Dimanche 20 août 2023 7 20 /08 /Août /2023 16:02

Les joies de la famille par James01

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Je m’appelle Cédric. 23 ans. Je débute dans la vie professionnelle comme analyste financier et je vis toujours chez ma mère célibataire.

Ma grand-mère était fortunée, à sa mort l’héritage lui a permis d’acquérir une jolie propriété avec piscine et jacuzzi.

Parlons un peu de ma mère : 45 ans, légèrement enveloppé mais ça lui va fort bien, 1,75 m, cheveux longs et noirs, seins qui mettent l’eau à la bouche, un derrière très invitant.. Et une jolie chatte bien lisse.

Ce samedi de printemps, je m’habillais et je portais juste mon boxer et ma mère était dans sa chambre quand je l’ai entendue jurer. Sans réfléchir, j’ai couru la rejoindre voir ce qui se passait. J’ai juste ouvert la porte et il y avait maman, nue, les jambes écartées, le sang coulant le long de sa cuisse et un rasoir à la main.

– Maman, tu vas bien ?
– Je vais bien. Je me suis un peu coupé en me rasant les poils, comme tu peux le voir.

Je n’ai pas pu m’empêcher de remarquer la nudité de ma mère et ma bite a commencé à s’exciter et à se faire remarquer. Maman a dû me voir durcir, mais n’a pas fait de commentaire, je me suis excusé et je lui ai demandé à nouveau si elle allait bien, et m’ayant rassurée, je suis parti.

Je suis allé dans ma chambre avec ma bite à moitié dure et je me suis branlé avec la nudité de ma mère dans ma tête. J’ai ensuite fini de m’habiller et je suis descendu pour le petit déjeuner.

Maman était en bas dans la cuisine, vêtue de sa robe de chambre et en train de préparer le petit-déjeuner. Je lui ai redemandé si elle allait bien. Elle s’est excusée auprès de moi pour avoir fait du tapage et m’avoir fait peur.

Je lui ai dit que c’était bon tant qu’elle allait bien. Je me suis aussi excusé de l’avoir vue nue comme ça. Elle m’a regardé avec un sourire et m’a dit qu’il n’y avait aucun problème.

– Tu vas faire quoi aujourd’hui ? Me demande-t-elle
– J’ai rien prévu, je vais peut-être profiter de la piscine
– Je te rejoindrais peut-être.

Après le petit déjeuner, je suis monté à l’étage, j’ai enfilé mon maillot de bain et je suis descendu à la piscine. Je suis passé devant le bureau de maman et j’ai remarqué qu’elle portait encore son peignoir, ce qui m’a surpris puisqu’elle portait toujours des vêtements, comme là, en ces beaux jours, des shorts et un haut.

Le temps était déjà chaud pour la matinée et je me suis couché sur le bain de soleil pour faire un peu de bronzette..

– Cédric, je peux me joindre à toi ?

J’ai levé les yeux et je l’ai vue. Elle portait le plus petit bikini que j’aie jamais vu. Ses seins étaient pratiquement découverts, ses mamelons y pointaient et sa chatte était à peine couverte.

– Bien sûr maman, viens te joindre à moi.

Comme elle était couchée à côté de moi, je lui ai demandé pour le bikini. Elle a dit qu’elle venait d’acheter celui-ci et qu’elle voulait l’essayer quand il n’y avait personne. Elle m’a ensuite demandé s’il était trop petit. Je lui ai dit qu’il lui allait très bien et que je l’aimais bien sur elle et qu’elle pouvait le porter n’importe quand pour moi.

Pendant qu’on prenait le soleil, maman a dit qu’elle était désolée de m’avoir embarrassée quand je l’avais vue nue. Je lui ai dit que je ne regardais pas vraiment sauf que je voulais m’assurer qu’elle allait bien.

Nous avons pris le soleil et je n’arrêtais pas de penser à ma mère nue et à sa chatte en vue et ma bite devenait dure. Ma mère, que j’avais vue à poil tout à l’heure était maintenant à côté de moi, presque nue et je voulais lui faire l’amour.

– Maman, je peux te demander quelque chose ?
– Bien sûr Cédric !
– Je ne sais pas exactement comment le dire, mais envisagerais-tu de faire l’amour à un homme plus jeune ?
– Ben, oui pourquoi pas ?

Nous avons continué à nous détendre et j’ai demandé à maman si elle voulait aller se baigner. Elle a dit oui et nous sommes allés dans la piscine. J’ai dit à maman que j’espérais que son bikini n’allait pas se détacher et on a ri.

– Cédric, ça te dérangerait si mon bikini se détachait ?
– Si le tien se détache, le mien devra suivre. Répondis-je avec sourire.

Dès que j’eu fini de dire ça, ma mère a glissé de son haut et l’a jeté sur la terrasse. Ses mains sont ensuite passées sous l’eau et ses fesses sont montées sur le bord de la piscine. Ma mère était complètement nue maintenant. Je l’ai regardée, j’ai glissé mon short de bain et je l’ai posé à mon tour.

Ma bite était dure comme un roc et maman l’a remarqué.

– Cédric, tu as une belle bite, j’en ai l’eau à la bouche.

Je ne sus quoi répondre

Nous avons nagé pendant un moment jusqu’à l’heure du déjeuner, puis on est sortis et on s’est séchés. Maman a dit qu’elle allait en cuisine et qu’on pourrait manger au bord de la piscine.

Durant le repas, je devenais un peu plus audacieux et j’ai demandé à maman pourquoi elle s’était rasée en bas..

– Mon amant m’a dit qu’il n’aimait pas les poils dans sa bouche quand il me mangeait.
– Tu as un amant ?
– Non, mais c’est au cas où ?

Nous avons ensuite sauté dans la piscine. Cette fois, j’ai eu un peu plus d’audace et j’ai réussi à passer ma bite contre les jambes de ma mère, qui ne semblait pas s’y opposer. Mes mains ont même réussi à se frotter contre ses seins sans objection.

La journée à la piscine tirait à sa fin et ce fut la meilleure journée que j’aie jamais eue.

Quand nous sommes sortis de la piscine et que nous nous sommes asséchés, maman m’a demandé si j’aimais être nu et je lui ai dit que oui. Je l’ai embrassé et je suis monté.

Maman et moi sommes sortis dîner en ville et nous avons parlé de la journée et de nos conversations. Maman a dit qu’elle se sentait chanceuse de m’avoir comme fils et je lui ai répondu que je l’aimais et que je serais chanceux de trouver une femme comme elle.

Elle m’a demandé si quelque chose me gênait aujourd’hui. Je lui ai dit que la seule chose qui me gênait, c’était ma bite qui devenait dure devant elle. Elle a souri et a dit qu’elle aimait vraiment me voir dur et qu’elle se sentait sexy et désirable. Elle a aussi dit que ma bite dure ne la laissait pas indifférente

Je lui ai dit qu’elle était très sexy et que si elle n’était pas ma mère, je voudrais coucher avec elle. Elle a souri et nous avons tous les deux ri.

Nous avons fini de dîner et sommes rentrés. La journée a été fabuleuse et je m’en souviendrai toujours. A la maison, je suis immédiatement allé dans ma chambre, je me suis mis nu et je suis descendu. Maman m’a rejoint dans le salon. Elle s’était aussi déshabillée.

Après avoir bu un petit jus d’orange, nous sommes montés, j’ai pris une douche et je me suis endormi. Je ne sais pas quelle heure il était, mais j’ai cru entendre maman marcher dans le couloir. J’ai écouté mais je me suis rendormi. Pendant que je dormais, j’ai senti les couvertures bouger. Je me suis réveillé, mais j’étais groggy et j’ai vu ma mère à côté de moi dans mon lit.

– Maman, qu’est-ce que tu fais là ?
– Je pense qu’on est tous les deux prêts à passer à l’acte!.

Ma bite s’est endurci et appuyée contre sa jambe.

Puis, ma mère m’a embrassé sur les lèvres. Sa bouche s’est ouverte et ma langue a glissé dedans, rencontrant la sienne. Nos corps nus se serraient l’un contre l’autre. Je sentais ses mamelons se durcir et s’ériger. Ma bouche est descendue vers son téton et j’ai commencé à le sucer. Elle a poussé mon visage sur ses seins et m’a écrasé les mains sur le corps.

Maman a commencé à gémir et à se frotter la chatte de haut en bas sur ma jambe. Sa main a trouvé ma bite et a commencé à la secouer. Ma main est descendue vers sa chatte lisse et je pouvais sentir son humidité quand j’ai glissé mon doigt dans la chatte de ma mère. Maman a écarté les jambes et a guidé ma tête vers sa chatte et m’a dit de la manger.

Je n’ai pas perdu de temps pour mettre ma langue dans la chatte de ma mère. Pendant que je léchais ma mère, j’ai pensé à ce que maman m’a dit à propos de ne pas avoir de poils sur sa chatte, qu’il n’y aurait pas de poils dans ma bouche.

Le corps de maman était presque convulsif de plaisir. Elle était sur son dos. Finalement, elle m’a dit de la monter et de lui mettre ma bite. J’ai fait ce qu’elle m’a demandé et elle a guidé ma bite jusqu’à sa fente. Une fois que ma bite était dans la bonne position, j’ai l’ai lentement inséré en elle.

J’ai commencé à baiser ma mère, lentement au début, puis plus fort et plus vite. Elle était en rythme avec moi et son corps rebondissait pratiquement sur le lit à chaque poussée. Je lui ai dit que j’allais jouir
– Retiens toi encore un peu, je voudrais que tu m’encule !

James0823
Après quelques poussées, j’ai pénétré son anus tout brun et j’y ai giclé mon sperme .

Je ne sais pas combien de temps c’était avant que j’arrête de la baiser mais j’étais épuisé quand ma bite molle est sortie de son cul imbibé de mon sperme et du jus de son cul.

Maman m’a embrassé profondément et m’a dit qu’elle m’aimait et que je pouvais la baiser quand je voulais et aussi l’enculer. Elle a dit qu’elle m’en apprendrait plus sur la baise aussi et que je pouvais l’avoir quand je voulais.

On s’est endormis dans les bras l’un de l’autre, mon sperme suintait de son trou du cul.

Le lendemain matin, ma mère m’a réveillé en me suçant la bite. Ça n’a pas pris longtemps et je lui ai dit que j’étais prêt à jouir. Elle a commencé à sucer ma bite plus fort et puis j’ai lâché mon sperme dans sa bouche et elle a tout avalé et a continué à sucer jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien à aspirer.

Maman s’est ensuite approchée de moi et m’a embrassée avec mon sperme encore sur les lèvres.

Depuis ce jour-là, maman et moi avons dormi dans son lit. Elle m’a appris beaucoup de choses sur le sexe. Nous très souvent nus et elle était disponible pour moi quand je le voulais.

Elle m’a toujours dit qu’elle ferait tout ce que je voulais qu’elle fasse.

Un soir, alors que nous étions au lit, je lui ai dit que j’avais rencontré une fille que j’aimais bien et je lui ai demandé si je pouvais la lui présenter. Ma mère a dit qu’elle était d’accord.

J’ai demandé à ma petite amie, Solène, de venir samedi pour passer la journée. Solène avait 19 ans, 1m70, de longs cheveux blonds et un corps magnifique.

Samedi est arrivé et Solène est arrivée à l’heure. Je l’ai emmenée faire un tour de la maison et je me suis retrouvé près de la piscine. J’ai demandé à Solène si elle voulait faire trempette et elle m’a dit qu’elle aimerait bien car il faisait très chaud.

J’ai enlevé toutes mes fringues et je les ai mis sur une des chaises. Solène a suivi et enlevé tous ses vêtements et les a mis à côté des miens. Elle avait l’air très à l’aise d’être nue. Nous sommes allés dans la piscine et avons apprécié l’eau fraîche.

Maman est sortie et elle était nue. Solène et moi sommes sortis de la piscine et je l’ai présentée à ma mère. Nous nous sommes tous assis et avons discuté un peu.

Maman a demandé à Solène si la nudité la dérangeait

– Non, non, à la maison on est souvent à poil
– Mais parfois la nudité ça mène au sexe ! lui fit remarquer Maman !
– Oui, mais ce n’est pas un problème, j’ai déjà sucé la bite de mon père et lécher ma mère… J’espère que je en vous choque pas
– Non ce sont des choses bien plus courantes que ce qu’on croit, mais en principe les gens n’en parlent pas

Maman m’a regardé et a expliqué à Solène que fréquemment, elle et moi faisions l’amour.

Maman s’est levée, s’est approché de Solène et lui a donné un gros baiser sur les lèvres. Solène, se levant de la chaise, embrassa maman et la tira vers elle, les seins serrés l’un contre l’autre. En un rien de temps, les deux femmes se frottaient la chatte par terre. Je n’ai jamais rien vu de tel ; ma mère et ma petite amie se goupinaient. Elles n’ont pas mis longtemps à atteindre leurs orgasmes.

Quand elles eurent fini, maman a invité Solène dans sa chambre et m’a demandé de les rejoindre. Je n’ai pas attendu une seconde et j’ai suivi mes deux beautés nues en haut.

Maman a demandé à Solène de s’asseoir et de nous regarder baiser. Maman n’a pas perdu de temps à me faire mettre ma bite dans sa chatte. J’ai fait un spectacle pour Solène et j’ai baisé ma mère très fort et quand j’allais jouir, j’ai sorti ma bite et j’ai juté sur les seins de ma mère. Solène est venue lécher mon sperme sur la poitrine de ma mère.

Solène nous a rejoints sur le lit et on a baisé le reste de la journée. Solène a appelé chez elle et a dit à sa mère qu’elle rentrerait un peu plus tard que prévu…

Pendant les deux mois qui ont suivi, nous avons tous passé un bon moment.. Solène a emménagé chez ma mère. Le soir et le weekend , j’avais les deux femmes les plus sexy qui m’attendaient.

Je savais que ma mère était une chaudasse maintenant, une MILF comme on dit maintenant, et pourtant, ce n’était pas tout..

Ma petite amie aussi était chaude comme la braise. Une vraie petite salope en chaleur toute la journée. Je l’ai découvert, et j’en ai profité quelque peu dans les mois qui ont suivi…

Un jour, alors que je suis rentré à l’improviste.

J’entends du bruit dans la chambre de ma mère, je me dis qu’elle est en train de se caresser avec un sex-toy comme elle aime tant, peut-être même en pensant à moi, va savoir. Eh bien, pas du tout, pas tout à fait. Ma salope de mère chaudasse était bien dans son lit mais accompagné de Théo, un de mes meilleurs amis.

Mon meilleur ami était en train de se taper ma mère, dans son lit, en plein après-midi. Je peux vous assurer que je les ai laissé tranquilles. Je suis allé jusque ma chambre, et là, Solène était en train de se faire lécher la chatte par Zoé, la petite amie de Théo.

Donc tout le monde baise là-dedans.

Ne sachant que faire je retourne vers la chambre de ma mère et reste sur le pas de la porte les regarder baiser.

Un moment ils font comme une pause, en fait ma mère prend en bouche la bite de Théo, une très jolie bite, et là elle me voit…

– Ne reste pas planté là, viens nous rejoindre.

Je pensais alors à une sorte de plan à trois avec double pénétration, mais ce ne fut pas tout à fait ça… toujours est-il que je me déshabille et que je les rejoins..

– Il a une jolie bite ton copain ! Me dit ma mère
– Oui, oui !
– Suce là !
– Mais enfin Maman !
– Juste un peu, ça me ferait plaisir de voir ça !

Je ne protestais que par principe, en fait j’en avais envie et j’ai mis en bouche cette jolie bite et j’ai commencé à la sucer bien comme il faut.

– Ça te dirait une pine au cul ! Me propose-t-il au bout d’un petit moment !
– Vas-y doucement alors !
– Théo est très doux me précise ma mère

Et c’est ainsi qu’un jour de juin, je me suis fait enculé par mon meilleur pote sous les yeux de maman chérie !

Fin

La trame d’origine a été emprunté à Iris, le texte était intéressant par son contenu mais maladroit dans sa rédaction. J’espère que l’auteur ne m’en voudra pas pour cet emprunt

Par vassilia-x-stories - Publié dans : James
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Dimanche 30 juillet 2023 7 30 /07 /Juil /2023 10:01

Un matin de printemps par James01

Anna

C’était un matin de printemps,
Un samedi, j’avais tout mon temps
J’avais besoin d’une aspirine
Et rien ne me couvrait la pine
Dans la salle de bain ma mère était nue
Mais, moi, ballot, je ne l’avais point vue.
– Mais tu bande joliment, garnement !
– J’ignore pourquoi, ma chère Maman.
– Tu ne peux rester ainsi, tu vas rester bloqué,
– Pour te soulager, Il me faut te la sucer !
Elle avait la langue agile et douce
Et me comblait de sa divine bouche
Ma bandaison point ne faiblissait
Les valseuses elle me tripotait
– Je vais me tourner du côté pile,
– Car je veux que par le cul tu m’enfiles !
Et s’est ainsi qu’un matin de printemps
J’ai subrepticement enculé maman !

James poeme

Par vassilia-x-stories - Publié dans : James
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Samedi 29 juillet 2023 6 29 /07 /Juil /2023 08:41

Maman salope par James01
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1 – lavement

Après mon divorce, je suis retourné chez ma mère, nos rapports avaient changés et nous partagions tous les plaisirs les plus fous et les plus hard. On avait souvent les mêmes envies, les mêmes goûts pour le cul, elle était très salope, très chienne et sa presque soixantaine lui disait qu’il ne fallait plus perdre de temps. Moi j’étais comblé par tous ses désirs. Quel plaisir de se faire sucer par sa mère et de jouir dans sa bouche, quelle sensation !

Un jour où nous étions tous les deux, elle m’annonça avoir une surprise à me montrer. Elle est sortie de la pièce et est revenue avec un colis qu’elle ouvrit devant moi. En fait, c’était tout l’attirail complet pour un lavement, avec le broc, le tuyau, la canule, enfin tout, et elle me demanda de la suivre. On est rentré dans une pièce de son appartement qui lui servait de débarras, et là était installée une table de génécologie, avec ses étriers et en plus réglable en hauteur.

– C’est génial Maman, tu vas pouvoir m’ausculter comme une femme ! M’enthousiasmais-je

Nous n’avons pas perdu de temps, je me suis mis nu, je suis monté sur la table, Ma mère a positionné mes jambes dans les étriers, a descendu un peu la table…

– Je vais commencer à te faire un lavement avec mon pipi ! M’indiqua-t-elle

Elle me mit de l’huile sur la pastille, pris le broc au-dessous d’elle, s’accroupit et se mit à pisser une très grande quantité. Elle vint derrière moi, et doucement entra la canule, très longue, dans mon cul, accrocha le broc plus haut, et ouvrit le petit robinet. J’ai immédiatement senti le bonheur m’envahir, je sentais son pipi chaud envahir mon corps, j’étais aux anges, quel délice de se faire remplir le cul comme ça. Je bandais très fort et ma mère était aussi très excitée à la fois de me voir dans cette position devant elle et de savoir que je gobais son urine par mon cul.

– Mon salaud tu vas tout prendre et j’espère que tu vas le garder un peu avant de l’éjecter sur moi

Elle me suçait en même temps et triturait mes couilles durcies. Maman a toujours été une bonne suceuse ! Elle enleva doucement la canule et me lécha copieusement le cul d’où de temps à autres le liquide chaud sortait.

– Hum, c’est bon de te lécher le cul et de boire mon pipi en même temps, reste comme ça, je vais t’enculer avec le gode ceinture !

Elle se le fixa, régla encore la table, mis de l’huile dans mon cul et sur sa bite en plastique et me pointa. Quand elle rentra le bout une grosse giclée est sortie de mon cul, elle a enfoncé son engin en moi et me ramonait…

– Cédric, j’adore, tu mouilles du cul, c’est trop bon, laisse-toi faire, ouiiii, continue de couler c’est encore très chaud, c’est booon.

Elle m’a enculé divinement durant au moins 10 mn, puis s’est retirée…

– Vite, approche une bassine, je peux plus me retenir ! Lui indiquais-je.
– Non pas question, suis-moi !

Je suis descendu en lâchant encore quelques giclées et en serrant les fesses, et nous sommes allés dans la salle de bain. Elle s’est allongée dans la baignoire, la tête bien au fond, je me suis mis à cheval sur les rebords au-dessus de sa tête…

– Lâche toi mon chéri, donne-moi tout ce que je t’ai foutu dans le cul !

C’est parti d’un coup en plein sur son visage, et je peux vous dire que j’étais pas avare de son liquide, le tout mélangé à du caca. Elle a avalé un peu de ce mélange et en était couverte, ses cheveux, son visage, ses seins, son ventre. Elle s’est assise dans la baignoire…

– Tu ne m’as pas loupé, mais c’est si bon de te voir au-dessus de moi en train de faire sortir tout ça de ton cul sur moi, embrasse-moi, viens gouter ma bouche, regarde ma langue en est pleine.

Je l’ai embrassé avec ma langue et j’ai pu apprécier le goût de son pipi mélangé à un peu de mon caca. Un délice !

– Maman, tu me rends fou de plaisir, tu as toujours des idées géniales qui me font bander comme un fou, je t’aime, je t’adore, j’en veux plus encore.

Nous nous sommes lavés et elle s’installa à son tour sur la table de généco. Je lui bouffais la chatte et le cul tout écarté. Je bandais, mon pieu était dur comme de l’acier, je suis entré dans sa grotte chaude en faisant couler de l’huile sur son clito et toute sa chatte et en lui demandant de se branler.

– Ho mon chérie, je peux plus me retenir, je vais faire caca, hoooo ouiiii regarde-moi chier, ouiiiii … Me dit-elle en se branlant et en gémissant de plaisir.

Je me suis retiré et je l’ai regardé faire un gros étron énorme qui s’est posé sur la table. Je l’ai pris dans ma main, l’ai léché un peu et l’ai posé délicatement entre ses seins, en lui disant

– Regarde-le pendant que je te baise, sent-le, ouii !

Je suis rentré à nouveau dans sa motte trempée et tous les deux regardions ce cadeau que j’avais déposé sur sa belle poitrine. Elle mouillait comme une chienne en chaleur et j’ai fini par lui lâcher ma semence au fond de sa chatte baveuse alors qu’en même temps, elle se faisait jouir en se branlant.

2 – Au bois

Ce jour-là maman a voulu que nous sortions habillés tous les deux en fille. C’est ma mère qui m’a habillé avec des bas, porte jarretelle soutien-gorge avec du coton dedans, pas de culotte et une robe courte, puis elle m’a maquillé et ajusté ma perruque. De son côté, elle a aussi mis des bas, porte-jarretelle et rien d’autre qu’une super mini-jupe. Nous sommes sortis comme cela, nous nous sommes baladés en ville afin qu’on nous regarde et que les personnes intéressées puissent mater nos cuisses avec nos mini au raz du minou pour ma mère et de ma bite pour moi, mais comme je bandais en permanence, ça se voyait aussi.

Nous connaissions un petit bois tranquille à la sortie de Reims et nous y sommes allés. Une fois garé, nous nous sommes roulé une pelle dans la voiture et on a vu qu’il y avait du monde qui se rapprochait. Quelques minutes plus tard il y avait deux mecs, l’un à droite et l’autre à gauche qui se branlaient devant la vitre. On a baissé les glaces, et celui qui était de mon côté à de suite vu que j’avais une bite…

– Suce moi salope, tu m’excites avec ta tenue et ta bite raide, suce-moi, je te sucerai après.Me dit-il

J’ai ouvert la porte, je me suis largement écarté les jambes pour qu’il voit bien ma queue raide et j’ai commencé à le pomper, je lui ai baissé son pantalon et son slip pour bien lui malaxer les couilles, et il aimait ça ce gros salaud ! De son côté ma mère avait aussi ouvert la porte et suçait l’autre gars.

– Sortez de la bagnole et venez devant sur le capot ! A proposé l’un des tyoes

On s’est exécutées toutes les deux. Ils nous ont fait allonger sur le ventre sur le capot, les jambes bien écartées, j’ai senti la langue du gars dans mon cul, mes couilles et ma bite, puis il s’est relevé et j’ai senti son pieu dans mon cul. Il m’écartait les fesses, j’ai senti sa bite entrer en moi

– Ho ouiii vas y met la-moi ta grosse bite, enfourche moi ouiii encore viens au fond haaaaa c’est bon !

James01 623
Ma mère de son côté se faisait un coup baiser, un coup enculer.

– Ouiiii c’est bon un coup dans la chatte, un coup dans le cul ! Ooh c’est top bon.

Ils nous ont limé longtemps avant de jouir comme des fous. Ils sont partis sans un mot. Ma mère et moi avons mis quelques minutes à récupérer et si quelqu’un était passé à ce moment-là, il aurait vu deux femelles en chaleur le cul à l’air, car ce soir-là je me suis pris pour une bonne femelle bien en chaleur. C’est bien joli tout ça mais nous deux on avait joui à moitié, surtout moi. On allait repartir quand on a aperçu un couple qui passait devant la voiture. La femme presque nue avec juste une nuisette transparente et ouverte devant et le mec avec un tablier de ménagère devant et nu dessous. Quand on les a vu j’ai allumé la lumière intérieure pour attirer leur regard. Ils nous ont vu et se sont approché de nous. Ma mère et moi sommes sorti de la voiture, ils se sont rapprochés…

– Hum, toi on dirait ben que tu as une bite entre les jambes ! Me dit la femme

Elle était contre moi, pas mal comme femme qui devait avoir 55 / 60 ans, avec de beaux nichons. Elle passa sa main sous ma robe et sentit ma bite qui durcissait. Elle m’a embrassé et me dit :

– Je veux que tu me baises dans cette tenue, vient dans l’herbe !

Je la suivis, me suis allongé par terre, et elle s’est mise à cheval sur moi, sa chatte était brulante comme tout son corps. Je caressais ses seins avec mes mains et ma langue tout en introduisant ma bite dans sa motte trempée. A présent je tenais son cul à pleines mains et lui fourrant le petit avec mes doigts.

– Ouiii c’est bon, baise-moi salope de travesti vient rentre ta bite au fond, ouiii vient, bourre-moi fait moi gicler de plaisir, vient, vient encore ouiiii !

Elle hurlait sa jouissance et moi je trouvais sa chatte plus qu’accueillante et douce. J’avais perdu de vue ma mère qui en fait était dans la même position sur le mec et elle aussi prenait son pied à l’entendre. On a joui tous les quatre sur l’herbe et ils sont partis comme ils étaient arrivés, discrètement.

– On fait quoi maintenant ? Demandais-je à Maman
– Si on allait manger une glace ?
– Bonne idée !

fin de l’épisode

Par vassilia-x-stories - Publié dans : James
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Vendredi 21 juillet 2023 5 21 /07 /Juil /2023 08:23

Daisy par Alexandre_2

 

avion fa

…Aujourd’hui, je vous envoie une histoire de mon cru, déjà publiée sur
le site Revebebe sous le titre « Mme Besson » et mon pseudo Alexandre.
A le demande d’une amatrice du Nord de la France, Daisy, que j’ai connue par
votre intermédiaire, j’ai adapté cette histoire et illustré de ses propres
photos, avec son accord…. Alexandre

Depuis le début de juin, les nuages boudent notre beau pays, peut être au
profit d’un autre, un peu plus septentrional !
Un magnifique soleil darde donc ses chauds rayons sur l’ensemble de la
France et la canicule s’installe doucement, mais sûrement, avec quelques
semaines d’avance.

Je m’appelle Jean-Marc et je travaille dans l’aéronautique, dans le Nord de
la France. Mon travail est très intéressant, mais il m’oblige, un peu trop à
mon goût, à rester enfermé devant un ordinateur, de longues heures, dans un
bureau qui attend toujours son climatiseur !
Je suis justement en train de baigner dans une douce moiteur lorsque le
téléphone sonne :

– » Allo, oui, c’est moi (c’est ma femme), tu rentres à quelle heure ?
 »

Un étranger mal informé pourrait penser que je lui manque (à ma femme,
pas à l’étranger)
 et qu’elle a hâte de me voir revenir à la maison après
cette rude journée de labeur. En fait, il n’en est rien, elle a certainement
un petit service à me demander…
– » Je ne sais pas…, pourquoi ?  »
– » J’emmène Elodie (c’est notre fille) chez Daisy, est-ce que tu
pourras la prendre en rentrant, si ce n’est pas trop tard ?  »

Daisy01Daisy est la dentiste et l’amie de la famille. Elle a connu
les dents de lait des enfants et connaît presque tout de nos problèmes
buccaux. C’est une belle femme, pas très grande, dotée d’une belle poitrine,
un visage ouvert et sympathique éclairé par de beaux yeux bleus coquins.

– » Compte tenu de la température qui règne dans mon bureau et du boulot
qu’il me reste, je pense que je ne vais pas tarder à faire riper les
galoches (c’est une expression que j’aime bien, qui veut dire, pour ceux
qui par hasard n’auraient pas saisi,  » je ne vais pas tarder à partir »)
« 

– » Ça ne te dérange pas de la récupérer alors ?  »

– » Bien sur que non, et en plus il faut que je prenne un rendez vous pour
moi. Il y a une longtemps que je ne suis pas allé voir cette chère Daisy  »

 » Cette chère Daisy  » n’est pas une expression ironique. Il est loin le
temps où j’avais la terreur des dentistes. Avec l’age, (la cinquantaine bien
entamée, je ne suis donc pas un perdreau de l’année) cette peur panique
s’est quelque peu estompée. Je pense que c’est plus en raison de
l’amélioration des techniques qu’à une sagesse qui me serait tombée
soudainement dessus. Cependant, il me reste comme un certain respect
craintif vis-à-vis de cette corporation médicale qui passe sa vie au bord
des bouches grandes ouvertes. Il en faut du courage et de l’abnégation…

– » Très bien (c’est toujours ma femme qui parle). Je l’emmène vers
16h30, ce serait bien que tu passes vers 17h.  »
– » Pas de problème, j’y serais  »
– » Merci, cela m’arrange bien car j’ai encore un tas de choses à faire, à
tout à l’heure, bisous  »

Clic

J’adore ma femme. Elle ne travaille pas officiellement mais en fait elle
est encore plus occupée que moi. Entre les associations et ses diverses
activités, je peux dire, sans mentir, qu’elle travaille plus que moi.

Pendant que je vous explique tout ça, le temps passe…

My god ! (Souvenir de mes études d’anglais) Il est déjà 16h50. Il ne
faut pas que je traîne. On est à la campagne mais il arrive parfois que cela
bouchonne un peu à l’entrée du village (un bouchon à faire éclater de
rire les parisiens)

De plus, en cette saison, les tracteurs chargés de foin qui roulent à 20
km/h sont fréquents.

Mes appréhensions n’étaient pas fondées et me voilà, presque à l’heure,
devant le cabinet dentaire.
Elodie m’attend sagement dans la salle d’attente :
– » Bonjour Papa, je suis prête, on peu y aller…  »
– » Attends une minute, il faut que je prenne un rendez-vous pour moi, je
n’en ai pas pour longtemps  »
– » OK, donne moi tes clés, je t’attends dans la voiture  »

Au moment où j’allais m’adresser à la secrétaire, la porte du cabinet
s’ouvre et Daisy apparaît pour faire entrer le patient, plus exactement la
patiente suivante. Elle me voit et sourit.

– » Tiens… Jean Marc, il y a une éternité que je ne t’ai pas vu, étais-tu
fâché ?  »
– » Pas du tout, d’ailleurs je profitais de la consultation d’Elodie pour
prendre un rendez vous pour moi  »
– » Très bien, dans ce cas, à bientôt…  »

Et elle disparaît, non sans avoir au préalable, fait entrer dans son
repaire, une grosse dame qui visiblement souffrait autant de la chaleur que
de ses dents !

J’obtiens un rendez vous pour le surlendemain à 18h.

En reprenant ma voiture, dans laquelle Elodie patiente en écoutant Fun Radio
plein pot, je pense à Daisy. Mais qu’a-t-elle donc de changé ? Je la trouve
différente. Peut être est-ce dû au fait que je ne l’ai pas vu depuis…depuis
combien de temps, je ne sais plus ! …


-« … Depuis deux ans ! (C’est Daisy qui parle). Tu n’es pas très
fidèle. Ce n’est pas raisonnable ! Il va peut être falloir venir me voir à
plusieurs reprises dans les jours qui viennent  »

Je suis effectivement un mauvais exemple. Moi qui pousse mes enfants à
consulter au moins deux fois par an, je ne suis pas pardonnable.

– » Deux ans ! Tu es sûre ?  »
– » Absolument. Je ne suis pas douée en informatique mais mes archives sont
formelles, ta dernière visite remonte à octobre 2001. Il faisait moins chaud
qu’aujourd’hui !
– » C’est vrai, je m’en souviens c’était pour un détartrage et un bilan  »
– » Eh bien nous allons recommencer, en espérant que ce ne sera pas plus
important, installe toi  »

Pendant que je prends place sur son fauteuil horizontal, je la regarde à la
dérobée, et je repense à la réflexion que je me suis faite deux jours plus
tôt, en me demandant ce qui avait bien pût changer en elle. Peut être la
coiffure ? Non, elle a toujours les cheveux courts, châtains, avec quelques
mèches plus claires.
Il émane de sa personne une fraîcheur, une sensualité qui m’a toujours plu.
Ses yeux sont brillants et le sourire enjôleur comme d’habitude. Peut être
est-elle amoureuse et y a-t-il du nouveau dans sa vie affective ?
J’ai toujours entretenu avec elle des rapports distants, sans toutefois
m’interdire à l’occasion une petite plaisanterie, tout en restant, bien sûr,
très correct.
Le fait de la voir ainsi, souriante, m’incite à lui faire un petit
compliment.

– » En tout cas, tu es toujours aussi attirante !  »

Daisy02– » Tu es gentil !  »
Elle rosit un peu, ajuste son masque et se concentre sur son travail…

– » Ouvre la bouche…  »

Le masque blanc souligne son regard et met en valeur ses beaux yeux bleus
Je ne sais pas si c’est l’intensité de mon regard mais le sien quitte un
instant ma bouche pour me fixer l’espace de quelques secondes.
Son regard est interrogateur. Je sent comme une complicité, mais je me
trompe peut être…
Ma bouche grande ouverte ne me facilite pas la tâche pour ajouter quoi que
ce soit. Je me décontracte un peu, elle le sent et je vois ses yeux
esquisser un beau sourire qui n’a rien de professionnel.

Comme souvent la conversation s’oriente vers le temps qu’il fait.

– » Toi qui est bien renseigné, est ce que cela va durer longtemps cette
chaleur ?  »
– » Ontontpon….  »
C’est dur de parler avec les doigts de quelqu’un d’autre dans la bouche.
Elle suspend son travail le temps de la réponse :
– » J’en ai peur ! Pourquoi tu ne supportes pas ?  »
– » Difficilement, mon climatiseur commence à se faire vieux et je suis tout
de même bien obligée de rester correctement habillée pour recevoir mes
patients.  »
– » Dommage…ce serait pour moi une bonne raison pour venir te voir plus
souvent !  »

Celle-là est sortie sans réfléchir et soudain j’ai un peu peur de sa
réaction. Elle sourit.

– » Cela ne te plairait peut-être pas…  »
– » C’est à moi de juger…  »
– » Bon, hum, restons sérieux, je voudrais commencer. Ouvre la bouche !  »

J’aime bien la façon qu’elle a de dire  » Ouvre la bouche !  » comme elle
dirait  » Déshabille toi !  »

– » Tu as besoin d’un petit détartrage, mais à part cela tout va bien, je
vois que tu suis mes conseils de brossage  »

Tout à ma réflexion je lâche :
– » Daisy, tes conseils sont pour moi des ordres  »

Elle ne relève pas cette nouvelle tirade si ce n’est par un demi-sourire que
je devine sous le masque.

– » Nous allons donc commencer ce petit détartrage…  »

Pour se saisir d’un instrument, elle se penche vers moi et l’espace d’un
instant, trop court à mon goût, je sent contre mon bras le poids de son
volumineux sein gauche qui malgré tout, s’attarde un peu plus qu’il n’est
nécessaire. Serait-ce volontaire ?
Ce contact est on ne peut plus ferme !
Elle commence l’opération et je ne peux plus rien dire pendant plusieurs
minutes.
Elle est très habile et je ne sens rien malgré la petite appréhension qui me
revient. Elle se rend compte de ma crispation et fait une petite pose que je
mets à profit pour me rincer la bouche.

– » Il faut te détendre Jean-Marc, je ne vais pas te faire de mal  »
– » Je le sais bien mais je suis un peu stressé.  »
– » Comment ça, c’est moi qui te stresse ? Depuis le temps que l’on se
connaît …  »
– » Justement, c’est ce que je suis en train de découvrir, je pensais te
connaître mais en fait je ne t’avais jamais très bien regardée !  »
– » Ah bon, cela n’est pas vraiment un compliment !  »
– » En réalité, c’est ta tenue de travail qui m’intimide et cache l’essentiel
!  »
– » Tu exagères, il n’y a dessous qu’une femme comme les autres…  »
– » Que tu dis… Moi je te trouve bien différente et ne demande qu’à partir à
la découverte…  »
– » On recommence à s’égarer…! Moi aussi je pensais te connaître et je te
découvre sous un jour que j’ignorais. Tu me sembles être un petit coquin…  »
– » Je t’ai choquée ?  »
– » Pas le moins du monde, étonnée, pas plus  »

Elle termine cette première séance et nous prenons rendez-vous pour le
vendredi suivant.

Ce jour là, je suis le dernier patient et la secrétaire a terminé son
service, c’est donc Daisy elle-même, qui m’accueille.
– » Bonjour, Jean-Marc, comment vas-tu depuis notre dernière rencontre ?  »
– » Très bien malgré la canicule, et toi ?  »
– » Cela ne s’arrange pas. Le climatiseur a rendu l’âme et le réparateur ne
peut pas venir avant la semaine prochaine.  »

Effectivement, il fait une douce chaleur dans son cabinet et je constate
qu’elle a le visage constellé de très fines gouttes de sueur, ce qui n’ôte
rien à son charme qui m’apparaît de plus en plus évident.

Daisy03Je constate également que son chemisier blanc, d’ordinaire
boutonné très haut, ne l’est plus sur les trois derniers, au niveau de sa
plantureuse poitrine.
Comme elle suit mon regard elle ajoute :
– » Excuse-moi, j’ai été obligée de me mettre à l’aise. Mais comme tu me l’as
avoué la dernière fois, il semble que cela ne te gêne pas…  »
– » Non, au contraire !  »

Le petit jeu des sous-entendus et regards semble lui convenir mais je décide
de ne pas trop en rajouter et me contente de cette seule remarque.

– » Installe-toi, nous allons reprendre là où nous en étions la dernière
fois. Cette fois je voudrais que tu sois complètement détendu.  »

Je ne peux pas résister à ce genre d’allusion aussi, dis-je sans trop y
réfléchir :
– » Je connais une bonne méthode pour détendre un homme…  »
– » Moi aussi, mais ce n’est pas remboursé par la Sécurité Sociale !  »

Elle vient de marquer un point et semble satisfaite de sa répartie.

Pendant que je m’allonge elle cherche quelque chose dans le tiroir d’un
meuble bas.
Ce qui fait bailler largement le chemisier qui n’en demandait pas tant.
Pour le coup, c’est moi qui suit bouche bée !
Effectivement, Daisy s’est mise à l’aise ! Elle ne porte strictement rien
sous son chemisier immaculé.
Du coup j’adore la canicule.
La recherche dure un peu et, pétrifié, je ne peux détacher mon regard de
deux seins magnifiques qui sont lourds et de bonne tenue. Mes pensées
partent à l’aventure et je sens une partie de moi-même devenir un peu à
l’étroit dans son emballage.

Tout en restant penchée, Daisy me demande :
– » Est-ce que cela te détend ?  »
– » Pardon ?  »
Perdu dans mes pensées et tout à mon observation j’ai cru avoir mal compris.
– » Est-ce que cela te détend ? Je parle de ce que tu es en train de regarder
avec insistance »
Surpris comme un petit garçon fautif je ne réussis qu’à bredouiller :
– » Euh…je ne sais pas, enfin…pas vraiment  »
– » Moi j’ai l’impression que cela te fait l’effet inverse  »
Placé comme je le suis, je ne peux effectivement pas cacher que ce spectacle
a beaucoup d’effet sur moi.
Après avoir trouvé ce qu’elle cherchait, elle se redresse, me regarde en
souriant et dit :
– » Allons-y, ouvre la bouche.  »
Elle y colle l’aspirateur à salive qui empêche dorénavant toute
conversation.
J’ai l’impression que c’est elle, désormais, qui mène les opérations et
après tout ce n’est pas pour me déplaire.
Pendant qu’elle s’active dans ma cavité buccale son regard fait
l’aller-retour entre mes dents et mes yeux et je sens bien qu’elle jubile.
Elle repasse à l’offensive :
– » Je ne sais pas si je te détends mais ce qui est sûr, c’est que je te fais
saliver !  »
Nouveau point, d’autant plus que je ne peux pas répliquer. Elle enlève
l’aspirateur de mes lèvres et demande soudain :

– » Il fait de plus en plus chaud…Est-ce que je peux te demander une faveur ?
 »
– » Euh…oui  »
– » Compte tenu que je n’ai plus rien à cacher à ce niveau est ce que cela te
gêne si j’ôte mon chemisier ?  »
– » Euh….euh…je ne….  »
– » Faut-il prendre cette réponse pour une approbation ?  »
– » Euh…  »
Je me filerais des claques si j’osais !
Avant d’obtenir une réponse claire, elle déboutonne son chemisier, l’enlève
et le pose délicatement sur le dossier de son siège.
– » Après tout, c’est bientôt les vacances, tu en verra tout autant sur les
plages. »
– » Je ne fais pas de naturisme, mais je suis très souvent seins nus sur la
plage. Je suis d’accord, nous ne sommes pas vraiment sur la plage, mais nous
sommes entre adultes raisonnables, et je sais que je peux avoir confiance en
toi et ta discrétion »
– » Tu as peut-être tort…  »
– » A quelle niveau ? La confiance ou la discrétion ?  »
– » La confiance. Peut-être vais-je te sauter dessus !  »
– » Je suis de taille à me défendre s’il le fallait ! Ouvre la bouche ! »
De nouveau l’aspirateur empêche tout échange.
– » Tourne la tête vers moi  »
Là elle pousse le bouchon un peu loin ! J’ai sous les yeux, à quelques
centimètres, ses seins qui sont effectivement très beaux, avec de très
larges aréoles brunes qui contrastent avec leur blancheur laiteuse. Les
pointes de ses tétons sont dressées, longues, exactement comme je les aime.
A mon avis, c’est intentionnel, elle veut tester ma résistance.
Pour l’instant je me gave de la vue de ces deux globes, mais mon dieu que
j’aimerai les toucher !
Je suis de plus en plus à l’étroit !

– » Comment les trouves tu ?  »
– » Hein ?  »
– » Je te demande ce que tu penses de mes seins ?  »
– » Et bien je les trouve à mon goût  »
– » Comment peux tu dire ça alors que tu n’y a pas encore pas goûté ? »

Daisy04Très subtile, décidément, elle teste et provoque.

– » Je ne me permettrait pas de tels égarements…  »
– » Tu as tort !  »

Dernière aspiration buccale, rinçage, crachage.
– » Voilà, j’en ai terminé pour aujourd’hui  »

Avant que je n’ai pus dire un mot elle réajuste son chemisier et s’assoit à
son bureau pour chercher dans son agenda une date pour les prochains soins.

– » On se revoit jeudi soir en dernière heure ?  »

Je bredouille un petit :
– » D’accord, même endroit, même heure…  »
– » Sans oublier : même tenue  » Elle a un large sourire et me serre la main.

Avant de me laisser franchir la porte, elle se penche à mon oreille et me
glisse :
– » Pas trop dur, tu vas pouvoir marcher jusqu’à ta voiture ?  »

J’ai un sourire crispé.
Je me traite de tous les noms en regagnant ma voiture, j’ai été en dessous
de tout. Elle a mené le jeu, je n’ai pris aucune initiative et je l’ai sans
doute déçue. Elle va penser qu’elle ne me plait pas alors que je ne vais pas
arrêter de penser à elle et à sa magnifique poitrine jusqu’à notre prochaine
rencontre.

Les jours sont longs jusqu’au jeudi et ce jeudi encore plus !

– » Bonjour Jean-Marc. Entre.  »

Elle est resplendissante et arbore un magnifique sourire carnassier, une
vraie publicité pour dentifrice.
Il fait presque aussi chaud que la dernière fois dans le cabinet, mais
est-ce pour me déplaire ?

– » Les réparateurs de la clime sont venus mais ce n’est encore pas
extraordinaire ! Il va falloir encore travailler en petite tenue  »
– » Faites comme chez toi  »
– » J’avais hâte que ce rendez vous arrive ! C’est la canicule, c’est
entendu, mais il est totalement hors de question que je me mette à l’aise
avec madame Michu ou monsieur Martin, que je voudrai bien garder comme
clients. En vérité il faut, que je te fasse une petite confidence, installe
toi.  »

Je m’allonge sur le fauteuil et avant que j’ai pu placer un mot, elle
reprend :
– » J’avais depuis très longtemps une envie, en réalité c’est ce que l’on peu
appeler un fantasme. Je suis une exhibitionniste née. Tu connais notre
ville, il est hors de question que je me ballade en tenue légère dans les
rues, d’autant plus que tout le monde me connaît. Avec toi, j’ai senti comme
une ouverture.
Détend toi !  »

Sur ce en deux temps, trois mouvements, elle se débarrasse du chemisier, de
sa courte jupe et apparaît vêtue uniquement d’un tout mignon slip en
dentelle, genre string qui ne cache pas grand-chose ni devant ni derrière.

– » Alors, qu’en penses tu ?  »

Un peu plus sur de moi que lors du dernier show, je lance :
– » Je te promet de venir te voir plus souvent pour les soins…  »
Elle sourit et pour me remercier de cette promesse elle enlève ce petit bout
de tissu qui ne cache en vérité pas grand-chose.
Daisy ne succombe pas à cette mode idiote qui consiste à épiler et raser ce
que la nature nous donne. J’aime bien la pilosité et visiblement elle non
plus n’a rien contre.

– » Bien, reprenons, ouvre la bouche !  »

De sentir cette belle femme près de moi dans le plus simple appareil me fait
bander comme jamais et je suis en train de tremper copieusement mon slip !
Il va falloir remédier à cela !

Profitant d’une pose je lui avoue que je suis dans tous mes états et que
j’aimerai me mettre un peu à l’aise.

– » Je n’osais pas te le proposer  »

Je me lève, enlève ma chemise, mon pantalon, mon slip et me rallonge sur le
fauteuil affublé de mes seules chaussettes blanches.

– » Effectivement tu devais être à l’étroit dit elle en jetant un œil vers
mon sexe tendu. Et en plus il pleure ! Je vais le consoler…  »

Délaissant ses soins buccaux habituels, elle entreprend un nettoyage buccal
complet de mon petit service.
Daisy n’est pas plus débutante en fellation qu’en détartrage !

Daisy05Le fauteuil de dentiste, c’est super à ce point de vue. Il
permet de mettre le patient à la bonne hauteur et facilite le travail du
praticien.

Comme je ne suis pas égoïste, j’entreprends une aspiration systématique et
alternée des tétons turgescents de Daisy qui manifeste sa satisfaction par
de petits cris, en partie étouffés par mon sexe qu’elle tète à présent sans
aucune retenue.

La position allongée m’étant fort confortable et je me rend soudain compte
que ma main droite est disponible. La gauche s’occupant des mamelles de ma
belle soignante.
Aussi, glisse-je ma main droite, doucement derrière la jambe gauche de ma
belle suceuse et remonte lentement vers l’intérieur. Sentant cette
investigation, elle facilite ma tâche en écartant légèrement les cuisses.
Parvenu à destination, je constate qu’elle est trempée et bouillonnante à
souhait. Mes doigts investigateurs provoquent un clapotis obscène et
arrachent à ma tortionnaire un soupir à fendre l’âme.

Daisy est consentante !

Evidemment le traitement qu’elle me fait subir porte ses fruits et je me
surprends à expédier plusieurs violentes giclées dans sa bouche.
Voilà un dentifrice qui n’est pas prescrit par la Faculté !

– » Jean-Marc, tu es un petit égoïste !  »

Elle s’est redressé et me regarde amusée, tout en passant sa langue sur ses
lèvres.

– » Nous allons vérifier si le fauteuil qui m’a coûté si cher est réellement
solide !  »

Sur ce, elle met le système à l’horizontale et me voilà au premières loges
pour regarder ce qui tout à l’heure provoquais un tel clapotis !
J’ai sous les yeux le magnifique sexe touffu de Daisy que je n’aurai jamais
pu imaginer aussi beau, même dans mes rêves les plus débridés.
Ses petites lèvres sont d’un rouge vif, échauffées par l’excitation.
Sa vulve brûlante est une puissante invitation et je ne résiste pas
longtemps à y plonger la langue avec délice. C’est doux, chaud, humide,
odorant, dégoulinant et délicieux à souhait.
A ce moment là, la terre pourrait s’arrêter de tourner je ne m’en rendrait
pas compte tellement le plaisir est complet.

Comment décrire fidèlement ce qui m’est si généreusement offert ? Comme je
l’ai précisé plus haut, elle ne pratique pas l’épilation intime et c’est une
vraie brune ! Moi qui aime les chattes poilues je suis aux anges, c’est un
vrai bonheur. Sa toison recouvre largement son sexe, déborde sur le haut des
cuisses et donne à sa raie culière un aspect soyeux des plus craquants ! On
ne sait comment aborder ce paradis des cinq sens. Il y en a pour la vue, le
toucher, l’odeur bien évidemment, le goût, l’ouie (ah, le délicieux clapotis
lorsque mes doigts investissent son intimité !).
Son magnifique minou me fait penser à ce splendide tableau qui fit scandale
en son temps et qui s’appelle  » L’origine du monde  »

Pendant mon observation, mes mains ne restent pas inactives, mais devant
tant de trésors offerts, ne savent plus où donner de la phalange !
Je caresse, je palpe, je pince (avec différentes intensités), je soupèse,
j’introduis, je tâte.
En vérité, je teste ses réactions pour faire plus ample connaissance et voir
ce qui lui plait. Je suis aux aguets de la moindre contraction, le moindre
soupir, la plus petite crispation, le plus imperceptible relâchement ou
mouvement dans ma direction, destiné à me faire comprendre que ce que je
suis en train de faire, lui convient.
Un proverbe dit :  » Méfie toi de l’eau qui dort, c’est la plus profonde !  »
Je ne suis plus à l’age des premières expériences et j’ai beaucoup donné et
reçu dans ce domaine et plus le temps passe, plus j’aime me consacrer
entièrement au plaisir de ma partenaire, encore plus que celui qu’elle me
procure.

Daisy, de son côté, n’est semble-t-il plus une novice !

Le traitement qu’elle est en train de faire subir à ma verge en est la
preuve. Quand je dis  » verge « , le terme est quelque peu restrictif car pour
l’heure ma dentiste est affairée à gober mes testicules, l’un après l’autre
en les faisant rouler délicieusement de sa langue, à un point tel que je me
demande par instant si elle n’a pas deux langues !
Je ne vais pas pouvoir tenir la distance si elle persiste !
Pour ne pas prendre trop d’avance sur elle, je délaisse le spectacle de son
cul pour prendre d’assaut son petit clitoris. Que dis-je ? En réalité le  »
petit clitoris  » ressemble plus à un petit gland masculin. Pour l’heure le
magnifique bouton de Daisy est cramoisi, gorgé de sang à l’instar de ses
petites lèvres rouge foncé qui disent bien l’état d’excitation de leur
propriétaire, c’est superbe !
Je pose donc le bout de ma langue à la commissure de ses petites lèvres et
se sens une onde de chaleur qui émane de ce bout de chair. Je le pince entre
mes lèvres et je constate qu’un grand frisson lui parcours l’échine, je ne
suis pas surpris mais elle a l’air d’aimer le traitement que je lui fais
subir. Encouragé par cette réaction je me mets à téter de plus belle,
j’aspire de mes lèvres et masse la petite excroissance qui roule
délicieusement sur ma langue affolée par le goût de son jus.

Daisy se liquéfie !

Devant cet assaut elle n’offre plus de résistance et cesse de son côté toute
activité pour se concentrer sur son propre plaisir qui se manifeste par une
abondante sécrétion de cyprine qui me dégouline sur le menton. Je perçois
ses gémissements étouffés, sa bouche est contre ma peau, entre scrotum et
anus.
Encouragé par ces manifestations, je redouble d’activité. Le tout va
crescendo, plus je me démène, plus elle dégouline, plus cela m’excite et
m’incite à me démener.

Daisy ne bouge plus, elle est tendue comme un arc, attentive à la vague de
plaisir qui grossit et grossit encore et qui ne va pas tarder à déferler. Je
pousse ma langue au plus loin à l’intérieur de son vagin et m’en sert comme
d’une petite verge. J’en ai mal aux mâchoires mais c’est trop délicieux,
c’est un peu salé mais c’est un divin nectar dont je prendrai volontiers,
une bonne rasade chaque matin en guise de petit déjeuner !
Pendant encore de longues minutes, je m’active encore à la source de ma
victime consentante. Elle ne se manifeste plus que par de longs soupirs et
de tous petits cris d’approbation. Soudain, tout son corps tout entier se
met à vibrer. Une longue giclée de jus me coule sur la langue, et soudain,
totalement détendue, Daisy, libère ses entrailles d’un long pet sonore,
suivi de quelques autres plus discrets qui se suivent en mitraille. Nous ne
bougeons plus et dans le silence du cabinet, j’entends un petit rire nerveux
et son corps, toujours au dessus de moi est secoué d’un petit accès de
gaîté.
Sa tête est toujours entre mes cuisses,

– » Excuses moi  »
– » Je t’en prie, c’est tout naturel  »
– » J’espère que je ne t’ai pas choqué ?  »
– » Du tout, je prendrai même cela pour un compliment…  »
– » Jamais je n’aurai imaginé un jour péter au nez d’un de mes patients !  »
– » Le contexte est particulier et pour l’heure, suis réellement dans la
position d’un patient classique ?  »
– » Effectivement, en principe, les caries ne se situent pas à ce niveau !  »
et elle est reprise par son petit rire nerveux.

Elle descend du fauteuil et constatant une demi berne à mon entrejambe,
s’exclame :

– » Il va falloir que je m’en occupe car il a été abandonné en chemin  »

Elle installe son siège à la bonne hauteur et avant que je ne réponde quoi
que ce soit, la voilà qui englouti mon sexe. Sous ce traitement, il reprend
une forme plus conquérante. La satisfaction se lit dans son regard et elle
me suce de plus belle.
Quel travail ! Elle pourra donner des cours le jour où son métier ne lui
conviendra plus ! Je veux bien être son assistant.
Je me laisse aller à son doux traitement qui arrive très rapidement à ses
fins.
Sentant venir les spasmes, elle creuse les joues de plus belle pour hâter
mon éjaculation. Mon sexe prisonnier de sa bouche gourmande se libère
violemment de son foutre en longues saccades. Je n’en verrai pas une seule
goutte ! Daisy a horreur du gâchis et ne veux pas que je souille sa belle
moquette.

– » Voilà qui est mieux ! Je vais pouvoir reprendre ton détartrage en toute
décontraction.  »

Sur ces mots nous nous réinstallons pour terminer cette consultation mais
dans le plus simple appareil.

– » Au fait, quand m’emmènes tu faire un petit tour d’avion ?  »
– » Ton jour sera le mien, mais en ce moment il fait très chaud, même en
altitude  »
– » Si tu le permets, je me mettrai à l’aise ! D’autant plus que personne
d’autre que toi, ne pourra me voir !  »
– » Dans ce cas pourquoi pas samedi matin, ton cabinet est fermé ce jour là ?
 »
– » D’accord  »

Elle termine son travail, nous nous rhabillons et elle me raccompagne
jusqu’à la sortie, me serre fort civilement la main et me souhaite une bonne
soirée.

– » A samedi  »
– » A samedi  »

Le samedi matin, nous avons rendez-vous, Daisy et moi à l’aéro-club où j’ai
mes habitudes.
J’arrive un peu en avance pour préparer l’avion, effectuer la visite avant
vol et vérifier que tout va bien.
Malgré la matinée peu avancée il fait déjà très chaud et j’ai opté pour une
tenue on ne peut plus décontractée, short, tee-shirt et chaussures de sport.
Le short est loin d’être un bermuda et il me couvre juste les fesses, mais
je ne pense pas que Daisy soit choquée.
Elle n’est toujours pas arrivée et je commence à m’inquiéter lorsque je vois
arriver une Twingo bleue qui se gare devant le parking de l’aéro-club. C’est
bien elle.

J’avais tort de m’inquiéter sur ma tenue car de son côté elle s’est
également mise en tenue légère et c’est un euphémisme !
Elle a passé une jolie jupette qui ne couvre pas grand-chose de ses jambes
qui sont fort agréables à regarder.
Pour couvrir son abondante poitrine, elle a choisi un léger boléro assorti
qui à beaucoup de mal à cacher qu’elle ne porte pas de soutien-gorge.
Est-ce la perspective de s’envoyer en l’air, euh, je veux dire, faire une
promenade en avion, toujours est il que ses tétons sont bien visibles sous
le tissu très fin.

Elle descend de voiture et l’espace d’un instant il me semble entrevoir un
slip noir mais ai-je bien vu ? Je ne pourrais l’affirmer.

– » Bonjour Jean-Marc, j’espère que je ne suis pas trop en retard !  »
– » Pas du tout, j’ai eu le temps de tout préparer on va donc pouvoir y
aller, d’accord ?  »
– » Maintenant que je suis au pied du mur, je dois avouer que j’ai un petit
peu peur en avion, j’espère que tu seras prudent…  »
– » Ne t’inquiète pas, je prendrai soin de toi. Tout d’abord nous allons
jeter un œil sur la carte pour que je t’explique notre itinéraire et
ensuite, je t’aiderai à t’installer à bord, car comme tu peux le constater,
mon avion n’est pas un Airbus !  »
– » Oh effectivement il est tout petit ! On va bien se tenir chaud là dedans,
heureusement que je me suis mise à l’aise…  »

Je lui explique les détails de notre promenade et lui montre comment monter
sur l’aile de l’avion pour pouvoir s’installer sur le siège avant.
Elle s’exécute, alors que je reste derrière elle au pied de l’avion pour
parer à toute éventualité.
Pour faciliter l’opération, elle remonte un peu sa jupe, si bien que je
constate, à mon grand émoi, que ce que tout à l’heure j’avais cru prendre
pour un slip noir n’est en fait que son abondante toison.
Fort heureusement, compte tenu de l’heure il n’y a pas un chat (si chose
dire) aux alentours.
L’installation à bord est à l’avenant.
Ce petit avion possède pour le piloter, ce que l’on appelle communément un  »
manche à balai « , que ce soit côté pilote ou côté passager, précisément là
où elle tente de s’installer avec force contorsions. Elle fait si bien
qu’elle se retrouve les fesses sur le siège, la jambe gauche à sa place de
l’autre coté du  » manche  » mais la jambe droite elle, n’est pas encore à
bord !
Comme entre temps je suis monté sur l’aile pour l’aider, je saisis sa
cheville et lui facilite le mouvement.

Inutile de dire qu’à ce moment là je suis aux premières loges pour lorgner
l’intimité de ma dentiste préférée.
Celle-ci, un peu amusée, les joues rosies par l’effort me regarde et dit, en
toute innocence :
– » J’aurai peut-être du mettre une petite culotte, mais il fait si chaud !  »
– » Ne t’inquiète pas, nous allons prendre un peu d’altitude à la recherche
d’un peu de fraîcheur  »
En réalité, au fil des minutes la température à l’intérieur du petit avion
allait rapidement atteindre des valeurs record !
Daisy à bord, je m’installe à mon tour. Comme il fait de plus en plus chaud
une fois la verrière fermée, je me dépêche à faire les actions avant la mise
en route et nous commençons à rouler vers la piste.

Elle est ravie et pause tout un tas de questions. Je m’efforce de répondre à
son attente et petit à petit, ma  » tension  » retombe un peu. Pour une courte
durée.
Parmi les vérifications obligatoires avant le décollage figure les essais de
débattement du fameux  » manche à balai « . Il faut vérifier que l’on peut
utiliser cette commande dans son plein débattement, de gauche à droite et de
l’avant vers l’arrière. La sécurité du vol en dépend. Comme nous avons tous
les deux les jambes de part et d’autre de ce manche, je demande à ma
passagère d’écarter les cuisses. Elle ne se fait pas prier et les écarte,
largement plus que nécessaire, ce qui a pour effet de dévoiler une fois de
plus son entrecuisse pileux. Elle me regarde en coin et dit :
– » Avoues que cela aurait été dommage pour notre sécurité que je mette une
jupe longue, qui n’aurait fait que m’entraver dans mes mouvements !  »
Je lui souris pour toute réponse.
Je termine mes vérifications et nous sommes rapidement autorisés à décoller
par la tour de contrôle.
En quelques centaines de mètres notre petit coucou est en l’air et
subitement Daisy ne dit plus rien, je la sens quelque peu tendue.
Je lui montre que tout va bien et que notre vol, compte tenu des conditions
météorologiques idéales a de fortes chances de se dérouler au mieux.
Elle finit par se décontracter et admire enfin le paysage qui défile sous
les ailes.
– » Tu m’avais dis qu’il ferait moins chaud en altitude, ce n’est pas tout à
fait vrai  »
– » Tu sais, il faudrait monter très haut pour trouver des températures plus
fraîches ! Mais comme personne ne vous vois, met toi à l’aise…  »
Elle ne me fait pas répéter ma proposition et se retrouve torse nu. Ses deux
gros seins sont vraiment magnifiques et j’en suis à me demander s’ils sont
naturels.
Je n’ose pas poser la question et tente de me concentrer sur mon pilotage.
– » Est-ce que cela te tenterai de piloter ?  »
– » Ici, maintenant ? J’ai un peu peur…  »
– » Je te montre, c’est très simple  »
Après deux ou trois explications techniques elle se saisit délicatement du
manche et, très concentrée essaie, de maintenir une ligne droite et de
conserver l’altitude.

La vue de sa jolie main, aux beaux ongles rouges vifs, entourant
délicatement le manche de l’avion provoque chez moi une petite bouffée
chaleur et un peu de jalousie. Pourquoi l’avion et pas moi ?

Mais je suis un petit coquin car me voilà les mains libres.

Tout en surveillant la trajectoire de l’avion je porte ma main gauche vers
sa poitrine nue. Elle sursaute sous cet assaut.
– » Ce n’est pas bien, tu vas me faire faire une bêtise et je ne peux pas me
défendre !  »
– » Tu as envie de te défendre ?  »
– » Euh…pas vraiment, mais n’en profites pas ou je lâche tout !  »
– » J’ai bien l’intention de profiter de cette situation  »

Lâchant le téton que je faisais depuis peu rouler entre mes doigts, je porte
ma main vers son sexe. Je constate que le tissu du siège est un peu humide,
pour tout dire, franchement poisseux. Il faut dire que la petite jupe, lors
de l’installation à bord, a franchement reculé vers l’arrière.

Daisy est loin de souffrir de sécheresse vaginale.
– » Je suis confuse, je vais tacher tes jolis sièges  »
Je ne relève pas, concentré sur ma caresse. La position assise ne facilite
pas l’opération mais ma passagère-pilote fait le maximum pour me faciliter
le travail. Je sens son corps se détendre et se crisper alternativement. Mon
traitement a l’air de lui convenir.

La trajectoire de l’avion elle, en souffre beaucoup ! Mon pilote occasionnel
ne se concentre plus que sur son plaisir, qui monte lentement mais sûrement
! Il va falloir que je l’abandonne à contre-cœur mais notre survie en
dépend.
– » Si tu veux, je vais reprendre les commandes et nous reprendrons cette
petite leçon un peu plus tard  »
– » Je veux bien car j’ai un petit peu peur de faire une bêtise  »
– » Tu t’en tires très bien mais je n’aurais pas du te caresser ainsi  »
– » J’ai bien aimé mais effectivement cela n’est pas compatible avec une
première leçon de pilotage. Moi-même, dans ma partie, j’aurai beaucoup de
mal à soigner une carie et me faire sodomiser en même temps !  »
Nous poursuivons notre ballade et ma passagère admire le paysage pendant que
de mon côté je regarde ses seins. Elle remarque mon œil en coin et avec un
large sourire :
– » Tu devrais regarder devant toi, tu vas attraper un torticolis.  »
– » Depuis que je les regarde je me pose une question…  »
– » Tu veux savoir si j’ai été opérée ? Eh bien non, ils sont naturels. Par
contre, j’ai bien failli faire l’opération inverse. Les hommes aiment bien
les gros seins, mais ils ne se rendent pas compte le handicap que cela
représente  »
– » Cela aurait été dommage  »

Elle ne poursuit pas dans ce sens et admire de nouveau le paysage sous
l’avion. Je n’ose plus en rajouter et le vol se poursuit en silence quelques
minutes, puis :

Je mets l’avion en virage. Daisy, qui ne s’attendait pas à une manœuvre
aussi soudaine se penche à l’opposé du virage, en l’occurrence vers moi et
se cramponne à ma cuisse.

– » Jean-Marc, j’ai peur !  »
– » Excuses moi, j’aurais du t’avertir avant la mise en virage  »

Je remets les ailes à l’horizontale, mais elle est toujours penchée vers moi
et ne semble pas rassurée. Au bout d’un moment, elle se détend mais garde sa
main posée sur le haut de ma cuisse. Est-ce volontaire, je ne peux le dire.

– » Tu m’as fait une de ces peurs !  »
– » Tout va bien  »

Je sens la main de la coquine Daisy remonter doucement et se poser sur la
bosse qui tend mon short.

– » Il n’y a pas que moi qui suis tendue !  »
– » Tu fais tout pour me mettre dans cet état et tu es étonnée ?  »
– » Effectivement ce n’est pas bien de ma part. Et si je te détendais ?  »
– » Nous allons prendre des risques !  »
– » Je pense que tu as suffisamment de self-control !  »

Joignant le geste à la parole, elle glisse la main dans mon short et sort
mon membre qui n’est plus tout à fait flasque.

– » Tu mouilles beaucoup, une vraie petite fontaine. Cela tombe bien, j’ai un
peu soif  »

Elle se penche vers mon entrejambe et je sens sa bouche prendre possession
de mon gland qu’elle tête comme si sa survie en dépendait. Je vais avoir
beaucoup de mal à garder une trajectoire rectiligne et encore plus à me
retenir.
Manifestement elle aime bien cette pratique et l’on sent bien que sa
maîtrise de l’opération est totale.
Pendant quelques instants, le ronron du moteur est souligné de façon
discrète par des petits bruits de succion.
C’est extraordinairement bon, d’autant plus que sa main droite est partie à
l’intérieur de mon short pour sortir mes testicules et tenter de leur faire
subir le même sort !
Elle est aussi adroite des mains que de sa roulette.
Elle me masse les bourses quelques instants et soudain, sa bouche les gobe
entièrement. La surprise me fait faire un écart de trajectoire et elle se
cramponne à ma verge sans pour autant recracher ce qui pour l’heure est
l’objet de toute son attention.
D’une langue ferme mais douce elle me masse consciencieusement chaque
testicule, tout en me masturbant avec application.
Je sens son sein gauche reposer sur ma cuisse et c’est très agréable. Je me
laisse aller au bien être.

Quelques spasmes indiquent à ma tourmenteuse que son traitement est efficace
; je pense qu’elle va stopper sa fellation mais il n’en est rien, elle
embouche cette fois la totalité de ma pine, avec la ferme intention de ne
plus la lâcher avant le terme.
Ce terme ne tarde plus, soudain, je lui sers plusieurs giclées de sperme
qu’elle avale avec bonheur. Elle se redresse, le visage un peu rosi par
l’effort mais heureuse de sa prestation.
– » C’était bon ?  »
– » J’aurai du mal à nier l’évidence, tu es très douée …  »
– » J’aime tellement ça, que si j’osais, j’aimerai pouvoir le proposer à
chaque consultation à mes clients ou à des inconnus dans la rue, mais je
n’ose pas, c’est dommage.  »
– » Ceci dit le secret aurait du mal à être préservé et il est fort possible
que les épouses de tes clients en prenne ombrage !  »
– » Tu sais, elle ne sont pas toutes coincées, j’ai dans ma clientèle des
femmes très  » comme il faut  » qui me font des propositions à peine voilées.
Il faut voir aussi comme certaines s’habillent, c’est parfois un appel très
clair !  »
– » Tu ne t’es jamais laissée aller avec une de ces patientes ?  »
– » Une seule fois, mais je te raconterai plus tard car cela risque d’être un
peu long.

Soudain :
– » J’ai envie de faire pipi, très envie !  »

Eternel problème féminin… Elles ne boivent pas mais on toujours une envie
pressante !
– » Nous ne sommes pas très loin d’un aérodrome, nous allons faire une petite
pose soulagement.  »
– » Ce n’est pas de refus, sinon je vais tremper tes beaux sièges…  »

En quelques minutes nous sommes à proximité du petit terrain, très calme à
cette heure là, ce qui me permet de raccourcir un peu notre trajectoire pour
gagner encore un peu de temps.

A peine arrivés au parking, Daisy jaillit de l’avion et sans s’éloigner,
s’accroupi sous l’aile, après avoir relevée sa jupe.
Je sors à mon tour et m’approche de ma passagère.
– » Ce n’est pas très correct, ce que tu fais là, me dit-elle avec un demi
sourire  »

Daisy06Elle continue d’uriner pendant que je m’approche doucement par
derrière. J’ai une vue magnifique sur ses fesses, son petit trou et sur ce
jet jaune clair et fumant qui n’en finit pas de couler.
Je n’ai jamais été très attiré par ces pratiques, mais cette fois c’est plus
fort que moi et je pose ma main sur la sa raie, elle frissonne légèrement.
Elle continue cependant sa mixion, imperturbable…
Je descends doucement, franchi son anus et dirige doucement ma main vers ce
liquide chaud qui me tente.
Je suis soudain éclaboussé par son urine qui fini de s’écouler en petits
jets désordonnés. Je mets ma main en coupe et récolte les dernières gouttes.
Je la porte à mes narines, ç’est fort mais pas désagréable, poursuivant le
geste, et avant d’avoir tout perdu, je bois la pisse de cette chère Daisy
avec délectation.

A suivre
et voici le mail de Daisy : daisyfreebe@yahoo.fr
Ce texte a eu l’honneur d’être désigné comme premier prix du meilleur
récit uro pour l’année 2004

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Vendredi 16 juin 2023 5 16 /06 /Juin /2023 20:59

Martinov 25 – Les agents secrets – 20 – Méga partouze par Maud-Anne Amaro

stamp partouz

Après cette heure de folie, tout le monde reste un moment affalé sur le canapé ou dans les fauteuils.

– Vous auriez pu prévenir que votre antidote avait des effets secondaires ! Finit par dire Britt en se levant pour se rhabiller.

« Et maintenant ça passe ou ça casse ! » Se dit Béatrice ».

– On vous a un peu menti, le produit que vous avez inhalé, ce n’est pas un antidote, c’est le produit lui-même
– Quoi ?
– Ben oui, je suppose que vous vouliez mettre la main sur une arme de destruction massive, alors qu’en fait au premier stade il est infantilisant, au second stade, celui que vous venez de tester, il est aphrodisiaque et ensuite ses propriétés deviennent explosives.

Son téléphone sonna.

– Hein ? Quoi ? Non laissez tomber, c’est une fausse piste, je vous expliquerais plus tard, là je n’ai pas le temps. Oui, oui, vous pouvez rentrer.

Elle se précipite vers les toilettes, revient…

– C’est pas possible de pisser comme ça, c’est encore un effet secondaire ?
– L’effet secondaire c’est la soif, donc on boit… et on pisse.

Odette Morvan, pour sa part, a du mal à réaliser, femme refoulée il y a encore quelques semaines, elle venait de se transformer en « chienne lubrique » et n’en éprouvait aucun remord.

– Tu ne te rhabilles pas ? lui demande Britt
– Ben, si je vais bien être obligée, mais j’étais bien à poil, j’ai bien aimé tout ça, j’aurais bien continué…
– J’ai entendu ce que vous avez dit au téléphone, Mademoiselle Britt. Pour vous l’affaire est donc close ! Intervient Martinov.
– Ben oui, vous savez on est formé à un tas de trucs, les gens dangereux on sait les repérer, vous n’êtes pas des gens dangereux, vous êtes trop mignons tous les deux.
– Quelqu’un a vu ma culotte ? demande Béatrice.
– Je suis assise dessus, tu me la donnes ça me fera un souvenir ? Répond Britt.
– Avec plaisir !

« C’est dingue, ça dépasse mes espérances ! Se dit Béa. J’espère qu’elle ne nous bluffe pas ! »

– Je peux avoir un échantillon de votre truc ? C’est si on me demande…
– Bien sûr, de toute façon on va détruire tout ça ! Affirme Martinov avec force conviction.

Britt et Odette ont fini par se rhabiller.

– C’est un peu bête de se quitter comme ça, acceptez-vous que je vous paye le restaurant ! Propose l’américaine.
– C’est gentil mais il est un peu tôt… Objecte le professeur.

Béatrice lui donne un coup de coude.

– Pourquoi pas ? Revenez nous chercher à 19 heures…
– Oui, mais on va faire quoi en attendant ?
– Il y a de belles choses à voir à Louveciennes, tenez j’ai un petit dépliant en réserve pour les gens qui demandent…

Une fois à l’extérieur, Britt confie à Odette.

– J’ai quand même un peu l’impression de m’être fait avoir…
– Ah tu crois ?
– Oui, je crois, mais tu vois, ce Martinov et sa copine, je n’ai pas envie de les emmerder, alors je fais comme si…
– Et ta russe ?
– Non mais dis donc, c’est qui l’agent secret ? C’est toi ou c’est moi ?
– Je demandais ça comme ça !
– Je vais te dire, je m’en fous, s’il y a une chose qui est vrai dans toute cette salade, c’est que ce mélange est effectivement dangereux sinon ton labo n’aurait pas sauté.
– Certes !
– Alors si la russe veut vraiment s’amuser avec ça, je ne souhaite qu’une chose c’est que ça lui pète à la gueule !

Et voilà que le téléphone de Martinov sonne. C’est Gérard.

– Coucou on est en train de rentrer, on est sur le périph… Rien de neuf ?
– Oh que si ! On a eu la visite de la CIA…
– Manquait plus qu’eux, et ils voulaient quoi ?
– C’est un peu compliqué, Béatrice a essayé de les bluffer, ça a eu l’air de marcher, mais je ne suis sûr de rien.
– Bon, tu veux que je passe ?
– Je ne voudrais pas abuser…
– Penses-tu ? De toute façon il fallait que je passe à Louveciennes, j’ai fait une promesse à Sophie et je ne sais pas comment la tenir…
– Mais Florentine n’est pas trop fatiguée ?
– Penses-tu ? Elle va être ravie de faire une minette à Béatrice, n’est-ce pas Florentine ?
– Oh, oui !

Il est 18 heures passée de quelques minutes quand Gérard et Florentine arrivent chez le professeur Martinov.

Florentine excitée comme une puce roule un patin de bienvenue, d’abord à Martinov en lui tripotant la baguette, puis à Béatrice en l’entrainant sur le canapé.

– Euh, je ne voudrais pas jouer les rabat-joie ! Intervient Martinov, mais on a un problème de timing. Britt arrive à 19 heures…
– C’est qui Britt ?
– La nana de la CIA.
– Elle va revenir ?
– Oui, elle nous invite au restaurant. Elle est avec la mère Morvan.
– Morvan mais qu’est-ce qu’elle fout avec la CIA ?
– Elle nous a pas dit ! Mais laisse-nous te raconter tout ça !

Après le récit de Béatrice, Gérard est dubitatif.

– A mon avis, elle fait semblant de vous croire, ils ne sont pas si naïfs que ça en principe !
– Mais pourquoi ce restau alors ?
– Le coup classique, elle va nous la jouer copain-copain, alors l’ambiance, le pinard, la rigolade, en principe les langues se délient… Mais encore faut-il qu’il y ait quelque chose à délier.
– Tu penses faire quoi ?
– Je vais l’attendre avec vous, je vais jouer franc-jeu ou presque. On verra bien comment elle réagit. Elle ne s’attend pas à ce qu’un nouveau personnage surgisse dans l’affaire, ça devrait la déstabiliser un peu, du moins j’espère !
– Tu vas lui parler d’Olga ? S’inquiètes Béatrice.
– Bien obligé, si je veux être crédible !
– Si tu pouvais éviter de la charger, je veux dire, je n’aimerais pas que Britt la retrouve ?
– Et pourquoi donc ?
– Je t’expliquerais plus tard, c’est un peu compliqué.

Et à 19 heures précises, Britt sonnait à la porte d’entrée.

– Nous voilà, vous êtes prêts ?
– Entrez, on va prendre l’apéro ici !

Britt et Odette Morvan entrent, et découvrent dans le salon la présence de Gérard et de Florentine.

Moment de flottement. Gérard met ses bras en croix afin d’indiquer que sa présence n’a rien d’hostile.

– Rassurez-vous je ne suis pas méchant !
– Vous êtes partout, vous ! Ne peux s’empêcher de constater Odette.
– Non pas partout, mais je vais tout vous expliquer. On se boit un coup et après je vous laisserais aller au restau tous les quatre, Asseyons-nous.
– Je suppose que vous avez raconté à ce monsieur qui je suis ! Déplore Britt.
– En deux mots ! Intervient Gérard, quand le professeur Martinov a été approché par un agent secret russe, qui évidemment ne s’est pas présenté comme tel, sa demande d’expérimentation étant pour le moins bizarre, il m’a demandé conseil. Il se trouve que je suis un ancien agent de la DGSE, maintenant en retraite, j’ai donc quelques appétences dans le domaine de l’espionnage, j’ai donc suivi la dame… jusqu’à l’ambassade de Russie.
– Et ensuite ?
– Ensuite j’ai perdu sa trace.
– Bon, je m’en fous un peu, j’ai prévenu ma hiérarchie que je me dégageais de cette affaire qui de toute façon ne mène nulle part.
– Mais si ce n’est pas indiscret, est-ce que je peux vous demander comment vous êtes parvenue jusqu’ici ?
– Nous savions que Sophie Cabureau, la compagne du lieutenant Malesherbes était passée par ici. Comme je ne comprenais pas bien le rapport entre cette personne et le professeur Martinov, je voulais en savoir davantage mais quelque part cela me faisait soupçonner un lien entre les Russes et le professeur, vous suivez ?
– J’essaie ! Et Malesherbes, vous savez ce qu’il est devenu ?
– Pourquoi vous répondrais-je ?
– Je suis passé le voir, je l’ai poussé dans ses retranchements, il a fini par m’avouer qu’il travaillait pour l’ambassade de Russie.
– Mais vous l’avez trouvé comment ?
– C’est cette charmante personne qui m’a lâché le morceau ! Répond-il en désignant Odette Morvan.

Du coup l’intéressée pique son fard.

– C’est lui qui… lui demande Britt.
– Oui, disons qu’il m’a déstabilisé ! Répond Odette.
– Je vois, cher monsieur que vous en savez décidément beaucoup sur cette affaire. Il est dommage que je la laisse tomber, nous aurions pu avoir une collaboration intéressante.
– Hé ! Vous ne voulez toujours pas me répondre ?
– Ça va vous servir à quoi ? Malesherbes et sa compagne sont accusés de meurtre, on a retrouvé une flaque de sang chez lui, le groupe sanguin n’est ni le sien ni celui de sa compagne. Et comme je vous l’ai dit Sophie Cabureau a disparu et on a perdu sa trace après qu’elle ait borné à Louveciennes, Malesherbes, on ne sait pas où il est mais sa carte bleue fonctionne à Buenos Aires !
– Le salaud ! Ne peut s’empêcher de s’exclamer Gérard.
– Je me trompe ou vous semblez avoir un problème avec cet individu ?
– C’est un peu personnel, voyez-vous.
– Il est dommage que je laisse tomber cette affaire, sinon nous aurons pu échanger des informations intéressantes.

Gérard est tout de même étonné de l’attitude de Britt.

« Ou bien elle est sincère et l’affaire ne l’intéresse réellement plus, ou alors elle sait déjà tout ! Non elle ne peut pas tout savoir, elle a donc vraiment lâché l’affaire ! Bizarre quand même ! »

– Bon, eh bien, je vais vous laisser aller au restaurant., moi j’ai une course à faire dans le coin. Conclut Gérard.

Du coup Florentine, restée fort discrète depuis un certain temps remet son blouson.

– Euh, Florentine je préférais que tu m’attendes.
– Si tu veux, mais je t’attends où ? Et puis j’espère qu’elle n’est pas trop longue ta course, je te signale qu’on n’a rien bouffé à midi et que je commence à avoir la dalle.
– Ah ?

Manifestement, Gérard est embêté.

Béatrice, elle, regarde sa montre.

– J’ai un petit souci, je n’ai pas vu l’heure passée, il faut absolument que je rentre à Paris. Dit-elle.
– Alors nous pourrions remettre ça à un autre jour ! Répond Britt, mais n’empêche que j’ai un peu faim moi aussi, madame Florentine venez donc avec nous manger quelque chose.

Et là encore Gérard est étonné.

« Si le restau c’était pour cuisiner Béatrice, Britt aurait de suite choisi une autre date… »

– Tu peux me confier un jeu de clé, je serais probablement de retour avant vous ? Demande-t-il à Martinov.
– Mais tu vas manger où, mon biquet ? Lui demande Florentine
– Ne t’inquiètes pas ma bibiche, je ne vais pas me laisser mourir de faim.

Et donc le professeur Martinov, l’agent Britt Franklin, Odette Morvan et Florentine s’en allèrent au restaurant.

Laissons les diner tranquille, nous les retrouverons tout à l’heure. Laissons aussi Béatrice commander un taxi pour rejoindre son appartement parisien où l’attend Olga Boulganine. Et intéressons-nous à Gérard.

Celui-ci se rend à l’hôtel où est descendue Sophie Cabureau.

– A te voilà enfin ! Je commençais à me morfondre.
– C’est que tout cela n’est pas si facile, je ne pouvais pas agir dans la précipitation…
– Tu as trouvé une solution ?
– Ton compagnon semble avoir fui la France, il est très probablement à Buenos-Aires.
– Quoi ? Et il ne m’a même pas prévenu ! Mais j’y pense s’il m’a envoyé un message c’est sur le téléphone que tu m’as piqué !
– Oui bien sûr !
– Il est dans ma voiture, mais j’hésite à l’ouvrir.
– Pourquoi ?
– Ben ça va te localiser, pardi !
– Mais bon, il est à l’abri, Désiré ?
– Désiré ?
– Oui c’est son prénom à Malesherbes.
– S’il est là-bas, il est à l’abri dans une certaine mesure, puisqu’il n’y a pas de traité d’extradition entre la France et l’Argentine. Maintenant il faut qu’il fasse son trou là-bas, qu’il trouve du travail et un toit. Il parle espagnol ?
– Je ne sais pas !

Sophie s’empare du téléphone de chambre.

– Je commande à boire, j’ai soif ! Tu veux quoi ?
– Tu ne préfères pas qu’on aille au restau ?
– Si tu veux, il y a une grande salle en bas, on prendra un coin discret.

La conversation reprit donc à table :

– Dis-moi tu es partie quand de chez toi ?
– Après ton départ, on s’est engueulé, j’ai fait ma valise, j’ai pris une chambre d’hôtel et le lendemain je suis venue chez Martinov.
– Le souci, c’est que les flics ont retrouvé du sang chez toi, mais ce n’est pas celui de Malesherbes.
– Il se serait fait agresser et il se serait défendu…
– C’est une hypothèse, il y en a malheureusement une autre, un peu tordue mais plausible. On sait que sa carte est en Argentine mais rien ne dit que c’est lui qui s’en sert !
– Et il n’y a aucun moyen de savoir ?
– Il a des parents, Malesherbes.
– Oui, sa mère, il lui téléphone souvent…
– Eh bien voilà, il va forcément essayer de la contacter, je vais m’occuper de ça !

Après le repas Gérard demanda à Sophie de libérer sa chambre.

– Je peux t’abriter quelques jours, le temps que cette affaire se clôture, pour l’instant, on va aller chez Martinov, j’ai ma femme à récupérer.
– Ta femme ?
– Ne t’inquiètes pas, elle n’est pas jalouse.
– Alors ça va.

Dans la voiture, Gerald alluma le téléphone de Sophie.

– Vas-y regarde
– Oh là là, il y en a du monde, voyons voir, ça on s’en fout, ça aussi, un message de je ne sais pas qui, voyons voir :

« Sois gentil de prévenir ma mère que je suis en mission pour quelques semaines, elle ne lit jamais ses messages. Bisous ma Girafe »

– C’est toi la « Girafe » ?
– Ben oui ! Tu ne connais pas Sophie la girafe ? En fait il est malin c’est pour prouver que le message est bien de lui… Je suis super contente !

Gérard lui laisse ses illusions, il sait que sauf miracle ils ne pourront jamais se rejoindre, il sait aussi qu’inexorablement la séparation refroidira la passion. « Loin des yeux loin du cœur » comme disait un poète latin.

– Sinon, tu crois que je risque quelque chose ? Reprend-elle.
– C’est pas simple, tu ne peux pas techniquement être accusée de complicité d’espionnage, mais on va te reprocher d’avoir appris des choses incidemment et de ne pas les avoir dénoncés. Mais bon, à mon avis ça n’ira pas loin, par contre il y a cette tache de sang…
– J’ai un alibi, j’étais à l’hôtel.
– Ça ne le fera pas, tu peux très bien louer une chambre d’hôtel et retourner faire un tour chez toi… Bon on va réfléchir. En route !

Britt est ses invités n’étaient pas encore rentrés.

Tiens parlons-en un peu de ceux-là.:

Imaginez ce bon professeur Martinov ! Il est ce soir comme un coq en pâte ! Pensez donc trois femmes pour lui tout seul. Florentine superbe mature qu’il connaît bien mais qui fait partie de celles dont on ne se lasse pas, Britt, la jolie blackette américaine, et Odette, qui légèrement relookée possède un charme particulier.

L’ambiance est bonne enfant. Florentine qui est allé plusieurs fois aux Etats-Unis et qui parle l’anglais couramment s’est trouvé des affinités avec Britt. Martinov qui a compris qu’il avait un ticket avec Odette la drague sans en avoir l’air en la faisant parler de son travail en laboratoire.

Le plateau de fruits de mer est excellent, le vin gouleyant, et même qu’une bouteille ne suffit pas et qu’on en commande une deuxième et même une troisième.

Et plus ça boit, plus ça devient chaud, Britt répond aux œillades de Florentine en lui faisant un petit bisou sur les lèvres. Elle ne saurait refuser ce genre de chose.

– Regardez-moi ces deux coquines ! Fait remarquer Martinov à Odette.
– Ben quoi ? Où il y a de la gêne il n’y pas de plaisir ! répond cette dernière.
– On s’embrasse aussi, alors ? Propose le professeur.
– Ah ben, moi je veux bien !

Les lèvres se touchent, restent collées plus de temps qu’il ne le faudrait, Martinov entrouvre les lèvres, sort l’extrémité se sa langue et finit par rouler un patin à la nana.

– Ben vous alors, vous êtes drôlement coquin !
– Que voulez-vous on ne vit qu’une fois !

Quand vint le moment de quitter la table, Britt expliqua qu’elle ne se sentait pas assez en forme pour reprendre la route…

– Indiquez moi où je peux trouver un hôtel, sinon on va être obligé de dormir dans la voiture.

Martinov en galant homme proposa donc d’héberger ces dames pour la nuit.

– Si ça ne vous dérange pas de dormir ensemble, sinon on peut toujours s’arranger…
– Mais non, ça ne nous dérange pas du tout, n’est-ce pas Odette ?
– Pas du tout !

Tout ce petit monde rentre donc à la maison.

– Je vous présente Sophie Cabureau ! Annonce Gérard, je crois vous souhaitiez lui poser quelques questions.
– Oui, mais ça c’était avant, maintenant je m’en fous ! Répond Britt.
– Complètement ?
– Rien à foutre, mais vous êtes charmante mademoiselle mon petit nom c’est Britt, et vous.
– Sophie
– Euh, vous voulez boire un dernier verre avant de vous coucher ? Propose Martinov.
– Un alcool français ! Vous avez du cognac.
– Non mais j’ai du Calvados.
– Ce sera très bien ! Ah, monsieur Gérard, vous savez que vous avez une femme formidable ?
– J’ai en effet beaucoup de chance !

L’ambiance chauffe, Britt caresse les doux bras de Florentine, Odette est très câline avec le professeur contre lequel elle se blottit tendrement, mais tout cela reste soft. En fait c’est la présence de Sophie qui bloque. Britt a néanmoins une solution : demander à s’isoler quelque part avec Flo, mais rien ne presse…

C’est Gérard qui lance un ballon d’essai en interpellant Sophie.

– Non, mais regarde-moi tous ces cochons, ça risque de tourner en partouze !
– Je vois ça ! Répond-elle amusée, on fait quoi, nous ?
– Tu veux que je t’emmène à la maison, je reviendrais chercher Florentine après…
– Mais non, je suis en train de jouer les empêcheuses de baiser en rond. On va leur permettre de se lâcher. Tu veux bien m’embrasser, dis ?

Ils s’embrassent profondément tandis que les mains se font baladeuses.

Britt n’a plus aucune raison de se gêner et commence à débrailler Florentine qui se laisse faire volontiers.

Odette toute contente de constater que le professeur Martinov est inoccupé, vient le narguer :

– Alors pépère, on se rejoue la scène de tout à l’heure ?
– Sans mon produit, je ne vais pas tenir longtemps…
– Tu pourras toujours en reprendre !
– Bien sûr, mais tu fais quoi là ?
– J’essaie de décoincer ta braguette.
– Je vais baisser mon pantalon, ce sera plus simple.

C’est donc ce qu’il fait, permettant à Odette de se jeter sur sa bite comme la pauvreté sur ce bas monde.

« Elle va encore me faire mal avec ses dents ! Elle est gentille mais elle est un peu collante, la nana ! »

– Attends je vais me déshabiller complètement ! Propose le professeur, histoire de temporiser
– Oh, dis donc tu as de gros tétons, toi !
– Ben oui à force de me les faire pincer !
– Ah ! Tu te fais pincer les tétons !
– Oui, j’aime bien, tu peux me le faire si tu veux !
– Ça te fait quoi ?
– Ça m’excite, ça me fait bander ! Essai pour voir !
– Mais tu bandes déjà !
– Oui, mais ça va me faire bander encore mieux !

« Elle sort de l’œuf, ou quoi cette nana ? »

Et voulant faire preuve de bonne volonté, Odette s’empare avec ses petits doigts fraichement manucurés, des tétons du professeur et les serre.

– Comme ça !
– Oui, tu peux même faire un peu plus fort, tu peux les tirer, les tortiller…

La pratique n’est pas bien difficile à mettre en œuvre et le professeur est aux anges. Mais Odette a envie de sucer…Et elle reprend sa fellation maladroite.

« Qu’est-ce que je pourrais bien trouver pour qu’elle arrête de me coller ? »

Et soudain elle s’arrête, regarde le professeur, veut dire quelque chose mais bafouille, puis ce reprend.

– Je crois qu’une pipe, c’est le plus beau cadeau qu’on puisse faire à un homme ! Et je n’en ai pas fait beaucoup dans ma vie ! Ajoute-t-elle en sanglotant.

Sur ce coup, il ne sait plus où se foutre notre vieux professeur !

Martinov2520

« Ma parole, elle est amoureuse ! Il faut que je tue cette situation dans l’œuf ! Mais comment faire ?  »

Il croit avoir une idée !

« Si je me montrais dans une position un peu particulière, du moins particulière pour son univers, je passerais pour un vieux pervers, ça la ferait peut-être redescendre sur terre. »

On aura sans doute compris que pour Martinov, le salut (si l’on ose dire) ne peut venir que de Gérard.

Il est occupé, il lui suffit d’attendre un peu.

Alors que fait-il, Gérard ? Il se fait copieusement sucer la queue par Sophie, laquelle manifestement a dû en sucer un certain nombre.

Pas très loin Florentine et Britt sont en train de se bouffer les nichons avec fougue.

– T’aimes ça, lécher les tétons des vieilles salopes ! La taquine Florentine.
– J’adore baiser avec les Françaises, ce sont toutes des salopes !
– Non pas toutes, hélas !
– Mais, si regarde l’autre pétasse là-bas, comme elle suce la bite de ton mari…
– Ils ont l’air de bien s’amuser !
– Et ça ne te gêne pas ?
– Pas du tout !
– On les rejoint ?

Aussitôt dit, aussitôt fait, Sophie est d’abord légèrement contrariée, le Gérard, elle se le serait bien gardé pour elle toute seule un peu plus longtemps, mais elle sait aussi que sa compagne est là, sans doute ne faut-il pas abuser de sa tolérance.

Elle pensait que les deux arrivantes voulaient partager la bite de Gérard, mais les choses se passèrent un peu différemment.

Arrivée par derrière, Britt empaume le sein droit de Sophie tandis que Florentine s’empare du gauche.

Déséquilibrée, Sophie se retrouve par terre, les deux prédatrices en furie continuent chacune à s’occuper de ses nichons. Elles ne lui ont pas demandé si elle était bisexuelle ! Quel manque de tact !

– Tu aimes ? Lui demande quand même Florentine au bout d’un moment.
– Ça change ! Continuez ça me fait du bien.

Se sentant encouragées, les deux femmes continuent de plus belle. Florentine se déplace et attaque de la langue la jolie chatte de Sophie.

– Quand même, vous exagérez ! Dira cette dernière !
– Tu ne veux pas ?
– J’ai pas dit que je ne voulais pas.

Gérard du coup se trouve un peu largué.

– Je reviens, je ne t’abandonne pas ! Chuchote-il à l’adresse de Sophie.

Il s’approche de Martinov et d’Odette, le professeur étant occupé à faire minette à sa partenaire.

– Ça va, les jeunes ! Lance-t-il.
– Slupr, slurp ! Répond le professeur dont la langue est très occupée.

Si occupé qu’il redouble d’énergie et parvient à faire jouir Odette Morvan qui pousse un cri de chatte en chaleur, puis se jette au cou du professeur en lui roulant une pelle magistrale.

– Je crois que je t’aime, mon papy !

« Manquait plus que ça ! »

– Faut pas dire ça ! Je ne suis qu’un vieux cochon !
– Mais non !
– Tu sais je suis un peu bi !
– Mais encore !
– Ben j’aime bien sucer des bites !
– Ah ! Ça doit être rigolo !

« Désespérante ! »

– Je ne raconte pas de bêtises, là par exemple je vais sucer la bite de Gérard !

Martinov a alors la surprise de voir Gérard faire de la tête un mouvement de dénégation qu’il ne comprend pas bien.

– Je voudrais choquer personne ! Argumente-t-il à voix basse.
– Ah bon !
– L’américaine je m’en fous qu’elle soit choquée, mais pour Sophie, ça me gêne.

Le professeur propose alors à Odette de sucer Gérard.

– Si c’est toi qui me le demandes, pas de problème, tu peux me demander ce que tu veux, mon chéri !

Et pendant qu’Odette suce la bite de Gérard, Martinov s’éloigne stratégiquement. Il se dirige vers les trois nanas complètement déchainées, du moins pour ce qui concerne Florentine et Britt parce que Sophie se complet dans la passivité.

– Ben alors Martinov, on fait banquette ! L’apostrophe Florentine.
– Je fais une petite pause.
– Tu ne fais pas des trucs avec Gérard aujourd’hui ?
– Ils font quoi comme trucs ensemble ? demande Britt.
– Oh, ce sont des vrais cochons, ils se sucent la bite, ils s’enculent !
– Oh ! Shocking !
– Pour de vrai ?
– Non juste surprise, mais j’en ai vu d’autres.
– Ce sont des cochons mais de gentils cochons !
– Mais attend, il est pédé, ton mari ! Demande Sophie qui s’interroge !
– Non, il aime trop les femmes, mais il aime bien les bites aussi de temps en temps.
– C’est marrant, ça !
– Ben oui ce n’est pas triste, tu voudrais voir ?
– Ben oui, je ne voudrais pas mourir idiote.
– Gérard, quand tu en auras fini avec cette charmante demoiselle, on aura quelque chose à te demander.

Gérard est en effet occupé à besogner sérieusement Odette Morvan, qui jappe de plaisir sous les coups de boutoir. Il fait signe qu’il a entendu le message, mais « qu’il n’y a pas le feu ! »

– Encule-moi ! Encule-moi ! Supplie Odette.

Il ne faut pas répéter deux fois ce genre de chose à ce bon Gérard, qui change de trou et sodomise la Morvan à la hussarde, la faisant crier des choses incompréhensibles.

Mais toute à une fin, même les meilleures sodos. Gérard décule, laissant Odette chancelante de jouissance. Promptement il ôte sa capote et décharge sur le visage de sa partenaire qui reçoit cette offrande en rigolant !

– T’es un gros cochon, toi !
– Je ne suis pas gros !

Puis se dirigeant vers Martinov et les trois autres femmes :

– Alors qu’est-ce vous vouliez me demander ?
– Ces dames voudraient te voir faire des choses avec le professeur. Répond Florentine
– Euh, c’est-à-dire …
– Ben quoi, tu ne vas pas te dégonfler, Martinov est d’accord.
– Mais attendez, je viens de jouir…
– Ça ne t’empêche pas de le sucer !
– Oui, on veut voir ! Ajoute Sophie
– Oui, oui, je veux voir aussi ! Intervient Britt.

Il tourne son regard vers Odette, mais les trois femmes se mettent à scander :

– On veut voir ! On veut voir !

Il a alors la surprise de voir Odette se joindre à ce chœur lubrique.

Le professeur bande mou, mais Florentine passe derrière lui et lui tortille ses tétons, Miracle la pine devient dure. Gérard s’approche et la lui gobe.

Les quatre femmes sont autour des deux hommes et y vont de leurs commentaires salaces.

– Dis donc ton mec, il a l’air de se régaler ! Fait remarquer Sophie !
– Ben qu’est-ce que tu crois, c’est bon la bite, il n’y a rien de meilleur ! Répond Florentine
– Ah, ça, c’est bien vrai ! Ajoute Odette à qui on n’avait rien demandé.

Gérard poursuit sa fellation pendant quelques minutes toujours sous les regards lubriques des quatre coquines qui en profitent pour se peloter, Florentine après avoir caressé les douces cuisses d’Odette a remonté sa main afin de lui flatter le sein, Britt a carrément mis la main aux fesses de Sophie qui se laisse faire.

– Maintenant, Martinov, si tu enculais mon Gérard, il y a longtemps que je ne l’ai pas vu se faire ramoner la turbine.

Les deux hommes sont d’accord, même si Martinov plus passif qu’actif dans ce genre de rapport aurait préféré le contraire.

Une main généreuse fournit le préservatif et le gel intime. Gérard se penche en avant. Martinov sous le charme de ce joli trou du cul ne peut s’empêcher de le lui donner quelques petits coups de langues prélude à une pénétration qui le fait bien. Et c’est parti.

Il fatigue un peu ce cher professeur ! Dame il n’a plus 20 ans mais s’efforce de bien faire. L’affaire dure un certain temps et quand elle est terminée, les deux hommes ont la surprise de voir ces dames vautrées par terre, Florentine prodiguant une minette à Odette, et Britt faisant la même chose à Sophie.

Les deux hommes regardent ces dames et quand elles furent repues de plaisir, Gérard annonça d’un air égrillard.

– Je ferais bien un gros pipi ! Ça intéresse quelqu’un ?

Il ne s’attendait pas ce que ce soit Odette qui accourt, la bouche ouverte. Et comme l’envie d’uriner est communicative, après le pipi de Gérard, elle reçut ceux de Martinov et de Florentine sous les yeux médusés de Sophie et de Britt.

– Ah ces françaises ! Commenta cette dernière.

Après toutes ces fantaisies, Gérard, Florentine et Sophie prirent congé. Odette sollicita le professeur afin qu’ils dorment ensemble.

– Mais je ronfle !
– Ça fait rien !

Quant à Britt, elle s’écroula sur le canapé.

Auparavant, Béatrice avait pris un taxi pour rentrer, elle se fit arrêter devant une pizzeria près de chez elle et acheta deux pizzas à emporter.

Olga n’avait pas bougé et regardait une émission animalière à la télévision.

– Je commençais à m’inquiéter… Dit-elle. Il y a du nouveau ?
– Plutôt oui ! On a eu la visite de la CIA !
– Et alors ?
– Alors je vais te raconter !

Ce qu’elle fit !

– Mais tu as réussi à bluffer un agent de la CIA ? Elle devait être nulle la fille ?
– Non, elle est loin d’être nulle, mais disons qu’il y a une conjonction d’éléments. D’abord le produit que nous lui avons fait respirer lui a fait avoir de l’empathie pour nous, c’est un effet secondaire bénin, en principe ça ne dure pas, mais là ça a peut-être duré un peu plus que la normale. Et puis j’ai surtout l’impression qu’elle cherchait un prétexte pour se débarrasser de l’affaire, il y a une chose sur laquelle tout le monde est d’accord c’est que l’utilisation de ce produit est dangereuse.
– Donc, qui s’occupe encore de cette affaire ?
– Les services secrets français d’après ce que j’ai compris, mais ils cherchent surtout à coincer ton informateur.
– Ils sont au courant ?
– Ben oui !
– Je n’aurais jamais dû faire confiance à ce mec-là. Il a failli me tuer.
– Ah bon ?
– Disons qu’on a eu une explication, ça s’est mal passé, un moment d’inattention et il m’a assommé avec un gros cendrier en verre. Quand je suis revenue à moi il était parti, et j’avais saigné comme un cochon qu’on égorge.
– La flaque de sang, c’était donc toi !
– Ben oui, pourquoi, ils cherchent qui c’est ?
– Oui !
– Et Malesherbes, on sait où il est ?
– Non ! Mentit Béatrice dont la confiance envers Olga n’était quand même pas au point de tout lui raconter. Bon, on va manger les pizzas avant qu’elles refroidissent. Je commencerais le rapport que tu m’as demandé tout à l’heure et je finirais demain, je resterais ici toute la journée.

Epilogue

Sophie a fini par rentrer chez elle, ou plutôt chez Malesherbes, de bon matin Le temps de constater que la serrure avait été forcée et que le tapis avait disparu, deux gros bras firent irruption dans l’appartement. Eh oui : le lieu était surveillé !

– Veuillez nous suivre sans résistance, il ne vous sera fait aucun mal ! Dit l’un deux.
– Bon, j’arrive, de toute façon, je ne peux pas faire autrement mais vous permettez que je lise le papelard qui est sur la table…
– Vous le lirez à votre retour, allez en route !
– Pff…

Elle resta ainsi près de neuf heures dans les locaux de la DGSE, aux termes desquelles on la relâcha sans explication

La DGSE envoya une note au consulat de France à Buenos-Aires pour les prier de retourner tout renseignement sur le dénommé Désiré Malesherbes. Mais le consulat ne donna jamais suite.

Olga a rendu son rapport à Pavel Ivanov, son supérieur hiérarchique et chef du renseignement de l’ambassade russe.

Il consulte le rapport d’un air entendu alors qu’il n’y comprend strictement rien.

– C’est du bon travail, Olga Boulganine, si je comprends bien, ce sont les services secrets français qui ont voulu nous embrouiller avec une affaire farfelue.
– Oui, il fallait simplement être plus malin qu’eux !
– Encore bravo !
– Je peux avoir 10 jours de congés, j’irais bien embrasser ma famille à Moscou.
– Mais bien sûr ! Je m’en vais vous signer votre permission de congé, pour le reste voyez avec le bureau des voyages. Quant au dossier je le classe… Sinon, Olga vous n’avez pas changé d’avis ?
– Vous parlez de quoi, là ?
– Vous ne voulez pas coucher avec moi ?
– Non !
– Même si je vous paie ?

Olga allait lui dire que tout dépendrait du prix, mais renonça, supputant que cela compliquerait les relations professionnelles avec son supérieur hiérarchique.

– Laissez tomber, Pavel !

Wan Ting Koh s’est évadée du centre de débriefing où elle avait atterri, nul ne sait où elle se trouve, peut-être dans le quartier chinois de Paris où ses contacts pourraient la planquer et lui fournir une nouvelle identité. ! Elle a envoyé afin de la prévenir une carte postale à Odette qui y est allé de sa larme.

Britt Franklin est retournée aux Etats-Unis. Daniel Blotz-Henri est toujours à l’hôpital, il va mieux mais l’état de ses mains ne lui permettra plus de travailler en laboratoire.

Quant à Odette Morvan, en attendant que Wan Ting Koh la recontacte (mais elle n’y croit pas trop) elle est tombée amoureuse du professeur qui a du mal à gérer la situation.

– Tu es sûre de ne pas avoir besoin d’une autre assistante ?
– Mais non, je suis désolé !
– Tu ne m’aimes plus ?
– Mais tu te rends compte de la différence d’âge ?
– Rien à foutre.

Et vous ne savez pas la meilleure ? Les services secrets français n’ont jamais élucidé le mystère du tapis tâché de sang.

Fin de l’épisode.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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