Jeudi 3 octobre 2024 4 03 /10 /Oct /2024 15:51

Chanette 31 – La clairière secrète – 2 – La masseuse du gite

Massage3

Mardi

Je me suis levée tard le lendemain, je descends dans la salle commune. Il y a Jacques, il me salue, je le lui rends du bout des lèvres. Que fait ce mec à squatter sans arrêt dans cette salle ?

Je ne fais pas trop attention à ce couple insignifiant au fond de la salle, lui la quarantaine, cheveux courts, barbe de trois jours à la mode, elle, brune méchée, visage de fouine et queue de cheval . Par contre sans que je le soupçonne, eux, s’intéressent à moi…

– Ah, voilà la pute ! Indique le capitaine Roquevert à sa collègue.
– Elle me semble un peu frêle pour ce boulot, rétorque le lieutenant Anne-Marie Ledoux.
– Ça ne veut rien dire.
– A mon avis c’est l’autre, un artiste peintre qui vient se perdre ici sans ses pinceaux, c’est pas très normal .
– Et une pute de luxe qui peut se payer des vacances de star et qui vient s’échouer dans un gîte rural de seconde zone, c’est normal ?
– Admettons, mais quelle mission à la con !
– On fait comment ? Je me charge de la pute et tu t’occupes de ce Jacques Petit.
– Le peintre ?
– Ben oui le peintre !

Roquevert s’approche de moi.

– Adrien ! se présente-t-il en me tendant la main.

Qu’est-ce qu’ils ont tous à venir me faire chier ?

– Christine, enchantée, ne le prenez pas mal mais je ne recherche aucune compagnie, bonne journée, monsieur. Répondis-je en m’efforçant de garder le sourire.
– Je ne voulais pas vous importuner, j’essayais juste d’être convivial.
– Alors merci pour votre convivialité.

Piqué au vif Adrien change subitement de tactique sans que je n’y comprenne rien.

– Je vais vous parler franchement, vous n’auriez jamais dû accepter cette mission, vous risquez d’y laisser votre peau.
– Hein, mais de quoi parlez-vous ?
– On sait tout sur vous, mais si vous acceptez de collaborer on peut vous offrir notre protection.
– Bon, vous me les lâchez maintenant ? Allez jouer les mythos ailleurs !
– Vous exercez le plus vieux métier du monde et ça se passe à Paris, rue des Saulniers dans le 9eme.

Alors là je suis sur le cul, ce mec serait donc un type que j’aurais eu comme client ? Je ne peux pas me souvenir de tout le monde, mais pourquoi tout ce baratin ?

– Ecoutez, jeune homme, j’ignore à quoi vous jouez, mais je n’ai aucune envie de jouer avec vous et je vais vous demander de me foutre la paix !
– Voilà à quoi je joue ! Me répond-il en m’exhibant une carte de la Défense du territoire barrée de tricolore..

Evidemment sa carte il a pu la faire imprimer avant-hier chez un imprimeur peu scrupuleux, Mais quand même, être mytho à ce point j’ai des doutes.

– Et alors ? Vous me prenez pour qui ? Pour une espionne ?
– Je vous prends pour une personne qui a accepté contre rémunération une mission terriblement dangereuse .
– Sauf que vous vous foutez le doigt dans l’œil, personne ne m’a confié de mission.
– Je vous laisse réfléchir.
– C’est ça !

J’en ai marre, ils sont tous cinglés dans ce patelin, je vais m’en aller ailleurs… Je remonte dans ma chambre et à l’aide de mon téléphone je me cherche une location en bord de mer. Pas évident, tout est complet y compris dans les hôtels pour rupins..

J’enrage, je tape du poing sur la table, j’ai envie de casser quelque-chose, je suis au bord de la crise de nerfs. Je vais me passer de l’eau sur le visage pour me calmer.

Je souffle cinq minutes puis reprends mes recherches. Je vais bien finir par trouver quelque chose !

Eh oui, un beau studio à Antibes, vue sur la mer avec large balcon. C’est hors de prix mais bon, j’ai les moyens. Je réserve, paye avec ma carte gold. Tout va bien !

J’examine le parcours. Un vrai chemin de croix, le taxi jusqu’à Rodez, quatre heures pour faire Rodez-Marseille, deux heures et demie pour faire Marseille-Antibes. A ce compte-là J’aurais mieux fait d’aller au Maroc, mais mon passeport est resté à la maison.

Il faut que je me commande un taxi pour demain. Evidemment ça ne répond pas. J’insiste… en vain. Je laisse passer quelques minutes et voilà que mon téléphone se met à sonner. Numéro inconnu, je décroche quand même..

– Madame d’Esde ? (c’est moi)
– Ouai.
– C’est l’agence des Rives. Je suis réellement désolée, notre logiciel fait des siennes. En fait le studio que nous vous avons loué n’était plus libre et…
– De quoi ?
– Croyez bien que nous sommes vraiment désolés…
– Et vous n’avez rien d’autre ?
– Non malheureusement, nous allons vous recréditer.
– Conasse !
– Au revoir madame.

Je laisse tomber, j’en ai marre. Et je décide d’aller faire un tour jusqu’à ce fameux étang en espérant que ça me changera les idées.

Pendant ce temps.

C’est au tour d’Anne-Marie Ledoux d’entrer en scène et d’aller cuisiner Jacques Petit.

Adrien est sorti intentionnellement. Anne-Marie adresse un sourire à Jacques qui ne répond que par politesse.

« Celle-ci, elle est en couple, je la laisse tranquille ! » Se dit ce dernier.

Anne Marie s’approche de lui, tout sourire

– Bonjour, vous connaissez le coin ?
– Ben oui, j’y suis né
– On nous a distribué des brochures mais tout n’est pas clair, mon frère se demandait si on pouvait pêcher dans cet étang ?
– Oui il y a de la truite.

Mais Jacques n’est pas idiot, enfin pas complétement, les propos de la femme sont fertiles en informations étonnantes. Elle passerait donc ses vacances avec son frère, ils ne font pourtant pas frère et sœur ! Pour les renseignements qu’elle demande pourquoi ne s’adresse-t-elle pas à Marjorie ou à sa fille ? Et pourquoi ce n’est pas le frangin lui-même qui se renseigne pour la pêche ?

Il se dit alors que ça sent l’arnaque et que le mieux à faire en de telles circonstances est de couper court.

– Et sinon la ferme aux fromages…
– Ecoutez chère madame, vous êtes charmante mais je tiens à préserver ma solitude. Donc on en reste là. Bonne journée.

La tronche de la mère Ledoux !

– Vous avez tort de réagir comme ça. Je sais tout sur vous, vous êtes artiste peintre et vous habitez Toulouse.
– Je vous ai demandé de me foutre la paix !

Alors là nana abat sa dernière cartouche en exhibant sa carte de la DGSE.

– Voilà qui devrait changer la donne.
– Bon écoute mémère, ta carte tu peux te la foutre dans le cul, si elle est vraie, je n’ai rien à me reprocher et si elle est fausse tu ne vas pas la garder longtemps.
– Vous avez des colères intéressantes.
– Marjorie, tu peux dire à cette pétasse qu’elle arrête de me faire chier.
– Allons, allons, c’est un endroit convenable ici… commence Marjorie en s’approchant, c’est quoi le problème ?
– Ce monsieur me traite de pétasse ! Déclare d’emblée Anne-Marie empêchant Jacques de s’exprimer en premier.
– Ce monsieur est un client régulier du gîte et il a toujours été très correct, si des mots malheureux ont été prononcés c’est que vous l’avez énervé. Je vais donc vous demander de regagner votre place.

Et c’est ainsi qu’Anne-Marie, agent aguerrie de la DGSE s’est retrouvé humiliée comme une bleue.

Elle rejoint Adrien à l’extérieur

– Le fiasco complet, rien n’a fonctionné… Déplore-t-elle.
– Un pro ?
– Non, je dirais plutôt une tête de lard associable.
– Bon, on permute, je m’occupe du peintre et toi de la pute et tout ça en douceur et demain on analysera les téléphones à la fraîche.

Marjorie attend que le couple soit rentré et le convoque dans son petit bureau.

– Bon je ne sais pas ce que vous foutez mais vous êtes à l’origine d’au moins deux incidents, je vais donc vous rendre votre caution et vous demander de quitter les lieux sans délais.
– Je crains que ce ne soit pas possible, répond Adrien, nous sommes mandatés par le ministère de la défense, voici notre ordre de mission abrégé, il y a un téléphone, vous pouvez en prendre note et faire un contre appel si ça vous chante.
– Ah ! Et c’est parce que vous avez une mission que vous vous autorisez à faire chier le monde.
– Vous n’allez quand même pas prétendre nous expliquer comment pratiquer notre métier ?
– Pff…
– Evidemment il vous est interdit de divulguer à qui que ce soit ce que nous sommes réellement.
– Et vous êtes qui pour prétendre me l’interdire ?
– Vous n’allez tout de même saboter une mission ayant pour but la sécurité du territoire ?
– Pff…

Je suis donc allé découvrir ce fameux étang, c’est vrai que l’endroit est fabuleux, d’un calme serein uniquement troublé par le chant des oiseaux. Je me suis allongée près de l’eau en bikini offrant mon corps au soleil. Je me suis endormie pendant une bonne heure.

Cela m’a fait un bien fou, au réveil une partie de mon stress s’était évaporé.

Je rentrais au moment où un couple descendait de voiture et déchargeait ses bagages. Lui un grand black, elle une jolie rousse avec des cheveux partout, la quarantaine, visage intéressant, très souriante.

J’échange un sourire complice avec Marjorie, m’envoie un grand jus d’orange et monte directement dans ma chambre.

J’ouvre et m’aperçois qu’on m’emboite le pas, c’est Clotilde, la fille de la patronne.

– Bonjour ça va ?
– Ça va comme ça.
– Vous m’avez l’air nouée
– Ce sont des choses qui arrivent.
– Je ne sais pas si vous avez lu la brochure en entier, nous proposons des massages tantriques, c’est très relaxant.
– Ah ?
– C’est moi qui opère.

Je la regarde mieux, c’est une belle femme mais elle ne possède pas le charme particulier de sa mère, d’ailleurs elle ne lui ressemble pas trop, grande brune filiforme.

Je me laisserai bien tenter, mais une question me taraude : Marjorie lui a-t-elle confié ce que nous avons fait ensemble ? En principe une mère ne raconte pas à sa fille ses frasques sexuelles. J’ai envie de savoir, ça m’amuse

– On m’a déjà fait un massage tantrique dans un institut, c’était pas mal. C’était un massage à quatre mains .
– Ah oui ! Je peux faire ça avec ma mère, mais ce n’est possible qu’après le service, dès fois on termine assez tard. Voulez-vous qu’on fasse ça vers 23 heures. ?
– Je crois qu’à cette heure-là, je serais en train de roupiller, mais je veux bien que vous me massiez maintenant !
– Je vais chercher les huiles essentielles et je reviens.

La voilà qui revient avec un grand sac.

– Je vais me mettre en blouse ! M’indique-t-elle en la sortant de son sac.

Elle se débarrasse de ses fringues, garde uniquement ses sous-vêtements (de jolis sous-vêtements en dentelle blanche) et enfile la blouse sans la boutonner.

– Bon autant annoncer la couleur ! Me dit-elle. Je peux vous faire ça en « traditionnel », mais si vous préférez que je sois un petit peu coquine, ça peut se faire aussi !
– Alors soyez un peu coquine ! Répondis-je en me débarrassant à mon tour de mes vêtements, puis en me couchant entièrement nue sur le ventre en travers du lit.
– Dis donc, t’es drôlement gaulée, toi ! Me dit-elle, Oh ce cul !

Le lecteur remarquera que certaines circonstances sont propres à faciliter le tutoiement !

Elle me pelote les fesses, les embrasse, les écarte et je sens sa langue me chatouiller la pastille… c’est fort agréable mais ça n’a rien à voir avec un quelconque massage !

Et voilà que je sens un doigt qui l’air de rien s’amuse à me pénétrer mon trou intime ! C’est quoi ces manières, elle aurait pu demander !

– T’aimes ça ? Demande-t-elle !
– Oui, c’est bon !
– Tu ne serais pas un peu salope, toi ?

Même un peu pute, mais je ne vais pas lui dire !

Elle s’écarte un moment pour aller piocher dans son sac…

– J’ai apporté un joujou !

Le joujou, c’est un joli gode, très réaliste… pourquoi pas ?

– Ça te dit ?
– Oui, vas-y, encule-moi !
– T’aime ça, te faire enculer ?
– Quand c’est bien fait, oui !
– T’es vraiment une salope ! Dis-le-moi que tu es une salope.!

D’ordinaire, c’est moi la dominatrice, on est en pleine inversion des rôles, mais qu’importe, je suis très joueuse.

– Oui, je suis une salope
– Une morue !
– Une salope et une morue
– Attention, ça va rentrer !

Et zlouf, j’ai son machin dans le cul, elle en actionne le vibrateur intégré (on arrête pas le progrès) et elle le fait aller et venir dans mon conduit d’évacuation ! J’adore ça, je commence à avoir la chatte en feu.

Après plusieurs minutes de ce régime, mademoiselle enlève sa blouse, puis retire son soutif m’offrant la vue de deux superbes globes, elle vire aussi sa culotte.

Chanette3102Complétement excitée, je me jette sur elle, on se pelote à qui mieux-mieux, on se caresse, on se bécote et on se contorsionne tant et si bien qu’on se retrouve en position de soixante-neuf.

La position magique comme disait je ne sais plus qui, celle qui donne l’impression que l’on se lèche soi-même !

C’est qu’elle mouille sévère, la Clotilde, je pensais qu’elle faisait ça juste pour le fric, non manifestement, la situation l’excite.

J’attaque son clito qui s’est dressé comme une mini bite. Miracle de la réciprocité, elle fait la même chose avec le mien.

On a joui quasiment en même temps, elle se relève, un peu pantelante, va se rincer la zézette et se rhabille en silence.

– C’est 50 euros, tu me les donnes tout de suite où on les met sur ta note ?
– Tu me les mets sur ma note !

Elle s’en va, elle devait avoir du travail, mais cinq minutes de chaleur humaine cela ne l’aurait pas tué…

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Jeudi 3 octobre 2024 4 03 /10 /Oct /2024 15:47

Chanette 31 – La clairière secrète – 1- Les envies de Marjorie
bisou1719

Bonjour tout le monde ! Ceux qui n’ont pas lu mes précédentes aventures, (quel dommage !) ne savent peut-être pas qui je suis, j’exerce le métier de dominatrice professionnelle… Je suis comme on dit une MILF, taille moyenne, peau légèrement mate, visage ovale, cheveux mi-longs, fausse blonde. Mes récits ne sont pas des récits de domination, mais des récits d’aventures érotiques (avec parfois de la domination, j’en conviens). Mon vrai prénom c’est Christine, Chanette c’est pour le business et les copines.

Prologue

Lyrta est devant une agence de l’ANPE .et en est à son cinquième échec.. elle ne peut se permettre de revenir vers son gourou sans avoir réussie, sinon elle va se recevoir une de ces trempes !

Elle pénètre dans le bistro proche, une nana dans les vingt-cinq ans, devant un café au comptoir, téléphone peu discrètement :

– Que dalle, on ne me propose que des stages de merde, si ça continue je vais tapiner sur Internet…
– Si vous êtes en galère, je peux vous proposer un travail très bien réénuméré… intervient Lyrta.
– Hein, quoi ? Qui êtes-vous ?
– Une simple mission. 50 000 euros…
– C’est quoi le gag ? Il y a une caméra cachée ?
– C’est pas un gag, c’est une transaction anonyme.
– Non merci, je n’aime pas les affaires louches.
– Rassurez-vous il n’est pas question ni de drogues, ni de terrorisme ou d’espionnage, c’est beaucoup plus innocent que ça.
– 50 000 euros pour un truc innocent ! Vous me prenez pour une andouille ?

Lyrta fit alors appel à ses talents de comédienne (car oui, mademoiselle avait taquiné les planches).

– Je vais juste vous donner un indice, il existe un marché des amateurs d’art , des types pleins aux as, prêt à dépenser des fortunes pour leur collection privée, vous me suivez ?
– Hum…
– Les transactions se doivent d’être intégralement sécurisées, pas de téléphone, pas de SMS, pas d’internet, juste des petits papelards et un messager non identifiable.
– Ah ? Et en admettant, je devrais faire quoi ?

Et voilà se dit Lyrta, le poisson mord déjà à l’hameçon.

– On vous paye quelques jours de vacances à la campagne, la réservation se fera au nom de Noémie Galibert, votre véritable identité n’apparaitra nulle part. Un jour on vous remettra un papier avec une adresse, il vous faudra vous y rendre d’urgence et livrer le papier, en échange vous recevrez 50 000 euros.
– C’est tout ?
– Oui !
– Je peux réfléchir ?
– Juste cinq minutes, on est un peu pressé
– Alors je crois que je vais accepter.
– Voici une enveloppe avec un acompte de 5 000 euros. Voici l’adresse du gîte où vous devrez vous rendre…
– C’est loin !
– Oui mais l’air y est vivifiant, vous devrez être présente dans la salle commune entre 9 heures et 11 heures, n’oubliez pas ! Le reste du temps vous pourrez profiter des joies de la campagne. Des questions ?
– Non, mais admettons que je vous fasse faux bond ?
– Nous sommes des professionnels, ne nous sous-estimez pas. Dernière chose : maintenant je disparais des radars, vous n’aurez la possibilité de joindre personne, vous allez être seule avec votre mission, mais elle est facile, votre café est payé, adieu !

Noémie Galibert (nous continuerons à l’appeler ainsi, sa véritable identité important peu) me ressemble un peu, blonde, peau mate, mais au moins dix années de moins.

Toujours est-il qu’elle fonce vers le gîte de Mombillac à bord de sa Yamaha. Et puis – elle ne saura jamais pourquoi – , elle se déporte sur le côté, chute avec sa moto, elle hurle, ne parvient pas à se relever, et pour cause, elle a une côte cassée. Elle est rapidement prise en charge et hospitalisée. Elle n’a aucun moyen de contacter qui que ce soit. La mission était juteuse, 50 000 euros, elle devra en faire son deuil… ou peut-être pas….

Et revenons à ma modeste personne.

J’avais cet été décidé de m’octroyer quelques douces vacances, loin du bruit de la capitale.

Lundi

C’est ma copine Anne-Gaëlle, galeriste de son état, qui avait dégoté l’adresse de ce gîte rural à Mombillac, petit patelin paumé à quelques kilomètres de Rodez. Nous devions partir ensemble mais au dernier moment mademoiselle avait eu un empêchement professionnel. Me voilà donc en vacances toute seule comme une grande dans cette contrée perdue du Massif central. Pas grave, la solitude ne me dérange guère

Je me baladais dans les bois sans véritable but, sinon celui de profiter de l’air pur de la montagne, quand je croisais une espèce de barbu aux longs cheveux blancs.

– Vous êtes qui, vous ? Me demande-t-il.
– En voilà une drôle de façon de questionner les gens ? Répondis-je à l’importun.
– Vous n’avez rien à faire ici !
– Pourquoi ? Je ne pense pas être dans une propriété privée, la montagne est à tout le monde.

Il m’énerve ce type !.

– Foutez le camp, on n’a pas besoin de vous. Vous salissez notre montagne.
– Bon écoute pépère, tu m’as l’air d’avoir un problème. Alors tu me laisses passer et tu me fous la paix.
– Salope !
– Gros con !

Et le voilà qu’il se met les bras en croix, il n’a manifestement aucune intention de me laisser passer dans ce chemin étroit.

Je la joue bravache et m’avance vers lui, il ne bouge pas d’un poil

– Bon, tu te pousses tout seul ou tu veux un coup de main, connard ?

Je le pousse, oh pas trop fort, mais n’empêche qu’il dégringole par terre en me couvrant d’injures auxquelles je m’abstiens de répondre.

Je tends la main au type, m’inquiétant de son état, il m’envoie promener, tant pis pour lui !

Je continue à tracer la route dans ce chemin qui devient de moins en moins praticable, et voilà que je tombe sur un panneau surréaliste :

« Zone fortement déconseillée, présence de vipères. »

Bon, ma témérité n’ira pas jusqu’à braver cet interdit et je rebrousse chemin. J’espère que je vais pouvoir me balader ailleurs sinon ça va être de drôles de vacances.

Je n’ai pas de nouveau croisé l’abruti de tout à l’heure. Tant mieux !

Je décide de me rendre au gîte rural afin d’épancher ma soif. Je m’assois dans la salle commune dans laquelle un mec est attablé. Il me salue, je lui réponds…

– On peut faire connaissance ? Me propose-t-il. Moi c’est Jacques.
– Christine ! Répondis-je. Je vous laisse, je suis un peu fatiguée.

Il est désappointé le bonhomme, mais je n’ai pas envie de me prendre la tête avec des conversations qui ne m’apportent rien.

Comment ça je suis une sauvage ?

– Si vous désirez quelque chose, il faut appuyer sur la sonnette. Me souffle Jacques.
– Ah bon ?

Je le dévisage, fin de trentaine, beau gosse pour qui apprécie les grands bruns ténébreux avec des sourcils partout… mais pas mon genre. D’ailleurs mes lecteurs savent que je suis assez peu branché sur les mecs.

Je m’enquière de l’emplacement de ladite sonnette et l’active.

La maîtresse des lieux ne tarde pas à débouler. Arrivée ce matin, et accueillie par sa fille Clotilde, je n’avais pas encore eu l’occasion de rencontrer celle-ci.

Marjorie est une jolie femme légèrement boulote, brune à la peau claire, très souriante et dotée d’une poitrine volumineuse.

Elle me demande ce que je désire en me dévorant des yeux. C’en est presque gênant.

– Alors, vous revenez de balade ?
– Oui, il fait chaud…
– Vous avez été à l’étang ?.
– Ah, il y a un étang ?
– Oui faut prendre le chemin à gauche.
– Ah, bon ! Moi j’ai été par-là, répondis-je, en montrant la direction du doigt.
– Ah ! Le bois de la Fouine. C’est pas très intéressant par-là,
– J’ai rencontré un drôle de type, plutôt agressif.
– Vous pourriez me le décrire ?

Je le fais

– Ah c’est, Simon le prophète, il vit dans une cabane là-bas, il est à moitié fou, il se figure que la forêt est à lui. Je vais vous chercher votre jus d’orange .

Marjorie sort de la salle, Jacques en profite pour m’interpeller .

– Hi, hi, vous avez vu comment elle vous regarde ?
– Pardon ?
– Méfiez-vous, elle est des deux bords.

Je ne réponds pas mais j’enregistre l’information. Après tout pourquoi pas ? Si elle veut me draguer je crois que je pourrais me laisser faire, mais ce ne sera pas moi qui fera le premier pas…

Je suis montée dans ma chambre, j’avais besoin d’une bonne douche. Puis je me suis allongée à poil sur le lit pour me concentrer sur la lecture d’un bon polar.

Et voilà que l’on frappe. Qui peut bien venir m’emmerder ? Je me couvre d’une serviette de bain et me dirige vers la porte.

– C’est quoi ? Demandais-je sans ouvrir.
– Marjorie, je ne vous dérange pas ?

Si, elle me dérange, mais je ne vais pas aller lui dire ! Je lui ouvre après m’avoir enfilé un peignoir.

– Je passe juste en vitesse, c’est pour voir si tout va bien.

Tu parles ? J’ai l’impression que l’opération « drague » est amorcée.

– Ça peut aller, lui répondis-je
– Euh la réservation était pour deux personnes…
– Je sais, je m’en suis expliquée avec la personne qui m’a reçu.
– C’est ma fille, Clotilde, mais elle ne m’a rien dit.
– Je devais venir avec une amie, mais elle a eu un empêchement de dernière minute, ça pose un problème ?
– Mais pas du tout, c’était juste pour savoir… vous verrez il y a de belles balades à faire ici, il y a l’étang, mais vous pouvez aussi aller à la ferme des violettes, ils font un de ces fromages, si vous êtes amateur vous allez vous régaler, sinon plus loin, il y a les rochers de Maroisan…
– Super, vous m’indiquerez comment aller voir tout ça.
– Justement je vous ai apporté un petit dépliant, ça explique tout.
– Merci !
– Vous savez je suis contente que vous soyez là, la présence d’une jolie femme, ça va égayer l’atmosphère…
– Je ne tiens pas trop à me faire remarquer, je suis d’une nature plutôt discrète.
– Oui je comprends, mais j’ai toujours eu un faible pour les jolies femmes. Je ne sais pas pourquoi, ça ne se commande pas ! Vous en pensez quoi, vous ?

Nous y voilà !

– Seriez-vous en train de me draguer ?
– Oh ! Qu’allez-vous penser de moi ?
– Vous me faites rire ! Mais vous m’avez posé une question ?
– Ah oui…
– Donc pour vous répondre, je ne suis pas, moi non plus insensible aux charmes féminins.
– Dommage que je ne sois pas votre genre.
– Qui vous a mis dans la tête une chose pareille, je trouve au contraire que vous avez beaucoup de charme.
– C’est gentil, une petite détente entre femmes, là tout de suite, ça vous dirait ?
– Vous êtes du genre direct, vous, mais pourquoi pas ?

Et la nana enlève son tee-shirt. La voilà devant moi avec son soutien-gorge à gros bonnets.

– Sont un peu gros, non ?
– Mais non !

Je suppose qu’elle doit débiter la même chose à toutes ses conquêtes.

– Et les tiens, tu me les montres ?

Facile, il me suffit d’ouvrir mon peignoir, ce que je fais .

– Oh qu’ils sont beaux ! Me flatte-t-elle.
– Je ne me plains pas !

Elle me fout carrément ses grosses paluches dessus, mais je me laisse faire, ses mains sont douces. Elle me tripote les tétons qui réagissent comme il se doit.

Je passe mes propres mains dans le dos de Marjorie et lui dégrafe son soutif libérant deux grosses mamelles aux aréoles toutes roses.

chanette3101Le tripotage mutuel de nénés dure quelques instants pendant que nos corps se rapprochent. On s’enlace, nos seins se touchent, on se pelote, nos bouches s’attirent. Et c’est parti pour un roulage de pelle bien baveux. Ses lèvres sont d’une incroyable douceur, tout n’est que douceur chez cette femme !

Fatalement, nous nous sommes retrouvées sur le plumard en train de nous prodiguer mille caresses passionnées.

Elle s’est très vite débrouillée pour me faire une bouche à chatte. Sa langue est diabolique. Madame est une experte et me lèche les chairs intimes avec une efficacité rare. Evidement je mouille comme une gouttière et elle s’en régale, la belle coquine.

Je sens mon plaisir monter de façon inexorable. Ça se voit et ça s’entend, elle me porte l’estocade en venant butiner mon berlingot. Je me laisse aller, je jouis comme une folle, je hurle, j’enlace Marjorie, l’embrasse à pleine bouche, je suis bien.

Elle veut à présent que je m’occupe d’elle. Juste retour des choses mais je ne m’attendais pas à ce qu’elle se mette en levrette dans une pose obscène, cul en attente, trous dégoulinants.

C’est qu’il m’attire ce petit orifice brun et fripé que je me plais à lécher avec délectation, appréciant son petit goût particulier.

Après cette mise en bouche, je descends vers l’antre de son plaisir rencontrant un étrange gout à la fois mielleux et salé.

Je comptais prendre mon temps, mais il faut croire que mademoiselle n’en pouvait plus.

– Fais-moi jouir, fais-moi jouir…

Qu’à cela ne tienne, j’ai fait ce qu’il fallait pour ça…

Gros bisous, cigarette… et elle s’est mise à me parler de la ferme des Violettes et de leur bon fromage. Brave fille !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Mardi 24 septembre 2024 2 24 /09 /Sep /2024 12:44

Découverte
par Liouba

pluralite


Avant de connaître mon ami, j’étais comme beaucoup de femmes mal baisée par mon mari. J’avais un amant et il le savait. Je serais sans doute restée ainsi partiellement insatisfaite si je n’avais pas rencontré mon ami français. Tout de suite il a compris qu’en moi sommeillait une vraie salope qui ne demandait qu’à être réveillée. Mais il n’est pas facile de balayer tout un tas de préjugés et de faire fi de toute une éducation bourgeoise… Si j’ai pu progressivement jeter tout ça aux orties c’est grâce à l’extrême patience de cet ami.

Il avait une très belle bite qui me convenait parfaitement et me faisait jouir comme je n’avais jamais joui. Sa façon de me titiller les seins, de faire rouler délicatement les mamelons entre ses doigts ou de les mordiller était nouveau pour moi.

Ses façons de me baiser, devant une glace en me faisant admirer sa grosse bite qui entrait et sortait de moi, et de me baiser sur une table étaient nouvelles aussi pour moi. J’étais presque gênée au début quand il m’écartait les jambes les maintenait en l’air en me tenant les chevilles et admirait ma chatte qui commençait à baver d’impatience, avant de glisser sa bite en moi jusqu’aux couilles.

Liouba1107BIl me répétait souvent, que j’étais douée et que si je lui faisais confiance il ferait de moi une vraie salope. Moi, une salope ? Je n’y croyais pas trop, mais j’étais prête à lui faire confiance.

Comme il disait que toutes les salopes aiment se faire « enculer », j’acceptais que régulièrement il glisse ses doigts enduits de vaseline et comme je trouvais la sensation plutôt agréable, j’acceptais un jour, non sans appréhension, qu’il y glisse sa bite. J’ai eu l’impression d’éclater et que sa bite, (24 cms) me remontait jusque dans la gorge. Mais il se montra très doux comme à son habitude et me fit progressivement apprécier la sodomie.

Le fait d’aimer prendre « une bite dans cul » était, d’après mon ami, le signe que j’étais sur la bonne voie pour devenir une « vraie salope ». Je comprenais peu à peu que pour lui, « être une salope » n’avait rien de péjoratif et qu’au contraire ce terme contenait une sorte d’admiration pour ces femmes qui avaient su se libérer de tous les tabous imposés par notre société.

Il me parlait des autres hommes, de leurs bites toutes différentes, de ses expériences, des femmes qu’il avait connues et dont certaines (de bonnes salopes) aimaient se faire sauter par plusieurs types. Peu à peu il me préparait à l’idée que peut-être un jour moi aussi…

Moi je m’estimais incapable à tous points de vues de me prêter à ce jeu. Pourtant ce jeu, il m’y fit habilement jouer avec des partenaires virtuels, imaginant des types en train de se branler pendant qu’il me baisait. Parfois il me disait de fermer les yeux et de l’imaginer lui en train de se branler pendant qu’un autre me baisait, que ce n’était pas sa bite qui était en moi mais la grosse queue d’un autre qui allait me faire jouir. Et je jouissais, je jouissais comme une folle à cette évocation.

Il en profitais pour me dire : « Tu vois ça t’excite, ma jolie salope, quand je te parles de mecs qui te baisent et t’enculent, tu fantasmes sur toutes ces bites que tu pourrais prendre dans la chatte ou dans le cul ». Et moi, choquée les premières fois, je me mettais à aimer qu’il me parles ainsi et me traite de salope.

De nombreuses fois il me proposa d’inviter quelqu’un « pour de vrai » l’idée m’excitait mais je disais toujours non… Puis un jour j’ai dis oui.

Je venais de dire ce « oui » que déjà je le regrettais .Ma bonne conscience se rebellait et j’avais du mal à la faire taire.

Le jour où le type devait venir, quelques heures avant, je me mis à paniquer. Je n’étais plus d’accord. Mon ami tenta d’abord de me raisonner puis, me dit qu’il s’excuserai auprès du type et lui expliquerai que nous avions changé d’avis si toutefois il ne me plaisait pas. Cela ne me rassura qu’à moitié. J’étais seulement vêtue seulement d’un chemisier et d’une jupe, sans rien d’autre et voulais m’habiller plus décemment quand le type arriva.

C’était plutôt un beau mec, grand brun, la trentaine souriant, et à peine plus à l’aise que moi. Pas du tout le genre macho sur de lui, de son charme, et de ses possibilités sexuelles comme il m’est souvent arrivé d’en rencontrer par la suite. Pas du tout le genre de type qui brandi sa bite comme un étendard, certain d’avoir la plus grosse, la plus belle, la plus longue et être le seul à pouvoir faire bien jouir une femme. Non ! Celui-ci semblait assez timide et peu sur de lui ce qui me le rendit tout de suite sympathique.

Mon ami compris qu’il ne m’était pas indifférent et avec beaucoup de patience, d’esprit, et de gentillesse, détendit l’atmosphère en parlant avec humour de banalités qui n’avaient rien à voir avec le sexe.

A la deuxième coupe de champagne mes inhibitions commencèrent à disparaître et je laissais le regard de notre invité se glisser entre mes cuisses que la jupe, un peu courte et étroite, découvrait généreusement.

C’est le moment que choisit mon ami pour passer derrière le fauteuil et m’embrasser en déboutonnant mon corsage. Il savait que quand il mettait ses mains sur moi, sur mes seins, et plus particulièrement quand il en faisait, entre ses doigts, rouler les mamelons, il pouvait faire ce qu’il voulait de moi. Troublée, mais ne me sentant pas encore prête pour me faire sauter par notre invité, je me levais sous le prétexte de resservir du champagne, mais sans refermer mon corsage. Je n’osais regarder le type mais je savais qu’il suivait le balancement de mes seins au dessus de la table et mon entrecuisse s’humidifiait délicieusement.

Quand j’eu reposé la bouteille, mon ami vint derrière moi me caressa un sein d’une main et de l’autre, ouvrit la fermeture éclair de ma jupe qui glissa à mes pieds. Me retrouver pratiquement nue devant l’invité me déclencha un mini orgasme et je n’avais plus qu’une envie : me faire baiser, sentir une bite bien dure, grosse et longue se glisser en moi.

Le type avait sorti le sienne et se branlait doucement en regardant mon ami me caresser. Un reste de pudeur incontrôlée me fit me retourner contre mon ami et enfouir ma tête au creux de son épaule. Et puis je sentis l’autre que caresser les fesses avec son gland. Il avait mis un préservatif. Sa bite se montrait insistante et suivait doucement la raie des fesses, espérant se glisser n’importe où. Mais je ne voulais pas qu’il me sodomise, pas maintenant, après peut-être, mais à cet instant, j’avais simplement envie qu’il me baise. Alors lentement je me suis écarté de mon ami, m’appuyant à lui en écartant les jambes et en tendant ma croupe à l’autre.

Je sentis le gland, se frotter à ma toison, écarter doucement les lèvres de ma chatte et me pénétrer lentement et profondément. Je crois que je me suis mise à jouir avant même qu’il soit au fond de moi, et plusieurs fois avant qu’il jouisse à son tour.

 

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Après un petit passage à la salle de bain, tout me sembla plus simple. Je pus faire plus ample connaissance avec le bel engin qui m’avait fait jouir, ainsi qu’avec son propriétaire. Je ne me reconnaissais pas, je le suçais lui caressais les couilles et lui prodiguais toutes les caresses que je prodiguais habituellement à mon ami et sans aucune gêne. J’appréciais d’être caressée par quatre mains et d’avoir à ma disposition deux belles bites bien raides prêtes de nouveau à m’investir.

 

Quand l’invité me pénétra de nouveau sur le lit, j’étais un peu dans un état second, j’avais envie de jouir, jouir encore et encore, d’être baisée enculer, ne plus penser à rien, qu’a cette bite qui me pénétrait. Qu’au regard de mon ami sur moi: une salope, sa salope, en train de se faire baiser.

A près une courte pause mon ami me donna sa queue à sucer pendant que je branlais celle l’autre qui après avoir joui en moi, reprenait de la vigueur. Mon ami bandait très fort et je m’empalais sur sa queue, pendant que l’autre me caressait les fesses avec son gland. J’avais une furieuse envie qu’il m’encule, mais il préféra avant d’y glisser son gland m’introduire plusieurs doigts. De nombreuses fois mon ami m’avait sodomisé avec un godemiché plus gros que sa bite, aussi dès que le type appuya son gland sur ma rosette il pénétra sans problème. C’était la première fois que j’avais deux bites en moi. J’étais baisée et enculée comme ces « vraies salopes » dont me parlait mon ami !!

Cette première expérience a été pour moi extraordinaire et j’y repense encore très souvent quand j’ai le bonheur d’avoir deux bites en moi.

Dire combien de fois j’ai joui ? C’est impossible, je n’arrêtais pas. J’avais orgasme sur orgasme. Quand mes deux baiseurs ne bandaient plus assez pour me pénétrer je les suçais. (On m’a souvent dit que j’étais très douée pour les pipes). Mais il est arrivé un moment ou mes mains, ma bouche, ma langue ne purent leur redonner suffisamment de vigueur. Ils avaient la bite molle et les couilles vides, alors que moi j’aurais bien pris encore plusieurs coups de queue.

Mon ami voulu m’enfiler le gros gode, mais je lui dis que c’était de bites bien chaudes bien vivantes dont j’avais encore envie.

Comme je restais sur le lit jambes écartées chatte béante sans aucun complexe (ce qui m’étonne encore), mon ami en se tripotant la bite me dit : « Tu es une merveilleuse salope et puisque tu aimes la bite, je te promet que tu en auras » (Et il a tenu parole).

Quand le type nous quitta, je revenais lentement à moi et était presque gênée quand lui habillé, moi nue, il m’embrassa.

Pendant que mon ami le raccompagnait jusqu’à sa voiture, je me regardais dans la grande glace de la chambre. Ma conscience se réveillât et ce n’est pas moi que je vis dans la glace mais le reflet d’une salope qui venait de se faire baiser et enculer par un inconnu dont j’ignorais jusqu’au prénom. Portant je décidais de réagir de faire taire ma conscience de l’étouffer et le meilleur moyen était de devenir vraiment une salope, de me faire baiser et enculer tous les jours s’il le fallait. Mais surtout la faire taire, empêcher toute mon éducation, avec ses interdits et ses principes de refaire surface.

Au retour de mon ami, je lui fis part de ma décision, que je m’en remettais à lui et qu’à l’avenir il pourrait faire de moi ce qu’il voudrait y compris me faire baiser par tout un tas de types.

Aujourd’hui, je lui suis infiniment reconnaissante de m’avoir fait aimer le sexe, mais surtout de m’avoir débarrasser de mes complexes, de m’avoir aider à m’assumer comme « salope », une salope à qui il a aussi apprit à se prostituer intelligemment et occasionnellement.

LIOUBA

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Dimanche 22 septembre 2024 7 22 /09 /Sep /2024 15:44

Confessions de Travestis – 2

Fetish
Et jamais deux sans trois… par Pascal01

Je m’appelle Pascal et j’ai 37 ans.

Bien que j’adore les femmes (ainsi que les hommes, à condition qu’ils soient entièrement épilés et qu’ils n’aient pas un sexe trop gros), je suis un fervent adepte, et depuis longtemps, des jeux érotiques en solitaire et je vous propose de vous raconter une de mes soirées.

story0406ctTout d’abord, travestissement : j’ai en effet, comme je viens de le dire, un côté «bi», et je me mets en condition avec des vêtements féminins. Ce soir, ce sera une tenue classique, perruque rousse, bas résilles noirs, body porte-jarretelles, petit haut en résille, string, bottes cuir à talons hauts et gants vinyle.
Mais puisque me voici déshabillé, je vais commencer par me raser de frais les couilles, le cul, le haut des cuisses, ainsi qu’en dessous du nombril. Je ne laisse qu’une petite bande de poils au-dessus de la bite.
Une fois le rasage terminé je m’habille donc, me maquille et me voilà femme. Et pour confirmer cette féminité, et puisque le rasage ainsi que la toilette qui l’a suivi m’ont excité, je choisi un petit «anus picket» dans ma panoplie de godes. Avant de l’enfiler, je me prépare soigneusement le trou avec un doigt, puis deux, enduits de gel.

J’écarte le string, et voici le gode à sa place et bientôt l’envie se fait sentir d’un plus gros, qui prend sa place tout naturellement.
Je sens le plaisir monter, et malgré l’anneau de caoutchouc qui m’enserre les couilles et la bite, je suis déjà en érection. Je décalotte le gland et commence à me caresser ; ma bite a déjà dégouliné ses premiers filets intimes et comme elle coule en général beaucoup, très vite je peux l’enduire entièrement de cette «mouille».
Je sens le sperme qui vient, alors j’enfile une capote et je jouis longuement pendant que mon cul se resserre par à-coups sur le gode.
Je reste quelques minutes ainsi, entre ciel et terre.

Puis j’enlève le préservatif, ainsi que l’anneau qui commençait à me gêner.
Je laisse le gode en place encore un moment, puis je le retire avec soin.
Je me caresse à nouveau la bite mais une autre envie commence à poindre : en effet, un bon moment avant de me raser, j’avais bu deux bières suivie d’un café et je sens que ma vessie est bien pleine. L’uro, voici un autre plaisir qui peut très bien être solitaire et auquel je m’adonne depuis longtemps.
Je vais en profiter pour me faire quelques photos : pendant ce temps je laisserai un peu de répit à mon sexe. J’attrape un récipient adéquat et devant l’appareil photo qui mitraille je laisse monter mon envie d’uriner.
C’est presque une autre jouissance quand jaillissent les premières gouttes, tellement le soulagement est de taille ! Des frissons de plaisir me parcourent le dos pendant que je remplis presque le récipient qui fait trois-quarts de litre. Le pipi est bien clair, comme chaque fois avec la bière. J’y trempe les lèvres : il est excellent, mais il sera encore meilleur après une petite demi-heure au frigo.

Pendant ce temps je visionne et sélectionne mes photos. C’est une chose que j’adore faire, me photographier sous toutes les coutures et visionner ensuite les images. D’ailleurs j’aimerais bien pouvoir échanger mes clichés avec d’autres personnes (de tous les sexes).
Ensuite, comme je suis curieux par nature, j’aime bien mesurer la quantité de sperme que j’ai fournie. Il y a quelques jours que je ne m’étais pas masturbé, aussi j’en ai presque dix centimètres cube !
J’ai mis une cassette de nanas qui se font des parties très arrosées et je recommence à bander. Je reviens au frigo, et constate que le champagne est à température idéale ; je m’en verse plusieurs petits verres toujours en compagnie de ces dames qui dégustent aussi du pipi. Il va de soi que j’ai longuement trempé ma bite dans le verre avant de boire ce nectar.

Puis je remplace la cassette des filles par une de transsexuels qui se défoncent et se font défoncer à outrance. Il va sans dire que j’adore les trans et je possède des centaines de photos et pas mal de cassettes.
Et bien sûr, j’éprouve bien vite le besoin de me goder à nouveau. Cette fois-ci ce sera le gode ventouse qui ne se fait pas prier pour rentrer dans mon petit trou bien lubrifié. Je ne sais pas combien de temps dure cette séance d’engodage tellement c’est agréable d’être ainsi empalé debout!
J’abandonne à regret cet amant fidèle pour m’occuper de ma queue qui dégouline littéralement. Je récupère le sperme de tout à l’heure que j’étale sur ma bite et mes couilles : une photo s’impose ! Je me masse bien, surtout les testicules, puis avec ma main toute humide j’entreprends une masturbation tout d’abord douce, puis un peu plus rapide.

L’érection est très ferme et je la fais durer le plus longtemps possible. Mais au bout d’un dizaine de minutes, tout en reluquant les trans qui ne vont pas tarder à juter eux aussi, je ne peux plus retenir le sperme qui bouillonne à nouveau. Mes couilles sont libres cette fois-ci de remonter au maximum et de l’autre main je continue à les masser : c’est terriblement agréable tellement elles sont douces et humidifiées de semence.
Le plaisir m’envahit, me subjugue et comme je suis bien assis dans mon canapé, les giclées brûlantes aboutissent sur mon ventre.
MMMMMMMM…
Je n’en peux plus, et je reste pendant un bon moment à respirer par à-coups.
Quel pied !
Je suis étonné de la quantité de cette seconde éjaculation si rapprochée de l’autre ; mais c’est cool, je vais pouvoir me faire un autre super massage et aussi quelques bonnes photos. Une bonne rasade de pipi bien frais ne sera pas de trop pour requinquer une fois de plus mes quatorze centimètres.

Et jamais deux sans trois !

Un délire entre potes qui a dévié par Eric

Je m’appelle Eric, j’ai tout juste 20 ans, je ne suis pas très musclé et plutôt mince, je traîne toujours avec Xavier et David, qui ont 19 ans tous les deux. Au niveau des filles c’est le calme plat, à peine un baiser pour moi, et oui nous sommes encore puceaux. David a la chance que ses parents lui laissent leur maison quand ils partent en week-end. C’est le samedi soir que l’on se retrouve ensemble, pour rentrer chez nous le lendemain après-midi. Les programmes de ces soirées sont souvent des soirées jeux vidéo, mais de temps en temps c’est visionnage d’un film pornographique. Un délire entre potes, on décrit ce qui se passe à l’écran, on rigole, mais aussi on sort nos sexes pour se masturber

Un soir Xavier propose qu’il nous masturbe, après avoir lu ça sur un Forum. C’est David qui accepte, moi à ce moment je suis totalement contre. C’est donc avec Xavier et David se masturbant mutuellement à côté de moi que je me fais du bien devant la télévision. Et depuis, tous les samedis c’est le même jeu. Comment j’ai accepté ça ? Intrigué j’ai aussi trainé sur des Forums et lu des témoignages et un soir j’ai sauté le pas. C’est David qui m’a masturbé pour la première fois. Lentement, minutieusement, mon éjaculation n’a jamais été aussi forte.

C’est à la vision d’un film où un homme se travesti pour postuler un poste de secrétaire, que tout a basculé. Xavier lance l’idée de mettre des collants ou des bas pour se masturber. Nous avons fait l’armoire de la mère de David. Et des dessous, il y en a. Je jette mon dévolu sur un porte-jarretelles et bas gris, Xavier des bas résilles noirs et David met une guêpière léopard et bas noirs. C’est simplement affublé de ces tenues, que nous nous masturbons mutuellement devant le film. C’est quand commence une scène où le PDG pose la main sur la cuisse du travesti, que je sens celle de Xavier sur la mienne et commence à me caresser. Etonnamment je ne dis rien et savoure cette délicieuse sensation. Je lui rends la pareille, je lâche son membre dressé pour parcourir sa jambe. Je tourne mon visage vers le sien, nous nous sourions. Nous prenons autant de plaisir par les caresses que par la masturbation. Le travesti à l’écran est maintenant en train de sucer le PDG. Je vois encore les témoignages d’hommes sur les Forums racontant leur première fellation avec un partenaire masculin. Sans me demander ou me prévenir Xavier se penche sur mon gland et passe sa langue pour goûter à ma liqueur qui suinte. Je me contracte immédiatement, je ferme les yeux, c’est fantastique.

Sa bouche est douce, il est maladroit mais ça n’a pas d’importance. David, dont j’ai abandonné le sexe, nous regarde avec gourmandise, il a pris le relais pour les caresses sur ma jambe. Il s’aventure aussi sur mon ventre. A l’écran, le travesti est penché sur la table et se fait lécher l’anus. David se penche aussi sur ma queue, j’ai maintenant deux langues qui s’occupent de ma tige. J’éjacule sans les avertir, ils en reçoivent sur le visage. Xavier passe son doigt dessus et le porte à la bouche. David lui se met debout sur le canapé pour avancer son sexe à ma bouche. C’est à mon tour de sucer. Après quelques coups de langues, trouvant la position inconfortable, je lui demande de s’asseoir, me mets à genoux devant eux et les suce à tour de rôle. Eux aussi ne mettent pas longtemps à jouir, Xavier sur mon visage et David dans ma bouche. Je savoure ce jus chaud et salé pour la première fois. A l’écran le PDG sodomise le travesti et un collègue entre dans le bureau.

Nous n’avons pas débandé, David pose sa main sur mes couilles et lentement arrive à introduire son index dans mon anus. Je le laisse faire et l’aide même en me mettant mieux dans le canapé. Après quelques instants, il me pousse pour me faire comprendre que je me mette à quatre pattes sur le canapé. Je lui obéis. Je sais où il veut en venir. Je suis trop excité pour refuser. Je sens son gland se poser sur ma rosette. Il me caresse les fesses, le bas du dos. Xavier présente son sexe devant ma bouche. David s’insinue doucement dans mon cul, difficilement, je suis étroit. Son avancée est longue et un peu douloureuse. Une fois à fond il commence ses mouvements. J’en oublie la bite de Xavier qui doit forcer l’entrée de ma bouche. Je suis leur salope, David m’insulte, il est déchaîné, me tape sur les fesses et éructe fortement quand il éjacule en moi, presque immédiatement ma bouche aussi est inondée. Cette soirée est formidable, nous nous maquillons changeons de tenues, nous nous caressons mutuellement nos corps, décorés de colliers. C’est moi qui embrasse Xavier le premier alors qu’il a encore le sperme de David dans la bouche, chacun présente son fessier pour se faire sodomiser. C’est épuisés que nous nous couchons ensemble, lovés l’un contre l’autre, se promettant de recommencer.

FIN

Un trans me domine par Guillaume

Des chaps – pour ceux qui ne le savent pas – c’est comme un pantalon mais largement ouvert à l’entrejambe.

Ceux que je porte sont en vinyle. Je porte également un top de la matière ouvert aux tétons.

Et un collier de chien.

Difficile de faire plus obscène, je suis une invitation au sexe.

La soirée avait pourtant débuté « normalement ». Un restau avec des amis puis un dernier verre. Mais ceux sont tous d’affreux couches-tôt; j’ai décidé d’aller finir la soirée ailleurs.

Et c’est dans ce bar que je l’ai rencontrée. Pas tout fait certain de prime abord que ce soit un trans mais notre conversation m’a vite mis sur la voie.

Trandom T2Une jupe en cuir, des bottes hautes, un top en résille, une perruque platine. Elle était terriblement sexy. Je me décidai donc à sauter le pas. Le courant est vite passé. Je lui ai avoué que je flashai complètement sur sa tenue. Elle me demanda alors si j’avais déjà expérimenté la soumission. À part quelques liens, pas vraiment.

Sa voix m’envoûte, elle me fait tâter son sexe, on se roule une pelle. Et elle me dit « viens mon cœur, je t’emmène chez moi ».

À peine arrivés, elle me déshabille, me caresse, me pince les tétons et me fait mettre à genoux. Elle sort son sexe, je commence à la sucer.

Elle m’arrête et prend quelques instants pour choisir ma tenue.

Une fois habillé, elle me fait tenir debout et passe derrière moi. Elle se colle à moi et me travaille les seins ; je bande comme jamais. Je lui appartiens me dit elle et elle commence à écarter mes fesses, à introduire un doigt. Je suis serré mais elle m’élargit, me crème et introduit un deuxième doigt. Je sens son souffle sur ma nuque et l’entend me traiter de pute, de salope ; je suis sa chose. Bientôt, si je continue à lui plaire, elle m’exhibera.

Elle me fait mettre à genoux, fesses bien remontées. Elle prend un gode. Je lui dis que je le trouve très gros mais elle me dit sur un ton sec :

– Une petite pute qui se fait enculer doit pouvoir prendre ça entre ses fesses.

Elle m’introduit le gode doucement. La douleur initiale peu à peu s’estompe, j’apprends à l’accepter dans mon cul.

Elle se met alors devant moi et introduit sa bite dans ma bouche. Je la sens de plus en plus dure. J’aime sentir ce sexe dans ma bouche et le plaisir monter chez elle. Elle s’arrête, me fait lever, enlève le gode et repasse derrière moi. Je sens son sexe contre mes fesses pendant qu’elle me caresse le torse et me masturbe.

– Mets-toi sur le dos jambes relevées ! je vais te prendre comme une femelle.

Elle met une capote et me pénètre alors. Doucement au début puis elle se met à me pilonner. La douleur est là mais le plaisir aussi. Son pilonnage est de plus en plus fort et elle ahane. Dans un ultime cri, elle jouit. Très fort.

Mon plaisir n’est pas loin, elle le sait.

Elle me prend alors en bouche. À peine une minute plus tard, je jouis en tremblant de tout mon corps.

On se love l’un contre l’autre. On s’embrasse. Elle me dit que, pour une première, je me suis bien comporté. On se reverra.

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Lundi 9 septembre 2024 1 09 /09 /Sep /2024 14:56

Très brèves – travestis et transsexuellesAùmanda

 

 

Valière

 

De passage à Liège dans un club privé. deux mignons travestis baisent sur la piste de dance. La travestie blonde se fait sucer par la travesti châtain, elle remonte sa robe pour aider la fellation, on peut voir son petit sexe bien épilé. Puis c’est la travestie blonde qui suce l’autre travesti. N’ayant conservé que les dessous qui nous excitent tant, les deux travestis peuvent alors s’embrasser amoureusement sous les regards troublés de l’assistance. Les baisers c’est extra mais insuffisant pour la blonde travestie qui reprend les « choses » en mains ! Les deux salopes travesties jouent à « je te tiens tu me tiens par la zigounette, la première qui bandera… aura une bonne pipe ». Les deux travestis se régalent mutuellement. Puis le final : Bien accrochée à la barre la travestie blonde se fait enculer par l’autre travesti pour le bonheur de tous. Elles saluent l’assistance et demandent s’il y a des volontaires pour les rejoindre sur scène (moyennant un petit billet, faut pas rêver, non plus) J’y vais ainsi qu’un autre bonhomme. on a sucé chacun la sienne avant de faire enculer devant tout le monde ! Génial !

 

Jean-Do :

 

Il était si beau ce travesti accoudé au comptoir que quand il m’a proposée de l’embrasser, je n’ai pas hésité une seconde, Sa main est venue sur ma braguette, il m’a entrainé aux toilettes, m’a tendu son joli petit cul… et je vous laisse imaginer la suite

 

TransMonique :

 

Hier soir je suis allé en boite avec ma copine Capucine, c’était très chaud, on a sucé plein de bites et je me suis fait enculer deux fois devant tout le monde. On est rentré à 3 heures, crevées mais heureuses

 

 Willy :

 

Je serais bientôt en retraite, je me suis fait pas mal sucer dans ma vie et ma femme ne l’a jamais su (ou alors elle a fermé les yeux) Mais ce que je veux dire c’est que les meilleurs pipes que l’on m’a prodiguée, ce sont des celles prodiguées par des travestis

 

Caramel :

 

Je me suis fait sucer sur un superbe travelo à 2 h de l’après-midi, sur le Boulevard McDonald. y’a quelqu’un qui est passé, j ‘ai juste eu le temps d’enfoncer ma casquette sur les yeux. Il m’a bien sucé !

 

JolieJolie :

 

Au ciné, je portais lingerie coquine bas porte-jarretelles, soutien-gorge, string … Un homme m’a remarqué et s’est assis à côté de moi, il a sorti mon sexe à m’a sucé devant trois voyeurs qui se branlaient. Puis l’un d’entre eux m’a emmené dans les toilettes et devant plusieurs mecs, il m’a baissé mon string et m’a sodomisé » Je n’avais JAMAIS bandé et jouis comme ça. Inutile de vous dire qu’après cette expérience je suis devenu accro à la bite.

 

Bertrane_TV :

 

J’avais 18 ans. Avec une copine, on essayait les fringues de ma mère quand celle-ci nous a surpris ! Elle nous a flanqué à tous les deux une fessée mémorable c’était bon ! On bandait comme des étalons, et ma mère était tellement troublée qu’elle nous a sucé (mais ceci est une autre histoire)

 

Dufaussy :

 

Bonjour, je suis Simone travesti godiche féminisée par sa femme en soubrette ou en catin chez nous. Je dois faire le ménage, le repassage et les autres tâches ménagères. Je dois également accueillir les amants de madame, ma bouche et mon trou du cul étant à leur disposition. Et quand je ne suis pas sage on me punit (cravache, pinces).

 

Felix :

 

Début septembre je suis monté à Paris avec un collègue, il m’a suggéré de booker deux transsexuelles, c’est ce que nous avons fait, deux magnifiques créatures très brunes. Elle nous ont rejoint dans notre hôtel. On a commencé par se caresser, s’embrasser, puis elles nous ont sucé. Mon copain a baisé l’une d’elle, moi j’ai voulu gouter à la bite de l ‘autre, en faisant ça j’ai attrapé une érection du Tonnerre de Brest à ce point que je lui ai demandé de m’enculer. Elle m’a enculé devant mon copain qui n’en revenait pas de voir ça ! Quelle soirée, quel souvenirs !

 

Palrose :

 

Je me suis retrouvé complètement par hasard dans un bistrot fréquenté par des transsexuelles et des travestis. Je les vois tournicoter autour des clients et les draguer de façon intempestive. Et ça ne rate pas en voilà une qui m’aborde, me touche la braguette en me disant c’est 50 euros, mais je peux te faire un prix. « Et tu me fais quoi ? » demandais-je ! Je te suce et tu peux me baiser. Je bandais comme un malade, on va dans l’arrière salle où un type est en train d’enculer une belle trans black On demande qu’on nous fasse un peu de place et on a fait ce qu’elle m’avait promis.

 

Maritain :

 

J’ai longtemps fantasmé sur les travelos, sur les magazines puis sur le net je bandais en regardant leur corps magnifiques et leur bites bien bandées. J’ai un jour franchis le pas, je ne comprenais rien au baragouin de la fille, sans doute brésilienne, mais je me suis régalé de sa bite. Maintenant je suce des bites de trans régulièrement et quand ça me prend je me fais sodomiser

 

Corneille

Habitué des séances de soumission j’ai voulu tenter l’expérience avec un travesti dominant. Tenue de cuir, très maquillée, j’ai d’abord reçu 20 coups de badines sur les fesses avant de devoir lui lécher les pieds. Je lui ai ensuite léché son trou du cul. Elle m’a pissé dans la bouche puis je lui ai sucé la bite. Elle a essayé de m’enculer mais ne bandais pas assez, alors elle m’a enfoncé un bon gode dans le cul pendant que je me branlais.

 

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Très brèves
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