Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 12:26

Annabelle, la reine des mutants par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 1 – Lothaire de Castignac

Mutants

Prologue : Poitiers, France, an 1575

Zwak ressemble à une sauterelle, sauf qu’elle n’est pas verte mais rose. Zwak était le commandant de la première mission d’exploration interstellaire organisée par sa planète natale. Une opération de pur prestige destinée à tester la technologie de cette civilisation. Le voyage dura 40 ans à 90 % de la vitesse lumière. Cela n’était pas un inconvénient pour les aliens, le génie génétique de leurs savants les ayant rendus pratiquement éternels, sauf en cas de destruction du cerveau.

Ils partirent donc à 72 individus et le voyage se passa sans soucis majeurs, Zwak étant habile à étouffer dans l’œuf les conflits latents entre ses congénères.

Au moment d’entrer dans l’atmosphère terrestre, la protection thermique de la partie arrière du vaisseau, là où était installé 60 pionniers, s’avéra défaillante, brulant mortellement tous les occupants.

La cabine de pilotage où se tenait Zwak et onze de ses compagnons était dotée d’un bouclier thermique indépendant, mais la catastrophe survenue à l’arrière déséquilibrait le plan de vol et risquait de s’étendre.

C’est donc un vaisseau quasiment en feu que Zwak parvint à faire atterrir, par chance, ce fut au bord d’un mare boueuse trempée par une pluie incessante.

Zwak et ses compagnons sortirent en catastrophe du vaisseau et le virent s’abimer dans la mare boueuse.

Après une longue période de silence due au choc psychologique, Zwak prit la parole.

– Nous allons nous renseigner pour savoir si cette planète abrite des êtres intelligents et s’ils possèdent une technologie qui nous permettra de rentrer chez nous.

La longueur du voyage et ses contraintes avaient affaiblis les aliens, Aussi ils se trouvaient incapables de se dématérialiser, ils avaient été prévenus, et savaient qu’il leur faudrait plusieurs jours pour retrouver l’intégralité de leurs pouvoirs.

Après une petite pause, la petite compagnie s’envola afin de visiter les environs.

– Ah, voici une construction ! Il y a de la civilisation ici, tout espoir n’est donc pas perdu.

Ils s’approchèrent et pénétrèrent dans le château (car oui il s’agissait bien d’un château) par une fenêtre ouverte.

Et là ils aperçurent le comte Lothaire de Castignac donnant des ordres incompréhensibles à un serviteur.

– Ce bipède doit être un représentant de la race évoluée de cette planète, nous allons l’étudier et ensuite nous tenterons un contact.

Zwak et ses compagnons explorent le château, en profitant pour se nourrir de graines et de petits insectes, ils trouvèrent aussi un broc rempli d’eau potable.

Ainsi repus, ils purent entreprendre de sonder le cerveau de celui qui semblait être ici le maître des lieux, le comte Lothaire de Castignac.

La tâche était difficile, les aliens n’ayant pas encore retrouvé l’intégralité de leurs pouvoirs, il fallut se mettre à plusieurs pour pénétrer l’esprit du comte.

Au bout de 10 minutes, les aliens commentaient le désastre :

– Incroyable ! Il ne sait pas ce qu’est une planète, ni une étoile, leur technologie est purement mécanique.
– On pourrait peut-être leur donner un coup de pouce ? Suggéra Vico.
– Ça va prendre des siècles !
– On pourra accélérer les choses, on a l’éternité devant nous.
– Il nous faut un plan, réfléchissons chacun de notre côté, je pense qu’il doit exister des savants, ici, il nous faudra les contacter…

Et en attendant ils allèrent se planquer dans les nombreuses petites alvéoles qui gangrénaient les murs du château.

Mais bientôt ce fut l’enfer, le château était infesté de bestioles, et les aliens n’étaient pas les bienvenus, il fallait faire avec les chats, les chiens, les rats. Ils crurent résoudre le problème en instituant des tours de garde, mais la situation devint vite invivable.

Et un jour Vico fut pris dans une toile d’araignée dont il ne parvint pas à s’extirper. L’araignée rapide comme l’éclair lui bouffa carrément la tête.

– On ne pourra pas survivre dans ces conditions, nous allons être décimés les uns après les autres ! Se lamenta Zwak.
– Quittons cet endroit ! Suggéra l’un des aliens.
– Pour trouver peut-être pire ! A quoi bon ? Non il nous reste qu’une solution : la fusion !

Cette perspective était loin d’enchanter le petit groupe, mais après quelques discussions il fut convenu qu’il n’y avait guère d’alternatives.

Le château était habité par sept personnes, le comte Lothaire de Castignac, Chapine, sa femme, ses deux filles d’une vingtaine d’années, sa vieille mère et un couple de domestiques.

– Je vais m’occuper de ce Lothaire, il faut que cinq d’entre vous se chargent des autres.
– Non six ! Rectifia quelqu’un.
– Non, on ne compte pas la mère, elle est trop vieille, on ne pourra rien en faire. Il restera six corps à habiter, nous irons les chercher dans les environs… si tout va bien..

Les aliens savaient l’opération pas si innocente que ça, la fusion de l’entité alien avec l’entité humaine laisserait des séquelles. Bien sûr les aliens phagocyteraient les humains mais pas complètement, il resterait quelque chose, la langue, les habitudes, les souvenirs, mais aussi certains traits de caractères ainsi que leurs positionnements sociaux et familiaux. Il faudrait donc apprendre à gérer tout ça.

Les premiers résultats furent encourageant. La fusion entre Lothaire et Zwak, fonctionnait. La personnalité du vieux comte était désormais en arrière-plan. Lothaire était devenu un alien à l’aspect humain.

Chaque alien transformé se chargeait de la sécurité de ceux qui restaient encore à l’état de « sauterelles ». Lothaire et ses amis découvraient des sensations nouvelles, le plaisir de gouter des plats nouveaux, celui de boire de la bière, mais aussi celui de forniquer.

C’est au bout de quatre jours que les premiers troubles apparurent, nausées, fatigue, faiblesse, étourdissements. Cela paraissait inexplicable, normalement la fusion entre les deux entités devaient conserver la quasi-immortalité des aliens et par là-même empêcher toute souffrance, et tout dérèglement pathologique.

– Il manque quelque chose, les fusions ne sont pas achevées. Déclara Zwak (que nous appellerons désormais Lothaire)

Les six aliens transformés se réunirent assis en cercle et entamèrent une longue méditation

– Le sang ! C’est le sang ! s’exclama Dame Chapine.
– Le sang ?
– Oui, nous ne pourrons jamais réaliser une fusion définitive avec ces bipèdes, mais une injection de sang à intervalles réguliers devrait faire l’affaire.

Après une brève discussion, les aliens transformés se rangèrent aux arguments de Dame Chapine.

– Mais comment trouver du sang ? Demanda quelqu’un.
– Il y a des habitants à quelques lieus d’ici ! Déclara Amaury, le domestique. C’est là que je me rends pour faire les courses…
– Alors, allons-y, avant que nos forces nous quittent.
– Il faut mieux ne pas attirer l’attention, je suis connu, attendons la nuit ! Objecta Amaury.

Et la nuit venue, après avoir assuré la sécurité des « sauterelles » non transformées, les six aliens se dématérialisèrent et transformées en nuée invisible, ils parvinrent jusqu’à une ferme.

La suite fut simple. Ils entrent, repèrent les chambres, se matérialisèrent : Six cibles endormis, chacun la sienne. Une morsure au niveau de la jugulaire… et glouglou.

Leur forfait accompli, nos six aliens s’en retournèrent au château et quand ils se matérialisèrent à nouveau, ils étaient en pleine forme.

– C’est pas terrible ce que nous avons fait ! Déplora Amaury
– Non, mais c’était eux ou nous ! Nous rechercherons une solution plus douce, mais en attendant il nous faudra continuer à agir de la sorte ! Déclara Lothaire. Mais par précaution la prochaine fois, nous irons bien plus loin.

Ils laissent passer quatre nouvelles journées au terme desquelles ils allèrent vampiriser quelques paisibles citoyens à plusieurs lieus de là.

A leur retour, il fut décidé que les six sauterelles non encore transformées avaient le feu vert pour fusionner avec qui ils voudraient.

– Bonne chance à vous ! Leur dit Lothaire. Nous resterons en contact télépathique et nous nous rencontrerons tous ensemble régulièrement et en cas de besoin.

La vie au château s’installa, pas grand-chose à faire, de la lecture, profiter de la bonne chère que rapportaient Amaury…

Mais vous allez me dire « avec quoi payait-il tout cela ? » Les impôts naturellement ! A intervalles réguliers, le bourgmestre du village se rendait au château avec les fonds collectés par les habitants. Le seigneur des lieux était donc entretenu à ne rien foutre. Mais en contrepartie ils devaient s’engager à protéger la population contre les invasions barbares.

L’autre activité était le sexe, et tiens, pendant que nous y sommes on va en parler un petit peu, puisqu’après tout on là pour ça, non ?

– Dame Chapine, Voyez comme je bande ! Lui dit Lothaire.
– Mon bon prince, je ne vois rien du tout !
– Venez donc à sa rencontre !

Chapine s’en alla farfouiller dans le haut de chausse du comte et ne tarda pas à faire sortir de sa cachette un magnifique membre bandé comme un arc et sur le gland duquel perlait une impertinente goutte de liqueur séminale.

– Quelle forme ce matin, mon prince ! Dit-elle en prenant en main ce dard arrogant.
– Je présume que vous allez sucer !
– Vous présumez fort bien !
– Mettez-vous à poil, Dame Chapine, que je puisse profiter de la vue de vos gros nichons !
– Lothaire, vous êtes un cochon !
– Je sais !

Chapine se déshabilla et afin d’exciter davantage son époux, elle se mit à faire bouger ses seins et à en tirer les gros bouts turgescents.

– Vous êtes une grosse pute, Chapine !
– Hi, hi ! Ricana-t-elle avant de prendre en bouche le beau vit.

Des bruits de pas, un raclement de gorge…Deux jeunes filles aux cheveux de feu entre dans la pièce

– Alors les parents, on batifole ! S’écria avec amusement Herma, la première fille du couple.
– On peut regarder, ou vous préférez qu’on vous laisse ? Ajouta Gudrun, la seconde fille.
– Mais restez donc mes chéries, plus on des fous, plus la baise est bonne.

Les deux belles rouquines s’approchèrent tout près de leurs parents.

– Hum, qu’elle est belle la bite à papa, tu me la laisses quelques instants, Maman ? Demanda Herma
– Vicieuse, catin !
– Oui, maman, mais ça ne répond pas à la question.
– Pour l’instant, c’est moi qui suce !
– Tu peux bien la partager cinq minutes, en échange je te brouterais la chatte ! Proposa Gudrun.
– Toi tu es encore plus vicieuse que ta sœur ! Mais bon je vais être bonne mère ! Répondit Chapine en se redressant, Régalez-vous, il est en pleine forme !

Et bientôt c’est deux petites langues qui virevoltaient autour de la bite du comte qui se pâmait d’aise.

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Dame Chapine se sentant larguée eut l’idée de sonner la bonne.

– Madame m’a mandé ? demanda Perrette découvrant le spectacle de Lothaire en train de se faire sucer le dard par sa progéniture.
– Tu vas me lécher la moule…
– La moule, le cul, tout ce que voudrez, ma douce maîtresse.
– Alors, exécution !
– C’est que je dois préalablement satisfaire un petit besoin bien naturel.
– Je déteste les contretemps, petite pisseuse ! Ton impertinence mérite une bonne fessée, Allez dégage moi ce gros joufflu que je lui tape dessus !
– Mon pauvre cul ! Qu’est qu’il va prendre ! Il va encore devenir cramoisie. Pitié Dame Chapine !

En fait Perrette joue la comédie, elle adore qu’on lui maltraite son popotin, et Chapine le sait bien qui tape à qui mieux mieux jusqu’à s’en faire mal aux mains.

Rageuse et excité comme une puce, la comtesse, plonge un doigt dans le trou du cul de Perrette qui sursaute de surprise mais qui se laisse faire volontiers.

– Tu aimes ça, traînée !
– Je préfère la queue de Sieur Lothaire, mais ce doigt m’est bien agréable.
– Salope ! Répondit Dame Chapine en introduisant un deuxième doigt.

Et après avoir agité ses jolis doigts pendant quelques minutes, il fallut bien qu’elle les ressorti.

– Regarde-moi ça, poufiasse, tu m’as dégueulassé mes petits doigts délicats.
– Hi ! Hi !
– Et ça te fait rire, catin ! Répondit la comtesse en giflant la pauvre servante.
– Méchante comtesse !
– Parfaitement, et maintenant nettoie-moi mes doigts.
– Avec plaisir, méchante comtesse !

Et Perrette, sans hésiter une seconde nettoya de sa bouche les doigts pollués de sa patronne.

– Et maintenant, lèche-moi.
– Puis-je faire remarquer que je n’ai toujours pas pissé et que ça va devenir urgent.
– Pisse-moi donc dans le gosier, ça t’évitera de trop t’éloigner.
– Madame la comtesse est une vicieuse !
– Parfaitement !

La comtesse s’étala sur le froid carrelage de la pièce, et Perrette vint s’accroupir au-dessus de son visage. Très vite, un joli filet jaune sorti de son intimité pour aller remplir le gosier de Dame Chapine.

– Hum, ta pisse est délicieuse, aujourd’hui !
– Madame me fait beaucoup d’honneur.
– Arrête donc de jacter et viens me brouter la chatoune.

Et pendant que Perrette mettait du cœur à l’ouvrage en butinant le berlingot de sa patronne, intéressons-nous au comte Lothaire et à ses deux espiègles de filles que nous avons délaissées.

Herma suçait d’abondance le dard toujours en étendard de son paternel, tandis que Gudrun, passé de l’autre côté, lui prodiguait une feuille de rose bien profonde

– Stop les filles maintenant il faut que je jouisse sinon je vais me taper un mal de bite !.Voyons voir laquelle de vous deux vais-je enculer ?
– C’est mon tour, je crois ! Indiqua Herma
– C’est sûr, ça ? Demanda Gudrun

Mais Lothaire apercevant Perrette en train de brouter son épouse en tortillant de son croupion rougit par la fessée qu’elle avait reçu eut l’idée de la choisir et passant derrière il l’encula d’un seul coup d’un seul, faut dire que la Perrette était tellement moullée que de partout que ça aidait fortement à la pénétration.

Charmant tableau, le comte sodomise la soubrette qui lèche la comtesse, et bientôt ce joli trio poussa des cris de jouissance qui raisonnèrent en écho dans les murs du château.

Quant à Herma et Gudrun, enlacée en soixante-neuf elles ne tardèrent pas à exprimer à leurs tours leur jouissance de façon fort peu discrète.

Comme vous le voyez, nos aliens avaient complétement assimilés la sexualité des terriens à cette importante nuance près, c’est qu’ils n’avaient aucun tabou.

Les mutants ne se déplaçaient plus en groupe pour se ravitailler en sang frais, chacun maintenant se débrouillait à sa guise et selon ses besoins.

Les grandes découvertes sont parfois le fruit du hasard, ainsi il se raconte que le dénommé Barthélemy Thimonnier (1793-1857) recherchait le mouvement perpétuel, il ne le trouva pas mais le résultat de ces expériences fut… une machine à coudre !

C’est Herma, la fille ainée du comte qui une nuit de collecte de sang eut un remord en commençant à mordre une très jolie jeune fille. Elle stoppa son geste et par reflexe fit cesser l’hémorragie en imbibant la plaie de sa propre salive.

Et soudain la fille se réveilla, Herma s’apprêtait à quitter les lieux mais ne le fit pas tant elle fut surprise par l’attitude la fille qui sortit du lit et se prosterna à genoux devant elle.

– Je suis votre esclave ! Ordonnez et j’obéirais.
– Euh, pour l’instant va faire dodo, tu as fait un cauchemar et tu as été piqué par une vilaine bestiole.

Et quelques nuits plus tard Herma retourna seule dans la chambre de jeune fille, elle n’y était plus. Elle sonda alors le cerveau de celui qui semblait être le maître des lieux.

Et ce qu’elle apprit fut atroce, la fille, en fait une servante, avait été surprise en train de mordre jusqu’au sang son compagnon de cuisine. elle fut brulée comme sorcière sans autre forme de procès.

Herma fit part de son expérience aux autres.

– Cela veut dire qu’on peut créer des mutants acquis à notre cause, en étant plus nombreux, nous serons en sécurité, mais attention il ne faudrait pas non plus que nous terrorisions toute la région.

Pendant quelques mois, les aliens eurent une vie paisible, cela jusqu’au jour où Amaury entra en conflit avec Lothaire.

Les prélèvements de sang avaient beau se dérouler à des lieus du château, l’ambiance dans la région devenait délétère

– Des gens accusent le château d’abriter des sorciers suceurs de sang. D’où peut venir cette rumeur, nous prenons nos précautions, non ? S’étonna Lothaire.

Soupçonnant quelque chose de louche, Lothaire entreprit de suivre discrètement ses congénères, et c’est là qu’il s’aperçut qu’Amaury ne s’éloignait pas assez du château lorsqu’il allait recueillir du sang.

Parallèlement la population s’organisait, décapitait et brulait tous les supposés sorciers, et menaçait de donner l’assaut au château.

– Espèce d’abruti, tu mets notre communauté en danger… L’invectiva Lothaire
– Ça devait arriver de toute façon, la seule solution c’est de mordre tout le monde, ainsi personne ne sera contre nous. Répondit Amaury
– O.K. je m’incline, c’est toi le chef désormais, puisque cette idée est de toi, je te laisse la mettre en place, mais il faut auparavant que je te confie quelques secrets. Vite le temps presse, retrouvons-nous dans la salle bleue.

Dame Chapine et ses filles s’empressèrent d’invectiver Lothaire, lui demandant s’il n’était pas devenu complétement fou de pendre une telle décision

– Mais non, voilà ce que nous allons faire….

Dans la salle bleue, située tout en haut d’une des tourelles, les trois femmes se concentrèrent de conserve sur Amaury, l’empêchant de se servir de ses pouvoirs, puis Dame Chapine s’empara d’une hallebarde posée sur un râtelier et fit reculer Amaury jusqu’à la fenêtre vitrée. Il passa au travers, brisant la vitre et dégringola. On a beau être immortel mais quand le cerveau est en bouillie, eh bien on ne l’est plus !

Lothaire réuni ensuite la domesticité .

– Nous allons partir les premiers, attendez un peu et empruntez le souterrain secret. Bonne chance à vous ! Nous nous reverrons !

Lothaire, sa femme et ses filles se dématérialisèrent, puis une fois éloigné du château, ils se firent passer pour des paysans fuyant les sorciers, ils furent engagés comme serfs au service d’un chatelain du coin. Pas trop la joie mais en attendant mieux…

En temps Tolmar, l’un des aliens de la seconde vague de transformation qui avait une formation de biochimiste avait découvert un procédé qui évitait les razzias sanguines. Le chef de leur groupe un certain Rosalio ne souhaitait pas que cette découverte soit divulguée (allez savoir pourquoi ?) Tolmar qui n’aimait pas qu’on lui donne des ordres s’en alla voir ailleurs, mais ne divulgua pas sa formule par crainte des représailles. Mais sa formule finit par fuiter. Les aliens pouvaient à présent dormir tranquille.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Samedi 30 septembre 2023 6 30 /09 /Sep /2023 13:20

Luciana, ma première transsexuelle par Enzo
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Ma vie sexuelle a commencé quand j’avais dix-huit ans dans les toilettes de l’université. Alors que je croyais que les mecs ne m’attiraient pas du tout. Ce jour-là une envie de pisser urgente me poussa aux toilettes. Il y avait un monde fou là-dedans. Les toilettes étaient grandes et il devait bien y avoir une dizaine d’urinoirs de part et d’autre de la pièce. Plusieurs personnes semblaient attendre et effectivement je trouvai que c’était long pour arriver à l’urinoir. Observant sans le vouloir l’un des pisseurs, je constatai qu’en fait, il se masturbait. Je ne sais quelle folie me poussa à regarder sur ma gauche, où un homme fort bien monté, était en train d’astiquer sa bite avec une savante lenteur. Je ne peux m’empêcher de la regarder, de la trouver belle, je ne savais pas quoi faire, j’avais fini de pisser. Il opéra un quart de tour dans ma direction, m’exhibant sa bite. J’étais si près de son sexe que je sentais son odeur si particulière qui m’attira sans que je puisse m’y opposer. L’envie de le sucer me devint insupportable et je plongeai d’un coup sur son gland pour le gober et j’avalai sa bite entièrement. Il soupira mais ne dit rien. Je léchai d’abord son gland et son prépuce. Il sursauta et me demanda d’arrêter mais je ne pouvais pas. Il se laissa finalement faire quand je pris sa belle queue entièrement dans ma bouche. Il soupira en essayant de ne pas faire de bruit. Comme dans un rêve, je sortis ma bite et me mis à la branler. Complètement excité, je ne tardai pas à éjaculer. Et je profitai de ce moment de répit dans mon excitation pour m’éclipser.

Après, je multipliai les expériences du genre. Un jour, je sympathisais avec un divine créature à terrasse d’un café. Comment vous la décrire ? Luciana, comme elle se fait appeler, était plutôt une transsexuelle non opérée encore. Grande brune, très brune, très typée italienne, le visage et le nez assez long, de grands yeux brillants, de belles lèvres. Très excitante dans son genre quoique trop maquillée. Elle était vêtue d’un curieux bustier à rayures dorées et vertes devant, l’arrière étant noir. Elle avait revêtu une sorte de minijupe en cuir et gainé ses belles jambes de bas auto-fixant. Comme elle devait chausser du 42, elle avait des tatanes pas possible.,

Elle m’emmena chez elle, et se déshabilla entièrement m’exhibant sa jolie poitrine aux extrémités très brunes et très raides. Son pénis à moitié bandé me narguait.

Elle m’aida à baisser légèrement mon pantalon et colla son corps au mien. Cette fois en m’embrassant sur le cou et la poitrine, elle réussit à sortir mon sexe déjà surexcité, de sa prison. Tout en lâchant de petits râlements, elle me masturba lentement. Sa main massait la hampe de mon membre rigide, soupesant mon sac coincé dans mon caleçon. Elle descendit son corps pour se mettre à genoux entre mes jambes, traçant son chemin sur mon cou, ma poitrine et mon ventre avec sa langue humide. Je sentis sa bouche se serrer comme un étau autour de ma queue. Levant les yeux vers moi, elle commença une succion répétitive. Son visage était comme illuminé pendant qu’elle s’activait à prendre le plus possible de ma bite dans sa bouche gourmande. Elle était devenue une mangeuse de queues. Si elle ne faisait pas attention, elle allait vite recevoir une abondante décharge de sperme. Son regard s’égara, elle semblait se concentrer sur cette pipe comme si la queue qui remplissait sa bouche était la seule chose au monde importante. De temps en temps, elle la sortait de sa bouche et la léchait à grands coups de langue. Cela me permettait d’éviter un orgasme trop vite venu tout en me donnant d’agréables sensations.:

– Vas-y… Tu peux décharger dans ma bouche… J’aime ça ! Me dit-elle

Et elle termina sa pipe endiablée. Elle me branlait d’une main en suçotant sur le gland de ma bite. C’était presque violent. Mon dos se cambra, mes jambes raidirent et je sentis ce courant électrique qui précédait la jouissance. Je giclai avec beaucoup de force une abondante quantité de liquide visqueux et chaud. Elle n’arrêta son pompage que lorsque ma queue fut devenue tellement sensible que c’était douloureux. Puis elle remonta vers moi. Son visage était radieux. Alors, je me jetai sur elle pour l’embrasser, j’aimais sentir sa langue contre la mienne et ses mains qui me caressaient partout. Je pus enfin goûter cette belle et grosse queue. Elle me dit que ma petite bite l’excitait. Nous nous mîmes alors en position de soixante-neuf et nous commençâmes par nettoyer le sperme de la première jouissance, pour ensuite continuer dans une double pipe d’enfer jusqu’à ce que nous jouissions chacun dans la bouche de l’autre. Je l’embrassai encore un peu puis, légèrement épuisé, je la menai vers la douche. Et là, je lui demandai de réaliser un de mes fantasmes : je voulais qu’elle m’urine dans la bouche. Ce fut sublime de sentir sa pisse chaude et un peu amère dans ma gorge et sur ma langue. Ensuite Luciana me proposa de m’enculer. Je léchai alors son pénis bien dur. Son urine m’avait tellement excité que je jouis presque tout de suite. Je voulus que la Luciana m’encule :

– Je vais t’enculer maintenant ! Me confirma-t-elle
– Oui, encule-moi !

Je regardai ses jambes, elle était entièrement épilée. Ce type, que dis-je, cette fille, me fascinait ! Alors, je m’amusai un peu à me frotter contre sa queue de travelo. Cela l’amusa et l’excita, cette petite vicieuse !

Vanity B2Elle mit une capote qu’elle enduit de gel, se mit sur moi mais pas à genoux, accroupie seulement, et commença à me caresser le trou avec son gland. Elle rentra sa queue. Mon étui était chaud et humide. Elle me demanda de ne pas bouger, elle allait tout faire.

– On finiras en levrette, j’adore ça mais laisse-moi commencer à me faire du bien à ma cadence.

Elle commença les va-et-vient, je me branlais doucement. Sa queue était raide. J’avais envie de jouir de suite mais je me retins en pensant à la levrette qui allait suivre

– Viens, maintenant, baise-moi fort en levrette !

Elle descendit du lit, je me mit à quatre pattes face au miroir qui ornait le dressing

– Encule-moi, baise-moi à fond, jusqu’aux couilles mais prend ton temps, j’aime que ça dure…

Mon trou était bien ouvert, la queue rentrait et sortait complètement, elle m’écartait les fesses pour mieux voir sa queue. Le spectacle était magnifique, elle n’allait pas pouvoir tenir longtemps… elle jouit bien à fond en essayant de rentrer au maximum.

– Vas-y, mets-moi tout, continue, baise-moi plus fort, explose mon cul !

Elle sortit en continuant à écarter mes fesses, mon trou restait bien ouvert, je regardais sa queue bien dure.

– J’ai envie de jouir.!
– Tu peux, continue à m’enculer ?
– ;Oui, bien sûr
– Vite, viens !

Elle me ‘réintroduisit sa bite dans mon cul

– Plus vite dans le cul.!

Elle accéléra, donnant un coup de rein pour rentrer le pénis à fond et sa queue déchargea tout son jus dans mon trou. Elle gémit longuement, et décula, se débarrassa de la capote et m’invita à lui nettoyer le sperme qui maculait sa bite. Puis, Luciana m’embrassa tendrement. J’étais épuisé mais heureux.

J’ai fréquenté Luciana plusieurs mois avant que nos vies professionnelles ne nous séparent. Quant à moi j’ai continué à rencontrer des transsexuelles, je suis amoureuse de leur corps et j’aime tant leur sucer la bite ! Mais mon trop préféré c’est quand je fais l’amour avec deux trans, une bite dans la bouche, une autre dans le cul! C’est l’extase.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Enzo Cagliari
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Vendredi 29 septembre 2023 5 29 /09 /Sep /2023 17:54

Coquineries en Antarctique par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne
zoo

Candice appréhende ce déplacement dans l’Antarctique, en plein pôle sud. Elle est obligée de laisser sa petite famille, son mari, et son fils. Candice est une jeune chercheuse de vingt-huit ans, qui travaille sur le réchauffement de la planète. Huit ingénieurs font partie de l’expédition. Six hommes et deux femmes. Les déplacements sur place sont prévus en traineaux. Dix-huit chiens, au total, sont du voyage. Une fois larguée par de gros hélicoptères, l’équipe installe le matériel. La température avoisine les moins quinze degrés. Les duvets s’imposent.

La première journée est réservée au montage des trois tentes, et à l’organisation des équipes. Le lendemain, les travaux commencent. Deux groupes de trois partent faire des prélèvements pendant deux jours. Au camp, il ne reste que Pascale et Candice. Ce sont elles qui sont chargées de rentrer les données sur ordinateur. Les deux femmes occupent la même tente, et le même duvet à deux places. Avec le chauffage à côté, elles n’ont pas froid. D’autant que Pascale, bisexuelle, connait tous les ingrédients pour réchauffer Candice.

Lors de la dernière expédition, Pascale s’était un peu amusée avec Candice, qui avait apprécié, jusqu’à hurler de plaisir. Cette nuit, le thermomètre, à l’extérieur, affiche moins vingt, mais à l’intérieur, la température est assez douce. A tel point que les deux femmes se glissent nues dans le duvet.

– Tu me caresseras comme l’autre fois? demande Candice.
– Bien sûr !
– C’était bon tu sais.
– Tu veux que je branle ta petite chatte, que je doigte ton petit bouton, c’est ça ?

Pendant demi-heure, Candice va s’offrir aux mains expertes de Pascale, savourant les caresses les plus vicieuses.

Soudain, dehors, une lutte s’engage dans la meute. Les deux femmes se couvrent d’énormes couvertures et sortent de la tente. C’est Sultan, un husky de deux ans qui s’est fait prendre le haut de la cuisse. Candice le tire sous la tente, pendant que Pascale prépare la pharmacie. Ce n’est pas trop grave. Le chien s’assied sur l’épais tapis. Pascale s’accroupit pour soigner la plaie. La tête de Sultan repose sur les genoux de Candice, qui se trouve assise sur la table basse.

Le chien sent la mouille de la jeune femme. Il glisse son museau sous la couverture, et se trouve en contact avec la chatte. Sultan envoie un premier coup de langue.

– Chut Sultan, calme-toi, dit Candice.

Le deuxième coup est plus précis. La langue râpeuse pénètre entre les lèvres, décalotte le clitoris. Candice bascule sur le dos, jambes écartées de chaque côté de la table basse, sa tête dans le vide. Pascale fait mine de retenir le chien, mais fait pression sur sa tête.

– Oh l’enfoiré, gémit-elle, mais c’est qu’il me bouffe le minou ce salaud…ha…regarde Pascale.

Une fois le pansement terminé, Pascale passe une main sous le ventre du chien, et lui caresse le sexe. La queue, toute rouge, sort du fourreau de poils. Sultan couine légèrement.

-Qu’est-ce-que tu fais à la petite chatte de ma copine ? sourit Pascale. Polisson, regarde comme tu la fais mouiller, c’est ça qui te fait bander? Salaud !

– Oh putain… que c’est bon… comme il me suce le bouton…. mieux qu’un homme.
– Et moi ma chérie, poursuit Pascale, si tu savais ce que je tiens entre mes mains, une grosse bite. J’ai bien envie de la sucer, tu sais.
– On va la sucer à deux !

C’est Pascale qui, la première met la bite visqueuse de l’animal dans la bouche avant de la proposer à Candice.

– Hum, on est vraiment vicieuse !
– T’as raison. Tu veux qu’il te la mette, ça ne doit pas être désagréble, tu sais ?
– Cà risque rien tu crois? J’ai tellement envie de prendre un bon coup de queue. S’il me fait mal, tu le retire, d’accord ?

AntactiquePascale place les deux pattes du chien sur la table basse. Elle approche l’énorme queue de la chatte de Candice, et la fait aller et venir sur les lèvres humides. L’instinct animal fait le reste. Sultan la pénètre

– Allez mon chéri, nique-la, voilà, comme ça, doucement, régale-la.
– Oh… putain… qu’il est gros… que c’est bon.. .ha… ha… quel coup de queue.

Pascale ôte sa couverture. Elle est superbe dans toute sa nudité. Elle fait le tour de la table, et se place jambes écartées, au-dessus du visage de Candice. Lentement, elle descend.

Candice observe le corps magnifique de sa maitresse. D’abord les lèvres humides de la chatte, le ventre plat, la superbe poitrine. Puis le regard coquin. Pascale saisit la tête de la jeune femme par la nuque, et la colle contre sa chatte.

– Sens comme je mouille moi aussi. Sens mon petit bouton comme il est dur. Suce-le… vas-y… j’ai envie tu sais… oui jouissons ensemble… viens toi aussi…

Candice, agrippée aux fesses de Pascale, mord littéralement dans le fruit ainsi offert. Pascale gémit de plus en plus, s’écarte d’avantage, se prend le bout des seins qu’elle fait rouler entre ses doigts.

Sultan accélère ses coups de boutoirs, jusqu’à se vider en abondance dans les entrailles de Candice. Les hurlements provoqués par l’orgasme traversent la tente. Les deux chercheuses ont joui ensemble. La cyprine de Pascale dégouline sur les joues de Candice. Le chien se retire lentement et nettoie la chatte pleine de mouille, ce qui est loin de lui déplaire. Pascale s’approche pour se faire lécher la sienne. Les deux femmes roulent sur le tapis, enlacées, soudées par un baiser sulfureux, puis regagne leur duvet.

– Woua… ben dit donc…Au fait, on en était où; déjà? Demande Pascale. Ah oui.
– Hum…hum… roucoule Candice

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Vendredi 29 septembre 2023 5 29 /09 /Sep /2023 17:42

Souvenirs d’Afrique par Marie-France Vivier
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Il y avait déjà un an que j’étais en Abidjan et que ma vie s’écoulait lentement, au rythme africain, dans la chaleur et l’humidité étouffante. J’avais eu des aventures à l’insu de mon compagnon, avec Norbert, notre boy et les quelques malandrins qu’il m’avait présentés. Ma vie sexuelle était parfaite, je dominais Norbert et arrivais à le tenir à distance quand c’était nécessaire. Je lui laissais croire qu’il décidait des « parties » que nous faisions, prenant égoïstement mon plaisir. Une semaine que mon compagnon était débordé de travail et que moi j’avais deux jours à récupérer, il me suggéra de me rendre à la plage ! Je n’étais pas très enthousiaste, il le vit et me proposa d’en profiter pour sortir sur la périphérie d’Abidjan et de visiter les petits marchés de brousse. Norbert qui était en train de nous servir, se cru obligé de dire :

-Tu as raison patron, il y en a un de bien vers Adjamé !

Mon compagnon sauta sur l’occasion pour répondre au boy, qu’il devrait m’emmener là-bas.

– Si tu veux patron, on peut y aller cette après-midi, si Madame elle veut !

Je fus obligé d’accepter cette invitation forcée pour aller sous le soleil me traîner sur un marché de brousse plein d’odeurs plus ou moins agréables. Mon compagnon reparti à son travail, je m’habillais léger comme à l’habitude, chemisier, jupette et samaras aux pieds et nous partîmes, Norbert monta à côté de moi dans ma petite voiture, décidé à me servir de guide. Nous rejoignîmes Adjamé en une demi-heure. Le boy me fit prendre un chemin de traverse me garantissant que le village où nous allions, avait un marché réputé et qu’il y avait beaucoup de monde. Il en profita pour poser sa main, sur ma cuisse et la faire glisser jusqu’à ma petite culotte, un doigt triturant entre mes cuisses et faisant mouiller ma chatte par ce contact appuyé. Il rigola et à ce moment nous arrivâmes sur une grande place de village en terre battue. Animée par des dizaines de marchands et colorés par des piles de fruits et légumes exotiques divers. Je garais l’auto et descendis avec Norbert. Nous allâmes vers les étales colorés, il est vrai que le déplacement valait le coup d’œil, le boy s’écarta de moi et me dit qu’il avait aperçu des gens qu’il allait saluer, que j’en profite pour visiter et acheter des fruits et des légumes pour le patron ! Je tournais une vingtaine de minute dans ce labyrinthe végétal, seule blanche, détaillée par des centaines d’yeux et commençais à en avoir marre lorsque j’aperçu de loin Norbert qui revenait vers moi. Je poussais un Ouf ! Il me dit :

– Madame je viens de voir le chef du village qui est un oncle à moi, il nous offre quelque chose à boire si tu veux te rafraîchir-tu peux venir !

J’avais en effet soif et au moins un verre d’eau serait le bienvenu. Nous rentrâmes dans une case un peu à l’écart du village où se tenait un Africain d’environ 50 ans entouré de trois personnes, ses « conseillers » entre 35 et 45 ans. Au milieu de la pièce une table chargée de verres et d’un broc rempli d’un breuvage rouge orangé, mais certainement frais car plein de buée. Dans un coin un canapé recouvert d’un tissu de pagne en coton. Plus loin une paillasse à l’Africaine, en lattes de bois recouvertes d’un matelas lui-même enfermé dans un pagne de coton. On me salua avec déférence, et on me tendit un verre de cette boisson que l’on me présenta comme un sirop local, très régénérant et désaltérant lorsqu’il fait chaud. Je mis mes lèvres dans le verre sous les regards attentifs des quatre hommes et de Norbert qui insistait :

– Vas y goûte patronne, tu auras le tonus !

Le breuvage était frais et légèrement acide, ce qui devait sûrement désaltérer Je le bus avec plaisir et, l’on se dépêcha de me resservir un second verre, que je commençais à boire lorsque je ressentis comme une onde de chaleur monter en moi et envahir mon corps par l’intérieur, mon sexe me démangeait agréablement, j’étais d’un seul coup légère comme dans du coton. Je vis comme dans un nuage deux des noirs s’approcher de moi, me retirer ce qui restait de mon verre, et me proposer de m’asseoir sur le canapé, je les suivis en souriant et m’écroulais sur les genoux d’un des « conseillers ». Celui-ci entreprit de glisser sa main sous ma jupe, j’essayais de me débattre comme me le conseillait mon cerveau mais en même temps mon sexe, mon intimité, attendaient cette caresse, je me laissais faire voyant de loin les autres noirs rigoler et Norbert quitter la case après avoir encaissé une liasse de billets, le salaud m’avait droguée et vendue au village. Je sentis bientôt huit mains prendre possession de mon corps, s’infiltrer dans mes chairs, pétrir mes seins, me peloter m’embrasser partout où un carré de peau apparaissait. Les doigts et les mains s’activaient sur les tissus, déboutonnant qui un chemisier, qui une jupe, qui triturant une agrafe de soutien-gorge ou encore un élastique de slip.

Le résultat ne se fit pas attendre. Je fus bientôt mise à nu, chemisier, soutien-gorge, slip et jupe formaient un tas aux pieds du divan. Je sentais l’odeur forte des Africains qui devaient transpirer devant cette blanche offerte à leur excitation. Je fus mise debout et me retrouvais devant le chef du village, un « conseiller » derrière me tenant les bras, il me mit à genoux devant la queue du chef qui était d’une dimension impressionnante plus grosse et longue que celle de Norbert, je n’eus d’autre solution que d’ouvrir la bouche et absorber le membre d’ébène, étonné qu’un vieux puisse avoir un tel engin ! Je sentais monter en moi l’excitation, le sirop remplissait bien son rôle. Mes mains caressaient les couilles du vieux et ma bouche lui prodiguait une caresse qui semblait lui convenir.

Le « conseiller » voyant mes capacités, vint sur le côté pour profiter de mon action buccale. Maintenant je sautais d’une bite à l’autre, elles étaient belles et je mouillais de plus en plus. Bientôt l’on me redressa, droite devant les deux hommes un devant un derrière, le « conseiller » me fit courber devant le chef et m’enfonça deux doigts dans mon cul pour l’agrandir et plaça son gland de bonne dimension sur le sphincter qui fut forcé et pénétré sans autre forme de procès. Nous poussâmes tous les deux un « Oui ! » de plaisir, enfin j’étais prise, à fond, il fit quelques va-et-vient pour se placer au mieux de mes profondeurs, je sentais avec délice ses couilles battre sur ma chatte turgescente dans l’attente de la possession. Je sentis deux mains empoigner ma poitrine et me redresser devant le chef, toujours excité et bien droit, il présenta son gland devant ma chatte gluante et n’eut aucun mal à me défoncer jusqu’à l’utérus, je relevais mes jambes et les serrais dans le dos du chef qui investissait ma bouche d’une langue longue et chaude, comme sa pine. Je nouais mes bras autour de son cou. Je fus ballottée, envahie, pilonnée, durant de longues minutes à ma plus grande satisfaction, criant des insanités.

– Oui, allez-y à fond, encore, tapez à fond !!
– Tu aimes nos queues noires, petite salope de blanche ?
– Oui, elles sont bonnes !!.

Les deux hommes éclatèrent en même temps leurs plaisirs dans mon ventre et mes intestins, je sentis leurs jus inonder mon corps en longs traits chauds. Je me mis à jouir, comme folle, le ventre secoué de longues crispations de bonheur, ils me déposèrent sur le canapé, pantelante, ruisselante de leurs jus et de ma mouille mélangés, les cuisses largement écartées, mon intimité, dégoulinante de leurs foutres, livrée à la concupiscence des deux autres qui s’étaient mis à poils en attendant leur tour. Je me sentais bien et heureuse entre les mains de ces autres hommes, les deux autres s’approchèrent et me prirent à bras le corps pour me déposer sur la paillasse. Un des « conseillers » se glissa sous moi et me demanda de le chevaucher, je m’exécutais docilement, faisant pénétrer dans mon con regorgeant de sperme la longue tige noire offerte. Il m’attira brutalement sur sa poitrine pour laisser son coéquipier profiter de mon cul également dilaté et lubrifié. Il tenait fermement mes fesses englobées dans ses mains calleuses, écartant au maximum les deux lobes, livrant mon sphincter à l’excitation et l’agressivité du gland du second noir. Cette fois ci la pénétration fut encore plus facile, j’étais investie à fond et bientôt ils se lancèrent à l’attaque de mes trous qui étaient irrités par ces assauts et les nombreux va-et-vient subis. Je me mis à crier :

– Ouiii ! Salauds allez-y, profitez-en, j’aime ça ! Encore à fond cognez, ouiii c’est bon ! Faites cracher vos queues dans mon ventre !

Afrique
Ils intervertirent leurs positions et recommencèrent leurs coups de boutoir m’empalant à fond à chaque aller. Leurs mains malaxaient mes fesses et mes seins, j’étais complètement à leur merci, docile, consentante, et surtout ravie par toutes ses sensations qui remontaient de mon sexe jusqu’à ma gorge, me faisant crier de plus en plus. Excités autant par mes propos que par ce qu’ils avaient vu auparavant, ils ne purent se retenir plus longtemps et une fois de plus je fus délicieusement souillée par la liqueur des hommes fichés en moi. Ils se dégagèrent et me laissèrent en chien de fusil. Le fond de mon con et mon cul me faisaient mal tel un énorme bleu, ces quatre phallus d’une taille très au-dessus de la moyenne m’avaient bien visitée et baisée et laissée dilatée. Je voulus me relever pour m’éloigner de cette couche et de cette bacchanale, mais ma tête tournait et je retombais sur la paillasse. Le chef du village s’approcha et me dit de lui sucer sa bite, je m’exécutais devant le regard goguenard des « conseillers », pompant ce long et gros morceau de chair qui envahissait toute ma bouche et le fond de ma gorge. Mes mains s’activaient sur les couilles que je malaxais, le chef ne résista pas longtemps à ce traitement et je reçus, la tête coincée dans ses mains puissantes, les giclées de son plaisir. Je dus encore satisfaire les « conseillers » de mes caresses buccales, je reçus leurs spermes d’engins aussi imposants que celui du chef, sur la figure, les seins, le ventre, j’en étais inondée ! L’un des hommes avança sa bite vers moi , je me demandais ce qu’il voulait puisqu’il ne bandait plus, puis je compris qu’il allait me pisser dessus, j’ouvrais la bouche et me régalait de ce nectar, pendant que ses comparses s’approchaient pour pisser à leur tour Je n’en pouvais plus lorsqu’ils m’abandonnèrent 2 heures plus tard couverte de sperme et de pisse, les seins rougis, le con et le cul en feu, mais heureuse d’avoir fait la pute. Une vieille Mamma me rapporta mes habits, et une grande cuvette en alu, remplie d’eau fraîche, je me fis une petite toilette du visage et de la poitrine et ensuite intime, sous l’œil intéressé de la vieille qui n’avait sans doute jamais vu une chatte de blanche d’aussi près et qui vint y mettre ses doigts. Je me rhabillais en vitesse et courrais vers ma voiture où mon boy m’attendait assis, souriant :

– Alors Madame, tu as aimé, il paraît ? .
– Espèce de salaud je ne suis pas à vendre, ni ton esclave ! .
– Mais Madame, je sais que tu aimes te faire prendre par mes copains et eux aussi ils aiment se vider dans une blanche comme toi !
– Hum…
– Tu as jouis hein ? Dis patronne, avoue ?
– Oui, mais ce n’est pas ton problème ! Tu m’as droguée et donnée à je ne sais qui ! .
– Pardon Madame, demain je serais gentil avec toi.

Je l’espère bien, je peux ainsi le garder à peu près sous mon contrôle et faire avec lui ce que je veux. Nous rentrons sur Abidjan, moi au volant, Norbert caressant ma chatte sous le tissu !!! Plein de promesse pour demain .

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-France V
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Vendredi 29 septembre 2023 5 29 /09 /Sep /2023 17:33

Les dossiers secrets de Maman par James01
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Ma mère, qui se prénomme Nadine, est mariée depuis plusieurs années, c’est une femme de 47 ans, brune, les yeux marrons, elle mesure 1,60 et pèse environs 65 kg, elle possède quelques tenues sexy mais ne les porte que très rarement, je trouvais dommage qu’elle ne mette pas un peu plus en avant sa poitrine généreuse. (95c). En ce qui concerne mon père, son métier l’oblige à être souvent en déplacement. Moi j’ai 25 ans je suis brun mesure 1m75 pèse 80 kg. J’ai une sœur de 22 ans qui continue ses études et qui comme moi vit encore à la maison.

Je pensais que ma mère n’avait rien d’une folle de sexe, mais il y a quelques jours en fouillant dans plusieurs dossiers de l’ordinateur, comme j’aime le faire, je suis tombé, après plusieurs sous-dossiers sur un dossier intitulé « Perso_nad ». Quelle ne fut pas ma surprise en ouvrant ce dossier, plusieurs photos au format jpeg étaient présentes, j’ouvris le premier par curiosité et là je vis ma mère en sous-vêtements une main dans la culotte et en plus fortement maquillée choses dont elle n’a pas l’habitude. De dossiers en dossiers je découvrais ma mère dans diverses positions, elle se doigtait, jouait avec des godes se les enfonçant dans la bouche, dans la chatte et dans le cul ! Je vis également qu’elle avait la chatte rasée, puis une autre photo la montrait en train de sucer la bite d’un mec qui n’était pas mon père, puis elle se faisait baiser par encore un autre mec. La vue de ses photos me faisait bander, ma mère dans toutes les positions du kamasoutra, d’autres photos la montrait en pleins ébats avec une femme que je n’avais jamais vu, d’autres photos la montrait le visage maculé de sperme ou encore la bouche ouverte recevant l’urine d’un homme.

Saisi d’une pulsion irrésistible je gagnais la salle de bain, fouillais dans le panier à linge et en ressorti sa petite culotte de la veille. Elle était maculée de taches d’urine sur le devant et de taches de merde derrière. Je la portais à mes narines et m’enivrais de l’odeur, puis fou d’excitation, j’entrepris de la lécher. Puis je la pris dans mes mains et me masturbait dedans.

Je me calmais, mais maintenant une envie obsédante me tenaillait, ma mère je voulais la baiser mais comment concrétiser une pareille chose ?

Et la voilà qui rentre du marché où elle a fait ses courses. Je m’amuse de la présence dans son panier de deux concombres, me demandant l’usage qu’elle pourrait en faire..

– Maman, j’ai un aveu à te faire ! Commençais-je
– C’est grave ?
– Non, je l’ai bien pris.
– Mais c’est quoi ?
– Je cherchais un dossier sur l’ordinateur et…

Ma mère se mit à rougir.

– J’ai compris, tu es tombé sur des photos que j’aurais dû mieux cacher, c’est ça ? Mais je peux t’expliquer…
– M’expliquer quoi ? Puisque je te dis que ça ne m’a pas choqué…
– C’était un pari avec une copine…
– Un pari qui a duré plusieurs mois ? J’ai vu les dates des photos…
– Tu pratiquerais les bonne manières, tu aurais fait comme si ces photos n’existaient pas.
– Mais maman, ces photos, elles m’ont excité
– Ils ne t’en faut pas beaucoup. Bon alors je suppose que tu as compris, j’aime bien de temps en temps me livrer à quelques écarts et parfois je demande à ta sœur de me prendre en photo.
– Quoi ?
– Ben oui !
– La salope !
– Ce doit être héréditaire ! Bon, on en reste là ou quoi ?
– Maman, je bande !
– C’est de ton âge.
– Tu peux vérifier si tu veux !
– Dis donc petit coquin, aurait tu l’intention de baiser avec ta mère ? Tu sais que ces choses là sont mal vus !
– On ne pourrait pas se laisser aller, juste un peu ?
– Dis-moi ce que tu voudrais et je verrais ce qu’on peut faire
– Si tu pouvais t’habiller comme sur les photos…
– S’il n’y a que ça pour te calmer… Attends-moi !

Elle se dirigea vers sa chambre et après quelques minutes revint dans le salon. Elle portait de longs bas noirs, un string blanc assorti à son soutif qui lui compressait les seins. Elle est superbe je résistais pour ne pas lui sauter dessus, je m’approchai doucement d’elle, et commençai à lui caresser les bras avant de la peloter un peu partout, elle se laissa faire. je m’attardais un instant sur ses fesses bien fermes, je la fis asseoir sur le canapé et lui ôta délicatement ce string qui cachait son intimité, je lui écartai les jambes au maximum et plongeai ma tête entre ses douces cuisses, je la léchais avec plaisir et, à en croire ses soupirs, elle aussi commençait à prendre du plaisir, sa chatte était tout ouverte et ma langue visitait ce trou tout humide, en effet elle mouillait vraiment beaucoup, je me relevais pour m’occuper de ses seins un moment, je dégrafai son soutien-gorge, je soupesai ses deux énormes nichons et tétais ses pointes toutes dures, je redescendis ensuite vers son sexe et lui enfila deux doigts et commençai à la masturber tout en lui léchant son clito prêt à exploser, sa position me permettait d’apercevoir son petit trou du cul, je sortis mes doigts de sa chatte et lui enfila un doigt trempé de mouille dans son anus, elle se mordillait les lèvres pour ne pas crier son plaisir, j’approchai ma bouche de son visage et nous nous sommes embrassés comme un couple d’amants.

Nos langues se mélangeaient ainsi que notre salive, puis je me mis debout devant elle en lui indiquant du doigt mon sexe, elle s’agenouilla, dégrafa mon pantalon et libéra ma bite de mon caleçon puis l’engloutit au fond de sa bouche. Elle me pompait tout en me caressant les couilles, elle léchait mon gland comme une reine, elle savait vraiment y faire, je dus l’arrêter pour ne pas jouir trop vite tellement elle me tétait avec entrain. Elle se lâcha complètement en m’invitant à venir la baiser.

Coquine
Je l’allongeai sur le dos, fouillai encore sa chatte avec ma langue et enfin positionnai ma bite à l’entrée de son vagin, j’introduisis mon sexe raide comme un bâton dans sa chatte tellement humide et débutai mes va-et-vient, ses deux énormes miches se balançaient, elle atteint un orgasme violent à en croire ses cris, je la pilonnais de plus en plus vite, j’avais l’impression que mon sexe grossissait encore. Je l’invitais à venir se positionner sur moi de manière que l’on puisse s’embrasser, c’était merveilleux je la baisais par la chatte et ma langue se mêlait une nouvelle fois à la sienne, et en plus je commençais à écarter ses fesses pour la préparer à la sodomie. Son cul me faisait tellement envie, je la soulevai et la fis mettre à quatre pattes le cul bien en avant, je plongeai ma langue dans son anus, puis un doigt, puis deux doigts et la masturbai par le cul, une fois son orifice bien dilaté je cracha un coup dedans et rentrai ma bite à l’intérieur, quelle sensation superbe d’être dans un cul et qui plus est celui de ma mère ! Pendant ce temps elle se masturbait, en effet elle avait trois doigts dans la chatte, deux dans la bouche et ma bite qui lui défonçait le cul, nos cris de plaisir résonnaient dans la pièce, elle aimait vraiment ça. J’alternais maintenant entre sa chatte et son cul, je lui demandais ensuite de se mettre sur le dos afin de voir son visage de salope qui aime se faire enculer, je rentrai donc une nouvelle fois ma bite dans ce conduit étroit, son visage était vraiment celui d’une chienne que l’on voit dans les films X, dans cette position ma bite était vraiment serrée et je sentais ma jouissance monter, je sortis mon sexe et alla lui présenter au visage, elle le saisit et commença à me masturber avec la bouche grande ouverte, moi aussi je la branlais pour récupérer sa mouille encore abondante, mais ne pouvant plus me retenir et dans un dernière effort je lui éjacula dans la bouche avec une force inouïe, jamais je n’avais autant joui. Ma mère me lécha pour récupérer les dernières goûtes de sperme qui perlaient sur mon sexe. Nous nous sommes enlacés, épuisés par cette séance de baise.

Saisi d’une envie pressante, ma mère se releva afin de gagner les toilettes, elle me proposa de l’accompagner. Elle se débrouilla une fois sur la cuvette pour me montrer son petit pipi, avant de me faire comprendre qu’elle allait en profiter pour faire la grosse commission. Quel spectacle sublime de voir sa mère chier un gros boudin devant moi. Je lui demandais de me céder la place, ayant moi-même une petite envie, elle me suggéra de lui pisser dans la bouche comme sur les photos…

– Si tu veux me dit-elle, la prochaine fois que j’organise une petite partie, tu seras invité, je te présenterai mes amis.
– Avec plaisir !
– J’y mets cependant une condition, l’un de mes amants aime sodomiser les jeunes culs, il faudra donc que tu y passes.
– Tu voudrais que je me fasse enculer devant toi ?
– Exactement !
– Eh bien c’est d’accord, je ferais n’importe quoi pour te baiser de nouveau !
– Et tu seras mon petit esclave !
– Oui Maman !

Fin

Post face

L’intrigue est ridicule, vous en connaissez, vous des nanas qui non contentes de se faire photographier en position compromettante, vont conserver ça sans aucune protection sur l’ordinateur familial. Mais qu’importe pour paraphraser Alfred Hitchcock, le récit érotique n’est pas une part de vie mais une part de rêve !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : James
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