Samedi 4 novembre 2023 6 04 /11 /Nov /2023 07:29

La blondasse de la plage par Jean-Sébastien Tiroir
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La blondasse de la plage

Elle se faisait dorer sur le sable brulant
Les seins nus, les bras ballants
Un grande perche, blonde platinée
Lèvres charnues et joli nez
Et plein de bijoux
Un peu partout
– Vous ne m’avez jamais vu ?
M’interpella la belle inconnue
– Vous ne seriez pas si troublante
– J’aurais passé mon chemin en dilettante
– Voici une réponse flatteuse
– Et qui me rend heureuse
– Posez-vous à mes cotés
– Nous allons papoter
Et là, j’ai vu la bosse dans son bas de maillot
Une bosse en forme de petit tuyau
– Hi, hi, je suis une fille à braquemart
– Je vous ai bien eu, mon gaillard !
– Et si je vous disais que cela ne me dérange pas
– Alors venez me sucer chez moi , c’est à deux pas.

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Par vassilia-x-stories - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
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Lundi 30 octobre 2023 1 30 /10 /Oct /2023 20:36

Jennifer et les schtroumpfettes par Geneviève01

 

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Bonjour du Québec ! C’est Jennifer! J’ai 18 ans et j’ai une belle histoire à vous raconter.

Depuis toujours, je fantasmais que mon milieu de travail se transforme en orgie et ça s’est réalisée hier soir. Il était 10 heures du soir et nous étions 7 dans la boulangerie. Notre quart de travail était sur le point de se terminer.

Soudainement, je ressentis une main voyageuse s’approchant dangereusement de mes miches. Je me retournai et vu Mike tout excité qui commençait à me taponner. Le désir coulait en moi et à travers ma petite culotte. Ne pouvant résister au péché de la chair, j’offrais ma bouche à un bon « french », il me bécota goulûment. Pendant que nous nous embrassions, j’ai sentit son petit pain devenir baguette. Je baissai sa braguette pour le laisser lever à tous vents. Je pris son membre et commençai à le lui sucer.

La contremaître, Vanessa, voyant le manège, s’approcha et commença à me licher l’entre fesses. À force d’aspirer, Mike me beurra la cavité buccale et j’avalai sans dédain et nettoyai le tout avec ma langue pour recommencer. Puis, Isabelle arriva, se déshabilla rapidement et Mike commença à lui humecter la chatte et je taponnai les seins d’Isabelle au même moment.

C’est alors qu’arrivèrent Francine, Mélissa et Monica. Elles se joignirent joyeusement à nous quatre. Mike nous demanda de lui faire un show de lesbiennes pour son fun. Nous avons accepté avec plaisir. Francine me déversa sur moi et sur Isabelle un pot complet de confiture aux bleuets, il fallait licher le dégât. Les quatre autres se roulèrent dans les bleuets. Monica me licha le jus qui était sur mes seins et en même temps, Mélissa commença à licher le petit minois de Monica. Pendant ce temps, Mike se branla devant le spectacle. Disant qu’il était fatigué, Vanessa alla terminer le travail. Francine licha la chatte de Mélissa, moi je lichai celle de Francine. J’étais excitée comme jamais. Je tâtais tous les seins qui passaient. L’odeur mélangée des bleuets et du jus de chatte m’enivrait. Nous ressemblions à des schtroumpfettes en pleine orgie. On se faisait des cunnilingus successivement. Comme je trouvais que les autres commençaient à ralentir, je me dirigeai vers Mike pour qu’il m’encule. Je bondissais de joie sur la verge de Mike qui lui, me tâtais les seins. Vanessa commença à m’embrasser et à (elle aussi) me masser les seins d’une main et de l’autre elle me flattait la chatte. Les quatre schtroumpfettes se dirigèrent vers notre trio et commencèrent à nous embrasser. Mike commença à gicler là, sur nous six.

 

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Nous consommâmes le liquide blanchâtre comme si cela était notre dernier repas. Puis, nous avons crié dans un râle de jouissance tonitruant. Le bruit de notre orgasme rebondit dans toute la boulangerie. Nous nous sommes couchées sur le sol et nous nous sommes lichées délicatement. Nous nous sommes dirigées vers la douche pour nous laver, mais ça c’est une autre histoire…

 

Première publication sur Vassilia, le 25/03/2001

Note du Webmaster : Signalons aux lecteurs peu habitués aux québécismes que la confiture de bleuets dont il est question ici n’est rien d’autre que de la confiture de myrtilles (merci à Joy pour cette indispensable précision)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Années 1990
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Jeudi 19 octobre 2023 4 19 /10 /Oct /2023 15:24

Les tapineuses de la route par Enzo Cagliari – chapitre 2 – Virginie
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Résumé du chapitre précédent :

Voulant bénéficier des services d’une prostituée, je tombe sur Adeline, la meilleure amie de ma fille. Au moment de la quitter, je vois descendre d’une camionnette, ma propre fille Virginie. (voir Les tapineuses de la route - 1)

Virginie ne m’a pas vue et s’avance comme une fleur vers sa camarade. Celle-ci lui fait des signes voulant la dissuader de s’approcher mais elle ne comprend pas et continue d’avancer.

Je me recroqueville dans ma voiture et met le contact.

Trop tard, je cale et Virginie s’avance imprudemment.

Elle me reconnait, pousse un cri.

– Oh !
– Qu’est-ce que tu fous là ? Tempêtais-je en baissant la vitre
– Ce n’est pas ce que tu crois… commence-t-elle
– C’est quoi alors ?
– Je venais dire bonjour à Adeline…
– Dans cette tenue ?

Eh oui, minijupe vraiment mini, haut déboutonnée sur un soutien-gorge à balconnet. Pas vraiment une tenue de jeune fille sage !

– Je voulais juste m’amuser ! Bredouille-t-elle
– Tu t’amuses à faire la pute, c’est cette trainée d’Adeline qui t’as entrainée ,
– Dis donc, la trainée, tu as été bien content de la trouver, si je n’amuse.

Touché !

– Mais pourquoi tu fais ça ?
– Et toi pourquoi tu vas aux putes ?

On ne va pas s’en sortir.

– Je ne suis pas parfait !
– Ben moi non plus et d’abord je ne fais de mal à personne.
– C’est pour le fric ?
– Même pas ! Mais je ne crache pas dessus.
– Alors ?
– C’est un fantasme, j’aime me sentir pute, j’aime que des mecs se dise, elle est tellement jolie que je n’hésite pas à payer pour faire l’amour avec elle.
– Eh bin ! . Et tu en as d’autres des fantasmes comme ça ?
– Ah, si tu savais ,
– Je m’attends au pire !
– Mais je te ne dirais pas !
– Tu te rends compte, si ta mère apprenais ça ?

Elle éclate de rire ! Qu’est-ce que j’ai dit de drôle ?

– Tu ne va pas me dire qu’elle est au courant ? Repris-je
– Non, elle n’est pas au courant.
– Ah, tant mieux !
– Bon alors maintenant à toi de me dire ce que tu vas faire, je suis majeure, donc j’ai parfaitement le droit de me prostituer. Donc, soit tu fais avec, soit tu me fous à la porte.
– Je ne te fous pas à la porte, mais tu arrêtes tes conneries.
– Non, voyons les choses autrement, je ne serais pas ta fille et tu m’aurais vu fringuée comme je suis, tu m’aurais invité à monter dans la bagnole ?.

En voilà une question ! Et la réponse est « oui », mais je ne vais pas lui dire.

– Ben alors tu me réponds ?
– Je ne réponds pas aux questions idiotes.
– Alors renie-moi, dis-moi que tu je ne suis plus ta fille !
– Quel intérêt ?
– Pour que les choses soient claires.
– Non, je ne peux pas faire ça !
– Dis le quand même.
– Mais non !
– Dis simplement que je ne suis plus ta petite fille bien sage !
– Oui ça je peux le dire
– Ben dis-le
– Tu n’es plus ma petite fille bien sage

Je vois alors ma fille comploter à voix basse avec Adeline. Qu’est-ce qu’elles foutent ?,

– Ouvre les deux portières, on va discuter tous les trois… entre adultes responsables.

putes routes2
Tu parles d’adultes responsables ! Mais j’accède à leur demande, Adeline vient s’assoir à ma gauche, Virginie à ma droite.

– Bon je vous écoute les filles !
– Je parie que tu bandes encore ! Me dit Adeline
– Hein ?

Et la voilà qui me tripote la braguette.

– Mais arrête de me tripoter.
– D’accord, alors embrasse-moi les seins ! Répond-elle en me les foutant sous le nez.

Quand un téton érigé se balade à trois centimètres de votre bouche, qu’est-ce que vous faites, vous ? Parce qu’à cet instant ce n’est plus le cerveau qui commande, ni la raison, ce sont les hormones, alors on attrape cet insolent téton et on suce et par effet de contagion la bite de met à bander.

Et d’ailleurs une main se repose sur ma bite, mais cette fois ce n’est pas la main d’Adeline, mais celle de Virginie.

– Mais Virginie tu es malade !
– Mais non, tu m’as bien dit que je n’étais plus ta fille bien sage, je suis juste une pute et je veux te faire plaisir!
– Mais…

J’ai la tête qui tourne, ma fille m’a choppé la bite et la mise dans sa bouche, je suis en train de me faire faire une pipe par ma propre fille ! Je rêve ou quoi. Putain qu’est-ce qu’elle suce bien ! Je ferme les yeux, quand je les rouvre c’est pour constater qu’elles sont deux à me sucer. Et c’est bon

J’éclate mon sperme qui atterrit sur le visage des deux coquines.

Au lieu de s’essuyer avec un kleenex elles se lèchent réciproquement le visage, mais quelles salopes ces deux là !

– Tu vas le dire à Maman ? Me demande Virginie.
– Non !
– Tu sais elle a les idées larges, parfois je lui lèche le minou, elle adore ça et moi aussi !

Oups !

 Tu racontes n'importe quoi ?
 Tu n'auras qu'à lui demander !

Ben non, je ne vais pas lui demander, des images défilent dans ma tête notamment celles de son intérêt jamais démenti pour les jolies femmes. Se pourrait-il que… Mais bon je suis assez mal placé pour lui en faire reproche.


Un peu plus tard

– Un demi comme d’habitude Monsieur Martin ?
– Non un double whisky sans glaçon !

Trop de choses dans ma pauvre tête, je n’arrive pas à trier.

Je ne suis pas parvenu à trouver le sommeil cette nuit, le lendemain matin j’ai pris mon petit déjeuner en face de Virginie, on a fait comme s’il ne s’était rien passé et puis quand mon épouse s’est éloigné :

– Tu fais quoi aujourd’hui ?
– Comme d’hab’ !
– Je passerais peut-être te dire bonjour !
– Comme tu veux, mais ce sera 50 euros.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Enzo Cagliari
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Jeudi 19 octobre 2023 4 19 /10 /Oct /2023 15:20

Les tapineuses de la route par Hyrem32 – chapitre 1 – Adeline
(proposé par Enzo Cagliari)

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Cette histoire est arrivée il y a quelques années. J’étais commercial dans une boite de second œuvre du bâtiment, marié, 2 enfants, une vie rangée en quelque sorte, sauf peut-être cette habitude d’aller me faire sucer par des prostitués à l’occasion d’évènements positifs pour moi, une belle vente ou une promotion par exemple. Rien de compulsif mais une agréable récréation.

Hé oui j’avoue. J’aime particulièrement me faire sucer, et avec des pros, je n’ai pas l’impression de tromper ma femme. J’avais ainsi trouvé une sorte d’équilibre.

Bref.

J’habitais dans le sud de la France, et je connaissais quelques petites routes bien fréquentées. Ce vendredi, je venais juste de recevoir ma nouvelle voiture de fonction, et quoi de plus naturel que de fêter ça ? Donc je pris la direction d’un petit coin sympa. Il faisait chaud et beau, on entendait les cigales..

Après avoir fait un aller et retour rapide sur cette route, j’ai repéré quelques demoiselles, toute jolies et court vêtue, qui ferai très bien mon affaire en cette fin d’après-midi. Je m’arrête donc derrière une voiture, la fille est penchée à la portière, surement en train de détailler ses prestations. Elle porte un mini short et des bottes façon cuissardes et un petit haut en jeans. De là ou je suis, il faut avouer que sa silhouette est superbe, et je sens monter en moi cette excitation bien particulière, prélude à chacune de mes rencontres.

Voilà elle se relève, l’affaire ne s’est pas conclue. Petit coup d’œil dans le rétroviseur, j’avance la voiture tout en baissant la vitre passager.

– Bonjour, c’est 50 euros la……..

Et là, le choc mutuel ! A la même seconde, nous venons de nous reconnaitre.

Adeline, une amie de ma fille, penchée à ma portière, une poitrine à moitié offerte soutenue par un soutien-gorge rouge. Adeline qui doit avoir 20 ans, comme ma fille, et que je connais depuis des années. Vous dire exactement tout ce qui me passe par la tête à cette seconde est impossible. Un mélange d’excitation je l’avoue, de gêne aussi, de curiosité, de surprise bien sûr. C’est un choc dans ma tête, tout se bouscule. Un vrai bordel !

– Bonjour Monsieur Martin.

Voilà, la messe est dite. Trop tard pour reculer. Je suis grillé, mais grillé de chez grillé.

– Monte !

C’est moi qui ai dit ça ? Je ne réfléchis plus, je suis en mode reflexe.

Et la comme dans un film, la portière qui s’ouvre, ma passagère qui s’assoit, ses cuisses découvertes entre le short et les cuissardes. Nos regards qui se fuient .

– Prenez le petit chemin à droite là. Là c’est bien garez-vous.

Sa voix est fluette, timide, gênée. On sent à la fois ce malaise, et une force de caractère qui l’oblige à faire face à cette situation inattendue. C’est elle qui décide, qui mène le jeu.

– Bon, la situation est un peu glauque, mais on est chacun là pour quelque choses non ? dit-elle avec un ton agressif.

Elle s’est tournée vers moi. 20 ans, brune, assez grande, ses seins qui semblent vouloir s’échapper de ce petit haut, bien ronds, opulent. Un visage fin, des lèvres ourlées juste comme il faut, luisante de gloss. Deux yeux titrant sur les gris, provocateurs, fiers.

Elle est là, offerte contre un billet de 50, et moi qui commence à reprendre mes esprits. Mon trouble se transformant en quelque chose de plus excitant, vicieux, comme si mes plus bas instincts remontaient soudainement à la surface. Vous savez ces moments où Monsieur Hyde remplace le docteur Jekyll.

– Tu as raison… tiens tes 50, mais t’enlève ton haut.

L’échange est froid, mécanique, une bête transaction commerciale, sans chaleur. L’accord est tacite, non exprimé. Nos silences respectifs sur cet épisode contre une neutralité mutuelle. Je paye, tu suces on oublie.

Sans un mot elle fait glisser son haut, enlève son soutien-gorge, dont elle n’a pas besoin franchement. Moi je recule mon siège, j’ouvre mon pantalon, le baisse, ainsi que mon caleçon. Elle ne dit pas un mot et se penche, écrasant ses seins contre ma cuisse.

J’ai fermé les yeux, les images se bousculent dans ma tête. Les différentes femmes qui m’ont sucées, enfin celles dont je veux bien me rappeler, puis son souffle sur mon gland à moitié dur, et la douceur de sa langue, la chaleur de sa bouche.

Plus rien n’existe à ce moment que cette chaleur, que ma main qui se pose sur son dos, la souplesse de sa peau, sa douceur. Puis, petit à petit, la réalité qui refait surface. Sa bouche qui monte et descend sur ma queue qui se dresse maintenant bien raide. Ma main qui remonte sur sa nuque.

– Oui va y pompe moi bien !
– Hummm t’aimes ça, hein ?

putes routes1
J’impose le rythme, plus lent, j’ai juste envie que ça dure.

Sa douce main caresse mes couilles, une vraie pro. Depuis combien de temps avale-t-elle des bites comme ça? Pourquoi le fait-elle ? Ma main file sur ses seins, que je commence à malaxer. Elle grogne un peu, ses tétons sont durs. La situation l’excite ou c’est juste une réponse physique à ma caresse ?

Et puis merde après tout je suis venu me faire vider les couilles. J’accélère le rythme, ma main se crispe sur son sein. Je sens ce divin picotement, dans un éclair je prends conscience qu’on a même pas mis de capote… trop tard. Ma semence monte, éclate, j’appuis sur sa tête poussant un grognement animal. Les jets se succèdent dans une éjaculation particulièrement abondante. Je sens la contraction de sa gorge quand elle avale, ses lèvres bien serrées sur ma tige, sa langue qui se promène sur mon gland hyper sensible. Les secondes s’écoulent, le temps se calme, elle dégluti une dernière fois, et se relève.

Et là, en une demi-seconde, son visage perd toute expression, se fige. Le sang semble refluer de ses joues, ses lèvres s’entrouvrent. Son regard se perd au dehors. Je tourne la tête dans la même direction. A quelques mètres, une autre fille descend d’une camionnette, petite jupe écossaise, des grandes chaussettes beiges qui montent à moitié cuisse, un caraco en coton blanc qu’elle reboutonne. Blonde, jolie comme un cœur… C’est ma fille Virginie. !

Ce texte a été retrouvé dans sa rédaction d’origine, publié sous le titre « Du paradis a l’enfer » nous l’avons ici juste corrigé de quelques fautes mineures. Il comportait une suite que nous n’avons pas publié, étant non conforme à notre charte (il était question de chantage…) Nous avons demandé à Enzo de nous rédiger une suite inédite : Les tapineuses de la route  - 2

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Enzo Cagliari
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Jeudi 19 octobre 2023 4 19 /10 /Oct /2023 11:04

Un train en été par Guy01

 

Voy

Je suis assis dans le compartiment d’un train en été, près de la fenêtre. Il
n’y a personne avec moi jusqu’à ce que le porte s’ouvre sur une belle femme,
grande et brune. Ses cheveux sont courts et noirs. Elle a la quarantaine.
Elle porte une jupe noire à mi-jambe, des sandales noires, un chemisier
blanc assez léger.

Elle s’assied devant moi sans me regarder, l’air sévère, croise les jambes
et laisse son regard se perdre dans le paysage.

J’ai poussé mes jambes pour lui laisser de la place. Je me cale dans la
banquette pour continuer ma sieste.

Mais je jette un coup d’oeil sur elle avant de me rendormir. Ses genoux
blancs brillent juste au bord de sa jupe. Ses cheveux sont agités par l’air
qui passe par la fenêtre entrouverte. Son chemisier aussi frissonne. C’est
un tissu léger, un peu transparent. Je crois voir au travers la pointe de
ses seins qui se dessine. J’ai l’impression qu’elle n’a pas de soutien
gorge. Elle ne me regarde toujours pas, m’ignore et je ferme les yeux.

Pour être bien assis, j’ai les mains dans les poches de mon jean noir. Dans
un demi-sommeil, des images me passent par la tête, et j’imagine son visage
en face de moi, ses lèvres épaisses, ses grands yeux noirs. Je revois la
marque de ses seins sous sa chemise. Mes doigts sous le pantalon sentent mon
sexe qui durcit doucement à cette image. Je le touche doucement à travers le
tissu de ma poche. Je sens le gland qui devient gros et je le caresse
doucement. J’allonge les jambes pour permettre à mes doigts d’aller plus
loin, de couvrir mon sexe qui grossit jusqu’au milieu de sa longueur. Au fur
et à mesure qu’il s’allonge, je reprends conscience, et je prends conscience
aussi de sa présence. J’arrête de bouger mais je laisse mes doigts contre
mon sexe.

J’ouvre les yeux et je m’aperçois alors qu’elle est en train de me regarder.
Elle a mis ses mains contre sa poitrine. Elle s’aperçoit que je suis
réveillé, mais elle continue de regarder le haut de mon pantalon. Elle me
regarde dans les yeux et bouge un peu ses doigts sur sa poitrine.

Je me sens tout à coup très excité et, moi aussi je pose mes doigts sur mes
tétons qui sont tout durs. Je déboutonne deux boutons de ma chemise et je
passe ma main à l’intérieur. Mon index atteint mon téton gauche et
l’effleure doucement. C’est un geste que je fais souvent quand je suis seul
devant ma glace qui m’excite beaucoup.

Elle continue à me regarder fixement et appuie un peu sur ses seins du bout
de ses index. Alors je m’enhardis et ouvre ma chemise. De chaque main je me
caresse les pointes de mes tétons qui sont très durs. Je la vois elle aussi
qui se pince ses tétons à travers le tissu. Elle me regarde encore en
léchant ses lèvres de sa langue. Je vois ses jambes qui sont décroisées et
qui se frottent doucement l’une contre l’autre.

Je me dis alors qu’elle a envie que je continue et je pose ma main sur mon
sexe au travers de mon pantalon. Je frotte un peu et je le sens qui est très
dur. Je déboutonne tout doucement mon jean pour pouvoir glisser ma main sur
mon slip. Je sens le tissu qui est tout mouillé. J’ai envie de libérer mon
sexe de le voir à l’air libre. Je la regarde devant moi qui continue à
frotter ses jambes. Alors je baisse mon slip et je sors mon sexe. Je
l’entends qui gémit. Je la vois qui ouvre elle aussi sa chemise et me montre
ses petits seins tout ronds. Ils ont des tétons très longs et très noirs
qu’elle caresse du bout des doigts. Elle prend ses seins en entier dans sa
main en se léchant les lèvres.

Ruby03bMoi je n’en peux plus de voir ça. Je prends mon sexe entre les
deux doigts de la main droite et je tire sur la peau pour bien sortir mon
gland qui est tout gonflé et tout rouge. Il y a du jus qui en sort. J’en
prends un peu sur le bout des doigts et je le mets sur mes tétons qui sont
tout doux à caresser. Elle se frotte les jambes en gémissant et elle pince
ses seins très fort. Moi je continue à me caresser le sexe. C’est mon rêve
de me masturber devant une femme. Elle a l’air d’aimer cela. Elle me regarde
droit dans les yeux pendant que que j’ai ma bite bien serrée dans ma main.
Je caresse le gland avec de la salive que j’ai mise dessus pour que cela
glisse bien. J’aime qu’elle me voie faire cela. Elle avance sa main entre
ses cuisses et la plonge à l’intérieur en gémissant. Je vois qu’elle
continue à regarder ma bite en train d’être masturbée par moi. Elle écarte
ses jambes et soulève sa jupe au moment où je suis sur le point de jouir.
Elle s’en aperçoit, et au moment où elle va montrer son sexe elle me dit

 » Vas-y ! Jouis! »

Et elle lève sa jupe. Elle n’a pas de culotte. Je vois son sexe bien écarté
avec ses poils au-dessus. Il y a de l’humidité qui coule sur la banquette.
Elle pose son doigt sur son clitoris et moi je n’en peux plus. Je gémis et
je la vois qui me regarde. Je laisse mes yeux dans les siens et je tire
fort, fort sur mon sexe qui explose. Elle me fixe toujours pendant que tout
mon sperme jaillit sur mon ventre.

Alors elle se penche vers moi, prend mon sperme sur mon ventre et caresse
ses seins avec lui. Sa peau brille. Elle en reprend et enfonce encore ses
doigts entre son sexe et frotte elle aussi en écartant complètement les
jambes; Je la vois tout à coup qui tremble, qui ferme fort ses cuisses et
qui garde sa main serrée entre ses jambes en fermant les yeux et en
gémissant. Elle tremble longtemps comme cela de plaisir, puis elle ouvre les
yeux et me regarde encore longtemps avec un beau sourire, qui luit de toutes
ses dents.

Guy

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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