Samedi 8 juin 2024 6 08 /06 /Juin /2024 13:07

Sous la douche par Belle-cour
Stamp sodo2

Une fin d’après-midi où je me préparais à prendre une douche, quelqu’un vient sonner à ma porte. Comme j’étais pratiquement nu, j’enfilais mon peignoir de bain pour aller ouvrir et voir de qui il s’agissait. C’était Jolanda, une voisine célibataire assez délurée, joli brune à lunettes, la trentaine, mais dont les rapports avec elle n’avait jamais dépassés ceux du bon voisinage et d’un tutoiement de bon aloi . Elle venait me rapporter mes livres qu’elle avait emprunté depuis quelques semaines. J’allais les lui prendre quand elle me proposa d’entrer afin de les ranger elle-même et en choisir d’autres. Devant son charmant sourire, je n’ai pu refuser.

Elle se dirigea vers ma bibliothèque en me disant :

– Va prendre ta douche pendant que je choisis quelques livres, tu as le temps, après j’aimerais discuter avec toi de deux ou trois trucs.

Non au secours ! Elle va encore me prendre la tête avec ses interminables compte rendus de lecture ! Mais que voulez-vous, je suis bien éduqué et je ne vais pas la foutre à la porte. Je regagnais donc ma salle de bain et quelques instants plus tard, je savourais l’eau qui coulait sur mon corps quand, derrière la porte Jolanda me crie :

– Ça y est, j’ai trouvé des bouquins intéressants !

Je n’ai pas répondu pensant qu’elle allait m’attendre au salon. Mais voilà que la porte de la salle de bain s’ouvre, et Jolanda entre complètement à poil. Imaginez ma surprise et mon embarras.

La porte de la douche étant en verre, impossible de me cacher et l’eau qui coulait dessus empêchait la buée de se former et de rendre cette vitre opaque. Elle avança sur moi, puis d’un air innocent, me dit :

– J’espère que je ne te dérange pas, moi aussi j’aimerai prendre une douche, je ne peux pas la prendre chez moi, le robinet est cassé !

Alors elle me rejoignit comme si c’était la chose la plus naturelle du monde. Et sans me demander une quelconque permission, elle commença par me savonner sans que je puisse dire quoi que ce soit, elle mit sa main à ma bouche et dit

– Chut! laisses toi faire ! Tu ne vas me dire que tu n’aimes pas ça, non ?

douche bcElle reprit du gel douche dans sa main et me frotta le dos, puis le ventre et puis tout le corps. Quand elle arriva à mon sexe bandé, elle s’écria :

– Je vois que ça te met en forme, mon cher voisin !

Elle me branla très légèrement puis pris ma bite dans sa bouche tout en continuant à masser mes couilles. Cela me fit beaucoup d’effet, mais lorsque je fus sur le point de jouir elle sortit mon sexe de sa bouche, se colla contre moi et me demanda de la savonner. Je pris du gel douche et commença à la frotter. Ses seins étaient devenus durs, je sentais en elle le désir de tendresse et je les ai massés calmement bien que mon envie devenait de plus en plus pressante. Alors je descendis plus bas vers son nid d’amour, je l’ai enduit de liquide savonneux et j’ai entrepris de le masser légèrement. Elle poussa quelques soupirs de satisfaction, alors j’ai introduit un doigt entre ses lèvres toutes humides et j’ai fait un mouvement de va-et-vient qui l’a rendu encore plus chaude et désirable. Quand j’ai retiré mon doigt, elle était presque en train de jouir. Enfin je la pénétrais, elle s’accrocha à mon cou, mit ses jambes autour de mon corps et effectua quelques déhanchements pour que je sois encore plus profond dans son corps de rêve. Dans un même élan de plaisir nous sommes montés au septième ciel dans un feu d’artifice de sensations.

Lorsque nous sommes revenus sur terre, les frémissements se faisaient encore sentir un peu. Nous fîmes une ultime petite toilette, et nous sortîmes nous sécher. Jolanda pris la première serviette et s’occupa de mon corps alors que moi avec la seconde je la séchai. Elle prit bien soin de ne pas trop perturber mon ‘appareil à sensation’ (suivant son expression). Comme je m’occupais de son dos, elle s’appuya sur le lavabo. Quand je parvint plus bas elle écarta légèrement les jambes afin que je puisse passer la serviette confortablement. Soudain, j’eu une envie, laisser tomber la serviette et la frotter avec mes doigts. Elle fut surprise, mais les frissons eurent le pas sur sa volonté et elle se laissa faire. Alors j’ai mis un doigt dans sa chatte encore toute lubrifiée puis avec quelques mouvements tendres, je l’ai massé tendrement. Je l’ai maintenue fermement pour qu’elle ne puisse pas bouger et avec l’autre main, j’ai pris en charge son cul. J’ai passé mes doigts le long de sa fente et ensuite, j’ai fait pénétrer un doigt dans son anus. Comme celui-ci était encore mouillé, je n’ai pas eu beaucoup de mal à l’enfoncer. Jolanda sembla apprécier. Je ressortis mon doigt et le suçais, me régalant du jus de son cul.

– Petit cochon ! Ma taquina-t-elle

Quelques minutes plus tard, je retirai mes mains de son corps en feu, et vu la position au combien tentante, je l’ai prise par derrière et dans un mouvement régulier comme une pendule j’ai commencé à la faire jouir.

– Oh, oui vas-y, c’est si bon de se faire enculer !

Une fois remise de ses émotions, Jolanda me prit par la main, elle m’emmena au WC afin de satisfaire une envie pressante. Je pu ainsi profiter de la vue de son petit pipi. Nous étions tous les deux nus et cela nous faisait baigner dans la douceur et le bonheur. Enfermés tous les deux dans les toilettes nous nous embrasâmes le temps pour elle de finir de se soulager. Cela semblait presque irréel. Quand elle eut fini, je dus pisser à mon tour.

– Pisse moi dessus, petit cochon !

Je visais sa jolie poitrine, mais elle se baissa en ouvrant la bouche. Pas difficile de deviner ce qu’elle souhaitait et je lui offris à boire ma pisse tiède… Nous sortîmes enfin des toilettes et nous sommes allés dans ma chambre.

La lumière de la veilleuse donna l’ambiance et je mis en marche la chaine hifi avec une compilation de musique classique pour piano. Jolanda s’étendit dur le lit et me tendit les bras pour me faire signe de venir sur elle. M’appuyant sur les bras je me mis sur son corps et lui donna un baiser fiévreux tant mon ardeur montait de plus en plus. Puis je parti à la découverte de son corps. Ses formes, ses contours, ses lèvres tous cela je le fis du bout des doigts. Les sensations pour elle devenaient de plus en plus fortes et je voyais que son trésor suintait de plaisir. Puis ce fut à mon tour de m’étendre, elle passa ses doigts le long de mon corps comme pour en faire le tour complet, puis elle me fit mettre sur le ventre et commença un massage. Elle se mit à califourchon sur mes fesses et me frotta le dos. Son massage était très sensuel et je sentais l’humidité de sa toison sur mon cul. Puis elle glissa un peu sur mes jambes et commença à frotter ses seins sur le bas de mon dos. Les petits bouts qui étaient à nouveau durs en disaient long sur ses désirs. Elle glissa une main sous mon corps et attrapa mon sexe. Je me remis sur le dos et elle me masturba quelques instants avant de s’installer dessus. Elle enfonça mon pénis dans son cul et par de petits mouvements en suivant le rythme de la musique, elle me fit parvenir au sommet de mes sensations en m’introduisant un doigt dans le cul au moment où elle aussi atteignait l’extase.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Samedi 11 mai 2024 6 11 /05 /Mai /2024 09:53

Noémie dans l’auto par Belle-Cour
StampBea

J’étais venu chercher Noémie chez elle. Nous avions prévu de passer l’après-midi ensemble. On avait essayé de définir une destination possible, mais après tergiversations, nous avions convenu de nous laisser aller selon notre humeur et nos désirs. Arrivé devant chez elle, je klaxonnai deux fois et mis en marche la radio, avertit d’un pressentiments comme quoi j’allais attendre un moment avant de la voir sortir de chez elle. Comme pour me donner raison, je la vois débouler de chez elle en me faisant de grands signes et me criant qu’elle serai prête dans deux minutes.

Noémie est une belle fausse blonde au visage coquin , elle est bien bustée et attire le regard des hommes. (et même celui de certaines femmes)

Avec flegme, je m’installai confortablement dans mon siège en écoutant la musique. J’avais emprunté la voiture d’un ami de mon père. Assez exubérant, cette ami avait logé cette magnifique BMW M3 Cabriolet dans un garage clandestin. Le résultat était tout bonnement magnifique, mais pas très légal. Le bas de caisse de la voiture était à moins de 4 cm du sol. Mais c’était un petit bijoux que j’avais du spécialement négocier pour l’occasion en échange d’un simonisage gratuit et intensif. Ce qui me fait penser que je lui dois toujours ce simonissage. Mais je crois qu’il s’en fout un peu pour le moment parce qu’il vient de la ‘replier’ méchamment sur l’aile droite. Quand Noémie se décide enfin à sortir, ses premières paroles ont été :

– Va remettre immédiatement cette voiture où tu l’as volé ! (sur le ton de l’humour bien entendu. )

Mais elle me posa quand même des questions sur sa provenance. Une fois cela expliqué, je lui ouvre la porte et elle s’installe avec un grand sourire. Elle portait un cache cœur serré et une jupe portefeuille fendue sur le côté . Moi, j’étais habillé tout en blanc . Jean blanc, T-shirt blanc et chemise blanche avec le col ouvert. Il ne me manquait plus que les lunettes noires et le ‘Parrain’ m’aurait bien vite engagé dans des affaires douteuses. Et nous voilà partit. Je m’engage sur la route…

C’est dimanche est les voies sont bien dégagées. Je roule à bonne allure. Le soleil caressait nos visages et le vent les fouettait. je ne vis pas tout de suite que ce même vent faisait volé la jupe fendue de mon amie, dévoilant bien clairement sa cuisse. Elle avait une peau délicatement bronzé, n’ayant rien à envier à certaines femmes abonnées aux salons de bronzage. non, elle c’était du vrai. Elle aime se prélasser sous le soleil, que ce soit chez elle ou à la plage. quand elle vit que je perdais mon attention à la route et qu’elle comprit ma préoccupation, elle m’adressa un sourire des plus malicieux. sourire que je lui rendis en détachant une main du volant et la mettant sur cette cuisse si agréable au regard. Mes intentions étaient des plus futiles et je ne m’attendais à rien de sa part. On est de très bon amis, de longue date, mais quand je vis que pour toute réaction, elle retenait spécialement sa jupe bien relevée, je compris de suite ces intentions à elle. Ma main était chaude et moite. Je caressait sa cuisse avec des mouvements de plus en plus amples remontant de plus en plus. Soudain, je rougit fortement en constatant qu’elle n’avait pas de culotte et que mes doigts effleuraient déjà sa toison. Quand elle compris la raison de ma gêne, elle décroisa les jambes, m’invitant à des caresses plus intimes. A son tour, elle commença à me caresser la jambe, se glissant vers le haut de celle-ci petit à petit. Elle approche sa main de ma fermeture éclair et sent déjà qu’il n’y a plus beaucoup de place dans mon jeans en me demandant si je n’étais pas trop à l’étroit dedans. Elle défait mon bouton et descend ma fermeture éclair.

L’excitation me gagne peu à peu. Ma main est toujours en train de lui caresser le pubis. De façon de plus en plus intime. Je sens son clitoris se gonfler sur mes caresses. Elle ferme les yeux en se mordant les lèvres de plaisir. Elle, de sa main, libère mon sexe déjà bien dur et commence à me branler doucement. Elle poussa un cri lorsque mes doigts l’ont exploré profondément, faisant un mouvement de va-et-vient. Etant donnée la position dans laquelle je me trouvais j’essayai tant bien que mal de garder une certaine concentration sur la route, heureusement assez déserte. Je ralentis fortement la vitesse néanmoins. On n’est jamais à l’abri de spasmes dans ces moments-là. Je la sentis prendre mon pénis fortement dans sa main quand je me mis à caresser ses petites lèvres et à faire des mouvements circulaires sur son clitoris. Par sécurité, on décide de quitter la route et de se ranger sur le bas-côté. Je remonte la capote du toit pour plus d’intimité. Elle se penche sur moi et m’embrasse langoureusement. Nos langues se mêlent. Je sens sa fouge et son désir brulant dans ce baiser. Je crois qu’elle le sentit aussi à la raideur de mon sexe. J’étais bandé comme jamais. Quand elle se pencha dessus, je poussa un gémissement avant même qu’elle ne le touche de ses lèvres. Elle se redressa, surprise, en me demandant si je n’allais pas déjà venir sur son visage. Je la rassurai et elle se remit au travail. Elle avala ma queue en un coup, l’enfonçant bien profondément dans sa gorge, et en remontant en serrant un peu les dents. son va-et-vient intensif me fit gémir pour de bon. De mon côté, j’entrepris de lui retirer entièrement sa jupe. Une fois cela fait, je commençai à peloter sa poitrine à travers son cache cœur. Je sentis ses tétons jaillir de ce dernier, formant sur celui-ci un joli relief que je devinai de mes doigts.

Son cache cœur et son soutien-gorge n’eurent pas à attendre longtemps avant de se retrouver sur la banquette arrière. Quand elle décida m’avoir assez excité pour le moment avec sa bouche, elle me proposa d’aller nous installer sur la banquette arrière. un peu plus confortable pour ce genre de petit jeu. Je la devançai et m’assis. Et vint me rejoindre en s’asseyant sur moi. Je lui mordillai le bout de ses seins. Elle me prit la tête entre ses bras, et la serra contre sa poitrine. J’enfournais ses bouts de sein dans ma bouche. Elle sentait mon sexe faire pression sur sa croupe quand elle me confia son envie de la sentir en elle. Je la basculai sur le siège, dévoilant par la même occasion son entre jambes tout trempé. Je lui pris ses tétons entre mon pouce et mon index et les fit rouler. elle gémissait d’aise. Je plongeai mon visage entre ses jambes, en léchant d’abord le haut de ses cuisses, tournant autour de son sexe et enfin embrassai son sexe avant de laisser passer ma langue. elle me saisit la tête, m’obligeant à rester dans cette position, que je n’espérais pas quitter de sitôt. Mes doigts lui excitaient le clitoris au maximum, je le pinçais, lui donnait des coups de langue. Elle se trémoussais de plaisir. Je pris ses petites lèvres entre les miennes, la léchant profondément. Mes doigts jouaient déjà en elle. Elle ramena ses cuisses sur sa poitrine, me dévoilant sa croupe. Du bout de ma langue, je lui explorai le sillon de ses fesses. Ma langue s’attarda sur son anus brun. Elle me supplia de lui rentrer dedans. Je commençais donc à l’humecter comme il faut avec ma langue, puis le caressai avec un doigt. doucement, j’enfonçai ce dernier en elle pour dilater le muscle.

Noemie
Elle mouillait de plus en plus. Je voyais son sexe coulait, je la léchai de plus belle. Je me redressai, elle me prit mon sexe et se le caressa sur son petit trou. Je m’enfonce alors délicatement en elle mais constate qu’il n’est pas encore assez dilaté. J’enlève mon sexe d’elle et reprend de plus belle mes massages intérieurs à l’aide de mes doigts. Le second essai est le bon. Le passage est serré et étroit, mais je réussis à m’introduire assez profondément pour commencer mes mouvement de va-et-vient en elle. Mais mains sont sur sa poitrine. elles la massent fermement. Je me retire d’entre ses fesses et m’assois sur son ventre, je place ma queue pleine de merde entre ses seins. Elle commence alors un délicieux mouvement de sa poitrine avec mon sexe coincé entre. Du bout de sa langue, elle me lèche mon gland gonflé et pollué. Je me dégage de son emprise et lui met ma queue dans la bouche. Elle l’accepte avec joie, pas gênée du tout par la merde qui la recouvre, recommençant une fois encore son mouvement de va-et-vient. Je sens mon sexe cogner dans sa gorge. Elle me fixe dans les yeux tout en me caressant les testicules. Après quelques minutes de ce traitement, je reviens entre ses jambes, caresse mon sexe contre le sien et l’enfonce d’un trait. Un va-et-vient infernal s’ensuit durant un moment. ensuite, je me retire et l’aide à se mettre à quatre pattes (pas faciles dans un cabriolet). Je la prends par derrière et me fais aller en elle doucement, puis plus rapidement, en prenant dans chaque main, chacun de ses seins.

Me sentant venir, et ne voulant pas encore venir tout de suite, je me retire une nouvelle fois, et lui lèche à nouveau la croupe. Mes doigts batifolent dans son vagin pendant que ma langue essaye de se faire un passage dans son anus. Mon autre main lui excite le clitos quand une de ses mains à elle vient rejoindre la mienne. Elle hurle de plaisir, son entre jambes est comblé au possible. Moi, je suis dans un état second. Submergé par l’excitation. Elle a le sexe en feu. Je me redresse et frotte mon sexe contre son anus avant de la pénétrer. Je passe un bras autour de la taille, et entreprends de la masturber en même temps. Nos corps sont trempés de sueur. Mes coups de reins en elle se font de plus en plus violents. Je me rassois dans le siège. Elle se retourne et m’embrasse, me lèche partout. Son excitation se ferait ressentir dans un rayon de 20 kilomètres. Elle reprend mon sexe dans sa bouche, sauvagement, elle me fait un va-et-vient. Je ne peux m’empêcher de hurler. Elle me masse énergiquement les testicules. Je ne compris pas tout de suite où elle voulait en venir lorsqu’elle commença à m’écarter les cuisses. L’excitation et la fièvre du désir m’empêchait tout raisonnement. Je le compris avec grand plaisir quand elle commença à m’enfoncer un doigt dans l’anus. Elle était déchainée, et m’en enfonça un deuxième. Je tendis un bras et lui fit subir le même traitement. Elle se redressa, avec toujours mes doigts dans son cul et vint s’assoir sur mon sexe au garde à vous comme jamais. elle s’assit face à moi, de sorte qu’elle put se déhancher tout en se faisait pénétrer l’anus par mes doigts.

Elle se pencha légèrement et de ses doigts tenta de nouveau de m’exciter l’anus. Chose qu’elle parvint à faire sans problème. Elle savait que je me retenais de tout lui balancer et me fit comprendre qu’elle était prête maintenant. En quelques coups de reins dans le bas du ventre, je vins en elle. Se déhanchant toujours fortement sur moi, mon sexe sortit de sa grotte d’amour et elle se prit la dernière giclée dans son dos. Ivres de fatigue et de plaisir, on se coucha sur la banquette arrière, l’un dans les bras de l’autres. Ensuite, la première chose dont je me souviens, c’est le coup de klaxon d’un tracteur qui nous réveilla sans ménagement. Je me rhabillais en quatrième vitesse et sortit de l’auto pendant que ma compagne se rhabillait, je constatai que je m’était garé sur la voix d’accès de l’agriculteur menant je ne sais où. Lorsque ce dernier me vit, un tantinet mal habillé et surpris une autre personnes dans la voiture, il m’adressa un sourire complice et me demanda avec le plus grand calme de bien vouloir dégager le passage. Le soleil se couchait déjà à l’horizon lorsque nous arrivâmes chez elle… avec un sourire qui n’avait pas quitté nos lèvres…

 

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Dimanche 28 avril 2024 7 28 /04 /Avr /2024 19:11

Martinov 27 – La possession de Pétula – 12 – Partouze chez les Forville par Maud-Anne Amaro
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Et c’est ainsi que dès la semaine suivante, le professeur Martinov, Béatrice, Gérard Petit-Couture, Florentine et Brigitte se retrouvèrent chez Hubert et Sylviane Forville (et leur fille).

Dorothée la petite bonne peu farouche remplit les coupes. On trinque au Champagne (on est en pleine région)

Florentine s’est placé à côté de Sylviane, les deux femmes ont déjà eu l’occasion de s’apprécier y compris charnellement (voir plus avant) et s’échangent quelques innocentes caresses sur les bras. Très vite la tension monte, et les deux femmes s’embrassent goulument comme des belles coquines.

– Non mais regardez-moi ces cochonnes ! Fait semblant de se choquer Hubert Forville en se tripotant la braguette.
– Ça vous fait bander, monsieur ? Intervint Dorothée
– Non mais dites-donc Dodo, vous n’allez pas vous y mettre aussi ! Je devrais vous flanquer la fessée pour votre impertinence !
– Si monsieur a envie de me donner la fessée, c’est que je l’ai probablement mérité, mais vous allez me faire ça devant tous vos invités ?
– Non mais, écoutez-là, c’est de la provocation ! Quelqu’un voit-il un inconvénient à ce que je la corrige sur le champ.

Vous pensez bien que parmi cette assemblée de joyeux pervers, personne n’émet d’objection.

Dorothée dégage ses fesses et vient se coucher sur les genoux d’Hubert qui lui claque le joufflu avec conviction.

Les convives n’ont désormais plus aucune raison de se gêner, Florentine et Sylvianne sont maintenant complétement débraillées, les nichons à l’air. Ça se carres, ça se pelote, ça se titille les bouts.

Dorothée quitte un moment la salle, mais c’est pour réapparaitre avec une coupelle remplie de préservatifs et d’étuis de gel intime… Monsieur et madame Forville sont des gens prévenants

Pétula se pointe crânement devant Béatrice.

– Toi, ma grande, j’ai trop envie de te voir à poil !
– Coquine !
– Tu ne veux pas ?
– Mais si, bien sûr !

Les deux femmes se déshabillent et vont gagner le canapé juste derrière, où elles s’échangent les caresses les plus folles.

Brigitte pour l’instant sollicitée par personne fait signe à Gérard et à Martinov de venir la rejoindre.

Et bientôt tout le monde est à poil dans la pièce (ça fait quand même neuf personnes !) Ça se mélange, ça se caresse, ça se tripote, ça va de partenaire en partenaire. L’orgie, quoi !

Sylviane Forville après avoir joui sous les coups de langue diabolique de Brigitte s’en va voir comment se comporte sa fille.

Celle-ci se pâme en se triturant les tétons, tandis de Béatrice lui lape son abricot dégoulinant de désir.

Sylviane s’approche…

– Laisse tes bouts de seins, maman va s’en occuper !
– Oh, oui vas-y, Maman ! Pince les bien, fais-moi mal !

Martinov s’est couché à même le sol, Brigitte s’est empalée sur sa bite et offre son anus aux assauts de Gérard. Une belle double pénétration ! Après une série de mouvements frénétiques notre vert professeur se surprend à jouir, Brigitte le suit quelques secondes plus tard. Gérard lui décule sans jouir.Martinov2712

Ce dernier ne sait où aller donner sa queue, tout le monde hormis Hubert Forville semblant occupé.

Martinov se dévoue alors et prend en bouche le joli membre de Gérard sous les yeux incrédules du maître de maison.

Ce dernier s’approche.

– Hum vous avez l’air de vous régaler, je peux essayer !

Et c’est ainsi qu’Hubert se met à sucer la bite de Gérard avec délectation.

Hubert voudrait nous faire croire que c’est la première fois qu’il fait ça ! Quel menteur !

– Alors, vieux pédé, on suce des bites ! Se gausse son épouse !
– Ta gueule, vieille pute, tu n’as pas honte de gouiner ta fille ? Lui répond-il du tac au tac.
– Ah, non ! Pourquoi ?

Gérard a joui dans la bouche d’Hubert lequel voudrait bien prendre son pied lui aussi..

Petit tour d’horizon pour choisir sa cible… il s’approche de Béatrice.

– Mademoiselle, permettrez que je vous baise ?
– Mais faites donc, cher monsieur ! Une petite pipe avant ?
– Volontiers.

Béatrice le suce avec application, puis se retourne, lui présentant son joli postérieur.

– Si vous désirez m’enculer, ne vous gênez surtout pas, j’adore ça quand c’est bien fait !
– Ne le prenez pas mal, mais entre-nous, seriez-vous un peu salope ?
– Très salope, monsieur ! :

Florentine s’approche de Pétula et commence à la peloter.

– Attends, faut que je fasse pipi ! Objecte cette dernière.
– Moi aussi, on y va ensemble ?

Vous pensez bien que ces deux coquines ne vont pas pisser dans la cuvette. Flo demande d’abord à la jeune fille de lui arroser la bouche.

– Il a quel goût ton pipi ? demande-t-elle
– Un goût particulier, tu n’en a jamais goûté ?
– Si mais pas de cette façon.
– Explique moi
– J’ai regardé plusieurs fois ma mère pisser, ça m’a excité et parfois elle me demandait de lui nettoyer la chatte avec ma langue, mais c’est tout. Mais vas-y pisse moi dessus que je me rende compte ! Propose-t-elle en ouvrant une large bouche

Florentine ouvre les vannes et envoie un joli filet doré dans la bouche de Pétula.

– C’est pas mauvais, c’est un peu bizarre ! Déclare la jeune fille avant d’offrir ses lèvres à Pétula.

Quand elles retournent dans la salle, tout le monde est un peu épuisé par tant de gesticulations érotiques.

Hubert n’a pas joui dans le fondement de Béatrice, il s’est retiré avant et lui a déchargé son sperme sur le visage.

– C’est malin, avec quoi je m’essuie, maintenant ?
– Laisse, je vais te lécher ! Propose alors Pétula qui joignant le geste à la parole entreprend de lécher le sperme de son paternel maculant le visage de Béatrice.

Et bien sûr à la fin de cette fantaisie, les deux femmes se roulèrent un mémorable patin.

Martinov est moitié endormi, Gérard est coincé entre Brigitte et Sylvianne, ils s’échangent de douces caresses. Les fins de partouzes sont toujours un peu somnolentes.

Et voilà que Dorothée se pointe (où était-elle passée celle-ci ?)

– Madame est servie ! Annonce-t-elle.

Que se passe-t-il ? Elle n’aurait pas parlé assez fort, toujours est-il que personne ne réagit. Du coup elle se reprend et parle plus fort.

– Je disais que « Madame est servie », autrement dit si vous ne voulez pas que le gigot soit trop cuit, il faudrait passer à table, il n’y a pas que le cul dans la vie.
– D’accord on y va, mais vous ferez le service à poil, Dorothée.
– Monsieur est un cochon, mais d’accord.

Béatrice vient secouer Martinov afin de faire sortir de ta torpeur.

– Hein, quoi ?
– Ben on passe à table !
– Mais je suis tout nu
– Moi aussi !
– C’est un repas naturiste, alors ?
– On va dire ça comme ça.
– Quand même quelle aventure !
– Nous en aurons d’autres, mon petit professeur !

Fin de l’épisode

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Dimanche 28 avril 2024 7 28 /04 /Avr /2024 19:08

Martinov 27 – La possession de Pétula – 11 – Brigitte et le journaliste par Maud-Anne Amaro
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Brigitte se débrouilla pour rencontrer Georges Laplace, un journaliste du journal « l’Union » (la presse régionale locale) au cours d’un diner au restaurant. Elle lui raconta l’histoire.

– Voici quelques adresses, si vous souhaitez vérifier mes dires, celles qui sont soulignées sont celles où vous recevrez en principe un bon accueil, et je vous laisse aussi cette analyse surréaliste du laboratoire…

Laplace ne pouvait s’empêcher de lorgner dans le décolleté de Brigitte avec des yeux concupiscent.

– Ce n’est ni le lieu, ni le moment mais en d’autres circonstances, je vous aurais sans doute dragué. Finit-il par bafouiller. Mais je ne le ferais pas, avec les mentalités actuelles, la drague devient un sport dangereux.

Brigitte éclata de rire :

– Autrement dit vous êtes en train de me draguer sans oser le dire !
– Non, non…
– Arrêtez, vous en mourre d’envie ! Confidence pour confidence, je n’ai rien contre un moment de détente avec un homme qui m’inspire la sympathie.
– A moins c’est clair.
– Je n’habite pas la région, je suis à l’hôtel, mais un bon hôtel et la chambre est confortable.

Sur place les deux amants occasionnels se déshabillèrent sans cérémonie.

– Oh, votre poitrine est fabuleuse !
– Elle est à vous, allez-y.

Et l’homme vint les tripoter, les caresser et en lécher les bouts, tout cela avec la bite en étendard.

– Oh, la belle bite ! Je crois bien que je vais la sucer.
– Sucez, ma chère, sucez, je suis persuadé que vous êtes la reine de la pipe !

Brigitte s’est agenouillée devant le journaliste qui lui s’est assis sur le bord du lit et elle lui embouche la biroute.

Brigitte espérait plus ou moins le faire jouir de cette façon, n’étant pas trop motivée ce soir pour baiser.

– Lève-toi ! lui dit-elle soudain.
– Pourquoi donc ?
– Tu verras bien !

En fait Brigitte voulait tout en continuant à le sucer avoir accès à ses fesses ce qui n’était pas possible en position assise

Martinov2711Elle lui écarte les globes, son doigt viens masser la rosette, l’homme ne proteste pas. Elle interrompt quelques instants sa fellation afin de se mouiller le doigt, puis le doigt revient derrière et lui pénétré l’anus.

– Ah !

Mais ce cri n’a rien d’une protestation. Le doigt s’agite, la bite soubresaute dans la bouche de Brigitte. L’homme jouit, Brigitte recrache le sperme discrètement.

– Quelle pipe !
– T’as vu, hein !

« Encore un bisexuel qui s’ignore ! »

Quelques jours plus tard, l’Union titrait. « Faux curé et véritable escroquerie » aucun nom n’était cité, mais le mode opératoire était scrupuleusement décrit, le papier était illustré de l’analyse du laboratoire qui donna son accord pour publication. L’article se terminait par ses mots « La révélation de cette escroquerie très bien préparée n’aurait été possible sans la pugnacité d’un cabinet de détective privée… »

Brigitte avait donc fini son travail, la nouvelle succursale locale de son cabinet de détective privé marchait bien. Un joli coup !

Le pot aux roses ayant été découvert, l’abbé Michel chercha comment contrattaquer, mais ne trouvant rien, il préféra disparaitre de la circulation.

La plainte fut déposée conjointement par les familles des victimes comme cela avait été prévu. La gendarmerie se rendit au domicile de l’abbé Michel mais ne purent que constater sa disparition.

Il eut cependant l’imprudence de conserver son téléphone, il fut très vite géolocalisé à Chalons en Champagne dans un hôtel. Quand les gendarmes frappèrent à la porte de sa chambre, il ouvrit la fenêtre et sauta mortellement du 3ème étage.

Le journaliste de « L’Union » l’apprit, auprès de la gendarmerie. Il s’empressa de reporter la nouvelle au téléphone à Brigitte qui mit au courant les familles ayant portées plainte.

– Nous ne serons donc jamais remboursé ! Se désole Sylviane Forville.
– Ça risque en effet d’être assez compliqué!
– Peu importe après tout, l’essentiel est que cette affaire se soit terminée et je ne saurais trop vous remercier…
– Je vous en prie, je n’ai fait que mon métier.
– Merci quand même, du fond du cœur.

Sylviane raccrocha mais rappela dix minutes plus tard.

– Je viens de discuter avec mon époux, que diriez-vous de nous retrouver, je veux dire tous ceux qui ont contribué à résoudre cette affaire, chez nous autour du verre de l’amitié.
– Mais ce serait avec grand plaisir, proposez-nous une date…

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Dimanche 28 avril 2024 7 28 /04 /Avr /2024 19:00

Martinov 27 – La possession de Pétula – 10 – Brigitte et Fernande par Maud-Anne Amaro
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Le récit de Fernande Larue.

Le lendemain matin Zoé nous a indiqué qu’elle souhaitait garder la chambre, elle se sentait fatiguée. Et lorsque nous sommes allés la voir pour s’assurer que tout allait bien, elle a recommencé… propos incompréhensibles et rejets dégueulasses par la bouche.

Nous nous apprêtions à la conduire à l’hôpital pour ces fameux examens complémentaires quand un curé en soutane sonna à la porte.

C’est mon amie Gisèle qui est allé ouvrir

– On vous remercie mais on a besoin de rien.
– Votre fille est en danger…
– Qu’est-ce vous racontez ?
– Laissez-moi vous expliquer mais je ne peux pas faire ça sur le pas de la porte

Nous avons eu la faiblesse de le faire entrer

– J’étais en même temps que vous dans la salle d’attente des urgences, j’accompagnais un ami, le cas votre fille est connu, il y en a eu plusieurs autres dans la ville… commence le curé.
– Ah ?
– Oui votre fille est envoutée.
– Pardon ?
– Elle est si vous préférez, possédée par le diable.
– Oui, bon, je ne crois ni en Dieu, ni au diable et je vais vous prier de bien vouloir sortir.
– Le problème c’est que votre fille y croit !
– Ça m’étonnerait.
– Je vais vous faire un aveu, je ne crois pas non plus au diable, mais la croyance au démon peut provoquer des réactions psychosomatiques.
– Et alors ?
– Alors, il faut combattre le mal par le mal par exemple en simulant des séances d’exorcisme.
– N’importe quoi !
– Ça ne vous coûte rien d’essayer.
– Et je suppose que c’est vous qui vous chargerez des séances ?
– Oui.
– Et vous gagnez quoi dans tout ça ?
– La première séance est gratuite mais il en faudra probablement plusieurs.

Je me suis concerté avec mon amie et nous avons accepté de tenter l’expérience.

L’abbé Michel parce que c’est bien de lui qu’il s’agit s’est enfermée avec Zoé pendant une demi-heure, par curiosité nous avons écouté à travers la porte, mais ce n’était que vociférations de la part de Zoé et charabia en latin de la part de l’abbé.

En revenant, celui-ci abordait un sourire confiant.

– Nous sommes sur la bonne voie, j’ai réussi à dialoguer avec le démon qui est en elle…
– Vous nous disiez ne pas croire au démon !
– Mais il s’agit d’un démon imaginaire, on est en pleine schizophrénie, voyez-vous, Je pense malheureusement qu’il faudra une vingtaine de séances.
– Si c’est de la schizophrénie, peut être qu’un psy…
– Certes mais dans ces cas-là la collaboration du patient est requise, moi je n’ai pas besoin de cette collaboration.
– Hummm
– Je vais vous faire un devis, vous me paierez à la fin de chaque séance mais je m’engage à vous rembourser en cas d’échec.

Et nous avons accepté…

Fin du récit de Fernande

– Et jamais vous n’avez soupçonné la supercherie ? Demande Brigitte
– Non.
– Et votre mari non plus ?
– Je n’ai pas de mari.
– Oh pardon, je voulais dire votre amie.
– Gisèle n’a rien soupçonné non plus, pourtant c’est une femme intelligente, rationaliste et les pieds bien sur terre. Elle aime Zoé comme sa propre fille alors que c’est moi la mère biologique

Je compris alors que Fernande vivait en couple avec cette Gisèle… Mais au cas où je n’aurais pas compris Fernande en ajouta une couche :

– Et oui, Zoé a deux mamans. Il est possible que cela vous choque mais c’est comme ça !
– Ça ne me choque pas du tout…
– On dit ça, on dit ça… vous savez j’ai l’habitude, les gens se disent ouverts, sans préjugés et tout ça, mais pour la plupart on reste des gouines avec tout le sens péjoratif qui va avec.
– Vous ne me croyez donc pas quand je vous dis que ça ne me choque pas ?.

Elle fait comme si elle ne m’avait pas entendu et continue son discours.

– Zoé s’est fait harceler au lycée, « fille de gouines, fille de gouines » ça n’arrêtait pas. Je suis allé au lycée et j’ai foutu une tarte à la pétasse qui trouvait très amusant de faire ça. Ses parents ont porté plainte. C’est moi qui avais tort, j’ai été convoqué à la gendarmerie avec rappel à la loi.
– Et si je vous disais que j’ai eu plusieurs aventures féminines ?
– Ah oui ? Et dans quelles circonstances.
– Dans des circonstances diverses, j’ai fait ça en toute connaissance de cause et j’y ai pris du plaisir.
– Et… ne vous méprenez pas ce n’est qu’une question, vous feriez l’amour avec moi ?
– Je n’aurais pas à me forcer beaucoup…
– Si je vous prenais au mot vous seriez bien embarrassée.
– Vous jouer avec le feu, là !

Les deux femmes se regardent autrement. Fernande a conscience d’être allée trop loin.

– Oublions cette conversation. Finit-elle par dire.

Brigitte s’approche de Zoé et lui caresse ses bras nus.

– D’accord, oublions, mais on peut éventuellement se faire un bisou.

Fernande accueille cette suggestion en sachant très bien ce qui risque de se passer. Mais qu’importe, ce ne sera pas elle qui aura fait le premier pas.

Alors effectivement les deux femmes s’enlacent et quand les mains de Brigitte deviennent baladeuses, loin de s’en offusquer Fernande lui rend la pareille.

Instant de folie au terme desquels les deux femmes se reculent légèrement.

– On ne reste là ou on va plus loin ? demande Brigitte.
– C’est comme tu veux… Mais profites-en, pour l’instant je suis excitée, ça ne va peut-être pas durer…
– On se déshabille ?
– Attends ! Si tu veux on va faire comme ça, retire mes vêtements, et ensuite c’est toi qui vas me déshabiller.

Brigitte n’a rien contre cette petite mise en scène (on s’en serait douté) et retire tous ses vêtements sous l’œil admiratif de Fernande…

– T’es vachement bien gaulée !
– Je ne me plains pas !
– Je peux toucher ?
– Bien sûr mais tu voulais que je te déshabille…
– Je touche un peu, puis tu me déshabilles…

Elle ne touche pas, elle malaxe, elle triture… ses réserves d’il y a quelques instants ne sont plus que de lointains souvenirs.

Fernande se laisse ensuite déshabiliter, la chose est pratique celle-ci ne portant qu’une petite robe noire qu’il suffit d’ouvrir par le dos.

La voici en soutif et culotte (pas terrible la culotte)

Brigitte fait sortir les seins des bonnets du soutif avant de le dégrafer, puis (juste retour des choses) à les embrasser sauvagement.

Fernande indique par geste que le canapé sera très bien pour la suite.

– Ta copine est jalouse ?
– Gisèle ? Elle serait mal placée, elle bouffe toutes les chattes qu’elle peut. Faut dire qu’elle est bien plus belle que moi, elle attire les meufs, mais moi je m’en fous, elle m’aime et je sais que c’est sincère.
– Mais toi tu ne lui es pas fidèle non plus ?
– A vrai dire j’ai peu d’occasion et je ne cherche pas non plus ! Qu’est-ce que tu vas me faire ?
– Que des bonnes choses.
– Oui mais quoi ?
– Je vais te lécher l’abricot.
– J’aime bien les petites misères aussi..
– Ah oui ? Une petite fessée par exemple ?
– Oui, j’aime bien !
– Alors donne-moi ton cul !

Fernande s’installe en levrette, en cambrant bien ses fesses.

– En voilà un joli petit cul !
– Tu parles, je n’ai rien d’un top-modèle.
– T’as pas un peu fini de te dévaloriser, ça mérite bien une fessée ! Tiens !
– Un peu plus fort !
– Ça risque de laisser des traces !
– Pas grave !

Ainsi encouragée, Brigitte lui distribue des claques sur les fesses jusqu’en avoir mal aux mains. Le cul de Fernande devient rouge.

Petite pause

– Elle te fait ça aussi ta Gisèle.
– Oh, oui, et même pire !
– Quand ça la prend, elle me fouette avec une cravache, elle m’enfonce des godes, elle me pose de pinces, elle me gifle, elle m’humilie, moi j’adore ça, mais elle me fait ça de moins en moins souvent.
– Elle t’humilie de quelle façon ?
– Oh, ce n’est jamais vraiment pareil, elle a beaucoup d’imagination, elle me crache dessus, me pisse dessus, me fait mettre au coin, elle me traite de tous les noms. Le pire qu’elle m’a fait, c’est quand elle a ramené une pétasse à la maison, elle m’a attaché toute nue sur une chaise et pendant ce temps-là elle s’envoyait la pétasse. Et tu me croiras si tu veux, ça m’a fait mouiller.
Martinov2710– Hum, ça me donne des idées, j’ai justement une petite envie de pipi.
– Pisse moi dans la bouche ! On va faire ça dans la salle de bain.

Sur place Fernande s’assoit sur le bord de la baignoire bouche bien ouverte. Brigitte se concentre quelque secondes avant de pisser dru.

– Oh, que c’est bon, je suis une salope d’amer ça ! Dis-moi que je suis une salope, insulte-moi.
– T’es qu’une morue dévergondée, une gouinasse, une poufiasse de bistrot… Mais tu vois je n’ai rien pour m’essuyer la foufoune, alors tu vas me servir de papier à cul. Je veux que tu me lèches et que tu me fasses jouir.

Fernande n’hésite pas une seconde, et vient laper la chatte humide de la détective privée, tandis que son doigt s’enfonce dans l’anus

– J’adore doigter les trous du cul ! commente-elle entre deux lapées
– Et tu lèche ton doigt après ?
– Bien sûr, c’est trop bon !

On voit bien que la Fernande a l’habitude de ce genre de chose, on pourrait même dire qu’elle est experte puisqu’elle parvient à faire jouir sa partenaire en un temps record.

– Eh ben dis donc toi ! Quelle langue diabolique !
– Je ne pensais pas que tu partirais aussi vite. Je suis tout excitée, toute mouillée…
– O.K. on invertis les rôles, mets-toi devant moi.

Ce fut alors au tour de Fernande de jouir intensément. Les deux femmes s’étreignirent avec passion.

Puis il fallut bien se rhabiller.

– Il faut maintenant parler boulot, je vais te faire signer un contrat type par lequel tu me demandes d’enquêter sur les agissements de l’abbé Michel. C’est purement formel puisque l’enquête est déjà faite… Je vais te demander un petit forfait, faut bien que je gagne ma vie. La prochaine étape ce sera ta participation à un dépôt de plainte collectif.
– Et pour ma fille.
– Je vais te laisser une photocopie des résultats du labo, je pense que quand tu vas lui monter elle sera bien embarrassée.

Bien sûr, cela ne se passa pas de la même façon chez tous les parents des filles envoutés, dans certains endroits elle se fit mettre à la porte sans ambages, mais Brigitte put néanmoins faire signer sept contrats accompagnés d’une promesse de dépôt de plainte contre l’abbé Michel.

A suivre

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