Chanette 30 – La disparition de Carole – 1 – Sur la plage à Lacanau par Chanette
Il me faut parler un petit peu de Valentin Marchicour, il est apparu pour la première fois dans le récit « La partouze de Monsieur le ministre », puis nous l’avons revu dans les
épisodes 18, 20, 28 et 29.
Valentin est un beau gosse, blond, fin, il plait aux femmes, mais aux hommes aussi, sa bisexualité latente est devenue au fil des ans de moins en moins latente.
Il est très lié avec Carole, une nana rencontrée dans des circonstances rocambolesques (voir chapitre 15 – la Bergerie), ils baisent ensemble mais ne sont pas en ménage.
Carole est une jolie fausse blonde frisée et très légèrement potelée. Son visage finement découpé est magnifique, les lèvres sont superbement ourlées et le nez joliment dessiné. Elle est grande,
de belles formes sont là où il faut, quelques kilos de moins en aurait fait un top-modèle.
Valentin taquine la plume et son dernier bouquin a été un succès de librairie inattendu à ce point qu’un producteur de cinéma bien connu lui a proposé d’en acheter les droits et de co-écrire un
scénario de film. Evidement tout cela signifiait une rentrée d’argent substantielle. Du coup Valentin acheta à bas prix une baraque assez délabrée à Lacanau, sur la côte Atlantique.
– Il y a des tas de travaux à faire ! Nous précisa-t-il, je les ferais faire petit à petit, mais en attendant on peut y loger pour les vacances.
Et il nous a invité, Anna-Gaëlle et moi à y passer quelques jours de farniente.
Pourquoi pas ? Ça me fera du bien !
La plage est sympa, et il y des coins où on peut se foutre à poil sans que cela ne cause des problèmes.
Nous étions bien étalées, Carole, Anna et moi sur nos serviettes en train de profiter des rayons du soleil quand nous avons vu un type, la cinquantaine, visage en pain de sucre, cheveux rares et
pas sexy pour un sou déambuler vers nous.
– C’est qui celui-là ? il ne va tout de même pas nous draguer ! Me chuchote Anna.
– Il a le droit de se promener, s’il nous emmerde, on le vire ! Répondis-je.
Le mec pose sa serviette à moins de 10 mètres de notre emplacement.
– Il n’a qu’à venir encore plus près ! Tempête Anna. Merde, il y a plein de places ailleurs.
– Il a peut-être une idée derrière la tête, on va bien voir.
Le mec retire son slip de bain et s’enduit scrupuleusement le corps de crème solaire, ça dure un certain temps puis il s’en étale sur le dos, avant de s’occuper de l’intérieur des cuisses… et
c’est à ce moment que les choses devinrent étranges.
Parce que figurez-vous que le type se tripotait la bite ! Davantage du tripotage que de la branlette, mais n’empêche que bientôt sa bite devint toute raide.
– Un malade d’exhibitionniste ! Me dit Anna.
– Je ne suis pas sûre, il ne nous regarde même pas. Objectais-je.
– Elle n’est pas mal sa bite ! Fais remarquer Carole, je la sucerais bien !
– Cochonne !
– Ben quoi ?
On a fini par ne plus le regarder… Et puis nous avons vu un blondinet à poil s’approcher de lui, manifestement les deux hommes ne se connaissaient pas.
Le blondinet esquisse quelques mouvements de masturbation devant « pain de sucre » qui lui répond par un signe de bienvenue.
Du coup blondinet s’accroupit saisit la bite de « pain de sucre » et se met à la sucer.
Gloup, gloup
– Non mais regarde un peu ces deux cochons, ça m’excite de voir ça ! Me dit Carole, pas toi ?
– Tu sais moi des mecs qui se sucent, je vois ça toutes les semaines.
De quoi, de quoi ? s’étonnera le lecteur qui n’a jamais lu mes aventures (quel dommage !), il me faut donc ouvrir une légère parenthèse.
Je suis donc Chanette (c’est mon nom de guerre). Celles et ceux qui m’ont déjà lu savent que j’exerce le métier (ben oui c’est un métier) de dominatrice professionnelle. Mes récits ne sont pas
des histoires de domination mais des récits d’aventures incluant de l’érotisme (et bien sûr aussi de la domination). Je suis de celles que l’on qualifie de MILF, fausse blonde et je plais.
Dans mon studio il est fort courant que j’aie deux, voire davantage de soumis en simultané. Alors je les « oblige » à avoir des relations entre eux. Pour certains c’est humiliant, et
comme ils viennent pour être humiliés tout le monde est content. D’autres y prennent manifestement un grand plaisir, je leur permets ainsi d’extérioriser une bisexualité souvent refoulée.
On peut maintenant reprendre le cours du récit
Carole et Anna matent la scène comme des cochonnes.
Blondinet stoppe un moment sa fellation pour offrir ses lèvres à « pain de sucre ». Curieux spectacle, je ne suis pas choquée, je serais mal placée pour l’être mais je me demande
commence « beau gosse » peut être attiré physiquement par ce bonhomme qui n’a pas grand-chose pour lui.
Et puis ce n’est pas un bisou de politesse. On peut voir leurs langues se croiser et se rencontrer sans relâche.
Blondinet tortille ensuite les tétons de son partenaire afin de la faire bien bander. L’autre à l’air d’apprécier et se pâme comme un canard devant un nénuphar. Le résultat est spectaculaire, sa
bite montre le ciel.
De nouveau, le blondinet prend le pénis de l’autre dans sa bouche et le suce vigoureusement. Je crois que « pain de sucre » adore ça parce qu’il pousse des gémissements assez rigolos.
Et ça continue… Il le prend à pleine bouche jusqu’au fond de sa gorge, il suce de ses lèvres le gland bien dodu et violacé. Il prend ses testicules dans sa main et les caresse, puis il insère
ensuite son index dans l’anus, qu’il fait aller et venir.
Pain de sucre gémit fortement sous l’effet de ce traitement, et soudain il pousse un jappement, il vient de jouir, le sperme lui gicle au visage, dans sa bouche et sur son cou.
Mes copines sont figées sur place, excitées comme des puces, à ce point qu’elles se tripotent la chatte réciproquement.
C’est au tour de « pain de sucre » de sucer la bite bandée comme celle d’un cheval, de son partenaire occasionnel.
Ça ne dure pas très longtemps, après quelques va-et-vient, Blondinet éjacule. « Pain de sucre » en reçoit plein sur le visage, il s’essuie avec les mains et se lèche les doigts en
soupirant de plaisir. Quel cochon !
Anna chuchote quelque chose à Carole et je les vois s’avancer vers « pain de sucre ». Qu’est-ce qu’elles vont nous faire comme bêtises ?
– Alors Papy, c’était bien ?
– Laissez-moi tranquille ! Répond l’homme, méfiant.
– C’est que ça nous a bien plus, ça nous a même pas mal excité ! Reprend Anna.
– Tant mieux pour vous.
– C’est juste dommage que vous ne soyez pas allé plus loin !
– Plus loin que quoi ?
– Je ne sais pas, il aurait pu t’enculer…
– Il ne me l’a pas proposé.
– T’aimes ça te faire enculer ?
– Mais enfin, qu’est-ce que ça peut bien vous faire ?
– C’est parce que on est vicieuse, très vicieuses !
– Ah ?
– J’ai envie de pipi ! Lui dit Anna, ça te plairait si je te pissais dessus.
Le mec n’en revient pas d’une telle proposition. Mais il n’est pas choqué, il y a peu de monde et personne à proximité immédiate.
– Je veux bien ! Finit-il par dire.
– C’est 20 balles lui répond Anna.
– Vous êtes des putes ?
– Ça nous arrive, oui. Et si tu veux que ma copine pisse aussi ça fera 30 euros en tout. Avoue que c’est donné, c’est du tarif vacances.
Alors j’ai vu « pain de sucre » sortir un peu d’argent de sa sacoche, Anna l’a enjambé au niveau de la bite et a commencé à pisser. Mais l’homme lui a fait signe de viser sa bouche. Pas
de problème il a reçu une bonne giclée, puis Carole a pris le relais.
Je vous dis, elles sont fadas mes copines !
Le type a ensuite quitté les lieux en se dirigeant vers les douches publiques.
Et voici Valentin qui revient de sa balade, il a l’air ravi.
– Te voilà, toi, t’as raté…
Et Carole en entreprend de lui raconter ce qui vient de se passer?
– Et toi t’as fait quoi ?
– Je suis allé jusqu’au bout là-bas, moi aussi j’ai vu des choses intéressantes
– Raconte
Le récit de Valentin
Il y a une espèce de crique un peu plus loin, avec la marée on est obligé d’entrer dans l’eau pour l’atteindre mais ça vaut le coup de se mouiller.
Je vois d’abord un couple, la femme est sublime, la trentaine, toute bronzée, des seins magnifiques, une belle frimousse, bref, tout
pour plaire ! Elle est en train de sucer la bite de son copain en faisant des gloup-gloups bien bruyants.
Le mec m’interpelle :
– Tu veux baiser ma femme ?
Je ne sais pas pourquoi je n’ai pas répondu, en fait j’avais envie d’aller voir plus loin…
– Tu ne sais pas ce que tu perds ! Me dit le mec pendant que je m’éloigne.
Je me dis qu’éventuellement j’aurais toujours l’occasion de revenir et je continue à avancer, je croise un couple, en fait une dame pas toute jeune qui se fait prendre en levrette par un bel
étalon noir.
J’aperçois plus loin comme un attroupement d’une quinzaine de personnes, je m’approche, je me faufile. Au milieu du cercle deux belles nanas d’origine asiatiques se déchainent. La première est en
train de chevaucher un type tandis que sa copine suce deux bites alternativement.
Mais le spectacle est aussi parmi les voyeurs, le type sur ma droite se branle frénétiquement, une bien belle bite bien droite et bien bandée, le gland luisant. Je n’arrive pas à détacher mon
regard de ce bel organe tout en louchant vers les deux asiatiques.
– Elle te plait ma bite, on dirait ? Me dit le branleur.
– Elle est belle !
– T’aimes les bites ?
– J’aime bien ce qui est beau.
– Touche-la si tu veux !
Il y a des choses qu’il ne faut pas me dire deux fois, ma main s’avance et caresse ce joli membre. Je le sucerais volontiers, mais sera-t-il d’accord ? Il suffit de demander.
– Je peux te sucer ?
– T’entends ça, Jasmine, monsieur veut me sucer la bite.
Ben, oui, je n’avais pas réalisé que sa copine lui tenait compagnie, du coup j’ai peur qu’elle le prenne mal.
– Laisse tomber, je demandais ça comme ça ! Balbutiai-je en esquissant un mouvement de repli.
– Non, non, reste, on va faire ça là-bas…
Là-bas, c’est dix mètres plus loin à l’ombre d’un gros rocher biscornu.
– Ça m’excite de voir mon mec faire des trucs de pédé ! Me dit Jasmine.
Elle est mignonne Jasmine, le type méditerranéen, cheveux longs et bouclés, regard d’ange. J’espère que je pourrais au moins la caresser.
Le type s’adosse contre le rocher, je me baisse et après quelques caresses manuelles, j’embouche sa jolie bite. Je me régale, essayant de tout mettre dans la bouche, puis léchant la verge et les
couilles.
– Ne me fais pas jouir ! Me dit-il.
– On arrête, alors ? Dis-je.
– T’aimes bien qu’on t’encule ? Me demande Jasmine.
– Ma foi, quand c’est bien fait…
– Tu veux ? Demande le mec.
– Pourquoi pas, t’as de capotes ?
Ils en ont ! J’adore ces gens qui se rendent à la plage naturiste avec des capotes dans leur bazar !
Je pivote donc, offrant mon cul à la vue de ce couple atypique.
– Oh quelles belles fesses ! Me dit Jasmine. T’as dû en pendre des bites, non ?
– Pas tant que ça, faut trouver l’occasion…
– Qu’est-ce que tu nous racontes ? Les occasions ça se provoque, il y a des boites, des clubs, des saunas…
Pas envie de la contrarier, je devine qu’elle a envie de détails salaces alors allons-y.
– Oui c’est vrai, le sauna j’en ai de bons souvenirs.
– Tu as dû t’y faire enculer à la chaine…
– Oui, c’était grandiose, j’ai pris trois bites dans le cul les unes après les autres et pendant ce temps-là je suçais.
– Hum, ça m’excite tout ça ! Tu sais ce qu’on va faire, tu vas me lécher la chatte pendant que mon copain va t’enculer.
Pourquoi pas, je me demande seulement de quelle façon nous allons procéder ? Mais Jasmine a de l’imagination, elle grimpe sur le rocher et écarte ses jambes de façon à ce que sa chatte soit
devant mon visage.
Et c’est parti ! Le type me lèche un peu le cul afin de lubrifier l’endroit, puis d’un vigoureux coup de rein fait pénétrer sa bite dans mon fondement avant d’entamer une série d’allers et
retours. Pendant ce temps ma langue s’approche de la chatte de Jasmine. Elle a beaucoup de poils, elle n’est pas hirsute mais disons que sa toison est davantage fournie que la moyenne.
Ça sent un peu le pipi, mais ça ne me dérange pas, j’écarte tout ce fouillis pour laisser passer ma langue et je lèche, c’est tout mouillé là-dedans. En même temps je lance mes mains en avant
pour lui caresser les seins, Jasmine ne proteste pas, mais réagit au quart de tour à mes coups de langues et commence à gémir. C’est une rapide la dame. Ma langue vise le clito, elle hurle comme
une damnée, elle va réveiller toutes les mouettes…
Elle descend de son perchoir et son copain qui n’avait pas l’intention de jouir sort de mon cul. Je me retrouve un peu con parce que pour ma part j’aurais bien joui.
– Allez, bonne fin de journée ! Me dit l’homme tandis que Jasmine m’adresse un sourire muet.
Je retourne vers le groupe entourant les deux asiatiques qui baisent avec tout le monde. Et vas-y que je suce, et vas-y que j’offre ma chatte et mon cul. Mais à ce rythme-là il ne va plus rester
personne de disponible…
Ben si, il y a moi, l’une des deux m’attrape la main et m’entraine au milieu du cercle. Elle ne me demande rien et d’autorité elle me suce, elle n’a pas grands efforts à effectuer pour me faire
bander, c’était déjà fait. Elle sort une capote de je ne sais où, me l’enfile tandis que sa collègue s’est positionnée en levrette.
– Fuck ! Fuck my sister !
Pas besoin d’avoir été à Oxford pour comprendre. Je m’approche tandis que la fille s’écarte les fesses.
– In my ass !
Elle veut donc que je l’encule, alors allons-y ! Le seul souci c’est qu’étant super excité j’ai peur d’être trop rapide.
Mais j’ai réussi à tenir plus de cinq minutes, c’est déjà ça, et j’ai aussi réussi à faire miauler la fille, ce qui a satisfait mon petit égo.
Je décule, la fille ne fait plus attention à moi, et se jette dans les bras de sa frangine et les voilà parti pour un soixante-neuf final. Elles sont adorables.
Fin du récit de Valentin.
– Et après, t’as fait quoi ? demande Carole
– Ben après je suis rentré.
– Faudra qu’on aille y faire un tour tous ensemble demain ? Propose Anna
– Oh oui, oh oui ! Approuve Carole
Nous avons quitté la plage vers 17 heures. Anna a voulu déguster un sorbet. Alors allons-y pour le sorbet et nous nous sommes attablées en terrasse
On papote, on fait passer le temps et voilà que soudain juste devant nous se pointe, devinez qui ? L’homme à la tête en pain de sucre.
– Euh, bonjour ! Nous dit-il.
– C’est à quel sujet ? Répond Anna d’un air dédaigneux.
– Je peux vous déranger cinq petites minutes ?
– Non !
– Juste cinq minutes !
– J’ai dit non ! Faut vous le dire en quelle langue ?
– Tout à l’heure vous avez évoquez, comment dire… vos petit extras…
– Bon écoute pépère tu vas dégager ou j’appelle les renforts ! S’énerve Anna.
– Attends, vous avez entendu quoi ? Intervins-je.
– Vous évoquiez vos activités occasionnelles.
– Et alors ?
– Alors ça m’intéresse.
– Bon, écoute mon vieux, on est en vacances, alors tu nous les lâches et tu vas voir ailleurs !
– C’était pas pour baiser ! Murmure-t-il en se reculant très légèrement.
– C’était pour quoi, alors, pour repeindre ton plafond ?
– Non, pour briser ma solitude.
Gloups
Et soudain j’ai eu pitié de ce pauvre type, genre refoulé, méprisé par les femmes, homosexuel par substitution
– Ce serait quoi le deal ? Demandais-je.
– Mais enfin Chanette, tu fais quoi, là ? Proteste Anna.
– Je ne fais rien, je me renseigne.
– 200 euros pour une heure ! Dit-il. Sans baise, je ne vous toucherais même pas.
– Chacune ?
– Non quand même pas !
– Ce sera sans moi ! Tiens à préciser Anna.
– Et on ferait quoi ? Demandais-je.
– Rien, vous me tiendrez compagnie, vous me parlerez, je suis sûr que vous avez des choses super intéressantes à raconter.
– Bon, allez faire un tour et revenez dans un quart d’heure, je vous dirais.
Anna et Carole me regardent avec des yeux tout ronds, elles ne me comprennent pas.
– Tu joues à quoi ? Me demande Carole
– Je ne joue pas, si je peux lui apporter un peu de chaleur humaine, ben ce sera ma B.A !
– Si tu le fais, ce sera sans moi, Chanette. Me répète Anna.
– Je sais tu me l’as déjà dit. Mais je ne t’oblige à rien, tu fais ce que tu veux et moi aussi. Et toi Carole ?
– Ça ne m’intéresse pas !
A suivre
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