Vendredi 29 septembre 2023 5 29 /09 /Sep /2023 17:54

Coquineries en Antarctique par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne
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Candice appréhende ce déplacement dans l’Antarctique, en plein pôle sud. Elle est obligée de laisser sa petite famille, son mari, et son fils. Candice est une jeune chercheuse de vingt-huit ans, qui travaille sur le réchauffement de la planète. Huit ingénieurs font partie de l’expédition. Six hommes et deux femmes. Les déplacements sur place sont prévus en traineaux. Dix-huit chiens, au total, sont du voyage. Une fois larguée par de gros hélicoptères, l’équipe installe le matériel. La température avoisine les moins quinze degrés. Les duvets s’imposent.

La première journée est réservée au montage des trois tentes, et à l’organisation des équipes. Le lendemain, les travaux commencent. Deux groupes de trois partent faire des prélèvements pendant deux jours. Au camp, il ne reste que Pascale et Candice. Ce sont elles qui sont chargées de rentrer les données sur ordinateur. Les deux femmes occupent la même tente, et le même duvet à deux places. Avec le chauffage à côté, elles n’ont pas froid. D’autant que Pascale, bisexuelle, connait tous les ingrédients pour réchauffer Candice.

Lors de la dernière expédition, Pascale s’était un peu amusée avec Candice, qui avait apprécié, jusqu’à hurler de plaisir. Cette nuit, le thermomètre, à l’extérieur, affiche moins vingt, mais à l’intérieur, la température est assez douce. A tel point que les deux femmes se glissent nues dans le duvet.

– Tu me caresseras comme l’autre fois? demande Candice.
– Bien sûr !
– C’était bon tu sais.
– Tu veux que je branle ta petite chatte, que je doigte ton petit bouton, c’est ça ?

Pendant demi-heure, Candice va s’offrir aux mains expertes de Pascale, savourant les caresses les plus vicieuses.

Soudain, dehors, une lutte s’engage dans la meute. Les deux femmes se couvrent d’énormes couvertures et sortent de la tente. C’est Sultan, un husky de deux ans qui s’est fait prendre le haut de la cuisse. Candice le tire sous la tente, pendant que Pascale prépare la pharmacie. Ce n’est pas trop grave. Le chien s’assied sur l’épais tapis. Pascale s’accroupit pour soigner la plaie. La tête de Sultan repose sur les genoux de Candice, qui se trouve assise sur la table basse.

Le chien sent la mouille de la jeune femme. Il glisse son museau sous la couverture, et se trouve en contact avec la chatte. Sultan envoie un premier coup de langue.

– Chut Sultan, calme-toi, dit Candice.

Le deuxième coup est plus précis. La langue râpeuse pénètre entre les lèvres, décalotte le clitoris. Candice bascule sur le dos, jambes écartées de chaque côté de la table basse, sa tête dans le vide. Pascale fait mine de retenir le chien, mais fait pression sur sa tête.

– Oh l’enfoiré, gémit-elle, mais c’est qu’il me bouffe le minou ce salaud…ha…regarde Pascale.

Une fois le pansement terminé, Pascale passe une main sous le ventre du chien, et lui caresse le sexe. La queue, toute rouge, sort du fourreau de poils. Sultan couine légèrement.

-Qu’est-ce-que tu fais à la petite chatte de ma copine ? sourit Pascale. Polisson, regarde comme tu la fais mouiller, c’est ça qui te fait bander? Salaud !

– Oh putain… que c’est bon… comme il me suce le bouton…. mieux qu’un homme.
– Et moi ma chérie, poursuit Pascale, si tu savais ce que je tiens entre mes mains, une grosse bite. J’ai bien envie de la sucer, tu sais.
– On va la sucer à deux !

C’est Pascale qui, la première met la bite visqueuse de l’animal dans la bouche avant de la proposer à Candice.

– Hum, on est vraiment vicieuse !
– T’as raison. Tu veux qu’il te la mette, ça ne doit pas être désagréble, tu sais ?
– Cà risque rien tu crois? J’ai tellement envie de prendre un bon coup de queue. S’il me fait mal, tu le retire, d’accord ?

AntactiquePascale place les deux pattes du chien sur la table basse. Elle approche l’énorme queue de la chatte de Candice, et la fait aller et venir sur les lèvres humides. L’instinct animal fait le reste. Sultan la pénètre

– Allez mon chéri, nique-la, voilà, comme ça, doucement, régale-la.
– Oh… putain… qu’il est gros… que c’est bon.. .ha… ha… quel coup de queue.

Pascale ôte sa couverture. Elle est superbe dans toute sa nudité. Elle fait le tour de la table, et se place jambes écartées, au-dessus du visage de Candice. Lentement, elle descend.

Candice observe le corps magnifique de sa maitresse. D’abord les lèvres humides de la chatte, le ventre plat, la superbe poitrine. Puis le regard coquin. Pascale saisit la tête de la jeune femme par la nuque, et la colle contre sa chatte.

– Sens comme je mouille moi aussi. Sens mon petit bouton comme il est dur. Suce-le… vas-y… j’ai envie tu sais… oui jouissons ensemble… viens toi aussi…

Candice, agrippée aux fesses de Pascale, mord littéralement dans le fruit ainsi offert. Pascale gémit de plus en plus, s’écarte d’avantage, se prend le bout des seins qu’elle fait rouler entre ses doigts.

Sultan accélère ses coups de boutoirs, jusqu’à se vider en abondance dans les entrailles de Candice. Les hurlements provoqués par l’orgasme traversent la tente. Les deux chercheuses ont joui ensemble. La cyprine de Pascale dégouline sur les joues de Candice. Le chien se retire lentement et nettoie la chatte pleine de mouille, ce qui est loin de lui déplaire. Pascale s’approche pour se faire lécher la sienne. Les deux femmes roulent sur le tapis, enlacées, soudées par un baiser sulfureux, puis regagne leur duvet.

– Woua… ben dit donc…Au fait, on en était où; déjà? Demande Pascale. Ah oui.
– Hum…hum… roucoule Candice

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Vendredi 29 septembre 2023 5 29 /09 /Sep /2023 17:42

Souvenirs d’Afrique par Marie-France Vivier
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Il y avait déjà un an que j’étais en Abidjan et que ma vie s’écoulait lentement, au rythme africain, dans la chaleur et l’humidité étouffante. J’avais eu des aventures à l’insu de mon compagnon, avec Norbert, notre boy et les quelques malandrins qu’il m’avait présentés. Ma vie sexuelle était parfaite, je dominais Norbert et arrivais à le tenir à distance quand c’était nécessaire. Je lui laissais croire qu’il décidait des « parties » que nous faisions, prenant égoïstement mon plaisir. Une semaine que mon compagnon était débordé de travail et que moi j’avais deux jours à récupérer, il me suggéra de me rendre à la plage ! Je n’étais pas très enthousiaste, il le vit et me proposa d’en profiter pour sortir sur la périphérie d’Abidjan et de visiter les petits marchés de brousse. Norbert qui était en train de nous servir, se cru obligé de dire :

-Tu as raison patron, il y en a un de bien vers Adjamé !

Mon compagnon sauta sur l’occasion pour répondre au boy, qu’il devrait m’emmener là-bas.

– Si tu veux patron, on peut y aller cette après-midi, si Madame elle veut !

Je fus obligé d’accepter cette invitation forcée pour aller sous le soleil me traîner sur un marché de brousse plein d’odeurs plus ou moins agréables. Mon compagnon reparti à son travail, je m’habillais léger comme à l’habitude, chemisier, jupette et samaras aux pieds et nous partîmes, Norbert monta à côté de moi dans ma petite voiture, décidé à me servir de guide. Nous rejoignîmes Adjamé en une demi-heure. Le boy me fit prendre un chemin de traverse me garantissant que le village où nous allions, avait un marché réputé et qu’il y avait beaucoup de monde. Il en profita pour poser sa main, sur ma cuisse et la faire glisser jusqu’à ma petite culotte, un doigt triturant entre mes cuisses et faisant mouiller ma chatte par ce contact appuyé. Il rigola et à ce moment nous arrivâmes sur une grande place de village en terre battue. Animée par des dizaines de marchands et colorés par des piles de fruits et légumes exotiques divers. Je garais l’auto et descendis avec Norbert. Nous allâmes vers les étales colorés, il est vrai que le déplacement valait le coup d’œil, le boy s’écarta de moi et me dit qu’il avait aperçu des gens qu’il allait saluer, que j’en profite pour visiter et acheter des fruits et des légumes pour le patron ! Je tournais une vingtaine de minute dans ce labyrinthe végétal, seule blanche, détaillée par des centaines d’yeux et commençais à en avoir marre lorsque j’aperçu de loin Norbert qui revenait vers moi. Je poussais un Ouf ! Il me dit :

– Madame je viens de voir le chef du village qui est un oncle à moi, il nous offre quelque chose à boire si tu veux te rafraîchir-tu peux venir !

J’avais en effet soif et au moins un verre d’eau serait le bienvenu. Nous rentrâmes dans une case un peu à l’écart du village où se tenait un Africain d’environ 50 ans entouré de trois personnes, ses « conseillers » entre 35 et 45 ans. Au milieu de la pièce une table chargée de verres et d’un broc rempli d’un breuvage rouge orangé, mais certainement frais car plein de buée. Dans un coin un canapé recouvert d’un tissu de pagne en coton. Plus loin une paillasse à l’Africaine, en lattes de bois recouvertes d’un matelas lui-même enfermé dans un pagne de coton. On me salua avec déférence, et on me tendit un verre de cette boisson que l’on me présenta comme un sirop local, très régénérant et désaltérant lorsqu’il fait chaud. Je mis mes lèvres dans le verre sous les regards attentifs des quatre hommes et de Norbert qui insistait :

– Vas y goûte patronne, tu auras le tonus !

Le breuvage était frais et légèrement acide, ce qui devait sûrement désaltérer Je le bus avec plaisir et, l’on se dépêcha de me resservir un second verre, que je commençais à boire lorsque je ressentis comme une onde de chaleur monter en moi et envahir mon corps par l’intérieur, mon sexe me démangeait agréablement, j’étais d’un seul coup légère comme dans du coton. Je vis comme dans un nuage deux des noirs s’approcher de moi, me retirer ce qui restait de mon verre, et me proposer de m’asseoir sur le canapé, je les suivis en souriant et m’écroulais sur les genoux d’un des « conseillers ». Celui-ci entreprit de glisser sa main sous ma jupe, j’essayais de me débattre comme me le conseillait mon cerveau mais en même temps mon sexe, mon intimité, attendaient cette caresse, je me laissais faire voyant de loin les autres noirs rigoler et Norbert quitter la case après avoir encaissé une liasse de billets, le salaud m’avait droguée et vendue au village. Je sentis bientôt huit mains prendre possession de mon corps, s’infiltrer dans mes chairs, pétrir mes seins, me peloter m’embrasser partout où un carré de peau apparaissait. Les doigts et les mains s’activaient sur les tissus, déboutonnant qui un chemisier, qui une jupe, qui triturant une agrafe de soutien-gorge ou encore un élastique de slip.

Le résultat ne se fit pas attendre. Je fus bientôt mise à nu, chemisier, soutien-gorge, slip et jupe formaient un tas aux pieds du divan. Je sentais l’odeur forte des Africains qui devaient transpirer devant cette blanche offerte à leur excitation. Je fus mise debout et me retrouvais devant le chef du village, un « conseiller » derrière me tenant les bras, il me mit à genoux devant la queue du chef qui était d’une dimension impressionnante plus grosse et longue que celle de Norbert, je n’eus d’autre solution que d’ouvrir la bouche et absorber le membre d’ébène, étonné qu’un vieux puisse avoir un tel engin ! Je sentais monter en moi l’excitation, le sirop remplissait bien son rôle. Mes mains caressaient les couilles du vieux et ma bouche lui prodiguait une caresse qui semblait lui convenir.

Le « conseiller » voyant mes capacités, vint sur le côté pour profiter de mon action buccale. Maintenant je sautais d’une bite à l’autre, elles étaient belles et je mouillais de plus en plus. Bientôt l’on me redressa, droite devant les deux hommes un devant un derrière, le « conseiller » me fit courber devant le chef et m’enfonça deux doigts dans mon cul pour l’agrandir et plaça son gland de bonne dimension sur le sphincter qui fut forcé et pénétré sans autre forme de procès. Nous poussâmes tous les deux un « Oui ! » de plaisir, enfin j’étais prise, à fond, il fit quelques va-et-vient pour se placer au mieux de mes profondeurs, je sentais avec délice ses couilles battre sur ma chatte turgescente dans l’attente de la possession. Je sentis deux mains empoigner ma poitrine et me redresser devant le chef, toujours excité et bien droit, il présenta son gland devant ma chatte gluante et n’eut aucun mal à me défoncer jusqu’à l’utérus, je relevais mes jambes et les serrais dans le dos du chef qui investissait ma bouche d’une langue longue et chaude, comme sa pine. Je nouais mes bras autour de son cou. Je fus ballottée, envahie, pilonnée, durant de longues minutes à ma plus grande satisfaction, criant des insanités.

– Oui, allez-y à fond, encore, tapez à fond !!
– Tu aimes nos queues noires, petite salope de blanche ?
– Oui, elles sont bonnes !!.

Les deux hommes éclatèrent en même temps leurs plaisirs dans mon ventre et mes intestins, je sentis leurs jus inonder mon corps en longs traits chauds. Je me mis à jouir, comme folle, le ventre secoué de longues crispations de bonheur, ils me déposèrent sur le canapé, pantelante, ruisselante de leurs jus et de ma mouille mélangés, les cuisses largement écartées, mon intimité, dégoulinante de leurs foutres, livrée à la concupiscence des deux autres qui s’étaient mis à poils en attendant leur tour. Je me sentais bien et heureuse entre les mains de ces autres hommes, les deux autres s’approchèrent et me prirent à bras le corps pour me déposer sur la paillasse. Un des « conseillers » se glissa sous moi et me demanda de le chevaucher, je m’exécutais docilement, faisant pénétrer dans mon con regorgeant de sperme la longue tige noire offerte. Il m’attira brutalement sur sa poitrine pour laisser son coéquipier profiter de mon cul également dilaté et lubrifié. Il tenait fermement mes fesses englobées dans ses mains calleuses, écartant au maximum les deux lobes, livrant mon sphincter à l’excitation et l’agressivité du gland du second noir. Cette fois ci la pénétration fut encore plus facile, j’étais investie à fond et bientôt ils se lancèrent à l’attaque de mes trous qui étaient irrités par ces assauts et les nombreux va-et-vient subis. Je me mis à crier :

– Ouiii ! Salauds allez-y, profitez-en, j’aime ça ! Encore à fond cognez, ouiii c’est bon ! Faites cracher vos queues dans mon ventre !

Afrique
Ils intervertirent leurs positions et recommencèrent leurs coups de boutoir m’empalant à fond à chaque aller. Leurs mains malaxaient mes fesses et mes seins, j’étais complètement à leur merci, docile, consentante, et surtout ravie par toutes ses sensations qui remontaient de mon sexe jusqu’à ma gorge, me faisant crier de plus en plus. Excités autant par mes propos que par ce qu’ils avaient vu auparavant, ils ne purent se retenir plus longtemps et une fois de plus je fus délicieusement souillée par la liqueur des hommes fichés en moi. Ils se dégagèrent et me laissèrent en chien de fusil. Le fond de mon con et mon cul me faisaient mal tel un énorme bleu, ces quatre phallus d’une taille très au-dessus de la moyenne m’avaient bien visitée et baisée et laissée dilatée. Je voulus me relever pour m’éloigner de cette couche et de cette bacchanale, mais ma tête tournait et je retombais sur la paillasse. Le chef du village s’approcha et me dit de lui sucer sa bite, je m’exécutais devant le regard goguenard des « conseillers », pompant ce long et gros morceau de chair qui envahissait toute ma bouche et le fond de ma gorge. Mes mains s’activaient sur les couilles que je malaxais, le chef ne résista pas longtemps à ce traitement et je reçus, la tête coincée dans ses mains puissantes, les giclées de son plaisir. Je dus encore satisfaire les « conseillers » de mes caresses buccales, je reçus leurs spermes d’engins aussi imposants que celui du chef, sur la figure, les seins, le ventre, j’en étais inondée ! L’un des hommes avança sa bite vers moi , je me demandais ce qu’il voulait puisqu’il ne bandait plus, puis je compris qu’il allait me pisser dessus, j’ouvrais la bouche et me régalait de ce nectar, pendant que ses comparses s’approchaient pour pisser à leur tour Je n’en pouvais plus lorsqu’ils m’abandonnèrent 2 heures plus tard couverte de sperme et de pisse, les seins rougis, le con et le cul en feu, mais heureuse d’avoir fait la pute. Une vieille Mamma me rapporta mes habits, et une grande cuvette en alu, remplie d’eau fraîche, je me fis une petite toilette du visage et de la poitrine et ensuite intime, sous l’œil intéressé de la vieille qui n’avait sans doute jamais vu une chatte de blanche d’aussi près et qui vint y mettre ses doigts. Je me rhabillais en vitesse et courrais vers ma voiture où mon boy m’attendait assis, souriant :

– Alors Madame, tu as aimé, il paraît ? .
– Espèce de salaud je ne suis pas à vendre, ni ton esclave ! .
– Mais Madame, je sais que tu aimes te faire prendre par mes copains et eux aussi ils aiment se vider dans une blanche comme toi !
– Hum…
– Tu as jouis hein ? Dis patronne, avoue ?
– Oui, mais ce n’est pas ton problème ! Tu m’as droguée et donnée à je ne sais qui ! .
– Pardon Madame, demain je serais gentil avec toi.

Je l’espère bien, je peux ainsi le garder à peu près sous mon contrôle et faire avec lui ce que je veux. Nous rentrons sur Abidjan, moi au volant, Norbert caressant ma chatte sous le tissu !!! Plein de promesse pour demain .

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-France V
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Vendredi 29 septembre 2023 5 29 /09 /Sep /2023 17:33

Les dossiers secrets de Maman par James01
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Ma mère, qui se prénomme Nadine, est mariée depuis plusieurs années, c’est une femme de 47 ans, brune, les yeux marrons, elle mesure 1,60 et pèse environs 65 kg, elle possède quelques tenues sexy mais ne les porte que très rarement, je trouvais dommage qu’elle ne mette pas un peu plus en avant sa poitrine généreuse. (95c). En ce qui concerne mon père, son métier l’oblige à être souvent en déplacement. Moi j’ai 25 ans je suis brun mesure 1m75 pèse 80 kg. J’ai une sœur de 22 ans qui continue ses études et qui comme moi vit encore à la maison.

Je pensais que ma mère n’avait rien d’une folle de sexe, mais il y a quelques jours en fouillant dans plusieurs dossiers de l’ordinateur, comme j’aime le faire, je suis tombé, après plusieurs sous-dossiers sur un dossier intitulé « Perso_nad ». Quelle ne fut pas ma surprise en ouvrant ce dossier, plusieurs photos au format jpeg étaient présentes, j’ouvris le premier par curiosité et là je vis ma mère en sous-vêtements une main dans la culotte et en plus fortement maquillée choses dont elle n’a pas l’habitude. De dossiers en dossiers je découvrais ma mère dans diverses positions, elle se doigtait, jouait avec des godes se les enfonçant dans la bouche, dans la chatte et dans le cul ! Je vis également qu’elle avait la chatte rasée, puis une autre photo la montrait en train de sucer la bite d’un mec qui n’était pas mon père, puis elle se faisait baiser par encore un autre mec. La vue de ses photos me faisait bander, ma mère dans toutes les positions du kamasoutra, d’autres photos la montrait en pleins ébats avec une femme que je n’avais jamais vu, d’autres photos la montrait le visage maculé de sperme ou encore la bouche ouverte recevant l’urine d’un homme.

Saisi d’une pulsion irrésistible je gagnais la salle de bain, fouillais dans le panier à linge et en ressorti sa petite culotte de la veille. Elle était maculée de taches d’urine sur le devant et de taches de merde derrière. Je la portais à mes narines et m’enivrais de l’odeur, puis fou d’excitation, j’entrepris de la lécher. Puis je la pris dans mes mains et me masturbait dedans.

Je me calmais, mais maintenant une envie obsédante me tenaillait, ma mère je voulais la baiser mais comment concrétiser une pareille chose ?

Et la voilà qui rentre du marché où elle a fait ses courses. Je m’amuse de la présence dans son panier de deux concombres, me demandant l’usage qu’elle pourrait en faire..

– Maman, j’ai un aveu à te faire ! Commençais-je
– C’est grave ?
– Non, je l’ai bien pris.
– Mais c’est quoi ?
– Je cherchais un dossier sur l’ordinateur et…

Ma mère se mit à rougir.

– J’ai compris, tu es tombé sur des photos que j’aurais dû mieux cacher, c’est ça ? Mais je peux t’expliquer…
– M’expliquer quoi ? Puisque je te dis que ça ne m’a pas choqué…
– C’était un pari avec une copine…
– Un pari qui a duré plusieurs mois ? J’ai vu les dates des photos…
– Tu pratiquerais les bonne manières, tu aurais fait comme si ces photos n’existaient pas.
– Mais maman, ces photos, elles m’ont excité
– Ils ne t’en faut pas beaucoup. Bon alors je suppose que tu as compris, j’aime bien de temps en temps me livrer à quelques écarts et parfois je demande à ta sœur de me prendre en photo.
– Quoi ?
– Ben oui !
– La salope !
– Ce doit être héréditaire ! Bon, on en reste là ou quoi ?
– Maman, je bande !
– C’est de ton âge.
– Tu peux vérifier si tu veux !
– Dis donc petit coquin, aurait tu l’intention de baiser avec ta mère ? Tu sais que ces choses là sont mal vus !
– On ne pourrait pas se laisser aller, juste un peu ?
– Dis-moi ce que tu voudrais et je verrais ce qu’on peut faire
– Si tu pouvais t’habiller comme sur les photos…
– S’il n’y a que ça pour te calmer… Attends-moi !

Elle se dirigea vers sa chambre et après quelques minutes revint dans le salon. Elle portait de longs bas noirs, un string blanc assorti à son soutif qui lui compressait les seins. Elle est superbe je résistais pour ne pas lui sauter dessus, je m’approchai doucement d’elle, et commençai à lui caresser les bras avant de la peloter un peu partout, elle se laissa faire. je m’attardais un instant sur ses fesses bien fermes, je la fis asseoir sur le canapé et lui ôta délicatement ce string qui cachait son intimité, je lui écartai les jambes au maximum et plongeai ma tête entre ses douces cuisses, je la léchais avec plaisir et, à en croire ses soupirs, elle aussi commençait à prendre du plaisir, sa chatte était tout ouverte et ma langue visitait ce trou tout humide, en effet elle mouillait vraiment beaucoup, je me relevais pour m’occuper de ses seins un moment, je dégrafai son soutien-gorge, je soupesai ses deux énormes nichons et tétais ses pointes toutes dures, je redescendis ensuite vers son sexe et lui enfila deux doigts et commençai à la masturber tout en lui léchant son clito prêt à exploser, sa position me permettait d’apercevoir son petit trou du cul, je sortis mes doigts de sa chatte et lui enfila un doigt trempé de mouille dans son anus, elle se mordillait les lèvres pour ne pas crier son plaisir, j’approchai ma bouche de son visage et nous nous sommes embrassés comme un couple d’amants.

Nos langues se mélangeaient ainsi que notre salive, puis je me mis debout devant elle en lui indiquant du doigt mon sexe, elle s’agenouilla, dégrafa mon pantalon et libéra ma bite de mon caleçon puis l’engloutit au fond de sa bouche. Elle me pompait tout en me caressant les couilles, elle léchait mon gland comme une reine, elle savait vraiment y faire, je dus l’arrêter pour ne pas jouir trop vite tellement elle me tétait avec entrain. Elle se lâcha complètement en m’invitant à venir la baiser.

Coquine
Je l’allongeai sur le dos, fouillai encore sa chatte avec ma langue et enfin positionnai ma bite à l’entrée de son vagin, j’introduisis mon sexe raide comme un bâton dans sa chatte tellement humide et débutai mes va-et-vient, ses deux énormes miches se balançaient, elle atteint un orgasme violent à en croire ses cris, je la pilonnais de plus en plus vite, j’avais l’impression que mon sexe grossissait encore. Je l’invitais à venir se positionner sur moi de manière que l’on puisse s’embrasser, c’était merveilleux je la baisais par la chatte et ma langue se mêlait une nouvelle fois à la sienne, et en plus je commençais à écarter ses fesses pour la préparer à la sodomie. Son cul me faisait tellement envie, je la soulevai et la fis mettre à quatre pattes le cul bien en avant, je plongeai ma langue dans son anus, puis un doigt, puis deux doigts et la masturbai par le cul, une fois son orifice bien dilaté je cracha un coup dedans et rentrai ma bite à l’intérieur, quelle sensation superbe d’être dans un cul et qui plus est celui de ma mère ! Pendant ce temps elle se masturbait, en effet elle avait trois doigts dans la chatte, deux dans la bouche et ma bite qui lui défonçait le cul, nos cris de plaisir résonnaient dans la pièce, elle aimait vraiment ça. J’alternais maintenant entre sa chatte et son cul, je lui demandais ensuite de se mettre sur le dos afin de voir son visage de salope qui aime se faire enculer, je rentrai donc une nouvelle fois ma bite dans ce conduit étroit, son visage était vraiment celui d’une chienne que l’on voit dans les films X, dans cette position ma bite était vraiment serrée et je sentais ma jouissance monter, je sortis mon sexe et alla lui présenter au visage, elle le saisit et commença à me masturber avec la bouche grande ouverte, moi aussi je la branlais pour récupérer sa mouille encore abondante, mais ne pouvant plus me retenir et dans un dernière effort je lui éjacula dans la bouche avec une force inouïe, jamais je n’avais autant joui. Ma mère me lécha pour récupérer les dernières goûtes de sperme qui perlaient sur mon sexe. Nous nous sommes enlacés, épuisés par cette séance de baise.

Saisi d’une envie pressante, ma mère se releva afin de gagner les toilettes, elle me proposa de l’accompagner. Elle se débrouilla une fois sur la cuvette pour me montrer son petit pipi, avant de me faire comprendre qu’elle allait en profiter pour faire la grosse commission. Quel spectacle sublime de voir sa mère chier un gros boudin devant moi. Je lui demandais de me céder la place, ayant moi-même une petite envie, elle me suggéra de lui pisser dans la bouche comme sur les photos…

– Si tu veux me dit-elle, la prochaine fois que j’organise une petite partie, tu seras invité, je te présenterai mes amis.
– Avec plaisir !
– J’y mets cependant une condition, l’un de mes amants aime sodomiser les jeunes culs, il faudra donc que tu y passes.
– Tu voudrais que je me fasse enculer devant toi ?
– Exactement !
– Eh bien c’est d’accord, je ferais n’importe quoi pour te baiser de nouveau !
– Et tu seras mon petit esclave !
– Oui Maman !

Fin

Post face

L’intrigue est ridicule, vous en connaissez, vous des nanas qui non contentes de se faire photographier en position compromettante, vont conserver ça sans aucune protection sur l’ordinateur familial. Mais qu’importe pour paraphraser Alfred Hitchcock, le récit érotique n’est pas une part de vie mais une part de rêve !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : James
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Dimanche 27 août 2023 7 27 /08 /Août /2023 14:56

Aéroport Saint Exupéry
par Voyageur

 

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Bonjour, Je suis le « membre » voyageur. LOL, c’est bien le cas.

 

Je voyage pour mon métier.

Environ 90% de mon temps, je suis à l’étranger : L’Europe, le Moyen Orient, L’Afrique (toute entière du nord au sud), la Russie et l’Inde.

En plus d’être voyageur, je suis un « coquin » dans l’âme et dans les faits et les voyages aident beaucoup aux rencontres.

Ma dernière rencontre s’est passée en France, vite fait, bien fait, fallait il le voir…

Je me suis rendu dans le Sud Ouest de la France, (et oui, inutile d’aller beaucoup plus loin) en Avion.

Donc Aéroport Saint Exupéry (Lyon), 7H30, passage de la douane (les portiques etc), devant moi, il y avait un couple BCBG, la soixantaine pour le monsieur, la dame, environ 50/55ans avait des bottes noires brillantes genre cuissardes, une jupe kilt noir et blanc, plus court que ne l’aurait permis son âge, un haut en dentelle noir sur un décolleté, un blouson noir assorti aux bottes et un manteau très long en daim qu’elle tenait au bras.

J’avais donc l’œil très vagabond, qui allait du décolleté à la jupe, espérant le miracle…

Et il eut lieu ! Au portique, Mme « sonne ». La voilà qui enlève bagues et bijoux. Elle me sourit l’air de me dire, « pensez si j’ai l’air d’une terroriste », je lui répond d’un autre sourire qui bien que complice devait exprimé la lubricité plus que mon accord et elle a soutenu mon regard, juste une seconde de plus, une seconde de trop… du moins je l’ai pensé.

C’est le feu au compteur (le mien) que je l’ai revue passer le portique et miracle… il sonne à nouveau.

Le vigile lui demande d’enlever ses bottes, ce qu’elle fait devant à moi et elle me dévoile des bas assez hauts montés, et de superbes fesses bronzées séparées par un mince string noir. Inutile de vous dire que mon sang n’a fait qu’un tour, il y avait une manifestation dans la guérite mais l’estocade, c’est quand elle s’est retournée et m’a fait un coup d’œil en me souriant. Là, je regarde son mari…qui me sourit aussi !

OUF, le portique ne sonne plus et Mme peut remettre ses bottes. Ô joie, j’ai oublié de sortir mon ordi de mon sac, je prends donc le temps, bien entendu de le sortir, mais surtout de mater Mme qui s’est assise face au portique en remettant ses bottes et en profite pour montrer l’outrecuidance de ce string à s’ingérer dans ses affaires, impudique.

Nouveau sourire provocant et soutenu. Je passe moitié rouge, moitié souriant, moitié compote de pomme.

Chance, il vont dans la même zone que moi, mais pas le même avion. Je n’hésite pas à me mettre bien en face d’eux et mate plus qu’indiscrètement la dame qui m’aide à bien voir. Le Monsieur me demande :

– Vous aimez ?

Je lui réponds poliment :

– C’est fantastique !

Il me glisse :

– Vous aimeriez y toucher ?

et je me suis entendu répondre dans un brouillard :

– Ha ça oui alors mais pas facile ici non ?

Alors le Monsieur se lève et demande :

– Chantal, tu peux accompagner Monsieur ?

Chantal murmure

– Avec plaisir, vous pouvez laisser votre valise ici, mon mari la gardera.

Nous voilà partis dans le hall, direction ?….les toilettes dames, politesse (et discrétion) oblige. Après la porte principale des toilettes, personne dans le lieu, j’en profite pour passer rapidement la main sous cette jupe. Mme s’arrête et se cambre en ouvrant les jambes pour me laisser mieux toucher. Vous dire que je bande est au dessous de la vérité. J’avais une trique monstrueuse.

Elle me dit :

– Viens dans une cabine !

J’ai rarement été aussi obéissant.

Là, elle s’assoit sur la lunette, enlève sa culotte, la met dans ma poche de pantalon en me susurrant

– T’as l’air en forme dis donc !

Puisqu’elle était sur les lieux du crime, elle en profite pour ouvrir ma braguette et sortir (difficilement et douloureusement car il était coincé sous la ceinture) mon sexe que je ne connaissais pas si dur depuis des années. Sa bouche était un délice de pompage, chaude, douce et j’ai adoré regarder son rouge à lèvre aller et venir, lentement sur mon sexe, sa main me caresser doucement les boules. J’étais tellement excité que je n’ai pas pu me retenir. Elle a bu jusqu’à la dernière goutte, sans arrêter, j’avais l’impression de lui en vider des litres tellement s’était bon.

Quand elle a senti mes actions en baisse, elle me demande :

– Et pour moi, il te reste quelque chose ?

Grand moment de solitude où l’homme doute de ses capacités. Je prends mon courage à deux mains et lui demande de me laisser la place. Pantalon aux chevilles, je m’assois à mon tour sur les toilettes (chaudes et sèches), et je la lèche, (sexe absolument lisse, épilé), elle se retourne et j’en profite pour lui lécher l’anus, profondément,

– Oui, encore, caresse moi en même temps.

J’introduis un doigt dans sa chatte et je constate qu’elle est déjà en train de travailler le sujet. Comme je suis de bonne composition, je l’aide.

Ô miracle, je rebande (rarissime à mon âge). Alors, j’essaie de me lever et elle me dit

– NON, attends !

Elle se retourne, me suce rapidement en se baissant comme elle peut, (je pense pour humecter la bête) et elle s’empale, jusqu’à la garde, tête en arrière. Je sens ses « lèvres » chaudes descendre sur mon sexe et elle commence, lentement et régulièrement le va-et-vient. Je suis encore en pleine forme mais je me demande si je vais tenir. Je sens la dame qui accélère et s’humidifie, impatiente, elle me demande essoufflée

– T’as pas envie de jouir ?

Devant ma gêne, je suppose qu’elle comprend que j’ai l’âge de son mari et que l’affaire n’est pas gagnée. Alors, elle change de trou. Elle s’encule, sans hésitation, d’un seul coup et le va-et-vient est plus brutal. Puis elle change, alternant la chatte et l’anus. J’ai joui très rapidement, j’en avais mal au sexe, tellement il était tendu et pour les curieux, c’est l’anus qui a gagné ! 

Vas040805C


Dans ma tête, plusieurs pensées (mon avion, quelle heure est il ? que faire maintenant avec mon encombrant colis). Elle devait avoir ses habitudes car gentiment elle s’est désempalée, une petite goutte de sperme a coulé sur ma cuisse, a pris du papier pour s’essuyer. J’étais assez gêné car mon sexe arborait des traces blanches de sperme et autres… et des traces et petits bouts marrons/noirs… je vous rappelle que je sors de son anus. Elle se baisse (je pense qu’elle va m’essuyer avec son papier, berk) mais elle me reprend le sexe en bouche et me le laisse comme un sou neuf, en ayant tout avalé. Quand elle pense avoir fini, elle fait claquer sa langue, souriante, comme après un bon repas.

 

Là, elle m’embrasse goulûment et me souhaite « bon voyage ». Elle s’en va. Rien pu dire, rien pu faire, pantalon aux chevilles, assis sur mon chiotte…

Le temps de me refaire, je rejoins le monsieur souriant, Chantal est à son bras. Il me donne sa carte et me dit qu’il serait heureux de me revoir et que « rares sont ceux qui ont pu enculer ma femme, il faut qu’elle vous apprécie » ils sont prêts à embarquer. Poignée de main à lui, bise rapide sur la bouche à elle…

Et puis je repense, elle a oublié son string dans ma poche, superbe trophée, elle est donc cul nu !

Je tiens à vous dire que c’est VRAI, c’est récent, et c’était BOOOOON…

VOYAGEUR

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Vendredi 25 août 2023 5 25 /08 /Août /2023 16:59

La teneuse de bites (Coutumes, mœurs et métiers d’antan) par Ursulin Neveway

Elle se trouvait là à l’entrée des urinoirs, vêtue légèrement, décolleté plongeant et bouche pulpeuse. Quand le quidam s’approchait du lieu d’aisance elle prononçait la phrase magique.
– Voulez-vous que je vous la tienne ?
En cas de réponse positive, la charmante personne demandait un petit billet, puisque toute peine mérite salaire, puis elle débraguettait, l’homme lui sortait la bite et la dirigeait vers l’urinoir.
Le pipi terminé la dame poussait la conscience professionnelle jusqu’à nettoyer les dernières traces d’urine sur la bite du monsieur.
Et si ce dernier excité par ce qui venait de se passer en voulait davantage, on allait s’enfermer quelques minutes dans une cabine.
C’était le bon temps !

Teneuses1

Teneuses2

Teneuses3

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Ursulin
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