Samedi 20 janvier 2024 6 20 /01 /Jan /2024 14:41

Chanette 30 – La disparition de Carole – 4 – Jackie, mature et perverse par Chanette
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Par un pur hasard, le lendemain Anna croisait sur la place du marché, Jackie, la personne avec laquelle elle avait commis quelques folies le soir de la fameuse partouze,.

Dans pareilles circonstances on fait souvent semblant de ne pas se connaître. Mais Anna ne l’entend pas de cette oreille et se pointe juste devant elle à deux doigts de la tamponner.

– Oh, pardon !
– Il n’y a pas de mal. Répond la mature.
– Ce doit être le destin qui nous fait nous rencontrer.
– Vous êtes une coquine vous !
– Disons que j’aime bien les bonnes choses.
– Vous avez raison, la vie est si courte. Ah si vous voulez du bon poisson, je vous conseille le poissonnier là-bas, ils ont un de ces turbos !
– Si j’osais…
– Osez !
– Me feriez-vous une petite léchouille comme l’autre fois ?
– Je veux bien, mais ce sera cent balles
– Pas grave, au diable l’avarice !
– Non, je plaisantais, c’était pour voir si vous étiez vraiment accro, 4 rue du large, appartement 32. 18 heures, ça vous va ? J’ai plein de gadgets, ça devrait vous plaire.

Le récit d’Anna

– Mets-toi à poil ma chérie, je fais un petit pipi et j’arrive.
– Tu ne veux pas que je regarde ? Lui demandais-je en prenant un air canaille.
– Ah ! Tu aimes ça aussi ! Pas de problème ! Je peux même te pisser dessus si tu veux !
– Hum ! Je veux bien, j’adore ça !
– T’es vraiment une petite salope !
– Oui mais j’assume !

Je me déshabille en vitesse, Jackie en fait de même, je m’allonge, elle m’enjambe au niveau du ventre.

– Tu peux viser ma bouche, si tu veux !
– Tu ne vas pas être déçu ! C’est du grand cru !

J’ai ouvert mes lèvres attendant son urine telle une offrande. Le jet m’a arrosé le visage. Cette andouille ne savait donc pas pisser droit. Je me suis arrangé afin de le recevoir en bouche. Un délicieux nectar dont je raffole.

– C’était bon ?
– Un délice.
– Si tu veux, je peux t’offrir quelque chose de plus consistant.
– Je ne sais pas…

Elle me gratifie d’un sourire complice et provocateur, je suis extrêmement troublée. Suis-je réellement prête à faire ça ?

– Tu ne l’as jamais fait ?
– Non.

Je mentais (voir Chanette 7 – Pho la cambodgienne), ne m’estimant pas assez intime avec elle pour lui faire part de mes frasques passées.

– Ça te tente ?
– Je ne sais pas…
– Donc tu ne dis pas non !

Ben non, je n’ai pas dit non… je suis tenaillée.

– On va essayer. M’entendis-je murmurer.
– Tu vas voir, tu vas aimer !

Je n’en suis pas si sûre que ça et je ne saurais dire pourquoi.

Elle se retourne, offrant à ma vue son ravissant fessier. Elle se baisse un peu, elle est maintenant au-dessus de mon ventre, à quelques centimètres.

Puis tout alla très vite, un gros boudin impertinent sortit de son anus et s’en alla recouvrir mon petit nombril.

Curieuse impression, ça ne me dégoûte pas, sinon je n’aurais pas accepté, mais ça ne me fascine pas non plus, non je prends l’acte comme une humiliation extrême mais librement consentie.

Jackie me débarrasse de l’étron, toujours le sourire aux lèvres.

– Je m’essuie où tu veux lécher ?

Je ne m’attendais pas à cette proposition, là encore j’aurai pu décliner, au lieu de ça je tergiversais.

Je me suis donc retrouvé avec le cul de Jackie sur ma bouche, la pollution ambiante n’avait rien de catastrophique, juste quelques légères taches brunes. j’ai approché ma langue étonnée de ne rien rencontrer d’abominable.

– T’aimes bien jouer les soumises ? Me demande Jackie…

Ce n’était pas trop difficile à deviner.

– Oui !
– Tu veux une fessée ?
– Oui.

Je me mets en position et lui offre mon joufflu. Sans aucune transition, elle le frappe d’abord à la main avant de s’emparer d’une brosse à cheveux.

Ça pique, ça chauffe mais j’aime bien.

Elle m’a ainsi fessée cinq minutes avant de se déplacer. Elle revient avec un gode blanc décoré d’arabesques

– C’est un cadeau d’un ami, un artiste méconnu, il est joli, non ?
– Original !
– Suce-le.

Pas vraiment passionnant de sucer un gode, je préfèrerai l’avoir ailleurs, mais je suppose que la chose est prévue.

Effectivement, Jackie me le reprend, je la sens me tartiner le trou de balle avec du gel, puis elle fait entrer l’objet, en actionne le vibreur intégré et le fait aller et venir.

– Alors il est bon mon gode ?
– Oui continue.
– T’aimes ça, te faire enculer ?
– J’adore.
– Dis le moi que t’es une enculée.
– Je suis une enculée !

Cette salope m’a fait jouir du cul avec ce traitement, elle me retire le gode dont les arabesques sont maintenant cachées d’insolentes taches brunes.

– Espèce de dégueulasse, tu m’as foutu plein de merde sur mon joli gode ! Me dit Jackie simulant la colère.
– Ben oui quand on est cochonne, on est cochonne.
– Oui mais la cochonne elle va le nettoyer tout ça avec sa petite langue de pute.

Je m’y attendais. J’ai donc léché tout cela bien consciencieusement dans difficulté aucune.

Elle se met à me tripoter les seins avec frénésie. En ce moment, je suis vraiment sa chose et cela ne me déplaît aucunement.

Elle me tortille mes tétons, tant mieux, j’adore ça.

– Je t’accrocherais bien des pinces. Me propose-t-elle.
– Si tu veux .

Elle revient avec des pinces à linge toutes roses. Elle m’en fixe une sur chaque téton…

– On va en mettre en bas aussi.

Je ne proteste pas, mais ça commence à pincer fort, tout cet attirail.

– Pousse-toi que je m’installe .

Elle se pose sur le canapé, cuisses écartées et chatte offerte.

– Et maintenant fais-moi jouir.

Chanette3004On y va, on y va, c’est tout mouillé là-dedans, j’ai l’impression de lécher un marécage. L’affaire fut vite empaquetée. Madame gémit de plus en plus fort, ma petite langue vient titiller son gros clito qui n’attendait que ça. Son corps se tétanise, elle gueule comme une damnée, souffle un moment puis cherche ma bouche. Je ne saurais lui refuser ce doux baiser .

– J’aurais bien joui encore. Lui confiais-je.

Pas de problème, madame s’est bien occupée de moi

Fin du récit d’Anna

– C’était amusant la petite sauterie de l’autre jour, il y en aura d’autres ? Demande innocemment Anna.
– Oui mais pas ici, Bertrand il fait un peu dans l’itinérance.
– Bertrand ?
– Oui Bertrand Sauvignon, le roi de la nuit.
– Ah oui bien sûr, répondit Anna qui n’avait jamais entendu parler de ce citoyen.

Anna profita d’une courte absence de Jackie pour jeter un coup d’œil dans son sac à main ouvert, juste le temps de mémoriser son identité, ça peut toujours servir. Puis les deux femmes se séparèrent non sans avoir échangé une long et baveux baiser profond.

Jeremy

Jérémy constituait-il une piste ? Comment savoir ? Mais si on voulait creuser, il me fallait son adresse de ville, l’adresse de vacances je la connaissais déjà et pour cause.

Je me pointais donc devant chez lui et attendait qu’il sorte (ou qu’il entre). Quand il fut devant moi, je le saoulai de paroles (je sais très bien faire).

– Oh quelle surprise ! Justement je pensais à vous… je me disais qu’on pourrait peut-être recommencer cette expérience, en fait j’ai un tas de choses à raconter et je me suis aperçu après coup que ça m’avait fait un bien fou de parler…
– Mais j’habite Paris…
– Ça tombe bien moi aussi, vous êtes dans quel quartier ?
– Richard Lenoir. Sur le boulevard.
– Ah, je connais bien, j’y ai habité jadis (oh la menteuse !) vous êtes à quel numéro ?
– Au 17.
– Super, on s’échange nos coordonnées, je vais vous appeler pour que vous puissiez récupérer mon numéro.

Le mec doit déjà s’imaginer m’avoir en face de lui, sa perception est brouillée.

– Je mets quel nom ?
– Ben Jérémy.

Je n’insiste pas pour lui demander son nom de famille, avec l’adresse et le prénom, on le retrouvera. Mais je profite d’avoir le téléphone en mains pour prendre sa bobine en photo sans qu’il ne se rende compte de rien.

Trois jours plus tard, la situation n’avait pas évolué. Nous sommes rentrés à Paris. Valentin a de nouveau approché la police qui a accepté sa déposition mais qui manifestement a plus urgent à s’occuper

– Qu’elle se soit envolé avec un mec, je veux bien. Nous dit Valentin mais qu’elle ne réponde ni au téléphone ni aux messages, ce n’est pas normal.
– J’ai un copain détective privé… Proposais-je.

Mes lecteurs connaissent Didier Remiremont, le détective qui m’a accompagné dans plusieurs de mes aventures (les autres se référerons aux épisodes 20, 24, 26, 27 et 29)

Il nous a écouté, dubitatif.

– Traite des blanches, trafic d’organes…
– Vous êtes rassurant, vous !
– Il vaut mieux partir des pires hypothèses…

Son cabinet s’est mis immédiatement sur l’affaire.

– Nous avons trois pistes, résume le détective, deux me semblent assez faibles, Jérémy et Jackie, mais on ne sait jamais, quant à ce Sauvignon, je vais m’en occuper personnellement.

Chacun sa mission, chacun sa cible. Les collaboratrices de Didier Remiremont sont mises à contribution, Karine, la grande brune pulpeuse s’occupera de Jackie. Tanya la jolie blackette tentera de sonder Jérémy, (en espérant qu’il ne soit pas raciste) Didier se réservant Sauvignon.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Samedi 20 janvier 2024 6 20 /01 /Jan /2024 14:38

Chanette 30 – La disparition de Carole – 3 – Réunion orgiaque par Chanette
StampBea

La réunion n’a pas lieu dans une salle publique ni dans l’arrière-salle d’un bistrot mais carrément chez l’habitant. Et il doit avoir du fric, l’habitant, faut voir la baraque et le terrain !

Un type est à l’entrée avec un chien peu aimable en laisse.

– On vient pour la réunion. Croit devoir indiquer Anna vêtue très décontractée, short en jeans et débardeur bleu ciel sans soutif.

Ben oui, on ne vient pas pour repeindre le plafond !

– Vous montez les marches et c’est la grande salle sur la gauche. Nous indique le cerbère.

Pas grand monde dans la salle, environ une vingtaine de personnes. Ces gens-là semblent surpris de voir arriver quatre personnes supplémentaires, mais nous ne serons pas les derniers

J’aperçois Jérémy, il me fait un sourire niais, j’en fais autant.

– Soyez les bienvenus ! Nous accueille un grand échalas. Prenez place, je vous en prie.

On attend un quart d’heure. Un couple entre deux âges rejoint l’assistance, et ça commence.

Un playboy sur le retour aux dents écarlates mais qui est autant orateur que moi nonne carmélite commence un speech d’une voix monocorde. Il explique que le sexe c’est bien, que l’hypocrisie c’est mal… Je ne peux être que d’accord mais pourquoi organiser une réunion pour nous raconter ça d’autant que la salle semble d’ores et déjà acquise à ce discours.

Je laisse mon esprit vagabonder, je ne l’écoute même plus.

Il conclut je ne sais plus comment mais recueille les applaudissements du public y compris ceux d’Anna et de Carole.

Le bonhomme reprend la parole :

– Merci mes amis pour ces applaudissements qui me vont droit au cœur, mais je vais vous dire un truc : la théorie c’est super, mais rien ne vaut la pratique…
– Clap, clap, clap (applaudissements frénétiques de l’assistance)
– Alors pour la pratique, on a disposé quelques matelas confortables sur les côtés, mais si vous préférez vous isoler, des chambres sont à votre disposition au premier étage. Et maintenant faisons comme au bal des pompiers : choisissez votre partenaire.. Et youppie, ce soir c’est la fête !

Ça applaudit, puis ça gesticule en tous sens, chacun cherche sa chacune…

Dingue, un type m’aborde, il ne me dit rien du tout, je l’éconduis poliment, se pointe un second, même punition, me voilà tranquille, du moins je l’espère.

Je décide de me barrer, mais où sont les autres ?

Valentin me fait signe qu’il doit se rendre aux toilettes, je ne l’ai pas revu de suite… mais il m’a raconté… Il va donc falloir que je prenne mon mal en patience…

Anna s’est branchée avec une dame mature assez imposante quant à Carole, j’ignore où elle est passée.

La femme qui drague Anna se prénomme Jackie, ce que nous n’apprendrons que plus tard. Très élégante vêtue d’une robe jaune citron décolletée jusqu’au nombril.

D’où je suis, je peux tout voir et presque tout entendre.

– Tu me plais, toi ! Lui dis la dame.
– Alors je te laisse faire.
– Ouvre moi ce short que je passe ma main.

Anna déboutonne le vêtement.

– Mais t’es une petite cochonne, tu n’as pas mis de culotte.
– Tu ne vas pas t’en plaindre.

Jackie ne répond pas, ses doigts le faisant à sa place pénétrant dans les chairs humides de l’intimité de ma copine.

– Mais t’es toute mouillée, ma cocotte,
– Je mouille souvent.
– On se prend un matelas ?

Le matelas en question n’est pas très loin de ma place, Je vais pouvoir mater, ça m’occupera (et comme ça, je peux vous raconter…)

Anna dégage la poitrine de sa partenaire, (elle est superbe la dame dans le genre grand cheval) et se jette sur ses gros tétons qu’elle tète avec avidité.

Chanette3003
Les deux femmes se retrouvent rapidement à poil, d’ailleurs tout le monde ou presque est à poil sur les matelas. C’est vraiment l’orgie romaine ici.

Au milieu de la salle il n’y a pratiquement plus personne. Un mec s’approche de moi, bite en étendard. Il sort d’où celui-là ?

– Vous restez seule ? Me demande-t-il.
– Oui et oubliez moi, vous serez gentil.
– C’est dommage, j’en ai une grosse.
– Je n’aime pas les grosses.

Il s’en va, dépité et je peux continuer à mater. Anna est en train de lécher le cul de Jackie, et quand je dis « lécher le cul », c’est vraiment lécher le cul. Je peux voir l’extrémité de la langue de la copine entrer dans le trou du cul de sa partenaire.

– Ben dis-donc, on voit que tu aimes bien lécher les culs, toi, tu ne fais pas semblant
– J’adore ça !
– Il y a pas comme une petite odeur ?
– C’est très léger, mais ça ne me gêne pas, au contraire.
– T’aimes bien les trucs un peu crades ?
– Non, ce n’est pas ça, mais disons que je n’ai pas de tabous.
– Fous-moi un doigt dans le cul !

Anna ne se fait pas prier et entreprend de doigter vigoureusement l’anus de sa complice du moment., laquelle semble apprécier si l’on en croit les petits cris qu’elle ne peut s’empêcher d’emmètre.

Elle finit par sortir son doigt en regarde l’état et s’en amuse.

– Dis donc, t’as pas vraiment le cul très propre, t’as vu comment tu m’as sali mon doigt !
– Oh, désolée, je vais te le nettoyer… répond Jackie en balayant le doigt d’Anna d’un coup de langue.
– Ça va, c’est bon ?
– J’aime bien ! Je suis un peu spéciale.
– Ne t’inquiètes pas, moi aussi il m’arrive de faire des trucs un peu trash.
– Des trucs un peu extrêmes ?
– Eh, oui ! Mais c’est quand je suis super excitée.
– Tourne toi, j’ai envie de te lécher le cul à mon tour.

Et la Jackie, non plus ne fait pas semblant. Faut voir les grands coups de langue qu’elle prodigue à ma copine !

Les deux femmes s’agitent de plus en plus, ça se caresse, ça se pelote, ça s’embrasse, ça se lèche et ça se termine dans un soixante-neuf complétement débridé au terme duquel les deux femmes jouissent comme des malades.

Et pendant ce temps-là Valentin…

Le récit de Valentin.

Je me rends aux toilettes afin de satisfaire une petite envie de pipi… Elles sont assez grandes, plusieurs urinoirs, plusieurs cabines, plusieurs lavabos…normal puisque le site avait été réaménagé pour recevoir des colonies de vacances !

Il y a un monsieur, genre très distingué, cheveux et barbe blanche. Il est à poil et occupe l’un des urinoirs.

A mon arrivé, il se recule, bite à la main et se masturbe. J’hésite un peu et me dirige vers l’urinoir contiguë tout en étant troublé par l’attitude de ce type.

Il m’adresse un sourire qui se voudrait complice, je le lui rends volontiers.

– Vous avez une bien belle bite ! Le complimentais-je
– Si vous voulez la toucher, ne vous gênez surtout pas.

Alors je la prends en main, la caresse et la branle un petit peu.

– Tu suces ? Me demande le vieux.
– Oui !

Et je me baisse afin de mettre en bouche ce joli sexe bien bandé. Inutile de dire que je me régale et que ma propre bite devient à l’étroit dans mon pantalon.

Un mec entre et s’approche de nous, il sort sa queue et nous regarde faire.

– Joli spectacle ! Commente-t-il.
– Il me suce trop bien ! Répond le vieux.
– Vous allez l’enculer ?
– Pourquoi pas ? Qu’est-ce que tu en penses ? Me demande-t-il.
– Moi je veux bien !

Je baisse mon pantalon et offre mes petites fesses au vieux qui vient alors me lécher le troufignon. J’adore cette caresse !

Il s’encapote et me pénètre d’un grand coup de rein. Il m’a fait un peu mal et je pense même à stopper l’affaire, mais la suite est agréable, il m’encule comme un chef ! Je sens ses grosses couilles qui me claquent derrière. Le troisième larron vient au-devant de moi et me propose sa bite à sucer ! Pourquoi pas, une bite dans la bouche, une bite dans le cul, c’est la fête !

Le mec de devant est parti, sans avoir joui, sans doute réserve-t-il sa jouissance à d’autres plaisirs.

Le vieux derrière n’en peut plus, il souffle comme un bœuf et s’agite de plus en plus. Je le sens décharger, il se retire.

– Ça fait du bien ! Commente-t-il sans me regarder.

Et il s’en va sans un mot de plus, moi je n’ai pas joui. J’ai failli me branler et puis je me suis dit que la soirée n’était pas finie… J’ai quand même pissé, c’était pour ça que j’étais venu.

Fin du récit de Valentin

Anna et Valentin ont fini par me rejoindre.

– Alors, on fait banquette ?
– Ben oui, pas trop motivée…
– Je suis tombée sur une de ces brouteuses, elle avait une de ces langues ! Elle m’a emmené au plafond. Croit devoir me préciser Anna.
– Je sais, j’ai vu et entendu, bon, où est Carole ? J’aimerai bien ne pas m’éterniser ici.

Personne ne sait où est Carole, alors on attend.

La frénésie sexuelle semble se calmer, des gens quittent les lieux.

Bientôt il ne reste plus que nous.

– Mais enfin, qu’est-ce ce qu’elle fout ?

Je lui téléphone, mademoiselle est en répondeur. Elle se fout de notre gueule.

Le grand échalas de tout à l’heure s’approche de nous :

– Nous allons fermer, messieurs dames, j’espère que vous vous êtes bien amusés.
– On attend notre copine, elle doit être en haut.
– Il n’y a plus personne en haut, je viens de faire le tour.
– Ah ?
– Votre amie a dû aller ailleurs avec son partenaire pour finir la soirée…

Gonflée quand même, elle aurait pu nous prévenir.

On est rentré manger un morceau et on est allé se coucher.

Le lendemain nous étions toujours sans nouvelles de Carole.

Nous avons attendu toute la journée, l’angoisse à la gorge.

Vingt-quatre heures ont passé, on est allé voir les flics. Ils s’en foutent nous expliquent que la personne est majeure, qu’on n’est pas de la famille et que les plaintes pour disparition ne sont recevables qu’au bout de 48 heures. Bref ils ne vont pas se bouger.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Samedi 20 janvier 2024 6 20 /01 /Jan /2024 14:35

Chanette 30 – La disparition de Carole – 2 – Talents de conteuse par Chanette
Anna

J’ai donc indiqué au type que j’étais d’accord et il m’a communiqué l’adresse de sa location de vacances.

J’arrive chez lui, il me demande si je veux boire quelque chose, je décline. Pas envie qu’il me mette un truc douteux dans mon verre. Mais il n’insiste pas.

– Je m’appelle Jérémy ! Me dit-il
– Enchantée, moi c’est Marguerite ! Improvisais-je
– Non, vous plaisantez ?
– Peut-être que oui, peut-être que non… Mais je pense que vous pouvez comprendre que je ne vais pas vous donner mon vrai nom…
– Oui, bien sûr. Asseyez-vous. On se donne une heure ? Me confirme-t-il.

Il s’assoit en face de moi.

– Je vous écoute.
– Payez-moi et nous pourrons commencer.
– Ne vous inquiétez pas, je vous paierai tout à l’heure.
– Non, l’usage est de payer d’avance.
– Et si votre prestation ne me convient pas ?
– Bon écoutez, on ne va pas jouer aux marchands de tapis, vous me payez ou je m’en vais.

Je regrette déjà d’avoir accepté ce rendez-vous, ce mec devient déjà chiant. S’il continue à m’emmerder, je vais me casser.

Il sort quelques billets de son portefeuille et les pose sur la table. Ça l’aurait dérangé de me les donner de la main à la main ?

– Bon alors, vous voulez que je vous raconte quoi ?
– Vous devez avoir plein d’anecdotes croustillantes à raconter ?
– Vous voulez du croustillant ?
– Oui ! Tant qu’à faire…
– Avec des détails bien explicites.
– Oui des trucs bien excitants. Des trucs pour me faire bander.

C’est vrai que j’ai plein d’anecdotes en stock, mais je ne vais pas non plus lui raconter ma vie, je choisi donc de lui raconter mon aventure alpestre aux sources bleues (voir : Chanette – 10 – les sources bleues) en l’arrangeant à ma sauce.

Au bout de dix minutes il m’interrompt.

– Hum, c’est super excitant votre truc, si vous permettez on va faire une pause, je vais me mettre en tenue.
– En tenue ?
– Oui, on a convenu qu’on ne baiserait pas et que je ne vous toucherai pas, mais j’ai le droit de me branler devant vous, je suppose ?
– Ah ? si vous voulez !

Il s’en va à côté, j’espère qu’il ne va pas revenir avec un revolver, je fouille dans mon sac et avise ma bombe au poivre au cas où…

Et le voilà qui revient, il est à poil, des pinces aux seins et aux couilles avec des poids, il s’est ligaturé les testicules, il aussi un plug anal dans le cul que je ne l’ai pas vu tout de suite.

– C’est ma tenue de lopette ! Croit-il devoir préciser.

Ben oui j’avais compris.

– A Paris, j’ai aussi une perruque et du maquillage, mais je n’ai pas emporté tout ça ici…
– Tu te travestis ?
– Oui, mais je fais ça chez moi, je serais plus jeune je m’exhiberais mais là j’ai un peu passé l’âge.
– T’as des copains, des amis, avec qui tu fais ça ?
– Ben non je suis prof de math, si mes collègues me voyaient… Vous pouvez continuer à raconter pendant que je me caresse ?
– Bien sûr !

Ne connaissant évidemment pas les fantasmes de ce type, mais devinant à ses gadgets qu’il cultive des tendances un peu masos, je module mon récit en conséquence.

Et ça marche, il bande comme un puceau. Il m’interrompt parfois pour me demander des précisions.

– Et vous l’avez fouetté longtemps ?
– Oui, elle avait le cul tout rouge. Mais la punition n’était pas finie, je me suis emparée du bouquet d’orties que j’avais cueilli lors de notre promenade et je l’ai flagellé avec…
– Sur le cul ?
– Non, elle avait déjà bien souffert, je lui ai piqué les cuisses, le ventre, les seins…
– Ça doit faire vachement mal !
– Oui mais quand on est maso, le mal ça fait du bien !
– Et ensuite ?
– Ensuite, j’ai demandé à mon copain de l’enculer.
– Le copain ? Quel copain ?

Chanette3002
Voilà que je l’embrouille dans mon histoire, mais je me rattrape aux branches.

– Oui, il venait d’arriver, je ne lui ai même pas laissé le temps de monter ses bagages.
– Il l’a fait jouir ?
– Tu m’étonnes, elle hurlait comme une truie, cette salope !
– Il faut que je jouisse, je n’en peux plus. Je peux vous demander une faveur ?
– Dis toujours .
– Je pourrais voir vos seins ?
– Tu ne les as pas assez vu à la plage ?
– C’est-à-dire que… si j’osais… contre un petit billet, j’aurais bien joui sur vos seins.
– Désolé mais on fait un deal, alors on en reste là.
– Tant pis. Je vais me branler mais si vous pouviez m’insulter pendant que je le fais…

Oui, ça je peux le faire, ça ne va pas me tuer…

– Branle toi espèce de minable !
– Oui, maîtresse !
– Oh, mais tu fais quoi avec ta main gauche ? Ah tu t’es foutu un gode dans le cul t’es vraiment un enculé !
– Oui, maîtresse !
– Et tu t’es déjà ais enculer ?
– Oui, maîtresse, j’adore ça !-Et tu suces des bites?
– Oh, oui, des bonnes bites !
– T’es qu’un sale cochon vicieux ! J’aurais dû venir avec notre copain tu l’aurais sucé bien comme il faut !
– Ph, oui, ça aurait été bien !
– Imagine… tu es en train de sucer une bonne bite pendant qu’un autre mec t’encule bien.

Le mec n’en peut plus, il ferme les yeux, appelant ses fantasmes secrets à la rescousse et finit par jouir dans un kleenex.

– C’était bien, vous en avez d’autres ?
– D’autres histoires ? Sans doute, mais on a fait ça une fois, je l’ai fait pour te faire plaisir, mais maintenant c’est fini, on ne se connait plus.
– C’est dommage !

Le mec n’insiste pas mais me tend une petite brochure, en fait un flyer de quatre pages

– Ça devrait vous intéresser.

Je le prends par politesse et jette un coup d’œil sur le titre. « la paix par le sexe ». Sans doute encore une secte à la con…

Quand je suis rentrée, mes amis m’ont chambré et posé un tas de questions

– Alors tu t’es éclaté ?
– Non, pas vraiment, disons que c’était une expérience.
– Tu recommenceras ?
– Je ne crois pas, non.
– Il était comment, le mec ?
– Bof pas très intéressant. Il m’a filé une brochure, je ne l’ai même pas lu.
– Fais voir ? Me demande Anna.

Elle m’arrache pratiquement la brochure des mains.

– La paix par le sexe ! Waouh ! C’est quoi ce truc ?

Elle feuillette l’intérieur, apparemment il n’y a pas grand-chose à lire.

– Oh ! Mais c’est loin d’être con ce qu’ils racontent ! Tiens Carole, jette un coup d’œil.

Cette dernière lit à son tour.

– Oui évidemment, mais c’est qui ces mecs, une secte ?
– C’est pas parce que c’est une secte que c’est forcément nul. Réplique Anna. T’as vu ils font une réunion publique le 18, j’ai bien envie d’y pointer le bout de mon nez. C’est quand le 18 ?
– C’est aujourd’hui.

Je n’avais vraiment pas trop envie d’aller à ce truc, mais puisque j’étais en minorité…

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Samedi 20 janvier 2024 6 20 /01 /Jan /2024 14:33

Chanette 30 – La disparition de Carole – 1 – Sur la plage à Lacanau par Chanette
stamp partouz

Il me faut parler un petit peu de Valentin Marchicour, il est apparu pour la première fois dans le récit « La partouze de Monsieur le ministre », puis nous l’avons revu dans les épisodes 18, 20, 28 et 29.

Valentin est un beau gosse, blond, fin, il plait aux femmes, mais aux hommes aussi, sa bisexualité latente est devenue au fil des ans de moins en moins latente.

Il est très lié avec Carole, une nana rencontrée dans des circonstances rocambolesques (voir chapitre 15 – la Bergerie), ils baisent ensemble mais ne sont pas en ménage.

Carole est une jolie fausse blonde frisée et très légèrement potelée. Son visage finement découpé est magnifique, les lèvres sont superbement ourlées et le nez joliment dessiné. Elle est grande, de belles formes sont là où il faut, quelques kilos de moins en aurait fait un top-modèle.

Valentin taquine la plume et son dernier bouquin a été un succès de librairie inattendu à ce point qu’un producteur de cinéma bien connu lui a proposé d’en acheter les droits et de co-écrire un scénario de film. Evidement tout cela signifiait une rentrée d’argent substantielle. Du coup Valentin acheta à bas prix une baraque assez délabrée à Lacanau, sur la côte Atlantique.

– Il y a des tas de travaux à faire ! Nous précisa-t-il, je les ferais faire petit à petit, mais en attendant on peut y loger pour les vacances.

Et il nous a invité, Anna-Gaëlle et moi à y passer quelques jours de farniente.

Pourquoi pas ? Ça me fera du bien !

La plage est sympa, et il y des coins où on peut se foutre à poil sans que cela ne cause des problèmes.

Nous étions bien étalées, Carole, Anna et moi sur nos serviettes en train de profiter des rayons du soleil quand nous avons vu un type, la cinquantaine, visage en pain de sucre, cheveux rares et pas sexy pour un sou déambuler vers nous.

– C’est qui celui-là ? il ne va tout de même pas nous draguer ! Me chuchote Anna.
– Il a le droit de se promener, s’il nous emmerde, on le vire ! Répondis-je.

Le mec pose sa serviette à moins de 10 mètres de notre emplacement.

– Il n’a qu’à venir encore plus près ! Tempête Anna. Merde, il y a plein de places ailleurs.
– Il a peut-être une idée derrière la tête, on va bien voir.

Le mec retire son slip de bain et s’enduit scrupuleusement le corps de crème solaire, ça dure un certain temps puis il s’en étale sur le dos, avant de s’occuper de l’intérieur des cuisses… et c’est à ce moment que les choses devinrent étranges.

Parce que figurez-vous que le type se tripotait la bite ! Davantage du tripotage que de la branlette, mais n’empêche que bientôt sa bite devint toute raide.

– Un malade d’exhibitionniste ! Me dit Anna.
– Je ne suis pas sûre, il ne nous regarde même pas. Objectais-je.
– Elle n’est pas mal sa bite ! Fais remarquer Carole, je la sucerais bien !
– Cochonne !
– Ben quoi ?

On a fini par ne plus le regarder… Et puis nous avons vu un blondinet à poil s’approcher de lui, manifestement les deux hommes ne se connaissaient pas.

Le blondinet esquisse quelques mouvements de masturbation devant « pain de sucre » qui lui répond par un signe de bienvenue.

Du coup blondinet s’accroupit saisit la bite de « pain de sucre » et se met à la sucer.

Gloup, gloup

– Non mais regarde un peu ces deux cochons, ça m’excite de voir ça ! Me dit Carole, pas toi ?
– Tu sais moi des mecs qui se sucent, je vois ça toutes les semaines.

De quoi, de quoi ? s’étonnera le lecteur qui n’a jamais lu mes aventures (quel dommage !), il me faut donc ouvrir une légère parenthèse.

Je suis donc Chanette (c’est mon nom de guerre). Celles et ceux qui m’ont déjà lu savent que j’exerce le métier (ben oui c’est un métier) de dominatrice professionnelle. Mes récits ne sont pas des histoires de domination mais des récits d’aventures incluant de l’érotisme (et bien sûr aussi de la domination). Je suis de celles que l’on qualifie de MILF, fausse blonde et je plais.

Dans mon studio il est fort courant que j’aie deux, voire davantage de soumis en simultané. Alors je les « oblige » à avoir des relations entre eux. Pour certains c’est humiliant, et comme ils viennent pour être humiliés tout le monde est content. D’autres y prennent manifestement un grand plaisir, je leur permets ainsi d’extérioriser une bisexualité souvent refoulée.

On peut maintenant reprendre le cours du récit

Carole et Anna matent la scène comme des cochonnes.

Blondinet stoppe un moment sa fellation pour offrir ses lèvres à « pain de sucre ». Curieux spectacle, je ne suis pas choquée, je serais mal placée pour l’être mais je me demande commence « beau gosse » peut être attiré physiquement par ce bonhomme qui n’a pas grand-chose pour lui.

Et puis ce n’est pas un bisou de politesse. On peut voir leurs langues se croiser et se rencontrer sans relâche.

Blondinet tortille ensuite les tétons de son partenaire afin de la faire bien bander. L’autre à l’air d’apprécier et se pâme comme un canard devant un nénuphar. Le résultat est spectaculaire, sa bite montre le ciel.

De nouveau, le blondinet prend le pénis de l’autre dans sa bouche et le suce vigoureusement. Je crois que « pain de sucre » adore ça parce qu’il pousse des gémissements assez rigolos. Et ça continue… Il le prend à pleine bouche jusqu’au fond de sa gorge, il suce de ses lèvres le gland bien dodu et violacé. Il prend ses testicules dans sa main et les caresse, puis il insère ensuite son index dans l’anus, qu’il fait aller et venir.

Pain de sucre gémit fortement sous l’effet de ce traitement, et soudain il pousse un jappement, il vient de jouir, le sperme lui gicle au visage, dans sa bouche et sur son cou.

Mes copines sont figées sur place, excitées comme des puces, à ce point qu’elles se tripotent la chatte réciproquement.

C’est au tour de « pain de sucre » de sucer la bite bandée comme celle d’un cheval, de son partenaire occasionnel.

Ça ne dure pas très longtemps, après quelques va-et-vient, Blondinet éjacule. « Pain de sucre » en reçoit plein sur le visage, il s’essuie avec les mains et se lèche les doigts en soupirant de plaisir. Quel cochon !

Anna chuchote quelque chose à Carole et je les vois s’avancer vers « pain de sucre ». Qu’est-ce qu’elles vont nous faire comme bêtises ?

– Alors Papy, c’était bien ?
– Laissez-moi tranquille ! Répond l’homme, méfiant.
– C’est que ça nous a bien plus, ça nous a même pas mal excité ! Reprend Anna.
– Tant mieux pour vous.
– C’est juste dommage que vous ne soyez pas allé plus loin !
– Plus loin que quoi ?
– Je ne sais pas, il aurait pu t’enculer…
– Il ne me l’a pas proposé.
– T’aimes ça te faire enculer ?
– Mais enfin, qu’est-ce que ça peut bien vous faire ?
– C’est parce que on est vicieuse, très vicieuses !
– Ah ?
– J’ai envie de pipi ! Lui dit Anna, ça te plairait si je te pissais dessus.

Le mec n’en revient pas d’une telle proposition. Mais il n’est pas choqué, il y a peu de monde et personne à proximité immédiate.

– Je veux bien ! Finit-il par dire.
– C’est 20 balles lui répond Anna.
– Vous êtes des putes ?
– Ça nous arrive, oui. Et si tu veux que ma copine pisse aussi ça fera 30 euros en tout. Avoue que c’est donné, c’est du tarif vacances.

Alors j’ai vu « pain de sucre » sortir un peu d’argent de sa sacoche, Anna l’a enjambé au niveau de la bite et a commencé à pisser. Mais l’homme lui a fait signe de viser sa bouche. Pas de problème il a reçu une bonne giclée, puis Carole a pris le relais.

Je vous dis, elles sont fadas mes copines !

Le type a ensuite quitté les lieux en se dirigeant vers les douches publiques.

Et voici Valentin qui revient de sa balade, il a l’air ravi.

– Te voilà, toi, t’as raté…

Et Carole en entreprend de lui raconter ce qui vient de se passer?

– Et toi t’as fait quoi ?
– Je suis allé jusqu’au bout là-bas, moi aussi j’ai vu des choses intéressantes
– Raconte

Le récit de Valentin

Il y a une espèce de crique un peu plus loin, avec la marée on est obligé d’entrer dans l’eau pour l’atteindre mais ça vaut le coup de se mouiller.

Chanette3001Je vois d’abord un couple, la femme est sublime, la trentaine, toute bronzée, des seins magnifiques, une belle frimousse, bref, tout pour plaire ! Elle est en train de sucer la bite de son copain en faisant des gloup-gloups bien bruyants.

Le mec m’interpelle :

– Tu veux baiser ma femme ?

Je ne sais pas pourquoi je n’ai pas répondu, en fait j’avais envie d’aller voir plus loin…

– Tu ne sais pas ce que tu perds ! Me dit le mec pendant que je m’éloigne.

Je me dis qu’éventuellement j’aurais toujours l’occasion de revenir et je continue à avancer, je croise un couple, en fait une dame pas toute jeune qui se fait prendre en levrette par un bel étalon noir.

J’aperçois plus loin comme un attroupement d’une quinzaine de personnes, je m’approche, je me faufile. Au milieu du cercle deux belles nanas d’origine asiatiques se déchainent. La première est en train de chevaucher un type tandis que sa copine suce deux bites alternativement.

Mais le spectacle est aussi parmi les voyeurs, le type sur ma droite se branle frénétiquement, une bien belle bite bien droite et bien bandée, le gland luisant. Je n’arrive pas à détacher mon regard de ce bel organe tout en louchant vers les deux asiatiques.

– Elle te plait ma bite, on dirait ? Me dit le branleur.
– Elle est belle !
– T’aimes les bites ?
– J’aime bien ce qui est beau.
– Touche-la si tu veux !

Il y a des choses qu’il ne faut pas me dire deux fois, ma main s’avance et caresse ce joli membre. Je le sucerais volontiers, mais sera-t-il d’accord ? Il suffit de demander.

– Je peux te sucer ?
– T’entends ça, Jasmine, monsieur veut me sucer la bite.

Ben, oui, je n’avais pas réalisé que sa copine lui tenait compagnie, du coup j’ai peur qu’elle le prenne mal.

– Laisse tomber, je demandais ça comme ça ! Balbutiai-je en esquissant un mouvement de repli.
– Non, non, reste, on va faire ça là-bas…

Là-bas, c’est dix mètres plus loin à l’ombre d’un gros rocher biscornu.

– Ça m’excite de voir mon mec faire des trucs de pédé ! Me dit Jasmine.

Elle est mignonne Jasmine, le type méditerranéen, cheveux longs et bouclés, regard d’ange. J’espère que je pourrais au moins la caresser.

Le type s’adosse contre le rocher, je me baisse et après quelques caresses manuelles, j’embouche sa jolie bite. Je me régale, essayant de tout mettre dans la bouche, puis léchant la verge et les couilles.

– Ne me fais pas jouir ! Me dit-il.
– On arrête, alors ? Dis-je.
– T’aimes bien qu’on t’encule ? Me demande Jasmine.
– Ma foi, quand c’est bien fait…
– Tu veux ? Demande le mec.
– Pourquoi pas, t’as de capotes ?

Ils en ont ! J’adore ces gens qui se rendent à la plage naturiste avec des capotes dans leur bazar !

Je pivote donc, offrant mon cul à la vue de ce couple atypique.

– Oh quelles belles fesses ! Me dit Jasmine. T’as dû en pendre des bites, non ?
– Pas tant que ça, faut trouver l’occasion…
– Qu’est-ce que tu nous racontes ? Les occasions ça se provoque, il y a des boites, des clubs, des saunas…

Pas envie de la contrarier, je devine qu’elle a envie de détails salaces alors allons-y.

– Oui c’est vrai, le sauna j’en ai de bons souvenirs.
– Tu as dû t’y faire enculer à la chaine…
– Oui, c’était grandiose, j’ai pris trois bites dans le cul les unes après les autres et pendant ce temps-là je suçais.
– Hum, ça m’excite tout ça ! Tu sais ce qu’on va faire, tu vas me lécher la chatte pendant que mon copain va t’enculer.

Pourquoi pas, je me demande seulement de quelle façon nous allons procéder ? Mais Jasmine a de l’imagination, elle grimpe sur le rocher et écarte ses jambes de façon à ce que sa chatte soit devant mon visage.

Et c’est parti ! Le type me lèche un peu le cul afin de lubrifier l’endroit, puis d’un vigoureux coup de rein fait pénétrer sa bite dans mon fondement avant d’entamer une série d’allers et retours. Pendant ce temps ma langue s’approche de la chatte de Jasmine. Elle a beaucoup de poils, elle n’est pas hirsute mais disons que sa toison est davantage fournie que la moyenne.

Ça sent un peu le pipi, mais ça ne me dérange pas, j’écarte tout ce fouillis pour laisser passer ma langue et je lèche, c’est tout mouillé là-dedans. En même temps je lance mes mains en avant pour lui caresser les seins, Jasmine ne proteste pas, mais réagit au quart de tour à mes coups de langues et commence à gémir. C’est une rapide la dame. Ma langue vise le clito, elle hurle comme une damnée, elle va réveiller toutes les mouettes…

Elle descend de son perchoir et son copain qui n’avait pas l’intention de jouir sort de mon cul. Je me retrouve un peu con parce que pour ma part j’aurais bien joui.

– Allez, bonne fin de journée ! Me dit l’homme tandis que Jasmine m’adresse un sourire muet.

Je retourne vers le groupe entourant les deux asiatiques qui baisent avec tout le monde. Et vas-y que je suce, et vas-y que j’offre ma chatte et mon cul. Mais à ce rythme-là il ne va plus rester personne de disponible…

Ben si, il y a moi, l’une des deux m’attrape la main et m’entraine au milieu du cercle. Elle ne me demande rien et d’autorité elle me suce, elle n’a pas grands efforts à effectuer pour me faire bander, c’était déjà fait. Elle sort une capote de je ne sais où, me l’enfile tandis que sa collègue s’est positionnée en levrette.

– Fuck ! Fuck my sister !

Pas besoin d’avoir été à Oxford pour comprendre. Je m’approche tandis que la fille s’écarte les fesses.

– In my ass !

Elle veut donc que je l’encule, alors allons-y ! Le seul souci c’est qu’étant super excité j’ai peur d’être trop rapide.

Mais j’ai réussi à tenir plus de cinq minutes, c’est déjà ça, et j’ai aussi réussi à faire miauler la fille, ce qui a satisfait mon petit égo.

Je décule, la fille ne fait plus attention à moi, et se jette dans les bras de sa frangine et les voilà parti pour un soixante-neuf final. Elles sont adorables.

Fin du récit de Valentin.

– Et après, t’as fait quoi ? demande Carole
– Ben après je suis rentré.
– Faudra qu’on aille y faire un tour tous ensemble demain ? Propose Anna
– Oh oui, oh oui ! Approuve Carole

Nous avons quitté la plage vers 17 heures. Anna a voulu déguster un sorbet. Alors allons-y pour le sorbet et nous nous sommes attablées en terrasse

On papote, on fait passer le temps et voilà que soudain juste devant nous se pointe, devinez qui ? L’homme à la tête en pain de sucre.

– Euh, bonjour ! Nous dit-il.
– C’est à quel sujet ? Répond Anna d’un air dédaigneux.
– Je peux vous déranger cinq petites minutes ?
– Non !
– Juste cinq minutes !
– J’ai dit non ! Faut vous le dire en quelle langue ?
– Tout à l’heure vous avez évoquez, comment dire… vos petit extras…
– Bon écoute pépère tu vas dégager ou j’appelle les renforts ! S’énerve Anna.
– Attends, vous avez entendu quoi ? Intervins-je.
– Vous évoquiez vos activités occasionnelles.
– Et alors ?
– Alors ça m’intéresse.
– Bon, écoute mon vieux, on est en vacances, alors tu nous les lâches et tu vas voir ailleurs !
– C’était pas pour baiser ! Murmure-t-il en se reculant très légèrement.
– C’était pour quoi, alors, pour repeindre ton plafond ?
– Non, pour briser ma solitude.

Gloups

Et soudain j’ai eu pitié de ce pauvre type, genre refoulé, méprisé par les femmes, homosexuel par substitution

– Ce serait quoi le deal ? Demandais-je.
– Mais enfin Chanette, tu fais quoi, là ? Proteste Anna.
– Je ne fais rien, je me renseigne.
– 200 euros pour une heure ! Dit-il. Sans baise, je ne vous toucherais même pas.
– Chacune ?
– Non quand même pas !
– Ce sera sans moi ! Tiens à préciser Anna.
– Et on ferait quoi ? Demandais-je.
– Rien, vous me tiendrez compagnie, vous me parlerez, je suis sûr que vous avez des choses super intéressantes à raconter.
– Bon, allez faire un tour et revenez dans un quart d’heure, je vous dirais.

Anna et Carole me regardent avec des yeux tout ronds, elles ne me comprennent pas.

– Tu joues à quoi ? Me demande Carole
– Je ne joue pas, si je peux lui apporter un peu de chaleur humaine, ben ce sera ma B.A !
– Si tu le fais, ce sera sans moi, Chanette. Me répète Anna.
– Je sais tu me l’as déjà dit. Mais je ne t’oblige à rien, tu fais ce que tu veux et moi aussi. Et toi Carole ?
– Ça ne m’intéresse pas !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Samedi 20 janvier 2024 6 20 /01 /Jan /2024 14:29

Les cabines du « Diable vert » par Marine et Thibault
candaulisme

Après un dîner aux chandelles dans un restaurant chic, ma femme Marine et moi nous devisions de choses et d’autres et au moment de l’addition je vis Marine regarder avec attention l’entrejambe du serveur qui a en croire la bosse du pantalon devait être de bonne taille. Une fois sorti du resto je dis en souriant à Marine

– Alors on se rince l’œil petite garce ?

Marine se mis à rougir et me répondit que cela ne faisait pas de mal de voir de belles choses. Vu la réaction de Marine je me dis que je pourrais lui faire plaisir tout en me rinçant l’œil. Je pris Marine par le cou et lui dit

– Ça te dirait de te taper une bonne queue avant de rentrer à la maison ?

Un peu surprise par cette proposition directe, elle me répondit :

– Ça me paraît une très bonne idée ! Et elle m’embrassa avec fougue.

Nous voilà en route vers le « Diable vert », une boite de notre ville à la réputation sulfureuse. La tenue de Marine ce soir était vraiment très sexy et cela ne devrait pas trop prendre de temps pour trouver un bel étalon qui la comblerait. Une fois dans la place, Marine me dit en se dirigeant vers la piste :

– Allez, je me lance !

Tout en me jetant un regard langoureux, elle se mit à onduler sur la piste prenant des poses assez suggestives. Elle se déhanchait frénétiquement telle une belle salope allumant tous les mecs sur son passage. Rapidement Marine se trouva entouré de deux types, un jeune et un autre d’âge mûr. Ces deux types semblaient très entreprenants et commençaient à peloter ma femme de plus en plus ouvertement. Là une main au cul, là une main aux seins… Marine de plus en plus excitée me lançait des regards discrets pour tester ma réaction. je lui fis un signe complice et me dirigeai vers les « cabines d’amour ». J’attendis que Marine entre dans l’une d’elles avec les deux types, puis j’entrais dans la cabine contiguë. Une petite trappe vitrée permet d’observer ce qui se passe dans la cabine mitoyenne. J’étais donc aux premières loges.

– Alors messieurs, à qui le premier ? Lança Marine
– Tu m’as l’air d’une belle salope toi, tu vas commencer par sucer mon pote ! Répondit le plus âgé.

Le plus jeune défit son pantalon faisant jaillir une belle bite comme Marine les adore.

– Toi mon beau tu as vraiment un bel instrument !

Elle s’en empara et se mit à jouer avec, puis le prit dans sa bouche. cette vision me fit bander et tout en restant discret je commençais à me masturber. Le plus âgé n’y tenant plus releva la jupe de Marine sur son dos .Marine arrêtant de sucer déclara :

– Vas-y toi ! Baise-moi comme une chienne en chaleur !

Et l’homme la prit par les reins et commença à la limer de plus en plus rapidement. ces coups de boutoir lui arrachait des cris de plaisir de plus en plus fort.

– Dans le cul maintenant ! Encule-moi !

Vous pensez bien que le type n’allait pas refuser une telle proposition et lui défonça la rondelle.

– T’as vraiment un cul de salope !
– Ben oui ! Répondit-elle entre deux gémissements peu discrets.

L’autre lui dit :

– Tiens suce ! Ça va te faire taire salope !

diablevertEt il renfila son dard profondément dans sa gorge. L’homme derrière, dans un râle lâcha sa purée et vint inonder de son foutre le trou du cul de Marine. Celle-ci au comble de son plaisir se prit un autre décharge de foutre sur le visage. Les deux lascars une fois leur petite affaire accomplit s’éclipsèrent en rigolant, ma Marine était un peu déboussolée mais satisfaite de cet épisode pervers.

Je sortis à mon tour de la cabine en oubliant de ranger ma bite et embrassais ma femme à pleine bouche lorsqu’un inconnu m’interpella :

– Ben dis donc, tu bandes bien, toi !
– Euh…
– T’as une belle bite, je peux la toucher ?
– Euh..
– Laisse toi faire ! Me dit alors ma femme
– Je vais bien te sucer, j’adore faire ça ! Me relança l’inconnu.

J’étais prêt à l’éconduire mais Marine prit les devants.

– Allez on va en cabine, je vais vous regarder.

Une fois en cabine l’homme me demande :

– Tu suces aussi ? Demande-t-il
– Non, mais il en meurt d’envie ! Répond Marine
– Alors vas-y, il faut toujours assumer ses fantasmes ! Me dit le bonhomme en exhibant sa bite.

Je me baisse, engloutis cette bonne queue et m’en régale.

– Tu suces bien, t’es une petite salope !

Ben oui ce n’est pas ma première queue, même si les occasions sont rares !

– Je t’enculerais volontiers, ça te dit ?

Au point où j’en suis-je ne saurais refuser.

Et le type après m’avoir léché le fion pour faciliter l’introduction m’encula comme un chef sous les yeux concupiscents de mon épouse qui se tripotait la chatte. Il me pilona pendant plusieurs minutes, puis se retira sans avoir joui, sans doute voulait-il profiter encore des plaisirs du lieu ? Il me suça à son tour, je ne tenu pas très longtemps, trop d’excitation accumulée.

– On va entrer maintenant ? Proposais-je à Marine.
– Ne sois pas si pressée, je me taperais bien une petite lesbienne, maintenant !

Quelle chance j’ai d’être marié à une si belle salope !

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marine et Thibault
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