Dimanche 28 avril 2024 7 28 /04 /Avr /2024 18:51

Martinov 27 – La possession de Pétula – 7 - Pétula et sa maman par Maud-Anne Amaro

Stamp MD

Réunion de crise chez les Forville

– Bon, commence Gérard, on commence à y voir un peu plus clair, je résume : l’abbé Michel se débrouille pour lancer une application avec chalenge, il valide les inscriptions et se débrouille ensuite pour assurer le service après-vente et empocher la monnaie. Je peux vous demander quels étaient ses honoraires, Sylviane ?
– C’est pas donné.
– C’est-à-dire ?
– C’est-à-dire que je n’ai pas avoué la vraie somme à mon mari.
– Au point où on en est autant tout dire, intervient ce dernier.
– 10 000 euros.
– Avec une dizaine de patientes l’escroquerie est juteuse. Maintenant on peut le faire tomber…
– Comment ? Demande Hubert Forville.
– Il vous faudra porter plainte, si possible conjointement avec d’autres familles, mais bon, ce genre d’enquête peut être long. Alors autant présenter à la police un dossier un peu complet. Ce n’est pas à moi de faire ça, il faudrait par exemple un rapport de détective privé, Béatrice, est-ce que ton amie Brigitte serait d’accord pour…
– Elle ne peut rien me refuser.
– Donc on va s’occuper de ça dès notre retour à Paris, on vous tient au courant bien sûr.

Et voilà que Pétula se pointe, on ne l’attendait pas.

– Excusez-moi d’écouter aux portes. Mais c’est pas bien joli ce que vous faites, vous êtes des briseurs de rêves.
– Quels rêves ? Quand un escroc vend du rêve, le rêve n’est plus un rêve. Rétorque Gérard.
– Vous en avez beaucoup des phrases comme ça ?
– T’as pas compris que l’abbé Michel était un escroc ?
– Bien sûr que si, je m’en bats les couilles de l’abbé Michel, il a profité de la situation, c’est tout…
– Il n’a pas profité de la situation, il l’a créé.
– Hein ?
– C’est lui qui a inventé ce chalenge, rétorque Gérard en expliquant tous les détails de l’affaire.

Pétula a un certain mal à admettre ce qu’on lui raconte .

– J’y crois pas, vous avez des preuves au moins ?
– Plein, on a enregistré ce que nous a raconté Marie, on a la photo du domicile de l’abbé et plein d’autres choses encore.
– Donc tout était bidon ?
– Tout !
– Je me suis cassé le cul pour des prunes. Putain, saloperie, merde, con, cul, poil…

Et après cette envolée poétique, Pétula éclate en sanglots et vient se blottir contre sa maman.

– On se calme, on se calme. Lui dit Sylviane
– Je ne peux pas, je m’en veux de vous avoir fait subir ce cirque.
– T’as fait une connerie, tout le monde fait des conneries…
– Oui mais là j’ai fait fort.
– Certes mais maintenant faut tourner la page. Et arrête de chialer, qu’est-ce que je pourrais bien faire pour te consoler. ?
– Un câlin ?
– Un câlin comment ?
– Un gros câlin comme l’autre fois !
– D’accord. Viens ma coquine !

Dans la chambre de Sylviane, les deux femmes sans s’être préalablement concertées se déshabillent complétement.

– Allonge-toi Pétula, maman va te lécher l’abricot.

N’allez pas croire qu’il s’agît d’une habitude ! Non, non, ce n’est que la deuxième fois que les deux femmes se livrent à ce genre de privauté, la première fois Pétula faisait un gros chagrin, sa mère l’avait rejoint au plumard pour la consoler, les mains se firent caressantes, et les caresses de plus en plus troublantes.

Et aujourd’hui, ça recommençait.

Les deux femmes sur le lit s’enlacèrent avec tendresse. Pétula prenait un plaisir trouble à lécher les tétons de sa mère qui s’abandonnait à cette douce caresse.

Martinov2707zElles gigotaient tant et si bien et dans tous les sens qu’un moment le trou du cul de Sylviane se retrouva pratiquement devant le nez de sa fille.

– Oh, maman, qu’est-ce qu’il est beau ton trou du cul.
– Je n’ai pas souvent l’occasion de le regarder, je ne suis pas contorsionniste ! Plaisanta la maman.
– Si, si, il est mignon, un peu foncé, tout tendre humm, je vais te le lécher.
– Lèche, lèche-moi bien mon trou du cul, ma fille !

La petite langue de Pétula se mit à virevolter autour la petite rosette en éprouvant le gout légèrement acre. L’envie d’y foutre un doigt fut irrésistible. Elle le mouille et l’enfonce.

– Dis donc catin, tu aurais pu me demander !
– Oh pardon, maman, c’est l’excitation.

Et elle alla pour le retirer.

– Non maintenant que me l’a mis, tu le laisses et tu le fais aller et venir… oui comme ça c’est bon, tu m’encules avec ton doigt…
– Hi, hi ! On est cochonne, hein ?
– Après c’est moi qui vais te doigter le cul !
– Oui, oui, je veux bien !

Après cette petite séance de doigtage, Sylviane s’en alla fouiller dans son armoire.et en ressorti avec un long machin souple et cylindrique.

– En voilà une chose qu’elle est bizarre !
– Ça s’appelle un double dong ! On se l’introduit chacune soit dans la chatte, soit dans le cul et on gigotte.

Elles choisirent la chatte parce qu’elles souhaitaient se regarder en se livrant à cette petite fantaisie.

C’est parti pour des grands coups de reins qui font bouger le diabolique instrument. Les deux femmes ne tardent pas à miauler de plaisir et sentir la jouissance monter au terme de laquelle elles s’embrassèrent baveusement.

– Alors ça t’a fait du bien ?
– Un bien fou ! J’ai de la chance d’avoir une maman aussi salope !
– Non mais dis donc !

– Je vais envoyer un message à tout mon carnet d’adresse pour expliquer que l’abbé Michel est un escroc. Suggère Pétula.
– Je ne sais pas si c’est vraiment pertinent, il y des vérités que les gens refusent d’entendre. On va faire autrement, nous avons une amie détective privée assez efficace ..

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Dimanche 28 avril 2024 7 28 /04 /Avr /2024 18:48

Martinov 27 – La possession de Pétula – 6 – Marie, la perverse par Maud-Anne Amaro
bisou1719

– Bon je vais vous laisser. Indique Florentine.
– Me permettez-vous d’être indiscrète ? Demande Marie.
– Essayez toujours.
– Je me demandais si vous étiez attirée par les femmes ?
– Pardon ? Pourquoi cette question ?
– Vous avez une façon de me regarder, mais je me fais peut-être des idées…
– Disons que vous avez un physique qui ne me laisse pas indifférente.
– Je vous excite tant que ça ?
– Excitée est peut-être un grand mot… pour le reste, ça ne se commande pas.
– Vous aimeriez me caresser ?
– Comme vous y allez! Mais ma foi, pourquoi pas ?
– Faites-le !
– Vous jouez un jeu dangereux.
– Où serait le danger, on va se tutoyer. Caresse-moi.
– T’es toujours aussi directe ?
– En fait non, mais parfois ça m’arrive, quand je sens qu’il y a une ouverture, je tente ma chance.

Le souci c’est qu’il n’y a pas grand-chose à caresser sinon les bras. Florentine en éprouve la douceur

– Attend je vais me dégager un peu… Lui indique Marie en enlevant son haut
– Hum, joli soutien-gorge !
– Je vais l’enlever, tu vas pourvoir me tripoter les nichons.

Pas très volumineux, mais ponctués par de gros tétons arrogants

– Pas mal, hein ! La nargue Marie.
– J’aime bien.
– Quand tu baises, tu te limite aux relations vanille ou tu vas plus loin ?
– Hein ?
– Je veux dire est-ce que tu aimes les petites fantaisies que tout le monde ne fait pas .
– Disons que j’aime bien expérimenter des trucs ! Répond Flo. Je n’ai rien d’une oie blanche.

« Si elle savait tout ce que j’ai déjà fait ! » se dit-elle in petto.

– Les trucs masos t’aime bien ?
– Oui, si ça reste un jeu, si ça ne va pas trop loin.
– On y joue, ce sera moi la méchante maîtresse ?
– Oui, mais tu ne m’attaches pas et tu ne me bâillonnes pas !
– O.K, suis-moi !

Marie la conduit jusqu’aux combles dans lesquels a été aménagée une toute petite pièce, sans doute moins de 12 m² . Il y a là-dedans une croix de Saint-André, Des cravaches, martinets et autres instruments fouetteurs sont accrochés au mur et sur une planchette sont disposés, menottes, pinces, des godes de différentes dimensions et tout un tas d’autres choses du genre.

– Impressionnant, c’est à tes parents ?
– Non, c’est à moi, j’ai tout installé moi-même.
– Et tes parents ?
– Ils ne viennent jamais ici ! C’est mon coin secret et je suis la seule à avoir la clé. Maintenant si tu veux bien te déshabiller, je te rappelle qu’on est monté pour faire une séance de domination, pas pour faire du tourisme !

Florentine se débarrasse de ses vêtements sous le regard concupiscent de Marie.

– Hum, t’es trop bien foutue toi, t’as quel âge?
– Ça ne te regarde pas !
– Oh, l’impertinente poufiasse ! Lui répond Marie en lui assenant une bonne gifle en travers de la figure. Et maintenant à genoux, bouche ouverte.

Florentine obtempère.

– Tu sais ce que je vais te faire ? Demande Marie.
– Je m’en doute !
– Alors demande-moi de le faire !
– Crache-moi dessus, Marie ! répond Florentine, qui vous le voyez, est très joueuse..

La Marie ne s’en prive évidemment pas.

– Tu avales tout et tu dis « merci »
– Merci Maîtresse !
– Relève-toi, maintenant tu vas souffrir un peu… approche-toi de la croix, je vais t’attacher.
– Non !
– Ah, oui c’est vrai ! Ce que tu es pétocharde ! Alors place-toi contre la croix comme si tu étais attachée.

Marie se saisit de deux pinces à seins et les accroche sur les tétons de Florentine qui nous fait une vilaine grimace.

– Ça fait mal, hein grosse pute, mais attend ce n’est pas fini, on va mettre quelques pinces en bas…
– Non !
– Tu ne veux plus jouer ?
– Si mais en bas ça fait mal !
– Evidemment que ça fait mal, c’est fait pour ça ! Allez, on essaie !

Et oui, ça fait mal, Florentine se mord les lèvres mais tente de supporter.

Marie sort ensuite de sa boite à malice, des poids qu’elle accroche aux pinces à tétons.

Ouille, ouille, ouille, elle a bobo, Florentine, des larmes viennent destroyer son Rimmel, mais elle supporte toujours.

Sadique, Marie s’amuse à faire bouger toute cette quincaillerie, et cette fois Florentine crie mais ne demande pas que l’on arrête.

– Hum ça me fait mouiller de te voir souffrir, regarde ma petite chatte comme elle est contente, elle en ruisselle de bonheur ! Si t’es sage tout à l’heure tu pourras la bouffer. Allez tourne-toi, mais reste contre la croix, je vais t’arranger le cul.Martinov2606

Marie se sait d’une cravache et se met à fouetter le joufflu de Florentine en cadence.

– Fouetter un si beau cul, je devrais avoir honte, mais que veux-tu ce sont mes instincts !
– Aïe !
– On ne crie pas, on supporte, espèce de trainée !

Personne n’a compté, mais le postérieur de Florentine a bien été marqué une vingtaine de fois.

– Hum, ça m’excite tout ça, retourne-toi et mets-toi à genoux, bouche ouverte.

Florentine cru tout d’abord qu’elle allait de nouveau lui cracher dessus, mais ce n’était pas tout à fait ça. Marie s’approche de façon à ce que sa vulve soit proche de la bouche de sa soumise, elle écarte ses grandes lèvres et se met à pisser dru.

Voilà une pratique qui n’a rien d’humiliante pour Florentine. Mieux, elle adore ça et ‘en régale.

– Mais on dirait qu’elle aime ça cette grosse salope ! Commente Marie.
– Ben oui j’aime ça !
– Mais maintenant tu vas me faire jouir.

Marie sort d’on ne sait où une couverture qu’elle étale sur le sol, elle se couche dessus, jambes écartées et invite sa partenaire à lui faire minette.

Vous pensez bien que Florentine n’allait pas se dégonfler, sa langue vient lécher cette jeune et jolie chatte au gout de mouille et de pisse.

La Marie, excitée comme une puce, est vite atteinte de spasmes accompagnés de gémissements, Florentine lui touche à peine le clito du bout de sa langue qu’elle jouit en hurlant comme une damnée.

Petit moment calme (il faut bien récupérer) avant que Florentine demande :

– Et moi, tu ne me fait pas jouir ?
– Mais si ma grande, mais pour l’instant j’ai soif, j’ai du jus d’ananas dans le frigo en bas, ça te dit ?

Elle ne se presse pas pour revenir mais finit par réapparaitre avec le carton de jus de fruit et un paquet de clopes.

– J’ai oublié les verres en cartons ! Se désole Marie.
– On peut boire à la bouteille, non ?

C’est ce qu’elles firent…

– On clopera après, installe-toi sur la couverture…non pas comme ça.. en levrette, j’ai envie de gouter à ton trou du cul.

Florentine se met en position, Marie vient derrière et lui butine l’anus de sa petite langue agile et vicieuse.

– C’est bon, ça, mets-moi un doigt.
– Justement j’allais le faire ! Répond Marie joignant le geste à la parole…
– Aaahh
– Attends, ne bouge pas, je vais chercher un joujou.

Marie revient avec un joli gode et une dose de gel, elle tartine l’anus de sa camarade de jeu puis introduit le dildo qui entre avec une facilité déconcertante.

– Dis donc, toi tu dois avoir l’habitude de te faire enculer ?
– Hi, hi !

Marie agite le sex-toy en mode va-et-vient plusieurs fois de suite pendant quelques brèves minutes, puis fait se retourner sa camarade de jeu afin de l’envoyer au ciel en lui léchant l’abricot comme une pro.

Comment piéger ce Carolin Machin Chose ? c’est la question sur laquelle flanche maintenant la petite équipe.

– Lui envoyer un message, lui donner rendez-vous, mais il va se méfier… Commence Florentine…
– Non, il faut lui foutre la trouille. Rétorque Gérard.

On cherche, on cherche, finalement Gérard rédige un projet de mail :

« Votre activité est découverte, je vous propose d’en parler. Je vous propose un rendez-vous au café le Panier Fleury demain à 10 heures, j’aurais le journal Marie-Claire à la main, si ces conditions ne vous conviennent pas, proposez-moi un autre rendez-vous. Cordialement.

– En espérant que son mail soit toujours actif. Se demande Béa.
– En principe les types louches qui créent des boîtes secondaires font des renvois automatiques sur leur boîte principale…
– Alors envoyons, nous verrons bien.

Gérard crée une boîte mail bidon à partir de laquelle il envoie le message.

L’homme qui se fait appeler Carolin est fort étonné de ce mail.

– C’est louche, qui ça peut être ? La police ? Elle connait mon adresse, je ne vois vraiment pas pourquoi ils perdraient leur temps à me tendre une souricière. Alors ? Un détective privé ? Un maître chanteur ? Je ne suis pas obligé de répondre.

Il décida donc d’ignorer le message, mais l’esprit d’escalier eu tôt fait d’effectuer son travail… Carolin s’angoisse.

– Merde, il faut que je sache…

Et il répond qu’il est d’accord et qu’il aura France Football à la main.

– Quel con ! Comme ça on le reconnaîtra tout de suite, s’amuse Gérard. Bon qui c’est qui s’y colle, une femme ce serait mieux, on se méfie toujours moins des femmes…
– Tu parles ! Persifle Florentine.
– Béatrice, ça te dit ?
– Je ne voudrais pas faire d’impair …
– Je vais te briefer.

Le lendemain matin Gérard a accompagné Béa à Reims.

– Voilà, je ne serais pas loin, dès que tu l’as identifié, tu m’appelles, s’il est en voiture je le file, et s’il est à pied ce sera à toi de jouer.
– Bien chef !
– Allez bonne chance

Il est 9 h 50, Béatrice après avoir acheté Marie-Claire et la Tribune entre au Panier Fleury et choisit une table permettant d’avoir un regard général sur la salle et de contrôler les entrées.

Personne ne fait attention à elle, il y a deux bonhommes solitaires attablés devant leur café.

– Sûrement pas eux, mais on ne sait jamais.

Elle exhibe « Marie-Claire » en se raclant le gosier. Pas de réaction, elle range la magazine et fait semblant de s’intéresser à la lecture de La Tribune.

Elle surveille d’un œil les clients entrants, un type entre sans journal à la main et sans regarder les alentours.

Cinq minutes passent.

– Qu’est-ce qu’il fout ?

10 h 15

– Il a dû se dégonfler au dernier moment. Et sans s’excuser sinon Gérard m’aurait prévenu, bon j’attends encore cinq minutes …

Et c’est alors qu’entre un individu, France Football à la main et cet individu c’est… je vous le donne en mille ? L’abbé Michel en civil !

Il regarde autour de lui, semble circonspect et s’assoit près de la porte d’entrée

Béatrice affolée se planque derrière son journal économique et contacte Gérard.

– Allô, Carolin, c’est en fait l’abbé Michel, je fais quoi ?
– Quoi ? Casse-toi sans te montrer, je vais lui envoyer un mail pour lui annoncer que le rendez-vous est remis à plus tard. Rejoins-moi à la bagnole, je suis devant le fleuriste…

La situation n’est pas évidente, pour sortir, Béa est obligée de passer devant le faux curé.

– Je fais comment ? Je ne vais tout de même pas sortir avec le journal sur la tête !

L’abbé Michel ne comprend plus rien, il se lève, jette un coup d’œil circulaire sur la salle quand soudain son téléphone émet un signal. Il prend donc connaissance du message de Gérard.

– Ouf il va partir.

Eh bien, non, il ne part pas, monsieur s’est commandé un café, le sirote à la vitesse d’un escargot mort d’amour et se met à feuilleter son journal de footeux.

– Qu’est-ce que tu fous ? Demande Gérard qui commence à s’inquiéter.
– Je suis bloquée, j’arrive dès que je peux. Lui répond Béa.

Elle a alors l’idée descendre aux toilettes et de s’y enfermer vingt minutes. Quand elle remonte, l’abbé Michel a disparu du bistrot

Ouf !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Dimanche 28 avril 2024 7 28 /04 /Avr /2024 18:45

Martinov 27 – La possession de Pétula – 5 – Le garçon de café libidineux par Maud-Anne Amaro
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Le soir venu chez les Forville, on se refait une opération « téléphone » avec le portable de Pétula…

Ils lisent tous les messages postés sur Facebook par la bande de copines virtuelles à la recherche d’un indice avant, au bout de plus d’une heure, de tomber sur un message de Marie :

« Je le suis fait draguer par Bobby, le serveur du Panier Fleury, on a passé une ces nuits, je ne te dis pas, il a de l’endurance ce mec…  »

– Avec un peu de pot, on pourra remonter jusqu’à cette Marie. Jubile Gérard.

Pas de « Panier Fleury » à Château Thierry mais il y en a un à Reims.

– J’irais demain matin. Propose Gérard.
– Non c’est moi qui vais y aller, suggère Florentine, repose-toi un peu, et puis j’ai envie de m’amuser…

Le lendemain, Florentine file à Reims, elle s’achète au passage un petit haut sexy et décolleté, une courte jupette et un collant lycra et s’en va se changer dans les toilettes d’un bistrot. Au Panier Fleury elle demande après Bobby.

– Bobby il n’est plus là, il s’est fait virer …
– Oh, pourquoi ? Il a fait des bêtises ?
– Il draguait toutes les femmes, il devenait lourd, il y a eu des plaintes…
– Vous savez où on peut le trouver ?
– Il travaille au « Central », précise le bonhomme en lui indiquant comment s’y rendre.

Au Central, Florentine s’installe en terrasse, jambes croisées, décolleté en évidence et sourire carnassier. Un black au sourire charmeur s’enquit de sa commande.

– Une grenadine avec des glaçons et une paille… Mais en fait je cherche Bobby.
– Pourquoi ? On se connaît ?
– Parce que c’est vous ?
– Oui mais…
– Ne vous inquiétez pas, je ne mords pas. Je travaille pour un cabinet de détectives privés, je cherche une nana qui se prénomme Marie et avec laquelle vous seriez sorti il y a… attendez je vais vous dire la date… en fait j’aimerais retrouver cette personne
– Je suis obligé de vous répondre ?
– Bien sûr que non, maïs comme vous êtes un gentleman très gentil vous allez me renseigner.
– Je ne sais pas.
– Vous ne savez pas quoi ?
– Si je vais vous renseigner.
– Un petit billet, ça aiderait ?
– Un billet je ne sais pas, et comme je n’ose pas vous demander un câlin…
– Vous êtes gonflé, vous !
– Non, je tente ma chance !
– Avec les mentalités actuelles vous prenez des risques.
– Non, vous n’avez pas le look d’une féministe.
– J’ai le look de quoi, alors ?
– D’une personne un peu coquine !
– Bon, on va arrêter de tourner autour du pot, je suis un peu pressée, mais vous allez l’avoir votre câlin, je veux bien vous accorder un quart d’heure.
– Descendez aux toilettes enfermez-vous dans la cabine, je vous rejoins dans cinq minutes.

Dans la cabine, Florentine retire sa culotte, et s’assoit sur le siège.

« Je ferais bien pipi en l’attendant, mais je préfère attendre… si parfois ça l’intéresse… »

Elle écarte son haut, pense à dégager ses seins, puis y renonce…

« Non je vais le laisser me le faire »

Le mec entre, verrouille la porte et sort sa bite de sa braguette.

– Alors ma salope, t’as envie de bouffer de la bite de black !
– T’es un romantique, toi !
– T’as raison, montre-moi tes gros nichons !

Florentine libère ses seins faisant baver Bobby de concupiscence.

– Ils sont jolis, tu les as acheté où ?

Il est tout content de sa connerie qu’il doit ressortir à tout le monde et se met à peloter comme un malade cette belle poitrine douce et offerte.

– Doucement les bouts !
– Chochotte !
– Lèche les au lieu de les tirer…

Il ne se le fait pas dire deux fois et se met à téter les bouts de sein avec une avidité lubrique (ça devait peut-être lui rappeler les mamelles de sa nourrice !)

– Tu vas me sucer, maintenant, salope !
– Ça t’excite de me traiter de salope ?
– Je te traite de ce que tu es.
– Ah bon !
– Faut vraiment être une grosse pute pour sucer afin d’avoir un renseignement.
– Je ne suis pas grosse ! Amène ta bite.

Ce type commençait à énerver sérieusement Florentine, mais elle ne pouvait raisonnablement lâcher l’affaire.

Martinov2705« J’espère au moins qu’il a la bite propre ! »

Elle l’était et sentait le gel douche à la violette.

L’engin sans être monstrueux affichait néanmoins une belle taille, ce qui fait que Florentine avait un certain mal à le sucer comme il conviendrait. Et en plus il avait tendance à débander.

« Bon, qu’est-ce qu’il nous fait ? »

– Pelote-moi les seins, en même temps, ça va aider !
– C’est pas ça, mais j’ai déjà tiré un coup il y a vingt minutes… faut que ça se recharge…

« Tu parles, la bonne excuse ! »

Florentine décida alors d’utiliser sa botte secrète.

« C’est risqué, j’espère qu’il ne va pas mal le prendre ! »

Florentine s’humecte les doigts, puis sa main passe derrière l’homme, lui flatte les fesses, cherche l’anus… et hop lui entre un doigt dans le cul.

– Ça va pas, non ?
– Laisse faire la pute !
– Humpf !

Et miracle il rebande correctement. Quelques coups de langue sur le gland, sa bite tressaute. Elle ôte la bite de sa bouche, l’homme éjacule un joli paquet de foutre qui atterrit sur ses seins.

« Du bol, j’en ai pas sur mes fringues ! »

Bobby s’essuie le zob avec du papier toilette, Florentine en fait autant pour sa poitrine.

– Regagnez votre table, je vais me montrer un peu et je reviens vers vous.
– Je ne peux pas avoir le renseignement maintenant ?
– Z’êtes pas à cinq minutes, non ?

Florentine regagna sa place et désespérait de le voir revenir.

– Si je lui ai taillé une pipe pour que dalle, je vais faire un scandale.

Bobby se décida à réapparaître au bout de 20 minutes

– Elle habite Rue du tambour, je ne sais pas le numéro, il y a une palissade verte en bois, il ne doit pas y en avoir trente-six, c’est une petite rue.
– Et le nom de famille ?
– Longuet, Lelong… quelque chose dans le genre… elle a fait des bêtises ?
– Non, pas elle.
– Parce que la dernière fois que j’ai voulu la voir, elle était alitée et n’avait pas l’air très nette, alors j’ai laissé tomber.

Florentine trouve facilement. La plaque du propriétaire indique « Longuenau » On lui ouvre et elle se retrouve en face d’une jeune femme très brune, le look punk, au teint légèrement halé, yeux noirs, visage intéressant, joli nez, rouge à lèvres violet et cheveux en pétard, un canon.

– Florentine Petit-Couture, détective privée, je voudrais parler à Marie Longuenau.
– Parce que pourquoi ?
– Une enquête concernant un faux curé qui se fait appeler l’abbé Michel
– Ah, intéressant, entrez, on va causer. Je suis toute seule à la maison, je révise mes cours, il y juste mon chat qui me tient compagnie, d’ailleurs c’est une chatte, j’adore les chattes, pas vous ?
– Ah si ! Répondit Florentine qui se demande s’il y a ou non un double sens .
– Asseyez-vous, je vous trouve très sexy, vous êtes une très belle femme, malgré votre âge.
– Hein ?
– C’était un compliment, vous n’aimez pas les compliments ?
– Merci, parlons un peu de cet abbé Michel.
– Je m’excuse de vous recevoir dans cette tenue, moi aussi j’aime bien m’habiller sexy. En fait j’aime bien aguicher les mecs… les filles aussi, mais parlons du curé. C’est un taré, je me suis tout de suite aperçue que c’était un charlatan. Pour tout vous dire je participais à un jeu de rôle, un truc à la con, il fallait simuler un envoûtement comme dans le film… comment ça s’appelait déjà ?
– L’exorciste…
– C’est ça, la gagnante devenait une espèce de star sur l’application… je me suis laissé tenter, je suis très joueuse, mais ça m’a vite pris la tête, mais parents étaient désespérés, quand le cureton m’a exhibé sa bite et s’est approché de moi d’un peu trop près, je lui ai foutu une tarte et j’ai arrêté le cirque. Voilà, c’est tout ce que je peux vous dire.
– La gagnante ? Qui va la désigner ?
– C’est celle qui aura le plus de like sur son compte Facebook.
– Mais qui vous a incité à participer à ce jeu de rôle ?
– Ah ? C’est Aglaé qui m’a parlé de ce truc, elle a laissé tomber l’affaire, elle aussi.
– Et elle serait à l’origine du jeu ?
– Non, je ne crois pas, mais je peux lui demander si vous voulez ?
– Si ça ne vous dérange pas .

Marie prend son téléphone.

– Aglaé, dis-moi, tu saurais qui est à l’origine du challenge des envoutées ? Attends je note. Carolin de Coutance, en voilà un nom, t’as pas d’autres renseignements ? Tant pis, bisous ma grande, j’attends toujours que tu viennes me voir, ta chatte est si bonne !
– Faut jamais abuser des bonnes choses.

Elle rigole en raccrochant.

– Ben oui, je suis un peu gouine !
– Ok j’ai noté le nom du mec, lui dit Florentine, mais comme c’est probablement un pseudo, je ne sais pas comment je vais faire pour l’identifier.
– Ah tu veux l’identifier ?
– Ben oui .

Marie téléphone de nouveau à sa copine :

– T’aurais pas son mail par hasard ?
– Si.

Et voilà, il suffira ensuite d’essayer de tendre un piège à cet individu. Un piège ? Il faudra y réfléchir.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Dimanche 28 avril 2024 7 28 /04 /Avr /2024 18:42

Martinov 27 – La possession de Pétula – 4 – Trio gay, suivi de Zara la simulatrice par Maud-Anne Amaro
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L’abbé Michel pénètre dans le bois par un petit chemin non entretenu, Gérard sort de sa voiture et le suit tout en se dissimulant derrières les arbres.

L’abbé parvient jusqu’à une petite clairière, il regarde sa montre, scrute les alentours et pose son cul sur une vieille souche.

« Mais qu’est-ce qu’il fout, bordel ? »

Un quart d’heure plus tard, deux hommes pénètrent à leur tour dans la clairière par la direction opposée, l’un est assez jeune, genre biquet efféminé, l’autre est un pépé rondouillard.

Echange de politesse avec l’abbé qui sort un billet de son portefeuille et le tend au vieux.

Etrange politesse puisque l’abbé Michel baisse son pantalon de jogging sous lequel il n’a rien d’autre que sa nudité et expose sa bite aux deux autres. Le biquet se baisse et englouti le sexe du curé, Le vieux a soulevé son haut de jogging et lui pince les tétons.

Gérard se surprend à bander devant ce spectacle inattendu.

Ces petits attouchement durent quelques minutes, puis le biquet baisse à son tour son pantalon et exhibe son cul au curé. Lequel vient humecter de sa langue le trou de balle offert, puis après s’être encapote, il l’encule.

Martinov2704Pendant ce temps le vieux se branle frénétiquement. L’affaire est assez rapide, le curé jouit en râlant. Le vieux projette sa semence sur le visage du biquet. L’abbé Michel se reculotte et quitte les lieux. Direction sa voiture.

Le véhicule du curé ressort de la voie de traverse, et reprend la direction de Reims.

« Bon, il est juste venu tirer son coup, ce n’est pas ça qui va faire avancer mon enquête je vais continuer à le filer on verra bien… Mais ça m’a fait bander de voir ça, il va falloir que je calme… »

Le véhicule entre en ville, s’arrête rue de Louvois, le curé sort… en soutane.
.
– Putain, il s’est changé dans sa bagnole !

Il chemine à pied sur 50 mètres et s’arrête au niveau d’une maison bourgeoise où il sonne et entre.

Gérard va contrôler la boîte aux lettres…

– Mr et Mme Ménitier… Une seule famille habite ici, ça va me faciliter le travail.

Gérard se remet en planque, ça dure plus d’une heure… Et une heure c’est long quand on attend…

– Pourvu que la piste soit bonne !

Il laisse le curé repartir, puis sonne à la porte :

– Gérard Petit Couture, sécurité du territoire ! S’annonce-t-il en exhibant sa vieille carte, juste quelques questions en qualité de témoin.
– Témoin de quoi ? Lui répond son interlocuteur au look d’adjudant-chef de réserve.
– De ce qui vient de se passer ici.
– Mais ça ne vous regarde pas.
– Justement si, votre fille est probablement en danger. Je peux vous fournir tous les détails mais on ne va pas faire ça sur le pas de la porte.
– Et comment savoir si vous n’êtes pas un usurpateur ?

Il est chiant ce mec !

Tellement chiant qu’il va pour fermer la porte au nez de son visiteur

Mais on ne l’a fait pas à Gérard aguerri à ce genre de situation qui par réflexe a bloqué la porte avec son pied.

Le ton change

– Écoute moi connard, si tu me laisses pas m’écouter je reviens avec deux ou trois collègues, c’est ça que tu veux ?
– Je ne vous ai pas autoriser à me tutoyer et je vous prie d’enlever votre pied !

Bien sûr, non seulement Gérard n’en fait rien, mais il pousse le bonhomme à l’intérieur, lequel ne sait plus trop comment réagir

– Bon ben voilà, faut pas vous énervez comme ça mon vieux, c’est mauvais pour le cœur. Alors en deux mots. Un, je ne vous veux aucun mal. Deux, vous allez m’écoutez. J’en ai pour cinq minutes et après je me barre, on s’installe où ?
– Mais…
– Le salon, c’est par là, je suppose ?

Gérard s’y dirige et s’assoit dans un fauteuil, Ménitier le suis comme un toutou. Surgit alors une bonne femme maigre comme un clou et aussi sexy qu’un aspirateur-balai.

– Mais que ce passe-t-il ?
– C’est un monsieur qui veut me parler ..
– Parce que j’ai entendu des éclats de voix…
– Un petit malentendu…
– Alors je vous laisse.

Gérard est soudainement saisi d’un horrible doute.

– Et si le curé était venu ici pour tout à fait autre chose ?

Il se tourne vers la mère Ménitier qui déjà s’éloignait :

– Je suppose que vous avez une fille malade ?
– Non ! Répond le père.
– Mais comment pouvez-vous vous savoir ? demande la mère sous les yeux courroucés de son époux.
– Elle n’est pas malade, elle est envoutée Rétorque le père.

Ouf.

– Mais comment avez-vous su ? Insiste la dame
– C’est mon petit doigt qui me l’a dit. Mais patience vous allez tout savoir… Donc vous avez sollicité les services de l’abbé Michel, c’est bien le nom qu’il vous a donné…
– Oui mais… balbutie mémère
– Laissez-moi terminer. Ce type n’est pas curé, ni dans la religion catholique, ni dans une secte dissidente, en revanche, il s’agit d’un réel repris de justice, condamné plusieurs fois y compris pour escroquerie…
– Ce n’est pas possible.
– Ben si et je vous engage à parcourir ce joli rapport de la police nationale. Conclut-il en tendant son téléphone portable ouvert à la bonne page au maître des lieux..

Ménitier commence à lire incrédule.

– Je n’en reviens pas ! Murmure-t-il avant de passer l’appareil à madame qui n’en revient pas non plus.
– Que devons-nous faire ? demande cette dernière.
– Nous allons en parler, mais avant il faut que vous sachiez que votre fille joue la comédie pour des raisons qui pour le moment nous échappent. Je suppose que pendant ses périodes de transes, elle rejette un liquide bizarre ?
– Oui.
– L’une de ses amies faisait la même chose, on a fait analyser sa mixture, ce n’était pas du fluide satanique mais un mélange de Coca-Cola et de yaourt. Si vous avez encore des doutes, faites procédez aussi à une analyse.

Autant dire que les époux Ménitier, ils sont sur le cul !

– Mais alors on fait quoi ? demande mémère qui décidément se répète.
– Je vous ai dit qu’on allait en parler, mais auparavant j’aimerais voir votre fille
– Ah ? Venez !
– Non dites-moi où c’est, je veux la rencontrer seul.
– Euh… on peut rester derrière la porte ?
– C’est comme vous voulez, mais je ne préfère pas.

On lui indique la chambre, Gérard entre et referme la porte derrière lui.

Ça ne loupe pas, Zara commence son cirque, injures bien grasses, blasphèmes, charabias, retournés horizontaux et crachats de « liquide satanique »…

– C’est très joli ce que vous faites, une amie à vous faisait la même chose on a porté ça au laboratoire, c’était du Coca-Cola et du yaourt. Donc tu peux arrêter ton cinéma.
– Vous êtes qui vous ? Un ami de mes parents ?
– Non, un enquêteur.
– Et vous enquêtez sur quoi ?
– Sur les agissements de l’abbé Michel. Saviez-vous que ce mec est un escroc ?
– Bien sûr, ce n’est pas difficile à deviner, ce mec est con comme la lune. Ce qui l’intéresse c’est de piquer de l’argent à mes parents et de me sauter. Mais sur ce point il peut aller se rhabiller, je ne baise pas avec les escrocs.

De plus en plus bizarre !

– Mais pourquoi faites-vous ça ?
– Parce que ça emmerde mes parents, je ne peux pas les voir, ce sont des vieux cons hypocrites.
– Mais le but de l’opération.
– Si on vous demande…
– Si j’ai bien suivi, vous êtes plusieurs jeunes femmes de la région à vous comporter de cette façon ?
– Hé oui, et il n’y aura qu’une seule gagnante.
– Et vous gagnez quoi ?
– Le titre.
– Quel titre ?
– La gagnante sera la nouvelle Lucie Fierra, et recevra les pouvoirs magiques que lui confère son titre.
– Vous y croyez ?
– Non c’est bidon mais en même temps c’est symbolique !
– Je vois, mais qui a organisé ça ?
– Si on vous demande…
– Dites-le moi quand même
– Non ! Et je vous préviens, cet entretien n’a jamais existé. Devant mes parents je continuerai à jouer la comédie, vous pourrez raconter tout ce que vous voudrez, ils ne vous croiront pas.
– Même s’ils font analyser le liquide soi-disant satanique.

Zara semble un moment désorientée avant de se reprendre.

– Je saurais gérer, salut.

Gérard quitte la chambre et rejoint les parents

– Alors ? Demande mémère, anxieuse.
– Alors rien, elle joue très bien la comédie, faites l’analyse que je vous ai recommandé, sinon ne faites rien, continuez comme si de rien n’était, si on veut coincer le curé, il faut mieux qu’il ne se doute de rien.
– Je peux vous offrir une petite Chartreuse ? Propose la dame.
– Pourquoi pas, mais vite fait sur le pouce.

« C’est donc une sorte de challenge entre des nanas addict à l’Internet ! Mais quel est le cinglé qui a organisé ce truc ? »

Gérard se dit alors qu’il serait judicieux de retrouver l’une des filles qui a abonné la partie, cette Marie par exemple …

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Dimanche 28 avril 2024 7 28 /04 /Avr /2024 18:39

Martinov 27 – La possession de Pétula – 3 – Et pendant ce temps-là Martinov se tape la bonne… par Maud-Anne Amaro
soubrette stamp

Béatrice se rend au chevet de Pétula.

Dès son entrée cette dernière entame ses pitreries à grands renforts de mots orduriers, de roulés-boulés horizontaux et de crachats de sa mouture spéciale.

Béa la laisse faire quelques minutes sans prononcer un seul mot avant de lâcher :

– Coca-Cola et yaourt nature.

Pétula est à la fois surprise et stupéfaite, elle se retient de dire quelque chose et s’enferme dans le mutisme.

– Nous t’avons filmé pendant 24 heures, tout ton petit stratagème a été mis à jour, donc ça ne sert à rien de continuer.

Pétula ne répond que par un rictus

– Maintenant, poursuit Béatrice on aimerait bien savoir pourquoi tu fais ça ?
– Qu’est-ce que ça peut te foutre, pétasse ? T’es pas ma mère !

Miracle ! Elle parle !

– Ta mère ? Je vais aller la chercher si tu veux…
– Non !
– Si ! Je reviens avec elle dans vingt minutes, ça te donnera le temps de te préparer. C’est quoi ce bouquin sur le guéridon ?
– Qu’est-ce que ça peut te foutre ?

Beatrice s’approche , il s’agit d’un missel.

– Tu lis la messe ?
– Ce n’est pas à moi, c’est le cureton qui l’a laissé là. Tu as le droit de te toucher le cul avec !

De retour dans la salle à manger, Béatrice explique ce qu’il s’est passé.

– Elle a compris que ça ne servait plus à rien de faire sa comédie et elle parle normalement, elle est très grossière mais elle parle…
– Elle est guérie, alors ? Demande Sylviane.
– N’allons pas si vite, je lui ai dit que je repasserais la voir dans 20 minutes avec vous, on verra bien ce que ça donnera. Mais où est passé le professeur ?
– Je crois qu’il se tape la bonne !
– Oh !

C’est sans autre préambule que Dorothée se dépoitrailla devant le professeur.

– Alors vous les trouvez comment mes doudounes ?
– Hum, jolies ! Je peux toucher ?
– Bien sûr mon grand. C’est fait pour ça !

Vous pensez bien que notre vert professeur ne va pas se le faire répéter deux fois.

Alors il touche, c’est doux, c’est frais c’est agréable et ça lui fait bander le machin.

Mais voilà que notre Dorothée se met à minauder :

– Tu sais, quand je baise avec mes patrons, ils me filent un petit billet… je dis ça mais t’es pas obligé…

Martinov est surpris, il n’a rien contre les putes et les amours tarifés, mais quand Dorothée lui avait fait des avances, il ne pensait pas que ses intentions étaient vénales

Mais après tout qu’importe, il bande bien, et il ne va pas se sauver, il extrait un billet de son portefeuille avant de sortir sa bite de sa braguette.

– Oh ! Que c’est mignon tout ça, tu vas voir comment je fais, je vais la mettre tout entière dans ma bouche..

Mais avant elle la caresse, la branlette, joue avec les valseuses…

– Dis donc mon grand, si tu te mettais à poil ce serait cool ! Et moi je vais faire pareil.

Les deux tourtereaux se retrouve rapidement dans le plus simple appareil.

Dorothée se retourne, fais sa star :

– C’est pas une belle paire de fesses, ça ?
– Impressionnant !
– Tapes-les un peu, pas trop fort ! J’aime bien !
– Comme ça !
– Un peu plus fort quand même !
– Il t’excite mon cul, hein ?
– J’avoue !
– La sodomie j’aime bien, mais c’est en option !
– C’est-à-dire ?
– C’est-à-dire moyennant un petit supplément !
– T’exagères !
– On ne vit qu’une fois… tu ne regretteras pas !
– Bon d’accord.

Et le professeur va pour se diriger vers son pantalon afin d’y chercher la somme demandée.

– Reste là mon grand, tu me donneras le petit billet tout à l’heure, bon je vais te sucer un peu et après tu me fous ta pine dans le cul. Oh mais dis donc t’as les tétons vachement développés pour un homme ! C’est à force de te les faire pincer, je présume ?
– Ce doit être ça, en effet !
– Voyons voir…

Et Dorothée se saisit des bouts de sein du professeur et commence à les tournicoter. Vous vous doutez bien qu’avec un tel traitement notre vieux Martinov est aux anges !

– Et bin, dis donc ça marche super ce truc ! Regarde-moi cette bite elle est aussi raide qu’un barreau de chaise.

Et cette fois elle suce pour de vrai, balayant de sa petite langue le gland en un ballet savant, puis tout d’un coup, elle embouche tout. Non, elle ne fait pas gorge profonde, elle envoie la bite à l’intérieur des joues tout en continuant à activer sa langue… Impressionnant.

– Doucement ! doucement !

Elle se retire, se dirige vers le chevet dont elle ouvre le tiroir et en sort une capote qu’elle extrait de son étui avant de l’enfiler sur la bite du professeur.

Elle grimpe sur le lit, en levrette.

– Allez, viens mon grand, viens me lécher la rondelle, pour que ça passe mieux !

On ne refuse pas une telle invitation, et Martinov vient titiller de sa langue le petit orifice plissé à la saveur particulière.
– Hum, tu fais ça bien, grand fou ! Maintenant viens ! Viens enculer Dodo !

Le sexe de Martinov entre dans le conduit anal de la blackette avec une facilité déconcertante.

Et le voilà qu’il pistonne comme un beau diable à ce point que son front dégouline de grosses gouttes de transpiration…

Et il pistonne, il pistonne… mais c’est qu’il n’a plus vingt ans notre bon professeur, il s’épuise et pire, il a tendance à débander.

« J’aurais dû prendre mes petites pilules ! » se dit-il.

– On va faire une petite pause, annonce-t-il tout en déculant.
– O.K. faut éviter les efforts à ton âge, allonge- toi sur le lit, Dodo va faire ce qu’il faut !

Martinov2703Dorothée retire la capote et entreprend une savante masturbation avec la main droite entière, tandis que la main gauche passe sous ses fesses, permettant à un doigt coquin de s’introduire dans l’anus et d’y gigoter un peu.

– Ça vient, ça vient !

Dorothée ne répond que par un sourire et continue son travail faisant gicler le sperme du professeur sur son ventre.

– Si tu veux te reposer un peu, reste ici, moi je redescends, j’ai du boulot. Bisou ?

Martinov apprécia, mais regretta qu’il fût si chaste.

– Et Gérard, il est où ? Demande Béa, décidemment très curieuse.
– Il est chez l’imprimeur ?
– L’imprimeur ?

Ben oui, l’imprimeur !

En fait Gérard voudrait en savoir davantage sur cet énigmatique curé. Or les tracts distribués ce matin portaient les références de l’imprimerie qui s’était chargé de les tirer.

– Petit Couture, sécurité du territoire ! Annonce Gérard en exhibant sa carte théoriquement périmée, devant l’imprimeur (ça fait toujours son petit effet). J’aimerais connaître l’identité de la personne qui vous a commandé ce tirage ?
– Y’a un problème ? Demande le binoclard de service.
– Je ne peux pas vous en dire plus…
– Sébastien Cornet, rue Pasteur. Répond le bonhomme après avoir consulté son ordinateur.

« Abbé Michel est un pseudo, fallait s’en douter ! Mais est-ce lui ou un complice ? »

– Vous pouvez me le décrire physiquement ?
– 70 ans, cheveux en brosse, moustache militaire …
– Ah ? Client régulier ?
– Il était déjà venu mais j’appelle pas ça un client régulier .

Un comparse, se dit Gérard, eh bien le comparse va me mener au curé, mais qu’est-ce que je vais bien pouvoir lui raconter ?

Cornet lui ouvre… en veston cravate ! Il y a donc des gens qui restent chez eux en veston cravate ?

– Jean-Marie Cailloux, détective privé, me permettez-vous de vous poser quelques questions au sujet de mon enquête ? Improvise Gérard.
– Vous enquêtez sur quoi ?
– Des menaces de morts anonymes perpétrés à l’encontre de l’abbé Michel
– Quoi ? Mais il ne m’en a jamais parlé, entrez cinq minutes, ne caressez pas le chien, il n’aime pas les étrangers… aucun étranger, hi hi.
– C’est normal qu’il ne vous en ait pas parlé, l’abbé Michel n’est pas mon client.
– J’avoue ma perplexité…
– C’est bien compréhensible, mais le secret professionnel m’interdit d’en dire davantage.
– Ah ! Un secret c’est en secret. J’en sais quelque chose, je suis un ancien militaire, lieutenant-colonel de réserve…

« Ça y est, il va me raconter sa vie…  »

– En fait, le coupe Gérard, j’aimerais m’entretenir avec lui, mais j’ignore son adresse.
– Je vais vous décevoir, je ne la connais pas…

« Quel menteur ! »

– Mais je peux vous communiquer le numéro de son portable…
– Ce serait déjà ça ! Vous le connaissez bien ?
– C’est un homme de conviction, intègre, dynamique, cultivé, peut-être légèrement impétueux mais je ne considère pas cela comme un défaut. Me permettrez-vous de vous proposer un vieil Armagnac ?

« Il veut me faire boire pour me faire parler ! Quel con ! »

– Non, jamais pendant le service.
– Toute règle a ses exceptions.
– Peut-être, peut-être, bonne journée, monsieur Cornet.

« Bon, j’ai le numéro de téléphone, avec le téléphone je peux avoir l’adresse, et ensuite ? Je vais me pointer devant lui avec ma carte de la D G S E, bien sûr je peux lui foutre la trouille, mais d’une part il me connait de vue et d’autre part le rapport entre la sécurité du territoire et la pratique de l’exorcisme, je ne vois pas très bien, il me faut faire autrement.

Gérard revient chez les Forville et contacte par téléphone l’une de ses relations à la police nationale.

– L’abbé Michel, je ne sais pas si c’est son nom son prénom ou un pseudo, tu peux regarder ? Un mec d’une quarantaine d’années inconnu du diocèse de Château-Thierry… je n’ai pas sa localisation, juste un téléphone…

La réponse lui parvint quelques minutes plus tard.

– J’ai quinze profils qui peuvent correspondre, dans tous les cas, il s’agit de plaintes pour pédophilie, ce doit être une nouvelle mode, dès qu’un curé pose la main sur la cuisse d’un enfant de chœur, c’est un pédophile ! Je t’envoie ça sur ton téléphone ?
– Envoie toujours mais je ne sais pas ce que je vais faire avec ça ?
– Si tu avais ses empreintes digitales…
– Bonne idée, on se rappelle.

Il fait part de la conversation à ses amis.

– Il a laissé un missel chez Pétula. Lui indique Béa.
– Super.

Il se rend dans sa chambre

– Bonjour Pétula vous allez bien ?
– Et sa sœur ?
– Je peux t’emprunter le missel du curé ?
– Tu peux même te torcher le cul avec….

Revenu, il demande du crayon à papier, un pilon de cuisine et du ruban adhésif… La mine de graphite du crayon est mise à nue, puis réduite en une poudre qu’il applique délicatement sur la couverture du missel. L’empreinte apparaît, il ne reste plus qu’à la transférer sur l’adhésif . Il prend une photo qu’il envoie à son correspondant policier .

La réponse lui parvint dans le quart d’heure :

– Thiery-Loup de la Molardière, plusieurs condamnations, harcèlements sexuels, escroqueries, exercice illégal de la médecine, association de malfaiteurs, dégradation de biens publics,. Il a fait un peu de prison mais relâché pour bonne conduite, il est actuellement sous contrôle judiciaire…
– Super ! Tu peux m’envoyer les détails ..

Il téléphone ensuite à son avocat.

– Un type sous contrôle judiciaire qui fait dans « le trouble à l’ordre public », est-ce que ça fait tomber le contrôle ?
– Ça dépend du juge d’application des peines …
– Ah bon !

Gérard continue ses investigations et téléphone à la police locale en bluffant.

– Je suis l’avocat de monsieur de la Molardière, je peux passer à quelle heure ?
– On n’a personne de ce nom-là.
– On m’aurait mal informé, vous êtes bien intervenus à propos d’une manif sauvage rue du Paradis ?
– Les collègues sont intervenus mais nous n’avons procédé à aucune arrestation.

Gérard espérait que le type avait retrouvé la case prison. Espoir déçu ! Pour neutraliser l’abbé il lui faudrait trouver autre chose, mais pour l’instant, il séchait.

Pendant ce temps, Béatrice est retournée dans la chambre de Pétula en compagnie de Sylviane Forville.

La jeune femme fait semblant de dormir, sa mère la réveille.

– Pétula répond moi, c’est maman !

Pas de réponse, malgré plusieurs tentatives, Pétula s’enferme dans le mutisme.

– C’est une réaction normale, elle n’a plus vraiment le choix, ça lui passera, il suffit d’attendre un peu, sortons, propose Béatrice.

Mais Béa avait une autre idée :

– Je suppose que votre fille possède un téléphone portable ?
– Ben oui !
– Vous pourriez lui piquer cette nuit pendant son sommeil ?
– C’est quoi l’idée ?
– Les gens de sa génération ont la manie de raconter leur vie sur les réseaux sociaux, on trouvera peut-être quelque chose.
– Mais comment…
– Ne vous inquiétez pas, je serais là.
– Ma fille a le sommeil léger…
– Un peu de somnifère dans son repas du soir, c’est faisable ?
– Ah, oui, bien sûr.

Entre temps Gérard a obtenu l’adresse du curé…

– C’est à Reims, ce n’est pas trop loin d’ici mais qu’est-ce que je vais bien pouvoir lui raconter ?

Le soir venu, Sylviane vint vérifier si sa fille avait bien avalé son repas du soir.

– On attend une demi-heure et c’est bon.

30 minutes plus tard, Sylviane revenait avec le téléphone de Pétula le brandissant tel un trophée.

– Pourvu qu’il n’y ai pas de code !

Il y en avait un ..

– Merde et mille fois merde !
– Essai 1234 ! Lui suggère Gérard.
– Non c’est pas ça.
– Alors 0000 ?
– Ça marche ! Bravo la sécurité ! Et maintenant Facebook.

Béatrice tombe sur une pluie de messages provenant tous de correspondants féminins.

Tout cela est assez confus. Un message assez récent de Pétula indique :

« Je tiens le coup, mon père a fait venir toute une équipe de spécialistes, ces cons n’ont rien vu pour le moment. »

Quelle menteuse !

Mais le meilleur restait à venir, un message d’une certaine Zara indiquait :

« Le curé a voulu me sauter, j’ai perdu mes moyens et j’ai crié comme une gueudin, mes parents sont arrivés et l’ont foutu dehors, j’espère que je ne serais pas disqualifiée. »

– Disqualifiée ? Je ne comprends pas ! Ça veut dire quoi ?
– Mystère ! Remonte dans les messages.

Ils tombent alors sur un message signé Marie :

« Je laisse tomber, c’est trop contraignant et ça rend mes parents malheureux, bon courage à celles qui restent. »

– Bon, on commence à y voir un peu clair, ça ressemble à une espèce de chalenge entre filles dans le genre « qui est ce qui va réussir à simuler le plus longtemps »… Résume Béatrice
– Mais il y en a une qui parle d’un curé . Remarque Gerard
– C’est peut-être le même.
– A tous les coups, mais comment être sûr ?

Les messages précédents confirmèrent ce qu’ils savaient déjà mais ne leur apprirent rien de nouveau.

– Il faudrait que je dégote les cordonnées de cette Zara, dit Gérard. Comment faire ?

Le petit groupe s’est creusé la tête une partie de la soirée, Béatrice tentant de récupérer le profil de cette mystérieuse Zara mais n’y parvenant pas.

– Demain j’irais faire un tour à Reims, on verra bien. Finit par dire Gérard.

Sur place de bonne heure, il a tôt fait de repérer l’adresse qu’on lui a indiqué, il s’agit d’un immeuble de quatre étages, assez chic. Il attend que quelqu’un y entre ou sorte afin de pénétrer dans le hall et de vérifier les boîtes aux lettres.

« Bingo, il y a bien une boîte au nom de De la Molardière ».

Reste alors le travail le plus ingrat de tous les policiers, espions, agents infiltrés, hommes de main et consorts : la planque !

Et ce qui est terrible, c’est que pendant ce temps-là, on ne peut rien faire. Une seule minute d’inattention peut tout foutre en l’air !

Une heure plus tard le curé descendait en jogging et gagnait son véhicule.

« Il a l’air malin avec son jogging et son gros bidon ! »

Gérard le prend en filature, l’automobile du curé sort de la ville et traverse un bois, un moment elle tourne sur sa droite dans un chemin de traverse.

Gérard va pour le rejoindre mais s’aperçoit qu’il s’agit d’une voie en impasse, il reste sur la route principale et se gare sur le bas-côté.

– Qu’est-ce qu’il nous fait ?

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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