Samedi 26 octobre 2024 6 26 /10 /Oct /2024 08:57

La douche de Julie (d’après une histoire de Kevin Sellers)
Bombe

Des geysers d’eau jaillissaient en cascade sur les seins de Julie, et sur un coup de tête, elle tendit la main pour prendre ses gros seins et les pousser vers l’extérieur sous le jet ruisselant, sentant ses mamelons se raidir de plaisir inexorable.

Julie CopieJulie était fière de ses seins, et elle avait certainement des raisons de l’être. Leur fermeté n’avait pas diminué d’un iota au fil des ans. À 37 ans, elle avait toujours les seins les plus attirants de toutes les femmes de sa génération dans le quartier. Ils dépassaient, mûrs et gonflés, ils palpitaient pour attirer l’attention, ses gros mamelons roses se dilatant durement et longuement.

Son pouls s’accéléra. Elle sentit sa chatte crémer, sentit le précieux jus de chatte suinter de sa chatte et couler sur ses cuisses

Elle fit couler le jet de la douche le long de ses jambes. Presque sans réfléchir, elle passa ses pouces sur ses mamelons raides, haletant alors qu’ils tremblaient et dépassaient de plus d’un pouce de longueur. Elle les pinça légèrement, appréciant la chaleur qui se répandit dans son corps.

Puis elle laissa ses mains descendre le long de son ventre pour effleurer son épais pubis et pousser entre ses cuisses trempées jusqu’à sa chatte humide.

« Euh… »

Frissonnant de plaisir, elle fit rouler son pouce dans un mouvement circulaire sur son clitoris rigide, le torturant avec une ferveur croissante tandis qu’elle enfonçait deux doigts dans l’entrée de son trou du cul et commençait à glisser dedans et dehors.

Quand elle les ressortit, ce fut pour les lécher et les nettoyer avec frénésie.

« Ohhh, oh mon Dieu, oui… » haleta-t-elle alors que ses doigts avaient désormais complètement disparu dans sa chatte.

Elle grattait joyeusement son gros clitoris à capuchon jusqu’à ce qu’il devienne frénétique et, en quelques instants, la première vague d’orgasmes la traversa.

« Oui ! Oui, c’est ça ! Oh, ahhh… » Haletant et se cambrant sous la douche, et l’image d’être baisée par une jeune bite raide tourbillonnant dans son esprit, Julie jouissait encore et encore pendant qu’elle baisait son sexe dans une libération béate. « Tellement doux, putain, oui, mon Dieu, oui, plus, plus ! » Un torrent de crème de chatte trempa sa main alors qu’elle tremblait de joie.

Puis elle l’a vu…

Au milieu de son orgasme puissant, elle vit son fils Daniel dans le reflet du miroir. Il se tenait dans l’embrasure de la porte, ses yeux bleus écarquillés et sa bouche béante.

Mais Julie savait qu’elle ne pouvait pas arrêter ses orgasmes. Et elle savait que son fils pouvait voir ses doigts s’enfoncer profondément dans sa chatte. Savoir que son fils unique la regardait comme ça augmentait ses sensations orgasmiques au-delà de toute croyance.

Relâchant ses sphincters, Julie fit jaillir sa pisse sur ces cuisses. Sa main vint à la rencontre du jet dorée qui s’imprégna du précieux liquide. Elle la lécha d’un air satisfait.

« Ohhh, putain ! Oh, ma chatte ! » cria-t-elle, assez fort pour qu’il puisse l’entendre. « Ohhh, ma putain de chatte ! J’adore faire jouir ma chatte ! » Se tordant de bonheur sexuel, elle cria dans un pic d’extase, ses doigts pompant follement dans sa chatte bouillonnante.

Une fois que la dernière explosion de son puissant orgasme l’eut traversée, elle réalisa ce qui venait de se passer.

Daniel venait de voir sa propre mère se branler. Il l’avait regardé doigter sa chatte humide et jouir juste devant lui. Et il avait vu sa mère savourer chaque seconde orgasmique de ce moment.

Mais au lieu de réagir avec choc, Julie fut surprise de trouver un étrange sentiment de satisfaction se répandant dans son corps, aidé par les doigts qui frémissaient encore dans sa chatte tremblante.

Puis, une impulsion inattendue la frappa.

– Viens, Daniel, viens lécher Maman !

Fin (et à vous d’imaginer la suite)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Lundi 21 octobre 2024 1 21 /10 /Oct /2024 14:02

Bellyvuo24 02

Bellyvuo24

Bellyvuo24 04

Bellyvuo24 03

Bellyvuo24 05

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Ursulin
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Samedi 19 octobre 2024 6 19 /10 /Oct /2024 08:55

Les chiens coquins de Sidonie par Mathilda Stenberg

zoo

Sidonie, une superbe blonde mature sort de sa piscine, et commence à se sécher. Elle va se changer dans un abri prévu à cet effet. Elle admire son corps dans le miroir, elle est restée très belle et désirable.

Tout près, le couple de dobermans, Diego et Divine se prélasse, à l’ombre du murier platane. Cela ne fait que quelques jours qu’ils sont là. Ils appartenait à sa belle-mère décédée subitement.

Soudain, le téléphone sonne. Sidonie s’enroule dans une serviette, et se précipite au salon. Divine, surprise, part après elle. Arrivé près de l’appareil, la sonnerie s’arrête. En se retournant, elle reçoit Divine de plein fouet, qui, voulant s’amuser, la projette sur la moquette. La serviette s’ouvre. Sidonie prend appuie sur ses coudes. Suite à la chute, les jambes se sont largement écartées. La chienne fixe la chatte de la jeune femme en se passant la langue sur les babines.

– Mais ça va pas Divine, dit Sidonie. Qu’est-ce qu’il t’arrive? Tu as eu peur? Mais c’est juste le téléphone.

La tête de Divine est déjà entre les cuisses de sa maitresse, et renifle la fente.

– Lève-toi de là, tu entends, allez, couché, gronde Sidonie.

Sidonie saisit la chienne par les oreilles et essaie de la repousser. Mais Divine a plus de forces qu’elle. C’est un combat inégal qui s’engage. Petit à petit, Sidonie perd pieds. A plusieurs reprises, la langue râpeuse lèche les lèvres de Sidonie, jusqu’à décalotter le clitoris. Elle tente une nouvelle fois de repousser les assauts de la chienne, mais la sensation qu’elle sent entre les jambes, l’agréable chaleur qui se consume au creux de son ventre sont plus fortes. Divine a compris. Elle accentue ses léchages, vrillant même sa langue pour fouiller à l’intérieur du vagin.

– Oh mon dieu, gémit Sidonie, tu es vilaine. Qu’est-ce-que tu fais à la petite chatte de maman? C’est bon tu sais, ha…ha… Vas-y, gouine moi ma chérie…Bien sur le petit bouton là;…oui.

Sidonie se prend les seins en hurlant de plaisir. Divine, pensant avoir fait mal à sa maitresse, lui lèche le visage, puis docilement, se couche à côté d’elle.

Sidonie, remise de cet intermède érotique, prend la tête de Divine, et l’embrasse. Puis, elle se dirige vers la salle de bains pour prendre une bonne douche. Quand elle en ressort, elle regagne sa chambre pour s’habiller plus décemment. Elle ôte son peignoir, et se retrouve toute nue. Elle s’assied sur le lit, et met ses mains sur son visage.

Mon dieu, se dit-elle, comme je me suis fait sucer, quelle garce je suis !

Sidonie sent une présence dans la chambre. Elle ouvre ses mains et aperçoit les deux molosses assis devant elle. Elle remarque la bite de Diego à moitié décalottée. Les pensées les plus folles traversent son esprit.

– Alors mes bébés, on surveille maman. Toi, je te suis fâchée Divine. Tu as été polissonne avec moi.

L’odorat du chien est, en général, très développé. Si Sidonie s’est bien lavée, l’odeur de mouille ne leur échappe pas. A voir les rotations de langues sur les babines de Diego, Sidonie comprend qu’il a envie de quelque chose. Il s’avance, se dresse devant sa maitresse, et appuie ses deux pattes sur sa poitrine. Sidonie bascule sur le lit, jambes ouvertes. Elle sent la queue de Diego devenue énorme butter contre sa chatte, encore humide. Elle tente de repousser le chien en le prenant sous les aisselles, en vain. Le poids de l’animal est trop important pour elle.

– Pas ça Diego, supplie-t-elle, tu as une chienne toi. C’est pas bien ce que tu fais.

SidonieMais la queue a commencé à s’introduire entre les lèvres de sa maitresse. Il entame de brusques va-et-vient dans la chatte de Sidonie. Celle-ci hurle de douleur. Impassible, Divine, assiste à la scène

– Aie… aie… Arrête Diego, implore-t-elle, tu me fais mal.. .aie…Tu es fou, assez… assez…

Comme si elle la plaignait, Divine s’avance de sa maitresse et lui lèche le visage. Petit à petit, la douleur qui jusque-là lui tenaillait les entrailles, s’estompe pour laisser la place à une agréable sensation de plaisir. La queue du chien est enfoncée jusqu’au knot. La boule est énorme.

– Ha… Salaud, comme tu me niques mon chien. Vas-y, régale ma petite chatte… ha.. .il te nique comme ça Divine? Quelle chance tu as… Quel coup de queue… putain… comme je suis en train de me le faire mettre… oui.je joui… oui…

Sidonie ouvre la bouche et embrasse Divine. Sa langue est happée par celle de la chienne. Un baiser de feu. Pendant ce temps, Diego vide sa semence dans la chatte de sa maitresse. Il se retire, la queue pleine de mouille, pousse Divine, et vient se placer en face la bouche de sa patronne. Sidonie a compris. Elle saisit la queue, et commence à la sucer. Divine, elle, s’est mise entre ses jambes, et lui nettoie la chatte.

Sidonie va se faire prendre tout l’après-midi. Le couple de dobermans a décidé de jouer avec elle, de la faire hurler de plaisir. Elle offre même son petit trou pour que Diego l’encule. Puis, épuisée, les yeux cernés, elle s’écroule sur le lit. L’après-midi a été torride, intense, riche en découvertes sexuelles. Sidonie a pris gout aux rapports zoophiles. Le matin, quand son mari est parti au travail, elle ouvre la baie du salon, et fait rentrer les deux chiens. Elle s’accroupit devant eux, et les embrasse sur la bouche. Puis, l’instinct prend ses droits. Diego passe son museau sous la serviette, et renifle la chatte. Divine arrache le vêtement. Sidonie se retrouve nue. Puis, lentement, ce trio insolite rejoint la chambre.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Mardi 15 octobre 2024 2 15 /10 /Oct /2024 12:15

La bite du chien par Ashley Gibson
zoo

Bonjour, je m’appelle Ashley Gibson. J’ai 26 ans, j’ai de longs cheveux châtain clair, je mesure 1,80 m, j’ai des seins de taille 95D et un joli cul tout rond. Je suis un tout petit peu ronde mais je plais comme ça

J’ai emménagé dans une petit pavillon que j’avais récemment achetée avec des amis. J’étais la première à m’installer, j’avais donc beaucoup d’espace, mes amis ne me rejoindraient que dans deux semaines. J’avais amené mon précieux petit chien, Jewel, avec moi. C’est un Doberman de grande taille et quelque peu agressif que j’avais acheté à une amie à sa naissance.

Par cette chaude journée d’été, j’étais dehors, en train de me prélasser au soleil près de la piscine pendant que Jewel s’éclaboussait et courait comme un fou.

J’étais allongée sur le ventre, la tête entre les bras, essayant d’obtenir un beau bronzage sans maillot de bain. Mon chien a couru, a grimpé sur la chaise extensible et s’est tenu au-dessus de moi, avec sa balle préférée, voulant que je joue avec, mais j’étais trop fatiguée pour le faire. Je me souviens des gouttes d’eau qui tombaient sur mon dos et mes jambes alors qu’il planait au-dessus de moi. Il a laissé tomber la balle humide et baveuse sur mon dos et il s’est penché pour me donner un coup de nez. Pour une raison ou une autre, il m’a donné un coup de pattes sur les fesses et j’ai simplement essayé de le repousser avec douceur, mais il refusait de partir sans avoir lancé la balle.

– Je n’ai pas envie de jouer maintenant !

Mon chien a baissé sa tête encore plus et a poussé son nez froid et humide entre mes jambes et sur mon entrecuisse. Je me suis rapidement assise et je l’ai poussé de la chaise

– Méchant chien ! Va-t’en !

Le reste de la journée, j’ai essayé d’ignorer ce qui s’était passé. Plus tard, à la nuit tombante, Jewel et moi sommes rentrés à l’intérieur et j’ai décidé de prendre une bonne douche. J’ai ouvert une boîte de nourriture pour chien pour Jewel avant d’aller me doucher. Pendant que j’étais sous la douche, je me suis fait plaisir parce que je me sentais vraiment excité.

Je me suis enfoncé un doigt dans le cul et l’ai fait aller et venir avant de le, écher, j’adore ça ! Je me suis, ensuite touché la chatte jusqu’à la jouissance et ne pouvant plus me retenir de mon envie de pisser, j’ai arrose le sol de la cabine de douche (et mes cuisses aussi par la même occasion). J’aime me sentir cochonne, c’est plus fort que moi !

Après ces petites fantaisies,, je me suis séché et j’ai enfilé une nuisette ample. J’avais aussi une petite culotte lacée qui était couverte par la chemise.

Quand je suis descendue pour regarder la télé, Jewel était déjà sur le canapé à m’attendre comme un bon chien. Pendant j’essayais de m’intéresser à ce proposait le petit écran, j’ai remarqué du coin de l’œil que Jewel devenait un peu excité parce que je pouvais voir le bout de sa bite en frottant son ventre. Pour une raison quelconque, j’ai continué à le caresser, mais ma main est descendue entre ses pattes et j’ai touché doucement le bout de sa bite, puis j’ai retiré ma main, ne sachant trop quoi faire.

Je décidais d’aller me coucher et de me reposer, mais le lendemain, quand je me suis réveillée, Jewel se tenait au-dessus de moi et j’ai levé les yeux vers lui. Il m’a salué avec quelques léchouilles sur mon visage et a tapoté sa tête.

– Bonjour Jewel, tu as faim ?

Quand je me suis levée du lit, je ne voyais pas mes pantoufles, alors je me suis mise à quatre pattes et j’ai déplacé mes cheveux pour les chercher sous le lit, quand, soudain, j’ai senti le nez froid de Jewel contre ma chatte. Pour une raison étrange, ma chatte a commencé à être mouillée et j’ai essayé de repousser Jewel avec mon pied tout en continuant à chercher mes chaussures.

Après les avoir trouvées, j’ai baissé la tête et j’ai tendu la main sous mon lit pour les prendre quand j’ai senti Jewel me monter sur le dos. J’ai paniqué et j’ai retiré ma main, mais Jewel était trop lourd pour être repoussé. J’ai essayé de me glisser sous lui, mais il a poussé un grognement très fort, ce qui m’a fait peur, car j’étais dans une position très vulnérable. J’ai senti quelque chose de long et humide frotter contre l’intérieur de mes cuisses, quand j’ai réalisé que c’était la bite de Jewel, ce qui a rendu ma chatte encore plus humide.

Mon chien a enroulé ses pattes autour de moi et a commencé à pousser ses hanches vers l’avant, essayant de trouver mon entrée humide pour y enfoncer sa queue de 20 cm (que j’ai mesuré plus tard). Je pouvais sentir le bout de la bite de Jewel pousser contre le tissu fin qui l’empêchait de m’empaler, mais j’étais tellement excitée qu’un doux gémissement s’est échappé de mes lèvres. Je ne pouvais pas m’en empêcher et je savais que Jewel n’allait pas s’arrêter avant d’avoir obtenu ce qu’il voulait, alors j’ai passé la main derrière moi et fait glisser ma culotte jusqu’à mes genoux. Après de nombreuses tentatives ratées, Jewel a réussi à m’empaler avec sa pointe et j’ai été stupéfaite. J’ai glapi de surprise lorsque sa tige a commencé à s’enfoncer en moi. J’ai écarté les jambes en gémissant. Au début, c’était un peu douloureux, mais ça s’est vite transformé en plaisir lorsque Jewel a commencé à accélérer son rythme.

J’ai passé la main sous moi pour toucher ma chatte et d’une main j’ai commencé à me frotter férocement ce qui m’a fait atteindre l’orgasme. J’ai gémi bruyamment en jouissant sur le tapis de sol. Mon chien, de son côté, n’en avait pas fini avec moi et il a continué à pousser férocement jusqu’à ce que son nœud soit coincé en moi. Il a tellement gonflé qu’il m’a fait mal quand il s’est retiré pour le remettre dedans. Soudain, mon corps est devenu mou et s’est effondré quand j’ai senti Jewel vider ses couilles en moi. Après un moment à rester coincés avec lui, nous avons finalement réussi à nous séparer et j’ai laissé Jewel lécher ma chatte jusqu’à ce qu’elle soit propre. Mon chien s’est allongé à côté de moi et a levé sa jambe en l’air pour commencer à se lécher les couilles.

Je lui ai lancé un regard furieux, j’ai rampé jusqu’à lui et je lui ai dit

– Espèce de chien stupide, laisse-moi t’aider !

Jewell
Je me suis penché et j’ai commencé à lécher sa bite encore en érection jusqu’à ce qu’elle soit propre de nos deux saletés. J’ai pris autant de sa bite que je pouvais et j’ai commencé à bouger ma tête de haut en bas. De toute évidence, il s’amusait parce qu’il s’est allongé et a levé sa jambe un peu plus haut. Quand je l’ai achevé, j’ai senti le sperme chaud de Jewel suinter dans ma bouche et s’écouler sur le tapis. Je me suis léché les lèvres et je l’ai conduit en bas des escaliers pour lui donner à manger.

Tout cela m’a profondément troublé et croyez le si vous voulez, j’ai déjà envie de recommencer..

Fin

Une version de ce texte est trouvable sur le net, il s’agit d’une traduction assez maladroite d’un texte en anglais. Nous l’avons corrigé de ses pires maladresses et un peu enrichi.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Jeudi 3 octobre 2024 4 03 /10 /Oct /2024 16:21

Chanette 31 – La clairière secrète – 11 – En pleine confusion

bisou1719

Revenue au gîte, Noémie fut abordée par Jacques.

– Alors on revient de balade ?
– Ben oui .
– Ma compagnie ne vous intéresse plus ?
– La question n’est pas là…
– On aurait pu faire un tour aux rochers de Maroisan cet après-midi ?
– Désolée, je m’en vais, mais si vous êtes véhiculé, je veux bien que vous m’accompagniez jusqu’à la gare de Rodez
– Non, désolé .
– Pas grave, je vais appeler un taxi.

A Paris Gare de Lyon, elle prit de nouveau un taxi afin de se rendre à l’adresse indiquée.

– Je suis porteuse d’un message pour votre responsable.
– C’est moi le responsable. Répondit Idriss.

Ce dernier découvre le message et affiche une mine stupéfaite.

– Euh attendez un Instant, je reviens.

Idriss interpelle Moussa, l’un de ses collaborateurs,

– C’est quoi ce cirque, on a deux fois le même message ?
– Il doit y avoir un piège là-dessous. Répond Moussa
– Quel piège ?
– L’une des deux filles n’est pas claire, reste à savoir laquelle ?
– Je pense pouvoir démêler ça.

Idriss revient vers Noémie,

– Nous avons quelques soucis, pouvez-vous nous dire en quelles circonstances on vous a demandé d’être porteuse d’un message.
– Ecoutez, je ne suis pas là pour répondre à un interrogatoire, le deal c’était la transmission du message contre 45 000 euros et point barre.
– Qui est-ce qui vous a contacté pour effectuer cette mission ?
– Mais bon dieu, j’ai fait le boulot qu’on m’avait demandé, maintenant je veux mon fric.
– On ne l’a pas ici, faudra repasser dans une semaine.
– Vous vous foutez de ma gueule ou quoi ?
– Je ne peux pas vous donner ce que je n’ai pas.
– Non mais je rêve j’ai bousillé ma moto, je le suis fait ficeler par des neuneus, enfermée dans un cabinet noir et tout ça pour que dalle ! Et vous croyez que je vais me laisser faire ?
– Soyez plus claire, qui vous a ficelé ?
– Vos copains de la secte de je ne sais pas quoi.
– Vous les avez rencontrés ?
– Evidemment, puisqu’ils m’ont ficelé. Je ne me suis pas ficelée toute seule !
– Alors c’est vous la bonne ? Mais c’est qui l’autre ?
– Mais qu’est-ce que vous racontez ?
– Rien, repassez dans huit jours
– Escroc !
– Mais non. Allez du balais !

Et comme elle ne bouge pas, on la pousse un peu virilement vers la sortie.

Noémie est dépitée, mais ne perd pas tout espoir.

– Si vraiment c’était foutu il ne m’aurait pas proposé de revenir dans huit jours !

Idris a beau retourner le problème en tous sens, cette situation lui paraît incompréhensible, il revient vers Moussa,

– J’aurais bien envoyer Kiko fouiner chez la première fille, mais il est reparti au pays ..
– Tu veux que je m’en occupe ?
– J’allais te le demander. Il faudrait que tu lui foutes la trouille… si on pouvait récupérer le fric qu’on lui a filé…
– Compte sur moi !

Je suis tranquillou à la maison avec mon matou qui se tape une crise d’affection, et voilà qu’on sonne à la porte.

C’est qui encore ?

L’œilleton me fait découvrir un grand black très baraqué.

– C’est pourquoi ? Vous devez vous tromper…
– C’est à propos du message.
– Quel message ?
– Celui que vous avez transmis à Afrique 3000.
– Je ne suis pas au courant.
– Ouvrez-moi, vous n’avez rien à craindre, on va juste discuter.
– Foutez moi le camp !

Cette histoire à la con va me poursuivre jusqu’à quand ?

– Si vous ne m’ouvrez pas, je vais tambouriner jusqu’à ce que vous deveniez raisonnable.
– Je vais ouvrir… juste une seconde.

Le temps de planquer mon flingue et ma bombe au poivre dans la poche de ma robe de chambre…

J’ouvre, le mec entre en me déshabillant des yeux. Je n’aime pas son regard.

– C’est très simple, vous vous êtes servie d’un message qui ne vous était pas destinée, tout ça pour nous piquer 45 000 euros.
– Mais pas du tout…
– Bon ça suffit. Un, vous me rendez le fric. Deux, je veux savoir qui sont vos complices.

Je rêve !

– Ecoutez, vous êtes en train de vous tromper de personne, alors vous allez être gentil de débarrasser le plancher.
– Mon collègue vous a suivi jusqu’à votre porte après que vous ayez quitté notre permanence.
– Vous devriez cesser de raconter n’importe quoi…
– Aboule le fric, grosse pouffe.
– Des insultes maintenant ? Dégage connard.
– Le fric ou je vais m’énerver.
– Des menaces ? Je t’ai demandé de dégager.

Et de façon tout à fait inattendue, ce gros con m’envoie une gifle en pleine poire, et pas la petite gifle, c’est qu’il a la main lourde cet abruti !

Puis tout alla très vite, ma main rentre dans ma poche, je vais pour saisir la bombe au poivre, le type m’envoie un coup de manchette, sur le poignet, je hurle de douleur. Je suis mal.

Il y a des circonstances où le cerveau fonctionne à cent à l’heure. Ce type ne va pas arrêter de me faire chier, la solution c’est peut-être de temporiser en entrant dans son jeu.

– Bon, je vais t’expliquer, le fric, je l’ai déposé à la banque, il me faut deux ou trois jours pour le récupérer…
– Et bien voilà, on devient raisonnable, je repasse dans trois jours.

Je n’en reviens pas qu’il soit parti si vite… j’ai la joue toute rouge, le poignet en compote… Je téléphone à Max… pourvu qu’il soit libre !

Moussa est tout content et narre son « exploit » à Idriss.

– Elle ne m’a pas résisté longtemps, Comment je te l’ai dompté ! On aura le fric dans trois jours.
– Et pour le reste ?
– Elle me racontera tout, je te dis, je l’ai dompté !
– Super !

Max a pu se libérer et le jour fatal nous attendions de pied ferme le gros lard qui avait omis de se présenter.

Il arrive, je le fais entrer, Max est dans la cuisine.

– Z’avez le fric ?
– Oui, mais on dit bonjour quand on est gentleman.
– Bonjour.
– Je vais vous chercher ça…
– Pas d’embrouille, hein ?

Et soudain Max surgit, pistolet au poing.

– Tu bouges plus, tu lèves les mains en l’air, Chanette tu le tiens en respect pendant que je le fouille, s’il fait le con tu lui tires dans les cuisses.

Moussa n’avait aucune arme sur lui, mais une paire de menottes.

– Super on va s’en servir ! Indiqua Max avant de menotter l’individu. Et maintenant tu t’assois, je vais te raconter des choses.

Max commença par lui balancer une gifle.

– Ça c’est parce que tu as été vilain avec Chanette. Mais je peux être moi aussi très vilain, tu sais qui je suis ?
– Non… balbutia Moussa
– On m’appelle Jojo la crème, ça ne te parle pas non plus, je suppose ?
– Non.
– T’es vraiment un cave ! Tu vois je suis le protecteur de cette charmante personne, tu piges ou faut te faire un dessin ?
– Bon ça va…
– Donc je suis comme dirait les poulets, une figure du milieu, et le milieu, je vais t’expliquer ce que c’est, des truands, des voyous, des trafiquants, et des tueurs professionnels. Donc si tu continues à emmerder ma petite protégée, tu sais à quoi tu t’exposes, t’as pigé ducon ?
– Oui

Quel baratineur, ce Max, il est beau dans ses moments-là !

– Donc on va te laisser partir mais tu n’as pas intérêt à te repointer ici, je vais veiller au grain. Reprend-il

Moussa s’en alla sans demander son reste et rendit compte à Idriss, la queue basse.

– La nana est une pute liée au grand banditisme, je suis tombé sur son maquereau…
– Bon on laisse tomber…

En revanche Noémie ne lâcha pas l’affaire et se pointa comme prévu le jour dit à la permanence d’Afrique 3000.

– Bonjour, on m’avait dit de repasser, je viens chercher mon fric.
– On ne l’a pas, on se l’ai fait voler.
– De quoi, on m’avait promis…
– Moi je vous ai rien promis.
– C’est dégueulasse. !
– Vous n’avez qu’à porter plainte !
– N’importe quoi, vous pourriez le regretter j’ai des amis bien placés, bluffa-t-elle

Idriss eût alors une idée machiavélique.

– On a l’adresse de la voleuse, si vous voulez vous arranger avec elle… mais c’est tout ce que je peux faire pour vous.
– Pfff

Mais elle la nota quand même…

Et donc voilà que l’on sonne à ma porte, je commence à en avoir marre de toutes ces visites vespérales.

– C’est quoi ?
– C’est Noémie !
– Connais pas, l’immeuble est interdit aux démarcheurs…
– Je n’ai rien à vendre, c’est juste pour causer.
– Foutez-moi la paix.
– C’est à propos du message ..

Oh, non, ce n’est pas vrai ! Ça va s’arrêter quand ce cirque ? J’ouvre ou je n’ouvre pas ? J’ai la faiblesse de la faire entrer.

– Voilà, vous allez trouver ma démarche singulière…
– Abrégez je vous prie.
– Il y a plusieurs semaines j’ai été abordé par une bonne femme qui m’a proposé une mission bien payée et qui m’a semblé anodine. En fait je devais acheminer un message manuscrit… Or, et je ne cherche pas à savoir pourquoi, le message vous a été remis à vous et par conséquent c’est vous qui avez touché la prime.
– Quelle prime ?
– Ben la prime, quoi !
– Y’avait une prime ?
– Ben évidemment, je n’allais pas faire ça gratuitement… mais pourquoi vous me demandez ça ? C’est bien vous qui l’avez touché, non ?
– Je n’ai rien touché du tout, c’est indiscret de vous demander de quel montant il s’agit ?
– Mais vous bluffez ou quoi ?
– C’est quoi le montant ? Répète-je
– Ben 45 000, vous jouez à quoi, là ?

Je ne sais pas quelle mine j’abordais en ce moment, mais manifestement mon interlocutrice ne comprenait plus rien.

– Putain 45 000, si j’avais su, j’y serais allée moi-même !

Mais pourquoi les deux barbouzes ne se sont pas servis de cet argument pour m’y faire déplacer ? Parce qu’ils devaient ignorer les modalités financières du truc ! Et ça veut donc dire qu’Anne Marie a empoché les sous ! Elle en a fait quoi ? Confié à ses supérieurs ? Ça m’étonnerait ! Versé à une association caritative ? Je n’y crois pas une seconde. Elle a dû garder ça pour elle sans en parler à personne. C’est de bonne guerre, j’aurais sans doute fait la même chose.

– C’est bien vous qui avez porté le message ?
– Qui vous a dit ça ?
– Les gens de chez Afrique 3000, c’est eux qui m’ont communiqué votre adresse.
– Ben. non, ça ne s’est pas passé comme ça.

Je lui résume la situation.

– Mais pourquoi m’ont-ils dit que c’était vous ?
– Ils se sont mélangé les crayons, la barbouze est venue chez moi après avoir porté le message, elle voulait me voir.
– Et pourquoi ? c’est indiscret ?
– Non, elle m’a raconté des conneries, en fait elle essayait de justifier son rôle.
– Pour le fric ?
– Non, elle ne m’a jamais parlé du fric, elle a voulu me faire croire qu’elle luttait contre les trafiquants d’armes, si elle savait comme j’en ai rien à foutre. En fait c’était un prétexte, elle voulait coucher avec moi !
– Oh !
– Je voulais pas vous choquer.
– Il n’y a pas grand-chose qui me choque. Eventuellement on ne peut pas négocier avec cette fille ?
– Négocier avec des agents secrets, faut peut-être pas rêver, et de toute façon j’ignore ses coordonnées.
– Bon ben tant pis, je n’en mourrai pas… je comprends qu’ils aient pu nous confondre, on se ressemble un peu.
– Avec 10 ans de différence !
– Je peux être indiscrète ?
– T’as le droit d’essayer.
– Elle a réussi à coucher avec toi ?
– Et ça va t’avancer à quoi de savoir ça ?
– Juste de la curiosité.
– Ben oui on a baisé.
– Tu vas avec les femmes ?
– Mais tu vas m’interroger longtemps comme ça ?
– Excuse-moi. Je m’égare.
– Remarque si ça t’intéresse, on peut s’arranger.
– Non, non, je vais te laisser…

Et alors je ne sais pas ce qui me prend, envie de m’amuser peut-être mais je trouve que cette fille possède un charme qui ne me laisse pas indifférente.

– T’as mangé ?
– Non, pourquoi ?
– Parce que je n’ai pas encore diné non plus, si tu veux je peux faire une omelette pour deux, c’est moi la reine de l’omelette.
– Ah ? Je veux bien.

Je la laisse parler, elle me raconte un peu sa vie, j’avoue ne pas en avoir grand-chose à cirer. Etudes de sociologie qui ne mène pratiquement nulle part, chômage après une expérience malheureuse en entreprise, vie sentimentale chaotique, grosse déception après que sa meilleure amie se soit marié avec un jeune loup de la finance…

– Une déception ? Pourquoi ? Avec ton amie, les rapports c’était quoi ?
– Des rapports d’amitiés, mais un jour où on avait pas mal picolé, ça a dérapé.
– Et ça a dérapé comment ?
– On s’est envoyé en l’air, moi j’ai bien aimé, je croyais qu’elle aussi mais en fait j’ai eu l’impression qu’elle culpabilisait.
– T’as eu d’autres expériences avec les femmes ?
– Non, enfin si, juste un petit truc… une soirée chez des copains, il y avait une nana qui voulait que je lui embrasse les seins.
– Et tu l’a fait ?
– Ou, ce n’était pas désagréable.
– Et avec moi, tu le ferais ?
– En voilà une proposition ? T’es gonflé de me demander ça !
– C’était juste une question !

Du coup elle me regarde différemment.

– On peut essayer, mais ne m’en veut pas si je suis un peu gourdasse…

Et voilà !

– Approche-toi qu’on se bisouille.

On s’embrasse, et cela ne la répugne pas du tout, bien au contraire, mes mains se baladent sur ses seins que je malaxe à travers le tissu.

– On se met à poil ?

Aussitôt dit, aussitôt fait et nous voilà de nouveau l’une devant l’autre mais débarrassées de nos fringues.

Nouvel épisode de pelotages, elle a l’air l’apprécier mes seins et en lèche les pointes. Bien sûr je lui rends la pareille, et après ces petits préliminaires mammaires je la prends par la main et l’entraine dans ma chambre

On continue à se caresser et à se tripoter sur le plumard… Et puis j’ai eu envie de m’occuper de son petit cul…

chanette3111Après l’avoir fait se mettre en levrette, je l’ai gratifié d’une feuille de rose comme j’aime bien les faire.

– Un gode dans le cul, tu aimerais ?
– S’il n’est pas trop gros !

Il n’est pas gros, il est moyen, je l’ai fait aller et venir dans son fondement en mode vibrateur, elle avait l’air d’apprécier mais pas moyen de la faire jouir de cette façon.

Qu’importe, je ne suis pas avare de moyens, on a laissé tomber le gode et je lui ai doigté la zézette et là elle a commencé à bien mouiller. Ma langue a remplacé mon doigt et après un bon léchage j’ai fait ce qu’il fallait pour l’envoyer au ciel.

Elle est pantelante, elle souffle comme un bœuf et me sourit bêtement.

– A ton tour de t’occuper de moi !

Elle l’a fait, ce ne fut pas la plus douée de mes partenaires mais je voulais jouir, j’ai joui !

Moment calme ! On se fume une cigarette, faudra que je m’arrête un ce ces jours…

– Tu vas faire quoi maintenant ?
– Rien , je me suis fait avoir, je n’en mourrais pas, j’ai quand même empoché 5 000 euros, mais j’espérais bien mieux.
– Et sinon, tu vas chercher du boulot ?
– Oui, mais c’est la galère, on me propose que des stages idiots. Je me demande si je ne vais pas faire la pute.

Je ne réponds pas, je n’ai pas envie de lui dire quel est mon métier, non pas que j’en ai honte, mais ça ne la regarde pas.

– Je l’ai déjà fait très occasionnellement ! Reprend-elle. Mais je en sais pas si je suis si douée que ça !
– Bon, on la bouffe cette omelette ?

On a discuté comme de vielles copines en mangeant et en descendant une bouteille de rosé. Elle m’a ensuite quitté avec un gros bisou baveux.

– Je te dis adieu ! Me dit-elle car je ne pense pas qu’on se reverra.

Effectivement c’est très bien comme ça !

L’aventure s’est terminée là, du moins en ce qui me concerne,

Quelques temps plus tard un article paressait dans la presse « de gauche » signé d’un certain Klakmuf racontant toute l’histoire mais sans faire allusion à ma modeste personne (encore heureux !) et stigmatisant le rôle des services secrets dans cette affaire.

On apprit aussi que la rébellion Tsumila avait été écrasée, l’armée gouvernementale ayant été lourdement armée par du matériel américain. Quant à la permanence d’Afrique 3000, elle a mystérieusement brûlé… que voulez-vous il y a des gens qui jettent leurs mégots n’importe où !

Je n’ai jamais revue Noémie, quant à Anne Marie elle m’a envoyé un message sibyllin.

« Je passerai un de ces jours te faire un bisou… si tu le veux bien… »

Ok, c’est quand elle voudra ! L’odeur de sa chatte ma manque !

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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