Mercredi 12 juin 2024 3 12 /06 /Juin /2024 12:51

Les débauchés du diable par Belle-cour
StampFFH

Chaque été, nous séjournions à la ferme de mon oncle Marc. C’était une de ces très vieilles chaumières de campagne avec une grange à moitié dévorée par l’âge et les intempéries. Eustache et sa femme n’élevaient guère plus que des poules et des chèvres et la partie toujours en état de cette grange leur suffisait amplement. Tante Sylvie passait ses journées à la confection de tourtes et de confitures qu’elle vendait ensuite au marché du village. Quant à son mari, il veillait au bien-être de ses bêtes et à sa culture de blé.

Nous arrivions autour de la fin juin pour les vacances et ne repartions qu’à la mi-août. Pendant cette période, j’aidais mon oncle dans son travail au champ et ma femme écoulait son congé dans la maison principale avec ma tante. Le soir arrivait et Tante Sylvie se hâtait de se mettre à table afin de nous raconter tous les potins du village. Parmi ces histoires plus ou moins intéressantes, il en fût une qui retint expressément mon attention: c’était l’histoire des débauchés du diable.

Quoiqu’il s’agisse d’une histoire bien connue au village, Sylvie n’avait jamais abordé ce sujet devant nous auparavant. C’était une opprobre dont les villageois s’efforçaient de cacher la nature autant que possible. J’étais heureux que l’on me confie enfin quelque chose qui sortait de l’ordinaire.

Il y avait donc, non loin du village, une ancestrale seigneurie qu’un célèbre artiste du cinéma avait acquis quelques années plus tôt. Depuis, à chaque week-end du mois de juillet s’y déroulait ce que l’on soupçonnait être de fabuleuses orgies. Intrigué au plus haut point, je me promis de m’y rendre dès le samedi suivant.

Le jour tant attendu arriva enfin et je partis très tôt après le dîner, prétextant vouloir profiter d’un magnifique coucher de soleil pour faire une promenade. Je piquai d’abord droit vers le village et me mêlai à des jeunes gens du petit café afin d’en apprendre davantage sur cette légende Malheureusement tout ce que j’appris ne concernait que la façon de m’y rendre. Je pris donc d’après leurs indications la route du manoir. Je marchai pendant une vingtaine de minutes dans un chemin serpentant et bordé de hauts peupliers lorsque j’aperçus les pignons de ce qui avait dû être une chapelle. Une musique aux rythmes ensorcelants s’échappait d’un volet entrouvert. Je voyais maintenant la totalité de cette immense maison au flanc de laquelle s’harnachait effectivement une modeste chapelle. La musique ainsi que des éclats disparates de voix provenaient justement du volet de ce petit sanctuaire. Je m’y dirigeai le plus discrètement possible et me rendis compte qu’il n’y avait nulle surveillance autour de la demeure. Aucune muraille, aucune grille, pas de traces de chiens méchants ou de gardiens férocement armés. Rien d’autre que cette grandiose résidence, dressée au beau milieu d’un pré broussailleux, entourée de rocailles colorées et bien entretenues ainsi que de pots de fleurs suspendus aux nombreuses fenêtres.

Je me glissai sans gêne vers les volets bleus de l’ancien lieu de prières, me laissant guider par l’appel continu des tam-tams et la voix feutrée d’une femme d’un autre monde. Je cherchai à voir à travers un rideau de dentelle blanche, chahuté par une douce brise mais ne saisis que des mouvements furtifs sans pouvoir en identifier les protagonistes. Des rires suaves me vinrent aux oreilles et je cru que l’on s’adressait à moi.

– Viens ami… Me susurrait une voix, et je pris la direction de l’entrée. Je poussai une lourde porte de fer ornée d’une croix mauve, portant un Christ en dessous féminin qui me sembla plus en extase qu’en souffrance. Le spectacle qui s’offrit alors à moi me mit tout de suite en humeur: trois splendides jeunes déesses se caressaient dans une baignoire de mousse sous laquelle j’entrevoyais aisément les boutons roses de leur poitrine. J’en fus immédiatement troublé et mon pantalon me trahit sur le champ.

J’entendis un « Oh » coquin à mon endroit et une main se ferma sur mon épaule avant de me pousser à l’extrémité de la pièce. J’entrai alors dans ce qui avait sans doute été la sacristie. Un mur entier se couvrait de petites niches en bois, travaillées à l’origine de motifs religieux et maintenant de scènes orgiaques. Elles avaient dû faire office de reliquaires à une autre époque. Le caractère sacré de cette pièce que l’on profanait outrageusement m’excitait de façon singulière. Au milieu de la pièce se dressait une sorte de trône représentant un homme à quatre pattes, l’arrière-train largement offert, sur lequel prenait place une femme assez belle pour être sans fard. Elle me fit mettre à genoux et se leva afin de m’inspecter. Elle me sentit d’abord ses cheveux puis elle me scruta les ongles. Ensuite, elle me fit me relever et je croisai le lustre de ses yeux noirs. Elle était splendide. Elle m’ôta ma chemise puis défit mon ceinturon. Mon sexe ayant déjà échappé à mon contrôle semblait vouloir sortir de lui-même de sa cage de tissu tant j’éprouvais le désir de sa main sur ma queue frémissante. Plus ses doigts s’aventuraient sur ma peau, plus ma tringle se raidissait. Elle fit tomber mon pantalon et m’ordonna d’enlever mes chaussures. Il ne me restait plus qu’un caleçon ainsi que ma dignité de jeune homme robuste. Je bandais fièrement, assez pour que mon caleçon en soit considérablement déformé. Elle saisit mon gland entre le pouce et l’index à travers le tissu et un charge violente me brûla l’échine. L’envie de la bousculer, de la culbuter juste là me gicla dans l’esprit mais je repris mon sang-froid. Je m’imaginais déjà sur elle, luttant pour lui écarter les cuisses afin de la perforer de mon dard enfiévré, prêt à lancer ma liqueur dont je me sentais justement débordant.

Mais il y avait cette géante derrière moi, celle qui me guidait depuis l’entrée et qui m’entravait les bras. Je continuai mon fantasme en souriant pendant que la reine soupesait ma marchandise quand sa main plongea dans l’arrière de ma culotte pour se frayer un chemin et me forcer l’anus. Je sursautai, choqué mais indiciblement émoustillé. Je faillis éjaculer tant l’onde électrique me parcourant était forte. Je desserrai tranquillement les fesses afin que ce doigt effronté puisse me fouiller davantage. Les lèvres chaudes de la géantes suçaient la peau de mon cou de plus en plus sauvagement lorsqu’elles attrapèrent ma bouche pour en forcer l’entrée. Je me laissai facilement entraîner dans ce tourbillon de langues et de salive, je la dévorais avec une fougue incroyable. Je combattais pour libérer mes mains de l’emprise de la géante lorsque je me sentis projeté sur le sol et que son corps massif me couvrit. Je me rendis compte alors qu’il s’agissait d’une magnifique transsexuelle. Elle ondoyait sur moi quand j’éprouvai soudain la dureté de son gourdin dans mon anus. La confusion qui m’envahit alors était inexprimable.DebauchesLes sensations s’entremêlaient, j’ignorais parfaitement ce qui allait m’arriver et j’étais terriblement excité. Je fermai les yeux un instant et lorsque je les rouvris, deux superbes étalons blonds se penchaient sur moi: l’un posa ma main sur son sexe énorme tandis que l’autre profita de ma surprise pour me glisser son membre luisant d’excitation dans la bouche. La géante avait pour sa part glissé jusqu’à mon caleçon, qu’elle m’arracha brusquement avant de m’engloutir la bite. Le plaisir m’envahissait, il venait de partout, de ces veines gonflées de sang que la paume de ma main dégustait au contact de la queue démesurée du premier blond, du goût acre que ma langue savourait au prépuce du second blond, de cette bouche vorace qui m’aspirait le chibre avec une habileté que je n’avais encore jamais connu. Quand le garçon dans ma bouche me fit signe qu’il allait jouir, j’eus un recul d’une seconde mais dès que je sentis sa liqueur se répandre partout sur ma langue jusqu’au fond de ma gorge, je déchargeai aussi, violemment, tandis que la bite gigantesque du blondinet numéro un n’en finissait plus de me cracher au visage.

Nous avons passé plusieurs heures après à nous caresser et c’est ainsi que j’appris que la géante était l’artiste qui avait acheté la seigneurie et que je sus qu’elle était la véritable nature de la légende des débauchés du diable.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Samedi 8 juin 2024 6 08 /06 /Juin /2024 13:07

Sous la douche par Belle-cour
Stamp sodo2

Une fin d’après-midi où je me préparais à prendre une douche, quelqu’un vient sonner à ma porte. Comme j’étais pratiquement nu, j’enfilais mon peignoir de bain pour aller ouvrir et voir de qui il s’agissait. C’était Jolanda, une voisine célibataire assez délurée, joli brune à lunettes, la trentaine, mais dont les rapports avec elle n’avait jamais dépassés ceux du bon voisinage et d’un tutoiement de bon aloi . Elle venait me rapporter mes livres qu’elle avait emprunté depuis quelques semaines. J’allais les lui prendre quand elle me proposa d’entrer afin de les ranger elle-même et en choisir d’autres. Devant son charmant sourire, je n’ai pu refuser.

Elle se dirigea vers ma bibliothèque en me disant :

– Va prendre ta douche pendant que je choisis quelques livres, tu as le temps, après j’aimerais discuter avec toi de deux ou trois trucs.

Non au secours ! Elle va encore me prendre la tête avec ses interminables compte rendus de lecture ! Mais que voulez-vous, je suis bien éduqué et je ne vais pas la foutre à la porte. Je regagnais donc ma salle de bain et quelques instants plus tard, je savourais l’eau qui coulait sur mon corps quand, derrière la porte Jolanda me crie :

– Ça y est, j’ai trouvé des bouquins intéressants !

Je n’ai pas répondu pensant qu’elle allait m’attendre au salon. Mais voilà que la porte de la salle de bain s’ouvre, et Jolanda entre complètement à poil. Imaginez ma surprise et mon embarras.

La porte de la douche étant en verre, impossible de me cacher et l’eau qui coulait dessus empêchait la buée de se former et de rendre cette vitre opaque. Elle avança sur moi, puis d’un air innocent, me dit :

– J’espère que je ne te dérange pas, moi aussi j’aimerai prendre une douche, je ne peux pas la prendre chez moi, le robinet est cassé !

Alors elle me rejoignit comme si c’était la chose la plus naturelle du monde. Et sans me demander une quelconque permission, elle commença par me savonner sans que je puisse dire quoi que ce soit, elle mit sa main à ma bouche et dit

– Chut! laisses toi faire ! Tu ne vas me dire que tu n’aimes pas ça, non ?

douche bcElle reprit du gel douche dans sa main et me frotta le dos, puis le ventre et puis tout le corps. Quand elle arriva à mon sexe bandé, elle s’écria :

– Je vois que ça te met en forme, mon cher voisin !

Elle me branla très légèrement puis pris ma bite dans sa bouche tout en continuant à masser mes couilles. Cela me fit beaucoup d’effet, mais lorsque je fus sur le point de jouir elle sortit mon sexe de sa bouche, se colla contre moi et me demanda de la savonner. Je pris du gel douche et commença à la frotter. Ses seins étaient devenus durs, je sentais en elle le désir de tendresse et je les ai massés calmement bien que mon envie devenait de plus en plus pressante. Alors je descendis plus bas vers son nid d’amour, je l’ai enduit de liquide savonneux et j’ai entrepris de le masser légèrement. Elle poussa quelques soupirs de satisfaction, alors j’ai introduit un doigt entre ses lèvres toutes humides et j’ai fait un mouvement de va-et-vient qui l’a rendu encore plus chaude et désirable. Quand j’ai retiré mon doigt, elle était presque en train de jouir. Enfin je la pénétrais, elle s’accrocha à mon cou, mit ses jambes autour de mon corps et effectua quelques déhanchements pour que je sois encore plus profond dans son corps de rêve. Dans un même élan de plaisir nous sommes montés au septième ciel dans un feu d’artifice de sensations.

Lorsque nous sommes revenus sur terre, les frémissements se faisaient encore sentir un peu. Nous fîmes une ultime petite toilette, et nous sortîmes nous sécher. Jolanda pris la première serviette et s’occupa de mon corps alors que moi avec la seconde je la séchai. Elle prit bien soin de ne pas trop perturber mon ‘appareil à sensation’ (suivant son expression). Comme je m’occupais de son dos, elle s’appuya sur le lavabo. Quand je parvint plus bas elle écarta légèrement les jambes afin que je puisse passer la serviette confortablement. Soudain, j’eu une envie, laisser tomber la serviette et la frotter avec mes doigts. Elle fut surprise, mais les frissons eurent le pas sur sa volonté et elle se laissa faire. Alors j’ai mis un doigt dans sa chatte encore toute lubrifiée puis avec quelques mouvements tendres, je l’ai massé tendrement. Je l’ai maintenue fermement pour qu’elle ne puisse pas bouger et avec l’autre main, j’ai pris en charge son cul. J’ai passé mes doigts le long de sa fente et ensuite, j’ai fait pénétrer un doigt dans son anus. Comme celui-ci était encore mouillé, je n’ai pas eu beaucoup de mal à l’enfoncer. Jolanda sembla apprécier. Je ressortis mon doigt et le suçais, me régalant du jus de son cul.

– Petit cochon ! Ma taquina-t-elle

Quelques minutes plus tard, je retirai mes mains de son corps en feu, et vu la position au combien tentante, je l’ai prise par derrière et dans un mouvement régulier comme une pendule j’ai commencé à la faire jouir.

– Oh, oui vas-y, c’est si bon de se faire enculer !

Une fois remise de ses émotions, Jolanda me prit par la main, elle m’emmena au WC afin de satisfaire une envie pressante. Je pu ainsi profiter de la vue de son petit pipi. Nous étions tous les deux nus et cela nous faisait baigner dans la douceur et le bonheur. Enfermés tous les deux dans les toilettes nous nous embrasâmes le temps pour elle de finir de se soulager. Cela semblait presque irréel. Quand elle eut fini, je dus pisser à mon tour.

– Pisse moi dessus, petit cochon !

Je visais sa jolie poitrine, mais elle se baissa en ouvrant la bouche. Pas difficile de deviner ce qu’elle souhaitait et je lui offris à boire ma pisse tiède… Nous sortîmes enfin des toilettes et nous sommes allés dans ma chambre.

La lumière de la veilleuse donna l’ambiance et je mis en marche la chaine hifi avec une compilation de musique classique pour piano. Jolanda s’étendit dur le lit et me tendit les bras pour me faire signe de venir sur elle. M’appuyant sur les bras je me mis sur son corps et lui donna un baiser fiévreux tant mon ardeur montait de plus en plus. Puis je parti à la découverte de son corps. Ses formes, ses contours, ses lèvres tous cela je le fis du bout des doigts. Les sensations pour elle devenaient de plus en plus fortes et je voyais que son trésor suintait de plaisir. Puis ce fut à mon tour de m’étendre, elle passa ses doigts le long de mon corps comme pour en faire le tour complet, puis elle me fit mettre sur le ventre et commença un massage. Elle se mit à califourchon sur mes fesses et me frotta le dos. Son massage était très sensuel et je sentais l’humidité de sa toison sur mon cul. Puis elle glissa un peu sur mes jambes et commença à frotter ses seins sur le bas de mon dos. Les petits bouts qui étaient à nouveau durs en disaient long sur ses désirs. Elle glissa une main sous mon corps et attrapa mon sexe. Je me remis sur le dos et elle me masturba quelques instants avant de s’installer dessus. Elle enfonça mon pénis dans son cul et par de petits mouvements en suivant le rythme de la musique, elle me fit parvenir au sommet de mes sensations en m’introduisant un doigt dans le cul au moment où elle aussi atteignait l’extase.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Samedi 11 mai 2024 6 11 /05 /Mai /2024 09:53

Noémie dans l’auto par Belle-Cour
StampBea

J’étais venu chercher Noémie chez elle. Nous avions prévu de passer l’après-midi ensemble. On avait essayé de définir une destination possible, mais après tergiversations, nous avions convenu de nous laisser aller selon notre humeur et nos désirs. Arrivé devant chez elle, je klaxonnai deux fois et mis en marche la radio, avertit d’un pressentiments comme quoi j’allais attendre un moment avant de la voir sortir de chez elle. Comme pour me donner raison, je la vois débouler de chez elle en me faisant de grands signes et me criant qu’elle serai prête dans deux minutes.

Noémie est une belle fausse blonde au visage coquin , elle est bien bustée et attire le regard des hommes. (et même celui de certaines femmes)

Avec flegme, je m’installai confortablement dans mon siège en écoutant la musique. J’avais emprunté la voiture d’un ami de mon père. Assez exubérant, cette ami avait logé cette magnifique BMW M3 Cabriolet dans un garage clandestin. Le résultat était tout bonnement magnifique, mais pas très légal. Le bas de caisse de la voiture était à moins de 4 cm du sol. Mais c’était un petit bijoux que j’avais du spécialement négocier pour l’occasion en échange d’un simonisage gratuit et intensif. Ce qui me fait penser que je lui dois toujours ce simonissage. Mais je crois qu’il s’en fout un peu pour le moment parce qu’il vient de la ‘replier’ méchamment sur l’aile droite. Quand Noémie se décide enfin à sortir, ses premières paroles ont été :

– Va remettre immédiatement cette voiture où tu l’as volé ! (sur le ton de l’humour bien entendu. )

Mais elle me posa quand même des questions sur sa provenance. Une fois cela expliqué, je lui ouvre la porte et elle s’installe avec un grand sourire. Elle portait un cache cœur serré et une jupe portefeuille fendue sur le côté . Moi, j’étais habillé tout en blanc . Jean blanc, T-shirt blanc et chemise blanche avec le col ouvert. Il ne me manquait plus que les lunettes noires et le ‘Parrain’ m’aurait bien vite engagé dans des affaires douteuses. Et nous voilà partit. Je m’engage sur la route…

C’est dimanche est les voies sont bien dégagées. Je roule à bonne allure. Le soleil caressait nos visages et le vent les fouettait. je ne vis pas tout de suite que ce même vent faisait volé la jupe fendue de mon amie, dévoilant bien clairement sa cuisse. Elle avait une peau délicatement bronzé, n’ayant rien à envier à certaines femmes abonnées aux salons de bronzage. non, elle c’était du vrai. Elle aime se prélasser sous le soleil, que ce soit chez elle ou à la plage. quand elle vit que je perdais mon attention à la route et qu’elle comprit ma préoccupation, elle m’adressa un sourire des plus malicieux. sourire que je lui rendis en détachant une main du volant et la mettant sur cette cuisse si agréable au regard. Mes intentions étaient des plus futiles et je ne m’attendais à rien de sa part. On est de très bon amis, de longue date, mais quand je vis que pour toute réaction, elle retenait spécialement sa jupe bien relevée, je compris de suite ces intentions à elle. Ma main était chaude et moite. Je caressait sa cuisse avec des mouvements de plus en plus amples remontant de plus en plus. Soudain, je rougit fortement en constatant qu’elle n’avait pas de culotte et que mes doigts effleuraient déjà sa toison. Quand elle compris la raison de ma gêne, elle décroisa les jambes, m’invitant à des caresses plus intimes. A son tour, elle commença à me caresser la jambe, se glissant vers le haut de celle-ci petit à petit. Elle approche sa main de ma fermeture éclair et sent déjà qu’il n’y a plus beaucoup de place dans mon jeans en me demandant si je n’étais pas trop à l’étroit dedans. Elle défait mon bouton et descend ma fermeture éclair.

L’excitation me gagne peu à peu. Ma main est toujours en train de lui caresser le pubis. De façon de plus en plus intime. Je sens son clitoris se gonfler sur mes caresses. Elle ferme les yeux en se mordant les lèvres de plaisir. Elle, de sa main, libère mon sexe déjà bien dur et commence à me branler doucement. Elle poussa un cri lorsque mes doigts l’ont exploré profondément, faisant un mouvement de va-et-vient. Etant donnée la position dans laquelle je me trouvais j’essayai tant bien que mal de garder une certaine concentration sur la route, heureusement assez déserte. Je ralentis fortement la vitesse néanmoins. On n’est jamais à l’abri de spasmes dans ces moments-là. Je la sentis prendre mon pénis fortement dans sa main quand je me mis à caresser ses petites lèvres et à faire des mouvements circulaires sur son clitoris. Par sécurité, on décide de quitter la route et de se ranger sur le bas-côté. Je remonte la capote du toit pour plus d’intimité. Elle se penche sur moi et m’embrasse langoureusement. Nos langues se mêlent. Je sens sa fouge et son désir brulant dans ce baiser. Je crois qu’elle le sentit aussi à la raideur de mon sexe. J’étais bandé comme jamais. Quand elle se pencha dessus, je poussa un gémissement avant même qu’elle ne le touche de ses lèvres. Elle se redressa, surprise, en me demandant si je n’allais pas déjà venir sur son visage. Je la rassurai et elle se remit au travail. Elle avala ma queue en un coup, l’enfonçant bien profondément dans sa gorge, et en remontant en serrant un peu les dents. son va-et-vient intensif me fit gémir pour de bon. De mon côté, j’entrepris de lui retirer entièrement sa jupe. Une fois cela fait, je commençai à peloter sa poitrine à travers son cache cœur. Je sentis ses tétons jaillir de ce dernier, formant sur celui-ci un joli relief que je devinai de mes doigts.

Son cache cœur et son soutien-gorge n’eurent pas à attendre longtemps avant de se retrouver sur la banquette arrière. Quand elle décida m’avoir assez excité pour le moment avec sa bouche, elle me proposa d’aller nous installer sur la banquette arrière. un peu plus confortable pour ce genre de petit jeu. Je la devançai et m’assis. Et vint me rejoindre en s’asseyant sur moi. Je lui mordillai le bout de ses seins. Elle me prit la tête entre ses bras, et la serra contre sa poitrine. J’enfournais ses bouts de sein dans ma bouche. Elle sentait mon sexe faire pression sur sa croupe quand elle me confia son envie de la sentir en elle. Je la basculai sur le siège, dévoilant par la même occasion son entre jambes tout trempé. Je lui pris ses tétons entre mon pouce et mon index et les fit rouler. elle gémissait d’aise. Je plongeai mon visage entre ses jambes, en léchant d’abord le haut de ses cuisses, tournant autour de son sexe et enfin embrassai son sexe avant de laisser passer ma langue. elle me saisit la tête, m’obligeant à rester dans cette position, que je n’espérais pas quitter de sitôt. Mes doigts lui excitaient le clitoris au maximum, je le pinçais, lui donnait des coups de langue. Elle se trémoussais de plaisir. Je pris ses petites lèvres entre les miennes, la léchant profondément. Mes doigts jouaient déjà en elle. Elle ramena ses cuisses sur sa poitrine, me dévoilant sa croupe. Du bout de ma langue, je lui explorai le sillon de ses fesses. Ma langue s’attarda sur son anus brun. Elle me supplia de lui rentrer dedans. Je commençais donc à l’humecter comme il faut avec ma langue, puis le caressai avec un doigt. doucement, j’enfonçai ce dernier en elle pour dilater le muscle.

Noemie
Elle mouillait de plus en plus. Je voyais son sexe coulait, je la léchai de plus belle. Je me redressai, elle me prit mon sexe et se le caressa sur son petit trou. Je m’enfonce alors délicatement en elle mais constate qu’il n’est pas encore assez dilaté. J’enlève mon sexe d’elle et reprend de plus belle mes massages intérieurs à l’aide de mes doigts. Le second essai est le bon. Le passage est serré et étroit, mais je réussis à m’introduire assez profondément pour commencer mes mouvement de va-et-vient en elle. Mais mains sont sur sa poitrine. elles la massent fermement. Je me retire d’entre ses fesses et m’assois sur son ventre, je place ma queue pleine de merde entre ses seins. Elle commence alors un délicieux mouvement de sa poitrine avec mon sexe coincé entre. Du bout de sa langue, elle me lèche mon gland gonflé et pollué. Je me dégage de son emprise et lui met ma queue dans la bouche. Elle l’accepte avec joie, pas gênée du tout par la merde qui la recouvre, recommençant une fois encore son mouvement de va-et-vient. Je sens mon sexe cogner dans sa gorge. Elle me fixe dans les yeux tout en me caressant les testicules. Après quelques minutes de ce traitement, je reviens entre ses jambes, caresse mon sexe contre le sien et l’enfonce d’un trait. Un va-et-vient infernal s’ensuit durant un moment. ensuite, je me retire et l’aide à se mettre à quatre pattes (pas faciles dans un cabriolet). Je la prends par derrière et me fais aller en elle doucement, puis plus rapidement, en prenant dans chaque main, chacun de ses seins.

Me sentant venir, et ne voulant pas encore venir tout de suite, je me retire une nouvelle fois, et lui lèche à nouveau la croupe. Mes doigts batifolent dans son vagin pendant que ma langue essaye de se faire un passage dans son anus. Mon autre main lui excite le clitos quand une de ses mains à elle vient rejoindre la mienne. Elle hurle de plaisir, son entre jambes est comblé au possible. Moi, je suis dans un état second. Submergé par l’excitation. Elle a le sexe en feu. Je me redresse et frotte mon sexe contre son anus avant de la pénétrer. Je passe un bras autour de la taille, et entreprends de la masturber en même temps. Nos corps sont trempés de sueur. Mes coups de reins en elle se font de plus en plus violents. Je me rassois dans le siège. Elle se retourne et m’embrasse, me lèche partout. Son excitation se ferait ressentir dans un rayon de 20 kilomètres. Elle reprend mon sexe dans sa bouche, sauvagement, elle me fait un va-et-vient. Je ne peux m’empêcher de hurler. Elle me masse énergiquement les testicules. Je ne compris pas tout de suite où elle voulait en venir lorsqu’elle commença à m’écarter les cuisses. L’excitation et la fièvre du désir m’empêchait tout raisonnement. Je le compris avec grand plaisir quand elle commença à m’enfoncer un doigt dans l’anus. Elle était déchainée, et m’en enfonça un deuxième. Je tendis un bras et lui fit subir le même traitement. Elle se redressa, avec toujours mes doigts dans son cul et vint s’assoir sur mon sexe au garde à vous comme jamais. elle s’assit face à moi, de sorte qu’elle put se déhancher tout en se faisait pénétrer l’anus par mes doigts.

Elle se pencha légèrement et de ses doigts tenta de nouveau de m’exciter l’anus. Chose qu’elle parvint à faire sans problème. Elle savait que je me retenais de tout lui balancer et me fit comprendre qu’elle était prête maintenant. En quelques coups de reins dans le bas du ventre, je vins en elle. Se déhanchant toujours fortement sur moi, mon sexe sortit de sa grotte d’amour et elle se prit la dernière giclée dans son dos. Ivres de fatigue et de plaisir, on se coucha sur la banquette arrière, l’un dans les bras de l’autres. Ensuite, la première chose dont je me souviens, c’est le coup de klaxon d’un tracteur qui nous réveilla sans ménagement. Je me rhabillais en quatrième vitesse et sortit de l’auto pendant que ma compagne se rhabillait, je constatai que je m’était garé sur la voix d’accès de l’agriculteur menant je ne sais où. Lorsque ce dernier me vit, un tantinet mal habillé et surpris une autre personnes dans la voiture, il m’adressa un sourire complice et me demanda avec le plus grand calme de bien vouloir dégager le passage. Le soleil se couchait déjà à l’horizon lorsque nous arrivâmes chez elle… avec un sourire qui n’avait pas quitté nos lèvres…

 

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Dimanche 28 avril 2024 7 28 /04 /Avr /2024 19:11

Martinov 27 – La possession de Pétula – 12 – Partouze chez les Forville par Maud-Anne Amaro
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Et c’est ainsi que dès la semaine suivante, le professeur Martinov, Béatrice, Gérard Petit-Couture, Florentine et Brigitte se retrouvèrent chez Hubert et Sylviane Forville (et leur fille).

Dorothée la petite bonne peu farouche remplit les coupes. On trinque au Champagne (on est en pleine région)

Florentine s’est placé à côté de Sylviane, les deux femmes ont déjà eu l’occasion de s’apprécier y compris charnellement (voir plus avant) et s’échangent quelques innocentes caresses sur les bras. Très vite la tension monte, et les deux femmes s’embrassent goulument comme des belles coquines.

– Non mais regardez-moi ces cochonnes ! Fait semblant de se choquer Hubert Forville en se tripotant la braguette.
– Ça vous fait bander, monsieur ? Intervint Dorothée
– Non mais dites-donc Dodo, vous n’allez pas vous y mettre aussi ! Je devrais vous flanquer la fessée pour votre impertinence !
– Si monsieur a envie de me donner la fessée, c’est que je l’ai probablement mérité, mais vous allez me faire ça devant tous vos invités ?
– Non mais, écoutez-là, c’est de la provocation ! Quelqu’un voit-il un inconvénient à ce que je la corrige sur le champ.

Vous pensez bien que parmi cette assemblée de joyeux pervers, personne n’émet d’objection.

Dorothée dégage ses fesses et vient se coucher sur les genoux d’Hubert qui lui claque le joufflu avec conviction.

Les convives n’ont désormais plus aucune raison de se gêner, Florentine et Sylvianne sont maintenant complétement débraillées, les nichons à l’air. Ça se carres, ça se pelote, ça se titille les bouts.

Dorothée quitte un moment la salle, mais c’est pour réapparaitre avec une coupelle remplie de préservatifs et d’étuis de gel intime… Monsieur et madame Forville sont des gens prévenants

Pétula se pointe crânement devant Béatrice.

– Toi, ma grande, j’ai trop envie de te voir à poil !
– Coquine !
– Tu ne veux pas ?
– Mais si, bien sûr !

Les deux femmes se déshabillent et vont gagner le canapé juste derrière, où elles s’échangent les caresses les plus folles.

Brigitte pour l’instant sollicitée par personne fait signe à Gérard et à Martinov de venir la rejoindre.

Et bientôt tout le monde est à poil dans la pièce (ça fait quand même neuf personnes !) Ça se mélange, ça se caresse, ça se tripote, ça va de partenaire en partenaire. L’orgie, quoi !

Sylviane Forville après avoir joui sous les coups de langue diabolique de Brigitte s’en va voir comment se comporte sa fille.

Celle-ci se pâme en se triturant les tétons, tandis de Béatrice lui lape son abricot dégoulinant de désir.

Sylviane s’approche…

– Laisse tes bouts de seins, maman va s’en occuper !
– Oh, oui vas-y, Maman ! Pince les bien, fais-moi mal !

Martinov s’est couché à même le sol, Brigitte s’est empalée sur sa bite et offre son anus aux assauts de Gérard. Une belle double pénétration ! Après une série de mouvements frénétiques notre vert professeur se surprend à jouir, Brigitte le suit quelques secondes plus tard. Gérard lui décule sans jouir.Martinov2712

Ce dernier ne sait où aller donner sa queue, tout le monde hormis Hubert Forville semblant occupé.

Martinov se dévoue alors et prend en bouche le joli membre de Gérard sous les yeux incrédules du maître de maison.

Ce dernier s’approche.

– Hum vous avez l’air de vous régaler, je peux essayer !

Et c’est ainsi qu’Hubert se met à sucer la bite de Gérard avec délectation.

Hubert voudrait nous faire croire que c’est la première fois qu’il fait ça ! Quel menteur !

– Alors, vieux pédé, on suce des bites ! Se gausse son épouse !
– Ta gueule, vieille pute, tu n’as pas honte de gouiner ta fille ? Lui répond-il du tac au tac.
– Ah, non ! Pourquoi ?

Gérard a joui dans la bouche d’Hubert lequel voudrait bien prendre son pied lui aussi..

Petit tour d’horizon pour choisir sa cible… il s’approche de Béatrice.

– Mademoiselle, permettrez que je vous baise ?
– Mais faites donc, cher monsieur ! Une petite pipe avant ?
– Volontiers.

Béatrice le suce avec application, puis se retourne, lui présentant son joli postérieur.

– Si vous désirez m’enculer, ne vous gênez surtout pas, j’adore ça quand c’est bien fait !
– Ne le prenez pas mal, mais entre-nous, seriez-vous un peu salope ?
– Très salope, monsieur ! :

Florentine s’approche de Pétula et commence à la peloter.

– Attends, faut que je fasse pipi ! Objecte cette dernière.
– Moi aussi, on y va ensemble ?

Vous pensez bien que ces deux coquines ne vont pas pisser dans la cuvette. Flo demande d’abord à la jeune fille de lui arroser la bouche.

– Il a quel goût ton pipi ? demande-t-elle
– Un goût particulier, tu n’en a jamais goûté ?
– Si mais pas de cette façon.
– Explique moi
– J’ai regardé plusieurs fois ma mère pisser, ça m’a excité et parfois elle me demandait de lui nettoyer la chatte avec ma langue, mais c’est tout. Mais vas-y pisse moi dessus que je me rende compte ! Propose-t-elle en ouvrant une large bouche

Florentine ouvre les vannes et envoie un joli filet doré dans la bouche de Pétula.

– C’est pas mauvais, c’est un peu bizarre ! Déclare la jeune fille avant d’offrir ses lèvres à Pétula.

Quand elles retournent dans la salle, tout le monde est un peu épuisé par tant de gesticulations érotiques.

Hubert n’a pas joui dans le fondement de Béatrice, il s’est retiré avant et lui a déchargé son sperme sur le visage.

– C’est malin, avec quoi je m’essuie, maintenant ?
– Laisse, je vais te lécher ! Propose alors Pétula qui joignant le geste à la parole entreprend de lécher le sperme de son paternel maculant le visage de Béatrice.

Et bien sûr à la fin de cette fantaisie, les deux femmes se roulèrent un mémorable patin.

Martinov est moitié endormi, Gérard est coincé entre Brigitte et Sylvianne, ils s’échangent de douces caresses. Les fins de partouzes sont toujours un peu somnolentes.

Et voilà que Dorothée se pointe (où était-elle passée celle-ci ?)

– Madame est servie ! Annonce-t-elle.

Que se passe-t-il ? Elle n’aurait pas parlé assez fort, toujours est-il que personne ne réagit. Du coup elle se reprend et parle plus fort.

– Je disais que « Madame est servie », autrement dit si vous ne voulez pas que le gigot soit trop cuit, il faudrait passer à table, il n’y a pas que le cul dans la vie.
– D’accord on y va, mais vous ferez le service à poil, Dorothée.
– Monsieur est un cochon, mais d’accord.

Béatrice vient secouer Martinov afin de faire sortir de ta torpeur.

– Hein, quoi ?
– Ben on passe à table !
– Mais je suis tout nu
– Moi aussi !
– C’est un repas naturiste, alors ?
– On va dire ça comme ça.
– Quand même quelle aventure !
– Nous en aurons d’autres, mon petit professeur !

Fin de l’épisode

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Dimanche 28 avril 2024 7 28 /04 /Avr /2024 19:08

Martinov 27 – La possession de Pétula – 11 – Brigitte et le journaliste par Maud-Anne Amaro
pipe stamp

Brigitte se débrouilla pour rencontrer Georges Laplace, un journaliste du journal « l’Union » (la presse régionale locale) au cours d’un diner au restaurant. Elle lui raconta l’histoire.

– Voici quelques adresses, si vous souhaitez vérifier mes dires, celles qui sont soulignées sont celles où vous recevrez en principe un bon accueil, et je vous laisse aussi cette analyse surréaliste du laboratoire…

Laplace ne pouvait s’empêcher de lorgner dans le décolleté de Brigitte avec des yeux concupiscent.

– Ce n’est ni le lieu, ni le moment mais en d’autres circonstances, je vous aurais sans doute dragué. Finit-il par bafouiller. Mais je ne le ferais pas, avec les mentalités actuelles, la drague devient un sport dangereux.

Brigitte éclata de rire :

– Autrement dit vous êtes en train de me draguer sans oser le dire !
– Non, non…
– Arrêtez, vous en mourre d’envie ! Confidence pour confidence, je n’ai rien contre un moment de détente avec un homme qui m’inspire la sympathie.
– A moins c’est clair.
– Je n’habite pas la région, je suis à l’hôtel, mais un bon hôtel et la chambre est confortable.

Sur place les deux amants occasionnels se déshabillèrent sans cérémonie.

– Oh, votre poitrine est fabuleuse !
– Elle est à vous, allez-y.

Et l’homme vint les tripoter, les caresser et en lécher les bouts, tout cela avec la bite en étendard.

– Oh, la belle bite ! Je crois bien que je vais la sucer.
– Sucez, ma chère, sucez, je suis persuadé que vous êtes la reine de la pipe !

Brigitte s’est agenouillée devant le journaliste qui lui s’est assis sur le bord du lit et elle lui embouche la biroute.

Brigitte espérait plus ou moins le faire jouir de cette façon, n’étant pas trop motivée ce soir pour baiser.

– Lève-toi ! lui dit-elle soudain.
– Pourquoi donc ?
– Tu verras bien !

En fait Brigitte voulait tout en continuant à le sucer avoir accès à ses fesses ce qui n’était pas possible en position assise

Martinov2711Elle lui écarte les globes, son doigt viens masser la rosette, l’homme ne proteste pas. Elle interrompt quelques instants sa fellation afin de se mouiller le doigt, puis le doigt revient derrière et lui pénétré l’anus.

– Ah !

Mais ce cri n’a rien d’une protestation. Le doigt s’agite, la bite soubresaute dans la bouche de Brigitte. L’homme jouit, Brigitte recrache le sperme discrètement.

– Quelle pipe !
– T’as vu, hein !

« Encore un bisexuel qui s’ignore ! »

Quelques jours plus tard, l’Union titrait. « Faux curé et véritable escroquerie » aucun nom n’était cité, mais le mode opératoire était scrupuleusement décrit, le papier était illustré de l’analyse du laboratoire qui donna son accord pour publication. L’article se terminait par ses mots « La révélation de cette escroquerie très bien préparée n’aurait été possible sans la pugnacité d’un cabinet de détective privée… »

Brigitte avait donc fini son travail, la nouvelle succursale locale de son cabinet de détective privé marchait bien. Un joli coup !

Le pot aux roses ayant été découvert, l’abbé Michel chercha comment contrattaquer, mais ne trouvant rien, il préféra disparaitre de la circulation.

La plainte fut déposée conjointement par les familles des victimes comme cela avait été prévu. La gendarmerie se rendit au domicile de l’abbé Michel mais ne purent que constater sa disparition.

Il eut cependant l’imprudence de conserver son téléphone, il fut très vite géolocalisé à Chalons en Champagne dans un hôtel. Quand les gendarmes frappèrent à la porte de sa chambre, il ouvrit la fenêtre et sauta mortellement du 3ème étage.

Le journaliste de « L’Union » l’apprit, auprès de la gendarmerie. Il s’empressa de reporter la nouvelle au téléphone à Brigitte qui mit au courant les familles ayant portées plainte.

– Nous ne serons donc jamais remboursé ! Se désole Sylviane Forville.
– Ça risque en effet d’être assez compliqué!
– Peu importe après tout, l’essentiel est que cette affaire se soit terminée et je ne saurais trop vous remercier…
– Je vous en prie, je n’ai fait que mon métier.
– Merci quand même, du fond du cœur.

Sylviane raccrocha mais rappela dix minutes plus tard.

– Je viens de discuter avec mon époux, que diriez-vous de nous retrouver, je veux dire tous ceux qui ont contribué à résoudre cette affaire, chez nous autour du verre de l’amitié.
– Mais ce serait avec grand plaisir, proposez-nous une date…

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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