Samedi 20 janvier 2024 6 20 /01 /Jan /2024 14:35

Chanette 30 – La disparition de Carole – 2 – Talents de conteuse par Chanette
Anna

J’ai donc indiqué au type que j’étais d’accord et il m’a communiqué l’adresse de sa location de vacances.

J’arrive chez lui, il me demande si je veux boire quelque chose, je décline. Pas envie qu’il me mette un truc douteux dans mon verre. Mais il n’insiste pas.

– Je m’appelle Jérémy ! Me dit-il
– Enchantée, moi c’est Marguerite ! Improvisais-je
– Non, vous plaisantez ?
– Peut-être que oui, peut-être que non… Mais je pense que vous pouvez comprendre que je ne vais pas vous donner mon vrai nom…
– Oui, bien sûr. Asseyez-vous. On se donne une heure ? Me confirme-t-il.

Il s’assoit en face de moi.

– Je vous écoute.
– Payez-moi et nous pourrons commencer.
– Ne vous inquiétez pas, je vous paierai tout à l’heure.
– Non, l’usage est de payer d’avance.
– Et si votre prestation ne me convient pas ?
– Bon écoutez, on ne va pas jouer aux marchands de tapis, vous me payez ou je m’en vais.

Je regrette déjà d’avoir accepté ce rendez-vous, ce mec devient déjà chiant. S’il continue à m’emmerder, je vais me casser.

Il sort quelques billets de son portefeuille et les pose sur la table. Ça l’aurait dérangé de me les donner de la main à la main ?

– Bon alors, vous voulez que je vous raconte quoi ?
– Vous devez avoir plein d’anecdotes croustillantes à raconter ?
– Vous voulez du croustillant ?
– Oui ! Tant qu’à faire…
– Avec des détails bien explicites.
– Oui des trucs bien excitants. Des trucs pour me faire bander.

C’est vrai que j’ai plein d’anecdotes en stock, mais je ne vais pas non plus lui raconter ma vie, je choisi donc de lui raconter mon aventure alpestre aux sources bleues (voir : Chanette – 10 – les sources bleues) en l’arrangeant à ma sauce.

Au bout de dix minutes il m’interrompt.

– Hum, c’est super excitant votre truc, si vous permettez on va faire une pause, je vais me mettre en tenue.
– En tenue ?
– Oui, on a convenu qu’on ne baiserait pas et que je ne vous toucherai pas, mais j’ai le droit de me branler devant vous, je suppose ?
– Ah ? si vous voulez !

Il s’en va à côté, j’espère qu’il ne va pas revenir avec un revolver, je fouille dans mon sac et avise ma bombe au poivre au cas où…

Et le voilà qui revient, il est à poil, des pinces aux seins et aux couilles avec des poids, il s’est ligaturé les testicules, il aussi un plug anal dans le cul que je ne l’ai pas vu tout de suite.

– C’est ma tenue de lopette ! Croit-il devoir préciser.

Ben oui j’avais compris.

– A Paris, j’ai aussi une perruque et du maquillage, mais je n’ai pas emporté tout ça ici…
– Tu te travestis ?
– Oui, mais je fais ça chez moi, je serais plus jeune je m’exhiberais mais là j’ai un peu passé l’âge.
– T’as des copains, des amis, avec qui tu fais ça ?
– Ben non je suis prof de math, si mes collègues me voyaient… Vous pouvez continuer à raconter pendant que je me caresse ?
– Bien sûr !

Ne connaissant évidemment pas les fantasmes de ce type, mais devinant à ses gadgets qu’il cultive des tendances un peu masos, je module mon récit en conséquence.

Et ça marche, il bande comme un puceau. Il m’interrompt parfois pour me demander des précisions.

– Et vous l’avez fouetté longtemps ?
– Oui, elle avait le cul tout rouge. Mais la punition n’était pas finie, je me suis emparée du bouquet d’orties que j’avais cueilli lors de notre promenade et je l’ai flagellé avec…
– Sur le cul ?
– Non, elle avait déjà bien souffert, je lui ai piqué les cuisses, le ventre, les seins…
– Ça doit faire vachement mal !
– Oui mais quand on est maso, le mal ça fait du bien !
– Et ensuite ?
– Ensuite, j’ai demandé à mon copain de l’enculer.
– Le copain ? Quel copain ?

Chanette3002
Voilà que je l’embrouille dans mon histoire, mais je me rattrape aux branches.

– Oui, il venait d’arriver, je ne lui ai même pas laissé le temps de monter ses bagages.
– Il l’a fait jouir ?
– Tu m’étonnes, elle hurlait comme une truie, cette salope !
– Il faut que je jouisse, je n’en peux plus. Je peux vous demander une faveur ?
– Dis toujours .
– Je pourrais voir vos seins ?
– Tu ne les as pas assez vu à la plage ?
– C’est-à-dire que… si j’osais… contre un petit billet, j’aurais bien joui sur vos seins.
– Désolé mais on fait un deal, alors on en reste là.
– Tant pis. Je vais me branler mais si vous pouviez m’insulter pendant que je le fais…

Oui, ça je peux le faire, ça ne va pas me tuer…

– Branle toi espèce de minable !
– Oui, maîtresse !
– Oh, mais tu fais quoi avec ta main gauche ? Ah tu t’es foutu un gode dans le cul t’es vraiment un enculé !
– Oui, maîtresse !
– Et tu t’es déjà ais enculer ?
– Oui, maîtresse, j’adore ça !-Et tu suces des bites?
– Oh, oui, des bonnes bites !
– T’es qu’un sale cochon vicieux ! J’aurais dû venir avec notre copain tu l’aurais sucé bien comme il faut !
– Ph, oui, ça aurait été bien !
– Imagine… tu es en train de sucer une bonne bite pendant qu’un autre mec t’encule bien.

Le mec n’en peut plus, il ferme les yeux, appelant ses fantasmes secrets à la rescousse et finit par jouir dans un kleenex.

– C’était bien, vous en avez d’autres ?
– D’autres histoires ? Sans doute, mais on a fait ça une fois, je l’ai fait pour te faire plaisir, mais maintenant c’est fini, on ne se connait plus.
– C’est dommage !

Le mec n’insiste pas mais me tend une petite brochure, en fait un flyer de quatre pages

– Ça devrait vous intéresser.

Je le prends par politesse et jette un coup d’œil sur le titre. « la paix par le sexe ». Sans doute encore une secte à la con…

Quand je suis rentrée, mes amis m’ont chambré et posé un tas de questions

– Alors tu t’es éclaté ?
– Non, pas vraiment, disons que c’était une expérience.
– Tu recommenceras ?
– Je ne crois pas, non.
– Il était comment, le mec ?
– Bof pas très intéressant. Il m’a filé une brochure, je ne l’ai même pas lu.
– Fais voir ? Me demande Anna.

Elle m’arrache pratiquement la brochure des mains.

– La paix par le sexe ! Waouh ! C’est quoi ce truc ?

Elle feuillette l’intérieur, apparemment il n’y a pas grand-chose à lire.

– Oh ! Mais c’est loin d’être con ce qu’ils racontent ! Tiens Carole, jette un coup d’œil.

Cette dernière lit à son tour.

– Oui évidemment, mais c’est qui ces mecs, une secte ?
– C’est pas parce que c’est une secte que c’est forcément nul. Réplique Anna. T’as vu ils font une réunion publique le 18, j’ai bien envie d’y pointer le bout de mon nez. C’est quand le 18 ?
– C’est aujourd’hui.

Je n’avais vraiment pas trop envie d’aller à ce truc, mais puisque j’étais en minorité…

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Samedi 20 janvier 2024 6 20 /01 /Jan /2024 14:33

Chanette 30 – La disparition de Carole – 1 – Sur la plage à Lacanau par Chanette
stamp partouz

Il me faut parler un petit peu de Valentin Marchicour, il est apparu pour la première fois dans le récit « La partouze de Monsieur le ministre », puis nous l’avons revu dans les épisodes 18, 20, 28 et 29.

Valentin est un beau gosse, blond, fin, il plait aux femmes, mais aux hommes aussi, sa bisexualité latente est devenue au fil des ans de moins en moins latente.

Il est très lié avec Carole, une nana rencontrée dans des circonstances rocambolesques (voir chapitre 15 – la Bergerie), ils baisent ensemble mais ne sont pas en ménage.

Carole est une jolie fausse blonde frisée et très légèrement potelée. Son visage finement découpé est magnifique, les lèvres sont superbement ourlées et le nez joliment dessiné. Elle est grande, de belles formes sont là où il faut, quelques kilos de moins en aurait fait un top-modèle.

Valentin taquine la plume et son dernier bouquin a été un succès de librairie inattendu à ce point qu’un producteur de cinéma bien connu lui a proposé d’en acheter les droits et de co-écrire un scénario de film. Evidement tout cela signifiait une rentrée d’argent substantielle. Du coup Valentin acheta à bas prix une baraque assez délabrée à Lacanau, sur la côte Atlantique.

– Il y a des tas de travaux à faire ! Nous précisa-t-il, je les ferais faire petit à petit, mais en attendant on peut y loger pour les vacances.

Et il nous a invité, Anna-Gaëlle et moi à y passer quelques jours de farniente.

Pourquoi pas ? Ça me fera du bien !

La plage est sympa, et il y des coins où on peut se foutre à poil sans que cela ne cause des problèmes.

Nous étions bien étalées, Carole, Anna et moi sur nos serviettes en train de profiter des rayons du soleil quand nous avons vu un type, la cinquantaine, visage en pain de sucre, cheveux rares et pas sexy pour un sou déambuler vers nous.

– C’est qui celui-là ? il ne va tout de même pas nous draguer ! Me chuchote Anna.
– Il a le droit de se promener, s’il nous emmerde, on le vire ! Répondis-je.

Le mec pose sa serviette à moins de 10 mètres de notre emplacement.

– Il n’a qu’à venir encore plus près ! Tempête Anna. Merde, il y a plein de places ailleurs.
– Il a peut-être une idée derrière la tête, on va bien voir.

Le mec retire son slip de bain et s’enduit scrupuleusement le corps de crème solaire, ça dure un certain temps puis il s’en étale sur le dos, avant de s’occuper de l’intérieur des cuisses… et c’est à ce moment que les choses devinrent étranges.

Parce que figurez-vous que le type se tripotait la bite ! Davantage du tripotage que de la branlette, mais n’empêche que bientôt sa bite devint toute raide.

– Un malade d’exhibitionniste ! Me dit Anna.
– Je ne suis pas sûre, il ne nous regarde même pas. Objectais-je.
– Elle n’est pas mal sa bite ! Fais remarquer Carole, je la sucerais bien !
– Cochonne !
– Ben quoi ?

On a fini par ne plus le regarder… Et puis nous avons vu un blondinet à poil s’approcher de lui, manifestement les deux hommes ne se connaissaient pas.

Le blondinet esquisse quelques mouvements de masturbation devant « pain de sucre » qui lui répond par un signe de bienvenue.

Du coup blondinet s’accroupit saisit la bite de « pain de sucre » et se met à la sucer.

Gloup, gloup

– Non mais regarde un peu ces deux cochons, ça m’excite de voir ça ! Me dit Carole, pas toi ?
– Tu sais moi des mecs qui se sucent, je vois ça toutes les semaines.

De quoi, de quoi ? s’étonnera le lecteur qui n’a jamais lu mes aventures (quel dommage !), il me faut donc ouvrir une légère parenthèse.

Je suis donc Chanette (c’est mon nom de guerre). Celles et ceux qui m’ont déjà lu savent que j’exerce le métier (ben oui c’est un métier) de dominatrice professionnelle. Mes récits ne sont pas des histoires de domination mais des récits d’aventures incluant de l’érotisme (et bien sûr aussi de la domination). Je suis de celles que l’on qualifie de MILF, fausse blonde et je plais.

Dans mon studio il est fort courant que j’aie deux, voire davantage de soumis en simultané. Alors je les « oblige » à avoir des relations entre eux. Pour certains c’est humiliant, et comme ils viennent pour être humiliés tout le monde est content. D’autres y prennent manifestement un grand plaisir, je leur permets ainsi d’extérioriser une bisexualité souvent refoulée.

On peut maintenant reprendre le cours du récit

Carole et Anna matent la scène comme des cochonnes.

Blondinet stoppe un moment sa fellation pour offrir ses lèvres à « pain de sucre ». Curieux spectacle, je ne suis pas choquée, je serais mal placée pour l’être mais je me demande commence « beau gosse » peut être attiré physiquement par ce bonhomme qui n’a pas grand-chose pour lui.

Et puis ce n’est pas un bisou de politesse. On peut voir leurs langues se croiser et se rencontrer sans relâche.

Blondinet tortille ensuite les tétons de son partenaire afin de la faire bien bander. L’autre à l’air d’apprécier et se pâme comme un canard devant un nénuphar. Le résultat est spectaculaire, sa bite montre le ciel.

De nouveau, le blondinet prend le pénis de l’autre dans sa bouche et le suce vigoureusement. Je crois que « pain de sucre » adore ça parce qu’il pousse des gémissements assez rigolos. Et ça continue… Il le prend à pleine bouche jusqu’au fond de sa gorge, il suce de ses lèvres le gland bien dodu et violacé. Il prend ses testicules dans sa main et les caresse, puis il insère ensuite son index dans l’anus, qu’il fait aller et venir.

Pain de sucre gémit fortement sous l’effet de ce traitement, et soudain il pousse un jappement, il vient de jouir, le sperme lui gicle au visage, dans sa bouche et sur son cou.

Mes copines sont figées sur place, excitées comme des puces, à ce point qu’elles se tripotent la chatte réciproquement.

C’est au tour de « pain de sucre » de sucer la bite bandée comme celle d’un cheval, de son partenaire occasionnel.

Ça ne dure pas très longtemps, après quelques va-et-vient, Blondinet éjacule. « Pain de sucre » en reçoit plein sur le visage, il s’essuie avec les mains et se lèche les doigts en soupirant de plaisir. Quel cochon !

Anna chuchote quelque chose à Carole et je les vois s’avancer vers « pain de sucre ». Qu’est-ce qu’elles vont nous faire comme bêtises ?

– Alors Papy, c’était bien ?
– Laissez-moi tranquille ! Répond l’homme, méfiant.
– C’est que ça nous a bien plus, ça nous a même pas mal excité ! Reprend Anna.
– Tant mieux pour vous.
– C’est juste dommage que vous ne soyez pas allé plus loin !
– Plus loin que quoi ?
– Je ne sais pas, il aurait pu t’enculer…
– Il ne me l’a pas proposé.
– T’aimes ça te faire enculer ?
– Mais enfin, qu’est-ce que ça peut bien vous faire ?
– C’est parce que on est vicieuse, très vicieuses !
– Ah ?
– J’ai envie de pipi ! Lui dit Anna, ça te plairait si je te pissais dessus.

Le mec n’en revient pas d’une telle proposition. Mais il n’est pas choqué, il y a peu de monde et personne à proximité immédiate.

– Je veux bien ! Finit-il par dire.
– C’est 20 balles lui répond Anna.
– Vous êtes des putes ?
– Ça nous arrive, oui. Et si tu veux que ma copine pisse aussi ça fera 30 euros en tout. Avoue que c’est donné, c’est du tarif vacances.

Alors j’ai vu « pain de sucre » sortir un peu d’argent de sa sacoche, Anna l’a enjambé au niveau de la bite et a commencé à pisser. Mais l’homme lui a fait signe de viser sa bouche. Pas de problème il a reçu une bonne giclée, puis Carole a pris le relais.

Je vous dis, elles sont fadas mes copines !

Le type a ensuite quitté les lieux en se dirigeant vers les douches publiques.

Et voici Valentin qui revient de sa balade, il a l’air ravi.

– Te voilà, toi, t’as raté…

Et Carole en entreprend de lui raconter ce qui vient de se passer?

– Et toi t’as fait quoi ?
– Je suis allé jusqu’au bout là-bas, moi aussi j’ai vu des choses intéressantes
– Raconte

Le récit de Valentin

Il y a une espèce de crique un peu plus loin, avec la marée on est obligé d’entrer dans l’eau pour l’atteindre mais ça vaut le coup de se mouiller.

Chanette3001Je vois d’abord un couple, la femme est sublime, la trentaine, toute bronzée, des seins magnifiques, une belle frimousse, bref, tout pour plaire ! Elle est en train de sucer la bite de son copain en faisant des gloup-gloups bien bruyants.

Le mec m’interpelle :

– Tu veux baiser ma femme ?

Je ne sais pas pourquoi je n’ai pas répondu, en fait j’avais envie d’aller voir plus loin…

– Tu ne sais pas ce que tu perds ! Me dit le mec pendant que je m’éloigne.

Je me dis qu’éventuellement j’aurais toujours l’occasion de revenir et je continue à avancer, je croise un couple, en fait une dame pas toute jeune qui se fait prendre en levrette par un bel étalon noir.

J’aperçois plus loin comme un attroupement d’une quinzaine de personnes, je m’approche, je me faufile. Au milieu du cercle deux belles nanas d’origine asiatiques se déchainent. La première est en train de chevaucher un type tandis que sa copine suce deux bites alternativement.

Mais le spectacle est aussi parmi les voyeurs, le type sur ma droite se branle frénétiquement, une bien belle bite bien droite et bien bandée, le gland luisant. Je n’arrive pas à détacher mon regard de ce bel organe tout en louchant vers les deux asiatiques.

– Elle te plait ma bite, on dirait ? Me dit le branleur.
– Elle est belle !
– T’aimes les bites ?
– J’aime bien ce qui est beau.
– Touche-la si tu veux !

Il y a des choses qu’il ne faut pas me dire deux fois, ma main s’avance et caresse ce joli membre. Je le sucerais volontiers, mais sera-t-il d’accord ? Il suffit de demander.

– Je peux te sucer ?
– T’entends ça, Jasmine, monsieur veut me sucer la bite.

Ben, oui, je n’avais pas réalisé que sa copine lui tenait compagnie, du coup j’ai peur qu’elle le prenne mal.

– Laisse tomber, je demandais ça comme ça ! Balbutiai-je en esquissant un mouvement de repli.
– Non, non, reste, on va faire ça là-bas…

Là-bas, c’est dix mètres plus loin à l’ombre d’un gros rocher biscornu.

– Ça m’excite de voir mon mec faire des trucs de pédé ! Me dit Jasmine.

Elle est mignonne Jasmine, le type méditerranéen, cheveux longs et bouclés, regard d’ange. J’espère que je pourrais au moins la caresser.

Le type s’adosse contre le rocher, je me baisse et après quelques caresses manuelles, j’embouche sa jolie bite. Je me régale, essayant de tout mettre dans la bouche, puis léchant la verge et les couilles.

– Ne me fais pas jouir ! Me dit-il.
– On arrête, alors ? Dis-je.
– T’aimes bien qu’on t’encule ? Me demande Jasmine.
– Ma foi, quand c’est bien fait…
– Tu veux ? Demande le mec.
– Pourquoi pas, t’as de capotes ?

Ils en ont ! J’adore ces gens qui se rendent à la plage naturiste avec des capotes dans leur bazar !

Je pivote donc, offrant mon cul à la vue de ce couple atypique.

– Oh quelles belles fesses ! Me dit Jasmine. T’as dû en pendre des bites, non ?
– Pas tant que ça, faut trouver l’occasion…
– Qu’est-ce que tu nous racontes ? Les occasions ça se provoque, il y a des boites, des clubs, des saunas…

Pas envie de la contrarier, je devine qu’elle a envie de détails salaces alors allons-y.

– Oui c’est vrai, le sauna j’en ai de bons souvenirs.
– Tu as dû t’y faire enculer à la chaine…
– Oui, c’était grandiose, j’ai pris trois bites dans le cul les unes après les autres et pendant ce temps-là je suçais.
– Hum, ça m’excite tout ça ! Tu sais ce qu’on va faire, tu vas me lécher la chatte pendant que mon copain va t’enculer.

Pourquoi pas, je me demande seulement de quelle façon nous allons procéder ? Mais Jasmine a de l’imagination, elle grimpe sur le rocher et écarte ses jambes de façon à ce que sa chatte soit devant mon visage.

Et c’est parti ! Le type me lèche un peu le cul afin de lubrifier l’endroit, puis d’un vigoureux coup de rein fait pénétrer sa bite dans mon fondement avant d’entamer une série d’allers et retours. Pendant ce temps ma langue s’approche de la chatte de Jasmine. Elle a beaucoup de poils, elle n’est pas hirsute mais disons que sa toison est davantage fournie que la moyenne.

Ça sent un peu le pipi, mais ça ne me dérange pas, j’écarte tout ce fouillis pour laisser passer ma langue et je lèche, c’est tout mouillé là-dedans. En même temps je lance mes mains en avant pour lui caresser les seins, Jasmine ne proteste pas, mais réagit au quart de tour à mes coups de langues et commence à gémir. C’est une rapide la dame. Ma langue vise le clito, elle hurle comme une damnée, elle va réveiller toutes les mouettes…

Elle descend de son perchoir et son copain qui n’avait pas l’intention de jouir sort de mon cul. Je me retrouve un peu con parce que pour ma part j’aurais bien joui.

– Allez, bonne fin de journée ! Me dit l’homme tandis que Jasmine m’adresse un sourire muet.

Je retourne vers le groupe entourant les deux asiatiques qui baisent avec tout le monde. Et vas-y que je suce, et vas-y que j’offre ma chatte et mon cul. Mais à ce rythme-là il ne va plus rester personne de disponible…

Ben si, il y a moi, l’une des deux m’attrape la main et m’entraine au milieu du cercle. Elle ne me demande rien et d’autorité elle me suce, elle n’a pas grands efforts à effectuer pour me faire bander, c’était déjà fait. Elle sort une capote de je ne sais où, me l’enfile tandis que sa collègue s’est positionnée en levrette.

– Fuck ! Fuck my sister !

Pas besoin d’avoir été à Oxford pour comprendre. Je m’approche tandis que la fille s’écarte les fesses.

– In my ass !

Elle veut donc que je l’encule, alors allons-y ! Le seul souci c’est qu’étant super excité j’ai peur d’être trop rapide.

Mais j’ai réussi à tenir plus de cinq minutes, c’est déjà ça, et j’ai aussi réussi à faire miauler la fille, ce qui a satisfait mon petit égo.

Je décule, la fille ne fait plus attention à moi, et se jette dans les bras de sa frangine et les voilà parti pour un soixante-neuf final. Elles sont adorables.

Fin du récit de Valentin.

– Et après, t’as fait quoi ? demande Carole
– Ben après je suis rentré.
– Faudra qu’on aille y faire un tour tous ensemble demain ? Propose Anna
– Oh oui, oh oui ! Approuve Carole

Nous avons quitté la plage vers 17 heures. Anna a voulu déguster un sorbet. Alors allons-y pour le sorbet et nous nous sommes attablées en terrasse

On papote, on fait passer le temps et voilà que soudain juste devant nous se pointe, devinez qui ? L’homme à la tête en pain de sucre.

– Euh, bonjour ! Nous dit-il.
– C’est à quel sujet ? Répond Anna d’un air dédaigneux.
– Je peux vous déranger cinq petites minutes ?
– Non !
– Juste cinq minutes !
– J’ai dit non ! Faut vous le dire en quelle langue ?
– Tout à l’heure vous avez évoquez, comment dire… vos petit extras…
– Bon écoute pépère tu vas dégager ou j’appelle les renforts ! S’énerve Anna.
– Attends, vous avez entendu quoi ? Intervins-je.
– Vous évoquiez vos activités occasionnelles.
– Et alors ?
– Alors ça m’intéresse.
– Bon, écoute mon vieux, on est en vacances, alors tu nous les lâches et tu vas voir ailleurs !
– C’était pas pour baiser ! Murmure-t-il en se reculant très légèrement.
– C’était pour quoi, alors, pour repeindre ton plafond ?
– Non, pour briser ma solitude.

Gloups

Et soudain j’ai eu pitié de ce pauvre type, genre refoulé, méprisé par les femmes, homosexuel par substitution

– Ce serait quoi le deal ? Demandais-je.
– Mais enfin Chanette, tu fais quoi, là ? Proteste Anna.
– Je ne fais rien, je me renseigne.
– 200 euros pour une heure ! Dit-il. Sans baise, je ne vous toucherais même pas.
– Chacune ?
– Non quand même pas !
– Ce sera sans moi ! Tiens à préciser Anna.
– Et on ferait quoi ? Demandais-je.
– Rien, vous me tiendrez compagnie, vous me parlerez, je suis sûr que vous avez des choses super intéressantes à raconter.
– Bon, allez faire un tour et revenez dans un quart d’heure, je vous dirais.

Anna et Carole me regardent avec des yeux tout ronds, elles ne me comprennent pas.

– Tu joues à quoi ? Me demande Carole
– Je ne joue pas, si je peux lui apporter un peu de chaleur humaine, ben ce sera ma B.A !
– Si tu le fais, ce sera sans moi, Chanette. Me répète Anna.
– Je sais tu me l’as déjà dit. Mais je ne t’oblige à rien, tu fais ce que tu veux et moi aussi. Et toi Carole ?
– Ça ne m’intéresse pas !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Samedi 20 janvier 2024 6 20 /01 /Jan /2024 14:29

Les cabines du « Diable vert » par Marine et Thibault
candaulisme

Après un dîner aux chandelles dans un restaurant chic, ma femme Marine et moi nous devisions de choses et d’autres et au moment de l’addition je vis Marine regarder avec attention l’entrejambe du serveur qui a en croire la bosse du pantalon devait être de bonne taille. Une fois sorti du resto je dis en souriant à Marine

– Alors on se rince l’œil petite garce ?

Marine se mis à rougir et me répondit que cela ne faisait pas de mal de voir de belles choses. Vu la réaction de Marine je me dis que je pourrais lui faire plaisir tout en me rinçant l’œil. Je pris Marine par le cou et lui dit

– Ça te dirait de te taper une bonne queue avant de rentrer à la maison ?

Un peu surprise par cette proposition directe, elle me répondit :

– Ça me paraît une très bonne idée ! Et elle m’embrassa avec fougue.

Nous voilà en route vers le « Diable vert », une boite de notre ville à la réputation sulfureuse. La tenue de Marine ce soir était vraiment très sexy et cela ne devrait pas trop prendre de temps pour trouver un bel étalon qui la comblerait. Une fois dans la place, Marine me dit en se dirigeant vers la piste :

– Allez, je me lance !

Tout en me jetant un regard langoureux, elle se mit à onduler sur la piste prenant des poses assez suggestives. Elle se déhanchait frénétiquement telle une belle salope allumant tous les mecs sur son passage. Rapidement Marine se trouva entouré de deux types, un jeune et un autre d’âge mûr. Ces deux types semblaient très entreprenants et commençaient à peloter ma femme de plus en plus ouvertement. Là une main au cul, là une main aux seins… Marine de plus en plus excitée me lançait des regards discrets pour tester ma réaction. je lui fis un signe complice et me dirigeai vers les « cabines d’amour ». J’attendis que Marine entre dans l’une d’elles avec les deux types, puis j’entrais dans la cabine contiguë. Une petite trappe vitrée permet d’observer ce qui se passe dans la cabine mitoyenne. J’étais donc aux premières loges.

– Alors messieurs, à qui le premier ? Lança Marine
– Tu m’as l’air d’une belle salope toi, tu vas commencer par sucer mon pote ! Répondit le plus âgé.

Le plus jeune défit son pantalon faisant jaillir une belle bite comme Marine les adore.

– Toi mon beau tu as vraiment un bel instrument !

Elle s’en empara et se mit à jouer avec, puis le prit dans sa bouche. cette vision me fit bander et tout en restant discret je commençais à me masturber. Le plus âgé n’y tenant plus releva la jupe de Marine sur son dos .Marine arrêtant de sucer déclara :

– Vas-y toi ! Baise-moi comme une chienne en chaleur !

Et l’homme la prit par les reins et commença à la limer de plus en plus rapidement. ces coups de boutoir lui arrachait des cris de plaisir de plus en plus fort.

– Dans le cul maintenant ! Encule-moi !

Vous pensez bien que le type n’allait pas refuser une telle proposition et lui défonça la rondelle.

– T’as vraiment un cul de salope !
– Ben oui ! Répondit-elle entre deux gémissements peu discrets.

L’autre lui dit :

– Tiens suce ! Ça va te faire taire salope !

diablevertEt il renfila son dard profondément dans sa gorge. L’homme derrière, dans un râle lâcha sa purée et vint inonder de son foutre le trou du cul de Marine. Celle-ci au comble de son plaisir se prit un autre décharge de foutre sur le visage. Les deux lascars une fois leur petite affaire accomplit s’éclipsèrent en rigolant, ma Marine était un peu déboussolée mais satisfaite de cet épisode pervers.

Je sortis à mon tour de la cabine en oubliant de ranger ma bite et embrassais ma femme à pleine bouche lorsqu’un inconnu m’interpella :

– Ben dis donc, tu bandes bien, toi !
– Euh…
– T’as une belle bite, je peux la toucher ?
– Euh..
– Laisse toi faire ! Me dit alors ma femme
– Je vais bien te sucer, j’adore faire ça ! Me relança l’inconnu.

J’étais prêt à l’éconduire mais Marine prit les devants.

– Allez on va en cabine, je vais vous regarder.

Une fois en cabine l’homme me demande :

– Tu suces aussi ? Demande-t-il
– Non, mais il en meurt d’envie ! Répond Marine
– Alors vas-y, il faut toujours assumer ses fantasmes ! Me dit le bonhomme en exhibant sa bite.

Je me baisse, engloutis cette bonne queue et m’en régale.

– Tu suces bien, t’es une petite salope !

Ben oui ce n’est pas ma première queue, même si les occasions sont rares !

– Je t’enculerais volontiers, ça te dit ?

Au point où j’en suis-je ne saurais refuser.

Et le type après m’avoir léché le fion pour faciliter l’introduction m’encula comme un chef sous les yeux concupiscents de mon épouse qui se tripotait la chatte. Il me pilona pendant plusieurs minutes, puis se retira sans avoir joui, sans doute voulait-il profiter encore des plaisirs du lieu ? Il me suça à son tour, je ne tenu pas très longtemps, trop d’excitation accumulée.

– On va entrer maintenant ? Proposais-je à Marine.
– Ne sois pas si pressée, je me taperais bien une petite lesbienne, maintenant !

Quelle chance j’ai d’être marié à une si belle salope !

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marine et Thibault
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Dimanche 14 janvier 2024 7 14 /01 /Jan /2024 20:11

Passage à l’acte avec mon fils par Sylvie
Mat Stamp

Bonjour à tous et toutes. Je me présente, je suis Sylvie, j’ai 40 ans, je suis divorcée et je vis à Marseille avec mon fils, Mathieu 18 ans. Je suis mince, je change souvent de coupe de cheveux, et même de couleur, je plais encore pas mal aux hommes qui n’hésitent pas à me le faire savoir.

Quelque temps après mon divorce, mon orientation sexuelle a un peu changé, je suis devenue bi et me suis tournée vers les femmes. L’amour avec une femme est plus doux, plus sensuel, plus érotique, du moins c’est mon avis. J’ai donc connu plusieurs femmes. Aucune n’a habité sous le même toit que mon fils et moi. J’ai fait en sorte de le préserver de tout ça, déjà que le divorce n’a pas été facile à vivre…

Un soir de printemps, alors que mon fils était chez son père pour le week-end, j’ai fait venir à la maison une femme, Delphine, rencontrée quelque temps auparavant, afin de passer une soirée en amoureuses. La soirée était douce, tout se passait pour le mieux. Delphine et moi étions nues, allongées dans le lit, nous nous livrions à un 69 torride, nous bouffant allègrement la chatte et le cul.

C’est alors que la porte de la chambre s’ouvre et que Mathieu apparaît, Delphine pousse un cri, moi je ne vous dis pas dans quel état de honte je me trouvais … et mon fils qui restait planté là, la bouche ouverte sans qu’un son n’en sorte … Delphine s’habille et rentre chez elle. Moi je parle avec Mathieu et essaie de lui expliquer la situation après qu’il m’ait expliqué avoir pris la décision de revenir à la maison après s’être pris la tête avec son père lequel n’a même pas jugé bon de m’avertir que notre fils avait quitté sa maison en pleine nuit, mais ça c’est un autre problème.

Et depuis, j’ai l’impression d’avoir basculé dans la 4ème dimension ! En effet, à partir de ce jour, l’attitude de Mathieu envers moi a complètement changé. Il ne me regardait plus du même œil, il essayait continuellement de me surprendre sous la douche. Le matin en se levant il n’avait aucun souci pour me montrer qu’il était en pleine forme… il lui arrivait même de se lever nu, de venir dans la cuisine où je préparais le petit-déjeuner et de passer derrière moi en faisant frôler voire frotter son sexe en érection contre mes fesses. Moi simplement vêtue de mon vieux peignoir en soie.

La situation devenait compliquée, j’ai essayé de lui expliquer que j’étais sa mère et qu’avec sa mère il y avait des attitudes à ne pas avoir etc…. Lui en échange m’a fait comprendre qu’il me désirait et qu’il voulait que l’on fasse l’amour ensemble !

L’amour ensemble ! Lui et moi ! Un fils et sa mère ! Je restais stupéfaite devant son audace.

Ne pouvant en parler autour de moi, je me tournais donc vers Delphine qui ne trouva rien de mieux à me dire que de passer à l’acte ! Je me disais qu’elle devait être aussi folle que Mathieu ! Il est vrai que tout ce qui est interdit m’excite et si Mathieu n’avait pas été mon fils, je ne dis pas que je ne me serais pas laissé séduire. Mais Mathieu est mon fils…

Les jours et les semaines passèrent et Mathieu continuait ses gestes déplacés et ses exhibitions forcées. Puis, début juillet, je mis un plan au point pour faire comprendre à mon fils qu’il fallait qu’il cesse son comportement avec moi. Je décidais de le mettre au pied du mur !

Un matin où je me trouvais dans la cuisine, vêtue de mon peignoir de soie, j’attendais que Mathieu se lève. J’entends la porte de sa chambre qui s’ouvre. Moi, je suis devant l’évier et fais comme si de rien n’était. Il entre dans la cuisine, il est nu et me dit bonjour. Mathieu passe derrière moi pour prendre une tasse et colle son sexe tendu contre mes fesses. Là je me retourne, le repousse en arrière et lui dis :

– Bon maintenant ça suffit ! Tu arrêtes ton cinéma avec moi !

Et j’ouvre mon peignoir. Je suis nue devant mon fils ! Ses yeux font des allers retours sur mon corps : de mes seins, tendus vers lui, (je fais un 95 de tour de poitrine), en passant par ma chatte rasée. Et je lui lance en pleine face :

– Alors ? Tu fais quoi maintenant ?

Dans ma tête, je me dis qu’il va se dégonfler et s’enfuir en courant. Mais son sexe déjà tendu me semble devenir encore plus gros, je n’en reviens pas, il bande encore plus fort Il s’approche de moi, me saisit par les hanches, ses mains me tiennent fermement et colle sa bouche sur mes tétons. Inconsciemment je n’attendais que ça et je me laisse faire. Il me suce les seins, m’aspire les tétons, au même moment, je sens une main descendre et se glisser entre mes cuisses. Je lui demande d’arrêter tout ça. Sa main fouille ma chatte. Mes jambes se mettent à trembler. Je mouille ! Je suis trempée ! Deux de ses doigts entrent et sortent de ma chatte dégoulinante en faisant un curieux bruit !

A ce moment-là, il se recule et me dit :

– Et maintenant ? Tu fais quoi toi ?

Sylvie2L’enfoiré, il sait qu’il a gagné ! N’en pouvant plus, il m’a excitée, je me mets à genoux devant lui et prends son sexe en bouche et m’en régale. Après plusieurs allers retours, je me relève, on s’embrasse à pleine bouche. Je m’assoie sur le plan de travail de la cuisine, écarte les jambes. Mathieu approche, sexe tendu et me pénètre.

Après quelques minutes, il décharge en moi, je sens son sperme chaud… Il se retire et me pisse dessus, le cochon…

Vous vous vous doutez bien qu’on a recommencé dès le lendemain et que ce fut le début d’une longue histoire… Et puis je me suis plus fâchée avec Delphine, les trios ce n’est pas fait pour les chiens…
fin

Léger rewriting d’un texte anonyme trainant un peu partout sur le net.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Dimanche 14 janvier 2024 7 14 /01 /Jan /2024 20:00

Au centre commercial Par Zazou

Gs2

Voici une petite histoire qui m’est arrivée la semaine passée. Par un après-midi automnal marqué par des nuages gris, des feuilles rouges et jaunes, une pluie fine et un thermomètre bien bas, je pris la direction d’un centre commercial, dont je ne citerai le nom. Les courses sont souvent pour moi un synonyme de corvée, cependant ce jour-là j’aurai pu passer des heures et des heures dans ce magasin. Après avoir parqué ma voiture j’ai pris d’un pas motivé la direction de l’entrée. Une fois à l’intérieur je pris mon chariot comme d’habitude, prêt psychologiquement à faire les achats de la semaine. Arrivé au premier rayon qui se trouvait être celui des légumes, je laissa mon compagnon à roulette afin de me renseigner sur le prix des poivrons. Je m’avance, satisfais ma curiosité et soudain mon regards et happé.

Une belle jeune femme, la trentaine cheveux bruns assez longs se tient à 3 mètres de moi, concentrée elle sur les l’aspect des concombres. Cette demoiselle était très jolie voire même sexy. Elle était vêtue d’un pantalon blanc moulant laissant deviner un string en dentelle et d’un petit top noir assez décolleté, ma fois pas tellement de saison mais très agréable à regarder. Malgré tout le charme que pouvait dégager cette cliente, mes yeux ne se sont pas déplacés pour cette raison. En effet cette femme a éveillé ma curiosité, devinez pourquoi ?

Elle Dansait !! Ou plutôt elle gigotait, car fréquentant les discos depuis des années je n’avais jamais vu ce mouvement sur une seule piste de danse. Mais qu’est-ce qu’elle avait à bouger pareillement ?? Curieux de nature, je ne pouvais laisser cette question sans réponse. Je repris les commandes de ma Mercedes à poivrons et suivis ma proie. Faisant mine de rien je la suivais dans tous les rayons, en gardant bien entendu mes distances, sans qu’elle s’aperçoive de rien. C’est aux rayons bonbons et chocolats que j’ai enfin eu ma petite idée. Avant cette illumination intellectuelle, la belle brune croisa les jambes mettant en même temps une main à la hauteur de son sexe. C’est à ce moment précis que j’ai tout compris.

« On dirait que Mademoiselle à une envie pressante de faire pipi. Va-t-elle tenir jusqu’au bout de ses commissions ?? » Me suis-je dit.

A nouveau, pour en avoir le cœur net, rien de plus facile. On continue notre poursuite discrète. Plus le temps passait et plus son chariot se remplissait mais à voir son comportement, sa vessie devait aussi avoir son niveau qui augmentait, car non seulement elle bougeait de plus en plus mais ses mains lâchaient sans cesse la barre du chariot pour revenir se positionner sur son intimité afin de diminuer l’envie pressante. A un moment donné je l’ai même entendu :

– « C’est pas possible je ne vais pas tenir !»

Enfin !! Nous voilà à la caisse, elle avec un chariot plein à ras bord et moi avec mes poivrons. Ayant choisi chacun une caisse différente inutile de vous dire qui a fini avant l’autre. Tout en faisant mine d’attendre quelqu’un je la regardais ranger ses achats dans des cabas qu’elle venaient de poser sur le tapis roulant. J’ai bien cru qu’elle lâcherait tout devant la caissière, mais non sa vessie de marbre lui a permis de payer et de rentrer toutes ces affaires. Soudain à mon grand étonnement, au lieu de prendre en vitesse la direction des WC, je vis partir ma brunette du côté du parking. A peine eut-elle le temps de poser une boite de petit pois dans son coffre qu’un homme l’interpelle :

– Eh ben tu n’es pas en avance toi !
– M’en parle pas je devrais déjà être chez Ghislaine.
– Comment ça se fait que tu aies autant de retard
– Ben je me suis endormie devant la TV et je suis partie en vitesse faire les achats pour demain. Au fait je ne saigne pas là ? (elle montrait son front)
– Non pourquoi ?
– Parce que j’ai un de ces besoins de faire pipi qui me fend le crâne (mon intuition était la bonne)

Son sens de l’humour faillit me faire démasquer. Resté à proximité, je faisais semblant d’envoyer un message avec mon portable, mais sa dernière phrase à bien faillit me faire exploser de rire.

– Et alors ils n’ont pas de toilettes au centre ??
– Si bien sûr, mais je suis tellement en retard que j’irai pisser chez Gigi.
– Comme tu veux, bon ben je vais te laisser alors.
– Oui d’accords bye David.

Ne pouvant plus rester là planté comme un clou je décidai d’aller poser le résultat de 45 minutes d’achats (3 poivrons rouges) dans le coffre de ma voiture. Une fois l’opération effectuée je vis ma demoiselle fermer la porte de son véhicule et mettre le contact en marche. J’attendais qu’elle fasse quelques mètres afin que je puisse sortir du parking en toute discrétion. Malgré ma démarche technique, une voiture avait pourtant réussit à se placer entre nous. Cela m’a permis de réagir plus vite par rapport aux directions qu’elle prenait. Malheureusement après trois carrefours notre voiture intermédiaire était toujours devant moi ; elle avait apparemment envie de suivre aussi notre belle inconnue à la vessie de marbre. C’est après le 5ème carrefour que nos deux voitures se sont enfin retrouvées l’une derrière l’autre. On roule, on roule et soudain on sort de la ville pour arriver dans un coin beaucoup plus rural. Je n’ai pas pu compter jusqu’à vingt que déjà je vis son clignoteur droit se mettre en marche. A ce moment-là j’étais comme un gamin et un énorme sourire devait se lire sur mon visage. N’étant pas censé connaître la raison de son arrêt, je l’ai suivie et j’ai arrêté ma voiture juste derrière la sienne à l’orée d’une petite clairière tranquille.

– Je peux savoir pourquoi vous me suivez ?
– Oh mais je ne vous suis pas, j’ai un besoin pressant et pensais trouver un petit coin pour me soulager avant de rentrer à la maison.

(Elle se mit à rire)

– Alors je crois qu’on est deux.
– Ça alors c’est drôle.
– Je suis désolée mais il faut que je fasse car là je ne tiens plus.
– Oh oui tout à fait; faite seulement mais. Dites-moi, pourrais-je vous regarder faire ?

Après avoir ouvert des yeux ronds comme des olives elle me répondit :

– Je vous demande pardon ?
– Ben oui s’il vous plait j’aimerai bien vous regarder faire pipi.
– Non désolé. Non seulement on ne se connaît pas, mais vous seriez mon mari que ça ni changerai rien, car je suis très pudique.
– Bon, très bien.

Je m’appuyai contre ma voiture tout en continuant à la regarder lui faisant comprendre que je ne lâcherai pas prise et que je ne m’en irai pas d’ici sans l’avoir vu se soulager.

– S’il vous plait je ne vais pas tenir. Partez Monsieur ou au moins tournez-vous…
– Pas trop envie. Désolé mais je resterai ainsi.

Elle avait déjà croisé et décroisé 5 ou 6 fois ces jambes

– Bon ça suffit maintenant allez-vous en il faut vraiment que je fasse pipi si non je…

Uro Nat04La pauvre n’a pas eu le temps de terminer sa phrase qu’une petite auréole se dessina très rapidement à la hauteur de son entrejambe. Une petite auréole qui devint très très vite gigantesque, laissant une immense trace d’urine qui descendait le long de son pantalon et qui commençait à former une belle flaque à ses pieds. Impossible de dire le nombre de litres que contenait sa vessie mais sa petite fontaine n’en finissait pas. Elle ne bougeait pas d’un poil elle regardait simplement ses pieds en contemplant avec honte le spectacle. Il y eu bien deux bonnes minutes avant qu’elle ne me dise :

– Bravo vous êtes content de vous ?
– J’avoue que ce n’est pas le spectacle auquel j’aurai voulu participer mais il n’était cependant pas déplaisant.
– Oh Monsieur fait dans l’humour. Vous n’êtes vraiment qu’un imbécile bon eh ben maintenant assumez vos conneries et venez m’essuyer
– PARDON ???

Cette fois ce fut à mon tour d’être étonné

– Tu as parfaitement compris. Allez viens me lécher la chatte gros cochon !

Ma petite brunette à la fois sexy et timide est subitement devenue cochonne et dominatrice (et se mit en plus de ça à me tutoyer). Etant grand amateur des jeux uros je ne me suis pas fait prier pour la rejoindre. J’abaissai son pantalon trempé de pisse ainsi que son petit string en dentelle qui était dans le même état. J’ai de suite collé ma bouche à son intimité afin de récolter le nectar qui perlait encore à ses lèvres charnues. Je me régalais.

– Mais c’est qu’il aime ça mon gros cochon allez vas-y bouffe moi la chatte lave la bien qu’elle soit toute propre. Mais j’y pense Monsieur n’a pas fait son pipi encore. Il doit avoir un gros besoin ?

A ces mots elle se coucha dans l’herbette enleva son top laissant apparaître une belle poitrine dans un magnifique soutien-gorge bleu roi.

– Maintenant mouillée pour mouillée. Autant finir le travail commencé. Pisse-moi dessus.

Sans avoir le temps d’être étonné j’abaissa ma fermeture et sorti mon sexe de mon pantalon. Du fait que je lui avais menti en lui faisant croire que je m’arrêtais moi aussi pour faire pipi, j’ai dû tout de même attendre un petit moment avant de pouvoir arroser de quelques gouttes cette jolie demoiselle.

– Regardez-moi ce pisseur. Mais il aime me pisser dessus en plus. T’es vraiment un gros cochon

Après avoir attendu que la dernière goutte soit tombée elle se précipita sur ma queue et la suça, la lécha, puis commença une fellation. A  deux doigts de me faire jouir elle s’arrêta net en me regardant avec des yeux pleins de malice.

– Tu es un gros cochon pas vrai ??
– Euhhh oui.
– Tu m’as fait pisser au froc par ta faute pas vrai ??
– En effet.
– Tu m’as aussi pissé dessus non ??
– Si, si !
– Bien. Alors pour tout ça tu mérites un gage que je vais te donner maintenant, Couche toi et enlève cette chemise.

Je m’exécutai selon ses ordres sans trop comprendre ce qu’elle voulait faire mais curieux de savoir quelle serait ma punition. Elle se tint tout d’abord debout à côté de moi à la hauteur de mes hanches, me donnant la superbe vue de ses petites fesses rondes. Elle se dévissa presque la tête pour me regarder droit dans les yeux.

– Prêt ??
– Prêt !!

Alors sans perdre une seconde elle m’enjamba, fléchit légèrement les genoux et se mis en position accroupie. Je me suis dit qu’elle devait très certainement avoir un petit reste de pipi qui n’était pas sorti et qu’elle allait se vider le fond de sa vessie sur mon sexe. Erreur !! Car ce n’était pas pour rien qu’elle me tournait le dos. A peine j’ai eu le temps de comprendre ce qu’il se passait que je vis son anus se dilater encore et encore pour enfin voir un bout d’étron brunâtre pointer le bout de son nez. Elle ne devait pas avoir une grande envie car je l’entendais pousser. Finalement un magnifique saucisson d’environ quinze centimètres vient atterrir sur mon torse.

– Oh comme c’est bon de faire caca surtout avec de tel WC !

« Prrrrout »

– Hummmm un petit pet maintenant. Allez, viens me nettoyer aussi le cul avec ta langue.

Je m’exécutai une nouvelle fois sans rien dire. Après avoir nettoyé avec perfection sa rondelle nous avons fait l’amour comme des fous dans cette petite forêt où je ne manquerai pas de retourner.

Je ne sais pas si Ghislaine aura eu la visite de cette femme, mais quoi qu’il en soit je n’ai jamais été aussi content d’aller faire les commissions ce jour-là.

Au fait ma petite brunette ne m’avait-elle pas dit être pudique ??? Pas tant que ça à mon goût !!

fin

Cet épisode à eu l’honneur d’être nommé Prix spécial extrême pour 2006

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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