Samedi 15 novembre 2025 6 15 /11 /Nov /2025 10:08

Martinov 31 – Les visions mystérieuses – 6 – Les tribulations de Diego par Maud-Anne Amaro
StampCravate

Dario s’en alla avant que Baudoin Bayeul ne revienne et réapparut comme convenu à 14 heures où il entama un laborieux travail de débroussaillage.

A la fin de l’après-midi il était embauché. L’acte 1 du plan était donc réussi et il rendit compte à Yvette.

– Super ! Tiens je t’ai imprimé un truc avec une adresse, tu vas filer à Angers acheter ce truc, c’est un détecteur de métaux.
– C’est pas donné !
– Oui, mais c’est un investissement.

Et quand il revint, Yvette y alla de nouveau de ses conseils.

– Ne l’utilise pas tout de suite, fais-toi d’abord bien voir, quand Henriette aura bien confiance en toi elle te foutra la paix et tu pourras fouiner à ta guise

Diégo était partagé, d’un côté les recommandations d’Yvette retardaient la découverte du trésor, mais d’un autre côté, cela lui permettait de profiter des douces rondeurs d’Henriette.

Et 10 jours après, il passa à l’action, le détecteur étant attaché au bras de la tondeuse, il entreprit d’explorer le périmètre.

Et tout d’un coup le détecteur bipa !

Eureka !

Il lui fallait maintenant creuser… et c’est qu’il devait être enfoncé profond ce trésor ! Mais qu’importe, Diégo enlevait des pelletées de terre et suait de grosses gouttes d’autant que plus il creusait plus la terre devenait dure et envahie de cailloux.

Au bout d’une heure, peut-être même plus, la pelle rencontra quelque chose de métallique. Mais la déception fut au niveau de l’effort fourni. En fait de trésor il y avait là un trousseau de grandes clés rongées par la rouille.

– Putain de bordel de merde ! Cria-t-il.

Et il le cria si fort qu’Henriette l’entendit et vint s’enquérir de ce qui provoquait de tels jurons.

– Mais c’est quoi ce trou ? S’époumona Henriette.
– Il y avait une mauvaise racine… balbutia Diego.
– Je vous ai embauché comme jardinier par comme taupe géante. Vous me rebouchez tout ça, je vais vous préparer votre paye et je ne veux plus vous voir, allez vous faire pendre ailleurs
– Mais enfin, Madame Henriette.
– Ta gueule !

L’acte 2 avait donc malencontreusement foiré. Et cela mis en rage la belle Yvette qui incendia proprement son compagnon.

– J’ai joué de malchance, c’est tout ! Balbutia-t-il.
– Et on vient de passer à côté d’un trésor…
– Ce n’est peut-être pas complétement foutu, on va réfléchir.
– Réfléchir à quoi ?

Bref il y avait de l’orage dans l’air.

Mais après l’orage vint le calme et Yvette à défaut d’avoir une autre idée se mit à relire l’opuscule qui prétendait indiquer la localisation du trésor. Elle avait négligé les passages en latin, n’ayant jamais étudié cette langue. Et après plusieurs phrases se révélant sans intérêt une fois traduites sur Internet, elle tomba sur ce passage :

Si non inveniat thesaurum
Tantum stultus auxiliatus sum tui !

Ce qui peut se traduire comme ceci :

Si le trésor tu ne trouves pas
Seul un fou saura t’aider !

« Un fou ? Et si on rendait fou le fils Bayeul ? »

Elle en parle à Diégo qui se met à cogiter.

– Ça pose deux problèmes, le premier est de savoir comment on fait pour le rendre fada, le second c’est qu’une fois qu’il sera fada, on fait comment ?
– Réglons les problèmes dans l’ordre. Pour rendre quelqu’un maboul, on peut par exemple lui provoquer un choc… ou alors le droguer, mais pas avec n’importe quoi, un machin qui perturbe le cerveau. Lui rétorque Yvette.
– Et on va trouver ça où ? Se gausse Diego.
– Tu ne connais pas des boites où il y a de dealers ?
– Tu sais bien que je ne touche plus à ça !
– La question n’est pas là, tu connais une boite ou pas ?
– Dans le temps, ça dealait pas mal au « Mistigri » à Angers.
– Eh, bien va y faire un tour.
– Je ne sais pas s’ils laissent entrer les hommes seuls ?
– Si ce n’est que ça, je vais venir avec toi, ça me fera une balade.

Dans la boite, Yvette et Diego s’attablent et consomment. Diégo se lève plusieurs fois faisant le tour de la salle à l’affut d’une transaction visible. Mais il ne décèle rien. (ben oui les dealeurs ne font pas leurs petits business à la vue de tout le monde !)

– J’ai l’impression qu’on perd notre temps… Soupire-t-il à l’adresse de sa compagne.

Mais voilà qu’un inconnu s’approche de leur table.

– Bonsoir ! On se connait pas, vous êtes nouveaux ici ?
– On n’est pas vraiment du coin et comme on avait à faire à Angers… commence Yvette.
– Vous allez peut-être me trouver curieux mais j’ai comme l’impression que vous cherchez quelqu’un ou quelque chose ?
– Non, non… se défend maladroitement Diego.
– N’ayez pas peur, je ne suis pas de la police ! En principe, la police n’en a pas grand chose à foutre des consommateurs.
– Des consommateurs ?
– Bon on arrête de jouer, si vous en cherchez j’en ai et de la bonne.
– C’est quoi ?
– Ben de la beuh !

Rapide échange de regards entre Diégo et Yvette. Cette dernière fait signe à son compagnon de marcher dans la combine.

– OK !
– Je vais m’assoir à côté de toi. Fouille discrètement dans la poche de mon blouson ! lui dit le type. Tu ne prends qu’un paquet et tu l’enfouis dans la poche de ton pantalon. Il y a 5 grammes, ça fait 50 euros. Ça ira ou t’en veut plus ?
– Non c’est bon ! Répond Diégo en sortant un billet de son portefeuille.
– Si tu veux d’autres trucs, je n’en ai pas sur moi, mais je peux me débrouiller.
– Du LSD tu peux ?
– Oui !
– Parce que suite à une histoire assez compliquée… je voudrais…
– OH ! Tu ne me racontes pas ta vie, ça ne m’intéresse pas. T’en voudrais combien ?
– J’ai aucune idée, mais c’est possible d’avoir ça conditionné de façon cachée ?
– Tout est possible si on y met le prix.
– Je voudrais que la personne prenne le produit sans le savoir…
– Je t’ai déjà dit de ne pas me raconter ta vie. Faire prendre du LSD à quelqu’un à son insu, je ne vois vraiment pas comment. Bougez pas, je vais passer un coup de fil, je reviens.

Et le dealer s’en alla téléphoner on ne sait où et mit vingt bonnes minutes avant de réapparaitre.

– J’ai peut-être trouvé ce que tu cherches, c’est pas du LSD, c’est du DMT, c’est pas aussi efficace, mais presque. Le mec propose de farcir des cigarettes avec ça. Ça se présentera comme un paquet de Marlboro normal. Ça demande du boulot, Il est d’accord pour te préparer ça si tu lui commande une cartouche entière.
– Et c’est combien ?
– 2 000 balles !
– Hein ?
– Ben oui+
– On peut peut-être négocier…
– Pas de mots qui fâchent, tu marches ou tu marches pas ?
– J’ai peut-être pas besoin d’une cartouche entière…
– C’est ça ou rien ! Et si tu commences à faire le marchand de tapis, je me casse.
– Bon, bon… et concrètement…
– Concrètement, je reviens et je vais dire au gars que t’es d’accord. Dis donc elle est mignonne ta copine, t’en as de la chance.

Yvette pique son fard, mais Diego vient d’avoir une idée salace.

– Oui elle est mignonne, et elle n’est pas farouche. Lance-t-il.
– C’est vrai, ça, madame ?
– Je suis une femme moderne ! Répond Yvette comprenant le jeu de Diego.

– Alors suis-moi dans les chiottes de mecs…
– Et ?
– Et tu vas me faire une petite pipe ! T’aimes ça faire des pipes ?
– Oui, oui !

A l’entrée des toilettes, le dealeur est interpelé par un type à moitié torché.

– Alors Camille, tu t’es levé une pute ?
– Ta gueule !
– On se la partage !
– Non !
– Méchant !

Yvette et Camille s’enferment dans une cabine. Le dealeur ne perd pas une seconde et se défroque.

– Ça bande mou, mais tu vas m’arranger ça !

Yvette se demande ce qu’elle va pouvoir faire s’il s’avère que la bite du type n’est pas clean. Mais ses craintes sont infondées, monsieur fait preuve d’une hygiène génitale parfaite. Elle met donc tout ça en bouche et commence à pomper.

– Mets moi un doigt ! Demande le mec
– Dans le cul ?
– Bien sûr que c’est dans le cul, c’est pas dans les narines…

Pas trop habitué à ça, Yvette, son compagnon n’aime pas ça (d’ailleurs ils n’ont jamais envisagé de le faire) et elle n’a pas eu tant que ça d’aventures extraconjugales.

Mais comme dirait l’autre « elle s’adapte »

Alors une bite dans la bouche, un doigt dans le cul et on agite tout ça….

Le type n’a même pas la curiosité de chercher à voir la poitrine d’Yvette. A la limite elle trouve ça vexant.

Bon je vais te baiser, appuie-toi contre la cuvette.

Yvette entend un bruit de froissement de papier, c’est Camille qui sort une capote de son étui, voilà qui est rassurant. En revanche la position n’a rien de romantique, son visage surplombe la cuvette d’où émane des odeurs peu ragoutantes.

L’individu la pénètre à la hussarde, le coït a dû durer moins de 5 minutes chronos. Yvette n’a ni joui ni simulé. On se refroque et on sort.

– Comme j’ai été gentille avec vous et que vous êtes un gentleman, je suppose que vous allez me faire une petite réduction…
– T’es vraiment une pute ! Mais effectivement je suis un gentleman et t’as gagné un sachet de beuh, maintenant rejoins ton mec, moi je vais téléphoner…

Quand il revint, ce fut pour lui indiquer la procédure.

– Et comment je peux savoir si je ne vais pas me faire marron ?
– Et comment le mec, il pourra savoir si ce n’est pas toi qui va le faire marron ! Le risque est des deux côtés, maintenant tu fais comme tu veux, moi je me casse, on ne s’est jamais vu !

Le mardi suivant, Diego aperçu à la terrasse du « Bon accueil » à Angers, un individu au crâne rasé portant le maillot zébré noir et blanc de l’équipe de foot locale. Devant lui, une tasse de café et un sac en papier kraft.

Diego serre la main de l’homme comme s’il le connaissait depuis l’enfance et s’assoit, il lui tend un livre. L’homme le feuillète très près de son visage de façon à se cacher d’éventuelles caméras et constate qu’il y a bien entre les pages 20 billets de 100 euros. Il regarde sa montre, jouant à l’homme pressé et disparait laissant sur la table le sac en papier kraft.

Il commande un café et attend de l’avoir réglé et de quitter l’établissement avant de plonger son regard dans le sac. Il y a là une cartouche de Marlboro que rien ne vient distinguer d’une cartouche ordinaire

– Comment je peux vérifier, si on ne me l’a pas fait à l’envers ? »

Il pense d’abord expérimenter l’une des cigarettes en l’offrant à un SDF puis il se ravise.

Et si ça ne fonctionne pas, je fais quoi ? Je n’ai aucun moyen de retrouver ce mec. Alors on va faire comme s’il n’y avait pas d’embrouille…

Baudoin Bayeul a ses habitudes, le matin il prend son chocolat chaud au café des Oiseaux, il tape la discute avec d’autres piliers de bistrot et quand ils ne sont pas là, il s’attable et bouquine un polar…

L’après-midi après avoir déjeuné avec sa mère il se rend au Bistrot des Chasseurs pour boire une bière, et il se satisfait du spectacle de Gwladys, la jolie serveuse au décolleté vertigineux et de sa mère, elle aussi dotée d’une poitrine avantageuse. Et quand il cesse de mater, c’est pour bouquiner ou pour griffonner on sait quoi sur le bloc-notes qu’il emporte toujours avec lui.

Aparté

J’entends d’ici le lecteur.

– Gwladys et sa mère ! Décolleté saillant et grosse poitrine… il va se passer quelque chose…

Ben oui ! Tenez l’autre jour…

La Gwladys sert la bière de Diégo en se penchant de façon provocatrice.

– Tu ne t’en lasses pas, hein, mon cochon ?
– Pas possible de s’en lasser.
– T’as 20 balles
– Oui !
– Mais aujourd’hui je ne peux pas, il y a trop de service, mais si tu veux aller dire bonjour à Maman, elle est à la réserve…
– Ah bon, elle est d’accord ?
– Bien sûr sinon je ne t’aurais rien dit.

Et Diego très décontracté passe derrière le bar et s’en va en cuisine. Denise la mère de Gwladys est seule derrière ses fourneaux.

– Oh, monsieur Diego, vous vous trompez, c’est privé, ici !
– Je le sais bien, mais votre fille m’a confié que vous ne seriez pas…. comment dire….
– On dirait que vous perdez vos moyens, jeune homme !
– Je crois bien, oui !
– Vous espériez quelque chose ?
– Excusez-moi, je vais retourner en salle.
– Veux-tu rester là, garnement !

Il n’en fallait pas davantage pour faire revenir Diego.

Martinov3106
– Tu voudrais que je fasse comme ma fille, c’est ça ?
– Pourquoi pas ,
– Aligne les sous !

Diego lui donne les 20 euros enfouis dans sa poche de pantalon.

– 20 euros ? Alors tu t’en fous plein la vue, tu caresses quelques secondes et c’est tout.
– Oui, oui !

Denise soulève son haut, fait sauter les balconnets de son soutien-gorge et exhibe une très jolie poitrine aux tétons arrogants que Diego s’empresse de caresser brièvement.

– Si tu veux une pipe, c’est possible, mais c’est plus cher ! Lui propose la jolie mature.
– Euh… combien ?
– T’as combien sur toi ?
– Euh, il me reste 40 euros ! Répond Diego après avoir inspecté son portefeuille.
– Ça ira ! Donne ! T’as la bite propre j’espère ?
– Ben oui j’ai pris une douche ce matin !
– Alors fais voir la marchandise.

Diego sort sa bite demi-molle de sa braguette et la femme après s’être accroupie, la coince quelques instants entre ses seins avant de la porter en bouche.

Elle procède avec énergie n’ayant nulle intention de faire trainer l’affaire. Mais allez donc savoir pourquoi Diego bloque. Alors la main gauche de la femme s’aventure du côté des fesses, un doigt s’approche du trou de balle, elle s’interrompt pour l’humecter, puis y retourne et enfonce son index dans l’anus.

– Non pas ça !
– Chochotte !
– J’aime pas !
– Tu n’y connais rien.

Mais ne voulant pas le contrarier elle retire son doigt et accélère ses mouvements de fellation. Mais rien n’y fait, quand ça ne veut pas, ça ne veut pas !

– Je bloque ! Se désole-t-il

Denise retire la bite de sa bouche et la branle à grande vitesse. Une goutte de liqueur séminale finit par apparaître au sommet du gland, elle le reprend en bouche et cette fois Diégo jouit. La femme avale le sperme, elle adore ça !

– Evidemment il ne s’est jamais rien passé ! D’accord ?
– Ben oui !

Fin de l’aparté.

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 15 novembre 2025 6 15 /11 /Nov /2025 10:05

Martinov 31 – Les visions mystérieuses – 5 – Les manigances de Diego par Maud-Anne Amaro
blob

Diego Lopez habite de l’autre côté de la ville, dans un immeuble ancien. Florentine gare sa voiture…

– Florentine tu restes avec Lelong et tu le surveille de près… Lui indique Gérard
– Pas de soucis, j’ai mon flingue.
– Tu montes avec moi ? Demande Gérard à Brigitte qui accepte.
– C’est quoi le plan ?
– On va improviser, j’adore ça !
. Alors, improvisons…

Ils montent au troisième sans faire de bruit. Gérard tend l’oreille, il entend des brides de conversations, un homme et une femme, ainsi que des bruits de vaisselle.

– Doivent être en train de bouffer ! Commente-t-il. Allez c’est parti !

Il frappe à la porte.

– Qu’est-ce que c’est ? Répond une voix masculine.
– Police ! Ouvrez !

Diego entrouvre la porte.

– C’est pourquoi ?
– On va en discuter, laissez-nous rentrer.
– Vous avez un mandat ?
– Nous sommes la sécurité du territoire ! Précise Gérard en exhibant sa belle carte (périmée). On n’a pas besoin de mandat. Bluffe-t-il.

Inutile de préciser que le Diego est blême comme un bol de lait.

– Voilà, tu es soupçonné de trafic de drogue, on ne va pas se mettre à fouiller, une équipe spécialisée viendra le faire en temps utile, mais si tu nous disais où tu la planques on gagnerait du temps.
– Mais vous vous trompez ! Ce doit être une dénonciation calomnieuse ! Se défend le type, sans grande conviction.
– Tu pourrais leur dire ! C’est quand même pas si grave ! Intervient spontanément la compagne de Diego.

Celui-ci respire un grand coup puis lâche.

– J’ai eu la faiblesse d’acheter une cartouche à un type, c’était en affaire, j’ai voulu essayer. Je les ai à peine touchés… il en reste sept ou huit paquets. Ils ne sont même pas cachés, Ils sont dans le grand tiroir… Je peux vous les montrer… Vous voyez c’est de la possession, ce n’est pas du trafic, ce n’était vraiment pas la peine de rameuter la sécurité du territoire. Vous voulez les voir, les paquets ?
– Oui !

Effectivement il y a dans le tiroir sept paquets de Marlboro sans cellophane mais non entamés.

Gérard croyait avoir affaire à un trafiquant, là ça devient moins évident.

– Et c’est qui le fournisseur ?
– Vous pensez bien qu’il n’allait pas dire son nom à tout le monde. Improvise Diego. C’était au « Bijou doré », une boite à Angers. Le mec distribuait des échantillons et vendait des cartouches, j’ai trouvé le prix intéressant. Voilà !
– Et les trois paquets manquants ?
– On les a fumés !

Et là Gérard à une lumière.

– Il sont où vos cendriers ?
– Euh ! On a décidé d’arrêter de fumer ! Tente bêtement Diego
– Tu te ficherais pas un peu de nôtre gueule ? S’il manque trois paquets et que tu ne les as pas fumés, c’est que tu les as refilés à quelqu’un, et ça c’est du trafic.
– Oui ? Bon d’accord… J’ai revendu trois paquets, je ne suis pas Pablo Escobar, non plus !
– On n’a pas dit ça ! Mais résumons la situation, tu ne fumes pas mais tu achètes une cartouche de clopes truffé au DMT. Tu avais donc prévu de les vendre.
– Non, j’avais envie d’essayer ce truc, mais ça m’a foutu des hallucinations bizarres, alors j’ai laissé tomber !
– Sauf que tu mens ! Comme tu le dis, tu n’es pas Pablo Escobar et apparemment tu ne risques pas grand-chose, sauf que les choses sont bien plus compliquées. Tes cigarettes pourries ont changé plusieurs fois de mains et ont fini par atterrir dans les bronches d’un pauvre mec qui devient à moitié fou à force d’halluciner ! Le problème c’est qu’on a retrouvé ton ADN sur le mégot de ce type…

Sur ce dernier point Gérard bluffe, bien sûr.

– Mon ADN ?
– Ben oui t’es fiché, non ? Improvise Gérard.
– De vieilles histoires…
– N’empêche que t’es fiché !
– Mais comment…
– J’en sais rien, je suis la sécurité du territoire, pas la police scientifique. Mais ce qui est encore plus curieux c’est que la victime en question est le fils d’une dame qui t’avait embauché comme jardinier avant de te virer. Il y a de ces coïncidences parfois !
– Ben oui, les coïncidences… bredouille Diego.

Diego ne comprend pas, il n’a jamais touché de ses doigts aux cigarettes, seulement les paquets. Que son ADN se retrouve sur un mégot est inconcevable. Il est donc persuadé que son interlocuteur bluffe. Et donc si ce n’est pas son ADN qui l’a confondu, cela veut dire que c’est Lelong qui a bavé. Ce n’est pas cela qui va arranger ses affaires…

– Et je ne te parle même pas des menaces et de la violence verbale envers une experte embauché par le fils Bayeul. Reprend Gérard.
– Faut peut-être pas exagérer.
– Alors maintenant la question c’est quel intérêt as-tu à essayer de rendre maboul le fils Bayeul ?

Il est sur le cul, Diego

– Vous ne pouvez pas comprendre…
– Non, on est trop cons !
– Vous vous intéressez à l’occultisme ?
– Qu’est-ce que ça vient foutre là-dedans ? Répond Gérard qui ne comprend pas cette digression.

Flash-back

La mère de Diego gérait une petite bonneterie mais se prétendait voyante, et le vendredi soir entre 17 et 20 heures, sa bonneterie se transformait en officine divinatoire. A l’instar de toutes les voyantes de France et d’ailleurs, elle ne voyait pas grand-chose, mais offrait à ses clientes (Eh oui la clientèle de cette profession est très majoritairement féminine) les propos qu’elles souhaitaient entendre. Autant dire que le jeune Diego qui n’a jamais connu son père eut une enfance baignée par l’occultisme, les tarots, les boules de cristal et les incantations magiques et on en passe.

En plus de ces consultations, la maman donnait des cours (des cours de voyances, voyez-vous ça !). Elle n’avait qu’une seule élève régulière, Yvette Fulci, superstitieuse et plantureuse Corse au sourire ravageur qui faisait fantasmer Diego.

Un jour, la maman s’électrocuta en faisant dégringoler son séchoir à cheveux dans son bain, un évènement qu’elle n’avait point prévu.

Peu de temps après, Yvette Fulci reprit l’activité, employant les méthodes que lui avait enseigné la maman. Et une amourette ne tarda pas à se nouer entre Diego et Yvette qui finirent par se mettre en ménage.

Laquelle Yvette lisait beaucoup et n’importe quoi et c’est ainsi qu’un jour elle entreprit Diego.

– Les Templiers, ça te parle ?
– Pas du tout, pourquoi ?
– Bon en gros, c’étaient des chevaliers un peu bizarres, très ambitieux et surtout très riches. Le roi de l’époque a fini par les faire zigouiller et a récupéré leur trésor en 1300 et des brouettes.
– Passionnant.
– Attends, tu vas voir. Parce que le roi n’a récupéré qu’une petite partie du trésor, le reste a été dispersé et planqué aux quatre coins de la France. Et figure-toi que je viens de lire un vieux machin qui prétend qu’une partie du trésor se trouverait enterré sous le couvent des Founettes.
– C est où ça ?
– Détruit pendant la révolution, un bourgeois y a fait construire une résidence, aujourd’hui c’est madame André la propriétaire.
– Quoi ?!
– Je me suis procuré en douce une copie du plan de la propriété au cadastre et j’ai employé la méthode de Hertzsprung-Russell.
– Hein ?
– Peu importe ; c’est un machin avec une plaque aimanté et un pendule. Ça m’a permis de déterminer l’endroit où devrait se trouver le trésor. C’est dans un périmètre de 16 m² et à 2 mètres de profondeur.
– On pourrait le récupérer ? Demanda alors Diego subitement très intéressé.
– C’est bien pour cela que je t’en parle.

Yvette avait tracé un cercle sur sa copie du plan, prenant comme centre le point indiqué par le pendule. Le cercle s’étendait aux deux tiers sur le jardin de la propriété, le tiers restant sous les fondations de la maison.

– Il nous faudrait un prétexte pour pénétrer dans la maison ! Remarqua Diego.
– Ça ne doit pas être si compliqué, la mère André est en EPHAD, c’est Henriette Sanson qui garde la baraque. Elle est censée l’entretenir, mais tu verrais l’état du jardin. Il y a du boulot. D’autant que son feignant de fils ne l’aide pas beaucoup
– Tu voudrais que je me fasse embaucher comme jardinier ?
– C’est en effet l’idée !
– Et si elle refuse ?
– Fais lui du charme…
– Tu ne seras pas jalouse ?
– Bien sûr que non, puisque c’est pour la bonne cause.

Et quelques jours plus tard…

– Bonjour madame. Voilà, je suis Diégo Lopez, je suis actuellement au chômage, et j’ai remarqué que votre jardin aurait besoin d’un peu d’entretien, aussi…
– Je vous remercie, mais je n’ai besoin de personne.
– Permettez-moi d’insister je me contenterais du salaire minimum et je travaille dur ! Prenez-moi à l’essai une journée.
– Hum… revenez à 14 heures, on fera un petit essai.
– Merci madame ! Oh ! Quel beau sourire vous avez !
– Tu parles !

N’empêche que cette simple réflexion avait troublé Henriette qui du coup regardait son interlocuteur autrement.

« Peut-être que je lui plais, à ce grand nigaud ! Il faut dire qu’il est plutôt bel homme. On va voir jusqu’où il veut aller… »

– Je vous offre un café ?
– Avec plaisir !

Moment calme pendant lequel Henriette insère une capsule de café dans l’appareil, puis le fait couler dans une tasse.

– Attention, c’est chaud ! Lui dit-elle en s’efforçant de lui offrir une nouvelle fois son joli sourire.
– Vous vivez seule ici ? Lui demanda-t-il alors qu’il connaissait pertinemment la réponse.
– Je vis avec mon fils, il est au chômage lui aussi, mais il ne sait pas faire grand-chose. Il est un peu feignant en fait.
– Et il n’est pas là ?
– Il fait sa balade matinale ! Il ne reviendra pas avant midi.

L’air de rien, c’est ce qui s’appelle « préparer le terrain » !

– Vous êtes une belle femme…
– Un peu sur le retour la belle femme… et arrêtez de me regarder comme ça, vous allez me faire perdre mes moyens…
– On n’a que le bon temps qu’on se donne.
– Petit canaillou !
– Je peux vous toucher les seins ?
– Vous en mourrez d’envie, hein ? Allez-y, faites-vous plaisir.

Vous pensez bien que Diego qui n’attendait que ça se met à peloter la poitrine d’Henriette par-dessus le tissu.

– Hum ! Je peux la voir !
– Gros coquin !
– Ça restera entre nous !
– J’espère bien.

Et Henriette excitée par la situation a la conscience d’esprit de se dire que si elle laisse l’homme la dominer, ça ne va peut-être pas le faire, alors elle décide de prendre un peu l’initiative et à la grande surprise de Diego, elle lui met la main à la braguette.

– Vous m’avez l’air bien excité !
– On le serait à moins.

Henriette retire son haut laissant apparaître un joli soutien-gorge en dentelle blanche.

– Je l’enlève aussi ? Demande-t-elle alors qu’elle est certaine de la réponse.
– Oui, s’il vous plait ! Il n’y a que dans les films américains qu’on fait l’amour en soutien-gorge !
– Parce que vous espérez que l’on fera l’amour ?
– Ça ne vous tente pas ?
– On verra, on verra ! Répond la femme en dégrafant son soutif.
– Oh ! Que c’est beau !
– Je ne sais pas si c’est beau, mais c’est rond, c’est doux et ça ne dégringole pas.
– Je peux toucher !
– Dame ! Au point où nous en sommes.

Diégo a beau s’efforcer d’agir en gentilhomme, devant cette jolie paire de seins, le naturel revient au galop et il finit par confondre caresse mammaire et tripotage de pâte à modeler.

– Doucement ! Modérez vos ardeurs et laissez-moi voir votre quéquette, elle doit avoir chaud.

Et Henriette se débarrassant de l’étreinte rustique de l’homme opère une flexion des genoux afin de se retrouver nez contre braguette.

Anticipant la suite inéluctable Diégo baisse prestement pantalon et caleçon pour présenter sa bite au garde-à-vous. Une bite moyenne, ni trop grosse, ni trop petite mais d’un bel aspect.

Henriette s’en empare, la caresse comme s’il s’agissait d’un petit chat, la coince quelques instants entre ses seins, puis la porte en bouche et commence à sucer.

Martinov3105– Oh ! Tu suces bien !
– J’essaie, mais pas de tutoiement, je suis votre future patronne et vous me devez le respect…

Après quelques minutes de fellation, Henriette se redresse.

– Je suppose que vous voulez me baiser !
– On est bien parti pour ça, non ?
– Et comme tout cela était sans doute prémédité, je suppose que vous avez des capotes sur vous ?
– On ne peut rien vous cacher !
– Alors qu’est-ce qu’on attend ? On y va ?

En chambre, Henriette s’allonge sur lit. Diego va pour la couvrir mais la femme le stoppe en plein élan.

– Y’a pas le feu, lèche-moi d’abord.

Diego est un petit peu contrarié de ce contretemps. Dans son petit esprit macho, les broutages de minous sont des « trucs de gonzesse ». Mais il n’oublie pas non plus qu’il est en mission de séduction et qu’il se doit de faire contre mauvaise fortune bon cœur.

Il est mal à l’aise, il s’efforce de bien faire mais son manque d’expérience est abyssal. Et en plus ça le fait débander.

Afin de ne pas le vexer (eh oui, elle est gentille, Henriette) elle simula son plaisir et Diégo n’y vit que du feu, (tout de même un peu étonné d’avoir réussi à faire jouir la dame)

Diego attend quelques instants avant de la pénétrer et s’astique sa pine devenue demi-molle. C’est alors qu’il la voit se retourner et exhiber ses fesses bien dodues.

– Tu fais quoi ?
– Tu vas me prendre par derrière, je préfère.

Voilà une suggestion qui n’est pas pour déplaire à Diego.

– Lubrifie d’abord !

Ben non, il ne va pas lécher le trou du cul de sa probable prochaine patronne, Ce n’est pas son truc, alors il lui crache plusieurs fois sur le trou de balle, estime que la lubrification est suffisante en encule Henriette.

Laquelle Henriette trouva que sur ce coup-là, il ne se débrouillait pas si mal que ça.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 15 novembre 2025 6 15 /11 /Nov /2025 10:02

Martinov 31 – Les visions mystérieuses – 4 – Brigitte et Garance… puis Gérard par Maud-Anne Amaro
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Réunion de crise chez les Bayeul autour de Brigitte Silverberg. Sont là : Henriette, Baudoin, Martinov et Béatrice. On a demandé aussi à Garance de venir, dès fois qu’elle ait une idée….

– Bon, on sait ce qui provoque les visions de Monsieur Bayeul et on a l’identité du coupable. Commence Brigitte. La police s’occuperait de l’affaire, ce Bruno Lelong serait embarqué pour possession de drogue. Reste deux questions ; Il fait ça pour le compte de qui ? Et pourquoi provoquer ces visions ? Si la police l’appréhende, il peut invoquer son droit au silence… et on ne sera guère avancé. Si vous avez des suggestions, je vous écoute.
– Si on faisait intervenir Gérard ? Suggère Béatrice.

Nos fidèles lecteurs connaissent évidemment Gérard Petit-Couture, ancien agent de la DGSE et très brièvement ministre, lui et sa charmante épouse Florentine Jansen sont des amis (très) intimes de Martinov et de Béatrice.

En sortant de cette petite réunion, Brigitte se retrouve à côté de Garance.

– Vous voulez que je vous dépose chez vous ? Lui demande-t-elle
– C’est gentil, mais je n’habite pas très loin et marcher un peu à pied me fera du bien.
– Et les rues sont sûres ?
– C’est le Maine et Loire, ici ce n’est pas la jungle.
– Bon excusez-moi, je vais vous laisser. Se confond Brigitte
– J’ai quand même l’impression que vous aviez une envie folle de m’accompagner !
– Ah, vous avez cette impression ?
– Oui, vous voulez me parler d’un élément de l’affaire que vous n’avez pas pu aborder tout à l’heure, c’est ça ? Suggère Garance
– Non, c’est plus basique que ça ! Nous nous sommes échangés des regards pendant la réunion et j’avais cru deviner que je ne vous laissais pas indifférente. Non, non, ne dites rien on se fait un bisou et on se sépare.
– A mon tour d’être franche. Si vous avez des intentions coquines, je ne suis pas contre !
– On va chez vous ?
– Oui !
– Alors montez dans ma bagnole.

Aussitôt que Garance fût installée dans la voiture sur le siège passager, Brigitte glissa sa main sur son pantalon. Et lui tripota la chatte par-dessus son string.

– Tu mouilles déjà ?
– Faut dire que la situation est excitante.
– T’es un peu gouine, alors ?
– Je ne sais pas trop ce que je suis, j’aime bien les mecs, mais certaines femmes me font flasher.
– Mais tu as déjà couché avec des femmes ?
– Eh oui ! Et même que ça m’a bien plu !
– T’es vraiment fiancée avec le fils Bayeul ?
– Mais pas du tout, c’est sa mère qui raconte ça ! Baudoin je l’aime bien en copain…
– T’as couché avec ?
– Ben oui !
– Et c’était comment ?
– J’ai connu mieux, j’ai connu pire. Il a une belle bite, il est endurant.
– Bon, tu m’indiques la route, on va filler chez toi, Les câlins en voiture c’est rigolo mais ça ne vaut pas un bon plumard.

Chez Garance, celle-ci sacrifie aux lois de l’hospitalité en offrant à boire à la détective.

– Tu arrêtes de me regarder comme ça, qu’est-ce que j’ai de si particulier ? Demande Brigitte.
– Tu ne serais pas un peu dominatrice ?
– Disons que ça m’arrive !
– Alors fait-moi ce que tu veux, je suis ton esclave !
– Tu es sûre parce que si je me déchaîne, tu vas en voir de toutes les couleurs !
– Je m’en fous, j’ai confiance !
– Alors on y va, t’es prête ?
– Oui mais avant je voudrais te demander quelque chose
– Je t’écoute.
– Montre-moi tes seins !
– Ah, ah, mais pour ça il faut le mériter si tu fais bien l’esclave je te permettrais de les ploter et de les embrasser. D’accord ?

Certes Garance aurait préférer les voir maintenant, mais elle accepte le deal.

– Maintenant à poil ! Grosse pute ! Lui lance Brigitte.

Garance s’exécute et la voilà bientôt nue comme l’enfant qui vient de naître.

– Ben dit donc, t’es vachement bien gaulée ! Lui fait remarquer Brigitte. Tu devais faire le tapin, tu te ferais de l’or. Hé je te parle, tu ne réponds pas ?
– C’est un de mes fantasmes… comment tu as deviné ?
– Parce que je suis très forte ! Imagine que je t’emmène au bois et que je t’oblige à faire des pipes. Je te verrais bien en train de sucer des bites à la chaîne. Bon après ces bonnes paroles tu vas te mettre en levrette et bien cambrer ton cul, je vais te le soigner à ma façon… Hum, il me faudrait un truc pour frapper… T’as des mules ?
– Des mules ? Oui !
– Va les chercher… non tu vas aller les chercher à quatre pattes et tu les rapportes avec les dents !

Garance obéis du moins à moitié parce qu’en fait elle ne rapporte qu’une seule mule.

– Et l’autre ?
– J’y vais !
– Non inutile, mets-toi bien en position.

Et Brigitte se met en taper en cadence sur le joufflu de la belle brunette qui ne tarde pas à changer de couleur.

– Tiens trainée ! Tiens grosse pute ! Dis-le-moi que tu es une grosse pute !
– Je suis une grosse pute !
– Tu veux continuer à souffrir !
– Oui, j’aime ça !
– Alors va me chercher quatre pinces à linge.

Des pinces à linges pour quoi faire ? Vous avez bien sûr deviné ! Une sur chaque téton, le reste sur les grandes lèvres. Ça pince, ça fait mal, mais Garance ne réagit que par une vilaine grimace y compris quand sa tortionnaire se met à jouer avec, tirant et tortillant les chairs.

– Ça te fait mouiller, hein, salope ?
– Oui ! Je suis une salope !
– Bon on va passer à autre chose…

Brigitte enlève son pantalon et sa culotte et fait admirer son joli postérieur à Garance.

– Et maintenant tu vas me lécher le trou du cul, et j’espère qu’il sent bien la merde.Martinov3104

Garance n’hésite pas une seconde et sa langue vient trifouiller le trou de balle de la jolie détective.

– Alors ça a quel goût ? La nargue Brigitte.
– Euh….
– Euh quoi ?
– Ça sent un peu fort !
– Ça ne répond pas à la question ! Ça a quel goût ?
– Ben, un goût de cul !
– Je vais t’enlever les pinces, tu as assez souffert comme ça, mais tu vas te mettre à genoux devant moi, je vais te pisser dans la bouche !
– Non ! Répond Garance.
– Comme tu veux ! Viens me rejoindre sur le lit, tu vas me faire jouir. Propose Brigitte en enlevant les pinces qui blessent les chairs de la brunette.

A chaque fois le retrait s’accompagne d’un cri de douleur.

– Je… je… je ne l’ai jamais fait… Bredouille la brunette.
– Qu’est-ce que tu n’as jamais fait ? Faire jouir une femme ?
– Non, non, le pipi…
– Ce n’est pas grave, tu ne veux pas, tu ne veux pas… on ne va pas en faire une maladie.
– Fais le moi !
– Un coup tu veux, un coup tu veux pas !
– Maintenant je veux… pour essayer.
– Alors ouvre bien la bouche…

Garance s’agenouille quelque peu anxieuse. Comprenant l’état d’esprit de sa soumise, Brigitte contrôle son jet afin d’éviter les grandes eaux.

La brunette avale cette première rasade en faisant une drôle de grimace.

– Alors ?
– C’est spécial !
– T’en veux encore ?
– Je sais pas… juste un peu.

Brigitte lui envoie encore deux rasades, mais s’arrête là ne voulant pas en faire de trop pour une première fois. Elle finit son pipi dans les toilettes et revient.

– Voilà, je ne me suis pas essuyée, maintenant tu vas me bouffer la chatte

Brigitte s’affale sur le lit jambes écartées.

– Euh… tes seins… tu m’avais promis… balbutie Garance.
– Mais bien sûr ma biche ! Une promesse est une promesse.
– Oh, qu’ils sont beaux
– Je te les offre, fais-en ce que tu veux.

Vous pensez bien que cette suggestion ne tombe pas dans l’oreille d’une sourde, et que la Garance se déchaine en léchant comme des friandises les gros tétons érigés de la détective privée.

– Oh, c’est bon ce que tu me fais ! Continue.
– Flattée dans son égo, Garance continue à se régaler jusqu’à ce que sa partenaire lui demande d’aller voir un peu plus bas.

Et plus bas, c’est trempé, la mouille s’est mélangée à l’urine. Garance lui écarte les nymphes et lèche ce jus mielleux.

Elle n’en peut plus Brigitte et commence à sentir son plaisir monter inexorablement.

– Mon clito, mon clito ! Implore-t-elle.

Garance répond à l’appel et tout d’un coup la chambre d’hôtel s’emplit du cri de jouissance de cette atypique et coquine détective privée.

Après quelques secondes de répit, Brigitte se jette littéralement sur sa partenaire, et après avoir échangé un long baiser profond, elle l’embrasse partout, commençant par les seins, finissant par le sexe trempé, et cela jusqu’à ce que Garance jouisse à son tour.

Et après un petit moment calme, les deux nanas reprirent leurs ébats jusqu’à ce que le sommeil ait raison d’elles.

On fait donc appel à Gérard Petit-Couture, on lui raconte… c’est le genre d’histoire qui le passionne…

– Vous êtes où ? Près d’Angers ? D’accord ! On partira juste après déjeuner… c’est quoi l’adresse. ?
– On te la donnera plus tard, il est possible qu’on soit surveillé. Si tu pouvais retrouver Brigitte Silverberg à l’hôtel de Voyageurs, 8 allée des poules…
– OK, c’est noté !

Gérard et Florentine sont arrivés à 17 heures.

– Ah ! Brigitte quelle joie de vous rencontrer de nouveau… commence Gérard.
– C’est un plaisir partagé, mais le boulot d’abord si tu n’y vois pas d’inconvénients.
– OK explique-moi comment tu vois les choses ?

Ce petit briefing à l’air convenir à Gérard.

– Pour aller chez lui, il passe par des rues fréquentées ? Demande-t-il.
– Il habite en zone pavillonnaire, apparemment c’est très calme !
– Alors on agira à l’entrée de cette zone.

Les rôles sont distribués. Quand Lelong sort du troquet, le trio après s’être assuré qu’il prend la direction de son domicile, se rend en voiture à l’entrée de la zone pavillonnaire

Ils attendent que Lelong arrive… Le voilà…

– C’est lui ?
– Oui !
– Bizarre ce mec, il n’a pas du tout le physique d’un voyou.
– Tu crois que les voyous ont un physique particulier ?
– Non mais, j’ai appris à juger les gens, même si parfois je me plante, c’est un faible, c’est typiquement le genre de mec qui se fait manipuler.
– On verra bien, on y va ?

Brigitte sort de la voiture, Gérard s’apprête à faire de même, Florentine reste au volant.

La détective vient à la rencontre de Lelong, tout sourire.

– Excusez-moi monsieur, si vous pouviez me dépanner d’une cigarette ?
– Ah, je suis désolé mais je ne fume pas !

Et c’est à ce moment que Gérard intervient…

– Menteur, on vous a vu offrir une cigarette à un monsieur en sortant du café !
– Mais…
– Mais quoi ? Gérard Petit-Couture, sécurité du territoire ! Se présente-t-il en exhibant sa carte périmée.
– C’est un paquet qu’on m’a donné, mais moi je ne fume pas… tente de se défendre l’individu.
– Un paquet truffé au DMT ! Tu nous prends pour des cons, on va t’interroger un peu plus loin et ne fait pas le guignol, on est armé et entraîné. Allez, monte dans la bagnole !

Il n’en mène pas large, Bruno Lelong ! Il n’a d’autres alternatives que d’obtempérer.

La voiture redémarre et passe devant le petit bois où Martinov s’est un peu « égaré » l’autre jour.

– Là c’est bon ? Demande Gérard.
– Non, Martinov nous a conseillé d’éviter ce coin c’est plein de voyeurs, on ne sait jamais.
– D’accord on va avancer.

Ils prennent une contre-allée un peu plus loin, s’arrêtent en laissant les phares allumés et font descendre sans ménagement Bruno Lelong.

– Bon la première question est simple ! Tu fais ça tout seul ou on te paie pour le faire ?
– Hein ?
– Fais pas semblant de ne pas comprendre, on gagnera du temps.
– Je n’ai pas compris la question !
– Qui t’a demandé d’offrir chaque jour une cigarette à Baudoin ?
– Je ne suis pas une balance !

Et plaf ! Il reçoit une gifle en pleine poire.

– On a les moyens de te faire parler !
– Vous parlez comme la Gestapo !

Et plaf ! Nouvelle gifle en pleine poire.

– Vous n’avez pas le droit !
– Alors accouche !
– Je n’ai rien fait de mal, un copain m’a demandé d’offrir tous les jours à la sortie du bistrot une cigarette d’un paquet qu’il m’a donné
– Et tu ne savais pas ce que contenait ces cigarettes ?
– Bien sûr que non sinon je n’aurais pas accepté cette combine.
– Menteur ! C’est pour ça que dès que Bayeul a eu le dos tourné tu as jeté ta cigarette ?
– Je l’ai jeté parce que je ne fume pas c’est tout.
– Tu te rends compte au moins que ton histoire ne tient pas de bout ?

On fouille les poches de Lelong, il n’y a effectivement pas d’autres paquets de cigarettes que les « Marlboro » truffées.

– Bon on va faire autrement, admettons que l’on te croie et que tu ne savais pas que les clopes étaient truffées, dans ce cas ton copain s’est bien foutu de ta gueule et maintenant c’est toi qu’est dans la merde !

La pique semble faire mouche. Gérard en rajoute une couche.

– Ce copain dont tu ne veux pas nous dire le nom, tu le connais depuis longtemps ?
– On était au lycée ensemble.
– Vous êtes amis alors ?
– Non !
– Comment ça « non » ?
– C’est juste un copain de classe, pas un ami.
– Au lycée, vous aviez quelles relations ?
– Pff ! Si vous pouviez me foutre la paix, je me retrouve dans une situation contre mon gré.
– Je ne te le fais pas dire… N’empêche que tu continues à couvrir un salopard qui s’est foutu de ta gueule
– Si je vous le dis le nom, il va me casser la gueule.
– Non, on saura faire, c’est notre métier, il ne saura jamais que c’est toi qui l’as donné.
– Sûr ?
– Oui !
– Et après, vous allez me libérer ?
– Non ! On te libèrera quand on aura coincé cette personne, on ne peut pas prendre le risque que tu le préviennes.
– Mais je ne vais pas m’amuser à ça !
– C’est peu probable en effet, mais je prends toujours mes précautions, alors c’est qui ?
– Diego Lopez, j’ai pas l’adresse exacte mais j’ai son téléphone.
– Tu sais y aller ?
– Oui.
– Tu vas nous montrer !
– Je ne veux pas qu’il me voie ! Répond Lelong, livide
– Il ne te verra pas !
A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 15 novembre 2025 6 15 /11 /Nov /2025 09:58

Martinov 31 – Les visions mystérieuses – 3 – Une enquête difficile par Maud-Anne Amaro
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Le professeur regarde sa montre; le temps a passé vite, il prend le chemin du retour essayant de s’imaginer ce qu’on bien pu fabriquer Béatrice et Brigitte…

Je suis certaine que les lecteurs aimeraient eux aussi savoir, alors on vous raconte.

Dès qu’elle furent l’une en face de l’autre Béatrice et Brigitte s’enlacèrent et se roulèrent un patin magistral.

Martinov3103– J’ai demandé une chambre avec un grand lit ! Croit devoir préciser Brigitte, c’est plus pratique !
– On se déshabille ! Propose Béatrice qui n’attend pas de réponse et donne l’exemple en se dépouillant prestement de ses vêtements et sous-vêtements.
– Oh, le joli minou que voilà !
– Sauf que normalement les minous ils se lèchent tout seul, le mien, il faut que je me le fasse lécher…
– Je finis d’enlever tout ça et je m’en occupe ! Allonge-toi sur le plumard !

Béatrice s’y allonge en écartant les jambes. Brigitte vient la rejoindre, lui passe par-dessus- et vient lui lécher les tétons qui durcissent sous les baisers. Puis son visage descend, s’arrête un moment au niveau du nombril qu’elle titille de la langue.

– Arrête, tu me chatouilles !

Brigitte descend encore et s’attaque à la chatte de le belle chimiste dont les lèvres sont gonflées de plaisir et imbibées de mouille. Elle lèche tout cela, se régale et attend les premiers gémissements de sa partenaire pour cibler le clitoris érigé. Le corps de Béatrice se tétanise, ses mains agrippent le dessus de lit (qui ne lui a pourtant rien fait) et elle se laisse aller à sa jouissance.

– Déjà ? S’étonne la détective.
– J’étais excitée comme une sauterelle.
– Je n’ai même pas eu le temps de te lécher le cul !
– Eh bien vas-y, lèche-le-moi !
– Je n’y manquerais pas, mais d’abord tu vas t’occuper de moi. J’ai la chatte en feu !
– Tu n’as pas apporté de gode ?
– Eh non, mais je sais que tu vas bien te débrouiller avec tes doigt de fée et ta langue de sorcière.

Brigitte s’est affalée sur le lit, les jambes écartées. Béatrice lui grimpe dessus et s’empare de ses tétons durcis d’excitation, elle les lèche, les aspire, s’en régale, fait une petite pause pour embrasser baveusement sa partenaire. Puis descend entre ses cuisses.

– Soulève-toi un peu que je te lèche le troufignon.

Béatrice se régale de ce petit endroit à la texture et à l’odeur si particulière. Et s’efforce d’y enfoncer la langue.

– Il est trop mignon ton petit trou du cul !
– On fait ce qu’on peut, mais il va falloir faire une petite pause, j’ai comme une envie de faire pipi.
– Hum, je sens que tu vas me le faire boire !
– C’est si gentiment demandé…
– Mais attend deux secondes, j’ai envie de te foutre un doigt.

Et joignant le geste à la parole, Béatrice enfonce son index dans le trou de balle de la détective et effectue quelques dynamiques mouvements de va-et vient.

– Whaah, c’est bon, mais maintenant il faut vraiment que je pisse.

C’est presque à contre-cœur que Béa retire son doigt, ce qui ne l’empêche pas de le lécher avec un regard de défi.

– Allez, on va faire ça dans la salle de bain, mets-toi en position j’arrive ! Lui indique Brigitte.

Béatrice s’accroupit dans le carré à douche et ouvre la bouche…

C’est qu’elle avait une grosse envie, la belle détective ! Béatrice avale plusieurs gorgées ce cette bonne pisse qu’elle apprécie toujours beaucoup. Le reste lui dégouline sur les seins.

Les deux femmes rigolent, puis Béa s’étant redressée, s’enlacent et se caressent. Brigitte ne manquant pas de lécher l’urine qui a mouillé la poitrine de sa partenaire…. Quand on est cochonne autant l’être jusqu’au bout..

– Allez, faut que tu me fasse jouir, maintenant ! Indique la détectrice.

Un petit coup de serviette éponge, puis les deux goudous regagnent le lit et se mettent spontanément en soixante-neuf.

Béatrice peut ainsi lécher la chatte de Brigitte, qui pour sa part s’occupe de l’anus de sa partenaire..

Brigitte ne tarde pas à ressentir les premier spasmes du plaisir. Béa, la sentant prête titille son clito provoquant un orgasme fulgurant chez sa camarade de jeu.

On se calme, on fume une clope, on s’embrasse tendrement.

Le lendemain, Brigitte Silverberg se mettait au travail. Au volant de sa voiture, elle attendait que Baudoin sorte du manoir.

1er jour d’enquête

Vers 9 heures, il sort avec le chien en laisse, cela dure une petite demi-heure le temps que le toutou fasse ses besoins, puis il rentre. Mais c’est pour ressortir cinq minutes plus tard et se diriger à pied vers le café de Chasseurs, il s’y assoit. Il est connu dans ce lieu et on lui donne du « Monsieur Baudoin ». Il boit un café, puis sort un bloc-notes de sa sacoche sur lequel il se met à gribouiller on ne sait quoi. Il reste seul à sa table. Brigitte le surveille mais ne relève rien de suspect.

Un peu avant midi il rentre au bercail très probablement pour déjeuner..

Brigitte reste dans sa voiture la quittant juste le temps d’acheter un sandwich à la boulangerie du coin.

Puis elle attend… les heures passent. Les heures de planques, ça fait partie de l’activité des détectives privés.. on se fait chier mais il faut faire avec. La musique d’une radio diffusant du jazz l’aide à patienter.

Et à 17 heures Baudoin ressort enfin. Direction de nouveau ; le Bistrot des Chasseurs. Mais cette fois les choses sont différentes. Un blondinet au teint pâle l’accueille. Il s’assoit en face de lui. Gwladys, l’accorte serveuse du lieu vient leur apporter deux demis et un jeu d’échec.

Brigitte a choisi une place stratégique, Baudoin est dans sa ligne de mire. Pour ne pas attirer l’attention elle fait semblant de jouer avec son téléphone portable.

Les deux individus sont en plein dans leur jeu. Brigitte ne relève rien de suspect.

« A moins que ce soit la serveuse qui lui a glissé une saloperie dans son verre de bière… ». Si c’est ça, ça ne va pas être de la tarte…

A 18 heures 30, la partie est achevée, apparemment c’est Baudoin qui a gagné et il en est tout heureux ! Grand bien lui fasse… . Brigitte n’a rien détecté de particulier. Baudoin et le blondinet sortent du bistrot, le blondinet lui offre une cigarette et Baudoin rentre à la maison.

– Allo Béatrice, je n’ai rien vu de suspect aujourd’hui, je vais rentrer à mon hôtel, dans le cas où il ressortirait tu m’appelles d’urgence et je rapplique !
– O.K. ma biche.

2ème jour d’enquête

Le lendemain matin avant de se mettre en faction, Brigitte téléphone a Béatrice :

– Rien de spécial ?
– Si, Baudoin a eu des visions hier soir…
– Ou ça ? A quelle heure ?
– Dans sa salle de bain vers 20 heures.
– OK, j’ai une idée, voilà ce que je vais te demander de faire…..

Béatrice entreprend alors Baudoin.

– Monsieur Bayeul je vais être obligé de vous demander quelque chose…
– Mais je vous en prie.
– Je voudrais qu’aujourd’hui vous vous absteniez de sortir de la maison.
– Faut peut-être pas exagérer… Et le chien ?
– Alors vous sortirez uniquement pour le chien en vous abstenant de toute rencontre.
– Je suis vraiment obligé ?
– Ecoutez-moi ! L’enquête avance, il est fort probable que vos visions soient provoquées par quelque chose d’extérieur… Si ce soir après être resté à la maison, vous n’avez aucune vision, nous en aurons la preuve.
– Mais qui voudriez-vous…
– Faisons les choses dans l’ordre, consolidons cette hypothèse, ensuite notre amie détective pourra aller plus loin.
– Mais je vais faire quoi à la maison !
– Vous devez bien avoir des films, de la musique, des bouquins, des bande dessinées…
– Oui, évidemment.

Et toujours est-il que ce soir-là Baudoin n’eut aucune vision !

3ème jour d’enquête

Brigitte à un plan elle demande à parler au téléphone à Baudoin.

– Nous ne nous sommes pas présenté, je suis la détective privée travaillant en collaboration avec le professeur Martinov et son assistante. Je vais vous demander de réaliser une petite manipulation…
– Ah ?
– Vous revoyez votre partenaire aux échecs cet après-midi ?
– Oui !
– Lorsque la serveuse vous servira vos bières, arrangez-vous pour échanger discrètement votre verre avec celui de votre partenaire…
– Mais ça n’a aucun sens.
– Ben si justement, si ce soir vous n’avez pas de vision, cela voudra dire que la serveuse est complice… dans le cas contraire ce sera du côté de votre partenaire qu’il faudra chercher.
– Je veux bien vous faire confiance, mais j’avoue ma perplexité.

A 17 heures 15, la jolie serveuse apporte les bières aux deux joueurs d’échec.

– C’est qui ce mec derrière toi, je l’ai déjà vu quelque part ?.

Blondinet se retourne, Baudoin échange prestement les verres.

– C’est l’ancien grainetier, il vient ici parfois. Je prends les noirs ?
– Vas-y !

Brigitte surveille les deux joueurs, ne remarque rien d’anormal, Encore une fois Baudoin a gagné la partie. Ils se quittent comme l’avant-veille après que Blondinet ai offert une clope à Baudoin.

Lequel Baudoin était de nouveau en proie le soir a des visions peu catholiques.

4ème jour d’enquête

Brigitte se perd en conjectures

– Bien, selon toute vraisemblance, c’est le blondinet qui lui fait avaler un truc, mais il fait comment ? j’ai pourtant fait super attention, je n’ai rien vu de suspect et les verres ont bien été échangés. A moins que ce mec soit prestidigitateur, dans ce cas je suis mal.

Elle décide de se livrer à une nouvelle séance d’observation. Et encore une fois, elle ne détecte rien. Et encore une fois Baudoin a gagné la partie.

– Ma parole il le laisse gagner à chaque fois !

A la sortie, c’est encore la traditionnelle cigarette… Brigitte décide de prendre le blondinet en filature.

Les deux hommes se quittent, Blondinet a sa cigarette à la main, il ne la fume pas et 50 mètres plus loin, il la jette sur le trottoir.

– Bingo, j’ai trouvé !

Elle ramasse la clope, remet la filature à plus tard, regagne sa voiture et file à Angers où elle se met en quête d’un laboratoire.

– C’est un laboratoire d’analyses médicales ici, nous ne faisons pas ça, Madame !
– C’est si compliqué de passer ça au microscope et de me dire s’il y a là-dedans des substances qui ne devraient pas s’y trouver !
– Non mais…
– Et en plus je vous file 50 euros !
– Repassez dans une heure, je vais voir ce que je peux faire.

Et une heure après la laborantine rendait son verdict

– La cigarette est truffée à la diméthyltryptamine.
– C’est quoi ça ?
– Du DMT si vous préférez ! Une substance qui provoque des hallucinations.

Et voilà !

5ème jour d’enquête

Et le lendemain matin, Brigitte Silverberg sonnait au domicile des Bayeul.

– Bonjour Madame. Nous n’avons pas eu l’occasion de nous présenter, je suis la détective privée travaillant en collaboration avec le professeur Martinov et son assistante. Monsieur Bayeul est là ?
– Je l’appelle !
– Ah ! bonjour, vous avez du nouveau ? Demande ce dernier.
– Oh oui ! Votre partenaire aux échecs vous drogue avec des cigarettes parfumées au DMT, une substance hallucinogène.
– Quoi ?
– Ben oui ! Vous le connaissez depuis longtemps, ce type ?
– Je le connaissais de vue et un jour il s’est mis à me causer, il m’a dit qu’il était passionné d’échecs et on a un peu sympathisé.
– Vous avez d’autres renseignements sur lui ?
– Non et je ne cherche pas. Je ne connais que son prénom, c’est Florian… Je n’aime pas me lier. Il m’a proposé de venir chez lui, j’ai refusé.
– Et il fait quoi dans la vie ?
– Il m’a dit qu’il était éclairagiste dans un théâtre à Angers..
– Il n’a aucune raison de vous en vouloir ?
– Je ne vois pas, non !
– Donc on peut supposer qu’il y a quelqu’un derrière lui qui lui demande de vous droguer !
– Mais qui ?
– C’est ce qu’il me va falloir découvrir. Euh, si quelqu’un vous pose des questions sur l’enquête, répondez que tout le monde sèche et que vous avez toujours des visions et surtout ne parlez pas de moi ! En fin d’après-midi, je vais le suivre, on verra bien si ça donne quelque chose. Et surtout ne fumez pas la cigarette qu’il va vous offrir.

Brigitte file discrètement ce Florian comme prévu. Elle récupère ainsi son adresse et sa véritable identité, Bruno Lelong.

Et maintenant je fais quoi ? De demande-t-elle.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 15 novembre 2025 6 15 /11 /Nov /2025 09:56

Martinov 31 – Les visions mystérieuses – 2 – Martinov dans les bois par Maud-Anne Amaro
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Le professeur range quelques bricoles… il n’avait pas apporté grand-chose.

– Ça t’embête de t’occuper de la paperasse ? Demande Martinov à Béa.
– On fera ça à Paris et on lui enverra par courrier …
– Et comme ça on ne sera jamais payé !
– Bon OK, je m’en occupe…

Béatrice commence à griffonner quelque chose sur une feuille de papier et s’arrête en plein élan.

– N’empêche que j’aurais bien aimé savoir pourquoi l’autre abruti m’a agressé en pleine rue ?
– Tant pis !
– Oh, j’ai une idée !

Et la voilà qui dégringole l’escalier à toutes pompes et qu’elle rejoint Garance.

– Si ça peut vous intéresser, nous avons une détective privée très compétente qui collabore de temps en temps avec nous. Je peux lui demander si elle pourrait nous consacrer un peu de son temps.
– Pourquoi pas, ça nous évitera de chercher.

Et c’est ainsi que Béatrice contacta Brigitte Silverberg (voir les épisodes 17, 19, 22, 24, 26 ,27, 29) et que celle-ci toute frétillante à l’idée de rencontrer Béatrice accepta volontiers de venir se perdre en Maine et Loire.

– Vous nous quittez alors ! Demande Henriette.
– Nous allons rester dans le coin un jour ou deux, nous sommes très amis avec madame Silverberg. Nous allons prendre une chambre d’hôtel.
– Si c’est pour un jour au deux, conservez donc les chambres d’amis que nous avons mises à votre disposition. Malheureusement nous n’en aurons pas d’autre pour madame la détective.
– C’est aussi bien comme ça ! Personne ne devra faire le lien entre votre famille et Madame Silverberg. Nous servirons d’intermédiaire.

Le rendez-vous entre Martinov, Béatrice et Brigitte eut lieu à l’hôtel des Voyageurs situé à la périphérie de la ville.

Après que l’on lui ait expliqué toute l’affaire Brigitte conclut.

– Je vais me mettre en planque devant la grille de ces gens-là, quand Baudoin sortira je vais le filer toute la journée, on verra bien ce que ça donnera.

Les yeux de Brigitte et de Béatrice parlent tout seuls, il est évident que les deux femmes ont une envie immarcescible de s’envoyer en l’air. Le professeur Martinov qui n’est pas aveugle mais qui sait se montrer gentleman réagit comme il convient. On ne s’impose pas quand deux femmes se désirent…

– Il y a de belles promenades à faire dans le coin et le temps est dégagé, je vais aller faire un tour et vous laisser je reviens dans une bonne heure.

Ses pas l’emmènent au bord d’une forêt qu’il longe nonchalamment. Il aperçoit un chemin de terre permettant d’y pénétrer.

– Pourquoi pas ? Je vais peut-être trouver des champignons…

Il avance et trois cents mètres plus loin un individu de la même tranche d’âge que lui vient à sa rencontre. Un type assez classe, pas du tout homme des bois, polo et baskets de marques, barbe élégante

– Il n’y a personne aujourd’hui, c’est désespérant ! Lui lance le bonhomme de but en blanc.
– Ah ? Répond le professeur qui ne comprend pas le sens de ces propos.
– C’est bizarre parce que j’suis venu la semaine dernière, il y avait de quoi mater… mater et participer.

Et cette fois Le professeur saisit.(il faudrait en effet être particulièrement bouché pour ne pas comprendre.)

– T’es pas du coin toi, je ne t’ai jamais vu ! Reprend l’inconnu.
– Non je me balade !
– Ah excusez-moi je croyais que… non rien, bonne balade.
– Remarquez, s’il y a des choses intéressantes à voir, je ne suis pas contre. Lui lance Martinov.
– Les choses intéressantes c’est quand il y a du cul !
– J’avais compris, merci !
– Bon je vais aller jusqu’à la source, s’il n’y a personne, je me casse, je reviendrais demain.
– Une source ?
– Oui et l’eau est bonne. Venez avec moi si ça vous dit.

Martinov et l’inconnu (appelons le Robert) cheminent sans se presser dans une allée sauvage quand ils aperçoivent un jeune homme venant dans leur direction. Et ce jeune homme a carrément la bite à l’air dépassant de sa braguette

– Salut les papys ! Si vous voulez de la bite, je suis à votre disposition. J’adore les papys.

Robert à ces mots saute sur l’occasion et entreprend de tripoter le sexe du jeune homme afin de le faire raidir puis se le fourre en bouche avant d’entamer une fellation en règle.

Les lecteurs habitués aux aventures érotiques de ce cher professeur savent qu’il aime autant les bites que les femmes… Que va-t-il donc se passer ?

Eh bien, il commence par regarder, puis il s’approche espérant que Robert aura le tact de lui faire partager son suçage de bite. Ce dernier en galant homme laisse sa place à Martinov tandis que le jeune homme baisse carrément pantalon et calcif. Du coup Robert est passé derrière et se met en devoir de lécher ce trou du cul qu’il trouve accueillant.

– Vous sucez bien, les pépères ! Commente le jeune homme. Je peux vous enculer si ça vous tente !
– Avec capote ? demande Robert !
– Ben sûr mon prince.

Et Robert se débarrasse à son tour de son pantalon et se penche en avant invitant le jeune homme à venir le sodomiser, ce que celui fait après avoir bien mouillé l’anus de sa langue.

Et c’est parti, et tout cela se déroule avec une belle énergie

Un type, la trentaine sortant d’on ne sait où s’approche du professeur.

– Alors papy, on mate !

Martinov peu réceptifs aux familiarités gratuites se contente de répondre par un sourire entendu.

– Je parie que tu aimerais bien être à la place de l’autre papy ?
– Pourquoi pas ?
– Je peux te le faire si tu veux… Tu veux voir ma bite ?
– Pourquoi pas !?

Mais c’est qu’elle n’est pas mal du tout la bite du monsieur et le professeur pratiquement par reflexe s’accroupit, la tripote un peu et se met à la sucer des lèvres et de la langue.

– Oh, ben dis donc t’es un pro de la turlutte, toi ! T’as du en sucer des queues, pas vrai ?

Martinov3102Martinov s’abstint de répondre, il se redressa souhaitant que cet inconnu conserve sa rigueur pour la sodomie promise. Et après s’être assuré que celui-ci s’encapotait bel et bien il s’arcbouta contre un arbre et attendit l’assaut.

– Il faudrait peut-être lubrifier un peu avant ! Précise le professeur… un peu de salive…
– Non, moi je ne lèche pas les culs, mais j’ai du gel.
– Alors allons-y pour le gel Répondit Martinov trouvant ce citoyen bien délicat.

L’individu n’était pas le roi de la délicatesse, mais son action ravit néanmoins notre coquin de Martinov. Ce fut rapide, au bout de cinq minutes le type pris son pied et se retira laissant le trou du cul du professeur béant. Il se refroqua, murmura quelque chose d’incompréhensible et fila sa route. Quant à Robert et au jeune homme ils avaient dû aller voir ailleurs puisqu’il n’étaient plus là.

– Ça m’a donné soif, tout ça, je vais suivre ce chemin puisqu’il paraît qu’il mène à la source…

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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