Samedi 7 décembre 2024 6 07 /12 /Déc /2024 13:58

Chanette 32 – Drogue en stock – 1 – Le notaire libidineux
StampFFH

Ceux qui n’ont pas lu mes précédentes aventures (comme c’est dommage !) ignorent donc qui je suis. J’exerce le métier de dominatrice professionnelle… (ben oui, c’est un métier !) Je me prénomme Christine D (Chanette, c’est pour mes clients et quelques très rares intimes), j’ai, disons entre 30 et 40 ans, suis mariée avec un homme de moins en moins présent. Taille moyenne, peau mate, visage ovale, cheveux mi-longs, fausse blonde, pas mal foutue (et modeste avec ça !). Mes récits ne sont pas des récits de domination, mais des récits d’aventures érotiques. Allez, c’est parti !

J’ai dû me déplacer à Bourg-La-Rondelle près de Cahors pour une histoire d’avenant, suite à la vente de la Bergerie (voir Chanette 15, la Bergerie)

Je suis descendue en train ayant horreur des longs trajets en voiture….

Maître Quinballet, le notaire, est plutôt bel homme ce notaire, la quarantaine, très brun, yeux bleu comme la mer un jour de grand calme, costar sur mesure, et cravate triste. (Eh oui chers lecteurs une cravate de notaire peut être triste !)

Et il ne cesse pas de reluquer dans mon décolleté, qui n’est pourtant pas si provoquant que ça !

– Il est indiqué voyante comme profession. Si je peux me permettre cette digression, vous n’en avez pas du tout le look.
– Ou, on me le dit souvent ! Répondis-je.
– Vous savez dans mon étude, je vois un peu de tout. Le fisc a inventé une catégorie professionnelle fourre-tout dans lequel on retrouve beaucoup de professons libérales disons… diverses, comme les diseuses de bonne aventure, les étalagistes, les péripatéticiennes…
– Oui bon ! Si on arrêtais cette digression ! M’agaçais-je.
– Bien sûr ! Mais les lois de la nature étant ce qu’elle sont, je ne peux m’empêcher de vous trouver beaucoup de charme… Non, non ne dites rien, je vous propose de nous accorder un petit moment de détente en échange de quoi je reverrais mes frais de notaire à la baisse.

Et au lieu de l’envoyer bouler, je lui ai demandé à combien s’élèverai cette ristourne

– Voyons voir… disons 500.

J’aurais pu répondre comme je fais parfois que je ne fais que de la domination, mais là allez donc savoir pourquoi, j’ai accepté, parfois il ne faut pas trop chercher à comprendre… Peut-être ses beaux yeux bleus, allez savoir ?

– Vous êtes bi ? Me demande-t-il
– Pourquoi cette question ?
– Parce que j’adore les trios, mais je ne les apprécie que quand les deux femmes se tripotent…
– Disons que je n’ai rien contre.
– Alors je vais appeler Laetitia.
– On reste au même tarif ?
– Vous ne perdez pas le nord, vous, je monte la ristourne à 600.

Et il appelle par l’interphone la dénommée Laetitia.

– Bonjour madame !
– Laetitia, nous allons faire un petit trio comme je les aime bien.
– Avec Madame ?
– Oui !
– Ce ne sera pas une corvée, madame a beaucoup de charme. Dit-elle en verrouillant la porte.

Elle aussi, brune, très légèrement dodue, très souriante, lunettes à grosse monture, chemisier blanc, jupe grise.

– Allez les filles, mettez-vous les nichons à l’air et venez me sucer la bite.

Un grand moment de poésie, quoi !

Donc on se dépoitraille tandis que le notaire s’est affalé dans un fauteuil devant nous après avoir baissé pantalon et caleçon.

On s’approche, je lui caresse sa bite qui commence à bien bander, Laeticia me rejoint et je pensais qu’on allait le sucer à deux, mais elle me fait un signe que je ne saisis pas de suite. Elle approche alors son visage du mien, nos lèvres se touchent et c’est parti pour un roulage de galoche en règle tandis que nos mains deviennent baladeuses.

J’ai toujours eu une réelle fascination pour les jolies poitrines et je ne peux m’empêcher d’embrasser celle de cette délurée secrétaire. Evidemment ma langue s’enroule autour des tétons turgescents. J’adore. Et j’adore encore plus quand la coquine me rend la pareille.

Le notaire bande à présent comme un cerf en rut. De nouveau on s’approche et nos langues viennent lui titiller le gland.Chanette3201

– Mollo, mollo, ne me faites pas jouir ! On n’est pas à cinq minutes ! Implore le notaire.

Ben oui, j’ai bien compris qu’il avait l’intention de me baiser bel et bien !

On calme donc le jeu en faisant de petites interruptions pendant lesquelles nous nous donnons des petits coups de langues mutuels et coquins.

Puis Laetitia abandonne un moment la verge pour s’intéresser aux couilles du notaire qu’elle lèche avec application.

Et moi je fais quoi ?

– Fous lui un doigt ! Me souffle Laetitia

Ce n’est pas un problème, mon doigt se faufile jusqu’au trou du cul notarial et s’y enfonce avant de se livrer à quelques va-et-vient intempestifs.

– Ah, tu m’encules avec ton doigt ! J’adore ça ! Je ne suis qu’un enculé c’est trop bon !

J’adore quand ls mecs se mettent à délirer de la sorte.

Et soudain, changement de scénario.

– Ce n’est pas bien, ça de se faire enculer ! J’ai trop honte, je mérite une punition.

– Tu t’en occupes ? Me propose Laetitia.
– Je lui fais quoi ?
– Tu lui donnes la fessée à ce vilain notaire qui aime trop se faire enculer.

Ça non plus, ce n’est pas un problème, Laetitia invite le notaire à se coucher sur le mes tendres cuisses et je commence à taper du plat de la main.

– Ouin, je suis un vilain garçon, je mérite, une bonne fessée.

Je ne sais pas trop comment il faut taper, je fais donc ni trop fort, ni trop doucement, cela à l’air de convenir au notaire. N’empêche que je commence à avoir mal à mes délicates petites mimines. Laetitia s’en aperçoit et me tend une règle plate en plastique.

OK, mais ça va faire plus mal que les mains nues, mais je suppose que Maître Quinballet est habitué à ce genre de traitement. Je frappe donc, son cul déjà bien rosie par ma fessée, tourne maintenant au cramoisie. J’espère qu’il va tout de même pouvoir s’assoir après cette petite fantaisie !

Il finit par me dire d’arrêter. OK, je ne suis pas là pour le contrarier.

– Oh la la, j’ai le cul en feu ! Si ça passe comme cela en enfer, je prends mon billet de suite ! Mais dites-moi Madame D’Esde, je manque à tous mes devoirs, je ne vous ai pas honoré la moule.

Honoré la moule ! En voilà une expression !

Moi, je veux bien qu’il me broute le minou, le souci, c’est que je ne mouille pas. N’allez pas croire que je suis devenue frigide, vous les savez bien, chers lecteurs, mais il est extrêmement rare que je mouille en situation professionnelle !

Il m’est arrivé en certains cas d’user de subterfuge, comme par exemple enduire ma chatte de gel ou faire quelques gouttes de pipi, mais présentement je ne vois pas trop ce que je pourrais bien faire.

Mais après tout qu’importe, puisqu’il sait que je suis une pute, il n’aura qu’à faire avec !

Et, ça y est, j’ai la langue de Maître Quinballet. Contrairement à ce que j’appréhendais il se débrouille plutôt bien, procédant par de longs balayages avant d’attaquer mon clito. Et là la question est : jouira, jouira pas ? Et comme je connais déjà la réponse je m’apprête à faire la démonstration de mes talents de simulatrice.

Mais putain, il n’est pas manchot de la langue Maître Machin truc, je sens mon plaisir monter. Je me crispe ! Il m’a fait jouir ce con !

– Et maintenant que j’ai honoré votre con, me permettrez-vous d’honorer votre cul !
– Je vous en prie, maître, faite comme chez vous !

Ben oui, il m’a payé, je ne saurais refuser.

Je me retourne donc offrant mon postérieur aux délicatesses de Maître Quinballet, lequel commence par me lécher le trou en me complimentant pour son goût exquis… Tu parles, j’ai transpiré comme une bête dans le train… mais si ça lui convient c’est le principal.

Et après la langue, c’est le doigt ! Faut surtout pas se gêner… mais encore une fois il m’a payé, donc je me laisse faire. Et j’ai bien compris qu’après le doigt ce sera sa bite.

S’il veut le faire san capote, je refuserais, sinon, ben j’ai payé (on va commencer à le savoir !) et sa bite n’ayant rien de monstrueuse, ça devrait bien se passer.

Les tiroirs de Maître Quinballet sont bien remplis, Laetitia sait où se trouvent les capotes et le gel lubrifiant et tend tout ça au notaire.

Respire un bon coup ma fille, il va t’enculer !

– Aie !

Il est entré un peu brusquement mais maintenant ça va. J’espère qu’excité comme il est, ça ne va pas durer des heures…

Effectivement, après quelques sages va-et-vient, il se met à accélérer la cadence à un rythme frénétique et il jouit dans un râle (et dans mon cul)

Il se retire, le visage congestionné, et soufflant comme un bœuf. Et jette négligemment sa capote dans la corbeille à papier révélant une bite gluante de sperme. Que Laetitia n’hésite pas une seconde à nettoyer de sa bouche ! La coquine !

Je me dirige vers mes affaires afin de me rhabiller, mais voilà Laetitia qui me rejoint.

– Ça te dirait qu’on se fasse jouir ? Me demande-t-elle avec un sourire charmeur
– Pourquoi pas ?

Et nous nous sommes retrouvées sur la moquette en position de soixante-neuf en train se de lécher la figue de conserve.

J’ai quand même joui deux fois ! Merci messieurs dames !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Samedi 7 décembre 2024 6 07 /12 /Déc /2024 11:36

Martinov 28 – Meurtre à Bourg-la-Nonne –15 – La visite de Camilla par Maud-Anne Amaro

Solene

Le professeur et Béatrice se sont rendus au château de Granpré afin de remettre au châtelain le récit d’Agathe. A cette occasion Grégoire leur fit part de son intention de vivre en couple avec son cousin.

Quelques jours plus tard à Louveciennes alors que le professeur et Béatrice travaillaient, on sonna à la porte.

– Camilla ! Mais qu’est-ce qui vous amène ? Demande Martinov en ouvrant la porte et en découvrant la soubrette de Grégoire Lamboley.
– Une surprise !
– Entre je vous en prie
– Bonjour Professeur ! Monsieur Lamboley m’a chargé de vous remettre en mains propres ces petits cadeaux, il y en a un pour vous, un autre pour Mademoiselle Béatrice. C’est m’a-t-il-dit pour vous remercier de votre bon travail.

Il s’agissait d’une gros volume, tirage de tête et numéroté, abondamment illustré sur la cuisine moyenâgeuse.

– C’est très gentil, vous le remercierez pour nous, mais vous faites l’aller-retour ?
– Non, je suis là depuis hier, je suis passé voir ma grand-mère à Paris, et maintenant je vais rentrer au château.
– Asseyez-vous cinq minutes, on vous offre à boire ?
– Si vous aviez du café ?
– Je vais le réchauffer ! Proposa Béatrice qui venait de les rejoindre, Mais si nous vous emmenions au restaurant ce midi ?
– Ah, oui, pourquoi pas ?
– Et comment ça se passe au château ?
– Bof la routine, Monsieur Jean-Yves est un peu bizarre. Je regrette un peu les moments de folies que nous avons vécu ensemble.
– Coquine ! lui répond Béatrice
– On ne se refait pas !
– Ça me fait penser que je ne t’ai même pas embrassé; je manque à tous mes devoirs.

Et comme le lecteur peut se l’imaginer, le bisou dérapa très vite pour se transformer en un roulage de pelle de règle.

Et quand on s’embrasse avec une telle fougue, les mains ne restent pas inactives, Difficile de se peloter les seins en étant ainsi collés l’une contre l’autre, en revanche pour les mains au cul, c’est facile !

Evidemment tout cela est très excitant.

– J’ai envie de toi ! Ne tarde pas à indiquer Camilla dans un souffle.
– Viens on va aller à l’étage, on sera mieux sur le lit ! Lui répond Béa.

– Amusez-vous bien leur lance, le professeur, goguenard tandis que les deux femmes entament la montée de l’escalier.
– Oh, ce pauvre Monsieur Martinov ! Intervint Camilla. Il pourrait venir avec nous et nous regarder. ?
– Ben oui, viens ! L’invite Béatrice.

« Bien sûr que je vais venir, après tout c’est MA chambre ! »

Mutuellement excitées la blonde et la blackette se débarrassent de leurs vêtements à la vitesse grand « V » avant de se précipiter sur le lit où elles se caressent et s’embrassent dans un océan de volupté. Béatrice apprécie tout particulièrement les jolis tétons marron foncé de sa partenaire qu’elle suce comme la plus savoureuse des gourmandises.

Martinov s’est assis sur une chaise et regarde. En libertin d’expérience, il sait qu’on ne dérange pas deux femmes qui se donnent du plaisir. Il espère néanmoins qu’à un moment ou à un autre elles lui proposeront de les rejoindre, alors il sort sa queue et la masturbe nonchalamment.

Les deux femmes ne restent pas en place, multipliant les positions, aux hasards de leurs caresses. Un moment Camilla se retrouve en levrette, le cul cambré, les cuisses écartées.

– Oh que c’est beau ! S’écrie Béatrice qui ne peut s’empêcher d’aller fourrer sa langue dans ce petit trou provocateur.
– Vas-y je sens bien ta langue… J’aime ça !
– Oh, ce qu’il bon ton cul !

Si Camilla apprécie cette fantaisie comme il se doit, cette position l’empêche de peloter sa partenaire, aussi se retourne-t-elle afin de lui attraper les nénés et de s’en régaler.

Et inexorablement les deux coquines se retrouvent en soixante-neuf. Excitées comme elles le sont, la jouissance vient très vite. Et après la jouissance, on se calme un peu… juste un peu…

– Regarde un peu, Martinov comme il bande ! Fait remarquer Camilla.
– Tu veux le sucer ?
– Oui, j’adore sucer des bites ! Viens-là pépère je vais m’occuper de toi !

Martinov2815Vous pensez bien que ce sont des paroles qu’il est inutile de répéter deux fois à ce cher professeur qui n’attendait que ça.

Et l’instant d’après la bite du professeur était dans la bouche de la blackette. Béa s’approche espérant que Camilla lui laisserait une petite place. Mais que nenni ! La blackette veut tout pour elle.

Qu’à cela ne tienne, Béa a toujours de la ressource, et plante un doigt dans le cul de Martinov.

Et soudain Camilla s’arrête :

– T’as des capotes ?
– Dans le tiroir !
– Alors tu vas m’enculer comme une chienne !

« Il y a des propositions qu’on ne peut pas refuser » comme disait Marlon Brando dans « Le Parrain »

Et cette aventure se termina par le râle de jouissance du professeur dans le conduit anal de la jolie blackette, tandis qu’à l’extérieur la pluie se mettait à tomber.

« Sale temps dehors, bon pour jeu touche-touche à la maison » (comme disait Bergman en suédois)

Fin de l’épisode

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 7 décembre 2024 6 07 /12 /Déc /2024 11:32

Martinov 28 – Meurtre à Bourg-la-Nonne –14 – Agathe de Millevois par Maud-Anne Amaro

Goldevaine2

Après avoir bu un jus de fruit bien mérité, le professeur et Béatrice retournèrent à leur labeur. Le pli étant pris ils allèrent plus rapidement en besogne.

Ils découvrirent dans la deuxième petite pièce, deux squelettes, probablement un homme et une femme. Dans la troisième pièce, il n’y avait aucun cadavre, juste un petit coffre en bois cerclé, relativement bien conservé.

On l’ouvrit d’autant plus facilement que le mécanisme était rongé par la rouille. A l’intérieur point de trésor, mais quelques objets intimes, un miroir, un étui de poignard et un manuscrit en mauvais état.

– Bien professeur, je vous félicite, votre mission est terminée, je vais vous régler vos émoluments, j’aimerais toutefois vous confier une tâche supplémentaire, seriez-vous en mesure de restaurer ce manuscrit ?
– Oui, ça se fait !
– Eh bien, je vous propose de trinquer au verre de l’amitié et qui sait ce manuscrit nous dira peut-être si un trésor est planqué quelque part. Sait-on jamais ?
– Il faudrait donner une sépulture décente à ses pauvres gens. Intervient Camilla.
– Camilla, on ne vous a rien demandé ! Rétorque Grégoire.
– Je vous conseille de n’en rien faire ! Indique Martinov, j’ignore si une procédure est prévue en pareil cas mais ça risque d’être lourd, le ministère de la culture, le département des monuments historiques… il vont vous prendre la tête…
– Mais je ne peux pas conserver ces squelettes dans mon château !
– Je vous propose d’attendre qu’on ait déchiffré le manuscrit, ensuite on avisera…, souhaitez-vous que je vous masque les trous avec du contreplaqué ?
– Je saurais faire, il m’arrive d’avoir la main bricoleuse ! Ne rigolez pas Camilla !

Grégoire Lamboley a désormais une idée fixe, il reste persuadé qu’il y a un trésor de planqué quelque part dans ce château, c’est donc avec une grande impatience qu’il attend les résultats du professeur Martinov. Mais en attendant il se livre à sa propre enquête…

Il se rend donc chez le libraire du coin et se présente…

– Il n’existe pas un ouvrage consacré au château de Grandpré ?
– Il n’y a pas grand-chose, mais il y a deux ou trois ans un étudiant en histoire a fait publier à compte d’auteur un mémoire sur l’histoire du château, ça n’a pas intéressé grand monde, il doit m’en rester quelques exemplaires à la cave, vous en voulez un ?
– Et cet étudiant vous avez ses coordonnées ?
– Non, et il n’était pas de la région…
– Bon tant pis… Je veux bien un exemplaire de son travail.

L’ouvrage relate plusieurs siècles de la vie du château depuis le 9ème siècle jusqu’à la Révolution, période au cours de laquelle le châtelain régnant et une partie de sa famille furent guillotinés après un simulacre de procès tandis que le château fut au trois quarts détruit par les flammes…

Grégoire Lamboley lit tout cela un peu dans le désordre rageant de ne rien trouver qui l’intéresse puis il tombe sur ce chapitre :

« Enguebert, le baron sanguinaire

Enguebert fut sans doute le baron le plus sanguinaire des châtelains, une sorte de Barbe bleu… En autres exactions, les chroniques de l’époque rapportent qu’il aurait fait décapiter sa première femme coupable de « trahison », il fit pendre sa deuxième épouse et l’amant supposé de cette dernière, pour fait d’adultère.

Après un troisième mariage avec Agathe de Millevois, il partit pour la troisième croisade en l’an 1190 et ne revint jamais. »

Donc tout s’explique ! Se dit Grégoire, le premier squelette est celui de sa première femme, les deux autres ce sont sa seconde épouse et son amant, tout cela date du 12eme siècle, mais pour ce qui est du trésor, je ne suis pas plus avancé !

Sauf que les déductions de Grégoire étaient fausses…

Béatrice a réussi à rendre visible l’encre avec laquelle a été rédigé le manuscrit, mais le résultat est à peine compréhensible, mélange de vieux français et de patois local.

– On ne peut pas rendre le truc comme ça à Lamboley, ça ne lui servira à rien, on va chercher sur Internet un linguiste spécialisé dans le vieux français

Alexandre Bonner est une sorte d’excentrique, binoclard et volubile, sa veste démodée est envahie de pellicules au niveau du col. Il rendit son travail sous quarante-huit heures.

– C’est une belle histoire, je vous l’ai restitué sous trois formes, une traduction littérale qui offre pas mal de points obscurs, une traduction adaptée épurée de tous ce qui peut paraître obscur, et une troisième où je me suis permis de romancer tout ça dans une courte nouvelle.

C’est cette dernière que lurent le professeur et Béatrice et que nous allons lire nous aussi :

La confession d’Agathe

Je m’appelle Agathe de Millevois, veuve du vicomte de Millevois mort accidentellement lors d’un tournois, ma famille m’a fait remarier au baron Enguebert de Comondec.

Je suis coupable de plusieurs crimes pour lesquels les flammes de l’enfer me sont promises.

J’ai péché en tuant trois personnes de sang-froid, j’ai péché en me complaisant dans un double adultère et dans la sodomie.

Alors à quoi bon me confesser devant un prêtre ? Je consigne néanmoins ces événements espérant sans trop y croire que Dieu dans sa grande clémence saura me pardonner, sachant que je souhaitais protéger ma propre vie.

Le mariage fut célébré en grandes pompes mais très vite de baron s’est révélé sous un jour brutal, autoritaire et sadique, il prenait plaisir à torturer ses domestiques sous des prétextes futiles avec la complicité de son écuyer et il était en cela encouragé par sa mère, Blanche de Comondec qui le dominait totalement, je n’échappais pas à ses instincts et fut flagellée plusieurs fois en présence de la mère.

Enguebert consignait ses faits et méfaits dans un journal intime que je découvris par le plus grand des hasards.

Il expliquait avoir fait décapiter sa première épouse pour un acte de trahison dont je n’ai pas saisi le sens, il poursuivait en écrivant que sa mère avait surpris sa deuxième femme en situation compromettante avec le capitaine de la garde, il avait fait pendre les deux amants adultérins et fait jeter leur dépouille aux chiens.

Parallèlement je développais un amour platonique avec Raoul le chef cuisinier du château. De platonique cet amour devint rapidement charnel et il me fit connaître des voluptés insoupçonnées mais interdites.

Raoul, étant donné son grade bénéficiait d’une chambre individuelle, quand il me proposa de m’y emmener afin qu’il puisse me baiser, je ne sus refuser.

L’homme était doux et me couvrait de caresses, je n’avais touché que la bite de mon époux Raoul me demanda de toucher la sienne, j’en éprouvait la douceur, mais quand il me demanda de la prendre en bouche, j’hésitais.

– Donne-moi du plaisir et je te le rendrai au centuple. Fais-moi confiance.

Ces paroles me plurent et me retrouvais en train de sucer cette organe avec l’étrange sensation de pécher gravement.

Il faut croire que je m’y prenais mal car Raoul fut obliger de me conseiller afin que j’accomplisse cette tâche impie de meilleure façon.

– J’aime qu’on me suce, mais maintenant c’est moi qui vais te lécher le con.

J’ai trouvé l’idée farfelue mais me suis laissé faire, quand on a un expert de la chose en face de soi, il convient de le laisser opérer sans le contrarier.

Très vite, j’ai ressenti des frissons insolites, des frissons de plaisir, c’était bon et je me suis abandonné à sa douce langue.

Ce plaisir est devenu de plus en plus fort, de plus ne plus incontrôlable et soudain n’en pouvant plus, j’ai criéMartinov2814

– Mais que m’as-tu fait ?
– Je t’ai donné du plaisir, tout simplement ! Maintenant je vais te baiser.
– N’est-ce point dangereux ? As-tu réfléchi ? Que se passerait-il si tu m’engrossais ?
– Mais ma douce, ce n’est point par le con que je vais te baiser, mais par le cul !
– N’est-ce point pécher que de faire pareille chose ?
– Au point où nous en sommes !
– Tu ne croirais donc pas au Dieu du ciel ?
– Bien sûr que j’y crois, la création ne s’est pas faite toute seule ! Mais c’est aux paroles des curés que je ne crois plus. Si Dieu est si bon pourquoi aurait-il créé les moustiques et champignons vénéneux ? Pourquoi aurait-il proscrit le plaisir charnel ?
– Ces propos me troublent…
– Alors passons à autre chose, me feras-tu don de ton cul ? Si tu refuses, je ne serais pas fâché, j’attendrais que tu sois décidée.

Alors je lui ai offert mon cul, j’ai ressenti un très grand plaisir, moins intense que celui que m’avait procuré sa langue, mais quand même !

Nous nous sommes ainsi rencontrés plusieurs fois de suite toujours avec le même plaisir, et un jour il me dit une étrange suggestion.

– J’ai appris à lire et un jour je suis tombé sur un manuscrit reprenant des récits des Grecs anciens dans lequel il est question de l’art de l’amour. J’y ai appris beaucoup de choses… mais sais-tu que pour eux l’amour le plus fort, celui qui multiplie les sensations et les plaisirs c’est l’amour de groupe.

Je me demandais où il voulait en venir…

– Sais-tu que Quentin, l’un de mes cuisiniers, rêve en secret de faire l’amour avec toi ?
– Non bien sûr ! Mais pourquoi me parler de ce garçon ?
– Si nous l’invitions à nos jeux amoureux ?
– Mais je ne l’aime point !
– Qui te parles d’amour ? Ce sera juste pour le plaisir !

Curieusement je ne refusais pas mais me demandais à moi-même comment pourrais-je avoir le courage d’annoncer à mon confesseur toutes ces turpitudes ?

Le lendemain, nous étions trois dans la chambre, je découvrais le vit de Quentin, plus épais que celui de Raoul, et le suçais avec conviction pendant que Raoul me prenait le cul.

Après un moment mes deux amants permutèrent, l’introduction dans mon intimité arrière du vit de Quentin me fit d’abord un peu mal mais la douleur s’estompa faisant place au plaisir.

Quentin après avoir pris son plaisir eu la délicatesse de nous laisser Raoul et moi, afin que notre rencontre se termine par de douces caresses.

Malgré tous ces instants de plaisir et de bonheur, je me sentais en danger. Avec raison ou non, je soupçonnais Blanche de nous avoir observé.

Si je voulais éviter un destin funeste, il me fallait prendre l’initiative.

Parallèlement Enguebert se préparait à rejoindre le duc d’Anjou afin de participer à la troisième croisade, je devais saisir cette opportunité.

Assistée d’une servante dont je tairais le nom, mais bien contente de se venger des sévices qu’on lui avait fait subir, j’empoisonnais Enguebert qui partit se coucher avec d’atroces douleurs avant de passer de vie à trépas, je dissimulais sa mort à son entourage et restais à veiller sa dépouille.

Quand sa mère, inquiète, pénétra dans la chambre, je la poignardais la tuant sur le coup, puis je fis appeler le chef de la garde et le reçu sur le pas de la porte

– Le seigneur Enguebert a eu un malaise passager, il est maintenant rétabli, il partira cette nuit rejoindre de Duc d’Anjou avec son fidèle écuyer, qu’on le fasse venir d’urgence.

Je congédiais le chef de la garde et quand l’écuyer pénétra à son tour dans la chambre, il goûta de mon poignard et succomba sur le champ

Il existait dans nos appartements privés trois petits renfoncements sans utilité. Au milieu de la nuit avec l’aide de Raoul et de Quentin, j’emmurais le corps de Blanche dans un de ces petits réduits, ceux d’Enguebert et de son écuyer dans un autre. L’opération fut facile puisqu’un amas de pierres se trouvait sur le chemin de ronde, prête à être utilisées en cas d’attaque du château. Et Raoul m’avait procuré du mortier.

Avant que le jours se lève, Raoul se revêtit de l’armure et du heaume d’Enguebert, tandis que Quentin prenait la place de l’écuyer. Ils quémandèrent l’ouverture du pont-levis et chevauchèrent dans la direction d’Angers.

Sans doute certains soupçonnaient-ils quelque chose mais ils ne le firent point savoir, la version officielle étant que le baron était parti rejoindre en pleine nuit les troupes du duc d’Anjou.

Le plan prévoyait que Raoul et Quentin reviennent le lendemain, débarrassés de leurs déguisements. J’ignorais totalement quelle serait à présent ma nouvelle vie, mais Raoul m’avait assuré que je pouvais compter sur lui et qu’il avait quelques idées…

Je n’ai jamais revu ni Raoul, ni Quentin, sans doute par crainte que leur complicité dans mes crimes soit découverte, sont-ils aller se faire pendre ailleurs me laissant seule et désespérée avec mes illusions perdues et ma honte.

Je vais dès demain cheminer vers le couvent de Lubrant, j’y prendrais le voile et resterais cloitrée en m’efforçant d’expier mes péchés.

Il me reste maintenant à emmurer cette confession après l’avoir déposée dans un coffre avec mon miroir qui savait refléter ma beauté qui désormais ne me servira plus, ainsi que la trousse dans laquelle je cachais le poignard avec lequel j’avais assassiné Blanche et l’écuyer..

Que Dieu puisse me pardonner !

Fin du récit d’Agathe.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 7 décembre 2024 6 07 /12 /Déc /2024 11:29

Martinov 28 – Meurtre à Bourg-la-Nonne –13 – Le réconfort de Béatrice par Maud-Anne Amaro
prelude2

Le lendemain

Les outils se trouvaient dans une cabane de jardinier, Et Martinov put avec d’infimes précautions déceler la première pierre, cela prit un certain temps ? Ensuite ce fut plus facile.

Le trou laissait passer une odeur nauséabonde de pourriture, Martinov activa sa lampe torche.

– Pouah, c’est quoi ce bordel ? S’il y a un trésor là-dedans, il pue la charogne.

Et puis…

Grégoire Lamboley est confortablement affalé dans un fauteuil moelleux du salon, Camilla est entre ses jambes prête à lui prodiguer une ces turluttes dont elle a le secret…

Le professeur entre en trombe dans le salon…

– Hé, vous ! On ne vous jamais appris à frapper avant d’entrer ?
– Monsieur Lamboley, on a trouvé quelque chose derrière le mur…
– Un trésor ?
– Non, un squelette !
– Quoi ? un squelette récent ?
– Non, il n’a pas l’air vraiment récent, c’est un squelette de femme, je présume.
– Vous savez reconnaitre un squelette de femme, vous ?
– Oui l’os du bassin est plus large chez les femmes.
– On en apprend tous les jours, je vais aller voir ça, Camilla nous reprendrons nos fantaisies un peu plus tard.
– Je peux voir le squelette, moi aussi ? Demanda-t-elle.
– Mais bien sûr !

Ils se dirigèrent tous trois vers le mur à moitié dégagé.

– Pouah, quelle odeur ! J’ignore comment nous allons gérer cette découverte, si vous avez une idée je suis preneur.
– Il faudra donner une sépulture décente à cette malheureuse ! Suggéra Camilla.
– Sans doute, sans doute…. Monsieur Martinov je vous suggère avant toute chose de vous occuper des autres petites pièces…
– C’était prévu, monsieur Lamboley.
– Mais je ne vois pas Béatrice.
– Disons que cette découverte l’a un peu remué, elle est partie en cuisine s’hydrater un peu.
– Oh ! Camilla allez rejoindre cette pauvre enfant et réconfortez-là.
– Avec grand plaisir, monsieur !

Camilla se rend donc dans la cuisine, elle y trouve Béatrice assise sur une chaise et pâle comme un linceul!

– Besoin d’aide, Mademoiselle Béatrice ?.
– Non, ça va aller, je ne sais pas ce qui m’a pris, c’est ce squelette qui m’a perturbé, c’est complétement irrationnel.
– Je peux faire quelque chose ?
– Non, je vais retourner là-bas, mais t’as le droit de me faire un bisou.

Mais quand on est coquine et qu’on se fait un bisou, il devient forcément profond et baveux. De plus Camilla en profite pour peloter les seins de la chimiste. (Quelle coquine celle-ci !)

– Attends, on ne va pas se gouiner dans la cuisine ! Proteste Béa assez mollement.
– Moi j’aime bien baiser dans des endroits insolites. Assis-toi sur le plan de travail, j’ai envie de te faire une léchouille.
– Tu exagères ! Répondit la blonde tout en adoptant la position suggérée.

Martinvo2813
Béatrice baissa son pantalon, mais conserva son string, se contentant de l’écarter afin de laisser le passage à la langue de la blackette, laquelle se mit lécher cette chatte accueillante avec gourmandise..

– Relève un peu tes fesses, j’ai envie de te lécher le petit trou !
– Cochonne !
– Bien sûr que je suis cochonne ! Hum il est délicieux ton troufignon ! Commente-t-elle avant de tenter d’y introduire le bout de sa langue.

– Camilla ne revient pas, il se passe quelque chose… s’inquiéta le professeur Martinov.
– Allons voir ! Proposa Grégoire Lamboley.

Les deux hommes s’attendaient à une scène dramatique, à la place ils ont droit à une scène érotique.

– Ouf, tout va bien… mais c’est très excitant ce qu’elles font là ! Annonce Grégoire.
– On pourrait avoir un peu d’intimité, messieurs ? Déclare Béatrice (sans trop de conviction d’ailleurs)
– Faites comme si nous n’étions pas là, nous on regarde.
– C’est cela mettez-vous en plein la vue, vieux cochons. !
– Mais quelle impertinence ! J’ai bien envie de me branler en les regardant, ça ne vous choque pas, Monsieur Martinov ?
– Faites comme chez vous !

Et voilà donc Grégoire Lamboley qui sort de sa braguette une bite déjà bien bandée.

– Vous avez une bien jolie bite ! Ne peut s’empêcher de constater le professeur.
– Si elle vous intéresse, ne vous gênez surtout pas.

Ben justement puisqu’il en a la permission, il ne va pas se gêner, il prend en main cet intéressant membre de chair, le caresse un peu puis… hop dans la bouche.

– Monsieur Martinov vous êtres un cochon !

Le professeur ne répond pas (on ne parle pas la bouche pleine) mais pompe allégrement jusqu’à s’en décrocher la mâchoire.

– Aimeriez-vous que je vous encule ? Lui suggère Grégoire.
– Puisque vous me le proposez gentiment, je ne saurais refuser.

Et pendant qu’il se débarrasse de son pantalon, la cuisine se remplit d’un son qu’on entend d’ordinaire en chambre, celui de la jouissance de Béatrice.

Celle-ci, qui va donc beaucoup mieux, invite Camilla à inverser les rôles, ce que cette dernière s’empresse d’accepter.

Martinov c’est placé en levrette sur le carrelage de la cuisine et attend que Grégoire vienne lui défoncer le fion.

– Merde… les capotes ! Se rend compte Lamboley. Camilla allez donc me chercher un préservatif.
– Mais Monsieur voit bien que je suis occupée !
– Camilla, il est meilleur plaisir qu’un plaisir retardé !
– J’y vais, j’y vais.

Moment calme en attendant le retour de Camilla, personne ne sait quoi dire…

Et puis ça repart, Camilla reprend sa place, Grégoire s’encapote et sodomise le professeur avec vigueur, tandis que la langue de Béatrice envoie sa partenaire au ciel.

– Oh, qu’est-ce que c’est bon une bonne bite dans le cul ! S’exclame Martinov

Grégoire après s’être agité comme un beau diable, jouit et décule. Le professeur se relève et fait comprendre à l’assistance qu’il aurait aimé jouir lui aussi.

Qu’à cela ne tienne, Camilla et Béatrice se précipitent et lui prodiguent une turlutte à deux bouches au terme de laquelle son sperme gicle sur les gros nichons de la blackette qui s’amuse à se l’étaler comme s’il s’agissait d’une crème de beauté…

Bien sûr, Béa ne peut la laisser ainsi et vient lécher ce délicieux foutre.

– Faut que je pisse ! Déclare Martinov en reprenant ses esprits.
– Offrez-moi donc votre pipi ! Répond Camilla
– Moi je veux bien mais on va en mettre partout…
– On s’en fout, je passerais la serpillère…
– Dans ce cas… Répond le professeur en ouvrant les vannes.

Son urine atterrit dans le gosier de la petite blackette. Evidemment Béatrice ne peut rester insensible à ce spectacle et vient quémander sa part… Le contraire eut été étonnant.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 7 décembre 2024 6 07 /12 /Déc /2024 11:26

Martinov 28 – Meurtre à Bourg-la-Nonne –12 – Les cousins par Maud-Anne Amaro
Gaystamp

Jean-Yves Lamboley arrivé à Bourg-la-Nonne repère de suite le château, il l’a déjà vu en photo sur le courrier du notaire, mais là il est devant lui

– C’est loin d’être le plus beau château de France mais il a de la gueule malgré son côté rafistolage, et bientôt ce sera peut-être MON Château !

Il se présente à l’entrée, Camilla lui ouvre et l’introduit auprès de Grégoire Lamboley.

– Bonjour, je suis Jean-Yves Lamboley, nous sommes cousins m’a-t-on dit ?
– Enchanté.
– Je me devais de faire cette visite de politesse.
– Asseyez-vous, puis-je vous offrir un vieil armagnac, il provient de la cave de notre grand oncle
– Volontiers.
– Si j’ai bien compris, nous sommes les deux héritiers, quoi qu’il y a ma mère également…
– C’est en effet ce que m’a indiqué le notaire.
– Sans doute devrions nous en discuter ?
– Très certainement, mais comment trouvez-vous cet Armagnac ?
– Il déchire. Mais pourquoi cette digression ?
– J’ai envie de vous dire quelque chose.
– Je vous en prie.
– Je vous trouve très beau, vraiment très beau !

Jean-Yves s’attendait à tout sauf à ça.

– Seriez-vous attiré par les hommes ? Répondit-il par reflexe
– Cela m’arrive, cela m’arrive …
– Confidences pour confidences, je suis gay
– Eh bien au moins les choses sont claires, en d’autres circonstances je vous aurais dragué.

Un ange passe, les deux cousins paraissent aussi embarrassés l’un que l’autre. Mais c’est Jean-Yves qui relance au culot :

– Remarquez, nous pourrions oublier les circonstances, je vous plais et vous ne m’êtes pas indifférent non plus. On ne vit qu’une fois sacrebleu !
– Eventuellement seriez-vous contre un petit trip sexuel, cela nous détendrait et permettrait de briser la glace ? relance Grégoire Lamboley.
– Mais ce serait avec grand plaisir mon cher cousin !
– Je peux me permettre de vous toucher la braguette ?
– Je vous en prie, faites comme chez vous !
– Hum, je sens quelque chose de dur !
– Comme c’est étrange ! Fouillez à l’intérieur vous avez ma permission.

Grégoire Lamboley plane complétement, il est fasciné par la beauté trouble de son cousin, il lui dégrafe sa ceinture, fait tomber le pantalon, le caleçon à fleurs suit, la bite se dresse fièrement.

– Bel organe !
– Nous pourrions peut-être nous déshabiller tous les deux, se serait cool.
– Alors soyons cools.

Les deux cousins se déshabillent donc et se font face, bites bandées et ne peuvent s’empêcher de se rouler une gamelle bien baveuse.

– Vous me faites un de ces effets ! Murmure Grégoire.
– Au point on nous en sommes nous pourrions sans doute nous tutoyer.
– Cela va de soi, mon prénom c’est Grégoire, juste Grégoire, j’ai horreur qu’on m’appelle Greg. j’aime bien tes tétons, tu aimes qu’on te les pinces.
– Oui pince-les fort ! Et toi tu aimes aussi ?
– J’adore !
– Nous sommes décidemment fait pour nous entendre.

Et nos deux joyeux gays s’amusent à se tortiller les bouts de seins, fantaisie propre à saisir leur bite comme des bouts de bois.

Et à ce stade, qui va le premier sucer la bite de l’autre ?

Eh bien c’est Grégoire qui d’une simple flexion se retrouve bouche contre pine.

Elle est trop belle cette queue, bien droite, la peau diaphane laissant apparaître une impertinente veine bleue, le gland brillant et violacé… un véritable bijou d’amour !

Grégoire pompe cette bite avec une frénésie incontrôlable tandis que sa main passé derrière Jean-Yves, lui flatte les fesses et s’approche stratégiquement du trou de balle.

– Tu suces bien…Mais j’aimerais bien profiter aussi de ta queue…

Martinov2812Grégoire lui fait signe qu’il a compris mais qu’il souhaite encore profiter de sa fellation quelques instants.

Il lèche la hampe, titille le gland, flatte les couilles… toute la gamme du bon suceur de bites…

Puis les deux hommes échangent leurs rôles, Jean-Yves suçait divinement et faisait se pâmer d’aise son cousin, mais Grégoire voulait jouir d’une autre façon…

– Tu aimerais que je te baise ?
– Volontiers.

Il se dirige vers le buffet, cherche des préservatifs, ne les trouve pas et sonne l’interphone.

– Camilla, je ne trouve plus les capotes…
– Ah ? Dans votre chambre, sans doute !
– Bien sûr, suis-je bête !
– Vous pouvez me les apporter ?
– Bien sûr, monsieur !

Et quelques minutes après, elle apparaissait avec les préservatifs dans sa main, pas plus étonnée que ça de découvrir son patron et son visiteur nus et en pleine forme.

– Merci Camilla, c’est pour sodomiser mon cousin !
– J’avais compris, amusez-vous bien !
– Elle est marrante ta soubrette ! Indiqua Jean-Yves, une fois qu’elle fut sortie.
– Elle est adorable.

Jean-Yves s’est retourné, il est arcbouté contre un fauteuil, cul tendu. Grégoire vient lui lécher la rondelle à grands coups de langue, puis après s’être encapoté le zigouigoui, il encule son cousin .

– Ou, vas-y met la moi bien profond !

Justement c’est ce qu’il fait ! La bite fait de longues allées et venues dans le conduit rectal, Jean-Yves pousse des gémissements de plaisir tout en se branlant., Grégoire s’agite de plus en plus vite, son sang lui monte à la figure, il sent sa jouissance proche, il tente de ralentir mais s’en avère incapable, alors il se laisse aller et prend son pied avec un grognement de satisfaction.

– Eh bien, ça m’a donné chaud, je n’étais pas vraiment venu pour ça. Déclare Jean-Yves en se rhabillant.
– Les choses ne se passent jamais comme on croit qu’elles vont se passer. Répond doctement Grégoire.
– Oui mais à ce point… Il nous faut malheureusement revenir sur terre, et parler du château…
– Le château ? Et si nous l’achetions à deux ?
– Voilà une proposition inattendue, mais elle ne me déplaît pas.
– Topons là, mon cher cousin !

Mais voici que le professeur Martinov se pointe comme une fleur.

– Euh, je suis désolé, j’aurais dû frapper, je ne pouvais pas savoir…
– Allons, allons, Monsieur Martinov, ne jouez pas les jeunes filles, nous sommes entre adultes, que diable ! Ah, je vous présente Jean-Yves, mon petit cousin. Il a un jolie bite, n’est-il pas ?
– Enchanté ! Monsieur Lamboley, nous avons fait des sondages à l’aide d’instrument pointus…
– Oui, le coupe Grégoire, ce château est plein de mystères, des passages secrets, des chambres secrètes j’ai même cru un moment qu’il était hanté, heureusement que vous êtes là, mon cher professeur Martinov pour m’aider à y voir clair.
– Donc, put reprendre le professeur, je pense que ces pièces sont murées, on ne va pas donner des coups de pioches, je vous suggère que nous descellions les pierres avec précaution.
– Faites, mon vieux, faites, souhaitez-vous vous faire assister par un maçon ?
– Non mais il va falloir me dire où sont les outils, sinon je peux toujours aller en acheter.
– Voyez avec Camilla, elle va vous indiquera où se trouve tout ça ! Je vais l’appeler…

– Monsieur me demande ?
– Camilla, le professeur Martinov va avoir besoin de vous, vous verrez avec lui…
– Bien Monsieur
– Ce n’est pas tout, ce soir prévoyez un diner pour quatre personnes,
– Faut que je fasse des courses, alors ,
– Mais faites, mon petit, faites ! Et dernière chose vous préparerez une de nos chambre d’amis pour mon cousin Jean-Yves.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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