Mardi 24 septembre 2024 2 24 /09 /Sep /2024 12:44

Découverte
par Liouba

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Avant de connaître mon ami, j’étais comme beaucoup de femmes mal baisée par mon mari. J’avais un amant et il le savait. Je serais sans doute restée ainsi partiellement insatisfaite si je n’avais pas rencontré mon ami français. Tout de suite il a compris qu’en moi sommeillait une vraie salope qui ne demandait qu’à être réveillée. Mais il n’est pas facile de balayer tout un tas de préjugés et de faire fi de toute une éducation bourgeoise… Si j’ai pu progressivement jeter tout ça aux orties c’est grâce à l’extrême patience de cet ami.

Il avait une très belle bite qui me convenait parfaitement et me faisait jouir comme je n’avais jamais joui. Sa façon de me titiller les seins, de faire rouler délicatement les mamelons entre ses doigts ou de les mordiller était nouveau pour moi.

Ses façons de me baiser, devant une glace en me faisant admirer sa grosse bite qui entrait et sortait de moi, et de me baiser sur une table étaient nouvelles aussi pour moi. J’étais presque gênée au début quand il m’écartait les jambes les maintenait en l’air en me tenant les chevilles et admirait ma chatte qui commençait à baver d’impatience, avant de glisser sa bite en moi jusqu’aux couilles.

Liouba1107BIl me répétait souvent, que j’étais douée et que si je lui faisais confiance il ferait de moi une vraie salope. Moi, une salope ? Je n’y croyais pas trop, mais j’étais prête à lui faire confiance.

Comme il disait que toutes les salopes aiment se faire « enculer », j’acceptais que régulièrement il glisse ses doigts enduits de vaseline et comme je trouvais la sensation plutôt agréable, j’acceptais un jour, non sans appréhension, qu’il y glisse sa bite. J’ai eu l’impression d’éclater et que sa bite, (24 cms) me remontait jusque dans la gorge. Mais il se montra très doux comme à son habitude et me fit progressivement apprécier la sodomie.

Le fait d’aimer prendre « une bite dans cul » était, d’après mon ami, le signe que j’étais sur la bonne voie pour devenir une « vraie salope ». Je comprenais peu à peu que pour lui, « être une salope » n’avait rien de péjoratif et qu’au contraire ce terme contenait une sorte d’admiration pour ces femmes qui avaient su se libérer de tous les tabous imposés par notre société.

Il me parlait des autres hommes, de leurs bites toutes différentes, de ses expériences, des femmes qu’il avait connues et dont certaines (de bonnes salopes) aimaient se faire sauter par plusieurs types. Peu à peu il me préparait à l’idée que peut-être un jour moi aussi…

Moi je m’estimais incapable à tous points de vues de me prêter à ce jeu. Pourtant ce jeu, il m’y fit habilement jouer avec des partenaires virtuels, imaginant des types en train de se branler pendant qu’il me baisait. Parfois il me disait de fermer les yeux et de l’imaginer lui en train de se branler pendant qu’un autre me baisait, que ce n’était pas sa bite qui était en moi mais la grosse queue d’un autre qui allait me faire jouir. Et je jouissais, je jouissais comme une folle à cette évocation.

Il en profitais pour me dire : « Tu vois ça t’excite, ma jolie salope, quand je te parles de mecs qui te baisent et t’enculent, tu fantasmes sur toutes ces bites que tu pourrais prendre dans la chatte ou dans le cul ». Et moi, choquée les premières fois, je me mettais à aimer qu’il me parles ainsi et me traite de salope.

De nombreuses fois il me proposa d’inviter quelqu’un « pour de vrai » l’idée m’excitait mais je disais toujours non… Puis un jour j’ai dis oui.

Je venais de dire ce « oui » que déjà je le regrettais .Ma bonne conscience se rebellait et j’avais du mal à la faire taire.

Le jour où le type devait venir, quelques heures avant, je me mis à paniquer. Je n’étais plus d’accord. Mon ami tenta d’abord de me raisonner puis, me dit qu’il s’excuserai auprès du type et lui expliquerai que nous avions changé d’avis si toutefois il ne me plaisait pas. Cela ne me rassura qu’à moitié. J’étais seulement vêtue seulement d’un chemisier et d’une jupe, sans rien d’autre et voulais m’habiller plus décemment quand le type arriva.

C’était plutôt un beau mec, grand brun, la trentaine souriant, et à peine plus à l’aise que moi. Pas du tout le genre macho sur de lui, de son charme, et de ses possibilités sexuelles comme il m’est souvent arrivé d’en rencontrer par la suite. Pas du tout le genre de type qui brandi sa bite comme un étendard, certain d’avoir la plus grosse, la plus belle, la plus longue et être le seul à pouvoir faire bien jouir une femme. Non ! Celui-ci semblait assez timide et peu sur de lui ce qui me le rendit tout de suite sympathique.

Mon ami compris qu’il ne m’était pas indifférent et avec beaucoup de patience, d’esprit, et de gentillesse, détendit l’atmosphère en parlant avec humour de banalités qui n’avaient rien à voir avec le sexe.

A la deuxième coupe de champagne mes inhibitions commencèrent à disparaître et je laissais le regard de notre invité se glisser entre mes cuisses que la jupe, un peu courte et étroite, découvrait généreusement.

C’est le moment que choisit mon ami pour passer derrière le fauteuil et m’embrasser en déboutonnant mon corsage. Il savait que quand il mettait ses mains sur moi, sur mes seins, et plus particulièrement quand il en faisait, entre ses doigts, rouler les mamelons, il pouvait faire ce qu’il voulait de moi. Troublée, mais ne me sentant pas encore prête pour me faire sauter par notre invité, je me levais sous le prétexte de resservir du champagne, mais sans refermer mon corsage. Je n’osais regarder le type mais je savais qu’il suivait le balancement de mes seins au dessus de la table et mon entrecuisse s’humidifiait délicieusement.

Quand j’eu reposé la bouteille, mon ami vint derrière moi me caressa un sein d’une main et de l’autre, ouvrit la fermeture éclair de ma jupe qui glissa à mes pieds. Me retrouver pratiquement nue devant l’invité me déclencha un mini orgasme et je n’avais plus qu’une envie : me faire baiser, sentir une bite bien dure, grosse et longue se glisser en moi.

Le type avait sorti le sienne et se branlait doucement en regardant mon ami me caresser. Un reste de pudeur incontrôlée me fit me retourner contre mon ami et enfouir ma tête au creux de son épaule. Et puis je sentis l’autre que caresser les fesses avec son gland. Il avait mis un préservatif. Sa bite se montrait insistante et suivait doucement la raie des fesses, espérant se glisser n’importe où. Mais je ne voulais pas qu’il me sodomise, pas maintenant, après peut-être, mais à cet instant, j’avais simplement envie qu’il me baise. Alors lentement je me suis écarté de mon ami, m’appuyant à lui en écartant les jambes et en tendant ma croupe à l’autre.

Je sentis le gland, se frotter à ma toison, écarter doucement les lèvres de ma chatte et me pénétrer lentement et profondément. Je crois que je me suis mise à jouir avant même qu’il soit au fond de moi, et plusieurs fois avant qu’il jouisse à son tour.

 

Liouba1107A


Après un petit passage à la salle de bain, tout me sembla plus simple. Je pus faire plus ample connaissance avec le bel engin qui m’avait fait jouir, ainsi qu’avec son propriétaire. Je ne me reconnaissais pas, je le suçais lui caressais les couilles et lui prodiguais toutes les caresses que je prodiguais habituellement à mon ami et sans aucune gêne. J’appréciais d’être caressée par quatre mains et d’avoir à ma disposition deux belles bites bien raides prêtes de nouveau à m’investir.

 

Quand l’invité me pénétra de nouveau sur le lit, j’étais un peu dans un état second, j’avais envie de jouir, jouir encore et encore, d’être baisée enculer, ne plus penser à rien, qu’a cette bite qui me pénétrait. Qu’au regard de mon ami sur moi: une salope, sa salope, en train de se faire baiser.

A près une courte pause mon ami me donna sa queue à sucer pendant que je branlais celle l’autre qui après avoir joui en moi, reprenait de la vigueur. Mon ami bandait très fort et je m’empalais sur sa queue, pendant que l’autre me caressait les fesses avec son gland. J’avais une furieuse envie qu’il m’encule, mais il préféra avant d’y glisser son gland m’introduire plusieurs doigts. De nombreuses fois mon ami m’avait sodomisé avec un godemiché plus gros que sa bite, aussi dès que le type appuya son gland sur ma rosette il pénétra sans problème. C’était la première fois que j’avais deux bites en moi. J’étais baisée et enculée comme ces « vraies salopes » dont me parlait mon ami !!

Cette première expérience a été pour moi extraordinaire et j’y repense encore très souvent quand j’ai le bonheur d’avoir deux bites en moi.

Dire combien de fois j’ai joui ? C’est impossible, je n’arrêtais pas. J’avais orgasme sur orgasme. Quand mes deux baiseurs ne bandaient plus assez pour me pénétrer je les suçais. (On m’a souvent dit que j’étais très douée pour les pipes). Mais il est arrivé un moment ou mes mains, ma bouche, ma langue ne purent leur redonner suffisamment de vigueur. Ils avaient la bite molle et les couilles vides, alors que moi j’aurais bien pris encore plusieurs coups de queue.

Mon ami voulu m’enfiler le gros gode, mais je lui dis que c’était de bites bien chaudes bien vivantes dont j’avais encore envie.

Comme je restais sur le lit jambes écartées chatte béante sans aucun complexe (ce qui m’étonne encore), mon ami en se tripotant la bite me dit : « Tu es une merveilleuse salope et puisque tu aimes la bite, je te promet que tu en auras » (Et il a tenu parole).

Quand le type nous quitta, je revenais lentement à moi et était presque gênée quand lui habillé, moi nue, il m’embrassa.

Pendant que mon ami le raccompagnait jusqu’à sa voiture, je me regardais dans la grande glace de la chambre. Ma conscience se réveillât et ce n’est pas moi que je vis dans la glace mais le reflet d’une salope qui venait de se faire baiser et enculer par un inconnu dont j’ignorais jusqu’au prénom. Portant je décidais de réagir de faire taire ma conscience de l’étouffer et le meilleur moyen était de devenir vraiment une salope, de me faire baiser et enculer tous les jours s’il le fallait. Mais surtout la faire taire, empêcher toute mon éducation, avec ses interdits et ses principes de refaire surface.

Au retour de mon ami, je lui fis part de ma décision, que je m’en remettais à lui et qu’à l’avenir il pourrait faire de moi ce qu’il voudrait y compris me faire baiser par tout un tas de types.

Aujourd’hui, je lui suis infiniment reconnaissante de m’avoir fait aimer le sexe, mais surtout de m’avoir débarrasser de mes complexes, de m’avoir aider à m’assumer comme « salope », une salope à qui il a aussi apprit à se prostituer intelligemment et occasionnellement.

LIOUBA

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Dimanche 22 septembre 2024 7 22 /09 /Sep /2024 15:44

Confessions de Travestis – 2

Fetish
Et jamais deux sans trois… par Pascal01

Je m’appelle Pascal et j’ai 37 ans.

Bien que j’adore les femmes (ainsi que les hommes, à condition qu’ils soient entièrement épilés et qu’ils n’aient pas un sexe trop gros), je suis un fervent adepte, et depuis longtemps, des jeux érotiques en solitaire et je vous propose de vous raconter une de mes soirées.

story0406ctTout d’abord, travestissement : j’ai en effet, comme je viens de le dire, un côté «bi», et je me mets en condition avec des vêtements féminins. Ce soir, ce sera une tenue classique, perruque rousse, bas résilles noirs, body porte-jarretelles, petit haut en résille, string, bottes cuir à talons hauts et gants vinyle.
Mais puisque me voici déshabillé, je vais commencer par me raser de frais les couilles, le cul, le haut des cuisses, ainsi qu’en dessous du nombril. Je ne laisse qu’une petite bande de poils au-dessus de la bite.
Une fois le rasage terminé je m’habille donc, me maquille et me voilà femme. Et pour confirmer cette féminité, et puisque le rasage ainsi que la toilette qui l’a suivi m’ont excité, je choisi un petit «anus picket» dans ma panoplie de godes. Avant de l’enfiler, je me prépare soigneusement le trou avec un doigt, puis deux, enduits de gel.

J’écarte le string, et voici le gode à sa place et bientôt l’envie se fait sentir d’un plus gros, qui prend sa place tout naturellement.
Je sens le plaisir monter, et malgré l’anneau de caoutchouc qui m’enserre les couilles et la bite, je suis déjà en érection. Je décalotte le gland et commence à me caresser ; ma bite a déjà dégouliné ses premiers filets intimes et comme elle coule en général beaucoup, très vite je peux l’enduire entièrement de cette «mouille».
Je sens le sperme qui vient, alors j’enfile une capote et je jouis longuement pendant que mon cul se resserre par à-coups sur le gode.
Je reste quelques minutes ainsi, entre ciel et terre.

Puis j’enlève le préservatif, ainsi que l’anneau qui commençait à me gêner.
Je laisse le gode en place encore un moment, puis je le retire avec soin.
Je me caresse à nouveau la bite mais une autre envie commence à poindre : en effet, un bon moment avant de me raser, j’avais bu deux bières suivie d’un café et je sens que ma vessie est bien pleine. L’uro, voici un autre plaisir qui peut très bien être solitaire et auquel je m’adonne depuis longtemps.
Je vais en profiter pour me faire quelques photos : pendant ce temps je laisserai un peu de répit à mon sexe. J’attrape un récipient adéquat et devant l’appareil photo qui mitraille je laisse monter mon envie d’uriner.
C’est presque une autre jouissance quand jaillissent les premières gouttes, tellement le soulagement est de taille ! Des frissons de plaisir me parcourent le dos pendant que je remplis presque le récipient qui fait trois-quarts de litre. Le pipi est bien clair, comme chaque fois avec la bière. J’y trempe les lèvres : il est excellent, mais il sera encore meilleur après une petite demi-heure au frigo.

Pendant ce temps je visionne et sélectionne mes photos. C’est une chose que j’adore faire, me photographier sous toutes les coutures et visionner ensuite les images. D’ailleurs j’aimerais bien pouvoir échanger mes clichés avec d’autres personnes (de tous les sexes).
Ensuite, comme je suis curieux par nature, j’aime bien mesurer la quantité de sperme que j’ai fournie. Il y a quelques jours que je ne m’étais pas masturbé, aussi j’en ai presque dix centimètres cube !
J’ai mis une cassette de nanas qui se font des parties très arrosées et je recommence à bander. Je reviens au frigo, et constate que le champagne est à température idéale ; je m’en verse plusieurs petits verres toujours en compagnie de ces dames qui dégustent aussi du pipi. Il va de soi que j’ai longuement trempé ma bite dans le verre avant de boire ce nectar.

Puis je remplace la cassette des filles par une de transsexuels qui se défoncent et se font défoncer à outrance. Il va sans dire que j’adore les trans et je possède des centaines de photos et pas mal de cassettes.
Et bien sûr, j’éprouve bien vite le besoin de me goder à nouveau. Cette fois-ci ce sera le gode ventouse qui ne se fait pas prier pour rentrer dans mon petit trou bien lubrifié. Je ne sais pas combien de temps dure cette séance d’engodage tellement c’est agréable d’être ainsi empalé debout!
J’abandonne à regret cet amant fidèle pour m’occuper de ma queue qui dégouline littéralement. Je récupère le sperme de tout à l’heure que j’étale sur ma bite et mes couilles : une photo s’impose ! Je me masse bien, surtout les testicules, puis avec ma main toute humide j’entreprends une masturbation tout d’abord douce, puis un peu plus rapide.

L’érection est très ferme et je la fais durer le plus longtemps possible. Mais au bout d’un dizaine de minutes, tout en reluquant les trans qui ne vont pas tarder à juter eux aussi, je ne peux plus retenir le sperme qui bouillonne à nouveau. Mes couilles sont libres cette fois-ci de remonter au maximum et de l’autre main je continue à les masser : c’est terriblement agréable tellement elles sont douces et humidifiées de semence.
Le plaisir m’envahit, me subjugue et comme je suis bien assis dans mon canapé, les giclées brûlantes aboutissent sur mon ventre.
MMMMMMMM…
Je n’en peux plus, et je reste pendant un bon moment à respirer par à-coups.
Quel pied !
Je suis étonné de la quantité de cette seconde éjaculation si rapprochée de l’autre ; mais c’est cool, je vais pouvoir me faire un autre super massage et aussi quelques bonnes photos. Une bonne rasade de pipi bien frais ne sera pas de trop pour requinquer une fois de plus mes quatorze centimètres.

Et jamais deux sans trois !

Un délire entre potes qui a dévié par Eric

Je m’appelle Eric, j’ai tout juste 20 ans, je ne suis pas très musclé et plutôt mince, je traîne toujours avec Xavier et David, qui ont 19 ans tous les deux. Au niveau des filles c’est le calme plat, à peine un baiser pour moi, et oui nous sommes encore puceaux. David a la chance que ses parents lui laissent leur maison quand ils partent en week-end. C’est le samedi soir que l’on se retrouve ensemble, pour rentrer chez nous le lendemain après-midi. Les programmes de ces soirées sont souvent des soirées jeux vidéo, mais de temps en temps c’est visionnage d’un film pornographique. Un délire entre potes, on décrit ce qui se passe à l’écran, on rigole, mais aussi on sort nos sexes pour se masturber

Un soir Xavier propose qu’il nous masturbe, après avoir lu ça sur un Forum. C’est David qui accepte, moi à ce moment je suis totalement contre. C’est donc avec Xavier et David se masturbant mutuellement à côté de moi que je me fais du bien devant la télévision. Et depuis, tous les samedis c’est le même jeu. Comment j’ai accepté ça ? Intrigué j’ai aussi trainé sur des Forums et lu des témoignages et un soir j’ai sauté le pas. C’est David qui m’a masturbé pour la première fois. Lentement, minutieusement, mon éjaculation n’a jamais été aussi forte.

C’est à la vision d’un film où un homme se travesti pour postuler un poste de secrétaire, que tout a basculé. Xavier lance l’idée de mettre des collants ou des bas pour se masturber. Nous avons fait l’armoire de la mère de David. Et des dessous, il y en a. Je jette mon dévolu sur un porte-jarretelles et bas gris, Xavier des bas résilles noirs et David met une guêpière léopard et bas noirs. C’est simplement affublé de ces tenues, que nous nous masturbons mutuellement devant le film. C’est quand commence une scène où le PDG pose la main sur la cuisse du travesti, que je sens celle de Xavier sur la mienne et commence à me caresser. Etonnamment je ne dis rien et savoure cette délicieuse sensation. Je lui rends la pareille, je lâche son membre dressé pour parcourir sa jambe. Je tourne mon visage vers le sien, nous nous sourions. Nous prenons autant de plaisir par les caresses que par la masturbation. Le travesti à l’écran est maintenant en train de sucer le PDG. Je vois encore les témoignages d’hommes sur les Forums racontant leur première fellation avec un partenaire masculin. Sans me demander ou me prévenir Xavier se penche sur mon gland et passe sa langue pour goûter à ma liqueur qui suinte. Je me contracte immédiatement, je ferme les yeux, c’est fantastique.

Sa bouche est douce, il est maladroit mais ça n’a pas d’importance. David, dont j’ai abandonné le sexe, nous regarde avec gourmandise, il a pris le relais pour les caresses sur ma jambe. Il s’aventure aussi sur mon ventre. A l’écran, le travesti est penché sur la table et se fait lécher l’anus. David se penche aussi sur ma queue, j’ai maintenant deux langues qui s’occupent de ma tige. J’éjacule sans les avertir, ils en reçoivent sur le visage. Xavier passe son doigt dessus et le porte à la bouche. David lui se met debout sur le canapé pour avancer son sexe à ma bouche. C’est à mon tour de sucer. Après quelques coups de langues, trouvant la position inconfortable, je lui demande de s’asseoir, me mets à genoux devant eux et les suce à tour de rôle. Eux aussi ne mettent pas longtemps à jouir, Xavier sur mon visage et David dans ma bouche. Je savoure ce jus chaud et salé pour la première fois. A l’écran le PDG sodomise le travesti et un collègue entre dans le bureau.

Nous n’avons pas débandé, David pose sa main sur mes couilles et lentement arrive à introduire son index dans mon anus. Je le laisse faire et l’aide même en me mettant mieux dans le canapé. Après quelques instants, il me pousse pour me faire comprendre que je me mette à quatre pattes sur le canapé. Je lui obéis. Je sais où il veut en venir. Je suis trop excité pour refuser. Je sens son gland se poser sur ma rosette. Il me caresse les fesses, le bas du dos. Xavier présente son sexe devant ma bouche. David s’insinue doucement dans mon cul, difficilement, je suis étroit. Son avancée est longue et un peu douloureuse. Une fois à fond il commence ses mouvements. J’en oublie la bite de Xavier qui doit forcer l’entrée de ma bouche. Je suis leur salope, David m’insulte, il est déchaîné, me tape sur les fesses et éructe fortement quand il éjacule en moi, presque immédiatement ma bouche aussi est inondée. Cette soirée est formidable, nous nous maquillons changeons de tenues, nous nous caressons mutuellement nos corps, décorés de colliers. C’est moi qui embrasse Xavier le premier alors qu’il a encore le sperme de David dans la bouche, chacun présente son fessier pour se faire sodomiser. C’est épuisés que nous nous couchons ensemble, lovés l’un contre l’autre, se promettant de recommencer.

FIN

Un trans me domine par Guillaume

Des chaps – pour ceux qui ne le savent pas – c’est comme un pantalon mais largement ouvert à l’entrejambe.

Ceux que je porte sont en vinyle. Je porte également un top de la matière ouvert aux tétons.

Et un collier de chien.

Difficile de faire plus obscène, je suis une invitation au sexe.

La soirée avait pourtant débuté « normalement ». Un restau avec des amis puis un dernier verre. Mais ceux sont tous d’affreux couches-tôt; j’ai décidé d’aller finir la soirée ailleurs.

Et c’est dans ce bar que je l’ai rencontrée. Pas tout fait certain de prime abord que ce soit un trans mais notre conversation m’a vite mis sur la voie.

Trandom T2Une jupe en cuir, des bottes hautes, un top en résille, une perruque platine. Elle était terriblement sexy. Je me décidai donc à sauter le pas. Le courant est vite passé. Je lui ai avoué que je flashai complètement sur sa tenue. Elle me demanda alors si j’avais déjà expérimenté la soumission. À part quelques liens, pas vraiment.

Sa voix m’envoûte, elle me fait tâter son sexe, on se roule une pelle. Et elle me dit « viens mon cœur, je t’emmène chez moi ».

À peine arrivés, elle me déshabille, me caresse, me pince les tétons et me fait mettre à genoux. Elle sort son sexe, je commence à la sucer.

Elle m’arrête et prend quelques instants pour choisir ma tenue.

Une fois habillé, elle me fait tenir debout et passe derrière moi. Elle se colle à moi et me travaille les seins ; je bande comme jamais. Je lui appartiens me dit elle et elle commence à écarter mes fesses, à introduire un doigt. Je suis serré mais elle m’élargit, me crème et introduit un deuxième doigt. Je sens son souffle sur ma nuque et l’entend me traiter de pute, de salope ; je suis sa chose. Bientôt, si je continue à lui plaire, elle m’exhibera.

Elle me fait mettre à genoux, fesses bien remontées. Elle prend un gode. Je lui dis que je le trouve très gros mais elle me dit sur un ton sec :

– Une petite pute qui se fait enculer doit pouvoir prendre ça entre ses fesses.

Elle m’introduit le gode doucement. La douleur initiale peu à peu s’estompe, j’apprends à l’accepter dans mon cul.

Elle se met alors devant moi et introduit sa bite dans ma bouche. Je la sens de plus en plus dure. J’aime sentir ce sexe dans ma bouche et le plaisir monter chez elle. Elle s’arrête, me fait lever, enlève le gode et repasse derrière moi. Je sens son sexe contre mes fesses pendant qu’elle me caresse le torse et me masturbe.

– Mets-toi sur le dos jambes relevées ! je vais te prendre comme une femelle.

Elle met une capote et me pénètre alors. Doucement au début puis elle se met à me pilonner. La douleur est là mais le plaisir aussi. Son pilonnage est de plus en plus fort et elle ahane. Dans un ultime cri, elle jouit. Très fort.

Mon plaisir n’est pas loin, elle le sait.

Elle me prend alors en bouche. À peine une minute plus tard, je jouis en tremblant de tout mon corps.

On se love l’un contre l’autre. On s’embrasse. Elle me dit que, pour une première, je me suis bien comporté. On se reverra.

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Lundi 9 septembre 2024 1 09 /09 /Sep /2024 14:56

Très brèves – travestis et transsexuellesAùmanda

 

 

Valière

 

De passage à Liège dans un club privé. deux mignons travestis baisent sur la piste de dance. La travestie blonde se fait sucer par la travesti châtain, elle remonte sa robe pour aider la fellation, on peut voir son petit sexe bien épilé. Puis c’est la travestie blonde qui suce l’autre travesti. N’ayant conservé que les dessous qui nous excitent tant, les deux travestis peuvent alors s’embrasser amoureusement sous les regards troublés de l’assistance. Les baisers c’est extra mais insuffisant pour la blonde travestie qui reprend les « choses » en mains ! Les deux salopes travesties jouent à « je te tiens tu me tiens par la zigounette, la première qui bandera… aura une bonne pipe ». Les deux travestis se régalent mutuellement. Puis le final : Bien accrochée à la barre la travestie blonde se fait enculer par l’autre travesti pour le bonheur de tous. Elles saluent l’assistance et demandent s’il y a des volontaires pour les rejoindre sur scène (moyennant un petit billet, faut pas rêver, non plus) J’y vais ainsi qu’un autre bonhomme. on a sucé chacun la sienne avant de faire enculer devant tout le monde ! Génial !

 

Jean-Do :

 

Il était si beau ce travesti accoudé au comptoir que quand il m’a proposée de l’embrasser, je n’ai pas hésité une seconde, Sa main est venue sur ma braguette, il m’a entrainé aux toilettes, m’a tendu son joli petit cul… et je vous laisse imaginer la suite

 

TransMonique :

 

Hier soir je suis allé en boite avec ma copine Capucine, c’était très chaud, on a sucé plein de bites et je me suis fait enculer deux fois devant tout le monde. On est rentré à 3 heures, crevées mais heureuses

 

 Willy :

 

Je serais bientôt en retraite, je me suis fait pas mal sucer dans ma vie et ma femme ne l’a jamais su (ou alors elle a fermé les yeux) Mais ce que je veux dire c’est que les meilleurs pipes que l’on m’a prodiguée, ce sont des celles prodiguées par des travestis

 

Caramel :

 

Je me suis fait sucer sur un superbe travelo à 2 h de l’après-midi, sur le Boulevard McDonald. y’a quelqu’un qui est passé, j ‘ai juste eu le temps d’enfoncer ma casquette sur les yeux. Il m’a bien sucé !

 

JolieJolie :

 

Au ciné, je portais lingerie coquine bas porte-jarretelles, soutien-gorge, string … Un homme m’a remarqué et s’est assis à côté de moi, il a sorti mon sexe à m’a sucé devant trois voyeurs qui se branlaient. Puis l’un d’entre eux m’a emmené dans les toilettes et devant plusieurs mecs, il m’a baissé mon string et m’a sodomisé » Je n’avais JAMAIS bandé et jouis comme ça. Inutile de vous dire qu’après cette expérience je suis devenu accro à la bite.

 

Bertrane_TV :

 

J’avais 18 ans. Avec une copine, on essayait les fringues de ma mère quand celle-ci nous a surpris ! Elle nous a flanqué à tous les deux une fessée mémorable c’était bon ! On bandait comme des étalons, et ma mère était tellement troublée qu’elle nous a sucé (mais ceci est une autre histoire)

 

Dufaussy :

 

Bonjour, je suis Simone travesti godiche féminisée par sa femme en soubrette ou en catin chez nous. Je dois faire le ménage, le repassage et les autres tâches ménagères. Je dois également accueillir les amants de madame, ma bouche et mon trou du cul étant à leur disposition. Et quand je ne suis pas sage on me punit (cravache, pinces).

 

Felix :

 

Début septembre je suis monté à Paris avec un collègue, il m’a suggéré de booker deux transsexuelles, c’est ce que nous avons fait, deux magnifiques créatures très brunes. Elle nous ont rejoint dans notre hôtel. On a commencé par se caresser, s’embrasser, puis elles nous ont sucé. Mon copain a baisé l’une d’elle, moi j’ai voulu gouter à la bite de l ‘autre, en faisant ça j’ai attrapé une érection du Tonnerre de Brest à ce point que je lui ai demandé de m’enculer. Elle m’a enculé devant mon copain qui n’en revenait pas de voir ça ! Quelle soirée, quel souvenirs !

 

Palrose :

 

Je me suis retrouvé complètement par hasard dans un bistrot fréquenté par des transsexuelles et des travestis. Je les vois tournicoter autour des clients et les draguer de façon intempestive. Et ça ne rate pas en voilà une qui m’aborde, me touche la braguette en me disant c’est 50 euros, mais je peux te faire un prix. « Et tu me fais quoi ? » demandais-je ! Je te suce et tu peux me baiser. Je bandais comme un malade, on va dans l’arrière salle où un type est en train d’enculer une belle trans black On demande qu’on nous fasse un peu de place et on a fait ce qu’elle m’avait promis.

 

Maritain :

 

J’ai longtemps fantasmé sur les travelos, sur les magazines puis sur le net je bandais en regardant leur corps magnifiques et leur bites bien bandées. J’ai un jour franchis le pas, je ne comprenais rien au baragouin de la fille, sans doute brésilienne, mais je me suis régalé de sa bite. Maintenant je suce des bites de trans régulièrement et quand ça me prend je me fais sodomiser

 

Corneille

Habitué des séances de soumission j’ai voulu tenter l’expérience avec un travesti dominant. Tenue de cuir, très maquillée, j’ai d’abord reçu 20 coups de badines sur les fesses avant de devoir lui lécher les pieds. Je lui ai ensuite léché son trou du cul. Elle m’a pissé dans la bouche puis je lui ai sucé la bite. Elle a essayé de m’enculer mais ne bandais pas assez, alors elle m’a enfoncé un bon gode dans le cul pendant que je me branlais.

 

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Très brèves
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Vendredi 30 août 2024 5 30 /08 /Août /2024 17:11

Marla et le chien par Estonius
zoo

Bonjour, je m’appelle Simon et je travaille dans une boite d’assurance. On m’a proposé une mutation à Brest. Le coin ne m’emballait pas trop mais puisque c’est la seule façon d’avoir une promotion, j’y suis allé.

J’ai 37 ans et suis en couple avec Marla, une jolie brune espiègle aux cheveux frisés. Pas d’enfants. Sexuellement je suis curieux de tout, ne pense pas avoir de tabous, mais je suis sage comme une image, la plupart de mes fantasmes restent dans ma boite à fantasmes… Oui bien sûr quelques écarts tout de même … qui n’en fait pas ?

Au boulot j’ai sympathisé avec Julien, un type très jovial assez déconnant et large d’esprit.

Et un jour, il m’a invité à un barbecue dans le jardin de son pavillon.

Il me présente sa femme, Tina une jolie métisse au sourire craquant et Viviane sa mère, la soixantaine mais joliment conservée.

Le chien de la maison, un grand labrador noir vient vers nous en battant de la queue, il renifle Marla avec une instance gênante, mais Tina lui intime l’ordre d’aller se coucher

On évite les sujets qui fâchent et de parler de sport afin de ne pas incommoder ces dames, alors on cause météo, souvenirs de voyages et de vacances.

Puis, le pinard contribuant à délier les langues, ça commence à causer de choses en dessous de la ceinture…

– L’été dernier on a été au Cap, on voulait essayer le naturisme, ça nous a bien plus ! Nous indique Julien.
– Evidement puisque tu t’es rincé l’œil ! le chambre Tina.
– C’est vrai qu’on a vu de ces choses ! Lance Viviane d’un air égrillard.
– Ben racontez nous ! Intervient Marla
– Je ne voudrais pas vous choquer. Rétorque la mamie.
– Mais non !
– Donc on longeait la plage, ça forniquait pas mal un peu partout et tout au bout on a vu des mecs entrer dans une espèce de sous-bois, on se demandait ce qui s’y passait et on a décidé d’aller voir… Que des mecs entre eux, quelque part c’était fascinant.

Elle n’en dit pas plus.. J’ai compris son jeu, elle veut savoir si on est intéressé par la suite, dans ce cas c’est à nous de relancer et c’est Marla qui s’y colle.

– Fascinant vous dites, ils faisaient quoi ?
– Ce que font des mecs entre eux quand ils sont à poil.
– Humm, ça m’aurait excitée de voir ça ! Répond Marla.
– Ça nous a excité aussi, on n’est pas de bois ! Reprend la mémé.
– Ah ! Oui ?
– Même que mon fils bandait comme un cochon !
– Je suppose qu’ensuite vous avez quitté les lieux ! Suggère Marla
– Non ça ne s’est pas passé comme ça !

Ça devient chaud ! Mais une nouvelle fois Viviane s’interrompt.

Et comme précédemment c’est Marla qui relance.

– Alors ça s’est passé comment ?
– Vous savez, parfois quand on est très excité, les tabous tombent !
– Racontez-nous, on est prêts à tout entendre, on n’est pas coincés.
– Ben j’ai lancé un défi à mon fils « Si ça t’excite tant que ça, va les rejoindre ». Il a refusé mais Tina est venu à ma rescousse. Alors il s’est avancé…
– Maman, tu n’es pas obligée de tout raconter ! Intervient Julien Tu vas choquer nos invités.
– Mais non, on a les idées larges ! Rétorque Marla décidemment très remontée.
– Bin alors, mon fils s’est mêlé à un petit groupe qui regardait deux mecs s’enfiler, un mec lui a saisi la bite et à commencé à le branler. Un autre s’est accroupi devant lui et a porté son sexe en bouche. Voir son fils se faire sucer la bite par un autre homme, c’est fabuleux non ?J’espère que je ne vous choque pas, Simon ?
– Non, non… il y a une suite ?
– Oui, mais je peux raconter, Julien ?
– Je ne sais pas, faut se mettre un peu dans le contexte, on était en vacances et qui plus est dans un camp naturiste où ça baise dans tous les coins, alors on se laisse aller.
– Espèce de faux cul, lui dit Tina, tu t’es régalé en suçant des bites, tu t’es même fait enculé et t’arrête pas de dire qu’à l’occasion tu recommencerais.
– Mais enfin Tina !
– Ben c’est la vérité, non ?
– Tss tss intervient Mamie Viviane, et vous Simon, vous avez eu des aventures dans ce genre.

Je suis embêté, je pourrais effectivement raconter qu’il m’est arrivé de sucer quelques bites dans des cabines de sex-shop, mais ne l’ayant jamais confié à Marla, je fais une autre réponse.

– Je pense que dans ce genre de situation, c’est l’occasion qui fait le larron. Je n’ai jamais eu ce genre d’occasion et je ne les pas cherché non plus.
– Vous suceriez une bite, alors ? Demande Vivianne !

Ça va dégénérer, je le sens.

– Elle est peut-être ici, l’occasion, Julien montre nous ta bite ! Reprend la mamie
– Mais enfin Maman !
– Est-ce que je vais être obligée d’aller la chercher ?
– Pas cap !

Viviane ne se dégonfle pas, ouvre le jeans de son fils et en extrait une jolie quéquette bien bandé, qu’elle masturbe quelques instants avant de la mettre dans sa bouche. Puis elle me regarde d’un air de défi ! C’est fou de voir ça ! En fait je ne suis pas choqué, juste surpris de l’insolite de la situation.

– A vous Simon ! Je vous la laisse !

Dans quoi on s’embarque là ? Je lance un regard interrogateur en direction de Marla qui me fait signe d’y aller..

J’y vais donc et fourre cette bonne bite dans ma bouche, puis commence à la sucer comme dans les films pornos.. Et tout le monde d’applaudir… C’est malin !

Ça ne dure pas très longtemps, deux ou trois minutes, je me relève et vais pour regagner ma place quand Julien me suggère qu’on pourrait permuter. Je fais quoi ? Comme c’est parti si je refuse je vais passer pour un rabat joie. Je baisse donc mon short et offre ma biroute à la bouche de Julien.

Il suce bien ce con, mais je le fais arrêter, pas envie de jouir maintenant et je ne sais pas pourquoi ! Un peu la trouille que ces dames complétement barrées nous demandent de nous faire une démo de sodo entre hommes. En fait non, mais ce sera peut-être pour tout à l’heure.

On rejoint les filles, on se reboit un petit coup et voilà que Mamie Viviane retire son tee-shirt laissant apparaitre un soutien-gorge en dentelle blanche bien rempli

– Tout cela donne chaud ! Dit-elle en le retirant ! Les filles, ça vous dirait de me caresser la poitrine.

Belle poitrine soit dit en passant, du bonnet E sans doute (je ne suis pas un spécialiste des bonnets)

Marla et Tina n’hésitent même pas et viennent lécher les tétons de Viviane qui se pâme d’aise sous cette double caresse.

– Attendez ! Finît-elle par dire, si on se mettait tous à poil, ce serait plus fun, non ?

Ben oui, pendant qu’on y est !

Joli spectacle que nous offrent ces dames, Tina avec sa peau couleur de café crème et ses jolis seins qui semblent défier les lois de la pesanteur, Viviane les jambes écartées exhibant sans pudeur une jolie chatte charnue entièrement épilée.

Elle y porte la main d’un air de défi, manifestement elle attend qu’on vienne la lécher…

Je ne peux faire autrement que de me dévouer, je me lève donc, mais voici le clébard qui se ramène et vient se placer là où je souhaitais me rendre… entre les cuisses de Viviane.

Et il se met à laper à grands coups de langue

Et là, je suis gêné, pas pour moi, je m’en fiche, mais pour Marla qui risque de me reprocher de l’avoir emmené chez des gens ayant des drôles de pratiques.

Je reviens à ma place et chuchote à ma douce :
– Rhabille-toi, on va se barrer !
– Pourquoi, tu ne te sens pas bien ?
– Non, mais ça va trop loin !
– Et alors ? on ne vois pas ça tous les jours !
– Ah bon !

Et la voilà qui se lève pour aller voir ça de plus près. Elle a pété un câble ou quoi ?

– Tu voudrais te faire lécher ? Lui demande Viviane.
– J’aimerais bien essayer, oui.
– Je vais te laisser ma place.

Viviane se lève, Marla s’assoit et écarte les cuisses.

– Viens toutou, viens me lécher mon jus !

Et ça y est, cette foldingue est en train de se faire lécher par le chien… et moi je bande..

Tina s’approche de moi en se tortillant.

– Ça te plait de regarder ta copine se faire brouter le minou par le chien ?
– Disons que c’est inattendu !
– Moi aussi j’aime bien ça ! Je lui suce la bite aussi, c’est si pervers…
– Tu suce la bite du chien !
– Oui, c’est ma belle-mère qui m’a initié, on se fait baiser aussi !
– Mon dieu !
– N’empêche que ta bite, elle est toute raide. Je vais te sucer un peu et ensuite tu vas me la foutre dans le cul, Tu veux ? Ta copine n’est pas jalouse ?

Elle n’attend même pas ma réponse et m’embouche la bite d’autorité. Mais voilà que se ramène Viviane qui veut sa part du gâteau (en l’occurrence ma bite) et j’ai donc droit à une pipe à deux bouches. Le rêve !

Je me suis levé pour leur rendre l’accès plus facile… Julien s’approche de nous à son tour. C’est donc moi la vedette en ce moment. Quel honneur.

Julien passe derrière moi et me pelote le cul !

– Quel belles fesses tu as, ce serait dommage de ne pas t’enculer !

Ben voyons ! Mais je me résigne ! En fait j’en ai envie. Et tandis que les deux vicieuses continuent de me pomper la bite, Julien me lèche le fion me provoquant une réaction inattendue de mon anus qui se met à bailler. Et après la langue c’est le doigt, et quand je dis le doigt, il doit en fait y en avoir deux,. Il me pistonne. Le doigt ressort, et c’est sa bite qui s’invite à l’entrée. Il s’enfonce d’un coup sec, un autre coup pour s’enfoncer davantage. Drôle d’impression, comme une gène, l’anus voulant se débarrasser de cette intrusion. Et puis peu à peu c’est un sentiment de bien être qui m’habite (sans jeu de mot) Je me fais enculer et c’est bon.

Tellement bon que je joui dans la bouche de ses dames. Du coup Julien accélère sa cadence et finit par jouir dans mon fondement.

Elles sont mignonnes les deux nanas avec du sperme qui leur macule le visage…

Ce petit trip m’a un peu épuisé, je jette un coup d’œil du côté de Marla. C’est le grand amour avec le chien qui après lui avoir brouté la chatte s’est mis à lui lécher les nénés.

Viviane reviens vers elle.

– Pauvre bête ! Il est tout excité, on ne va pas le laisser comme ça ! Je vais lui sucer la bite, tu le fais avec moi ?
– Tu veux que suce la bite du chien ?
– C’est une proposition ma chère.
– Je crois que je ne suis pas prête pour faire ça !
– .Pas grave tu vas nous regarder, tu viens Tina ?

Les deux femmes après avoir placé le chien dans une position adéquate, se mettent à sucer la bestiole de conserve

Marla regarde le spectacle tout en se tripotant la chatte. Elle me dira plus tard qu’elle était comme quelqu’un qui s’apprête à faire du saut à l’élastique, genre, je le fais ou je le fais pas ? En respirant très fort.

Et, mais vous vous en doutiez bien, chers lecteurs, chères lectrices, Marla se lance, se fait faire de la place auprès des deux autres nanas et prend le sexe de la bestiole dans sa bouche.

MarlaEt on se sait trop comment, Viviane et Marla se retrouve en soixante-neuf et se gamahuchent jusqu’à en jouir, tandis que Tina s’est mise en levrette invitant le chien à venir la besogner.

Quelle folle soirée mes enfants .Je regarde sur la table, il n’y a plus rien à boire.

– T’as soif, tu veux ma pisse, me propose mamie Vivianne.

Pour ce genre de chose, je n’ai depuis longtemps plus aucune réticence et c’est bien volontiers que je reçois sa pisse tiède au fond de mon gosier..

– On va vous prêter la chambre d’amis, vous n’allez pas prendre le volant avec tout ce que vous avez picolé. Propose Viviane
– D’accord !
– Mais vous n’allez pas nous quitter avant de m’avoir enculé ce serait une faute de gout.
– Je le conçois aisément !

Et Viviane se met en levrette en cambrant bien le derrière offrant à ma vue tous ses trésors. Comment ne pas bander devant un tel spectacle ?

Une capote et je l’ai pénétré, c’est rentré comme un couteau dans du beurre, et pendant que je la pilonnais son fils est venu devant elle lui offrir sa queue à sucer.

Je voulais conclure la soirée en faisant l’amour avec Marla mais je me suis écroulé de fatigue, ce sont des choses qui arrivent.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Estonius
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Vendredi 30 août 2024 5 30 /08 /Août /2024 17:05

Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 15 – La punition de Sierra par Nicolas Solovionni
stamp transblack

J’emmenais ensuite Sierra, la belle transsexuelle dans mon bureau privé dans lequel se trouve un moelleux canapé au cas où..

– Sierra, tu dois avoir plein de choses à me raconter ?
– Plein !
– Mais tu me les raconteras plus tard, pour le moment j’ai envie de te prendre dans mes bras.
– Faites-moi tout ce que vous voulez ! Je me laisse faire, j’ai confiance !
– Eh bien commence par te déshabiller, j’ai trop envie de revoir ta bite !

Stoffer515Elle n’avait pas grand-chose à enlever, mais en bonne professionnelle elle fit durer le plaisir, me dévoilant d’abord ses seins magnifiques sur lesquels je me jetais comme un fou, les embrassant et leur tétant les bouts.!

Je m’accroupissais ensuite pour lui baisser moi-même sa culotte et emboucher sa bite demi-molle mais que mon action combinée des lèvres et de la langue eut tôt fait de lui rendre une honorable rigidité.

Je cessais ma fellation au bout de quelques minutes n’ayant pas l’intention de la faire jouir prématurément.

– Au fait, Sierra, je te dois une punition !
– Une punition, pourquoi ? J’ai été vilaine ?
– Bien sûr, tu ne serais pas allé faire de la provocation dans un rade sur Idoxa, tu ne te serais pas fait kidnapper.
– Alors c’est vrai, patron ! Punissez-moi comme je le mérite.

J’ai toujours quelques gadgets dons les tiroirs de mon bureau. Je demande à la joli trans de ne pas bouger et lui fixe une pince à chaque téton.

Oh, la vilaine grimace qu’elle me fait !

– Ça fait mal, patron !
– Bon, je vais te les enlever…
– Non, non patron punissez-moi, je ne suis qu’une chienne.
– Ça c’est vrai, et tu sais ce qu’elles font les chiennes ?
– Des cochonneries, je suppose.
– Tout à fait ! Et je vais te demander de me lécher le trou du cul !

Elle ne se fait pas prier et sa petite langue vicieuse vient me lécher ma rondelle. J’adore cette caresse, et mon anus aussi puisqu’il finit par bailler de plaisir.

– T’aimes ça lécher les culs, hein Sierra ?
– J’adore !
– Même quand il ne sont pas très propres ?
– Quand ils ne sont pas propre, je nettoie, puisque je suis une chienne.
– C’est bien, fous moi un doigt maintenant !

Sierra possède de très jolies mains avec de grands doigts. Tant mieux plus c’est long, plus c’est bon !

Elle me ramone ainsi mon conduit anal pendant plusieurs minutes et quand je lui demande se retirer, c’est un doigt pas très net qui ressort.

– Ben tu ne va pas rester avec le doigt pollué, lèche-moi tout ça !

Et là encore, elle ne se fait pas prier, elle donne même l’impression de se régaler. C’est vraiment une bonne soumise !

– Alors c’était bon ?
– Oui, j’aime bien.
– Parfait mais la punition n’est pas terminée.

C’est bizarre la nature humaine, parce que je suis plutôt en matière de sexualité, orienté maso, mais il m’arrive parfois de me laisser aller à des instinct sadiques… Non pas sadique, je ne m’amuse qu’avec des partenaires consentants. J’ai quand même quelques principes.

Je lui ai accroché deux autres pinces sur ses grosses couilles que j’ai ensuite ligaturé.

Retour des grimaces.

– J’ai mal patron.
– Et qu’est-ce que je dois faire ?
– Continuez à me faire mal !

J’ai dans mon attirail, un Rimba, c’est un peu comme un martinet mais avec beaucoup plus de lanières..

Je la flagelle à la volée sur son joli petit joufflu. Pas trop cependant, je n’ai aucune intention de la mettre en arrêt de travail.

– Bon tu m’a bien excité, tu as vu ma bite comme elle est raide !
– Elle est belle !
– Merci c’est gentil ! Attention, je retire les pinces

Une opération toujours douloureuse…

– Et maintenant suce moi la bite ! Lui ordonnais-je en quittant promptement mes vêtements. Elle s’accroupit et ce fut donc à son tour de me pomper.

Elle le fit en m’agrippant les fesses, sa main glissant presque imperceptiblement vers l’anus avant d’y faire pénétrer un doigt inquisiteur.

C’est pas vrai, elle doit être accro a ce truc là !

J’étais bien sûr aux anges !

Mais elle non plus n’avait pas l’intention de me faire jouir trop vite, aussi se releva-t-elle et se retourna pour m’offrir ses fesses. Des fesses magnifiques soit dit en passant au risque de me répéter.

Je l’enculais donc (même si j’aurais préféré le contraire) avec d’autant plus de vigueur que je sentais mes couilles prêtes à exploser, tandis que la belle trans se branlait la bite comme une forcenée.

Mais quand je la senti jouir du cul sans aucune simulation ce fut pour moi le plus beau des cadeaux, alors j’accélérais la cadence et me libérais dans son fion de princesse.

On s’enlace, Sierra me nettoie ma bite gluante de sperme et de jus de cul, de sa bouche. On s’embrasse profondément…

Et pour finir en beauté, supposant que toutes ces turpitudes avait du lui donner soif, je lui pissais dans la bouche. J’avais une grosse envie !

Et c’est chères lectrices, chers lecteurs, chères lectrices, la fin de ce trip et aussi la fin de cette aventure qui j’espère vous aura satisfait.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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