Samedi 27 janvier 2024 6 27 /01 /Jan /2024 11:31

Martinov 26 – Les sculptures incas – 6 – Plaisirs extrêmes par Maud-Anne Amaro
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Béatrice revient après s’être lavé les mains et recoiffée.

« Et maintenant l’estocade ! »

– A ta santé ! T’aurais pas une cigarette, j’ai oublié les miennes dans la voiture !
– Désolé, je ne fume pas !

« Donc ça confirme ce que je pensais, il sous-traite ses conneries. Mais ça ne change rien au problème, c’est bien lui le responsable ! »

– Le nouveau propriétaire s’est plaint auprès de l’agence de la présence de reproduction de bas-relief incas au fond de son puit et ailleurs aussi.
– Des bas-reliefs incas au fond d’un puit ? Il est malade ce mec !
– Et le gars de l’agence lui a répondu que ces bas-reliefs n’avaient pas été répertoriés lors de l’état des lieux et que cette plaisanterie ne pouvait être que votre œuvre !
– Mais il est complètement con, ce mec, je n’ai rien à voir avec les bas-reliefs incas, c’est quoi cette histoire ?
– Je les ai pris en photo, je vais vous montrer.

Béatrice lui montre la photo stockée sur son téléphone portable.

Mangel les regarde sans manifester une quelconque émotion.

– C’est quoi ? Des moulages ? Demande l’homme.
– Oui !
– Et c’est pourquoi faire ?
– Justement j’aurais aimé savoir. Vous vous intéressez un peu aux civilisations précolombiennes ?
– Aux quoi ?

« Je n’y crois pas ! Il ne sait même pas ce que c’est ! »

– Je veux dire les Mayas, les Incas, les Aztèques ?
– Ah oui, comme Tintin dans le Temple du Soleil ?
– C’est ça !
– Ben non ce n’est pas mon truc !
– Et les sciences occultes, les voyantes, tout ça, ça vous branche ?
– Je pourrais vous répondre que ça ne vous regarde pas, Et d’ailleurs ce sera ma réponse, ça ne vous regarde pas !
– Je demandais ça comme ça, parce que voyez-vous une diseuse de bonne aventure s’est pointée chez les Chamoulet en tenant des propos incohérents.
– Mais quel rapport avec le reste ?
– Elle leur a dit que l’endroit était « sacré » et que s’ils ne déménageaient pas, des esprits vendraient les tourmenter !
– Ça confirme ce que je pensais, ce Chamoulet n’a pas toute sa raison, Le maire me parlait de lui l’autre jour, il a fait venir les gendarmes pour une personne qui serait tombée dans le puit, quand ils sont arrivés sur les lieux, il s’est rétracté en racontant n’importe quoi !

Depuis quelques minutes, Béatrice cherche l’emplacement de la bibliothèque, avant de se rendre à l’évidence, il n’y en a pas ! Quelque chose lui échappe et ne voit pas bien comment avancer !

– Une question indiscrète, Monsieur Mangel, vous aimez lire ?
– Je ne lis plus, pour mon anniversaire ma fille m’a fait cadeau des œuvres complète de San-Antonio, j’ai même pas commencé…

Béatrice n’a plus aucune ressource, cet entretien est un échec et elle s’apprête à quitter son interlocuteur, quand contre toute attente, c’est Mangel qui rebondit :

– Vous pouvez me montrer encore une fois la photo de tout à l’heure.
– Bien sûr, voilà…
– C’est marrant, ça me rappelle quelque chose, mais quoi ?
– Cherchez bien, ça m’intéresse…
– Ah si ça y est, ça me revient, au dernier vide-greniers, il y avait un type qui vendait des trucs comme ça… des statuettes, des moulages…
– Et vous pourriez me dire qui est le type en question ?
– Désolé ma petite dame, mais je ne suis pas une balance !

« Merde, si proche du but … »

– O.K. Alors je vous propose autre chose, on va jouer cartes sur table !
– C’est comme vous voulez, mais je ne vous promets rien !
– J’ai le droit d’essayer ! Donc je vais déjà vous rassurer : votre kiné n’est pas souffrante et elle viendra vous visiter cet après-midi comme prévu…
– Ça je l’avais un peu deviné !
– Deuxième chose, je travaille dans un cabinet de détective privé, le type de l’agence ne m’a jamais demandé de faire quoi que ce soit, et ce n’est pas lui me paye…
– De mieux en mieux… C’est donc Chamoulet ?
– Peut-être bien qu’oui, peut-être bien que non., si vous voulez vraiment le savoir, balancez-moi le nom du vendeur de statuettes.
– Ni comptez pas !
– Juste un indice !
– Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise ? Le gars est un faussaire, on ne vend pas des statuettes antiques dans un-vide grenier, ce sont des faux ou des imitations. Je suis allé il y a deux ans en Egypte, le guide nous avait mis en garde en nous expliquant qu’on allait nous proposer des statuettes égyptiennes de l’antiquité, mais qu’en fait ce serait des faux fabriqués juste la veille dans des caves du Caire.
– C’est ça votre indice ?
– Oui et c’est avec ça que vous trouverez, j’en suis sûr !
– Donc je dois chercher un faussaire qui vend des statuettes à la brocante, c’est ça ?
– Tout à fait !
– Si vous êtes sûr que je vais trouver, pourquoi ne pas me faire gagner du temps…
– C’est une question de principe ! Et ce n’est pas négociable !

« Tête de lard ! »

Et sur ces bonnes paroles Béatrice et Mangel se quittèrent en se serrant la main.

Béatrice retourne au Clos de Merisiers, dubitative. Comment retrouver ce personnage ? Se renseigner en Mairie, il doit bien y avoir une personne qui s’occupe de l’organisation et de la logistique des vide-greniers. Elle retrouve Fanny et lui fait part de l’avancée de son enquête.

– La Mairie ? Il y en a une, mais elle ne sert à rien à part l’état civil, le reste est géré par l’agglomération de communes ! Rétorque Fanny. Administrativement on est rattaché à Saint-Chibre. Mais à mon avis tu vas dans le mur !
– T’as pas une idée toi ?
– Là tout de suite, non, mais ça peut venir, t’as encore besoin de mes fringues ou je les récupère ?
– Je vais te les rendre !
– Chic, je vais pouvoir te caresser :

Béatrice se déshabille et s’offre aux douces caresses de la jolie Fanny. Celle-ci jette de suite son dévolu sur les seins de la chimiste et en suce les tétons avec une gourmandise non feinte.

– Dis donc, si tu te mettais à poil à ton tour ce ne serait pas mal ! Lui suggère malicieusement Béatrice.
– J’ailais le faire, Mais ça va réveiller le chien !
– Le chien.
– Oui, Muzo…

Et effectivement Béa aperçoit le gros labrador beige en train de roupiller dans un coin.

– Ça va le réveiller de te mettre à poil ?
– Ben oui, mon odeur… Dit-elle en rigolant.
– C’est pas grave.
– Il est peu vicieux, dès fois il veut me lécher…
– Et ça te gêne ?
– Non je trouve ça marrant.

Et en même temps, Fanny se déshabille offrant la beauté se son corps de brunette aux yeux de Béatrice.

Les deux femmes sont face à face et se caressent mutuellement, les mains deviennent de plus en plus baladeuses, elles se touchent les seins, les fesses, la chatte, leur visage se rapprochent, elles s’embrassent.

Et comme Fanny l’avait prédit, le chien se pointe et se met à tourner autour du couple saphique tout en remuant frénétiquement de la queue.

– Mais Muzo, veut-tu nous foutre la paix !

Mais comme vous le pensez bien, le chien n’en fait qu’à sa tête.

– Si je le vire pas, il est capable de me lécher la chatte ! Indique Fanny.
– Je croyais que tu trouvais ça marrant ?
– Pourquoi ? T’aimerais le voir me lécher ?
– Ça ne me dérangerait pas.
– Alors allons-y ! Dit-elle en s’asseyant sur le bord du lit et en écartant les cuisses. Viens Muzo, viens mon chien, viens lécher la bonne foufoune de ta maîtresse.

Le toutou ne se le fait pas dire deux fois, il déboule et donne de grands coups de langue sur le pubis humide de la petite brunette.

– Oh ! Quelle langue ! T’es un bon chien ! Tu veux essayer, Béatrice ?
– Oui, oui !
– Ben dit donc quel enthousiasme ! Tu l’as déjà fait ?
– J’ai eu quelques occasions oui…

Fanny a dirigé le chien vers le minou déjà trempé de notre belle Béatrice. Il est tout content le chien il a de la mouille à lécher.

– Et dans tes occasions, t’as été plus loin ? Demande la brune.
– Tu voudrais bien savoir, hein ?
– T’es pas obligée de me dire ce que tu ne veux pas me dire ! Moi dans mes moments de folie, j’ai été assez loin.
– Et en ce moment tu ferais des folies ?
– Si tu m’accompagnes, oui !
– On lui suce la bite, alors ? Demande Béatrice en caressant le dos du chien.

Fanny passe sa main sous le flanc du quadrupède, lui tripote la pine qui sort de son fourreau, rouge et visqueuse, puis elle fait ressortir à l’extérieur de ses pattes de derrière. Béatrice y a donc maintenant accès et se met à lécher le chibre canin avec gourmandise.

– Qu’est-ce qu’il mouille ce chien !
– Tu te régales, hein ?
– Oui, je ne sais pas trop pourquoi ? Le plaisir de l’interdit, je suppose ?
– Tu veux qu’il te prenne ?
– Pourquoi pas, soyons folles ! Mais faudrait peut-être lui couvrir les pattes. Faudrait pas qu’il se mette à griffer.

Fanny extrait des chaussettes du tiroir de son armoire et en recouvre les pattes avant du chien.

Béatrice se met en levrette, Fanny conduit Muzo qui semble hésiter, puis tout d’un coup il grimpe, pine en avant et pénètre la chimiste. La cadence est infernale, à ce point que Béatrice n’arrive pas à rester en place, ce qui fait mourir de rire Fanny.

Et comme au théâtre au moment où on s’y attend le moins, voici que l’on toque à la porte.

– C’est quoi ! Demande Fanny
– C’est moi ! Répond Hélène, je cherche Gino, il est avec toi ?
– Non il est parti se balader, mais entre donc, il y a du spectacle !

Hélène entre et n’en crois pas ses yeux !

– Eh bien, Béatrice, vous nous aviez caché ça !

Mais sa réflexion ne contient aucun reproche, c’est avec le sourire qu’elle l’énonce.

– Attends, je vais retirer le chien sinon tu pourrais rester bloquée une demi-heure ! Indique Fanny à Béatrice.
– Tu m’as fait entrer pour que je regarde ou pour que je participe ? Demande Hélène avec un aire de fausse innocence.
– J’allais pas te laisser à la porte !
– Tu parles, vicieuse comme tu es, tu ne rates jamais une occasion.
– Si tu te mettais à poil, belle-maman ? Lui demande Fanny.
– Béatrice, avez-vous quelque chose contre les vieilles salopes ?
– Non, mais pourquoi cette question ?
– Ça vous dirait de me déshabiller ?

Bien sûr que ça lui dit !

Béatrice lui enlève son haut, le soutien-gorge bien rempli est en dentelle noire. Madame aime la belle lingerie ! Une fois le soutien-gorge de la belle mature retirée, Béatrice attirée comme un amant par cette belle paire de nénés se met à les caresser puis demande la permission de les lécher, ce qu’elle lui accorde bien volontiers.

Les tétons durcissent sous la langue de la jeune chimiste. Petite pause, il faut bien souffler un peu, les deux femmes s’embrassent, puis c’est Hélène qui vient titiller les nichons de Béa. Juste retour de choses !

Le chien s’est calmé et se fait caresser très sagement (pour le moment) par Fanny.

– Bon, Muzo à l’air en pleine forme ! Indique Hélène, j’aimerais bien en profiter un peu. Prépare-le un petit peu, Fanny.

Martinov2606De nouveau la petite brune fait bander le chien mais cette fois le fait coucher sur le côté et commence à le sucer. Hélène rejoint sa belle-fille et c’est de conserve qu’elles honorent la pine du brave toutou.

Après quelques minutes de fellation canine, Hélène se met en position de façon que le chien puisse la prendre.

Et le chien repart pour un nouvel assaut, il ne dure pas bien longtemps et laisse Hélène groggy.

– Si on faisait jouir Béatrice toutes les deux ? propose Fanny.
– Attends, je souffle un peu… bon on y va, Béatrice couche toi sur le dos on va te faire un truc spécial.

Une fois allongée, on demande à Béatrice se ramener ses jambes au-dessus d’elle, tous ses trésors deviennent ainsi disponibles et Fanny peut lui lécher la chatte, tandis qu’Hélène lui balaye le trou du cul de sa langue.

Vous pensez bien qu’avec un pareil traitement, la petite Béa se met à jouir rapidement… on a ensuite permuté les rôles afin que chacune ait sa part de jouissance.

– J’ai envie de pisser ! Dit Hélène, ça intéresse quelqu’un ?

Et Fanny et Béatrice collée l’une contre l’autre recueillirent en bouche un peu du nectar doré de la belle mature.

– Quelle salope ma belle-mère quand même ! Cru devoir commenter Fanny. Tu sais qu’elle se fait enculer par son fils ?
– Et alors ? Je ne vois pas pourquoi je me priverais d’une bonne bite !
– Oui mais c’est mon mari !
– Il est à moitié pédé, ton mari !
– C’est pas grave ça !
– Alors il est où le problème ?
– Il n’y a pas de problèmes, on est des salopes on assume ! Répond Fanny.
– Je vais vous laisser, il faut que je fasse caca ! Reprit Hélène.

Elle ramasse ses vêtements en boule et se dirige vers la porte, mais semble hésiter et stoppe.

– A moins que cela vous intéresse, Béatrice ?
– Pourquoi pas ?
– En principe je fais des belles crottes, n’est-ce pas Fanny ?
– Hum, oui, de belles crottes bien moulées !
– O.K ! Il me faudrait un chiffon ou du papier journal, je ne vais pas salir la moquette.
– Chie sur moi, belle-maman !
-T’es vraiment une salope !
– Et toi alors ?
– Moi aussi !

Hélène se met en position au-dessus de sa belle-fille qui s’est couchée à même le sol. Elle pousse, son anus s’ouvre laissant apparaître un bout d’étron, elle pousse encore et cette fois c’est un long boudin qui dégringole sur la poitrine de Fanny. Celle-ci le prend dans ses main et le porte à sa bouche afin d’en lécher l’extrémité

Voilà une petite scène qui a réveillé l’excitation de Béatrice qui se tripote la chatte frénétiquement.

– Tu as aimé ? Lui demande Hélène.
– Oui !
– C’es ton truc, la scato ?
– Non pas vraiment, mais j’ai eu quelques expériences qui m’ont amusées…
– Tu voudrais me nettoyer le cul ?
– Oui je veux bien !

Hélène se tourne offrant à lécher à Béatrice les traces brunes restant au bord de l’anus. Bea y plonge sa langue sans hésiter et entreprend de décaper tout ça.

– Alors, elle a quel gout, ma merde ?
– Elle est délicieuse !

Hélène prend alors l’étron des mains de Fanny, le lèche à son tour avant de le proposer à Béatrice, qui ne se défile pas

Les trois coquines complétement déchainées s’amusent ensuite à s’enduire les seins de matière avant de se les lécher mutuellement puis de se livrer à une série de french-kiss, des french-kiss au gout bien particulier.

Béatrice n’en revient pas d’avoir été si cochonne et se masturbe comme une malade pendant qu’Hélène et sa belle-fille se font jouir en soixante-neuf.

Et maintenant toutes à la douche !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 27 janvier 2024 6 27 /01 /Jan /2024 11:29

Martinov 26 – Les sculptures incas – 5 – Massage matinal par Maud-Anne Amaro
Massage2

Mercredi 3 mars

Le lendemain matin Béatrice n’arrivait pas à se lever, c’est Martinov qui dû la sortir du lit.

– Il est 9 heures, faut peut-être qu’on y aille ! Grogna-t-il.
– Bon, je prends une douche et j’arrive.

Vingt minutes plus tard, elle était prête.

– On se prend un café avant de partir ? Proposa-t-elle.
– Moi, c’est déjà fait…
– Bon tant pis, on y va, je ne sais pas trop ce qu’on va pouvoir trouver de plus, enfin on verra bien…

20 minutes plus tard ils étaient rendus à Vertgland.

– Pourquoi tu t’arrêtes ? Demanda Martinov.

Comme dans beaucoup d’hameaux, l’activité commerciale se concentre en un seul endroit qui fait à la fois buvette, boulangerie, épicerie, bureau de tabac, journaux…

– J’ai absolument besoin d’un café, sinon je vais m’endormir ! Répondit-elle.

Ils entrent dans l’établissement, il y a, installée sur une table une femme en train de tapoter sur son ordinateur portable, elle est de profil et ne voit pas les nouveaux arrivants. Mais Béatrice la reconnait.

– Il se passe quelque chose de bizarre, attends-moi dans la voiture. Dit-elle au professeur.
– Mais…
– Fais-moi confiance ! Je te rejoins vite.

Béatrice s’approche de la femme :

– Bonjour Sophia !
– Ciel ! Mais que faites-vous ici ?
– La même chose que vous je suppose !
– Ça m’étonnerait… mais asseyez-vous une seconde, je crois bien qu’on est sur la même affaire, non ?
– Il y a de grandes chances ! Répond Béa
– Donc fatalement tôt ou tard, on va chacune de notre côté découvrir ce que fait l’autre, alors je vous propose de jouer cartes sur table, ça nous fera gagner du temps à toutes les deux. D’accord ?
– D’accord ! Qui commence ?

Question embarrassante puisqu’aucune ne veut se dévoiler la première, alors elles décident de tirer à pile ou face, et le sort désigna Sophia.

– Je suis l’avocate de Régis Mangel… Commença Sophia
– C’est qui celui-là ?
– Un retraité, il avait pris une option sur un corps de ferme et était dans l’attente d’un prêt bancaire, mais l’agence immobilière a donné la préférence à un tiers… Alors il conteste, c’est de bonne guerre !
– Je peux savoir de quel corps de ferme il s’agit ? Demanda Béatrice qui s’en doute quand même un petit peu
– Le clos des Oliviers.
– Ce serait pas le Clos de Merisiers, plutôt ?
– Oui c’est ça ! Le dossier de Mangel est indéfendable, il n’y a jamais eu d’engagement écrit, l’agence a le droit de choisir son acheteur. Mangel prétend que l’opération n’a pu se faire qu’avec un dessous de table, il a surement raison, mais ce sont des choses qui se font et on ne pourra jamais rien prouver, j’ai essayé de lui expliquer que son dossier est pourri, mais il ne veut pas en démordre. Il est un peu psychorigide, le mec ! Voilà c’est tout, à toi de jouer !
– Moi et mon collègue nous avons été engagé par les époux Chamoulet…
– C’est qui ?
– Les nouveaux propriétaires du Clos de Merisiers, ils voulaient qu’on les aide à éclaircir une sombre histoire des bas-reliefs représentant des extra-terrestres…

Et Béa lui raconte le reste de l’histoire, le cahier « oublié » dans la commode, la visite de la diseuse de bonne aventure, la descente au fond du puit, et le bas-relief qui change de place…

– Mangel a donc décidé d’emmerder les nouveaux propriétaires, il s’est bien gardé de me parler de ça ! Constate Sophia. Mais bon, rien ne l’obligeait à me le dire, et puis il ne va pas s’en vanter non plus ! Reste à savoir ce qu’il espère avec ce genre de conneries ?
– C’est ce que je vais essayer de découvrir, puisque c’est notre mission !
– Eh bien, je te souhaite du bien du courage. Tu comptes faire comment ?
– J’avoue que je n’ai pas trop d’idées pour le moment, faut que j’arrive à discuter avec ce type, pour cela faut qu’il accepte de me recevoir… faut que je réfléchisse. Il me faudrait un prétexte…
– Tu veux un tuyau ?
– Dis toujours !
– Un après-midi sur deux il reçoit la visite d’une kiné, il souffre du dos. Pointe-toi chez lui en fin de matinée…
– J’ai compris, tu me donnes l’adresse !
– C’est pas gratuit !
– Pardon ?
– Tout bien réfléchi, je ne serais pas contre une séance comme hier ! On se voit ce soir à l’hôtel ?
– T’es un peu gonflé, mais ce sera avec grand plaisir, ma chère !

Béatrice se hâta de rejoindre Martinov qui rongeait son frein dans la voiture.

– Ça y est, j’ai le nom du mec qui fait joujou avec les bas-reliefs !
– Comment tu as fait ?
– Je suis très forte !

Elle lui expliqua.

Mais l’esprit d’escalier fit son chemin et la petite chimiste commençait à ne plus bien comprendre.

Un mec qui souffre du dos, qui nous fait un roulé-boulé sous la clôture, qui descend dans un puit et qui remontre avec un bas-relief sous le bras, ça ne tient pas debout… A moins qu’il ait un complice… Quant à la diseuse de bonne aventure, c’est aussi sa complice….

– La mission est terminée alors ?
– Pas tout à fait, il nous faut savoir ce qu’il a derrière la tête en faisant ça !
– Et tu vas faire comment !
– Je vais jouer de mes charmes, mais je ne vais pas y aller comme ça, je vais demander à Fanny de me prêter des fringues un peu sexy.

Au clos de Merisiers, Béatrice cherche Fanny et la trouve à l’arrière de la maison, complètement nue en train de prendre un bain de soleil dans un transat.

– Euh, excuse-moi…
– Qu’est-ce que tu veux ma belle ?
– J’ai besoin que tu me rendes un petit service…
– Ah, oui, quoi donc ?
– On a trouvé l’abruti qui joue avec les bas-reliefs, maintenant faut que je découvre pourquoi il fait ça !
– Bof ! Quelle affaire, quand il en aura marre de faire ses conneries, il s’arrêtera.
– Oui bien sûr, mais Monsieur Chamoulet nous a payé…
– Ouai, bien sûr, et tu voudrais quoi ?
– Je vais essayer d’embobiner le type, mais il me faudrait des fringues sexy, tu pourrais m’en prêter ?
– Pas de problème, viens je vais te montrer ce que j’ai !

Et la voilà qui se lève sans se recouvrir, Béatrice la suit ne pouvant faire autrement que de zieuter ses jolies fesses.

– Tout le monde me dit que j’ai un gros cul ? T’en penses quoi toi ?
– Il est mignon ton cul, c’est l’essentiel.
– Ah ? Tu le trouves mignon ! Mais mignon comment ? Tu irais jusqu’à l’embrasser ?
– Pourquoi pas ?
– T’es un peu goudou ?
– Un petit peu, à mes heures.

Elles entrent dans la chambre d’amis qu’elle partage avec Gino.

– On doit nous livrer une armoire et une commode, mais ils n’ont pas l’air pressés, nos fringues sont encore dans les cartons… Déshabille-toi je vais te sortir des trucs.

Béatrice se débarrasse de ses vêtements, suscitant l’admiration de Fanny !

– Dis donc, toi t’es vachement bien gaulée !
– Je ne me plains pas.
– Eventuellement ça te dirait une petite séance de caresses ?
– Des petites caresses ou des grosses caresses ?
– Ce sera selon tes désirs !
– Ce sera avec plaisir, mais pas tout de suite, il faut que je puisse aller chez ce mec avant midi.
– Tu ne le regretteras pas, je suis très vicieuse, j’aime plein de trucs.
– Ça tombe bien moi aussi, mais pour l’instant sois gentille, propose-moi des fringues.
– Juste un bisou, alors !

Fanny se colle contre Béa, les deux femmes d’échangent un long baiser baveux. La main de Fanny se permet d’aller tripoter la chatte de notre gentille chimiste

– Humm, c’est tout mouillé là-dedans…
– Oui, mais là, je n’ai pas trop le temps, mais c’est promis cet après-midi on se fera des trucs…
– J’ai hâte de te brouter la chatte !
– Je ne me défilerais pas, c’est promis ! Alors tu me proposes quoi comme fringues ?

Fanny lui présenta un bel ensemble culotte et soutien-gorge violet, et une petite robe noire à fines bretelles, très décolleté.

– Si le gars est fétichiste, il te faudrait aussi des bas avec porte-jarretelles et puis aussi des escarpins.

Béatrice sortit de la chambre pour aller se regarder dans le miroir de la salle de bain.

– T’es canon comme ça, tu fais un peu pute de luxe, mais ça plait aux mecs !
– Super mais je ne vais pas me pointer comme ça à sa porte, si tu avais un impair un peu classique… Ah, il me faudrait aussi des capotes…

Et c’est ainsi attifé que Béatrice sonna au domicile de Régis Mangel.

« Elle est super, sa baraque, quelle idée de vouloir acheter un corps de ferme beaucoup moins joli ! »

Mangel est presque chauve, grassouillet et myope, vêtue d’un tee-shirt de footballeur, bleu marine barré de rouge avec un gros numéro. Pas sexy pour un rond le monsieur !

« Bon, c’est clair que ce n’est pas ce mec-là qui nous a fait un roulé-boulé sous la clôture ! Il fait travailler des complices, mais qu’importe, c’est lui l’instigateur, et il faut que je sache ce qu’il a derrière la tête. »

– Bonjour, je suis la kiné remplaçante… S’annonce crânement Béatrice.
– Suzy a un problème ?
– Un petit souci familial, on m’a dit !
– J’espère que ce n’est pas trop grave, entrez…

Béatrice retire son imper qu’elle dépose sur un dossier de chaise. Mangel exorbite ses yeux à la manière du loup de Tex Avery.

– Oui j’ai été prévenue au dernier moment, je n’ai pas eu le temps de me changer ! Annonce Béa le plus sérieusement du monde.
– Ah ?
– Oui, je suis intérimaire, je suis kiné diplômée mais je fais aussi des massages un peu érotiques.
– Ah ?
– Oui, si ça vous intéresse, on peut s’arranger.
– Vous m’embarrassez !
– On n’a que le bon temps qu’on se donne, la vie est courte… Et puis je peux vous faire un prix !
– Combien ?

Mangel estima que ce n’était pas bien cher et conduisit Béatrice dans sa chambre au trônait une table de massage quasiment neuve.

– Je suppose que Suzy a laissé des huiles de massages ?
– Oui c’est en-dessous là… Bon, puisque c’est un massage érotique, je n’ai pas besoin de me cacher le sexe !
– En effet !
– Vous restez habillée ? Demande-t-il.
– C’est comme vous le sentez ! Est-ce que Suzy a laissé une blouse.
– Je ne crois pas, non !
– C’est dommage, c’est très érotique de masser quelqu’un avec une blouse ouverte et rien en dessous.
– Ah, oui c’est dommage !
– Alors je vais me mettre en sous-vêtements, je vais commencer le massage comme ça et j’enlèverais tout quelques minutes plus tard, d’accord ?

Il est d’accord ! Il se couche sur le dos et ça commence. Des massages, Béatrice en a pratiqué beaucoup depuis qu’elle travaille avec le professeur Martinov, des hommes, des femmes… Mais, pour ce qui est de celui-ci, il n’a rien pour inspirer l’érotisme… Mais bon, elle n’est pas là pour ça, le but c’est de le satisfaire et de le mettre en confiance.

Elle commence par masser la nuque et les épaules comme dans un massage traditionnel, mais très vite ses mains descendent sur les fesses, les triture, les malaxe et en écarte les globes. Les doigts s’approchent stratégiquement de l’anus maintenant bien visible.

– T’aimerais que je t’enfonce un doigt ?
– Ah non !
– Tant pis, tu sais : beaucoup d’hommes aiment ça ?
– Non, non !
– O.K. je n’insiste pas !
– On peut peut-être essayer juste un petit peu ! Suggère-t-il.

« Je trouve qu’il a changé d’avis bien vite ! »

Martinov2605Béatrice mouille son doigt et l’introduit dans le fondement de l’homme.

– Alors ça te plait ?
– C’est pas désagréable !
– Je continue ?
– Oui, oui !
– J’aurais dû apporter un gode, ça aurait été encore mieux !
– Ah, oui ?

Placée comme elle est, Béatrice ne peut pas voir Mangel rougir, car en fait de gode, il en possède un et prend parfois plaisir à se l’enfoncer dans le cul.

– Continue, continue ! Supplie l’homme.

Il est à deux doigts de lui avouer qu’il possède un gode dans son tiroir de chevet, mais il ne fait pas, ce n’est pas le genre de bonhomme à étaler ses fantasmes.

– Quand je travaillais en institut, j’étais devenue une vraie spécialiste des godes dans le cul. Inventa Béatrice.
– Raconte, raconte.
– Oui je vais te raconter, tourne-toi !

Mangel se met sur le dos exhibant une bite bien raide. Comme elle le lui avait promis, elle dégrafe son soutien-gorge et retire sa culotte.

– Tu es très belle ! Je peux toucher ?
– Juste un peu !

Le type n’exagère pas et se contente de caresser les jolis nichons de Béa. Son érection devient impressionnante.

– Humm, quelle jolie quéquette ! Dit-elle en y passant délicatement la main.
– Tu voulais me raconter…
– Oui, on avait un truc, quand on voyait que le client appréciait, on balançait une petite phrase du genre « C’est bien les godes, mais ça ne vaut pas une vraie bite ».
– Et alors ? Demande l’homme d’une voix fébrile.
– Eh bien, ça dépendait des mecs, certains ne répondaient pas, d’autres se demandaient pourquoi je sortais ça, et si je voyais que le mec accrochait, je lui expliquais que certains clients se faisaient sodomiser.
– Ah ben dis-donc !
– Ça t’aurait plu ?
– Je ne sais pas !
– Tu ne dis pas « non » en tous cas. Tu sais moi ça m’excitait de voir deux hommes qui s’enculent, une bonne bite qui entre complètement dans le cul, c’est génial, non ?
– Dans le cul d’une femme, c’est pas mal non plus ! Répond-il.
– Oui, bien sûr, mais il manque le petit côté tabou !

Béatrice a alors approché son visage de sa bite, puis l’a englouti dans sa bouche.

– Ah, c’est bon, c’est bon… Tu me suces bien.

« Pourvu qu’il ne lui prenne pas l’envie de me baiser ! » S’inquiète Béatrice.

Aussi met-elle toute son ardeur dans cette fellation, Elle suce fermement, serrant les couilles de sa main.

– Je peux te baiser ? Demande-t-il dans un souffle.

« Merde, comment refuser ? »

– C’est un peu plus cher…
– J’m’en tape !
– Bouge pas, je vais chercher une capote.

Après s’être protégée, Béatrice s’empale sur la bite de l’homme et entame une énergique série de montées/descentes

Mangel est proche de la jouissance, son sang afflue au visage. Il jouit dans un râle.

– Alors ça t’a plus, mon biquet !
– Oui, c’était bien, tu es très gentille !
– Bien sûr que je suis gentille, mais maintenant toi aussi tu vas être gentil et me parler du Clos des Merisiers.
– Mais comment tu peux être au courant ?
– Ne panique pas, c’est tout simple, le directeur de l’agende d’Alençon est un client à moi, il est embêté parce qu’il a appris que tu voulais porter plainte contre lui.
– Mais…
– Laisse-moi finir, il m’a donc payé pour que j’essaie de te convaincre de ne pas porter plainte.
– Mais…
– On se calme ! Je n’ai aucunement l’intention de faire ça, d’ailleurs je ne sais pas faire. Je dirais simplement que tu n’as rien voulu entendre et point barre, affaire terminée.
– Ah bon ? Il ne risque pas de revenir à la charge ?
– Non, je sais comment il fonctionne, il a joué une carte, ça n’a pas marché, il n’en a pas d’autres, mais dis-moi : pourquoi aller acheter le Clos de Merisiers alors que c’est tout mignon chez toi ?
– Je voulais réaliser une opération immobilière, rénover le clos et le louer ou le revendre !
– Ah bon ! Et tu tiens particulièrement à ce corps de ferme en particulier ?
– Pas du tout, on peut en trouver ailleurs et pas trop loin… Si je porte plainte, c’est pas pour récupérer le Clos, maintenant ça va être impossible, mais pour emmerder ces salauds d’agents immobiliers qui gagnent des fortunes à rien foutre !
– Je vais me rafraichir un peu dans la salle de bain, tu me sers un truc à boire ?
– Tu veux quoi ? Un whisky ?
– Non, je conduis !
– Un coca.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 27 janvier 2024 6 27 /01 /Jan /2024 11:06

Martinov 26 – Les sculptures incas – 4 – Intrigante Sophia par Maud-Anne Amaro
Bombe

A Alençon, Martinov et Béatrice se sont posés à la terrasse d’un bistrot pout tenter de faire le point.

– C’est bien nébuleux tout ça ! A moins d’un coup de théâtre on n’aura jamais le temps d’approfondir le truc ! Se lamente Béatrice.
– On peut essayer de négocier quelques jours supplémentaires, je m’entends bien avec Gino.
– Ça j’ai vu ! Se gaussa-t-elle

Le restaurant de l’hôtel des « Deux bornes » était à moitié rempli, (ou à moitié vide, question de point de vue). A quelques tables de la leur, dinait une femme seule, brune, la quarantaine, joli visage assez atypique avec un grand nez aquilin qui le faisait bien et des lunettes à la monture très fine.

Le regard des deux femmes finit par se croiser, l’inconnue sourit et Béatrice lui rendit son sourire avant de replonger dans son assiette, profondément troublée.

Ce petit manège se répéta plusieurs fois, Martinov, lui, ne se rendait compte de rien.

– On fait quoi on monte dans la chambre où on va prendre le frais ! Demanda Martinov quand ils eurent terminé leur dîner.
– Fais comme tu veux, moi, je vais rester un peu ici, on dirait que j’ai un tiquet avec la dame là-bas, non reste discret, je te raconterais… si toutefois il y a quelque chose à raconter.

Martinov parti, Béatrice fixa de nouveau son regard vers l’inconnue, celle-ci répondit par un nouveau sourire, mais celui-ci était différent et semblait être une invite.

Béatrice se leva et se dirigea vers la femme en noir !

– Béatrice, enchantée, votre sourire est craquant.
– Sophia, enchantée également, merci de vous êtes déplacée, asseyez-vous donc, je ne mords pas.
– Je ne mords pas non plus, mais puisque je semble vous intéresser, m’en direz-vous les raisons ?
– Avec plaisir, mais promettez moi de ne pas faire de scandale, si ce que je vais vous dire ne vous intéresse pas, on en restera là et nous ferons comme si nous ne nous étions jamais rencontrées. D’accord ?
– Remarquez, je crois deviner, mais j’ai peur de me tromper !
– O.K Reprit Sophia, cassons le suspense, je suis sexuellement attirée par les femmes.
– Je l’aurais parié ! Répondit Béatrice avec un large sourire.
– Et vous ?
– Quoi, « moi » ?
– Les femmes vous attirent-elles ?
– Parfois, oui !
– Un petit moment avec moi, ça vous dirait ?
– Oui !
– Alors trêve de préliminaires, vous êtes disponible, là tout de suite ?
– Juste le temps de prendre une douche…
– Vous la prendrez après. Je suis impatiente de vous lécher la chatte.
– Oh ! On peut dire que vous êtes directe, vous !
– Oui, j’aime bien… comme ça les choses sont claires.
– Alors allons-y :
– Mais votre partenaire de table ?
– Je vous expliquerai.

Coup de foudre réciproque ? Non il faudrait plutôt parler d’une attirance simultanée, d’une envie subite et brutale de s’envoyer en l’air.

Parfois les explications ne sont pas de mises, Mais sans doute Béatrice a-t-elle été subjuguée par le côté énigmatique de cette brune, par son visage respirant le désir, mais aussi une certaine autorité.

Dès la porte de la chambre refermée, Sophia enlace fougueusement Béatrice. Elles s’embrassent avec une telle passion que de la salive dégouline sur leur menton.

La brune porte ses mains sur la poitrine de la chimiste.

– Déballe-moi tout ça !

Prestement Béa retire son petit haut…

– Hum, joli soutif… enlève-le vite.

Sophia se jette sur les seins libérés de leur entrave, elle les pelote, les lèche et bien sûr en agace les pointes.

– T’aime un peu fort !
– Oui, tu peux y aller.
– T’aime bien l’amour un peu vache !
– Pas toujours, mais de temps en temps, j’aime bien.
– Je vais te faire crier, alors ! Reprend-elle en augmentant sa pression sur les tétons
– Aïe !
– C’est trop fort ?
– Non, continue ! Aïe !

La brune accentue sa pression, elle étire les tétons, les tortille.

– Tu me fais mal !
– Tu veux que j’arrête ?
– Non !
– Hum, on dirait que j’ai tiré le bon numéro ce soir, tu veux être ma petite esclave… pendant une heure ?
– Oui mais accorde-moi une faveur !
– Laquelle ?
– J’aimerais bien te voir à poil !
– Je le ferai, mais rien ne presse.
– Non, écoute, je te propose un truc, tu te mets à poil, je te caresse un peu et après tu peux me faire ce que tu veux.
– D’accord, on va faire comme ça ! Finit de te déshabiller, assieds-toi sur le bord du lit et regarde.

Sophia retire d’abord ses chaussures et son pantalon, puis son boléro noir et son tee-shirt blanc. Ses sous-vêtements sont en dentelle mauve, probablement une grande marque.

Elle se débarrasse ensuite de la petite culotte dévoilant une chatte taillée en ticket de métro, elle pivote afin d’exhiber son cul puis enlève son soutien-gorge.

Martinov2604seins sont lourds, mais de bonne tenue, magnifiquement galbée et terminé par de jolis tétons bruns que l’excitation a déjà durci.

– Voilà ! C’est pas trop mal, non ?
– Tu es très belle ! Répond Béa.
– Je ne me plains pas. Tu as cinq minutes pour me caresser et après tu seras à moi.

Alors, vous vous vous imaginez bien que Béatrice ne reste pas les deux pieds dans le même escarpin. Elle caresse, le tripote, elle embrasse…

– Hum, tu caresse bien ! La flatte la brune.

Béatrice lui fout la main sur la chatte, ses doigts en quémandent l’entrée, déjà humide, Sophia se laisse faire, ses yeux pétillant de malice.

– Stop !
– Déjà !
– Eh, oui le temps passe plus vite quand on fait du sexe que quand on attend le taxi. C’est ce qu’a très bien expliqué Albert Einstein.
– Quel cochon cet Albert !
– Ne m’en parle même pas ! Bon éloigne-toi un peu du lit je vais m’assoir sur le bord, toi tu vas venir me voir à genoux et me lécher les pieds.

Voilà qui ne déplait pas à notre belle chimiste qui n’a rien bien au contraire contre cette activité qu’elle n’a pas si souvent l’occasion de pratiquer.

– Tu les trouves comment ?
– Jolis !
– Et le vernis bleu ?
– Ma foi, je trouve, ça pas mal !
– Lèche !

Béatrice commence par s’occuper du dessus, Le goût est légèrement salé, normal madame à un peu transpiré, mais cela ne gêne aucunement la jolie chimiste qui y va de ses grands coups de langue.

Après avoir bien léché le pied gauche, elle passe au droit. Ben oui, il n’y a pas de raisons…

Puis ce sont les orteils…

– Tu peux y aller, je ne suis pas chatouilleuse.

Les orteils c’est mignon (enfin ça dépend lesquels) mais le chouchou des adorateurs du pied c’est évidemment le gros, celui que les cuistres nomment « hallux » (vous parlez d’un nom à la con !)

Béatrice s’en empare, le met en bouche et le suce comme elle le ferait d’une bite rabougrie.

– C’est bien ! Maintenant pour te récompenser, tu vas t’allonger sur mes cuisses et je vais te donner la fessée que tu mérites ! Sale gosse que tu es !
– Pas trop fort, hein ! J’ai besoin de mes fesses pour m’assoir !
– Arrête de faire ta chochotte, je ne suis pas une brute, je suis juste une vilaine coquine !

Béatrice s’installe comme demandé. En fait de fessée Sophia commence par une série de caresses.

– J’aime bien la peau de ton cul ! C’est doux !

Elle caresse et caresse encore et soudain alors que Béa ne s’y attendait plus, le premier coup tombe.

– Aïe !
– Veux-tu te taire !

Les coups pleuvent à ce point que cinq minutes plus tard le cul de la belle chimiste avait viré cramoisie, tandis que Sophia jetait l’éponge, l’exercice finissant par faire mal aux mains.

– Allez, dégage de mes cuisses, je vais aller chercher un truc.

Sophia revient avec une petite trousse et en extrait fièrement un joli godemichet.

– Tu emportes un gode dans tes déplacements ? S’étonne Béa.
– Juste le minimum, gode, capotes, gel.
– Des capotes ?
– Ben oui pour envelopper le gode ! Tu croyais que je m’envoyais des mecs ? Remarque ça m’arrive de temps en temps, faut bien varier les plaisirs, Tiens il n’y a pas si longtemps sur une aire d’autoroute un beauf avec sa femme me reluquait avec insistance, je l’ai provoqué et je lui dis un truc du genre : Toi t’es en train de fantasmer, tu m’imagines en train de te faire une pipe ? » « Vous vous méprenez… » qu’il me répond et moi je continue, je lui dis « c’est cinquante euros et madame peut regarder… » Je pensais que l’affaire s’arrêterait là. Non il échange des messes basses avec sa femme. « Chiche qu’il me dit » J’étais prise à mon propre piège, mais ça m’a bien amusée !

Béatrice se demande tout de même si sa partenaire n’affabule pas.

– Il s’est formé un petit attroupement ! Continue-t-elle. C’était très chaud, des mecs sortaient leurs queues et se branlaient, certains ont essayé d’entreprendre la femme du mec que je suçais, mais elle les a repoussés. Le mec m’a éjaculé dans la bouche, je n’ai pas avalé, j’ai voulu embrasser sa femme pour lui refiler le foutre, mais elle s’est dérobée, alors j’ai craché. Evidemment après ça j’étais excitée comme une puce, j’avais envie de me faire baiser mais les mecs présents ne me disaient pas grand-chose. Je me suis donc enfermé dans ma bagnole, et j’ai été bien content de retrouver mon gode. Elle t’a plus mon histoire ?
– C’est excitant !
– Remarque, si ça se trouve, il n’y a rien de vrai là-dedans, je suis peut-être en train de tout inventer !
– Peu importe, tout le monde a le droit de fantasmer !
– Et toi ? Demande Sophia, t’aime bien sucer des bites ?
– Je suis davantage attiré par les femmes, mais de temps en temps, une bonne bite, ça change, il faut bien varier les plaisirs.
– T’as raison ! Et le vieux qui était à ta table, tu le suces aussi ?
– Dis donc, curieuse !
– T’as raison, ça ne me regarde pas, allez, assez discuté, mets-toi en levrette, je vais t’astiquer le trou du cul !

Béatrice obtempère, se met dans la position demandée, le croupion cambré, les jambes légèrement écartées. Le gode entre comme une cuillère dans un pot de miel.

– Ahhh !
-T’aimes ça te faire remplir le cul, hein ?
– Ouiii.
– Attends, je vais activer les piles, ça sera encore meilleur.
– Ahhh ! C’est bon, Oh là là !
– T’es vraiment une petite salope ! Dis-le que t’es une petite salope !
– Oui, je suis une petite salope … mais toi tu es une grosse salope.
– Alors on était fait pour s’entendre.

Béatrice n’en peut plus des coups de boutoir de ce gode diabolique et se met à jouir comme une damnée. Elle se relève en soufflant comme un bœuf. Sophia s’est assise sur le rebord du lit, jambes écartées.

– Maintenant viens me brouter le gazon !

Béatrice se précipite, elle lui devait bien ça…

– Ben dis donc toi quand tu mouilles, tu ne fais pas semblant.
– Lèche, tu me feras des commentaires après.

Ça pour lécher, elle ne s’en prive pas, se régalant des sucs intimes de sa partenaire, balayant les lèvres gonflées d’excitation.

– Fais-moi jouir, fais-moi jouir ! Implore Sophia dont la respiration devient saccadée.

L’extrémité de la langue de Béatrice vient titiller le berlingot opportunément dressé. Sophia jouit. Les deux femmes s’étreignent en un long baiser sensuel et passionné.

– Tu m’as complètement épuisé ! Soupire Béatrice.
– C’est de la bonne fatigue, tu vas bien dormir.
– Oui je vais y aller…
– Mettons les choses au point, dit alors Sophia, on ne peut jamais jurer de rien, mais en principe il n’y aura pas de suite. Ce que j’apprécie dans ce genre de rencontre, c »est le plaisir de la découverte, l’attrait de la nouveauté. Je ne m’attache pas !
– Ça tombe bien, moi non plus ! Mais on sera peut-être amené à se croiser, on va sans doute prolonger notre séjour…
– Et alors ? Où est le problème, si nous nous croisons, nous nous saluerons en vitesse comme deux femmes bien élevées. Juste une question, je ne te demande pas ce que tu fabriques ici, ce ne sont pas oignons, mais ôte- moi d’un doute, serais-tu avocate ?
– Pas du tout, ma chère !
– Alors un bisou et bonne nuit !

Béatrice se demanda le pourquoi de cette étrange question.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 27 janvier 2024 6 27 /01 /Jan /2024 11:03

Martinov 26 – Les sculptures incas – 3 – Retour à l’atelier du peintre par Maud-Anne Amaro

Fathia

Mardi 2 mars

Le lendemain matin, Martinov et Béatrice furent accueillis par la famille Chamoulet, du moins une partie de la famille parce que Arsène n’était point-là !

Béatrice descendit en rappel. Et une fois au fond constata que le bas-relief avait disparu ! Complètement disparu, il y aurait dû avoir des débris, eh bien non, aucun débris.

– C’est quoi ce délire ?

Elle prit des photos de la paroi qui était redevenue vierge de tout ornement.

Le sol du fond était meuble et on pouvait y voir nettement des traces de chaussures qui n’étaient pas les siennes, des traces très nettes, genre grosse godasses de randonnées marquées avec six étoiles à l’avant et trois étoiles sur le talon. Elle en prit photo et en mesura la longueur…

– Ohé, on me remonte ?

Et une fois en haut, elle montra à Gino les photos qu’elles avaient prises (mais pas celle de l’empreinte de chaussure)

– Mais alors il n’y a rien ?
– Hier il y avait quelque chose, regardez !

Elle lui montre les photos prises la veille au même endroit.

– C’est ahurissant, ça veut dire que quelqu’un serait descendu dans le puit en pleine nuit et qu’il aurait piqué les bas-reliefs, mais ça n’a aucun sens !
– Ça n’a peut-être aucun sens, mais le fait est que les bas-reliefs ne sont plus là ! Donc pour nous la mission est terminée, il y a un mystère, mais là on tombe dans une enquête policière, nous nous sommes des scientifiques. Donc ce n’est plus notre affaire.
– Je me vois mal confier cette affaire à un détective privé ! Se désole Gino. Bon je vais vous payer. Maman, où est Papa ?
– Il est parti ce matin à Paris, il avait une démarche à faire pour l’assurance de la maison.

Probablement une excuse « diplomatique », mais Gino ne creusa pas l’affaire. Hélène Chamoulet rédigea un chèque.

– Quittons-nous bons amis, nous pourrions partager notre repas du midi, j’avais pensé à une pintade avec des patates ! Proposa Hélène.
– Avec plaisir ! Répondit Béatrice au grand dam du professeur qui l’a pris à part un peu après.

– Tu sais bien que ça me saoule, ces repas avec des gens qu’on ne connait pas.
– Je t’expliquerai !

En fait Béatrice aurait bien voulu savoir… ben oui l’éternelle curiosité féminine ! Qui était descendu en pleine nuit au fond du puit, et surtout pourquoi un tel acte ?

La personne qui avait opérée avait pris des risques considérables. Déjà il fallait pénétrer dans les lieux, ensuite descendre dans le puit… avec quoi ? Sans doute avait-elle apporté une échelle de cordes, à moins d’être aidé par un complice assurant une corde de rappel. Et ensuite détacher le bas-relief, ce qui n’est pas forcément évident, ensuite il faut remonter avec le bas-relief, puis repartir. Combien de temps pour accomplir tout ça ? Au moins une heure, non ?

Si Béatrice voulait connaitre le fin mot de l’histoire il lui faudrait trouver un prétexte pour prolonger leur présence. Elle se dit qu’elle aurait le temps d’y réfléchir avant le déjeuner prévu pour midi.

– Tu n’as pas envie d’en savoir davantage ? Demanda-t-elle au professeur.
– Si, mais si ça reste un mystère, je n’en mourrai pas.
– Je vais essayer de négocier un jour au deux supplémentaires, t’a rien contre ?
– Tu ne trouveras rien !
– Je peux essayer, 24 ou 48 heures c’est tout !
– Et moi je vais faire quoi ?
– T’inquiète, j’aurais sans doute besoin d’aide.

La table est dressée, le professeur Martinov est assis à côté d’Hélène Chamoulet, Devant lui, s’est assise Fanny, revêtue d’un chemisier noir en dentelle semi-transparent qui laisse entrevoir ses tétons. Imaginez notre pauvre professeur, complètement troublé par cette vision. Elle est entourée de Béatrice et de Gino.

– Vous excuserez mon mari, ! Nous dit Hélène, il est en course, du moins c’est l’excuse qu’il a donné, en fait il boude, ça lui passera, ça lui passe toujours !
– Ces bas-reliefs sont très intrigants ! Intervient Béatrice, il faut que j’effectue des recherches, mais comme j’aurais des questions à vous poser, je préfèrerais rédiger notre rapport ici. C’est l’affaire d’un jour ou deux.
– Ce n’est pas un problème, prenez le temps qu’il faudra ! répond immédiatement Gino.
– O.K, on va se prendre une chambre d’hôtel à Alençon…
– D’accord, vous nous ferez une note de frais.

Pendant le repas, le professeur a du mal à ne pas porter les yeux sur sa vis-à-vis, laquelle un moment se lève en déclarant :

– Je vais pisser, je reviens !

Et elle quitte la table en tortillant du croupion.

Des cris dans la courette, ils se rapprochent, Fanny revient affolée !

– Venez voir, vite !
– Qu’est qui se passe ?
– Mais venez, venez !

Tout le monde est dehors

– Ben quoi ?
– Là !

« Là », c’est la petite dépendance servant de dépôt de bois coupé. Et posé contre un pilier de soutien sur le côté et donc non visible directement… il y a quoi ?

Le bas-relief !

Béatrice l’examine de suite, le bas-relief est en fait une plaque de plâtre concave, elle devait être maintenue sur la paroi du puit à l’aide d’une matière facile à rompre (du mastic ?) Le temps d’intervention de l’intrus est du coup, revu à la baisse. Elle prend quelques photos afin de s’assurer qu’il s’agit bien du même bas-relief que celui découvert au fond du puit.

Sur les photos, on pouvait remarquer un petit défaut de moulage sur la partie supérieure gauche, ce défaut est également présent sur le bas-relief « remonté ». Il s’agit donc bien du même !

– Quelqu’un se serait introduit chez nous en pleine nuit ? S’étonne Gino.
– Et le chien n’a pas réagi ? S’étonne Béatrice.
– Ce n’est pas vraiment un chien de garde, et puis il ne couche pas dehors…

Hélène sonne le rappel :

– Revenez à table, j’ai fait un bon clafoutis.

Tout le monde y va, mais Fanny a le temps d’échanger quelques mots avec le professeur.

– Ils te plaisent mes nichons, hein ?
– C’est bien malgré moi… balbutie le professeur.
– Arrête ton baratin, je ne te fais aucun reproche, j’aime bien qu’on me regarde, mais si tu veux les voir encore mieux, ça peut se faire… mais chut !

Béatrice pour sa part ne pense pas au sexe (patience, ça viendra…) elle est perplexe et se demande à quoi rime cette mise en scène !

« Retirer ce bas-relief du puit pour le poser devant la réserve de bois… Quelqu’un joue au con ! Mais dans quel but ? »

Le délicieux clafoutis étant consommé, Béatrice et Martinov refuse le café et s’isolent.

– Et si l’un des deux mecs d’ici faisait double jeu ? Se demande Béatrice.
– Mais dans quel but ?
– Ah, ça, je n’en sais rien ! Mais j’aimerais bien éliminer cette hypothèse. On serait des détectives privés on aurait regardé toutes leurs godasses sous un prétexte quelconque, mais je ne nous vois pas faire ça.
– Et alors on fait quoi ?
– On va déjà regarder si on trouve d’autres indices, on va faire le tour de la propriété, moi je vais à gauche, toi à droite, tu as bien mémorisé le dessin des semelles…

« Si au moins ce con avait laissé tomber un objet personnel… » Se dit-elle

Elle longe le grillage de la propriété… du matériel bas de gamme. Le terrain est très cabossé et elle manque de s’étaler plusieurs fois. A un endroit le grillage ne descend pas jusqu’au niveau du sol, cela sur environ deux mètres, ce qui est largement suffisant pour pénétrer dans la propriété en faisant un roulé-boulé.

Quelque chose brille dans l’herbe. Béatrice se penche et ramasse un briquet.

« Un zippo ! A tous le coups le mec qui est entré l’a fait tomber de sa poche »

Elle passe sous la grille…

« Merde je me suis toute dégueulassée…  »

Le chemin extérieur est resté détrempé à cet endroit, elle inspecte le sol, il y a des traces de chaussures un peu floues, mais le doute n’est pas permis, ce sont bien les mêmes que celle du fond du puit…

« Et là un mégot… !

Une cigarette que le type n’a pas eu le temps de finir ! Normal il n’allait pas faire son roulé-boulé avec sa clope. Elle le ramasse, en lit la marque : « Winston »

Elle se dirige vers la droite cherchant d’autres traces ou indices mais sans en trouver, il n’y en pas non plus dans l’autre direction.

« Bon, on sait que le mec qui a déplacé le bas-relief venait de l’extérieur, qu’il fume des Winston et qu’il a perdu son zippo ! Avec ça je ne suis pas tellement avancée ! Et maintenant je fais quoi ? »

Béatrice revient vers la bâtisse, elle n’aperçoit pas le professeur, d’ailleurs il n’y a personne dans la courette.

– Allo, mon petit professeur, tu es où ?
– Dans l’atelier de Gino, il m’a prêté son ordi, j’ai trouvé des trucs, monte si tu veux, c’est l’avant dernière porte au premier…

Béatrice pénètre dans l’atelier et à la surprise de trouver Martinov et Gino entièrement nus.

– Euh, vous faite du naturisme en chambre ? Se gausse-t-elle.
– On peut dire ça comme ça en effet, Répond Gino. En fait je voulais peindre Monsieur en faune antique, il fallait pour cela qu’il soir nu, n’est-ce pas ?
– Et le peintre aussi ?
– Comme monsieur hésitait à se déshabiller, il a fallu que je montre l’exemple ! Répondit Gino en rigolant à moitié.
– Vous avez l’imagination fertile ! Et en plus vous avez une bien belle bite, monsieur le peintre ! Le taquine Béatrice.
– Je vous en aurais volontiers proposé l’usage, mais voyez-vous, l’ami Martinov m’a fait jouir intensément, il suce fort bien l’animal et son cul est très accueillant !
– Eh bien j’en apprends des choses ! Mais je ne venais pas pour la gaudriole, tu m’as dit avoir trouvé des trucs…
– Oui, j’ai d’abord examiné le bas-relief, c’est du plâtre de modelage basique, il est récent sans aucune altération, l’auteur a dû fabriquer un moule avec du silicone ou une autre matière malléable, et a fait sept moulures.
– Quand tu dis récent…
– S’il était resté longtemps au fond du puit, il y aurait dû avoir des saletés, des moisissures, il n’y en a pas.
– Et sinon ?
– Sinon, j’ai trouvé sur Google la sculpture qui a servi de modèle au bas-relief. Ce serait une statuette Incas trouvé en Equateur. C’est d’ailleurs amusant parce que l’image n’est présente que sur des sites farfelus, tu sais le genre, « grands anciens », il est donc possible que ce soit un faux. De toute façon ça ne tient pas debout, ça parle de cosmonaute parce que le type a comme un casque que la tête, mais à part ça il est à poil avec juste une espèce de pagne. Ça pourrait être aussi bien un motocycliste, mais je crois que les incas n’avaient pas découvert la roue…
– Intéressant, mais ça nous mène à quoi ?
– Le gars qui a fabriqué le bas-relief doit être un passionné d’ésotérisme, partisan de la théorie des « grands anciens ».
– Oh là ! Tu vas loin là !
– C’est juste une piste !
– Mwais…
– Faudrait peut-être que tu te rhabilles, on doit aller à Alençon !

Mais voilà que l’on frappe à la porte.

– Entrez !

C’est Hélène Chamoulet.

– Tu pourrais répondre quand je t’appelle ! T’es sourd ou quoi ?
– J’ai pas entendu ! Répond Gino.
– Je voulais te prévenir que ton père est parti une semaine au Canada rendre visite à son cousin, il a appelé un taxi qui vient de partir, il m’a chargé de te dire aurevoir.
– Il n’est même pas foutu de faire ça tout seul ce con !
– Un peu de respect, s’il te plait, faut prendre ça du bon côté, ça va nous faire des vacances.

Et tout d’un coup Martinov a un flash, le visage de la femme faisant une fellation sur la toile que lui a montrée Gino, c’est celui d’Hélène !

– Et puis d’abord qu’est-ce que tu fous à poil en bandant comme un sapeur ! Reprend la Maman.
– On n’a pas eu le temps de se rhabiller.
– Je n’ose même pas demander ce que vous fabriquiez ! Mais quelle belle bite ! S’il n’y avait pas ces messieurs dames, je te la sucerais volontiers.
– Ne vous gênez pas pour nous, faites comme chez vous ! Répond Béatrice, par défi.

Béatrice pensait qu’Hélène parlait de la bite de Martinov, certes agréable à regarder mais pas exceptionnelle non plus. Mais en fait c’est de la pine de son fils qu’elle parlait. Elle s’approche du fiston et lui prend le sexe dans sa bouche.

– A ben ça alors ! Ne peut s’empêcher de clamer la belle chimiste
– Je vous choque ? Il me semblait pourtant que j’avais votre feu vert ! Réplique Hélène en lâchant momentanément sa proie.
– Je ne suis pas choquée, j’en ai vu d’autres, Disons que j’ai été un peu surprise, mais ne vous occupez pas de moi, je vais pendre plaisir à vous regarder.
– Alors tout va bien, vous pouvez même le droit de participer !

Alors folie pour folie, Béatrice se range aux côtés d’Hélène et les deux cochonnes se mettent à sucer tantôt alternativement tantôt conjointement la bite de Gino.

– Qu’est-ce qu’elle est bonne la bite de mon fils ! S’exclame Hélène.
– Cochonne ! Lui répond Béa.
– Oui, mais j’assume !

Un moment les lèvres d’Hélène et celles de Béatrice sont très proches les unes des autres, alors ce qui devait arriver arriva, les deux femmes se roulent un patin comme deux vieilles goudous.

– Dis donc toi tu embrasses bien, je parie que tu aimes brouter du gazon ! Lui balance Hélène.
– T’as tout compris !
– On devrait se mettre à poil, ce serait plus cool.
– Alors soyons cool.

Et nos deux coquines se mettent à poil. Hélène possède ce qui s’appelle une bonne poitrine, elle tombe un tout petit peu (normal Hélène approche de la cinquantaine) mais qu’importe.

Béatrice veut se jeter sur les nénés de la mature, mais cette dernière la prend de rapidité et se met lui sucer les tétons avec gourmandise.

Du coup Gino se retrouve sans partenaire. Mais Martinov vient à ses côtés et les deux hommes se branlent mollement la bite en regardant ces dames se donner du plaisir.

– Regarde ma mère comme elle est salope !
– Je vois ça ! Répond le professeur

– Hum, j’aime ça lécher les nichons des belles femmes ! Ça m’excite ! Annonce Hélène à l’attention de Béatrice
– Continue, c’est bon !
– Tu dois me trouver vicieuse !
– Faire du sexe ce n’est pas du vice ! Répond doctement Béatrice.
– Super !
– Tu fais ça souvent !
– Dis donc ma grande on ne se connait pas encore assez pour se faire des confidences.
– Je demandais ça comme ça…
– Embrasse-moi encore et peut-être que je te dirais mes petits secrets, mais il faudra que tu me dises les tiens.

De nouveau les deux femmes se livrent à un french-kiss bien baveux, en même temps Béatrice a maintenant accès aux seins d’Hélène et ne se prive pas pour les tripoter avant de se jeter dessus pour se régaler de ses tétons turgescents.

– J’ai pas vu ton cul ? Lui demande la mature.
– Ce n’est pas ce que j’ai de mieux…
– Tourne-toi quand même, j’aime bien lécher les petits culs…

Hélène se tourne en cambrant les fesses.

– Ecarte-les que je vois ton petit trou.

Ce qui permet à Madame Chamoulet de pointer sa langue contre l’anus de la jolie chimiste.

– Hum, il a bon cul ! J’adore lécher les culs !
– Régale toi ma grande !

Elle lèche, elle lèche, mais il faut bien que s’arrête un moment.

– J’adore lécher ! Commente-t-elle, les culs, les chattes, les bites… Hum j’ai la chatte en feu, viens me la bouffer.

Hélène se couche carrément sur le sol les jambes écartées, tandis que Béatrice s’approche de ses cuisses.

– Non, en 69 ! Indique Madame Chamoulet.

Eh oui, la position magique celle où on se fait lécher tout en léchant à ce point qu’on a l’impression de se lécher soi-même.

Le deux femmes mouillent comme des éponges, chacune se régalant des sucs de l’autre. Gino et Martinov se branlent en les regardant.

Quand Béatrice porta sa langue sur le clito de sa partenaire, cette dernière par une belle réciprocité en fit de même ce qui fait que les deux diablesses jouirent quasiment en même temps…

Les deux femmes s’embrassent encore une fois et se relèvent pantelantes.

– Ben dis donc, Maman tu pètes la forme ! lui dit Gino.
– Toi aussi on dirait ! Tu comptes rester longtemps avec ta bite raide comme un bout de bois ! Viens donc enculer ta mère !

Martinov2603Elle ne lui demande pas s’il est d’accord, elle se met en levrette et attend l’assaut. Mais Gino ne se dégonfle pas et lui fous sa bite dans le cul.

– Martinov, vient devant moi que je te suce la bite pendant que mon fils m’encule.

Vous pensez bien que le professeur n’allait pas refuser une telle proposition. Et le trio infernal se met en place.

– Oh, toi aussi t’as une bonne bite ! Dit-elle à Martinov après avoir gouté à son chibre. Béatrice ne fait pas banquette, passe derrière mon fils et fous lui ton doigt dans le cul, ça va le motiver encore plus.

Imaginez le tableau ! Quatre joyeux érotomanes en furie ! Mais c’est le professeur qui sera le premier à quitter le quatuor, trop de jouissance contenue, ne pouvant ternir la distance il explosa son sperme dans la bouche gourmande d’Hélène qui s’en pourlécha les babines.

– Il est trop bon, ton foutre, pépère !

Il va s’assoir complètement lessivé, tandis que Gino stimulé par le doigt de Béatrice qui s’agite dans son cul continue de sodomiser sa génitrice.

– Continue, insulte-moi, allez !
– Ça te plait de te faire enculer par ton fils, grosse morue !
– Morue je veux bien, mais je ne suis pas grosse, bourre-moi le cul, pédé, suceur de bites, buveur de pisse.

Le lecteur remarquera qu’on est désormais en pleine poésie.

Mais les meilleures choses ont une fin. Après avoir fait hurler sa mère de plaisir plusieurs fois de suite, il finit par éjaculer. Sa mère lui retire la capote et nettoie tout ça !

– Eh bien quelle séance, mes amis, maintenant faut que j’aille pisser…
– Moi aussi ! Précise Béatrice.
– Tu voudrais me regarder pisser ?
– Si t’as rien contre !
– T’es aussi vicieuse que moi, on dirait !
– Je ne vois pas où est le vice là-dedans, mais ça ne fait rien…
– Je sais, je sais… Je crois deviner ce que tu veux…
– Ah oui ?
– Tu voudrais que je te pisse dessus ?
– Oui !
– Peut-être même dans la bouche ?
– Oui !

Et c’est qui se passa, dans la salle de bain Béatrice s’assit sur le sol, ouvrant une large bouche et avala plusieurs rasades du nectar dorée de la belle mature. Et comme vous vous en doutez, elles échangèrent ensuite les rôles.

– Tu fais d’autres trucs extrêmes ? Demanda Hélène.
– Ça ce sont mes petits secrets.
– O.K, je n’insiste pas, mais toi tu m’avais posé une question. Tu veux que je te réponde ?
– T’es pas obligée.
– Non, mais je vais le faire quand même. A Paris nous sortions régulièrement en boite échangiste avec mon fils et Fanny… elle est où d’ailleurs Fanny ?
– Partie faire des courses !
– Elle a raté quelque chose !
– Et Monsieur Chamoulet, il ne doute de rien ?
– Il fait l’autruche, et de toute façon il n’a rien à dire, il a une maîtresse, alors on fait dans le gentleman agrément.
– Mais maintenant comment allez-vous faire ?
– Tu peux continuer à me tutoyer. Le Mans n’est qu’à une demi-heure de voiture, Angers, un peu plus loin, et à la limite il ne faut que trois heures pour aller sur Paris…

Hélène eu le tact de ne pas relancer Béatrice afin de lui faire avouer ses « petits secrets »

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 27 janvier 2024 6 27 /01 /Jan /2024 10:57

Gaystamp

Martinov 26 – Les sculptures incas – 2 – L’atelier du peintre par Maud-Anne Amaro

– Bizarre cette visite, en premier lieu on pourrait penser que la bonne femme était envoyée par un type déçu de ne pas avoir pu acheter la propriété… mais il y a cette affaire de slip, j’avoue ma perplexité ! C’est quelqu’un de connu dans le coin ? Demande Martinov
– On n’a pas trop cherché à savoir et puis vous savez, ça ne fait même pas un mois que nous sommes ici…
– J’ai quand même l’impression que cette visite vous a troublé ?
– On le serait à moins…
– Vous êtes superstitieux, monsieur Chamoulet ?
– Peu importe ! Bon, je vous propose de regarder le puit maintenant, à moins que vous vouliez boire quelque chose avant ?
– Si vous aviez un jus de fruit ? Demande Béatrice.
– Pour moi aussi ! Ajoute le professeur.

On sent Chamoulet agacé par ce petit contretemps. Manifestement il a hâte que ses visiteurs se rendent au puit.

C’est un puit bien banal avec son petit muret de pierre en cercle, il n’y a plus ni treuil ni poulie.

– Il est à sec ! Explique Chamoulet, ça l’agence s’est bien gardée de nous le préciser, mais je vais faire un relevé de tout ce qu’ils ont oublié de nous dire, je ne suis pas du genre à me laisser emmerder.

Béatrice sort de son sac un télémètre laser afin de mesurer la profondeur

– 12,5 mètres ! Annonce-t-elle
– C’est drôlement pratique votre truc, on trouve ça où ?
– Je vous dirais ! Donc en fait ce que vous souhaitez c’est qu’on aille voir au fond du puit ! C’est bien ça ?
– C’est tout à fait ça ! Je suppose que vous avez apporté une caméra !
– Ça ne suffira pas, si vraiment il y a des bas-reliefs en bas, il faut savoir d’où ils sortent et pour cela il faut examiner la matière dont ils sont faits, la caméra ne sait pas faire ça
– Ah ? Mais qui va descendre ? Demande Chamoulet.
– Pourquoi ne pas demander à votre fils !
– Impossible !
– Et pourquoi donc ?
– Il est claustrophobe ! Il va paniquer !
– Ah ! Donc deux solutions, soit on embauche quelqu’un, soit je m’y colle.
– Non, non, pas d’interventions extérieure !
– Mais comme cette prestation est hors devis, je vais vous demander un petit supplément !
– Ce n’est pas un problème ! Il y a une échelle de corde dans la réserve avec un grappin, vous allez pouvoir descendre…

Et le voilà qui s’en va pour aller la chercher !

– Attendez, Monsieur Chamoulet !
– Un problème ?
– Je ne vais pas descendre comme ça, il y a peut-être des bestioles, voire des pièges, je vais faire un saut à Alençon et acheter une tenue adéquate.
– C’est vraiment indispensable ?
– Ben oui !
– Vous y allez maintenant ?
– Dans cinq minutes !

Il bout d’impatience, Chamoulet… et Béatrice s’amuse à le faire lanterner,

– Tu viens avec, moi mon petit professeur ? Lui demande Béatrice.
– Non, je te laisse faire. Moi, je vais faire une balade dans le coin.

La balade s’avère vite décevante, trop de chemins privés et ceux qui ne le sont pas semblent envahis par une inextricable végétation. Il choisit donc de rebrousser chemin et tombe sur Gino.

– Je voulais me balader, mais je n’ai pas dû prendre la bonne direction ! Explique Martinov.
– Faut aller plus loin, le bois est là-bas. Moi je cherche l’inspiration !
– Vous peigniez quoi ? Lui demande Martinov qui s’en fiche complément mais il faut bien alimenter la conversation
– Un peu de tout ! Vous aimeriez voir ?
– Pourquoi pas ?

Et quelques minutes plus tard, Martinov se retrouvait dans l’atelier de Gino. Un joli fouillis avec des toiles partout…

– Oui, il y a pas mal de nus, j’aime bien, D’ailleurs c’est comme ça que j’ai rencontré Fanny, elle était modèle pour peintre… et pas farouche… Vous aimez bien celui-ci ?
– Il est assez joli, j’avoue !
– J’en ai des plus osés, mais je ne voudrais pas vous choquer !
– J’ai passé l’âge de me choquer, voyez-vous ?

Gino ouvre un carton à dessin et en extrait une grande feuille sur laquelle est dessiné au fusain, une femme faisant une fellation du bout de la langue.

C’est très réaliste, très troublant, mais le visage de la femme semble rappeler quelqu’un au professeur mais il ne saurait dire qui ?

– Ce n’est pas évident, il faut que le modèle masculin reste en érection permanente le temps de l’esquisse. Certains travaillent d’après photos, mais moi je n’aime pas ça !
– Intéressant !
– Eh oui, il y a des choses que l’on n’imagine pas, par exemple les annonces de modèles, c’est parfois de la prostitution déguisée, en fin de séance, la fille va se faire aguichante vous demander un supplément… et comme la chair est faible…
– Pareil pour les modèles masculins ?
– Oh là, ne m’en parlez pas ! Mais là je suis moins intéressé… sauf si le mec à vraiment une belle bite… Oh pardonnez-moi, je suis en train de vous dévoiler ma sexualité, passons à autre chose.
– Ne vous excusez pas, je trouve vos propos intéressants.
– Vous trouvez intéressant que je sois un poil bisexuel ? S’amuse Gino.
– Ben oui, peu de gens l’avoue…
– Eh, oui, on vit dans une société de coincés0
– Confidence pour confidence, je le suis aussi un peu moi-même. Précise le professeur.
– Coincé ?
– Non, pas du tout, un peu bi, je voulais dire ?
– Ah, je comprends mieux, Et vous faites quoi ? Vous sucez ? Demande carrément Gino.
– Oui, j’aime bien !
– Vous êtes un coquin, vous !
– Bof, on ne vit qu’une fois.
– Ça vous fait bander que l’on parle de ça ?
– Non quand même pas, et vous ?
– Rendez-vous compte par vous-même !
– C’est vrai je peux ?
– Bien sûr, ce sera un plaisir…

L’engrenage ! C’est un engrenage ! Martinov porte sa main à la braguette de Gino. Il sent la bite demi-molle.

– Attendez je vais la dégager ! Indique le peintre.

Et le voilà, la bite à l’air

– Hum, joli !
– A vous maintenant, il n’y a pas de raison…

Ben oui c’est l’engrenage, Martinov retire son pantalon et son caleçon.

– On se met carrément à poil ? suggère Gino

Et c’est ainsi que deux bonhommes qui ne se connaissaient pas du tout se retrouvent en tenue d’Adam l’un devant l’autre…

– Oh, la belle bite ! S’exclame Martinov.
– Elle te plait !
– Oui, beaucoup !

Les mains ne restent pas inactives, on se touche le zizi, on se palpe les couilles, Gino constatant que les tétons du professeur sont bien développés (dame, à force de se les faire tripoter !) il se met donc à les tournicoter ce qui a pour effet immédiat de rendre la bandaison de Martinov raide comme un piquet.

– T’aime ça, hein mon cochon !
– Hé !

Le lecteur ne sera pas sans remarquer comment le tripotage sexuel facilite le passage au tutoiement !

– Je te suce et après tu me suceras ?
– D’accord.

Flexion du torse, Gino se retrouve bouche contre pine, il l’embouche.

Mouvement de va-et-vient, langue sur le gland… Martinov est bien obligé de constater le savoir-faire de son complice du moment.

Et en même temps qu’il suce, sa main gauche s’égare sur les fesses du professeur, le doigt se rapproche du sillon, file vers l’anus, se fait caressant, puis se retire… mais c’est pour le mouiller de sa salive et revenir.

Petite pression sur la rosette.

– Je peux !
– Bien sûr ! Répond le professeur qui apprécie la correction de son partenaire
– Le doigt pénètre dans le fondement de Martinov et entame une série de va-et-vient.
– T’aimes ça, hein !
– Ouuuuii !
– Tu t’es déjà fait enculer ?
– Oui j’aime bien !
– Tu aimerais que je t’encule !
– Oui ! Si t’as des capotes…
– J’ai tout ce qu’il faut, les capotes, le gel et même une bonne bouteille de Porto pour arroser notre rencontre !

Quand on vous disait que c’était l’engrenage.

Martinov2602

Martinov est invité à sucer Gino afin que sa bite soit bien raide. Voilà une tâche qui n’est pas une corvée pour notre bon professeur Martinov qui se régale de cette bonne bite dans sa bouche. Si on ne l’arrêtait pas il serait capable de sucer des bites pendant des heures entières !

– C’est bon, tourne-toi maintenant que je t’encule !
– Euh faudrait peut-être que tu verrouilles la porte ?
– Pourquoi ? Mon père ne vient jamais ici !
– Mais ta mère, ta femme…
– Ce sont deux belles cochonnes, elles en ont vu d’autres. On est tous un peu coquin dans la famille, il n’y a que mon père qui est coincé du cul !
– Eh bin, on ne doit pas s’ennuyer ici !
– Je ne pense pas ! Mais toi, ta collaboratrice…
– Elle sait aussi être coquine, à ses heures !
– Alors tout va bien, tourne-toi que je t’encule !

Gino s’encapote, passe un peu de gel là où il faut, approche son chibre et entre sa bite dans le cul du professeur.

– C’est bon ?
– Oui !

Un coup de rein et cette fois la pine entre complètement, les va-et-vient peuvent commencer et le professeur en miaule de plaisir.

– T’aime ça te faire enculer, on dirait !
– Oh, oui ! Moi aussi j’aime ça, on pourra inverser les rôles ?
– Si tu veux, et si j’arrive à bien bander. Oh c’est bon continue comme ça !

Et tout d’un coup Gino s’énerve. C’est qu’il sent la jouissance proche, alors il augmente la cadence et pilonne Martinov à une vitesse infernale avant d’éjaculer en criant comme un cochon.

– Désolé, je croyais pouvoir tenir plus longtemps ! Dit Gino en déculant.
– Pas grave tu m’as bien enculé !
– T’as pas joui !
– Ben non !
– Je vais te sucer à fond.

En fait Gino alterna sucette et branlette jusqu’à ce que le professeur éjacule dans un râle.

– La prochaine fois, c’est toi qui m’encules, d’accord ?
– Pas de soucis

Et tandis que le professeur se reculottait, un coup de klaxon résonna dans la courette.

C’est Béatrice qui revient d’Alençon, elle se gare et ouvre le coffre récupérant ainsi l’équipement qu’elle y a acheté.

Elle est rejointe par Martinov et Chamoulet

– Vous en avez mis du temps ! Lui fait remarquer ce dernier sur un ton peu amène
– Oh ! Vous me parlez sur un autre ton, s’il vous plait ! Se rebiffe-t-elle

Chamoulet se recule en marmonnant quelque chose d’incompréhensible. Béatrice enfile une combinaison indéchirable, des bottes et un casque intégral équipé d’une lampe frontale.

– Vous aviez vraiment besoin de tout cet attirail ? Persifle Chamoulet.
– Bon, écoutez, vous nous avez demandé un travail, on va le faire, mais si vous continuez à m’emmerder, ça va devenir compliqué.

On accroche le grappin de l’échelle de corde sur le flan extérieur du puit, on lâche l’échelle. Béatrice s’assoit sur le rebord du puit, envoi ses jambes dans le vide afin de trouver le premier barreau, puis place ses mains comme il faut. La descente peut commencer.

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Au fond du puit, sur la paroi, Béatrice découvre une sorte de bas-relief. Il représente sept personnages complétement nus à l’exception d’un caleçon de forme étrange. Les visages sont recouverts d’un casque grossier leur enveloppant le visage, un énorme collier (ou un tuyau, une écharpe) entoure le cou… Les traits des visages sont peu parlants, nez épatés, et yeux bridés avec des valises en dessous…

L’artiste ne s’est pas cassé la tête, c’est le même bonhomme reproduit sept fois !

– Bon quelqu’un s’est bien amusé ! Se dit Béatrice qui prend une série de photos. Je vais quand même prélever un échantillon qu’on pourra analyser. Merde j’ai oublié ma trousse à outils. Ola, là-haut ! Crie-t-elle.
– Un problème ? Demande Martinov
– Non, dans le coffre de la bagnole, il y a une trousse à outils que je viens d’acheter, un étui jaune ! Tu la prends et tu me la balances !
– Pourquoi avez-vous besoin d’outils ? Demande Chamoulet.
– Pour faire mon métier !
– Mais précisément ?
– Bon, vous nous laissez travailler ou quoi ?

Chamoulet fait barrage de son corps empêchant Martinov de balancer la trousse.

– Je veux savoir ce qu’elle veut faire ! Hurle-t-il.
– Mais enfin calmez-vous, je suppose qu’elle va effectuer un prélèvement pour l’analyser.
– Il n’en est pas question, on laisse tout en état, Si vous avez pris les photos, vous pouvez remonter.

Martinov profite d’un moment d’inattention de Chamoulet pour envoyer la trousse au fond du puit.

Du coup Chamoulet ne se contient plus.

– Mais ce n’est pas possible, quelle idée j’ai eu de traiter avec deux crétins, vous voulez bricoler au fond du puit, eh bien allez-y bricolez.

Et saisissant l’un des barreaux de l’échelle de corde, il la remonte sous les yeux ébahis du professeur.

– Mais vous êtes complètement fou !
– Parfaitement, et elle n’est pas près de remonter, ta pute !

Chamoulet décroche le grapin et fais tomber l’échelle dans le puit, Béatrice a juste le temps de se pousser pour éviter un accident.

Martinov ne sait que faire, physiquement il ne fait pas le poids face à Chamoulet. Alors il fonce vers la voiture de Béatrice, s’installe à la place du chauffeur et sort son téléphone portable pour appeler la gendarmerie.

Chamoulet s’avance. Subodorant que ses intentions ne sont pas pacifiques, Martinov qui n’a jamais passé son permis, démarre et téléphone un peu plus loin.

Dans la courette, Gino, Hélène et Fanny ont rejoint Chamoulet.

– Mais c’est quoi ce bordel ? Qu’est-ce qui se passe ? demande Gino.
– Il se passe que j’ai engagé deux incapables, la pétasse est descendue dans le puit et a fait tomber l’échelle…
– Et Martinov ?
– Il est parti !
– En abandonnant sa collègue ? Il ne serait pas plutôt parti chercher du secours ? Demande Gino.
– Il faut faire remonter la fille, sinon tu vas avoir des ennuis. Suggère Hélène
– On fait comment ?
– J’en sais rien, je vais aller voir s’il reste de la corde dans la réserve.

Il y en avait une.

– Mademoiselle, on vous lance une corde, vous allez pouvoir remonter avec ? Annonce Gino.
– Bien obligée !

Gino, Fanny et Hélène tiennent fermement l’extrémité de la corde permettant à Béatrice de sortir du puit.

Une fois à l’air libre, Beatrice se dirigea vers Chamoulet et lui balança une paire de gifles, celui-ci fut tellement surpris qu’il ne réagit même pas !

– Il est où Martinov ? La voiture elle est où ?
– Il s’inquiétait, il a dû prévenir les gendarmes ! Répond Gino.
– Bon, je vais l’attendre là-bas, en attendant foutez-moi la paix.
– Je ne peux pas voir les photos ? Demande Chamoulet.

Béatrice sans lui répondre alla s’assoir par terre au fond de la courette.

Le professeur Martinov ne tarda pas à revenir, Béatrice lui fit signe.

– Tu vas bien, t’es remontée comment ? S’inquiéta-t-il.
– On m’a lancé une corde ! Allez, on se barre d’ici, je les ai assez vu tous ces connards !
– C’est-à-dire, j’ai prévenu la gendarmerie, ils devraient être là d’un moment à l’autre.
– Je t’en remercie, mais ça ne sert plus à rien….

Mais justement les voilà qui arrivent.

Le brigadier Michel sort de son véhicule accompagné d’une gendarmette à queue de cheval et d’un type bedonnant en veston-cravate. Du coup tout le monde se retrouve de nouveau dans la courette.

– Bonjour, qui est-ce qui nous a téléphoné ?
– C’est moi ! Répond Martinov.
– Il y a toujours une personne au fond du puit ?
– Non, on m’a lancé une corde ! Intervient Béatrice
– Ben alors il est où le problème ?
– Y’a aucun problème, l’échelle de corde est tombée, elle a paniqué, on lui lancé une corde… Rétorque Chamoulet…
– Et même que j’ai failli recevoir le grappin sur la gueule ! Le coupe Béatrice.
– Et vous faisiez quoi au fond du puit ? Demande la gendarmette.
– J’étais sous contrat avec ce monsieur qui soupçonnait les parois inférieures du puit d’abriter des bas-reliefs étranges.
– Bon, si je comprends bien tout est rentré dans l’ordre ! Quelqu’un veut porter plainte ! Reprend le brigadier.
– Laissez tomber ! Conclut Béatrice.
– Vous êtes nouveaux ici ! Intervient le type en civil.

Ce n’est pas une question, c’est un constat, mais il ne s’adresse pas aux bonnes personnes.

– Le propriétaire c’est ce monsieur ! Rectifie Martinov en désignant Chamoulet du doigt.
– Ah ! Je me présente, Emile Delornière, je suis le maire de cette ville.
– Enchanté ! Répond hypocritement Chamoulet.
– Vous ne vous êtes pas présenté à votre arrivé.
– Pourquoi, c’est obligatoire ?
– Non monsieur, ce n’est pas obligatoire, c’est de la politesse élémentaire.
– J’ignorais ce genre d’usage…
– Nous sommes ici une grande famille, si vous voulez vous faire accepter, il faudra le mériter et éviter de faire appel à la force publique pour des queues de cerises.
– Mais ce n’est pas moi…
– Au revoir, messieurs dames

Et il remonte dans la voiture des gendarmes qui démarre dans la foulée.

Chamoulet est au bord de l’apoplexie

– Bravo, maintenant je vais avoir tout le patelin contre moi à cause de vos conneries !

Martinov et Béatrice se gardent bien de répondre.

– Allez mon petit professeur, on se casse ! Lui dit Béatrice en ouvrant la portière de sa voiture.

Et c’est à ce moment-là que Gino accoure vers la bagnole.

– Accordez-moi cinq minutes, juste cinq minutes.
– Ta gueule ! Lui répond Béatrice très remontée.
– Attends, il ne nous a rien fait ! Intervient le professeur qui n’a rien contre Gino (et pour cause)
– Je vais monter à l’arrière ! Avancez-vous sur 300 mètres, je vous explique ce que j’ai à vous dire, ça ne durera que cinq minutes.
– Bon d’accord, mais vous avez intérêt à être génial. Lui répond Béa.

500 mètres plus loin, Béatrice stoppe le véhicule sur le bas-côté.

– Allez ! Cinq minutes chronos pas une seconde plus.
– Mon père a pété les plombs, mais c’est un problème que je vais régler. Ce que je vous propose c’est de vous racheter le contrat qu’il a passé avec vous. Je vous paie cash et d’avance. Voilà c’est tout !
– Vous rêvez, vous croyez vraiment que l’on va continuer à travailler en ayant votre père sur notre dos ?
– Il ne sera pas sur votre dos, je m’en charge, je vous demande une demi-heure, ensuite vous pourrez revenir en toute tranquillité.
– Bon, sortez de la voiture, on se concerte ! Répond Béatrice.

– On tente le coup ! Propose Martinov.
– Ça me prend le chou !
– Qu’est-ce qu’il nous resterait à faire ?
– Prélever un petit morceau du bas-relief pour l’analyser, c’est tout ce qui reste à faire sur place, pour le reste ça peut se faire à distance.
– A distance ?
– Oui je t’expliquerais.
– Donc si on revient, c’est juste pour que tu puisses redescendre ?
– Oui, mais tu vois, je n’ai pas du tout envie d’y retourner maintenant, alors on peut faire une chose, on va aller faire un tour à Alençon, on se paie un bon restau, on se prend une chambre d’hôtel et on finira le boulot demain !

Ils rappellent Gino qui accepte la solution de Béatrice.

Le Maire aperçoit Simon Lansac dans son champ et demande au gendarme d’arrêter la voiture afin qu’il puisse le saluer.

– Bonjour Simon, tu vas bien !
– Chaudement, mais ça va, qu’est-ce que tu fais avec les gendarmes ?
– C’est le nouveau propriétaire du Clos de Merisiers qui nous a appelé, Il est complètement fou ce mec, il nous a dit qu’une personne était bloquée au fond de son puit, quand on est arrivé, il n’y avait personne dans le puit. D’ailleurs personne n’a porté plainte. Je lui ai dit ma façon de penser ! On ne va pas se laisser emmerder par des parigots débiles.
– Oui il n’a pas l’air net, je l’ai croisé l’autre jour, il n’a même pas répondu à mon bonjour.
– Bon je te laisse bosser, bonne journée.

Le venin était distillé, le bouche à oreille se chargerait de la suite et en un temps record toute la bourgade serait bientôt au courant des « incivilités » de Chamoulet.

En revenant au Clos des Merisiers, Gino aperçut son père qui l’attendait de pied ferme.

– Qu’est-ce que tu es allé discuter avec ces connards ?
– Tu devrais te calmer, tu vas nous faire une crise cardiaque !
– Répond à ma question !
– Tu veux vraiment savoir la vérité au sujet des bas-reliefs ?
– Evidemment, mais ces deux connards…
– Arrête avec ça, ce ne sont pas des connards, ils ont d’excellentes références mais je t’en prie laisse les travailler comme ils l’entendent.
– Mais qu’est-ce tu me racontes, elle allait casser un morceau du bas-relief…
– Elle n’a pas dit qu’elle allait le casser, elle a dit qu’elle voulait en prélever un bout.
– Si, elle allait le casser ! Insiste Chamoulet.
– Mais non !
– Je sais encore ce que je dis, et puis si t’es pas content, t’as qu’à te barrer d’ici avec ta poule, quand je pense que je t’héberge gratuitement et que tu oses me tenir tête.
– Arsène ! Tu exagères, tu es en train de dire n’importe quoi ! Intervient Hélène que l’on n’avait pas entendu jusque-là.
– Tu t’y mets aussi, toi. Tout le monde est contre moi alors !
– Mais non !
– T’as discuté de quoi avec eux, alors ? Reprend Chamoulet
– Je leur ai dit que je rachetais le contrat et que je les paierais cash.
– Avec quoi, t’as pas un rond !
– Oui mais toi, tu en as !
– Ben voyons !
– Bon je monte me reposer, faites ce que vous voulez puisque je n’ai plus droit à la parole ici !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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