Dimanche 20 avril 2025 7 20 /04 /Avr /2025 15:11

Soir d’été par Odin
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Bonjour tout le monde, Je suis Pierre, 40 ans, brun, moustaches et lunettes. Je suis en couple libre avec Jody, fausse blonde et belle poitrine, un peu salope mais tellement mignonne.

C’était une petite fête. Nous étions en été, installés autour de la grande table en bois du jardin. Il y avait là un couple de voisins, René et Henriette, la cinquantaine ainsi qu’Irma, une belle dame de soixante ans, accompagnée de son fils Philippe, un grand échalas à lunettes

L’alcool aidant nous nous sommes mis à parler sexe de plus en plus crument.

Irma qui lorgnait dans le décolleté d’Henriette finit par lui dire :

– Je trouve que vous avez une poitrine magnifique !
– N’exagérons rien, mais si vous voulez mieux la voir, je peux volontiers vous la montrer.
– Chiche ?

Et sans hésiter une seconde, Henriette se dépoitrailla libérant une véritable merveille de la nature.

– Waouh !
– Et si elle vous plait tant que ça, vous pouvez même la caresser ! Ajouta-t-elle
– Vous appréciez donc les caresses des femmes ? Lui demande Irma.
– Mais bien sûr.

Irma se leva et vint palper les deux généreux globes d’Henriette avant d’en sucer les bouts déjà érigés de plaisir.

Evidement n’étant pas de bois la situation me fit bander, et de façon machinale je portais ma main à ma braguette.

– Elle te fais bander ma femme, on dirait ! S’amusa René.
– Ça se voit tant que ça ?
– Ben oui !

Et le voilà qui me touche la braguette dans un mouvement spontané qu’il stoppe aussitôt.

– Ben dit donc, petit coquin ! Lui dis-je
– Désolé !
– Ne soit pas désolé, c’était amusant.
– Ça ne te choque pas ?
– Mais non !
– Et si je recommence ?
– Je me laisserais faire.

Alors il remit sa main et se sentant encouragé dézippa la fermeture éclair et entra la main dans l’ouverture à la recherche de ma bite qu’il finit par extraire, et la masturba quelques instants.

– En voilà une belle queue ! Je peux la sucer ? demande-t-il.
– Oui, mais ensuite, c’est moi qui suce la tienne.
– T’aimes ça sucer des bites ?
– Oui, mais il faut dire que je n’ai pas si souvent l’occasion de le faire
– Non mais regardez-moi ces deux cochons ! S’écria ma femme faisant semblant d’être choquée

Henriette et Irma maintenant complétement débraillées se pelotent comme des furies, René me suce la queue… Jody, ma compagne ne souhaite pas être en reste et s’approche de Philippe.

– Ne bouge pas mon grand, je vais te sortir ta queue.
– Bonne idée !
– Mais dis donc Philippe, comment ça se fait que tu n’as pas de petite copine à ton âge ?
– Pas besoin de copine, j’ai ma mère qui s’occupe de moi !
– Ta mère ? Elle te fait quoi ?
– Elle me branle, elle me suce et parfois je l’encule !
– Oh ! Tu encules ta mère ? Mais c’est très cochon ça, je ne te crois pas !
– Maman, Jody elle ne veut pas me croire…
– Tu ne vois pas que je suis occupée.

Mais la curiosité est la plus forte, abandonnant sa partenaire, Irma s’approche de son fils.

– Jody ne me croit pas quand je lui dis ce que nous faisons ensemble…
– En principe se sont des choses qui ne se disent pas ! Mais il a raison j’adore sucer la bite de mon fils, et je ne vois pas pourquoi je m’en priverais.

Laquelle bite est maintenant sortie et est agité par les doigts de Jody. Du coup Irma se penche et engloutit dans sa bouche la queue de son rejeton, avant que les deux femmes se mettent à la sucer de conserve.

La soirée tourne à la folie, René et moi nous nous sommes mis à poil, je lui ai sucé sa bonne bite, puis lui ai demandé s’il serait d’accord pour m’enculer.

OdinEt quelques instants plus tard, c’était la fête des culs, René m’enculait et par effet de mimétisme, Philippe se mit en sodomiser sa mère, tandis que ma tendre épouse se faisait lécher et doigter le trou du cul par Henriette.

Que c’est bon de sentir une bonne bite aller et venir dans mon cul, tout cela dans une ambiance de sexe libéré.

Merde, un gros orage se profile, nous mangerons le dessert à l’intérieur.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Samedi 12 avril 2025 6 12 /04 /Avr /2025 06:52

Les filles du café, récit anonyme proposé par Benoît de Macadamia
StampFFH

Il y avait dans ma rue un café qui faisait l’angle avec le grand boulevard. J’allais dans ce café tous les matins ou presque, et il y avait plusieurs raisons à cela. Premièrement, et ce n’est pas la moindre des raisons, j’aimais leurs cafés. Un vrai café, pas un jus de chaussette américain aromatisé. Deuxièmement, vu son emplacement, il me permettait d’observer la vie à travers la baie vitrée, et cela servait parfois d’inspiration à mon métier d’écrivain. Et troisièmement, le patron, un homme que je n’avais vu qu’une ou deux fois, avait choisi deux filles pour tenir la boutique, chacune étant plus ravissante que l’autre. Peut-être étaient-ce ces deux-là qui m’inspiraient le plus, à vrai dire.

Il y avait d’abord Laure. Une grande blonde, élancée, fine. Les cheveux arrivant aux épaules et souvent attachés en queue-de-cheval, et des yeux bleus, un bleu clair, limpide. Et puis il y avait Sophie. Plus petite en taille, plus pulpeuse également. Ses yeux verts, son teint mat et ses cheveux ondulés me laissaient deviner un métissage méditerranéen. Elles étaient toutes deux complémentaires. Laure s’occupait plutôt du service, et Sophie de la caisse. Elles avaient l’air d’être proches l’une de l’autre, peut-être même amies, ce qui rajoutait un peu de chaleur à l’établissement.

L’histoire que je vais vous raconter s’est déroulée en hiver. Je venais dans ce café quotidiennement depuis plusieurs mois déjà, et aussi bien Laure que Sophie me connaissaient, ou plutôt me reconnaissaient. Nous échangions parfois quelques mots en plus des politesses habituelles, mais nos conversations n’allaient pas plus loin. Je me mettais dans un coin, proche de la baie vitrée, commandais un café, puis souvent un deuxième, et j’écrivais des bouts d’idée sur des bouts de papier. C’est Laure, en m’apportant mon café, qui a enclenché la conversation la première.

– Je suis un peu curieuse, désolée, avait-elle dit. Je vous vois écrire tous les matins à la même place. Vous êtes écrivain?
– Disons que j’essaie de l’être.

J’étais resté vague, ma profession était plus complexe et ne se résumait pas à simplement « écrire des livres », mais je n’avais pas envie de l’embêter avec tout ça. Je lui ai simplement expliqué qu’effectivement, je travaillais sur l’écriture d’un recueil de nouvelles. Je ne sais pas si c’était par pure politesse, mais elle a eu l’air intéressée, et je lui ai promis de lui en fournir un exemplaire si jamais j’arrivais à le faire éditer.

Les jours suivants, Laure continuait de me questionner, sans jamais être envahissante pour autant, sur l’écriture de mon bouquin.

– De quoi ça parlera ? m’a-t-elle demandé en posant la tasse de café là où je n’avais pas encore trop étalé de papiers.
– Eh bien… principalement des relations humaines, de notre place dans la société, de comment tout ça s’accorde…
– Vaste sujet.
– Pas faux. C’était sûrement pour cela que cela prenait autant de temps.

Le matin suivant, Laure m’a, encore et toujours, apporté ma tasse de café à la même table. Elle était prête à lancer la conversation mais a vu que j’étais occupé à écrire un e-mail sur mon téléphone, et s’est abstenue. Elle a simplement posé la tasse sur la table, et c’est là que je l’ai vue tourner un peu plus la tête vers l’une de mes notes, puis la prendre en main. Je n’ai pas eu le temps de l’en empêcher, Laure lisait déjà :

« L’une était grande, blonde, élancée, la deuxième était brune, plus petite, plus pulpeuse »

– Vous parlez de nous ?
– Non, non, me suis-je défendu. Mais disons que je m’inspire de ce que je vois.

Laure s’est mise à regarder mes autres notes, et elle en a pris une autre au hasard.

« Sa main venait de glisser dans sa petite culotte… »

– Vous parlez encore de nous ?
– Non, pas du tout, je…
– Je croyais que vous écriviez sur la société, mais vous écrivez sur le cul.
– L’un n’empêche pas l’autre. Mais ce sont deux récits différents. Et vous devenez un peu trop curieuse.

Voilà qui avait clos la discussion. Laure avait posé mes notes, repris son plateau, et était repartie vers le comptoir avec un petit sourire poli. Je l’ai ensuite vu parler à Sophie. Grillé. J’étais grillé comme jamais. Sans réfléchir plus longtemps, j’ai rassemblé toutes mes notes, laissé un billet pour l’addition, et je suis parti sans demander mon reste. J’écrivais certes de l’érotisme. De l’érotisme ainsi que de la sociologie, et parfois les deux à la fois. Mais ce n’était pas une raison pour être jugé. A moitié humilié, à moitié énervé, je suis rentré chez moi, et je n’ai pas remis les pieds dans le café pendant une semaine. Jusqu’à ce que je me rende à l’évidence, cet endroit m’inspirait réellement. Chez moi je n’écrivais plus.

J’ai poussé la porte ce matin-là avec un peu moins d’entrain. J’étais un peu stressé à l’idée de revenir ici. Je me suis assis à ma place, j’ai sorti mes affaires, et Laure est venue poser mon café sur la table sans que j’aie à le commander.

– Vous n’êtes pas venu cette semaine ?
– Oui, désolé, je… j’étais occupé.
– C’est à cause de notre dernière conversation ?
– Aussi, oui.
– Je suis désolée, j’aurais pas dû fouiller.

Elle avait l’air vraiment désolée. Je regrettais d’avoir fait le mort pendant tout ce temps.

– C’est déjà oublié, ai-je menti.

Plus tard, Laure est revenue m’apporter mon deuxième café, ainsi qu’une part de cheesecake que je n’avais pas commandée.

– Cadeau de la maison, a-t-elle précisé. Pour me faire pardonner.
– Vous n’auriez pas dû. Mais merci.
– Je peux vous poser une question ?
– Allez-y, ai-je répondu en sentant le piège se refermer sur moi.
– Ces deux notes que j’ai lues… elles étaient liées ? Je veux dire, est-ce que vous écrivez des trucs érotiques sur nous ?

Comme prévu, le piège se refermait. Autant jouer l’honnêteté.

– Vous voulez une réponse honnête j’imagine, alors non, ces deux notes n’étaient pas liées, mais oui, j’écris des nouvelles érotiques et je me suis inspiré de vous pour deux de mes personnages.
– D’accord. Et… On peut les lire ?
– Eh bien, c’est-à-dire que…
– Ce serait quand même plus juste, m’a-t-elle dit. On est quand même directement concernées. J’en ai parlé à Sophie. Elle aimerait savoir ce que vous écrivez, elle aussi.
– Je n’ai pas ces notes sur moi, désolé.
– Ce n’est pas grave. On ferme à dix-neuf heures. Vous pourrez repasser à ce moment ?
– Je… Oui. Oui d’accord, je vous apporte ça tout à l’heure.

Le reste de la journée a été un bordel sans nom. Tout comme l’était mon bureau, chez moi, dans lequel j’ai dû fouiller pour retrouver toutes ces notes que j’avais écrites sur les filles du café. J’étais stressé. Ces deux filles, que je trouvais toutes les deux extrêmement belles, allaient lire ce que je pensais d’elles, intimement. ça me stressait, mais ça m’excitait aussi un peu. Allez, pourquoi faire le modeste. J’étais complètement excité à cette idée. Si bien que j’ai dû me masturber deux fois dans l’après-midi pour pouvoir rester concentré. Quand il a commencé à faire nuit, j’ai pris mes affaires et je suis retourné au café. La population n’était pas la même que le matin. Le soir, c’était rempli d’étudiants qui venaient décompresser après les cours, si bien que je n’ai même pas eu ma place à côté de la baie vitrée. Je me suis retrouvé à une table proche des toilettes, un peu décontenancé. Laure m’a vu arriver de loin, et est venue me retrouver.

– Qu’est-ce que je vous sers ?
– Euh… Je… Un café. S’il vous plaît.

Je ne savais pas quoi prendre d’autre. J’ai attendu une heure et demie avant que tout le monde s’en aille. Il ne restait que moi. Laure et Sophie rangeaient l’établissement et faisaient comme si je n’étais pas là. Un petit sourire par-ci par-là me rassurait sur le fait que je n’étais pas complètement invisible. Puis Sophie a fait tomber les rideaux de fer de la devanture, tandis que Laure finissait de mettre les chaises sur les tables. Sophie est venue se planter devant moi.

– Bonsoir !

C’est la première fois que nous nous adressions réellement la parole. Jusque-là je n’avais eu affaire qu’à Laure.

– Bonsoir, ai-je répondu un peu fébrilement.
– Bon, Laure m’a un peu expliqué. Vous écrivez, vous écrivez sur nous deux, et c’est plutôt… érotique, c’est ça ?
– C’est à peu près ça. Mais je vous ai tout rapporté, comme ça vous pouvez y jeter un œil. Laure avait raison, ce matin. Vous êtes les premières à être concernées.

J’ai poussé mon tas de papiers, toutes mes notes les concernant, vers Sophie et Laure qui venait de la rejoindre.

– On a un peu changé d’avis, a rétorqué Laure. En fait on préférerait que ce soit vous qui lisiez. On s’est dit que ce serait plus sympa.
– Sympa ?

Je ne trouvais pas vraiment ça « sympa » mais plutôt gênant, presque humiliant. Les filles ont pris deux chaises et se sont assises à ma table, prêtes pour mon audition.

– Bien, ai-je fini par bredouiller. Qu’est-ce que vous voulez entendre, plus précisément ?
– Je ne sais pas, a répondu Sophie. On veut vous entendre lire ce que vous avez écrit sur nous. Lisez, au hasard, on verra bien.

J’ai attendu un instant avant de commencer. J’avais le trac. Je me suis éclairci la voix, puis j’ai commencé.

« Cachée derrière la porte, la grande et jolie blonde épiait sa collègue se changeant dans les vestiaires. Impossible de résister à l’envie de glisser sa main dans sa culotte en voyant cette paire de seins qui lui donnait tant envie depuis des semaines ».

– Vous fantasmez sur nous deux ensemble ? m’a demandé Sophie.
– Eh bien, c’est un fantasme assez commun, je dois dire… et, vous êtes toutes les deux très jolies, alors toutes les deux ensemble… oui, j’avoue, je…
– Attends Sophie, a coupé Laure, laisse-le continuer.

« Ses doigts glissèrent contre son sexe humide de désir, à la rencontre de son clitoris déjà bien excité. Dans le vestiaire, la petite brune laissa son string glisser le long de ses gracieuses jambes sans savoir qu’elle était espionnée. »

– C’est bien écrit, a dit Laure.
– C’est surtout intimidant de vous lire ça comme ça.
– Oh bah non, faut pas ! s’est exclamée Sophie. Attendez, on va se mettre là-bas, on sera plus à l’aise pour vous écouter.

Les filles se sont levées pour aller s’assoir sur une large banquette, à la table derrière nous. J’ai rassemblé mes papiers et les ai rejointes, un peu fébrile.

– Vous en avez peut-être entendu assez, non ? ai-je demandé. Je peux vous laisser lire la suite si vous voulez…
– Non, a répondu Laure, c’est mieux quand c’est vous qui le lisez.
– C’est-à-dire que c’est un peu long, et…
– Passez au vif du sujet alors, a renchéri Sophie. Elles finissent par coucher ensemble ?
– Euh, oui, oui, en effet.
– Allez directement à cette partie alors.

J’ai fouillé un instant dans mes papiers, puis je me suis remis à lire.

« Allongées sur le matelas du petit appartement, les deux filles étaient entièrement nues, corps contre corps, bouche contre bouche, toison blonde contre toison brune. Les langues se mêlaient, les doigts s’égaraient, les sexes coulaient. »

J’avais captivé mon auditoire. Les deux filles me regardaient avec un air plus qu’intéressé, et avec cette lueur dans les yeux qui trompe rarement. Le récit leur plaisait. Enorgueilli par ce succès, j’ai continué ma lecture.

« La jolie brune se laissa couler contre le corps de sa collègue et amie, embrassant chaque centimètre de sa peau, jusqu’à se laisser emprisonner par ses jambes au teint hâlé. Sans plus attendre, elle posa sa bouche sur ce sexe ruisselant et se…  »

– Bien ! a coupé Sophie. Je… Je crois qu’on a bien saisi le sujet.
– Oui, a continué Laure, on pourra peut-être lire la suite plus tard si ça ne vous dérange pas…
– Pas du tout, ai-je répondu soulagé.
– En attendant, a-t-elle continué, je crois que nous aurions quelques suggestions à vous faire. Disons plutôt, des remarques, pour être au plus proche de la réalité. ça ne vous dérange pas ?
– Eh bien, non, pas du tout ! Je vous écoute.
– Tout d’abord, a commencé Sophie, Laure ne porte jamais de culotte et elle est épilée intégralement.
– Et Sophie a les tétons percés.

J’ai réagi à cette double déclaration comme quiconque l’aurait fait. En restant muet, incapable de parler, mais en sentant dans mon ventre une boule d’excitation se former.

– Ne soyez pas si choqué, a dit Laure en souriant, c’est juste que… c’est pour ça qu’on vous a demandé de venir nous lire ce que vous écriviez.
– Vous avez visé juste, a renchéri Sophie. Disons qu’avec Laure, on n’est pas que collègues… Voyez ?

La main de Sophie avait glissé sur la cuisse de Laure, me mettant un peu plus encore dans l’incapacité de dire quoi que ce soit. Laure avait réagi en souriant et en embrassant sa collègue sur la joue.

– Que diriez-vous de faire évoluer votre récit, m’a demandé Laure.
– Qu’est-ce que vous entendez par là ?
– Ce qu’elle veut dire, a continué Sophie, c’est que vous vous installez confortablement et vous faites ce que vous faites d’habitude. Vous observez et vous notez. ça vous intéresse ?
– Euh, et bien, oui bien sûr !

Je voyais plus ou moins les choses venir. Je n’en étais pas sûr à cent pour cent cependant, je me demandais si mon excitation n’était pas en train de me jouer des tours.

– Vous devriez prendre votre carnet et votre stylo, a dit Sophie avant de tourner la tête vers Laure.

S’en est suivi un long et passionné baiser. Leurs langues dansaient ensemble, et j’essayais de noter autant de détails que possible, sachant très bien que ce petit jeu ne pourrait continuer indéfiniment. Si elles n’arrêtaient pas très vite, mon excitation me ferait perdre toute concentration, et je n’arriverais même plus à tenir mon stylo entre mes doigts. Hélas pour mon récit, les deux filles ont décidé de ne pas s’arrêter à ce très peu chaste baiser. Leurs corps se sont rapprochés, et j’ai vu les mains de Laure passer sous le pull de Sophie. Puis le pull est passé au-dessus de sa tête. Elle ne portait rien en dessous, et j’ai ainsi pu confirmer leurs dires : Sophie avait bien deux petits anneaux accrochés à ses tétons très bruns. Puis c’est le pull de Laure qui a valsé. Elle portait un débardeur en dessous, mais si moulant qu’il laissait bien deviner l’absence de soutien-gorge chez elle aussi. Le débardeur a volé, et les filles ont continué à s’embrasser, caressant maintenant la poitrine de l’autre. Jusqu’à ce que Sophie tourne la tête vers moi.

– Vous ne notez plus ?
– C’est un peu compliqué de rester concentré.
– Je comprends. Regardez seulement, alors, vous écrirez plus tard.

C’est ce que j’ai fait. J’ai regardé la scène en faisant en sorte que chaque détail reste gravé dans ma mémoire. J’observais ces tétons s’ériger sous l’excitation, la chair de poule sur la peau de Laure, cette tache de naissance au-dessus de la hanche gauche de Sophie. Je regardais leur salive passer d’une bouche à l’autre, j’écoutais leur respiration accélérer. Je voulais me souvenir de tout. C’est Laure qui a mis fin à ce baiser d’anthologie, et qui, tout en me regardant, s’est attaquée à la ceinture de sa collègue. Le jean trop serré a eu du mal à descendre, mais Sophie s’est rapidement retrouvée avec pour seul vêtement un tanga en dentelle noire, aussi sexy que transparent. J’avais, depuis longtemps, lâché mon stylo, et luttais intérieurement pour ne pas glisser ma main dans mon jean. Mon sexe bandait à m’en faire mal ! Puis ça a été au tour de Laure de perdre son pantalon. Le jean était moins serré, ça a été plus simple, mais beaucoup plus compliqué pour moi de retenir mes ardeurs. Encore une fois, les faits étaient vérifiés : Laure ne portait aucun sous-vêtement, et son sexe était aussi lisse que la peau d’un nouveau-né. Comment ne pas défaillir à la vue de ces deux lèvres charnues, alléchantes, où le doigt de Sophie s’aventurait déjà ?

– Les filles, ai-je bredouillé, je… est-ce que…
– Oui, a répondu Sophie, vas-y, mettez-vous à l’aise…

Je n’ai pas attendu une seconde de plus. J’ai défait ma ceinture en quatrième vitesse, et j’ai plongé ma main dans mon boxer pour commencer une lente masturbation.

– Ne faites pas le timide, m’a lancé Laure. Faites voir…

J’étais un peu gêné. Je ne sais pas pourquoi je pensais à ça, à cet instant précis, mais je me demandais comment j’allais faire pour revenir dans ce même café dès le lendemain. Mais je me suis lancé, et j’ai sorti mon sexe de mon sous-vêtement. Laure s’est penchée au-dessus de la table qui nous séparait pour en apercevoir un peu plus, et s’est mise à sourire en voyant mon membre dur et veineux entre mes doigts. Quand j’ai vu sa bouche s’ouvrir, ses yeux se fermer, j’ai compris que derrière elle, Sophie était en train de jouer avec son sexe. Je ne voyais rien, si ce n’est leurs deux visages, mais j’entendais Laure gémir, et j’entendais le clapotis des doigts de Sophie entre les cuisses de son amie. Puis ça s’est arrêté, et j’ai imaginé que Sophie avait retiré ses doigts. Un peu essoufflée, Laure a de nouveau jeté un coup d’œil à mon sexe, d’où perlait une goutte de liquide séminal. Un grand sourire aux lèvres, elle a posé le bout de son doigt sur le bout de mon gland, puis le bout de son doigt sur le bout de sa langue.

– On est ouvertes à plus que l’amour entre femmes, a-t-elle justifié. On aime tous les sexes, tous les plaisirs, tous les…

Elle n’a pas fini sa phrase, trop occupée à gémir lorsque Sophie a fait disparaître son visage entre ses cuisses. Laure s’est laissé glisser contre la table, laissant à la fois Sophie profiter de son entrejambe, et se faufilant entre les miennes par la même occasion. Elle a lentement posé ses doigts fins à la base de mon sexe, puis m’a regardé, essayant d’avoir mon approbation. Bien sûr qu’elle l’avait, et je le lui ai fait comprendre en m’avançant légèrement vers elle. Laure a sauté sur l’occasion, et a ouvert la bouche pour gober mon gland. Je n’ai pu réprimer un grognement de plaisir. Non, de pure extase. C’était irréel. C’était tellement bon que je devais lutter pour ne pas me laisser aller trop vite dans cette bouche si chaude et si gourmande. Les yeux fermés, adossé à la banquette de mon café préféré, je sentais Laure qui commençait à aller et venir lentement sur ma hampe. Puis c’est la sensation d’une langue sur mes testicules qui m’a fait ouvrir les yeux. Sophie s’était glissée sous la table pour nous rejoindre. Je me suis mis à grogner de plaisir, c’était bien trop bon. Laure et Sophie échangeaient mon sexe comme bon leur semblait. Quand l’une avait mon membre en bouche, l’autre me léchait les testicules. Et quand ni l’une ni l’autre ne s’affairait sur moi, c’était pour se rouler des pelles baveuses au-dessus de mon sexe palpitant.

Puis elles se sont relevées, toujours en s’embrassant. A ce moment-là, je n’existais plus. J’avais repris mon rôle d’observateur. Sophie a poussé Laure contre la table avec tendresse, puis s’est laissé glisser à nouveau entre ses cuisses. Je l’ai regardée y mettre la bouche, l’embrasser lentement, titiller ses lèvres du bout de la langue, remonter sur son clitoris déjà bien excité. Ses mains allaient et venaient le long de ses cuisses. J’avais terriblement envie d’être à sa place, mais je suis resté en retrait. Je l’ai regardée glisser ses doigts dans le sexe lisse et détrempé de Laure, lui soutirant des gémissements qui résonnaient dans le café vide. Après cinq minutes de ce traitement, Sophie s’est relevée. Elle a glissé sa bouche contre le corps de Laure, remontant jusqu’à son nombril, puis ses seins qu’elle a entrepris de lécher et sucer. Puis elle est montée sur la table, a chevauché son amie, et les deux filles se sont embrassées à nouveau, frottant leurs deux corps l’un contre l’autre. Quand leurs bouches se sont enfin séparées, Laure a passé sa tête par-dessus l’épaule de Sophie et m’a souri.

– Venez, a-t-elle dit doucement, rejoignez-nous. Venez nous prendre. J’ai une capote dans la poche de mon jean.

Sans hésiter, j’ai récupéré le bout de latex dans le pantalon de Laure, l’ai sorti de son emballage, et ai emballé mon sexe avec. Je bandais comme rarement. Je me suis alors avancé entre ces deux paires de jambes, et il a fallu que je fasse un choix. J’ai finalement posé ma main sur la hanche de Sophia, et de mon autre main, j’ai glissé mon sexe dans celui de Laure. Après tout, c’est elle qui avait demandé. J’y suis allé doucement, presque fébrilement. Je ne voulais ni les brusquer, ni partir trop vite. Je n’arrivais presque plus à respirer, tant le plaisir était grand. Le souffle court, j’ai fini par m’enfoncer entièrement en elle, flattant au passage la croupe délicieuse de Sophie. Puis j’ai commencé à aller et venir, accélérant progressivement. Laure gémissait. Les yeux fermés, la bouche ouverte, elle aussi se cramponnait au fessier de sa collègue. J’ai compris, en regardant entre leurs cuisses, que c’était aussi la faute de Sophie, dont les doigts s’activaient sur son clitoris. J’ai accéléré encore un peu mes coups de reins. Peut-être un peu par péché d’orgueil, parce que je voulais être la cause de son plaisir. Même si c’était peine perdue, ces filles se connaissaient trop bien.Café

Laure a fini par jouir. Bruyamment, arquant son corps, contractant ses muscles autour de mon sexe. J’ai dû fermer les yeux, tenter de penser à autre chose, pour ne pas défaillir à ce moment-là. Du bout de ses doigts fins, Laure a sorti mon sexe du sien, et s’est laissé glisser au pied de la table. Sans plus attendre, je l’ai vue commencer à lécher et sucer, à littéralement manger le sexe de Sophie. Les grognements plus rauques de celle-ci ont commencé à se faire entendre. C’était tellement excitant à voir et à écouter. Laure ne m’avait pas oublié pour autant. Elle a attrapé mon membre qui était toujours au garde-à-vous à quelques centimètres d’elles, et elle l’a placé contre les lèvres de Sophie. Elle était si excitée que je m’y suis enfoncé facilement, d’une traite. Alors, mes mains sur ses hanches, j’ai commencé à la besogner. Encore une fois, ses cris étaient sûrement dus à la langue de Laure, que je sentais aussi par moments sur mes testicules, mais je me persuadais que j’y étais quand même pour quelque chose. Mes mains sur ses fesses, j’ai accéléré la cadence. Je regardais autour de moi pour tenter de ralentir mon envie de jouir, mais c’était pire car je me rendais compte de la situation dans laquelle je me trouvais. Je pouvais voir à ma gauche cette table à laquelle j’étais assis tous les matins pour travailler et prendre un café, je pouvais voir la déco, le comptoir, tout. Mais impossible de faire abstraction des cris, de nos cris de plaisir à tous les trois, et cela rendait la situation terriblement excitante. Mon regard s’est à nouveau posé sur mes partenaires. Mon sexe allait et venait maintenant à toute vitesse entre les cuisses de Sophie, tandis que Laure, toujours affairée sous elle, caressait maintenant son derrière, écartant subtilement ses fesses pour le plus grand plaisir de mes yeux. C’en était trop.

– Les… les filles, ai-je balbutié, je…
– Attends, m’a coupé Sophie, attends… Ooooh…

Le plaisir lui avait fait oublier le vouvoiement, mais comment lui en tenir rigueur? L’orgasme l’a terrassée, et comme pour Laure, j’ai senti tout son corps se tendre et se contracter autour de moi. Je n’en pouvais plus. Je n’ai pas pu attendre plus longtemps et d’un geste, je me suis retiré de Sophie. J’ai à peine eu le temps de retirer le préservatif que déjà, j’éjaculais. Abondamment. Mon sperme a explosé contre son derrière, avant de couler lentement dans sa raie culière. Aux aguets, Laure a relevé la tête, et s’est précipitée sur son amie pour lécher l’endroit souillé. Du plat de la langue, je l’ai vue prendre en bouche toute ma semence, ou du moins autant que possible, avant de se relever et d’embrasser Sophie. Ces deux-là auraient pu provoquer chez moi une nouvelle érection instantanée ! Mais le baiser en est resté là. Elles se sont toutes les deux regardées en souriant, tandis que je n’osais même pas les regarder dans les yeux.

– Oh merde, a soudain dit Sophie en regardant sa montre, j’avais pas vu l’heure, je dois filer. Mon mec a invité un couple d’amis à la maison, il faut absolument que je rentre !

Son mec ? Un couple d’amis ? Mais est-ce qu’on ne venait pas de… Et mon sperme qui coulait encore entre ses fesses. Je n’osais imaginer la situation si son homme découvrait ça. Sophie s’est rhabillée en vitesse, avant de donner un nouveau baiser à Laure et de partir par l’arrière du café. Nous nous sommes retrouvés seuls avec Laure, je n’osais pas prononcer un mot. Alors c’est elle qui l’a fait, en se rhabillant.
– C’était bien. Non ?
– Oh, si ! Si si, c’était génial.
– Inspirant ?
– Possible, oui !

Une fois tous les deux vêtus à nouveau, nous sommes sortis à notre tour et nous sommes retrouvés sur le trottoir. Il faisait un froid glacial, c’était plutôt étrange de nous voir ainsi emmitouflés alors que nos corps étaient encore brûlants de nos ébats. Laure m’a alors regardé avec un petit sourire.

– On se voit demain j’imagine ?
– Pardon ? ai-je demandé, toujours aussi déboussolé.
– Eh bien, même heure, même table, même café ? Non ?
– Oh ! Si ! Oui bien sûr, on se voit demain.
– Bonne soirée alors.
– Oui, également.

Elle m’a embrassé. Sur la bouche. D’une façon si sensuelle que jamais je ne pourrais l’oublier. C’était la première et dernière fois que nous nous embrassions, il ne s’est plus rien passé entre nous par la suite.

Aussitôt chez moi, j’ai tenté de réécrire tout ce que j’avais vécu, mais c’était impossible. Trop intense. Il n’y aura donc pas de nouvelle sur les deux serveuses du café de ma rue. Par contre, j’ai publié une histoire à ce sujet sur un site d’histoires érotiques

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Benoît de Macadamia
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Dimanche 23 février 2025 7 23 /02 /Fév /2025 10:14

La fille de la Lune
par Frédérique Wagner

 

 bisou1719

O ma petite brune, que ta pâleur m’émeut,
Je sens sous mes deux mains frémir ta poitrine
Comme deux petits pigeons qui frémissent et s’ébrouent
Sous ma caresse douce. Leurs pointes sont très brunes
Et appellent ma bouche qui viendra vite y boire
Ton désir innocent. Et quand je me recule
Pour mieux voir ton corps et sa couleur de lune
Dont seule une touffe noire dissimule le sexe
Je sens venir de loin dans mon ventre stérile
Une chaleur ardente qui monte et s’épanouit.
Ma langue libertine se glisse et se faufile
Entre les deux rondeurs de ton cul voluptueux
Pour se glisser, coquine, dans ton œillet marron.
Ah ! Que j’aime t’enculer tant en te dégustant
Car ton goût un peu âcre ne me rebute point
Il m’excite au contraire et ma cyprine sourd
De mes cuisses disjointes où ta main me caresse.
Oui ma petite amante, oui ma divine gouine
Je t’aime et je te baise et quand j’atteins enfin
Ton petit con soyeux, o ma divine amie
C’est l’amour que je bois et c’est toi qui me prends.
Nos têtes entre nos cuisses s’agitent en cadence
Et le doux clapotis de nos langues enfiévrées
Qui s’activent, inlassables, entre nos lèvres ouvertes,
Résonne comme un ruisseau dont la source est exquise.
Tes doigts sont dans mon cul et font un va-et-vient
Et élargissent le trou où ton godemiché
Viendra bientôt entrer. Tu me chevaucheras,
Moderne walkyrie, et tu seras mon homme.
Et je serai hurlante de désir assouvi
Quand mes orgasmes fous auront tous éclatés.
Et puis, penchée sur moi, tu me regarderas
Jouir et jouir encore jusqu’à l’épuisement.
Et puis nous dormirons, allongées, tête-bêche,
Mon visage et le tien sur nos ventres apaisés.
Ma bouche cependant restera entr’ouverte
Pour revenir encore sur ton con délicieux
Pour boire la liqueur d’or que tu me donneras
Et qui m’inondera de sa brûlante ondée.
Et c’est encore ma langue qui ira nettoyer
Ton petit trou merdeux quand tu soulageras
Tes entrailles chargées. Tu en feras de même
Et nous rirons ensemble de nos fausses audaces,
Et finirons toutes deux dans un bain voluptueux
Que nous prendrons ensuite, et étant face à face
Dans la baignoire blanche, ton pied entre mes cuisses
Et tes mains sur mes seins, me donneront encore
Tout le plaisir du monde que seule toi me donne.

Alice-Paula081 (1)

A mon amour…

Frédérique Wagner – 2004

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Poèmes divers
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Lundi 10 février 2025 1 10 /02 /Fév /2025 20:09

Saint Guignolet par Honoré Letellier
stamp saint

En la chapelle des douces voluptés
Loin des regards de la maréchaussée
Saint Guignolet donne l’eucharistie
Sans le moindre habit, et avec son vit
En satisfaisant la Sœur Sainte Ursule
Qui dévotement prie pour qu’il l’encule

StGuignolet

Honoré Letellier dit Telius (1733-1793)
Cet horloger et astrologue fut un précurseur puisque 237 ans avant l’affaire du calendrier maya, il associait déjà l’alignement des planètes à la fin du monde. Réalisant ses démonstrations à l’aide d’un automate truqué, il tenait baraque sur le Pont Neuf à Paris et vendait fort chers des réservations d’abris qu’il était impossible de visiter puisque prétendument situés dans le domaine royal de Satory. Il fut aussi chansonnier et auteur de quelques poésies grivoises.

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Par vassilia-x-stories - Publié dans : Honoré Letellier
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Mercredi 15 janvier 2025 3 15 /01 /Jan /2025 11:08

Les deux nonnes et l’ânon par Jacques Hiers
cheval stamp

Elles se déshabillèrent.
Elles étaient enfin
Libres et complices
Et s’étreignirent.
Luana, l’italienne
Glissa sa cuisse
Entre celles d’Elisabeth
Et elles s’envulvèrent
Frénétiquement.
Il faisait encor jour.
Leurs frétillements
Et leurs odeurs
Sans doute émoustillèrent
Les sens de l’ânon
Qui se mit à bander ; La belle dimension
Du beau sexe exposé
Fit que les yeux d’Elisabeth
Soudain s’écarquillèrent
Et elles n’eurent là de cesse
De se vouloir saisir
Du gros et long bourdon…
Haletantes, toutes excitées
Les deux Nonnes empoignèrent
Le beau brandon de chair
Et se mirent à le masturber,
Lui donnant de la langue,
Le frottant sur leurs seins
Et pulpant ce prépuce
Paraissant surhumain !
Et là, toutes deux nues,
Frottèrent ici leurs fentes
Et même leur anus
En gloussant de plaisir,
Deux furies en moiteurs…
Elles murmuraient des mots
Entrecoupés de plaintes,
L’ânon bandait plus fort
Se cabrant joliment
Sous bouches, fesses et cons ;
Elles le branlaient toujours,
Appliquées, haletantes,
Quelle belle foutrerie
Pour ces deux Officiantes
Aux poses excitantes
Qui cajolaient ce vit !anon

Et puis, nos deux Amantes
Se firent soudain plus chiennes,
Luana ici fit mettre
Sur un banc Elisabeth
Allongée sur le dos,
Impatiente, celle-ci
S’empara là du vit
Et cuisses bien ouvertes
Se frotta le pubis
De façon bien experte,
Elle eut un petit cri
De femme énamourée,
Frotta son clitoris,
Se prit à écarter
Ses lèvres bien rosies
Pour y venir glisser
Dans la fente épanouie,
Ce long braquemardin
La venant exciter…
Le membrin glissa bien,
Le sexe dilaté
Avala le prépuce
Qui surdimensionné
Fit gémir notre Nonne
Qui paraissait aux Anges…
Ainsi donc, les échanges
Furent rondement menés
Et la douce branlée
D’une pénétration
Bien ici assortie
Firent que bientôt l’ânon
Voulut se mettre à braire
Dans son excitation…
Mais Luana le fit taire
Frottant ses boursaillons,
Les palpant, les pinçant
De façon singulière,
Ce qui pressa l’ânon
Tout au fond de la chair
De Nonne Elisabeth
Disant tout bas des mots
Qui n’étaient point prières,
Mais belles injonctions
A se vouloir faire mettre
Même encor plus profond !
Luana se caressait,
Contemplant son Amie
En belle position
Et bientôt, elle jouit
Sans moindre retenue,
Se grattant bien le cul
A la paille d’une botte,
Elle masturbait sa motte,
Et jeta des mots crus,
Puis en spasmes partit,
Un doigt au fond du cul,
S’agitant bien des fesses,
On ne l’eût reconnue,
Tant la belle Diablesse
Ne se contenait plus,
Toute folle en ivresses !
L’ânon, bien enfourné
Forniquait tant et plus
Dans le con éclaté
D’Elisabeth aux nues,
Ne semblant pouvoir s’arrêter…
La Nonne fort soufflait,
Les seins tout tressautants
Et ses beaux yeux cernés
S’ouvraient sur le néant
Du toit de l’écurie ;
En cris, elle partit,
Quand subitement l’ânon
Vida là en son con
Une lave en furie
La chauffant tout au fond…
Alors, elle retomba
Et comme anéantie,
Un long moment garda
En elle la saillie,
Jusqu’à ce que la bite
Lisse, belle et humide
Se retira d’icelle
Finissant de vider
Au sol son trop-plein
De semence bien épaisse…
Plus tard, ce fut en fesses
Qu’Elisabeth reçut
Au cœur de son beau cul
Cet immense vitin,
Mais cela, mes Amis
Fera l’objet ici
D’un autre parchemin…

A votre bon plaisir,
Si vous le voulez bien…

Jacques Hiers

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Poèmes divers
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