Mercredi 23 juillet 2025 3 23 /07 /Juil /2025 17:23

Martinov 30 – L’église de Sainte Pétassouille – 1 – Le curé vicelard
Stamp cure

Plantons le décors

Le professeur Martinov est un élégant sexagénaire barbichu et binoclard. Il est célibataire mais possède une maitresse en ville, Marianne, la veuve du grainetier qu’il saute une fois par semaine. (mais elle n’interviendra pas dans cet épisode)

Il est une sorte d’inventeur qui répare un tas de choses, un touche-à-tout, on fait appel à lui pour résoudre des problèmes dont personne ne veut s’occuper et il a acquis ainsi une certaine et flatteuse réputation.

Son point faible, étant la chimie, il s’est octroyé les services de Béatrice Clerc-Fontaine, une jeune chimiste, lorsqu’on lui passa commande d’un contrat juteux où il était question d’optimiser la fertilité des lapins.

Le produit fut rapidement trouvé, mais allez donc savoir pourquoi, ils voulurent faire une expérimentation humaine. Renonçant, en raison des risques, à solliciter des cobayes extérieurs, ils expérimentèrent le produit sur eux-mêmes (voir Martinov 1 – Professeur Martinov et le lapin dur)

S’en suivit un grand moment de frénésie sexuelle assez ahurissante et qui laissa des traces puisqu’encore aujourd’hui Béatrice et Martinov n’hésitent pas à s’envoyer en l’air quand cela les chante !

Et après ces présentations on va vous parler de Jodie Keller.

40 ans, lesbienne, brune, toujours habillée en tailleur chic, lunettes… une belle femme très distinguée. Elle travaille au ministère de la culture dans la section « Sauvegarde du patrimoine ».

Elle s’est payée assez récemment un petit succès. Appelée pour prendre en charge la restauration d’une tapisserie passablement moisie dans un château tourangeau que le dernier propriétaire avait laissé à l’abandon, elle s’y rendit en compagnie d’un stagiaire imposé, mais sans envergure. L’idée lui vint d’inspecter minutieusement la totalité des lieux et sa curiosité l’emmena jusqu’aux caves où s’entassaient objets hétéroclites, chaises et meubles cassées et autres rideaux pourris.

Son regard fut attiré (allez savoir pourquoi ?) par une commode Louis XVI en piteux état, l’un des tiroirs manquait, un pied était cassé et tout cela était attaqué par la moisissure..

« Ça pourrait se restaurer ! » Pensa-t-elle d’autant qu’elle était en relation de par son activité avec des ébénistes d’art. » Et d’autant que c’est le ministère qui paiera ! »

Elle s’approcha du meuble avec précaution, dû dégager quelques saloperies et entreprit d’ouvrir difficilement les premiers tiroirs qui étaient tous vides.

Mais surprise, le dernier tiroir sur la droite, en bas, s’avéra plus court que les autres. Intriguée elle le dégagea complétement et découvrit derrière une grosse boite en bois exotique qu’elle eut un mal de chien à extraire.

Evidement la boite était fermée à clé, mais son poids ne laissait aucun doute, il y avait là-dedans des objets lourds et sans doute de valeur.

– On va l’embarquer ! Indiqua-t-elle à l’attention du stagiaire.

Rentrée au ministère, elle ne fit pas appel à un serrurier estimant qu’elle pouvait très bien ouvrir cette boite elle-même.

Un petit coup de ciseau à bois et hop !

Des pièces, que des pièces ! Oui mais des pièces en or !

De suite elle en subtilisa quatre qu’elle dissimula dans son sac à main et qu’elle négocia ensuite à prix d’or (c’est le cas de le dire) chez un numismate de la rue Drouot.

« Il n’y aurait pas eu ce con de stagiaire, je gardais tout pour moi… »

Car ce dernier ne reculant devant aucun excès de zèle, n’avait rien trouvé de mieux que de consigner cette découverte dans son compte-rendu de stage…

Quand on lui demanda comment elle avait pu réaliser cette trouvaille, Jodie se lança dans des explications fantaisistes, genre « le fait que le meuble soit moins abîmé que d’autres semblait signifier la présence de métaux précieux… » Bref n’importe quoi !.

La copine attitrée de Jodie travaille dans la presse et possède ses entrées dans de nombreuses rédactions. Avec l’accord de Jodie elle publia un article « lèche-bottes ».

« Grace à sa sagacité et à son professionnalisme, Jodie Keller une chercheuse du ministère de la culture, découvre un trésor du 18ème siècle… »

Du coup Jodie connut sa petite heure de célébrité médiatique et fut très sollicitée mais ne découvrit aucun autre trésor.

Lundi 1er avril

Non, non pas de poissons d’avril, mais intéressons-nous maintenant brièvement à Constance. Elle est technicienne de surface (puisqu’il ne faut plus dire femme de ménage) au ministère de la culture, la vingtaine, joli visage et cul impressionnant.

Après sa journée de travail, elle rejoint comme tous les lundis, ses amis au café « Au bon compagnon »

Matteo est un très beau jeune homme, un peu ambigu, il est éclairagiste dans un théâtre. Augusto est un blondinet palot qui donne des cours de danse moderne.

– Tu ne sais pas qui j’ai rencontré aujourd’hui ? Demande-t-elle à Mattéo.
– Ben non !
– La bonne femme qu’est passé à la télé, celle qui a découvert un trésor…
– Ah ?
– Ben oui, je venais faire le ménage dans son bureau, mais elle était encore là à faire des heures supplémentaires. Tu verrais comment elle m’a reluqué, ce doit être une grosse gouine.

Et puis il parlèrent d’autres choses…

Mais le cerveau de Mattéo fonctionnait en arrière-plan.

– Tu crois qu’elle cherche toujours des trésors, la bonne femme ?
– Je n’en sais rien !
– Il faudrait que tu la branches… non ça ne le fera pas, si elle est sur la piste d’un trésor, elle ne va pas aller te le raconter.
– Sauf si tu es gentille avec elle ! Intervint Augusto.
– Je suis toujours gentille !
– Fait pas semblant de ne pas comprendre, si tu as un ticket avec elle, faut l’utiliser ton ticket.
– Autrement dit, tu voudrais que je couche avec elle ?
– Ben oui pour établir des liens faut coucher !
– Vous êtes givrés les mecs, je ne suis pas gouine !
– Ça ne va pas te tuer ! lui répondit Mattéo.
– Et si ça se trouve tu aimeras ça ! Renchérit Augusto.
– Non !
– Et si on te donne un petit billet ?
– Je ne suis pas une pute !
– T’es chiante Constance, t’es pas gouine, t’es pas pute, t’es quoi finalement ?
– Une femme de ménage et si on arrête pas cette discussion, je me barre !

Augusto allait dire quelque chose, mais Mattéo lui fait signe de se taire.

– Bon Ok, mais ce que tu peux faire quand même c’est regarder un peu ce qui traine, elle doit foutre des trucs à la poubelle, tu pourrais regarder…
– Ah, ça je peux faire !
– Ben voilà !

Pendant quinze jours Constance continua à faire le ménage du bureau de Jodie Keller. Quand celle-ci était encore présente, elle tentait de lier une esquisse de conversation, mais la femme de ménage ne répondait que par monosyllabes.

La poubelle ne révélait rien d’intéressant jusqu’à ce jour…

Lundi 15 avril

Une lettre prête à l’envoi mais non cachetée est posée sur un coin du bureau.

Le texte est très court, Jodie y annonce sa venue en l’église de Sainte Pétassouille pour la semaine suivante.

Constance qui est une jeune femme moderne s’étonne que ces gens-là correspondent par voie postale et non pas par e-mail, et tente de comprendre la raison de ce déplacement.

Le bureau n’est pas fermé à clé, elle fouille et trouve une chemise titrée Sainte Pétassouille. Elle le feuillette et s’en va dans le local approprié afin de photocopier tout ça.

Le soir elle explique et commente sa trouvaille auprès de Mattéo et d’Augusto..

– Voilà le topo, l’église a changé de curé depuis un an, le nouveau a découvert une dalle qui semblait mal fixée, en fait il s’agit d’une trappe qui débouche sur une pièce secrète… et on n’en sait pas plus.
– Ok, donc on va y aller, elle y va quand la meuf ?
– Heu, mercredi.
– Et c’est où exactement ?
– A Grimpeau-Ridot; près de Dijon.
– D’accord, on s’habille en fonctionnaire, on se fixe deux journées de vacances et on file tous les deux, on affinera le scénario dans la bagnole.
– Et moi, je ne viens pas ? Objecte Constance.
– Pas la peine de se pointer à quarante, mais ne t’inquiètes pas tu auras ta part de gâteau !
– J’espère bien !

Mardi 16 avril

Sur place; Matteo et Augusto se présentent devant le curé Bombillac.

– Nous sommes mandatés par madame Keller pour effectuer les premières observations…
– Ah ?
– On peut ?
– Vous pouvez quoi ?
– Voir ce local.
– Il n’y a pas grand-chose à voir, que du vide.
– Mais alors pourquoi avoir sollicité le ministère ? S’étonne Matteo qui commence déjà à se demander s’ils ne sont pas venus pour rien.
– On va descendre, j’ai posé une échelle, je vais vous expliquer, voilà une torche, il fait tout noir là-dedans.

Mattéo et Augusto descendent et se retrouvent dans une petite pièce d’environ 12 m² désespérément vide.

– Mais il n’y a rien là-dedans ! Constate Mattéo.
– Je viens de vous le dire ! Mais admettez que c’est singulier. Pour moi une des cloisons doit ouvrir un passage secret vers autre chose…

A ces mots Augusto se met à cogner sur les parois.

– Ça ne sert à rien, je l’ai déjà fait. Indique le curé.
– On va remonter et réfléchir ! Propose Matteo.

Le curé a une façon de regarder Mattéo, en fait il le déshabille du regard.

– Il y a fatalement des pièces mitoyennes, et ces pièces doivent être accessibles d’une façon ou d’une autre, vous avez un plan de l’église ? Demande le jeune homme.
– Ah non !
– Alors on va faire autrement, on va faire le tour de l’église par l’extérieur… Vous pouvez nous accompagner ?

L’arrière de l’église est partiellement envahi par la végétation.

– Là, c’était le logement du bedeau… mais vous vous rendez bien compte qu’il n’y a plus de bedeau ! Tout fout le camp !
– Et là ? Demande Mattéo en désignant un petit escalier descendant.
– Une cave, je suppose, vous voyez, l’entrée est condamnée, et c’est du solide, je ne comprends pas pourquoi ils ont posé une porte blindée. Il y a une serrure mais je n’ai pas la clé. Et d’ailleurs mon prédécesseur m’a indiqué que je n’avais pas besoin de m’occuper de ça… On a déjà assez de travail à essayer de ramener les fidèles à l’église.
– On va revoir une nouvelle fois l’emplacement de la trappe et on vous laisse tranquille.
– Vous ne me dérangez pas ! Répond le curé. En regardant une nouvelle fois Mattéo de façon équivoque.

Revenu à l’endroit de la trappe, Matteo compte les pas la séparant du chœur de l’église.

– Mais tu fais quoi ?
– Je regarde si c’est cohérent.
– Je ne comprends rien.
– Mais si, ça se tient, cette pièce vide doit être mitoyenne de la cave blindée. Donc devine ce qui nous reste à faire…
– Hi ! hi !

Le curé Bombillac n’en peut plus de dévisager Mattéo, alors prenant son courage à deux mains, il se lance :

– Vous êtes vraiment un beau jeune homme, vous devez, je suppose; avoir un succès fou auprès de filles !
– Je ne me plains pas !
– Même peut-être auprès des garçons !
– Mais dites donc monsieur le curé, vous pensez à quoi exactement en ce moment ?
– Parfois Satan me tente !
– Il a bon dos Satan !
– Vous savez, avant d’être prêtre, j’ai pas mal fait de folies, avec les femmes avec les hommes… Je me suis repenti, mais parfois mes envies reviennent.
– Et c’est grave ? Se gausse Mattéo.
– Vous m’embarrassez. Vous avez déjà joué à des jeux entre garçons ? Je veux dire des jeux un peu particuliers…
– Bien sûr, on est un peu pédés ! Répond Mattéo.
– Et même avec des hommes de mon âge ?
– Bien sûr, on a rien contre les séniors.
– Une petite fantaisie, là, tout de suite, ça vous dirait ?
– Mais pourquoi pas ?

S’il n’y avait que ça pour entrer dans les bonnes grâces du curé, les deux voyous étaient prêts.

– On va aller dans la sacristie, on sera mieux ! Précise le curé…

Et une fois dans les lieux.

– Ça me ferait plaisir de vous voir nus !

Pas de problèmes pour nos deux zigotos qui se déshabillent complétement (enfin presque complétement parce qu’ils ont gardé leurs chaussettes)

Le curé est subjugué devant les cops dénudés des deux garçons, surtout celui de Mattéo quasiment imberbe, des gros tétons pointus, et une bite… il n’en peut plus monsieur le curé, il en a l’eau à la bouche et bande comme un âne en rut.

Il se déshabille à son tour…

Ah ! ça, on ne peut pas dire qu’il soit très sexy le curé, gras et bedonnant et sentant la respiration. Par contre la bite n’est pas si mal.

Et en parlant de bite, il s’autorise à tripoter celle de Mattéo. C’est qu’il aime les bites, monsieur le curé, il lui arrive de temps en temps d’aller draguer dans le bois de Saint-Pierre, rendez-vous vespéral des exhibitionnistes, voyeurs et autres partouzeurs des deux sexes et même du troisième. Il adore sucer et quand il a bien sucé, il offre son cul à qui en veut bien.

Alors ici il va faire comme d’habitude, mais avant il demande, car il est bien élevé, monsieur le curé.

– Je peux sucer ?
– Mais avec plaisir !

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Alors il suce se régalant de la bonne biroute de Mattéo, lequel ne s’attendait pas à être sucé aussi bien, et pendant qu’il re régale, sa main gauche s’est emparé de la bite d’Augusto qu’il branle avec application.

– Humm, tu suces bien pour un curé !
– Tant qu’à pécher, autant le faire bien ! Répond-il avec philosophie.

Au bout d’un moment il alterne, c’est la bite d’Augusto qui a maintenant la faveur de sa bouche et celle de Mattéo, celle de sa main. Et puis…

– Si vous pouviez vous tourner que je vous lèche le cul ?

C’est qu’il adore ça aussi, le curé, lécher des bonnes rondelles, je vous dis c’est un cochon… et il ne se contente pas de lécher, il y fout les doigt et les agite en cadence et quand il les ressort il lèche avec gourmandise.

– Lequel de vous deux veut m’enculer ? Demande-t-il.

C’est Augusto qui s’y colle ! A son tour de préparer le passage de quelques coups de langue bien placés suivi d’un petit doigtage (comme ça, pour le fun).

– Ah ! Ça ne va pas être possible, je n’ai pas de capote ! Se désole le curé.

Mais si ça va être possible, Augusto en garçon prévoyant en a toujours au moins une dans son portefeuille…

Et donc après avoir enfilé la capote, il approche sa bite du trou du cul ecclésiastique, un bon coup de rein et à son grand étonnement, ça entre tout seul.

« Ma parole, il doit avoir l’habitude de se faire mettre ! »

Augusto le pilonne, tandis que Mattéo passé derrière son camarade, lui flatte le joufflu à l’aide de quelques fessées bien appliqués.

Et quand Augusto prit son pied, c’est Mattéo qui vint le remplacer (lui aussi avait donc une capote dans son larfeuille) Cinq minutes plus tard il jouissait à son tour.

Il décule, se débarrasse de la capote et cherche de quoi s’essuyer la zigounette… Pas la peine le curé est aussi amateur de sperme et se fait un devoir de bien nettoyer tout ça tandis que sa main droite astique son membre jusqu’à ce qu’il jouisse à son tour.

– J’ai honte ! Ne put d’empêcher de dire le curé en récupérant ses fringues.
– Mais non ! Soyez un peu décontracté, nous n’avons fait de mal à personne .
– Si, à Dieu.
– Pas grave, un Doliprane et il va s’en remettre.
– Vous blasphémez, là !
– Pas grave. On va vous laisser pour l’instant, faut qu’on réfléchisse un peu.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Mercredi 23 juillet 2025 3 23 /07 /Juil /2025 16:58

Martinov 29 – L’archipel de Véga – 10 – L’abominable Moineau suivi de Partouze spéciale par Maud-Anne Amaro
zoo
Gérard raccompagne Servane et Béatrice jusqu’à leurs domiciles parisiens respectifs.

L’affaire serait donc terminée ?

En fait non pas tout à fait…

Au 1 bis rue du Capitaine Crochet, Moineau a rapidement repris connaissance. Il attend que les choses se calment, puis pénètre dans une chambre dont la fenêtre donne sur l’entrée du pavillon. Il surveille le départ des « intrus », puis après avoir récupéré ses affaires personnelles, il rejoint sa voiture au garage avant de quitter les lieux en père peinard, tandis qu’il entend la sirène de l’ambulance s’approcher.

– Je me vengerais, je me vengerais, et ma vengeance sera terrible ! Grrr !.

(c’est bien ce que rabâchent tous les méchants de pacotille, genre Olrik dans les aventures de Mortimer)

Un mandat d’arrêt a été lancé contre lui, il s’en doute bien et ne regagne pas son domicile préférant se faire héberger chez Bobby, une vieille connaissance.

Il est conscient qu’il sera arrêté tôt ou tard, il apprend que la police est venu interroger son oncle et qu’elle s’est également rendue à la librairie ésotérique que Michelet s’est décidé à réouvrir après avoir été entendu par la police.

Ce qu’il ignore c’est que Michelet l’a désigné formellement comme étant l’un des assassins du professeur Coulmes :

– Ils n’avaient sans doute pas l’intention de le tuer, en fait ils voulaient l’enfermer à la cave, mais il y a eu une bagarre, Coulmes s’est débattu et a reçu plusieurs coups de barre de fer et il en est mort.
– Qui sont les coupables ?
– Paul Rivière et Jean-Bernard Moineau.
– Vous étiez présent ?
– Non, j’ai rencontré Rivière dans la foulée, il faisait une drôle de tête, il était en état de choc, il avait besoin de parler alors il m’a raconté.
– Et le corps ?
– Je n’en sais rien, et apparemment Rivière ne le sait pas non plus.
– Moineau aurait déplacé le corps seul ?
– Je vous répète que je n’en sais rien.

Des fouilles approfondies (c’est le cas de le dire) permirent de découvrir un cadavre dans une cave, on fond d’un fût rempli de charbon de bois. L’identification du Professeur Coulmes fut rendu possible par l’examen de son dossier dentaire. Des traces de chocs violents au niveau du crâne et de la cage thoracique corroborèrent la version de Michelet.

Obnubilé par sa soif de vengeance, Moineau achète un bidon d’essence avec le projet de le déverser devant la porte d’entrée de la maison du Professeur Martinov et d’y mettre le feu.

Arrivé sur place, il se dégonfle. Eh oui parfois des intentions aux actes, il y a un sacré pas à franchir.

« Je ne vais pas prendre le risque de tuer des innocents, déjà avec l’affaire Coulmes, je suis mal embringué… Et puis ils vont me retrouver avec la vidéosurveillance… »

Il rentre donc au bercail et réfléchit.

« Je vais faire comme l’autre fois, je vais attendre cette Béatrice, en fin de journée, je l’enlève et je l’enferme dans la cave de Bobby, elle sera mon esclave, je lui ferais faire toutes les tâches ménagères dans une tenue ridicule et si elle n’est pas sage je la punirais… Hi, hi, je vais bien m’amuser !  »

Il en a la bave aux lèvres, Moineau !

Premier problème : il sollicite le concours de Bobby qui refuse fermement de participer à un enlèvement. Il lui faudra donc agir seul.

Second problème : la vidéosurveillance. « Bof, il n’y a pas des caméras partout, je peux prendre le risque, mais je ferais une balade dans des endroits où il ne risque pas d’y en avoir et puis j’utiliserais des fausses plaques. »

Bref il est prêt !

Et ce jour-là, il gare sa Peugeot noire à 50 mètres du domicile du professeur Martinov et attend que Béatrice en sorte.

Moineau s’énerve parce qu’il ne la voit pas sortir… mais finalement la voilà…

« Il n’y a pas grand monde et la portière va masquer la scène, à moi de faire très vite ! »

Il ouvre sa portière, se saisit d’une bombe au poivre et attend le passage de sa victime

Mais il y a parfois des images qui restent gravées en mémoire, et Béatrice est stupéfaite de reconnaitre cette portière ouverte. Instinctivement, elle traverse la rue pour gagner le trottoir d’en face.

Moineau est décontenancé, bien sûr il pourrait la suivre, mais ce n’est guère évident, des gens arrivent de chaque côté.

« Je reviendrais demain, j’essaierai de me garer plus près ! »

Ce n’est qu’une fois dans le train de banlieue, que Béatrice téléphone à Gérard.

– J’espère que je n’ai pas rêvé, mais j’ai bien l’impression que Moineau a décidé de revenir m’emmerder. (elle lui explique, la portière, la Peugeot noire…)
– T’as fait quoi ?
– J’ai changé de trottoir…
– Bien ! On peut donc supposer qu’il va revenir. Il faut contrattaquer et le neutraliser. Mais comment faire ? S’il me voit, il va me reconnaitre et nous échapper… Il faut trouver un truc, on se rappelle.

« Le truc c’est de lui faire détourner l’attention, ne serait-ce que quelques minutes, afin que je puisse intervenir sans qu’il ne se sauve ! J’ai bien une idée, mais à qui demander ça ? A moins que… »

– Allo Brigitte ! (il s’agit de Brigitte Silverberg, détective privée fort délurée que nos lecteurs ont déjà eu l’occasion de rencontrer dans les épisodes précédents) Béatrice a quelques ennuis, (il raconte) Est-ce que je peux te demander un petit service ?
– Dis toujours !

Il lui expose son plan. Cela amuse Brigitte qui accepte le jeu de rôle proposé.

Et le lendemain…

A 17 h 45 Moineau se gare à 30 mètres du domicile du professeur Martinov. A 17 h 50 Brigitte se gare un peu plus loin, prévient Gérard par téléphone qu’elle est arrivée, puis descend en tenant en laisse le labrador de son gardien.

Elle est habillée d’une gabardine beige aussi classique que sage.

Arrivée à la hauteur de la Peugeot de Moineau elle toque à la vitre. Surpris, celui-ci l’abaisse,. Brigitte ouvre alors sa gabardine dévoilant une bustier hyper décolleté.

– Alors, mon mignon, ça te dirait une bonne petite pipe ? Je ne prends pas bien cher.
– Foutez-moi le camp !

Mais non seulement Brigitte ne détale pas, mais elle a le temps d’asperger l’individu de sa mini bombe lacrymogène. Il tousse, il pleurniche, il ne voit plus rien. Gérard arrive à la rescousse.

– Ouvre ta portière, on va te soigner.

Il n’en fait rien alors qu’un petit attroupement se forme. Gérard parvient en allongeant son bras à alpaguer Moineau par les cheveux.

– Appelez la police au lieu de mater ! Lance Gérard aux badauds qui s’agglutinent .

Gérard lui met la main sur les yeux, Moineau hurle.

– Alors tu l’ouvres cette portière !

Une voiture de police patrouillait non loin de là, ce qui fait qu’elle arriva rapidement.

– Qu’est-ce qui se passe ?
– Je vous présente Jean-Bernard Loiseau, recherché dans l’affaire des chimistes enlevés.
– Et vous, vous êtes qui ?
– Gérard Petit Couture, ancien agent de la DGSE et ancien ministre.
– Ah ! Vous pouvez nous suivre comme témoin ?
– Mais avec plaisir !

Brigitte est entrée chez Martinov.

– Ben, Brigitte, t’en as une tenue ?
– Elle ne te plait pas ?
– Si, mais c’est inattendu ! On se boit un apéro en attendant que Gérard revienne ?
– Volontiers !

Il n’est revenu qu’une heure plus tard. accompagnée de Béatrice

– L’affaire est terminée, Moineau est entre les mains de la police, il ne s’en sortira pas. Ça m’a donné soif tout ça, Martinov tu as toujours cet excellent whisky ?
– Bien sûr
– J’ai pensé qu’on pourrait faire une petite fête improvisée… on se commande des pizzas, c’est moi qui paye ! Ah ! Je me suis permis de prévenir Servane, elle devrait être là d’ici une demi-heure.
– Ah ? J’ai hâte de la rencontrer ! Indique Martinov.
– Tu ne seras pas déçu, c’est un sacré numéro ! Précise Florentine.

On ouvre le Champagne, on trinque, on rigole, on reprécise les détails de l’aventure pour Martinov qui n’a suivi tout cela que de loin… et qui pose plein de questions.

Et une demi-heure plus tard…

– Coucou, c’est moi ! S’annonce Servane. Ah bonjour Monsieur…
– Martinov, enchantée !
– Ah, on m’a beaucoup parlé de vous, enchantée de vous rencontrer ! Euh, bonjour Madame, je suis Servane !
– Appelez-moi Brigitte !
– Et c’est à vous ce gros toutou ?
– C’est le chien de mon gardien, mais je suis un peu sa deuxième maîtresse.
– Je peux le caresser !
– Bien sûr, mais soyez prévenue, il est assez vicieux.

Avant d’aller plus loin il faut peut-être faire un peu le point, Nous avons là deux hommes, le professeur Martinov et Gérard. Ces dames sont Béatrice, Florentine, Servane, et Brigitte…

…Et puis il y a le chien, il ne tient pas en place et vient renifler tout le monde.

Servane ne le repousse pas.

– Il est toujours comme ça ?
– Souvent oui ! Mais il est adorable… et puis il lèche bien !
– Ah bon ? Parce que…
– Et alors, ça ne fait de mal à personne !
– Ça fait même du bien ! Croit devoir ajouter Florentine.
– Je suis bien d’accord ! Renchérit Béatrice.
– Vous me faites marcher !
– Pas du tout ! On peut te montrer, si tu veux ! reprend Florentine.
– Chiche !

Inutile de répéter ça deux fois à Florentine, elle a pris goût à la chose depuis que Brigitte l’a initié.(voir Martinov 24 – L’énigme du hangar) Aussi retire-t-elle prestement pantalon et string, écarte ses jambes et appelle la bestiole qui se radine en remuant la queue et vient de suite pointer sa langue dans son intimité.

– Eh ben ! Se contente de dire Servane, les yeux écarquillés.
– Tu voudrais essayer ?
– Il n’y a aucun risque ?
– Aucun !
– Je ne suis pas contre mais je préfère attendre un peu.
– Comme tu veux ! Répond Florentine. Ah, les garçons j’ai fait comprendre à Servane que vous pourriez lui offrir un petit spectacle.
– Un spectacle ? S’étonne Martinov.
– Oui ! Un petit duo coquin !
– Hé ! On n’est pas au théâtre ! Fait semblant de protester Gérard !
– Ben justement au théâtre on ne fait pas ça !
– Et tu voudrais qu’on fasse quoi exactement.?
– Faut vraiment vous faire un dessin ?
– On ne va pas décevoir ces dames ! Intervient Martinov en se levant de son siège. Viens Gérard on va leur faire plaisir.

Gérard se lève à son tour et fait descendre sur ses chevilles pantalon et caleçon en exhibant une bite demi-molle.

Le professeur s’accroupit et engloutit dans sa bouche ce sexe qui le nargue.

Florentine vient aux cotés de Servane et plonge sa main dans son haut, passe sous le soutien-gorge et lui pince le téton.

– Plus bas la main ! implore-t-elle.
– Tu mouilles ?
– Un max !

La main de Florentine s’en va vérifier, effectivement ça fait floc-floc.

Martinov a eu beau avoir l’occasion de sucer maintes fois la bite de Gérard, il ne s’en lasse pas, il en redemande, c’est qu’il aime ça sucer des bites notre vert professeur !

Gérard, lui, bande comme un cochon sous les effets de langue de son partenaire.

– Tourne-toi que je t’encule ! Lui demande-t-il au bout d’un moment.

Le professeur se met en position de levrette sur le tapis, Gérard après lui avoir abondamment léché le fion et s’être recouvert d’une capote, le sodomise d’un coup sec avant d’entamer une série d’allers et retours..

Servane n’en perd pas une miette et continue de se laisser tripoter par Florentine. Tandis que Brigitte a dégagé la poitrine de Béatrice afin de lui sucer ses jolis tétons.

L’ambiance est chaude et Gérard décharge dans le cul du professeur en soufflant comme un bœuf. Martinov n’a pas joui et voudrait bien le faire mais toutes ces dames semblent fort occupées.

Gérard en bon camarade de jeu ne saurait le laisser en l’état et vient le sucer à fond.

Ils vont ensuite se poser, mais Martinov propose à son ami quelques pilules de son remède miracle « Le Lapin dur » qui les remettrons en forme en moins de vingt minutes.

Le chien s’approche maintenant de Brigitte et de Béatrice qui ont envoyé valser leur petites culottes et le reste. Il connait bien Brigitte mais allez savoir pourquoi en ce moment c’est la chatte de Béatrice qui l’attire.

N’ayant rien contre le fait se faire lécher, notre gentille chimiste écarte ses cuisses laissant œuvrer l’animal qui y va à grands coups de langue. Et puis tout d’un coup la bestiole se couche sur le dos réclamant qu’on lui caresse le ventre.

Mais ce n’est pas le ventre que caresse Béatrice, c’est sa bite déjà bien raide. Saisit d’une pulsion irrésistible elle se penche vers cet insolent organe et se met à le sucer.

– Oh !

Ça c’est Servane qui n’en revient pas de ce qu’elle voit.

– Choquée ? lui demande Florentine qui continue à le peloter.
– Non ! Mais je me demande si je serais capable de faire pareil !
– Eh bien essaie, tu verras bien !
– Et si je bloque ?
– Si tu bloques, tu ne le fais pas, c’est tout simple.
– J’ai envie de le faire mais c’est comme si quelque chose me retenait !.
– Tu veux qu’on y aille ensemble !
– Oui… murmure Servane.

Elles s’approchent du chien !

– Béa tu peux nous laisser la place quelques minutes !
– Et en quel honneur ?
– En l’honneur de Servane qui voudrait essayer !
– O.K.

Martinov2910Florentine demande à Servane de rapprocher son visage du pénis du chien, puis l’embouche quelques instants avant de le proposer à sa camarade de jeu.

Celle-ci souffle un grand coup, ferme les yeux et fait pénétrer le membre en bouche. Comme disait Neil Armstrong, c’est le premier pas qui compte, après ça va tout seul.

Elle s’arrête néanmoins au bout de quelques minutes, toute fière d’avoir accompli cet acte.

De son côté Brigitte s’est débrouillée pour lécher le cul de Béatrice, prélude à un broute minou qui l’envoie rapidement au ciel.

Martinov et Gérard ont repris de la vigueur. Le professeur s’approche de Servane.

– Nous n’avons rien fait ensemble, me semble-t-il ?
– Nous n’avons pas eu cette occasion !
– Puis-je vous caresser ?
– Nous sommes là pour ça, Non ?

Et puisqu’il en a l’autorisation, notre brave professeur jette ses mains sur les seins de la belle (Ben oui tous les hommes font la même chose, sauf dans les films américains, ce ne sera que la troisième fois que je vous le dit)

Ses doigts viennent titiller timidement les tétons érigés et comme Servane ne proteste pas, il y va carrément et se met à les sucer.

– T’aimerais que je te fasse une pipe ! lui propose-t-elle.
– Comment refuser ?

Servane se baisse et prend dans ses mains le service trois pièces de notre bon professeur. Et miracle du tripotage, la bite passe rapidement de l’état de demi-molle à celui de petit mât fièrement dressé.

Sa petite langue vient ensuite titiller le gland

– Oh là là ! Gémit-il.
– Un problème ?
– Non mais quelle langue tu as !
– Hi ! Hi !
– Tu me sucerais derrière ?
– Avec plaisir, tourne-toi, mon pépère !

Servane écarte les globes fessiers de Martinov et approche son visage de l’anus.

– Humm, ça sent un peu fort, par ici ! Constate-t-elle.
– Oh, je suis désolé, laisse tomber !
– Penses-tu ! C’en sera que meilleur !

Et la langue de Servane virevolte tant et si bien autour de l’œillet du professeur qu’il finit par béer

– J’adore sucer les trous du cul !
– Tu m’as l’air d’une sacrée cochonne !
– Non pas tant que ça… mais il y a des jours, je ne me contrôle plus. Répond-elle en introduisant son doigt dans l’anus offert !

– Allez retourne-toi que je m’occupe un peu de ta bite.

Et cette fois, elle se déchaîne, en faisant coulisser le membre de chair en de vifs mouvements de va-et-vient.

– Tu veux jouir comme ça ? Demande-t-elle.
– Je ne sais pas, tu me proposes quoi ?
– Tu veux m’enculer ?
– Oui ! Décidemment c’est la fête !

Mais voilà Gérard, qui, la bite en étendard, s’approche d’eux.

– Une double péné, ça te dirait ? Propose-t-il à la journaliste.
– Allez, on essaye ! Répond-elle sans hésiter une seconde.

Distribution de capotes, puis Gérard se couche par terre sur le dos afin que Servane puisse s’empaler sur son membre, ce qu’elle fait, puis elle se courbe légèrement permettant au professeur d’accéder à son anus.

Et s’est parti pour un trio infernal, ça pistonne, ça va, ça vient, ça fait du bruit, Servane ne cesse de japper. Tout ce petit monde ne tarde pas à jouir, puis à s’affaler de fatigue.

Et voilà que Brigitte et Béatrice qui n’avaient rien manqué du spectacle applaudissent d’enthousiasme.

Et Florentine ? Me demandez-vous ?

Eh bien figurez-vous que cette dernière après s’être placé en levrette a invité le chien à venir la sauter et qu’elle est en ce moment sous les assauts du quadrupède.

Quelle ambiance, mes amis !

Et tout d’un coup c’est la bousculade, tout le monde a envie de pisser… Mais la salle de bain n’est pas extensible… C’est Brigitte qui entre la première et prend place sur la cuvette. Servane la suit.

– Vite j’ai trop envie ! Implore-t-elle
– Chacune son tour !
– Je ne peux plus me retenir !
– Ben pisse moi dessus !
– Faut pas me dire ça, je suis capable de le faire !
– J’espère bien que tu vas le faire, vise ma bouche

Il faut se contorsionner un peu pour rendre la chose possible, mais ça finit par le faire.

Brigitte se relève, de l’urine lui a dégouliné sur le corps et elle décide prendre une douche, tandis que Béatrice propose à Servane de l’arroser. Damme pendant qu’on y est !

Retour au salon, après ces instants de folie, on ne se rhabille pas, on remplit les verres, on trinque. Martinov lève son verre.

– Vive la baise ! S’écrie-t-il.

On ne saurait mieux dire. Et nous allons laisser là nos amis que nous retrouverons bientôt dans de nouvelles aventures qui je l’espère seront aussi passionnantes et coquines que la présente.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Mercredi 23 juillet 2025 3 23 /07 /Juil /2025 16:55

Martinov 29 – L’archipel de Véga – 9 – Erotisme automobile par Maud-Anne Amaro
Voy

Plusieurs jours plus tard…

Il est 18 heures passées et Béatrice quitte le laboratoire du professeur Martinov à Louveciennes, elle prend la direction de la gare, une Peugeot noire attend 50 mètres plus loin. Rivière, l’âme damné de la secte de l’Archipel, en sort juste au moment où Béatrice passe.

– On est un peu perdu. Le chemin de la gare, s’il vous plaît ?
– Tout droit, puis à gauche au carrefour.
– Vous y allez ?
– Oui, vous m’emmenez ?
– Avec plaisir, montez.

Et tout va alors très vite, Béatrice a le temps de reconnaître Moineau au volant avant qu’un tampon de chloroforme l’envoie dans les vapes.

Et c’est ainsi que Béatrice se fit kidnapper pour la seconde fois consécutive

Arrivée à Marly, Moineau attendit que Woland se soit éloigné pour lui expliquer ce qu’il attendait d’elle.

– Voilà, nos expériences ont été interrompus malencontreusement, nous allons les reprendre là où vous en étiez.
– Mais espèce de bougre d’âne, est-ce que vous êtes au moins capable de comprendre que je ne sais pas faire ! Hurle la jolie chimiste.
– Vous ne savez pas faire quoi ?
– Chercher un antidote à un poison dont on ne connait pas la composition, ça n’a aucun sens ! Achetez-vous un cerveau !
– Je le sais bien que ça n’a aucun sens, mais vous n’aurez qu’à faire semblant.
– Pardon ?
– Vous avez très bien entendu, faites semblant !
– J’aimerais comprendre ?
– Je ne vous dois aucune explication. Reposez-vous cinq minutes, puis au boulot.

Les gendarmes de Limoges poursuivent leur enquête, ils demandent la collaboration de la police parisienne afin d’enquêter sur le propriétaire de l’Archipel, celle-ci se rend donc à son domicile de Marly les Violettes puis rend son rapport :

« Il apparaît que monsieur Woland a acquis la propriété dite de l’Archipel afin de réaliser une opération immobilière, il ne l’a loué à personne et déclare ne pas avoir été mis au courant du fait qu’elle était squattée. Pendant la période que vous nous indiquez monsieur Woland a déclaré avoir été en croisière privée en Méditerranée à bord du yacht de ses parents, alibi confirmé par ces derniers. »

Bien oui, Woland qui n’est pas complétement idiot avait demandé à ses parents de le couvrir par ce beau mensonge.

Le lendemain de son enlèvement le professeur Martinov s’inquiéta de l’absence de sa jolie collaboratrice d’autant que ses appels téléphoniques n’aboutissaient pas .

Fou d’inquiétude et craignant le pire, il se rendit à son adresse parisienne où personne ne lui répondit.

Alors il fit de nouveau appel aux services de Gérard Petit Couture.

– Ou bien ce sont encore les cinglés de l’Archipel ou bien c’est autre chose, on va partir de la première hypothèse mais par où commencer ?

Il apprend par la gendarmerie de Limoges qu’un seul suspect est sous les verrous, mais il n’obtient pas d’autres renseignements .

Gérard passe quelques coups de fil afin d’obtenir à toutes fins utiles les coordonnées du propriétaire de l’Archipel.

Il se rend donc accompagné de Florentine à Marly les Violettes et demande à être reçu par le propriétaire des lieux

– Petit-Couture, défense du territoire, se présente-t-il en exhibant sa carte périmée.
– Oui et alors ?
– Connaissez-vous cette personne ? Lui demande-t-il en exhibant une photo de Béa stockée sur son téléphone portable.
– Non, pourquoi ?

Quelque chose dans l’expression de Woland persuade Gérard que celui-ci ment, alors il y va au culot, et du culot, Gérard en a à revendre !

– Bien, nous allons faire une petite visite…
– Vous avez un mandat ? Demande Woland.
– Nous ne sommes pas la police, nous sommes la sécurité du territoire et nous n’avons pas besoin de mandat…

Woland ne sait que répondre à ce bluff et laisse Gérard et Florentine cheminer parmi les pièces de cette coquette demeure.

La porte blindée et insonorisée derrière laquelle Béatrice est censé travailler se trouve dissimulée par un pan pivotant de la bibliothèque. Gérard ne s’aperçoit de rien.

– Bon, apparemment elle n’est pas ici ! Tu vas nous dire ce qui lui est arrivée, ou je vais devenir méchant !
– Oh ! Calmez-vous ? Et pourquoi d’après vous cette personne serait susceptible de m’intéresser ?
– Parce qu’à l’Archipel vos petits copains se livraient à des expériences bizarres, que ceux-ci ont été interrompues par la gendarmerie et que j’ai l’impression que vous souhaiteriez les reprendre.
– Je vous signale que les activités bizarres comme vous dites, qui se sont déroulées à l’Archipel l’ont été à l’insu de mon plein gré. Pendant cette période j’étais en croisière en Méditerranée, ce que s’est permis de vérifier la police qui m’a interrogé à ce sujet.

Du coup Gérard est déstabilisé et ne possède plus d’angles d’attaque..

Alors une seule solution faire croire à ses interlocuteurs qu’ils n’ont rien à se reprocher, s’en aller pour mieux revenir à la charge ensuite…

Le professeur Martinov déprime, la police ne peut rien faire avant le délai d’usage de 48 heures.

De son côté Moineau ne chôme pas, il a envoyé un message à tous les adeptes de la secte, y compris ceux qui l’ont quitté après l’esclandre de Michelet. Il y explique qu’après une enquête, les malversations constatées ne sont imputables qu’au seul Nalon, actuellement sous les verrous, que celui-ci été banni de la secte et qu’il est temps de classer cet épisode, de tourner la page et qu’un rassemblement est prévu à Marly Les Violettes; que des tentes seront prévues pour le confort des membres et que ceux-ci seront accueillis quand ils le souhaiterons. etc, etc…

Et bien sûr Servane fit partie des destinataires.

– Allo ! C’est Servane ! Euh monsieur Gérard… je n’ai pas noté votre nom de famille.
– Ah, vous êtes la personne qui nous a abordé à Limoges après la conférence de presse.
– Tout à fait, je voulais vous faire part d’un message que je viens de recevoir, et qui peut vous intéresser, je vous l’envoi en MMS.

« Si après ça je n’obtiens pas mon interview, c’est que je ne suis plus bonne à rien ! »

Gérard lit le message et manque de s’étrangler.

– Putain de bordel de merde !
– Ben qu’est-ce qui te prends ! S’étonne Florentine.
– Ce salonard de Woland qui nous raconte qu’il n’a rien à voir avec la secte ! Quel sale menteur ! Tiens lis ça !
– On fait quoi, on y retourne ? Propose Florentine.
– Allo, monsieur Gérard, je suis toujours là !
– Oui, vous téléphonez d’où ?
– De Paris, mais je vais me rendre à Marly, le temps de préparer quelques affaires.
– O.K, on se retrouve là-bas, mais on ne se connait pas. C’est moi qui vous approcherais si nécessaire.

Derrière la grille, un bonhomme au visage graisseux, sans doute l’un des adeptes, est chargé de filtrer les entrées.

– Je peux voir votre invitation ? Demande-t-il
– Mon invitation c’est ça ! Répond Gérard en exhibant sa carte de la DGSE.
– Je vais prévenir monsieur Woland !
– N’en faites rien, on va lui faire une surprise.
– Je ne sais pas .
– Tu nous laisses entrer, conard, ou je tire dans la serrure !

Qu’est-ce qu’on peut perdre comme temps en formalités !

Gérard et Florentine s’approchent du bâtiment, ils perçoivent une certaine agitation provenant de l’arrière, ils décident d’y aller voir.

Un quinzaine de tentes y sont montées, des gens discutent entre eux tandis que des ouvriers installent des tables de plein air. Une véritable ambiance de kermesse, il ne manque que les ballons !

Ils pénètrent à l’intérieur.

– Encore vous ? S’exclame Woland.
– Ben oui ! Plus menteur que vous, il y a qui ? Pinocchio ?
– Pardon ?
– C’est quoi derrière ? La fête du village ?
– Qu’est-ce que ça peut bien vous faire ? J’ai quand même bien le droit d’organiser un petite fête avec mes amis
– Et vous fêtez quoi ?
– Je n’ai pas à vous répondre.
– Alors moi je vais vous le dire, vous êtes en train de reconstituer la secte de l’Archipel de Vega.
– Vous vous égarez, monsieur !
– Et en voici la preuve ! Répond Gérard en exhibant le message envoyé par Servane qui l’a pris soin d’imprimer

Le visage de Woland se décompose avant qu’il ne murmure un vague :

– Ce n’est pas ce que vous croyez je peux tout vous expliquer…
– Et vous allez me sortir un de vos mensonges ! Alors écoutez-moi, je me fous de vos activités de charlatan comme de ma première branlette, mais ce qui m’intéresse pour le moment c’est de savoir ce qu’est devenue mademoiselle Béatrice Clerc Fontaine.
– Mais je n’en sais rien.
– A l’Archipel vous aviez des laboratoires derrière des portes blindées ?
– Je n’ai jamais mis les pieds à l’Archipel.
– Menteur, je suppose qu’ici c’est pareil ?.
– Si nous cessions cette conversation ?
– Certainement pas. Apportez-moi le plan de la baraque.
– Mais je n’ai pas ça !
– Si, en principe c’est annexé à l’acte de propriété, allez me le chercher
– Je n’ai aucun papier ici, j’ai un homme d’affaires qui s’occupe de tout ça.
– Ben voyons ! Répond Gérard en giflant son interlocuteur
– Vous n’avez pas le droit !
– Dis-moi où est Béatrice ou je t’en fous une autre.

C’est à ce moment-là que surgissent armes au poing, Moineau et Rivière qui se tenaient dans la pièce contiguë et qui ont tout entendu.

– Ça suffit maintenant, vous abusez de votre pouvoir, veuillez quitter les lieux immédiatement.
– Et sinon ?

Simple question, mais bonne question, puisque les deux abrutis sont incapables de répondre.

Profitant de ce moment d’hésitation Gérard qui avait son revolver en poche tire sur la jambe de Woland qui s’écroule de douleur.

Rivière, surpris et choqué lâche son arme et lève les mains au ciel.

– Ne me faites pas de mal.
– Où est Béatrice ?
– Je vous assure que je n’en sais rien.

Deux invités, adeptes de la secte, se pointent en courant.

– On a entendu des coups de feu.. Oh, mais qu’est ce qui se passe ?
– Un fou qui nous a tiré dessus, j’ai voulu le maîtriser, il s’est enfui dans la cave, nous l’avons enfermé, la police est prévenue, elle arrive. Répond Gérard sans se démonter.

Satisfait de cette explication, les deux andouilles repartent, tandis que Gérard n’en revient pas de cette capacité qu’il a eu à mentir ainsi de sang-froid.

Gérard demande à sa compagne de surveiller les trois zigotos puis après s’être emparé de quoi écrire, arpente les lieux en mesurant approximativement les pièces et en les dessinant sur le papier de façon à constituer une esquisse de plan

Au bout d’un quart d’heure, il constate un vide dans le plan, correspondant à l’arrière de la bibliothèque

Ça devient facile, il essaie de faire bouger tout ça, un pan pivote et révèle une porte blindée.

« Maintenant il faut ouvrir »

– Béatrice tu m’entends ?

Pas de réponse, il tambourine. Et miracle, ça tambourine de l’autre côté.

– Je reviens, dit-il, sans savoir s’il a été entendu.

Il redescend.

– Bon, j’ai trouvé la porte blindée, maintenant je veux la clé.
– Attends, lui dit Florentine, l’autre idiot perd du sang, je fais quoi ? J’appelle une ambulance ?
– Oui, mais où est la clé de ce bordel ?
– Je peux tout expliquer… répond Woland.
– Je ne veux pas d’explication, je veux la clé.
– Quelle clé ?

Et il reçoit une nouvelle baffe, à croire qu’il aime ça !

– Bon, bon, je vais vous dire où elle est, mais ce n’est pas ce que vous croyez.
– C’est ça, c’est ça.

La clé n’était pas cachée mais posée négligemment sur un guéridon de l’entrée.

– Je vous accompagne ! Décrète Moineau.
– Gérard ! Comment tu m’as retrouvé ? Demande Béatrice

Moineau profite de ce moment d’émotion pour se jeter sur Gérard en un geste désespéré. Mais il est loin de faire le poids, et Gérard d’une manchette bien placée l’envoie dans les vapes.

– Vite Béa, on se tire, je t’expliquerais tout ça après.
– Mes affaires ! Il faut que récupérer mes affaires
– On va demander au joufflu blond.

Ils redescendent, abandonnant le corps inconscient de Moineau.

– Bon c’est fini, on se casse, toi le blondinet tu vas venir avec nous.
– Mais moi je n’ai rien fait ! Proteste Rivière.
– Ta gueule ! Lui répond Gérard en lui attachant les poignets avec un bas nylon qui trainait dans la boite à gants. Et dis-nous où sont les affaires de Béatrice.
– On s’en est débarrassé, c’est parti à la poubelle.
– Pauvre connard ! Ne peut s’empêcher de lui dire Béatrice.
– Mais ce n’est pas moi !

Gérard téléphone ensuite à Servane :

– On a fini, rejoins-nous dans la voiture, devant la grille, une Opel Corsa bleu métallisé… On va d’abord aller voir les flics ensuite on ira boire un coup, on l’a bien mérité.!

Au commissariat le plus proche, Gérard entre accompagné de Beatrice et de Rivière.

– C’est pour porter plainte pour enlèvement et séquestration.
– Ah ? Vous pouvez me préciser l’identité de la victime ?
– C’est moi ! Répond Béatrice
– Vous avez vos papiers d’identité ?
– Ben non, ils me les ont détruits.
– C’est qui « on » ?
– Notamment ce monsieur ! Répond Gérard en désignant Rivière !
– Mais moi je n’ai rien fait ! Proteste Rivière qui se répète un peu.
– C’est vous qui lui avez attaché les poignets !
– Oui, je n’avais pas de menottes.
– Ce monsieur aurait agi seul ?
– Non, j’ai laissé deux de ses complices au 1 bis rue du Capitaine Crochet à Marly les Violettes… l’un est blessé à la jambe, l’autre était dans les pommes…
– Mais vous êtes qui, vous monsieur ?
– Gérard Petit-Couture ancien agent de la DGSE et ancien ministre.
– Ciel, venez avec moi dans le petit bureau, on va démêler tout ça…

Et pendant ces formalités, Florentine et Servane font connaissance..

– On vous doit une fière chandelle… commence Florentine.
– Pensez-vous, j’ai maintenant de quoi pondre un article passionnant, peut-être même que j’écrirais un bouquin…
– Ça n’a pas été trop dur de vous infiltrer là-dedans.
– Non, j’ai fréquenté des gens autrement plus dangereux, ceux-là ce sont des doux dingues inoffensifs. Et puis il régnait une ambiance décontractée, c’était parfois amusant.
– Comment ça ?
– Disons que ça s’envoyait en l’air allègrement ! Je ne vous choque pas j’espère ?
– Pas du tout, confidence pour confidence, mon mari et moi sommes assez libertins.
– Ah ? Vous faites de l’échangisme ?
– Ça nous arrive, oui ! Mais nous avons quelques amis très partageux.
– De l’échangisme avec plusieurs hommes ? Avec des femmes ?
– Tout ça !
– Moi j’ai parfois des pulsions nymphos, mais j’aime bien les femmes aussi.! Répond Servane en regardant Flo de façon canaille.
– Alors qu’est-ce que tu attends pour m’embrasser ?
– T’es directe, toi !
– Ben oui, pourquoi s’encombrer de protocole ?
– Alors ne nous encombrons pas !

Voilà ce qui s’appelle être rapide en besogne. Les deux femmes se roulent une pelle magistrale tandis que les mains se font baladeuses, un peu les seins, un peu l’entrejambe, et tout ça dans la bonne humeur malgré l’étroitesse du véhicule.

– T’as déjà baisé dans une bagnole ? Demande Servane.
– Baiser c’est un grand mot mais on fait plusieurs expériences d’exhibitionnisme en bagnole.
– Tu me racontes ?
– Si tu veux, mais regarde dans la boite à gants, il y a peut-être quelque chose qui pourrait t’intéresser.

Servane ouvre…

– Oh, un gode, des capotes, du gel ! Ben dis donc !
– Autant être prêt à toutes éventualités !
– Je vois, je peux me servir du gode !
– Mais bien sûr ma poule !

Elle se saisit du joujou, l’encapote, puis après avoir écarté sa petite culotte, se le plante direct dans la chatte.

– Maintenant raconte-moi !

Le récit de Florentine

Je ne me souviens plus pour quelle raison nous avions emprunté cette route forestière qui se terminait en cul de sac dans un mini parking.

On se gare et on aperçoit une bagnole entourée par trois mecs qui se branlent la bite peu discrètement.

– Il doit se passer de drôles de trucs à l’intérieur ! Me dit Gérard.

L’un des trois mecs se déplace et vient regarder par la vitre de notre voiture, mais comme il n’y a rien à voir, il repart aussi sec.

– S’ils veulent du spectacle, on peut leur en donner ! Me suggère Gérard.
– Pourquoi pas ?
– Déshabille-toi un petit peu..

Martinov2909Je libère mes seins et je me tripote la chatte, mais personne ne vient. Gérard donne un coup de klaxon. Du coup l’un des voyeurs se ramène, s’approche et se branle en matant mes nichons. Il a une jolie bite, je baisse la vitre, le branle un peu, puis je le prend en bouche, le gars ne s’attendait peut-être pas à ça, mais il se laisse faire !

Le gars a joui dans ma bouche, je crache, un second arrive, la bite est moins jolie mais qu’importe, je suis trop excitée et je le suce.

Un autre mec s’est pointé côté conducteur et regarde Gérard se branler.

Gérard baisse la vitre.

– Elle t’excite ma bite ?
– Oui, elle est belle.

Du coup mon copain ouvre la portière et se fait sucer par le mec, tout cela n’a pas duré longtemps et on est reparti. Une expérience amusante et excitante.

Fin du récit de Florentine.

– Whah, ça m’a excité ton histoire ! Commente Servane tout en faisant aller et venir le gode dans sa minette.
– Et si tu me montrais tes nichons !
– Vas-y dégage-les ! Personne ne peut nous voir, vas-y c’est bon ! Mais dis-moi, ton mari, si je comprends bien, il est à voile et à vapeur ?
– Oui il est un peu bisexuel, il y en a d’ailleurs beaucoup dans les bois. Mais ça n’a pas eu l’air de te choquer !
– Non, non, au contraire, j’aimerais bien voir ça te plus près !
– Ça peut s’arranger assez facilement
– C’est vrai ?
– Puisque je te le dis…

Et Servane continue à se goder la chatte en gémissant de plus belle tandis que Flo se régale de ses tétons. La jouissance est intense et bruyante.

– Chut !
– Tu crois que c’est facile de jouir en silence, toi ?
– Occupe-toi un peu de moi !
– Tu veux le gode ?
– Non, baisse-toi et lèche.

Servane est véritablement une experte es-langue et envoya rapidement Florentine au septième ciel.

– Maintenant que cette histoire est terminée, le moins que l’on puisse faire c’est de faire une petite fête, tu seras des nôtres ?
– Avec plaisir.
– O.K. je t’enverrais l’adresse et l’heure !

Gérard sort du poste de gendarmerie et rejoint son véhicule.

– Alors les nanas, vous avez été sages ?
– Non, non, pas vraiment !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Mercredi 23 juillet 2025 3 23 /07 /Juil /2025 16:52

Martinov 29 – L’archipel de Véga – 8 – L’adieu à Frederika par Maud-Anne Amaro
Romantic

De son côté, Frederika après avoir réussi assez difficilement à se faire dépanner d’un peu d’argent par sa banque entreprend Béatrice.

– Je vais rentrer ce soir, j’ai mon billet de train. Je ne sais pas si on se reverra, on peut toujours s’échanger nos coordonnées, je n’ai toujours pas de téléphone mais j’ai un stylo et une adresse.
– Bien sûr !
– On ne se reverra probablement jamais…à moins que…
– A moins que quoi ?
– T’es chimiste chez qui ?
– Chez un chercheur indépendant.
– Et ça gagne bien ?
– En fait je suis son associée
– Tu n’as pas envie de changer, je peux te proposer une bonne place
– C’est gentil, mais c’est non !
– Tant pis pour moi, je n’insisterais pas, mais on pourrait se quitter avec un gros bisou.
– Ça d’accord ! Répondit Béa qui n’attendait que ça.

Les deux femmes se roulent un patin.

Et vous comprendrez maintenant pourquoi Béatrice avait refusé la langue de Florentine sur sa chatte, étant certaine que Frederika la solliciterait, vous me direz, elle aurait très bien pu jouir deux fois de suite, mais bon… et puis elle voulait que cet adieu charnel soit le plus intense possible, alors que Florentine, elle la reverra…

– Putain, j’ai trop envie de toi !
– Moi aussi !

Les deux femmes se sont déjà aimés charnellement, N’empêche que lorsqu’elles se déshabillent, le plaisir de la vue se renouvelle. Alors bien sûr, elles se caressent en s’embrassant, les langues viennent titiller et darder les tétons.

C’est Frederika qui la première gagna le lit sur lequel elle se posa à quatre pattes, en levrette, les cuisses écartées, le croupion relevé, la rosette en évidence.

Attiré par ce spectacle obscène, Béatrice se précipite, langue en avant pour venir butiner ce délicieux anus brun et fripé au goût légèrement musqué.

Elle met tellement d’ardeur à faire feuille de rose à sa partenaire que l’anus finit par s’entrouvrir. Ce qui fait se pâmer d’aise la jolie brune.

– Oh ! Quelle langue !

Eh oui, « quelle langue », sauf que la langue elle fatigue un peu… Du coup Béatrice décide d’être un peu passive à son tour. Et c’est elle maintenant qui après avoir adoptée la position qui le fait bien, offre son intimité rectale aux assauts linguaux de la belle Frederika. Et ce jusqu’à ce que la langue s’épuise. Mais il reste les doigts, et en voici un qui rentre dans le cul de Béatrice et qui s’agite frénétiquement ! Et comme si cela ne suffisait pas, un second doigt rejoint le premier, et ça s’agite, et ça s’agite. Et Béatrice miaule de plaisir.

Martinov2908Petit moment calme (enfin tout est relatif car les deux femmes se pelotent. sur le lit) . Un moment leurs jambes se croisent de telle façon que leur chattes se touchent. Position singulière que les anciens Grecs qui furent experts en la matière qualifiaient de tribade.

Alors bien sûr il ne faut pas rester sans bouger, non il faut effectuer des mouvements de frottement afin que les deux sexes se stimulent réciproquement.

Et les deux femmes se stimulent tant et si bien, qu’au bout de cinq minutes, elles jouissent pratiquement de concert… Là encore la fulgurance était au rendez-vous, elles s’embrassent, se caressent, c’est fini…

Enfin presque parce que ces petites fantaisies ont un effet diurétique. Elles se précipitent pour gagner les toilettes, Béatrice y pénètre la première, mais au lieu de s’assoir sur la cuvette, elle se couche sur le sol implorant sa partenaire de vider sa vessie sur elle. Inutile de dire que Béa s’est régalée de cette bonne urine avant que ces deux coquines n’inversent le rôles.

Servane, la journaliste infiltrée qui n’était pas au courant des derniers évènements est prévenue par sa copine, qui lui raconte tout ce qu’elle sait.

– Ah ! Ça redevient intéressant.

Servane assite à la conférence de presse du procureur de la république, elle prend des notes et va pour s’en aller au moment où la petite assistance commence à poser des questions, souvent débiles, quand elle aperçoit un type à l’évidence journaliste, vu son équipement. Il est jeune et beau. Elle décide de l’aborder afin de tenter de lui soutirer des renseignements.

– Journaliste ? Lui demande-t-elle avec un sourire qui se voudrait irrésistible.
– Oui, au Populaire du Centre.
– Servane Lafleur, journaliste indépendante.

Le journaliste local pressentant une ouverture (comme disait Michel Blanc) l’emmène boire un coup au bistrot du coin.

– C’est dommage que vous n’ayez pas les coordonnées des chimistes, je me serais fait une joie de les interviewer. Minaude la femme.
– Ne me faites pas de concurrence déloyale. De toute façon je n’ai pas leurs coordonnées, mais j’ai leur photos, il y a une nana plutôt canon parmi eux et…. et….
– Qu’est-ce qui vous arrive ?
– La table près de la grande affiche…
– Oui ben qu’est-ce qu’elle a la table ?
– C’est l’une des chimistes, avec un type. je vais vous dire son nom… euh, c’est noté là… voilà Béatrice Clerc-Fontaine.
– OK, je fonce, je suis descendue à l’hôtel des Biches, si ça vous intéresse, on s’y retrouve devant l’entrée à 19 heures.
– Ah ? Avec plaisir !

Il n’en croit pas ses oreilles le journaleux !

Servane s’approche.

– Bonjour ! Vous êtes Béatrice Clerc-Fontaine ?
– Pourquoi ? on se connaît ?
– Non, mais je suis journaliste indépendante et sachant ce qui vous est arrivée, je sollicite votre témoignage.
– Ecoutez, vous êtes très mignonne, mais j’ai déjà refusé une interview et je n’ai aucune envie d’être médiatisée
– O.K. je comprends parfaitement votre point de vue et je le respecte. Sachez simplement que je me suis infiltrée dans la secte et que j’y ai toujours des contacts. S’il leur prenait l’envie de recommencer leurs conneries, j’en serais avisé….
– Bon, on en reste là ?
– Echangeons nos coordonnées, ça ne mange pas de pain, voici ma carte…
– Vous pouvez la garder ! Merci de nous laisser maintenant !
– Non, on ne sait jamais, je vais vous donner mon numéro. Intervient Gérard.
– Vous êtes l’un des chimistes ,
– Non un ami de Béatrice.
– D’accord je vous laisse.

« Une faille dans la carapace, je l’aurais mon interview ! »

Il est 19 h 15 quand Servane rejoint son hôtel pour se changer avant d’aller diner, elle aperçoit alors le journaliste du Populaire du Centre qui fait le pied de grue devant l’entrée.

« Merde, je l’avais oublié, celui-là ! »

– Ah dit le bonhomme, content de vous voir, je commençais à me demander si vous ne m’aviez pas posé un lapin.
– Non, il n’y a pas de lapin, par contre je vous dois des excuses !
– Des excuses pour quoi donc ?
– Je vais être très franche avec vous, parfois le journalisme d’investigation, c’est comme l’espionnage, il faut parfois coucher pour avoir des infos.
– Pardon ?
– Vous avez bien entendu ! J’aurais donc été jusqu’à coucher avec vous pour avoir quelques renseignements, mais il se trouve que j’ai trouvé ce qu’il me fallait. Donc voilà, désolée pour le dérangement !

Le type est complétement décontenancé.

– Euh.. accepteriez que vous offre le restaurant !
– Epargnez-vous cette peine !
– Je peux peut-être vous apprendre des choses que vous ignorez…
– Allez, adieu !
– Salope !

Elle ne répondit pas et se dirigea vers les ascenseurs.

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Mercredi 23 juillet 2025 3 23 /07 /Juil /2025 16:49

Martinov 29 – L’archipel de Véga – 7 – La soumission de Gisèle par Maud-Anne Amaro
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Nalon n’a pas réussi à joindre ses comparses et il adopte une attitude tellement discrète qu’il finit par se faire repérer, la gendarmerie le cueille, il n’est pas bavard et refuse de donner les noms de ses complices. Il est rapidement mis en examen pour enlèvement et séquestration.

– Et le professeur Coulmes ? Il est où ?
– J’en sais rien, on m’a dit qu’il s’était sauvé.
– Il s’est sauvé sans rentrer chez lui, vous ne vous moquez pas du monde ?
– Mais j’en sais rien, moi !

Les deux interventions de la gendarmerie à l’Archipel ne sont pas passées inaperçues et les gens se sont mis à causer, en racontant un peu n’importe quoi. Quant aux réseaux sociaux, les intervenants rivalisent de bêtises (comme d’habitude, me direz-vous…)

Le procureur de la république en charge du dossier a voulu jouer sa star en organisant une conférence de presse dans un local municipal.

– L’affaire des chimistes enlevés est partiellement résolue, je dis partiellement parce que l’un d’entre eux manque à l’appel et semble avoir disparu. Des investigations supplémentaires sont actuellement en cours dans le domaine dit « L’Archipel de Véga » et ses dépendances. Un suspect est pour l’instant mis en examen pour complicité d’enlèvement et séquestration, mais refuse de parler…

La plupart des chimistes s’en sont reparties dans leurs familles, seule Béatrice est restée ainsi que Gérard et Florentine. Ils ont convenus qu’ils assisteraient à la conférence de presse avant de reprendre le chemin de la capitale. Et en ce moment Béatrice roupille comme un loir dans les bras de Frederika.

– Vous me raccompagnez à Paris ou je me débrouille toute seule ? Vous m’aviez promis de me payer ma place de train… Demande Gisèle.
– Je vous raccompagnerais, bien sûr, mais j’ai peut-être une proposition à vous faire.
– Une proposition honnête ? Répond-elle avec un sourire narquois.
– Tout à fait honnête ! Figurez-vous qu’en ce moment nous n’avons plus de femme de ménage…
– C’est une plaisanterie ?
– Non, c’est une proposition, nous faisons appel à une société de service, en fait deux, parce que j’ai un appartement à Paris et une résidence à St Valery sur Somme…
– Et comme ça vous pourrez me sauter à votre guise ? Vous et votre épouse !
– Ce sera bien payé et en tout cas bien mieux que votre boulot de nurse chez le père Chaudron.
– Qu’en savez-vous ? Et puis, il me donne des bons pourboires !
– Vous en aurez aussi, si vous êtes gentille !
– Je suis toujours gentille !
– Alors vous acceptez ?
– Je ne dis pas non !
– Alors dites « oui » !
– Oui !
– Vous êtes trop belle quand vous dites « oui » !
– Baratineur !
– Non, je suis sincère et voyez-vous, là maintenant je vous ferais bien un gros câlin.
– Pourquoi pas ? Mais comme dorénavant je suis votre employée, ce sera avec pourboire !
– Vous ne perdez pas le nord, vous !
– Il faut toujours voir le côté pratique des choses.
– Alors d’accord, mais dans ce cas je risque d’être un peu directif.
– Pas grave, ça ne me dérange pas d’être un peu soumise !
– Et vous allez jusqu’où dans la soumission ?
– Pas très loin en fait, mais je ne suis pas contre quelques petites humiliations ou quelques fessées à la main ou au martinet.
– OK, déshabille-toi et mets-toi à genoux que je voie comment tu es en soumise.

Gisèle se prête au jeu sans problème… Mais voilà Florentine qui entre dans la pièce sans comprendre trop ce qui passe.

– Vous faites quoi, tous les deux ?
– Je viens d’embaucher Gisèle.
– Oui, on en avait parlé, mais tu aurais pu m’inviter pour l’entretien d’embauche !
– J’ai pas eu besoin d’en faire !
– Tu lui as demandé si elle savait cuisiner ?
– J’ai même quelques spécialités. Intervient Gisèle. Des trucs italiens.
– Chic alors, et qu’est-ce que tu fous à genoux !
– J’ai dit à Monsieur Gérard que je n’avais rien contre la soumission, alors il m’a fait mettre à genoux et puis vous êtes rentrée…
– Hum ! C’est intéressant tout ça, Gérard passe-moi donc ta ceinture que je me défoule un peu.
– Pas trop fort quand même ! Préviens Gisèle
– Douillette !
– Non, si c’est trop fort, je ne marche plus !
– Ne t’inquiètes pas, ma cocotte.

Florentine se déshabille (pour le fun) puis arme le ceinturon et le fait claquer sur les jolies fesses de Gisèle.

– C’est bon comme ça ?
– Oui !

Martinov2907Deuxième coup, Gisèle encaisse toujours sans broncher, si ce n’est qu’un vague gémissement. Alors elle continue mais sans augmenter la force des impacts. Elle n’a pas compté, sans doute une bonne dizaine de marque de flagellation lui décore le joufflu.

– Putain, il y avait longtemps que je n’avais pas fait ça, je suis tout excitée maintenant ! Indique-t-elle en restituant la ceinture à son compagnon.

Gérard est excitée lui aussi et sort de sa braguette sa bite bien bandée.

– Viens dans la salle de bain, je vais te pisser dessus. Lui dit-il.

Elle s’y rend et se repositionne en position de soumise.

– Ouvre la bouche ! Ordonne Gérard !
– Je ne préfère pas !
– T’as déjà essayé ?
– Non !
– Alors essaie, si ça ne te plait pas, je n’insisterais pas.

Autrement dit, l’art de mettre une personne au pied du mur.

– Juste un peu, alors !
– Mais oui, mais oui !

Le pipi de Gérard fuse, mais il le stoppe à temps, il atterrit dans le gosier de Gisèle qui se fend d’une vilaine grimace.

– Ça va ?
– Ça peut aller !
– Je continue !
– Oui mais pas trop quand même !

Gérard lui en envoie une nouvelle rasade en pleine bouche mais a le tact de ne viser ensuite que la poitrine.

– Alors ?
– Alors ça va !
– C’était comment ?
– Un peu particulier, mais ça va !
– Maintenant, suce-moi !
– A fond ?
– Je ne sais pas encore, on va voir.

C’est qu’elle suce terriblement bien la petite Gisèle, et on devine bien que ce n’est pas sa première pipe !

Sa langue diabolique use de tous les artifices de la pratique, coups de langues intempestifs sur le gland, léchage de la verge en mode langue caressante, longs allers et retours en bouche et même baisers sur les couilles, tandis que le doigt loin de rester inactif s’en va explorer l’œillet brun avant de s’y enfoncer gaillardement..

Il est aux anges, Gérard mais souhaiterait jouir autrement que dans cette bouche gourmande, pourtant experte.

– Et si je t’enculais ?
– Pourvu que tu le fasses doucement.
– Ne t’inquiètes donc pas !

Gisèle se retourne offrant son joufflu au regard du mâle. Gérard ne peut d’empêcher d’y aller de sa langue pour honorer ce trou divin, puis après s’être encapoté la pénètre d’un coup sec.

– Aïe !
– Je t’ai fait mal ?
– Non ça va aller !

Alors Gérard la pistonne en cadence faisant gémir de plaisir la jolie Gisèle.

Charmant tableau qui excite terriblement Florentine qui ne sait comment s’y intégrer.

Mais voilà que Béatrice saisie comme on dit d’un besoin urgent et naturel pénètre dans la salle de bain va et découvre ce spectacle torride.

– Je ne vous dérange pas, j’espère ?
– Mais non, mais non, Lui répond Florentine tout en se tripotant ses bouts de sein, mais ils m’excitent de trop ces deux-là avec leurs cochonneries.
– Ma pauvre bibiche ! Répondit Béatrice en se collant derrière sa copine et en lui empaumant les seins.
– Oh, mais elle me fait quoi cette grosse coquine ?
– Je ne suis pas grosse !

Florentine se laisse peloter quelques minutes pendant que Gérard continue de besogner Gisèle, qui se retourne brusquement.

– Viens le lécher la moule, je coule ! Supplie Florentine

Les deux femmes se déplacent jusqu’au lit le plus proche. Flo se pose allongée, en écartant ses cuisses. Beatrice n’a plus qu’à honorer cette invitation.

L’endroit est effectivement trempé de mouille, ce sont des choses qui arrivent. Voilà qui tombe bien, Béa adore lécher des chattes humides

– Fait moi jouir vite !.

Qu’à cela ne tienne, la langue de. Béa pointe le clitounet de sa partenaire qui jouit aussitôt de façon fulgurante, ce sont aussi des choses qui arrivent.

Bisous., bisous …

Petit temps calme au terme duquel Gérard jouit dans je cul de Gisèle en grognant de façon grotesque tandis que le fille qui n’a cessé de japper s’essuie son visage qui transpirait à grosses gouttes.

– Je te lèche à ton tour ? Demande Flo.
– Attends un peu ! Répond Béa
– Comme tu veux !

Mais pourquoi cette réaction surprenante de Béatrice ? Se demandera le lecteur. Patience, vous le saurez bientôt.

A suivre

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