Samedi 22 juin 2024 6 22 /06 /Juin /2024 10:49

Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 5 – Le retour des brigands
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– Dieu me demande de vous suivre ! Nous informe le curé avec solennité.

Si c’est Dieu qui lui demande tout va bien !

– Je vais demander ma charrette. Nous précise-t-il.

Le prieur remplit sa mallette d’un tas d’objets insolites dont je ne saurais préciser l’utilité et nous avons rejoint la charrette dans la courette.

Nous n’avions pas prévu que l’homme se ferait accompagner d’un cocher patibulaire. Il nous faudra donc également mettre celui-ci en état de nuire avec le risque de laisser derrière nous un témoin encombrant.

Echanges de coups d’œil avec ma mère, on est au diapason, mais aussi au pied du mur.

J’indique à ces messieurs de pénétrer dans le sous-bois et les fais stopper au niveau d’une petite clairière.

– C’est là ! Précisais-je.
– Mais je ne vois rien ! Répond l’homme d’église

Le vent est derrière moi. Je me bouche le nez, j’ouvre mon poudrier, tandis que ma mère se retourne. Je souffle en direction du prieur, il se met à tousser puis s’écroule en bavant de l’écume.

– Mon père, Mon père ! Balbutie le cocher en s’approchant du corps du prieur.

Je me baisse à mon tour, interpelle le cocher et le fait bénéficier d’une nouvelle soufflette, il s’écroule comme le curé.

Sœur Sainte-Lucie nous avait demandé afin que le travail soit parfait de saupoudrer les lèvres de notre victime d’un petit peu de poudre supplémentaire, ce que nous faisons donc.

Les corps des deux hommes ne bougent plus, saisie d’un bon doute raisonnable je vérifie s’ils sont encore bien en vie.. Mais il me semble bien qu’ils n’y sont déjà plus.

– Maman, nous les avons tué !

Elle vérifie à son tour.

– Ciel ! Sauvons-nous vite !

Le temps de retrouver notre propre charrette et nous voici sur la route du retour.

A la première occasion nous avons troqué nos habits de nonnes pour des tenues bourgeoises, et pas question de loger chez l’habitant, ce fut la belle étoile, heureusement le temps fut clément, nous n’avons trouver à manger que quelques baies, quant à l’eau on en trouve toujours.

Et c’est un matin alors que la fraicheur de la rosée nous tirait doucement de notre somnolence que nous avons entendu des voix masculines… Et je reconnais celle de Philibert, ce grand moustachu qui nous a détroussé dans tous les sens du terme lorsqu’on nous avons quitté la demeure familiale.

– Mais on les connait, celles-ci !
– Ne nous faites pas de mal ! Supplie ma mère.
– Mais cela n’est pas dans nos intentions, Il en manque une, vous étiez bien trois la dernière fois, non ?
– Et qu’est-ce que ça peut vous faire ? Lui répondis-je..
– Oh, mais voilà qu’on se rebelle, ça m’excite, ça m’excite !
– Il vous en faut pas beaucoup…
– Bon que je ne vous demande pas d’où vous venez, je m’en fiche, mais que transportez-vous donc aujourd’hui ?
– Rien du tout…
– On dit ça, on dit ça…

Mais l’un des brigands fouillant dans la cariole, le confirma :

– Juste deux habits de bonnes sœurs !
– Ciel, voilà qui est fort étrange ! Auriez-vous détroussé deux nonnes de leurs habits ?
– Mais pas du tout, répondit ma mère. La supérieure du couvent de Sainte-Agathe nous a sollicité afin d’effectuer une démarche et a estimé qu’elle serait plus fructueuse si nous étions en habits de nonnes.
– Bon puisque nous avons rien à vous voler, nous allons vous culbuter un peu…
– Vous ne pouvez vraiment pas vous en empêcher ! Protestais-je.
– Moi si, mais pensez à mes hommes, mon autorité s’en ressentirait si nous ne nous vous fassions pas subir les derniers outrages. Il y a chez les voleurs de grands chemins des traditions à respecter.
– On ne peut pas négocier ?
– Avec quoi ? Ne perdons pas de temps venez, vous autres, nous allons pédiquer comme il le convient ces deux morues.
– Etes-vous obligés de nous insulter en plus de nous imposer vos virilités ? S’énerve ma mère.
– Obligé, non, mais ça participe à l’ambiance et puis vous n’en mourrez pas. Et si je vois traite de morue, c’est que vous êtes des morues.

– Compagnons, elles sont à vous !

Ben oui, là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir !

On nous fait se déshabiller, Robert et Pierre sortent chacun de leurs brais, des bites au garde-à-vous et provoquent ma pauvre mère.

– Allez la greluche, deux belles bites rien que pour toi, toute seule, suce-nous ça et mets-y du cœur à l’ouvrage..

Je vais donc avoir droit aux assauts de Philibert et de Geoffroy.

Ce dernier s’avance vers moi en tenant sa bite en main comme un trophée. Mais de façon tout à fait inattendue, il se fait rabrouer par son chef.

– Toi, va t’occuper de la mère !
– Mais ils sont déjà deux !
– Eh bien comme ça vous serez trois ! Allez ne reste pas dans mes pattes…

Qu’est-ce que cela signifie ?

Il s’approche de moi sans intention lubrique apparente, semble chercher ses mots et me déclare tout de go :

– J’aimerais être une feuille morte devant ta porte pour que tu m’écrases par ta beauté à chaque fois que tu sors de chez toi.

Où a-t-il été chercher cette connerie, à laquelle je préfère ne pas répondre.

– Le ciel est pourtant dégagé, pont d’orage à l’horizon, qu’on m’explique alors pourquoi j’ai reçu un coup de foudre ? Ajoute-il la main sur le cœur.

Il pète les plombs le type, c’est pas possible !

– Tu ne réponds pas ? Me demande-t-il. L’émotion sans doute ?

Tu parles !

– Faites de moi ce que vous avez envie de me faire mais si vous pouviez cesser de débiter vos âneries, ça m’arrangerait.
– Ah, ah vous refusez de succomber à mes charmes, tant mieux j’adore qu’on me résiste.
– Je ne résiste pas, mettez-moi votre bite dans la bouche et même dans le cul mais en silence.
– Tu vas voir si je vais faire ça en silence, fille de morue, dévergondée:
– Pour être très franche je préfère encore ce registre.
– Tourne toi, salope !

On a donc sauté la case « turlutte », il m’a craché sur ma rondelle et est entré dans mon fondement d’un seul coup d’un seul. Il m’a fait mal ce con !

Margot05– Eh, doucement, je suis une jeune fille fragile.
– Pardonnez mon tempérament de feu, mais comme dit le proverbe quand on aime, on encule bien !
– Drôle de proverbe, allez moins vite maintenant ce sera mieux pour tout le monde

Et contre toute attente, Philibert ralentit la cadence.

– C’est mieux, hein ?
– Oui, c’est mieux, aaaah !

C’est un miracle, cet abruti se met à me sodomiser correctement, à ce point que malgré ma volonté de ne pas lui offrir ce plaisir, je laisse aller ma jouissance.

En revanche pour les paroles, il a abandonné tout romantisme…

– T’aimes ça, salope, t’es bien une enculée comme ta mère !

Ma mère, parlons-en justement, après s’être fait enculer successivement par les trois brigands lui laissant le trou du cul béant, ceux-ci ne trouvent rien de mieux que de lui pisser dessus en la gratifiant de tous les noms d’oiseaux qu’ils connaissent (et apparemment ils en connaissent un paquet).

Philibert sort de mon cul, la bite gluante de sperme et maculé de matière. Je sens que je vais être bonne pour le nettoyage. Ça ne loupe pas…

– Grosse cochonne, tu m’as dégueulassé la queue, tu ne pouvais pas avoir le cul propre ?
– Je ne pouvais pas prévoir que j’allais me faire enculer par un bandit de grand chemin.
– Nettoie donc au lieu de nous raconter ta vie !
– Et si je refuse ?
– Je te foutrais une tarte et je demanderais à ta mère de le faire.
– Ton romantisme n’aura pas duré bien longtemps .

Il me regarde bizarrement ne sachant va quoi répondre

– Je vous aime, Margot, mais comme apparemment cet amour n’est pas partagé…

Voulant éviter à la mère une ultime corvée, je me sacrifiais en effectuant le nettoyage demandé. La chose en elle-même ne me dégoûte pas du tout, j’y trouve même un petit plaisir pervers, mais admettez que les circonstances présentes n’aident pas à rendre la chose joyeuse

Mais voici que Geoffroy chuchote je ne sais quoi à l’oreille de son chef…

– Ah ce coquin de Geoffroy aimerait que tu lèches ta mère ! C’est tellement excitant de voir une mère s’accoupler avec sa fille.
– Et si je refuse ?
– Le coin est plein de noisetiers, rien de tel pour faire des belles badine et te cingler ton cul de trainée.

Ma mère me fait alors un signe fataliste. Je m’approche donc pour lui faire minette.

– Non, lèche-là derrière, ce sera encore mieux ! Intervient Geoffroy.

Ma mère se retourne et m’offre son el œillet à lécher, il ne sent pas précisément la rose, mais ça ne saurait me gêner.

– Mets-y le doigt, putain ! S’écrie l’un des bandits.

Ils auraient pu le demander gentiment… mais je le fais quand même malgré l’embarras de la situation ma mère se tortille d’aise, à moins qu’elle fasse semblant, allez savoir…

– Bon ça suffit, maintenant, tout le monde a eu ce qu’il voulait, foutez-nous le camp maintenant… Et souviens to Margot que e t’aime !
– Ben pas moi !
– Ça viendra, ça viendra, il faut laisser du temps au temps.
– C’est cela on lui dira !

Les bandits nous ont donc laissé reprendre notre chemin. Et c’est fourbues et affamées que nous arrivâmes au couvent de Sainte Agathe…

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 22 juin 2024 6 22 /06 /Juin /2024 09:54

Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 4 – L’abbé Denis puis le curé Royer
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Sanguin et ventripotent, l’abbé Denis n’a rien d’engageant, en milieu de matinée il sonne à la grille du couvent et demande à voir Sœur Sainte Lucie de toute urgence.

– Ma mère, j’apporte de tristes nouvelles…
– Allons donc, et qu’elles sont-elles ?
– Une indiscrétion venue de l’évêché me fait craindre que je serais bientôt remplacé…
– Par qui ?
– On parle de l’abbé Royer.
– Connais pas .
– Il n’aura pas ma tolérance.
– J’ai des arguments qui le fera changer d’avis .
– Je crains que ce soit compliqué, l’abbé Royer déteste les femmes, c’est viscéral.
– Admettons, et où sera le problème ?
– En écoutant vos sœurs en confession il pourra en conclure qu’il se passe ici des choses peu en adéquation avec la vie monastique.
– Et donc ?
– A terme ce sera la dénonciation de vos fonctions et vous vous retrouverez cloîtrée on se sait où.
– Charmant ! Et que me conseillez-vous ?
– Prendre la poudre d’escampette tant qu’il est encore temps.
– Et j’ai combien de temps ?
– Il n’y a pas le feu au lac, ces procédures sont lourdes, mais mon remplacement peut intervenir d’ici un mois.
– Il vient d’où cet abbé, je n’en ai jamais entendu parler ?
– Il est prieur à Mornay-le Château sur la route de Nantes, il s’est tristement illustré lors de l’affaire des possédées de Ture. La sœur supérieure condamnée au bûcher, mais qui s’est ouvert les veines avant l’exécution de la sentence, quatorze sœurs déportées en Louisiane, les autres emprisonnées à vie.
– Brrr.
– Comme vous dites !
– Je vais réfléchir à tout ça, merci de m’avoir prévenue. Vous restez un peu ?
– Ce n’est pas l’envie qui m’en manque mais j’ai malheureusement quelques obligations.
– Tant pis ! Vous reverrais-je avant votre remplacement ?
– Je l’espère bien.

Et alors qu’il allait prendre congé, Sœur Sainte Lucie vint impertinemment poser sa main sur l’entrejambe du prieur.

– Mais que faites-vous là ? Ma fille. Demanda fort hypocritement l’homme d’église.
-Vous savez bien que je suis une grande pécheresse, et j’ai comme une envie soudaine de votre bite.
– Mais ma fille, Dieu nous regarde ! Fit mine de s’offusquer l’homme d’église.
– Eh bien justement ça va le distraire !

L’abbé n’y tenant plus retira prestement sa soutane, exhibant une bite joliment bandée au gland arrogant.

– Seigneur, bénissez cette bite qui va faire des vilaines choses à votre servante Sœur Sainte Lucie…
– Pourquoi des vilaines choses, des bonnes choses, plutôt !

La mère supérieure se baisse afin de se positionner au niveau de la bite de l’ecclésiastique, et après quelques mouvements de branle, la porte en bouche et commence une fellation en règle.

– Oh, que tu suces bien, ma fille !
– Hummpf, hummpf
– Stoppe donc là, sinon tu vas me faire jouir prématurément.

A regret Sœur Sainte Lucie lui lâche le morceau.

– Je suppose que c’est mon cul qui vous intéresse.
– Vous lisez donc dans mes pensées ! Répond-elle en retroussant sa chasuble.

Elle baisse ensuite sa large culotte de coton et attend l’assaut.

– Oh, quel beau cul ! S’enthousiasme l’abbé Denis.
– Vous me le dites à chaque fois !
– Que voulez-vous ? On ne se lasse pas de bonnes choses

L’abbé vient ensuite de sa langue butiner le petit orifice, puis se permet d’y introduire un doigt qu’il fait aller et venir en cadence.

– Hum c’est bon ce que vous me faites, mais je préférais votre bite.

L’abbé retire son doigt, un peu cacateux et le lèche avec gourmandise.

– Hum, votre merde est délicieuse aujourd’hui.
– Cochon !
– Et si nous appelions l’une vos créatures dévergondées, cela serait encore meilleur.
– Pourquoi pas, vous pensez à qui ?
– La grosse Perrine, peut-être ?
– Nous l’avons quelque peu malmenée, hier, on lui a flagellé ses grosses mamelles. Ce fut grand plaisir de la voir se tortiller dans tous les sens en criant et en pleurnichant comme une malade. Mais elle a aimé ça, cette bougresse.
– Hum, j’aurais volontiers assisté à ce genre de choses ..
– C’est quand vous voulez…
– Et qui l’a fouetté ?
– Margot… ah je ne vous ai pas raconté, nous avons recueilli provisoirement trois marquises ou comtesses, je ne sais plus, qui se sont retrouvées à la rue suite à l’emprisonnement du mari et à la confiscation de leurs biens.
– Mais ce couvent n’est pas un hospice !
– Je n’allais tout de même pas me passer de la compagnie de trois belles dévergondées, la mère et ses deux filles.
– Vous auriez dû me consulter…
– Allons l’abbé, votre accord me paraissait implicite.
– Le mien, certes, mais qu’en pensera mon successeur ?
– Chaque chose en son temps, vous voulez les voir ?
– Assurément.

Margot04Et c’est ainsi que nous nous sommes retrouvé toutes les trois devant l’abbé Denis dont les intentions libidineuses semblaient explicites, le bonhomme exhibant sa bite à la manière d’un étendard.

– Bonjour mes filles, comme vous pouvez le constater, je suis en rut et comme Sœur Sainte Lucie m’a fait l’éloge de vos disponibilités, j’ai pensé que nous pourrions faire connaissance de façon charnelle et rapproché.

Il est gonflé ce type !

– Vous ne manquez pas d’un certain toupet ! Lui fit remarquer Pauline.
– Je n’avais point l’intention d’être impertinent…
– Tu parles ! Et si nous refusons ?
– J’en serais fort marie, mais dans ce cas nous en resterons là, je ne vous forcerais point.
– Encore heureux, intervient ma mère mais puisque vous êtes gentilhomme et que cette bite nous nargue je vais peut-être y goûter.
– Maman t’es une salope ! Lui dit Pauline.

Et joignant le geste à la parole, ma maman embouche la bite du prieur.

Une situation bien excitante, et comme on m’a enseigné qu’il fallait toujours aider sa maman, je m’approche de la scène. Mais pas moyen de m’immiscer, la mère semblant vouloir conserver cette bite à elle toute seule. C’est pas gentil de ne pas vouloir partager !

Qu’à cela ne tienne, on peut toujours se débrouiller, je contourne l’ensoutané, lui pelote les fesses, les écarte et m’enhardi à lui lécher la rondelle. Ça ne sent pas précisément le muguet, mais ce petit goût particulier n’est pas pour me déplaire. (Ben oui je suis cochonne, vous en doutiez encore ?). Et tant que j’y suis-je lui fous un doigt dans le fion, il n’y a pas de raison !

Pendant ce temps-là, ma sœur Pauline entamait une séance de pelotage torride avec Sœur Sainte Lucie, il n’y a pas de mal à se faire du bien.

– Votre bouche est merveilleuse, je suppose que votre fondement est aussi accueillant ?
– Autrement dit vous voudriez m’enculer ?
– Cela me remplirait d’aise en effet.
– Alors allez-y mollo.
– Je suis un artiste, madame.
– On dit ça, on dit ça…

Ma mère se retourne, l’abbé lui crache sur la rondelle, ça n’a tien de romantique mais ça lubrifie bien l’endroit. Et hop la bite du curé se faufile dans le trou à crottes et entame des va-et-vient intempestifs. Maman pousse des cris d’allégresse, elle adore qu’on l’encule.

L’affaire ne dure pas longtemps, l’abbé étant excité comme un pou, il décule ressortant une bite imbibée de liqueur brunâtre mélangée à son sperme.

Il l’offre à sucer à ma mère laquelle a du mal à se remettre de ses émotions, c’est donc moi qui me dévoue pour ce petit nettoyage. Humm pas mauvais tout ça !

Le curé récupère ses vêtements, moi je n’ai pas joui, mais il s’en fiche, mais heureusement ma mère est là et elle a une bonne langue ! J’offre donc ma petite chatte à sa langue impudique.

Peu de temps après sœur Sainte Lucie nous rejoignit de nouveau dans la chapelle.

– Suivez-moi, nous avons à causer !

Et nous voici de retour dans la petite salle dans laquelle l’abbesse nous a accueilli à notre arrivée.

– Je vous propose un marché. Il est bien évident que vous n’allez pas rester parmi nous éternellement, il y a certes des avantages, mais surtout des contraintes, cela vous amusera sans doute quelques semaines mais ensuite les problèmes vont surgir.

Oui, bon … si elle en venait aux faits !

– Je connais du monde, des cousins, des amis de mon père, je peux donc vous recommander, au pire vous serez soubrettes, au mieux dames de compagnie Alors je sais ce que vous allez me répondre, que vous pouvez très bien trouver ce genre de place sans mon aide, mais justement ce n’est pas si simple, des maîtres de maison trop exigeants, irrévérencieux, méchants, méprisants il y en a à foison sans parler de ceux qui ne penserons qu’à vous faire subir quelques outrages que je vous laisse imaginer avant de vous jeter.
– Vous noircissez un peu le tableau, non ?
– Juste un peu, juste un peu, et puis il y a autre chose, quel maître prendrait à son service des personnes non seulement sans recommandation mais aussi sans expérience ?
– Evidement, vu comme ça…
– Donc dans mes lettres de recommandation, je me ferais fort de préciser votre situation et le fait que vous ne demandez qu’à apprendre. En échange de cet immense service, je vais vous en demander un.

Ah, enfin !

– Notre prieur est un homme très tolérant, les petites fantaisies, qui n’ont rien de monastique, que nous pratiquons ici l’amusent plus qu’autre chose. Le problème c’est qu’il va être remplacé. Et son remplaçant ne sera pas du même bois, ce monstre, je pèse mes mots, est responsable de la condamnation des sœurs du couvent de Ture, une condamnation à mort, des déportations aux Amériques et des peines de prison à vie. Vous comprendrez que je n’ai nulle envie de voir débarquer ce fou furieux dans mon couvent !
– Oui et qu’attendez-vous de nous ?
– Que vous m’en débarrassiez.
– Mais de quelle façon ?
– Il existe maintes manières de se débarrasser d’un homme, la plus efficace étant de l’envoyer dans l’autre monde…
– Désolée mais nous ne mangeons pas de ce pain-là ! Répondit ma mère, nous ne sommes point des criminelles
– J’entends bien, vous ne le tuerez donc pas, vous vous contenterez de le rendre idiot…
– Et par quel prodige ?
– J’ai ici une poudre qui fait des miracles, elle est contenue dans ce petit poudrier que je vous confierai, il faudra l’ouvrir vous boucher le nez et la bouche puis lui souffler la poudre en pleine face, cela l’étourdira et quand il reprendra ses esprits, il n’aura plus sa raison.

Sœur Sainte Lucie nous expliqua ensuite comment rencontrer cet abbé…

– Vous n’allez pas y aller toutes les trois, ça ferait bizarre. Je garde Pauline avec moi. D’accord ?

Puisque c’est elle qui décide…

On a pas voulu donner notre accord de suite, mais après concertation on s’est décidé à accepter cet étrange marché.

La route est longue jusqu’à Mornay-le Château, nous étions ma mère et moi en tenue de cornette et accomplissions le voyage à dos de mule.

A la tombée du crépuscule nous sonnions chez l’habitant, en principe on ne refuse pas l’hospitalité à des nonnes en chemin. Et cela nous permettait de nous nourrir convenablement. Bien sûr, Lucie nous avait fait répéter toutes les simagrées qu’il nous faudrait accomplir afin que notre rôle reste crédible.

C’est quatre jours plus tard que nous arrivâmes aux abords du prieuré de Mornay-le Château. Nous avons caché notre pauvre attelage dans les sous-bois environnants… et allons-y.

– Nous désirons rencontrer l’abbé Royer, c’est pour une révélation divine de la plus haute importance..

Pour l’instant tout se déroulait facilement, l’abbé nous reçut dans une petite pièce remplie de bondieuseries.

– Je vous écoute, mes sœurs
– La vierge Marie nous est apparue et nous a demandé de rencontrer un saint homme sur terre…
– Que me chantez-vous là ? N’auriez-vous point fait un rêve éveillé ?
– Nous avons été deux à la voir, mon père…
– Vous vous êtes influencées l’une l’autre. Où l’auriez-vous vu ?
– A Saint Michel du vallon, nous nous en sommes référées à notre mère supérieure qui a tout de suite pensé à vous.
– Et que voudriez-vous que je fisse ?
– A chacune de nos haltes la Vierge était là, sa dernière apparition fut dans le bois sur la route de Nantes. Elle vous attend.
– Elle m’attend, moi ?
– Assurément mon père !

Manifestement le curé ne sait qu’elle attitude adopter. Mystique dans l’âme il n’a jamais été témoin direct d’une quelconque apparition divine ou d’un message de l’au-delà. Bien sûr il est arrivé qu’on lui rapporte des visions étranges, mais celles-ci n’avaient su le convaincre.

– Avant tout chose, nous allons prier, finit-il par dire.

Ben oui, ils sont comme ça, les curés, quand ils ne savent plus trop quoi faire, ils prient.

On a donc prié ensemble, moi j’ai fait semblant, ma mère aussi

Ça dure, ça dure, s’il refuse de nous suivre, on va être obligé d’agir sur place et ça ne sera pas évident.

Il se relève enfin…

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 22 juin 2024 6 22 /06 /Juin /2024 09:52

Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 3 – Orgie au couvent

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Nous sonnâmes à la grille du couvent, une grosse bonne sœur, ne respirant pas vraiment la gentillesse, se présenta devant la grille sans en actionner l’ouverture .

– Que pouvons-nous pour votre service ?
– Nous héberger. Répondit ma mère.
– Mais vous vous égarez, c’est un couvent ici, et non pas un hospice.
– Nous sommes recommandé par maître Thomas, le palefrenier…
– Jamais entendu parler, passez votre chemin.
– Ecoutez, repris ma mère, nous sommes épuisées, nous avons été détroussées et violées par des bandits de grands chemins, nous avons faim et soif, laissez-nous au moins entrer le temps que nous envisagions la suite.
– Désolée, ce ne sont point nos règles.
– Et la charité chrétienne, qu’est-ce que tu en fait, espèce d’épouvantail ? S’énerve Pauline
– Oh !
– C’est vous la mère supérieure ? Demandais-je.
– Non, mais…
– Allez donc la chercher.

La cornette poussa un long soupir avant de disparaitre.

Nous nous demandions que faire mais cinq minutes plus tard une autre nonne fit son apparition. Entre elle et la précédente c’est le jour et la nuit. Celle-ci est beaucoup plus jeune, la trentaine probablement, un joli visage ovale, de beaux yeux bleus, un nez mutin.

Elle nous dévisage bizarrement avant d’ouvrir la grille.

– Entrez, nous allons causer cinq minutes.

Elle nous conduit dans une petite salle blanchie à la chaux et décorée uniquement d’un simple crucifix.

– Je suis Sœur Sainte Lucie, les vicissitudes du destin ont fait que j’ai été nommée abbesse de ce lieu. Maintenant racontez-moi vos malheurs.

On lui a donc raconté.

– Eh bien, en voilà une histoire. Je vais demander à ce qu’on vous apporte à boire et à manger.

Elle disparait quelques instants et revient accompagnée d’une autre bonne sœur qui nous apporte de l’eau, du pain et un plat de patates cuites à l’eau.

– Bien, maintenant qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire de vous ? Nous ne sommes pas un hospice, toutes les sœurs qui sont ici ont prononcé leurs vœux, nous avons deux novices qui ne tarderont pas à le faire… je suppose que vous n’avez aucunement l’intention de prendre le voile ?
– Pas vraiment non. Répondit ma mère.
– Qu’allez-vous faire ?
– Peut-être nous diriger vers Paris et trouver des maisons bourgeoises qui voudront bien nous employer.
– Oui bien sûr. Mais rien ne presse. Je n’ai pas sollicité la fonction que j’occupe mais je n’ai pas eu vraiment le choix, je m’emmerde pas mal au milieu de toutes ces bigotes, vous ne pouvez pas savoir comme il est insupportable de supporter toutes ces simagrées. Alors j’essaie de m’amuser mais cela a ses limites et devient répétitif…
– Vous amusez ? M’étonnais-je.
– Ben oui, les cornettes, parfois je les punis. C’est très amusant les punitions !
– Des punitions comment ?
– Ça dépend, mais rassurez-vous, je reste dans les limites du raisonnable, je m’en voudrais de blesser qui que ce soit !
– Ah ?
– Donc je peux m’arranger avec le prieur afin que vous restiez quelque temps parmi nous, ce ne sera qu’une formalité, l’abbé Denis ne sait rien me refuser. Tout cela pour vous dire que si je vous garde, la contrepartie sera que vous acceptiez de m’accompagner dans mes petits jeux.

Echanges de regards avec ma mère et Pauline, on se demande toutes où nous sommes tombées.

– On va vous laisser, dit la mère, merci pour les patates.
– C’est vous qui voyez, mais pourquoi ne pas assister à l’une de mes punitions, ça vous donnera une idée ?
– Oui pourquoi pas ? Répond Pauline.

Elle est gonflée, elle aurait pu nous demander notre avis !

– Nous ferons ça demain, en attendant je vais vous faire visiter les lieux, ils ne sont pas si austères que ça.

Une chapelle avec les bondieuseries obligées, un réfectoire avec bancs en bois… rien de bien passionnant. Il y avait aussi un petit verger.

– Nous faisons pousser quelques légumes suivant les saisons, et nous avons deux chèvres qui nous donnent du bon lait pour faire des fromages, nous avons même une spécialité assez cotée, le Pissecoteau, nous élevons quelques poules qui nous donnent des œufs, sinon nous nous approvisionnons au marché de Flochville.
– Mais vous êtes envahies par les orties ! Fit remarquer Pauline.
– On les laisse tranquille, c’est parfois très utile pour les punitions.

Oups.

J’ai quelques cellules vides, vous allez pouvoir y aller vous reposer, ce soir vous partagerez notre repas collectif. Ensuite il y a les prières, j’ignore si ça vous amusera, mais vous pourrez toujours faire semblant, c’est ce que je n’arrête pas de faire.
– Vous ne croyez pas en Dieu ? Osa ma mère.
– Mais si bien sûr. Répondit Sœur Sainte Lucie sans grande conviction. Ah, je préférerais que vous délaissiez vos habits tant que vous serez parmi nous, nous allons vous prêter des tenues de novices.

N’importe quoi ! On a l’air de sac de patates dans ces machins informes.

– Ce soir pendant le souper vous vous installerez près de moi, personne ne vous posera de questions.

Après une brève prière collective, on nous a servi une soupe insipide dont je n’ai même pas pu discerner la composition. Mais le pain était bon, on se console comme on peut. Ensuite il a fallu se farcir une interminable séance de prière dans la chapelle.

Mon esprit s’évade, je le demande ce que nous faisons ici ? Je pense proposer à ma mère et à ma sœur de déguerpir demain au chant du coq. Ah oui, la cornette en chef veut absolument nous montrer de quelle façon elle punit ses ouailles, qu’est-ce que j’en ai à faire de cette cinglée ?

J’ai très mal dormi parvenant mal à trouver le sommeil en me remémorant les péripéties de cette sombre journée. La médiocre qualité de la literie n’ayant pas été d’un grand secours.

Je me suis levée en baillant afin de faire mes besoins dans un pot de chambre hideux, puis j’ai voulu sortir…

– Mais ce n’est pas vrai que ces filles m’ont enfermé !

Je cogne contre la porte, je hurle, je tambourine. Tant et si bien qu’au bout de quelques minutes j’entends des bruits de pas dans le couloir.

Ouf !

– Qu’est-ce qui se passe ? Vous êtes souffrante ? Me demande une voix chevrotante à travers la porte
– Non, mais on m’a enfermé, je veux sortir.
– Et c’est pour cela que vous vous livrez à un tel raffut, c’est un lieu sacré ici, vous devriez avoir honte !
– Bon, vous m’ouvrez ou non ?
– Ce n’est un pas encore l’heure des matines, calmez-vous.
– Vous n’avez pas le droit de m’enfermer…

Mais déjà les pas s’éloignent .

J’ai rongé mon frein un bon moment puis de nouveau des pas, des cliquetis, on débloque ma serrure, on entrouvre ma porte.

– Matines ! Hurle la cornette.

Je t’en ficherai, moi des matines ! Je sors dans le couloir où toute une envolé de nonnes sortant de leurs cellules se précipitent vers je ne sais où. Je suis le mouvement cherchant ma mère et ma sœur.

On arrive dans la chapelle. J’ignorais ce qu’étaient les matines, mais nous voilà parties pour une interminable séance de prières et de récitations pieuses. Je m’assois, ma mère et Pauline sont déjà installées devant, je ne peux donc pas leur parler.

Je prends mon mal en patience et lorsque ces pitreries prirent fin, toutes ces vierges folles se dirigèrent vers le réfectoire d’un pas lent

Je m’approche enfin de ma mère.

– On fait quoi ? On se barre ? Chuchotais-je.
– Attendons un peu. Répondit-elle, cette bonne sœur en chef pourra peut-être nous aider.
– Je n’y crois pas trop, si vous voulez rester ce sera sans moi.
– On peut peut-être attendre un peu, on n’est pas à une journée près.
– Alors juste une journée.

On nous a servi une collation à la limite du comestible. J’en ai marre, mais marre.

Ensuite il m’a semblé que tout le monde allait vaquer à ses occupations. On essaie toutes les trois d’approcher la sœur Sainte-Lucie mais elle est constamment occupée.

– Si vous savez pas comment vous occupez, ne restez pas là à ne rien faire, allez donc prier dans la chapelle. Nous suggère une cornette maigrichonne.
– Nous attendons que Sœur Sainte Lucie soit disponible afin de nous entretenir avec elle. Répondit ma mère.
– Notre abbesse n’est pas à votre disposition. Répondit sœur Gertrude de toute sa hauteur qui de n’était pourtant et pas bien haute
– Et ça vous arrive d’être aimable ? Lui lança Pauline.

On est resté sur place, puis comme la situation s’éternisait on est allé patienter dans la chapelle.

Sœur Sainte Lucie est venu nous chercher quelque temps après.

– Venez, je vais vous montrer ce qu’est la discipline dans ce couvent. Je suis certaine que vous allez apprécier le spectacle.

Nous nous dirigeons vers la « Chapelle des Repentances », une assez large pièce éclairée par un vitrail naïf.

– Asseyez-vous et attendez-moi.

Quelques minutes plus tard Sœur Sainte-Lucie revenait accompagnée de trois nonnes, deux d’entre elles encadrant une troisième.

– Ça va, lâchez-là ! Sœur Colette, est-ce que tes mauvaises pensées ont disparu depuis ta dernière punition ?
– Pas complétement, ma mère !
– Tu vas donc être punie !
– Oui, ma mère !
– Dis-moi ce que tu es ?
– Je suis une catin, ma mère.
– Décris moi tes dernières turpitudes
– Hier je me suis introduit une statuette de la vierge dans le con et je l’ai fait aller et venir jusqu’à ce que mon plaisir éclate.
– Et tu n’as point honte ?
– Oh, si !
– Déshabillez-là, puis attachez-la, on va commencer.

Elle est très jolie la sœur Colette dans sa nudité. Elle se laisse attacher les poignets au bout d’une chaine descendant du plafond, sans récriminer.

– Sœur Fernande, prend la badine et colore les fesses de cette pécheresse.

Et c’est qu’elle y va de bon cœur, la sœur Fernande, manifestement elle prend un pied d’enfer à martyriser le popotin de sa consœur. La pauvre Colette crie et se tortille en tous sens.

Au bout d’une cinquantaine de coups, Sœur Sainte-Lucie fait stopper la flagellation.

– Dite voir, Sœur Fernande, j’ai comme l’impression que vous avez pris grand plaisir à corriger cette fille perdue ?
– Non, ma mère, j’ai simplement voulu bien faire.
– Ben voyons, viens donc ici et relève ta robe que je vérifie ça !

La mère supérieure accède à la culotte qu’elle descend, elle plonge sa main dans l’épaisse toison de son pubis, lui introduit un doigt dans la chatte… qui ressort tout humide.

– Dis donc, morue, tu m’expliques ?
– Je ne l’ai pas fait exprès…
– Déshabille-toi ! Margot rejoins-nous tu vas m’aider à attacher cette ribaude, et ensuite tu vas la fouetter… et comme tu n’as pas prononcé de vœux tu as même le droit de mouiller.

Je n’ai rien contre les petits jeux où l’on se fait de petites misères mais en la matière je serais plus soumise que dominatrice. Mais ce n’est pas pour cela que je vais refuser de faire ce qu’on me demande.

Fernande est une femme d’une cinquantaine d’années, assez corpulente et visage intéressant. J’ai une envie folle de lui pincer ses grosses mamelles, mais j’ignore si je peux me permettre cette privauté…

Je prends donc la badine et cingle comme il faut le joufflu de sœur Fernande.

Ma mère n’est pas insensible à ce spectacle et sa main tripote gentiment son entrejambe. Pauline assise à côté d’elle vient lui porter main forte (c’est le cas de le dire). Spectacle insolite, où la fille caresse le con de sa mère laquelle lui rend la politesse.

– Mais regardez-moi ces deux salopes ! Fait mine de s’offusquer Sœur Sainte-Lucie. Déshabillez-vous donc vous serez plus à l’aise.

Elles obéissent un peu timidement, se demandant à quelle sauce elles vont être baisées…

Sœur Sainte-Lucie m’ordonne de détacher les deux suppliciées, puis demande à Pauline et à ma mère de se positionner de telle façon que l’on puisse leur lécher le cul.

Et moi qu’est-ce que je deviens ?

– Est-ce vraiment une punition de lécher un joli cul ? Demandais-je à la supérieure.
– Pour certaines oui, pour certaines non… mais qu’importe ça me plait de leur faire faire, et ça me plait de les regarder faire.
– Moi j’aime bien le faire ! Répondis-je.
– Tu voudrais me lécher la rondelle ?
– Oui.
– Alors vas-y !

Sœur Sainte Lucie soulève sa chasuble sous laquelle elle ne porte aucun linge et me tend son joli popotin en écartant les globes afin de me dévoiler son petit antre brun.

J’ai connu des trous du cul plus propres, mais n’allez pas croire que cela me répugne. Bien au contraire, ces petites taches marrons m’excitent terriblement et je les lèche avec gourmandise. Avant de tenter de faire pénétrer ma langue dans l’étroit conduit.

Mais au bout d’un moment Sœur Sainte Lucie me fait stopper mes léchouilles. Et s’adresse à Sœur Perrine (il s’agit vous l’aurez sans doute compris de la seconde « accompagnatrice ») une nonne bien en chair comme on dit

– Dis donc, toi qu’as-tu à rester plantée là, à ne rien faire, ? Nos jeux ne t’excitent plus ?
– Oh, si, ma mère !
– Déshabille-toi.

Elle a de sacrées rondeurs la sœur Perrine et des mamelles de concours agricole. La supérieure m’ordonne de lui donner des coups de badines. Du coup, la nonne se retourne et me présente son énorme joufflu.

– Non, non ! Personne ne t’a demandé de te tourner ! Margot, cingle-lui les nichons.

Je le fais volontiers, prenant un plaisir sadique à martyriser les seins de la grosse nonne.

– Aïe, ça fait trop mal !

J’hésite à poursuivre.

– Continue, elle aime ça, et tape plus fort.

Mon excitation est à son comble, je tape comme une damnée, y prenant un plaisir trouble à ce point que la Mère supérieure est obligée de me dire de stopper.

L’orgie bat son plein, Sœur Sainte Lucie a redistribuée les rôles. Ma mère est occupée à se gamahucher avec la sœur Pauline, les sœurs Colette et Fernande se pelotent à qui mieux mieux, Perrine se masturbe à l’aide d’un crucifix en bois… imaginez l’ambiance !

Et moi ?

Sœur Sainte Lucie m’ordonne de me coucher sur le sol.

– Ouvre la bouche, j’ai une grosse envie de pipi !

Même pas le temps de réaliser, sa pisse me coule dans le gosier, évidemment je ne peux tout avaler et une flaque d’urine se forme à côté de mon visage.

– Pas grave, me dit-elle, puis s’adressant à ma mère et à la sœur : vous deux nettoyez moi ces saletés.

Elles regardent autour d’elles cherchant de quoi éponger…

– Avec la langue, espèces d’idiotes.

Et les voilà toutes les deux en train de faire le travail, le croupion bien relevé,

– Regarde-moi ces culs de putains, Margot, reprend ta badine et fouette-moi tout ça.

Alors je fouette ma mère, je fouette la sœur et je mouille comme une éponge, j’ai la chatte en feu. Et bientôt d’insolentes zébrures viennent leur décorer les fesses.

– Assez, viens me faire jouir ! Me dit sœur Sainte Lucie en se couchant sur le sol, cuisses écartées, chatte offerte et dégoulinante.

Je me précipite langue en avant afin de me régaler de ces chairs imbibées du jus du plaisir et d’un arrière-goût d’urine (car évidemment la nonne ne s’est pas essuyé après sa douce miction.)

La nonne ne tarde pas à extérioriser son plaisir, d’abord des râles de plus en plus bruyants, puis je sens son corps se raidir…

Il est temps de porter l’estocade, ma langue s’entoure autour de son petit berlingot gonflé de désir, sœur sainte Lucie jouit en hurlant provoquant un écho insolite dans les murs de la chapelle.

Margot03La mère supérieure se relève, chancelante.

– La partie est terminée, vous pouvez regagner vos cellules ou vaquer à vos occupations.

Et sans autre discours, elle suit la chapelle bientôt suivie par les trois autres cornettes nous laissant seules, ma mère, la sœur et moi.

– En voilà un bien singulier couvent ! Commente ma génitrice
– Choquée ?
– Non, Juste surprise… j’ai un peu mal aux fesses, qu’elle idée de frapper si fort !
– Pardon maman, ce devait être l’excitation, mais ceci dit je n’ai même pas joui.
– Tu voudrais que je te lèche ? me propose ma mère.
– Tu voudrais bien ?
– Non tu le mérites pas, va te palucher dans un coin.
– Méchante maman…
– Mais non, allez viens on va te faire ça à deux avec Pauline.

Se faire lécher la chatte par sa mère et sa sœur après une bonne séance orgiaque, c’est génial, non ?

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 22 juin 2024 6 22 /06 /Juin /2024 09:47

Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 2 – Les brigands lubriques
Stamp Mature Sodo

Evidemment les bandits nous dépouillèrent de nos bagues, bracelets et colliers, faisant pleurer de rage ma pauvre maman.

– Vous avez remarqué comment mes compagnons vous regardent ? Nous nargua le moustachu.
– Oui bon, on a compris… répondit ma mère.
– Ces gens ont des besoins, il faut les comprendre.
– Et nous sommes là pour assouvir leurs besoins ?
– La destinée vous a en effet placée là ! Qu’elle en soit remerciée ! Alors soit vous vous laissez faire gentiment soit vous ne vous laissez pas faire et dans ce cas nous passerions outre votre volonté. C’est vous qui voyez…
– Je peux vous demandez une faveur ? Intervient Pauline à la surprise générale.
– Et vous vous croyez en position de négocier ?
– Je peux essayer ?
– Exprimez-vous, on va voir.
– Je peux vous sucer, vous pouvez me prendre par le petit trou mais laissez le reste tranquille, je n’ai nulle envie d’avoir un enfant de brigand

Voilà qui fait rire la vilaine bande à gorge déployée

– Tu entends Roger, cette salope veut qu’on l’encule !

Et encore une fois ça les fait rigoler, il n’y a vraiment pas de quoi !

– Eh bien, voici une proposition originale ! Elles veulent être enculées, alors enculons ces salopes !

L’un des bandits s’approche de moi :

– Toi tu as vraiment une frimousse à faire des pipes, tu vas me sucer, mais attention ne mords pas sinon je t’embroche comme un poulet.

Je dois bien reconnaitre que l’individu à une jolie bite, bien raide, avec le gland décalotté et brillant. En revanche il sent un peu fort.

Je ferme les yeux, m’imaginant que j’ai affaire à un brave soldat revenant de la guerre et m’efforce de sucer le mieux possible.

Je me dis que si j’arrivais à le faire jouir, cela m’épargnerait une pénétration malaisante. Mais je dois être tombé sur un « peine à jouir », ça ne vient pas… et pourtant je ne ménage pas mes efforts.

Je finis par ouvrir les yeux et je peux voir ma mère se faire culbuter par le chef de bande tandis qu’un autre encule Pauline à la façon d’un bourrin.

margot02

Le quatrième brigand nous regarde en se paluchant la bite et en tenant en respect Thomas qui se demande à quelle sauce il va être mangé.

Mon brigand finit par jouir dans ma bouche, j’en avale un peu, laisse le reste dégouliner sur mon menton.

Les deux autres semblent également avoir terminé. Ils se regroupent autour de Thomas, blanc comme un linge.

– Ben alors qu’est-ce que tu attends pour l’enculer ? Lui demande le chef
– C’est que j’aurais préféré l’une de ces dames…
– Tu ne vas pas faire le difficile, un cul c’est un cul !
– Oui mais celui-ci n’est point féminin !
– Ce n’est pas pour cela qu’il ne serait point accueillant.
– Non, non, mon cul n’est pas accueillant du tout ! Croit devoir ajouter Thomas à qui on n’avait rien demandé.
– Toi, on ne te demande pas ton avis.

Et pendant ces tergiversations, nous nous sommes regroupées, ma mère et ma sœur et moi, en s’octroyant d’innocentes caresses en guise de consolation.

– Non mais regardez-moi ces trois gouines ! Dit alors le chef. Ne vous gênez pas pour nous, si vous voulez vous caressez, allez-y carrément. Toi la brune, qu’est-ce que tu attends pour lécher ta mère. Vicieuse comme elle est, elle doit adorer ça.

Echange de regards avec ma mère qui sans le dire semble me faire comprendre que si ça pouvait le calmer…

Et me revoici entre les douces cuisses de ma génitrice. J’adore lécher ma mère et ne me demandez pas pourquoi, c’est comme ça, c’est tout !

Pendant ce temps, l’un des brigands s’en est allé couper une fine branche de noisetier et la tend à Pauline.

– Toi, tu vas cingler les fesses de ce pourceau, jusqu’à ce qu’elles deviennent rouge, cela lui apprendra à rouspéter quand on veut l’enculer.

Vous pensez bien que Pauline ne se le fait pas dire une seconde fois. Tandis que deux marauds empêchent Thomas de gesticuler, ma sœur s’en donne à cœur joie en fouettant le popotin du palefrenier. Il crie, il hurle, il vitupère, mais Pauline continue tant qu’on ne lui dit pas d’arrêter.

– Bon, il en eu assez, maintenant on va lui ramoner le trou du cul.

Le brigand qui n’avait pas joui lui pénètre le fion faisant râler l’homme sous les encouragements de ses complices..

– Vas-y défonce lui la rondelle à ce pourceau. Faire croire à des gentes dames qu’on les emmène au couvent alors que le couvent est de l’autre côté, tu devrais avoir honte !
– Mais puisque je vous dis que je me suis trompé.

Le brigand a joui dans le fondement de Thomas, ce dernier croyant son supplice s’écroule de honte dans l’herbe.

– Bien, dit le moustachu, être brigand n’empêche en rien d’être gentilhomme, nous n’allons pas vous laisser ici, vous risqueriez d’attraper une mauvaise fièvre, vous vouliez joindre le couvent de Sainte Agathe, rhabillez-vous nous allons vous y mener..

Nous récupérons nos vêtements laissés entassés à même le sol, Thomas s’approche également.

– Oh, toi le drôle, je ne t’ai pas, semble-t-il autorisé à te rhabiller, c’est à ces dames et uniquement à ces dames que je m’adressais.
– Mais…
– Mais quoi ? Ne te plains pas, nous aurions pu t’embrocher comme un vulgaire poulet.

Et tandis que nous prenions place dans la carriole conduite maintenant par le moustachu, Thomas fou de rage se confectionnait une sorte de pagne à l’aide de branchages et de fougères afin de dissimuler sa nudité.

– Je me vengerai, je me vengerai ! grommelait-il avant d’entamer une longue route à pied jusque chez lui…

Et justement parlons-en de ses pieds, puisqu’ils commençaient à le faire souffrir.

– Ils auraient pu au moins me laisser mes chaussures !

A l’aide de feuilles agglomérées dans la boue il put se constituer quelque chose qui ressemblait d’assez loin à des souliers mais qui au moins lui protégerait sommairement les pieds

– Je me vengerai, je me vengerai… répétait-il en boucle.

C’est que pour l’homme la situation était désastreuse. Certes l’humiliation de cette attaque surprise et le sort qu’on lui avait réservé le rendait en rage. Mais il n’y avait pas que ça…

Il avait promis à madame Galoubet la livraison de deux jeunes filles et de leur mère. Et madame Galoubet payait bien, rubis sur l’ongle.

Ce manque à gagner mettait en péril sa situation financière, son commerce de chevaux battait de l’aile depuis qu’un conçurent avait eu le toupet de vendre moins cher et plus performant.

L’unique solution qui lui venait à l’esprit était de récupérer les trois femmes, mais comment procéder ?

Il tenta d’échafauder mille plans, après tout cela agrémentait sa longue marche, mais ne trouvait rien de très pertinent.

– La nuit porte conseil, demain j’aviserai

Quand nous arrivâmes à environ une centaine de toises du couvent, le moustachu nous intima l’ordre de descendre.

– Voilà, c’est là-bas, bonne chance, peut-être nous croiserons nous de nouveau un jour.
– Pour nous prendre quoi ?
– Allez savoir, le destin est tellement facétieux. Je m’appelle Philibert, ce n’est pas mon vrai nom mais je m’en voudrais de n’être qu’anonyme dans vos souvenirs !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 22 juin 2024 6 22 /06 /Juin /2024 09:44

Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck.
1 – Thomas le palefrenier
stamp pipe

Je me prénomme Margot et serais la narratrice de ce récit libertin qui je l’espère vous mettra les sens en émoi.

Mais déjà, plantons le décor.

Nous sommes en l’an de grâce 1708, sous la régence de Duc d’Orléans.

Rendons-nous pour l’instant à Gouvion le Château quelque part en Ille de France, le baron Philippe Savourey de la Treille y réside (ou plutôt y résidait, mais n’anticipons pas trop) avec son épouse Catherine, ses trois enfants et sa domesticité.

Catherine est une très jolie femme, brune et souriante elle porte fièrement ses 44 printemps, il y a longtemps qu’elle ne partage plus la couche de son époux et elle se console avec ses amants et ses amantes et s’amuse même parfois avec sa progéniture.

Parlons-en justement, passons rapidement sur François le fils ainé qui n’interviendra pas dans ce récit. Mais parlons de ces demoiselles.

Moi je suis Margot, 24 ans, brune aux yeux verts comme ma mère, amoureuse d’un roturier, le paternel a tout fait pour rendre ce mariage impossible et depuis je me console comme je peux, le jardinier, ma mère, ma sœur, mes godemichets, je ne suis pas bien compliquée.

Pauline a 22 ans, elle est aussi délurée que moi, elle est blonde ce qui pourrait laisser supposer que le père n’est pas Philippe, mais ce sont des choses qui ne vous regardent pas.

Mon père, Philippe est un joueur invétéré, il a eu en son temps de la chance au jeu avant que le vent tourne, il a donc fait attention jusqu’au jour où perdant une grosse somme, il s’est mis à miser de plus en plus gros… Bref au moment où commence le récit, notre baron est endetté jusqu’au trognon.

Les débiteurs lassés d’attendre le remboursement de leur dette finirent par porter plainte et Philippe fut sommé de rembourser dans un délai d’un mois

Mais comment faire ? C’est bien connu, les problèmes d’argent éloignent irrémédiablement amis et famille, donc il ne rembourse pas. On lui octroya généreusement une semaine supplémentaire de délai. Au cours de laquelle il put vendre quelques bricoles mais on restait loin du compte, très loin même.

La décision du tribunal fut inéluctable, tous les biens mobiliers et immobiliers du Baron seraient vendus aux enchères.

Les choses allèrent très vite, les meubles furent emportés, les domestiques furent congédiés, le fils trouva refuge dans la marine royale, quant à Philippe, on le conduisit sans ménagement en prison, à cette époque on ne rigolait pas avec les débiteurs.

Ma mère Catherine, ma sœur et moi-même se trouvèrent donc désemparées, et comme nous l’avons dit en pareille situation les amis et la famille sont aux abonnés absents, sauf que parfois l’assistance vient de là où on ne l’attend guère

Thomas n’est pas précisément un ami de la famille, c’est un palefrenier qui a à plusieurs reprises vendu des chevaux à mon père. Et le voilà qui se pointe et tient discours à ma mère :

– J’ai appris le grand malheur qui vous frappe, j’en suis profondément navré d’autant que je tenais Monsieur le baron en grande sympathie…
– Merci de cette sollicitude mais nous ignorons ce que nous allons devenir. Certes les filles pourraient trouver des emplois de dames de compagnies dans de grandes maisons, mais moi, à mon âge…
– Puis-je vous suggérer une solution ?
– Suggérez mon ami, suggérez.
– Pourquoi ne pas vous faire héberger chez les sœurs de Sainte Agathe ?
– Il n’entre pas dans nos intentions de prendre le voile.
– Bien sûr que non, mais elles pourraient se contenter de vous héberger le temps que je trouve une solution plus adaptée
– Ne me faites pas croire que vous feriez ça sans contrepartie.
– Hélas, le monde est ce qu’il est et tout peine mérite salaire…
– Arrêtez, vous n’ignorez pas que nous sommes ruinées ! Répondit ma mère.
– Vous n’avez plus d’argent mais vous avez vos charmes…
– Pourceau !
– Tout de suite les grands mots, je vous rends un réel service et en ce qui concerne la contrepartie, vous n’en mourrez pas.
– Et vous souhaiteriez baiser qui ? Moi ?
– Non toutes les trois.
– Vous êtes gonflé, vous !
– Ce n’est qu’une proposition.
– Eh bien, je vais me concerter avec mes filles, repassez dans une heure.

Pauline et moi nous gaussèrent d’abord de ce marché déplaisant.

– Nous n’avons pas besoin de lui, on se débrouillera ! Indique Pauline
– C’est vrai, Pauline et moi on pourra toujours se débrouiller, mais pour toi et maman, ça risque d’être un petit peu plus difficile… Ce type est palefrenier, c’est un métier qui lui fait rencontrer beaucoup de monde, il aura probablement une solution par l’intermédiaire de ses relations.
– Oui évidemment !
– Alors soyons solidaire, on ne va pas laisser tomber notre mère
– Bof au pire ce sera un mauvais moment à passer, mais il présume de ses forces, il ne tiendra jamais la distance. Ajouta Pauline.

Bref nous acceptâmes, la mort dans l’âme.

L’huissier n’avait pas encore fait embarquer les lits, nous avons donc gagné la chambre conjugale.

– A poil les trainées ! Eructe Thomas
– Holà ! Nous t’avons autorisé à nous prendre, mais pas à nous couvrir de mots orduriers ! Proteste ma mère.
– Alors je reformule, si madame la baronne et sa progéniture pouvait se débarrasser de leur fanfreluches…

Alors nous nous somme déshabillées de conserve, et dans un réflexe de pudeur incongru nous nous retournâmes.

– Oh que voilà des joufflus bien sympathiques ! Je me demande lequel est le plus beau, celui-ci sans doute ! Indiqua-t-il en me gratifiant d’une claque sur mes fesses. Tournez-vous que je profite du spectacle.

La pudeur doit être un réflexe car sans nous concerter, nous nous sommes posé nos mains sur nos seins en nous retournant ce qui eut le don d’énerver le palefrenier.

– Enlevez vos mains, vous croyez que vous allez rester comme ça, à cacher vos trésors ! Enlevez vos mains, j’ai dit ! Hum, c’est fort joli tout ça ! Par quoi commencer quand la coupe de fruits déborde à ce point ? Margot, avance un petit peu !

C’était fatal, il a fallu qu’il me tripote les nichons, et quand je dis tripotage, il faudrait plutôt parler de malaxage, le genre à confondre une poitrine avec une pâte à pain. Il me pince les bouts.

– Si vous pouviez éviter de me faire mal ! Protestais-je.
– Chochotte !

Mais il se recule… pour se débarrasser de sa culotte et nous exhiber une bite monstrueuse au gland en forme de vilain champignon.

Margot01– Viens me sucer, ribaude ! M’ordonne-t-il

Si ça bite se contentait d’être laide, j’aurais pu m’en accommoder, mais en plus elle puire.

– Si tu veux que je te suce, va te la passer à l’eau.
– Mijaurée ! Et vous autres vous allez être moins difficile, j’espère ! Dit-il à l’adresse de ma mère et de ma sœur.
– Si tu ne fais pas toilette, nous rompons notre marché ! Lui répond ma mère.
– Ces aristos sont vraiment compliquées commente-t-il

Il restait un peu d’eau dans un broc, qu’il verse dans une cuvette, il se lave ensuite la bite ne se servant de ses mains en guise de gant de toilette. Il en profite aussi pour se rincer le troufignon. A tous les coups il doit avoir l’intention de nous le faire gouter !

– Bon voilà, on peut reprendre ? Allez Margot au boulot et ne me fait pas jouir, je veux profiter de tout le monde.

Quand faut y aller, faut y aller. Je m’accroupis avec toute l’élégance des jeunes filles de mon rang en embouchant sa clarinette baveuse.

– Toi la vielle pute, tu vas passer derrière moi et me lécher la rondelle ! Ordonne-t-il à ma mère.
– Mais bien sûr mon prince ! Se gausse-t-elle.
– Et toi Pauline tu vas aider ta sœur à me gober le nœud, sans oublier mes valseuses.

Nous formons alors un quatuor original. Heureusement que ma sœur m’accompagnait dans cet acte déplaisant (déplaisant parce qu’il nous était imposé, sinon n’allez pas croire, j’aime sucer…) parce que je commençais à fatiguer de la mâchoire.

– Ah ! Ces mises en bouche m’ont fait grand bien, maintenant tout le monde sur le plumard !
– Monsieur, je voudrais vous faire requête… Commençais-je.
– Est-ce bien le moment ?
– Oui, je voudrais que vous laissiez mon con tranquille, je n’ai nulle envie d’être enceinte d’un palefrenier.
– Qu’as-tu contre les palefreniers ?
– Rien quand ils se contentent de faire commerce de chevaux !
– Fi ! Mais peu importe, cela ne me déplait pas de te pédiquer, petite traînée.
– Mais allez-y mollo ! J’ai la rondelle fragile.
– Je ne suis pas une brute !

L’individu m’a fait me mettre en levrette, et après s’être extasié sur la beauté de ma rondelle, il me la lécha quelques instants avant de tenter d’y enfoncer son dard. La première tentative ripa lamentablement.

– Ouvre-toi mieux, catin !

Je fais ce que je peux, ça finit par passer. Aïe, ouille, ouille, j’ai connu des enculades plus romantiques.

– Tu me fais mal, faquin !
– Mais non !
– Mais si, sors immédiatement de mon cul ou je hurle.

Je pensais qu’il s’acharnerait, mais non, il se retire, jette un moment son dévolu sur ma sœur Pauline.

– Non, non, je suis encore plus serré que ma sœur… je vous en prie…

Du coup il se rabat sur Maman !

– Ah, voici un cul qui va savoir m’accueillir ! Tu aimes ça te faire enculer, n’est-ce pas, vieille salope.
– Que faudrait-il que je vous réponde ?
– Rien ! Attention… et voilà c’est rentré tout seul.

Et Thomas commence une série de va-et-vient en transpirant comme un malade. Maman prend son mal en patience,… Que faire d’autre ? Je sais pourtant que ma mère ne déteste pas la sodomie, l’ayant plusieurs fois vu à l’œuvre avec ses amants.

Afin de la consoler, je me place devant elle et lui offre ma bouche, on se roule une pelle baveuse tout en se pelotant les nénés.

Ma sœur Pauline ne voulant pas rester inactive vient derrière moi et se sa petite langue agile entreprend de me lécher le fion.

Un cri de cochon ! C’est Thomas qui vient de jouir ! Il décule, s’éponge le front (mais pas la bite) ramasse ses affaires et nous laisse sans un mot.

– Quel soudard ! Commente ma mère, j’ai le cul en compote, venez mes chéries, venez donc vous occupez de moi que je reste pas sur cette impression malaisante.

Voilà une chose qu’il ‘est point nécessaire de me répéter deux fois, en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, me voilà entre les cuisses de Maman.. Sa vulve est douce et délicieuse, je m’en lèche les babines. Pauline quémande son tour. Pourquoi faire des tours, on peut bien la lécher à deux, non ?

– Oh, c’est trop bon ce que vous me faites, petites trainées ! Aaaaah !

Elle a joui, elle mouille…

– Faut que je pisse….
– Donne-moi ta pisse, maman ! Lui répondis-je en ouvrant une large bouche.
– Petite vicieuse, tu ne vas pas être déçue…

Le jet d’urine fuse, j’avale ce que je peux, Pauline quémande sa part, on rigole, ça fait du bien… Mais maintenant je veux jouir à mon tour. Je me couche sur le dos jambes écartées.

– Viens Maman, viens lécher ta fille.

Hum, sa langue est diabolique, et après un petit balayage qui lui permit de se délecter de ma mouille, elle vint attaquer mon petit berlingot, m’envoyant au ciel en quelques courtes minutes.

Bien sûr Pauline ne voulut pas être en reste, avec Maman on l’a léché à deux.

Et le lendemain Thomas nous emmenait toutes les trois sur sa calèche.

Une heure après, l’incident eut lieu.

Quatre solides gaillards surgirent des buissons environnants, l’épée à la main et nous barrant la route.

– La bourse ou la vie ? Hurle un grand moustachu.

Thomas est bien obligé de stopper son attelage

– Mais nous n’avons rien… balbutie -il
– C’est ce que nous allons voir, prend le petit chemin sur la droite, nous allons faire ça discrètement.

La carriole avance d’une cinquantaine de toises dans un chemin broussailleux précédée de deux bandits et suivi des deux restants.

– Et maintenant tout le monde descend, et dépêchez-vous nous n’avons pas que ça à faire.

Tout le monde obtempère, la peur au ventre.

– Hum, en voici de belles pouliches, et où allez-vous comme-ça de si bon matin ?
– Ces dames ont été ruinées, je les conduisais là où elles seront en sécurité. Précise Thomas.
– Ah oui et où ça ?
– Au couvent de Sainte Agathe, croit devoir préciser Pauline à qui on avait rien demandé.

Le moustachu se tourne vers l’un de ses acolytes :

– Le couvent de Sainte-Agathe, ce n’est pas de l’autre côté ?
– Ben si, c’est complétement de l’autre côté.
– Dit donc, cocher de mes deux, pourquoi nous racontes-tu des sornettes ?
– J’ai dû me tromper… balbutie -il

Et il se reçoit une baffe qui le laisse stupéfait, c’est qu’ils ne rigolent pas ces bandits de grands chemins !

La voiture et nos pauvres bagages sont fouillés sans que les gredins trouvent grand-chose pouvant les intéresser.

– Bon, c’est la dèche à ce que je vois, reprend le moustachu, mais le canasson à l’air vaillant, on en tirera bon prix, quant à vous, vous avez des bijoux sur vous, on va vérifier tout ça, déshabillez-vous.
– Jamais ! Répond la mère de toute sa hauteur.
– Vous préférez peut-être qu’on vous arrache vos vêtements, c’est comme vous voulez, mes compagnons s’amuseront beaucoup à vous dépouiller de vos atours

Nous nous concertons du regard, il semble bien que nous n’ayons guère le choix.

C’est Pauline qui s’exécute en premier, elle enlève tout puis dans un geste dérisoire, tente de dissimuler sa nudité de ses mains. Pas si facile en fait, nous n’avons que deux mains !

Ma mère et moi, nous nous sommes retrouvées en tenue d’Eve. Quant à Thomas il est resté en caleçon. Faut voir l’état du caleçon, il est dégueulasse, ce bonhomme.

– J’ai dit à poil ! Retire-moi cette serpillière, espèce de crétin.

Et comme il n’obéissait pas assez vite deux des malfrats le lui retirèrent de force en le déchirant.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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