Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 3 -Partouze cosmique par Nicolas
Solovionni
Nous avons pu après ces péripéties, sauter dans l’hyperespace et bien évidemment sacrifier aux traditions. Mais certaines traditions n’ont rien d’une corvée, bien au contraire.
On remplit les verres (parce que c’est toujours comme ça que ça commence !) Puis on attend un prétexte pour faire des choses plus osées. Vous allez me dire pourquoi, un prétexte ? Pour rien ! Simplement ça fait partie du « jeu ».
Et c’est Nadget qui donne le signal. (pour ce genre de choses, elle n’est jamais la dernière…)
– L’apéro c’est sympa, mais sucer de la bite ce n’est pas mal non plus ! Déclare-t-elle d’un ton doctoral
– T’as pas honte ? Lui lance Nerren en rigolant.
– Non, non !
– Tu ne veux pas que je te suce ?
– Mais si, mais si !
– Alors baisse ton froc.
Nerren s’exécute et se fait provocateur en tortillant du croupion.
– Regardez-moi ça ! S’exclame Dilos, il a vraiment un cul de pédé !
– Et alors, ça te gêne ! L’apostrophe Dyane
– Non, non, je disais ça comme ça !
– Oui mais tu l’as dit d’un ton péjoratif ce n’est pas gentil.
– Mai non , mais non !
– Tu n’as plus qu’une chose à faire pour te faire pardonner, c’est de lui embrasser le cul.
– Ah, mais vous m’énervez.
Et Dilos sentant que s’il ne prend pas lui-même d’initiative, la situation risque de lui échapper, il se baisse pour embrasser les jolies fesses de son collègue, puis il se relève et s’en va se servir à boire.
Nadget s’est emparé de la bite de Nerren et la fait coulisser entre ses doigts de fée afin de la doter d’une belle rigidité.
Superbe bite, une jolie hampe parcourue d’une petite veine bleue, un gland rougeâtre et luisant, un vrai petit bijou… et même que j’en ai l’eau à la bouche.
Nadget approche sa langue, titille le gland ce qui fait vibrer l’homme de plaisir puis sans crier gare prend tout en bouche en commençant une série d’allers et retours bien baveux.
Je sais que dans quelques minutes cette belle bite sera pour moi, mais pour l’instant je m’en voudrais de déranger la jolie blackette dans son trip, aussi je passe derrière Nerren…
C’est vrai que ses fesses sont splendides et pourrait rendre jalouses pas mal de nanas.
Je caresse, j’embrasse, j’écarte et ma langue s’en va fureter du côté de son petit anus brun et fripé au petit gout d’andouillette terrienne à l’ancienne. Quel régal! Et je lèche tant et si bien que cette délicieuse et coquine rondelle ne tarde pas s’entrouvrir me permettant d’y pénétrer ma langue un peu plus avant.
Laquelle langue commence à fatiguer quelque peu (je voudrais vous y voir, vous !) C’est donc maintenant mon doigt qui entre dans ce mignon trou du cul accueillant, et vas-y que je bouge et que je te fais frétiller tout ça. Il en a de la chance Nerren, sucé par devant par une superbe nana et doigté par derrière par son capitaine lubrique !
Je contourne le bonhomme et fais signe à la blackette que je voudrais bien à mon tour ma part de quéquette..
Pas compliquée la fille, on permute la voilà derrière, me voilà devant.
Pas de préliminaires, directo dans la bouche !
– T’aime ça, sucer des bites, hein ? Vient me narguer Dyane qui ne s’est pas encore mise à l’aise.
– Han han ! (je n’aime pas parler la bouche pleine !)
Je me régale, j’adore ça, et je m’en fous de passer aux yeux de certains pour un pervers, j’adore sucer des bites, j’adore les conserver longtemps dans ma bouche, les imprégner de ma salive, les caresser de ma langue… Mais si ma bouche aime les bites, mon cul n’est pas en reste, et je sais que tout à l’heure je me ferais sodomiser.
Mais pour l’instant je dois faire attention si je veux que le délire continue, il ne faudrait pas que mon partenaire jouisse prématurément.
On fait donc une petite pause, pas bien longtemps, car Nadget excitée comme une puce vient maintenant solliciter Dilos qui ne refuse pas ses avances. Et les voilà à poil en train de se caresser et de s’embrasser à pleine bouche.
Et tandis que Nerren est allé se désaltérer, Dyane vient me mettre ses gros nénés sous le nez. Ce doit être un réflexe chez moi, quand j’ai des beaux nichons devant moi, il faut que j’en lèche les tétons. En fait j’aime beaucoup de choses ! Je suis un pervers polymorphe comme dirait le docteur Freud.
– Ben alors, ducon, tu ne tiens pas la distance ?
Un cri du cœur de Nadget qui reproche à Dilos d’avoir joui prématurément.
– Oh, ma cocotte, Dilos n’a pas été gentil avec toi, viens voir Tata Dyane, elle va bien te lécher ton abricot.
Et voilà nos deux goudous en soixante-neuf en train de se gamahucher la figue réciproquement. C’est si beau de voir deux femmes s’aimer.
Nerren revient vers moi, il a un peu débandé. Qu’à cela ne tienne, une petite branlette pour remettre son bigoudi en forme, une petite sucette parce que je ne peux pas m’en empêcher et je me positionne en levrette. Nerren m’écarte les globes fessiers et vient me lécher le trou de balle ! Oh ! Quelle langue, mes amis ! Et voici qu’il me fout un doigt ! Quelle idée, je n’en veux pas de son doigt, c’est sa bite que je veux ! Mais justement la voici qui s’approche, puis qui pénètre son gland avant de s’enfoncer tout entière dans mon cul. Quelle sensation ! Et c’est parti pour une série de va-et-vient qui me font vibrer. Quel plaisir de se faire enculer !
Dans le coin à gauche, on entend un cri de jouissance, c’est Dyane qui s’est fait envoyer au ciel par la langue diabolique de la petite blackette, laquelle n’attendit pas cinq minutes pour venir le rejoindre dans l’extase.
Et un troisième cri… mais ça n’a rien à voir c’est le chat du bord qui passant par-là se mit à miauler. Je parie que Nadget a encore oublié de lui donner à boire. Pauvre bestiole !
Nadget s’approche de moi pendant que Nerren continue à me besogner par derrière. Je me doute de ce qu’elle vient chercher, la coquine !
Ça ne loupe pas, Nerren jouit brusquement (et bruyamment), il dégage sa bite de mon cul, Nadget la happe au passage et en nettoie le sperme… et le reste…. Quand je vous disais que c’était une grosse coquine.
Cette petite sodo était fort agréable mais n’empêche que je n’ai pas joui…
– Oh, le pauvre lapin ! se moque Dyane qui m’attrape la queue d’une main énergique et se met à me la branler en cadence.
Dyane est une bonne branleuse, en trois minutes je giclais mon sperme sur ses gros lolos. Et devinez quoi ? ce sperme Nadget vint alors le lécher, elle est insatiable aujourd’hui, celle-ci !
Nous avons enfermé les deux détectives dans deux cabines libres munies d’un système de fermeture ultra sécurisé bricolé de main de maître par l’ami Dilos.
Trois semaines plus tard nous sortions de l’hyperespace et nous retrouvions dans le système de V6783 dans lequel gravitait la planète supposée abriter Edina Von Graz…
– Planète repérée, on y sera dans douze heures ! Annonce Nerren.
Effectivement la planète apparaît sur les écrans de contrôle.
– C’est quoi ce délire ? S’exclame Dyane, c’est une planète de glace, c’est bien celle-ci au moins ?
Je vérifie, elle correspond bien aux coordonnées que m’a communiquée Ravo.
– On va s’approcher, on verra bien.
J’ai de plus en plus l’impression que nous nous sommes fait avoir.
– Activité biologique détectée ! Annonce Dilos.
– Ce doit être des poissons rouges ! Répondis-je, sceptique.
– Non, là il y a une activité électrique !
– Ben oui, il y a des poissons électriques.
– Arrête tes vannes, c’est de la grosse électricité.
– Bon, on s’approche et on essaie un contact.
De près la planète n’avait rien d’avenante, de la glace, de la neige et encore de la glace.
– Moins 40 ° ! Annonce Dilos, on va sortir les pull-overs !
– Allô, allô, ici cargo Rosa Munda, petits problèmes à bord, demandons autorisation d’atterrir.
– Patientez cinq minutes. Nous répond une voix pète-sec.
Patientez pour quoi faire ?
– Rosa Munda, autorisation acceptée, nous vous balisons le terrain d’atterrissage, faites attention ça glisse et c’est un peu exigu. Attendez nos instructions pour la suite et ne sortez pas de
votre vaisseau.
– Ok.
Ces salopards nous font atterrir sur une vraie patinoire.
Ça tangue là-dedans de façon dangereuse, j’ai beau avoir mon paquet d’heures de vol, je n’ai jamais fait ce genre d’atterrissage sur banquise, les freins répondent mal, je dépasse le bout de la piste, mais ce n’est pas plus mal, le terrain légèrement accidenté ralentit le vaisseau, je parviens à le redresser et repart dans l’autre sens en vitesse minimale.
Ouf !
Mes collègues m’applaudissent, c’est gentil, il ne fallait pas !
Un coup d’œil aux environs, un grand dôme d’une cinquantaine de mètres de diamètre abrite la base locale, à tous les coups une ancienne installation scientifique abandonnée pour des raisons budgétaires… comme tant d’autres …
– Allo ! Jolie votre sortie de piste !
Il se fout de ma gueule, ce con !
– Allô, c’est quoi vos problèmes ?
– Le logiciel de navigation qui déconne.
– Vous n’avez pas de back-up ?
– Si mais ça ne marche pas.
– Bizarre votre truc, ne bougez pas je vais vous envoyer un technicien, patientez un petit peu.
Merde et crotte de saurien ! Voilà une situation complètement imprévue !
– Je peux boguer les programmes, nous dit Dilos, ça nous ferait gagner du temps, mais un technicien pourra débuguer en cinq minutes, on aura plus aucune raison de rester.
– Vas-y bogue, pour le reste je gère.
Du moins je vais essayer de gérer.
Un mec en tenue spatiale demande à entrer, il se met à l’aise dans le sas et apparaît, une vraie caricature de geek de cinoche, visage acnéique, lunettes comme on n’en fait plus et surpoids conséquent.
– Bonjour, m’sieu-dames. Moi c’est Arkon. Je vais regarder ce qui se passe, j’ai apporté un simulateur, renseignez vos codes s’il vous plaît
Le gars fait quelques manips
– C’est quoi ce bordel ? Rien ne répond, faite voir le backup ?
Manifestement le gars ne capte rien, à moins qu’il ait compris et qu’il refuse de le montrer.
– Bon je renonce à comprendre, on va faire simple, je vais me faire envoyer un logiciel propre, qui soit compatible avec votre vaisseau, je vous l’installe, je crée des backups et l’incident sera
terminé. Ça va prendre une heure environ.
– Est-ce que pendant ce temps-là je peux m’entretenir avec vos responsables ?
– Par radio ?
– Si on ne peut pas faire autrement…
– Je vous mets en contact.
Je tombais sur une bonne femme à la voix rocailleuse à qui j’expliquais que nous avions raté notre livraison chez une planète cliente en raison de nos problèmes de logiciel, et que nous avions en cale plein de bonnes choses…
– Vins fins, alcools, épicerie et confiseries de luxe, cigares haut de gamme, sex-toys.
– On vous rappelle !
Une heure plus tard Arkon nous signala qu’il avait terminé l’installation mais que le logiciel installé n’était pas entièrement compatible avec notre vaisseau et qu’il faudrait qu’il le bricole…
– Ça va être un peu long, mais je sais faire. J’en aurais pour trois jours, mais ce ne sera pas gratuit, après vous allez pouvoir repartir.
– Euh, on m’avait dit qu’on me rappellerait.
– Ils vont le faire, soyez patient…
De toute façon Arkon semblait avoir deviné que nous n’avions aucune intention de partir si vite.
Rentré dans sa base Arkon s’entretien avec Eugenia, la maîtresse des lieux :
– Alors ?
– Ces gars-là sont des imposteurs, leur logiciel n’avait rien du tout, ils ont dû le trafiquer au dernier moment pour donner le change. Je les ai bluffé.
– Tu crois qu’ils sont dangereux ?
– Va savoir ? J’aurais pu leur dire de partir de suite, mais je me suis dit que dans ce cas ils risqueraient de revenir avec des plans plus radicaux… Donc autant en apprendre le maximum avant de
les virer…
– Tu as bien fait, et tu préconises quoi ?
– Il y a plein de solutions, en commençant par la plus définitive : l’élimination.
– Et s’ils ont laissé leurs coordonnées quelque part, on se farcira une commission d’enquête, t’es pas un peu malade, non ?
– Pardon maitresse.
– Y’a pas de quoi ! Non ces gars-là cherchent quelque chose et il n’est pas bien difficile de deviner quoi, on va donc les bluffer, leur jouer la comédie.
– Et concrètement ?
– On va accepter leur fond de cale, c’est toujours bon à prendre, on va les recevoir dignement, puis on improvisera.
Eugenia appela ensuite Baboukar, un impressionnant colosse noir
– Voilà ce que tu vas faire… et surtout pas d’impair, il y va de notre sécurité à tous, ce cirque ne devrait pas excéder trois jours, après on les vire. Bien sûr tu me rendras compte régulièrement et discrètement.
La base après nous avoir fait poireauter un bon bout de temps a fini par nous répondre. Ils sont a priori intéressés et nous envoie un type pour estimer la marchandise.
Ce fut rapide, Baboukar était comme un gosse dans un magasin de jouets, là au milieu de nos Pinard et autres victuailles (sans parles des godes…)
– Ça nous intéresse, vous en voulez combien ?
Je lui indique, il ne marchande même pas
– Le seul problème c’est le paiement, on n’a pas de compte, mais on peut vous payer en bijoux.
– Pas de soucis !
– Je vous propose de fêter notre accord, je suis le chef de cette petite communauté, je vous invite vous et votre état-major à partager un petit repas convivial…
Super, nous allons donc pouvoir entrer dans la place, ensuite il est bien connu qu’un bon repas, surtout s’il est bien arrosé est propre à délier les langues les plus rétives.
– Qu’est-ce qu’on fait des deux détectives si on s’absente plusieurs jours ? Demande Nerren.
– L’équipage peut s’en occuper, non ?
– Ça me paraît un peu risqué… Ces mecs-là sont des manipulateurs….
– T’as raison, on va laisser l’équipage en dehors de ça. On va leur laisser des barres vitaminées, ils ne mourront pas de faim ! Sinon ils ont de l’eau…
Un camion équipé est venu prendre possession de notre boustifaille, puis revêtus de nos combinaisons spatiales, je me suis dirigé vers le sas du dôme accompagné de Dyane, de Nerren et de Dilos.
J’avertis préalablement mes compagnons :
– Attention, buvez modérément, il n’est pas impossible qu’ils veuillent nous faire parler… Et évidemment interdiction d’évoquer notre vraie mission, même si nous sommes entre nous, on ne sait
jamais, il peut y avoir des micros.
– Tu ne serais pas un peu parano ? Se moque Dyane
– Je ne suis pas parano, je suis méfiant.
Dans le sas une voix au micro nous informe.
« Nous avons mis à votre disposition des tenues provisoires, merci de vous déshabiller entièrement, nous disons bien entièrement, et de les passer, vous récupérez vos effets personnels quand vous nous quitterez, vous sortirez du sas un par un et nous contrôlerons que vous ne faites pas entrer d’armes ou autres objets dangereux. Nous nous excusons de cette formalité qui peut vous paraître humiliante, mais il y va de notre sécurité. Ensuite si tout s’est bien passé nous vous recevrons avec courtoisie. »
Nous avons donc revêtu des combinaisons grisâtres d’une laideur absolue. Mais qu’importe, nous ne sommes pas venus ici pour faire un défilé de mode !
A la sortie du sas : un couloir, une porte et nous voici directement dans une salle à manger.
Baboukar nous accueille il nous fait les présentations. il y a deux autres types et aussi Arkon que nous connaissions déjà… Mais personne qui ressemble de près ou de loin à Edina Von Graz.
On boit l’apéro, Baboukar est en face de moi.
– Nous sommes, nous dit-il une petite communauté qui fuyons la civilisation, on a trouvé ce dôme par hasard et nous l’avons acheté sur nos fonds propres… pour trois fois rien.
– Je vois, et vous n’avez pas de problèmes d’approvisionnement ? Demandais-je.
– Non, nous sommes en contrat avec un vaisseau ravitailleur, de toute façon nous n’avons pas beaucoup de besoins, en échange on leur refile nos poissons locaux, les glochtons, ce ne sont pas
vraiment des poissons mais c’est délicieux, d’ailleurs vous allez pouvoir y goûter.
Bref, je n’apprends pas grand-chose, on passe à table, effectivement ces glochtons sont délicieux, le pinard est moyen mais buvable, quant aux serveuses ce n’est rien de dire qu’elles sont accortes, tenue de soubrettes d’opérettes avec jupette au ras de la moule et décolleté plongeant. Oh là là !
A suivre
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