Samedi 22 avril 2023 6 22 /04 /Avr /2023 11:21

Partouze familiale avec Violaine par Elian Lvekman
stamp partouz

Bonjour, j’ai 39 ans et suis en couple avec Daphnée. Mes parents sont des libertins impénitents et passent systématiquement leurs vacances d’été au Cap d’Agde. Cette année nous partagions leur location.

Nous avions rencontré sur la plage naturiste, Violaine, une fille très délurée qui suçait des bites à la chaine et avec laquelle nous avions sympathisé.

Elle a accepté de partager avec nous le barbecue du soir… Nous avions aussi invité un autre couple… qui nous a fait faux bond. Nous serons donc cinq.

Les discussions allaient bon train, parlant de tout et de rien, mais les anecdotes sexuelles y allaient bon train. Alors que la nuit tombait, Daphnée proposa de faire un strip-poker, un peu débile de faire ça en milieu naturiste, mais bon…

Assis en rond dans le salon, on commença la partie et très vite, on se retrouva mon père et moi en boxer et tee-shirt et Daphnée, Violaine et ma mère en culotte et soutif. Daphnée perdit en premier et enleva son soutien-gorge libérant ainsi ses jolis seins. Ils étaient magnifiques (95e), puis ce fut moi qui perdis mon tee-shirt, puis mon père et ensuite Violaine. Elle se retourna, enleva tout doucement son soutien-gorge et le jeta au milieu du groupe. Elle nous fit admirer de jolis petits seins (85c) en forme de poire, je fus comblé et mon désir commença à monter en moi et à mon père aussi car une bosse commença à apparaître. Daphnée perdit de nouveau et elle se releva, se retourna et fit descendre sa culotte tout en bougeant ses fesses puis se retourna en jetant sa culotte sur la tête de mon père. Elle fut devant toute nue, dévoilant son sexe à nos yeux ce qui augmenta encore davantage nos désirs.

Reprenant la partie, c’est ma mère qui perdit exhibant sa belle poitrine bronzée ornée de jolis piercings. Puis ce fut à mon tour de perdre et dû enlever mon slip. M’étant relevé, je ne fis rien car Daphnée s’approcha de moi et tira d’un coup sec sur mon boxer libérant ma bite. Elle se retrouva devant sa bouche, elle fut à deux doigts de la saisir mais elle retourna à sa place.

Puis Violaine perdit et je m’approchai d’elle pour enlever son string. En le faisant descendre tout doucement, nous vîmes apparaître son sexe complètement épilé. Caressant au passage son sexe, moi doigt glissa entre ses deux lèvres et je sentis qu’elle mouillait.

Maintenant la partie se jouait entre ma mère et mon père et ce fut mon père qui perdit. Violaine se leva, suivit de ma mère et libéra le sexe bandé de mon père. ma mère avait sa bouche près de sa bite, elle était prête à la saisir, ses yeux brillaient d’envie. Elle fut déclarée « vainqueur » mais décida quand même d’enlever sa culotte.

Après quelques minutes de repos et après avoir bu quelques bières, Violaine nous proposa de continuer la soirée en regardant un film X. Trouvant la vidéo, nous commençâmes à regarder le film. mon père était entouré par Violaine et Daphnée, et ma mère était entre mes jambes. Au bout de quelques minutes de film, mes mains commencèrent à descendre sur ses seins en les caressant. Voyant cela, mon père commença à caresser les seins des deux autres puis descendit presque aussitôt sur leurs sexes. Ma main commença à lui faire de l’effet que ma mère car elle bougea un peu. Mon doigt monta puis descendit entre ses lèvres bougeant en travers en même temps et lui caressant son bourgeon d’amour. Violaine et Daphnée subissaient le même traitement tout en branlant mon père.

Violaine changea de place et vint devant eux, commença à se caresser son sexe et aida mon père dans ses caresses sur Daphnée. Celle-ci fut surprise mais se laissa faire. ma mère et Violaine eurent ensemble leur premier orgasme suivi de Daphnée. ma mère se retourna et commença à me branler mais c’est mon père qui jouit le premier. Il balança deux ou trois jets sur les seins de Daphnée mais Violaine en reçut sur le visage et dans la bouche. Elle lécha la queue de mon père puis les seins de Daphnée. Voyant cela, mon plaisir arriva et Daphnée vint vers nous, continua à me branler et reçut tout le sperme sur la figure et dans la bouche puis me nettoya le sexe sous le regard amusée de l’assistance.

Pendant que certains buvaient, d’autres prenaient une douche et tout le monde se retrouva à la fin dans la salle de bain. Les mains se baladèrent caressant les seins, les chattes et nos bites. ma mère caressait le sexe de mon père et celui-ci glissait sa main entre ses lèvres tout en faisant rentrer un doigt car ma mère poussait quelques grognements de plaisir. Moi, je caressais Daphnée qui caressait Violaine qui me caressait. Après avoir changé de partenaire, on décida de retourner dans le salon.

On reprit le film où; là il était rendu. Voyant ce qui se passait sur l’écran, je commençai à embrasser ma mère puis léchai ses seins et descendis vers son sexe. Je découvris une chatte déjà bien humide et ma langue lui léchant son clito par moment puis ses lèvres, augmenta son plaisir. Daphnée et Violaine suçaient à tour de rôle la queue de mon père, Daphnée léchai le bout du gland avant d’avaler en entier la bite, quant à Violaine, elle léchait toute la bite puis avalait tout doucement ou rapidement.

Par jeu, Violaine me demanda si j’aimerais sucer la bite de mon père. J’acceptais d’autant le défi que je l’avais déjà fait et introduisis cette belle bite dans ma bouche

Ensuite Violaine changea de place et commença à lécher le sexe de Daphnée. Celle-ci se laissa faire. Je voyais la langue de Violaine monter puis descendre sur le sexe de Daphnée puis par moment, c’était sa main qui caressait tout en faisant entrer un doigt ou deux. Pendant ce temps-là, ma mère et moi pratiquions un 69. J’adorais sentir sa langue sur ma queue pendant que sa main me caressait les boules. Je voyais sa bouche se déformer chaque fois qu’elle me pompait. Soudain je sentis quelque chose, c’était Violaine qui s’était rapprochée de nous. Violaine fit s’allonger ma mère et elle commença à lui lécher les seins pendant que je m’occupais de son sexe puis elle descendit m’aider.

Daphnée pratiquait une branlette espagnole avec mon père. Tenant ses seins, la bite de mon père glissait parfaitement entre ses deux gros mamelons et rentrait bien dans sa bouche ou lui léchait simplement le bout de sa queue. Nous avions changé de place et je me retrouvai la tête entre les jambes de Violaine pendant que je léchais le sexe de ma mère.

J’étais aux anges car cela faisait une éternité que j’attendais ce moment-là, avoir son sexe rasé à portée de ma bouche, lui caresser ses deux lèvres ainsi que son clito. J’introduisis un doigt dans son vagin ce qui la fit grogner de plaisir. Mon doigt glissa et entra en contact avec son anus. Elle commença à bouger des fesses pour indiquer d’y aller et je le fis. Puis j’introduisis en même temps un doigt dans son sexe ce qui lui fit avoir un formidable orgasme. Quelques secondes à peine, Daphnée poussa un cri de joie. ma mère voyant cela et sous les coups de langue de Violaine hurla de plaisir. Daphnée s’approcha de moi et commença à me pomper en me tenant par les fesses. Puis nous fîmes un 69.

Violaine s’avança vers ma mère qui était assise, l’embrassa et en se relevant lui mit la tête sur son sexe. ma mère au lieu de reculer commença à lui introduire sa langue dans son sexe en écoutant les conseils de Violaine. mon père s’approcha d’elles, écarta les jambes de ma mère et commença à lui lécher la chatte et le cul. Nous entendîmes un petit bruit de plaisir sortir de sa bouche. Daphnée et moi regardions le spectacle offert par les trois autres.

Violaine arrêta et vint vers nous. Elle prit ma bite et commença à sucer tout en me caressant les boules. ma mère changea de position et prit enfin dans sa bouche la bite de mon père. Elle commença par lécher le bout du gland puis avala sa queue d’un seul trait. On voyait qu’elle aimait çà car ses yeux pétillaient de joie.

Mon plaisir arriva très vite, arrosa Daphnée et Violaine de mon sperme. Daphnée nous surprit car elle avala tout puis me lécha la bite et roula une pelle à Violaine. ma mère pompait toujours mon père en lui tenant les fesses. mon père lui indiqua qu’il allait jouir et, voyant ce que Daphnée avait fait, elle le branla, ouvrit la bouche et avala les jets de sperme puis nettoya sa bite.

Après un bon quart d’heure de repos, les femmes pour nous redonner la pêche commencèrent à se brouter le minou en cercle. En quelques minutes de spectacle, nous bandions de nouveaux. Après m’avoir muni d’un préservatif, Violaine vint vers moi et me demanda de la prendre en levrette, ce que je fis aussitôt. ma mère quant à elle fit s’allonger mon père pendant que Daphnée tenait sa bite bien droite puis, d’un coup, l’introduisit dans sa chatte et s’agita en poussant des cris.

Daphnée vint vers nous et commença aussi à la prendre en levrette pendant que Violaine lui caressait les seins. mon père fit changer ma mère de position et la prit en levrette et, après quelques coups dans son vagin humide, elle eut un orgasme si violent qu’elle s’écroula de bonheur. mon père s’attaqua à Violaine, la prenant dans plusieurs positions puis me demanda de la prendre en double pénétration. mon père étant par terre, il introduisit sa bite dans la chatte puis tout doucement j’introduisis ma bite dans son anus et s’étant synchronisé, nous commençâmes à la marteler et, au bout de quelques minutes, elle poussa un hurlement de plaisir.

violaine

Puis je me dirigeai vers ma mère pendant que mon père commençait à pilonner le sexe de Daphnée. ma mère m’accueillit en me pompant le nœud, puis se mit à quatre pattes afin que je puisse l’enculer en levrette. J’introduisis ma bite d’un seul coup et commença mon va-et-vient dans son trou intime puis m’allongeant par terre, elle s’empala sur mon sexe et s’agita comme une furie. M’arrêtant un instant, je demandai à mon père de venir et de prendre ma mère en double pénétration.

Violaine et Daphnée se mirent en 69 et commencèrent se lécher mutuellement la chatte et le cul. Je regardai ma mère se faire prendre et d’un coup m’approcha d’elle et introduit ma bite dans sa bouche. Sans problème, elle commença à me pomper. Je voyais ma femme prise par les deux bouts et elle aimait ça. mon père d’un coup s’arrêta et vint derrière moi me ploter les fesses, Je compris qu’il désirait m’enculer et me laisser pénétrer. Au bout de quelques minutes il prévint les filles qu’il allait jouir dans mon cul. Toutes les trois s’approchèrent de mon père qui les arrosa de son sperme. Chacune leur tour nettoyant le sexe gluant et pollué de mon père, puis d’un coup mon propre plaisir arriva et je leur crachai trois jets de sperme sur leur visage et dans leur bouche. ma mère s’approcha et me nettoya la bite. Elle le fait si bien !

Violaine, demanda où elle pourrait pisser. Ma mère lui fit comprendre qu’elle pourrait se soulager sur elle. Sans aucun complexe Violaine arrosa la bouche de ma mère, et c’est dans une ambiance de pure rigolade que l’on se mit à pisser les uns sur les autres.

Et voilà que l’on sonne… C’est le couple que nous avions invité.

– Nous sommes peut-être un peu en retard !
– Effectivement ! La fête est terminée, mais revenez donc demain… et à l’heure.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Dimanche 9 avril 2023 7 09 /04 /Avr /2023 16:49

Confessions zoophiles – 3

zoo
Sylvie par Anouchka

C’est l’histoire de Sylvie telle qu’elle me l’a racontée. Fantasme ou réalité, qu’importe après tout…

Sylvie, superbe blonde de vingt-deux ans, sort de la piscine, et commence à se sécher. Elle va se changer dans un abri prévu à cet effet. Elle admire son corps dans la glace, se seins magnifiques hauts perchées, son minou fraîchement épilé. Une bombe !

Tout près, le couple de labradors, Safran et Lady se prélasse, à l’ombre du murier platane.

Soudain, le téléphone sonne. Sylvie s’enroule dans une serviette, et se précipite au salon. Lady, surprise, part après elle. Arrivé près de l’appareil, la sonnerie s’arrête. En se retournant, elle reçoit Lady de plein fouet, qui, voulant s’amuser, la projette sur la moquette. La serviette s’ouvre. Sylvie prend appuie sur ses coudes. Suite à la chute, les jambes se sont largement écartées. La chienne fixe la chatte de la jeune femme en se passant la langue sur les babines.

– Mais ça va pas Lady, dit Sylvie. Qu’est-ce qu’il t’arrive? Tu as eu peur? Mais c’est juste le téléphone.

La tête de Lady est déjà entre les cuisses de sa maitresse, et renifle la fente

– Lève-toi de là, tu entends, allez, couché, gronde Sylvie.

Sylvie saisit la chienne par les oreilles et essaie de la repousser. Mais Lady a plus de forces qu’elle. C’est un combat inégal qui s’engage. Petit à petit, Sylvie perd pieds. A plusieurs reprises, la langue râpeuse lèche les lèvres de Sylvie, jusqu’à décalotter le clitoris. Elle tente une nouvelle fois de repousser les assauts de la chienne, mais la sensation qu’elle sent entre les jambes, l’agréable chaleur qui se consume au creux de son ventre sont plus fortes. Lady a compris. Elle accentue ses léchages, vrillant même sa langue pour fouiller à l’intérieur du vagin.

– Oh mon dieu, gémit Sylvie, tu es vilaine. Qu’est-ce-que tu fais à la petite chatte de maman? C’est bon tu sais, ha…ha… Vas-y, gouine moi ma chérie…Bien sur le petit bouton là…oui.

Sylvie se prend les seins en hurlant de plaisir. Lady, pensant avoir fait mal à sa maitresse, lui lèche le visage, puis docilement, se couche à côté d’elle.

Sylvie, remise de cet intermède érotique, prend la tête de Lady, et l’embrasse. Puis, elle se dirige vers la salle de bains pour prendre une bonne douche. Quand elle en ressort, elle regagne sa chambre pour s’habiller plus décemment. Elle ôte son peignoir, et se retrouve toute nue. Elle s’assied sur le lit, et met ses mains sur son visage.

Mon dieu, se dit-elle, comme je me suis fait sucer, quelle garce je suis !

Sylvie sent une présence dans la chambre. Elle ouvre ses mains et aperçoit les deux molosses assis devant elle. Elle remarque la bite de Safran à moitié décalottée. Les pensées les plus folles traversent son esprit.

– Alors mes bébés, on surveille maman. Toi, je te suis fâchée Lady. Tu as été polissonne avec moi.

L’odorat du chien est, en général, très développé. Si Sylvie s’est bien lavée, l’odeur de mouille ne leur échappe pas. A voir les rotations de langues sur les babines de Safran, Sylvie comprend qu’il a envie de quelque chose. Il s’avance, se dresse devant sa maitresse, et appuie ses deux pattes sur sa poitrine. Sylvie bascule sur le lit, jambes ouvertes. Elle sent la queue de Safran devenue énorme butter contre sa chatte, encore humide. Elle tente de repousser le chien en le prenant sous les aisselles, en vain. Le poids de l’animal est trop important pour elle.

– Pas ça Safran, supplie-t-elle, tu as une chienne toi. C’est pas bien ce que tu fais.

Mais la queue a commencé à s’introduire entre les lèvres de sa maitresse. Il entame de brusques va-et-vient dans la chatte de Sylvie. Celle-ci hurle de douleur. Impassible, Lady, assiste à la scène.

– Aie…aie…Arrête Safran, implore-t-elle, tu me fais mal…aie…Tu es fou, assez…assez…

Comme si elle la plaignait, Lady s’avance de sa maitresse et lui lèche le visage. Petit à petit, la douleur qui jusque-là lui tenaillait les entrailles, s’estompe pour laisser la place à une agréable sensation de plaisir. La queue du chien est enfoncée jusqu’au knot. La boule est énorme.

– Ha…Salaud, comme tu me niques mon chien. Vas-y, régale ma petite chatte…ha…il te nique comme ça Lady ? Quelle chance tu as… Quel coup de queue… putain.. .comme je suis en train de me le faire mettre… oui.je joui… oui…

Sylvie ouvre la bouche et embrasse Lady. Sa langue est happée par celle de la chienne. Un baiser de feu. Pendant ce temps, Safran vide sa semence dans la chatte de sa maitresse. Il se retire, la queue pleine de mouille, pousse Lady, et vient se placer en face la bouche de sa patronne. Sylvie a compris. Elle saisit la queue, et commence à la sucer. Lady, elle, s’est mise entre ses jambes, et lui nettoie la chatte.

Sylvie va se faire prendre tout l’après-midi. Le couple de labradors a décidé de jouer avec elle, de la faire hurler de plaisir. Elle offre même son petit trou pour que Safran l’encule. Puis, épuisée, les yeux cernés, elle s’écroule sur le lit. L’après-midi a été torride, intense, riche en découvertes sexuelles. Sylvie a pris gout aux rapports zoophiles. Le matin, quand son mari est parti au travail, elle ouvre la baie du salon, et fait rentrer les deux chiens. Elle s’accroupit devant eux, et les embrasse sur la bouche. Puis, l’instinct prend ses droits. Safran passe son museau sous la serviette, et renifle la chatte. Lady arrache le vêtement. Sylvie se retrouve nue. Puis, lentement, les trois amants regagnent la chambre

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Boniface par Louisa

Ma fille de 22 ans et moi avons toujours eu des rapports très libres, vraiment très libres si vous voyez ce que je veux dire.

Ce jour là je suis entré dans sa chambre, je ne me souviens plus pourquoi, toujours est-il que je découvre ma fille complément à poil sur le lit en train de jouer avec Boniface, notre labrador.

– Alors, tu t’amuses bien lui demandais-je sans malice
– Eh oui, il est pleine forme, regarde comme il bande.
– De quoi ? Mais tu fais quoi exactement ?
– Ben , je lui ai un peu touché la bite ! Ça a eu l’air de lui plaire.
– Mais tu es une cochonne !
– Oui Maman

Et devant mes yeux incrédules elle prend la bite du chien dans sa main et la caresse.

– J’ai regardé de vidéos zoophiles sur Internet, j’ai eu envie de faire pareil.
– De Faire quoi exactement ?
– De sucer la bite du chien !
– Tu as fais ça ?
– Oui ! Tu veux que je te montre ?

Je suis tétanisée, je ne sais quoi répondre alors ma fille a pris al bite du chien et la mise dans sa bouche, j’ai senti l’excitation me gagner.

– Ça m’excite de te regarder faire ça !
– Tu veux essayer !
– Non quand même pas !
– Allez viens !

Alors comme dans un rêve, j’ai rejoint ma fille et nous avons sucé à deux la bite de Boniface, j’ai senti un liquide visqueux m’envahir la bouche. Complétement excitée je me suis déshabillée et j’ai embrassé ma fille à pleine la bouche. Nous nous sommes caressées et gamahuchées pendant un long moment laissant le chien tranquille.

Mais il et revenu quelques instants plus tard, reniflant peu discrètement le cul de ma fille et là devant me yeux effarés, il l’a grimpé !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Mercredi 8 mars 2023 3 08 /03 /Mars /2023 09:17

C’était le début
par Liouba

Fetish

J’étais déjà une bonne salope quand mon ami m’a proposé avant de vendre occasionnellement mes charmes, de m’en servir comme monnaie d’échange.

Il avait l’intention de remplacer son téléviseur et avait fait le choix d’un tout petit magasin, dont, l’unique vendeur était le patron (beau mec la quarantaine sportive)

L’accueil fut d’emblée chaleureux et pendant qu’il argumentait sur les avantages de chaque téléviseur, son regard ne manquait pas de plonger dans mon décolleté que mon ami avait voulu généreux pour l’occasion…

Quand son choix fut fait, le beau mec nous fit asseoir dans des fauteuils profonds en face son bureau. Je demeure convaincu que ces fauteuils avaient été choisis uniquement en pensant que des femmes y prendraient place car, à moins de s’asseoir sur le bord et de serrer les genoux, une femme, assise au fond du fauteuil, ne pouvait, si elle n’y prenait garde , empêcher certains regards indiscrets.

Liouba VToujours à la demande de mon ami je n’avais pas de culotte ne faisait rien, bien sur, pour empêcher le regard du maître des lieux de se glisser entre mes cuisses et je commençais à être très excitée A la coloration que pris son visage et à son sourire entendu, mon ami et moi avons tout de suite compris qu’il était sensible aux « arguments »que je lui proposais et qu’une certaine négociation était possible. J’avais laissé ma jupe remonter si haut sur mes cuisses que j’aurais pu tout aussi bien l’enlever.

Afin que la « négociation » soit discrète. Le vendeur ferma le magasin et nous invita à passer derrière dans son autre bureau. Mon ami proposa de payer la moitié en espèces et le reste en trois traites dont la première à encaisser tout de suite, sur le bureau. Mon ami avait dégrafé ma jupe qui était tombé à mes pieds et ouvert mon corsage Le type prit sa calculette et finalement après un coup d’œil sur ma nudité accepta la transaction. Les deux autres traites se réglèrent aussi bien sur par des coups de queues, après avoir sur le bureau encaissé la première.

C’était le premier pas, ensuite j’ai acheté plusieurs paires de chaussures en compagnie de mon ami de la même façon. A chaque fois j’étais tellement excitée, que quand mon ami m’a proposé de faire la pute, j’ai accepté sans aucune hésitation. Même le mot « pute » m’excitait et m’excite encore.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Mercredi 8 mars 2023 3 08 /03 /Mars /2023 09:15

Confessions d’exhibitions

culmat


Fesses à l’air au bureau
par Jocelyne_D

 

Lisant un récit à propos de la fessée imposée à une femme par son employeur, ça m’a fait penser à mon cas personnel et m’a incité à vous le raconter. Je travaille depuis près d’un an dans une agence d’une grande entreprise d’assurances, et je suis satisfaite de mon emploi bien payé et de mes conditions de travail assez particulières.

Nous sommes quatre à travailler dans les mêmes locaux, trois femmes dont moi qui m’occupe du standard et notre chef direct, Roger, un homme d’une cinquantaine d’années.

Lors de mon entretien d’embauche, le chef en question a été très direct et m’a dit que j’avais le choix entre être payée le smic ou un salaire de 2.300 € brut. Quand je lui ai demandé sur quoi reposait cette différence de salaire pour un même job sans qualification particulière, il m’a expliqué sans se démonter que je gagnerais les deux mille trois cent roros si j’acceptais de venir travailler tous les jours en jupe… et sans culotte.

Bien sûr, j’ai été d’abord soufflée du culot du type et j’ai commencé par refuser énergiquement en menaçant d’aller de ce pas porter plainte contre ces méthodes sexistes et machistes. Mais il m’a rattrapée et s’est mis à rire en me disant que les deux femmes qui travaillaient ici étaient déjà elles-mêmes sans culotte sous leur jupe, qu’elles ne s’en portaient pas plus mal, et qu’il n’exigerait strictement rien de plus. Il m’a laissé jusqu’au lendemain pour réfléchir.

Rentrée chez moi, j’ai mal dormi en pensant toute la nuit à cette proposition aussi bizarre qu’indécente. Un fils de 8 ans à charge, j’étais au RMI depuis plus de six mois, et les 2.300 € mensuels étaient dans ces conditions bien alléchants. Le lendemain matin, Roger me rappelle et me demande si j’ai réfléchi. Comme je ne sais toujours pas quoi répondre, il me passe l’une de ses employées qui me raconte qu’effectivement, elle-même ne porte jamais de culotte, que c’est la condition pour bosser et qu’à part ça l’ambiance est sympa, Roger n’exigeant rien de plus. Je ne sais pas pourquoi mais cette situation commence malgré moi à m’émoustiller, et je décide de retourner là-bas pour voir de plus près comment est l’ambiance de travail.

Je suis reçue par les deux femmes (sans le chef) qui se montrent très gentilles et très persuasives, n’hésitant pas à relever leurs courtes jupes pour me montrer qu’en effet… Bref, je passe sur les détails et mes dernières hésitations.

J’ai finalement accepté de tenter l’expérience, et j’ai effectivement été engagée à 2.300 € (pour un job de standardiste !). Ce que mes collègues ne m’avaient pas dit à l’époque c’était que Roger avait tout de même les mains très baladeuses, et j’ai pu m’en apercevoir très vite. Il ne se passe jamais un jour sans qu’il nous colle les mains aux fesses sous les jupes, mais c’est exact qu’il ne cherche jamais à aller plus loin. Aujourd’hui, je suis très satisfaite de ce travail cool et très bien payé, d’autant plus que le fait d’avoir les fesses à l’air et de ressentir une main s’y balader de temps en temps me maintient dans un état d’excitation permanent très agréable.

Mon petit ami ne sait évidemment rien de cette situation, mais il trouve que je suis devenue beaucoup plus portée sur le sexe qu’avant que je trouve ce travail ! Je sais que ce genre de situation peut être considéré comme du harcèlement sexuel (c’est d’ailleurs ce que j’ai pensé au début), mais il est des fois où ce « harcèlement » peut être très agréable, surtout s’il correspond à des fantasmes que l’on a, et si le chef est habile et sympa.

Je suis sûre que d’autres femmes pensent comme moi et connaissent ce genre d’expérience au boulot.

Bisous à tous les lecteurs.

Au bord de la rivière par Mike67

C’est le printemps, nous allons souvent au bord d’une petite rivière passer l’après-midi. Tandis que je pêche, ma copine Yolande lit et bronze au soleil. L’endroit est très isolé, nous y sommes seuls tout le temps

 

Ce jour-là avant de partir, je lui suggère d’enfiler un débardeur très court et une minijupe ample très raz des fesses. Elle est nue dessous mais elle sait qu’où nous allons il n’y a personne. (du moins c’est ce qu’elle croit)

 

Je descends son sac pour le ranger dans le coffre, dans le garage je l’ouvre et vérifie ce qu’elle emporte. Il y a un maillot de bain et une serviette, je les retire du sac et les cache puis referme le sac et le remets dans le coffre.

 

Elle me rejoint et monte en voiture. Tandis que nous roulons je la félicite pour sa tenue sexy et la rassure de nouveau en lui rappelant que toutes les fois l’endroit est désert, elle me répond que c’est pour cette raison qu’elle a accepté de garder cette jupe sans culotte sinon elle n’aurait pas cédé car c’est vraiment trop court.

 

Nous arrivons à la rivière, je me gare et prends les sacs dans le coffre. Yolande est déjà engagée dans le petit sentier qui mène à la crique, elle s’est hâtée pour éviter d’être vue sur la route. Il y a 5 mn de marche encore à travers des buissons, je la regarde marcher, sa jupe est vraiment courte elle couvre à peine le pli des fesses et le vent qui s’est levé la lui soulève facilement découvrant ses rondeurs généreuses. Enfin nous arrivons, j’installe nos tapis sur les galets ronds, elle ouvre le sac et s’aperçoit qu’il n’y a pas de maillot:

 

– J’ai oublié mon maillot et les serviettes ! Dit-elle

– Ma pauvre, tu n’as pas de tête !

– C’est que tu étais tellement pressé de partir…

– Ça y est, ça va être de ma faute…

 

Elle ne répond pas et s’assoit sur son tapis.

 

– Tu vas pas rester comme ça ! Lui dis je

– Ben si, puisque je n’ai pas de maillot !

– T’as qu’à te foutre à poil ! Y’a personne !

 

Elle se met debout et quitte ses vêtements en les rangeant soigneusement dans le sac et va s’allonger au soleil sur une pierre plate au milieu du ruisseau. Je reste près des sacs à l’ombre pour lire un peu. Le temps passe, je vais voir Yolande et comme elle ne répond pas je lève ses lunettes de soleil, je constate qu’elle s’est assoupit, je la laisse dormir, le soleil est faible et avec la crème elle ne craint rien. Je me replace sur mon tapis et reprends ma lecture.

 

Un homme surgit, il me salut en passant. Tandis qu’il continue de descendre la rivière , je fais mine d’être plongé dans ma lecture et l’observe discrètement. Il est debout sur la berge juste en face de Yolande et la regarde en se tripotant la braguette. Yolande est sur le dos, ses cuisses légèrement ouvertes dévoilent ses lèvres intimes, son pubis rasé la rend indécente, ses seins lourds aux larges aréoles roses sont bronzés mais invisibles pour le moment.

 

– Ne la réveillez pas ! Lui dis-je doucement en m’approchant.

 

Il se recule un peu gêné en me souriant et se sauve rapidement dans les buissons. Je reste seul déçu qu’il ne comprenne pas. Me retournant, je vois Yolande assise sur la pierre:

 

– Il est parti?’ demande t elle

 

Elle m’avoue s’être rendu compte qu’on l’observait et par peur elle est restée immobile.

 

– Tu vois c’est pas difficile de s’exhiber ! Lui dis je

– Oui, bon ! On ne va pas épiloguer…

 

Je m’approche et la caresse entre les cuisses, elle est vite excitée

 

– Tu as apprécié d’être matée on dirait ?

– Oui j’avoue… un peu… Mais tu ne vas pas me demander de recommencer ?

– Disons que c’est un jeu !

– Tu exagères !

 

Je lui pelote les fesses, elle se laisse faire en gémissant.

 

Un homme sort des buissons, il s’approche timidement. Je lui fais signe de venir plus près, sa braguette est ouverte.

 

– Tu ne la touches pas, mais si tu veux te branler, tu peux.

 

Le mec à sorti son chibre et se masturbe frénétiquement. Ça ne dure pas longtemps et il envoie son sperme sur les fesses de Yolande.

 

– Cochon ! Lui dit-elle.

 

L’homme disparaît.

 

– Salaud qu’est-ce que tu m’a fait faire ? me reproche-t-elle

– Mais je ne t’ai rein fais faire tu avais toute liberté pour l’envoyer promener , tu ne l’as pas fait!

– Ah, c’est vrai !

– Tu vas faire quoi maintenant ?

– Je vais attendre, dès fois qu’l vienne un autre cochon !

 

 

Glups !

 


Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Mercredi 8 mars 2023 3 08 /03 /Mars /2023 09:11

Ghita par Youssef

Fathia

Elle s’appelait Ghita et était déjà là à mon arrivée au bureau, ce matin de Juillet.

Ghita était de ces brunes qu’on ne voit que dans les magazines, peau satinée, yeux marrons noisette et visage innocent, pour l’occasion de son entretien d’embauche, elle avait mis un magnifique tailleur écru, qui mettait encore plus en valeur son teint hâlé, sur une chemise blanche aux larges rayures noires…

24 ans, diplômée d’une grande école de commerce, Ghita postulait un poste dans mon département et avait passé avec brio l’étape des RH et du cabinet de recrutement.

Subjugué par son charme, je me suis avancé vers elle et ai balbutié mon nom, comme un jeune adolescent qui aborde une fille pour la première fois. Je sentais le regard pesant de l’assistante sur nous. Je me suis ressaisi. Et pour faire l’intéressant, je l’ai fait patienter un moment.

Je suis rentré dans mon bureau, ouvert les fenêtres pour aérer, ouvert mon ordinateur (pour faire sérieux)… j’étais dans un état tout à fait anormal.

Je l’ai ensuite fait venir, je lui ai proposé un café et nous entamâmes notre entrevue.

Sa voix si suave me faisait suer, je me perdais dans son regard, dans son magnifique décolleté… Elle m’interrompu à plusieurs reprises en me demandant si j’allais bien.

Evidemment, je l’ai retenue et lui ai demandé de commencer le lendemain matin, ce qu’elle accepta.

Cette nuit, j’ai pris ma femme comme une bête en fantasmant sur la jeune Ghita.

Le lendemain matin, je me suis réveillé de bonne heure et me suis mis sur mon 31. Je suis arrivé au bureau à l’heure (pour une fois) et suis tombé sur Ghita dans l’ascenseur. J’avais envie de la prendre là, à cet instant, devant tout le monde, mais je me suis retenu, non sans difficultés.

Ce jour-là, j’ai tout fait pour programmer une réunion tard dans la soirée avec un client et où j’ai invité Ghita pour son initiation.

Le soir arrivée, nous allâmes diner avec ledit client dans le restaurant d’un hôtel sympa. là encore, j’étais subjugué par son aisance, sa beauté, son style, ses cheveux, ses yeux, ses rondeurs, son sourire… Elle arriva à convaincre le client d’augmenter son budget de 15% rien qu’avec des arguments bidons, mais tellement convaincants.

Après le diner, le café, le client se retira et j’ai proposé à Ghita de fêter sa première victoire commerciale comme il se doit.

Nous sommes allés au bar de l’hôtel pour prendre un verre. Elle s’est excusée un instant et s’est retiré dans les toilettes, à son retour, j’ai remarqué qu’elle avait déboutonné sa chemise et mis en valeur son décolleté, elle avait réajusté sa jupe et quitté sa veste. Là, j’étais survolté, surexcité… était-ce là une invitation explicite ou s’était-elle simplement mise à l’aise après une longue et rude première journée de travail.

Elle arriva à mon niveau et me murmura à l’oreille :

– Peut-on changer d’endroit, je me sens observée.

Aussitôt dit, aussitôt fait, nous sortîmes du bar pour aller au lougne, plus discret, plus intime.

Je l’ai prise par la hanche dans un geste maladroit et crispé, elle mis sa main sur la mienne… j’ai cru un instant que la terre allait trembler tellement j’étais survolté, et au lieu de me retirer ma main, elle la réajusta, sans dire un mot.

J’ai choisi un table dans un coin retiré du lounge et nous nous sommes installés, face à face. Dans un mouvement subtile et d’une grande élégance, elle se glissa sur la banquette près de moi et feint de vouloir voir la carte.

J’ai à peine eu le temps de passer commande qu’elle me dit :

– Je suis très heureuse de vous avoir comme patron.

La phrase résonna dans tout mon être.

Nous nous sommes alors regardés, et comme si une force invisible nous poussait l’un vers l’autre, nos lèvres se sont effleurées, puis nos joues, puis nos langues… je n’ai jamais été embrassé aussi suavement de ma vie. à peine fûmes nous servis qu’elle prit un glaçon qu’elle mit dans sa bouche et m’embrassa le cou, derrière les oreilles, puis le cou puis les tempes, puis les joues, puis les lèvres.

Nous nous regardions, tels deux adolescents, perdus, excités, affamés… au bout d’une ou deux minutes de silence, elle me dit :

– As-tu réservé ici ou veux-tu qu’on parte ailleurs?

Prévoyant, j’avais déjà pris une chambre dans cet hôtel, que j’avais pris le soin de mettre sur le compte de l’entreprise.

Dans l’ascenseur déjà, je l’ai embrassé goulument, elle déboutonna ma chemise et entreprit de me lécher le torse.

A peine la chambre ouverte, je lui ai arraché sa chemise et elle fit de même pour la mienne, elle ouvra ma ceinture et retira ma verge, déjà toute raide et dégoulinante de désir. Elle entreprit alors une magnifique séance de flirt avec ma queue, de plus en plus raide et de plus en plus chaude. Elle la léchouillait, la mordillait, l’embrassait mais sans la prendre en bouche, ce qui augmentait mon excitation, je pris ma queue et l’ai guidé vers sa bouche mais elle esquivait magnifiquement. Soudain, pris par un désir indescriptible, je l’ai jeté sur le canapé et lui ai présenté ma verge toute excitée devant sa bouche, presque violemment, dans un geste directif.

Encore une fois, elle arriva à renverser la situation en me renversant sur le fauteuil, et cette fois, elle s’installa à genou devant ma queue et m’administra la meilleure fellation qu’il m’ai été donné de vivre, de voir et ou de décrire. Un parfait mélange entre succion et léchage, en trois temps deux mouvements, j’ai éclaté dans une jouissance magnifique.

Et comme si de rien n’était, mademoiselle continua sa succion, son léchage jusqu’au nettoyage complet de ma verge. Elle se mit ensuite debout, et dans un mouvement d’une rare sensualité, elle entama un strip d’enfer. Ses mouvements étaient tels que j’arrivais à imaginer la musique sur laquelle elle dansait, mélange entre du latino et de la soul.

Elle ôta sa jupe, toute tâchée de sperme, relâcha ses cheveux, ôta ses chaussures puis ses bas, mais garda ses soutiens et son string.

GhitaElle se rapprocha vers moi et sans dire mot, me repris la verge, encore toute raide, en bouche et réentama un va-et-vient sensuel. Ce faisant, elle m’aida à me défaire de mon pantalon, de mon caleçon et de mon marcel.

Et comme dans une chorégraphie parfaitement maitrisée, elle remonta, tout en se déhanchant, le long de mon ventre, puis mon torse pour arriver à mon cou. Je sentais son corps nu sur le miens, mais il y avait encore son soutien-gorge qui me dérangeaient, dans un geste fin, j’ai libéré ses magnifiques seins de sirène. Je pris ses tétons, déjà durs, dans ma bouche et j’ai essayé, tant bien que mal, de lui rendre sa succion, en les caressant du bout de la langue, elle me chevaucha, en gardant son string, et m’offrit sa poitrine dans une sensualité divine.

Je sentais ses reins se cambrer à chaque mouvement de ma langue, et à chaque caresse de mes mains.

Soudain, comme prise par une soudaine envie de baise, elle me jeta sur le canapé, pris ma verge de sa main et la présenta, tel un cadeau, à l’entrée de sa chatte, dégoulinant, en écartant le string, tout mouillé.

Je n’ai jamais, de ma vie, vue une fille se déhancher comme elle, elle entreprit un va-et-vient rythmé par les spasmes de son corps… tout à coup, elle s’arrêta net, me regarda dans les yeux et explosa dans une jouissance phénoménale. Instantanément, je jouis à mon tour en elle et nous nous écroulâmes l’un sur l’autre pour reprendre nos esprits.

Elle me regarda et me dit:

– Tu as aimé?
– Comment ne pas aimer le plus bel instant de ma vie?
– Et si tu avais à le valoriser, à combien le paierais-tu, si tu en avais l’occasion?

J’ai trouvé la question très bizarre, mais, je répondis, naïvement :

– A tout l’or du monde.
– OK, mais, concrètement, donne-moi un chiffre, en dirhams.
– Comme ça, je dirais 3.000 dirhams,
– OK, se sera désormais notre tarif !

Sa phrase fut d’une telle surprise qu’elle le remarqua et rétorqua :

– Cette fois, je te l’offre, car tu es mon patron. Allez, regarde ce qu’il y a dans le mini bar, reprend des couleurs, la nuit est longue.

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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