Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 12:56

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 5 – Massage spécial pour Edina par Nicolas Solovionni
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Edina me reçoit en nuisette rose quasi transparente. Waouh, elle est vraiment canon ! Mais je suppose que le choix de cette tenue n’a rien de gratuit, madame doit avoir un plan ? J’ose espérer qu’il ne sera pas machiavélique.

– Bien, commençons, dois-je vous appeler « capitaine » ?
– Peu importe.
– Vous avez eu toute la nuit pour peaufiner un beau mensonge, donc première question : qu’êtes-vous venu foutre ici ?
– Un type m’a vendu les coordonnées de cette planète…
– En vous disant que j’y étais, c’est ça ?
– Oui.
– Et donc vous êtes venu ici en sachant qu’il y avait une belle prime à l’appui et vous me racontez que l’argent ne vous intéresse pas. Me prenez-vous pour une imbécile ?

Elle m’agace, elle ne va jamais me croire… Et ses tétons qui pointent sous sa nuisette, elle va me rendre dingue.

– Si au lieu de mater mes nichons, vous me répondiez ?
– Je n’ai jamais dit que l’argent ne m’intéressait pas, mais ce n’est pas cela qui a motivé ma venue ici…
– C’est quoi alors ?
– Du fric, j’en ai à ne plus savoir en faire, mais je m’emmerdais sur ma planète, alors j’ai voulu réaliser une bonne action…

Je ne sais pas trop ce que j’ai pu dire de drôle, mais Edina se met à rigoler comme une bossue.

– C’est tout ce que vous avez trouvé, vous ne vous êtes pas trop foulé.
– C’est pourtant la vérité.
– Très crédible en effet. Et je peux vous demander d’où sort votre supposée fortune ? L’héritage d’une vieille tante ? Le piratage d’une banque ?
– Non, j’ai trouvé un trésor.
– Non, sans blague, dites-moi, vous êtes capitaine de vaisseau ou directeur d’une troupe de clown ?

Elle m’énerve, elle m’énerve !

– Comment vous prouver ma bonne foi ?
– Racontez-moi cette histoire de trésor, j’adore les contes de fées !
– C’est une longue histoire.
– Je m’en fous, j’ai tout mon temps, je veux tous les détails.

Je lui ai donc raconté mon aventure dans les labyrinthes d’Orza (voir cet épisode).

J’avais vraiment l’impression d’être comme Shéhérazade dans les 1001 nuits, racontant une belle et passionnante histoire afin d’éviter d’être exécuté trop vite.

– Quelle imagination ! On s’y croirait !

Edina active ensuite son interphone, je n’aime pas trop ça et commence à me demander ce qui va me tomber sur le coin de la tronche.

– Baboukar, va me cherchez les quatre autres et amène-les-moi.

Ah bon ?

Mon staff se pointe, peu rassuré, Edina toise tout ce petit monde avec un regard inquisiteur.

– Votre capitaine m’a raconté une bien belle histoire ! Etiez vous avec lui sur cette planète dont j’ai oublié le nom… Vous savez avec le labyrinthe…
– Orza ? Répond Dyane.
– Donc elle existe bien, alors tu vas rester avec nous, Baboukar, tu raccompagnes les autres en bas. Bon toi, comment tu t’appelles ma grande ?
– La grande elle s’appelle Dyane, et vous ?
– Alors Dyane, figure-toi que ton capitaine vient de nous raconter une histoire abracadabrante qui se serait passé sur Orza, mais comme je n’en crois pas un mot, tu vas me raconter ta version de cette belle histoire et avec tous les détails en commençant par le début et en finissant par la fin.
– Mais quel intérêt ?
– Je t’expliquerai si t’es sage, allez je suis tout ouïe !

Dyane ne comprends pas et se tourne vers moi, le regard interrogateur. Je lui fais signe de faire ce qu’on lui dit.

Elle a donc à son tour raconté l’histoire…

– Bravo, vous m’avez bluffé. Parfois la réalité dépasse la fiction. Donc voilà un point d’acquis, vous n’êtes pas vraiment des chasseurs de primes, vous êtes des rêveurs romantiques. Mais dites-moi, chère Dyane qu’avez-vous fait de cet argent facilement gagné ?
– J’ai investi dans un salon de massage de luxe, j’espère que ça ne vous choque pas ?
– Mais non ! Massages traditionnels ou érotiques ?
– Nous faisons les deux, mais je dois avouer que le massage traditionnel est peu demandé.
– Et en ce qui vous concerne, vous vous contentez de supervisez où il vous arrive de mettre la main à la pâte ?
– Ce serait plutôt la main à la bite… mais dites-moi vous êtes fort curieuse.
– Vous n’êtes pas obligée de me répondre.
– Mais je vais le faire quand même, vous savez une bonne cheffe d’entreprise doit montrer l’exemple.
– Hi, hi ! Et vous capitaine qu’avez-vous fait de cet argent ?
– J’ai racheté un night-club !
– Et on y fait quoi dans ce lieu, on danse, on drague ?
– Et même plus, si affinités.
– Vous m’avez l’air bien délurés tous les deux. Je peux vous poser une question, Dyane ?
– Posez, vous êtes chez vous mais je ne vous promets pas d’y répondre.
– Vous êtes quoi sexuellement ?

Dyane ne put refreiner un petit rire nerveux.

– Avec tout le respect que je vous dois, qu’est-ce que ça peut vous foutre ?
– Ne vous braquez pas, ça vous enlaidit le visage, je vais être plus directe : coucheriez-vous avec moi ?
– Si les circonstances étaient différentes, la chose pourrait éventuellement s’envisager mais…
– On peut voir les choses autrement, cela peut être une façon de modifier nos rapports !
– C’est bien possible mais je ne me sens pas trop motivée.
– Je me sens un peu nouée, vous n’allez tout de même pas me refuser un petit massage en tout bien tout honneur.
– Savez-vous que je suis capable de vous prendre au mot ?
– Comment cela ,
– Et bien de vous masser comme vous dites « en tout bien tout honneur » .
– Alors faisons-le.

Et Edina retire sa nuisette sous laquelle elle n’a rien d’autre et s’affale sur le ventre sur un petit et moelleux sofa

Quel cul, mes amis, quel cul !

– Avec de l’huile de massage et une serviette, ce serait mieux ! Lui précise Dyane.

Voilà qui n’est pas un problème, Edina. demande tout cela par l’interphone.

– Je vais vous laisser ! Crois-je pouvoir dire.
– Mais non restez donc, votre présence ne me gêne absolument pas… A moins que la vue de mon joli postérieur vous importune ?
– Il ne m’importune pas, il me charme !
– Alors continuez à le reluquer si ça vous fait du bien. Et vous chère Dyane vous attendez quoi pour commencer ?
– On y va, on y va… Mais je crains qu’avec cette combinaison trop rigide, je sois gênée dans mes mouvements !
– Mais ma chère, mettez-vous donc à poil et ça résoudra le problème.
– Evidemment, c’est une solution…

Et sans discuter davantage, ma seconde de vaisseau se débarrasse de se combinaison grisâtre pour apparaître nue comme la Venus qui vient de naître. J’ai beau la connaître par cœur, la Dyane, je ne me lasse jamais de la vision de sa nudité provocante.

– Dis donc, t’es drôlement gaulée ! Lui fait remarquer Edina.
– Ben oui, il n’y a rien à jeter… peut-être deux ou trois kilos en trop…
– Mais non, mais non. Je peux te toucher tes nichons ?
– On avait dit que l’on ferait ça en mode soft. Objecte Dyane.
– On a jamais dit ça, j’avais simplement parlé d’un petit massage en tout bien tout honneur. Donc pour le bien, je vous fais justement confiance pour me faire ça bien, quant à l’honneur, c’est compliqué ce truc-là…

Dyane éclate de rire.

– Bon, dites-moi clairement ce que vous souhaitez, parce que là je suis un peu perdue ?
– Massez moi mais promettez-moi que je pourrais ensuite vous embrasser les nichons.
– O.K., ça marche !

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Et cette fois c’est parti. Dyane fait couler de l’huile de massage sur le corps voluptueux d’Edina Von Graz, puis l’étale. Et pour le moment le massage reste traditionnel, la nuque, les épaules le dos, les cuisses, pas les fesses… Mais à mon humble avis ça ne devrait pas tarder.

Ben non, ça ne vient pas, j’ai l’impression que Dyane joue à tester la patience de sa partenaire.

C’était tout à fait ça, et ç’est Edina qui craque la première.

– Et si tu me massais un peu le cul ? Ce ne serait pas mal, non ?
– Mais bien sûr il suffisait de demander.

Et voilà Dyane qui se met à malaxer le cul de la vedette comme s’il s’agissait de pâte à pétrir.

Je me marre, parce que je suis bien placé pour savoir comment ma seconde de vaisseau pratique ses massages et je devine donc comment les choses vont évoluer..

N’empêche que de voir ce joli cul huilé se faire malaxer de la sorte me donne la trique et que je ne peux m’empêcher de me tripoter la braguette.

Evidement Edina s’en aperçoit.

– Dite donc, capitaine, si vous avez des envies masturbatoires, ne vous gênez surtout pas pour moi, sortez votre machin et astiquez-le. J’adore qu’on se branle en me regardant !

Je ne vais quand même pas me dégonfler, je sors ma bite toute raide et me la branle doucement. Et histoire de voir mieux ce qui se passe je me rapproche de la table de massage.

Dyane a maintenant écarté les sillons fessiers de sa patiente, et son doigt vient fureter autour de l’anus brun. Edina ne proteste pas. Le contraire m’eut étonné quand même.

– Je te fous un doigt dans le cul ?

J’aime bien Dyane quand elle fait dans le romantisme !

– Oui, vas-y encule moi bien avec ton doigt de salope !

Voilà, le romantisme est partagé !

Dyane fait aller et venir son index dans le trou de balle de la belle.

– T’aimes ça, hein, salope?
– Oh, oui ! Je suis une grosse pute en chaleur, mais j’aimerais quelque chose de plus costaud que ce doigt, capitaine venez donc m’enculer !

Je ne m’y attendais pas à celle-ci ! Mais bon, il y a des invitations qu’on ne saurait refuser ! Et la bite en avant je me précipite vers ce trou du cul fort accueillant

– Attendez, je vais vous sucer un peu avant, comme cela ça glissera mieux !

Voilà qui n’est pas un problème d’autant que sa langue est diabolique, on la croirait montée sur piles. Si elle continue à ce rythme je risque de lui juter dans la bouche, ce qui n’est pas vraiment le but du jeu..

– Allez maintenant tu peux y aller !

Je me déplace vite fait, Edina s’est légèrement relevée afin que je puisse mieux accéder à sa croupe. Je lui écarte les fesses et d’un coup sec je la pénètre.

Pendant ce temps, Dyane est passé de l’autre côté offrant ses jolis seins aux caresses de la vedette en exil.

Je sens que je ne vais pas pouvoir tenir longtemps, et malgré mes efforts pour faire durer la chose, j’éclate ma jouissance dans son cul..

Je me retire un peu péteux. J’ai la bite gluante de sperme et d’autre chose aussi.. Je me recule cherchant de quoi me nettoyer.

– Où tu vas ? Viens là que je te rince !

Après tout si ça lui fait plaisir… Et cette grosse vicieuse se mit à me faire une toilette intime qui avait l’air de la régaler.

– Humm, j’adore sucer une bite qui sort de mon cul !

Ben oui on avait compris !

– J’en reprendrais bien encore ! S’écria Edina décidemment excitée comme une puce. Tu peux repartir ?
– Euh il faudrait attendre 10 minutes…
– Ben moi j’attends pas 10 minutes…

Et la voilà qui se dirige vers l’interphone.

– Boubakar, viens nous voir cinq minutes !

Ah bon ?

Et le voilà qui arrive, il ne semble même pas surpris de nous voir tous les trois à poil.

– Dépêche-toi de te déshabiller, j’ai envie que tu m’encules ! Lui lance Edina.
– Bien Madame !

Et le voilà qui déballe la marchandise. La bite est de bonne taille, j’en ai vu des plus grosses, mais elle est très belle et je n’arrive pas à la détourner de mon regard.

– Bel engin, n’est-ce pas ? Me nargue Edina qui a dû lire dans mes pensées cochonnes.
– J’avoue !
– Je parierais que vicieux comme tu es, tu te la foutrais bien dans ta bouche ?
– Ma foi, pourquoi pas ?
– C’est bien ce que je dis toujours, tous les hommes sont à moitié pédés ! Vas-y suce là, mais juste un peu, parce qu’après je la veux dans mon cul !

Comme le corbeau de la fable, j’ouvre une large bouche et tente d’engloutir ce morceau de choix. Quelle douce texture alliée à une odeur musquée, un véritable régal !

Mais ce n’était qu’une mise en bouche, c’est le cas de le dire, et comme toute mise en bouche, ça ne dure que l’espace d’un instant. Boubakar quitte donc ma bouche pour aller planter sa bite dans le trou accueillant de sa patronne.

Joli spectacle, Dyane est venue près de moi tandis que je regarde, du coup je lui pelote les seins, je ne peux pas m’en empêcher.

Edina a fini par jouir du cul comme une bête en rut.

– Ça devait être un massage soft ! Fait remarquer Dyane avec un sourire narquois.
– Ben oui, ça devait… Boubakar passe-moi ma robe de chambre et après tu pourras nous laisser…. Non, sers-nous donc à boire, ça donne soif toutes ces petits jeux !

On nous a servi un truc légèrement alcoolisé au vague gout d’agrumes, pas mauvais du tout…

– Je peux vous poser une question ? Demandais-je
– Posez toujours, on verra bien !
– Je m’attendais à vous trouver prisonnière…
– Eh bien, vous voyez, je ne le suis pas ! Je comprends votre déception, vous vous imaginiez déjà en héros sauvant la belle actrice des griffes des vilains mâles prédateurs. Ben vous arrivez trop tard, ma libération, je l’ai géré toute seule comme une grande fille.
– Et c’est indiscret de vous demander…
– Comment j’ai fait ? Rien de plus simple, après l’attaque du Glory7, nous avons été dispatchés, je passe… je pensais qu’ils nous garderaient en otage contre rançon mais ils ne voulaient pas prendre le risque de ce genre d’opération, donc après quelques pérégrinations, je me suis retrouvée avec quelques autres jolies femmes dans une vente aux enchères. J’ai été acheté par un dénommé Farkinos, un gros con dont je n’avais jamais entendu parler. Il m’a amené ici… Le mec m’a tout de suite mis au parfum. « J’ai été dans l’obligation de me séparer de ma dernière favorite qui a eu la mauvaise idée de se rebeller, je lui ai donc fait couper la tête » ! J’étais donc dans le château de Barbe Bleue…
– Et vous vous en êtes débarrassé comment ?
– J’y viens, j’y viens ! Pendant un mois, j’ai joué les femmes dociles, le temps de comprendre comment son repaire fonctionnait. Puis une nuit j’ai profité du fait que Farkinos était à moitié bourré pour l’étrangler. J’ai fouillé dans sa chambre et trouvé un pistolet désintégrateur. J’ai donc sonné son garde du corps, celui qui était responsable du meurtre de ma prédécesseuse et je l’ai occis.
– Eh bin !
– Comme vous dites ! Vous avez devant vous une redoutable meurtrière, deux cadavres sur la conscience et je n’ai aucun remord.. Il fallait ensuite que je prépare mon départ, un vaisseau ravitailleur se posait, d’ailleurs il se pose toujours, tous les mois, il suffisait que je lui demande de m’embarquer et le tour était joué. Entre temps j’avais tissé des liens d’amitié avec certains de ses employés, Baboukar, Arkon, les filles… On a fêté l’élimination de Farkinos, on a fait la fête, on a bien rigolé… Quand le vaisseau de ravitaillement est arrivé, je me suis dit que je n’étais pas si pressée que ça et que je pouvais attendre un mois de plus, je me trouvais bien là. De façon naturelle, j’étais devenue la chef de ce dôme, tout le monde m’aimait bien. Je me suis dit que finalement j’étais bien ici, loin des journalistes, des fans débiles, des obligations protocolaires à la con… Et que les gens me croient disparue était le moindre de mes soucis.
– Eh bien, félicitations, chère madame.
– Bof ! Disons que j’ai eu du bol !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 12:52

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 4 – Indira l’intrigante par Nicolas Solovionni
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Je suis assis à côté d’une jolie fille à la peau foncée prénommée Leila qui élude la plupart de mes questions avec un sourire désarmant.

Je n’ai rien appris pendant ce repas (excellent) et n’ai pas trouvé le prétexte pour aborder le sujet qui me préoccupe à savoir s’ils ont entendu parler d’Edina Von Graz, mais je ne désespère pas.

 

Baboukar nous informe qu’on a mis des chambres individuelles à notre disposition afin que nous puissions nous reposer.

 

Ah, bon ? J’aurais voulu me concerter avec mes compagnons afin de savoir s’ils avaient appris quelque chose, on fera donc ça plus tard. C’est vrai qu’une petite sieste ne me fera pas de mal, mais après on fait quoi ?

On nous accompagne dans des chambres, apparemment il y en a beaucoup de libres

Ce n’est pas très spacieux mais c’est propre et confortable. Je m’allonge sur le lit quand voilà qu’on frappe à la porte, et sans que je ne l’autorise à entrer, une des soubrettes qui nous a servi pénètre dans le lieu.

– Je m’appelle Indira !
– Euh oui…
– Avez-vous besoin de quelque chose.
– Pas spécialement, je vous remercie.
– Je peux vous faire un petit massage relaxant, il paraît que je masse très bien.

C’est qu’elle a des arguments, la Indira, sa peau mate et veloutée, un visage d’ange encadré par des cheveux de jais et surtout une poitrine propre à damner un pape.

– Je peux aussi en profiter pour vous sucer la bite, il paraît que je suce très bien !

C’est ce qui s’appelle afficher la couleur ! Mais que voulez-vous la chair est faible, alors je me déshabille et la demoiselle en fait autant.

Indira s’assoit sur le rebord du lit, écarte ses jambes et paraît toute contente de m’exhiber sa chatte.

– Tu la trouves comment ma foufoune ?
– Adorable !
– Viens me la lécher.

Stoffer0404Il est des invitations qui ne se refusent pas

– Hum, tu lèches top bien ! Tu aimes le goût de ma chatte ?
– Bien sûr !
– Elle sent peut-être un peu le pipi ?
– Ça ne me dérange pas !
– Tu aimes le goût du pipi ?
– Disons que c’est amusant.
– Mais tu es un petit cochon ! Tu aimerais que je te pisse quelques gouttes dans ta bouche ?
– Pourquoi pas ?

Indira se posa alors à califourchon au-dessus de ma bouche et après quelques secondes de concentration, libéra un petit filet. La quantité n’y était pas, par contre la qualité… Humm !

– C’est bon, hein ? Me nargue -t-elle
– Délicieux !
– Tu voudrais me lécher le cul ?
– Avec plaisir !

Ma langue s’approche du petit orifice, on ne peut pas dire que l’endroit sente la rose, mais cela ne me gêne pas outre mesure. Le goût est un peu âcre, elle a dû s’essuyer le cul avec un courant d’air.

Ma langue finit par fatiguer un petit peu, alors j’approche le doigt.

– Vas-y fous le moi dans le cul ! Me supplie-t-elle.

Puisque c’est demandé gentiment, je ne vais pas me gêner, mon index coulisse dans le conduit anal, je le fais glisser d’avant en arrière provoquant chez ma partenaire des jappements expressifs.

– Encule-moi, mon chéri, encule-moi !

Ben oui, c’est dans l’ordre des choses, non ? Ma bite bandée comme un arc entre dans son cul avec une facilité déconcertante et c’est parti pour une bonne sodomie en cadence.

– Oh, tu m’encules bien, c’est bon ! Dis-moi que je suis ta chienne, que je suis ta salope…

Si ça lui fait plaisir…

– Tiens salope ! Tiens morue ! T’aimes ça te faire défoncer la rondelle ?
– Oui, oui, encore !

J’essaie de me contrôler afin de faire durer le plaisir mais ce n’est guère évident, je sens ma jouissance monter. Je choisi de faire une pause et je décule.

– Hé, ne t’en va pas, reste dans mon cul !
– Attends, c’est juste un petit entracte !
– Oh ! Qu’elle est belle ta bite quand elle sort de mon cul !

Ah bon ?

Et sans crier gare, la voilà qui me la gobe, sans regarder l’état de la chose, et même qu’elle a l’air de se régaler.

Le souci, c’est qu’avec la fougue qu’elle met à me pomper, je ne vais pas pouvoir ternir longtemps… Et c’est exactement ce qui se passe, j’éclate dans sa bouche.

Elle en avale une partie et recrache l’autre en se l’étalant sur ses seins.

– Tu veux les lécher ?

Je suis toujours un peu démotivé après avoir joui, mais je veux pas refuser de lui faire plaisir. D’ailleurs elle n’a pas joui à fond…

Alors je lui demande de s’étaler sur la couchette, et je viens entre ses jambes lui butiner la chatte jusqu’à ce que mademoiselle monte au plafond.

Un vrai volcan cette nana, mais elle m’a fait jouir de façon fabuleuse ! Je pensais qu’elle allait me laisser me reposer, mais non la voilà qui se met à parler :

– Bon je vais être très directe : j’ai entendu quelques conversations, vous n’êtes pas ici par hasard…
– Pourtant si !
– Non, Arkon pense que votre panne est bidon…
– N’importe quoi !
– Non, vous cherchez quelque chose… ou quelqu’un …

Elle m’énerve, il me paraît évident qu’elle est missionnée pour me tirer les vers du nez. Un peu trop grosse, la ficelle !

– Ecoute ma grande, t’es mignonne comme un cœur mais pour l’instant j’ai envie de dormir, alors tu vas être gentille et me laisser roupiller.
– Bon, dans cinq minutes je disparais, mais juste une question, ça te dirait de faire une bonne action ?
– Quelle bonne action ?
– En bref, j’étais à bord du Glory7 quand il a été piraté, j’étais la dame de compagnie d’une bonne femme. Après l’attaque on a été dispatché, je me suis retrouvée ici. Mais je voudrais partir. J’en ai un peu marre.
– Ah ? Et on te laissera partir ?
– Ben non, je sais trop de choses ! Mais j’ai un plan !
– Ah ?
– Et en échange, je peux te fournir ce que tu cherches.
– Je ne cherche rien !
– Pourquoi tu mens ?
– Bon tu me les lâches maintenant !
– T’es pas gentil ! Mais réfléchis quand-même !

La voilà enfin partie ! Réfléchir ? C’est vrai que tout cela demande réflexion, d’abord une certitude, notre « coup de la panne » ne les a pas trompés. Seconde chose, ils cachent quelque chose ici, à moins que ce soit carrément Edina Von Graz. Quant au baratin d’Indira, de deux choses l’une ou elle dit vrai ou elle bluffe, et je n’arrive pas à savoir qu’elle est la bonne version.

J’ai dû dormir une bonne heure et je dormirais sans doute encore si Indira n’était pas revenue pour me réveiller.

– Alors, tu as réfléchi ?
– Non, j’ai dormi !
– Je vais te conduire à la salle de repos

Je ne cherche pas trop à comprendre et suis la nana jusqu’à une grande salle dans laquelle mes compagnons sont d’ores et déjà installés

– Voilà il y a ici tout ce qu’il faut pour vous détendre. Des films, des jeux, des bouquins. Les toilettes sont dans le coin là-bas. On vous a mis quelques rafraîchissements dans le frigo.

La fille nous laisse, on se regarde tous bizarrement, il me paraît évident que nos hôtes vont nous surveiller et nous écouter.

J’écris un mot sur mon spacephone : « attention à nos paroles, ils nous écoutent sûrement, souriez ! » et je le fais passer à mes camarades en mimant l’attitude du gars qui leur en montre une bien bonne.

Cette précaution étant prise on peut parler de ce qui ne porte pas à conséquence.

– Il y a une nana qui est venue me masser, du moins c’était le prétexte, en fait on s’est envoyé en l’air.
– Moi aussi ! indique Dilos.

Nerren nous dit avoir éconduit une accorte personne qui ne le branchait pas, quant à ces dames, on ne leur a envoyé personne, sans doute n’ont-ils pas de jeunes hommes sexy à disposition.

N’empêche que j’aurais bien voulu savoir ce qui s’est passé avec Dilos, alors faute de pouvoir parler on s’échange du texte sur nos spacephones.

J’apprends donc qu’on a essayé à lui aussi de lui tirer les vers du nez. Mais contrairement à moi, sa partenaire ne sollicita aucun échange éventuel. Bizarre !

A l’étage du dessus Eugenia a réuni Arkon, Baboukar, Indira et Leila, la jeune fille qui a essayé de brancher Dilos

– Si je comprends bien, on n’en sait pas davantage, sinon vous me l’auriez déjà dit !
– Le type n’a pas arrêté de me dire qu’ils avaient une panne. Explique Leila.
– Pareil pour moi ! Ajoute Indira.
– On sait que c’est faux. Intervient Arkon.
– Bon, il ne faut se voiler la face, ces mecs sont des chasseurs de primes, ils me cherchent.
– Ben oui, reste à savoir comment ils t’ont localisé ?
– C’est en effet une question à laquelle il faudra répondre, mais la première chose à faire, c’est de débloquer la situation, quelqu’un a une idée ?
– On les flingue ! Propose Baboukar en toute simplicité.
– J’ai déjà dit « non ». Ils ont dû faire comme tout le monde, indiquer nos coordonnées quelque part, sur le mode « à ouvrir si on n’est pas revenu dans tant de jours », donc ça ne règle rien au contraire.

Moment de silence, tout le monde réfléchit mais tout le monde semble sécher jusqu’à ce que Leila propose :

– On va leur dire que t’es morte et le problème sera réglé.
– Ben non, reprend Baboukar, je leur ai raconté qu’on était une communauté de reclus volontaires, sans évoquer ta présence, c’est pas trop compatible…
– C’est malin, rouspète Eugenia.
– Fallait bien justifier notre présence, si on sort ton baratin, ça nous caractérisera comme menteurs, ils ne goberont jamais ce truc !
– Bon, il ne reste qu’une option, reprit Eugenia, c’est le statuquo, on va leur dire qu’ils peuvent repartir, si comme je le pense, ils viennent pour moi, ils vont forcément tenter quelque chose

Arkon est venu nous voir, et nous a indiqué que le bricolage logiciel avait été plus rapide que prévu.

– Ça vaut bien une caisse de pinard, non ?
– Bien sûr !
– Je vous installe le logiciel demain matin et vous allez pouvoir repartir… Ce soir nous mangerons ensemble, ensuite vous pourrez vous reposer dans vos chambres.
– Et si on n’a pas sommeil on pourra venir ici regarder des vidéos ? Demandais-je.
– Bien sûr, vous êtes nos hôtes, vous n’êtes pas prisonniers.

Faux cul !

On fait comment maintenant ? il nous reste peu de temps pour tenter quelque chose, mais quoi ?

Nous avons attendu en rongeant notre frein et avons convenu qu’après le repas du soir, avant de gagner nos chambres, nous nous rendrons tous dans la salle commune afin de faire une partie de Cosmopoly-simulator.

Le repas fut d’excellente qualité, toujours du glochton mais préparé différemment. Bien sûr nous avons eu droit de nouveau aux questions insidieuses. Si celles de Baboukar purent être éludés facilement, celles d’Arkon autrement plus subtiles nous placèrent dans un certain embarras. Je m’en sortais (si l’on peut dire) par une pirouette :

– Vous savez, mon vieux, on ne fait pas toujours des choses bien légales, alors on s’est fixé une règle : on n’en parle jamais !

Ce mec m’énerve profondément, il est loin d’être idiot et sait qu’on cache quelque chose, alors pourquoi tout ce cinéma ?

On a attendu environ deux heures. J’ai indiqué à mes compagnons qu’ils devaient continuer à jouer.

– Et pendant ce temps-là je vais faire un tour dans les couloirs.

Je jette un coup d’œil, apparemment il n’y a personne en vue, je trouve ça un peu bizarre, ces mecs doivent être persuadés que nous n’allons rien trouver…

Un couloir circulaire court le long de la paroi intérieure du dôme, j’en fais le tour sans trouver quoi que ce soit de particulier, mais je compte les portes.

Un autre couloir, rectiligne celui-ci traverse le dôme dans sa diagonale en croisant un autre perpendiculaire en son centre. Moins de portes mais il est évident qu’une partie de la surface est dédié aux nécessaires installations techniques.

Certaines portes sont protégées par un digicode…

Un digicode ? Voilà qui n’est pas sans me poser questions ! Car enfin, de deux choses l’une : ou bien les types qui sont ici le sont à la régulière et ils ont récupéré les codes comme il se doit, y compris les procédures de reconnaissance faciale, sinon si ce sont des squatters, comment ont-ils fait ?

Mais c’est bien sûr !

Je pousse la porte, elle s’ouvre toute seule comme une grande et me retrouve dans une serre hydroponique !

Le digicode a été saboté, les résidents du dôme sont donc bien des squatters. Le contraire eut été étonnant !

Je n’ai rien à faire dans cette serre, assez jolie, je trouve, je ressors et continue de cheminer.

Autre porte avec digicode, un local technique dont je me fous complètement, troisième porte : un escalier montant, il y a donc un second étage… normal vu la structure du dôme.

J’emprunte donc cet escalier, j’avance un peu, une porte est carrément ouverte et je m’en approche.

– Entrez, jeune homme, je vous attendais !

Imaginez ma surprise car j’ai devant moi, devinez qui ? Edina Von Graz en personne. Je reste muet de stupéfaction.

– Alors on se balade ?
– Je, je…
– Arrêtez donc de bafouiller. Vous recherchez Edina Von Graz, manque de bol, elle n’existe plus. Moi je suis Eugenia Schiller et je me trouve très bien ici, si votre intention était de me récupérer dans l’intention d’empocher une prime, ce n’est même plus la peine d’y penser !

Je m’attendais à tout mais pas à ça. Imaginez ma stupeur !

– Je ne comprends pas, balbutiais-je.
– Il n’y a rien à comprendre, et au risque de me répéter, je me trouve très bien ici. Je comprends votre déception, vous pensiez vous enrichir, ben c’est raté, et confidence pour confidence, sachez que j’ai horreur des chasseurs de primes.
– Je ne suis pas un chasseur de primes.
– Vous êtes quoi, alors ? Ne me dites pas que vous êtes un flic, je ne vous croirais pas.
– Je ne suis pas un flic.
– Bon racontez-moi ce que vous voulez, je m’en fous. Là je suis un peu fatiguée, alors vous allez regagnez gentiment votre chambre. Demain il faudra qu’on cause, je veux savoir le nom du fils de pute qui m’a localisé. Et par ailleurs je tiens à ce que m’a présence ici reste secrète. Si vous avez une idée à ce propos je suis preneuse, ça m’embêterait d’être obligée de vous tuer, ça fait des saletés.
– Mais…
– Plus un mot, allez faire dodo.

C’est qui cette furie ?

Je reviens vers mes compagnons et leur fait part de ma rencontre avec Edina Von Graz.

– Plus la peine de prendre des précautions, j’ignore si on nous écoute, mais maintenant on peut s’en foutre. Précisais-je.
– Pour l’informateur, on peut balancer le nom, elle n’ira pas le chercher. Suggère Dyane.
– On va avoir un problème avec ce mec, il attend la moitié de la prime. Ajoute Dilos.

Bordel, je n’avais pas pensé à ça ! Une complication de plus parce que le souci de discrétion de la miss, je ne vois pas comment le traiter.

On est allé se coucher, pas évident de trouver le sommeil.

Au petit matin, c’est Indira qui vint me réveiller.

– Si je comprends bien Eugenia a changé ses plans, n’empêche que je désire toujours partir, qu’est-ce que je dois faire ?
– J’en sais rien, la situation devient compliquée, mais si j’ai la possibilité de t’emmener, je le ferais.

Voilà qui ne m’engage à rien, mais ma réponse était néanmoins sincère.

– Elle veut vous voir !
– Moi seulement ?
– Pour l’instant. Oui !
– J’aurais bien pris une douche et mangé un petit truc.
– Elle désire vous voir maintenant !insista-t-elle.

On y va, on y va !

A suivre

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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 12:51

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 3 -Partouze cosmique par Nicolas Solovionni
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Nous avons pu après ces péripéties, sauter dans l’hyperespace et bien évidemment sacrifier aux traditions. Mais certaines traditions n’ont rien d’une corvée, bien au contraire.

On remplit les verres (parce que c’est toujours comme ça que ça commence !) Puis on attend un prétexte pour faire des choses plus osées. Vous allez me dire pourquoi, un prétexte ? Pour rien ! Simplement ça fait partie du « jeu ».

Et c’est Nadget qui donne le signal. (pour ce genre de choses, elle n’est jamais la dernière…)

– L’apéro c’est sympa, mais sucer de la bite ce n’est pas mal non plus ! Déclare-t-elle d’un ton doctoral
– T’as pas honte ? Lui lance Nerren en rigolant.
– Non, non !
– Tu ne veux pas que je te suce ?
– Mais si, mais si !
– Alors baisse ton froc.

Nerren s’exécute et se fait provocateur en tortillant du croupion.

– Regardez-moi ça ! S’exclame Dilos, il a vraiment un cul de pédé !
– Et alors, ça te gêne ! L’apostrophe Dyane
– Non, non, je disais ça comme ça !
– Oui mais tu l’as dit d’un ton péjoratif ce n’est pas gentil.
– Mai non , mais non !
– Tu n’as plus qu’une chose à faire pour te faire pardonner, c’est de lui embrasser le cul.
– Ah, mais vous m’énervez.

Et Dilos sentant que s’il ne prend pas lui-même d’initiative, la situation risque de lui échapper, il se baisse pour embrasser les jolies fesses de son collègue, puis il se relève et s’en va se servir à boire.

Nadget s’est emparé de la bite de Nerren et la fait coulisser entre ses doigts de fée afin de la doter d’une belle rigidité.

Superbe bite, une jolie hampe parcourue d’une petite veine bleue, un gland rougeâtre et luisant, un vrai petit bijou… et même que j’en ai l’eau à la bouche.

Nadget approche sa langue, titille le gland ce qui fait vibrer l’homme de plaisir puis sans crier gare prend tout en bouche en commençant une série d’allers et retours bien baveux.

Je sais que dans quelques minutes cette belle bite sera pour moi, mais pour l’instant je m’en voudrais de déranger la jolie blackette dans son trip, aussi je passe derrière Nerren…

C’est vrai que ses fesses sont splendides et pourrait rendre jalouses pas mal de nanas.

Je caresse, j’embrasse, j’écarte et ma langue s’en va fureter du côté de son petit anus brun et fripé au petit gout d’andouillette terrienne à l’ancienne. Quel régal! Et je lèche tant et si bien que cette délicieuse et coquine rondelle ne tarde pas s’entrouvrir me permettant d’y pénétrer ma langue un peu plus avant.

Laquelle langue commence à fatiguer quelque peu (je voudrais vous y voir, vous !) C’est donc maintenant mon doigt qui entre dans ce mignon trou du cul accueillant, et vas-y que je bouge et que je te fais frétiller tout ça. Il en a de la chance Nerren, sucé par devant par une superbe nana et doigté par derrière par son capitaine lubrique !

Je contourne le bonhomme et fais signe à la blackette que je voudrais bien à mon tour ma part de quéquette..

Pas compliquée la fille, on permute la voilà derrière, me voilà devant.

Pas de préliminaires, directo dans la bouche !

– T’aime ça, sucer des bites, hein ? Vient me narguer Dyane qui ne s’est pas encore mise à l’aise.
– Han han ! (je n’aime pas parler la bouche pleine !)

Stoffer0403Je me régale, j’adore ça, et je m’en fous de passer aux yeux de certains pour un pervers, j’adore sucer des bites, j’adore les conserver longtemps dans ma bouche, les imprégner de ma salive, les caresser de ma langue… Mais si ma bouche aime les bites, mon cul n’est pas en reste, et je sais que tout à l’heure je me ferais sodomiser.

Mais pour l’instant je dois faire attention si je veux que le délire continue, il ne faudrait pas que mon partenaire jouisse prématurément.

On fait donc une petite pause, pas bien longtemps, car Nadget excitée comme une puce vient maintenant solliciter Dilos qui ne refuse pas ses avances. Et les voilà à poil en train de se caresser et de s’embrasser à pleine bouche.

Et tandis que Nerren est allé se désaltérer, Dyane vient me mettre ses gros nénés sous le nez. Ce doit être un réflexe chez moi, quand j’ai des beaux nichons devant moi, il faut que j’en lèche les tétons. En fait j’aime beaucoup de choses ! Je suis un pervers polymorphe comme dirait le docteur Freud.

– Ben alors, ducon, tu ne tiens pas la distance ?

Un cri du cœur de Nadget qui reproche à Dilos d’avoir joui prématurément.

– Oh, ma cocotte, Dilos n’a pas été gentil avec toi, viens voir Tata Dyane, elle va bien te lécher ton abricot.

Et voilà nos deux goudous en soixante-neuf en train de se gamahucher la figue réciproquement. C’est si beau de voir deux femmes s’aimer.

Nerren revient vers moi, il a un peu débandé. Qu’à cela ne tienne, une petite branlette pour remettre son bigoudi en forme, une petite sucette parce que je ne peux pas m’en empêcher et je me positionne en levrette. Nerren m’écarte les globes fessiers et vient me lécher le trou de balle ! Oh ! Quelle langue, mes amis ! Et voici qu’il me fout un doigt ! Quelle idée, je n’en veux pas de son doigt, c’est sa bite que je veux ! Mais justement la voici qui s’approche, puis qui pénètre son gland avant de s’enfoncer tout entière dans mon cul. Quelle sensation ! Et c’est parti pour une série de va-et-vient qui me font vibrer. Quel plaisir de se faire enculer !

Dans le coin à gauche, on entend un cri de jouissance, c’est Dyane qui s’est fait envoyer au ciel par la langue diabolique de la petite blackette, laquelle n’attendit pas cinq minutes pour venir le rejoindre dans l’extase.

Et un troisième cri… mais ça n’a rien à voir c’est le chat du bord qui passant par-là se mit à miauler. Je parie que Nadget a encore oublié de lui donner à boire. Pauvre bestiole !

Nadget s’approche de moi pendant que Nerren continue à me besogner par derrière. Je me doute de ce qu’elle vient chercher, la coquine !

Ça ne loupe pas, Nerren jouit brusquement (et bruyamment), il dégage sa bite de mon cul, Nadget la happe au passage et en nettoie le sperme… et le reste…. Quand je vous disais que c’était une grosse coquine.

Cette petite sodo était fort agréable mais n’empêche que je n’ai pas joui…

– Oh, le pauvre lapin ! se moque Dyane qui m’attrape la queue d’une main énergique et se met à me la branler en cadence.

Dyane est une bonne branleuse, en trois minutes je giclais mon sperme sur ses gros lolos. Et devinez quoi ? ce sperme Nadget vint alors le lécher, elle est insatiable aujourd’hui, celle-ci !

Nous avons enfermé les deux détectives dans deux cabines libres munies d’un système de fermeture ultra sécurisé bricolé de main de maître par l’ami Dilos.

Trois semaines plus tard nous sortions de l’hyperespace et nous retrouvions dans le système de V6783 dans lequel gravitait la planète supposée abriter Edina Von Graz…

– Planète repérée, on y sera dans douze heures ! Annonce Nerren.

Effectivement la planète apparaît sur les écrans de contrôle.

– C’est quoi ce délire ? S’exclame Dyane, c’est une planète de glace, c’est bien celle-ci au moins ?

Je vérifie, elle correspond bien aux coordonnées que m’a communiquée Ravo.

– On va s’approcher, on verra bien.

J’ai de plus en plus l’impression que nous nous sommes fait avoir.

– Activité biologique détectée ! Annonce Dilos.
– Ce doit être des poissons rouges ! Répondis-je, sceptique.
– Non, là il y a une activité électrique !
– Ben oui, il y a des poissons électriques.
– Arrête tes vannes, c’est de la grosse électricité.
– Bon, on s’approche et on essaie un contact.

De près la planète n’avait rien d’avenante, de la glace, de la neige et encore de la glace.

– Moins 40 ° ! Annonce Dilos, on va sortir les pull-overs !
– Allô, allô, ici cargo Rosa Munda, petits problèmes à bord, demandons autorisation d’atterrir.
– Patientez cinq minutes. Nous répond une voix pète-sec.

Patientez pour quoi faire ?

– Rosa Munda, autorisation acceptée, nous vous balisons le terrain d’atterrissage, faites attention ça glisse et c’est un peu exigu. Attendez nos instructions pour la suite et ne sortez pas de votre vaisseau.
– Ok.

Ces salopards nous font atterrir sur une vraie patinoire.

Ça tangue là-dedans de façon dangereuse, j’ai beau avoir mon paquet d’heures de vol, je n’ai jamais fait ce genre d’atterrissage sur banquise, les freins répondent mal, je dépasse le bout de la piste, mais ce n’est pas plus mal, le terrain légèrement accidenté ralentit le vaisseau, je parviens à le redresser et repart dans l’autre sens en vitesse minimale.

Ouf !

Mes collègues m’applaudissent, c’est gentil, il ne fallait pas !

Un coup d’œil aux environs, un grand dôme d’une cinquantaine de mètres de diamètre abrite la base locale, à tous les coups une ancienne installation scientifique abandonnée pour des raisons budgétaires… comme tant d’autres …

– Allo ! Jolie votre sortie de piste !

Il se fout de ma gueule, ce con !

– Allô, c’est quoi vos problèmes ?
– Le logiciel de navigation qui déconne.
– Vous n’avez pas de back-up ?
– Si mais ça ne marche pas.
– Bizarre votre truc, ne bougez pas je vais vous envoyer un technicien, patientez un petit peu.

Merde et crotte de saurien ! Voilà une situation complètement imprévue !

– Je peux boguer les programmes, nous dit Dilos, ça nous ferait gagner du temps, mais un technicien pourra débuguer en cinq minutes, on aura plus aucune raison de rester.
– Vas-y bogue, pour le reste je gère.

Du moins je vais essayer de gérer.

Un mec en tenue spatiale demande à entrer, il se met à l’aise dans le sas et apparaît, une vraie caricature de geek de cinoche, visage acnéique, lunettes comme on n’en fait plus et surpoids conséquent.

– Bonjour, m’sieu-dames. Moi c’est Arkon. Je vais regarder ce qui se passe, j’ai apporté un simulateur, renseignez vos codes s’il vous plaît

Le gars fait quelques manips

– C’est quoi ce bordel ? Rien ne répond, faite voir le backup ?

Manifestement le gars ne capte rien, à moins qu’il ait compris et qu’il refuse de le montrer.

– Bon je renonce à comprendre, on va faire simple, je vais me faire envoyer un logiciel propre, qui soit compatible avec votre vaisseau, je vous l’installe, je crée des backups et l’incident sera terminé. Ça va prendre une heure environ.
– Est-ce que pendant ce temps-là je peux m’entretenir avec vos responsables ?
– Par radio ?
– Si on ne peut pas faire autrement…
– Je vous mets en contact.

Je tombais sur une bonne femme à la voix rocailleuse à qui j’expliquais que nous avions raté notre livraison chez une planète cliente en raison de nos problèmes de logiciel, et que nous avions en cale plein de bonnes choses…

– Vins fins, alcools, épicerie et confiseries de luxe, cigares haut de gamme, sex-toys.
– On vous rappelle !

Une heure plus tard Arkon nous signala qu’il avait terminé l’installation mais que le logiciel installé n’était pas entièrement compatible avec notre vaisseau et qu’il faudrait qu’il le bricole…

– Ça va être un peu long, mais je sais faire. J’en aurais pour trois jours, mais ce ne sera pas gratuit, après vous allez pouvoir repartir.
– Euh, on m’avait dit qu’on me rappellerait.
– Ils vont le faire, soyez patient…

De toute façon Arkon semblait avoir deviné que nous n’avions aucune intention de partir si vite.

Rentré dans sa base Arkon s’entretien avec Eugenia, la maîtresse des lieux :

– Alors ?
– Ces gars-là sont des imposteurs, leur logiciel n’avait rien du tout, ils ont dû le trafiquer au dernier moment pour donner le change. Je les ai bluffé.
– Tu crois qu’ils sont dangereux ?
– Va savoir ? J’aurais pu leur dire de partir de suite, mais je me suis dit que dans ce cas ils risqueraient de revenir avec des plans plus radicaux… Donc autant en apprendre le maximum avant de les virer…
– Tu as bien fait, et tu préconises quoi ?
– Il y a plein de solutions, en commençant par la plus définitive : l’élimination.
– Et s’ils ont laissé leurs coordonnées quelque part, on se farcira une commission d’enquête, t’es pas un peu malade, non ?
– Pardon maitresse.
– Y’a pas de quoi ! Non ces gars-là cherchent quelque chose et il n’est pas bien difficile de deviner quoi, on va donc les bluffer, leur jouer la comédie.
– Et concrètement ?
– On va accepter leur fond de cale, c’est toujours bon à prendre, on va les recevoir dignement, puis on improvisera.

Eugenia appela ensuite Baboukar, un impressionnant colosse noir

– Voilà ce que tu vas faire… et surtout pas d’impair, il y va de notre sécurité à tous, ce cirque ne devrait pas excéder trois jours, après on les vire. Bien sûr tu me rendras compte régulièrement et discrètement.

La base après nous avoir fait poireauter un bon bout de temps a fini par nous répondre. Ils sont a priori intéressés et nous envoie un type pour estimer la marchandise.

Ce fut rapide, Baboukar était comme un gosse dans un magasin de jouets, là au milieu de nos Pinard et autres victuailles (sans parles des godes…)

– Ça nous intéresse, vous en voulez combien ?

Je lui indique, il ne marchande même pas

– Le seul problème c’est le paiement, on n’a pas de compte, mais on peut vous payer en bijoux.
– Pas de soucis !
– Je vous propose de fêter notre accord, je suis le chef de cette petite communauté, je vous invite vous et votre état-major à partager un petit repas convivial…

Super, nous allons donc pouvoir entrer dans la place, ensuite il est bien connu qu’un bon repas, surtout s’il est bien arrosé est propre à délier les langues les plus rétives.

– Qu’est-ce qu’on fait des deux détectives si on s’absente plusieurs jours ? Demande Nerren.
– L’équipage peut s’en occuper, non ?
– Ça me paraît un peu risqué… Ces mecs-là sont des manipulateurs….
– T’as raison, on va laisser l’équipage en dehors de ça. On va leur laisser des barres vitaminées, ils ne mourront pas de faim ! Sinon ils ont de l’eau…

Un camion équipé est venu prendre possession de notre boustifaille, puis revêtus de nos combinaisons spatiales, je me suis dirigé vers le sas du dôme accompagné de Dyane, de Nerren et de Dilos.

J’avertis préalablement mes compagnons :

– Attention, buvez modérément, il n’est pas impossible qu’ils veuillent nous faire parler… Et évidemment interdiction d’évoquer notre vraie mission, même si nous sommes entre nous, on ne sait jamais, il peut y avoir des micros.
– Tu ne serais pas un peu parano ? Se moque Dyane
– Je ne suis pas parano, je suis méfiant.

Dans le sas une voix au micro nous informe.

« Nous avons mis à votre disposition des tenues provisoires, merci de vous déshabiller entièrement, nous disons bien entièrement, et de les passer, vous récupérez vos effets personnels quand vous nous quitterez, vous sortirez du sas un par un et nous contrôlerons que vous ne faites pas entrer d’armes ou autres objets dangereux. Nous nous excusons de cette formalité qui peut vous paraître humiliante, mais il y va de notre sécurité. Ensuite si tout s’est bien passé nous vous recevrons avec courtoisie. »

Nous avons donc revêtu des combinaisons grisâtres d’une laideur absolue. Mais qu’importe, nous ne sommes pas venus ici pour faire un défilé de mode !

A la sortie du sas : un couloir, une porte et nous voici directement dans une salle à manger.

Baboukar nous accueille il nous fait les présentations. il y a deux autres types et aussi Arkon que nous connaissions déjà… Mais personne qui ressemble de près ou de loin à Edina Von Graz.

On boit l’apéro, Baboukar est en face de moi.

– Nous sommes, nous dit-il une petite communauté qui fuyons la civilisation, on a trouvé ce dôme par hasard et nous l’avons acheté sur nos fonds propres… pour trois fois rien.
– Je vois, et vous n’avez pas de problèmes d’approvisionnement ? Demandais-je.
– Non, nous sommes en contrat avec un vaisseau ravitailleur, de toute façon nous n’avons pas beaucoup de besoins, en échange on leur refile nos poissons locaux, les glochtons, ce ne sont pas vraiment des poissons mais c’est délicieux, d’ailleurs vous allez pouvoir y goûter.

Bref, je n’apprends pas grand-chose, on passe à table, effectivement ces glochtons sont délicieux, le pinard est moyen mais buvable, quant aux serveuses ce n’est rien de dire qu’elles sont accortes, tenue de soubrettes d’opérettes avec jupette au ras de la moule et décolleté plongeant. Oh là là !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 12:50

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 2 – Dyane et Ruby (et Yoyo aussi) par Nicolas Solovionni
Mat Stamp

Sachant comment fonctionnait le bonhomme, Dyane défit la fermeture éclair de son haut libérant et exhibant sa jolie poitrine.

– Oh, que c’est beau, on ne s’en lasse pas ! S’exclame Rudy.
– Caresse, mais doucement !

« Heureusement que je lui ai dit de faire doucement ! » Se dit Dyane, l’homme ayant tendance à confondre nichon et pâte à modeler.

– Embrasse-les, mais sans t’énerver, ce n’en sera que meilleur.

C’est toujours comme ça avec certains mâles, on leur dit de se calmer, alors ils se calment et cinq minutes plus tard, ils ont oublié de se calmer… Mais n’empêche qu’avec ce traitement les tétons de Dyane deviennent tout durs !

– Je te fais bander, hein mon salaud ?
– C’est toi la salope !
– Ben dit donc !

Les mains de Dyane sont venues trifouiller dans le pantalon de Rudy et en ont extrait une bite dressée comme un mât de cocagne.

– On va sucer un peu tout ça.

Stoffer0402Inutile de demander son avis à l’homme, il est des propositions qu’on ne saurait refuser

Et hop, que je te mette ça dans la bouche et c’est parti pour une série d’allers et retours bien cadencé… Petite diversion pour s’occuper un peu des coucougnettes du monsieur qui sont bien pendantes…et puis un petit peu de bout de langue vibrante sur le bout du gland… ça les rend fous !

– Bon tu voudrais jouir comment ? Lui demande-t-elle.
– Y’a pas le feu !
– C’est pas une réponse.
– Une petite sodo, ce n’est pas trop demandé ?
– Va falloir que je retire mon pantalon, alors ?
– Ben oui ! Répond Rudy qui n’a pas trop le sens de l’humour ?
– Et comme ça tu verras mes fesses !
– Ben oui !

En ce moment Dyane a comme l’impression qu’elle pourrait faire ce qu’elle veut de son partenaire et le manipuler dans tous le sens du terme. Parfois le sexe ça rend dingue !

Elle se redresse, prend bien son temps, fait glisser son pantalon et son slip.

– Caresse mes fesses, caresse mes belles fesses !
– Oh que c’est beau !
– Ça va, je ne me plains pas trop !
– Lèche, lèche -moi le trou du cul !
– Il est propre au moins ?
– Mais dis donc ! Lèche tu verras bien !

Il lèche se ragalant du goût du fion de la jolie blonde, mais bientôt c’est un doigt qui vient fureter dans cet anus bien humecté.

– Mais dis-donc, je ne t’ai pas autorisé à faire ça !
– Euh…
– Tu peux continuer mais à ce moment-là, pas de sodo, c’est l’un ou l’autre !
– Cruelle !
– Parfaitement !
– Bon, je vais t’enculer comme une chienne !
– Mon cul est à vous, monsieur le poète !

Il entre facilement… faut dire que la belle Dyane a une certaine habitude de se faire ramoner par le petit trou… Et c’est parti pour une série de va-et vient ponctuée par des ânonnements compulsifs

Etant positionnée en levrette, Dyane ne peut pas voir le visage convulsé de l’homme qui se sait (déjà) proche de la jouissance.

Mais le voilà qui se retire brusquement…

– Retourne-toi, regarde-moi ! Eructe-t-il.

Juste le temps de le faire et trois ou quatre projections de sperme qui atterrissent sur la poitrine de la belle.

– Cochon !
– Ah, ça fait du bien !
– J’ai encore de la chance, il n’y en pas sur mes fringues…
– C’est la fougue de l’excitation…
– Oui mon biquet, le lavabo c’est toujours à côté ?

Dyane me rapporte ce qu’elle a glané… je me renseigne un peu sur ce Farah day. Je connais de vue son capitaine, un certain Douglas. Son Vaisseau fait une navette permanente entre trois planètes, apportant sur Vargala des produits non disponibles ici, médicaments, pièces détachées diverses et autres bricoles. Vraiment pas le profil d’un trafiquant ni surtout d’un pirate.

– Donc Ravo n’est capitaine de rien du tout, il a donc soit voyagé en tant que passager soit il s’est fait embaucher comme membre d’équipage ce qui pour nous revient au même. On se fout de la planète où il a embarqué, il a dû faire un circuit !
– Tu laisses tomber, alors ?
– Je ne sais pas trop. J’ai consulté le site où ils parlent du piratage du Glory7, le vaisseau qui transportait Edina Von Graz. En fait la moitié des passagers ont été retrouvés.
– Mais pas Edina !
– Non pas elle.
– Tu te rends compte le nombre de personnes que ce genre de flibuste implique ? Déjà il faut une complicité dans le vaisseau, ensuite il faut une équipe pour reprendre le pilotage et l’acheminer on ne sait où. Après il y a le dispatching avec tous les gens intéressés, marchands d’esclaves, proxénètes, ferrailleurs et que sais-je encore, de toute façon des tas de gens différents, sachant que ces types vont aussi traiter avec d’autres, ça nous fait une véritable nébuleuse !
– En effet.
– Donc fatalement parmi tous ces gens-là, il y en a forcément un qui va causer !
– Et alors ? Demande Dyane
– On peut supposer que Ravo est un intervenant de bout de chaîne, pour une raison ou une autre il s’est senti menacé, aux abois et il tente de vendre ce qu’il sait, Il est aussi possible qu’il bluffe soit partiellement soit complètement.
– Et alors ?
– Alors j’hésite, et toi t’en pense quoi ?
– Qu’est-ce qu’on risque, à part se planter ? Conclue-t-elle.

Pour ma part, je n’arrivais pas à me décider, j’ai donc eu l’idée de réunir les cadres de mon équipage afin d’avoir leur avis.

Petites présentations :

Nerren Petrov est mon navigateur, bisexuel et plutôt obsédé, il est plein d’humour et c’est un collaborateur que j’apprécie particulièrement.

Dilos est notre ingénieur de bord, il a été un moment amoureux fou de Dyane, mais leur idylle a pris fin sans qu’ils ne soient fâchés pour autant.

Nadget et une jolie blackette exerçant les fonctions de technicienne de bord.

Tous ces braves gens sont désormais installés chichement sur la planète suite au pactole que nous avons récolté sur Orza (voir cet épisode), mais ils sont un peu comme moi, l’espace leur manque.

– Mais le gars t’a précisé qu’il nous faudrait une équipe de mercenaires…
– Pas question que j’embarque des mercenaires, c’est trop dangereux et ç’est une source de complications. Si on fait le coup, ce sera en douceur, et si c’est pas possible de cette façon on laissera tomber en refilant le tuyau à la police galactique.

Après une discussion que j’aurais pensé plus longue, un consensus se dégage reprenant la formule de Dyane : « qu’est-ce qu’on risque sinon de se planter ! »

J’ai revu Ravo, lui ai précisé que j’acceptais sa proposition.

– Vous avez des précisions sur la façon dont elle est gardée, s’il y a beaucoup d’hommes armés… tout ça
– Bien sûr qu’il y a des hommes armés
– Et comment êtes-vous au courant ?
– Ça ne vous regarde pas.
– Si vous m’avez refilé un tuyau percé, il y aura des conséquences…
– Je n’ai pas l’habitude de me faire menacer ! Me répondit-il de toute sa hauteur. Vous acceptez ou vous dégagez de ma vue.

J’ai été à deux doigts de l’envoyer promener, mais finalement j’ai accepté… Et il m’a communiqué les coordonnées de la planète en question.

Donc on y va, le temps de se préparer, d’assurer nos intérims et de réunir un équipage de base et c’est parti !

Auparavant nous avons rempli la cale de pinards et alcools de luxe, confiserie fine… Il y a toujours des amateurs pour ce genre d’échanges.

– Attention ! Indique Dyane dans le micro, passage en hyperespace dans 20 secondes.

C’est une formalité, parfois c’est un peu brusque, il faut juste se cramponner un peu.

– Echec du passage en hyperespace ! Signale la voix suave et robotisée de l’ordinateur de bord.
– Motif de l’échec ?
– Présence imprévue à proximité du moteur numéro 2.

C’est quoi ce cirque ?

– Je vais voir ! Se propose Dilos

Il se dirige vers la salle des machines, ouvre la porte avec son sas et là…

– Les mains en l’air cher monsieur, soyez rassuré nous ne vous voulons aucun mal, nous souhaitons simplement prendre le contrôle de ce vaisseau. Lui lance Vitali avec un sourire sadique.
– Mais vous êtes qui ? Comment avez-vous fait pour entrer là-dedans ?
– Peu importe, conduisez-moi vers votre poste de commandement.
– Et sinon ?
– Sinon, je vous endors et nous irons tout seuls.

Dilos n’a pas trop le choix, il jauge ses adversaires, Vitali est un grand maigrichon, par contre Maderna est taillé comme un joueur de rugby. Ils sont armés tous les deux, il n’a aucune chance.

Spectacle surréaliste, alors que je suis là dans le poste de pilotage avec mon staff au complet, je vois pénétrer Dilos, les mains en l’air suivi de deux abrutis à la mine patibulaire arborant des armes de poing.

– Plus un geste nous prenons le contrôle de ce vaisseau.

J’avoue ne savoir que faire et nous nous regardons tous, surpris et choqués.

– Mais qui êtes-vous ?

Maderna n’a pas le temps de répondre… car voici que Yoyo, le chat du bord, qui était perché je ne sais où, bondit et atterrit sur la tête du bonhomme qui crie de douleur et de stupeur et lâche son arme qui tombe aux pieds de Nadget. Celle-ci la ramasse et en menace Vitali complétement désorienté qui lâche son arme à son tour.

Voilà un renversement de situation inattendu, merci le matou !

– Bon, maintenant vous allez nous raconter qui vous êtes et comment vous avez fait pour vous introduire dans notre vaisseau.

Flashback

Vitali et Maderna sont deux détectives privés de l’agence Cosmico-Mystery. Ils sont chargés officiellement par la famille d’Edina Von Graz de tenter de retrouver la trace de l’actrice. Recoupant des tas d’informations ils sont tombés sur Ravo, alias Herman Schumacher et sont persuadés que le bonhomme a joué un rôle déterminant dans cette affaire.

Ils ont suivi sa trace jusqu’à Vargala-Station, puis profitant d’une légère bousculade dans l’ascenseur de l’hôtel, ils lui ont injecté dans la nuque un microémetteur. Ravo n’a ressenti qu’une petite piqure sans suite, mais désormais toutes ses paroles seront enregistrées.

Alors bien sûr, ces deux crétins furent fatalement au courant de l’accord que j’avais passé avec Ravo.

Fin du flashback.

– Et vous êtes entrés comment ?
– Nous avons des passes universels.
– Je considère que vous venez de commettre un acte de piraterie. Je suis donc habilité à vous éjecter dans l’espace.
– Pitié, monsieur on ne fait que notre métier ! Bredouille Vitali.
– Pauvre mec ! Et elle est où l’alternative, vous enfermer pendant tous le voyage avec tous les risques que ça comporte, vous nourrir gratuitement ?
– Nous avons de l’argent !
– Rien à foutre. On va réfléchir à ce qu’on va faire de vous, Dilos et Nerren, foutez-moi ses abrutis à fond de cale, ligotés bien comme il faut.

Yoyo vient se frotter contre mes jambes, brave bête, il aura droit à une double ration de pâté !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 12:48

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 1 – Le mystérieux capitaine Ravo par Nicolas Solovionni
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Bonjour, c’est moi le capitaine Ajas Stoffer, capitaine de vaisseau, vaisseau spatial, dois-je préciser car l’action se passe dans le futur en l’an peut-importe lequel.

J’ai fait fortune après une mission rocambolesque (voir Stoffer 2 – Les labyrinthes d’Orza) ce qui m’a permis d’acheter un cabaret sur Vargala-station, une cité portuaire fréquentée par de nombreux baroudeurs de l’espace mais aussi par des gens peu recommandables.

Le cabaret en question, c’est le « Diable Rose » essentiellement animé par des transsexuelles (ben quoi ?)

Je m’en occupe assez peu, laissant la gérance aux bons soins de la belle Riquita qui nous fait ça très bien, mais parfois il faut bien que j’y aille afin de montrer que le boss est toujours présent et de vérifier si tout se passe bien.

– Alors patron, on vient s’encanailler ? M’accueille-t-elle.
– Juste une petite visite de routine ! Je peux voir la cave ?

On descend tous les deux. Je regarde très vite si tout est correct, il faut bien que je justifie ma visite, puis on remonte.

– Je te mets à une table ? me propose Riquita.
– Non je ne vais pas m’attarder.
– Tu ne veux pas me sucer ?
– Pas à chaque fois, quand même !
– Fais toi plaisir, je suis en forme !

Et sans attendre Riquita baisse son fuseau bleu pour m’exhiber une magnifique bite chocolatée presque raide.

Que voulez-vous ? Sucer des bites est l’un de mes péchés mignons. J’aime autant les bites que les femmes, alors évidemment avec les trans j’ai les deux.

Et me voilà en train de lui prodiguer une fellation savante usant de mes lèvres et de ma bouche comme un artiste peintre ferait de ses pinceaux devant une toile qu’il rendrait sublime…

Simultanément je lui caresse les cuisses et les fesses, me régalant de la douceur de sa peau.

– Déshabille-toi, tu seras plus à l’aise ! Me conseille cette diablesse.

Je le fais et pour ce faire je suis bien obligé d’interrompre ma pipe. Me voilà nu et comme vous l’imaginez je bande comme un cerf en rut.

– A mon tour de sucer ! S’exclame Riquita qui sans recueillir mon accord se précipite sur ma biroute pour l’engloutir goulument.

C’est qu’elle suce divinement bien, la filoute, elle a une véritable langue électrique, elle va partout et très vite, léchage intempestif sur le bout du gland, léchage de la verge façon eskimo, gobage des couilles, allers et retours diabolique, fausse gorge profonde (fausse parce que c’est au fond de mes joues qu’elle engloutit mon pénis et non pas dans sa gorge, astuce connue)

Si elle continue à cette cadence je risque de jouir prématurément.

Je l’en avise et elle le comprend aisément, elle se redresse donc et en profite pour m’exhiber ses seins de rêves, ça tombe bien, j’allais justement lui demander de le faire.

Et vous pensez bien que devant des seins pareils, je ne peux rester figé, je caresse, je plote, mes lèvres s’approchent et font frémir ses tétons. Quel régal !

Les mains de ma partenaire ne restent pas inactives, elles viennent tâter la chair de mes fesses et s’approchent stratégiquement du mon intimité postérieure.

– Oh ! J’ai peut-être une surprise pour toi ! Me dit-elle soudain.
– Et on peut savoir ?
– J’ai une nouvelle trans…
– Encore, mais elles ont la bougeotte…
– Beaucoup n’aiment pas se fixer, mais pour la clientèle c’est bien, ça fait de la nouveauté. Je vais l’appeler tu vas voir elle est géniale.

La nouvelle s’amène quelques minutes plus tard, elle s’appelle Shalimar, fausse blonde à la peau mate, très jolie. Elle est vêtue d’une petite robe blanche chiné de gris, très décolletée et descendant au « au ras de la bite »

– Bonjour patron, me dit-elle.
– Montre-lui ta bite ! Lui demande Riquita.

La trans s’exécute exhibant un sexe prometteur mais flasque. Je m’en empare et esquisse quelques mouvements de masturbation qui ont tôt fait de faire raidir convenablement la chose.

Son pénis est à présent décalotté et le gland apparaît dans toute sa beauté.

Attiré par ce sexe comme par un aimant, je me baisse et l’embouche. Je suce avec frénésie tandis que mes mains caressent ses grosses couilles pendantes.

Je fais une petite pause, sa bite ainsi imprégnée de ma salive n’en est que plus belle.

Je me retrouve je ne sais comment avec une bite dans chaque main, celle de Riquita à droite, celle de Shalimar à gauche, je les branlotte un peu. Je réalise alors (mais où avais-je la tête ?) qu’il est complétement incongru que je reste habillé en de telles circonstances.

Me voilà donc nu, je me penche pour m’occuper de nouveau de la pine de Shalimar, mais voilà que Riquita me pelote les fesses de façon intempestive.

Je me laisse faire car la suite n’est pas bien difficile à deviner et j’ai envie de cette suite.

C’est une suite en trois mouvements. Premier mouvement, Riquita me lèche le fion de sa langue diabolique à ce point que j’ai du mal à me concentrer sur ma pipe… mais c’est si bon…

Second mouvement, c’est un doigt qui s’introduit dans mon trou intime, qui va, qui vient, qui fait ressort comme un asticot qui fait du sport. C’est bien mignon tout ça, mais après ces petits préliminaires, j’aimerais bien que l’on entre dans le vif du sujet si toutefois vous me permettez cette expression…

Et après m’avoir fait lanterner plusieurs minutes, Riquita retire son doigt, prélude au troisième mouvement, je sens son gland quémander l’ouverture, ça passe de suite, ça y est, il m’encule !

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Me voilà avec une bite dans la bouche, une autre dans le cul ! Elle n’est pas belle la vie ! Quand je pense que je venais simplement vérifier le stock de pinard !

Riquita s’agite de plus en plus derrière moi, tandis que Shalimar pousse des petits jappements de plaisir… Et par une simultanéité involontaire, mes deux partenaires jouissent de conserve. J’ai tout le foutre de Shalimar dans ma bouche tandis que Riquita m’a inondé l’anus.

Fin de partie ? Pas vraiment parce que je n’ai pas joui ! Riquita m’offre sa bite sortant de mon cul à nettoyer, tandis que Shalimar se jetant sur ma pine me fait cracher ma jouissance en quelques minutes.

Merci les filles, c’était bien…

– Sinon rien à signaler ! Demandais-je à Riquita près m’être rhabillé.
– Non ! Ah si, j’ai un message ?
– Ben tu me le fais suivre comme d’habitude.
– C’est un gars qui ne veut pas laisser de traces j’ai noté ses coordonnées, Ravo, à l’hôtel des Elfes.
– S’il fallait que je donne suite à tous les messages que je reçois, je ne ferais que ça.
– Il m’a dit que ce qu’il avait à te proposer pourrait t’intéresser.
– Ils disent tous la même chose.
– Ecoute, je suis embêté, il m’a graissé la patte pour que j’essaie de te convaincre de le rencontrer.
– Fallait pas accepter !
– Je sais, je sais.
– Et si je donne pas suite, qu’est-ce qui se passe ?
– Il risque de mal le prendre.
– Tu m’emmerdes, Riquita, c’est bien parce que je t’aime bien, je vais aller voir ce mec ! Mais par pitié, ne recommence plus ce genre de connerie.
– Promis, patron.

Je me rends à l’hôtel en question et demande à rencontrer ce Ravo, il a un œil en moins caché par une plaque métallique, je me demande bien pourquoi il ne fait pas greffer un œil tout neuf, mais ce ne sont pas mes oignons.

Après une présentation minimaliste, le type me sort de sa poche un spacephone, cherche une photo et me la met sous le nez.

– Ça vous parle ?
– Euh oui, on dirait Edina Von Graz.
– Z’êtes au courant…
– Au courant de quoi ? Elle a disparu dans un croiseur de luxe, si j’ai bonne mémoire.
– Elle n’a pas disparu, elle a été enlevée.
– Vous en savez des choses…
– Le coup est classique, c’est un peu plus difficile maintenant avec les nouvelles normes de sécurité, mais avant il suffisait de quelques complicités internes. On s’arrangeait pour faire atterrir le vaisseau dans un coin paumé, ensuite c’était le partage et la vente, On récupérait les bijoux, quant aux passagers on faisait le tri, les belles filles et quelques jeunes hommes pour les harems et les réseaux de prostitution, les costauds pour servir d’esclaves dans des mines, des champs, tout ce que vous voulez…
– Et les autres…
– Les autres je ne sais pas. Toujours est-il que j’ai localisé Edina Von Graz.
– Et…
– Je peux vous fournir les coordonnées de la planète où elle se trouve…
– Vous voulez que j’aille la récupérer ?
– Ce n’est qu’une suggestion. Il y a une belle prime à toucher.
– Et pourquoi ne pas l’avoir récupéré vous-même ?
– Je ne suis pas obligé de vous répondre, mais disons que d’une part je n’étais pas équipé pour le faire, et puis si je la récupère, je serais interrogé par la police galactique qui voudra savoir ce que je fabriquais dans le coin… Ça vous suffit comme explication ?

Fallait voir la suffisance avec laquelle il m’avait sorti son baratin.

– Quand vous dites que vous n’étiez pas équipé pour le faire vous-même, vous entendez quoi par-là ?
– Il m’aurait fallu une petite équipe de mercenaires.
– Vous ne pouvez pas m’en dire plus ?
– Je vous en dirais plus, quand j’aurais votre accord !
– Et pourquoi m’avoir choisi ?
– En débarquant ici j’ai demandé s’il y avait des capitaines qui accepteraient une mission un peu délicate et particulière, j’ai obtenu trois noms, vous étiez le premier de la liste, c’est tout simple.
– Bon si j’accepte, c’est quoi les conditions ?
– 10 000 kochniks pour le renseignement et la moitié de la prime.
– Ça demande réflexion…
– C’est de l’argent facile, il suffit de préparer une opération de commando avec quelques costauds bien entraînés, je pense qu’on peut en trouver à la pelle sur cette planète…
– Pas si sûr ! Mais pour votre gouverne, je n’ai pas besoin d’argent, j’en ai à ne plus savoir en faire, si j’accepte ce sera pour faire une bonne action… et puis j’aime bien Edina Von Graz.
– Vous me donnerez une réponse quand ?
– Après demain !

En fait j’étais déjà partant, mais je n’avais pas envie de lui dire.

L’espace et l’aventure me manquaient, j’en avais marre de glander sur Vargala.

Je contactais Dyane Makaya, ma seconde de vaisseau, une belle MILF blonde aux formes voluptueuses, elle avait investi dans un institut de massage érotique que je n’avais pas encore eu l’occasion de tester malgré ses sollicitations pressantes et répétées.

– Salut ma biche, ça te dirait de retourner dans l’espace ?
– Pour y faire quoi ?

Je lui expliquai…

– Curieux que ce mec n’ait pas fait le boulot lui-même, c’est qui ?
– Il s’appelle Ravo, je l’avais jamais vu,
– Tu veux que j’essaie de me renseigner sur ce mec ?
– Pourquoi pas ? Il est à l’hôtel des Elfes, j’ai pas de photo mais je vais te le décrire. Tu le reconnaîtras facilement, il a une plaque de métal à la place de l’œil gauche.

Vêtue d’un pantalon bien moulant et d’un haut très décolleté, Dyane pénétra dans le hall de l’hôtel des Elfes, un établissement moyen, dirons-nous, ni trop luxueux, ni trop pourri.

Elle s’assit derrière une table, commanda une limonade et précisa au préposé « qu’elle attendait quelqu’un. »

Elle avait une petite idée sur la façon d’aborder ce Ravo, jouer la confusion en se faisant passer pour une vieille connaissance, et comme souvent elle était persuadée que son charme l’aiderait.

Une heure plus tard Ravo n’était toujours pas descendu.

« J’espère qu’il n’est pas sorti ? »

Dyane attendit encore une bonne demi-heure, au terme de laquelle Ravo sortit de l’ascenseur précédée d’une fort jolie personne.

« Merde, ils sont ensemble, mon plan va foirer… comment faire maintenant ? »

Le couple se dirige vers le bar et commande une conso.

Dyane remarque un type assis pas trop loin d’elle et qui la regarde avec insistance, on pourrait même dire avec concupiscence.

« Ça ne coûte rien d’essayer ! »

Elle lui fait un sourire d’invite très explicite. Le bonhomme accourt.

– Vous cherchez de la compagnie ? Demande-t-il bêtement en guise d’introduction super originale.
– Peut-être, peut-être… mais il y a quelque chose qui me chiffonne.
– Ah oui ?
– Le mec au comptoir, je suis persuadée de l’avoir rencontré mais c’était y a longtemps et c’était pas ici…
– Ravo ?
– Je ne sais pas si c’est ce nom-là. Bluffa Dyane. Vous le connaissez ?
– C’est un ours, il évite les conversations, Vargala n’est pas son port d’attache, j’ai cru comprendre qu’il avait eu une embrouille là où il avait ses habitudes,
– Il est là depuis quand. ?
– Une dizaine de jours.

Peu de renseignements, mais elle avait obtenu l’essentiel.

– On monte dans ma chambre ? Proposa le type plein d’espoir.
– Cela aurait été avec plaisir mais il faut que j’y aille. Je suis la patronne des « doigts d’or » un institut de massages, vous connaissez ?
– Non.
– Comme vous êtes sympa, je vais vous faire un petit mot, vous le présenterez à la caisse, on vous fera 50%.

En tant que capitaine, j’ai accès à certaines données du cosmoport et notamment aux mouvements des vaisseaux (atterrissages et décollages). J’obtiens donc la liste de tous les vaisseaux qui se sont posés dans les quinze derniers jours. Je les connais tous de mémoire sauf deux, mais aucun de ces deux-là n’étaient commandés par des gens ressemblant de près ou de loin à un capitaine Ravo.

Il est arrivé comment sur la planète, ce mec ?

– Y’a un truc ! S’il n’est pas arrivé comme capitaine ou comme membre d’état-major, c’est qu’il est arrivé soit comme simple membre d’équipage soit comme passager, j’aimerai bien éclaircir ce point ! Expliquais-je à Dyane
– Toi, je te vois venir, tu vas encore me demander de turlutter Rudy (Rudy est l’un des responsables du trafic de l’astroport de Vargala station)
– Je ne te demande rien, mais si tu le faisais, ça m’arrangerait.
– T’es gonflé quand même.
– J’en suis conscient, mais je suis sûr que quelque part ça t’amuse !
– Ben voyons… je me renseigne pour savoir si Rudy est de service en ce moment.

Il y était

– Tiens te revoilà, toi ! Lui dit Rudy en écarquillant les yeux.
– Pas content de me voir ?
– Si, si mais je sens que tu vas encore me demander des trucs impossibles.
– Rien n’est impossible, il suffit de s’entendre
– Alors tu veux quoi ?
– Que tu me fasses défiler les trombines de tous les gens qui sont descendus ici depuis quinze jours.
– Facile ! Et la contrepartie ?
– Comme d’hab ! Minauda Dyane

Les visages défilent sur l’écran de Rudy mais aucune trace de Ravo,

Deux mots d’explications : à leur arrivé, les personnes qui débarquent doivent entre autres formalités franchir un portillon où elles sont prises en photos 3D tandis que leurs empreintes digitales et rétiniennes sont enregistrées.

– C’est impossible, un mec est apparu sur la planète il y a une dizaine de jours et je ne le vois nulle part sur tes trombines.
– Ça peut arriver !
– Comment ça ?
– Le machin peut tomber en panne…
– Il y a un back up, non ?
– Ce n’est pas comme ça qu’il faut voir les choses ! Quelques fois quelques kochniks ça aide à mettre le machin en panne.
– Mais quel intérêt ?
– Tout le monde est tracé ici, tout le monde à plus ou moins quelque chose à se reprocher, mais tout le monde s’en fout, on ne va mettre tout le monde en prison. Sauf qu’il y a des mecs qui on fait des gros coups, ceux-là ils ont intérêt à effacer leurs traces.
– Bon alors là je vais être directe : Est-ce que dernièrement on t’a graissé la patte pour faire ça ?
– Tu crois vraiment que je vais te répondre ?
– Humm… évidemment, mais tu peux peut-être me dire quel équipage a débarqué alors que le machin était en panne.
– Oui, ça c’est possible !

C’était d’autant plus possible que j’aurais pu le faire moi-même, il me suffisait de croiser la liste des atterrissages avec le trombinoscope de leurs occupants, ce qui aurait permis de découvrir qu’un vaisseau s’était posé sans laisser aucune trace de son équipage et de ses éventuels passagers. Cela ne coûtait donc rien à Rudy de fournir le renseignement.

– Le Farah day ! Annonça -t-il. Tout content de lui.
– C’est quoi ce vaisseau ?
– Du Transport régulier, c’est un cargo ravitailleur.
– Mais explique-moi, dans un cas comme celui-ci, comment le mec fait pour vous prévenir de mettre le sas de contrôle en panne, il ne va tout de même pas prendre le risque d’utiliser la radio ?
– Ben non, ça laisserait des traces.
– Alors ?
– C’est tout simple, en principe on n’effectue aucun contrôle de bord sur les vaisseaux réguliers, mais ils peuvent néanmoins le demander sous un prétexte fallacieux, une personne présumée malade par exemple, donc en gros, un message manuscrit va être donné au personnel sanitaire qui le refilera à la capitainerie. Autre question ?
– Non.
– On peut passer à ma petite récompense alors ?
– Bien sûr, bien sûr, et qu’est ce qui te ferais plaisir ?
– Comme d’hab non ?

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