Dimanche 11 juin 2023 7 11 /06 /Juin /2023 09:17

Ma mère, ma sœur et moi par James01
StampFFH

Rapide présentation, Je suis Ludo 29 ans, ma sœur se nomme Claire, 25 ans et ma mère Virginie.50 ans

Je suis célibataire et je vis à Paris, ma sœur Claire est montée quelques jours dans la capitale pour affaires et je l’héberge, et comme nous sommes fort proches, l’hébergement comprend également le plumard dans lequel nous nous sommes échangés de douces caresses et de tendres câlins, mais là n’est pas notre propos d’aujourd’hui.

Ma mère revient aujourd’hui d’un déplacement professionnel à Frankfort et m’a demandé de la récupérer à la Gare de l’Est.

– Ça va faire un an que je ne suis pas montée à Paris, Maman va m’engueuler ! Me dit Claire.
– Elle n’aura pas tort, tu mérites une bonne fessée.
– Une fessée, oh, oui, je veux bien ! Sinon tu fais toujours des choses avec elle ?
– Les occasions deviennent rares, mais peut-être qu’aujourd’hui… J’aime tellement lui lécher la moule !

Un parfum capiteux envahi la voiture. Hypnotisé par la naissance de la culotte de dentelle qu’on devine au haut des cuisses nues de ma tendre sœur, la gorge nouée, le feu au ventre, je cale au premier feu rouge.

– Ne fais pas le collégien, nous sommes déjà en retard. Avance ! Regarde, elle est là, elle nous attend.

Devant la gare, sur le trottoir, ma mère, nous fait signe. Elle est très classe, tailleur pantalon vert olive, foulard Hermès, chignon apprêté, une belle bourgeoise désirable !

On s’embrasse…

– Alors Claire, t’as enfin trouvé le moyen de venir à Paris ?
– Ce n’est pas l’envie qui me manque, mais je suis débordée.
– Je lui ai dit que ça méritait une bonne fessée ! Intervins-je
– Ça me parait une excellente idée en effet.! Répond Maman
– Il n’est pas loin de midi, je vous paye le restaurant ? Proposais-je.
– J’ai déjà mangé un petit truc dans le train. Je préfèrerais que nous allions chez moi, après une nuit de train, je veux me rafraichir, je dois avoir une mine à faire peur.
– C’était comment à Frankfort ?
– La routine, je me suis retrouvée avec une collègue au milieu de quatre gros porcs qu’il a fallu sucer et qui me foutaient leurs sales pattes partout. Parfois c’est amusant ce genre d’extra mais là ils n’étaient pas du tout respectueux ces mecs, et obligée de fermer ma gueule, vu les contrats qu’il y avait derrière… Enfin je ne vais pas me plaindre, c’est bien payé !

On arrive chez elle, ma mère nous indique qu’elle doit se rendre aux toilettes.

– Je vais regarder ! Lui dis-je
– Petit cochon !
– Tu ne veux pas ?
– Si ça te fait plaisir, je ne voudrais pas t’en priver.
– T’es gentille.
– Je peux même te pisser dans la bouche ! Tu aimerais bien, hein, petit salopard ?

Maman s’assoit sur la cuvette, chatte en avant… je me glisse entre ses cuisses, bouche grande ouverte et reçois directement ce bon jet doré dans le gosier.

– Alors elle est bonne la pisse de Maman ? Me nargue-t-elle
– Délicieuse.
– Essuie-moi maintenant… avec ta langue..
– Non, c’est moi ! Intervient Claire qui s’acquitte de cette tâche de façon un peu trop osée, le nettoyage de minou tournant carrément au cunnilingus.
– Tss, tss, je veux bien qu’on fasse des cochonneries, mais prenons nos aises. On retourne tous au salon.

James523

On s’assoit sur le canapé, ma mère s’est débarrassée de son pantalon et de sa culotte, et elle est là à côté de moi, la chatte à l’air, spectacle fascinant.

– Ça te fait bander de me voir comme ça ? Hein ? Me nargue-t-elle en me mettant la main au paquet.
– Ben oui…
– Sors moi donc cet engin, au point où on en est…

Me voici donc la bite à l’air.

– Hum elle est trop belle la bite de ton frère ! Dit-elle à Claire, on la suce à deux !

Quel bonheur de sentir à la fois la langue de ma sœur et celle de ma mère sur ma bite tendue comme un arc. Je baisse mon pantalon pour rendre l’accès plus facile, du coup ma mère en profite pour m’introduire un doigt dans le cul.

– T’aime ça qu’on te doigte le cul, hein pédé ?
– J’adore !
– Tu te fais enculer de temps en temps ?
– Quand j’ai l’occasion !
– Il faudra qu’un jour tu te fasses enculer devant moi ce doit être un joli spectacle !
– Ça peut se faire…

L’excitation est trop forte, je décharge, Maman reçoit mon foutre sur le visage et sur ses lunettes, Claire vient lui lécher tout ça.

– Bien, Claire je te devais une fessée, enlève le bas et couche toi sur mes cuisses.

Claire s’exécute et Maman se met à taper à mains nues sur son ravissant joufflu qui ne tarde pas à devenir cramoisie. S’arrêtant de frapper, elle lui porte la main à la chatte.

– Ça t’a fait mouiller; espèce de catin !
– Oui Maman.
– Enlève moi tout ça qu’on voit tes nichons, je vais faire pareil.

Ma pine se cabre en de longues ondes incontrôlables, devant ces deux créatures perverses.

Sans un mot, ma mère s’est levée et commence à se caresser les cuisses et les épaules. Elle s’enlace elle-même, faussement gênée. Je lui parle sans pudeur à la limite de la vulgarité, je veux me régaler du spectacle de l’inceste lesbien.

– Vas-y Maman, gouine-toi avec ta fille. Ce sera quand même plus agréable que de faire la pute avec tes clients allemands !

Claire s’approche, les deux femmes se roulent une gamelle baveuse en se tripotant mutuellement leurs jolies poitrines. Puis Claire se couche sur le canapé, les jambes écartées, offerte.

Ma mère pantelante se couche sur le corps brûlant de passion de sa fille et commence à mimer l’amour. Nouveaux baisers sur la bouche, le cou, le haut des seins qu’elle tète en faisant de longs cercles avec sa bouche et ses lèvres. Elle descend vers le ventre tout lisse, caresse les fesses et niche la tête entre les cuisses, respirant la mouille qui suinte de la grotte interdite

– Vas-y bouffe moi ! implore sa fille qui devient folle, je mouille à en crever !

La bouche de ma mère trouve le clitoris en érection, s’acharne et aspire déclenchant un premier orgasme. Partageuse, Claire veut rendre tout ce bonheur à sa mère, elle lui demande de se mettre contre le mur, face à moi ouverte. Maman dolente s’exécute, ma sœur à genoux, lèche à rapides coups de langue le sexe maternel Je dois retenir ma mère qui chancelle et tremble sous la bouche de sa fille qui la broute et les doigts déchainés qui fouillent son intimité déclenchant orgasme sur orgasme dans un couinement de truie en chaleur.

Devant ces deux chiennes qui s’agacent et se tripotent, ivre du parfum intime de ses corps qui se cherchent, je me branle comme un malade.

Je plante mon nez à quelques centimètres de l’anus de ma mère et caresse son petit trou du revers de l’ongle.

– Viole lui le cul, à cette salope ! crie Claire

J’obéis et pousse mon index au fur et à mesure des soupirs de ma mère, le désir remonte entre mes jambes et j’encule sans ménagement maman, je coulisse de plus en plus vite dans son cul, excité par les doigts de Claire qui explorent l’autre côté de la fine cloison.

– Oui mes enfants baisez moi ! Hurle maman quand je décharge tout mon jus dans ses intestins.

Lentement, les corps mélangés, nous reprenons nos esprits. Mes deux putes saisissent alors ma queue en berne et commencent à la nettoyer, les langues se touchent sur mon gland inerte.

Ma toilette faite nous nous endormons sans regret ni culpabilité ivre de ces caresses interdites dont nous savons que nous ne pourrons plus nous passer.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : James
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 21 mai 2023 7 21 /05 /Mai /2023 15:40

Chanette 29 – Le croisière de l’Espadon – 14 – Shultz démasqué par Chanette

bisex fémininebisex masculinepartouzesodomie fémininesodomie masculine

bi stamp

Vendredi 23 avril

Je n’en reviens pas que les choses soient allées aussi vite.

A 19 heures regardant les informations sur mon téléphone je tombe là-dessus.

« Remy Chauvière appréhendé par la police pour attaque de fourgon blindé et falsification de documents comptables. Son avocat parle de machination dérisoire… »

En fait Chauvière était depuis longtemps dans le collimateur de la police, mais jusqu’ici, les alibis en béton et, les faux témoignages l’avaient protégé… il suffisait d’un simple grain de sable pour le faire tomber. Je fus donc ce grain de sable, non ce n’est pas tout à fait juste, sans la documentation qu’avait rassemblé Grace Hernandez, je n’aurais pu rien faire, il faudra que j’aille la remercier, celle-ci !

Reste Patrick Shultz, sans son patron, je ne le crois plus dangereux, n’empêche qu’il ne me déplairait pas de l’humilier de belle façon pour sa conduite inadmissible…

Et mon téléphone sonna, c’était Max

Pour mémoire Max, dit Max le dur, est l’homme de mains de Jean-Luc Gauthier-Normand, un brasseur d’affaires pas trop clair mais néanmoins correct et sympathique. Max m’a aidé plusieurs fois à me dépatouiller dans de sombres histoires (voir les chapitres 7 16, 22, 26)

– Ah Chanette, je passe à Paris demain, je suis invité par Carole et Valentin…

Depuis que Max a découvert sa bisexualité il est amoureux de Valentin, ce sont des choses qui ne se commandent pas.

– Et je suis persuadée que vous avez envie de venir me faire un petit coucou ! Le taquinais-je
– C’est la moindre des choses !
– Vous resterez longtemps à Paris ?
– Mon patron est en déplacement, alors j’ai une dizaine de jours, si vous avez besoin de mes services, c’est toujours avec plaisir…
– Justement, j’aimerais que vous flanquiez la frousse de sa vie à un connard… mais c’est très long à raconter… on peut se voir chez moi lundi soir ! ?
– Avec plaisir !

Lundi 26 avril

– Eh bien quelle histoire ! Vous ne faites pas dans la dentelle, vous ?
– Je n’ai pas fait grand-chose, j’ai surtout subi !
– J’entends bien !
– Bon, demain je récupère l’adresse du bonhomme, et je fonce, ça m’embête de faire ça tout seul je vais demander à Valentin de jouer l’adjoint ! Tu pourrais m’obtenir l’identité de cette escort russe ?.
– Oui !

Mardi 27 avril

Il est 19 h 30. Max et Valentin monte au troisième étage de ce bel immeuble de la rue Daumesnil, près de la Gare de Lyon.

Patrick Shultz regarde par l’œilleton, se demande qui sont ces inconnus qui ne connait pas.

– C’est pourquoi ?
– L’assurance, pour le dégât des eaux au-dessus.
– Je n’ai pas eu de dégât…
– On prend juste une photo pour le dossier…
– A cette heure-ci ?
– On a été retardé à cause de la manif, si vous voulez on repasse demain, mais enfin puisque nous sommes là…

Patrick ouvre, il n’aurait pas dû…

– Ah ! Toute la famille est là, vous êtes à table ?
– Ben oui !
– Donc la voisine du dessus, attendez je sors mon papier… Svetlana Bourova, c’est bien ça ?
– Je ne crois pas, non ?

Mais à l’évocation de ce nom Patrick devient rouge comme une tomate, sa femme ne comprend pas pourquoi.

– Ah oui, vous avez raison, mademoiselle Bourova a été mutée à Tanger…
– Bon je ne sais pas ce que vous cherchez, mais je vais vous demander de sortir ! Réplique crânement Patrick qui ne veut pas perdre la face devant sa petite famille.
– Ta gueule, connard ! Répond Max en sortant son révolver. Je vous préviens au moindre cri je vais faire un massacre. Silence ! Et maintenant vous sortez vos téléphones portables et vous les donnez à mon collègue, Ah je ne vous l’ai pas présenté mon collègue, Boris Valentinov des services secrets russes.
– Dépêchez-vous de faire ce qu’il demande ! Renchérit Valentin en prenant un impossible accent russe.
– Et le téléphone fixe, il est où ?

Madame Shultz lui indique en tremblant.

– Bon écoutez, restons calme ! Vous êtes en train de vous tromper de personne… Tente Patrick.
– On fait comment pour récupérer Svetlana Bourova ?
– Je ne connais pas cette personne !
– Cette personne a pris place comme hôtesse à bord de l’Espadon d’or, en octobre dernier. Vous étiez directeur de croisière sur ce bateau. Après la courte escale de Tanger, elle n’est pas remontée à bord. Explications ?
– Elle ne souhaitait pas continuer ce voyage, c’est aussi simple que ça !
– Elle n’en a averti personne et elle a laissé des objets personnels dans sa cabine, nous avons des témoignages. ! Bluffe Max.
– Bon, voulez quoi ?
– Que vous alliez la rechercher.
– Mais c’est quoi cette histoire ? Intervient Madame Shultz.
– Vous, on ne vous a pas sonné
– Les enfants peuvent quitter la table ?
– Non !
– Alors Monsieur Shultz, on vous a posé une question !
– Mais c’est impossible, voyons !
– Nous allons donc être obligé de supprimer monsieur ! Indique Max à l’attention de Valentin et le plus sérieusement du monde..
– Mais ça ne va pas, non ?
– Mais rassurez-vous, on ne va pas faire ici, ça va faire des saletés. Ah, déshabillez-vous Monsieur Shultz on va vérifier quelque chose.
– Me déshabiller ?
– Oui et magne toi on n’a pas que ça à faire.
– Mais vous n’avez pas le droit…
– Valentinov, fous lui une baffe !
– Bon ça va !

Shultz se déshabille mais garde son caleçon et ses chaussettes.

– Le caleçon aussi !
– Mais les gosses ?,
– Ils n’en perdront pas la vue, du moins j’espère !

Shultz tente de cacher sa nudité.

– C’est bien ce que je craignais, on va être obligé de te tuer, on va t’emmener dans la forêt, on fera ça en douceur, tu ne souffriras pas.
– Je ne pourrais pas m’amuser un peu ? Suggère Valentin.
– Juste un peu alors ! Tu vois Shultz, on a un dossier en béton, il n’y a pas que la russe, il y en a d’autres…
– Non ! C’est faux…
– Donc pour la russe, c’est vrai ?
– Je n’ai pas dit ça.
– Si tu viens de le dire. Donc on avait une alternative, celle de nous signer un papier que nous avions préparé et par lequel tu reconnais avoir participé à des trafics d’êtres humains notamment celui de Svetlana Bourova. C’est très puni en France ces trucs là, ce sera des années de prison, et tu ne tiendras pas le coup, je voulais voir comment tu étais bâti, tu ne feras jamais le poids, Alors à force de te faire enculer à la chaine tu auras vite le trou du cul comme le gouffre de Padirac. Donc autant qu’on te supprime, ce sera plus simple.
– C’est pas possible, c’est un cauchemar ! Bougonne Schultz

Les gosses pleurnichent, la femme retient ses larmes. Ambiance !

– Bon alors tu choisis ?
– Je vais signer leur papelard, c’est n’importe quoi, mais il faut bien qu’on s’en sorte ! Se justifie Schultz envers sa femme.

La rage au cœur Shultz signe le papier en double exemplaire.

– Eh bien voilà, vous allez pouvoir finir votre cassoulet, il risque d’être froid.

Valentin et Max quittent les lieux et s’installent dans la voiture de ce dernier mais sans démarrer.

– C’est moche pour la femme et les gosses… Commente Valentin
– Oui c’est pas terrible, mais je ne sais pas si on pouvait faire autrement.
– Qu’est-ce qu’il va faire ?
– Prendre le maquis, qu’est-ce que tu veux qu’il fasse d’autre ? Et il va faire ça rapidement, sinon comment il peut prétendre s’expliquer avec sa famille. Tiens, regarde, le voilà qui sort !
– Déjà ? Il est à pied .il va où ?
– Vers la gare de Lyon, on dirait !
– Il va faire quoi ?
– Pour le moment il ne doit avoir aucun plan, sa priorité c’est de disparaitre, après il a du fric, il pourra essayer de se démerder
– Et la plainte, on la dépose ou pas ?
– C’est Chanette qui décidera !

Vendredi 30 avril

J’ai souhaité prévenir Gollier par politesse, ces derniers événements l’on fait rire. Il m’a informé que Madame Schulz avait attendu 48 heures (c’est le délai légal) pour signaler la disparition de son mari et que grâce aux téléphones et à ses cartes bancaires il avait été repéré à Nice.

Lundi 3 mai

Je n’arrivais pas à me décider si je devais donner suite aux aveux écrits de Patrick Shultz, Amandine, elle me conseillait de le faire. Mais dans la matinée je recevais un message sibyllin de Gollier m’indiquant que Shultz s’était constitué prisonnier.

A midi : coup de fil :

– Je repars demain matin, qu’est-ce que tu dirais d’une petite boum ce soir ? Me propose Max par téléphone.

Nul besoin d’être sortie de polytechnique pour comprendre ce que Max entendait pas « petite boum ». Je ne pouvais lui refuser ça après le service qu’il m’avait rendu… et puis c’est un homme charmant.

– Avec plaisir, tu verrais ça comment ? Tu veux que je fasse livrer des pizzas…
– O.K pour les pizzas, je pensais venir avec Valentin. Si tu pouvais inviter la copine dont tu m’as parlé ?
– Amandine ?
– C’est ça !
– D’accord.
– On passera vers 19 h 30.

Allons-y pour la boum ! Max, Valentin, Amandine et moi, ça sera une petite boum.

Amandine ne répond pas au téléphone, je lui envoie un message, et elle accepte l’invitation, mais je me suis gardé de lui confier que cette petite sauterie se terminerait très probablement en partouze.

C’est ce qui s’appelle faire une connerie, Amandine m’a confié aller rarement avec les hommes (la petite sauterie cher Maître Doubise n’était que du business) et je ne pense pas que ceux-là soient dans ses goûts Elle ne sera pas à l’aise ni avec Valentin et ses manies de playboy ambiguë, ni avec Max et son physique de déménageur.

Comment m’en sortir ? Inviter une autre nana ? Je ne me vois quand même pas faire venir Grace Hernandez, reste Estelle, allons-y pour Estelle. Elle est d’accord…

Il me faut décommander Amandine, pas moyen de la joindre au téléphone. Il y a des gens comme ça, on se demande pourquoi ils sont un téléphone portable. Après plusieurs essais je lui envoie un message sibyllin :

« Boum annulée, téléphone-moi, bisous ! »

Il est 19 heures, on sonne.

Déjà, je regarde par l’œilleton, c’est Amandine ! C’est quoi ce cirque, elle n’aurait pas reçu mon message ?

Je lui ouvre, elle a un petit paquet provenant de la pâtisserie du coin, il n’est pas bien grand son paquet, il ne doit y avoir que deux gâteaux, Je comprends de moins en moins.

– Bisous ma grande ! j’en ai profité pour faire un saut puisque ta boum est annulée…
– Attends…
– Non je ne voulais pas partir sans te dire au revoir. Figure-toi que je me suis fait draguer par un vieux chanteur. Il est plein de fric et il m’emmène quinze jours en Italie tous frais payés !
– Super, je suis contente pour toi !Le soucis c’est que la boum n’est pas vraiment annulée

Alors je lui ai expliqué…. Bien obligée…

– .Nous voilà en plein vaudeville, ce n’est pas grave, mets les gâteaux au frigo, tu les mangeras demain en pensant à moi. On se reverra quand je reviendrais d’Italie. Quoi que j’aurais bien aimé entendre tes amis raconter comment ils ont piégé Shultz… Je partirais après si ça tourne en partouze…

Et voilà qu’arrivent Max et Valentin, ils ont apporté du Champagne et des fleurs.

Petites présentations. Fallait voir les yeux concupiscent des deux bonhommes en découvrant Amandine, Le loup de Tex Avery battu à son propre jeu.

– Estelle devrait arriver d’un moment à l’autre, commencez à choisir vos pizzas.
– Estelle ? Demande Max
– Oui c’est la secrétaire de Maitre Doubise, l’avocat dont je t’ai parlé.

Et justement, la voilà qui arrive avec un gâteau glacé, (c’est la spécialiste du gâteau glacé)

Nouvelles présentations, Amandine semble ravie de cette arrivée que je n’avais pas eu le temps de lui annoncer, puis elle prend les devants.

– Monsieur Max, Chanette m’a conté vos exploits, je veux parler de votre visite chez Patrick Shultz, mais j’aimerais tellement l’entendre raconter de votre bouche.
– Rassurez-vous, la soirée ne fait que commencer, et je vous promets de vous raconter tout ça…
– C’est que je ne pensais pas m’attarder, je dois sacrifier à quelques obligations…
– Oh, comme c’est dommage ! Ne peux s’empêcher de s’écrier Estelle.
– Et vous ne pouvez pas vous arranger… ou gagner un peu de temps ? Demande Max.
– Non, cher monsieur et croyez bien que je m’en trouve désolée.
– C’est d’autant plus dommage que je ne sais si nous aurons un jour l’occasion de nous rencontrer à nouveau ! Se désole Max. Enfin bref, je vais donc vous raconter mes « exploits ».

Il a une façon de raconter, Max, c’en est un vrai plaisir de l’écouter, évidemment il en ajoute, il enjolive, se donne le bon rôle, mais c’est délicieux.

– Bravo, messieurs, bravo pour ce que vous avez fait et bravo, monsieur Max pour ce récit passionnant. Allez, je vous fais la bise à tous et je me sauve.

Les bisous sont chastes, Max, Valentin, moi-même, mais il faut croire qu’Estelle ne l’entendait pas de cette façon, cherchant les lèvres d’Amandine le baiser devient vite un roulement de galoche laissant Max et Valentin sans voix.

Et elle disparut… Un ange passe, Estelle choisit sa pizza, on verse le champagne et on trinque en attendant le livreur.

Estelle a un ticket avec Valentin, je me demande comment elle va réagir si les deux hommes se mettent à faire des trucs ensemble, encore un détail auquel je n’avais pas pensé.

On a mangé nos pizzas en parlant de choses et d’autres, puis Max a donné le signal des opérations.

– Valentin, je crois qu’Estelle te regarde d’une drôle de façon !
– C’est un bel homme ! Intervient cette dernière.
– il ne vous décevra pas, mais il est un peu à voile et à vapeur, autant le savoir ! Ajoute Max.
– Comment ça ?
– Ben il est un peu comme moi, on adore les jolies femmes, mais de temps en temps quelques contacts entre hommes ça ne nous fait pas peur !
– Ben vous alors, vous êtes drôlement cochon, dites-donc !
– Des gentils cochons !
– Oui, mais des cochons quand même !
– Je ne vous ai pas choqué, j’espère ?
– Disons que je ne m’attendais pas à ça. Mais sinon, vous savez, il n’y a pas grand-chose qui me choque. Vous faites quoi ensemble, vous vous sucez la bite ?
– Oui !
– J’aimerais bien voir ça !
– Ce n’est pas un problème !
– Viens, Valentin, je vais te sucer la bite…
– Vous allez faire ça maintenant ?
– Vous préférez qu’on finisse nos pizzas !
– Non, non allez-y !

Bravo à Max qui a très bien désamorcé la situation.

– D’accord, on va le faire ! Intervient Valentin qu’on avait guère entendu jusqu’ici, mais j’ai une requête à formuler.
– Allons bon ! Soupire Max.
– Ce serait plus fun si ces dames nous montraient leurs nénés

Voilà qui n’est pas un problème Estelle retire tee-shirt et soutien-gorge à la vitesse grand V.

– Ils ont encore pas mal, non ? Dit-elle en les exposant fièrement.

Evidemment j’en fais autant !

– Ah ! Chanette la vision de votre poitrine est un moment de grâce ! Me complimente Max

Faut peut-être pas charrier, non plus !

Valentin entreprend de se déshabiller complètement (à l’exception de ses chaussettes)

– Max va me sucer la bite, mais vous pourrez en profiter tout à l’heure ! Dit-il à Estelle qui en frétille d’avance.

Après s’être mis à l’aise à son tour Max effectua une flexion des genoux devant Valentin et lui goba la bite, léchant, pourléchant, se régalant.

– Me fait pas jouir le prévint son partenaire.
– Ne t’inquiète pas, tiens, on va inverser les rôles

Et cette fois c’est Valentin qui suce la bite de Max. Estelle complètement scotchée ne rate pas une miette du spectacle, une main dans la culotte, tandis que de l’autre elle se tripote les seins.

Bonne fille, je viens lui prêter mains fortes et lui asticote ses tétons érigés.

– Ça te plait de voir ça ! Lance Max à l’adresse d’Estelle.
– Dame ! on ne voit pas ça tous les jours.
– Il me suce bien, j’ai bien envie de l’enculer !
– Oh !
– Un problème ?
– Vous allez vraiment faire ça ?
– Je crois oui !
– Eh bin !

chanette2914

Sans attendre davantage de discours, Valentin s’est mis en levrette sur mon tapis, attendant l’assaut. J’avais prévu les capotes et le gel. C’est rentré comme dans du beurre, mais c’est vrai aussi que ce n’est pas la première fois que ces deux-là s’enculent.

A la limite, il s’agissait juste d’une sorte de démonstration les deux compères s’étaient en effet chuchoté un petit plan qu’ils allaient maintenant mettre en œuvre.

– Si la petite dame veut de nos bites, c’est maintenant ! Lance Max à l’adresse d’Estelle.

Estelle s’approche des deux gaillards, pensant le sucer alternativement, mais seul Valentin reste devant elle, elle s’empare du membre viril, le caresse un peu avant de le porter en bouche. Pendant ce temps Max passe derrière, elle lui flatte le joufflu, se protège d’une nouvelle capote et la pénètre sans aucun préliminaire.

Joli tableau qui voit bientôt Estelle jouir comme une damnée. Max se retire sans avoir joui, il me fait un petit signe complice, je sais ce qui va se passer, Max ne peux pas s’en empêcher, alors je me mets sen levrette et offre mon anus aux assauts de Max le dur ! Tandis que Valentin gratifie Estelle d’un :

– Ne bouge pas, j’arrive !

Avant de venir la sodomiser à son tour.

Il est 23 heures, le temps passe vite quand on baise, on finit le champagne, on a mangé le gâteau glacé qu’avait apporté Estelle. Celle-ci épuisé a commandé un taxi qui vient d’arriver. On se dit aurevoir et Max et Valentin s’apprêtent à prendre congé à leurs tours.

Le téléphone sonne ! Qui cela peut être à cette heure-là ? Je regarde : Amandine ! Que me veut-elle en pareil moment ?

Je m’éloigne !

– Allo ? Ils sont partis ?
– Ils sont en train de partir, pourquoi ?
– Je peux passer te faire un bisou !
– Bien sûr, attends 10 minutes et c’est bon ! Mais tes obligations ?
– Du pipeau !

Et c’est ainsi qu’avec Amandine nous nous sommes aimées toute la nuit.

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 21 mai 2023 7 21 /05 /Mai /2023 15:38

Chanette 29 – Le croisière de l’Espadon – 13 – L’avocat lubrique par Chanette

bisex fémininedomination hardsodomie fémininetrio

StampFFH

Mercredi 21 avril

Et donc ce matin-là nous étions, Amandine et moi dans la salle d’attente de Maître Doubise.

« Jupes courtes et décolletés » nous avait conseillé Estelle.

Après un bon petit moment d’attente, celle-ci nous fait entrer et s’efface.

Effectivement il n’est pas beau, le Doubise, gras, rouge de peau, calvitie avancée. J’espère qu’il aura la bite propre, j’aurais dû me renseigner auprès d’Estelle.

– Entrez, mesdames et asseyez-vous, je n’ai pas beaucoup de temps et je n’ai consenti à vous recevoir que parce que ma secrétaire m’a assuré que vous étiez des canons ! Que voulez-vous, je ne suis pourtant pas militariste, mais les canons, j’adore. Bon je vous écoute, laquelle de vous deux est la plaignante ?
– Nous ne sommes pas plaignantes ! Répondis-je.
– Et vous êtes donc là à quel titre ?
– Un individu bien placé, directeur de société pour tout vous dire, m’a fait une vacherie. Je cherchais à me venger et je suis tombée sur une fausse facture.
– Ah ! Ce n’est que ça ?

Il a l’air déçu, l’avocat…

– Sauf que la fausse facture couvrait un vol de bijoux réalisé à Rotterdam et au sujet duquel, j’ai tous les renseignements nécessaires.
– Ah, ça commence à devenir intéressant, vous me donnerez des détails plus tard, mais dites-moi déjà ce que vous attendez de moi !
– Nous voulons savoir à qui nous adresser afin que l’affaire soit instruite rapidement.
– Et pourquoi « rapidement » ?
– Parce que nous sommes probablement en danger !
– Oh, lala, mais c’est vrai roman feuilleton que vous m’apportez. Vous comptez me payer comment, je prends 150 euros la demi-heure et nous allons sans doute être amené à nous revoir plusieurs fois.

C’est dans mes prix d’autant que je ne vois pas bien pourquoi nous serions amenés à le revoir après avoir eu notre renseignement, l’opération charme devient donc inutile, mais il faut croire qu’Amandine était d’un avis différent.

– Espèces, chèques, carte bleue ? Demande-t-elle.
– Non pas de chèques !
– Alors espèces, carte bleue, câlins ?
– Vous êtes amusante, vous ? Comment voulez-vous faire entrer des câlins dans ma comptabilité ?
– Ce n’était qu’une proposition ! Je ne suis pas toujours très sérieuse… Rétropédale Amandine.
– Et si je vous prenais au mot ? Réplique l’avocat.
– Si vous n’avez rien contre et nous non plus, peut-être pourrions-nous procéder ainsi !
– Vous aviez raison, la vie est courte, et les occasions perdues ne se rattrapent jamais. On peut donc s’accorder une demi-heure de folie.

Maître Doubise prend alors l’interphone :

– Estelle, soyez gentille, décalez tous mes rendez-vous d’une demi-heure… Et je vous interdis de ricaner.

Il raccroche, le regard lubrique…

– Quelle impertinence, cette secrétaire, je vais encore être obligé de la punir… D’ailleurs j’ai envie de le faire de suite, vous verrez ça va vous plaire…

Il prend le téléphone et demande à Estelle de venir.

– Estelle, vous m’avez ricané au nez pendant le travail, cela mérite une punition.
– Tous les prétextes sont bons !
– Taisez-vous, penchez-vous, jupe relevée, fesses à l’aire…
– Comme d’habitude, quoi !

Soubise s’empare d’une réglé plate transparente et colle une vingtaine de coups sur le popotin d’Estelle qui s’accommode fort bien de cette petite séance récréative.

– Voilà, tu peux retourner bosser… attends ! Dit-il en lui glissant un doigt dans la chatte Mais ça t’a fait mouiller, t’es vraiment une salope !
– Comme d’habitude maître Soubise !

Il sort ensuite deux feuilles blanches qu’il nous tend à chacune d’entre-nous…

– Voilà vous allez me signer une décharge… commence-t-il
– Une décharge de quoi ? M’étonnais-je.
– Un simple document précisant que nous nous sommes livrés à des ébats de nature sexuelle de façon consentante.

Mais il est complétement givré ce mec !

– Bon, ça devient n’importe quoi ! Dis-je à Amandine en me levant de mon siège, des avocats il y en a partout, on en trouvera un autre.
– Laissez-moi juste vous expliquer, asseyez-vous, vous n’êtes pas à cinq minutes…

Je me rassois, me demandant ce que va encore nous sortir ce type.

– C’était il y a deux trois mois, j’avais pour cliente une belle dame, très élégante, et aux formes parfaites. Son dossier était indéfendable et je le lui ai expliqué. Elle m’a alors demandé si une partie de jambes en l’air me permettrait d’être plus efficace. J’ai eu la faiblesse de lui dire que ça ne coutait rien d’essayer… On a donc baisé, un sacré tempérament, la dame ! Mais j’ai perdu l’affaire. La dame m’a copieusement engueulé. Pas grave, ça fait partie des risques du métier. Mais là où ça a dégénéré, c’est que cette furie a porté plainte pour viol. Mon nom a été jetée en pâture à la presse, et les féministes ont expliqué que dans ce genre d’affaire, la parole de la femme était forcément la bonne. Bon, je m’en suis sorti, peu importe comment, mais j’ai vécu trois semaines d’enfer et j’ai perdu des bons clients.
– Donc et maintenant vous demandez une décharge ? Demandais-je.
– Ben oui !
– Une décharge pour baiser ! Mais dans quel monde vivons-nous ?
– Je ne vous le fais pas dire !
– Bon je vais vous la signer !
– Comme vous pouvez le constater, j’ai équipé mon bureau d’un petit canapé, autant avoir son petit confort n’est-ce pas ? Je vais m’y installer au milieu et vous voua aller venir me rejoindre, chacune d’un côté….Non, non, restez habillées pour l’instant. Ah, je n’ai pas retenue vos prénoms…
– Moi c’est Christine et mon amie c’est Amandine.

On s’assied comme indiqué, et d’emblée Soubise se met à peloter Amandine. Normal elle est plus jeune et mieux foutue que moi…

– Voyons voir les merveilles que vous cachez-là, chère Capucine.
– Amandine, pas Capucine !
– Bien sûr, où ais-je la tête ? Ah Christine pendant que vais à la découverte des trésors de votre amie, occupez-vous donc de ma braguette.

Je palpe donc l’endroit et me rend compte que ça bandouille, et quand ma main se met à bouger, ça bandouille encore mieux.

– J’ouvre ? Demandais-je.
– Ouvrez, ma chère, ouvrez, mon oiseau a besoin d’air !

Un coup d’œil sur ma droite, Amandine et maintenant complètement dépoitraillée, et Maître Doubise joue avec ses nénés comme le ferait un nourrisson avec sa nounou.

J’ouvre sa braguette et là ou je pensais trouver une fermeture éclair je trouve des boutons… étrange conception du progrès vestimentaire. Cette étape franchie il faut aller piocher dans le caleçon et sortir l’engin, il est moite et bandé, il est aussi assez conséquent. Je le masturbe à la paresseuse, s’il veut que je le suce, il n’aura qu’à demander.

Et hop, le Doubise pivote très légèrement, en fait ce qu’il veut faire, c’est une inversion des rôles ! Autrement dit, mais vous l’aviez compris, j’ai droit au pelotage de nénés, tandis qu’Amandine se farcit le tripotage de bite.

Ces petites fantaisies durent plusieurs minutes avant que l’avocat se relève en déclarant d’un ton solennel :

– Embrassez-vous les filles et ne faites pas semblant, j’adore voir de belles salopes se gouiner, voilà comme ça, toi Amandine bouffe le sein de ta copine ! Oh que c’est beau ! Inversez les rôles maintenant…

Faut voir l’effet que ça lui fait au type, sa bite est raide comme un bout de bois.

Chanette2913– Sucez-moi ensemble, je veux une double langue sur ma bite…

Il devient exigeant pépère mais nous lui accordons néanmoins cette privauté avec amusement.

Et maintenant les filles on baise ! Permettez que je retire mon pantalon, je ne voudrais pas le tacher, j’en ai pas de rechange ici .

Qu’est-ce qu’il est drôle !

– Je vais vous prendre en levrette toutes les deux mettez-vous l’une à côté de l’autre et dégagez-moi votre cul, pendant ce temps-là je vais chercher les petites capotes dans mon tiroir.

C’est moi qui l’honneur et l’avantage de passer en première, Doubise me baise à la hussarde à coups de « Hi » et de « Han ».

– Vous avez le trou du cul charmant ! Une petite sodo, ça ne vous dérange pas ?
– Elle est un peu grosse !
– J’essaie, si ça ne le fait pas, je n’insisterais pas !

S’il nous fait ça à la gentilhomme, je n’ai plus rien à dire, il m’a tartiné de gel, il est passé, s’est contenté d’une dizaine d’aller et retour avant de déculer et de changer de capote pour aller enfiler Amandine.

Et là il n’a pas pu tenir la distance, excité comme il était, il a pris son pied en gueulant comme un veau qu’on égorge.

– Ne vous inquiétez pas, c’est insonorisé ! Commente-t-il

Après que nous fûmes rhabillées, Maître Doubise entra dans le vif du sujet.

– Deux services peuvent s’occuper de l’affaire, la répression des fraudes et la brigade financière, mais ce sera plutôt les fraudes. Encore faut-il que ça les intéresse et qu’ils n’essaient pas de s’arranger avec Chauvière. Tout dépendra de l’interlocuteur. Mais on peut faire autrement, Il faut, documents à l’appui, obtenir une plainte urgente de la partie hollandaise. Celle-ci va donc transmettre le dossier aux autorités françaises qui dans ce cas de figure vont se trouver obligés de faire diligence.
– Donc dans la pratique, on fait quoi ?
– Vous prenez le TGV ou l’avion pour Rotterdam, je vais vous rédiger une lettre d’introduction à l’adresse de la société spoliée pour éviter qu’on vous fasse poireauter.

Par téléphone, j’ai fait part à Gollier de l’avancée de nos démarches.

– O.K. il faut que les hollandais se bougent, téléphone-moi dès que tu as leur accord et je te donnerai un nom.

Jeudi 22 avril

Nous voilà donc à Rotterdam, ni moi ni Amandine ne parlons le néerlandais, l’entretien chez Kuipper and Son se fera donc en anglais.

Le responsable de la sécurité de la boite fait très militaire de carrière en retraite, ce qu’il est peut-être d’ailleurs. Il feuillette le dossier et ne sachant pas lire le français, nous pose des tas de questions

– Vous avez trouvé ça comment ?
– Une complice de Chauvière se méfiait de lui, elle s’est mise à table… anonymement… elle pensait que ces documents pourraient la protéger.
– Et ça ne sort que maintenant ?
– Oui !
– Et votre rôle dans cette affaire ?
– Nous avons un contentieux avec Chauvière, alors on a fouiné un peu.
– Hum, vous savez, on est assuré pour les vols, le souci c’est qu’à chaque fois la prime augmente, alors évidemment s’il y avait un procès… Mais vous croyez que les bijoux sont encore en possession de Chauvière ?
– J’en suis persuadée ! Répondis-je avec force malgré le fait que je n’en sache rien du tout.
– Je vais voir avec ma hiérarchie ! Finit par nous dire le bonhomme, restez assises, je reviens. Ah, prêtez-moi la fausse facture…

Une demi-heure qu’il nous a laissé poireauter !

Enfin le revoilà !

– Nous allons porter plainte, je peux faire un double de tous ces documents ?
– Bien sûr !
– Ah, la fausse facture est au nom de Van Halen International à La Haye, on vient de les appeler ils feront une plainte conjointe pour faux et usage de faux.
– Super ! Vous permettez que je passe un coup de fil à mon conseiller juridique ?
– Je vous en prie.

Dans le couloir, je téléphone à Gollier, lui annonce que les hollandais vont déposer plainte…

– OK, dis leur d’envoyer tout ça à la répression de fraudes à l’attention de Mathieu Morani, je vais le prévenir.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 21 mai 2023 7 21 /05 /Mai /2023 15:35

Chanette 29 – Le croisière de l’Espadon – 12 – Trio de coquines par Chanette

doigtage anal fémininfeuille de roselesbostriouro
bisou1719

N’empêche que pendant la discussion Estelle et Amandine se sont respectivement trouvées sympathiques.et en sont déjà à se tutoyer.

– Mais tes fonctions à bord, ça consistait en quoi ? demande Estelle à Amandine.

– Officiellement, j’étais directrice adjointe de la croisière, en fait je devais assurer l’encadrement des filles, ça n’avait rien de compliqué, avec ce qu’elles se mettaient dans la poche, les problèmes étaient rares.
– Et en ce qui te concernes, tu as eu droit à des sollicitations de passagers ?
– Je m’efforçais de garder mes distances mais j’ai eu quelques sollicitations…
– T’as donné suite ?
– Dis donc, toi t’es bien curieuse… Mais comme la philosophie de la croisière était de contenter le client, ben oui, j’ai donné suite, j’ai payé de ma personne !
– Et tu t’es barrée comme ça ? Quand tu as deviné que Chanette était en danger ?
– Non c’est plus compliqué que ça…

C’est vrai que lorsqu’on raconte une histoire fut-elle vécue, on oublie toujours des passages, et parfois des passages importants…

Alors Amandine raconte l’épisode de l’escort russe (voir plus avant)

– Quand j’ai compris que Chanette allait connaître le même sort, j’ai trouvé ça dégueulasse, mais que les choses soient claires, je ne suis pas une sainte non plus, j’ai été lâche avec la russe, j’ai fermé ma gueule, j’ai laissé faire, je n’en suis pas fière mais c’est comme ça ! Alors bon quand on est lâche une fois, on peut l’être une seconde fois, sauf que ça devient super dangereux, en cas d’enquête, en tant que sous-directrice de la croisière je suis complice de tout ce qu’y s’y passe, je n’avais aucune envie de me retrouver accusée de complicité de trafic d’êtres humains.
– Donc tu ne l’as pas fait que pour les beaux yeux de Chanette ?
– Qu’est-ce que ça peut de foutre ? Et confidence pour confidence, Chanette, je l’adore, n’est-ce pas ma biche que je t’adore ?
– Mais moi aussi je t’adore, mais on s’écarte un peu du sujet, là ? Répondis-je.
– Je voulais juste montrer à Mademoiselle qu’on s’adorait ! Réplique Amandine en trouvant mes lèvres.

Elle commence à déconner Amandine, avec sa petite provocation, Estelle va finir par faire la gueule.

A moi de remettre tout ça sur les bons rails.

– Mais avec Estelle, aussi, on s’adore, n’est-ce pas Estelle.
– Ben bien sûr qu’on s’adore.

Elle m’enlace, me roule un patin et me pelote les nichons.

– Oh les beaux nénés que je suis en train de toucher !

Je dois la faire arrêter, craignant que ça tourne mal…

– Je vais peut-être vous laisser ! Nous dit Amandine en se levant de son siège.
– C’est moi qui te fais fuir ? lui demande Estelle.
– Ce n’est pas une fuite, mais comme vous m’avez l’air très intimes toutes les deux, autant que je respecte votre intimité.
– Mais on n’est pas intime, on se connait à peine, on s’est vu deux ou trois fois et on a bien aimé faire des trucs ensemble.
– Ah ?
– Je peux te raconter si tu veux, c’est assez marrant. Propose Estelle
– Vas-y, je t’écoute…
– Figure-toi que mon patron avait besoin de détails sur une partouze qui avait été organisée chez Chanette (voir Chanette 28 – Magazines littéraires) Il fallait donc que je la rencontre et je ne savais pas du tout comment m’y prendre, alors j’y suis allé au culot et je lui ai dit que je voulais apprendre le métier.
– Comme ça ?
– Non je résume ! Mais toujours est-il que du coup je suis tombée sous son charme !
– T’as donc raté la mission que t’avais confié ton patron ?
– Même pas ! Mais dis donc toi, je te regarde depuis tout à l’heure, t’es vraiment canon !
– On me le dit souvent, mais parfois j’aimerais me faire toute petite, qu’on ne me remarque pas…
– Ben ce soir c’est raté ! Dis-moi je peux t’embrasser ? Tu veux bien ?
– Tu m’as l’air bien excitée !
– Ce sont des choses qui arrivent… Tu ne veux pas me monter comment tu embrasses ? Minauda Estelle.

La demande est faite d’une voix tellement suave qu’Amandine se demande s’il faut en rire ou accepter le défi. Elle approcha ses lèvres, les deux femmes se lancent alors dans un patin d’enfer, tandis que leurs mains loin de rester inactive jouent à « Vas-y que je te pelote ! »

Et moi, je fais quoi ? Je fais banquette ?

– Eh, les filles, si vous voulez vous amusez, on serait mieux dans ma chambre !

Je m’y suis dirigée la première, Estelle m’a suivi entrainant Amandine par la main.

Une fois en chambre, il y a un petit moment de flottement, personne ne prend l’initiative de se déshabiller la première.

– T’es lesbienne ou bi ? Demande Amandine à Estelle.
– Je ne sais pas trop ce que je suis, j’ai rarement été avec les femmes, mais disons que la petite aventure que j’ai eu avec Chanette m’a réveillé de vieux souvenirs… et puis ça change… Mais dis-moi, tu nous le montres ton corps de déesse ?
– Faut peut-être pas exagérer !
– On se déshabille toutes alors ? Proposais-je

C’est donc ce que nous avons fait.

Chanette2912
Estelle a entrainé Amandine sur le plumard et se jette littéralement sur elle, mais de travers, lui bouffant les seins avec une fougue de sauvage.

Etant donnée la position d’Amandine, sa chatte reste offerte, elle sera donc pour moi et je m’en délecte d’autant que la coquine mouille déjà.

Estelle complétement barrée dans son trip ne tarde pas à vouloir sa part de chatte, elle change de position, descend et vient me rejoindre m’invitant à partager mon cuni !

Elle est gonflée, celle-ci ! Mais je ne suis pas mauvaise fille et lui cède la place

Je me recule, le spectacle d’Estelle en train de brouter le gazon d’Amandine a quelque chose de fascinant d’autant qu’elle accomplit sa tâche en relevant le croupion de façon obscène.

Je me précipite vers ces chairs offertes, je caresse, j’embrasse, je malaxe, j’écarte les globes, lèche le trou étoilé avant d’y introduire un doigt inquisiteur que je fais aller et venir en bonne cadence.

Un cri fulgurant…

Amandine vient de jouir sous les coups de langue d’Estelle… Et après celle-ci viendra nous raconter qu’elle n’a aucune expérience des amours lesbiens. Ou bien c’est une sacrée menteuse, ou alors elle a été touchée subitement par la grâce de Sainte Cunégonde, patronne des cunis !

Toujours est-il que le trio se disloque…

Mais vous vous doutez bien que nous n’en avons pas terminé pour autant.

C’est au tour d’Estelle de se coucher sur le lit, les jambes écartées, nous invitant à continuer à lui procurer du plaisir. Amandine est la plus rapide est plonge son visage entre ses cuisses. Quant à moi, je m’accroupis au-dessus de son visage afin qu’elle s’occupe de ma propre chatte.

La position n’est pas des plus pratiques pour Estelle qui est obligée de me lécher, menton relevé. Elle finit par laisser tomber s’abandonnant à la langue d’Amandine tandis que je lui caresse ses gros bouts de sein.

Après qu’Amandine l’ai fait jouir, elle revient vers moi et dans une position cette fois plus pratique parvient à me faire jouir à mon tour.

Nous sommes toutes les trois un peu épuisées par ce quart d’heure de folie (eh, oui, ça n’a pas duré plus longtemps !)

– Si on allait manger le gâteau ? Propose Estelle.
– Volontiers, mais je vais pisser avant ! Tu veux me regarder ! Lui lance Amandine.
– Te regarder pisser ? En voilà une idée ?
– Je te proposais ça comme ça, je m’étais dit que ça te plairait peut-être…
– Me prendrais tu pour une oie blanche ?
– Vu la façon dont tu m’as léché, ça m’étonnerait. Alors tu viens ?
– J’arrive !

Amandine s’accroupit sur la lunette de la cuvette et se mit à pisser d’abondance.

– Alors c’est beau ? La nargua-t-elle
– Bien sûr que c’est beau, je crois que je vais pisser aussi.

Amandine eu le tact de ne pas aller plus loin dans ce qui n’était même pas une provocation.

J’appris beaucoup plus tard, que les rapports à l’uro d’Estelle étaient en fait assez compliqués. Quand son patron, Maître Doubise entreprenait de la baiser il n’était pas rare qu’à la fin, il lui pisse dessus et même dans la bouche. La pratique n’incommodait pas Estelle, elle trouvait même la chose relativement amusante, mais ça restait dans son jardin secret.

On s’est placé autour de la table, j’ai débouché une bouteille de rosé bien frais et on s’est partagé le gâteau.

– Tu veux bien que je tartine ? Demande alors Estelle à Amandine
– Me tartiner quoi ?
– Tes seins ?
– Hein ?
– Lisse-moi faire.

Estelle a pris alors du gâteau et en a écrasé des morceaux sur les seins d’Amandine qui s’est mise à rigoler comme une bossue.

Evidemment Estelle et moi, avons dégusté tout cela en léchant chacun un sein, tandis qu’Amandine se laissait gagner par l’extase.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 21 mai 2023 7 21 /05 /Mai /2023 15:32

Chanette 29 – Le croisière de l’Espadon – 11 – La vengeance, ce n’est pas si simple ! par Chanette

doigtage masculindomination harddonjonengodage masculinprostitution

Chanette

Bingo, j’ai la facture (la fausse facture donc) devant les yeux, Elle est à l’en-tête d’une société Van Halen International à La Haye.

Est-ce que j’ai tout ce qu’il faut ? Si la société hollandaise n’existe pas, ça va être facile, sinon on verra, Je compose le numéro de téléphone indiqué sur le document

– Allo, Van Halen International ?
– Ja !
– Merci !

Donc la société n’est pas bidon, reste deux hypothèses. Si Van Halen n’a rien à voir là-dedans cela prouvera de suite que la facture est fausse, S’ils sont complices ça risque d’être plus compliqué, mais je suppose que la police saura faire, après tout c’est leur métier.

Par politesse, j’ai remercié au téléphone Grace Hernandez, il me reste maintenant à recontacter Amandine Cantal pour lui expliquer où j’en suis. Mademoiselle ne répond pas, je lui envoie un message en la priant de me rappeler. Je vais donc passer à la case Gollier sans m’être concerté avec elle. Tant pis, le temps presse… J’entends déjà le savon que va me passer le policier quand je vais lui narrer mes aventures, mais je suis bien obligée d’en passer par là !

Il peut se libérer à midi et me donne rendez-vous dans une brasserie du Palais Royal.

– Tu es comme la Sainte vierge ! Me dit-il en guise de bienvenue, tu apparais, tu disparais, tu réapparais…
– Sauf que je suis pas vierge !
– Non sans blague ! Persifle-t-il.
– J’ai un truc à te faire écouter, c’est pas bien long, voilà… La voix c’est celle de Chauvière.

Il écoute l’enregistrement, paraît embarrassé.

– Mais encore ?

Alors je lui raconte l’invitation sur le yacht pour rupins, les prestations avec les passagers, l’incident avec l’attacheur fou, le rôle de Patrick Schultz, le vol de mes papiers et de mon téléphone et le rôle providentiel d’Amandine Cantal.

– Excuse-moi, mais sur ce coup-là tu as vraiment été la reine des connes !
– Je l’admets volontiers !
– Pourquoi tu ne m’as pas appelé avant de t’embarquer comme une idiote.
– Tu m’aurais dissuadé de le faire !
– Bien sûr que je t’aurais dissuadé !
– Ça n’aurait pas changé grand-chose, ils m’auraient traqué autrement…
– Hummm… Et en fait, tu viens me voir pourquoi ?
– J’aimerais me venger…
– Je ne suis pas Zorro…
– Moi non plus…

Et sans dévoiler mes sources, je lui explique que je suis en possession d’une fausse facture…

– Je vais te décevoir, je ne peux plus rien faire, j’ai été dessaisi de l’affaire…
– Quand il y a des éléments nouveaux, une enquête, ça peut se relancer, non ?
– Je vais te dire un truc que tu interpréteras comme bon te semble : les fonctionnaires de police seraient mieux payés, la corruption fonctionnerait moins.

J’ai compris le message, il ne m’en dira évidemment pas davantage.

– Donc résumons-nous, tu ne peux pas m’aider ?
– Moi non ?
– Parce que quelqu’un d’autre pourrait le faire ?
– Moi je suis la police judiciaire, pour ta facture, il y a la répression des fraudes, la brigade financière, les douanes… et même la police hollandaise. Tu connais un avocat ?
– J’en ai croisé quelques-uns, mais je les ai un peu perdus de vue, j’en ai surement parmi mes clients mais je ne suis pas assez intime avec eux… sinon j’ai eu récemment de bonnes relations avec la secrétaire d’un avocat…
– Suis cette filière, fais-toi conseiller.
– Ça ne va pas être gratuit !
– Je ne penses pas, non mais tu peux bien t’offrir ça, non ?

Petite allusion vacharde à mes activités réénumérées. Ça ne m’a pas plu.

– Certes !
– Sinon, tu trouveras bien le moyen de t’arranger, non ?
– Je vais voir !
– Christine ?
– Oui, je suis là !
– Il serait préférable qu’on ne se voie plus… cela pour des tas de raisons…
– C’est comme tu veux !

Ça tombe très bien ! Pourquoi le reverrais-je ?

– Mais autant se quitter bons amis.
– Je ne suis pas fâchée.
– On pourrait se faire une petite prestation comme l’autre fois, je ne te demande plus de demi-tarif, je paie plein pot.

J’ai accepté, pensant naïvement que cela pourrait le faire revenir à de meilleures dispositions.

Bizarre quand même qu’il m’ait avoué, sans me le dire vraiment qu’il s’était fait graisser la patte pour ne pas approfondir l’affaire de l’attentat contre Chauvière. Une façon de se libérer d’un poids, sans doute. En fait il est péteux !

– J’ai quelqu’un à 14 heures, un mec qui n’est pas partageux, mais je peux te recevoir à 15 heures.
– On ne sera que tous les deux alors ?
– Oui, sinon, je te téléphonerais quand j’aurais une opportunité…
– Non, non, je t’ai dit il faut mettre un point final à notre relation, je serais à ton studio à 15 heures.

A l’heure dite, il m’a apporté des fleurs, un très joli bouquet, j’ai apprécié. Je l’embrasse sur les joues.

– L’autre fois, on a pas fait de domination, c’est pourtant ce que tu voulais, non ?
– C’est-à-dire, quand j’ai vu comment tu traitais l’autre client, ça m’a refroidi.
– Je ne traite pas tous mes soumis de la même façon, il y a les gros masos et les petits masos.
– Ben, moi je suis un petit maso.
– Maso physique, ou tu aimes bien aussi les insultes.
– Les insultes, je ne sais pas trop, limitons-nous aux trucs physiques.
– O.K. déshabille-toi, je vais te gâter !

Pendant qu’il le fait je me débarrasse de mon kimono sous lequel je suis en bustier noir. J’arrive devant lui, lui passe un collier chien muni d’une laisse autour du cou et le mène au donjon.

Chanette2911Je me pose devant lui en le regardant droit dans les yeux, je lui attrape ses tétons que je serre bien fort entre mes petits doigts coquins.

– Ça, tu aimes, on dirait bien !
– Oui, c’est bon !
– C’est bon et ça fait bander ! T’as vu ta bite elle est devenue raide come un bout de bois. Bouges pas, je vais chercher les petits outils.

Je reviens avec deux pinces que je lui fixe sur les tétons. Oh la vilaine grimace qu’il me fait, mais il supporte ! Puis avec une petite cordelette, je lui ligature les couilles. Je joue un peu avec les pinces, celle-ci offrent plein de possibilités, on peut les tirer vers soi, les tortiller comme des papillotes ou tout simplement augmenter la pression en posant les doigts où il convient

Je le fais ensuite se retourner et s’arcbouter contre le chevalet et m’empare d’un martinet. En principe le martinet est l’instrument de flagellation le moins agressif (je dis bien en principe, parce qu’il y en a.. passons) .

– Je vais t’en donner vingt coups, tu vas compter avec moi !
– Pas trop fort !
– Ta gueule !
– Ben dis donc comment tu me causes ? Fait-il mine de s’offusquer.
– Oh pardon ! J’aurais dû dire « Ta gueule mon petit soumis »

Ça le fait marrer, cette andouille ! Allez, on y va, Gollier compte, arrivé près de la vingtaine, je vois bien qu’il a hâte que ça se termine.

– 19 , 20.

Il souffle ! Pas moi un vingt et unième lui tombe sur les fesses.

– On avait dit 20 ! Proteste-t-il
– Non on avait dit 22 !

Et je lui en envoie encore un.

– Maintenant tu te mets à plat ventre sur le chevalet, les jambes bien écartées, je vais t’enculer ave le gode !

Il n’hésite pas une seconde, à mon avis ce ne sera pas une punition, je parierais même qu’il doit avoir un gode chez lui qu’il s’enfonce dans le cul les nuits de grande solitude.

Je l’ai pilonné un bon quart d’heure avant qu’il ne me demande d’arrêter.

Instinct fatidique, il va vouloir jouir, or la dernière fois, me trouvant complètement hors contrôle je lui ai sucé la bite ! Je peux difficilement faire moins aujourd’hui.

Je ne lui ai pas demandé son avis.

– Tu restes debout et tu ne bouges pas.

Je l’ai pompé en lui caressant les couilles et en lui doigtant l’anus, cela jusqu’à ce qu’il jouisse, ce fut assez rapide. Je n’ai pas avalé, faut pas déconner non plus !

– Bon on fait comme on a dit, téléphone-moi quand tu auras vu ton avocat, je pourrais éventuellement te pistonner auprès d’un collègue, mais c’est tout ce que je pourrais faire pour toi.
– Ce sera déjà pas mal !
– Mais après on ne se connait plus…
– J’avais compris.

Bon, je n’ai plus personne cet après-midi, avec toutes ces péripéties, il faut que mon carnet de rendez-vous se refasse une santé.

Et Miss Amandine qui ne répond toujours pas ! J’espère qu’il ne lui a rien arrivé. J’envoie un nouveau message.

« J’ai avancé, j’ai des éléments, mais j’aimerais bien qu’on en parle J’espère que tu vas bien, bisous ! »

Je téléphone donc à Estelle Morin, la secrétaire de Maître Soubise (voir l’épisode précèdent)

– Chanette ! Je parie que tu viens nous voir suite à ton arrestation… Maître Doubise était désolé de ne pouvoir se déplacer lui-même…

Tu parles !

– On a rien retenu contre moi, mais je téléphone pour tout à fait autre chose…
– Tu ne m’as donc pas oublié ?
– Comment pourrais-je ? Répondis-je un peu hypocritement.
– C’est pour un rendez-vous coquin ?
– Disons que ça peut être compris dans le packaging !
– Parce que sinon ?
– Parce que je me suis foutue dans une belle merde et que j’ai besoin des conseils d’un avocat…
– T’as fait des bêtises ?
– Pas du tout, disons que j’ai été victime de quelques salopards.
– Bon OK, on se voit où ça et à quelle heure ?
– Chez moi à 19 heures, on bouffera sur place.

Je fais quelques courses avant de gagner mon appartement, et voilà que mon téléphone m’annonce la réception d’un message.

C’est Amandine ! Enfin !

« Je passe chez toi vers 19 heures ! O. K. »

J’ai failli répondre qu’à cette heure-là je serais prise, mais le temps presse de trop. On sera donc trois je saurais gérer, et je réponds à Amandine que c’est d’accord.

A 19 heures pile, Estelle Morin arrive la première avec un gros gâteau glacé (ma ligne !). Cette fausse blonde MILF un peu dodue est toujours aussi craquante.

– Salut ma biche, contente de te revoir, il y a un petit changement de programme, j’attends une nana qui est impliquée dans l’affaire que je vais t’exposer, mais soit rassurée, elle très sympa et elle ne s’éternisera pas, on pourra donc se faire des coquineries quand elle sera partie.
– Alors tout va bien !
– Tu veux boire quoi ?
– Je suppose qu’il va falloir que je reste l’esprit lucide, alors un jus de fruit ou un coca, on se boira des trucs qui décoiffent plus tard !

Je lui raconte donc toute l’histoire, le client aux diamants, la réception de Chauvière à La Tour Montparnasse qui se fait descendre, les conditions de mon arrestation et de ma libération, le rôle de la police, la proposition d’embarquement formulée par Amandine, puis je m’interromps pour lui faire écouter le message de Chauvière.
– Eh bin quelle salade ! Commente-t-elle.
– J’allais poursuivre quand la sonnette d’entrée retentit, c’est Amandine Cantal.

Présentation et bisous

– Voici donc Estelle Morin, la secrétaire de Maître Doubise, avocat à la cour. Et donc Amandine dont j’allais justement te parler. Excuse-moi Amandine, je vais continuer à raconter pour Estelle et ensuite je t’expliquerai où j’en suis dans mes démarches.

J’explique donc tout ça à mes deux interlocutrices. Manifestement Estelle a un peu de mal à suivre, Amandine est, elle plus préoccupée.

– Manifestement ton flic ne veut pas se mouiller !
– Il me dit que ce n’est pas plus un problème de police judiciaire !

Je ne vais quand même pas leur raconter qu’il s’est laissé corrompre !

– Alors le problème c’est : je m’adresse à qui ? Le flic m’a suggéré plusieurs services, la répression des fraudes, la brigade financière, les douanes et même la police hollandaise, mais quelles chances on a que des plaintes puissent aboutir rapidement ?
– Alors là, je ne sais pas dire, il va falloir que je voie avec Maître Soubise ! Nous répond Estelle.
– Il saura ?
– Bien sûr qu’il saura, il peut aussi faire accélérer les choses, du moins je suppose, mais tu vas le payer comment ? T’as de l’argent ?
– Oui, ce n’est pas un problème, mais si tu pouvais t’arranger pour qu’il nous fasse ça à l’œil, ce serait aussi bien !
– Tu sais Doubise, ce n’est pas le mauvais bougre, loin de là, mais il est très près de ses sous !
– En fait ce n’est pas une question de sous, je me disais simplement que si on pouvait l’avoir au charme, ça faciliterait les choses… ça le motiverait davantage… Mais sinon, c’est pas grave, je paierais !
– A moins que, à moins que… Murmure Estelle
– A moins que quoi ?
– Ça me paraît jouable. Il aime bien les sous, mais il aime bien les câlins aussi !
– C’est quel genre ?
– Ben pas vraiment playboy, ce serait plutôt « gros lard ».
– Je pourrais avoir un rendez-vous demain ?
– Je vais arranger le coup.
– Est-ce qu’il faut que je vienne aussi ? Demande Amandine.
– Il ne faudrait pas que cela constitue un obstacle si Chanette veut lui faire une opération charme…
– Pourquoi les plans à trois, il a quelque chose contre ?
– Dans ce cas…

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Images Aléatoires

  • sarah strapon
  • 241004U2
  • Martinov18ae1
  • Stoffer08
  • Chanette19j2
  • Ginger13

Derniers Commentaires

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés