Samedi 3 mai 2025 6 03 /05 /Mai /2025 10:31

Pauline à Paris par Léna Van Eyck – 4 – Premières passes

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On a donc continué à servir comme des gentilles serveuses. Il y en a qui ont une sacrée descente, je me demande comment ils peuvent encore tenir debout ? Et je vous dis pas les mains aux fesses ! Ça aussi ce doit être une coutume locale. Nous avions instruction de laisser faire sauf si le type devenait lourd.

– T’es nouvelle, toi ? Me dit un gros lard (en me touchant les fesses évidemment)
– Oui, je suis Eugénie.
– Tu m’emmènes ?
– Oui !

Antoinette qui a entendu se ramène :

– Eugénie est nouvelle, c’est son premier jour, je la chaperonne un peu, je vais monter avec vous, ce sera sans supplément. D’accord ?

Évidemment qu’il est d’accord.

– Je le connais, il s’appelle Félicien, ça va aller vite, il va vouloir te voir à poil, il va te peloter les nichons et après il va te baiser à la pépère. Avant toute chose tu lui laves la bite, ils sont rarement propres, ces types. S’il veut t’embrasser sur la bouche tu refuses, ce n’est pas dans nos usages !

Mon premier client, celui dont on se souvient toujours. Je l’aurais préféré plus jeune, plus beau, mais je n’ai pas eu ce choix.

Je me déshabille, lui aussi, il dégage une forte odeur de mâle, mais ça n’a rien d’insurmontable , il se laisse laver la bite sans rouspéter, mais c’est vrai que c’est un habitué du lieu.

– Tu ne te fous pas à poil ? Demande-t-il à Antoinette.
– Je peux mais dans ce cas ce sera avec supplément.
– Alors soyons fou. Allons-y pour un trio.
– Et on paye d’avance, lui précise ma collègue.
– Bien sûr, bien sûr.

Antoinette et moi gagnons le lit, Félicien ne sait par où commencer, il est là à nous regarder, bave aux lèvres et bite en étendard, je me retiens de rigoler.

Et le voilà qu’il arrive, il en veut à mes nichons. Et vas-y que je les pelote, que je les malaxe, que je bave dessus comme un crapaud. Faut surtout pas se gêner. Brutal ? Non on ne peut pas dire, mais bourrin, oui assurément !

Il me laisse un moment tranquille pour aller peloter Antoinette qui l’encourage de façon très professionnelle.

Puis il revient vers moi.

– Ecarte tes cuisses ma jolie, je vais te baiser bien comme il faut.

Certes il m’a baisé, quant à dire que c’était bien comme il faut, ce serait aller bien vite en besogne.

Il a pris son plaisir en grognant comme un porc puis s’est rhabillé en oubliant de se rincer la bite .

Et voilà, le pas est franchi. Pute d’un jour, pute toujours dit-on. Et croyez-moi si vous voulez, ça ne me traumatise pas le moins du monde.

Je n’aurais pas appris grand-chose avec ce type. On est redescendu, les deux voyageurs ne semblent pas encore prêts, mais un quidam en redingote vient de s’attabler

– Jamais vu celui-ci ! Me confie Antoinette, on va se le brancher..

Elle s’approche avec un gros sourire coquin, je l’imite.

.- Qu’est-ce qui vous ferais plaisir, monsieur ?
– Peut être un moment avec vous…
– Avec nous deux ?
– Pourquoi pas ? Au diable l’avarice !

Le bonhomme est d’humeur joyeuse, d’autant qu’il a manifestement bu un petit coup.

Après le déshabillage, il nous demande de nous assoir sur le bord du lit et s’installe entre nous.

A tous les coups, il va nous peloter les seins. Ça ne rate pas, la main gauche pour ceux d’Antoinette, la main droite pour les miens

– Il faut toujours honorer les seins, m’a dit monsieur le curé.

Il doit sortir ça à chaque fois qu’il monte en chambre, mais nous sommes bonnes joueuses et faisons semblant de trouver son trait irrésistible.

– Si vous me suciez ? Suggère-t-il.

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On est là pour ça, non ? Alors allons-y pour une pipe à deux bouches. Voilà qui n’est pas désagréable d’autant que sa bite fleure bon. Il a du se la laver à l’eau de Cologne.

Elle est marrante Antoinette profitant de l’occasion pour m’envoyer des petits coups de langue

– Passons à autre chose. Nous indique le bonhomme, j’adore la sodomie.
– Avec un petit billet en plus tout est possible. Lui précise Antoinette.

Le gars s’en va sortir ce qu’il faut de son portefeuille et revient vers nous alors que nous nous sommes placées toutes deux en levrette, le croupion relevé.

– Euh, non, je me suis mal fait comprendre, c’est moi qui souhaite être sodomisé ! Nous précise-t-il.
– Ah ! Ce n’est pas un problème ! Lui répond Antoinette. Et on fait ça avec le doigt ou tu préfères un godemiché.
– Le gode, j’aime bien.

Il y en a justement deux dans le tiroir du chevet, un gros et un petit, le client choisir le gros. Le client est un gros cochon.

Le miché se met en levrette en frétillant du cul. Antoinette lui tartine du trou du cul avec de la vaseline pis introduit le gode.

Ça lui fait de l’effet, au monsieur qui pousse de longs râles de plaisir pendant qu’Antoinette fait aller et venir le machin dans son trou de balle.

– T’aimes ça te faire enculer ! Hein gros vicieux ? Le nargue Antoinette.
– Ouin, oui !
– T’as déjà essayé avec une vrai bite ?
– Non, non ! C’est pas du tout mon fantasme.
– Qu’est-ce t’en sait puisque t’as jamais essayé ?
– Arrête de parler de ça, ça va me déconcentrer.

Alors Antoinette se tait et continue d’agiter le godemiché, Puis elle me passe le relais.

– Allez bosse un peu. Voilà comme ça pas trop vite, mais pas trop lentement non plus, tu l’enfonces, tu le fais revenir et tu l’enfonces encore.

J’essaie de faire de mon mieux, il faut croire que je me débrouille pas si mal. Le client se saisit de son membre et se met à le masturber comme un malade, il gicle une énorme quantité de sperme. Heureusement on avait placé une serviette.

Il se rhabille en silence, mais avant de franchir la porte il s’adresse à Antoinette.

– Ce n’est pas parce que j’aime les godemichés que je suis homosexuel ! Faut pas croire des choses.
– Mais il n’y a aucun soucis, cher monsieur.

Il s’en va pour de bon, et nous rhabillons.

– Un homo refoulé, ça arrive de temps en temps ! Me confie Antoinette.
– Et s’il nous avait dit qu’il aimait les bites, on aurait fait quoi ?
– S’il était prêt à lâcher un supplément on descendait voir Madame Berthe, elle sait arranger ce genre de choses…
– J’aimerais bien voir ça !
– Tu en auras l’occasion…

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 3 mai 2025 6 03 /05 /Mai /2025 10:28

Pauline à Paris par Léna Van Eyck – 3 – L’apprentie putain
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On me propose donc de faire la putain, je ne vais pas jouer les pucelles effarouchées, parfois quand je m’adonne à mes plaisirs solitaires je m’imagine être une catin, mais du rêve à la réalité, il y a un sacré pas à franchir.

Je me suis assise sur un banc public et j’ai mis un certain temps à me décider avant de revenir dans ce rade.

– Je crois que je vais accepter, mais je voudrais savoir comment ça se passe ?
– Ben quoi, t’as jamais baisé ?
– C’est pas ça, je voulais parler des sous.
– Ah ! Je ne me suis pas présentée, je m’appelle Berthe, mais quand tu t’adresseras à moi tu devras me dire Madame. Sinon voilà comment on fonctionne : Avant de monter, le client me paye, j’en garde la moitié, l’autre moitié c’est pour toi et je te la verse en fin de service. Si le client veut des spécialités tu lui demandes un pourboire que tu gardes pour toi, mais attention si tu traines de trop, je te taxe. Et si tu fais des conneries, on règle ça à coup de martinet.
– Des spécialités ?
– Bon, il va falloir t’affranchir, toi ! Je vais te mettre en doublure avec Antoinette, je ne veux pas savoir comment tu t’appelles et tu ne devras le dire à personne. Ici tu seras Eugénie, ça te plait comme nom Eugenie ?
– Ça ne me déplait pas.
– Bien, Antoinette va te chaperonner, mais avant je veux voir la marchandise, viens avec moi dans l’arrière-salle.

Elle m’a demandé de me déshabiller, et s’est mise à me peloter les seins.

Faut surtout pas se gêner !

– Ça me semble parfait, t’as déjà baisé avec une femme ? Rhabille-toi !
– Ma foi, non !
– C’est un tort, Je vais demander à Antoinette de te déniaiser.

Ma réponse n’est pas tout à fait franche, il me revient en mémoire ces attouchements interdits avec ma cousine Sophie dans la grange de ses parents, elle était mignonne Sophie, une jolie fille mais tout le monde se moquait d’elle à cause de ses cheveux de rousse. On s’était regardé faire pipi, on s’était embrassé sur la bouche, on s’était caressé les tétés et la minette, on rigolait comme des bossues. Cela m’avait amusé et troublé mais quand Sophie m’a proposé de recommencer, je me suis dégonflée sans trop savoir pourquoi. Avec la cousine on a fait comme si cette petite fantaisie n’avait jamais eu lieu… Je ne sais ce qu’est devenue Sophie, j’ai cru comprendre qu’elle était partie travailler à Paris.

Antoinette est une petite brunette toute frisée, joli minois et grosse poitrine, elle doit avoir un succès fou avec les hommes !

– Voilà ta chambre ! Le lavabo, c’est dans le couloir, pour tes besoins, il y a un pot de chambre avec un couvercle, tu n’es pas obligé de le vider, il y a des clients qui aiment bien regarder. Là ce sont des éponges …
– Des éponges ?
– Ben oui, tu voudrais pas qu’un client t’engrosse ? Alors tu te fous ça au fond de la moule et quand c’est fini tu le changes. Le broc c’est de l’eau fraîche, tu la changes à chaque client, c’est pour leur laver la bite, c’est obligatoire, t’as aussi du savon… Et la petite bouteille, c’est de l’eau de Botot, c’est pour te rincer la bouche; c’est un désinfectant.

Quelle poésie !

– Déshabille-toi !
– Encore ?
– Tu ne crois pas que tu vas aller bosser avec ce que t’as sur le dos, on va te trouver une tenue qui ressemble à quelque chose.

Et pour la deuxième fois je me retrouve toute nue, et pour la deuxième fois je le fais peloter les seins. C’est une coutume locale ou quoi ?

– T’es bien foutue, je te lécherais bien l’abricot.
– Mais enfin, tu es une femme…
– Ah oui ! Tu avais remarqué ! Assis-toi sur le bord du lit et écarte les cuisses !
– Mais pourquoi ?
– Parce que j’ai envie.

Les images de la cousine Sophie me sont revenues en mémoire avec une précision diabolique, alors j’ai ouvert mes cuisses

Les doigts de la belle Antoinette sont venus m’écarter mes grandes lèvres, et dans la foulée j’ai senti sa langue me lécher l’abricot.

Et quelle langue elle a !

– Arrête, j’ai envie de pisser ! Lui dis-je.
– Eh bien pisse moi dans la bouche !
– T’es sûre ?
– Puisque je te le dis ! Attends, je vais enlever ma robe, je n’ai pas envie que tu en foutes partout.

Et la nana retire sa robe et se retrouve à poil. Elle a des gros nichons laiteux que j’ai envie d’embrasser. Mais on ne peut pas tout faire à la fois, elle veut ma pisse, elle va l’avoir !

– Pas tout d’un coup ! Essaie de pisser par rasades ! Me prévient-elle.

Je fais donc comme elle le souhaite et lui balance une première giclée qu’elle engloutit avec gourmandise.

Elle s’en lèche les babines et en réclame encore…. Mais quand il y en a plus, il y en a plus !

Pauline03Qu’à cela ne tienne, mademoiselle reprend son travail de lèche avec sa langue diabolique. Je suis au bord de l’orgasme et elle en a conscience, alors elle se livre a quelques interruptions histoire de faire durer le plaisir (c’est le cas de le dire), et puis soudain sa langue s’enroule autour de mon clito,. C’’en est trop, j’hurle comme une damnée.

Antoinette me toise, satisfaite de son action. Elle peut

– A toi de jouer ma belle, maintenant que tu m’as bien excitée.

Je le sentais venir ce coup-là, mais c’est de bonne guerre et puis ce ne devrait pas être une corvée.

Je porte enfin mes mains sur sa magnifique poitrine en éprouvant sa douceur. Ma bouche s’approche, je lèche, ses gros tétons durcissent sous les lèvres, elle se pâme.

– Lèche moi la moule !

Elle est pressée ou quoi ?

Mais puisque femme veut…

A mon tour donc de brouter le gazon, c’est tout mouillé la dedans et fleure un étrange goût, où se mélangent saveurs de miel et d’urine.

– Mon cul !
– Quoi ton cul ?
– Fous-y ton doigt.

Oh la cochonne !

C’est bien la première fois que je vais foutre mon doigt dans le cul d’une nana. Il y a toujours une première fois

– Le clito, le clito… le supplie-t-elle.

On y va, on y va et l’Antoinette part à son tour au paradis des goudous.

A mon tour d’être fière. Elle m’embrasse, pas le petit bisou de politesse, non, la grosse gamelle baveuse.

– Ben voilà, et ne me dit pas que ça ne t’a pas plu !
– Bien sûr que ça m’a plu.
– Autant te prévenir, avec la mère maquerelle tu vas passer à la casserole, tu n’y couperas pas, elle est moins douce que moi et elle est un peu sadique.
– C’est-à-dire ?
– Tu verras bien, mais ça ne va pas bien loin, elle ne va prendre le risque d’abimer la marchandise.

Brrr.

On est descendu. Le rade est fréquenté par deux catégories de clients, d’une part des habitués du lieu, des soiffards bruyants qui tapent la carte ou qui roulent les dés

– Ceux-là inutile de les aguicher, de temps en temps il y en a un qui monte mais bon… m’informe Antoinette .
– Ah ?
– L’autre catégorie, ce sont les bourgeois du coin, ceux-là viennent pour tirer leur coup, il y aussi quelques voyageurs de commerce qui cherchent un peu de détente. Des Parisiens des Belges et même des Anglais.

En ce moment la salle est principalement occupée par les soiffards, mais deux types bien habillés, un gros et un maigre, sont en pleine conversation dans un coin, on leur a déjà servi leur consommation.

– On va tâter le terrain, viens ! Me dit Antoinette, et laisse-moi faire !

On s’approche des deux bonhommes.

– Alors messieurs, une petite détente, ça vous tenterait ?
– Bien sûr mais pas tout de suite, nous parlons affaires.
– Bien, quand vous serez prêts, demandez après nous, je suis Antoinette et ma copine, c’est Eugénie.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 3 mai 2025 6 03 /05 /Mai /2025 10:25

Pauline à Paris par Léna Van Eyck – 2 – Une petite pipe pour le vieux Gabriel
Martinov

Je ne sais combien de temps j’ai cheminé, je n’ai aucune notion de l’heure d’autant que le ciel s’est couvert. Pourvu qu’il ne flotte pas !

Enfin je tombe sur une route, mais c’est la route pour où ?

Qu’importe, je la longe, il finira bien par passer quelqu’un !

Un attelage arrive, en fait une charrette tirée par un bourricot.

Je lui fais signe de s’arrêter. Miracle il le fait

– Monsieur, je suis perdue !

Le type est un bonhomme dans la soixantaine, barbu et mal fagoté.

– Vous êtes dans un drôle d’état, qu’est-ce qui vous est arrivé. Me demande-t-il
– Je me suis enfuie de chez moi, mon mari voulait me tuer.
– Pourquoi ? Vous avez fait des bêtises ?
– Il est violent quand il a bu !
– Ah ? Et vous allez où ?
– J’en sais trop rien, tenter ma chance dans une grande ville, dans une taverne peut être ?
– Je vais à Livarot livrer de la farine, je vous emmène ?
– Non, ça ne m’arrange pas, c’est là que j’habitais…
– Je peux vous proposer un truc : je vous dépose au carrefour des Fauvettes, je livre la farine et je vous reprends au retour, je ne serais pas trop long.
– C’est gentil, vous n’auriez pas un petit truc à grignoter.
– J’ai du pain et du fromage…
– Vous êtes un amour.

Je me suis planqué derrière l’affreux calvaire qui défigure ce carrefour et j’ai attendu.

Je gamberge, un affreux doute m’envahit : et si le bonhomme me dénonçait et se ramenait avec ceux qui me veulent du mal. Je suis d’autant plus inquiète qu’il met un temps fou à revenir.

Des bruits de sabots, je maintiens ma cachette, apparemment personne ne l’accompagne, mais on ne sait jamais, je reste cachée.

Le type s’arrête au carrefour, sans doute étonné de ne pas m’y trouver

– Mademoiselle ! Vous êtes où ?

J’attends quelques instants voulant m’assurer qu’il n’y a pas de piège. Puis je me dévoile.

– Coucou, je suis là.
– Vous vous cachiez ?
– Oui, j’ai eu si peur.
– Montez !
– On va où ?
– Chez moi, ensuite on verra ce que je peux faire pour vous.

Pendant le trajet il n’en a pas décroché beaucoup, c’est un taiseux

– Voilà c’est chez moi, je m’appelle Gabriel, je vis tout seul depuis que mon épouse a été emportée par une mauvaise fièvre, mes deux garçons sont partis travailler aux mines dans le Nord. J’ai un petit moulin à eau alors je fais de la farine avec mon blé et celui que l’on m’apporte. Bon je suppose que vous devez avoir encore faim, j’ai un reste de poulet…
– Cela me conviendra très bien, merci !
– Donc maintenant la question : où désirez-vous aller ?
– Je pensais à Rouen…
– Pourquoi pas, et en échange ?
– Mon pauvre monsieur, en échange, je n’ai rien.
– Ben si pourtant…

Je ne suis quand même pas née de la dernière pluie et j’ai parfaitement compris à quoi il pensait ce vieux cochon.

– Non, monsieur, je n’ai rien à vous proposer ! Répétais-je
– Soyons réaliste, je ne suis pas quelqu’un de violent ni de méchant, N’ayez crainte, je ne vous prendrais pas de force… et d’ailleurs à mon âge je n’aurais pas le dessus. Je me serais simplement contenté de vous caresser la poitrine. Il y a si longtemps que je ne n’ai pas fait ça.
– Vous ne fréquentez pas les ribaudes ?
– Un peu cher pour ma bourse !

Il ne sait pas mentir, le bonhomme !

– Et si je ne suis pas d’accord ?
– C’est votre droit, dans ce cas nous n’irons pas à Rouen mais je peux vous abriter pour la nuit et vous inviter à partager ma nourriture, comme je vous l’ai dit, je ne suis pas quelqu’un de méchant !

Au fond ça ne me coûte rien de lui montrer mes nichons et de le laisser les caresser un moment, le problème c’est que ce genre de situation, c’est le doigt dans l’engrenage, alors j’hésite.

– Laissez-vous faire, je ne mords pas ! Insiste-t-il.

J’hésite encore avant de lâcher :

– Bon, d’accord, mais on fait ça rapidement !

Je me dépoitraille. Le type il en a les yeux exorbités.

– Elle vous plaît ?
– Elle est magnifique ! Je peux toucher ? Juste un peu ?
– Allez, vas-y pépère, c’est mon jour de bonté !

Alors vous pensez bien que puisque permission il y a, il ne va pas s’en priver, le Gabriel. La caresse est d’abord timide avant de bifurquer sur le téton. (Première loi de l’attraction mammaire)

– Doucement, doucement, !
– Excusez-moi, je ne voulais pas vous faire mal !
– Vous ne me faites pas mal, mais allez-y doucement

Le type se calme, il n’est pas trop con .

– Je bande beaucoup ! Déclare-t-il néanmoins.
– J’en suis heureuse pour vous
– Admettez que la situation est difficile !
– Pourquoi ? Si vous voulez vous branler en me regardant, ça ne me dérange pas.
– Oui bien sûr, mais j’imaginais autre chose.
– C’est très bien l’imagination. Et vous imaginiez quoi ?
– Rien, laissez tomber.
– Non, je ne vais pas être vache, sors-moi ta bite, je vais te la caresser.
– C’est vrai ?

Il n’en revient pas, pépère ! Il en est tout ému !

C’est tout moi, ça, je suis une fille gentille, et je viens de me mettre toute seule au pied du mur. Je n’ai pas depuis mon mariage commis tant d’infidélités que ça, mais à chaque fois surgit le même problème : « est-ce que sa bite est propre ? » Et si elle ne l’est pas, je gère comment ?

Alors ça va être la grande improvisation, il me déballe son attirail. Super, c’est récuré comme un sous neuf. Quand j’y réfléchis ce n’est pas étonnant, il est négociant en farine, il ne va pas prendre le risque de se présenter devant ses partenaires commerciaux en puant le chacal !

Pauline02Du coup, je ne me contente pas de caresser cette bite pour le moment demi-molle, mais je me la fourre dans la bouche.et je la turlutte.

Il ne s’attendait pas à ça le vieux Gabriel, en moins d’une minute sa bite passe de l’état de demi-molle à celle de bout de bois bien tendu.

Je sens déjà son plaisir monter, ce doit être l’émotion.

– Je, je… balbutie-t-il
– Je fais comme si je n’avais rien entendu et le laisse décharger son foutre dans ma bouche.
– Toi alors ?
– Ça va ? J’ai gagné mon ticket pour Rouen ?
– Je t’y aurais emmené de toute façon !

Quel faux cul !

Il a tenu sa promesse (heureusement encore !) et je me suis retrouvé en plein centre de Rouen.

J’ai proposé mes services dans deux tavernes qui n’avaient besoin de personne, mais dans la troisième à l’enseigne de l’Oursin Bleu…

– On peut te prendre si tu acceptes de monter avec les clients.
– Monter ?
– Oh, tu sors de l’œuf ou quoi ? Ici faut être gentille avec les clients et s’il a envie de monter, tu l’emmènes et tu ouvres tes cuisses !
– Ah, c’est comme ça que ça se passe ici ?
– Oui, alors je t’embauche ou pas ?
– Je vais réfléchir.
– C’est ça, réfléchis, mais pas trop longtemps, les places sont chères.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 3 mai 2025 6 03 /05 /Mai /2025 10:23

Pauline à Paris par Léna Van Eyck – 1 – Adultère en Normandie
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Nous sommes en 1885, la France est calme après les événements de 1870 et de 1871 (Guerre avec la Prusse, destitution de Napoléon III, Commune de Paris,…). Après l’Empire nous sommes en République et le président a pour nom Jules Grevy, un monsieur très distingué avec une courte barbe blanche.

Nous sommes précisément en Normandie et encore plus précisément à Livarot, célèbre par son excellent fromage dans la ferme des Chamuseaux.

Pauline Chamuseaux, née Féval, qui sera la principale protagoniste de ce récit est une jolie femme de 22 ans. Elle est brune, possède un joli minois très ovale avec un mignon petit bout de nez (un peu grand, se plaint-elle parfois), des beaux yeux bleus et un teint de pêche. Elle a de jolies formes, mais n’en montre rien, son mari étant jaloux comme un tigre.

Un jour qu’elle recherchait on ne sait plus très bien quoi dans un local servant de débarras, elle découvrit un bouquin sans reliure aux pages jaunies par le temps. Elle l’ouvrit au hasard et tomba sur un bien curieux poème racontant à l’aide de mots très crus la rencontre charnelle entre un curé et une jeune novice. Pauline en fut si émoustillée que sa main droite dû la soulager.

Elle prit le bouquin avec elle, et souvent le soir dans sa chambre, avant que son mari la rejoigne, elle en lisait une page et se faisait plaisir.

Jusqu’au jour où son petit diable intérieur lui souffla qu’elle serait sans doute capable d’écrire elle-même de telles choses. C’est donc ce qu’elle fit, décrivant en vers hésitants des orgies à répétition où se mêlaient hommes, femmes, bourgeois et domestiques usant de pratiques perverses réprouvées par la morale mais tellement excitantes.

Au fil des temps son style s’améliora et les pages de son petit carnet secret s’étoffaient.

Pauline s’est marié relativement tard, pourtant elle eut des prétendants, mais son père exigeait qu’elle reste au bercail pour s’occuper de la grand-mère grabataire. Quand cette dernière avala son bulletin de naissance, c’est le paternel qui choisit le mari, le mariage qui fut arrangé avec Georges Chamuseaux, la quarantaine, veuf et riche vacher permettait aux deux familles d’y trouver avantage.

La noce fut grandiose. Mais Pauline n’était point vierge et craignait que son futur le prenne mal. Qu’importe, il y a toujours une copine qui est de bons conseils…

– Voici une petite éponge, tu l’imbiberas de sang de poulet (pas trop, hein !) tu l’enfermes dans ce petit étui de cuir, et après qu’il t’aura pénétré, tu lâcheras ça sur les draps.

Effectivement Georges n’y vit que du feu et la lune de miel dura une quinzaine de jours avant que le naturel de l’homme reprenne le dessus.

Une simple histoire d’assiette mal lavée et la pauvre Pauline reçu sa première trempe.

Eh, oui Georges se révéla colérique, violent et assez bas du plafond. De plus au lit c’était une véritable catastrophe, aucun préliminaire, aucun geste de douceur. Non une fois son affaire terminée, monsieur se retourne pour ronfler comme une locomotive !

C’est en faisant des courses au marché du village qu’elle rencontra Léon, jeune homme d’allure agréable et au sourire aussi charmeur qu’irrésistible.

– Je crois que vous avez fait tomber ces fleurs ! Lui déclara ce dernier.
– Pas du tout, elles ne sont pas à moi.
– Alors je vous les offre ! Je m’appelle Léon ! Pour vous servir, charmante dame !
– C’est gentil, mais je ne peux accepter.
– J’insiste.
– Je n’ai pas envie que mon mari me fasse une scène.
– Il est si méchant que ça le père Chamuseaux ?
– Vous savez donc qui je suis ?
– Tout se sait ici, mais répondez-moi.
– Qu’est-ce que ça peut bien vous faire ?
– Devinez ?
– Je ne vois pas.
– Vous connaissez le sentier des Souches ?
– Oui ! Personne ne va plus par là depuis que le père Lucas est mort.
– Justement c’est l’endroit idéal pour faire la causette en cachette.
– Je vous vois venir, vous !
– Comment ça ?
– La causette que vous me proposez, est-elle admise par la morale ?
– Qu’importe ! Cela vous détendrait… et personne ne le saura.
– Grand fou ! Si je rentre en retard, mon mari va se poser des questions…
– Il suffira de lui dire que vous avez eu une longue conversation avec une commère…

Pauline est troublée par la beauté de ce charmant jeune homme, aussi accepte-elle.

Le sentier des souches est bordé d’une végétation sauvage, mais il y a un peu plus loin, une cabane de jardin en ruines.

– Arrêtons-nous là pour causer un peu ! Propose Léon, l’œil concupiscent.

– L’endroit me paraît guère confortable.
– Peu importe ! J’ai derrière ma braguette un braquemard qui ne demande qu’à faire votre connaissance.
– Vous n’y allez pas par quatre chemins, vous !
– La vie est si courte, pourquoi se priver d’une occasion ?
– Vous savez parler aux femmes, vous ! Allez, déballez-moi votre machin que je vois s’il a bonne allure !

Ainsi encouragé, Léon n’hésite plus et baisse son pantalon exhibant fièrement son service trois pièces.

– Pas mal, mais un peu mou, je trouve ! Constate la jeune femme.
– Il ne tient qu’à vous de la rendre moins molle.
– On va voir ce qu’on peut faire.

Pauline s’empare de ce vit, le caresse en éprouve la douceur, le branlotte, et c’est magique, ça devient tout raide…

– C’est mieux, n’est-ce pas ?
– Vous avez des doigts de fée !
– Je vais vous turlutter ! Vous n’avez rien contre ?
– Turluttez-moi la pine, ma douce Pauline !
– Taquineriez-vous la rime, beau Léon.
– A mes heures mais présentement ce que je taquinerais volontiers ce sont vos nichons.
– Vous êtes un cochon, Léon !
– Oui, oui un gros cochon.
– Un gros cochon qui veut voir mes nichons ?
– Oui, oui !
– Alors les voilà, j’espère que vous ne serez pas déçu, dit-elle en se dépoitraillant.
– Oh, mais ce sont des merveilles !
– N’exagérons rien, mais je n’en suis pas mécontente.
– Oserais-je les toucher ?
– Bien sûr, mais soyez doux

Et le voilà .qui caresse, qui pelote et qui malaxe.

– Doucement, doucement !

Les doigts de l’homme viennent agacer les tétons de Pauline, qui du coup se mettent à se raidir .

– Vous allez me rendre fou !
– Mais non, mais non ! Et puis on peut sans doute se tutoyer, au point où on en en est !
– Oui, oui
– Je t’avais promis une turlutte ! Lui rappelle Pauline en opérant une flexion des cuisses de façon à ce que sa bouche soit en contact avec le chibre maintenant fièrement dressé.

Elle met tout dans sa bouche et joue de sa langue.

– C’est trop bon de sucer des bites ! Indique-t-elle en reprenant sa respiration
– Tu en as sucé beaucoup ?
– Ça ne te regarde pas.
– J’ai envie de te baiser !
– Tiens donc ! Je m’en serais doutée. Seulement il y a un problème.
– Un problème ?
– Oui, on ne me baise pas.

Et devant l’expression d’incompréhension du jeune homme, elle se crut obligée de lui fournir une explication de texte

– Pas envie que tu me fasses un moutard.
– Je sais me contrôler. Objecte Leon.
– Désolée, ce n’est pas négociable, mais tu peux me prendre par derrière, ça ne me dérange pas et j’apprécie quand c’est bon fait
– Alors d’accord. Répondit Léon ravi de cette aubaine.
– Prépare-moi un peu, ce sera mieux.

Pauline01
Pauline de retourna afin de lui offrir son joli popotin. Léon ravi de cette jolie vue qui s’offrait à lui en écartant les globes permettant ainsi à sa langue de venir butiner l’œillet brun dont il appréciait le goût particulier.

Puis quand il estima l’endroit suffisamment lubrifié, il approcha son gland de sa cible et d’un puissant coup de rein, l’encula corps et bien en la pistonnant en cadence.

Il s’y prenait plutôt bien Léon, ce qui n’était pas le cas de tous ceux qui avait en l’occasion de visiter l’arrière-train de la belle..

Pauline sentit sa jouissance monter et se mit à japper de plaisir. Ces cris encouragèrent Léon qui redoubla d’efforts jusqu’à sa propre jouissance

On se rhabille, on s’embrasse et on se promet de remettre ça la semaine suivante.

Cette liaison dura plusieurs semaines, puis un jour des charpentiers et des maçons virent travailler sur la fermette du sentier des Souches, il fallut donc trouver un autre endroit pour s’envoyer en l’air.

– Pourquoi pas chez ton père ? Dans sa grange personne ne nous verra.
– Pourquoi pas en effet !

La première fois, tout ce passa sans encombre, mais la seconde…

Ce jour-là les choses allèrent très vite (et très mal). Les deux amants ne sont pas encore déshabillés mais sont bien débraillés. On s’embrasse, on se pelote… et puis un bruit de porte…

– Pauline, espèce de catin ! Venir tromper son mari dans MA grange, tu vas voir de quel bois je me chauffe ! S’époumone Ernest Feval, le père de notre héroïne.

Il est dans une colère noire, le papa et la bave aux lèvres, menace le couple de sa fourche.

Le sang de Léon ne fait qu’un tour.

– On peut vous expliquer ! Dit-il en quittant sa place, les yeux fixés sur le paternel.

Il n’espère aucune réponse, il fallait simplement qu’il s’approche, et là il écrase le nez du paternel qui se met à saigner d’abondance, un autre coup l’assomme à moitié.

– Tu l’as tué ? S’inquiète Pauline
– Bien sûr que non, mais maintenant il nous faut filler !
– Filer où ?
– Fais-moi confiance, vite dépêchons nous !

Pauline

Et après cette nécessaire introduction (Oh !), le récit va se poursuivre à la première personne. Ma personne. Je raconterais donc ce que j’ai vécu, les passages dans lesquelles je n’étais pas présente ont été romancée, mais j’ai la faiblesse de les croire proche de la réalité.
.
La forêt est toute proche et nous nous y sommes engouffrés.

– Je connais une cabane, un peu plus loin, nous pourrons nous y cacher. M’explique Léon.
– Mais après on va faire quoi ?
– Je ne sais pas, faisons les choses dans l’ordre.

A la ferme de mes parents, c’est mon frère Auguste qui découvre mon père à moitié groggy.

– Qu’est-ce qui t’es arrivé, t’es tombé ?
– Non c’est pire que ça, j’ai surpris ta sœur en train de faire des saloperies avec un jeune coq du village.
– Quoi ?
– Tu te rends compte, ils ont osé faire ça dans MA grange !
– Et il t’a battu ?
– Oui, il m’a cogné par surprise.
– On ne peut pas laisser ça comme ça !
– Ben non ! Il nous faut prévenir Georges Chamuseaux…
– On va lui dire qu’il est cocu ?
– On va y mettre les formes, mais il faut qu’il la corrige, c’est à lui de le faire.

Le Georges est fort surpris de voir arriver le beau-frère et le beau-père.

– Il se passe quelque chose ? Je m’inquiète, Pauline n’est pas rentrée.
– Il y a un problème, nous avons surpris Pauline avec un jeune homme, à l’évidence, ils allaient passer à l’acte…
– A l’acte ? Quel acte ?
– On ne va pas te faire un dessin !
– Ils allaient… Oh ! La salope ! Je m’en vais la corriger, elle s’en souviendra !
– Elle mérite une leçon, il faut lui faire dire qui est ce voyou qui l’a entrainé dans ces turpitudes et lui faire passer un sale quart d’heure.
– J’y compte bien. Mais ils sont où en ce moment ces deux dévergondés ? Demande Georges.
– Ils doivent se cacher quelque part. Pauline finira par rentrer, je la connais elle va jouer les pleureuses et implorer ton pardon…
– Il y a des choses qui ne se pardonnent pas !
– Ne l’abime pas quand même, malgré tout c’est ma fille !
– Tu l’aurais mieux élevé, ça ne serait pas arrivé.

Voyant que la discussion partait dans une mauvaise direction, Auguste tira son père par le bras.

– On s’en va, on se tient au courant.

Avec Léon, nous avons marché pendant près de trois heures…

– S’ils font une battue avec les chiens ils vont nous retrouver
– Non il y a une petite rivière un peu plus loin, on la traversera à guet, les chiens ne comprendrons pas.

Encore une heure de marche et nous avons atteint cette fameuse baraque.

J’ignore qui habitait là-dedans mais ça sentait la vielle crasse.

– Bon on ne va pas rester là-dedans éternellement, on fait quoi ?
– Si tu retournes chez ton mari, il va te tuer !
– Alors je n’y retourne pas, mais je repose la question : on fait quoi ?
– Je ne sais pas, faut que je réfléchisse. On pourrait essayer d’aller à Rouen, c’est deux ou trois jours de marche.
– Mais il nous faudra manger, boire, dormir.
– A boire on trouve toujours, il y a des ruisseaux, et pour manger on piquera des pommes…

Journée de merde, on n’a rien bouffé, Léon a proposé que nous couchions sur place et que demain nous prenions la route de Rouen à moins que la nuit portant conseil, nous trouvions meilleure idée.

J’ai eu du mal à m’endormir, les images de mon père, avec sa fourche puis avec le nez écrasé me revenant en boucle.

Je fus réveillée par les premières lueurs de l’aube et le piaillement des petits oiseaux

– Léon où es-tu ?

Je ne le vois pas, je sors de la cabane, je l’appelle, il ne répond pas, il est nulle part. J’attends un peu présumant qu’il est parti chercher quelque chose en guise de petit déjeuner. Mais une heure plus tard, il n’était toujours pas là.

Je me rends donc à l’évidence, il est parti tenter sa chance tout seul on ne sait où me laissant abandonné comme une vielle culotte.

Le salopard ! Et moi qui pensait que ce Léon était différent des autres…

Je ne sais pas me repérer dans cette forêt, je me dis qu’en me dirigeant tout droit, je vais forcément tomber sur une route ou un chemin, mais aller tout droit dans cette forêt chaotique n’a rien d’évident.

J’avance, j’avance, je me dis que j’ai sans doute choisi une mauvaise direction, ça monte et ça descend, un vrai foutoir !

Je m’arrête un moment pour souffler un peu. Les oiseaux chantent à tue-tête dans leur chanceuse insouciance. Ils ne pourraient pas m’indiquer la route au lieu de gazouiller, ces volatiles !

Je reprends mon chemin et par chance, je tombe sur un petit ru. L’eau est claire, je peux enfin me désaltérer et me débarbouiller le visage. Petits bonheurs simples dans ma détresse du moment.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Lundi 28 avril 2025 1 28 /04 /Avr /2025 13:48

La vengeance de l’enculée par petitlapinou

 

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Transgression

Cette plage naturiste est vraiment un havre de paix et un avant-poste du paradis. Seuls quelques corps nus sont éparpillés seuls ou en couples entre les dunes semées de quelques touffes de genêts qui bordent la plage, où meurent de paresseuses vagues d’eau limpide. Je suis affalé à plat ventre sur l’ondulation de la dune, mes fesses nues liquéfiées par le soleil de cette fin d’après-midi, qui darde aussi entre mes jambes écartées ses rayons encore brûlants sur mes grosses couilles bouillantes répandues sur le sable blond.

Devant moi, j’ai une vue plongeante sur le corps parfait d’Emma, étalée dans mon prolongement sur la pente de la dune, face à la mer turquoise. Elle aussi est écrasée de chaleur, comme encastrée dans le sable, bras et jambes en croix.

Ça fait deux ans que nous vivons une passion dévorante. Avides l’un de l’autre, nous baisons comme des bêtes, découvrant ensemble les inépuisables ressources de nos sexes qui réagissent au quart de tour. Nos langues ont exploré et goûté chaque détour de nos beaux corps juvéniles. Nous nous sommes presque tout permis. C’est Emma qui a imposé un seul interdit : je lui lèche le cul qu’elle me permet aussi d’explorer du doigt, mais elle refuse que je l’encule, prétextant que ma grosse biroute lui déchirerait l’anus en le pénétrant, et que de toute façon elle n’y trouverait aucun plaisir.

Le menton posé sur les mains, je me délecte du spectacle de son cul magnifique : les fesses bronzées bien écartées dégageant son trou de balle ourlé de rose foncé luisant de la sueur qui perle le long de la raie. J’ai devant les yeux son entrecuisse bien ouvert, la vulve suintant un filet de mousse visqueuse sous l’excitation du soleil caressant, quelques grains de sable mêlés à ses poils humides. Nous avons déjà baisé dans les dunes ce matin, mais je bande à nouveau comme un bouc, la bite moulée dans le sable chaud pressée contre mon ventre jusqu’au nombril.

J’allonge un bras, remonte de la main l’intérieur de sa cuisse puis m’attarde sur sa fesse, dont je caresse le galbe mouillé de sueur avant de laisser glisser mes doigts tendus entre les lèvres déjà dilatées de son vagin. Mon pouce humide s’occupe de son clito que je sens se raidir et que je branle doucement. Mes autres doigts écartés vont et viennent dans son sexe mûr à point et le laboure doucement. Avec un gémissement d’aise alanguie, elle ouvre encore un peu plus les cuisses et tend sa croupe vers moi.

Relevant mon bassin, je me traîne sur les coudes et rampe entre ses jambes jusqu’à mettre mon museau à portée de sa chatte baveuse, dont ma langue écarte les lèvres entrouvertes et lèche avec délice le suc qui s’en échappe.

Elle roule le bassin pour que ma langue puisse pénétrer plus à fond dans sa moule qui dégorge et que je suce avidement. La pointe de ma langue trouve son clitoris salé, qu’elle excite en un mouvement enveloppant, le faisant rapidement doubler de volume. J’ai le nez planté dans sa chaude intimité détrempée. La forte odeur de marée qui s’en dégage me monte au cerveau et redouble mon érection. Ma pine me fait mal à force de bander dur et mes couilles enflées sont comme des outres trop pleines. Le dos trempé, je sens la sueur couler de mes reins dans la raie de mon cul.

Mes mains enveloppent maintenant ses mamelles fermes et soyeuses qu’elles ont dégagé du sable et dont je fais rouler les tétons tétanisés, pincés entre mes doigts. Ma langue abandonne bientôt son clito palpitant pour remonter entre les lèvres boursouflées de son vagin et lécher l’espace qui le sépare de la fleur de son cul, avant de venir baiser de mes lèvres humides son trou du cul largement offert et en explorer les profondeurs de ma langue vicieusement enfoncée. Je remplace ma langue par mon doigt, que j’enfonce en vrille dans son cul, lui arrachant un petit cri d’approbation gourmande.

Mes sens en sont complètement affolés. Je suis en rut et me sens totalement bestial, avec une envie irrésistible de l’enculer.

Mon index ramonant toujours son fion, j’introduis les autres doigts dans sa chatte détrempée et la fourrage à nouveau. De mon autre main j’essuie mon gland tapissé de sable mouillé de la bave qui en suinte abondamment. Préparant mon forfait, je cherche à tâtons la bouteille d’huile solaire qui gît dans le sable, l’ouvre du pouce et en asperge une copieuse rasade sur mon madrier enflammé. Agenouillé derrière Emma, j’avance le torse et le plaque contre son dos, ma bouche dans son cou lui baisant la base de l’oreille au goût de sel, une main remontée au niveau de son épaule pressée contre le sable. De ma main libre, j’empoigne mon pieu bien graissé, le guide fermement vers sa cible innocente et force l’entrée de son cul par surprise, en une poussée lente mais implacable. Mon engin hypertrophié avance par à-coups, forçant ce passage trop étroit qu’il distend à l’extrême.

Emma tente de se dégager de mon étreinte, mais je suis en position de force et maîtrise ses mouvements convulsifs, qui redoublent mon excitation, surtout quand elle contracte violemment son fessier pour m’en éjecter. Le visage contre le sol, elle vocifère, mais sourdement, bouche fermée pour ne pas bouffer du sable. Il y a longtemps que je rêvais de braver cet interdit. Je la pistonne en longs coups profonds, mon gros phallus confiné dans ce boyau soyeux, comprimé par tous les muscles en anneaux qui se resserrent à son passage. A chaque poussée, je sens mes couilles boursouflées qui viennent buter contre son vagin aux poils mouillés. Je suis en ébullition et je sens que je vais décharger lourd. Dans un ultime coup de boutoir, je lâche un feu d’artifice de purée brûlante au fond de son derche violé, et me laisse retomber de tous mon poids sur elle, salaud repu de son cul délicieux.

Emma se dégage en me poussant de côté, éjectant ma bite gluante et merdeuse, et sans un mot se dirige vers la mer d’un pas rageur. Ma semence bulle de son trou du cul et macule ses cuisses de traînées brunâtres. Je la suis et cours me jeter à l’eau à quelques pas d’elle. J’ai vraiment pris un pied d’enfer à lui bourrer le cul. Je ne regrette pas d’avoir transgressé son interdit, mais j’espère qu’elle y a aussi trouvé son compte. Je lui jette un regard curieux, un sourire gêné aux lèvres :

– Alors, comment c’était ? Tu vois, je ne t’ai pas déchirée comme tu le craignais !

Elle me retourne un regard noir, lance d’un ton courroucé :

– Mon salaud, tu vas me le payer très cher !

Et elle sort de l’eau en courant vers la dune pour y ramasser son maillot et se rhabiller rageusement. Bon, il va falloir que je me fasse tout petit pour laisser passer l’orage. J’enfile rapidement mon short de toile, saute dans mes savates, ramasse mes affaires et la suit sur le chemin qui serpente en direction de la route où nous avons laissé la tire louée pour la semaine. C’est elle qui a les clés et elle serait bien capable de me planter là si je traîne. Elle a déjà lancé le moteur quand je me jette sur le siège passager, et elle démarre en trombe. L’ambiance du trajet jusqu’au bungalow risque d’être assez lourde. Comme Emma ne desserre pas les dents, je ne me risque pas à commenter ma prestation, ou même à tenter d’excuser ma conduite. Je sens bien que ce serait peine perdue. Mes actions sont au plus bas.

Autostop

A peu près à mi-chemin, nous dépassons un jeune gars qui revient aussi de la plage, et qui fait du stop en levant le pouce. Il est torse nu avec un vieux short élimé et des baskets éculées, un sac à dos jeté sur une épaule. Quelques mètres plus loin, Emma ralentit et stoppe la bagnole en bord de route.

– Qu’est c’que tu fais ? Je demande, tu veux jamais prendre des stoppeurs !

Mais elle ne me répond pas et le mec arrive nonchalamment à ma hauteur. C’est un beau latino aux cheveux châtains qui tombent en longues boucles sur ses épaules bronzées. Un large tatouage court sur son bras bien musclé. Il dégage une impression de forte animalité renforcée par le sourire un peu énigmatique qu’il affiche et qui lui donne un air d’ange déchu sûr de son charme. Emma se penche vers ma fenêtre ouverte et lui dit de monter. Je n’ai rien contre, mais c’est bien la première fois qu’elle accepte un inconnu à bord. La séquence qui s’est déroulée dans les dunes doit y être pour quelque chose. J’ai l’impression qu’elle est en train d’orchestrer sa vengeance. Le mec jette son sac sur la banquette arrière et monte derrière moi. Il amène avec lui une odeur de sable mêlée de sueur mâle salée qui envahit l’habitacle. Du coin de l’œil, je surprends un frémissement des narines d’Emma qui lui fait monter le rouge au front.

– Où tu vas ? lui demande-t-elle.

Le gars se fend d’un plus large sourire et lâche :

– Não falo franceses, falo apenas português, e brasileiro… je pas parle français, Brazil

Bon, c’est pas sa conversation qui va faire diversion dans la voiture ! Par gestes, Emma répète sa question en dessinant un point d’interrogation dans l’air. Il semble comprendre et répond :

– Vou onde vai, vous y va, je va.

Pas trop compliqué le latino, mais où on va, c’est au bungalow que nous avons loué au milieu de nulle part, assez loin d’ici mais aussi du prochain village. Enfin, il verra bien, et de toute façon, Emma a déjà démarré. Nous échangeons nos prénoms, lui c’est Raphaël. Puis le silence s’installe et il doit sentir la lourde tension électrique qui règne entre Emma et moi. Arrivés au chemin d’accès aux bungalows, Emma lui propose par gestes de venir boire un verre et il acquiesce de la tête avec toujours son sourire ambigu.

Une fois débarqués au bungalow, nous prenons d’assaut les fauteuils de la terrasse ombragée. Je rentre préparer des caipirhinas glacées et un plateau de fruits que j’apporte dehors. Tout en sirotant son drink, Emma ne lâche Raphael des yeux que pour me lancer des regards de défi. Le jeune latino ne se pose pas de questions et la couve du regard sans vergogne. Les yeux plongés dans les siens, il choisit à tâtons une figue presque trop mûre, l’ouvre entre ses doigts, et se met à en lécher la chair violacée d’une langue gourmande. Un peu de jus mêlé de salive bave de son menton et coule en un sillon visqueux le long de son torse glabre. Le salaud n’a pas besoin de traducteur ! Je peux mesurer l’effet sur Emma au rythme de sa respiration qui s’est accéléré. A son tour, elle se penche vers le plat et saisit une banane tigrée qu’elle décalotte avec les dents, faisant apparaître la chair plus claire qu’elle dégage à moitié de sa peau et qu’elle caresse d’un doigt avant de l’introduire entre ses lèvres entrouvertes, de l’enfourner dans sa bouche et de l’en faire ressortir lentement en la suçant, le regard toujours rivé à celui de Raphaël. Pas difficile de voir comment Emma envisage sa vengeance, mais si elle croit me faire chier en se tapant le brésilien, elle se goure. Ça m’exciterait un max de la voir se faire mettre devant moi par ce bel étalon.

Le mec avance une main vers la cuisse d’Emma et commence à en caresser doucement l’intérieur. Mais elle se lève, s’empare de nos verres vides et part vers la cuisine pour les recharger. Je la soupçonne de vouloir en fait se débarrasser discrètement de son slip et de son sous-tif. En effet, quand elle revient avec nos drinks, ses seins lâchés bougent librement sous sa blouse à demi transparente. Elle pose les verres embués sur la table pour s’approcher du mec qui s’est levé et l’attend les reins appuyés contre la barrière de la terrasse. Elle promène ses paumes sur les pectoraux et les abdos bien dessinés du beau gosse, les seins appuyés contre son biceps, avant de déboucler fébrilement son ceinturon et de lui déboutonner sa braguette, d’où jaillit une belle grosse queue en plein raidissement.

Son short lui tombe sur les chevilles, et il s’en débarrasse en l’expédiant du pied sous une chaise. Il est maintenant complètement à poil devant nous, et enserre dans son poignet sa bite encore en train d’enfler.

Sans complexe, regardant Emma droit dans les yeux, il se met à se branler lentement en se massant les couilles de l’autre main. Emma semble fascinée. Attirée comme par un aimant, elle vient se coller contre lui en ouvrant sa blouse pour lui plaquer contre la poitrine ses seins aux tétons déjà gonflés, les mains agrippées à ses fesses musculeuses qu’elle se met à pétrir avec force. Une main insinuée par l’arrière dans le slip d’Emma, il continue de l’autre à masser son manche turgescent. Je dois avouer que le spectacle de cette belle bite en mouvement me fout aussi une solide trique, qui n’échappe pas à Raphaël dont le regard ironique sur le renflement peu discret de mon short en dit long. Par-dessus la tête d’Emma qui lui couvre le cou de baisers et lui lèche le lobe de l’oreille, il me fait un clin d’œil en portant un doigt à sa bouche pour le sucer. Je réalise que son exhibition m’est aussi destinée et ça m’excite grave. Je n’ai jamais eu l’occasion de me faire pomper la gaule par un mec, même si je me suis déjà dit que ça me brancherait assez. Surtout, un frisson me court le long de l’échine à l’idée de lui sucer la pine et de téter son gland et je me prends à saliver d’avance. Mais ça risque de brouiller les plans d’Emma et de ne pas être du tout à son goût, même si elle est assez ouverte aux expériences qui ne touchent pas son trou du cul. Il faudra la jouer finement. Emma, le slip maintenant baissé sous les fesses, la main affairée de Raphaël lui fouillant la chatte, le prend par le bras et l’attire à sa suite vers l’intérieur du bungalow.

Dès qu’ils ont disparu, je me désape fébrilement, libérant mon membre comprimé qui me fait mal d’être si dur, et je les rejoins discrètement dans notre chambre aux persiennes closes.

Festin de bites

Le beau mâle me fait face, debout au pied du lit, jambes écartées, la tête renversée en arrière dans la pénombre. Emma est agenouillée devant lui et lui suce les couilles avec des grognements gourmands, tout en le branlant d’une main, l’autre affairée à rouler un de ses tétons entre ses doigts. Je tombe moi aussi à genoux sans bruit derrière Emma. J’ai devant les yeux son cul défloré, et je ne résiste pas à caresser cette douce rondeur veloutée d’une main légère, tout en me branlant d’un poignet souple. Comme elle ne réagit pas, je m’enhardis, glisse une main entre ses cuisses, entrouvre les lèvres gonflées de son vagin et enfonce doucement l’index à la recherche de son point G que je connais bien. Je sais que je l’ai trouvé lorsqu’elle bascule son pubis en arrière vers moi et commence à se trémousser en gémissant de façon assourdie, la bouche maintenant vissée à la queue de Raphaël qu’elle aspire bruyamment. Cette double stimulation doit l’amener au summum de l’excitation car elle ne tarde pas à m’inonder la main d’une gerbe de jus brûlant dans une série de spasmes incontrôlés. Elle laisse échapper de sa bouche la biroute du bandeur brésilien luisante de salive, et se jette en avant sur le lit, le menton enfoui dans les draps pour se reprendre en main.
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J’en profite pour prendre la relève et empoigner la gaule dressée que Raphaël tend vers moi comme un étendard. Du bout de la langue, j’ouvre son méat et en extrais le pré cum visqueux au goût salé qui en suinte, puis je gobe son gros gland obèse et l’enfourne goulûment dans ma gueule. Mon cerveau est affolé de sentir cette masse de chair vivante qui pulse entre mes lèvres et me remplit la bouche avant de ressortir un instant pour mieux revenir forcer son passage entre mes dents, le gros bout protubérant palpitant contre mon palais. Agrippé à mes cheveux des deux mains, c’est lui qui règle en silence la cadence de mes aller-venues. Je lui broie les burnes d’une main, l’autre toujours vissée à mon sexe enflammé, que je secoue au même rythme, frère jumeau de celui qui m’emplit la bouche à m’étouffer. Si nous déchargeons en même temps, j’aurais la sensation que c’est moi qui me découille dans la gorge. Mais le salaud me frustre de ce délire en retirant de ma bouche son engin luisant de ma salive pour me tourner le dos et s’approcher d’Emma, qui l’appelle d’une voix étouffée par le drap, lui offrant un con béant encore baigné de cyprine, ouvert des deux mains tirant sur les fesses. Tombé à genoux, complètement en rut, il l’empoigne sous les cuisses largement écartées, l’embroche par l’arrière d’un coup de son pieu d’acier et la pistonne sauvagement à coups de bassin brutaux. Elle l’accueille avec un soupir d’aise et l’attire par la tignasse pour lui bouffer la bouche.

Je suis à peine remis de mon festin de phallus avorté et trop excité pour rester spectateur. Me trainant sur le sol, j’atteins la tête du lit que j’enjambe, et viens frotter contre leurs visages ma gaule dressée raide comme une poutre, cherchant à attirer leurs bouches soudées l’une à l’autre. C’est Emma qui prend conscience la première de ce monstre qui se presse devant ses yeux, et le happe au passage d’une bouche avide qui se ventouse autour du gland. De son côté, Raphaëlito saisit mes roustons entre ses dents et me les suce comme des sucres d’orge. J’ai l’impression que ces deux sangsues vont avaler mes parties génitales bousculées en tous sens par les coups de boutoir du baiseur qui lime ma copine. Très rapidement, la situation devient incontrôlable. Tout le corps du mec se raidit, fesses serrées et torse crispé. Il me mord le sac en laissant échapper un brame rauque et je sens qu’il éjacule en une longue série de convulsions. J’imagine son foutre épais qui englue le vagin hyper excité d’Emma, qui réagit en inondant le lit d’une marée de son jus. Ma trique me fait mal de tellement me retenir, et à mon tour, j’abandonne le contrôle, je lâche une puissante giclée de riche purée qui tapisse le visage et les cheveux des deux suceurs, et me laisse retomber en arrière, dos contre la paroi. Raphaël s’est écroulé, son sexe toujours emmanché encore animé d’un lent mouvement coulissant, la poitrine collée au dos d’Emma.

Enfilade

De ma position, je domine le corps musclé du brésilien, dont le large dos aux muscles saillants est perlé de sueur, comme ses fesses un peu velues qu’il serre et relâche au rythme ralenti de ses mouvements de va et viens. La vision de ce beau cul ! Je contourne les deux corps imbriqués et agrippe à deux mains les fesses fermes et duveteuses qui ondulent devant moi. Je les pétris et les écarte pour dégager le trou de balle dont je ne résiste pas à lécher et en saliver copieusement la rosace. Le mec m’encourage en relâchant les muscles de son fessier largement ouvert, dont j’ai idée qu’il a déjà été forcé plus d’une fois. De la main, je guide mon engin encore lubrifié de sperme jusqu’à l’orée de cet orifice accueillant et j’en force l’entrée d’une poussée résolue du gland visqueux.

Mon membre comprimé coulisse avec peine dans cet espace confiné, pour venir butter contre la prostate souple. Comme Raphaël a recommencé à besogner Emma avec plus d’ardeur, nos mouvements se coordonnent et j’ai l’impression que mes coups de hanche sont démultipliés. Je sens mes couilles bien pendues battre contre son gros sac quand nos balloches dilatées s’entrechoquent à la même cadence. Je caresse des doigts ce double paquet de couilles gluant des sécrétions qui ont coulé du vagin engorgé. Je saisis nos bijoux de famille et les masse ensemble d’une main ferme, pendant que de l’autre, je lui malaxe une de ses fesses, dure et poilue. A chacune de mes poussées, le jeune éphèbe bande tous ses muscles fessiers et compresse mon polar écrasé dans l’étau de son anus contracté.

Comparé au cul douillet et velouté d’Emma, même lorsqu’elle tentait de m’en éjecter, ce derche nerveux, qui pourtant m’accueille volontiers n’est que convulsions violentes et m’impose un rodéo sauvage qui tuméfie mon braquemart, qui pistonne et affole le frein de mon gland irrité. Je ne sais pas lequel des deux culs je préfère, et je n’en ai rien à branler. Je sens le foutre bouillonner dans mes burnes et s’engouffrer dans ma bite emprisonnée entre ses fesses qui ne demande qu’à cracher. Mais voilà maintenant tout le corps de mon enculé qui se raidit dans un violent spasme, essorant mon braquemart en train de vomir une salve incontrôlée d’épaisse purée au fond de son fion. Il éjacule aussi dans la foulée, et j’ai l’impression que c’est mon foutre qui gicle de sa grosse queue, prolongement de la mienne. La vengeance d’Emma s’est transformée en une nouvelle expérience plutôt jouissive pour moi.

Une fois relâchée toute la tension de cette séance, nous retirons nos dagues souillées de leurs fourreaux, que nous essuyons au drap, et nous nous laissons aller sur le lit, vautrés l’un sur l’autre à côté d’Emma le visage toujours enfoncé dans le matelas. Je crois bien que nous faisons un somme pour récupérer. En tout cas, le soir est tombé quand je reprends mes esprits sous les caresses d’une main douce, qui remonte le long de ma cuisse. J’entrouvre les paupières et espionne à travers le rideau de mes cils Emma, qui me fourrage les poils du pubis, son autre main baladeuse faisant de même à Raphael, agenouillée à cheval au-dessus de nos deux corps. Nous avons son beau cul et son vagin maculé de foutre séché entrouvert devant les yeux. Raphaël y a déjà introduit ses doigts. J’avance une main fébrile et viens le rejoindre dans cet antre moite où nos doigts se mêlent. A sentir comme Emma me manipule la gaule, il semble que je sois rentré en grâce. Du coin de l’œil, je peux vérifier qu’elle applique le même traitement au brésilien, et qu’il y est aussi sensible que moi. Nos deux verges jumelles sont en train de se déployer et de se redresser côte à côte en durcissant entre les mains expertes de ma femelle préférée, qui les caressent en stéréo. Puis elle les presse ensemble, et le souffle de son haleine chaude vient caresser mon gland hypersensible avant qu’elle le gobe tout entier avec son jumeau et nous traie les bites avec application. Je sens pulser contre ma pine gonflée la grosse veine saillante qui longe la teub de Raphael.

Nos deux corps tendus sont accolés, cuisse contre cuisse, poitrine contre poitrine, nos lèvres se cherchent et nos langues se trouvent. Nos doigts mêlés alternent à agacer le clitoris d’Emma qui bande grave. Mais sa bouche abandonne bientôt nos phallus et elle se dégage de nos caresses. Elle traine son pubis sur nos ventres et guidant nos deux manches tumescents qu’elle enserre ensemble entre ses doigts, elle vient empaler sa moule béante et détrempée sur nos deux pieux de chair qui l’emmanchent avec peine. Elle monte et descend sur nous, faisant lentement coulisser nos poutres dures comme de l’acier pressées l’une contre l’autre. Toujours à nous sucer les langues, nous nous paluchons nos poitrines et nos fesses de mecs pendant que nous laissons notre femelle coulisser langoureusement son vagin qui enrobe nos queues palpitantes et caresser ensemble nos sacs de couilles. Nous savourons religieusement cette communion voluptueuse et lascive, jusqu’à ce qu’Emma accélère le rythme de ses va et viens au gré de son excitation grandissante. Mes mains crispées sur les muscles contractés du jeune latino, je sens nos deux corps mâles se raidir à l’extrême. Je savoure la montée en puissance de mon excitation, peinant à retenir le flux de sève qui gonfle mes couilles dures comme du bois et qui ne demande qu’à gicler. Je saisis Emma par le bras et la force à figer ses mouvements pour nous laisser un peu de répit. Tous les sens en alerte, nous restons quelques instants sans bouger, au bord de la syncope. Puis Emma reprend son ouvrage avec encore plus de vigueur, nous amenant tous au-delà du point de non-retour. Dans un grand désordre de soubresauts hystériques, nous jouissons les trois en un cataclysme spastique de foutre et de jus qui débordent du con engorgé pour dégouliner sur nos balloches et se mêler à nos poils de queue. L’odeur enivrante de stupre m’enchante les narines.

Aveu et Perspective

Après avoir un peu récupéré, Emma se dégage et s’éclipse en direction de la salle de bains. Je me lève aussi, essuyant de la main mon phallus glaireux.

Raphaël est resté allongé, sa belle biroute à peine débandée encore suppurant sur une de ses cuisses, les poils pubiens englués de foutre. Levant un pouce, il me jette un regard entendu, que je lui rends avec un sourire ironique, puis je rejoins Emma sous la douche.

Je suis pardonné ? Je lui glisse à l’oreille ruisselante d’eau.

Elle sourit sous le jet puissant de la douche.

– Je crois, mais seulement si tu me promets de… revenir me fourrer le cul de temps en temps. En fait, j’aime assez

J’en suis un peu estomaqué. La salope m’a joué les vengeresses alors qu’elle avait autant pris son pied que moi! Après un temps d’arrêt, elle ajoute :

– D’ailleurs tu devrais profiter de la bite de Raph pour te faire mettre toi aussi

A vrai dire, je m’étais déjà dit que ça ne me déplairait pas de me faire déflorer et ramoner le trou du cul par la grosse pièce d’artillerie du latino, mais avec la bénédiction d’Emma, et sous ses yeux, ça en devient parfaitement alléchant, et je me reprends une trique monumentale.

Sortis de la douche, nous traversons le bungalow en ruisselant sur le carrelage et retrouvons notre beau jouet qui s’est assoupi en travers du lit. Nous le poussons de côté sans qu’il ne se réveille, et nous couchons lovés ensemble contre lui. Ça ne fait rien, je peux attendre jusqu’à demain matin. Je me vois déjà réveillé par une bonne odeur de café, prendre le petit déj’ au lit. Je vais tartiner mon pain de beurre, en graisser la gaule de Raphaël encore mal réveillé, et le faire bander prêt à me trouer le cul. J’aurais aussi beurré ma queue en érection et il se pourrait bien qu’Emma vienne m’offrir la fleur de son cul à défoncer pendant que je me ferais enculer dans la moiteur du petit matin.

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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