Vendredi 30 août 2024 5 30 /08 /Août /2024 16:33

Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 4 – Le donjon de la Duchesse par Nicolas Solovionni
Chanette

A minuit, heure locale, je franchissais la porte du hangar-prison et découvrait Romani roupillant sur une couchette puante.

– Romani ?
– C’est quoi ?
– Tu es Romani ou pas ?
– Ouais
– Je viens te libérer, suis-moi, je t’expliquerai mieux tout à l’heure

Il se lève difficilement puis me suit comme un zombi. Je prends le chemin du cosmodrome avec lui sans être inquiété.

– Je voudrais comprendre… Finit-il par dire.
– Bon, tu es libre, c’est l’essentiel, non ? Alors tu vas nous foutre la paix !
– Vous m’emmenez où ?
– Tu la fermes un peu !

On fait monter l’individu à bord de mon vaisseau, on le fait assoir et j’attaque de suite, inutile de perdre du temps

– Qu’est-ce que tu as fait du collier que tu as piqué à Marcia sur Vargala ?
– Hein, quoi ? Quel collier ? Qui c’est Marcia ?
– Ecoute moi, Ducon, si tu continues à faire le mariol, je te fais descendre sur le tarmac et ta peau ne vaudra plus bien cher. Alors t’as intérêt à collaborer, on ne te demande pas la lune !
– Il a quoi de spécial ce collier ?
– Qu’est-ce que tu en as foutu ?
– Et quand je vous aurais répondu, qu’est-ce que vous allez faire de moi ?
– Tu verras bien.

Et c’est qu’il tremble, le citoyen !

– Je l’ai perdu au jeu… Balbutie-t-il.

Manquait plus que ça !

– Et tu connais l’identité de l’heureux gagnant ?
– Oui !
– Et l’adresse ?
– Non, mais c’est trouvable.
– Alors débrouille toi pour nous trouver tout ça !
– C’est pas ici !
– C’est où ?
– Sur Idoxa.
– Ah ? Eh bien on va aller y faire un tour, ça nous fera une balade. Toi on t’emmène, et te plains pas tu seras nourri aux frais de la princesse !

Et nous voilà repartis. On a enfermé Romani dans une cabine verrouillée. Pas facile à gérer ce type, grincheux, irascible, jamais content. Quelque part il faut le comprendre, il se demande ce qu’on va faire de lui, on a beau essayer de le rassurer en lui promettant qu’on n’en a pas après sa vie. Il ne nous croit pas. Damme, mettez-vous à sa place !

– Il s’appelle comment ton gagnant ?
– Je ne connais pas son nom, c’est une dame, tout le monde l’appelle la duchesse.

Après un voyage de quinze jours nous voilà sur Idoxa, une planète aquatique où seule une grande île au climat enchanteur émerge, quelques rupins y ont élu domicile dans des résidences de rêves, tandis qu’ici comme ailleurs un quartier chaud s’est créé à la lisière de petit cosmodrome avec les inévitables bar louches, bordels et autres casinos.

On a laissé Romani enfermé dans une cabine et je suis descendu avec Dyane

Dans le premier rade venu, j’ai obtenu les coordonnées de la duchesse. Ce n’est pas trop loin, on y va à pied.

On sonne, et première surprise, une espèce de pâtre grec nous ouvre, un beau gosse mais pourquoi est-il affublé d’un collier d’esclave ?.

– Je suis le capitaine Ajas Stoffer, Dyane Makaya est ma seconde de vaisseau et nous désirons nous entretenir quelques courts instants avec madame la duchesse.
– Je vais voir si ma maîtresse peut vous recevoir.

Bref, il nous fait entrer et assoir dans un grand salon richement décoré. Un vrai fourbi qui doit valoir son pesant de pognon ! Un gros chien beige à poils longs vient nous renifler, s’attardant lourdement sur l’entrejambe de Dyane qui s’amuse de la situation.

Et voilà la duchesse qui s’amène, grande brune aux longs cheveux, toute de noir vêtue, la cinquantaine, sourire carnassier, une très belle femme mature.

– Je vous écoute.
– Nous sommes à la recherche d’un collier que vous auriez gagné au jeu…
– J’ai gagné tellement de choses, j’ai beaucoup de chances au jeu…

Je lui montre la photo de l’objet..

– Et vous le recherchez pour quelle raison ?
– Ce collier appartient à un amie, elle y tenait, on lui a volé, elle m’a chargé d’essayer de le récupérer..
– En voilà une noble tâche, mais il n’est plus en ma possession. Effectivement j’ai gagné cette breloque au poker, je l’avais trouvé pas mal mais je m’en suis lassée, j’ai tellement de bijoux ! J’ai demandé à maître Tongo de le vendre aux enchères…
– Maitre Tongo ?
– Oui, la commissaire-priseur !
– Donc je ne le retrouverais jamais ?
– Il ne faut jamais dire jamais ! Maître Tongo pourrait éventuellement vous indiquer qui l’a enchéri, en principe cela ne se fait pas mais je peux toujours l’influencer…
– Vous feriez ça pour moi ?
– Disons que c’est dans mes capacités, je vous offre un café, il est excellent, torréfié avec des graines locales…
– Pourquoi pas ?

Elle demande au pâtre grec de préparer les cafés.

– Il est mignon ! Commenté la duchesse, c’est un peu mon sex-toy. Il s’appelle Swan. Voyez-vous j’ai deux passions, le jeu et le sexe, je ne vous choque pas, j’espère ?
– Pas du tout !
– Tant mieux, je le suis laissé dire qu’à bord des vaisseaux comme le vôtre régnait parfois une ambiance très décontractée. Vous confirmez ?
– On va dire que ça fait partie des traditions.
– Eh bien, vivent les traditions ! Moi j’aime bien varier mes partenaires, malheureusement il ne passe pas grand monde par ici. Mais j’ai mon cercle d’amis, on s’amuse de temps en temps à des petits trucs sadomaso.

C’est pas possible, comme elle est partie elle va nous proposer une partouse !

– Je suis un peu dominante, cela m’amuse de jouer avec des esclaves, vous aimez ce genre de jeu ?
– Je préfère des jeux plus soft mais de temps en temps pourquoi pas ?
– Et si je vous invitais à une petite soirée spéciale ? Vous et votre équipage, non pas l’équipage, ça ferait trop de monde, mais disons votre staff ?

Je ne sais trop quoi répondre, j’échange un regard avec Dyane qui a l’air de trouver la proposition très amusante

– C’est tentant ! Répondis-je mais pourquoi cet honneur ?
– Ça n’a rien d’honorifique, il est rare que j’aie affaire à des nouvelles têtes, alors puisque l’occasion m’en est donnée… Vous seriez combien ? Cinq ? Six ?
– Notre staff, à part nous deux, compte deux hommes et une femme, mais nous avons aussi une stagiaire transsexuelle.
– Oh ! Mais c’est très bien ça ! Et ils seront difficile à convaincre ?
– Je ne crois pas, non ! Mais ais-je votre promesse d’intercéder auprès de cette commissaire-priseur ?
– Soyez à la hauteur et ça devrait aller…Me répond la Duchesse avec un sourire enjôleur.
– Et si nous ne sommes pas à la hauteur ?
– Ne soyez donc pas défaitiste, capitaine !

Et comme le lecteur l’aura deviné, je n’ai eu aucun mal à convaincre mon équipe de se rendre à cette intrigante invitation. Seul Dilos ne se déclara pas intéressé. On fera sans lui !

– Pas de piège ? S’inquiète néanmoins Sierra ?
– Je ne vois pourquoi il y aurait un piège, on sera cinq, elle ne sera qu’avec son biquet…
– T’en sais rien, il y aura peut-être des invités…
– On verra bien, tu me fais confiance ou pas ? Sinon rien ne t’oblige à y aller.

Nous sommes arrivés à l’heure j’ai apporté des fleurs et une bonne bouteille.

Contrairement à ce que je croyais, la Duchesse n’est pas seule, il y a là deux couples d’âge moyen. On fait les présentations, ils ont l’air sympas. Tout va bien, on se boit un coup. Lorna une grande brune au sourire glamour s’approche de moi en se dandinant.

– Alors jeune homme, mon décolleté vous plaît ?
– J’adore !
– Vous aimeriez en voir davantage ?
– Bien sûr.

Et la voilà qui se dépoitraille offrant à mon regard libidineux le spectacle de deux magnifiques mamelles terminés par de jolis tétons arrogants.

– Magnifique ! Je peux toucher ?
– Il faut le mériter.
– Et que dois-je faire pour le mériter ?
– Plein de choses, mais rien ne presse. Répond-elle en me collant sa main sur mon entrejambe découvrant ma bite bandée.

Ingrid, une petite blondinette rondouillarde entreprend Nadget de façon très directe en lui roulant un patin tandis que les deux messieurs invités tripotent Sacha sans vergogne.

Et si Dyane semble faire banquette, ce qui n’est guère dans ses habitudes, Nerren et Swan sont en train de sympathiser activement.

Ça commence fort !

Mais tous ces mouvements d’approches sont interrompus par la Duchesse qui nous invite à la suivre dans son petit donjon.

C’est en fait une grande salle borgne avec des chaînes qui descendent du plafond, deux croix de Saint André, un chevalet et posé sur des planchettes ou accroché au mur toute une variété d’objets frappeurs, pinceurs ou pénétrateurs.

– Asseyez-vous, pour qu’on ne fasse pas d’impair, il y a des bracelets à votre disposition, rouge pour les dominants, vert pour les soumis, si vous êtes switch vous mettez les deux. Ceux qui n’ont pas de bracelets seront donc spectateurs. Pour les soumis il y a un mot de sécurité, c’est « antilope »

Je choisis un bracelet vert, n’étant pas vraiment dominateur.

– Et maintenant, mettez-vous l’aise, on va commencer, il me faudrait une domina pour m’assister… Dyane ? Viens ma poulette, mais fout toi complètement à poil, ce sera plus cool.

Stoffer504Je ne vois pas pourquoi la Duchesse reste habillée, mais je suppose que c’est volontaire.

Elle désigne Nadget et Ingrid et les invite à venir au milieu de la pièce, elles sont ensuite attachées par les poignets à l’aide des chaînes descendant du plafond, des pinces garnies de poids viennent leur pincer les tétons, et les grandes lèvres. Si Ingrid semble avoir l’habitude de ce genre de sévices et encaisse sans mot dire, Nadget fait une vilaine grimace.

– Ah, ça fait mal, hein ?
– Oui, mais ça va ! répond la blackette.
– Tu aimes ça souffrir, hein pétasse ?

Et la duchesse ponctue ses paroles en tirant sur les pinces du bas.

– Aïe aïe, ouille…
– Mais dis donc, on dirait que ça te fait mouiller, t’es une vraie salope.
– Oui !
– Dis le que tu es une vraie salope !
– Je suis une vrai salope, aïe, ouille !.

Et après ces mises en bouche une corde vient enserrer les deux soumises l’une contre l’autre, face contre face.

– Vous avez voulu vous bécoter, vous allez pouvoir continuer à le faire pendant que l’on va vous rougir le cul.

La duchesse tend une cravache à Dyane et les deux femmes commencent à fouetter les joufflus des deux victimes consentantes. Ça cingle fort et si Ingrid ne fait que couiner à chaque coup, Nadget braille à tout va, mais sans prononcer le mot de sécurité.

La duchesse fait signe à Dyane de stopper la flagellation. Est-ce la fin du supplice des deux soumises ? Vous pensez bien que non. La duchesse libère le lien qui les solidarisait, les fait se retourner et les colle de nouveau l’une contre l’autre sauf que cette fois ce sera fesses contre fesses.

La duchesse lève sa cravache devant Nadget. Dyane s’apprête à en faire autant avec Ingrid.

Nadget comprend qu’elle va se faire fouetter les seins.

– Non pas ça !
– Tu veux dire le mot ?
– Je ne sais pas !
– Si tu ne dis pas le mot je vais frapper…

Nadget hésite un moment, la duchesse a l’intelligence de la laisser réfléchir quelques secondes.

– Vas-y, je me laisse faire ! Finit-elle par dire.

La duchesse fait signe à Dyane que le supplice peut se poursuivre. Spectacle fascinant de voir ainsi Nadget les larmes aux yeux et poussant des cris de douleur semblant prendre un plaisir extatique à cette situation.

Je n’ai pourtant pas d’instincts sadiques, mais cette scène m’excite et je me caresse ma bite bien bandée. Mon voisin, l’un des ‘invités » en fait de même… Et voici que sa main vient s’égarer sur mon sexe. Je le laisse faire, puis lui rend la réciproque (il n’y a pas de raison !). Elle est très belle cette bite… Je la sucerais volontiers…

Mais après tout qu’est-ce qui m’en empêche ? Je me penche et hop dans ma bouche la pine du monsieur !

Et c’est qu’elle est trop bonne cette bite, un petit gout musqué qui n’est pas pour me déplaire, je procède par de longs et profonds allers et retours dans ma bouche, l’autre est content comme tout du traitement que je lui prodigue.

– Non mais regardez-moi ces deux pédales ! Intervient la duchesse qui a mis fin aux tourments des deux soumises.

Je ne sais plus si je dois continuer ou pas…

– Je parie que tu adores te faire enculer ? Reprend la maîtresse des lieux.
– Ça n’a rien de désagréable ! Répliquais-je crânement.
– Alors viens au milieu de la salle et mets-toi en levrette ! Tu aimes qu’on t’encule, tu vas être servi. Et tout le monde va regarder.

Pour moi cela n’a rien d’humiliant, j’aime ça et c’est tout !

Malheureusement l’affaire n’a pas duré longtemps, excité comme une puce, mon partenaire a du jouir dans mon cul trois minutes après m’avoir pénétré. C’est frustrant.

La duchesse nous renvoie à nos places. Je pensais qu’elle renverrait aussi les deux soumises… Eh bien non, elle avait d’autres projets salaces en tête…

Lorna qui semble m’avoir à la bonne s’immisce entre mes cuisses et fait joujou avec ma bite.

La duchesse ramène deux sièges au milieu de la salle, fait assoir Nadget et Ingrid et leur retire leurs pinces. Puis elle sort du donjon avant de revenir avec le gros chien tenue en laisse.

Pas difficile de deviner ce qui va se passer… sauf que j’ignore si Nadget va accepter ce genre de choses.

La duchesse dirige le chien vers Ingrid qui spontanément écarte ses cuisses. Le chien viens lui laper la moule à grands coups de langue ce qui fait parler d’aise la blondinette.

Après cinq minutes de ce traitement, la maîtresse du lieu entraîne le chien vers Nadget, celle-ci ferme les yeux et écarte les cuisses à son tour acceptant la. caresse buccale du quadrupède..

La duchesse essaie ensuite de coucher le chien sur le flanc, mais l’animal fait preuve d’inertie. Elle doit solliciter le concours de Dyane pour y parvenir.

Dans cette position, elle peut s’emparer du sexe du chien et le caresser avant de le prendre en bouche. Elle fait signe à Ingrid de venir la rejoindre, celle-ci semble être une habituée de la pratique puisqu’elle vient gober la bite canine sans l’ombre d’un hésitation.

C’est maintenant au tour de Nadget, laquelle hésite.

– Fouette-moi cette morue, dit la duchesse à Dyane, ça va la décider, et tape fort !

Un seul coup suffit à la décider, elle se penche vers le chien, ferme les yeux, ouvre la bouche, la duchesse dirige le sexe rougeâtre vers elle, il n’y a plus qu’à sucer

Je pensais que l’étape suivante serait la pénétration, en fait non le chien est invité à se coucher dans un coin tandis qu’Ingrid est priée de se coucher sur le sol. La duchesse après lui avoir intimé l’ordre de rester bouche ouverte, lui pisse dessus d’abondance. A ce point que la pauvre s’avère incapable de tout avaler.

– Je ne t’ai pas dit d’en foutre à côté, espèce de trainée lubrique !
– Pardon maîtresse.
– Pour la peine, je vais te chier dessus
– Oh, oui maîtresse, c’est tout ce que je mérite.

C’est vraiment la totale !

La duchesse se concentre un bon moment avant de pondre un joli boudin qui dégringole sur le visage de la soumise. Elle l’a laissé plantée là avec son étron et se dirige vers Sacha

-Toi, lèche-moi le cul, je n’aime pas rester avec le cul merdeux.

Sacha qui a dû en voir d’autres s’acquitte de cette tâche avec une décontraction surprenante.

– Alors c’était bon ?
– Délicieux, madame !
– Et tu n’as pas honte ?
– Ben non !
– Tu devrais, viens avec moi je vais te punir.
– Mais je n’ai rien fait ! Fait-elle mine de protester.
– Ce n’est pas un problème, je suis une salope et j’adore punir même quand ce n’est pas justifié.

Ils se dirigent vers Ingrid toujours à terre avec son étron sur la tronche.

– Je vais te demander de m’embrasser sur la bouche ! Indique-t-elle à Sierra mais avant une petite gourmandise…

La duchesse prélève un petit peu de matière sur le visage d’Ingrid, puis le porte à sa bouche, elle s’essuie ses doigts sales sur les joues, puis elle fait signe à la trans de s’approcher.

Sierra ne se dégonfle pas, et ces deux dépravés s’échangent un long baiser merdeux.

– Je crois que vous pouvez les applaudir ! Intervient Swan que l’on avait pas beaucoup entendu jusqu’ici

Alors effectivement on applaudit je trouve cette séquence un peu limite, mais n’empêche que ça me fait bander ! Pas simple la nature humaine !

– Si je comprends bien, ce n’était pas vraiment une punition ! Le nargue la duchesse.
– Ben…
– Mets-toi en levrette et ne bouge pas d’un poil, tu vas voir ce qui va t’arriver.
– Oh là là, j’en tremble d’avance ! Se moque-t-elle.

La duchesse ne tient pas compte de son impertinence et s’en va rechercher le chien. Elle prélève un peu de sa propre mouille et en empreigne l’anus de Sierra. Le chien a compris et encule la transsexuelle.

– Oh, la sale bête, qu’est-ce qu’elle me fait ?
– Tu vas te taire, on entend que toi !
– Oh, c’est bon, c’est trop bon, je vais jouir du cul.
– Pas moyen de faire une domination sérieuse avec des phénomène pareils ! Fais mine de se désoler la duchesse avant de venir s’occuper de Nadget qui est dirigée vers une petite banquette.

– Ne bouge pas, tu vas avoir de la visite !

Elle demande alors aux deux hommes invités et à Swan de la rejoindre.

– Allez, Messieurs, elle est à vous.! Tous ses trous sont disponibles !

Quelle poésie !

Ces messieurs dames se disposent de telle façon que la double pénétration puisse se faire aisément et c’est parti, une bite dans la chatte, une bite dans le cul de la part de ces messieurs, tandis que Swan se fait sucer.

– Tu te rends compte de la salope que tu es ? Se faire baiser par trois hommes en même temps ! Dis-le que tu es une salope !

Le problème c’est que ce n’est pas facile de parler la bouche pleine…

Nadget n’en peut plus, elle jappe de plaisir sous les coups de boutoir des deux bonhommes. Swan ne résiste pas longtemps à la fellation malgré qu’elle soit chaotique et lui décharge dans la bouche. Il se retire tandis que celui qui la baisait prend lui aussi son pied, du coup, il passe devant pour se faire nettoyer la bite. Reste le dernier, celui qui s’occupe de son cul et il ne ménage pas sa peine, le gars, il doit avoir de l’entrainement pour pilonner à cette cadence. Il finit par jouir à son tour en poussant un cri d’animal perdu. Comme son collègue il présente sa bite à Nadget afin qu’elle la nettoie. Le souci c’est que la bite est ressortie pas bien nette… Mais Nadget n’en a cure, ce n’était donc pas un soucis. L’excitation nous fait parfois faire des choses insoupçonnables !

Quant à Nerren pour l’instant il fait banquette je me demande bien pourquoi, il est mignon, il a une belle bite et de jolies fesses…

Mais c’est sans compter sur la Duchesse et son sens de l’organisation.

– Viens là, toi ! On va s’occuper de toi.

Elle lui pince les tétons assez fortement et l’entraîne au milieu de la pièce, fait se relever Ingrid qui se demande comment se débarrasser de l’étron qui lui colle au visage.

– Attends, je vais arranger ça ! Lui dit la duchesse en lui barbouillant le visage et les seins avec la matière. Et maintenant tu vas pouvoir te venger de toutes les misères qu’on t’a fait subir. Tu vois ce pédé que je t’ai amené, tu es autorisé à te défouler dessus ! D’accord.
– Avec plaisir !

Ingrid s’amuse alors à lui tirailler les tétons en tous sens lui provoquant des gémissements où la douleur se mêle à au plaisir. A l’aide d’un lacet elle lui ligature les couilles, puis après l’avoir fait retourner entreprend de lui rougir les fesses mais non pas avec la cravache mais avec une fine badine.

Pendant ce temps la Duchesse est venue dégager Lorna de sa position en la tirant par les cheveux sans trop de ménagement. Elle lui souffle quelque chose à l’oreille et je la vois se diriger vers les accessoires, s’emparer d’un gode ceinture et s’en équiper.

Quelques instants plus tard, elle enculait Nerren lequel semblait ravi de ce qui lui arrivait.

Dyane après en avoir demandé la permission est allé quérir deux godes sur la planche à accessoires, elle revient s’assoir à sa place et se loge l’un des godes dans la chatte l’autre dans le cul et se les fait vibrer. Lorna l’a rejoint et l’aide à activer les godes tout en embrassant goulument sa partenaire. Quand Dyane eut atteint sa jouissance (Laquelle fut un peu (beaucoup) bruyante !) Lorna lui subtilisa les godes pour se faire jouir à son tour (il n’y a pas de raison !)

Et voilà que la Duchesse vient me rejoindre elle s’assoit sur mes genoux me faisant face et entame une lap dance à faire bander un saint.

Et ce qui devait arriver arriva, La duchesse s’empale sur mon sexe, cette fois c’est la lap dance hard. Je sens que je vais jouir. Elle calme le jeu, cesse la pénétration… Qu’est-ce qu’elle fout ? En fait elle change de trou et c’est avec un magnifique sourire qu’elle s’auto-encule sur ma pine, tout cela avec un sourire désarmant.

Elle appelle Nerren.

– Je veux que tu branles devant moi pendant que je me fais enculer, je veux que tu m’arrose le visage.

En ce qui me concerne, vous pensez qu’avec une telle situation je ne vais pas pouvoir tenir longtemps et je ne tarde pas à jouir dans un spasme.

Elle continue néanmoins jusqu’à sa propre jouissance (elle veut me tuer ou quoi ?). puis sentant Nerren au bord de la jouissance lui fait signe de l’arroser puis ainsi maquillée elle prend un malin plaisir à me nettoyer la bite.

Moment calme, il faut bien souffler un peu.

– Bon c’était bien tout le monde est content ? On repasse à côté, on va se boire un coup !

Et bien les amis, on a bien fait de venir !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 30 août 2024 5 30 /08 /Août /2024 16:31

Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 3 – Partouze à bord par Nicolas Solovionni
Solo

Au retour de nos aventures sur Orza, mes proches compagnons ont tout comme moi investis dans des établissements locaux, ainsi Dyane Makaya, ma seconde de vaisseau a racheté un important institut de massage, Nerren Petrov, mon navigateur et Nadget, ma technicienne préférée, ont chacun acquis un restaurant tandis que Dilos mon ingénieur de bord s’est payé un hôtel assez classe.

Vont-ils accepter de me seconder pour aller à la recherche d’un collier ?

– Si mon staff est d’accord on y va… Confiais-je à Marcia avant de la quitter

De façon surprenante, je n’ai eu aucun mal à les convaincre. Que voulez-vous l’espace est une drogue !

J’ai prévenu Sierra, la jolie transsexuelle, que je partais, et que je pouvais l’emmener, elle était folle de joie. J’aime bien de temps à autre faire plaisir aux gens.

Et après avoir prévenu Marcia nous avons décollé.

Une fois dans l’hyperespace nous avons sacrifié à la tradition, et cette tradition, vous la connaissez, chers lecteurs, un pot bien arrosé dans le mess des officiers et son inévitable suite orgiaque.

Je mets néanmoins Sierra en garde.

– Tu risques d’être l’attraction, autrement dit tu vas être sollicité sexuellement. Si ça te pose des problèmes tu peux toujours regagner ta cabine, on ne te violeras pas.
– Même pas un tout petit peu ? Me répond-elle avec un sourire désarmant.

Que voulez-vous répondre à ça ?

On débouche le champagne, on trinque. Et puis les choses démarrent très vite. Dyane s’approche de Nadget en adoptant une attitude on ne peut plus explicite.

Nadget l’accueille à bras ouvert (littéralement) et les deux femmes commencent par s’changer de sages bisous sur le bord des lèvres.

Elles sont maintenant collées l’une contre l’autre. Les vêtements ne tardent pas à dégringoler, les voici seins contre seins en train de se rouler des galoches.

Nerren a sorti sa queue de son pantalon et se dirige tout droit vers Sierra.

– J’aimerais bien que tu me fasse voir comment tu suces !
– Mais bien volontiers !

Et l’instant d’après la bite de mon navigateur était dans la bouche de la jolie transsexuelle.

Quant à Dilos, très peu porté sur la bissexualité, quoiqu’il ne faille jamais jurer de rien, parfois l’excitation nous entraine dans des chemins insoupçonnés. (voir les labyrinthes d’Orza). Il attend donc que l’inévitable jeu de chaises musicales lui permette l’accès à l’une de ces dames.

Et moi ? se demandera le lecteur. Moi j’aime bien regarder mais je ne m’inquiètes pas, j’aurais comme les autres droit à ma part d’orgie, je l’ai toujours eu, pourquoi voudriez-vous que ça change ?

Les deux femmes en sont déjà au boute minou à moins que ce soit des feuilles de roses, la façon dont elles sont disposées m’empêchant de distinguer les détails.

Nerren et Sierra ont alternés leur position et c’est maintenant Nerren qui suce.

Je bande de trop, il faut que je fasse quelque chose. Je me lève, sort ma bite de mon pantalon, rejoint Nerren et m’accroupis à ses côtés..

Stoffer503bOn se partage donc la queue de Sierra. Vive le partage ! Et inutile de préciser qu’on se régale.

– Tu me prends le cul ? Lui demande Nerren.
– Mais bien sûr mon chéri !

Il a été plus rapide que moi, tant pis, j’attendrais.

Ça gémit de plus en plus fort de l’autre côté de la salle, ce sont les deux filoutes qui s’en donnent à cœur joie. Elles jouissent l’une après l’autre en gueulant comme des damnées. Du coup le chat Yoyo qui était venu nous tenir compagnie, s’enfuit en galopant à toutes pattes.

Elles se sont relevées en sueur et éclusent un coup de champagne. Est-ce bien raisonnable ? Dilos les rejoint d’autorité et se met à caresser les jolis seins chocolatés de Nadget qui se laisse faire avec le sourire.

Je me marre de son choix, Dilos et Dyane ont longtemps été amant et maîtresse, ils ne le sont plus, mais sont pas fâchés pour autant.

Du coup Dyane me rejoint en faisant des effets de buste, on s’embrasse on s’enlace.

Elle s’amuse à regarder Nerren qui est en train de subir une sodomie d’anthologie.

– Tu voudrais bien être à sa place ? Me nargue-t-elle
– Oui, mais j’ai déjà eu l’occasion de tester la bite de cette troublante personne.
– T’es un cochon !
– Et toi tu n’es pas une cochonne ?
– Si pourquoi ? Fais-moi ce que tu veux, ce sera mon quart d’heure de soumise.
– Ah ? Et je te tapais sur tes jolies fesses ?
– Oh oui tape-moi sur mes jolies fesses !

Puisque c’est elle qui demande…

Je m’assois et invite ma seconde de vaisseau à se coucher sur mes cuisses j’ai ainsi une vue imprenable sur son joli postérieur. Je tape à la volée elle encaisse bien ! Faut dire que je ne tape pas comme une brute non plus !

Dyane semble y trouver son compte, si j’en crois ces gémissements très expressifs.

C’est moi qui ai arrêté ce petit moment de délire panpan-cucul. C’est que ça finit par faire mal aux mains cette petite fantaisie.

Un cri rauque à côté de nous un cri de jouissance ! C’est Sierra qui vient de prendre son pied dans le cul de Nerren. La trans décule exhibant à la cantonade une bite maculé de sperme et de d’un peu d’autre chose.

– Viens là ma grande que je te nettoie la bite, lui propose Dyane.

La coquine se jette sur son sexe comme un chat sur un mulot et se met en devoir de lui nettoyer tout ça en quelques coups de langue bien sentis. Quelle cochonne !

De l’autre côté, Dilos s’est couché sur le dos comme un gros feignant laissant Nadget qui transpire à grosses gouttes le chevaucher avec ardeur.

Quant à moi, je voudrais bien jouir à mon tour, ayant la bite douloureuse. Nerren qui est dans les mêmes dispositions que moi vient alors porter une main charitable sur mon sexe bandé.

Il me tripote le kiki, mais il fait ça mollement, je comprends qu’il souhaite tout comme moi sa part de jouissance.

Mais tout problème possède sa solution, que font deux bonhommes qui ont tous les deux envies de jouir ? Ils se mettent en soixante-neuf, pardi !

J’ai toujours eu un faible pour cette position sucé et être sucé, à ce point qu’on a l’impression de se sucer soi-même !

Nerren n’en pouvait plus et décharge dans ma bouche. J’avale tout et il se relève…

Ben et moi alors

Pas vache il se tourne et se penche m’offrant la vue de son joli petit cul. Ce cul il me l’offre, on ne saurait refuser un tel cadeau. J’ai donc enculé mon ingénieur de bord jusqu’à ma propre jouissance.

Moment calme, on boit du champagne ou des jus de fruits. Je m’amuse à observer le regard que Dilos porte sur le sexe maintenant flasque de Sierra.

Cette dernière s’en aperçoit.

– Tu peux me la caresser si tu veux !
– Non ce n’est pas mon truc !
– Essaie quand même, si ça se trouve tu vas aimer.
– Non, non !

Mais ce dialogue a retenu l’attention de l’assistance et ce « pauvre » Dilos se fait maintenant chambrer par tout le monde

– Allez Dilos, allez Dilos, allez
– Vous êtes chiant.

Il approche sa main de la bite de la jolie transsexuelle, la caresse quelques instants, puis pris d’une pulsion irrésistible, il s’agenouille et porte en bouche ce joli membre sous les applaudissements enthousiastes de l’assistance.

Comme quoi, il ne faut jamais dire « fontaine… »

Sierra se dirige vers la sortie du mess.

– Tu t’en va, t’es fâché ? l’apostrophe Dyane.
– Je vais pisser, j’ai une grosse envie.
– Pisse moi dessus !
– Hum, t’es vraiment cochonne, toi, mais je ne suis pas contre.

Dyane s’agenouille et ouvre une large bouche, Sierra se concentre quelques secondes avant de libérer son jet dorée. Nadget voyant la scène se précipite pour venir au côté de sa collègue et recevoir sa part de champagne intime.

Et laissons là pour l’instant cette bande de joyeux drilles (vous savez bien amis lecteurs que nous les retrouverons vite)

Kateylia

Kateylia est un comptoir regroupant des colons de toutes natures, Après des débuts troubles dus à la présence toxique de communautés gynarchiques, (voir Vargala-station, du même auteur) la planète jouit désormais d’un calme relatif..

La capitale regroupe les activités administratives mais possède son quartier chaud avec bordels et casinos.

Sur place, il me faut maintenant localiser ce Romani, j’envoie Rachel enquêter auprès de la capitainerie.

– Rien à faire ! Me dit-elle en revenant bredouille, ce fonctionnaire est psychorigide et mes charmes le laisse aussi froid qu’un glaçon.
– Il est peut-être gay, je pourrais lui envoyer Nerren…
– On peut toujours essayer…

Mais ce pauvre Nerren est revenu après s’être fait jeter comme un malpropre…

Changeons d’interlocuteur. J’ai donc voulu tenter ma chance auprès du gouverneur mais ce con n’a même pas daigné me recevoir

Ça commence mal !

Changement de tactique, je me rends dans un rade du quartier chaud et me met à taper la conversation avec une épave locale.

– Romani ? Il ne vient plus ici, il est en retraite, il s’est acheté une super baraque sur Simac3…
– Ah bon ?
– Vous en êtes absolument sûr ?
– On va demander au patron, s’il confirme ce que je dis vous me devrez 50 balles

Ce dernier confirma !

Simac3 est une planète pour rupins bénéficiant d’un climat enchanteur. (Voir Novassa du même auteur)

Donc on réembarque et on y va, les voyages forment la jeunesse ! Non ?

Sur Simac3 inutile de nous rendre à la capitainerie puisque le citoyen est résident, c’est au pôle administratif que nous nous renseignons.

– Romani ? Vous cherchez Romani ?
– Ben oui !
– Je peux vous demander pourquoi ?
– Nous étions en affaire …
– Ah ? Alors, vous allez vous approcher de notre responsable à la sécurité, c’est lui qui décidera s’il vous accorde un droit de visite ou non.
– J’ai du mal à vous suivre.
– Alors j’explique : Romani a tué son voisin, il est emprisonné en attendant son transfert

Oups !

J’ai donc pris rendez-vous avec le responsable à la sécurité, c’est une femme aussi sexy qu’une chambre à air.

– Et vous souhaitez le rencontrer pour quel motif ?
– Nous étions en affaires…
– Soyez plus précis.

Je n’ai pas préparé un gros mensonge et je suis un peu déstabilisé.

– Mais enfin, ça ne regarde que moi… Tentais-je.
– Dans ce cas : visite refusée !
– Mais…
– L’entretien est terminé, aurevoir capitaine.
– Mais…
– Sortez s’il vous plaît ! Hurle l’épouvantail.

Bon, je fais comment maintenant ? La situation semble bloquée. Je décide néanmoins de me déplacer jusqu’à la prison locale, en compagnie de Dyane, comme ça pour voir.

C’est en fait un hangar pas trop grand, avec un portail sans doute hypersécurisé, à mon avis il ne doit pas y avoir grand monde là-dedans ! Mais comment y entrer ? D’autant que l’endroit doit être vidéosurveillé.

S’approche alors de nous une petite bonne femme tout de noir vêtue et coiffée d’un chapeau à larges bords.

– Hi, hi, vous voudriez bien entrer, hein ? Nous nargue-t-elle.
– Oui, mais je crains que ce ne soit pas possible !
– Mais si !
– Pourquoi ? Vous avez les clés ? Me gaussais-je.
– Pas besoin de clé !

Et là voilà qui sort de sa sacoche une sorte de boîtier bleu métallisé.

– Avec ça vous pouvez entrer !
– C’est une clé électronique ?
– Non, un téléporteur.
– Pardon ?
– Ne cherchez pas à savoir comment j’ai acquis ce truc, disons que ça vient des labos de l’armée. 1000 crédits et c’est un prix d’amis.
– Mais comment ça marche ?
– Vous attendez 20 minutes que votre corps se connecte, puis vous vous mettez dans le sens de l’entrée, vous appuyez ici, et hop vous vous retrouvez trois mètres plus loin, donc de l’autre côté.
– Jamais entendu parler de ce truc.
– Ben forcément, la téléportation c’est intéressant militairement sur des longues distances, avancer de trois mètres, ça n’a aucun intérêt !
– Et c’est sans risque ?
– Aucun, s’il y a un obstacle à trois mètres vous serez téléporté avant l’obstacle. Allez, c’est 1000 balles.
– 500 ?
– Non, faut pas déconner non plus, je vous le laisse à 800 mais je ne descendrai pas plus bas.

Bref l’affaire fut conclue, la dame au chapeau disparut dans la nature. Je me tins dans la position indiquée pendant 20 minutes avant d’appuyer sur le bouton fatidique.

Et là, je vis le boîtier s’ouvrir et dévoiler sa véritable nature, celle d’une simple trousse de maquillage.

Dyane fut prise d’un fou rire irrésistible et moi je me retrouvais comme un con

– La salope, je me suis fait avoir comme un pigeon !
– Allez on rentre au vaisseau, on va réfléchir, tout problème a sa solution ! Me dit Dyane

Le souci, c’est que la solution je ne la voie pas, sinon revenir avec des mercenaires et faire une opération de commando. Ça commence à devenir lourd cette affaire !

Et voilà qu’une voix très suave sort d’un hautparleur

– Le capitaine Stoffer est prié de se rendre à la résidence du gouverneur !

Bon, qu’est-ce qui va me tomber sur la tête encore ? Il va me demander de déguerpir ? Non, si c’était ça il ne m’aurait pas convoqué, c’est donc autre chose, mais quoi ?

J’y vais avec Dyane, le gouverneur du lieu, un petit rondouillard au teint blafard habite une petite villa coquette…

– Asseyez-vous, je vais faire simple, j’ai appris que vous cherchiez à rencontrer Romani et qu’on vous avait refusé ce droit de visite. .
– Effectivement…
– Laissez-moi continuer. Je ne peux que confirmer ce refus mais il existe néanmoins la possibilité d’un arrangement…

Le gouverneur laissa passer un silence avant de continuer.

– Franchement Romani nous emmerde, il faut le nourrir, nettoyer sa cellule, le surveiller, on s’en passerait bien. D’autant que son transfert tarde à se concrétiser. Alors voilà ce que je vous propose, cette nuit on va oublier de fermer sa porte, vous le récupérez et vous décollez en vitesse avec lui à votre bord.

Je suis sur le cul !

– Ça vous convient j’espère ? Demande le gouverneur.
– Oui, bien sûr.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 30 août 2024 5 30 /08 /Août /2024 16:27

Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 2 – Marcia et sa fille par Nicolas Solovionni
Trio2

Le lendemain ne sachant trop quoi faire pour m’occuper, (ben oui, quand on est désœuvré on est désœuvré) je décide d’aller faire un tour au Carrie’s bar (voie les épisodes précédents)

Ce modeste établissement, qui n’a rien de select fait un peu bistrot, un peu restaurant, un peu bordel, est tenu par la ravissante Carrie et sa mère Marcia, elles ne sont farouches ni l’une ni l’autre et ne rechignent pas de monter avec le client (voir les épisodes précédents)

C’est Marcia qui m’accueille.

– Alors mon grand, on vient s’encanailler ?
– Je ne sais pas trop, je m’emmerde un petit peu en ce moment.
– Tu ne repars pas dans l’espace ?
– Pour quoi faire ?
– Ah, c’est vrai que maintenant tu es plein aux as…
– Faudrait vraiment qu’on m’aiguille sur un truc qui éveille ma curiosité.
– Je te proposerais bien un truc… Mais tu vas me prendre pour une folle.
– Dis toujours…
– Il y a quatre ou cinq ans, un mec est tombé amoureux de moi, il m’a offert un collier, un joli truc assez cher, oh ça n’a pas d’une valeur inestimable non plus, mais j’y tenais.
– Et on te l’a piqué ?
– Oui, ce collier était monté avec des pierres magnétiques, quand je le portais, ça me faisait un bien fou.

Marcia laisse passer un silence, elle ne va tout de même pas me demander d’aller récupérer sa breloque ?

Ben si !

– Je connais le voleur et aussi son port d’attache. Il s’appelle Romani, et il campe sur Kateylia.
– C’est complètement aléatoire ton truc, en quatre ou cinq ans il dû se passer un tas de choses. .
– Justement, ça pourrait t’amuser !
– Tu parles !
– Je te proposais ça comme ça
– Je ne dis pas non, je vais voir avec mon staff.

Et voilà Carrie qui déboule. Elle est contente de me voir, elle m’embrasse.

– Le capitaine va essayer de récupérer mon collier magnétique.
– Hé ! Je n’ai pas encore dit oui.
– Tu ne vas pas refuser de faire plaisir à ma mère ?
– Ça risque d’être un peu compliqué, je trouve.
– Allons, allons, pas de fausse modestie. Sinon, un petit trio, ça te tente ?
– Bien sûr !
– On va attendre que Candice redescende, elle va garder la maison le temps qu’on papillonne, c’est un nouvelle, elle est super mignonne.

Et me voilà dans la grande chambre de Carrie. Depuis l’affaire d’Orza (voir cet épisode) Ces deux coquines m’ont à la bonne, je ne saurais m’en plaindre.

Pas de cérémonie, les deux femmes retirent leurs vêtement à l’arrache, m’invitant à faire de même et me voici avec deux magnifiques paires de seins devant mes yeux concupiscents.

Alors que faire en pareil cas ? Le téton droit de Marcia et le plus près de ma bouche, je le tète donc, tandis que ma main s’en va peloter les nénés de Carrie

Les deux femmes se laissent faire quelques instants puis après un geste de connivence qui m’échappe, les voilà qui m’immobilisent. Etant très joueur je me laisse faire.

Marcia a sorti un gode très réaliste et me l’introduit dans le cul tandis que sa fille me mordille les tétons.

Tout cela me plait fort bien, les doigts de Carrie me font mal mais je sublime cette douleur et j’en redemande. Elle s’en prend ensuite à mes testicules j’aime moins mais je supporte.

Marcia me demande de tenir l’extrémité du gode afin qu’il ne s’échappe pas de mon cul et vient s’assoir sur mon visage. J’ai son trou du cul très près de ma bouche. Par instinct je commence à lécher rencontrant une odeur assez particulière mais qui n’est pas pour me déplaire.

– Tu aimes l’odeur de mon cul ?
– J’adore !
– Pervers, enculé !
– Si tu le dis…
– Si je le dis c’est que c’est vrai !
– Lèche moi bien, je veux ta langue dans mon trou du cul

J’obtempère et lui barbouille le trou de balle de ma salive tandis que Carrie, pratiquement couchée sur mon dos continue de jouer avec mes tétons.

– Non, me dit Marcia, maintenant tu vas m’enculer, avec toute la salive que t’as bavé ça devrait passer comme une fleur.

Stoffer503Voilà qu’elle compare ma bite à une fleur à présent ! Ça tombe bien, J’adore offrir des fleurs.

Madame se met en levrette, et j’y vais. Effectivement ça rentre tout seul. Et c’est parti pour une série de va-et-vient bien cadencés.

Mais voilà que Carrie me fout une grande claque sur mes fesses.

– On se calme ! Protestais-je mollement
– Tu n’as pas honte d’enculer ma mère devant me yeux, gros salopard ?

Ah, c’est donc un jeu ! Eh bien si c’est un jeu jouons-y, j’ai toujours été très joueur !

– Ta mère est une pute et j’adore enculer les putes. Répliquais-je, histoire de faire un peu de provoc.
– Non mais Maman, tu entends un peu ce qu’il dit ?
– Il a raison, je suis une pute et j’aime qu’on m’encule !
– Si je comprends bien, tout le monde est contre moi continuez vos cochonneries, moi je vais m’assoir un peu plus loin. Répond Carrie, jouant la boudeuse
– Ajas, sors de mon cul et va enculer ma fille, sinon elle va nous chier une pendule

C’est vraiment elles qui commandent ! C’est pourtant moi le client, et j’ai payé ! (n fait, non pas encore). C’est un monde de voir ça ! Mais je vous l’ai dit je suis docile et joueur…

Carrie est déjà en position, le popotin relevé dévoilant tous ses trésors. Qu’est qu’il est beau son cul ! Une véritable merveille de la nature. J’ai presque peur de l’abimer !

Je m’approche, je caresse, éprouvant sa douceur, j’écarte tout ça, afin que ma langue puisse accéder à son anus étoilé.

– Oh, mais tu me chatouilles, grand coquin !
– Tu es chatouilleuse du trou du cul !
– Ben quoi, j’ai le droit, non ?

Bien sûr qu’elle a le droit, j’abandonne ma feuille de rose, approche ma bite et la sodomise d’un coup sec.

Marcia contourne sa fille et vient se placer devant elle, leurs visages se rapprochent et elle se roulent un patin.

C’est quand même super excitant de voir la mère et la fille s’embrasser sans vergogne.

Tellement excitant que je sens que je vais bientôt jouir, j’essaie de me freiner mais ça n’a rien d’évident. Et bien sûr Carrie s’en aperçoit.

– Ne me jouit pas dans son cul, je veux que tu décharges sur le visage de ma pute de mère elle adore ça !

Ce n’est pas un problème ! Je décule ma bite n’est vraiment pas très nette. Marcia se met à genoux devant moi, je me finis à la main et envoie toute ma sauce sur le doux visage de Maman Marçia qui s’en lèche les babines.

Elle s’approche ensuite pour me gratifier d’un bon nettoyage de bite. En moins d’une minute il ne restait plus aucune trace de sperme ou de merde.

– Pisse lui dessus maintenant ! M’indique Carrie excitée comme une grenouille au palais des nénuphars.

Voilà qui n’est pas une mauvaise idée, Marçia ouvre une large bouche, je n’ai plus qu’à viser… Et c’est qu’elle se régale la filoute !… Il va y avoir du nettoyage à faire après toutes ces agitations.

Je vais me rincer la zigounette au lavabo, pendant que les deux femmes s’échangent de douces caresses. Elle n’ont pas jouit, mais ce sont bien amusées. Ne dit-on pas que les prostituées ne jouissent jamais (enfin presque jamais) avec leurs client ?

Le temps de m’essuyer et de me retourner, les deux gazelles étaient montées sur le lit, et les voici en soixante-neuf en train de se lécher respectivement la minette.

C’est beau, c’est pervers, c’est excitant… et voilà que je rebande !

Je suis restée jusqu’à ce que leur désirs soient rassasiés, la bite à la main.

– Non mais dis donc gros cochon, on joue les voyeur ? T’as pas eu ton compte ?
– Si mais on ne se lasse jamais des bonnes choses !
. Ou, mais faut bien ça finisse, si tu veux revenir ! Allez on se rhabille, on redescend et on va boire un coup, ça donne soif tout ça ! Et n’oublie pas de nous donner un peu de sous.

Hé oui, dans la prostitution le client paye d’avance mais payer après reste le privilège des clients fidèles.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 30 août 2024 5 30 /08 /Août /2024 16:24

Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 1- Sierra par Nicolas Solovionni
stamp transblack

Bonjour, c’est de nouveau Ajas Stoffer, capitaine de vaisseau, vaisseau spatial, dois-je préciser, car l’action se passe dans le futur en l’an peut-importe lequel.

Je suis en ce moment sur Vargala station, mon port d’attache, une cité portuaire fréquentée par de nombreux baroudeurs de l’espace mais aussi par des gens assez peu recommandables. Le chaleur est écrasante en cette fin de matinée, des nuages menaçants se profilent à l’horizon.

J’ai fait fortune après une mission rocambolesque (voir Stoffer 2 – Les labyrinthes d’Orza) ce qui m’a permis d’acheter un cabaret sur cette planète.

Je n’ai à priori, plus aucune raison de sillonner l’espace mais il me manque. L’espace c’est une drogue !

Le cabaret en question, c’est le « Diable Rose » essentiellement animé par des transsexuelles (ben quoi ?)

Je ne m’en occupe pas beaucoup l’ayant laissé en gérance à la belle Riquita qui s’acquitte fort bien de cette tâche.

J’y passe de temps en temps, il faut bien montrer que j’existe. Et comme je suis un peu désœuvré ce matin je décide de m’y rendre de ce pas. I Ça y est, il pleut ! Mais qu’importe, le parapluie a été indenté en 1705 par un dénommé Jean Marius. Et c’est grande injustice que ce bienfaiteur de l’humanité ne soit pas honoré comme il le devrait ! Car depuis cette date, on n’a rien trouvé mieux que le parapluie pour se protéger de la pluie.

Vous me direz il est assez rare dans les textes ou les films de science-fiction de voir se balader des gens avec un paraflotte ! Que voulez *vous on ne peut pas penser à tout.

Bon, trêve de digressions, me voilà arrivé au cabaret dans lequel j’ai mon bureau attitré (normal, c’est moi le patron, non ?)

– Alors Riquita, quoi de neuf ?
– La routine… la routine… Ah ! On a embauché une nouvelle, elle veut absolument vous rencontrer…
– Parce que ?
– Je crois qu’elle se figure que tu vas pouvoir l’emmener dans l’espace !
– Elle a le droit de rêver, mais fais-la venir, ça ne coûte rien de discuter… et puis j’aime bien voir à quoi ressemblent les nouvelles

La voici, elle se prénomme Sierra, c’est une très jolie brune à la peau mate, Elle se pointe en maillot deux pièces argenté, les cheveux de jais en chignon et le sourire carnassier.

C’est qu’elle me ferait bander la travelotte !

– Ravie de faire votre connaissance ! Minaude-t-elle.
– Moi de même ! Répondis-je (que répondre d’autre ?)
– Si vous désirez tester mes talents, je suis à votre disposition !
– Je n’en doute pas un instant, mais vous désiriez me voir par politesse ou il y a autre chose ?
– A dire vrai j’ai un rêve fou, celui d’aller dans l’espace, de faire partie d’un équipage… Je me demandais si vous pouviez m’aider à réaliser mon rêve ?
– Carrément ?
– Je tente ma chance.
– Le souci, c’est que pour l’instant je reste au sol.
– Tant pis, je patienterai, vous voulez me voir complètement nue ?
– Si c’est pour m’influencer, sachez que je ne fonctionne pas comme ça.

Je suis tout de même un peu hypocrite sur ce coup-là !

– Je ne vous plaît pas ?
– Si bien sûr !
– Alors, regardez… ça ne vous engage à rien !

Et là voilà qui enlève ses bouts de chiffons qui lui servaient de sous-vêtements.

J’en a pourtant vu des merveilles mais là je suis subjugué, une magnifique peau cuivrée, des seins de rêves et une jolie bite qui pendouille.

Et la voilà qui pivote m’offrant la vue de son petit cul rebondi dont elle écarte les globes dévoilant son anus béant.

– Eh, oui, je viens de me faire enculer, le passage est encore ouvert, si vous voulez en profiter, ne vous gênez surtout pas !
– Tu m’as l’air un peu salope toi !
– Salope, je ne sais pas, marchande de plaisir je préfère…²

Riquita profite de la situation pour me mettre la main sur la braguette.

– Mais vous bandez, patron !
– On dirait oui, mais qu’est-ce que tu fabriques ?
– Je vais sortir cette bite, elle a besoin de prendre l’air.

Evidemment je me suis laissé faire, Riquita me caresse la pine et finit par la mettre dans sa bouche il fait digne à Sierra de venir la rejoindre et me voilà sucé par les douces langues de deux magnifiques créatures.

– On se calme les filles, vous allez me faire jouir trop vite.

Elle se redressent et c’est à mon tour de me pencher et de porter en bouche la délicieuse pine de Sierra

Stoffer201Je me régale, j’adore sucer des bites et celle-ci me convient fort bien. Sierra se laisse faire en m’offrant le plus beau de ses sourires.

Je lèche un peu ses belles couilles qui pendouillent, je la fais se retourner afin d’avoir accès à son petit trou. Il est charmant bien logé au milieu d’une superbe paire de fesses, je ne peux m’empêcher d’y porter la langue. J’adore ce petit gout très particulier.

Et pendant ce temps-là Riquita ne trouve rien de mieux à faire que de me doigter le troufignon.

Je sais par expérience que Riquita est une bonne enculeuse, mais aujourd’hui c’est la bite de Sierra que je veux dans mon cul. Et ça tombe très bien elle n’est pas contre. On se met en position Sierra y va de sa langue afin de bien lubrifier le petit endroit. Et hop, sa bite me rentre dans le cul avec une facilité déconcertante. Et c’est parti pour une série de va-et-vient qui me font vibrer de plaisir.

Et pendant ce temps-là Riquita est passée devant moi, m’offrant sa bite à sucer.

J’ai la place du roi, une bite dans la bouche, une autre dans le cul.

Riquita jouit la première m’envahissant le palais de son sperme que j’avale. Sierra vient à son tour et décule. Je me fais un plaisir de nettoyer de ma langue son sexe pollué.

C’est bien mignon tout ça mais je n’ai pas joui, alors j’invite les deux coquines à me faire une pipe à deux bouches. Et elles s’acquittèrent fort bien de cette tâche !

Troublante cette Sierra. Si je repars dans l’espace peut être que je l’emmènerai, mais je ne lui en souffle mot.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 28 août 2024 3 28 /08 /Août /2024 08:26

Au hasard d’une Maîtresse par Yourka

Fetish2

– Arrête de regarder cette femme !

Les paroles de Léa me sortent de ma torpeur.

Une terrasse du café, bondée, tout le monde est sorti se faire lécher par un soleil trop longtemps absent. Les filles sont peu vêtues, leurs épaules retiennent à peine les bretelles de petits hauts légers. Assises et décontractées, leurs escarpins se balancent au bout d’orteils qui ne rêvaient que d’être nus, laissant voir leurs talons rougis par les chaussures d’un hiver pourri. Elles exhibent des jambes encore blanches qu’elles viennent juste d’épiler.

– Je ne regarde personne en particulier.
– Tu te fous particulièrement de moi, là !

Léa me fatigue. Oui, je regarde cette femme brune en face de nous. La seule qui ait osé une robe en maille très ajourée. Les seins nus apparaissent au-dessous, leurs pointes roses tranchent sur le blanc de la poitrine. Les peaux sont contrastées, le bronzage n’est pas encore celui de fin août et des retours de plages.

– Je ne me fous pas de toi mais je ne vais quand même pas regarder les chiens ou les pigeons !

Je ne vais pas refouler ma libido qui se réveille. L’envie de mettre des claques à Léa aussi.

– T’as qu’à me regarder moi, t’es vraiment un mufle de me provoquer comme ça, à mater cette conne.

Léa bouillonne, Léa trépigne, Léa m’horripile.

– C’est une conne ? Tu la connais? Elle est silencieuse, ta conne, tu me la présentes ?

Je n’ai pas vu les gifles arriver. A l’aller, mon nez semble s’envoler et au retour, cinq doigts, bagues comprises, qui cognent mon tympan. Les gens arrêtent leurs conversations et nous regardent, amusés ou étonnés. Voilà, on est au centre du spectacle.

Mon nez saigne, mon oreille siffle et la tentation de taper comme un sourd sur Léa me démange.

Bien sûr, pas de mouchoir, je pisse le sang dans mon jus de tomate. Un bloody Mary nature !

– Quel con, non mais quel con, alors !

Elle aurait pu dire – quelle conne- mais elle fonctionne autrement, Léa.

– T’es pas sortable, Léa. Me cogner le nez comme ça, pour rien.
– Pour rien ? Et là-dedans, tu vas me dire qu’y a rien? Elle me dit ça en m’attrapant entre les cuisses. Folle-dingue, les gens voient et entendent.

Je suis dans état pitoyable, les bourses écrasées dans une main de fer et je sens ma tronche bouffie qui doit certainement m’autoriser une entrée gratuite aux tours de Notre Dame, toute proche.

La douleur au nez provoque une montée de larmes, malgré moi.

– Et y pleure, maintenant, mon macho mateur !

Elle est déchaînée, Léa. Sa voix porte et tout le monde en profite. Elle est furieuse, ne se tient plus et cogne la table. Au deuxième coup de poing, sa main s’écrase sur son verre qui vole en éclats. Justice divine, des morceaux se plantent dans la paume. Chacun sa croix, chacun son sang, c’est à son tour de pisser rouge. Nous voilà comme deux abrutis. Moi abattu; elle, hurlant jusqu’à gêner la sieste de Marseille. Et pas de kleenex.

La brune s’est levée et vient vers nous. Je le vois tendre un mouchoir à Léa.

– Merci, vous êtes gentille.

Je n’en reviens pas. Un sommet d’hypocrisie, cette Léa.

– Faites voir cette main, ce peut être grave, si un tendon est coupé.

Et mon oreille interne alors? Et mon nez aplati ? Je rêve, je n’existe pas.

Léa lui tend sa main, elle ne dit plus rien, s’est calmée d’un coup. A moi de bouillir. La fille scrute cette main, penchée vers Léa. Bon, je vais encore me faire massacrer mais j’ai la vision de son décolleté en plein axe ! Et puis debout, sa robe dans le soleil me laisse un souvenir pour mes vieux jours.

Elle parle lentement, concentrée sur les plaies de mon hystérique notoire.

– Il faudrait aller dans une pharmacie retirer les bouts de verre.
– Ben oui, un dimanche, on va trouver ça sans problème.
– Ecoutez, monsieur, ne vous fâchez pas, je tente de vous aider.

Nous aider… la meilleure nouvelle de la journée.

– Je ne me fâche pas, je suis juste un peu éclaté.
– Tu l’as cherché, la ramène pas, dit Léa presque doucement.

C’est incroyable ! Léa à un vrai talent pour retourner les situations.

– Renversez votre tête en arrière, ça va aller, me dit la brune.

C’est ça, c’est ça. Et pour l’oreille, pas une petite sonatine de Schubert?

– Putain, ça fait mal, lâche Léa avec grâce.
– Bon, j’habite à côté, je peux vous y emmener. Là-bas, j’ai de quoi soigner tout ça.

Nous voilà invités chez elle. Le monde est curieux, parfois. Léa joue les gênées.

– C’est trop gentil, vous êtes sûre?

Gna gna gna, retenez-moi… La matée invite le mateur et sa mijaurée.

– Oui, sans problème, allons-y.

Sans problème, oui. Je vais marcher le nez en l’air. Sans problème.

L’appartement est grand, lumineux et pas meublé en kits à cent balles. L’odeur de l’argent, je le sens à des kilomètres, malgré ma truffe de bouledogue.

– Au fait, comment vous appelez-vous ? Moi, c’est Solen.
– Que c’est joli, moi, Léa. Et ça, c’est Marc.

Ça… Je suis aux anges, moi, présenté comme un machin annexe.

Solen file vers le fond de l’appart, nous laissant livrés à nous même.

– Tu vois, le dimanche, c’est pas toujours monotone, mon amour. Tu as mal… mhh ?

Ma tentative de dégel est un fiasco.

– Me gonfle pas, Marc ! Si tu laissais pas tes yeux n’importe où, aussi !
– Sont là, mes yeux ! Plantés sur toi. T’es chiante mais sensuelle, en colère.

Léa est assise sur un fauteuil trop profond pour elle, obligée de laisser ses jambes tendues pour toucher le sol. Ses mains posées sur les accoudoirs, sa jupe remonte à mi-cuisses. Des cuisses pas rachitiques, des cuisses pleines mais sans graisse superflue. Elle m’épuise, cette fille mais je dois être maso. Ses petits seins ronds, son long cou, ses cheveux noirs en carré sage, ses yeux sombres. Tout me plait, sauf son humeur épouvantable, sa jalousie, son intolérance chronique.

Mais le feu n’est pas que dans son humeur. C’est un coup d’enfer, une partenaire de lit, de table ou d’ascenseurs sans mesure, qui sait se donner entière. C’est en partie ce qui me la rend supportable. Et quand elle dort, j’oublie ses travers. Moi, bien entendu, je suis parfait…

Solen réapparaît équipée d’un tas de trucs premiers soins. Elle est pieds nus, les ongles vernis d’un rouge discret. Les pieds bien faits, soignés, de jolis doigts rangés à la perfection. Ca me parle, ça. Mais mieux vaut regarder le ficus dans son pot.

Mon portable sonne, j’avais rendez-vous, avec tout ça, j’ai oublié. Je devais passer relever auparavant des e-mails, des fichiers, chez moi pour ce rendez-vous de boulot.

– Je vais devoir vous laisser, je file me connecter au web avant mon rendez-vous déjà manqué. Léa, on se retrouve ce soir à la maison ?
– Quoi ? Tu vas me planter là, tu pouvais pas y penser plus tôt ?

Retour agressif de Léa qui oublie les causes de ce retard.

– Vous pouvez vous connecter ici, sur le PC dans ma chambre, me dit Solen.

Je trouve l’idée pratique et j’accepte.

La chambre est grande, le lit au centre n’est pas fait et de la lingerie a été oubliée çà et là. Mieux que les web bars, ça, comme décor! Du carrelage blanc à cabochons noirs, des tapis. Le PC trône sur un grand plan de travail parsemé de photos, de dossiers. De mode, me semble-t-il, ou dossiers de casting. Mais si ce sont des castings, ce n’est pas pour tous les yeux. Plutôt dénudés, les modèles, hommes et femmes. Dénudés et franchement offerts à l’objectif. Si Léa me surprend devant ça, je suis bon pour un deuxième service de taloches.

Le PC est sous tension, juste besoin de cliquer pour le lancer. La page d’accueil est surprenante. Un site carrément bondage, je suis tombé chez une gourmande. Je ne résiste pas à aller dans l’historique et le déroulé est édifiant. Chaque clic m’envoie sur des pages de photos de femmes et d’hommes dans de curieux ébats. Des photos qui marquent un goût pour les bobos SM et un penchant pour les jeux de fontaines. Cuisses ouvertes sur des bouches qui semblent avaler ça comme du petit lait.

Et parmi les membres enjoués de ce club humide, je vois la belle Solen accroupie sur la bouche d’un garçon plein de bonne volonté, qui joue l’urinoir d’un soir. Même pas une grimace, il est visiblement aux anges. Et moi, sur le cul !

– Vous n’êtes pas dans vos e-mails, on dirait !

Solen est dans mon dos, presque contre moi et je suis dans l’état d’un gamin surpris à fouiller dans le placard.

– Heu, je suis tombé là par hasard.
– Attention, c’est un hasard qui peut devenir un plaisir, si vous vous y étalez.

Instant surréaliste, cette femme est en train de tranquillement poser des jalons. Et la furieuse dans le salon ne sait encore rien de cet échange incongru. Heureusement.

Je tourne la tête et encaisse un regard appuyé. Solen a croisé ses bras sur ses épaules, déhanchée, amusée et dangereusement séduisante. Rien de vulgaire, même si je pense à l’image passée de son sexe inondant son amant.

– Qu’est-ce que vous fichez là?

Voilà Léa qui débarque, l’œil inquisiteur qui nous scrute. Sa main est bandée. Moi aussi, mais ailleurs. Et ça, elle le sent comme personne rien qu’à me regarder.

– Putain, c’est quoi, ce bordel, c’est quoi, ces photos?
– Rien, juste des photos de travail de Solen.
– Ah parce que ça, c’est un boulot ?
– Ecoutez, Léa, Marc n’est pas responsable, je n’ai pas pensé à les retirer.
– Mais c’est vous, sur l’écran, là ! Putain, elle pisse sur un mec… et toi, tu mates les pervers, t’es un parfait salaud.

Mai09Je n’ai pas droit à une gifle mais Léa est prête à bondir.

– Ecoute, fais pas une histoire pour ça, de toute façon, on s’en va.
– Ben pas avec moi, en tout cas. Te pointes pas à l’appart, espèce de dégueulasse.

Elle tourne les talons et se tire dans un concert de jurons très innovants et frais.

Je me retrouve seul avec Solen et rien ne me donne envie de partir à mon tour.

– Je suis désolée, me dit Solen, vous allez avoir du mal à la convaincre qu’il ne s’est rien passé.
– Mais non, ça ira, elle sait quand je lui mens. Et là, nous n’avons rien fait.
– Je ne parle pas du passé immédiat, je pense au futur proche.

Je prends ses mots en plein caleçon… et un grand coup de chaleur dans l’échine.

– Vous ne dites rien?

Je ne dis rien, non… ce serait un bafouillage total. Elle est là, à me jeter des sorts, m’empêchant d’exprimer le moindre truc cohérent.

Son pied nu se pose contre ma jambe, entame un petit mouvement pour glisser sous le bas de mon pantalon. Lorsqu’il atteint ma peau, je n’ai aucun moyen de taire un énorme soupir.

Mais ce n’est rien par rapport à ses mains qui se posent dans mon cou, ses cheveux qui balaient mon visage. Elle est parfumée discrètement, ses doigts courent dans ma nuque et son souffle chaud annonce un baiser très proche. J’ai déjà oublié Léa, mes futures explications de mec qui se noie dans ses contradictions. Je goûte l’instant sans vouloir me réveiller. Quand ses seins se collent à mon dos, je renverse la tête et reçois sa langue en pleine bouche.

– Hasard ? On en est encore au hasard, monsieur ?
– Oui, enfin maintenant non… mais si, quand même.
– Non, je vais te dire, moi. Tu es là parce que je le veux et si ce n’avait pas été par le biais de ce PC, de ces photos, c’est ta femme que je serais en train d’enlacer. Tu crois que je suis secouriste dans l’âme?
– Non, bien sûr…
– Je vous ai observé, vous transpirez l’amour explosif, l’amour qui pince. Qui fait mal !

C’est mon sexe qui va exploser si elle continue comme ça. Elle susurre plus qu’elle ne parle, ponctuant ses mots de petits coups de langue sur mes lèvres. Sûre d’elle, entreprenante, je ne tente pas de guider ses baisers.

Je sens la chaise se renverser lentement en arrière et me retrouve étendu sur le carrelage. Sa robe quitte ses cuisses pour remonter sur ses hanches et une culotte blanche minimale me saute au visage. Je ne pensais pas un jour être chevauché aussi vite, tout son corps se frotte sur moi, ses mains quittent mes cuisses pour défaire ma chemise et livrer mon torse à ses seins encore prisonniers d’un soutien-gorge juste rempli de ce qu’il faut, loin des énormes trucs des salons de chirurgie plastique. Je fais quoi, moi, là ? Parti d’un bar avec une hystérique, je suis submergé par ce corps chaud.

Je sens des doigts jauger mon pantalon, l’ouvrir et glisser entre le coton et ma peau. Sans empressement, la main saisit mon sexe pour le caresser sous le tissu. Et moi, de tirer sur sa culotte, libérer ces lobes, ces fesses blanches en laissant la culotte barrer le centre et l’accès d’un anus tout rose. Mais mes mains savent aussi trouver leur passage vers son sexe qui promet d’avoir du goût, tant son parfum agace mon nez. Ma langue ira plus tard s’y baigner. Là, je lui caresse les hanches, le bas du dos, en gardant une vue imprenable sur sa croupe.

– C’est pas ces caresses, que je désire. Je suis plus au lycée !
– Mais alors, ce ne sont pas des caresses… tu veux que je te pince, te morde?

J’ai soudain l’air con, j’en suis sûr, son cul dans mon nez, je me demande quel traitement elle attend de moi.

– Ok, je vais te montrer, si tu es d’accord pour te laisser guider !

Je dis oui, elle bondit d’un coup, effleurant mon nez de sa chatte que je n’ai pas eu le temps de manger.

D’un tiroir, elle sort une paire de menottes et les agite devant moi.

– Assieds-toi ! Les mains derrière le dos !

Je suis assez fou pour obéir à cette inconnue, fasciné par son cul, son style et son aplomb. Et puis, je saurai l’arrêter s’il le faut.

Je me retrouve les mains dans le dos, menotté. Poussé en avant, je tombe sur le ventre. Elle engage une séance de frottements de son corps sur le mien, ses ongles se mettent à mordre ma chair, le long des bras, en griffures juste appuyées. Ses dents vives s’attardent à mes épaules, acérées au point que je sens qu’une seule morsure un peu forte m’arracherait un bout de viande. Puis, elle se lève et debout devant moi, relève mon menton de son pied.

– Tu as aimé les regarder, lèche-les, lèche mes orteils !

Le ton a changé, ça ressemble à une injonction mais je ne déteste pas ça, lécher de jolis pieds. Seule ma position est particulière mais je me sens bander. Elle se caresse au-dessus de moi, je tente de la regarder mais son autre pied repousse ma tête.

– Tu lèches, tu ne me regardes pas !

Ses orteils sont trempés et leur légère odeur de cuir chaud imprègne mes narines.

Elle a juste marché le temps qu’il fallait pour qu’ils soient parfumés ainsi.

Maintenant accroupie, elle écarte ses cuisses devant moi, à quelques centimètres. Je la vois mouiller, je la vois s’ouvrir, je voudrais y glisser ma langue.

– Non, ne me touche pas !

La vraie torture ce ne sont pas les menottes ou les ordres. Ne pas la sucer entre les cuisses, si près de ma bouche, ça, c’est un supplice.

Elle étend le bras vers un tiroir et en sort un gode d’ébène. Long et mat, sec comme une trique de flic. Là, devant moi, elle le passe entre ses cuisses, le promène sur ses seins qu’elle pince de l’autre main. Sans s’en pénétrer vraiment, elle le glisse à peine dans son sexe, le tourne sur lui-même très vite, le roulant entre ses deux mains. Cuisses contactées, ses muscles se tendent et moi, je sens mon sexe gonfler, coincé entre ventre et carrelage. Rien à lécher, rien à saisir, rien à branler… là, je peux le dire. Elle joue un solo, une partie d’allumage en règle.

– Donne-moi ce gode, laisse-moi te prendre avec.

Je l’implore presque.

– Attends, autre chose, avant.

Des larges bandes de cuir viennent entraver mes chevilles. Là, je me demande quand je vais m’occuper d’elle à mon tour !

– Alors, tu veux jouer avec le gode? Elle prend un ton doucereux.
– Oui, j’en ai envie, je veux que tu le sentes entrer en toi, de mes mains.

Elle se baisse sur moi et me mordille les hanches, ses cheveux se baladent sur mes reins.

– Tu me ferais quoi, avec ce gode, dis-moi ? Elle me rend fou, avec cette question.
– Je te ferai tout ce que tu veux !
– Ou plutôt ce que toi, tu veux, mec !
– Oui… mais ce sera bon…
– Pour moi ? De me faire mettre par un gode ?
– Mais… il est à toi, tu aimes…
– Tu vas le mettre dans ma chatte, c’est ça ? Et le regarder s’enfoncer ?
– Oui… oui, ça…
– Et tu vas m’enculer aussi… ?

Je meure de l’entendre et de ne pas pouvoir la toucher.

– Oui, je t’enculerai avec, et de mon sexe aussi.
– Ah ! Ça te plairait tant que ça, de m’enculer ? Elle devient étrange, ses mots sont dits de façon monocorde.

Elle glisse sur mon dos, je sens sa chatte sur ma nuque, mouillée et collée à la base de mes cheveux, ses pieds recroquevillés sous ma bouche.

– Tu vois, le jeu que j’aime, c’est pas d’être enculée par un homme qui prend des baffes de sa pétasse ! Les baffes de ta nana, c’est pas les gifles d’une Maîtresse !

Une énorme claque me brûle les fesses. Ses cuisses se resserrent contre ma tête. Une autre claque vient sur mon cul, le bout des doigts atteint mes bourses, comme si on les pinçait. C’est douloureux mais je bande autant que j’ai peur.

– Faut que tu comprennes… c’est moi qui vais t’enculer. Quelque chose à dire?

Là, le jeu s’emballe. Je réfléchis à toute vitesse.

– Ecoute, j’ai jamais fait ça… je ne sais pas, enfin je préfère pas.
– Ah oui ? Et à combien de femmes t’as pas demandé leur avis ?
– Mais non, il ne s’agit pas de ça.

Je ne bande plus… je suis comme un con qui a joué trop loin.

– Moi, je crois que tu vas enfin connaître la sensation que tu penses être si agréable aux pétasses du huitième. C’est moi, qui vais t’enculer et si c’est aussi bon que tu le penses, tu en redemanderas !

Elle me colle le gode dans la bouche, forçant mes lèvres.

– C’est trop gros ? Tu verras, il sera plus à l’aise dans ton cul. Allez, lèche-moi ça ! Plus fort, mouille-le. Plus il sera mouillé, moins tu auras mal !

Je suis dans un cauchemar. Je suis piégé par une disjonctée du cul. Elle pousse l’engin dans ma gorge, à me donner des spasmes.

– Quel effet ça fait, une bite dans les amygdales ? Et encore, celle-là est propre ! Quand elle aura fouillé ton cul, tu la lècheras encore, promis !

Je ne peux pas parler, de toute façon, je ne sais pas quoi dire, rien ne semble pouvoir l’arrêter.

– Dis-moi, tu aimerais plutôt lécher ma mouille sur ce gode ? Tiens, un petit cadeau.

Je la sens au-dessus de moi s’enfoncer le gode, puis elle me tire par les cheveux et force à nouveau ma bouche. Le goût de sa chatte me fait un temps oublier ma position. Je lèche presque avec plaisir ce truc froid et dur.

– Voilà, tu commences à y prendre goût, tu vas voir, tu vas adorer le sentir de remplir les fesses.

Elle me caresse la joue, me gratte le bout du nez, passe un doigt entre mes lèvres et mes dents, un doigt à l’ongle vif qu’elle prend soin de me planter dans une gencive. Elle est folle mais là, elle ne s’occupe pas de mon cul et puis, ça, je me surprends à aimer.

– Bon, tu les as bien préparées, tes bourgeoises, avant de les sodomiser ?
– heu, je ne leur ai pas fait de mal, je crois avoir fait comme il faut.
– Comme il faut ? Tu sais, ça veut rien dire ça. Tu cherches à m’amadouer ? Je vais te dire, moi, comment j’aime ! A sec ! Enfin, pour mes esclaves, bien sûr. Leurs gémissements ne sont pas feints, là, j’en suis sûre. T’as juste le droit de le lécher encore un peu. C’est le moment de vérité.

Le truc sort de ma bouche. Là, je voudrais qu’il y reste. Elle passe une main sous mon ventre.

– Tu bandes mou, monsieur ! Ca va pas, ça.

Elle me tourne un peu, sur le côté, je me demande comment j’en suis arrivé là. Mais surpris, je sens ses lèvres se refermer sur moi et sa bouche me pompe enfin comme j’en rêvais. Un délice de fellation où les dents ne sont pas absentes. Bon, si elle était sérieuse dans ces menaces, elle aurait déjà recraché mon gland à l’autre bout de la pièce.

Mais d’un coup, je sens la brûlure d’un doigt qui plonge entre mes fesses. Je crie… un « non » peu convaincant. Son doigt me fouille en se repliant à l’intérieur, tel un crochet. J’ai mal mais sa bouche sait donner l’antidote. Encore un cri.

– Tais toi ! C’est pas un doigt qui va t’arracher des larmes ! Tu m’emmerdes.

Elle lâche ma queue, mon cul… Elle se lève et attrape un carré de soie rouge. Me voilà bâillonné, comme sur les photos de son bureau. Je suis aux abois, là, j’ai les jetons.

– Hé ! Il tremble comme un porcin, mon esclave !

Elle me bascule sur les genoux, je tente de résister mais une troisième gifle me barre les fesses. Les mains dans le dos, le cul en l’air, un bâillon et des liens… je ne peux rien faire. Je la sens derrière moi, sa main gauche plaquée à mon cul, paume collée en ventouse, elle semble se régaler de me dominer. A cet instant, malgré la peur, j’avoue une excitation bien malgré moi. Je sens un sein venir au centre de mon cul, une dernière caresse avant l’assaut.

– Tu préfères quoi ? Une bonne poussée au fond ou un petit va et vient de rodage?
– Je… écoute, non, je…

Elle n’a pas attendu ma réponse. Je sens soudain ce truc froid à l’entrée de mes fesses. Elle est silencieuse, comme concentrée. Sans violence, elle pousse doucement, tout doucement le gode. C’est gros mais je n’ai pas mal… juste le passage qui semble s’étirer. Je suis presque rassuré. Pas si terrible, finalement. Elle douce, je préfère ! Je sens de la salive couler entre mes fesses. En plus, elle renonce au « sec ». Ouf, je me sens mieux et je bande gentiment.

Mais soudain, je me sens transpercé, envahit, violé. Et une douleur insupportable me fige, prostré, la croupe tournée vers le ciel, le gode planté en trophée, comme sur un sommet vaincu. Sans le bâillon, tout Paris en profiterait.

– Là… tu es reçu au club, mon gros cochon !

Elle vient s’asseoir devant moi, la chatte tout près de mes lèvres et se masturbe si vite qu’elle jouit en quelques secondes. Affalée sur le sol froid, elle reprend ses esprits. Mais pas son gode qui reste enfoncé dans mes fesses. Elle tourne autour de moi, semble réfléchir à la suite. Moi, je suis au bout de mes limites, rien de pire ne peut m’arriver. J’ai mal, mon cul se contracte malgré moi autour du manche, amplifiant la douleur. Mais je suis raide de la queue, comme un pendu.

– Bon, je vais être princesse, tu as droit au traitement de faveur final.

Elle s’approche de moi, m’arrache le gode dans un bruit de déboucheur de chiottes. C’est imagé mais j’ai que ça pour illustrer ce que je ressens. Puis à nouveau, elle m’ordonne de m’asseoir face à elle. Là, tranquillement, elle vient se caler devant moi, sa chatte devant mon visage.

– Et encore, t’a pas eu droit au foutre qui te gicle dedans ! Plains-toi ! Une petite douche, pour de remettre de tes émotions?

Oh non… elle va pas le faire, je revois le type sous elle en photo. Elle boit de longues gorgées d’eau, je me sens devenir fou, partagé entre mon voyeurisme et la crainte d’être aspergé de pisse. Là… je vois ses cuisses s’écarter, elle se baisse un peu et un filet s’échappe de son sexe, coulant sur ses cuisses. Elle me regarde, sourit narquoisement et arrête de pisser. De sa main, elle caresse son entre jambe et porte ses doigts à ses lèvres. Elle m’a épargné, je n’en reviens pas. Mais sa main replonge et là, revient vers mes lèvres.

– Tu t’en tires bien, je suis indulgente. Lèche mes doigts, un a un !

Je détourne la tête. Ses deux mains viennent me saisir les joues, maculant mon visage d’urine. Je m’exécute. Le goût est salé, l’odeur âcre, en tout cas, je préfère ça à la douche, même si elle prend soin de m’enfoncer ses doigts mouillés dans la bouche. Elle semble satisfaite. Elle me libère de mon bâillon en m’avertissant.

– Si tu gueules, si tu penses un seul instant te venger, tu connaîtras d’autres Maîtres qui sauront te trouver et te punir. Tu entends haut et clair ?
– Oui, je… tu ne me reverras pas.
– Oh mais si, j’en suis sûre ! Mais tu seras volontaire, tu en auras envie, je sens ça !

Mes liens défaits, je reste un instant sur le sol étendu, fourbu, le cul en feu. Et je ne l’ai pas baisée…

– La prochaine fois, tu pourras me prendre, si tu obéis comme il faut. Là, tu t’es fait prier. Allez, habille-toi et file retrouver ta petite pute !

L’air frais du soir me redonne un peu d’énergie. Je suis partagé entre la honte et une espèce de plaisir sournois que je refuse d’admettre.

Arrivé à l’appart, ma clef fonctionne, Léa n’a pas verrouillé de l’intérieur, prête à oublier sans doute notre dispute.

La douche est sublime, même si je n’ose pas me toucher les fesses, tant elles sont douloureuses. Léa dort profondément, je me glisse doucement dans le lit et m’endors, épuisé.

Mais les rêves finissent par me hanter, je tourne et tourne sur moi-même.

Et le rêve tourne au fameux instant de la douche évitée. Je revois Solen devant moi, mais je suis sur le dos, allongé dans un lit. Elle est au-dessus de moi, ouverte, son sexe béant, prêt à m’arroser, en souriant. Je ne fais rien pour lutter. Et là, je sens son urine couler, puissamment sur mon torse, elle se tortille en se vidant sur moi. Mes mains étalent tout sur mon ventre, mes épaules, mon cou. C’est chaud, c’est agréable.

– Alors c’est ça… tu en crevais d’envie, mon salaud !

La voix de Léa retentit et Solen s’efface de mon rêve, disparaissant dans une brume chimérique.

– Réveille-toi, regarde-moi !

Léa… debout sur moi continue de pisser, inondant le lit, aspergeant aussi mon cou. Je ne rêve plus, elle est bien là à me souiller.

– Tu l’as baisée, salaud ! Mais si elle t’a pissé dessus, alors à moi aussi de me lâcher ! Et en plus, j’aime ça !

Je deviens fou, je suis dans un jour hors limites. Mais la voir se soulager comme ça me fait bander et là, je ne resterai pas bredouille. Elle vient me sucer divinement, mélangeant les odeurs et les saveurs, me collant au nez sa touffe brune imprégnée de pisse. Puis, elle se cloue sur moi, mouillée, trempée de tous ses jus et me baise sans ménagement. Mais ça, maintenant, je connais et ses coups de hanches sont autant de caresses. Dans une dernière image, je revois le gode me pénétrer et dans la douceur du sexe de Léa, je peux enfin jouir en osant m’avouer que j’ai aimé ça !

Copyright © Yourka 2001 Première publication sur Vassilia, le 25/07/2001 Le webmaster tient à remercier vivement Yourka d’avoir à sa demande accepté de publier ce récit ici !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Images Aléatoires

  • Zakhia37
  • Nicole
  • FEE2
  • Big stamp
  • Jennifer13
  • Zarouny6b

Derniers Commentaires

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés