quelques secondes. Affalée sur le sol froid, elle reprend ses esprits. Mais pas son gode qui reste enfoncé dans mes fesses. Elle tourne autour de moi, semble réfléchir à la suite. Moi, je suis au bout de mes limites, rien de pire ne peut m’arriver. J’ai mal, mon cul se contracte malgré moi autour du manche, amplifiant la douleur. Mais je suis raide de la queue, comme un pendu.

– Bon, je vais être princesse, tu as droit au traitement de faveur final.

Elle s’approche de moi, m’arrache le gode dans un bruit de déboucheur de chiottes. C’est imagé mais j’ai que ça pour illustrer ce que je ressens. Puis à nouveau, elle m’ordonne de m’asseoir face à elle. Là, tranquillement, elle vient se caler devant moi, sa chatte devant mon visage.

– Et encore, t’a pas eu droit au foutre qui te gicle dedans ! Plains-toi ! Une petite douche, pour de remettre de tes émotions?

Oh non… elle va pas le faire, je revois le type sous elle en photo. Elle boit de longues gorgées d’eau, je me sens devenir fou, partagé entre mon voyeurisme et la crainte d’être aspergé de pisse. Là… je vois ses cuisses s’écarter, elle se baisse un peu et un filet s’échappe de son sexe, coulant sur ses cuisses. Elle me regarde, sourit narquoisement et arrête de pisser. De sa main, elle caresse son entre jambe et porte ses doigts à ses lèvres. Elle m’a épargné, je n’en reviens pas. Mais sa main replonge et là, revient vers mes lèvres.

– Tu t’en tires bien, je suis indulgente. Lèche mes doigts, un a un !

Je détourne la tête. Ses deux mains viennent me saisir les joues, maculant mon visage d’urine. Je m’exécute. Le goût est salé, l’odeur âcre, en tout cas, je préfère ça à la douche, même si elle prend soin de m’enfoncer ses doigts mouillés dans la bouche. Elle semble satisfaite. Elle me libère de mon bâillon en m’avertissant.

– Si tu gueules, si tu penses un seul instant te venger, tu connaîtras d’autres Maîtres qui sauront te trouver et te punir. Tu entends haut et clair ?
– Oui, je… tu ne me reverras pas.
– Oh mais si, j’en suis sûre ! Mais tu seras volontaire, tu en auras envie, je sens ça !

Mes liens défaits, je reste un instant sur le sol étendu, fourbu, le cul en feu. Et je ne l’ai pas baisée…

– La prochaine fois, tu pourras me prendre, si tu obéis comme il faut. Là, tu t’es fait prier. Allez, habille-toi et file retrouver ta petite pute !

L’air frais du soir me redonne un peu d’énergie. Je suis partagé entre la honte et une espèce de plaisir sournois que je refuse d’admettre.

Arrivé à l’appart, ma clef fonctionne, Léa n’a pas verrouillé de l’intérieur, prête à oublier sans doute notre dispute.

La douche est sublime, même si je n’ose pas me toucher les fesses, tant elles sont douloureuses. Léa dort profondément, je me glisse doucement dans le lit et m’endors, épuisé.

Mais les rêves finissent par me hanter, je tourne et tourne sur moi-même.

Et le rêve tourne au fameux instant de la douche évitée. Je revois Solen devant moi, mais je suis sur le dos, allongé dans un lit. Elle est au-dessus de moi, ouverte, son sexe béant, prêt à m’arroser, en souriant. Je ne fais rien pour lutter. Et là, je sens son urine couler, puissamment sur mon torse, elle se tortille en se vidant sur moi. Mes mains étalent tout sur mon ventre, mes épaules, mon cou. C’est chaud, c’est agréable.

– Alors c’est ça… tu en crevais d’envie, mon salaud !

La voix de Léa retentit et Solen s’efface de mon rêve, disparaissant dans une brume chimérique.

– Réveille-toi, regarde-moi !

Léa… debout sur moi continue de pisser, inondant le lit, aspergeant aussi mon cou. Je ne rêve plus, elle est bien là à me souiller.

– Tu l’as baisée, salaud ! Mais si elle t’a pissé dessus, alors à moi aussi de me lâcher ! Et en plus, j’aime ça !

Je deviens fou, je suis dans un jour hors limites. Mais la voir se soulager comme ça me fait bander et là, je ne resterai pas bredouille. Elle vient me sucer divinement, mélangeant les odeurs et les saveurs, me collant au nez sa touffe brune imprégnée de pisse. Puis, elle se cloue sur moi, mouillée, trempée de tous ses jus et me baise sans ménagement. Mais ça, maintenant, je connais et ses coups de hanches sont autant de caresses. Dans une dernière image, je revois le gode me pénétrer et dans la douceur du sexe de Léa, je peux enfin jouir en osant m’avouer que j’ai aimé ça !

Copyright © Yourka 2001 Première publication sur Vassilia, le 25/07/2001 Le webmaster tient à remercier vivement Yourka d’avoir à sa demande accepté de publier ce récit ici !

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Mardi 20 août 2024 2 20 /08 /Août /2024 22:27


Les Chiens des Brooks par le_marquis_de_Chair 

 zoo

Les Chiens des Brooks

Jennifer et Stan Brooks, couple d’anglais Aristocrates de belle lignée avait acheté un Manoir en France où ils recevaient bon nombre de leurs Amis de qualité auxquels nous avions l’honneur d’appartenir.

La Comtesse et le Comte adoraient les chiens et possédaient huit magnifiques Labradors, quatre noirs aux poils luisants et quatre « yellow », des animaux puissants, affectueux, aimant à être câlinés et caressés et, ma foi, si bien montés, qu’ils savaient faire office d’Amants de qualité auprès de quelques Dames venant là visiter nos deux Châtelains et sachant là trouver apaisement à leurs désirs les plus inavouables. C’est que ces chiens n’avaient jamais couverts de chiennes, ignorant la chair animale et ne connaissaient donc que les intimes chairs des femmes qu’ils semblaient apprécier tout particulièrement et c’était là des joutes sans fin laissant apaisées, mais épuisées les belle visiteuses de ce Manoir particulier. Ces bien secrètes pratiques et ces rendez-vous – qui avaient lieu une fois par mois – proposaient des accouplements qu’on eût dit « hors nature » mais qui n’en étaient pas moins appréciés dans leurs révélations charnelles par ces quelques belles Oiselles à la recherche de nouvelles sensations ! Toilettés, entretenus, bien nourris, nos huit beaux « monteurs » ô combien puissants et affectueux, contentaient donc ces Dames qui se faisaient allègrement chevaucher et prendre sans pudeur en un feutré salon par ces endurants et ardents canidés.

Dès l’arrivée des invitées, les chiens leur faisaient fête, ce n’était que léchées, aboiements de bonheur, les chiens sentant bien là de bonnes chairs féminines aux muscs et parfums qui les excitaient au plus haut point. Ainsi, un chien choisissait-il sa « cavalière » et ne la quittait plus, battant de la queue, geignant de plaisir, implorant ou insistant, une patte posée sur quelque genou, affectueux à l’excès, griffant un bas, bandant déjà de belle manière, prêt à tous les ébats. Ces Dames, toutes troublées, les joues roses de plaisir caressaient alors la tête de l’animal, flattaient ses flancs, se laissaient embrasser sur la bouche, dans une ronde d’amour et de séduction des plus révélatrice des envies de chacune… Une main fine et longue pouvait aussi se risquer à quelque caresse appuyée vers le sexe, le saisissant entre les doigts, le pinçant joliment, allant même jusqu’à le décalotter finement, épousant de la paume les belles couilles rondes, chaudes et battantes, une sorte d’appréciation de la virilité… L’on allait même souvent jusqu’à feller avidement quelque sexe rose et long, bien tendu, appréciant ainsi avant les ébats celui qui serait un parfait chevaucheur. Le chien alors commençait à haleter, se faisant plus pressant et c’est alors que l’on passait au Salon pour des choses plus sérieuses que je me propose de vous conter ici…

Les Châtelains eux-mêmes appréciaient et partageaient ces réunions, très actifs dans le déroulement des opérations. Chacune des visiteuses se mettait en place, ne conservant que bas et porte-jarretelles ou encore jarretières, excitantes à souhait, féminines, délicatement parfumées, bref excitantes ; les chiens alors devenaient comme fous et allaient de l’une à l’autre, choisissant celles qu’ils voudraient monter… Car ils avaient leurs habitudes et leurs choix, bien que variés, revenaient souvent à quelque habituée, plus vicieuse qu’une autre, offrant des postures, douée d’initiative perverse dans la recherche du plaisir avec l’animal, se prostituant à lui, tout en ne délaissant point le sexe de quelque bel homme bien fait qui, entre deux saillies des canidés venait prendre à son tour son plaisir… Cela agrémentait de belle manière les échanges et l’on pouvait ainsi rester quelques deux ou trois heures en un salon clos à multiplier les accouplements. A l’issue de ces longs égarements charnels, une belle table était servie et les convives pouvaient se restaurer et reprendre des forces après de telles prolongées joutées.

L’on pouvait retrouver en ce salon, de belles adeptes de ces pratiques : la belle et brune, autant que piquante Nicole d’Engerrey, Chantal de Cyrignac, une Servante même, la « Lieutenante », la Châtelaine elle-même, fervente zoophile, faisant preuve de belles initiatives en de telles occasions, vicieuse, perverse, recherchant le plaisir sous toutes ses formes. Une belle femme un peu sèche, mince, petite poitrine, jolies fesses fermes et nerveuses, mollets aguichants, taille de mannequin en dépit de ses cinquante ans passés… Toujours bien coiffée, la classe et la distinction émanaient d’elle, une vraie noble. Elle portait souvent de hauts bas noirs ceints de jarretières rouges finement brodées. Ses joues creusées, les rides harmonieuses de son visage, ses longs doigts caressants, contribuaient à lui donner l’aspect d’une sorte de « Prêtresse » fiévreuse appréciant autant la femme que l’homme auxquels elle prodiguait les mêmes caresses fébriles avec à la fois un calme ordonné qui en imposait à ses… « Sujets ». Car chacune et chacun de ses adeptes était « son » Sujet… Une Passionnée ! Mince, élancée, « Prêtresse » absolue ». Nue. Femme. Caresseuse. Masculin-féminin unis au vice.

Le Marquis, Stan, son époux, était de bonne lignée, avait une belle prestance, perruque blanche, finement poudrée, habits finement brodés, dentelles, jabot, grande tenue et maintien, cape. De conversation recherchée, il souriait, séduisait…

Son épouse et lui-même parlaient très bien le français, mais avec une petite pointe d’accent qui ne leur donnait que plus de charme et d’allure.

Cet après-midi-là, nous étions arrivés, la Marquise et moi-même, très impatients de goûter à de tels plaisirs que nous avions déjà découverts en compagnie de nos bons Amis, Nicole et Albin d’Engerrey, chez eux dans leur propriété en bord de Loire. Vous souvenez-vous de mon récit «Le Grand Boudoir aux lévriers » et de leur chien « Uranus » ? Il ne manquait là que la belle Valérie de Versanges, zoophile confirmée et d’une grande beauté, hautaine, distinguée, très sensuelle, toujours à la recherche de nouveaux plaisirs et expériences sensuelles autant que sexuelles…Nous avons d’ailleurs plus tard porté un toast à cette belle Amie et déploré son absence lors de telles agapes et folies partagées. Je dois avouer que j’étais attiré par cette femme (Françoise, ma Mie le savait et aimait à me voir prendre du plaisir à l’aimer et à l’honorer au cours de nos soirées particulières), mais les autres de nos Dames présentes ne manquaient point de charme, ni de talents cachés toujours susceptibles de nous séduire.

Jennifer Brooks nous fit servir des rafraîchissements et en fort gente compagnie, nous gagnâmes le salon. Etaient présents Albin , époux de Nicole, Chantal et Marcus de Cyrignac, Jennifer et Stan et l’une de leurs domestiques mince, discrète, attentive, brûlante, aux sens aiguisés et qui, paraît-il, se révélait être très experte dans les relations femme-chiens… moi-même et bien sûr, nos quatre premiers Labradors intervenants qui montraient déjà de l’impatience… Il y avait donc quatre femmes, quatre hommes et quatre merveilleux « étalons » canins pour la première partie de ces ébats… Nous prîmes place.

Comme ces femmes étaient belles, dans l’attente de plaisirs inavoués ! Je voyais leur image se refléter en des psychés où tremblaient des chandelles disposées de manière à ce qu’elles éclairassent les participants dans la demi-obscurité, les ouvertures étant déjà bien calfeutrées en cette fin d’après-midi. Jennifer, grande prêtresse de ces réunions secrètes, était assistée de sa « lieutenante » Ninon, la servante, toute dévouée à cette belle femme aux mœurs très coquines et dont elle était la complice en des jeux de Sappho auxquels nous savions qu’elles s’adonnaient toutes deux…

Il faut dire que la Servante était magnifique, des plus désirables, possédant même un port de tête digne de quelque Aristocrate qui aurait « fauté » avec quelque Marquise ! Jennifer et Ninon distribuèrent les « rôles » : Nicole et Françoise se gouineraient, excitant les chiens par leurs poses alanguies, tandis que Chantal se ferait ensuite monter par le premier des canidés, Jennifer et Ninon s’adonnant à leurs vices préférés en vue d’exciter les coquins que nous étions…

Nicole et ma femme, tendrement engouinées, se caressaient fiévreusement et à chaque fois je ne pouvais résister au plaisir de les contempler, cela m’excitait et je commençais à bander ; mais je bandai encore plus, quand j’aperçus Chantal, cuisses ouvertes qui offrait son beau sexe bien fourni à la langue du premier Labrador qui ne se gênait point pour la lutiner d’une langue longue, divinement rosée qui humectait les poils bruns et frisés de sa chatte… Albin et Marcus se branlaient en cadence ne quittant pas des yeux Jennifer et sa belle gouine de servante qui l’enchâssait… Stan se joignit à eux, partageraient-ils à trois les deux femmes ? Chantal caressait le chien qui léchait toujours son sexe, enfouinant sa belle langue au plus profond de la fendine que notre divine pécheresse s’employait à écarter généreusement ; le chien bandait de plus belle et devint exigeant, voulant à présent la monter sans tarder… Chantal ouvrit bien les jambes et là, magnifiquement écartelée, dirigea le long sexe vers le centre de son plaisir, ce corail rose magnifique : le chien la pénétra rageusement, elle poussa un petit cri et fut envitée au plus profond… Le trot se fit, ses hanches s’agitaient, le chien la dominait, museau tendu dans son cou, langue tirée, il pénétrait cette belle femme avec l’ardeur d’un humain, quel Amant ! Chantal se mit à geindre, écartant plus encore les cuisses, jambes en l’air, offerte, impudique, splendide vicieuse ne cachant pas ses penchants… Elle maintenait à bras le corps l’animal contre elle, se tendait, s’offrait, remuait des reins, baisée en bouche par l’animal qui allait jouir, cela se lisait sur son faciès, les babines se dilatant, crocs apparents ; les halètements se faisant plus pressés…IL JOUIT !!

Je me dis que je voudrais prendre Chantal aussitôt après, être dans le bon foutre chaud de l’animal, aller et venir en ce joli con qu’elle avait si bellement abandonné à son canin d’Amant… Le chien dégonfla, les flancs haletants, sa belle bite sortit de sa cache, mouilla un peu plus les poils et retomba, pendante, mais encore raide, laissant couler un trop-plein de foutre sur le parquet…

Je m’approchai de Chantal encore essoufflée, pâle, mais comblée dans son vice ; elle me sourit et me tendit les bras… Je m’agenouillai, pointai mon vitin vers ce sexe baillant, foutré de blanc, excitant, désirable et je pris la place du chien… Je m’enfouinai prestement et glissai délicieusement dans les humeurs canines, pour gagner le fond du con, à la mottine si généreusement tendue… Chantal m’attira étroitement contre elle et murmura : « Baisez-moi à votre tour, mon bon Armand, ce chien m’a épuisée, mais j’en veux encore, ne savez-vous point que je suis gourmande ?! ». Je la besognai sans compter, elle cria, croisa ses jambes sur mes reins, j’étais à fond en elle, ses bas blancs bellement jarretés, crissaient au plus fort en va et vient répétés, je défoutai, quelle belle débauchée j’avais là enfilée !

Une Amante de qualité, très vicieuse et cochonne à souhait…

Nicole était fermement montée par un des Labradors, ne lui laissant aucun répit, il jouit par deux fois en elle et puis, ce fut le tour de Françoise, ma Belle qui fut mise pareillement, mais qui ayant tendu son cul, fut ainsi prise analement aussitôt après et de belle façon par le chien sodomite, se comportant bien en cette position et sachant se montrer vraiment très endurant et persuasif à la façon qu’il avait de maintenir fermement ses hanches entre ses pattes! Jennifer était enculée par Albin, tandis que Marcus étendu sous la Servante la prenait à coups répétés, Stan prenant la « Lieutenante » en cul en même temps… Trois corps au paroxysme de l’excitation… Jennifer, sodomisée, geignait ; l’un des Labradors venait lécher le gros sexe et les couilles d’Albin qui besognait le petit anus dilaté de la « Maîtresse de Cérémonie » au comble de la jouissance…

Stan ayant déculé de la Servante, je pris sa place, l’on me reçut et le cul à nouveau s’agita au long de cette nouvelle pine qui venait le fouiller… Quelle ivresse ! Au-dessous, Marcus reprenait de l’élan et sans doute stimulé par le nouveau baiseur de sa partenaire, donnait de superbes coups de boutoir à son con qui allait et venait sur sa pine gonflée, tandis que je m’enfouignais toujours dans ce cul avec délice… Je ne pus m’empêcher de griffer les bas et jarretelles de cette « gueuse » que je maintenais fermement par les hanches, leur imprimant le trot de mon vit qui s’accordait parfaitement avec celui de Marcus en dessous.

Nicole et Françoise se laissaient encore monter par les chiens, folles de plaisir ; l’un des Labrador poursuivait son office dans le petit cul de ma femme qui geignait comme une folle, maintenant les pattes avant de son monteur pour le bien sentir en elle et qu’il ne s’écartât point… De fait, le chien l’enculait-il bel et bien, comme un humain l’aurait fait ! Je jouis dans le cul de la Servante qui me gratifia d’un immense et ultime coup de séant, ses rondes fesses atteignant mes couilles ; Marcus jouit à son tour… Nous restâmes ainsi tous les trois agglutinés, haletants, comblés…

Après une toilette en bonne et due forme, Jennifer nous convia à prendre une coupe de champagne en un petit salon attenant. Les mines étaient épanouies, bien que présentant des cernes révélateurs et les joues pâles de nos jouteurs attestaient de l’intensité et de la fréquence de leurs jouissances. Ces Dames, en bas et porte-jarretelles, les petits seins conquérants, les croupes rebondies, l’œil brillant (le champagne ?) attendant sans doute encore d’autres plaisirs, riant, s’enlaçant, se donnant de petits baisers prometteurs… Les chiens, vedettes tout de même de la soirée, arpentaient le salon, allant des unes aux autres, la queue battante, la langue lécheuse sur un mollet ou une cuisse à leur portée…

Jennifer annonça une nouvelle « figure » dans nos ébats et nous la décrivit…

« Chères Dames, mes Amours, cette scène nous allons la jouer toutes ensemble, vous mes bons Seigneurs serez spectateurs, mais après, je vous le promets, vous saurez être récompensés… ». Sur une couche large et confortable, confectionnée par deux Servantes (non participantes) et disposée au centre du grand salon où nous avions déjà exercé nos talents, ces Dames allaient nous offrir leurs jeux les plus osés, uniquement entre elles et avec les chiens, seul Eros, Sappho et la gent canine en seraient les exécutants…

Zoo R224L’Orgie canine

Disposées en étoile, jambes écartées, superbement nues et abandonnées, tête contre tête, nos compagnes s’offraient à nos yeux ; leurs superbes ventres offerts à nos regards, nantis de leurs jolis petits touffins bruns, blonds fournis ou moins fournis, leurs fines cuisses gainées de bas noirs, rouges, blancs ou gris-bleus, jarretelles ou jarretières très coquines, les seins hauts dressés, aréoles dilatées par le proximité du plaisir et l’attente des ébats… Comme elles étaient belles nos compagnes, ainsi livrées, sens et chairs aux aguets, l’émoi jusqu’au bout de leurs tétons, le souffle court, aux abois, telles des biches qui attendaient…

C’est à cet instant que deux servantes entrèrent, tenant en laisse quatre autres magnifiques canidés, Labradors également de couleur « yellow », à l’échine nerveuse, bien pourvus, de beaux mâles canins certainement très performants ! Nous applaudîmes à l’entrée de ces merveilleux spécimens. De nouveaux officiants qui allaient prendre la relève des précédents, car il fallait bien que les bêtes prissent un peu de repos après tant d’ardeurs et de performances !

Ces nouveaux arrivants ayant pleines forces, furent donc introduits, jappant, queue battante, prêts à se produire en…l’Arène du Sexe ! Ces quatre nouveaux compagnons quadrupèdes haletaient, langues tirées, impatients, sentant bien ce qu’on attendait d’eux et flairant les belles chairs nues de ces Dames… L’ambiance était excitante et nous, les époux, étions très attentifs à ce qui allait se dérouler, là, sous nos yeux, nous les libertins-Maistres-queues qui voulions toujours jouir ! Les chiens s’approchèrent, firent connaissance avec les officiantes, les flairèrent, leurs halètements s’accélèrent, leurs flancs battirent un peu plus vite et leurs sexes semblaient traduire déjà leurs envies de beaux mâles, se dressant doucement, balançant, roses ou rouges, tantôt violacés, congestionnés par le désir, respirant les muscs intimes de ces femmes ainsi offertes… Nos épouses caressaient à présent ces quatre frémissants Amants, flattant leurs flancs, enserrant leur col, tendant même leurs bouches à ces langues tirées, leur parlant voluptueusement pour leur donner toute confiance et que les saillies à venir se passent de la meilleure façon pour elles et leurs partenaires-chiens… Elles les caressaient plus intimement, comme elles l’avaient fait envers les précédents jouteurs, afin de les mieux mettre en condition – si tant est qu’ils en eussent besoin, certains montrant déjà toutes leurs…possibilités ! Une caresse de la paume sur un gland dressé, une main caresseuse sur les parties rondes et généreuses, un baiser sur le membre tendu, une petite fellation à peine esquissée…les chiens geignaient, léchaient, se tortillaient, impatients…

Impatients, nous l’étions aussi ! Nous connaissions certes les talents amoureux de nos Chères Epouses et leurs ardeurs à satisfaire leurs vices tout autant que les nôtres, mais de telles Amours canines n’étaient pas chose courante et l’humeur autant que le bon contact et la bonne approche avec l’animal n’étaient pas à dédaigner.

Les chiens à présent s’employaient à licher profondément les belles touffines, écartant, lissant, humectant les soies brunes ou blondes offertes à leurs convoitises… Françoise se livrait à une savante masturbation de l’animal, tandis qu’il la léchait au plus profond de son sexe. Elle était belle ainsi, recalottant, décalottant le sexe dur du chien dressé au-dessus d’elle ; Nicole, enfouinée par une langue fureteuse geignait doucement en se pinçant les seins ; Chantal de Cyrignac, se livrait elle à une magnifique fellation du membre de son cavalier canin qui, pattes arrières écartées, se laissait sucer jusqu’aux bourses, la Belle engoulant le vit canin jusqu’au fond de sa gorge. Jennifer prenait des poses fort suggestives, ainsi le chien la léchait-il abondamment, tour à tour en chatte, en cul, sur les seins, la bouche, la belle zoophile murmurant des mots osés à cet ardent canidé, l’encourageant à la bien fouiner de partout… Françoise maintenant, étendue sur Nicole, ondulait lentement sur son ventre, vulve à vulve, unissant sans doute leurs clitoris en une étreinte des plus excitantes ; un chien vint se placer sur les belles fesses de ma femme et commença à les chevaucher, le vit bien dardé cherchant le sillon fessier… Mon épouse passa ses mains sous le chien, saisit son long sexe et, s’étant écarté les fesses, le guida vers l’anneau convoité par l’animal ; celui-ci hésita, poussa et enfigna le derrière qu’il besogna d’une belle ardeur… Je voyais l’animal la couvrir, pattes arrières écartées, couilles dansantes sur le sillon, tenant sa taille entre ses pattes avant, exigeant, possessif, le museau entre ses omoplates, bavant déjà de plaisir… Les deux femmes jouissaient, Nicole de sentir la chatte de mon épouse frétiller contre son petit con et Françoise goûtant là une double jouissance, celle de son Amie sous elle et la chaleur du chien sur elle qui possédait son petit cul à longs et répétés coups de bite… Un autre chien montait ardemment Chantal de Cyrignac qui, cuisses ouvertes, tendue vers l’animal, se donnait entièrement à lui dans un abandon lascif, terriblement sensuel, la truffe entre ses seins, buvant littéralement les halètements de l’animal en train de la posséder profondément ; cris, plaintes, râles montaient de cette couche comme vouée à Satan, des femmes décoiffées, livides, jurantes, aux voix mourantes de jouisseuses qui n’en finissaient plus de se laisser monter, la semence coulant en hiéroglyphes sulfureux et blanchâtres sur les draps blancs, froissés et refroissés par les croupes dansantes et les pattes des animaux au paroxysme de l’excitation… Jennifer et sa Lieutenante partageaient le même chien qui les montait l’une après l’autre, insatiable, le sexe toujours bandé, la bête réclamant sans cesse un peu plus d’amour féminin et de chairs humides qu’il léchait avidement après chaque saillie…

Deux Servantes qui n’officiaient pas habituellement aux dires de Jennifer avaient été cependant désignées pour assouvir nos désirs à nous les maris, contemplatifs, assistant aux accouplements successifs de leurs épouses avec ces beaux « monteurs » canins… Tour à tour, ces deux jeunes femmes, belles, soumises, expertes, filles de la campagne, rudes, mais caressantes au demeurant, s’employèrent à nous bien feller, s’enivrant de nos foutres qu’elles faisaient jaillir sur leurs lèvres licheuses et leurs langues dansantes…

A l’issue de chacune des fellations, elles recueillirent en une coupe, nos foutres qu’elles mêlèrent ensuite à ce beau champagne blond pétillant qu’elles y versèrent ; puis, elles en intervertirent l’ordre et les tendirent à chacune de nos épouses : aucune d’entre elles ne sut à qui appartenait le foutre absorbé…d’où un grand mystère aphrodisiaque… Et ayant ainsi satisfait pleinement nos sens à tous les quatre, essoufflées, elles nettoyèrent nos sexes, nos bourses, léchant nos poils poisseux et nos fossés anaux, véritables fouilleuses ne nous laissant aucun répit… Un peu plus tard, l’une d’entre elles fut prise en même temps par Albin et moi-même, tandis que Stan et Marcus se partageaient aussi les faveurs de l’autre, de devant comme de derrière en alternance… De beaux trots qui arrachaient des plaintes lancinantes qui montaient au milieu de notre aéropage, nos ombres s’agitant, démentes, sur les épaisses tentures qui étouffaient les cris de ces filles en rut.

L’orgie ne prit fin que vers les deux heures du matin. Jennifer et Stan donnèrent des ordres, afin que des bains nous soient accordés en deux grandes salles de bains dignes d’un Versailles, nous y purifiâmes nos chairs dans une apaisante atmosphère parfumée, douce et paisible, puis nous nous vêtîmes et, ayant retrouvé une tenue plus aristocratique, nous rejoignîmes le grand salon où champagne et souper nous furent convivialement offerts. Nos épouses, bien que lasses, étaient si belles, le champagne illuminant leurs yeux cernés où se lisait une plénitude entière après autant d’excès, chacune d’entre elles serrant sur son sein une rose rouge comme un cœur refermé sur la nuit : une attention de notre Hôtesse envers nos épouses…

Les beaux étalons canins rejoignirent leurs quartiers après avoir goûté à une pitance du meilleur choix. Caresses, flatteries et baisers pour honorer leurs exploits.

Nous prîmes congé de nos Hôtes, de nos Chers Amis et complices et partîmes en carrosse juste après le souper. Françoise posa sa tête sur mon épaule, me sourit et soupira : « Comme c’était bon, mon Cher et tendre Ami, c’était si bon…pour vous aussi, n’est-ce pas, à ce que j’ai pu voir… » et elle s’endormit jusqu’à notre arrivée au domaine…

Je la portai jusqu’à notre chambre et nous nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre… Que de rêves, quelle plénitude !

Chères Lectrices et Amis libertins, je vous souhaite la bonne nuit.

Le Marquis de Chair.

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Lundi 22 juillet 2024 1 22 /07 /Juil /2024 12:46

Très brèves - sado-maso

stamp slave

 

Filochard :

 

J’avais mes habitudes chez une maitresse et le scénario était toujours à peu près le même, pinces, martinet, gode, humiliation, pipi… un jour elle m’a demandé si cela m’intéresserait de tenir le rôle d’esclave dans une séance collective. J’ai accepté malgré le prix (on ne vit qu’une foi). Ça se passait chez une collègue à elle. Nous étions trois soumis, il y avait deux maitresses et quatre spectateurs (deux couples). Tout n’était pas intéressant (léchage des pieds) sinon c’était assez classique les deux spectateurs males avaient sorti leur bite. Un moment l’une des maitresses m’emmena à quatre pattes entres les jambes d’un des spectateurs et m’a demandé de le sucer. Je l’ai fait ! Et en même temps elle me fouettait mon cul de lopette..

 

Odilon :

 

Je me rends une fois pas moi chez Maitresse Zelda, A mon arrivé, elle me gifle et me crache dans la bouche, me mets en cagoule sur le visage, .me fixe des pinces sur mes tétons, puis je reçois 20 coups de cravache sur les fesses. Je dois ensuite lécher son cul merdeux. Ensuite vient le moment le plus attendu, un autre soumis est là, belle bite bien bandé, je le suce avec gourmandise, puis maîtresse m’ordonne de lui présenter mes fesses afin qu’il me sodomise. Je dois ensuite m’allonger par terre et me branler pendant que Maitresse me pisse dans la bouche. Vous ne pouvez pas savoir comme ça me déstresse.

 

Maitresse Gilda :

 

Esclave, tu me lécheras les pieds, je m’assoirais sur ta gueule de pédé, tu ne me toucheras pas à ma chatte ni à mes seins, mais tu me léchera mon cul plein de merde, tu seras fouetté, tes tétons et tes couilles seront pincés, tu seras fouetté à la main, à la cravache, tu prendras un bon gode dans le cul. tu me serviras de cendrier et de toilettes, etc… Et ton putain de cul et ta bouche devront obéir ! J’appellerais mes copines pour qu’elles se moquent de toi… et si j’ai un autre soumis tu devras lui sucer la bite et te faire enculer. (J’espère n’avoir rien oublié !)
Ça te plait comme programme ?

 Elza

Larcher :

 

Mon truc chez ma maitresse c’est de me faire traiter de pédé pendant qu’elle me fouette. J’aime bien quand il y a du monde, une autre maîtresse et ou un(e) invité, mais le top c’est quand il y a un autre soumis que je prends plaisir à sucer. Avec le temps les relations avec ma maîtresse se sont transformés, et on est désormais dans une situation de grande complicité

 

Chapu :

 

Une fois je suis allé voir une domina, après m’avoir fait plein de misères, elle m'a proposé de me mettre en cage pendant qu’elle s’en allait déjeuner, je lui ai dit d’accord mais j’ai une réunion à 14 heures…. Cette imbécile s’est attardée j’ai dû inventer un prétexte farfelu pour justifier mon absence.

 

Dreux :

 

Moi, j’ai pas aimé quand la domina, elle m'a écraser mes couilles 🙁

 

Lecharmant :

 

Faisez gaffe, certaine dominas sont cinglées, Il y en une qui m’a donné 50 coups de cravaches, comme j’étais bâillonné je n’ai pas plus employer de mot de sécurité (d’ailleurs il y en avait pas) ou lui dire d’arrêter. J’ai eu mal au cul pendant une semaine

 

Vidal :

 

Il m’est arrivé un truc comme dans la seconde histoire, la domina me demande de sucer un esclave, ça ne me dérange pas car j’ai déjà sucé pas mal de bite dans des sex shop ou dans des cinéma porno. Elle a ensuite essayé de me faire enculer, mais le mec avait du mal à maintenir son érection, pas grave j’y suis retourné le mois suivant et là ça a marché.

 

Basile :

 

Lundi je suis allé voir Maitresse J, que je ne connaissais pas. Il y avait un autre soumis dans son donjon, elle m’a d’abord cravaché le dos et les fesses après m’avoir accroché des pinces aux tétons. Elle m’a ensuite obligé à sucer l’autre soumis, ça n’a pas été une corvée, on m’a déjà fait sucer des bites et j’aime qu’on me le fasse faire. Ensuite il s’est produit ce que je ne pensais pas possible de supporter. Maitresse a chié un gros boudin dans une écuelle à chien et nous a obligé l’autre soumis et moi à nous prosterner devant. L’autre soumis n’a pas hésité une seconde et à même léché la merde, moi j’ai hésité, j’ai reçu des coups de cravache, j’aurais pu stopper là mais je me suis fait violence et j’ai léché. Cette humiliation suprême m’a fait bander terriblement

 

Caprice :

 

Je suis une fana de l’humiliation verbale et des insultes, cela me met parfois dans un état second, en particulier quand c’est fait en public et qu’on me fouette en même temps. En voici un florilège : traînée, chienne, salope, pétasse, vide couille, pute, putain, cochonne, truie, connasse, poufiasse, garage à bites, morue, radasse, trou à bites, sous-merde…

 


 

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Très brèves
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Dimanche 21 juillet 2024 7 21 /07 /Juil /2024 18:06

Très brèves - bisex et bitophiles

bi stamp

 

Flétan :

 

Hier matin mon voisin est venu m’emprunter ma scie sauteuse. Ma femme, en nuisette lui propose un café, on va le boire dans la cuisine. Je suis torse nu et me demande si le voisin va avoir des intentions salaces. Ça ne rate pas il s’amuse à me pincer les tétons, je me laisse faire j’adore ça ! Il me demande si je veux lui sucer la bite. Bien sûr que je veux bien, J’adore sa bite elle est très belle. Ma femme nous regarde, elle s’est débraillée et se caresse les seins et la minouche. Ce cochon avait apporté des capotes, il s’en enfile une et il m’encule ! Qu’est-ce que c’est bon de se faire enculer devant sa femme ! Le voisin s’est retiré sans jouir, il a changé de capote et sodomisé Madame. Voilà une journée qui commençait sous les meilleurs pénis !

 

Vesoul :

 

Salut tout le monde ! J’ai 20 ans je suis un mec bi… En fait aujourd’hui je suis allé au centre commercial et j’ai eu une envie pressante… Je suis donc allé aux toilettes et je suis allé pisser aux urinoirs… Sauf que le mec à côté de moi était en train de se branler ! Il avait la cinquantaine… Quand j’essayais de pisser, il regardait ma bite et donc j’ai pas fait trop attention mais quand il insistait un peu, j’ai aussi regarder la sienne et c’est là que j’ai vu qu’il bandait et qu’il se branlait ! Il avait vraiment une très belle bite et ça m’a troublé sévère… Il a approché sa main de ma bite et je l’ai laissé faire, il m’a un peu branlé et je l’ai branlé aussi. il me dit « allez je te le suce dans les toilettes… » J’ai dit d’accord. Dans la cabine il m’a sucé en me pinçant mes tétons, j’adore ça ! Puis on a inversé les rôles, c’est moi qui le suçait et je me régalais. Je lui ai demandé s’il était d’accord pour m’enculer (avec capote) Il a dit oui ! Qu’est-ce que c’était bon une bite qui va et qui vient dans mon petit cul !

 

Curioso :

 

1ere pipe a 26/27ans
et le processus (suce) était enclenché ! au debout que des tétés à tétés, je te suce tu me suces
après on accepte un mateur puis 2 etc… et on se retrouve à pomper tous ceux qui veulent.
je suce à fond depuis peu 2 ou 3 ans ! je voulais savoir ce que ressentaient les nanas qui me suçaient à fond ! mmmh je comprends mieux l’excitation que certaines avaient. je reçois en bouche mais n’avale pas ! ca fait plus « salope »
j’ai eu la chance d’avoir une copine de baise addict au cul ! je lui ai révélé ce petit secret ! Ça l’a électrisé à mort ! elle n’avait plus qu’une idée me voir pomper !
on s’est fait des plans à 3 et avec d’autres couples !
l’entendre me parler avec des mots crus augmentait mon excitation
« suce le petite salope, mieux que ça ! bouche a bite ! t’aime ça ! t’es aussi pute que moi !!! vas-y bien au fond !! » et elle appuyait sur ma tête pour mieux me l’enfoncer.
quand les mecs jouissaient elle voulait que je laisse couler le foutre de ma bouche jusqu’à que la bite devienne molle…
le plus de bites sucée lors d’un plan suce 5 ! et je les ai toutes fait cracher le lâchera prise complet…
bref j’aime les femmes et j’aime sucer ! c’est pas incompatible

 

Sombrun :

 

La première fois c’était ma copine qui m’a emmené dans une partouze organisée par une copine à elle que je ne connaissais pas. Il y avait quatre nanas et trois hommes en nous comptant, l’un des hommes devait avoir 40 ans l’autre dans les 60… après quelques caresses alors que nous étions à poil, les deux mecs se sont sucés. « ça ne tente pas de sucer une belle bite comme ça ? » me lance la plus vielle des nanas. « C’est pas mon truc ! » « Tu ne vas pas te dégonfler ! » me dit ma copine, « essaie ça ne te tuera pas ». Je l’ai fait, j’ai bien aimé et ce fut le début d’une longue série et maintenant je me fais même enculer (j’adore)

 

Bibi :

 

C’était en été, une grande clairière aménagée dans les pentes pyrénéennes. Il avait quelques tables avec des bancs en bois. Personne hormis un type la soixantaine, je le croise, il me dit bonjour et je m’aperçois qu’il est entièrement à poil. Il me demande du feu (en fait un prétexte pour faire démarrer la conversation.)
– La nudité ne vous gêne pas, j’espère ?
– Non pas du tout !
– Moi j’aime bien et puis ça permet de créer des contacts !
– Ah ?
– Oui, je suis comme on dit, à voile et à vapeur.
Et moi je ne pouvais m’empêcher de regarder sa bite… il s’en aperçut bien sûr.
– Elle te plait ma bite ?
– Elle est jolie, mais je vais vous laisser…
– Touche-la un peu, je vois bien que tu en as envie.
Alors j’ai touché et quand il m’a proposé de sucer, je l’ai fait. Quel bonheur d’avoir une bonne bite dans la bouche !

 

Danino :

 

Je ne connaissais pas ce sauna parisien dont on m’avait conseillé l’adresse, il est immense, je visite un peu les lieux et me retrouve dans la salle de cinéma, ce qu’il y a l’écran n’a aucune importance, le spectacle est dans la salle ! Mon dieu toutes ces bites, ça se branle, ça se suce, je bande. Je m’assois sur les gradins tout en bas et pose ma serviette sur ‘épaule, un mec arrive à ma hauteur, bite bandée, il me demande si je suce !. Je ne vais pas faire le difficile, je suis venu pour ça, des années que je n’avais pas sucé une bite ! Que c’est bon, je me régale. Le type m’a ensuite demandé si je voulais me faire baiser. Je lui dis d’accord mais on fait ça où ? Il m’a répondu qu’il aimait bien faire ça devant tout le monde. Alors d’accord, je lui ai tendu mon cul et il m’a enculé. Qu’est-ce que c’était bon. Quand il est ressorti de mon cul sans jouir, un autre a pris sa place, je me suis laissé faire tandis qu’un vieux cochon me donnait sa bite à sucer.. J’ai encore sucé quatre bites avant de partir et là j’étais trop excité, je me suis fait sucer… et j’ai joui come un malade. J’y retournerais

 

Dominguez :

 

J’ignorais que ce bois était un lieu de rencontre, Dans une clairière il y avait un jeune mec tout nu allongé dans l’herbe, un vieux habillé lui suçait la bite. Je regardais fasciné et bandé. Le vieux s’est aperçu de ma présence et m’a proposé de m’approcher. Et là il m’a carrément fait l’article genre « T’as vu cette bite comme elle est belle, ce serait dommage de ne pas la sucer… » Alors j’ai sucé le jeune, et pendant ce temps-là le vieux à baissé mon pantalon et me doigtait le trou du cul. Le jeune m’a ensuite proposé de m’enculer, j’ai accepté et le gars m’a sodomiser pendant que le vieux suçait la bite d’un nouvel arrivant.. Je n’avais pas sucé une bite depuis le lycée et je ne m’étais jamais fait enculer. Il y a un début à tout !

 

TonyMarouzet :

 

Je me souviens de la belle bite de Sylvain, nous nous étions donné rendez-vous dans un petit débarras où il ne venait personne, il a baissé son pantalon et son slip, il n’a pas voulu que j’y touche avant qu’elle ne bande, il s’est masturbé. Une merveille, la peau légèrement halée, une insolente petite veine parcourant le cylindre de la verge, le gland braillant, je l’avais déjà touché furtivement et en connaissait la douceur, mais cette fois, nous avions le temps, je l’ai mis dans ma bouche. Quel régal ! Comment peut-on ne pas aimer ça ? je l’ais sucé à fond et j’ai avalé son foutre, il ne m’a pas sucé , me laissant se branler. Nous n’avons pas recommencé, il devait culpabiliser. Pas moi !J’ai attendu plus de 20 ans, j’étais marié, mais le fantasme persistait, c’est un peu par hasard que je me suis retrouvé dans un sex-shop qui avait une salle de projection, nous étions une dizaine là-dedans, mon voisin avait sorti sa bite et se l’astiquait, un peu plus loin près de l’écran, un type en enculait un autre. Imaginez mon état. Tout s’est précipité, la bite de mon voisin fut bientôt dans ma bouche vicieuse, et quand il m’a proposé de me prendre le cul, j’ai dit oui sans hésiter.

 

Marcadet :

 

Ce soir on réveillonne avec un couple d’amis très coquins, ces dames vont se gouiner et moi je sucerais la bonne bite de l’invité avant de me faire sodomiser devant ces dames, elles adorent regarder ça et moi ça me fait un bien fou ! Ensuite ce sera huitres et rôti de biche. Quant au Champagne, nous le boirons à la source

 

Serge_sodo :

 

Pour avoir pas mal trainé ma bosse (j’ai maintenant dépassé la 50aine) je me suis rendu compte que le fantasme de beaucoup de femmes était de voir deux mecs se faire des trucs. Avec ma compagne actuelle nous sonne très complices, nous recevons beaucoup pour de motifs professionnels. Parfois l’invité nous branche, ma compagne chauffe ‘invité et quand la soirée devient chaude, elle parles de son fantasme. Ça passe ou ça casse. Ella est assez fine psychologue pour ne pas se lancer dans des râteaux et « ça passe assez souvent. Elle m’en a fait sucer des bites !

 

Emile :

 

J’ai 50 ans divorcé et je vis seul, mon voisin du même âge est veuf et vit seul également. On ne se fréquentais pas trop mais un jour je lui ai demandé un coup de main pour réparer une truc que je n’arrivais pas à faire seul, Il fait le boulot, je lui paye un coup et on papote, on en vient à parler d’internet et donc des sites de cul. Il me dit qu’il aime des tas de trucs, les gros seins, les femmes matures mais aussi les gays.
– Ah oui ?
– Oui les belles bites ça m’excite.
– Et dans la vraie vie, t’as déjà pratiqué ?
– Rarement mais ça m’est arrivé
Je ne sais plus trop comment on a continué mais toujours est-il qu’on s’est retrouvé tous les deux la bite à l’air, on s’est un peu branlé et ensuite on s’est sucé. Il m’a demandé si j’aimerais être enculé, j’ai accepté, c’était bien. On s’est revu régulièrement et un jour il m’a présenté son neveu, on s’est bien amusé tous les trois. Aujourd’hui il a déménagé dans le sud.

 

Soudeur :

 

J’étais jeune et déjà porté sur le sexe, au cours d’une party où je faisais banquette, un type s’est approché de moi et m’a demandé s’il pouvait me toucher la bite. J’ai dit oui et du coup j’ai touché la sienne, je ne sais plus comment je me suis retrouvé avec sa bite dans ma bouche mais quel souvenir inoubliable, que plaisir de sucer, de sentir cet organe de chair dans ma bouche. Il m’a ensuite proposé de me prendre par le cul et nos nous sommes dirigés vers une chambre, Ce fut mon dépucelage anal et c’était bon

 

Lemercier :

 

C’était dans le sous-sol d’une sex-shop où il passait des films, le mec assis à côté de moi se branlait comme un malade, il a commencé par me caresser la cuisse, j’ai changé de place, je suis resté debout, dans un coin un mec se faisait sucer la bite, il y avait une autre petite pièce à côté avec un urinoir, j’y suis allé et là un mec se faisait carrément enculer. J’étais scotché par le spectacle. L’enculeur m’a proposé de m’approcher, je me suis enfui, mais j’ai repensé à tout ça toute la nuit et quelques jours plus tard je suis revenu, je me suis assis à côté d’un mec qui se branlait, j’ai sorti ma bite et j’ai attendu, il m’a branlé, je l’ai branlé et sucé. J’étais lancé, j’ai sucé plusieurs bites, le quatrième m’a proposé de m’enculer, j’ai eu un peu peur qu’il me fasse mal, il a eu du mal à enter, j’étais vierge du cul, mais ensuite qu’est-ce que c’était bon !!!

 

Arsène :

 

Il y avait longtemps que je voulais franchir le pas. Au cours d’un soirée à laquelle j’étais invité avec ma copine mais où je ne connaissais que note hôte, celui-ci connaissant mes fantasmes, m’a indiqué discrètement « Essaie avec Jack, ça devrait marcher ! » J’ai attendu quelques instants et j’ai posé ma main sur la braguette de Jack qui m’a répondu en me mettant un pain dans la gueule ! ça a jeté un froid, le type en question s’est fait virer de la soirée et on m’a soigné. En fait Jack ce n’était pas lui et j’ai pu ensuite sucer la bite du vrai Jack devant tout le monde, y compris ma copine, Une soirée qui avait très mal commencé mais qui s’est bien terminée!

 

Bitos2 :

 

Ma première fois ce fut lors d’une soirée à gage, je n’ai pas osé me dégonflé et j’ai sucé la bite du mec, j’avoue avoir kiffé ! Le souvenir de cet acte m’a hanté plusieurs mois avant que l’envie de recommencer me tenaille, je me suis rendu dans un sauna gay, j’ai failli m’enfuir l’ambiance en me plaisait pas, mais j’ai trouvé un type la quarantaine, un monsieur tout le monde, je l’ai sucé c’était bon!

 

Kraven :

 

Moi c’était dans un ciné porno, après pas mal d’hésitations j’ai osé branle la bite du mec qui était à mon côté. Il m’a ensuite fait comprendre qu’il voulait que je le suce ! je me suis lancé, ça été le début d’une longue série.

 

Cornuto :

 

Je suis devenu bitophile par hasard, tellement fasciné par le spectacle de deux mecs qui se branlaient dans les urinoirs de la gare que j’ai voulu quelques jours après franchir le pas


Belly :

 

C’est sur une aire de repos dans un coin un peu isolé que j’ai vu deux mecs en train de s’enculer. Il s’est rapidement formé un petit attroupement autour d’eux, les mecs de masturbaient. Je me suis approché aussi et j’ai fait comme tout le monde. Un mec m’a chopé la bite, je l’ai laissé faire, c’était très agréable, et comme je suis quelqu’un de gentil je lui ai rendu la pareille, il m’a demandé si je suçais. Alors je l’ai sucé en me branlant.


 Evenou


Avec un couple d’amis nous avions loué une petite maison au Cap d’Agde. Je pensais être hétéro exclusif mais je ne cessais de lorgner sur la belle bite de notre ami, il s’en est rendu compte et m’a sorti un truc du genre "si ça t’intéresse, ça peut se faire !" Un jour, alors que je cherchais le sommeil, j'étais à fond dans mes fantasmes et j'avais irrésistiblement envie de me faire enculer. Ça ne m'étais jamais arrivé auparavant, et j'étais dans la confusion la plus totale. Surtout que j'étais en couple avec une meuf que j'aimais réellement. Malgré tout, mon anus me démangeait et le lendemain je me résignai alors à aller voir notre ami. Il me proposa alors que l'on fasse ça devant les filles "Ça va les exciter" qu'il m'a dit !" Donc j'ai pris son chibre en bouche afin de bien le raidir, lui m'a lubrifié le trou du cul avec sa salive. Et il m'a enculé devant les filles à poil qui se gouinait. Le lendemain m'a copine m'a félicité pour mon ouverture d'esprit et moi j'étais content de m'être fait enculer. 

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Très brèves
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