Coquineries en Antarctique par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne
Candice appréhende ce déplacement dans l’Antarctique, en plein pôle sud. Elle est obligée de laisser sa petite famille, son mari, et son fils. Candice est une jeune chercheuse de vingt-huit ans, qui travaille sur le réchauffement de la planète. Huit ingénieurs font partie de l’expédition. Six hommes et deux femmes. Les déplacements sur place sont prévus en traineaux. Dix-huit chiens, au total, sont du voyage. Une fois larguée par de gros hélicoptères, l’équipe installe le matériel. La température avoisine les moins quinze degrés. Les duvets s’imposent.
La première journée est réservée au montage des trois tentes, et à l’organisation des équipes. Le lendemain, les travaux commencent. Deux groupes de trois partent faire des prélèvements pendant deux jours. Au camp, il ne reste que Pascale et Candice. Ce sont elles qui sont chargées de rentrer les données sur ordinateur. Les deux femmes occupent la même tente, et le même duvet à deux places. Avec le chauffage à côté, elles n’ont pas froid. D’autant que Pascale, bisexuelle, connait tous les ingrédients pour réchauffer Candice.
Lors de la dernière expédition, Pascale s’était un peu amusée avec Candice, qui avait apprécié, jusqu’à hurler de plaisir. Cette nuit, le thermomètre, à l’extérieur, affiche moins vingt, mais à l’intérieur, la température est assez douce. A tel point que les deux femmes se glissent nues dans le duvet.
– Tu me caresseras comme l’autre fois? demande Candice.
– Bien sûr !
– C’était bon tu sais.
– Tu veux que je branle ta petite chatte, que je doigte ton petit bouton, c’est ça ?
Pendant demi-heure, Candice va s’offrir aux mains expertes de Pascale, savourant les caresses les plus vicieuses.
Soudain, dehors, une lutte s’engage dans la meute. Les deux femmes se couvrent d’énormes couvertures et sortent de la tente. C’est Sultan, un husky de deux ans qui s’est fait prendre le haut de la cuisse. Candice le tire sous la tente, pendant que Pascale prépare la pharmacie. Ce n’est pas trop grave. Le chien s’assied sur l’épais tapis. Pascale s’accroupit pour soigner la plaie. La tête de Sultan repose sur les genoux de Candice, qui se trouve assise sur la table basse.
Le chien sent la mouille de la jeune femme. Il glisse son museau sous la couverture, et se trouve en contact avec la chatte. Sultan envoie un premier coup de langue.
– Chut Sultan, calme-toi, dit Candice.
Le deuxième coup est plus précis. La langue râpeuse pénètre entre les lèvres, décalotte le clitoris. Candice bascule sur le dos, jambes écartées de chaque côté de la table basse, sa tête dans le vide. Pascale fait mine de retenir le chien, mais fait pression sur sa tête.
– Oh l’enfoiré, gémit-elle, mais c’est qu’il me bouffe le minou ce salaud…ha…regarde Pascale.
Une fois le pansement terminé, Pascale passe une main sous le ventre du chien, et lui caresse le sexe. La queue, toute rouge, sort du fourreau de poils. Sultan couine légèrement.
-Qu’est-ce-que tu fais à la petite chatte de ma copine ? sourit Pascale. Polisson, regarde comme tu la fais mouiller, c’est ça qui te fait bander? Salaud !
– Oh putain… que c’est bon… comme il me suce le bouton…. mieux qu’un homme.
– Et moi ma chérie, poursuit Pascale, si tu savais ce que je tiens entre mes mains, une grosse bite. J’ai bien envie de la sucer, tu sais.
– On va la sucer à deux !
C’est Pascale qui, la première met la bite visqueuse de l’animal dans la bouche avant de la proposer à Candice.
– Hum, on est vraiment vicieuse !
– T’as raison. Tu veux qu’il te la mette, ça ne doit pas être désagréble, tu sais ?
– Cà risque rien tu crois? J’ai tellement envie de prendre un bon coup de queue. S’il me fait mal, tu le retire, d’accord ?
Pascale place les deux pattes du chien sur la table basse. Elle approche l’énorme queue de la chatte de Candice, et la fait aller et venir sur les lèvres humides. L’instinct animal fait le reste. Sultan la pénètre
– Allez mon chéri, nique-la, voilà, comme ça, doucement, régale-la.
– Oh… putain… qu’il est gros… que c’est bon.. .ha… ha… quel coup de queue.
Pascale ôte sa couverture. Elle est superbe dans toute sa nudité. Elle fait le tour de la table, et se place jambes écartées, au-dessus du visage de Candice. Lentement, elle descend.
Candice observe le corps magnifique de sa maitresse. D’abord les lèvres humides de la chatte, le ventre plat, la superbe poitrine. Puis le regard coquin. Pascale saisit la tête de la jeune femme par la nuque, et la colle contre sa chatte.
– Sens comme je mouille moi aussi. Sens mon petit bouton comme il est dur. Suce-le… vas-y… j’ai envie tu sais… oui jouissons ensemble… viens toi aussi…
Candice, agrippée aux fesses de Pascale, mord littéralement dans le fruit ainsi offert. Pascale gémit de plus en plus, s’écarte d’avantage, se prend le bout des seins qu’elle fait rouler entre ses doigts.
Sultan accélère ses coups de boutoirs, jusqu’à se vider en abondance dans les entrailles de Candice. Les hurlements provoqués par l’orgasme traversent la tente. Les deux chercheuses ont joui ensemble. La cyprine de Pascale dégouline sur les joues de Candice. Le chien se retire lentement et nettoie la chatte pleine de mouille, ce qui est loin de lui déplaire. Pascale s’approche pour se faire lécher la sienne. Les deux femmes roulent sur le tapis, enlacées, soudées par un baiser sulfureux, puis regagne leur duvet.
– Woua… ben dit donc…Au fait, on en était où; déjà? Demande Pascale. Ah oui.
– Hum…hum… roucoule Candice
Fin
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