Samedi 3 mai 2025 6 03 /05 /Mai /2025 10:37

Pauline à Paris par Léna Van Eyck – 6 – Les turpitudes de Madame Berthe

scat

Attention chapitre comprenant un passage scato explicite

N’empêche que je suis bien obligée de faire comme la tôlière me demande, je n’ai pas envie de me faire virer.

– Quel cul ! S’exclame-t-elle en y portant la main. Il me donnerait presque envie de le fouetter. Je vais me déshabiller, je préfère être nue quand on me lèche.

La voilà à poil ! Elle dit à tout le monde qu’elle a 50 ans, en fait elle doit en avoir 60, mais il faut bien reconnaitre qu’elle a de beaux restants

– Alors ça va, je suis encore consommable ? Me nargue-t-elle.
– Vous êtes une belle femme !
– Evidemment, tu ne vas pas me dire le contraire !

Elle se retourne :

– Et mon trou du cul, qu’est-ce que tu en penses ?

Je ne suis pas une spécialiste en trou du cul, je n’en ai pas vu de près tant que ça dans ma vie, mais il faut bien admettre qu’il est plutôt agréable à regarder, avec sa jolie couleur brune et son aspect plissé.

– Il est mignon ! Finis-je par murmurer.
– Alors lèche !

On y va. ! Ça ne sent pas vraiment la rose, mais ça ne saurait me gêner. Je suis une fille de la campagne et je ne partage donc pas les dégouts effarouchés des bourgeoises de la ville.

– Hum, c’est bon ce que tu me fais, mais je me demande si je n’ai pas envie de chier.

Elle se dégage et se dirige vers son pot de chambre au-dessus duquel elle s’accroupit.

– Tu peux regarder ou te tourner, c’est comme tu veux.

Je ne réponds pas, mais ne me tourne pas..

– Tu ne vas pas être déçue, en principe je fais de beaux boudins bien moulés ! Croit-elle devoir me préciser.

Elle est de dos accroupie sur le vase et après avoir pissé abondement, se met à pousser. Je suis tétanisée par ce spectacle complétement inattendu… et voilà qu’un long boudin sort de son anus.

– Oh, que ça fait du bien ! Commente-t-elle. Tu veux m’essuyer ?

Je cherche des feuilles de papier, je n’en vois pas…

– Avec ta langue, idiote !
– Je ne suis pas sûre…
– Tu n’en sais rien, tu n’as jamais essayé, allez vas-y, lèche-moi ma merde !

Je suis dans un état second, ma langue s’approche de son trou du cul, je ferme les yeux, ça y est la pointe ma langue entre en contact avec ses traces de caca.

A ma surprise, le goût n’a rien de repoussant, on peut même le trouver assez agréable… Du coup je lèche tout avec gourmandise, je dois être devenue complètement folle.

– Alors, elle est comment ma merde ?
– Délicieuse, madame, délicieuse.

Pauline06Mais Madame Berthe n’en avait pas terminée, sans doute excitée par ma réaction elle voulait aller plus loin, aussi ramassa-t-elle un morceau de son étron dans le pot de chambre et le prit en main avant de le lécher, puis me le tendis afin que je le lèche à mon tour.

Madame Berthe se badigeonna ensuite les seins avec la matière et m’invita à lécher.

Je ne sais combien de temps a duré ce moment de pure folie pendant lequel je me demandais si j’étais bien moi-même, mais toutes deux excitées comme des puces, le corps souillée d’urine et de merde nous nous sommes retrouvées en soixante-neuf pour nous faire jouir et je n’ai pas besoin de vous préciser que ce fut intense.

Je me suis demandé après coup, le pourquoi ce cette convocation. Me préparer pour un client amateur de ce genre de choses ? Non même pas, Madame Berthe avait tout simplement envie de délirer avec moi !

Je suis restée deux semaines dans ce rade, j’en ai vu des vertes et des pas mûres ! Les clients ? Cela a été beaucoup de gens convenables mais aussi quelques parfaits abrutis. Quant aux fantaisies, j’ignorais que le catalogue fut si large, on m’a demandé de pisser mais on m’a aussi pissé dessus, certains voulaient qu’on leur lèche le cul, d’autres qu’on les maltraite ou qu’on les insulte. Il y avait ce grand échalas qui me léchait les pieds en s’astiquant la tige. Ou ce grand bourgeois qui se faisait talquer les fesses comme un bébé. Un autre se déguisait en femme et puis celui-là qui se faisait sodomiser par son compagnon pendant qu’il me faisait subir les mêmes outrages. Et j’en oublie !

Si pour certains, je n’étais qu’une pute, autrement dit pas grand-chose dans leur pauvres esprits étriqués, d’autres étaient respectueux, voire charmants.

Robert, l’un d’entre eux, grand amateur de fessées, sans me l’avouer explicitement était tombé amoureux de ma modeste personne, généreux et attentionné, ce riche grainetier m’avait laissé son adresse « en cas de besoin »…

Et ce jour-là, redescendant après avoir fait un client rapide, j’aperçois une silhouette de dos qui me dis quelque chose.

Juste ciel ! Mon frère Auguste !

Affolée, je remonte en vitesse, Berthe, la mère maquerelle qui ne comprend évidemment pas mon attitude, me file le train.

– Tu fais quoi ?
– Il y a mon frère dans la salle, je ne veux pas qu’il me voit.
– Il est où ?
– Le petit moustachu près du poêle.
– Ah, ouais ? On le voit de temps en temps. Ce genre de situation c’est une source d’histoires, or ici on ne veut pas d’histoires, alors on va faire comme ça, je viendrais te prévenir quand il sera parti, ensuite tu prendras tes cliques et tes claques et tu t’en iras tapiner ailleurs
– Mais…
– Il y a pas de mais, on fait comme ça.

Auguste se demande s’il n’a pas eu la berlue. Dans le grand miroir qui est devant lui il a cru reconnaitre furtivement ma silhouette. Par reflexe il s’est très vite retournée, mais j’étais déjà partie.

Alors il attend…

« Elle va bien finir par redescendre, il faut que j’en ai le cœur net ! »

Il attend pendant une heure… pour rien, il attend encore, puis passablement énervé, il interpelle l’une des serveuses.

– La fille en vert, je serais bien monté avec elle, mais je ne la vois plus…
– Damme, c’est parce qu’elle est occupée !
– Depuis deux heures ?
– Elle est très demandée.
– Elle s’appelle comment ?
– Eugénie.
– Ah ? Et c’est possible de la réserver.
– Je vais voir !

La fille qui n’est pas au courant de mon départ précipité commence par me chercher et ne me trouvant pas s’en va se renseigner auprès de madame Berthe.

– Je m’en occupe ! Répond cette dernière qui s’en va à la rencontre d’Auguste. Bonjour monsieur, vous cherchez, m’a-t-on dit après cette délicieuse Eugénie.
– En effet.
– Eugenie n’est pas disponible pour le moment !
– Je peux attendre.
– Je vous le déconseille, elle ne sera pas disponible avant un bon bout de temps.
– Je ne comprends pas !
– Normal, mais je ne vous dois aucune explication. Nous avons plein d’autres filles qui vous donneront entière satisfaction, d’ailleurs vous le savez bien.
– Mais enfin, elle était là tout à l’heure et vous me dites qu’elle est devenue indisponible, ça ne tient pas debout.
– Je vous répète pour la seconde et dernière fois que je ne vous dois aucune explication !
– Eugenie, c’est son vrai nom ?
– Bon, ça va les questions. N’insistez pas vous ne saurez rien de plus et si ça ne vous plait pas, la porte c’est juste en face !

Et Auguste sortit du rade en maugréant.

Quant à moi; me revoilà dans la rue, comme une âme en peine, mon baluchon à la main

Où aller ? Pourquoi pas solliciter le concours de ce Robert dont j’ai l’adresse.

Je trouve assez facilement l’emplacement de sa demeure cossue.

Une bonne femme pas toute jeune, genre balai dans le cul vient m’ouvrir.

– C’est à quel sujet ? Me demande-t-elle de toute sa hauteur malgré qu’elle soit plus petite que moi.
– Je viens rendre visite à Monsieur Robert…
– Monsieur Robert ? il n’y a pas de monsieur Robert, Robert c’est pour les intimes, sinon la personne à laquelle vous faite allusion doit être mon fils, monsieur Montignac. Mais ça ne répond pas à la question ? Vous lui voulez quoi ?
– Madame, avec tout le respect que je vous dois, je n’ai pas à vous répondre. Je souhaite rencontrer Monsieur Robert et le reste ne vous regarde pas !
– Vous êtes une de ses putes ?

C’en est trop, j’éclate :

– Ça t’arrive d’être aimable ? Vieille peau !

Shlack.

Je n’ai pas vu venir la gifle, et pas la petite chiquenaude, non la grosse mandale, celle qui fait mal… et le temps de trouver une riposte la vieille sorcière avait déjà claqué sa porte.

Que faire ? Il y aurait eu un banc dans le coin j’aurais attendu que Monsieur Robert entre ou sorte de chez lui, mais il n’y a ici ni banc ni autre chose pour poser mon modeste fessier. Alors faire les cent pas ? Ça me prend la tête…

Et si j’allais à Paris ?

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 3 mai 2025 6 03 /05 /Mai /2025 10:34

Pauline à Paris par Léna Van Eyck – 5 – Passe à quatre
coin102

Et quand nous somme redescendus, les deux voyageurs étaient fin prêts…

– Alors Messieurs, lequel d’entre vous monte avec moi ? Demande Antoinette
– On pourrait faire ça tous les quatre dans la même chambre ce serait amusant ! Nous dit l’un des types.
– Pas de souci.

En chambre, on se déshabille, on leur nettoie la bite…

– Si vous voulez on peut vous offrir un petit spectacle goudou pour bien vous exciter, leur propose Antoinette.

Ça ne les intéresse pas (ils ne savent pas ce q’uils perdent !) De plus les deux hommes ne semblent pas d’accord sur le fait de savoir qui va prendre qui. Apparemment il me voudraient bien tous les deux. Et ça discute, et ça discute et ça n’en finit pas..

– Tirez donc à pile ou face ! Leur propose Antoinette.

Suggestion adoptée !

J’hérite du gros, j’aurais préféré l’autre, plus classieux. Reste à savoir ce qu’ils veulent exactement.

Les deux mecs se sont affalés sur le lit et nous attendent, Antoinette se faufile entre les cuisses du plus maigre et commence à le sucer, j’en fais donc de même avec mon gros patapouf.

Ça ne dure pas bien longtemps, le bonhomme m’invite à me coucher sur le dos et vient me peloter les seins…

Les seins, toujours les seins…

Pauline05Et puis sans crier gare, il me pénètre et me pilonne en cadence tandis qu’à côté de moi Antoinette subit les mêmes outrages. Son partenaire sue à grosses gouttes et finit par prendre son plaisir, durée de la pénétration, moins de trois minutes. Il se relève et part dans son coin s’essuyer la bite et se rhabiller.

Le mien continue de me labourer, mais manifestement il n’y arrive pas, je gigotte un peu pour l’aider mais rien n’y fait. Antoinette voyant le tableau vient derrière le bonhomme et lui frôle l’anus de son doigt. Provoquant une réaction d’humeur du type.

– Touche pas à mon cul !
– Bon, non, je voulais rendre service.

Et il continue de me baiser, je ne le sens plus, j’ai l’impression qu’il a débandé… et après quelques dernières tentatives, il se dégage, penaud.

– Je n’y arrive pas, j’ai dû trop boire de bière !
– Ça arrive à tout le monde mon gros loulou !
– Je ne suis pas ton gros loulou !

Il se rhabille à son tour et ils disparaissent tous ls deux sans prononcer une seule parole.

Pas vraiment intéressants ces bonhommes, malgré leurs beaux habits. Mais heureusement j’ai eu l’occasion de me rendre compte que tous les clients ne sont pas de cette cuvée !

Quel enchaînement ! Mais la suite fut plus calme, je continuais mon service jusqu’à pas d’heures, puis après avoir soupé, je gagnais ma chambre afin de m’offrir une nuit de repos bien méritée.

Au début de la matinée je fus réveillée par l’une des filles de la maison qui m’indiqua que la mère maquerelle souhaitais me voir.

Je me dirigeais vers son repaire qui lui servait à la fois de bureau et de salle de repos. Le mobilier sentait la récup, un canapé en bout de course, une table en mauvais état, deux fauteuils fatigués et détail trivial un pot de chambre en porcelaine.

– Alors cette première journée ?
– Ça va !

Qu’est-ce qu’elle voudrait que je lui dise d’autre ?

– Tes clients avaient l’air satisfaits, sauf le dernier, mais Antoinette m’a expliqué… ça mérite une récompense
– Ah ?
– Oui ta récompense ça va à être de me lécher la figue, déshabille-toi !

Tu parles d’une récompense !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 3 mai 2025 6 03 /05 /Mai /2025 10:31

Pauline à Paris par Léna Van Eyck – 4 – Premières passes

coin102

On a donc continué à servir comme des gentilles serveuses. Il y en a qui ont une sacrée descente, je me demande comment ils peuvent encore tenir debout ? Et je vous dis pas les mains aux fesses ! Ça aussi ce doit être une coutume locale. Nous avions instruction de laisser faire sauf si le type devenait lourd.

– T’es nouvelle, toi ? Me dit un gros lard (en me touchant les fesses évidemment)
– Oui, je suis Eugénie.
– Tu m’emmènes ?
– Oui !

Antoinette qui a entendu se ramène :

– Eugénie est nouvelle, c’est son premier jour, je la chaperonne un peu, je vais monter avec vous, ce sera sans supplément. D’accord ?

Évidemment qu’il est d’accord.

– Je le connais, il s’appelle Félicien, ça va aller vite, il va vouloir te voir à poil, il va te peloter les nichons et après il va te baiser à la pépère. Avant toute chose tu lui laves la bite, ils sont rarement propres, ces types. S’il veut t’embrasser sur la bouche tu refuses, ce n’est pas dans nos usages !

Mon premier client, celui dont on se souvient toujours. Je l’aurais préféré plus jeune, plus beau, mais je n’ai pas eu ce choix.

Je me déshabille, lui aussi, il dégage une forte odeur de mâle, mais ça n’a rien d’insurmontable , il se laisse laver la bite sans rouspéter, mais c’est vrai que c’est un habitué du lieu.

– Tu ne te fous pas à poil ? Demande-t-il à Antoinette.
– Je peux mais dans ce cas ce sera avec supplément.
– Alors soyons fou. Allons-y pour un trio.
– Et on paye d’avance, lui précise ma collègue.
– Bien sûr, bien sûr.

Antoinette et moi gagnons le lit, Félicien ne sait par où commencer, il est là à nous regarder, bave aux lèvres et bite en étendard, je me retiens de rigoler.

Et le voilà qu’il arrive, il en veut à mes nichons. Et vas-y que je les pelote, que je les malaxe, que je bave dessus comme un crapaud. Faut surtout pas se gêner. Brutal ? Non on ne peut pas dire, mais bourrin, oui assurément !

Il me laisse un moment tranquille pour aller peloter Antoinette qui l’encourage de façon très professionnelle.

Puis il revient vers moi.

– Ecarte tes cuisses ma jolie, je vais te baiser bien comme il faut.

Certes il m’a baisé, quant à dire que c’était bien comme il faut, ce serait aller bien vite en besogne.

Il a pris son plaisir en grognant comme un porc puis s’est rhabillé en oubliant de se rincer la bite .

Et voilà, le pas est franchi. Pute d’un jour, pute toujours dit-on. Et croyez-moi si vous voulez, ça ne me traumatise pas le moins du monde.

Je n’aurais pas appris grand-chose avec ce type. On est redescendu, les deux voyageurs ne semblent pas encore prêts, mais un quidam en redingote vient de s’attabler

– Jamais vu celui-ci ! Me confie Antoinette, on va se le brancher..

Elle s’approche avec un gros sourire coquin, je l’imite.

.- Qu’est-ce qui vous ferais plaisir, monsieur ?
– Peut être un moment avec vous…
– Avec nous deux ?
– Pourquoi pas ? Au diable l’avarice !

Le bonhomme est d’humeur joyeuse, d’autant qu’il a manifestement bu un petit coup.

Après le déshabillage, il nous demande de nous assoir sur le bord du lit et s’installe entre nous.

A tous les coups, il va nous peloter les seins. Ça ne rate pas, la main gauche pour ceux d’Antoinette, la main droite pour les miens

– Il faut toujours honorer les seins, m’a dit monsieur le curé.

Il doit sortir ça à chaque fois qu’il monte en chambre, mais nous sommes bonnes joueuses et faisons semblant de trouver son trait irrésistible.

– Si vous me suciez ? Suggère-t-il.

Pauline04
On est là pour ça, non ? Alors allons-y pour une pipe à deux bouches. Voilà qui n’est pas désagréable d’autant que sa bite fleure bon. Il a du se la laver à l’eau de Cologne.

Elle est marrante Antoinette profitant de l’occasion pour m’envoyer des petits coups de langue

– Passons à autre chose. Nous indique le bonhomme, j’adore la sodomie.
– Avec un petit billet en plus tout est possible. Lui précise Antoinette.

Le gars s’en va sortir ce qu’il faut de son portefeuille et revient vers nous alors que nous nous sommes placées toutes deux en levrette, le croupion relevé.

– Euh, non, je me suis mal fait comprendre, c’est moi qui souhaite être sodomisé ! Nous précise-t-il.
– Ah ! Ce n’est pas un problème ! Lui répond Antoinette. Et on fait ça avec le doigt ou tu préfères un godemiché.
– Le gode, j’aime bien.

Il y en a justement deux dans le tiroir du chevet, un gros et un petit, le client choisir le gros. Le client est un gros cochon.

Le miché se met en levrette en frétillant du cul. Antoinette lui tartine du trou du cul avec de la vaseline pis introduit le gode.

Ça lui fait de l’effet, au monsieur qui pousse de longs râles de plaisir pendant qu’Antoinette fait aller et venir le machin dans son trou de balle.

– T’aimes ça te faire enculer ! Hein gros vicieux ? Le nargue Antoinette.
– Ouin, oui !
– T’as déjà essayé avec une vrai bite ?
– Non, non ! C’est pas du tout mon fantasme.
– Qu’est-ce t’en sait puisque t’as jamais essayé ?
– Arrête de parler de ça, ça va me déconcentrer.

Alors Antoinette se tait et continue d’agiter le godemiché, Puis elle me passe le relais.

– Allez bosse un peu. Voilà comme ça pas trop vite, mais pas trop lentement non plus, tu l’enfonces, tu le fais revenir et tu l’enfonces encore.

J’essaie de faire de mon mieux, il faut croire que je me débrouille pas si mal. Le client se saisit de son membre et se met à le masturber comme un malade, il gicle une énorme quantité de sperme. Heureusement on avait placé une serviette.

Il se rhabille en silence, mais avant de franchir la porte il s’adresse à Antoinette.

– Ce n’est pas parce que j’aime les godemichés que je suis homosexuel ! Faut pas croire des choses.
– Mais il n’y a aucun soucis, cher monsieur.

Il s’en va pour de bon, et nous rhabillons.

– Un homo refoulé, ça arrive de temps en temps ! Me confie Antoinette.
– Et s’il nous avait dit qu’il aimait les bites, on aurait fait quoi ?
– S’il était prêt à lâcher un supplément on descendait voir Madame Berthe, elle sait arranger ce genre de choses…
– J’aimerais bien voir ça !
– Tu en auras l’occasion…

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 3 mai 2025 6 03 /05 /Mai /2025 10:28

Pauline à Paris par Léna Van Eyck – 3 – L’apprentie putain
bisou1719

On me propose donc de faire la putain, je ne vais pas jouer les pucelles effarouchées, parfois quand je m’adonne à mes plaisirs solitaires je m’imagine être une catin, mais du rêve à la réalité, il y a un sacré pas à franchir.

Je me suis assise sur un banc public et j’ai mis un certain temps à me décider avant de revenir dans ce rade.

– Je crois que je vais accepter, mais je voudrais savoir comment ça se passe ?
– Ben quoi, t’as jamais baisé ?
– C’est pas ça, je voulais parler des sous.
– Ah ! Je ne me suis pas présentée, je m’appelle Berthe, mais quand tu t’adresseras à moi tu devras me dire Madame. Sinon voilà comment on fonctionne : Avant de monter, le client me paye, j’en garde la moitié, l’autre moitié c’est pour toi et je te la verse en fin de service. Si le client veut des spécialités tu lui demandes un pourboire que tu gardes pour toi, mais attention si tu traines de trop, je te taxe. Et si tu fais des conneries, on règle ça à coup de martinet.
– Des spécialités ?
– Bon, il va falloir t’affranchir, toi ! Je vais te mettre en doublure avec Antoinette, je ne veux pas savoir comment tu t’appelles et tu ne devras le dire à personne. Ici tu seras Eugénie, ça te plait comme nom Eugenie ?
– Ça ne me déplait pas.
– Bien, Antoinette va te chaperonner, mais avant je veux voir la marchandise, viens avec moi dans l’arrière-salle.

Elle m’a demandé de me déshabiller, et s’est mise à me peloter les seins.

Faut surtout pas se gêner !

– Ça me semble parfait, t’as déjà baisé avec une femme ? Rhabille-toi !
– Ma foi, non !
– C’est un tort, Je vais demander à Antoinette de te déniaiser.

Ma réponse n’est pas tout à fait franche, il me revient en mémoire ces attouchements interdits avec ma cousine Sophie dans la grange de ses parents, elle était mignonne Sophie, une jolie fille mais tout le monde se moquait d’elle à cause de ses cheveux de rousse. On s’était regardé faire pipi, on s’était embrassé sur la bouche, on s’était caressé les tétés et la minette, on rigolait comme des bossues. Cela m’avait amusé et troublé mais quand Sophie m’a proposé de recommencer, je me suis dégonflée sans trop savoir pourquoi. Avec la cousine on a fait comme si cette petite fantaisie n’avait jamais eu lieu… Je ne sais ce qu’est devenue Sophie, j’ai cru comprendre qu’elle était partie travailler à Paris.

Antoinette est une petite brunette toute frisée, joli minois et grosse poitrine, elle doit avoir un succès fou avec les hommes !

– Voilà ta chambre ! Le lavabo, c’est dans le couloir, pour tes besoins, il y a un pot de chambre avec un couvercle, tu n’es pas obligé de le vider, il y a des clients qui aiment bien regarder. Là ce sont des éponges …
– Des éponges ?
– Ben oui, tu voudrais pas qu’un client t’engrosse ? Alors tu te fous ça au fond de la moule et quand c’est fini tu le changes. Le broc c’est de l’eau fraîche, tu la changes à chaque client, c’est pour leur laver la bite, c’est obligatoire, t’as aussi du savon… Et la petite bouteille, c’est de l’eau de Botot, c’est pour te rincer la bouche; c’est un désinfectant.

Quelle poésie !

– Déshabille-toi !
– Encore ?
– Tu ne crois pas que tu vas aller bosser avec ce que t’as sur le dos, on va te trouver une tenue qui ressemble à quelque chose.

Et pour la deuxième fois je me retrouve toute nue, et pour la deuxième fois je le fais peloter les seins. C’est une coutume locale ou quoi ?

– T’es bien foutue, je te lécherais bien l’abricot.
– Mais enfin, tu es une femme…
– Ah oui ! Tu avais remarqué ! Assis-toi sur le bord du lit et écarte les cuisses !
– Mais pourquoi ?
– Parce que j’ai envie.

Les images de la cousine Sophie me sont revenues en mémoire avec une précision diabolique, alors j’ai ouvert mes cuisses

Les doigts de la belle Antoinette sont venus m’écarter mes grandes lèvres, et dans la foulée j’ai senti sa langue me lécher l’abricot.

Et quelle langue elle a !

– Arrête, j’ai envie de pisser ! Lui dis-je.
– Eh bien pisse moi dans la bouche !
– T’es sûre ?
– Puisque je te le dis ! Attends, je vais enlever ma robe, je n’ai pas envie que tu en foutes partout.

Et la nana retire sa robe et se retrouve à poil. Elle a des gros nichons laiteux que j’ai envie d’embrasser. Mais on ne peut pas tout faire à la fois, elle veut ma pisse, elle va l’avoir !

– Pas tout d’un coup ! Essaie de pisser par rasades ! Me prévient-elle.

Je fais donc comme elle le souhaite et lui balance une première giclée qu’elle engloutit avec gourmandise.

Elle s’en lèche les babines et en réclame encore…. Mais quand il y en a plus, il y en a plus !

Pauline03Qu’à cela ne tienne, mademoiselle reprend son travail de lèche avec sa langue diabolique. Je suis au bord de l’orgasme et elle en a conscience, alors elle se livre a quelques interruptions histoire de faire durer le plaisir (c’est le cas de le dire), et puis soudain sa langue s’enroule autour de mon clito,. C’’en est trop, j’hurle comme une damnée.

Antoinette me toise, satisfaite de son action. Elle peut

– A toi de jouer ma belle, maintenant que tu m’as bien excitée.

Je le sentais venir ce coup-là, mais c’est de bonne guerre et puis ce ne devrait pas être une corvée.

Je porte enfin mes mains sur sa magnifique poitrine en éprouvant sa douceur. Ma bouche s’approche, je lèche, ses gros tétons durcissent sous les lèvres, elle se pâme.

– Lèche moi la moule !

Elle est pressée ou quoi ?

Mais puisque femme veut…

A mon tour donc de brouter le gazon, c’est tout mouillé la dedans et fleure un étrange goût, où se mélangent saveurs de miel et d’urine.

– Mon cul !
– Quoi ton cul ?
– Fous-y ton doigt.

Oh la cochonne !

C’est bien la première fois que je vais foutre mon doigt dans le cul d’une nana. Il y a toujours une première fois

– Le clito, le clito… le supplie-t-elle.

On y va, on y va et l’Antoinette part à son tour au paradis des goudous.

A mon tour d’être fière. Elle m’embrasse, pas le petit bisou de politesse, non, la grosse gamelle baveuse.

– Ben voilà, et ne me dit pas que ça ne t’a pas plu !
– Bien sûr que ça m’a plu.
– Autant te prévenir, avec la mère maquerelle tu vas passer à la casserole, tu n’y couperas pas, elle est moins douce que moi et elle est un peu sadique.
– C’est-à-dire ?
– Tu verras bien, mais ça ne va pas bien loin, elle ne va prendre le risque d’abimer la marchandise.

Brrr.

On est descendu. Le rade est fréquenté par deux catégories de clients, d’une part des habitués du lieu, des soiffards bruyants qui tapent la carte ou qui roulent les dés

– Ceux-là inutile de les aguicher, de temps en temps il y en a un qui monte mais bon… m’informe Antoinette .
– Ah ?
– L’autre catégorie, ce sont les bourgeois du coin, ceux-là viennent pour tirer leur coup, il y aussi quelques voyageurs de commerce qui cherchent un peu de détente. Des Parisiens des Belges et même des Anglais.

En ce moment la salle est principalement occupée par les soiffards, mais deux types bien habillés, un gros et un maigre, sont en pleine conversation dans un coin, on leur a déjà servi leur consommation.

– On va tâter le terrain, viens ! Me dit Antoinette, et laisse-moi faire !

On s’approche des deux bonhommes.

– Alors messieurs, une petite détente, ça vous tenterait ?
– Bien sûr mais pas tout de suite, nous parlons affaires.
– Bien, quand vous serez prêts, demandez après nous, je suis Antoinette et ma copine, c’est Eugénie.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 3 mai 2025 6 03 /05 /Mai /2025 10:25

Pauline à Paris par Léna Van Eyck – 2 – Une petite pipe pour le vieux Gabriel
Martinov

Je ne sais combien de temps j’ai cheminé, je n’ai aucune notion de l’heure d’autant que le ciel s’est couvert. Pourvu qu’il ne flotte pas !

Enfin je tombe sur une route, mais c’est la route pour où ?

Qu’importe, je la longe, il finira bien par passer quelqu’un !

Un attelage arrive, en fait une charrette tirée par un bourricot.

Je lui fais signe de s’arrêter. Miracle il le fait

– Monsieur, je suis perdue !

Le type est un bonhomme dans la soixantaine, barbu et mal fagoté.

– Vous êtes dans un drôle d’état, qu’est-ce qui vous est arrivé. Me demande-t-il
– Je me suis enfuie de chez moi, mon mari voulait me tuer.
– Pourquoi ? Vous avez fait des bêtises ?
– Il est violent quand il a bu !
– Ah ? Et vous allez où ?
– J’en sais trop rien, tenter ma chance dans une grande ville, dans une taverne peut être ?
– Je vais à Livarot livrer de la farine, je vous emmène ?
– Non, ça ne m’arrange pas, c’est là que j’habitais…
– Je peux vous proposer un truc : je vous dépose au carrefour des Fauvettes, je livre la farine et je vous reprends au retour, je ne serais pas trop long.
– C’est gentil, vous n’auriez pas un petit truc à grignoter.
– J’ai du pain et du fromage…
– Vous êtes un amour.

Je me suis planqué derrière l’affreux calvaire qui défigure ce carrefour et j’ai attendu.

Je gamberge, un affreux doute m’envahit : et si le bonhomme me dénonçait et se ramenait avec ceux qui me veulent du mal. Je suis d’autant plus inquiète qu’il met un temps fou à revenir.

Des bruits de sabots, je maintiens ma cachette, apparemment personne ne l’accompagne, mais on ne sait jamais, je reste cachée.

Le type s’arrête au carrefour, sans doute étonné de ne pas m’y trouver

– Mademoiselle ! Vous êtes où ?

J’attends quelques instants voulant m’assurer qu’il n’y a pas de piège. Puis je me dévoile.

– Coucou, je suis là.
– Vous vous cachiez ?
– Oui, j’ai eu si peur.
– Montez !
– On va où ?
– Chez moi, ensuite on verra ce que je peux faire pour vous.

Pendant le trajet il n’en a pas décroché beaucoup, c’est un taiseux

– Voilà c’est chez moi, je m’appelle Gabriel, je vis tout seul depuis que mon épouse a été emportée par une mauvaise fièvre, mes deux garçons sont partis travailler aux mines dans le Nord. J’ai un petit moulin à eau alors je fais de la farine avec mon blé et celui que l’on m’apporte. Bon je suppose que vous devez avoir encore faim, j’ai un reste de poulet…
– Cela me conviendra très bien, merci !
– Donc maintenant la question : où désirez-vous aller ?
– Je pensais à Rouen…
– Pourquoi pas, et en échange ?
– Mon pauvre monsieur, en échange, je n’ai rien.
– Ben si pourtant…

Je ne suis quand même pas née de la dernière pluie et j’ai parfaitement compris à quoi il pensait ce vieux cochon.

– Non, monsieur, je n’ai rien à vous proposer ! Répétais-je
– Soyons réaliste, je ne suis pas quelqu’un de violent ni de méchant, N’ayez crainte, je ne vous prendrais pas de force… et d’ailleurs à mon âge je n’aurais pas le dessus. Je me serais simplement contenté de vous caresser la poitrine. Il y a si longtemps que je ne n’ai pas fait ça.
– Vous ne fréquentez pas les ribaudes ?
– Un peu cher pour ma bourse !

Il ne sait pas mentir, le bonhomme !

– Et si je ne suis pas d’accord ?
– C’est votre droit, dans ce cas nous n’irons pas à Rouen mais je peux vous abriter pour la nuit et vous inviter à partager ma nourriture, comme je vous l’ai dit, je ne suis pas quelqu’un de méchant !

Au fond ça ne me coûte rien de lui montrer mes nichons et de le laisser les caresser un moment, le problème c’est que ce genre de situation, c’est le doigt dans l’engrenage, alors j’hésite.

– Laissez-vous faire, je ne mords pas ! Insiste-t-il.

J’hésite encore avant de lâcher :

– Bon, d’accord, mais on fait ça rapidement !

Je me dépoitraille. Le type il en a les yeux exorbités.

– Elle vous plaît ?
– Elle est magnifique ! Je peux toucher ? Juste un peu ?
– Allez, vas-y pépère, c’est mon jour de bonté !

Alors vous pensez bien que puisque permission il y a, il ne va pas s’en priver, le Gabriel. La caresse est d’abord timide avant de bifurquer sur le téton. (Première loi de l’attraction mammaire)

– Doucement, doucement, !
– Excusez-moi, je ne voulais pas vous faire mal !
– Vous ne me faites pas mal, mais allez-y doucement

Le type se calme, il n’est pas trop con .

– Je bande beaucoup ! Déclare-t-il néanmoins.
– J’en suis heureuse pour vous
– Admettez que la situation est difficile !
– Pourquoi ? Si vous voulez vous branler en me regardant, ça ne me dérange pas.
– Oui bien sûr, mais j’imaginais autre chose.
– C’est très bien l’imagination. Et vous imaginiez quoi ?
– Rien, laissez tomber.
– Non, je ne vais pas être vache, sors-moi ta bite, je vais te la caresser.
– C’est vrai ?

Il n’en revient pas, pépère ! Il en est tout ému !

C’est tout moi, ça, je suis une fille gentille, et je viens de me mettre toute seule au pied du mur. Je n’ai pas depuis mon mariage commis tant d’infidélités que ça, mais à chaque fois surgit le même problème : « est-ce que sa bite est propre ? » Et si elle ne l’est pas, je gère comment ?

Alors ça va être la grande improvisation, il me déballe son attirail. Super, c’est récuré comme un sous neuf. Quand j’y réfléchis ce n’est pas étonnant, il est négociant en farine, il ne va pas prendre le risque de se présenter devant ses partenaires commerciaux en puant le chacal !

Pauline02Du coup, je ne me contente pas de caresser cette bite pour le moment demi-molle, mais je me la fourre dans la bouche.et je la turlutte.

Il ne s’attendait pas à ça le vieux Gabriel, en moins d’une minute sa bite passe de l’état de demi-molle à celle de bout de bois bien tendu.

Je sens déjà son plaisir monter, ce doit être l’émotion.

– Je, je… balbutie-t-il
– Je fais comme si je n’avais rien entendu et le laisse décharger son foutre dans ma bouche.
– Toi alors ?
– Ça va ? J’ai gagné mon ticket pour Rouen ?
– Je t’y aurais emmené de toute façon !

Quel faux cul !

Il a tenu sa promesse (heureusement encore !) et je me suis retrouvé en plein centre de Rouen.

J’ai proposé mes services dans deux tavernes qui n’avaient besoin de personne, mais dans la troisième à l’enseigne de l’Oursin Bleu…

– On peut te prendre si tu acceptes de monter avec les clients.
– Monter ?
– Oh, tu sors de l’œuf ou quoi ? Ici faut être gentille avec les clients et s’il a envie de monter, tu l’emmènes et tu ouvres tes cuisses !
– Ah, c’est comme ça que ça se passe ici ?
– Oui, alors je t’embauche ou pas ?
– Je vais réfléchir.
– C’est ça, réfléchis, mais pas trop longtemps, les places sont chères.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Images Aléatoires

  • VanEyck08
  • stamp slave
  • FDR
  • Zarouny28b
  • Zarouny23b
  • bii089

Derniers Commentaires

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés