Samedi 25 octobre 2025 6 25 /10 /Oct /2025 11:18

Stoffer 7 – La structure diabolique – 6 – La fin du faucon d’or suivi des privautés de l’amiral par Nicolas Solovionni
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En sortant de l’hyperespace nous avons repéré le système de Ramon, nous n’avons eu aucun mal à repérer Ramon4 et sur cette dernière l’emplacement du supposé artéfact.

– La planète existe ! Confirmais-je à Krugger !
– Ça veut dire que le canular est ailleurs !
– C’est là ! Que disent les capteurs ? Demandais-je à mes collaborateurs
– 5 % d’oxygène, pas de radio-activité. Activités biologiques restreintes aux zones forestières et aquatiques…
– Et autour de l’artéfact ?
– Zone désertique, température entre 35° et 5° Celsius. Vent de 50 km/h.
– O.K. on va pouvoir descendre avec un équipement léger.

L’atterrissage se fait de façon semi-automatique. Mais la structure du sol est trompeuse du fait de sa mollesse. Le vaisseau se pose de travers, j’ai un mal fou à le redresser. J’entends un craquement bizarre, puis la voix robotisée de l’ordinateur de bord :

« Avarie mineure au niveau de l’arbre de transmission C28. Nécessite une intervention manuelle obligatoire. »

– Ça veut dire quoi ? Demandais-je à Fausto, mon nouvel ingénieur de bord.
– Ça veut dire qu’il faut que je répare !
– C’est si grave que ça ?
– Oui et non, ça nous empêche pas de décoller mais ça rend les atterrissages dangereux.
– Et il te faut combien de temps pour réparer ?
– Aucune idée, je vais regarder de plus près !

Bon, j’ai confiance, Fausto va nous arranger ça…

– On va sortir effectuer une première reconnaissance ! Qui vient avec moi ? Monsieur Krugger, je suppose… et qui d’autre ?

Dyane s’auto-désigne… On s’équipe de raquettes pour se prévenir de la dangerosité du sol et on y va.

On s’approche du machin. On le touche à la recherche d’une aspérité si légère soit-elle.

Ben, non, rien ! Voilà qui est bizarre !

Krugger donne des coups de poing sur l’objet.

– On dirait que c’est creux !
– Si c’est creux, on va essayer d’ouvrir.

L’idée c’est de creuser un mini trou afin d’y introduire une lampe-serpent.

– C’est peut-être risqué ! Objecte Krugger, il y a peut-être un système anti-intrusion. On devrait faire ça à distance.

Suggestion retenue ! On rentre et on demande à Fausto de nous bricoler quelque chose.

– Je vais monter une perceuse sur un rover, elle sera équipée d’un récepteur téléguidé…
– Super il te faut combien de temps pour bricoler ça ?
– Bof, une heure ou deux !

Il a confectionné ça assez rapidement, et le percement s’est effectué sans difficultés Je suis redescendu toujours avec Dyane et Krugger. Je fais glisser la lampe serpent dans le petit trou…

C’est quoi qu’il y a là-dedans ? Une espèce de matière visqueuse, du gris, du rose, du vert foncé beaucoup de vert foncé. Inutile de dire qu’on n’y comprend rien.

– Un transport de matière organique qui s’est échoué ? Suggère Dyane
– Et qui n’aurait pas pourri depuis des milliers d’années ! Se gausse Krugger.
– Qui sait ? Et puis on ne sait pas de puis combien de temps ce truc est ici !
– On ne voit pas tout ? On essaie d’entrer ?

Ben oui sinon que faire d’autre ?

Fausto a troqué la perceuse pour une scie à laser et une heure plus tard une ouverture de 1,50 m sur 1,20 m nous permettait de pénétrer à l’intérieur de la chose.

On marche sur de la matière molle. Heureusement nos raquettes antidérapantes nous empêchent de glisser.

Et soudain, l’intérieur de ce bazar s’illumine !

Moment d’étonnement et de stupeur ! On se regarde ne sachant trop comment réagir.

Et voilà qu’on entend des paroles incompréhensibles venant d’une masse gélatineuse qui semble se modeler elle-même.

C’en est trop, le salut est dans la fuite, mais nous voici immobilisés et incapables de bouger pieds et mains.

On ne comprend toujours rien à ce raconte ce shamallow géant.

– Mais c’est ta voix que l’on entend ! Remarque Dyane, On est tombé dans un piège !

Pas vraiment rassurante la nana !

Et shamallow qui continue à se transformer, son apparence est presque maintenant celle d’un humain… tandis que derrière lui deux autres ectoplasmes prennent l’apparence de mes compagnons d’infortune…

– Ba beur !

Hein qu’est-ce qu’il raconte ?

Et la transformation continue à évoluer jusqu’à devenir une imitation de moi-même, un moi-même un peu raté mais l’idée est bien là.

– N’ayez pas peur (et cette fois il s’exprime en novlangue sans accent.)

Sauf que la trouille ça ne se commande pas !

– J’ai pris votre apparence afin d’éviter de vous effrayer. Je ne vous demande pas d’explications, je les ai enregistrés. Je viens de copier le contenu des informations de votre cerveau, je connais vos motivations, votre langue et plein d’autres choses encore… Je sais que vous avez des questions. Je n’ai pas l’intention de vous fournir des réponses, sachez simplement que nous n’avons rien à voir avec les précurseurs qui vous intéressent. On va vous laisser repartir, mais nous allons gommer de votre mémoire notre rencontre ainsi que l’image de notre habitacle. Quand on vous demandera ce que vous avez trouvé sur cette planète vous répondrez par la négative.
– Bon, on peut s’en aller alors ?
– Oui, il nous fallait réaliser un contact pacifique avec vous afin que vous puissiez dire autour de vous que vous n’aviez rien trouvé. Si d’autres s’aventurent ici, ils n’auront pas votre chance, nous voulons rester tranquilles. Au fait ce serait fort aimable de réparer le trou que vous avez fait, nous pourrions le faire nous-même mais c’est une question de principe.

On est rentré au bercail dans un drôle d’état.

– Ben qu’est-ce qui vous est arrivé ? Vous en faites une tronche ! Nous demandent Nadget et les autres.
– On est tombé sur des extraterrestres, à moins que ce soient des hologrammes, j’en sais trop rien. On va peut-être se prendre des anxiolytiques
– Quand même, intervient Dyane, il y a un truc qui cloche, ils nous demandent de réparer le trou qu’a creusé Fausto et ils nous racontent qu’ils vont effacer tout ça de notre mémoire !
– C’est chronologique, on répare et on efface… explique Krugger.
– Oui, bon, on va rien réparer du tout, on va se casser d’ici et en vitesse ! Jackie tu peux enclencher le compte à rebours ?
– Oui Capitaine !
– Oh ! Mais arrêtez les conneries ! Proteste Fausto.
– De quoi ? On se calme !
– L’arbre de transmission n’est pas fini de réparer, en fait il est tombé et il a abîmé d’autres éléments.
– Combien de temps pour réparer ?
– Faut bien compter une semaine…

Manquait plus que ça… On n’a pas laissé Fausto galérer seul, on l’a tous aidé dans la mesure de nos moyens, mais ça reste long et fastidieux.

Six jours (en équivalence terrienne) ont passé. La réparation avance mais n’est pas terminée.

Et voilà que la voix robotisée de l’ordinateur de bord se met à chouiner…

C’est quoi encore ?

« Vaisseau en approche, matricule 73d411V ! Souhaitez-vous une prise de contact ? »
– Pas pour l’instant ! répondis-je

J’ai sur mon spacephone la liste de tous les vaisseaux ayant Vargala comme port d’attache. Le matricule renvoie à un vaisseau commandé par le capitaine Mony, « Le Faucon d’or »

– A tous les coups, ce type a négocié avec Woldum… Sauve qui peut, tout le monde évacue le vaisseau, on s’arme et on se planque derrière les dunes…

Le Faucon d’or se pose difficilement, toujours en raison de l’instabilité du sol, mais, mais sans dégâts.

– Voilà, c’est leur vaisseau ! Indique Woldum, il suffit de le faire sauter et le tour est joué…
– C’est dommage, un vaisseau ça coute cher, on peut peut-être faire autrement…
– Et c’est quoi votre idée ?
– Attendez, je réfléchis, on n’est pas à cinq minutes
– Oh, regardez l’écran ! Cette structure géante, c’est grandiose ! S’extasie Woldum.
– On dirait qu’elle bouge, la structure !
– Mais non !
– Mais si !

Et tout d’un coup tel un serpent géant la structure se déploie et vient s’enrouler autour du « faucon d’or. »

– C’est quoi ce bordel ! Aux armes ! Crie le capitaine Mony.

Mais personne ne sait quelle arme utiliser contre ce monstre qui tel un boa constrictor exerce une pression inouïe sur le vaisseau allant jusqu’à éclater sa carlingue. Et la pression continue après l’éclatement provoquant la mort par étouffement de Woldum, de Mony et de tout l’équipage.

La structure relâche son étreinte, le Faucon d’or n’est plus maintenant qu’un amoncellement de ferrailles déchiquetées et de cadavres écrabouillés.

La structure revient placidement à sa place initiale.

Nous avons tout vu, inutile de préciser que ça nous a fait froid dans le dos !

Le lendemain la réparation était terminée et nous avons enfin quitté cette planète.

Nous sommes passés en hyperespace et une fois n’est pas coutume, nous n’avons pas fait la fête (nous la ferons peut-être plus tard), nous avons encore la gueule de bois suite à cette vision effrayante de l’étouffement du vaisseau du capitaine Mony

Et soudain j’ai une idée… Je consulte mon spacephone, Le images de la structure sont bien là, personne ne les a effacés. Et qui plus est, la masse gélatineuse nous avait bien précisé que tout ce que nous avions vu sur Ramon4 serait effacé de notre mémoire cognitive… Ben non rien n’a été effacé.

J’en parle à Dyane

– Ces mecs sont très forts… mais pas tant ça. Le génie absolu, ça n’existe pas !

Si elle le dit …

Rendons-nous à présent sur Terre dans le bureau de l’amiral Lars Bolessian, chargé de superviser toutes les informations concernant les précurseurs.

– Putain c’est quoi ce message ? Si ce n’est pas un fake, ce doit être un moyen de transport, ce serait une première, on n’a jamais répertorié ce genre de chose ! S’exclame-il devant Haïko sa charmante ordonnance.

Haïko est une belle eurasienne aux cheveux de jais.

– Bizarre !
– Nous avons les moyens de savoir si c’est un fake ou non ?
– Bien sûr que nous avons ces moyens !
– Eh bien qu’attendez-vous ? Analysez-moi ce machin !

Et une heure plus tard.

– Ce n’est pas un fake, Amiral !
– O.K. Convoquez l’un des meilleurs pilotes disponibles et envoyez le sur place.
– A vos ordres, amiral !
– Il faut aussi remplacer Woldum ! Trouvez quelqu’un qui fasse l’affaire et envoyez-le sur Vargala avec pour mission prioritaire d’essayer d’en savoir davantage sur cette affaire. Il ne faudrait pas qu’elle s’ébruite de trop. Si certaines personnes sont trop bavardes, il faudra agir en conséquence !
– Pas évident sur Vargala, amiral !
– C’est bien pour cela qu’il faut choisir un agent de premier ordre.
– A vos ordres, amiral !
– Savez-vous Haïko que toute cette histoire m’excite considérablement ?
– Dois-je remédiez à cette situation, amiral ?
– Remédiez, charmante Haïko, remédiez !
– Procédure habituelle, amiral ?
– Positif !

L’amiral est peu amateur de variations, avec lui les choses se passent toujours à peu près de la même façon.

Tout en restant assis, il dégrafe son pantalon qu’il baisse jusqu’aux genoux, Le caleçon suit le même chemin…

– Sous le bureau Haïko ! Viens me sucer comme une pute !
– Je viens, amiral, je suis votre pute dévouée.
– Et une grosse salope !
– Une trainée, une fille à soldats
– Tais-toi et suce !

Elle s’applique, il serait faux de dire qu’elle prend plaisir à prodiguer une fellation à cet amiral qui est tout sauf bel homme, mais elle sait qu’à la clé il la gratifiera d’une petite prime… et les petites primes c’est tellement sympa !

Donc elle pompe, elle pompe, en attendant l’acte suivant.

– Mais que faites-vous sous ce bureau Haïko ?
– Gloups ! Je vous suce, amiral !
– Vous devriez avoir honte ! Sortez de là-dessous.

Haïko connais la suite parce que les scénarios de l’amiral sont souvent les mêmes, mais elle se prête au jeu

– Penche-toi sur le bureau et dégage tes fesses ! Je vais te corriger comme tu le mérites.

La belle ordonnance s’exécute tandis que l’amiral se saisissant d’une longue règle plate, assène un premier coup sur son popotin.

– Tu sais au moins pourquoi je te punis ?
– Oui parce que je ne suis qu’une pute qui suce pour de l’argent !
– Et tu n’as pas honte ?
– Oh ! Si j’ai très honte ! Aïe ! Tapez un peu moins fort s’il vous plait !
– Je tape comme bon me semble !
– Oui, mais je ne vais plus pouvoir m’assoir… Aïe ! Oh là là, ça fait mal !
– Tiens trainée, tiens morue !
– Ouille !

Haïko se laisse fouetter, elle supporte, elle n’est pas prisonnière, s’il arrivait que l’amiral ne se contrôlait plus, elle pourrait toujours quitter son bureau, mais le cas ne s’est jamais produit.

N’empêche que quand l’homme pose sa règle plate, elle ne quitte pas la position car le troisième acte, elle le connait aussi et pousse un soupir de soulagement.

Stoffer706– Tu sais ce qu’on leur fait aux putes vicieuses comme toi ?
– On les encule ? C’est ça ?

La réponse était bonne et l’amiral sodomisa la belle sans ménagement d’un rythme rapide qui le fit jouir en moins de trois minutes chrono.

– Ça va ton cul, je ne t’ai pas trop abîmé ?
– Non, mais pensez à me faire mon petit virement !
– Bien sûr, bien sûr !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 25 octobre 2025 6 25 /10 /Oct /2025 11:16

Stoffer 7 – La structure diabolique – 5 – Sous le regard du chat ! par Nicolas Solovionni
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Le voyage en direction de Ramon4 s’annonçait long, à bord du Rosamonda, (mon vaisseau), mais nous étions content d’entamer ce périple et avions décidé de fêter notre départ comme il se doit dès que nous fûmes passé en hyperespace.

Par politesse, j’ai avisé Krugger et Jackie de cette tradition, en les mettant en garde.

– Il se peut que cela tourne en orgie, dans ce cas vous pourrez regagner votre cabine, personne ne vous en tiendra rigueur.

J’étais certain de la réponse de Krugger qui me confirma que pour lui, il n’y avait aucun problème. En revanche je me demandais comment allait réagir Jackie…

– Je connais cette tradition, ne vous inquiétez pas pour moi, je ne suis pas une oie blanche, je m’adapterais ou j’irais voir ailleurs !

Le mess n’est pas bien grand, on va dire qu’il y a juste la place qu’il faut, une grande table et contre les murs quatre banquettes garnies de coussins.

Il y a du monde dans ce mess, Dyane ma seconde vaisseau, Nadget ma technicienne de bord et moi-même. Ainsi que ceux qui nous ont accompagné pour la première fois, Fausto, Krugger et Jackie. Sans oublier Yoyo, le chat du bord que Dyane qui l’a en garde à tenu à emmener avec nous.

Donc six personnes, si j’ai bien compté ! On débouche les bouteilles, champagne et watchibole. On trinque, on boit… on a disposé sur la table quelques godemichets afin que chacun sache que l’on est pas ici pour enfiler des perles… et comme toujours on attend le petit déclic qui va transformer ce pot de l’amitié en sauterie érotique.

Je pensais que ce déclic viendrait de Dyane, mais en fait c’est Nadget, la jolie blackette qui s’y colla…

– J’ai bien ta peau, elle est plus claire que la mienne ! Fit-elle remarquer à Jackie en lui caressant le bras… et elle est très douce.
– Tu ne serais pas un peu coquine, toi ?
– Si, un peu ! Un peu beaucoup même ! Et toi ?
– Moi, ça dépend des jours, ça dépend des gens…
– Les hommes ? Les femmes ?
– Les deux !

Jackie prend alors conscience que tous les regards sont braqués vers elle.

Alors à ce stade ou bien elle s’éclipse, où alors elle assume… Et comme elle n’est pas indifférente aux charmes de Nadget… et comme être la vedette de la partie n’est pas non plus pour lui déplaire… vous aurez deviné sa décision.

Et afin de lever toute ambiguïté, elle approche son visage de celui de Nadget et lui roule un patin d’anthologie.

Krugger s’est approché de Dyane

– Je vous trouve très belle ! Lui déclare-t-il dans un grand élan d’originalité.

Le moins que l’on puisse dire c’est que Dyane n’est pas du tout attiré par ce bonhomme, mais il est des circonstances où il serait malvenu de faire sa mijaurée.

« Tant qu’il reste correct… » Se dit-elle.

– Je crois lire dans vos pensées !
– Et que lisez-vous ? Répond le bonhomme.
– Vous vous demandez si je suis aussi belle déshabillée qu’habillée !
– Sans doute, mais n’est-ce pas un réflexe naturel ? Oh, mais regarder ces deux coquines, quel charmant spectacle !

Effectivement, Nadget et Jackie se sont débraillées et dépoitraillées et se plotent à qui mieux mieux.

– Ça te fait bander, Krugger ?
– Je ne suis pas de bois !
– Vérifions ! Ose Dyane en portant sa main sur la braguette de l’homme. Hum, je sens quelque chose de dur ! On ne va pas la laisser enfermée, on va lui faire prendre l’air !

Dyane prend en main la bite demi-molle, lui imprime quelques mouvements de masturbation, puis quand la chose est devenue raide, elle se la fourre en bouche.

– Cela m’aurait ravi de voir vos seins ! Implore-t-il.
– Tiens donc ! Mais qu’est-ce qu’ils ont tous à vouloir voir mes seins ?
– C’est l’appel de la nature !
– Dans mon cas ce serait plutôt l’appel de la mature ! Mais bon on va te faire plaisir

Et donc Dyane retire tout son haut…

– Oh que c’est beau ! S’écrie Krugger.
– Je ne me plains pas !
– Je peux toucher ?
– Comme c’est demandé gentiment je ne peux refuser !

Il plote, sans trop de délicatesse, il faut bien l’avouer.

– Lèche moi les bouts, je suis sûre que tu en meurs d’envie !

Il y a des choses qu’il convient de ne pas dire deux fois à un homme, aussi Krugger se précipite vers ces tétons offerts et les fait darder sous sa langue

Moi, pour le moment je mate. Jackie s’est affalée sur une banquette, les cuisses ouvertes laissant Nadget lui brouter la chatte. Charmant spectacle !

A l’autre bout de la pièce, Fausto paraît intéressé par ce que font Dyane et Krugger… En fait il semble bien que c’est Krugger qui l’intéresse mais qu’il ne sait comment s’immiscer dans ce couple de circonstance.

Personne ne s’occupe de moi, ce sont des choses qui arrivent, j’ai quand même sorti ma bite et je la branlotte afin d’être prêt le moment venu. Mais pour l’instant à part me resservir à boire je suis un peu largué.

Je ne suis pas le seul, le chat Yoyo, s’est mis en position assise et n’essaie pas de comprendre ce qui se passe.

Dyane après avoir repris sa fellation sur la bite de Krugger, se déshabille (cette fois complétement), et tend ses fesses à son partenaire. Celui-ci a compris le message et approche son vit du trou du cul de la belle mature.

– Non ! Tu lubrifie un peu avant ! Lui indique-t-elle.

Qu’à cela ne tienne, Krugger pose sa langue sur l’anus étoilé et pratique une feuille de rose bien baveuse… et maintenant il peut y aller et encule vaillamment la jolie blonde.

Elle est comme ça, Dyane elle adore jouir du cul et les assauts de Krugger la font couiner de plaisir.

Stoffer705C’est le moment que Fausto choisit pour tenter sa chance, il s’approche du couple et chuchote à Krugger :

– T’encules les hommes aussi ?
– Je te vois venir, toi !
– Alors d’accord ?

Krugger ne répond pas, il continue à bourrer Dyane jusqu’à ce qu’elle jouisse du cul, puis se retire et interpelle Fausto.

– A ton tour !

Et tandis que Krugger encule Fausto, Dyane quelque peu épuisée vient me faire câlin. J’ai beau la connaitre par cœur, lui peloter ses nénés est pour moi un plaisir toujours vivace. Et puis sa main sur ma bite…

Sur la banquette d’en face, les deux blackettes sont toujours à l’œuvre, Jacquie s’est retournée en levrette laissant Nadget lui enfoncer un gode dans le trou du cul

Elle me plait bien cette Jackie, mais est-ce que j’aurais l’opportunité de la baiser ? Rien ne presse et pour l’instant pas question de déranger ces demoiselles.

Un cri bizarre fait peur au chat qui s’enfuit à toute vitesse. En fait c’est Krugger qui vient de jouir dans le cul de Fausto. Il se retire et s’affale sur une banquette après s’être servi un jus de fruit ! Ben oui, ça donne soif les galipettes !

On continue à regarder les deux blackettes qui se sont fait jouir plusieurs fois de suite et qui maintenant soufflent un peu.

– Tu te la ferais bien, la Jackie ! Me nargue Dyane.
– Ça c’est sûr ! Et toi ?
– Moi aussi, mais comme tu es le capitaine, tu es prioritaire ! Vas-y c’est le moment !

J’y vais !

– Bravo les filles, vous nous avez offert un de ces spectacles !
– C’était spontané, et quand c’est spontané, c’est bien !

En voilà une réplique qui me laisse coi !

Nadget qui a compris mon manège se retire et va s’assoir plus loin, à côté de Krugger, lequel tout content d’avoir de nouveau de la compagnie se met à la caresser mais il reste en panne de bandaison..

– Trêve de formalités, tu as envie de me baiser, mon capitaine, c’est bien ça ?
– Je serais hypocrite en prétendant le contraire.
– Assis-toi à côté de moi et caresse-moi !

Vous pensez bien que je ne vais pas me dégonfler ! Je m’installe à ses côté, je n’ose pas l’embrasser, (quelque part elle doit m’impressionner !) mais je lui plote les seins et m’enhardi à lui sucer ses gros tétons, tandis que ma main rencontre sa chatte mouillée comme une soupe.

– C’est humide ! Lui fis-je bêtement remarquer.
– Je sais, il faut peut-être que je me rende aux toilettes.
– Une grosse envie de pipi ?
– On dirait bien !
– Et si tu faisais ça à la coquine ?
– C’est-à-dire ,
– Tu pisses dans un verre ! Comme ça je pourrais goûter !
– Mais t’es un vrai cochon, mon capitaine !
– C’était juste une idée comme ça !
– Alors passe-moi un verre !

En fait l’envie était si intense qu’il a fallu deux verres. J’en ai bu un peu, c’était délicieux..

– Et comme je n’ai rien pour m’essuyer, je suppose que tu vas te servir de ta langue !

Cette bonne blague ! Bien sûr que je vais lécher tout ça ! Un bon mélange de pisse et de mouille. Je me régale. La Jackie est réceptive et ne tarde pas à haleter sous mes coups de langue. Je continue quelques minutes puis la sentant proche de la jouissance, je vise le clitoris et la fait hurler de plaisir. Du coup Yoyo qui était timidement revenu s’enfuit de nouveau. C’est mignon les chats, mais c’est un peu con !

– Baise-moi, baise-moi ! Me supplie Jackie.

Ce que femme veut… Ma bite la pénètre de suite, je ne me contrôle plus tellement je suis excité… j’espère simplement pouvoir tenir la distance. Et tandis que je la bourre Dyane est venu nous rejoindre et lui tripote les seins (elle n’a décidemment pas pu s’en empêcher !)

On a joui tous les deux, puis je l’ai laissé avec Dyane.

Tout le monde a joui ? Non, peut-être pas Fausto qui se pointe devant moi, la bite en avant ! Monsieur veut sans doute que je le suce ! Alors suçons ! Ça ne me dérange pas, vous vous en doutez bien !

Il m’a juté dans la bouche, ce coquin ! On se ressert à boire, on se rhabille… Yoyo est revenu et a sauté sur les genoux de Jackie afin de se faire caresser. C’était bien, c’était bon !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 25 octobre 2025 6 25 /10 /Oct /2025 11:13

Stoffer 7 – La structure diabolique – 4 – Fausto et sa Maman par Nicolas Solovionni
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Jackie avait eu l’idée de se reposer quelques jours sur Vargala avant de chercher un vaisseau qui aurait besoin de ses capacités. Mais l’entrevue bizarre qu’elle venait d’avoir l’incita à la prudence et elle se décida à envoyer un message de candidature à l’astroport.

Ça tombait bien je cherchais un navigateur et après un entretien d’embauche qui dura moins d’un quart d’heure je l’engageais.

Restait à trouver un ingénieur de bord. Ça ne se bouscule pas au portillon dans les demandes d’emploi. Je ne donne pas suite à deux annonces dont les CV me paraissent trop faibles et je tente de contacter un troisième postulant, un dénommé Fausto…

– Votre candidature m’intéresse, pourriez-vous me rencontrer à 15 heures dans le hall de l’astrodrome, box 14 ?
– Ça m’embête un peu, à cette heure-là on n’aura pas terminé !
– Hein ?
– J’aide ma mère à réceptionner une grosse livraison au Drugstore 24. Ça m’embête de la laisser en plan. Vous ne pourriez pas vous déplacer ?

Non mais n’importe quoi ! J’ai failli l’envoyer promener mais le CV étant bon, j’ai consenti à me bouger.

Je le trouve avec sa mère dans son magazine au milieu d’un amoncellement de cartons. C’est un blondinet aux traits légèrement efféminés. Assez troublant le type !

La mère se présente, c’est un grande perche brune aux cheveux bouclées, elle se prénomme Gigi.

– Je suis Ajas Stoffer, le capitaine du Rosamonda….
– Fausto Richardson, l’entretien va prendre combien de temps ?
– Le temps qu’il faudra !

Il ne va pas commencer à m’énerver !

– Allez je vous écoute !
– J’ai navigué trois ans comme ingénieur du bord, et si vous avez lu mon CV vous avez pu voir que je ne me suis pas trop mal débrouillé. Et puis ma mère a eu un accident je l’ai donc remplacée pendant plusieurs mois, maintenant elle est guérie et moi j’ai envie de reprendre l’espace.

Et tandis que sa mère se retire, je lui pose deux ou trois questions et lui annonce ma décision de l’embaucher…

– Je fais peut-être une confusion, mais ce ne serait pas vous le patron du « Diable rose » ?
– On ne peut rien vous cacher !
– J’y suis allé une fois, c’était chaud !
– Ça vous a plu alors ?
– Ma foi, je suis un peu ambivalent, si vous voyez ce que je veux dire… Oh ! vous avez une façon de me regarder, je ne vous suis pas indifférent donc ?
– Vous êtes assez mignon.
– Je ne vous fais pas bander quand même ?
– On se calme !
– Parce que sinon je peux vous octroyer une petite pipe
– Vous êtes direct, vous !
– Que voulez-vous, la vie est courte, pourquoi s’embarrasser de salamalecs !

Je regarde mieux le type et me dit qu’un petit moment coquin avec lui ne pourrait me faire du mal

– Je vais peut-être me laisser tenter ! On ferait ça où ?
– Eh bien, ici !
– Mais votre mère ?
– Elle s’en fout ! Elle est aussi salope que moi !
– Dans ce cas…
– Il est d’ailleurs possible qu’elle se pointe ! Dans ce cas je la vire gentiment ou on l’a fait participer ?
– Ce sera comme bon vous semble, vous êtes chez vous !
– Je vous la conseille, elle suce très bien ! Bon trêve de discussions, on se met à poil ?

Ben oui, pour baiser, être à poil c’est mieux, je sais bien que certains baisent sans se déshabiller, mais ce n’est pas mon trip.

Je ne suis pas spécialement attiré par le physique des mecs, seules leurs bites m’intéressent et je n’ai jamais consulter de psy pour tenter de comprendre pourquoi ! Je suis bien dans ma peau et passons à la suite.

Cependant, il y a des exceptions à toutes choses, (comme disait Gustave Flaubert)… et je dois avouer que l’aspect androgyne de ce Fausto était loin de me laisser indiffèrent.

Alors quand il m’a offert ses lèvres, je les ai accepté (cochon que je suis !) Et pendant que nous nous roulions une gamelle, nos bites devenaient dures.

Je pris la sienne dans ma main, il me prit la mienne dans sa main… branlette réciproque…

Et Fausto de son autre main se met à me pincer les tâtons ! Faut pas faire ça ! Ça m’excite de trop !

Alors qui va sucer l’autre ? Vous allez me dire on pourrait se mettre en soixante-neuf, ce qui rendrait la question caduque. Mais l’endroit où nous nous situons n’offre aucune commodité pour faire ce genre de choses à moins de faire ça au sol ! Faut pas déconner non plus !

Il a été plus rapide que moi, le Fausto. Il s’est baissé sans que j’ai le temps de dire « ouf », et me voilà avec ma bite dans sa bouche ! Et c’est qu’il suce trop bien, ce coquin !

Je n’ai pas entendu la porte s’ouvrir, mais j’ai entendu la voix de maman Gigi.

– Vous jouer à quoi, les pédés ?

Fausto ne répond pas, il a la bouche pleine et en ce qui me concerne je ne sais que dire.

– Passez donc à côté, se sera plus confortable ! Reprend la maman.

Du coup Fausto me lâche la bite et on file dans la pièce contiguë, une sorte de débarras mais où se trouve un vieux canapé en fin de vie mais qui peut encore éventuellement servir (si l’on n’est pas trop exigeant)

Une fois dans l’endroit, je prends les devants (si l’on peut dire) et c’est à mon tour de sucer sa bonne bite !

– Ça vous gêne si je vous regarde cinq minutes ! Demande la Maman.
– Mais non, mais non ! Répond Fausto.

Moi je ne réponds pas, à vrai dire je m’en tape !

Ce que j’avais pas prévu, c’est que la Gigi au lieu de s’assoir tranquillou sur une chaise pour jouer les voyeuses, entreprend de se mettre complétement à poil.

Pas mal foutue la Gigi, jolis seins tout ronds, à tous les coups elle va trouver le moyen de nous rejoindre…. On verra bien.

Pour l’instant elle mate ! Et moi je suce…

– Tu veux ma bite dans le cul ? Me propose-t-il au bout d’un petit moment.
– Soyons fou !

Je me mets en position, et il passe derrière moi pour me lécher le fion ! Je suis prêt, mais pas lui, car le voilà qu’il débande… et dans cet état, ça ne va jamais le faire.

– Attends, je vais t’arranger ça ! Intervient la maman qui engloutit dans sa bouche la bite de son fiston en lui faisant faire de rapides allers et retours tant et si bien que l’organe redevient raide.
– Ah, ce que tu suces bien, maman !

Stoffer704
Et du coup le voici qui m’encule, la mamie passe derrière lui et lui pince les tétons afin de maintenir son érection. Ça le fait bien et je la sens bien raide dans mon cul.

Il s’énerve, il s’excite, il accélère et finit par décharger dans mon fondement en gueulant comme un cochon ! Il sort de mon cul en soufflant tandis que Gigi me demande si ça m’intéresse de gouter à sa petite chatte.

Il y a des propositions que je ne saurais refuser, je lèche donc la dame qui mouille comme une éponge, ça ne vaut pas le sucré salé d’Ester mais c’est délicieux quand même, Il ne m’a pas fallu bien longtemps pour la faire jouir, elle était trop excitée, mémère !

Et moi ? Je suis donc toujours le dernier à jouir dans ces occasions ! Reste à savoir comment ça va se passer. Pas évident j’ai l’impression qu’il sont tous les deux HS. Si ça se confirme je vais être bon pour me faire une auto-branlette.

En attendant je m’assois sur le bord du canapé, et alors que je ne l’attendais pas vraiment, Gigi vient me chevaucher en se débrouillant pour que ma bite lui rentre dans le cul ! Quel tempérament tout de même !

La situation est reposante, je n’ai rien à faire, c’est la Maman qui monte et qui descend sur ma bite à la manière des manèges de chevaux de bois.

Et puis ça lui fait de l’effet à la Gigi, faut voir les petits cris qu’elle pousse, des petits cris qui deviennent de plus en plus stridents, du coup je donne quelques coups de rein pour intensifier le mouvement, Gigi crie encore plus fort, je jouis à mon tour ! Ouf !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 25 octobre 2025 6 25 /10 /Oct /2025 11:10

Stoffer 7 – La structure diabolique – 3 – Le pâtissier et son accorte vendeuse par Nicolas Solovionni
stamp rousse

Hans Krugger est pâtissier… Vous allez me dire que vient faire un pâtissier dans une nouvelle de science-fiction érotique ?

En fait voilà : Krugger, aujourd’hui quinquagénaire, a publié il y a quelques années une étude en podcast sur les « précurseurs » qui connut son heure de notoriété. Listant les sites où on avait trouvé leurs vestiges, il concluait en émettant l’hypothèse hardie qu’en fait les précurseurs appartenaient à deux civilisations différentes.

Voulant élargir le champ de ses investigations, quelqu’un eut l’idée de lui indiquer que sur Vargala station, il serait susceptible de trouver des informations complémentaires, genre découvertes non divulguées. Il fit donc le voyage et dû déchanter, les gens sur Vargala ne parlent pas au premier venu. Il se rendit compte que ce serait un travail de longue haleine qui nécessiterait une lente mise en confiance…

Oui mais pour cela il lui fallait trouver un moyen de subsister. Bon pâtissier il proposa ses services à une officine locale. Choix judicieux d’autant que le gérant aspirait à une retraite bien méritée.

Donc depuis plusieurs années, Krugger mitonne des petits gâteaux et attend vainement de nouvelles informations sur les précurseurs.

Je décide donc de rendre visite à ce citoyen

– Bonjour Capitaine, qu’est-ce que je vous sers ? J’ai des mokas tous frais dont on m’a dit le plus grand bien.
– Je vous en prendrai un tout à l’heure mais avez-vous un endroit où on pourrait causer en tête à tête sans être dérangé ?
– Causer de quoi ?
– Des précurseurs ! Chuchotais-je.

Du coup il n’a pas hésité et nous voilà dans l’arrière-boutique où je lui montre la photo que m’a transféré Fernandez.

– Hum ! Ça ressemble à un canular !
– Un canular qui aurait fait une victime ? Etonnant, non ?
– Ce sont malheureusement des choses qui arrivent.
– Vous n’y croyez donc pas ?
– Il ne faut jamais jurer de rien ! dites m’en davantage !

Alors je lui raconte ce que je sais de l’histoire.

– Je vois… Formulons une hypothèse, Fernandez crée un fake uniquement pour se faire du fric. L’un des gars de son équipage se dit alors qu’il pourrait le doubler, il propose ses services à Woldum qui tombe dans le panneau et élimine le type.
– Oui, bien sûr…
– D’autant que je vais vous dire, j’ai compilé pas mal de choses sur les précurseurs, des constructions bizarres, des tours, mais jamais, au grand jamais nous n’avons trouvé des moyens de transports.
– Fernandez me disait qu’il pourrait s’agir d’une sorte de bombe.
– Allons donc, une bombe qui n’aurait pas explosé et qui se tiendrait là toute seule comme un grande en plein milieu d’un désert ?
– Donc vous n’y croyez pas ? me répétais-je
– Disons que je suis sceptique !
– J’ai plus ou moins l’intention de me rendre sur place, ça vous dirait de venir avec nous ?
– Vous me payeriez le voyage ?
– Cela va de soi !
– Vous avez les coordonnées de cette planète ?
– Oui, les voilà !
– Mais c’est vachement loin !
– Certes !
– Et si ça se trouve, il n’y a rien du tout à cet endroit.
– C’est un risque à prendre !
– Je vais réfléchir ! Je vous donnerai une réponse définitive demain matin. Je vais demander à Ester de vous emballer un moka, je vous l’offre, vous allez vous régaler ! Au fait c’est bien vous le gérant du « Diable rose » ?
– En fait je suis le patron…
– Hi ! Hi ! Vous m’avez l’air d’un sacré coquin, vous !
– J’assume !
– Il m’arrive aussi d’être un peu coquin. Que voulez-vous ? il faut bien profiter de la vie ! Voulez-vous qu’Ester vous gratifie d’un moka spécial ?
– Et c’est quoi ça ?
– Oh ! C’est très coquin ! Mais c’est un peu payant.

Sur un appel de Krugger, Ester arrive, tenant dans ses mains un bol rempli de crème à moka.

– Je suppose que je dois mettre un panneau lumineux pour prévenir les clients qu’on sera fermé une petite demi-heure.
– Tu supposes fort bien. Et tu auras ton petit pourboire tout à l’heure.

. Ester m’informe qu’il serait pertinent que je retire mes vêtements afin que le moka spécial ne les tache pas.

Ester est un jolie rousse aux yeux bleus, la peau constellée de taches de rousseur et dotée d’une poitrine avantageuse

Je m’exécute donc, croyant deviner ce que ce moka va avoir de spécial.

Ester s’empare de ma bite, la branlotte de ses petites mains agiles afin qu’elle devienne bien raide.

Et la voilà qu’elle m’enduit la bite de crème à moka. Curieux spectacle de voir mon organe masculin décoré de la sorte à la manière qu’un petit gâteau. Je dois avouer que la chose a des allures appétissantes, mais je ne suis pas assez souple pour aller me la sucer moi-même.

Alors j’attends qu’Ester le fasse. Mais il faut croire que ce n’est pas dans ses intentions immédiates car la voici qui se recule d’un mètre en me gratifiant d’un sourire bien coquin.

Et la voilà qui retire sa blouse de vendeuse, elle n’a rien en-dessous hormis un ensemble de sous-vêtement vert amande.

Elle retire d’abord le soutien-gorge, fait bouger ses nénés afin que j’en prenne plein la vue, se pince les tétons et finit par les enduire de la crème à moka ! Qui c’est qui va se régaler ? C’est moi ! Du moins, j’espère…

C’est au tour de la petite culotte d’être retirée, dévoilant une chatte charnu et légèrement poilue comme je les adore. Comme je m’y attendais, elle se l’enduit de crème… et comme je m’y attendais moins, elle se retourne pour cette fois s’enduire le trou du cul !

Si elle me donne tout cela à lécher, je risque la crise de foie !

Quant à Krugger, il ne perd pas une miette du spectacle. Pourtant il doit la connaitre par cœur, sa vendeuse. N’empêche qu’il a sorti sa biroute et se la branle mollement. Une bien jolie bite, ma foi !

Je ne peux m’empêcher de la reluquer ! Que voulez-vous, c’est plus fort que moi, j’aime bien les bites… ce qui ne m’empêche pas d’aimer les femmes et leur jolies formes.

Je dois être hétéro bitophile comme disait le professeur Papillon. Mais qu’importe les étiquettes pourvu qu’on ait le plaisir !

Evidemment je suis tellement discret que Krugger s’est aperçu de mon trouble aussi m’interpelle-t-il.

– Elle vous plait, ma bite, on dirait ?
– Ma foi, elle est jolie !
– Vous aimez les bites ?
– A l’occasion…
– Vous sucez !
– Ça m’arrive !
– Ester, tartine-moi la bite d’un peu de moka, le capitaine va me sucer !

La situation devient cornélienne (si, si !) J’aimerais profiter des charmes de la belle Ester, mais d’un autre côté je ne peux refuser l’offre de mon hôte. Vais-je vraiment être capable d’assumer tout ça ?

Alors faisons les choses dans l’ordre, et je m’en vais lécher la bite de Krugger (quand même je n’étais pas vraiment venu pour ça… mais bon)

La crème est légère, pas du tout écœurante, je me régale, je le suce en lui caressant les couilles. Il devait être super excité parce que cinq minutes plus tard il éjaculait comme un cochon. Sperme et moka, en voilà un mélange ! Il faut aimer le sucré-salé !

Ester me fait signe de m’approcher ! Bien sûr que je vais m’approcher ! Et mon choix est déjà fait, ce sont les tétons que je lèche jusqu’à ce qu’il ne reste plus la moindre trace de la crème à moka !

De son index, elle m’indique qu’il y a aussi de la crème un peu plus bas ! Merci je le savais, je lui lèche donc la foufoune. Mais c’est qu’elle mouille la coquine. Là aussi je fais dans le sucré-salé. Je vais finir par m’y habituer.

Je n’aurais pas cru, mais je l’ai fait jouir la coquine et j’ai bien vu qu’elle n’avait pas simulé.

Je la laisse souffler quelques instants pendant que Krugger nous quitte pour, je pense, aller servir un client dans la boutique. Ester me présente son cul que je m’empresse de lécher comme il se doit. Plus de crème ? Non ? Comme c’est dommage !

Stoffer0703Sauf sur ma bite… La coquine me demande de m’assoir et vient entre mes cuisses pour s’emparer de la ma bite. D’ordinaire je sais me retenir de jouir, mais le trop plein d’excitation étant là… Je jouis dans sa bouche remplie de crème à moka.

Elle me roule une pelle, je vous dis : le sucré-salé, on s’y habitue !

Fin du délire…

Mais pourquoi donc Krugger au lieu de refuser carrément l’offre, persuadé qu’il est qu’il s’agit d’un canular s’est-il efforcé de me mettre en de bonnes dispositions en mettant à contribution cette charmante Ester ??

« Ce capitaine Stoffer est un grand voyageur, il a visité des planètes où les précurseurs avaient laissé des vestiges (voir les épisodes 2, 3, et 5) Un long voyage avec lui et je me fait fort de lui délier la langue… » Se dit le pâtissier.

Et c’est pour cette raison que Krugger accepta de faire partie du voyage.

Ce matin Roger Montesinos, bourgmestre de Vargala Station, et parrain de la mafia locale a devant lui Brent Quinto, l’un de ses fidèles lieutenants.

– On en est où ?
– On patine ! La mère Jiker soupçonne Woldum, la taupe terrienne. Effectivement des témoins l’on vu discuter avec la victime et depuis il a disparu de la circulation. Tous nos réseaux sont activés depuis hier. Aucun résultat.
– Il aurait quitté la planète ?
– Négatif ! Et aucune panne dans les enregistrements du portique d’entrée du cosmodrome.
– Allons, allons, Quinto, on peut pénétrer sur le tarmac par d’autres moyens.
– Pour aller où ? Depuis sa disparition seuls trois vaisseaux ont quitté la planète, comment aurait-il fait pour monter à bord. Je ne le vois pas prendre en otage tout un équipage.
– Hum, et du côté de la presqu’ile des exclus ?

(Note : Comme son nom l’indique plus ou moins la presqu’ile des exclus recueille tous les criminels qui ont été bannis de la ville. On peut y accéder à pied en utilisant un sas situé au « bar des adieux »)

– Personne ne l’a vu au bar des adieux !
– Il a pu piquer une barge.
– On est en train de vérifier ça, mais apparemment il n’y a aucune remontée.
– Et je suppose que son spacephone ne le localise pas ! Ça va mal, il en va de notre réputation. Recontacte nos réseaux et promets une prime substantielle à qui nous fournira des renseignements, même des trucs insignifiants.

Et le soir..

– Toujours rien ? Se désole Roger Montesinos, ,
– Oui et non ! Notre contact à la police m’a soufflé le nom de la victime, un dénommé Aldo Salvadori, il faisait partie de l’équipage de l’Albatros commandé par le capitaine Fernandez…
– Peut-être un règlement de compte entre membres d’équipage, ça arrive parfois !
– Et que viendrais faire Woldum là-dedans ?
– C’est peut-être une fausse piste ?
– Il faut qu’on trouve le moyen de faire parler ce Fernandez.
– Ça va être difficile, chef, je me suis renseigné, il a redécollé.

Montesinos laisse éclater sa colère en tapant du poing sur sa table.

– Mais merde ! On passe pour des cons !
– On n’a qu’à trouver un bouc émissaire ? Suggère Quinto.
– C’est ce qu’on fera en dernier ressort, mais c’est frustrant quand même.
– J’ai une idée, chef, peut-être que certains membres de son équipage n’ont pas réembarqué ?
– Quinto, tu es un génie ! Renseigne-toi auprès de la capitainerie et fait un pointage.

Et une demi-heure plus tard…

– Deux personnes n’ont pas réembarqué. Un mec et une nana !
– Une nana ? On peut la trouver ?
– La capitainerie m’a envoyé sa photo… elle n’est pas mal foutue…
– On s’en fout, on n’est pas là pour draguer. Fait suivre la photo à tous nos contacts et précise qu’il y a urgence.

Le réseau des indics de la mafia prouve alors son efficacité. Jackie Sagna est repérée à l’hôtel des cailles.

– Je m’en charge ! Propose Quinto.
– Et pas de connerie, je te fais confiance !
– Vous pouvez chef !

C’est le réceptionniste de l’hôtel qui a dénoncé la présence de Jackie Sagna. Mais Quinto ne se présente pas devant lui. La mafia et tout particulièrement ses responsables doivent rester clandestins.

Aux commandes d’une barge, il attend patiemment que la femme quitte l’hôtel… ce qu’elle finit par faire en milieu d’après-midi.

Jackie Sagna est une belle métisse, la peau chocolatée, corps bien fait et visage ovale. Quinto y va au flan, et l’aborde en exhibant un badge de police.

– Police ! Nous avons juste quelques questions à vous poser au sujet de « l’albatros ». Si vous voulez prendre place dans cette barge, on va faire ça dans les règles, au poste…
– Là, maintenant ?
– Ce sera fait, ce n’est qu’une formalité !
– Bon, allons-y.

La barge ne tarde pas à franchir les limites de la ville.

– Oh ! Vous m’emmenez où ?
– Au poste de police !
– En pleine cambrousse ?
– C’est une annexe sécurisée, rassurez-vous, vous allez comprendre.

Et quelques minutes plus tard, Quinto et Jackie étaient devant Montesinos, grimé pour la circonstance.

– Bonjour madame ! Asseyez-vous. Nous voudrions simplement savoir pourquoi vous n’avez pas réembarqué sur l’Albatros ?
– Pourquoi cette question ? Je suis encore libre d’embarquer ou de ne pas embarquer comme j’en ai envie !
– Ne vous énervez pas ! Bien sûr que c’est votre droit, mais les circonstances m’obligent à vous poser cette question.
– Quelles circonstances ?
– L’assassinat d’Aldo Salvadori par exemple.
– Salvadori a été assassiné ?
– Vous ne saviez pas ?
– Ben non !
– Voyez-vous un mobile à cet assassinat ?
– Non !
– Imaginez que Salvadori ait été mis au courant de choses qui ne le regardaient pas ?
– Je ne vois pas trop…

Et soudain, ça fait tilt dans le cerveau de Jackie… mais comment leur dire ça ?

– Je vous sens perplexe ! Parlez, on ne va pas vous manger !
– Le problème c’est que je peux pas parler. Nous sommes tombés par hasard sur une planète lointaine et avons découvert un truc qui relève du secret militaire.
– Essayez de préciser un peu tout ça, sans trahir ce qui serait de l’ordre du secret militaire.
– Disons qu’on a tous filmé ce truc. Puis au voyage du retour Fernandez, notre capitaine, nous a réuni et nous a expliqué qu’il était dangereux de conserver des informations ou des images de ce truc. Il nous a demandé expressément d’effacer tout ça de nos spacephones…
– C’est ce que vous avez fait ?
– Oui !
– Le capitaine Fernandez a-t-il vérifié les spacephones de son équipage après cette recommandation ?
– Non !
– Alors nous y voilà ! Enfin presque… Salvadori n’a rien effacé du tout et a voulu monnayer ces informations… et ça lui est retombé sur la gueule. Pouvez-vous me montrer votre spacephone ?
– Pourquoi faire ? Puisque j’ai tout effacé ?
– S’il vous plait !
– Il y a là-dedans des choses concernant ma vie privée et qui ne vous regardent pas.
– Rassurez-vous, votre vie privée ne nous intéresse pas ! Votre spacephone, s’il vous plait !

Montesinos se saisit de son propre appareil et copie les données de celui de Jackie… puis…

– Allo, Cheng, je t’envoie le contenu d’un spacephone, je voudrais que tu regardes si tu peux régénérer les fichiers effacés
– Pas de souci, je t’envoie le résultat dans un quart d’heure.

Montesinos déshabille Jackie du regard, elle en est gênée, pas lui !

– Est-ce que votre décision de ne pas réembarquer sur l’Albatros a un rapport avec les évènements que vous venez de nous raconter ?
– Pas du tout !
– C’est quoi alors ?
– Peu importe !
– Une histoire de cul ?
– Non, mais c’est fini, oui ?
– Gaulée comme vous êtes-vous devez être super bonasse ?

Jackie s’apprête à lancer une pique à son interlocuteur, quand elle réalise que celui-ci use de provocation pour la déstabiliser. Du coup inutile de continuer à faire la bravache mais en profiter pour prendre l’ascendant sur ces emmerdeurs.

– Je vais vous dire deux choses Si j’ai quitté l’Albatros c’est tout simplement pour un problème d’incompatibilité d’humeur ! Il n’y a rien de pire que de travailler avec des gens que vous ne supportez pas !
– Et cette personne que vous ne supportiez pas, c’est Salvadori !?
– Ben voyons, c’est moi qui l’ai tué et au lieu de repartir dans l’espace je suis restée là comme un conne ! Vous vous rendez compte de ce que vous insinuez comme délire ?
– On insinue rien du tout, on cherche à comprendre.
– Moi ce que je comprends c’est que vous n’êtes pas de la police, vous devez être des détectives privés ou quelque chose du genre… Et vous n’avez aucun droit de m’interroger ! Bon je peux partir maintenant ?

Les deux mafieux s’échangent un regard avant de « libérer » Jackie.

– Vous ne me raccompagnez pas ? Je ne sais même pas par où me diriger ?
– Vous sortez à gauche et c’est tout droit, il y en pour 7 ou 8 kilomètres.
– Et ça vous dérangerais de m’accompagner ?
– Si tu nous fais une pipe on te raccompagne !

Ben non pas de pipe à cet endroit du récit (je vois que certains lecteurs sont déçus)

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 25 octobre 2025 6 25 /10 /Oct /2025 11:07

Stoffer 7 – La structure diabolique – 2 – Commandante Annabelle Jiker par Nicolas Solovionni
Stamp sodo

Connaissant personnellement l’imposante capitaine Jiker, j’ai proposé à mon interlocuteur que nous nous rendions ensemble au poste de police.

– Bonjour Messieurs ! Ah Stoffer, tu ne vas pas me dire que tu t’intéresses à cette affaire ? Ça sent le brulé !
– Simple curiosité !
– Tu parles ! Bon on a recueilli quelques témoignages troublants. Salvadori a été vu en présence de Woldum. Tu sais qui c’est ce mec ?
– Une espèce d’espion terrien inoffensif.
– Inoffensif, mon cul ! C’est un infiltré, il est là pour écouter aux portes, je veux dire qu’il est à l’affut de toutes conversations qui feraient référence à des artéfacts des précurseurs. Autrement dit, il se la coule douce en attendant le jour où il aura quelque chose à se mettre sous la dent. Donc je pose la question, capitaine Fernandez : Avez-vous dégoté un artefact quelque part ?
– Je suis obligé de répondre ?
– Non, mais vous venez de le faire quand même. Je suppose que vous possédez une vidéo de cet artéfact sur votre spacephone ?
– Non, non pas du tout !
– Pourquoi mentir, capitaine ? Préfériez-vous que je te fasse saisir votre spacephone ?
– De quel droit ?
– Bof, on peut toujours trouver un truc, trouble à l’ordre public par exemple ! Alors vous me le montrez ce machin ?

De mauvaise grâce, Fernandez lui montre la vidéo.

– Whaah ! En voilà un drôle de truc ! Et ça mesure combien ?
– Une cinquantaine de mètres.
– Vous n’êtes pas sans savoir qu’en pareils cas, un rapport détaillé à la flotte galactique est obligatoire ?
– Oui bien sûr…
– En fait Capitaine Fernandez, vous vouliez gardez cette découverte pour vous afin de la monnayer, c’est ça ?
– Je pensais qu’on était ici pour parler du meurtre de Salvadori.
– Salvadori était-il en possession des mêmes renseignements que vous ?
– Evidemment puisqu’il faisait partie de mon équipage
– Pensez-vous que Salvadori ait pu faire cavalier seul en marchandant ces informations.
– Hélas, oui !
– Donc c’est probablement Woldum qui a fait le coup ! Le problème c’est qu’il est introuvable ! Il n’est pas rentré chez lui depuis plusieurs jours. Il n’a pas quitté la planète non plus. A priori, s’il avait été éliminé par la mafia je le saurais, j’ai mes antennes, donc il se cache, et comme on ne se cache pas sans raison…
– On peut quitter la planète clandestinement. Non ? Objectais-je.
– Bien sûr mais on n’a détecté aucune panne du système d’enregistrement du sas d’embarquement du cosmodrome. Et les départs de ces derniers jours n’ont rien de suspects
– Qu’allez-vous faire ?
– On est un peu coincés, je vais essayer de continuer l’enquête mais je crains de me faire doubler par la mafia. Sinon, capitaine Fernandez, voyez avec ma secrétaire pour organiser les obsèques de ce malheureux…
– C’est à moi de faire ça ?
– Oui, on a vérifié, il n’a pas de famille… du moins pas ici, donc la charge vous revient, mais ne vous angoissez pas, si vous ne souhaitez pas de cérémonie, une simple autorisation de crémation suffira.

Jiker attend que Fernandez soit sorti de la pièce pour reprendre la parole.

– Quant à toi, Stoffer, si j’ai un conseil à te donner…
– C’est de ne pas me mêler de cette affaire, c’est ça ?
– Ben oui ! Tu sais que j’en ai marre, il n’y a pas beaucoup d’affaires ici mais quand il y en a une c’est toujours des trucs pourris.
– Ma pauvre ! Me gaussais-je.
– Faudrait que je déstresses et pour ça il n’y a que deux moyens, la bouffe, mais je n’ai pas envie de grossir…

Je vois venir la suite grosse come une maison…

– Reste le sexe, alors ? Osais-je.
– Si ça t’intéresse, on peut se donner un quart d’heure.

Je ne vais pas refuser, d’une part parce que Jiker n’a jamais été vache ave moi et puis aussi parce que sa grande taille lui confère un charme auquel je ne suis pas indiffèrent.

– On fait ça comment ?
– Ben on va commencer par verrouiller la porte… ensuite on va se mettre à l’aise :

Allons-y puisqu’apparemment c’est elle qui va mener la barque ! Elle est à poil avant moi ! J’ai déjà eu l’occasion de la voir à poil (voir la Reine Russo) Un belle rousse sculpturale plus grande que moi et aux jambes interminables.

– C’est pas mal hein ? Me nargue-t-elle
– Superbe !
– Mais ne te fais pas d’illusions, je préfère les femmes, mais parfois il me prend l’envie de me faire une bonne bite, c’est toujours plus cool qu’un gode !

Et en parlant de bite, la voilà qui m’attrape la mienne et qui la branlotte négligemment.

– Tu veux une petite pipe ? Me demande-t-elle
– C’est comme tu veux, c’est toi la cheffe !

Stoffer0702Elle s’accroupit et me fourre ma bite dans sa bouche. Mes mains sont attirées par sa magnifique poitrine que je me fais grand plaisir à caresser.

Et pendant qu’elle me suce, la main droite de la capitaine Jiker s’en va faire une virée sur mes fesses, un doigt vient survoler mon anus, je n’avais pas capté qu’elle l’avait auparavant humidifié, toujours est-il qu’elle me le l’enfonce dans le trou de balle.

– T’aime ça, hein, pédé !
– Hi ! Hi !
– Et ça te fais rire en plus ?
– Je ne vais pas pleurer… mais qu’est-ce que tu fous ?
– Je rajoute un deuxième doigt, il y a la place.
– T’aurais pas un gode plutôt ?
– Si, mais chez moi, pas ici ! Mais puisqu’on parle de gadget, j’ai un truc dans mes tiroirs.

La voilà qui me laisse en plan… Elle farfouille dans ses affaire, rouspète…

– Où que j’ai foutu ce putain de truc ?

Elle fit par dénicher un Rimba (il s’agit d’un fouet court avec un manche de 35 cm et doté de multiples lanières beaucoup plus nombreuses que celles d’u martinet traditionnel)

– Joli, n’est-ce pas, regarde le manche comme il est beau, du bois exotique sculpté. C’est une pièce à conviction, un jour un mec complétement torché dans un bar s’amusait à fouetter tout ce qui était autour de lui, les bouteilles, les clients. Bref on a embraque le type et je lui ai confisqué son joujou…
– Belle histoire, mais je n’ai pas trop envie que tu me fouettes !
– T’as jamais essayé ?
– J’ai essayé des tas de trucs !
– Alors il est où le problème, t’as peur de me faire mal !
– Hein ? Parce que…

Ben oui je viens de comprendre, le Rimba c’est pas pour mes fesses, c’est pour les siennes ! Voilà qui me stupéfait !

– J’étais loin de me douter que tu aimais ça ?
– C’est mon jardin secret ! Tout le monde en a un ! Tu te fais bien enculer par des trans, toi !
– Je ne fais pas ça en secret !
– Oui évidemment… Si tu veux, je t’explique, mais juste en deux mots parce qu’on est pas là pour faire de la psychanalyse de bazar…
– Non, non tu n’as pas à te justifier…
– Je ne me justifie pas ! Mais je me rends compte que tu aimerais bien savoir… J’ai sur cette planète une position dominante, je représente l’autorité. Me mettre dans la position inverse, celle de dominée, c’est pour moi à la fois terriblement déstressant et super excitant ! Quand j’étais étudiante j’ai fait la boniche chez des grands bourgeois. De temps en temps ma patronne (une vraie garce qui ne me ménageait pas), me prêtait sa cravache pour que je la fouette tout en l’insultant. Son attitude m’a profondément marqué. Bref… Maintenant capitaine si tu veux bien me rougir les fesses, elles sont à toi !

J’ai donc pris le Rimba et j’ai commencé par asséner quelques coups sur son joli postérieur.

– C’est pas trop fort ?
– Mais non, sinon je te dirais, je ne suis pas en sucre !

Je continuais donc, m’étonnant que cette situation inattendue me fasse autant bander.

– On ne t’entends pas ! M’apostropha-t-elle.
– Qu’est que tu veux que je dise ?
– Insulte moi, traite-moi de tous les noms.
– Tiens pétasse, tiens fliquette de merde, créature dépravée.
– Oh oui vas-y continue… Aïe ! Ouille ! Si ça saigne tu arrêtes !

Non, ça ne saigne pas, mais son cul s’orne à présent de zébrures boursouflées d’une fort vilaine couleur.

– Encore deux ou trois coups et je veux que tu m’encules ! Reprend la policière.

Je me suis surpris à assener le dernier coup avec force, la faisant crier. Deviendrais-je sadique ?

Je lâche le Rimba et écarte les fesses de la fliquette. C’est un peu serré, je me penche donc pour lui lubrifier l’endroit avec ma langue. J’adore lécher les trous du culs (en fait j’aime beaucoup de choses). Puis je lui pénètre ma bite qui devient douloureuse à force de bander.

Elle geint, elle transpire, elle mouille, une vraie furie sous mes assauts !

Je deviens incapable de me contrôler et fou d’excitation, j’accélère la cadence la faisant miauler de plus en plus jusqu’à ce que je jouisse dans son fondement

Je décule et sort ma bite toute poisseuse. Elle se précipite pour me la nettoyer… Je vous dis : une vraie furie !

– Doucement, j’ai envie de pisser ! Lui indiquais-je.
– Alors pisse-moi dans la bouche !.

Pourquoi pas ?

Elle a tout avalé… non pas tout, elle en a gardé un peu en bouche pour me rouler un patin.

Quel tempérament !

Et Woldum, il est où ? Demandera le lecteur.

Il se rend d’abord au cosmodrome puis installé dans un box du hall, il compose un message à l’intention de ses supérieurs, sur Terre.

« J’ai eu vent d’une découverte d’un gros artéfact que l’on peut potentiellement attribuer aux précurseurs. Le capitaine responsable de la découverte n’a a priori aucune intention de la signaler à la flotte impériale et préfère la monnayer de façon privative. Un membre de son équipage a tenté de le doubler. J’ai dû l’éliminer pour sauvegarder cette découverte. Mais cette opération très risquée me met en danger. Je compte réunir un groupe pour neutraliser sur cette planète ceux qui pourraient s’y rendre. Je me joindrai à cette équipe et rejoindrais la Terre via une escale sur une planète portuaire. Je n’aurais pas d’ici là la possibilité de vous envoyer d’autres messages. Ci-joint, vidéo de l’artefact, les coordonnées de la planète et la latitude du lieu de la découverte. »

Sa présence dans ce lieu a pour but de se faire enregistré par les caméras de sécurité. Ceci étant fait il actionne son spacephone en le dissimulant sous ses cuisses et lance un logiciel provoquant une panne électrique totale.

Bien sûr un back-up va restaurer l’électricité dans les deux minutes, le temps pour Woldum de revêtir la grand manteau qu’il avait apporté sous son bras et de dissimuler son visage sous un masque en latex. Il devient ainsi théoriquement intraçable.

Prévenant, l’homme avait prévu de longue date une cachette de sécurité en cas de nécessité. En fait une cabane abandonnée à l’extérieur de la ville. Il y avait une litière et un petit réchaud rustique. Il s’y rendait régulièrement pour vérifier l’état de son stock de survie : des packs d’eau et des patates locales. Il s’y rend.

– Bon je ne vais pas rester là cent sept ans, on va finir par me trouver.

Depuis le temps qu’il est sur la planète, il s’est constitué une liste des capitaines locaux avec leur numéro de spacephone et annotée d’indications du genre « sans intérêt », « mauvaise réputation », « semble corruptible », « emploie des mercenaires »…

C’est dans ces deux dernières catégories que pioche Woldum, c’est un coup de poker, s’il échoue, il va être mal, très mal ! Mais il a confiance, sa carte de paiement professionnelle est quasi illimitée (il devra rendre compte au retour, mais ce n’est là qu’un détail)-

« En espérant qu’ils ne soient pas tous parties en vadrouille… »

– Allo, Capitaine Mony ?
– Oui !
– Je suis Woldum, ça vous parle ?
– Oui !
– Une affaire à 200 000 kochnicks, ça vous dirait ?
– Si on m’explique gentiment, pourquoi pas ?
– Retrouvons-nous, je suis en planque, je vais vous expliquez où…

La capitaine Claudius Mony est un petit bonhomme tout en nerf. Son visage poupin est barré d’une vilaine cicatrice à la joue droite.

– Voilà l’affaire ! Je suis tombé par hasard sur les coordonnées d’une planète lointaine, il y a là des vestiges des précurseurs, la flotte impériale est prévenue mais ne sera pas là de suite. En attendant un vaisseau a obtenu l’information et se dirige vers la planète. Le contrat que je vous propose est d’éliminer ces gens-là !
– C’est dans mes cordes.
– Ce n’est pas tout, j’ai été obligé de faire exploser un type….
– Ah, c’est vous ?
– Oui, c’est moi ! Donc il est fort probable que la police me recherche et la mafia également. Or ma cachette n’est pas si sûre que ça, je voudrais vous accompagner dans cette mission. Au retour vous me débarquerez sur une planète portuaire.
– Pas de soucis ! Le temps de rassembler mon équipage et je passe vous prendre disons dans trois jours.
– Vous ne pourriez pas me prendre en charge dès maintenant ?
– Dans ce cas la capitainerie va signaler votre entrée sur le cosmodrome, et la police va vous cueillir…
– Je pensais qu’on pouvait entrer clandestinement sur le tarmac.
– Je sais faire ça aussi ! Ce sera tout ?
– Ben oui !
– Je vais vous expliquer comment ça se passe… Eteignez votre spacephone et ne vous en servez plus quel que soit le motif.
– Il est intraçable.
– Eteignez quand même !

Woldum et Mony cheminèrent sur six kilomètres, jusqu’à l’extrémité du tarmac. La haute grille est électrifiée et infranchissable. Mais à un endroit la terre a été creusé sous le grillage, (un simple trou peu profond mais d’une largeur permettant à un homme de corpulence normale de passer en dessous en roulé-boulé), et a été intentionnellement mal rebouché avec des planches vermoulues qu’il suffit de déplacer.

– Vous passez là-dessous, vous rejoignez les blocs de béton, vous vous planquez derrière et vous m’attendez, je vais entrer par le circuit normal, j’en ai pour environ deux heures. Quand je serais sur le tarmac je vous ferais un signe avec une torche, mon vaisseau c’est le « Faucon d’or », il est garé sur l’emplacement B19. J’ouvrirais le sas du vaisseau et vous n’aurez plus qu’à nous attendre. Le circuit d’eau est opérationnel et il y a des vivres dans la cambuse. On vous rejoindra dans une dizaine de jours.
– 10 jours mais vous m’aviez dit…
– Faut pas rêver, je ne vais pas récupérer mes équipages d’un simple coup de sifflet… Et puis trois jours ou dix jours, qu’est-ce que ça change, hein ?

De mon côté j’ai réuni mon staff chez moi et lui fait part de mes intentions.

Il y a là Dyane Makaya ma seconde de vaisseau, une superbe blonde pulpeuse, Nerren Petrov mon: navigateur, Dilos: l’ingénieur de bord et Nadget une ravissante blackette faisant fonction de technicienne de bord.

– Ta curiosité te perdra ! Me dit Dyane
– Et on irait pour quoi y foutre ? Demande Nerren.
– Parce que les précurseurs, ça me passionne ! Pas vous ? Et puis je n’oblige personne ! Je vous propose de m’accompagner ! Ça vous dit ou pas ?

Est-ce la fièvre de l’espace ou la curiosité ? Peut-être les deux toujours est-il que Dyane accepta.

Mais Dilos et Nerren furent réticents, après tout c’est leur droit

– Moi je vais peut-être venir ! Intervient Nadget
– O.K., on se donne deux jours pour se préparer et on fixe le départ après-demain à midi !

J’ai donc deux postes à remplacer… et il faut que je fasse vite !.

C’est un peu plus tard qu’un doute m’assaillit, si toute cette affaire n’était qu’un montage qui aurait abusé le capitaine Fernandez ? Ou pire orchestré par Fernandez lui-même ? Mais dans ce cas pourquoi aurait-on tué Salvadori ?

Alors j’ai une idée…

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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