Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 12:51

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 3 -Partouze cosmique par Nicolas Solovionni
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Nous avons pu après ces péripéties, sauter dans l’hyperespace et bien évidemment sacrifier aux traditions. Mais certaines traditions n’ont rien d’une corvée, bien au contraire.

On remplit les verres (parce que c’est toujours comme ça que ça commence !) Puis on attend un prétexte pour faire des choses plus osées. Vous allez me dire pourquoi, un prétexte ? Pour rien ! Simplement ça fait partie du « jeu ».

Et c’est Nadget qui donne le signal. (pour ce genre de choses, elle n’est jamais la dernière…)

– L’apéro c’est sympa, mais sucer de la bite ce n’est pas mal non plus ! Déclare-t-elle d’un ton doctoral
– T’as pas honte ? Lui lance Nerren en rigolant.
– Non, non !
– Tu ne veux pas que je te suce ?
– Mais si, mais si !
– Alors baisse ton froc.

Nerren s’exécute et se fait provocateur en tortillant du croupion.

– Regardez-moi ça ! S’exclame Dilos, il a vraiment un cul de pédé !
– Et alors, ça te gêne ! L’apostrophe Dyane
– Non, non, je disais ça comme ça !
– Oui mais tu l’as dit d’un ton péjoratif ce n’est pas gentil.
– Mai non , mais non !
– Tu n’as plus qu’une chose à faire pour te faire pardonner, c’est de lui embrasser le cul.
– Ah, mais vous m’énervez.

Et Dilos sentant que s’il ne prend pas lui-même d’initiative, la situation risque de lui échapper, il se baisse pour embrasser les jolies fesses de son collègue, puis il se relève et s’en va se servir à boire.

Nadget s’est emparé de la bite de Nerren et la fait coulisser entre ses doigts de fée afin de la doter d’une belle rigidité.

Superbe bite, une jolie hampe parcourue d’une petite veine bleue, un gland rougeâtre et luisant, un vrai petit bijou… et même que j’en ai l’eau à la bouche.

Nadget approche sa langue, titille le gland ce qui fait vibrer l’homme de plaisir puis sans crier gare prend tout en bouche en commençant une série d’allers et retours bien baveux.

Je sais que dans quelques minutes cette belle bite sera pour moi, mais pour l’instant je m’en voudrais de déranger la jolie blackette dans son trip, aussi je passe derrière Nerren…

C’est vrai que ses fesses sont splendides et pourrait rendre jalouses pas mal de nanas.

Je caresse, j’embrasse, j’écarte et ma langue s’en va fureter du côté de son petit anus brun et fripé au petit gout d’andouillette terrienne à l’ancienne. Quel régal! Et je lèche tant et si bien que cette délicieuse et coquine rondelle ne tarde pas s’entrouvrir me permettant d’y pénétrer ma langue un peu plus avant.

Laquelle langue commence à fatiguer quelque peu (je voudrais vous y voir, vous !) C’est donc maintenant mon doigt qui entre dans ce mignon trou du cul accueillant, et vas-y que je bouge et que je te fais frétiller tout ça. Il en a de la chance Nerren, sucé par devant par une superbe nana et doigté par derrière par son capitaine lubrique !

Je contourne le bonhomme et fais signe à la blackette que je voudrais bien à mon tour ma part de quéquette..

Pas compliquée la fille, on permute la voilà derrière, me voilà devant.

Pas de préliminaires, directo dans la bouche !

– T’aime ça, sucer des bites, hein ? Vient me narguer Dyane qui ne s’est pas encore mise à l’aise.
– Han han ! (je n’aime pas parler la bouche pleine !)

Stoffer0403Je me régale, j’adore ça, et je m’en fous de passer aux yeux de certains pour un pervers, j’adore sucer des bites, j’adore les conserver longtemps dans ma bouche, les imprégner de ma salive, les caresser de ma langue… Mais si ma bouche aime les bites, mon cul n’est pas en reste, et je sais que tout à l’heure je me ferais sodomiser.

Mais pour l’instant je dois faire attention si je veux que le délire continue, il ne faudrait pas que mon partenaire jouisse prématurément.

On fait donc une petite pause, pas bien longtemps, car Nadget excitée comme une puce vient maintenant solliciter Dilos qui ne refuse pas ses avances. Et les voilà à poil en train de se caresser et de s’embrasser à pleine bouche.

Et tandis que Nerren est allé se désaltérer, Dyane vient me mettre ses gros nénés sous le nez. Ce doit être un réflexe chez moi, quand j’ai des beaux nichons devant moi, il faut que j’en lèche les tétons. En fait j’aime beaucoup de choses ! Je suis un pervers polymorphe comme dirait le docteur Freud.

– Ben alors, ducon, tu ne tiens pas la distance ?

Un cri du cœur de Nadget qui reproche à Dilos d’avoir joui prématurément.

– Oh, ma cocotte, Dilos n’a pas été gentil avec toi, viens voir Tata Dyane, elle va bien te lécher ton abricot.

Et voilà nos deux goudous en soixante-neuf en train de se gamahucher la figue réciproquement. C’est si beau de voir deux femmes s’aimer.

Nerren revient vers moi, il a un peu débandé. Qu’à cela ne tienne, une petite branlette pour remettre son bigoudi en forme, une petite sucette parce que je ne peux pas m’en empêcher et je me positionne en levrette. Nerren m’écarte les globes fessiers et vient me lécher le trou de balle ! Oh ! Quelle langue, mes amis ! Et voici qu’il me fout un doigt ! Quelle idée, je n’en veux pas de son doigt, c’est sa bite que je veux ! Mais justement la voici qui s’approche, puis qui pénètre son gland avant de s’enfoncer tout entière dans mon cul. Quelle sensation ! Et c’est parti pour une série de va-et-vient qui me font vibrer. Quel plaisir de se faire enculer !

Dans le coin à gauche, on entend un cri de jouissance, c’est Dyane qui s’est fait envoyer au ciel par la langue diabolique de la petite blackette, laquelle n’attendit pas cinq minutes pour venir le rejoindre dans l’extase.

Et un troisième cri… mais ça n’a rien à voir c’est le chat du bord qui passant par-là se mit à miauler. Je parie que Nadget a encore oublié de lui donner à boire. Pauvre bestiole !

Nadget s’approche de moi pendant que Nerren continue à me besogner par derrière. Je me doute de ce qu’elle vient chercher, la coquine !

Ça ne loupe pas, Nerren jouit brusquement (et bruyamment), il dégage sa bite de mon cul, Nadget la happe au passage et en nettoie le sperme… et le reste…. Quand je vous disais que c’était une grosse coquine.

Cette petite sodo était fort agréable mais n’empêche que je n’ai pas joui…

– Oh, le pauvre lapin ! se moque Dyane qui m’attrape la queue d’une main énergique et se met à me la branler en cadence.

Dyane est une bonne branleuse, en trois minutes je giclais mon sperme sur ses gros lolos. Et devinez quoi ? ce sperme Nadget vint alors le lécher, elle est insatiable aujourd’hui, celle-ci !

Nous avons enfermé les deux détectives dans deux cabines libres munies d’un système de fermeture ultra sécurisé bricolé de main de maître par l’ami Dilos.

Trois semaines plus tard nous sortions de l’hyperespace et nous retrouvions dans le système de V6783 dans lequel gravitait la planète supposée abriter Edina Von Graz…

– Planète repérée, on y sera dans douze heures ! Annonce Nerren.

Effectivement la planète apparaît sur les écrans de contrôle.

– C’est quoi ce délire ? S’exclame Dyane, c’est une planète de glace, c’est bien celle-ci au moins ?

Je vérifie, elle correspond bien aux coordonnées que m’a communiquée Ravo.

– On va s’approcher, on verra bien.

J’ai de plus en plus l’impression que nous nous sommes fait avoir.

– Activité biologique détectée ! Annonce Dilos.
– Ce doit être des poissons rouges ! Répondis-je, sceptique.
– Non, là il y a une activité électrique !
– Ben oui, il y a des poissons électriques.
– Arrête tes vannes, c’est de la grosse électricité.
– Bon, on s’approche et on essaie un contact.

De près la planète n’avait rien d’avenante, de la glace, de la neige et encore de la glace.

– Moins 40 ° ! Annonce Dilos, on va sortir les pull-overs !
– Allô, allô, ici cargo Rosa Munda, petits problèmes à bord, demandons autorisation d’atterrir.
– Patientez cinq minutes. Nous répond une voix pète-sec.

Patientez pour quoi faire ?

– Rosa Munda, autorisation acceptée, nous vous balisons le terrain d’atterrissage, faites attention ça glisse et c’est un peu exigu. Attendez nos instructions pour la suite et ne sortez pas de votre vaisseau.
– Ok.

Ces salopards nous font atterrir sur une vraie patinoire.

Ça tangue là-dedans de façon dangereuse, j’ai beau avoir mon paquet d’heures de vol, je n’ai jamais fait ce genre d’atterrissage sur banquise, les freins répondent mal, je dépasse le bout de la piste, mais ce n’est pas plus mal, le terrain légèrement accidenté ralentit le vaisseau, je parviens à le redresser et repart dans l’autre sens en vitesse minimale.

Ouf !

Mes collègues m’applaudissent, c’est gentil, il ne fallait pas !

Un coup d’œil aux environs, un grand dôme d’une cinquantaine de mètres de diamètre abrite la base locale, à tous les coups une ancienne installation scientifique abandonnée pour des raisons budgétaires… comme tant d’autres …

– Allo ! Jolie votre sortie de piste !

Il se fout de ma gueule, ce con !

– Allô, c’est quoi vos problèmes ?
– Le logiciel de navigation qui déconne.
– Vous n’avez pas de back-up ?
– Si mais ça ne marche pas.
– Bizarre votre truc, ne bougez pas je vais vous envoyer un technicien, patientez un petit peu.

Merde et crotte de saurien ! Voilà une situation complètement imprévue !

– Je peux boguer les programmes, nous dit Dilos, ça nous ferait gagner du temps, mais un technicien pourra débuguer en cinq minutes, on aura plus aucune raison de rester.
– Vas-y bogue, pour le reste je gère.

Du moins je vais essayer de gérer.

Un mec en tenue spatiale demande à entrer, il se met à l’aise dans le sas et apparaît, une vraie caricature de geek de cinoche, visage acnéique, lunettes comme on n’en fait plus et surpoids conséquent.

– Bonjour, m’sieu-dames. Moi c’est Arkon. Je vais regarder ce qui se passe, j’ai apporté un simulateur, renseignez vos codes s’il vous plaît

Le gars fait quelques manips

– C’est quoi ce bordel ? Rien ne répond, faite voir le backup ?

Manifestement le gars ne capte rien, à moins qu’il ait compris et qu’il refuse de le montrer.

– Bon je renonce à comprendre, on va faire simple, je vais me faire envoyer un logiciel propre, qui soit compatible avec votre vaisseau, je vous l’installe, je crée des backups et l’incident sera terminé. Ça va prendre une heure environ.
– Est-ce que pendant ce temps-là je peux m’entretenir avec vos responsables ?
– Par radio ?
– Si on ne peut pas faire autrement…
– Je vous mets en contact.

Je tombais sur une bonne femme à la voix rocailleuse à qui j’expliquais que nous avions raté notre livraison chez une planète cliente en raison de nos problèmes de logiciel, et que nous avions en cale plein de bonnes choses…

– Vins fins, alcools, épicerie et confiseries de luxe, cigares haut de gamme, sex-toys.
– On vous rappelle !

Une heure plus tard Arkon nous signala qu’il avait terminé l’installation mais que le logiciel installé n’était pas entièrement compatible avec notre vaisseau et qu’il faudrait qu’il le bricole…

– Ça va être un peu long, mais je sais faire. J’en aurais pour trois jours, mais ce ne sera pas gratuit, après vous allez pouvoir repartir.
– Euh, on m’avait dit qu’on me rappellerait.
– Ils vont le faire, soyez patient…

De toute façon Arkon semblait avoir deviné que nous n’avions aucune intention de partir si vite.

Rentré dans sa base Arkon s’entretien avec Eugenia, la maîtresse des lieux :

– Alors ?
– Ces gars-là sont des imposteurs, leur logiciel n’avait rien du tout, ils ont dû le trafiquer au dernier moment pour donner le change. Je les ai bluffé.
– Tu crois qu’ils sont dangereux ?
– Va savoir ? J’aurais pu leur dire de partir de suite, mais je me suis dit que dans ce cas ils risqueraient de revenir avec des plans plus radicaux… Donc autant en apprendre le maximum avant de les virer…
– Tu as bien fait, et tu préconises quoi ?
– Il y a plein de solutions, en commençant par la plus définitive : l’élimination.
– Et s’ils ont laissé leurs coordonnées quelque part, on se farcira une commission d’enquête, t’es pas un peu malade, non ?
– Pardon maitresse.
– Y’a pas de quoi ! Non ces gars-là cherchent quelque chose et il n’est pas bien difficile de deviner quoi, on va donc les bluffer, leur jouer la comédie.
– Et concrètement ?
– On va accepter leur fond de cale, c’est toujours bon à prendre, on va les recevoir dignement, puis on improvisera.

Eugenia appela ensuite Baboukar, un impressionnant colosse noir

– Voilà ce que tu vas faire… et surtout pas d’impair, il y va de notre sécurité à tous, ce cirque ne devrait pas excéder trois jours, après on les vire. Bien sûr tu me rendras compte régulièrement et discrètement.

La base après nous avoir fait poireauter un bon bout de temps a fini par nous répondre. Ils sont a priori intéressés et nous envoie un type pour estimer la marchandise.

Ce fut rapide, Baboukar était comme un gosse dans un magasin de jouets, là au milieu de nos Pinard et autres victuailles (sans parles des godes…)

– Ça nous intéresse, vous en voulez combien ?

Je lui indique, il ne marchande même pas

– Le seul problème c’est le paiement, on n’a pas de compte, mais on peut vous payer en bijoux.
– Pas de soucis !
– Je vous propose de fêter notre accord, je suis le chef de cette petite communauté, je vous invite vous et votre état-major à partager un petit repas convivial…

Super, nous allons donc pouvoir entrer dans la place, ensuite il est bien connu qu’un bon repas, surtout s’il est bien arrosé est propre à délier les langues les plus rétives.

– Qu’est-ce qu’on fait des deux détectives si on s’absente plusieurs jours ? Demande Nerren.
– L’équipage peut s’en occuper, non ?
– Ça me paraît un peu risqué… Ces mecs-là sont des manipulateurs….
– T’as raison, on va laisser l’équipage en dehors de ça. On va leur laisser des barres vitaminées, ils ne mourront pas de faim ! Sinon ils ont de l’eau…

Un camion équipé est venu prendre possession de notre boustifaille, puis revêtus de nos combinaisons spatiales, je me suis dirigé vers le sas du dôme accompagné de Dyane, de Nerren et de Dilos.

J’avertis préalablement mes compagnons :

– Attention, buvez modérément, il n’est pas impossible qu’ils veuillent nous faire parler… Et évidemment interdiction d’évoquer notre vraie mission, même si nous sommes entre nous, on ne sait jamais, il peut y avoir des micros.
– Tu ne serais pas un peu parano ? Se moque Dyane
– Je ne suis pas parano, je suis méfiant.

Dans le sas une voix au micro nous informe.

« Nous avons mis à votre disposition des tenues provisoires, merci de vous déshabiller entièrement, nous disons bien entièrement, et de les passer, vous récupérez vos effets personnels quand vous nous quitterez, vous sortirez du sas un par un et nous contrôlerons que vous ne faites pas entrer d’armes ou autres objets dangereux. Nous nous excusons de cette formalité qui peut vous paraître humiliante, mais il y va de notre sécurité. Ensuite si tout s’est bien passé nous vous recevrons avec courtoisie. »

Nous avons donc revêtu des combinaisons grisâtres d’une laideur absolue. Mais qu’importe, nous ne sommes pas venus ici pour faire un défilé de mode !

A la sortie du sas : un couloir, une porte et nous voici directement dans une salle à manger.

Baboukar nous accueille il nous fait les présentations. il y a deux autres types et aussi Arkon que nous connaissions déjà… Mais personne qui ressemble de près ou de loin à Edina Von Graz.

On boit l’apéro, Baboukar est en face de moi.

– Nous sommes, nous dit-il une petite communauté qui fuyons la civilisation, on a trouvé ce dôme par hasard et nous l’avons acheté sur nos fonds propres… pour trois fois rien.
– Je vois, et vous n’avez pas de problèmes d’approvisionnement ? Demandais-je.
– Non, nous sommes en contrat avec un vaisseau ravitailleur, de toute façon nous n’avons pas beaucoup de besoins, en échange on leur refile nos poissons locaux, les glochtons, ce ne sont pas vraiment des poissons mais c’est délicieux, d’ailleurs vous allez pouvoir y goûter.

Bref, je n’apprends pas grand-chose, on passe à table, effectivement ces glochtons sont délicieux, le pinard est moyen mais buvable, quant aux serveuses ce n’est rien de dire qu’elles sont accortes, tenue de soubrettes d’opérettes avec jupette au ras de la moule et décolleté plongeant. Oh là là !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 12:50

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 2 – Dyane et Ruby (et Yoyo aussi) par Nicolas Solovionni
Mat Stamp

Sachant comment fonctionnait le bonhomme, Dyane défit la fermeture éclair de son haut libérant et exhibant sa jolie poitrine.

– Oh, que c’est beau, on ne s’en lasse pas ! S’exclame Rudy.
– Caresse, mais doucement !

« Heureusement que je lui ai dit de faire doucement ! » Se dit Dyane, l’homme ayant tendance à confondre nichon et pâte à modeler.

– Embrasse-les, mais sans t’énerver, ce n’en sera que meilleur.

C’est toujours comme ça avec certains mâles, on leur dit de se calmer, alors ils se calment et cinq minutes plus tard, ils ont oublié de se calmer… Mais n’empêche qu’avec ce traitement les tétons de Dyane deviennent tout durs !

– Je te fais bander, hein mon salaud ?
– C’est toi la salope !
– Ben dit donc !

Les mains de Dyane sont venues trifouiller dans le pantalon de Rudy et en ont extrait une bite dressée comme un mât de cocagne.

– On va sucer un peu tout ça.

Stoffer0402Inutile de demander son avis à l’homme, il est des propositions qu’on ne saurait refuser

Et hop, que je te mette ça dans la bouche et c’est parti pour une série d’allers et retours bien cadencé… Petite diversion pour s’occuper un peu des coucougnettes du monsieur qui sont bien pendantes…et puis un petit peu de bout de langue vibrante sur le bout du gland… ça les rend fous !

– Bon tu voudrais jouir comment ? Lui demande-t-elle.
– Y’a pas le feu !
– C’est pas une réponse.
– Une petite sodo, ce n’est pas trop demandé ?
– Va falloir que je retire mon pantalon, alors ?
– Ben oui ! Répond Rudy qui n’a pas trop le sens de l’humour ?
– Et comme ça tu verras mes fesses !
– Ben oui !

En ce moment Dyane a comme l’impression qu’elle pourrait faire ce qu’elle veut de son partenaire et le manipuler dans tous le sens du terme. Parfois le sexe ça rend dingue !

Elle se redresse, prend bien son temps, fait glisser son pantalon et son slip.

– Caresse mes fesses, caresse mes belles fesses !
– Oh que c’est beau !
– Ça va, je ne me plains pas trop !
– Lèche, lèche -moi le trou du cul !
– Il est propre au moins ?
– Mais dis donc ! Lèche tu verras bien !

Il lèche se ragalant du goût du fion de la jolie blonde, mais bientôt c’est un doigt qui vient fureter dans cet anus bien humecté.

– Mais dis-donc, je ne t’ai pas autorisé à faire ça !
– Euh…
– Tu peux continuer mais à ce moment-là, pas de sodo, c’est l’un ou l’autre !
– Cruelle !
– Parfaitement !
– Bon, je vais t’enculer comme une chienne !
– Mon cul est à vous, monsieur le poète !

Il entre facilement… faut dire que la belle Dyane a une certaine habitude de se faire ramoner par le petit trou… Et c’est parti pour une série de va-et vient ponctuée par des ânonnements compulsifs

Etant positionnée en levrette, Dyane ne peut pas voir le visage convulsé de l’homme qui se sait (déjà) proche de la jouissance.

Mais le voilà qui se retire brusquement…

– Retourne-toi, regarde-moi ! Eructe-t-il.

Juste le temps de le faire et trois ou quatre projections de sperme qui atterrissent sur la poitrine de la belle.

– Cochon !
– Ah, ça fait du bien !
– J’ai encore de la chance, il n’y en pas sur mes fringues…
– C’est la fougue de l’excitation…
– Oui mon biquet, le lavabo c’est toujours à côté ?

Dyane me rapporte ce qu’elle a glané… je me renseigne un peu sur ce Farah day. Je connais de vue son capitaine, un certain Douglas. Son Vaisseau fait une navette permanente entre trois planètes, apportant sur Vargala des produits non disponibles ici, médicaments, pièces détachées diverses et autres bricoles. Vraiment pas le profil d’un trafiquant ni surtout d’un pirate.

– Donc Ravo n’est capitaine de rien du tout, il a donc soit voyagé en tant que passager soit il s’est fait embaucher comme membre d’équipage ce qui pour nous revient au même. On se fout de la planète où il a embarqué, il a dû faire un circuit !
– Tu laisses tomber, alors ?
– Je ne sais pas trop. J’ai consulté le site où ils parlent du piratage du Glory7, le vaisseau qui transportait Edina Von Graz. En fait la moitié des passagers ont été retrouvés.
– Mais pas Edina !
– Non pas elle.
– Tu te rends compte le nombre de personnes que ce genre de flibuste implique ? Déjà il faut une complicité dans le vaisseau, ensuite il faut une équipe pour reprendre le pilotage et l’acheminer on ne sait où. Après il y a le dispatching avec tous les gens intéressés, marchands d’esclaves, proxénètes, ferrailleurs et que sais-je encore, de toute façon des tas de gens différents, sachant que ces types vont aussi traiter avec d’autres, ça nous fait une véritable nébuleuse !
– En effet.
– Donc fatalement parmi tous ces gens-là, il y en a forcément un qui va causer !
– Et alors ? Demande Dyane
– On peut supposer que Ravo est un intervenant de bout de chaîne, pour une raison ou une autre il s’est senti menacé, aux abois et il tente de vendre ce qu’il sait, Il est aussi possible qu’il bluffe soit partiellement soit complètement.
– Et alors ?
– Alors j’hésite, et toi t’en pense quoi ?
– Qu’est-ce qu’on risque, à part se planter ? Conclue-t-elle.

Pour ma part, je n’arrivais pas à me décider, j’ai donc eu l’idée de réunir les cadres de mon équipage afin d’avoir leur avis.

Petites présentations :

Nerren Petrov est mon navigateur, bisexuel et plutôt obsédé, il est plein d’humour et c’est un collaborateur que j’apprécie particulièrement.

Dilos est notre ingénieur de bord, il a été un moment amoureux fou de Dyane, mais leur idylle a pris fin sans qu’ils ne soient fâchés pour autant.

Nadget et une jolie blackette exerçant les fonctions de technicienne de bord.

Tous ces braves gens sont désormais installés chichement sur la planète suite au pactole que nous avons récolté sur Orza (voir cet épisode), mais ils sont un peu comme moi, l’espace leur manque.

– Mais le gars t’a précisé qu’il nous faudrait une équipe de mercenaires…
– Pas question que j’embarque des mercenaires, c’est trop dangereux et ç’est une source de complications. Si on fait le coup, ce sera en douceur, et si c’est pas possible de cette façon on laissera tomber en refilant le tuyau à la police galactique.

Après une discussion que j’aurais pensé plus longue, un consensus se dégage reprenant la formule de Dyane : « qu’est-ce qu’on risque sinon de se planter ! »

J’ai revu Ravo, lui ai précisé que j’acceptais sa proposition.

– Vous avez des précisions sur la façon dont elle est gardée, s’il y a beaucoup d’hommes armés… tout ça
– Bien sûr qu’il y a des hommes armés
– Et comment êtes-vous au courant ?
– Ça ne vous regarde pas.
– Si vous m’avez refilé un tuyau percé, il y aura des conséquences…
– Je n’ai pas l’habitude de me faire menacer ! Me répondit-il de toute sa hauteur. Vous acceptez ou vous dégagez de ma vue.

J’ai été à deux doigts de l’envoyer promener, mais finalement j’ai accepté… Et il m’a communiqué les coordonnées de la planète en question.

Donc on y va, le temps de se préparer, d’assurer nos intérims et de réunir un équipage de base et c’est parti !

Auparavant nous avons rempli la cale de pinards et alcools de luxe, confiserie fine… Il y a toujours des amateurs pour ce genre d’échanges.

– Attention ! Indique Dyane dans le micro, passage en hyperespace dans 20 secondes.

C’est une formalité, parfois c’est un peu brusque, il faut juste se cramponner un peu.

– Echec du passage en hyperespace ! Signale la voix suave et robotisée de l’ordinateur de bord.
– Motif de l’échec ?
– Présence imprévue à proximité du moteur numéro 2.

C’est quoi ce cirque ?

– Je vais voir ! Se propose Dilos

Il se dirige vers la salle des machines, ouvre la porte avec son sas et là…

– Les mains en l’air cher monsieur, soyez rassuré nous ne vous voulons aucun mal, nous souhaitons simplement prendre le contrôle de ce vaisseau. Lui lance Vitali avec un sourire sadique.
– Mais vous êtes qui ? Comment avez-vous fait pour entrer là-dedans ?
– Peu importe, conduisez-moi vers votre poste de commandement.
– Et sinon ?
– Sinon, je vous endors et nous irons tout seuls.

Dilos n’a pas trop le choix, il jauge ses adversaires, Vitali est un grand maigrichon, par contre Maderna est taillé comme un joueur de rugby. Ils sont armés tous les deux, il n’a aucune chance.

Spectacle surréaliste, alors que je suis là dans le poste de pilotage avec mon staff au complet, je vois pénétrer Dilos, les mains en l’air suivi de deux abrutis à la mine patibulaire arborant des armes de poing.

– Plus un geste nous prenons le contrôle de ce vaisseau.

J’avoue ne savoir que faire et nous nous regardons tous, surpris et choqués.

– Mais qui êtes-vous ?

Maderna n’a pas le temps de répondre… car voici que Yoyo, le chat du bord, qui était perché je ne sais où, bondit et atterrit sur la tête du bonhomme qui crie de douleur et de stupeur et lâche son arme qui tombe aux pieds de Nadget. Celle-ci la ramasse et en menace Vitali complétement désorienté qui lâche son arme à son tour.

Voilà un renversement de situation inattendu, merci le matou !

– Bon, maintenant vous allez nous raconter qui vous êtes et comment vous avez fait pour vous introduire dans notre vaisseau.

Flashback

Vitali et Maderna sont deux détectives privés de l’agence Cosmico-Mystery. Ils sont chargés officiellement par la famille d’Edina Von Graz de tenter de retrouver la trace de l’actrice. Recoupant des tas d’informations ils sont tombés sur Ravo, alias Herman Schumacher et sont persuadés que le bonhomme a joué un rôle déterminant dans cette affaire.

Ils ont suivi sa trace jusqu’à Vargala-Station, puis profitant d’une légère bousculade dans l’ascenseur de l’hôtel, ils lui ont injecté dans la nuque un microémetteur. Ravo n’a ressenti qu’une petite piqure sans suite, mais désormais toutes ses paroles seront enregistrées.

Alors bien sûr, ces deux crétins furent fatalement au courant de l’accord que j’avais passé avec Ravo.

Fin du flashback.

– Et vous êtes entrés comment ?
– Nous avons des passes universels.
– Je considère que vous venez de commettre un acte de piraterie. Je suis donc habilité à vous éjecter dans l’espace.
– Pitié, monsieur on ne fait que notre métier ! Bredouille Vitali.
– Pauvre mec ! Et elle est où l’alternative, vous enfermer pendant tous le voyage avec tous les risques que ça comporte, vous nourrir gratuitement ?
– Nous avons de l’argent !
– Rien à foutre. On va réfléchir à ce qu’on va faire de vous, Dilos et Nerren, foutez-moi ses abrutis à fond de cale, ligotés bien comme il faut.

Yoyo vient se frotter contre mes jambes, brave bête, il aura droit à une double ration de pâté !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 12:48

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 1 – Le mystérieux capitaine Ravo par Nicolas Solovionni
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Bonjour, c’est moi le capitaine Ajas Stoffer, capitaine de vaisseau, vaisseau spatial, dois-je préciser car l’action se passe dans le futur en l’an peut-importe lequel.

J’ai fait fortune après une mission rocambolesque (voir Stoffer 2 – Les labyrinthes d’Orza) ce qui m’a permis d’acheter un cabaret sur Vargala-station, une cité portuaire fréquentée par de nombreux baroudeurs de l’espace mais aussi par des gens peu recommandables.

Le cabaret en question, c’est le « Diable Rose » essentiellement animé par des transsexuelles (ben quoi ?)

Je m’en occupe assez peu, laissant la gérance aux bons soins de la belle Riquita qui nous fait ça très bien, mais parfois il faut bien que j’y aille afin de montrer que le boss est toujours présent et de vérifier si tout se passe bien.

– Alors patron, on vient s’encanailler ? M’accueille-t-elle.
– Juste une petite visite de routine ! Je peux voir la cave ?

On descend tous les deux. Je regarde très vite si tout est correct, il faut bien que je justifie ma visite, puis on remonte.

– Je te mets à une table ? me propose Riquita.
– Non je ne vais pas m’attarder.
– Tu ne veux pas me sucer ?
– Pas à chaque fois, quand même !
– Fais toi plaisir, je suis en forme !

Et sans attendre Riquita baisse son fuseau bleu pour m’exhiber une magnifique bite chocolatée presque raide.

Que voulez-vous ? Sucer des bites est l’un de mes péchés mignons. J’aime autant les bites que les femmes, alors évidemment avec les trans j’ai les deux.

Et me voilà en train de lui prodiguer une fellation savante usant de mes lèvres et de ma bouche comme un artiste peintre ferait de ses pinceaux devant une toile qu’il rendrait sublime…

Simultanément je lui caresse les cuisses et les fesses, me régalant de la douceur de sa peau.

– Déshabille-toi, tu seras plus à l’aise ! Me conseille cette diablesse.

Je le fais et pour ce faire je suis bien obligé d’interrompre ma pipe. Me voilà nu et comme vous l’imaginez je bande comme un cerf en rut.

– A mon tour de sucer ! S’exclame Riquita qui sans recueillir mon accord se précipite sur ma biroute pour l’engloutir goulument.

C’est qu’elle suce divinement bien, la filoute, elle a une véritable langue électrique, elle va partout et très vite, léchage intempestif sur le bout du gland, léchage de la verge façon eskimo, gobage des couilles, allers et retours diabolique, fausse gorge profonde (fausse parce que c’est au fond de mes joues qu’elle engloutit mon pénis et non pas dans sa gorge, astuce connue)

Si elle continue à cette cadence je risque de jouir prématurément.

Je l’en avise et elle le comprend aisément, elle se redresse donc et en profite pour m’exhiber ses seins de rêves, ça tombe bien, j’allais justement lui demander de le faire.

Et vous pensez bien que devant des seins pareils, je ne peux rester figé, je caresse, je plote, mes lèvres s’approchent et font frémir ses tétons. Quel régal !

Les mains de ma partenaire ne restent pas inactives, elles viennent tâter la chair de mes fesses et s’approchent stratégiquement du mon intimité postérieure.

– Oh ! J’ai peut-être une surprise pour toi ! Me dit-elle soudain.
– Et on peut savoir ?
– J’ai une nouvelle trans…
– Encore, mais elles ont la bougeotte…
– Beaucoup n’aiment pas se fixer, mais pour la clientèle c’est bien, ça fait de la nouveauté. Je vais l’appeler tu vas voir elle est géniale.

La nouvelle s’amène quelques minutes plus tard, elle s’appelle Shalimar, fausse blonde à la peau mate, très jolie. Elle est vêtue d’une petite robe blanche chiné de gris, très décolletée et descendant au « au ras de la bite »

– Bonjour patron, me dit-elle.
– Montre-lui ta bite ! Lui demande Riquita.

La trans s’exécute exhibant un sexe prometteur mais flasque. Je m’en empare et esquisse quelques mouvements de masturbation qui ont tôt fait de faire raidir convenablement la chose.

Son pénis est à présent décalotté et le gland apparaît dans toute sa beauté.

Attiré par ce sexe comme par un aimant, je me baisse et l’embouche. Je suce avec frénésie tandis que mes mains caressent ses grosses couilles pendantes.

Je fais une petite pause, sa bite ainsi imprégnée de ma salive n’en est que plus belle.

Je me retrouve je ne sais comment avec une bite dans chaque main, celle de Riquita à droite, celle de Shalimar à gauche, je les branlotte un peu. Je réalise alors (mais où avais-je la tête ?) qu’il est complétement incongru que je reste habillé en de telles circonstances.

Me voilà donc nu, je me penche pour m’occuper de nouveau de la pine de Shalimar, mais voilà que Riquita me pelote les fesses de façon intempestive.

Je me laisse faire car la suite n’est pas bien difficile à deviner et j’ai envie de cette suite.

C’est une suite en trois mouvements. Premier mouvement, Riquita me lèche le fion de sa langue diabolique à ce point que j’ai du mal à me concentrer sur ma pipe… mais c’est si bon…

Second mouvement, c’est un doigt qui s’introduit dans mon trou intime, qui va, qui vient, qui fait ressort comme un asticot qui fait du sport. C’est bien mignon tout ça, mais après ces petits préliminaires, j’aimerais bien que l’on entre dans le vif du sujet si toutefois vous me permettez cette expression…

Et après m’avoir fait lanterner plusieurs minutes, Riquita retire son doigt, prélude au troisième mouvement, je sens son gland quémander l’ouverture, ça passe de suite, ça y est, il m’encule !

Stoffer0401

Me voilà avec une bite dans la bouche, une autre dans le cul ! Elle n’est pas belle la vie ! Quand je pense que je venais simplement vérifier le stock de pinard !

Riquita s’agite de plus en plus derrière moi, tandis que Shalimar pousse des petits jappements de plaisir… Et par une simultanéité involontaire, mes deux partenaires jouissent de conserve. J’ai tout le foutre de Shalimar dans ma bouche tandis que Riquita m’a inondé l’anus.

Fin de partie ? Pas vraiment parce que je n’ai pas joui ! Riquita m’offre sa bite sortant de mon cul à nettoyer, tandis que Shalimar se jetant sur ma pine me fait cracher ma jouissance en quelques minutes.

Merci les filles, c’était bien…

– Sinon rien à signaler ! Demandais-je à Riquita près m’être rhabillé.
– Non ! Ah si, j’ai un message ?
– Ben tu me le fais suivre comme d’habitude.
– C’est un gars qui ne veut pas laisser de traces j’ai noté ses coordonnées, Ravo, à l’hôtel des Elfes.
– S’il fallait que je donne suite à tous les messages que je reçois, je ne ferais que ça.
– Il m’a dit que ce qu’il avait à te proposer pourrait t’intéresser.
– Ils disent tous la même chose.
– Ecoute, je suis embêté, il m’a graissé la patte pour que j’essaie de te convaincre de le rencontrer.
– Fallait pas accepter !
– Je sais, je sais.
– Et si je donne pas suite, qu’est-ce qui se passe ?
– Il risque de mal le prendre.
– Tu m’emmerdes, Riquita, c’est bien parce que je t’aime bien, je vais aller voir ce mec ! Mais par pitié, ne recommence plus ce genre de connerie.
– Promis, patron.

Je me rends à l’hôtel en question et demande à rencontrer ce Ravo, il a un œil en moins caché par une plaque métallique, je me demande bien pourquoi il ne fait pas greffer un œil tout neuf, mais ce ne sont pas mes oignons.

Après une présentation minimaliste, le type me sort de sa poche un spacephone, cherche une photo et me la met sous le nez.

– Ça vous parle ?
– Euh oui, on dirait Edina Von Graz.
– Z’êtes au courant…
– Au courant de quoi ? Elle a disparu dans un croiseur de luxe, si j’ai bonne mémoire.
– Elle n’a pas disparu, elle a été enlevée.
– Vous en savez des choses…
– Le coup est classique, c’est un peu plus difficile maintenant avec les nouvelles normes de sécurité, mais avant il suffisait de quelques complicités internes. On s’arrangeait pour faire atterrir le vaisseau dans un coin paumé, ensuite c’était le partage et la vente, On récupérait les bijoux, quant aux passagers on faisait le tri, les belles filles et quelques jeunes hommes pour les harems et les réseaux de prostitution, les costauds pour servir d’esclaves dans des mines, des champs, tout ce que vous voulez…
– Et les autres…
– Les autres je ne sais pas. Toujours est-il que j’ai localisé Edina Von Graz.
– Et…
– Je peux vous fournir les coordonnées de la planète où elle se trouve…
– Vous voulez que j’aille la récupérer ?
– Ce n’est qu’une suggestion. Il y a une belle prime à toucher.
– Et pourquoi ne pas l’avoir récupéré vous-même ?
– Je ne suis pas obligé de vous répondre, mais disons que d’une part je n’étais pas équipé pour le faire, et puis si je la récupère, je serais interrogé par la police galactique qui voudra savoir ce que je fabriquais dans le coin… Ça vous suffit comme explication ?

Fallait voir la suffisance avec laquelle il m’avait sorti son baratin.

– Quand vous dites que vous n’étiez pas équipé pour le faire vous-même, vous entendez quoi par-là ?
– Il m’aurait fallu une petite équipe de mercenaires.
– Vous ne pouvez pas m’en dire plus ?
– Je vous en dirais plus, quand j’aurais votre accord !
– Et pourquoi m’avoir choisi ?
– En débarquant ici j’ai demandé s’il y avait des capitaines qui accepteraient une mission un peu délicate et particulière, j’ai obtenu trois noms, vous étiez le premier de la liste, c’est tout simple.
– Bon si j’accepte, c’est quoi les conditions ?
– 10 000 kochniks pour le renseignement et la moitié de la prime.
– Ça demande réflexion…
– C’est de l’argent facile, il suffit de préparer une opération de commando avec quelques costauds bien entraînés, je pense qu’on peut en trouver à la pelle sur cette planète…
– Pas si sûr ! Mais pour votre gouverne, je n’ai pas besoin d’argent, j’en ai à ne plus savoir en faire, si j’accepte ce sera pour faire une bonne action… et puis j’aime bien Edina Von Graz.
– Vous me donnerez une réponse quand ?
– Après demain !

En fait j’étais déjà partant, mais je n’avais pas envie de lui dire.

L’espace et l’aventure me manquaient, j’en avais marre de glander sur Vargala.

Je contactais Dyane Makaya, ma seconde de vaisseau, une belle MILF blonde aux formes voluptueuses, elle avait investi dans un institut de massage érotique que je n’avais pas encore eu l’occasion de tester malgré ses sollicitations pressantes et répétées.

– Salut ma biche, ça te dirait de retourner dans l’espace ?
– Pour y faire quoi ?

Je lui expliquai…

– Curieux que ce mec n’ait pas fait le boulot lui-même, c’est qui ?
– Il s’appelle Ravo, je l’avais jamais vu,
– Tu veux que j’essaie de me renseigner sur ce mec ?
– Pourquoi pas ? Il est à l’hôtel des Elfes, j’ai pas de photo mais je vais te le décrire. Tu le reconnaîtras facilement, il a une plaque de métal à la place de l’œil gauche.

Vêtue d’un pantalon bien moulant et d’un haut très décolleté, Dyane pénétra dans le hall de l’hôtel des Elfes, un établissement moyen, dirons-nous, ni trop luxueux, ni trop pourri.

Elle s’assit derrière une table, commanda une limonade et précisa au préposé « qu’elle attendait quelqu’un. »

Elle avait une petite idée sur la façon d’aborder ce Ravo, jouer la confusion en se faisant passer pour une vieille connaissance, et comme souvent elle était persuadée que son charme l’aiderait.

Une heure plus tard Ravo n’était toujours pas descendu.

« J’espère qu’il n’est pas sorti ? »

Dyane attendit encore une bonne demi-heure, au terme de laquelle Ravo sortit de l’ascenseur précédée d’une fort jolie personne.

« Merde, ils sont ensemble, mon plan va foirer… comment faire maintenant ? »

Le couple se dirige vers le bar et commande une conso.

Dyane remarque un type assis pas trop loin d’elle et qui la regarde avec insistance, on pourrait même dire avec concupiscence.

« Ça ne coûte rien d’essayer ! »

Elle lui fait un sourire d’invite très explicite. Le bonhomme accourt.

– Vous cherchez de la compagnie ? Demande-t-il bêtement en guise d’introduction super originale.
– Peut-être, peut-être… mais il y a quelque chose qui me chiffonne.
– Ah oui ?
– Le mec au comptoir, je suis persuadée de l’avoir rencontré mais c’était y a longtemps et c’était pas ici…
– Ravo ?
– Je ne sais pas si c’est ce nom-là. Bluffa Dyane. Vous le connaissez ?
– C’est un ours, il évite les conversations, Vargala n’est pas son port d’attache, j’ai cru comprendre qu’il avait eu une embrouille là où il avait ses habitudes,
– Il est là depuis quand. ?
– Une dizaine de jours.

Peu de renseignements, mais elle avait obtenu l’essentiel.

– On monte dans ma chambre ? Proposa le type plein d’espoir.
– Cela aurait été avec plaisir mais il faut que j’y aille. Je suis la patronne des « doigts d’or » un institut de massages, vous connaissez ?
– Non.
– Comme vous êtes sympa, je vais vous faire un petit mot, vous le présenterez à la caisse, on vous fera 50%.

En tant que capitaine, j’ai accès à certaines données du cosmoport et notamment aux mouvements des vaisseaux (atterrissages et décollages). J’obtiens donc la liste de tous les vaisseaux qui se sont posés dans les quinze derniers jours. Je les connais tous de mémoire sauf deux, mais aucun de ces deux-là n’étaient commandés par des gens ressemblant de près ou de loin à un capitaine Ravo.

Il est arrivé comment sur la planète, ce mec ?

– Y’a un truc ! S’il n’est pas arrivé comme capitaine ou comme membre d’état-major, c’est qu’il est arrivé soit comme simple membre d’équipage soit comme passager, j’aimerai bien éclaircir ce point ! Expliquais-je à Dyane
– Toi, je te vois venir, tu vas encore me demander de turlutter Rudy (Rudy est l’un des responsables du trafic de l’astroport de Vargala station)
– Je ne te demande rien, mais si tu le faisais, ça m’arrangerait.
– T’es gonflé quand même.
– J’en suis conscient, mais je suis sûr que quelque part ça t’amuse !
– Ben voyons… je me renseigne pour savoir si Rudy est de service en ce moment.

Il y était

– Tiens te revoilà, toi ! Lui dit Rudy en écarquillant les yeux.
– Pas content de me voir ?
– Si, si mais je sens que tu vas encore me demander des trucs impossibles.
– Rien n’est impossible, il suffit de s’entendre
– Alors tu veux quoi ?
– Que tu me fasses défiler les trombines de tous les gens qui sont descendus ici depuis quinze jours.
– Facile ! Et la contrepartie ?
– Comme d’hab ! Minauda Dyane

Les visages défilent sur l’écran de Rudy mais aucune trace de Ravo,

Deux mots d’explications : à leur arrivé, les personnes qui débarquent doivent entre autres formalités franchir un portillon où elles sont prises en photos 3D tandis que leurs empreintes digitales et rétiniennes sont enregistrées.

– C’est impossible, un mec est apparu sur la planète il y a une dizaine de jours et je ne le vois nulle part sur tes trombines.
– Ça peut arriver !
– Comment ça ?
– Le machin peut tomber en panne…
– Il y a un back up, non ?
– Ce n’est pas comme ça qu’il faut voir les choses ! Quelques fois quelques kochniks ça aide à mettre le machin en panne.
– Mais quel intérêt ?
– Tout le monde est tracé ici, tout le monde à plus ou moins quelque chose à se reprocher, mais tout le monde s’en fout, on ne va mettre tout le monde en prison. Sauf qu’il y a des mecs qui on fait des gros coups, ceux-là ils ont intérêt à effacer leurs traces.
– Bon alors là je vais être directe : Est-ce que dernièrement on t’a graissé la patte pour faire ça ?
– Tu crois vraiment que je vais te répondre ?
– Humm… évidemment, mais tu peux peut-être me dire quel équipage a débarqué alors que le machin était en panne.
– Oui, ça c’est possible !

C’était d’autant plus possible que j’aurais pu le faire moi-même, il me suffisait de croiser la liste des atterrissages avec le trombinoscope de leurs occupants, ce qui aurait permis de découvrir qu’un vaisseau s’était posé sans laisser aucune trace de son équipage et de ses éventuels passagers. Cela ne coûtait donc rien à Rudy de fournir le renseignement.

– Le Farah day ! Annonça -t-il. Tout content de lui.
– C’est quoi ce vaisseau ?
– Du Transport régulier, c’est un cargo ravitailleur.
– Mais explique-moi, dans un cas comme celui-ci, comment le mec fait pour vous prévenir de mettre le sas de contrôle en panne, il ne va tout de même pas prendre le risque d’utiliser la radio ?
– Ben non, ça laisserait des traces.
– Alors ?
– C’est tout simple, en principe on n’effectue aucun contrôle de bord sur les vaisseaux réguliers, mais ils peuvent néanmoins le demander sous un prétexte fallacieux, une personne présumée malade par exemple, donc en gros, un message manuscrit va être donné au personnel sanitaire qui le refilera à la capitainerie. Autre question ?
– Non.
– On peut passer à ma petite récompense alors ?
– Bien sûr, bien sûr, et qu’est ce qui te ferais plaisir ?
– Comme d’hab non ?

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 12:47

Annabelle, la reine des mutants par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 16 – Le sacre
Batgirl

Le lendemain, je trouvais un prétexte fallacieux pour rompre le contrat de sous-traitance que nous avions avec Space Projet 8 et le refiler à une autre boite. Quinze jours de perdu, on s’en remettra.

J’ai rendu compte à Mahonney de façon édulcorée.

– Mais ils ont toujours nos schémas. S’inquiète-t-il
– C’est utilisable sans le reste ?
– Je ne crois pas, non !
– Alors tout va bien !

10 mois plus tard

Le vaisseau est prêt, la date du décollage a été publiée dans la presse. Celle-ci est divisée, si certains vantent le génie du professeur Mahonney, d’autres très influencés par Space Projet 8 parient sur l’échec du lancement et se moque au passage de cet habitacle à sauterelles « qui ne sert à rien ».

J’ai effectué un bref aller et retour à Paris afin de prendre en charge les dix aliens. Ceux-ci sont entrés dans l’avion sous forme de nuée. Ne souhaitant pas rester toute la durée du vol en cet état, ils se sont matérialisés discrètement à l’intérieur de mon sac à main. Comme cela, ils pourront faire la causette.

A Cap Canaveral, les aliens ont très discrètement pris place dans l’habitacle. La foule est nombreuse, il y a toutes les chaines de télé, la presse, les correspondants étrangers, l’évènement est super médiatisé. Le temps est radieux.

Le compte à rebours est lancé, j’ai le cœur serré.

5, 4, 3, 2, 1 Zéro. Le vaisseau s’élance sans encombre, la foule applaudit et quelques minutes plus tard on ne voyait plus qu’une toute petite trainée dans le ciel.

J’y suis allé de ma larme, j’ai toujours été très sentimentale !

Retour en France

Je suis donc la Reine des Mutants, mais pour l’instant personne n’est au courant.

J’ai commencé par rendre sa liberté à Galia mais lui ai proposé de continuer à travailler avec moi, ce qu’elle a accepté.

– Mais pour l’élixir ?
– On va trouver une solution, en attendant je suis toujours là.

Afin de m’installer convenablement, j’ai adopté la même méthode que celle utilisée aux Etats-Unis quand je forçais la contribution des sponsors. Dans un premier temps j’ai acheté un petit commerce sous forme de société anonyme qui me servira de couverture, c’est un magasin qui vend des rouleaux de papiers peints. J’ai engagé un gérant, ma vocation n’étant pas de vendre des rouleaux de papiers peints.

Ensuite j’ai usé de mes pouvoirs auprès des contrôleurs de gestion de grosses boites en les faisant signer des chèques ou des virements à l’ordre de ma société anonyme.

Je me suis retrouvée rapidement à la tête d’une petite fortune. Je voulais d’abord m’acheter un somptueux appartement haussmannien dans le 16ème, mais l’ambiance du lieu de me plaisait guère.

J’ai alors complètement changé d’avis et me suis acheté une petite fermette en pays beauceron, j’ai une chèvre, des poules et des canards. Et aussi un jeune labrador et Cadichon, un brave bourricot, avec lesquels je m’amuse parfois.

Bien installée, il fut temps pour moi de faire le tour des mutants.

Je leur expliquais que le titre était surtout honorifique, qu’ils ne me devaient rien, mais qu’en cas de problème c’est moi qui interviendrai. Je créais aussi un petit conseil restreint de six membres, afin d’éviter de prendre des décisions trop personnelles. Tout cela passa crème.

J’ai embauché Roland qui pourra utiliser ici ses talents de régisseurs, d’autant qu’il n’a plus rien à faire à la ferme des Burnettes, et pendant que j’y suis j’ai aussi proposé à Lucien et à sa fille de venir m’aider à assurer l’entretien de la ferme.

Avant de reprendre son aspect alien et de repartir vers les étoiles, Lothaire m’avait fait une confidence.

– J’ai beaucoup écrit pendant toutes ces années, ça fait beaucoup de papier, je ne vois pas comment je pourrais emporter tout ça… Alors j’ai fait le ménage, je n’ai gardé que l’essentiel, une centaine de pages quand même, Je te les lègue, promets-moi de les lire ce que tu liras va te surprendre… C’est entreposé dans la ferme des Burettes avec d’autres objets appartenant aux membres la Guilde. Mes écrits sont dans enveloppe marqué du caractère grec alpha. Demande à Roland de te les donner, il est au courant.

– Je lui a fait la promesse demandée, mais ne me pressais guère pour récupérer tout ça, n’en voyant pas très bien l’utilité. Mais j’ai fini par demander à Roland d’aller me les chercher.

100 pages quand même, pas très bien rédigés, ça commençait par des feuillets écrits à la plume d’oie pour finir par des feuillets d’ordinateur.

Beaucoup de réflexions, de considérations, d’observations, de narrations… dont l’intérêt ne me sautait pas aux yeux.

Et puis je suis tombée sur ça.

« En étudiant la mythologie grecque, je me suis rendu compte que leurs dieux devaient probablement être des aliens. Certains détails ne trompent pas ! Ils ont su faire de la Grèce antique une civilisation avancée atteignant un niveau de culture et de connaissance qu’on a retrouvé que des siècles plus tard, mais de façon dégradée. Cette période s’est éteinte avec la domination de Rome. Je ne sais pas ce que sont devenus les dieux grecs ? J’ai cherché sans trouver, les romains ont continué à honorer les dieux grecs, mais ce n’était que leurs images qu’il honoraient pas leur réalité, ils sont même allés jusqu’à changer leurs noms. Quelle indécence ! Les dieux grecs ont pratiqué la plus grande liberté possible avec leurs corps et leur sexe, bisexualité, amours de groupe, relations avec les animaux, inceste… Il a fallu qu’un jour un empereur romain complexé bannisse tout cela et décrète que la religion d’état serait une doctrine ou l’on devrait avoir honte de son corps. Et nous en sommes toujours là ! »

Et un peu plus loin

« Ce texte est à la disposition de celle qui sera la Reine de Mutants, je suis persuadé que tous les dieux grecs ne sont pas morts, Puisse-t-elle les retrouver… et reconstituer l’Olympe !

Carrément !

Voilà qui était à la fois étonnant, passionnant et déculpabilisant, mais aussi complètement farfelu.

Allez chercher s’il reste un dieu grec planqué quelque part ? J’en ai déjà lu des conneries mais là c’est le pompon ! Quoi que quand j’y pense, je suis bien devenue la reine des mutants ! Qui pourrait gober ça ? Il va falloir que je me renseigne sur la mythologie grecque, des dieux libertins, c’est forcément sympa ! J’ignorais qu’ils baisaient avec des animaux… Ça me fait penser qu’il faut que donne à manger à Cadichon.

J’entre à l’écurie. Cadichon est content de me voir et incline ses oreilles vers l’avant. Je lui caresse le flanc tout en lui portant de la paille en bouche.

– Tu te rends compte Cadichon, que les dieux grecs, baisaient avec les animaux, tu me diras : j’ai déjà sucé un chien mais un chien, c’est un chien, c’est pas un âne !

Et sans doute inconsciemment ma main passe sous le ventre de la bestiole, j’atteins les testicules, bouge légèrement ma main et me retrouve avec un énorme cylindre plus long que mon avant-bras.

– Eh bien Cadichon, tu en as une de ces bites !

Et je la branlotte quelques instants avant qu’une force irrésistible me fasse en mettre l’extrémité en bouche, le goût est fort, musqué, mais pas désagréable. Histoire d’être mieux à l’aise, je me débarrasse de mes vêtements, et me caresse les tétés tout en poursuivant cette monstrueuse fellation.

Et puis délire pour délire je dirige l’extrémité de son membre vers ma chatte et me frotte avec. Je mouille, j’en introduis quelques centimètres et me met à gesticuler de façon frénétique.

Je sens l’âne s’agiter, je me dégage, Et voilà Cadichon qui se mets à éjaculer une quantité incroyable de foutre, j’en suis carrément arrosée.

Je suis allé m’assoir sur la paille et me suis terminée à la main.

Je n’étais pas retourné chez Malvina où une fois de plus j’ai été obligé de faire taire Lukas en utilisant mes pouvoirs. Quant à Malvina elle-même, elle en a fait presque de trop, se prosternant à mes pieds et les léchant à qui mieux mieux.

Mais ma visite avait un but bien précis, celui de tenir ma promesse de libérer Jenny. Elle a voulu, chose bien compréhensible, faire un bisous à ses proches avant de me rejoindre, je l’ai laissé faire créant juste un barrage l’empêchant de raconter ce que personne n’avait besoin de savoir.

Et à son retour j’ai décidé que nous ferions la fête. Ce sera mon sacre ! Un sacre païen avec de la bouffe et du sexe !

– Galia, je te présente Jenny, une petite esclave comme toi, que je viens de libérer. Vous êtes libres les filles, mais vous ne serez plus comme avant, vous êtes immortelles ou presque, mais il faudra continuer à prendre régulièrement de l’élixir. Faites ce que vous voulez, vous êtes libres d’aller et venir mais souvenez-vous que votre état doit rester secret, il en va de notre survie.

Et sur ces bonnes paroles, je proposais à Roland, à Lucien et Isabelle de nous rejoindre et je débouchais une excellente bouteille de Champagne.

– Donc voilà, je vous présente Jenny, elle était esclave chez Malvina j’avais promis de la libérer, voilà c’est fait ! C’est une petite coquine et si vous êtes gentils avec elle, elle sera gentille avec vous !
– Elle a dû t’en faire voir, Malvina ? Lui demande Lucien.
– Elle n’est pas si méchante que ça, c’est surtout ses fils qui sont reloux.
– Elle t’a pas imposer des trucs bizarres *
– Non, une fois Viktor m’a ordonné de sucer le chien, j’ai refusé, je n’étais pas prête à ça. Il a commencé à s’énerver, Malvina est intervenue en prenant ma défense. Elle m’a dit alors que ça lui plairait que je le fasse mais que rien ne pressait, du coup quelques jours plus tard j’ai franchi le pas !
– Et celui-là, tu le sucerais ? Demande-t-il en montrant du doigt mon labrador qui roupille dans un coin.
– A l’occasion !
– Tu sais que m’as excité avec ton histoire ! reprend Lucien.
– Papa, tu devrais te calmer, bois donc ton champagne ! lui dit Isabelle.
– Bof, il dit qu’il est excité, mais si ça se trouve c’est même pas vrai ! Rétorque Jenny.

J’ai l’impression que ça chauffe et j’ai envie de m’amuser.

– Lucien, au lieu de faire le fier à bras, viens donc t’incliner devant ta reine.

Il se pointe tout penaud.

– Sors ta bite, Lucien !

Il regarde autour de lui, toute l’assistance est amusée.

– C’est un ordre, Lucien !

Il s’exécute sort une bite demi-molle.

– Donc voilà tu n’étais pas si excité que ça !
– Ben…
– Mais si une petite main veut le branler un petit peu, elle sera la bienvenue.

Je me demandais laquelle des femmes allait se porter volontaire. Mais contre toute attente, c’est Roland qui se proposa.

– Je peux !
– Bien sûr ! Répondis-je

Il empoigna la bite de Lucien sans que celui-ci ne proteste et la masturba fermement jusqu’à ce qu’elle bande correctement. Le but étant atteint, il salua l’assistance qui applaudit bien fort.

Je vous dis, ça chauffe.

Annabelle16– Maintenant, je la sucerai bien ! Ajouta Roland.
– S’il est d’accord, vas-y ! Répondis-je.
– Vas-y suce-moi on va voir si tu suces mieux que ma fille !

Roland introduisit la queue de Lucien dans sa bouche et la fit aller et venir, manifestement il se régalait.

– Ben Papa, ça te fait quoi de te faire sucer par un mec ? Le nargue Isabelle.
– Ça change !
– Tu vas l’enculer, après ?
– Moi, je veux bien !

Ce qui tombait fort bien Roland ne demandant que ça !

Il se redresse, quitte ses vêtement, Lucien l’imite, et ce geste fut comme un signal, Jenny, Isabelle et moi-même nous débarrassions de nos fringues. Gallia qui n’allait pas rester la seule à rester habillée finit par en faire de même.

Et pendant que Lucien encule Roland, Galia et Jenny qui ne se connaissaient pas se découvrent mutuellement et commencent par s’échanger de douces caresses.

Elles forment un joli contraste. Bien sûr elles ne tardent pas à s’embrasser, timidement d’abord, puis de façon bien baveuse.

Les mains sont caressantes, s’attardent sur les seins, les doigts effleurent les tétons qui durcissent, puis les lèvres et les langues remplacent les doigts.

Je leur indique le canapé, elles y vont, je les rejoindrais dans un petit moment, je veux d’abord prendre du plaisir à les regarder s’aimer et je m’assois sur une chaise..

Isabelle aperçoit la bite de son papa encore gluante de sperme et de traces brunes se met en devoir de la nettoyer de sa petite langue agile. Cette tâche accomplie, elle vient ensuite derrière moi et me masse les épaules de ses douces mains. Je me laisse faire, ses mains descendent et m’empaument les seins, puis m’agace les tétons. Je tourne ma tête pour lui offrir mes lèvres, le baiser est doux.

– Tu veux ma chatte ?
– Oh, oui ! Répond-elle.

Elle se baisse pour me lécher…

– Non pas comme ça, moi aussi j’ai envie de lécher !

Nous nous sommes donc installées en soixante-neuf, elle dessous moi dessus. (car la place de le Reine c’est toujours au-dessus !)

Je jette un coup d’œil sur ce que font les autres, par un numéro de chaises musicales invisibles les rôles ont changé, Jenny a entrepris Roland et lui suce la queue, tandis que Lucien pelote Gallia avec frénésie.

J’ai l’impression que le courant ne passe pas trop bien entre ces deux-là ! Quant au chien réveillé par l’odeur de stupre, il tourne en rond en proie à une grande indécision. Jenny s’en aperçoit, abandonne la bite de Roland en pleine fellation et s’en va chercher Galia qu’elle prend par la main.

Je n’ai plus regardé la suite, tout occupée au plaisir que me donnait la langue d’Isabelle, Je lui ai bien évidemment rendue la pareille en excitant son gros clito.

Je me relève, je ne vois pas les autres filles, je pensais qu’elles seraient allées taquiner le chien, mais non, j’entends des rires dans la salle de bain, si elles rigolent c’est que tout va bien, j’y vais faire un tour, charmant spectacle, Gallia pisse tout son saoul sur sa partenaire avec une bonne humeur qui fait plaisir à voir et à entendre.

Ne dit-on pas que les envies de pipi sont contagieuses ? Toujours est-il que je me suis soulagé sur Jenny… et c’est qu’elle aimait ça, la coquine !

Je reviens au salon où Lucien et Roland privés de partenaires féminines somnolaient épaule contre épaule, c’en est touchant !

Je vais pour retourner m’assoir mais le chien me fait la fête, je le vire mais le retrouve entre mes jambes une fois assise. Je le laisse faire.

– Il est cochon ton chien ! Me dit Isabelle.
– Oui, mais il lèche bien ! Tu veux essayer ?
– Non ! Sûrement pas… ou alors juste un peu pour ne pas mourir idiote !

Le « juste un peu » a quand même duré un certain temps, et Isabelle n’en pouvait plus tellement elle était de nouveau excitée.

– On va lui sucer la bite ? Lui proposais-je
– Ça va pas non ? Ou alors juste un peu…

On a donc sucé le chien à deux. Et le tableau se termina par l’image du chien couvrant la Reine des Mutants tandis que la petite assemblée applaudissait.

Je vous avais prévenu au début que jamais vous ne pourriez jamais croire cette histoire, mais je m’en fiche j’ai éprouvé tellement de plaisir à vous la conter.

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 12:45

Annabelle, la reine des mutants par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 15 – Annabelle à New-York
StampFFH

Lothaire a su se dégoter un bon informaticien fouineur. Aussi suis-je en possession d’une liste de noms très détaillée, âge, situations de famille, diplômes…

Le premier de la liste est un certain professeur Walter Mahonney. Je sollicite un entretien par la voie classique. Impossible, autant essayer d’approcher le pape. On me demande de formuler une demande d’entretien par écrit… le genre de truc qui ne fonctionne jamais. Quant à sa boite mail il ne doit jamais l’ouvrir.

Bon, je décide donc de me servir de mes pouvoirs, ça peut poser quelques petits problèmes, j’en parlerai plus tard, mais comme je ne peux faire autrement..

En fin d’après-midi j’attends que ce professeur sorte des bureaux et je lui envoie quelques ondes bien innocentes.

C’est vraiment l’américain typique, très grand, costume impeccable, cheveux gominés poivre et sel. Pas si mal, s’il faut que je couche avec ce ne devrait pas être une corvée.

Il se retourne, me dévisage, me fait un grand sourire auquel je réponds par la pareille, et il se dirige vers moi.

– Walter Mahonney. Vous vouliez me rencontrer, je présume ?
– Annabelle Dejour, enchantée, c’est au sujet du moteur ionique…
– Oui j’avais compris, on va prendre un verre.

C’est là que ça va devenir difficile, quand je vais lui expliquer les plans de Lothaire, il faut que je relâche mon emprise afin que Mahonney conserve son esprit critique. Je pourrais bien sûr lui faire tout gober, mais l’hypothèse selon laquelle Lothaire aurait commis des erreurs ne peut être écartée. Je vais donc me livrer à un travail d’équilibriste assez compliqué.

Et tandis qu’on nous sert du Coca-cola dans des grands verres en carton, je sors mon téléphone portable.

– Voilà, c’est du lourd, il y a presque 500 schémas, c’est classé de façon logique, le fuselage, les moteurs, l’habitacle…
– L’habitacle ?

Merde j’aurais dû attendre avant de lui parler de ça.

– Faites voir ! Demande-t-il

Il me rend le téléphone et consulte tout ça avec étonnement.

– Mais vous voulez mettre quoi dans cet habitacle ?
– Il est tout petit. En fait c’est juste pour savoir si des êtres vivants tiendraient le coup, j’avais pensé à des sauterelles.

Il regarde mieux.

– Des sauterelles avec des couchettes ?
– C’est juste pour le fun.
– Humm, mais ces schémas, ils sortent d’où ?
– Je travaillais à l’ESA, l’agence spatiale européenne, je travaillais avec un collègue sur ce projet avant qu’on nous dise que ça ne servait à rien. Quelques semaines après le collègue est mort d’un accident de voiture. J’aurais voulu que son projet prenne vie, ne serait-ce que pour honorer sa mémoire.

Qu’est-ce qu’il ne faut pas raconter comme conneries !

– il s’appelait comment votre collègue ?
– Tristan Iseule

Je viens de l’inventer, par télépathie je le persuade d’attendre pour effectuer des vérifications.

– Ah je vois que vous avez résolu le problème du bouclier ! Me dit-il.
– Ben justement il n’y a pas de bouclier, à 90 % de la vitesse lumière, les obstacles s’écarteront d’eux-mêmes
– Oui, mais on ne va pas atteindre 90 % de suite.
– Pendant l’accélération, on crée un champ de force répulsif…
– Oh là là ! Ça en fait des trucs, il faut que je regarde tout ça de près, je risque d’y passer la nuit ! Est-ce que ça vaut vraiment le coup ?

Quelques ondes télépathiques le persuadent que « oui, vaut quand même le coup ! »

– J’aurais sans doute plein de questions à vous poser. Peut-on se revoir demain ?
– Mais quand vous voulez !
– Je vais donner des instructions à l’accueil pour qu’on vous laisse monter dans mon bureau demain.

Ce sera donc la fin de l’entretien pour aujourd’hui mais alors qu’il me quitte pour gagner son domicile, une onde télépathique le persuade qu’il vient de joindre téléphoniquement l’Agence spatiale européenne et qu’on lui a confirmé qu’un dénommé Tristan Iseule avait bien travaillé sur un projet de moteur ionique avant de trouver la mort dans un accident de la route. Une deuxième onde le convainc que l’idée d’un habitacle biologique abritant des sauterelles est finalement une excellente idée.

Je le suis mentalement, il ne pense qu’à ce que je lui ai montré j’ai donc fait du bon travail. En arrivant chez lui il salue du monde. Je le croyais divorcé, mais il a le droit d’avoir une maîtresse.. sauf que ses visiteurs sont des hommes ! Ma curiosité s’éveille, mais comment faire ? Si je me dématérialise je vais me retrouver à poil en me rematérialisant.

Je cherche un immeuble dans lequel je puisse entrer. Pas si facile ! J’en trouve un, grimpe au dernier étage, où une échelle permet d’accéder en terrasse, j’y vais, avise une espèce de cagibi dans lequel sont entreposé des outils qui ne doivent pas servir souvent, j’y dépose toutes mes affaires et changée en nuage je m’envole vers l’appartement du professeur Mahonney.

Manquait plus que ça, il se passe quoi là-dedans ? Il y a trois jeunes hommes, un grand binoclard, un blondinet un peu efféminé et un black en jogging. Je comprends aisément qu’il s’agit d’élèves du prof. Cet abruti s’en va se mettre à donner des leçons particulières alors qu’il a mes schémas à étudier !

Pendant un quart d’heure je n’arrive pas à suivre leurs conversations, déjà mon anglais est quand même très basique, ensuite ces messieurs font références à des gens, des lieux, des événements qui me sont complètement étrangers.

Bon il va se décider à mettre ses jeunes blancs-becs à la porte et se mettre à travailler ? Oui ou non ?

Ben non, pas vraiment ! Mais c’était pire que ça, enfin si j’ose dire…

Mahonney fait signe au binoclard de s’approcher et lui met carrément sa main sur la braguette !

Ben v’la aut’chose !

Le professeur lui dégage ensuite sa bite, elle est toute raide, et sans autre préliminaires, il l’enfouie dans sa bouche et la fait coulisser entre ses lèvres.

Mais ce n’était qu’un prélude, sur un signal de Mahonney toute la bande de déshabille. Le black et le blondinet se roulent une galoche tout en se pinçant le bout des seins.

Mahonney et Binoclard font bisous-bisous comme deux amoureux avant que le professeur se fasse sucer.

A l’autre bout de la pièce c’est le black qui suce le blondinet (tiens j’aurais plutôt vu le contraire)

Ils mettent un temps fou à se sucer, au début c’était excitant de voir ça, maintenant ça devient monotone.

Ah, un peu de changement, au bout de la pièce, le black et le blondinet se sont mis en soixante-neuf sur la table et se sucent mutuellement.

Anabelle15aMahonney a fait se retourner le binoclard, lui flatte les fesses (de forts jolies fesses, ma foi !) et lui lèche le trou du cul. Il est déchainé, Mahonney, il lui crache dans l’anus, lui rentre un doigt, recommence à lécher, à ce rythme-là son cœur va finir par lâcher !

Ça dure, ça dure, le black se fait maintenant sucer la bite et les couilles par le blondinet et en profite pour lui pincer les tétons

Puis ce qui devait arriver arriva, Mahonney encule son partenaire tandis que sans doute par effet de mimétisme, le blondinet s’est empalé sur la grosse bite du black.

Au bout d’un moment Mahonney visiblement épuisé se retire du cul de son partenaire sans avoir joui, Il appelle le black qui justement faisait une pause avec son complice.

Et c’est maintenant Mahonney qui se fait sodomiser par la grosse bite du black. Et pendant ce temps-là notre binoclard laissé en plan va trouver consolation auprès du blondinet en lui suçant la bite.

Le black a rapidement joui dans le fondement du professeur, lequel prend son pied à son tour en se branlant comme un malade..

Le binoclard se retrouve avec le sperme du blondinet dans la bouche et il se termine tout seul d’une vigoureuse branlette.

Ça donne le tournis de regarder ça !

Bon c’est fini cette fois, il va les virer et se mettre à travailler ?

Je t’en fous, Mahonney sort une bouteille de vodka et remplis les verres tandis qu’un pétard circule.

J’en ai marre, je m’en vais, récupère mes affaires et rentre à l’hôtel. Galia bouquine.

– Salut, T’as fait quoi aujourd’hui ? Lui demandai-je.
– Qu’est-ce que ça peut te foutre, pétasse ?
– Pourquoi cette agressivité, j’essaie pourtant d’être gentille avec toi.
– Peut-être mais pour moi tu es toujours une pétasse et une salope.
– T’as envie que je te punisse ?
– Tu le ferais ?
– Je vais me gêner, tiens ! Bon on va pas se faire la gueule, viens m’embrasser.
– Pas envie.
– Viens embrasser ta pétasse, ta salope !
– Ah ! Dit comme ça je veux bien !

Elle croit me dompter elle ne se doute de rien ! n’empêche qu’elle embrase bien la blackette !

– Alors t’as fait quoi ?
– Du tourisme, quoi faire d’autre ? Je ne connaissais pas New York, je n’ai pas fini de faire des découvertes. Je me suis acheté un petit haut tout jaune, tu veux le voir ?
– Bien sûr ma chérie.
– Je ne suis pas ta chérie…

D’accord elle n’est pas ma chérie, mais si elle se met à parle chiffons, c’est quand même bon signe.

Le lendemain, je me rendais au bureau du professeur Mahonney, je n’ai pas du tout l’intention de le laisser travailler en dilettante.

– Ah, c’est vous, je ne vous attendais pas si tôt ! M’accueille-t-il
– C’est que je suis impatiente de savoir si vous avez examiné les schémas.
– Pour être très franc, je n’ai pas fait grand-chose, un gros coup de barre…

Quel faux cul !

Je le sonde un peu, en fait le projet que je lui ai présenté l’intéresse, ça l’intéresse même beaucoup, seulement il ne le considère pas comme urgent. Donc je vais faire un peu de manipulation mentale doublé d’un peu de psychologie à deux balles !

– Le point important du projet c’est la combinaison des moteurs de propulsion. Si vous réussissez, c’est le prix Nobel de physique assuré…
– Que vous partagerez avec moi !
– C’est gentil !
– C’est curieux, je vous sens presque désintéressée, comme si vous aviez envie de vous débarrassez de ce projet.

Merde, j’ai dû gaffer !

– Je ne veux pas que les travaux de Tristan Iseul restent dans un placard, j’agis par devoir de mémoire !
– Ah, c’est très généreux, ça, très français !
– N’est-ce pas ?

Et je lui envoie des ondes pour le persuader de bosser à plein temps.

– Vous m’avez l’air pressée ! Me fait-il remarquer.
– Je n’ai pas l’intention de m’éterniser aux Etats-Unis, je resterais le temps que vous avez besoin de moi…
– Mais il faut peut-être redescendre de votre nuage (s’il savait) les choses ne se passent pas comme ça.
– Pardon ?
– Admettons que je valide tous ces schémas, ça va prendre un certain temps, tout va dépendre des éventuels problèmes que je vais rencontrer, mais supposons que je termine ça dans disons trois ou quatre mois. Je vais confier tout ça au comité de projet de la NASA, il faudra que ce soit validé, ce qui va prendre un certain temps et ensuite le programmer, l’exercice en cours et les deux suivants sont déjà remplis, donc on peut tabler sur une mise en chantier d’ici 10 ans, et comme les projets sont systémiquement repoussés en raison de priorités imprévues. Ça nous emmène dans une quinzaine d’années.

Glups, je n’avais pas pensé à ça ! Je ne sais pas quoi lui répondre.

– Bon, je vous laisse, on se revoie demain, je suppose que vous aurez des questions.
– On fait comme ça.

J’ai donc téléphoné à Lothaire, il a réponse à tout ce mec ! Et le lendemain j’avais donc des arguments pour motiver le professeur Mahonney.

– Admettons que le prototype fonctionne, et il n’y a aucune raison qu’il ne fonctionne pas, rendez-vous compte des applications possibles, par exemple au lieu d’aller sur Mars en une année, on pourra faire le voyage en un mois, on pourrait du coup développer tout un tourisme spatial.
– Vous rêvez, ma fille, allez raconter ça au directeur de la NASA.
– On s’en fout de la NASA, vous allez fonder votre propre société…
– Avec quel fonds ?
– Je m’en charge, je connais du monde ! Bluffais-je, ensuite vous vous entourerez de quelques collaborateurs pour valider les schémas, puis il suffira ensuite de faire sous-traiter tout cela, une boite pour le moteur, une autre pour le fuselage, une autre pour l’habitacle etc.
– Mais ça va couter un argent fou !
– Puisque je vous dis que je m’occupe des sponsors !
– Laissez-moi réfléchir 24 heures !

Je fais quoi je le laisse réfléchir pour de vrai ou je lui envoie des ondes ? Je décide de le laisser se décider, je pourrais toujours le manipuler en cas de refus.

Le lendemain, il acceptait, j’étais folle de joie, je l’aurais embrassé.

Pour les sponsors, je ne me suis pas fatiguée, en possession d’une liste de donateurs potentiels, j’incitais mentalement quelques businessmans à signer des chèques au profit de Mahonney Space Innovation, société qui venait tout juste de se créer.

Un mois plus tard, j’étais devenue la directrice adjointe de Mahonney Space Innovation, les premières commandes de pièces détachées auprès des sous-traitants étaient lancées,. Galia était devenue ma secrétaire personnelle. J’avais élaboré un barrage psychologique afin d’empêcher Mahonney de parler du projet à n’importe qui. Tout allait bien…

Sauf que…

Faisons un petit tour chez Space Projet 8, une boite qui justement travaille en sous-traitance pour la NASA et que Mahonney a sollicité pour « son » projet :

– Dites donc, Lewis, ils nous demandent de drôles de trucs ces gens de chez Mahonney Space Innovation !
– Oui, on dirait bien qu’ils ont inventé un truc dans leur coin, c’est dommage qu’on en sache pas plus.
– Vous avez l’organigramme de la boite ?
– On a ça sur l’ordi, je vais vous montrer, voilà, le boss c’est le professeur Walter Mahonney et il a une adjointe, une Française : Annabelle Dejour.
– Eh bien c’est très bien, ça, on va faire un peu d’espionnage industriel. On va cibler les deux dirigeants, je vous laisse dégoter une escort girl et un escort boy !

L’escort girl n’eut pas de chance, Mahonney étant peu sensible aux charmes féminins. On lui envoya donc un biquet, mais le professeur resta muet comme une carpe. Mon barrage psychologique fonctionnait parfaitement

Voyons le mien :

– Un monsieur Flaherty veut te voir, me prévient Galia
– Fais-le entrer !

Oh qu’il est beau le coco ! On en mangerait.

– John Flaherty du Globe Reporter, voici ma carte !
– Enchantée, moi c’est Annabelle Dejour.
– Nous avons appris que vous travaillez sur un projet spatial révolutionnaire et…
– Hop ! Je vous arrête tout de suite, tout cela est top secret donc si vous veniez pour en savoir davantage, eh bien vous allez repartir bredouille.
– Je comprends parfaitement votre point de vue, mais je saurais me contenter de quelques brides d’informations qui ne dévoileraient rien de votre projet global.

Il m’emmerde celui-là, je pourrais le placer sous emprise et lui raconter un bobard extravagant, mais notre boite à désormais une image de marque à conserver.

Je vais pour mettre fin à l’entretien mais saisi d’un doute je le sonde un peu, j’apprends alors qu’il n’est pas du tout journaliste, mais un escort boy missionné pour me tirer les vers du nez et mandaté par Space Projet 8.

– Nous allons en restez là, monsieur, et d’ailleurs votre carte de presse est fausse.
– Mais pas du tout !
– Vous êtes un escort boy, affilié à l’agence Bernet, il se trouve que j’ai fait appel une fois à cette agence, et qu’elle nous présente tout une galerie de portraits, je me suis souvenu de votre visage.

Il n’en revient pas, pépère !

– Mais poursuivis-je, il se trouve que vous êtes très mignon, vous demandez combien ?
– Vous parlez sérieusement, là ?
– Tout à fait. Vous avez des tabous, vous faites tout ?
– Je fais beaucoup de choses ! Qu’est-ce qui vous ferais plaisir ?
– J’aime bien les esclaves.
– Je veux bien faire l’esclave, mais je refuse d’être marqué.
– Ce n’est pas un problème, Vous avez des gadgets dans votre sacoche ?
– Des godes, du gel et des capotes. J’ai aussi des pinces et un martinet…
– C’est très bien ça ! C’est quoi votre pseudo d’escort boy ?
– Clive !

J’appelle Galia par l’interphone.

– Viens me rejoindre, on va s’offrir une petite récréation.

Elle déboule, se demande ce qui se passe en découvrant Clive.

– Je te présente Clive, c’est un escort boy qui a voulu me piéger, mais je l’ai démasqué je lui ai proposé de me faire une petite séance, il y a une éternité que je n’ai pas sucé de bite. Tu veux te joindre à nous ?
– Pourquoi pas, ça me changera les idées.
– Parfait, alors monsieur Clive, mettez-vous à poil qu’on puisse voir à quoi vous ressemblez.
– Ici dans le bureau !
– Ben oui, on ne va pas sortir dans la rue !

Il se déshabille, le type est standard, désespérant standard, ni trop musclé, ni malingre, quant à la bite, on va dire qu’elle est un peu au-dessus de la moyenne, il ne bande pas.

– Tourne toi qu’on voit ton cul !
– Comme ça !
– On t’as déjà dit que tu avais un cul d’enculé ?
– On m’a dit tellement de choses…
– Et tu aimes ça un gode dans ton cul ?
– Ça n’a rien de désagréable.
– Sors en un de ta sacoche, Gallia va te le foutre dans le cul !

Pas de problème elle fait comme ça, branche le vibrateur incorporé et introduit le sex-toy dans fondement de Clive.

– Ah, c’est bon !

S’il dit que c’est bon, c’est sans doute vrai, mais le problème c’est qu’il ne bande toujours pas, c’est quand même embattant pour un escort-boy. Comment il fonctionne, ce mec ? Et puis je crois comprendre : il doit se gaver de Viagra à chaque prestation, et là, ben il n’était pas prêt, il devait penser que si nous devions coucher la chose se serait fait plus tard… après les heures de bureau.

– Fais le bander, Gallia
– On va essayer.

Galia le branlotte un peu, ça bande un peu, mais ça bande mou.

Je me dépoitraille, les mecs adorent voir les seins des femmes, je me dis que ça va peut-être le motiver.

– Alors ils te plaisent mes gros nénés ?
– Ils sont très beaux !
– Alors pourquoi tu ne bandes pas ?
– Je suis en panne, ce sont des choses qui arrivent, je vais vous rendre les sous et m’en aller…
– Il y a peut-être quelque chose qui pourrait t’exciter mais faut nous le dire…

Et en fait je sais ce que c’est, puisque je viens de sonder son cerveau, mais je veux qu’il nous le dise.

– Euh, peut-être que si vous tripotiez ensemble…
– Qu’on se gouine, quoi ?
– Oui, un peu.
– Alors assis-toi on va te faire un petit numéro.

Galia enlève à son tour son haut et on se met à se lécher mes nichons en lui en foutant plein la vue. Et miracle le voilà qui bande !

Qu’est-ce qui ne faut pas faire, parfois ?

– Allez approche-toi, on va te sucer à deux !
– Mais le gode dans mon cul ?
– Tu le gardes !

Annabelle15b
Cela faisait un bout de temps que je n’avais pas sucé une bonne queue, celle-ci est tout à fait à mon gout, Gallia à l’air d’apprécier elle aussi.

– Bon maintenant, tu vas nous enculer l’une après l’autre, tu commences par moi.

Je baisse ma jupe et ma culotte, m’arcboute sur le bureau et Clive vient me pénétrer, tandis que Galia passé dernière lui fait aller et venir le gode dans son fondement.

C’est qu’il encule bien, le type, c’est un pro, les mouvements sont calculés, ni trop vifs, ni trop brutaux, juste ce qu’il faut mais bien profonds.

J’ai joui assez rapidement, j’ai regretté de ne pouvoir me livrer au petit plaisir du nettoyage de bite, la pénétration s’étant déroulée sous capote. (faut pas déconner non plus…)

On a ensuite permuté et c’est Gallia qui est passée à la casserole pendant que je m’occupais du cul du monsieur.

Finalement je voulais faire de la domination, on a fait de la sodo ! Les choses ne se passent jamais comme on les prévoit.

– Merci pour la prestation, ça fait du bien par où ça passe, vous n’aurez qu’à dire à votre commanditaire que vous n’avez pu rien obtenir.
– OK, je dirais que vous êtes lesbienne !
– Ne faites surtout pas ça, ils vont m’envoyer une nénette qui va se casser le nez.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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