Vendredi 16 juin 2023 5 16 /06 /Juin /2023 08:33

Martinov 25 – Les agents secrets – 2 – Les manigances d’Olga par Maud-Anne Amaro
Bombe

Odette Morvan a la rage ! L’absence de Blotz-Henri devait lui permettre de reconstituer le fameux mélange B107, mais l’un des composants était enfermé dans le coffre à combinaison de son patron.

« Du peroxyde de bloztanium ! Où est-ce qu’on trouve ce truc ? »

Elle cherche sur Internet qui ne connait pas ce produit.

« Bon j’ai compris, il a dû trouver une molécule « exotique » en faisant des mélanges bizarres. Il faudra que j’attende l’occasion de pouvoir fouiller dans son coffre. »

Elle est quand même dépitée, et puis elle a soudain une idée.

« Ça va être le parcours du combattant, mais ça ne coute rien d’essayer ! »

– Allo ! Bonjour, je suis Odette Morvan, chargée de recherche au CNRS (oh la menteuse !) J’ai ici la composition d’un produit qui devrait intéresser la Défense Nationale.
– Ne quittez pas !

Et après avoir été baladée d’interlocuteur en interlocuteur, le dernier lui lance l’inespéré :

– Vous pourriez passer quand ?
– Demain.
– Venez à 10 heures, vous demanderez le colonel Billard.

Mercredi 4 septembre.

Odette a indiqué à son patron qu’elle avait une démarche administrative urgente.

– Et c’est quoi exactement ?
– Non, mais dites-donc, je ne vais vous raconter ma vie !

Au ministère on lui confisque sa carte d’identité, on lui fournit un badge visiteur et on la conduit chez la personne avec qui elle a rendez-vous

– Asseyez-vous, je vous présente le lieutenant Malesherbes qui va assister à l’entretien. Et je vous écoute.
– Il s’agit d’un produit qui pour le moment n’en est qu’au stade expérimental, et…
– Décrivez-nous ses effets !
– La personne gazée par le produit retombe carrément en enfance pendant environ un quart d’heure. Ses réactions sont alors celles d’un enfant. J’ai expérimenté accidentellement ce produit sur ma personne. Le collègue qui travaille avec moi m’a surpris en pleine crise de puérilisme, il a tout noté sur le rapport que j’ai là….
– Faites voir…

Le colonel parcourt le document d’un air intéressé.

– Et ça, c’est la liste des composants…

Il se tourne vers le lieutenant Malesherbes.

– Faites le nécessaire pour que l’on reconstitue ce gaz.
– Attendez il y a un problème, ce composant-là : peroxyde de blotzanium, je ne sais pas ce que c’est. Précise Odette.
– Mais vous savez où le trouver ?
– Il est dans le coffre-fort de mon collègue.
– Et vous n’y avez pas accès ?
– Ben, non, il est un peu spécial mon collègue.
– Eh bien donnez-moi les coordonnées de ce collègue.
– C’est-à-dire, je ne voudrais pas…
– Rassurez-vous, il n’en saura rien…
– Daniel Blotz-Henri, porte 412.
– C’est très bien ! Pour l’expérimentation seriez-vous volontaire pour une seconde fois ?
– Pourquoi pas ?
– Et en échange vous voudriez quoi, de l’argent, une médaille, un service ?
– J’avoue être un peu vénale.
– 500 euros ?
– Pourquoi pas ?

Elle avait néanmoins espéré davantage.

– On se revoit pour l’expérimentation. Je vous téléphonerais.
– C’est que je ne peux pas me déplacer comme ça…
– On s’arrangera, il reste le soir, le samedi…

Une fois sortie le colonel Billard lança à son aide de camp.

– C’est probablement bidon, mais on ne sait jamais. Vous vous occupez de tout ?
– A vos ordres mon colonel !

Une fois sorti, Malesherbes vérifia si l’enregistrement de la conversation qu’il avait réalisé en cachette sur son stylo espion était audible, puis s’empressa de joindre une mystérieuse correspondante.

– Olga, c’est Désiré ! Tu peux parler ?
– C’est important ?
– Je ne peux pas savoir d’avance, mais ça se pourrait bien.
– Endroit habituel à 18 heures.

Olga Boulganine est une jolie femme, grande blonde, yeux bleus, beaucoup de classe, elle est chargée de mission à l’ambassade de Russie. Olga Boulganine est évidemment un pseudo…

– Vous êtes de plus en plus jolie, Olga !
– Ne me regardez pas comme ça ! Vous l’aurez votre récompense… si toutefois ce que vous m’apportez le mérite.
– Voilà, j’ai tout enregistré sur mon stylo espion, je vais le brancher sur ma tablette, ça dure un petit quart d’heure.

Olga plaça sur ses oreilles les écouteurs que lui tendait Désiré et écouta l’enregistrement tout en griffonnant quelques notes.

– Bon ça peut être éventuellement intéressant, mais il y a deux problèmes : si l’effet de ce produit ne dure que 15 minutes faut que je voie avec mes supérieurs si ça peut servir à quelque chose. Maintenant il faudrait qu’on sache si ce monsieur Blotz-Henri à l’intention de poursuivre ses expériences et notamment d’accroitre la durée d’infantilisation. Tout cela votre bonne femme n’en parle pas.
– Nous allons la recontacter…
– Oui, j’ai entendu, mais j’aimerais bien ne pas perdre de temps d’autant qu’il y a un autre problème de taille. Ce peroxyde de blotzanium, on fait comment pour se le procurer ?
– Je peux m’arranger pour faire ouvrir le coffre discrètement.
– Eh bien faites-le !
– Pas de récompense alors ?
– Il n’est de meilleur plaisir qu’un plaisir retardé, lieutenant, mettez-vous au boulot.

Ibrahim est agent d’entretien au CNRS, mais c’est aussi une taupe du ministère de la Défense. Il est assez rare qu’on fasse appel à ses services, mais il exécute ce qu’on lui demande sans poser aucune question, c’est souvent des ouvertures de tiroirs ou de placards, des photocopies diverses et variés, le tout effectué après la journée de travail de ces messieurs-dames. Aujourd’hui c’est plus compliqué, il s’agit d’un coffre ! Il n’a rien de sophistiqué, mais ça reste un coffre avec une combinaison. Il essaie des combinaisons basiques : 1234, 1111, sans résultat.

« Je ne sais pas faire, je ne suis pas magicien… »

Il examine le bureau de Blotz-Henri, dont les tiroirs sont fermés à clé, ça c’est facile, il a dans ses poches quelques clés qui ouvrent toutes ces petites serrures.

Dans le premier tiroir, il trouve un petit répertoire à spirales.il l’ouvre à la page « C », un chiffre est indiqué : 1515. Il se précipite vers le coffre, ça ne fonctionne pas !

« Merde ! A l’envers, peut-être 5151 ! »

Bingo ! Le coffre s’ouvre.

Un tas de truc là-dedans : des flacons dont certains sont étiquetés avec un logo signifiant leur dangerosité, des boites, des sachets, mais pas grand-chose d’explicite car la plupart ne sont identifiés que par un numéro.

« Le carnet ! »

Ibrahim feuillète tout, recherchant l’indication du blotzanium, mais ne trouve rien. Il fouille un peu partout sans succès. Alors il referme les tiroirs et prend plusieurs photos de l’intérieur du coffre avant de le refermer à son tour. Il prend aussi la photo de toutes les pages du répertoire

Il appelle le lieutenant Malesherbes avec un téléphone « sécurisé » et lui fait part de l’échec de sa mission.

– Mais t’es vraiment con, il fallait procéder par élimination.
– Comment ça ?
– Laisse-moi faire ! Envoie-moi toutes les photos,

Malesherbes imprime tout ça, puis il marie les indications du répertoire avec les indications des flacons. 8826 n°2, 784 n°7…

Il pensait qu’au bout du compte, il trouverait un numéro de flacon non répertorié, or tout était répertorié !

– J’ai compris ! Son blotzanium est un nom fantaisiste, il est stocké et répertorié sous un autre nom ! On fait comment maintenant ?

Jeudi 5 septembre

Malesherbes a donné rendez-vous à midi à Odette Morvan.

– Voilà, vous allez avoir du boulot ! Voici la liste de ce qu’il a dans le coffre, pour chaque produit on a un numéro de flacon ou de contenant qui correspond à un produit. Les noms des produits semblent être en code. En fouillant dans les affaires de Blotz-Henri vous pourriez sans doute éliminer tout ce qui ne peut pas être du blotzanium ?
– Je peux toujours essayer ! Mais j’ai une autre information qui peut vous intéresser.
– Je suis tout ouïe

Et Odette relate au lieutenant la démarche de Blotz-Henri chez le professeur Martinov.

– Génial ! Vous avez les coordonnées de ce type ?
– Bien sûr !
– O.K. je vous laisse ! Mais essayez tout de même de faire comme je vous ai demandé.
– Mais vous allez faire quoi ?
– Chut !

Et deux minutes plus tard, il téléphonait à Olga.

– Faut qu’on se voie d’urgence, j’espère qu’il n’est pas trop tard !

Et à 15 Heures Olga sonnait à l’adresse du professeur Martinov.

C’est Béatrice qui ouvre, au grand dam de la russe qui voit ainsi ses plans contrariés.

– Je voudrais m’entretenir avec le professeur Martinov.
– Vous n’avez pas rendez-vous ? S’informe Béa subjuguée par l’étrange beauté de la visiteuse.
– Non, mais c’est urgent, important et personnel.
– Entrez, je vais l’appeler.

Martinov se demande d’où sort cette apparition, fait assoir la femme dans le salon, tandis que Béatrice se retire diplomatiquement.

– Je suis heureux de faire votre connaissance, commence Olga.
– Ah ? Et qu’est-ce qui vous amène ?
– C’est un peu délicat ! Dit-elle en croisant ses jambes, dévoilant le haut de ses cuisses.
– Euh, vous ne vous êtes pas présentée, si je ne m’amuse.
– Olga Boulganine, chargé de mission au CNRS.

« Ah tiens, ce doit être la loi des séries ! » Se dit le professeur.

– Oui, continua la femme, l’un de mes collègues vous a sollicité récemment au sujet d’un pulvérisateur vintage.
– Mais comment pouvez-vous être au courant ?
– Ce monsieur, Blotz-Henri, est un peu dérangé, il parle à tout le monde, on le laisse tranquille parce qu’en fait c’est un chercheur génial. Le problème c’est qu’il fait parfois des expériences qui peuvent être dangereuses, alors on le surveille un peu.
– Ah ? Et qu’est-ce que vous attendez de moi ?
– Voilà ! Le dispositif que vous allez lui fournir est destiné à projeter un gaz aux propriétés enivrantes du moins c’est ce que nous supposons. Nous sommes en possession de la composition de tous les gaz constituant son produit… sauf un…
– Et vous voudriez que je prélève un échantillon de son produit…
– Bravo !
– Je risque de vous décevoir, chère madame. D’une part je ne voyais pas les choses comme ça, il n’entrait pas dans mes intentions de procéder à un essai en réel. Son machin, je vais le remplir d’air ambiant, lui montrer comment on le recharge et il fera ça tout seul comme un grand hors de mes locaux…
– Ecoutez…
– Attendez, et d’autre part, cette affaire me semblant peu claire, je viens à l’instant de prendre la décision de ne pas honorer ce contrat. Donc voilà, je suis désolé mais je ne peux rien pour vous…

Martinov cru alors que la belle russe allait insister, mais elle ne travaillait pas de cette façon :

– Bien, eh bien je vais vous laisser, je comprends votre position, merci de m’avoir laissé m’exprimer, vous avez beaucoup de classe, monsieur Martinov !

Il en rougit, le professeur ! C’était un peu le but de l’opération. Du coup Martinov est peiné car il comprend que ce canon va disparaître de sa vue dans un petit instant.

Mais c’est mal connaître Olga…

– Me permettriez-vous d’abuser de votre hospitalité juste quelques instants ? Rassurez-vous nous n’allons pas reparler de mon collègue.
– Je vous écoute.
– En fait j’ai peu soif, si vous aviez un verre d’eau.

Les règles de la bienséance font que quand quelqu’un demande un verre d’eau, il est d’usage de lui proposer mieux que ça.

– J’ai du jus de fruit, sinon je peux aussi vous faire un café…
– Je ne voudrais pas abuser, mais un café serait très bien.

D’autant qu’un café ça se boit lentement… Pas folle la guêpe !

Le professeur se lève pour aller demander à Béatrice de préparer deux cafés.

– Tu seras gentille de nous les apporter !
– Ben voyons ! C’est qui cette nana ?
– Je te raconterai…

Béatrice faillit lui dire alors : « fais attention de ne pas te laisser manipuler ». Mais elle n’en fit rien sachant que ce genre de conseil ne servait pas à grand-chose.

Quand elle servit le café, la bride de conversation qu’elle entendit se révéla d’une banalité exaspérante. Le regard des deux femmes se croisa un court moment, pas assez pour que la jeune chimiste ait le temps de cacher son trouble.

« On dirait que je lui fais de l’effet ! » Se dit Olga. « Ça peut être intéressant, mais faisons les choses dans l’ordre. »

– Mais, demanda la russe, à brûle-pourpoint, votre activité, c’est de bricoler des inventions ?
– Je fais un peu de tout, je répare des trucs, j’améliore des gadgets…
– Et vous-même, vous avez inventé des choses ?
– Oui, avec Beatrice on a travaillé sur un produit qui devait augmenter la fertilité des lapins. En fait, ce qu’on a trouvé, c’est un aphrodisiaque, on ne l’a pas fait breveter, c’est trop compliqué mais ça se vend en sex-shop et ça marche bien ! (Voir Professeur Martinov et le lapin dur)
– Un aphrodisiaque ! Mais pour l’expérimentation ?
– Béatrice et moi nous nous sommes dévoués ! C’était pour la science ! Ajoute-t-il malicieusement.
– Vous savez que vous êtes passionnant à écouter…
– Allons, allons…
– Si, si, je n’ai pas souvent l’occasion de rencontrer des gens comme vous !
– N’exagérons rien !
– J’aimerais vous faire une proposition un peu cavalière…

Et tout en disant ça elle déboutonne un bouton de son chemisier lassant apparaître l’échancrure d’un joli soutien-gorge en dentelle bleu-gris.

« J’ai compris son jeu, elle va me proposer de coucher avec moi, tout ça pour que j’accepte d’intervenir dans cette histoire de Fly-tox ! Ça va être dur de résister, mais j’ai confiance ! »

– Une proposition dites-vous ?
– Oui, j’aimerais vous inviter au restaurant. Ce sera d’ailleurs une fausse invitation, j’ai une carte bancaire professionnelle, c’est le CNRS qui paie !

Il ne s’attendait pas du tout à cela, le professeur Martinov.

– Je suppose que vous connaissez un bon restau dans le coin, réservez-nous une table pour 19 h 30, je passerais vous prendre. A tout à l’heure, cher professeur.
– Mais je ne vous ai pas dit « oui » !
– Vous n’allez pas me faire l’affront de vous défiler, vous êtes un gentleman !

Et Olga s’en va laissant le professeur sans voix.

Evidemment Béatrice vient aux nouvelles.

– C’est à propos du dossier « Fly-tox », elle m’a raconté une salade très confuse, en fait elle voulait que je double Blotz-Henri. Je lui ai répondu que les trucs louches, j’en avais ma claque et que je laissais tomber carrément ce dossier. Elle n’a pas insisté. Sinon on a parlé d’autre chose et elle m’a invité au restaurant avec sa carte professionnelle.
– T’as accepté ?
– Ben, oui, elle est charmante.
– Moi, je serais toi, je me méfierais…
– Ne t’inquiètes donc pas !

Et à l’heure convenue, Olga conduisait le professeur Martinov au « Papillon Bleu »

Tout se passait bien, Olga faisait parler Martinov qui n’était pas avare de ses anecdotes qu’il savait narrer avec humour et volubilité.

Incidemment elle lui posait des questions « indiscrètes » :

– Vous êtes célibataire, alors ?
– Oui, mais je ne souhaite pas raconter ma vie.
– Vous avez de la famille quand même ?
– Non, il doit bien me rester quelques cousins-cousines, mais je ne les ai jamais fréquentés.
– Des amis, des copines ?
– Je suis un sauvage, mais je ne suis pas puceau.

Olga attendait le moment propice pour attaquer, l’anecdote de l’invention du « lapin dur » lui fournissait une occasion toute trouvée.

Ils attendaient le dessert, la bouteille de rosé était bien descendue…

– Dites-moi, votre « lapin dur », c’est uniquement pour les hommes ?
– Non c’est mixte !
– Et il n’y a pas d’effets secondaires ?
– Si, mais on fait avec !
– C’est quoi ?
– Ça donne soif, très soif, alors on boit et quand on boit ben on élimine…

Voilà qui fait rire aux éclats notre aventurière russe.

– Mais vous dites que vous l’avez expérimenté avec votre collaboratrice…
– On ne pouvait pas faire autrement, gérer des volontaires n’était pas trop évident…
– Mais, c’est sans doute indiscret, mais vous êtes allés jusqu’au bout ?
– Quand on expérimente, il faut le faire complètement.
– Mais dites-moi : Vous semblez donc quelqu’un de très décontracté en ce qui concerne le sexe ?
– On peut dire ça comme ça !
– J’adore !
– Vous adorez quoi ?
– Les gens comme vous ! Ah, le dessert, je vais prendre une glace…

Le professeur l’imita, ils ne prirent pas de café, Olga paya discrètement avec une carte professionnelle, ça allait être le moment des adieux.

– J’ai un peu trop bu pour conduire ! Dit alors Olga, il y a un hôtel là-bas… à moins que vous me proposiez un plan B ?
– Je n’aurais qu’un canapé à vous offrir…
– Mais ce sera très bien ! Je vais conduire tout doucement jusque chez vous.

La suite devient, vous l’aurez compris, chers lecteurs, inéluctable !

– C’est ce canapé-là, je suppose ?
– Oui, je vais vous descendre une couverture.
– C’est gentil. Dites-moi, vous dormez dans un grand lit ou dans un petit lit ?
– Un grand !
– Et si nous le partagions, je ne ronfle pas.

Le professeur s’abstint de lui dire que lui, il ronflait.

– Euh, il faudrait changer les draps, mais pourquoi pas ?

Ils montèrent dans la chambre, Martinov s’apprêtait à refaire le lit, mais Olga lui évita cette peine.

– Vos draps ne sont pas sales… Je vais me déshabiller, j’espère que je ne vais pas choquer votre pudeur.
– Non, non, je sais me tenir.
– Cela dit, ça ne me dérange pas qu’on me regarde !

Et sans attendre plus longtemps, Olga se tourne et se déshabille complètement. Offrant la vue de son magnifique fessier aux yeux concupiscents du professeur.

Il est là, scotché, tel le loup de Tex Avery, il bande sous son slip qu’il n’ose pas retirer.

Et voilà qu’Olga se retourne tout sourire, exhibant une paire de seins à damner un saint.

– Eh bien, professeur, on dirait que je vous fais de l’effet !
– Que voulez-vous, je suis un homme.
– Enlevez donc ce slip, vous serez plus à l’aise.
– C’est que…
– C’est que quoi, nous sommes adultes, et si nous avons envie de nous donner du bon temps, pourquoi hésiter ?
– Je n’ai rien d’un playboy…
– Bien sûr que non, mais j’adore baiser avec les papys, chacun ses fantasmes, non ?
– Humm
– Je fréquente souvent le sauna des Cigognes, vous connaissez ?
– Non…
– L’autre fois, je me suis enfermée dans une cabine avec trois papys, deux m’ont pris en double et j’ai sucé le troisième, c’était assez fabuleux… Je vous donnerais l’adresse, je fais souvent des bonnes rencontres, il y a un habitué que j’aime bien, il me baise devant sa femme…

Olga avait le don pour inventer des histoires et les raconter avec un aplomb incroyable. D’ailleurs le sauna de Cigognes n’existe pas, mais quelle importance ?

– Donc je peux vous caresser ?
– Mais ne vous gênez surtout pas !

Alors que fait, ce bon professeur Martinov ? Comme 90 % des mâles, dès qu’il est assez proche de sa jolie partenaire, il lui porte ses mains sur les seins, les caresse, les malaxe, après avoir demandé la permission de les embrasser, se met à sucer les tétons, (l’un après l’autre, parce que les deux en même temps, c’est un peu compliqué).

Martinov1502
Olga reste passive un moment, puis vient mettre sa main sur la bite professorale après l’avoir sorti de son caleçon

– Humm, j’aime toucher une bonne bite, c’est si doux, si excitant !

Elle branlotte un peu la bistouquette de Martinov, sa bouche s’approche, elle gobe ce membre bien tendu, l’imprègne de sa salive, puis donne des petits coups de langue sur le gland. Le professeur se pâme.

De sa main Olga lui flatte les valseuses, puis le doigt chemine sur le périnée, s’arrête au niveau de l’anus, exerce une légère pression… en fait elle attend la réaction de l’homme.

Pas de protestation, alors elle mouille son doigt, revient d’où il était parti et l’enfonce doucement.

– Ouiii !
– T’aimes ça, petit cochon !
– Oui, c’est bon !

Martinov demanderait bien à sa partenaire d’introduire un second doigt, mais il n’ose pas ! Allez savoir pourquoi ?

N’empêche qu’il apprécie cette privauté.et qu’il pousse des « oh » et des « ah ».

– Ben dit donc pépère, ça te fait de l’effet, on dirait !
– J’aime bien !
– T’as déjà essayé avec un gode ?
– Oui !
– Petit cochon ! Et tu aimes ?
– Ben oui !
– Tu serais pas à moitié pédé, mon papy ? Demande-t-elle en minaudant.
– Non ! Se défend-il
– Tss, tss, tous les hommes le sont un peu. Je t’imagine bien tout seul dans ton fauteuil, complètement nu avec un gode dans le cul en train de te branler devant une revue porno gay !
– C’est pas vraiment mes fantasmes, et d’abord je n’ai pas de revues porno.
– Pourquoi ? C’est sale ?
– La question n’est pas là, maintenant avec Internet, plus besoin d’acheter des revues !
– Je comprends mieux et tu regardes quoi ?
– Tu m’embêtes un peu avec tes questions.
– J’aime bien connaitre les fantasmes des mecs, c’est souvent surprenant ou inattendu et moi ça m’excite !

Du coup le professeur, se dit qu’il n’avait aucune raison de faire de la fausse pudeur et se laissa aller aux confidences.

– J’aime bien les trucs un peu bisexuels, quand il y a deux hommes qui font des trucs ensemble en compagnie d’une femme.
– Oh, le cochon ! Et en vrai, tu l’as déjà fait ?
– Ça m’est arrivé !
– Oh, mais c’est super, ça, viens que je t’embrasse.

Et de façon totalement inattendue, Olga vient rouler un patin au professeur qui n’en demandait pas tant mais qui est aux anges. On le serait à moins.

– Et dis-moi, la fille qui travaille avec toi, elle est au courant ?
– Oui, pourquoi ?
– Je demandais ça comme ça !

En fait, Olga en faisant parler le professeur tentait de trouver quelque chose, pas vraiment matière à chantage, mais au moins quelque chose qui fasse « pression ». Mais rien ne venait, il lui faudrait se contenter de faire confiance à sa seule personne…

– Et ça tu aimes ? Lui demande Olga en lui serrant les tétons…. Non, non ne répond pas, je vois bien que tu aimes, t’es vraiment un petit cochon, j’ai bien envie de te donner une fessée. Tu veux ?
– Pas trop fort alors !
– Ne t’inquiètes pas, je ne vais pas te démolir, mais une fessée, c’est quand même une fessée… allez tourne-toi.

Le professeur n’est pas spécialement porté sur les pratiques sadomasos, mais parfois l’excitation fait accepter des choses…

Et voilà Olga qui tape du plat des mains, le postérieur de Martinov, elle n’est pas spécialement douce dans l’exercice de cette pratique… Ça amuse un peu le professeur mais ça ne l’excite pas,

– Finalement j’aime pas trop ça, Déclare-t-il en se dégageant.
– Oh, mais tu débandes ! Remarqua la belle intrigante. Je vais arranger ça…

Elle reprend la bite en bouche, la fait bien rebander…

– Ça te dirait de m’enculer ?
– Ma foi, puisque c’est proposé gentiment.
– T’as des capotes ?
– Oui, toujours !
– C’est qu’il est prévenant, ce petit cochon.

La belle se met en position, le pétard cambré, de ses mains elle écarte ses joies fessières laissant apparaître son bel anus brun.

– Oh que c’est beau ! S’exclame le professeur.
– Alors embrasse-le, embrasse mon trou.

Et après s’être régalé de ce petit trou, l’instant d’après Martinov sodomisait la belle en cadence. Elle avait prévu de simuler son plaisir, mais probablement excitée par la situation elle n’eut pas besoin et connut un véritable orgasme, ce qui rendit tout fier notre brave professeur, lequel accéléra la cadence.

– Ne jouit pas dans mon cul, je veux que tu m’arroses.

Pas si évident lorsqu’on est entrainé par son propre plaisir. L’homme prend néanmoins sur lui, se dégage, retire sa capote et se retrouve la bite contre le visage de la brune, quelques mouvements de branlette et il envoie son jus qui lui atterrit un peu sur le menton, un peu sur le nez et pas mal sur les joues.

La séance se conclut par un grand éclat de rire.

– Je vais me faire un brin de toilette et un petit pipi.
– Je peux regarder ? Demande Martinov.
– Tu veux me regarder pisser ?
– Si ça ne te gêne pas !
– Mais t’es vraiment un petit cochon !
– Tu ne veux pas ?
– Ça ne me dérange pas !

La belle s’installa de façon à ce que le professeur puisse regarder l’urine jaillir de sa source. Un spectacle dont il ne lassait guère.

– T’aurais dû me le demander avant, je t’aurais pissé dessus.
– Humm
– Demain matin peut-être.

Et sur cette dernière fantaisie, ils allèrent se coucher, Martinov en pyjama, Olga complètement nue.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Vendredi 16 juin 2023 5 16 /06 /Juin /2023 08:30

Martinov 25 – Les agents secrets – 1 – L’éprouvette cassée par Maud-Anne Amaro
StampBea
Principaux personnages

– Daniel Blotz-Henri : chargé de recherches au CNRS
– Odette Morvan : secrétaire de Blotz-Henri
– Désiré Malesherbes : Aide de camp du colonel Billard au ministère de la Défense
– Sophie Cabureau : Maîtresse de Malesherbes
– Olga Boulganine : Agent secret russe
– Wan Ting Koh : Agent secret chinoise
– Britt Franklin : Agent secret américaine (CIA)
– Gérard Petit-Couture : ancien agent secret français
– Florentine : compagne de Petit-Couture

Et nous allons bien évidemment retrouver le professeur Martinov, inventeur et bricoleur sexagénaire, toujours aussi obsédé et Béatrice Clerc-Fontaine sa jeune et sémillante assistante blonde et délurée…

Lundi 2 septembre

Mais pour le moment rendons nous dans un autre laboratoire et plus précisément au C.N.R.S, là où le professeur Blotz-Henri fait des études sur les propriétés insolites des mélanges gazeux.

Daniel Blotz-Henri est un jeune coq dans la trentaine, il plait aux femmes avec son physique de beau ténébreux, ses sourcils buissonneux et sa coupe de cheveux à la Ray Liotta. On lui a attribué une assistante, Mademoiselle Morvan, brune, célibataire, la quarantaine, lunettes impossibles, qui pourrait plaire si elle daignait s’arranger un petit peu.

Quand il se rend à la machine à café, Blotz-Henri adore parader, il est hâbleur, imbu de sa personne, aime parler sport et a une opinion sur tout, il a sa cour et fait mouiller quelques laborantines et autres secrétaires.

Il n’aurait qu’à lever le petit doigt, oui, mais voilà, il se trouve qu’au plumard, notre homme n’est pas performant du tout, mais nous parlerons éventuellement de ça quand il faudra.

Et aujourd’hui pendant que Blotz-Henri est à la machine à café, Odette Morvan fait un peu de rangement dans le bordel laissé par son patron.

Et c’est là que tout commença, parce qu’une éprouvette lui échappa des mains, se brisa en tombant au sol et répandit son contenu gazeux dans la pièce.

– Qu’est-ce que je fous là ! Se demanda alors Odette. Quel est cet endroit ? Ou sont mes jouets ?

Elle fouilla dans les tiroirs, ne trouva rien d’intéressant mais déchira quelques pages d’un numéro de la revue « Nature » afin d’en faire des cocottes en papier.

Quand Daniel Blotz-Henri revint dans son labo, il n’en crut pas ses yeux :

Odette Morvan était accroupie sur le revêtement de sol, une cocotte en papier dans chaque main, tandis qu’une troisième restait un peu en retrait. La pauvre femme tenait des propos incohérents :

– Giclette et Salopette sont en tête dans la dernière ligne droite, Mistinguett est lâchée et n’a plus aucune chance de gagner.
– Mademoiselle Morvan, ça ne va pas la tête ? Hurla Blotz-Henri.
– Hé, laisse-moi jouer, toi, je ne t’ai pas invité !
– Mais vous avez bu ?
– Bububu, le zébu a trop bu !
– Relevez-vous et arrêtez de faire l’enfant…
– De la patrie-i-e- ! La Marseillaise retentit sur la ligne d’arrivée, le suspense est insoutenable. Giclette semble se détacher d’une courte tête.

Le regard de Blotz-Henri se fige alors sur l’éprouvette cassée.

– Putain ! Mais qu’est ce qui s’est passé ?
– C’est pas beau de dire des gros mots ! Je vais le dire à ta maman, elle va te gronder !

Il réalise alors que son assistante a respiré un gaz toxique aux effets pervers, il pense alors la conduire à l’infirmerie et tente de l’extraire de sa position.

– Mais, je ne joue pas avec toi, si tu ne me lâches pas j’appelle la maîtresse. Elle va te coller au coin avec un bonnet d’âne et ce sera bien fait pour toi ! Bisque, bisque rage, on va te mettre en cage !

« Je ne vois pas quoi lui administrer en guise d’antidote, peut-être qu’un café bien fort… » se dit l’homme qui retourne à la machine à café.

Quand il revient avec un gobelet bouillant, la scène a complètement changé, Odette Morvan est affalée dans son fauteuil et semble en proie à un gros désarroi.

– Ça va mieux ? C’est fini votre cirque ?
– Dites donc, soyez poli !
– Reprenons les choses dans l’ordre. Vous avez cassé une éprouvette…
– Ben oui ce sont des choses qui arrivent ! Vous ne faites jamais de conneries, vous ?
– Inutile d’être agressive, j’essaie de comprendre, c’est tout.
– Il n’y a rien à comprendre, j’ai perdu connaissance, en fait non, j’étais comme dans un rêve, un drôle de rêve, figurez-vous que je rêvais que je jouais à commenter une course de cocottes en papier.
– Les cocottes qui sont là ?
– Quoi ? Ce serait moi qui aurais fait ça ?
– Qui voulez-vous que ce soit d’autre ?
– Oh là là ! Vous me foutez la trouille avec vos éprouvettes ! Vous vous rendez compte que ça aurait pu être un gaz mortel…
– Ça suffit Morvan, vous travaillez dans un laboratoire du CNRS, pas dans une usine de boites de conserve. Vous savez très bien qu’il peut être dangereux de manipuler n’importe quoi, n’importe comment. Et d’abord qu’est-ce qu’il vous a pris de toucher à cette éprouvette ?
– J’ai voulu faire un peu de rangement, c’était le bordel ici ! Vous avez quitté le labo précipitamment quand vous avez vu qu’il était 10 heures, tout ça pour aller retrouver vos pétasses à la machine à café.
– Morvan, je vous prie de retirer vos propos !
– Il n’y a que la vérité qui blesse !
– Morvan, vous n’êtes qu’une refoulée revêche et à moitié cinglée… je vous interdit de me répondre et je vous signale que vous avez un compte-rendu à terminer avant midi. Allez au boulot ! Et je ne veux plus vous entendre.

Odette Morvan prit énormément sur elle pour ne pas répondre. Elle était assez intelligente pour savoir où mènerait cette sotte dispute s’il elle s’éternisait. On ne lui donnerait pas raison, à la limite ça pouvait se terminer par un blâme ou une mutation disciplinaire.

« Je saurais me venger autrement ! » Se dit-elle avant de se plonger dans la rédaction de son compte-rendu.

Dans l’après-midi, elle profita d’une pause pipi de Blotz-Henri pour fouiller dans la corbeille et relever le numéro de l’éprouvette malencontreusement brisée.

« B107 » lu-t-elle

Elle feuilleta ensuite le classeur dans lequel étaient rangés les fiches des mélanges expérimentés. Elle photocopia celle de la B107 et l’enfouit dans son sac à main.

Après sa journée de travail, elle parcourut la fiche dans le métro, celle-ci décrivait la composition du mélange B107, essentiellement du protoxyde d’azote auquel était ajouté d’autres éléments en quantités infinitésimales. C’était finalement assez simple, il suffisait d’avoir les produits sous la main et de respecter les dosages. La partie « expérimentation » relatait les réactions de souris de laboratoire.

Echantillon 1 : Pas de réaction notable
Echantillon 2 : idem malgré un doublement du dosage.

« Me voilà bien avancée ! Demain midi, je n’irais pas déjeuner et je reconstituerais le produit, ensuite il me faudra l’expérimenter… »

Odette n’était pas la seule à réfléchir, Blotz-Henri cogitait de son côté.

« Donc le B107 a des effets puérilisant chez l’humain, quant à la durée de l’effet, ne sachant pas à quelle heure cette cinglée a cassé l’éprouvette, on va dire que c’est entre 10 et 20 minutes. Il me faudra refaire une autre expérience, mais où trouver un cobaye ? »

Petit à petit le projet prit forme, il devra se trouver face à face avec une victime potentielle seule. Cela devrait avoir lieu dans un endroit fermé. Un commerçant sans grande clientèle pourrait faire l’affaire, par exemple un antiquaire.

Reste un gros problème : Comment gazer sa victime sans inhaler soi-même le produit toxique ?

« Je ne me vois quand même pas rentrer dans un magasin d’antiquités avec un masque à gaz sur la tronche ? Il me faudrait un bricolage… »

Oui mais voilà : Daniel Blotz-Henri est peut-être un brillant chimiste mais au niveau bricolage il est complètement nul, il a même du mal à planter un clou correctement.

Avec les souris c’était simple, les bestioles étaient placées dans un vivarium, ensuite on débouchait très rapidement l’éprouvette qu’on glissait dans le vivarium, puis on refermait le tout… Allez faire ça avec un antiquaire, vous ?

– Morvan, vous n’auriez pas une idée…
– « Mademoiselle Morvan » ! si ça ne vous dérange pas !
– Oui, bon ! J’aimerais bien expérimenter mon B107 sur des sujets plus gros, mais je ne vois pas comment faire ? Vous n’auriez pas une idée ?
– Vous pensez à quoi comme bestioles ?
– Un chat peut-être ?
– Et vous croyez que je vais vous aider à trouver un truc pour martyriser ces pauvres bêtes ?
– Ou alors un pitbull, ce serait mieux !
– Il vous faudrait un instrument genre Fly-Tox !
– C’est quoi ça ?
– Regardez sur Internet, ils vous expliqueront ça mieux que moi !

Et c’est ce qu’il fit, il ne connaissait pas le Fly-tox, un pulvérisateur à poussoir utilisé comme insecticide jusque dans les années 1960.

« Génial, je peux toujours essayer d’en trouver un chez un brocanteur… mais comment j’entre le gaz là-dedans ? Un bricoleur, il me faut un bricoleur… »

Mardi 3 septembre

Et c’est ainsi que dès le lendemain, Daniel Blotz-Henri se rendit à Louveciennes chez le professeur Martinov où il fut reçu par ce dernier en compagnie de Béatrice, sa fidèle collaboratrice.

– Et ce serait pour pulvériser quoi ? Demande le professeur.
– Je suis obligé de répondre ? Rétorque Blotz-Henri d’un ton morgue
– Non mais, dans ce cas je serais obligé de vous faire signer une décharge…
– C’est un insecticide d’une composition inédite… Improvise le chercheur.
– Pour lequel vous n’avez aucune homologation, je suppose ?
– Mais c’est aussi un engrais…
– Ah, bon ? Se gausse Béatrice.
– C’est à la fois un engrais et un insecticide puisqu’il va éliminer tout un tas de parasites qui peuvent empêcher la plante de se développer.
– Oui bon ! Sachez tout de même mon cher monsieur que le Fly-tox est complètement dépassé, pourquoi n’achetez-vous pas un aérosol rechargeable ?
– Ah ? Et ça se recharge facilement ?
– Oui, avec un compresseur à air comprimé !
– C’est gros, ça ?
– Assez, oui !
– Non, alors je reste sur l’idée du Fly-tox, je veux qu’il soit rechargeable et je paierais le prix qu’il faudra, et pour les décharges je vous signerais tout ce que vous voulez.
– Bon on va vous faire un devis…

Le bonhomme ne fit aucune difficulté pour laisser ses coordonnées

– Il travaillerait au CNRS, on fera un contre-appel discret pour vérifier, je ne sais pas ce qu’il veut fabriquer, mais ça ne m’a pas l’air d’être un truc dangereux.
– Hum, faut toujours se méfier, intervient Béatrice. En tous les cas, il est bel homme, quand on aime le genre.
– Non mais tu as vu ses sourcils, on dirait un loup-garou ! Persifla Martinov
– T’en a vu beaucoup des loups-garous ?
– Oui, au cinéma !
– Je croyais que tu préférais les films érotiques ?
– Ce n’est pas incompatible !
– Moi je n’aimerais pas baiser avec un loup-garou. Reprit Béatrice
– C’est comment une bite de loup garou ?
– Question intéressante, et la tienne elle est comment en ce moment ?
– Elle est à ta disposition.
– Monsieur est trop aimable ! Se gaussa-t-elle. Mais ce n’était pas vraiment le sens de ma question
– Pour l’instant elle est sage, mais elle ne demande qu’à se dissiper !
– C’est vrai que cela fait quelques semaines qu’on ne s’est pas fait des gros câlins.
– T’es toujours partant, toi ?
– Oui mais je crois que tu es partante aussi.
– Sors-moi donc ta bite que je te la suce !

Le professeur tente d’ouvrir sa braguette, et se met à rouspéter.

– C’est coincé !
– Eh bien tu la décoinceras tout à l’heure, baisse ton pantalon, ce sera plus simple !
– Quand même, c’est embêtant !
– Et si tu n’arrives pas à la décoincer, tu te mettras un autre pantalon ! Bon alors tu nous baisses tout ça !

Martinov1501

Martinov baisse donc son pantalon, mais comme c’est un homme méticuleux et que ce n’est pas le genre à conserver tous cela sur les chevilles, il va poser tout cela méticuleusement sur le dossier d’une chaise.

– Oh, mais ça bande mou, tout ça ! Qu’est ce qui t’arrive ? Je ne t’excite plus ? T’as pas envie ?
– Ce doit être la fatigue !
– Je vais arranger ça, laisse-moi faire, assis-toi, détends-toi.

Le professeur s’assoit, Béatrice retire son tee-shirt, puis son soutien-gorge.

– Alors tu les aimes toujours, mes gros nénés ?
– Oui, approche-toi que je te les embrasse.
– Coquin !

Béatrice s’est avancée et Martinov lui tète les tétons avec gourmandise. Simultanément la jolie chimiste a ouvert la chemise du sexagénaire et lui pince ses propres tétons avec une certaine vigueur.

Avec un tel traitement, le professeur a retrouvé une bandaison digne de ce nom. Et du coup, Bea peut se pencher pour prendre en bouche ce fier mandrin qui semble la narguer.

Elle aime s’amuser avec la bite de Martinov.

– Elle est bonne, ta bite, je ne m’en lasse pas !
– Qu’est-ce qu’elle a de particulier ?
– C’est la tienne ! T’aimes quand je te serre les couilles comme ça ?
– Oui mais trop fort !
– Chochotte ! Dit-elle en mouillant son doigt. Tu sais ce que je vais faire avec mon doigt ?
– Tu vas me le foutre dans le cul !

Et c’est exactement ce qu’elle fait. Le professeur adore ça et pousse un râle de contentement.

– Un autre ?
– Un autre quoi ?
– Un autre doigt, pardi !
– C’est tout ? Tu ne veux pas un chausson aux pommes, non plus ?
– Non juste un autre doigt.
– Comme ça ?
– Oh ! oui, c’est trop bon !
– On monte dans ta chambre ?

C’est complètement débraillé que le couple atypique parvint dans la chambre à coucher du professeur. Comme ils avaient l’habitude de le faire, ils se débarrassèrent des vêtements qu’ils portaient encore et sautèrent sur le lit.

En fait c’est Béatrice qui sauta sur le lit, Martinov ayant passé l’âge de faire du trampoline !

– Occupe-toi un peu de moi ! Lui proposa la belle chimiste.

Le professeur, excité comme un pou aurait préféré que l’on s’occupa d’abord de lui, mais se dit avec philosophie qu’il n’y avait meilleur plaisir qu’un plaisir retardé.

Béatrice est allongée de tout son long, sur le dos, jambes écartées.

– T’es trop belle ! Ne put s’empêcher de clamer Martinov.
– T’as raison, c’est moi « Miss Monde », mais reste pas comme ça, ma chatte elle est entre mes cuisses, pas ailleurs !

Le professeur vient butiner l’intimité de sa collaboratrice, c’est mouillé comme une fuite là- dedans, et il aime ça, notre vieux savant libidineux, il lape, il tète, il se régale, tandis que ses mains ont agrippé les tétons maintenant tout durs de la belle pour les titiller entre le pouce et l’index.

– Continue mon salaud, continue, ! Ah ce que tu lèche bien ! Non, ne dis rien, ne me parle pas, continue, Oh, là, là, suce mon clito, je vais venir, aaaaaah !

Martinov se recule un peu, tout fier d’avoir fait jouir aussi intensément la belle chimiste.

– Tu veux me prendre, c’est ça ? Lui demande-t-elle.
– Oui, mais si on jouait cinq minutes avec le gode ?
– Tu veux que je t’encule ave le gode ?
– Tu sais bien que j’adore ça !
– T’es un enculé, mon petit professeur !
– Oui et j’ai même pas honte !

Béatrice ouvre le tiroir du chevet et s’empare du pénis de plastique.

– Tiens suces-le un peu ! J’adore te voir faire ça !
– Cochonne !
– On est cochon tous les deux, alors suce !

Le professeur s’exécute et lèche le dildo comme il le ferait d’une vraie bite, introduction dans la bouche jusqu’au fond des joues, léchage de la hampe, titillement du gland, tout le répertoire, quoi !

– Allez en position !

Martinov se met en levrette, tandis que Béa recouvre le gode d’un préservatif et en enduit l’extrémité d’un peu de gel intime.

– Attention ! Ça va rentrer !
– Fouff !
– C’est bon, hein, attends, je vais brancher le vibro.
– Oh là là !
– Et ne touche pas à ta bite, si tu veux jouir, ce sera avec moi.
– Bien sûr, bien sûr, aaaaah !
– Il y a combien de temps que tu ne t’es pas fait enculer par une vraie queue ?
– Quelques mois, quand nous étions à Glandville (voir l’épisode 23 : La grotte de l’Ours)
– Rien depuis ?
– Non, je ne cherche pas, c’est l’occasion qui fait le larron…
– Tu sais que ça m’excite quand je te vois sucer une bite !
– Cochonne !

Béatrice fait aller et venir le gode dans l’anus du professeur, lequel miaule de plaisir. Elle va de plus en plus vite et finit par fatiguer du poignet.

Elle retire l’objet de l’orifice ce qui provoque un étrange bruit de ventouse.

– Ça va ? demande-t-elle.
– Oh, oui ! Tu m’as bien enculé !
– Alors maintenant c’est mon tour !
– Tu veux que je te mette le gode ?
– Non, je veux que tu me mettes ta bite !

Elle se met à quatre pattes, en levrette, les jambes écartées, le popotin relevé…

– Oh, que c’est beau !
– Je ne te le fais pas dire !

Le professeur s’encapote à la vitesse grand V, mais ce joli cul lui met l’eau à la bouche et il ne peut s’empêcher de venir le lécher. Puis fou d’excitation il pénètre la belle d’un long coup de bite dans l’anus.

– Tiens, tiens, t’aimes ça, hein ?
– Oh, oui, encule-moi bien, aaah, aaaah.

La conclusion fut un peu rapide, mais nos deux coquins jouirent l’un après l’autre.

Après un moment calme, Béatrice se releva et se dirigea vers la salle de bain. Nul besoin d’échange de paroles, Martinov savait exactement ce qui allait se passer : la jolie chimiste s’assit sur le bord la cuvette, le professeur s’agenouilla devant elle, bouche grande ouverte au niveau de la vulve, et soudain son gosier se remplit de la bonne pisse tiède de sa délicieuse complice.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Vendredi 16 juin 2023 5 16 /06 /Juin /2023 08:12

Surprise-partouse 8 – Thibault chez les scouts par Enzo_Cagliari
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Attention texte contenant un passage scato explicite

Au chapitre 1 : en sortant d’une fête, Angéla, Carole et Thibault m’emmènent chez ce dernier, la partie à quatre me fera sucer ma première bite et subir ma première sodo
Au chapitre 2 : Thibault me fait faire la connaissance d’un couple d’Antillais, Gwladys et Simon. Partouze à quatre puis à cinq avec Carole
Au chapitre 3 : On prend les mêmes et on recommence mais on va plus loin, c’est un tout petit peu scato et voici Alain et Katia, un couple mature, qui s’en mêle
Au chapitre 4 : Une partouze est organisée chez Alain et Katia qui reçoivent Monique et Philippe, mais aussi Thibault, Carole et moi-même.
Au chapitre 5 Monique nous raconte sa rencontre avec un autre couple
Au chapitre 6 Alain nous narre un épisode un peu gay. A la fin Katia branche Monique sir la zoophilie, celle-ci répond qu’elle a expérimenté la chose…
Au chapitre 7, Monique nous a raconté sa soirée à Luxembourg où il fut question de toutous.

Après nous avoir narré cette anecdote luxembourgeoise Monique se tourne vers Thibault :

– Et toi tu n’as rien à nous raconter ?
– Si mais je ne sais pas si ça va vous plaire répond l’intéressé.
– Lance toi, si ça ne nous intéresse pas on te le fera savoir.
– Alors allons-y.

Le récit de Thibault

J’ai toujours aimé les bites. Au collège je ne me souviens plus comment cela a commencé mais je jouais souvent à touche-bite avec au moins deux de mes camarades de classe, je me souviens encore de celle d’Hervé, longue et légèrement halée…et si bonne à sucer, passons…

C’est un peu plus tard que j’ai fait une grosse connerie, je m’étais fait embaucher comme garçon de course dans une banque et le week-end je trainais avec un gars, pas pour le sexe mais il m’amusait, un jour on a piqué des baskets dans un magasin, on s’est fait choper comme des bleus à la sortie. Arrestation, tribunal pour mineurs, amende et ma mère en larmes.

Souhaitant me recadrer, la mère m’inscrivit chez les scouts et là l’histoire peut commencer.

Je détestais cette ambiance, l’uniforme, le drapeau, les chants stupides, la discipline, les totems, les serments et tout le tremblement. De plus nous étions encadrés par des curés jeunes et bêtes. J’ai d’abord pensé à me faire virer mais je ne voulais pas faire de peine à ma mère. J’ai donc pris mon mal en patience.

Ce jour-là en plein weekend de Pentecôte, nous avions eu droit au sempiternel jeu de piste. J’opérais en binôme avec un blondinet assez beau gosse qui répondait au totem de Caribou.

Un moment Caribou s’arrête pour pisser contre un arbre, il ne se cache à peine et mon regard se scotche sur sa bite.

Il s’aperçoit que je le mate et m’adresse un sourire de connivence.

– Ça te plaît ? Me demande-t-il.
– T’as une belle bite .
– Tu veux la toucher ?

Bien sûr que je veux la toucher, je n’ai pas eu l’occasion de faire ça depuis ma sortie du collège.

Je l’ai donc prise en main, me tapant une érection du tonnerre de Dieu. Et quand il m’a proposé de la sucer, j’ai sauté sur l’occasion et sur sa bite en même temps. Quel régal que ce doux cylindre de chair dans ma bouche gourmande, et en même temps je lui palpais ses grosses couilles poilues .

Malheureusement Caribou excité comme un poux ne tint pas la distance. Un soubresaut dans ma bouche aussitôt inondée d’un paquet de foutre que j’avalais dans la foulée.

Caribou range son sexe, je me souviens qu’il ne s’était même pas essuyé. Le cochon !

Il fait une drôle de tête, je comprends qu’il doit être en plein stress post-éjaculatoire.

– Il ne s’est rien passé. Me dit-il, on n’en parle jamais plus, jamais plus, d’accord ?
– Pas de problème.

Il ne m’a ensuite pratiquement plus adressé la parole jusqu’à ce que nous regagnions le campement.

C’est quelques heures plus tard que les évènements prirent une tournure inattendue.

Le chef scout flanqué de l’abbé Dominique en soutane noire fit se réunir la patrouille.

– Caribou et Loup blanc, sortez du rang
!
(Loup blanc , c’est moi, et on ne rigole pas s’il vous plaît.)

– Vous vous êtes rendus coupables d’actes contre nature, vous allez par conséquent être punis.

C’est incroyable ça ! Quelqu’un nous aurait vu et dénoncé ?

– Qui a mouchardé ? Demandais-je discrètement à Caribou.
– Je me suis dénoncé, j’avais trop honte.

Quel con !

Le curé désigne deux scouts pour aller cueillir des orties et confectionner des badines avec des branches de noisetiers. Ça va être notre fête.

On nous demande de nous déshabiller en conservant juste nos caleçons. Et on nous attache contre des arbres. D’où sortent ces cordes ? Je ne le saurais jamais.

La punition commence par des coups de badines, on nous a baissé nos caleçons afin de dégager nos fesses.

C’est l’abbé Dominique qui se charge de mon supplice. Et il y va fort ce salaud. Et en plus ça l’excite, je le vois bander sous sa soutane.

Quel enfoiré !

J’ai le cul en compote. Mais la punition n’était pas terminée. Car après ce fut le bouquet d’orties. Ça pique, ça démange, c’est très désagréable et ça donne envie de se gratter.

Le supplice prit fin. Caribou y alla de sa crise de nerfs.

– Vous n’aviez pas le droit de faire ça, je vais demander à mes parents de porter plainte.
– C’était pour ton bien, regagnez vos tentes et revenez me voir à 20 heures pour la confession, si vous ne venez pas on ira vous chercher.

Je regagne ma tente, envahi par des pensées confuses, au passage un mec qui devait être moins con que les autres me conseilla.

– Surtout débrouille-toi pour ne pas te gratter et les démangeaisons vont s’arrêter .

Ce type avait pour totem : Fennec, retenez ce nom.

Dans la tente, l’abruti qui la partage avec moi me regarde comme si j’étais un pestiféré tout juste sortir de l’enfer. Je fais quoi ? Je le provoque ou je l’ignore. Je choisis de l’ignorer, pas de temps à perdre avec des connards.

Et maintenant, je fais quoi ? Fausser compagnie à cette bande d’abrutis, mais plus facile à dire qu’à faire, la nuit va tomber et j’ignore dans qu’elle direction aller pour rejoindre la route. Je remets donc ma fuite au lendemain.

A 20 heures on vint me chercher.

– Je suis obligé ?
– Oui.
– Vous direz que vous ne m’avez pas trouvé.

Mais c’est qu’ils sont costauds, ces salopards, ils m’empoignent et m’entrainent de force vers la tente de l’abbé Dominique .

Il y a là outre ce triste sire, l’autre abbé, le père Ernest, le chef scout et trois autres crétins. Je m’étonne de l’absence de Caribou, j’apprendrai plus tard que cette bande de sadiques ne l’ont pas jugé en état de comparaître.

– Repend-toi de ton péché ! Me dit l’abbé Dominique se prenant pour le grand inquisiteur.
– Je vous emmerde
– Allons, allons, nous sommes entre gens intelligents.
– Ça m’étonnerait.
– Alors nous allons soigner le mal par le mal.

Je m’attendais au pire mais la situation devint rapidement surréaliste. Les six personnages exhibèrent leur bite dans un bel ensemble simultané, les scouts en baissant leurs shorts les curetons en soulevant leurs soutanes.

Six bites devant mes yeux, ça fait beaucoup. Ils se branlent de façon à ce qu’ils deviennent raides.

On va faire quoi ? Un gang bang ? Voilà qui n’a pas grand-chose de catholique !

L’abbé Dominique s’approche de moi la bite en avant

– Suce !
– Et si je veux pas ?
– Si tu ne veux pas, ça va devenir violent, et tu pourras raconter tout ce que tu veux, six témoins affirmeront que tu es un menteur.

N’ayons pas peur des mots, j’ai subi un viol collectif, j’ai dû sucer tous ces abrutis qui m’ont ensuite sodomisé les uns après les autres, ce fut fait sans aucun ménagement et la bite de l’abbé Dominique m’a horriblement fait mal au cul. Je n’en dirais pas davantage, raconter un viol n’ayant rien d’excitant, (et en plus c’est hors charte) mais jurait de me venger de cette bande de salopards.

Je décidais de ne plus retourner chez les scouts, je n’en informais pas ma mère, et faisait semblant d’y aller, j’avais dégoté un hôtel miteux où je passais mes nuits.

Quelques semaines passèrent aux termes desquelles je reçu un coup de fil sur le téléphone fixe de ma mère.

– Loup blanc ?
– Qui êtes-vous ?
– Fennec ! Tu te souviens de moi ?
– Euh ..
– C’est moi qui t’avais mis en garde pour les orties.
– Ah oui, et qu’est-ce que tu me veux ?
– J’aimerais te rencontrer…
– Oui mais pourquoi ?
– C’est dégueulasse ce qu’ils t’on fait subir, j’aimerais qu’on en parle cinq minutes

J’acceptais un rendez-vous dans un café proche.

– Salut, comment tu as fait pour me retrouver ?
– J’ai farfouillé.
– Et tu es au courant de ce qui s’est passé dans la tente du curé ?
– Évidemment, ce con d’Albatros s’en est vanté, il avait l’air de trouver ça très drôle. Mais bon, tu vas peut-être trouver ma démarche un peu osée, mais je prends le risque.

Qu’est-ce qui va encore le tomber sur la tronche ?

– Ben vas-y raconte !
– Moi aussi j’aime les bites. Me confie-t-il dans un souffle en rougissant comme une tomate.
– Bienvenue au club lui répondis-je histoire de le mettre à l’aise .
– J’avais un copain mais il est parti en province … si ça te dit de jouer avec moi, c’est comme tu veux.
– Pourquoi pas ? Et on ferait ça où ?
– Chez moi, enfin chez ma mère. On peut y aller maintenant si tu veux. Au fait ne m’appelle plus Fennec, mon prénom c’est Patrice.
– Ta mère ne sera pas là ?
– Si mais elle s’en fout, en fait ça l’excite, parfois elle regarde.

Oups !

– Ça te pose un problème ?
– Non, non.
– Parce que sinon je peux lui dire de nous laisser tranquille.
– Non, si elle veut mater, ça ne me dérange pas.
– Au fait tu es gay ou bi ?
– Je ne sais pas trop, je n’aime pas les étiquettes, mais je serais plutôt bi, je n’ai rien contre les femmes.
– Super. Si tu as envie de te taper ma mère, ne te gênes pas, c’est une belle femme et elle est un peu nympho.

J’aurai décidément tout entendu, mais cette perspective m’excite .

On arrive chez lui.

– Maman je te présente Thibault, on va s’amuser un peu ensemble.

Chantal est effectivement une très belle femme, la cinquantaine épanouie, yeux bleus, cheveux blond vénitien, sourire canaille illuminant un doux visage, jolie silhouette.

– Enchanté, mon fils a le don de choisir des amis charmants. Je suppose que vous allez faire un scrabble ? se gausse-t-elle.
– On va plutôt jouer à « bites coquines »00000 répond Patrice en me touchant la braguette..
– Vous avez raison, il n’y a pas de mal à se faire du bien. Je vous laisse vous amuser.
– A moins que tu veuilles regarder, Maman ? Intervient Patrice.
– Avec plaisir, si ça ne dérange pas Thibault ?
– Mais pas du tout, chère madame.
– Appelle moi Chantal et on peut se tutoyer. Alors mettez-vous à poil mes chéris.

C’est ce qu’on fait, Chantal me toise.

– T’es super mignon, toi, pas beaucoup de poil, j’adore… et ces tétons, voyons…

Et la voilà qui me les attrape et me les tord. J’adore cette caresse.

– T’aime ça on dirait ?
– Oui !
– Petit cochon.

Je n’avais jamais vu la bite de Patrice, elle est là devant moi, demi-molle.

– Ben mon chéri, tu bandes mou, lui dit Chantal, Maman va arranger ça.

Et devant mes yeux incrédules, Chantal prend en main la bite de son fils et la branle avec vigueur. La bite est alors dans un état optimum, un bel organe à la peau diaphane orné d’une impertinente veine bleue, Le gland violacé est de toute beauté. Un amour de quéquette !

Mais je n’étais pas au bout de mes surprises, la maman se baisse, ouvre la bouche et gobe la bite du fiston.

Vous vous imaginez que devant un tel spectacle, je bande comme un taureau.

Du coup Chantal change de bite et nous suce alternativement.

Cagliari202306

C’est bien tout ça mais j’aurais bien sucé la bite de Patrice…

Chantal se relève pour retirer son tee-shirt laissant apparaitre un soutien-gorge en dentelle fort bien rempli. Elle ne le conserve pas longtemps et exhibe alors une magnifique paire de seins.

La bite de Patrice et les nénés de Chantal ! Je vais devenir fou.

– Alors ils te plaisent ? Me demande-t-elle
– Je peux les embrasser ?
– Vas-y, c’est la fête !

J’embrasse, je lèche, je suce les tétons durcis d’excitation pendant que Patrice passé derrière sa maman lui baisse son pantalon et son string avant de lui lécher le cul .

– Oh là, qu’est-ce que vous me faites tous les deux, c’est trop bon, Patrice mets moi un doigt. Oui comme ça, doigte-moi bien le trou du cul.
– Je sens quelque chose, tu n’aurais pas une petite envie, maman ?
– Si mais on verra ça tout à l’heure… , à moins que ça intéresse Thibault de me regarder faire ?
– Pourquoi pas ? m’entendis-je répondre.
– Mais t’es vraiment un gros coquin, toi ! Tu veux que je fasse où ? Dans les toilettes ? Dans une assiette ? Sur toi ?
– Sur moi ? Je veux bien essayer.
– Tu l’as déjà fait ?
– Non, disons que c’est un fantasme.
– Alors allonge-toi mon biquet, attends un peu, Patrice va aller chercher une bâche.

Je dois être un peu cinglé de demander une chose pareille, je risque de m’enfuir en courant…

Chantal me chevauche.

– Pipi d’abord, je fais où ?
– Donne-moi à boire !
– Oh le gros coquin !

C’est qu’elle avait une sacrée envie de pisser, la Chantal, ça aussi c’était un fantasme ne l’ayant jusqu’à présent concrétisé qu’avec ma propre urine. Je n’ai pas regretté, c’était réellement délicieux.

– Et maintenant attention pour la grosse commission.

Chantal pousse, pas longtemps, elle avait vraiment une envie pressante. Le caca me dégringole sur le torse, un gros boudin chaud et odorant. Je bande comme un dingue. Chantal prélève un peu de matière avec les doigts et s’en badigeonne les tétons avant de me proposer de les sucer.

Je me dégonfle ou pas ? Non je l’ai fait, ce n’étais pas mauvais !

J’allais pour me relever, mais Patrice vient me sucer.

Et moi, je vais le sucer quand ?

Il faut que je reprenne l’initiative. Je lui indique donc que j’aimerais à mon tour profiter de sa bite. Pas de problème, il m’en donne l’accès .

J’ai enfin cette belle bite dans la bouche gourmande et m’en régale. Pendant ce temps-là Chantal me doigte le cul, ça me fait un bien fou !

– Encule-le maintenant, il est prêt, lui dit sa mère.

Enfin !

Je le mets en levrette, le cul cambré, le croupion offert. Patrice après s’être protégé, quémande l’entrée. Je pensais que la chose pourrait être compliquée, elle ne le fut pas. Patrice me pénétra avec une douceur dont je lui dû reconnaissance. Ses allées et venues dans mon fondement me transportèrent d’extase. Patrice jouit dans mon cul et décula en soupirant. Moi je n’avais pas joui.

– Alors mon biquet, tu ne vas pas rester comme ça… M’interpelle Chantal
– Ben…
– T’aimerais enculer qui, la mère ou le fils ?

C’est cornélien, non ?

– Occupe-toi de ma mère, ça lui fera tellement plaisir ! Me dit Patrice

Bon garçon !

Je sodomisais donc la dame, l’affaire fut brève mes couilles étant pleines comme des outres, mais je m’efforçais néanmoins de m’assurer que la dame y prenait plaisir.

Elle me retira la capote et vint me nettoyer ma bite gluante de sperme.

Après ces folies nous avons pris une petite douche et sifflé quelques bières bien fraîches puis nous nous sommes quittés en nous promettant de nous revoir

J’ai appris quelque temps après que l’abbé Dominique avait été incarcéré suite à une histoire de mœurs. La vengeance sera donc remise à plus tard mais j’espère qu’il va en baver en prison !

Fin de l’épisode

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Enzo Cagliari
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Dimanche 11 juin 2023 7 11 /06 /Juin /2023 09:17

Ma mère, ma sœur et moi par James01
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Rapide présentation, Je suis Ludo 29 ans, ma sœur se nomme Claire, 25 ans et ma mère Virginie.50 ans

Je suis célibataire et je vis à Paris, ma sœur Claire est montée quelques jours dans la capitale pour affaires et je l’héberge, et comme nous sommes fort proches, l’hébergement comprend également le plumard dans lequel nous nous sommes échangés de douces caresses et de tendres câlins, mais là n’est pas notre propos d’aujourd’hui.

Ma mère revient aujourd’hui d’un déplacement professionnel à Frankfort et m’a demandé de la récupérer à la Gare de l’Est.

– Ça va faire un an que je ne suis pas montée à Paris, Maman va m’engueuler ! Me dit Claire.
– Elle n’aura pas tort, tu mérites une bonne fessée.
– Une fessée, oh, oui, je veux bien ! Sinon tu fais toujours des choses avec elle ?
– Les occasions deviennent rares, mais peut-être qu’aujourd’hui… J’aime tellement lui lécher la moule !

Un parfum capiteux envahi la voiture. Hypnotisé par la naissance de la culotte de dentelle qu’on devine au haut des cuisses nues de ma tendre sœur, la gorge nouée, le feu au ventre, je cale au premier feu rouge.

– Ne fais pas le collégien, nous sommes déjà en retard. Avance ! Regarde, elle est là, elle nous attend.

Devant la gare, sur le trottoir, ma mère, nous fait signe. Elle est très classe, tailleur pantalon vert olive, foulard Hermès, chignon apprêté, une belle bourgeoise désirable !

On s’embrasse…

– Alors Claire, t’as enfin trouvé le moyen de venir à Paris ?
– Ce n’est pas l’envie qui me manque, mais je suis débordée.
– Je lui ai dit que ça méritait une bonne fessée ! Intervins-je
– Ça me parait une excellente idée en effet.! Répond Maman
– Il n’est pas loin de midi, je vous paye le restaurant ? Proposais-je.
– J’ai déjà mangé un petit truc dans le train. Je préfèrerais que nous allions chez moi, après une nuit de train, je veux me rafraichir, je dois avoir une mine à faire peur.
– C’était comment à Frankfort ?
– La routine, je me suis retrouvée avec une collègue au milieu de quatre gros porcs qu’il a fallu sucer et qui me foutaient leurs sales pattes partout. Parfois c’est amusant ce genre d’extra mais là ils n’étaient pas du tout respectueux ces mecs, et obligée de fermer ma gueule, vu les contrats qu’il y avait derrière… Enfin je ne vais pas me plaindre, c’est bien payé !

On arrive chez elle, ma mère nous indique qu’elle doit se rendre aux toilettes.

– Je vais regarder ! Lui dis-je
– Petit cochon !
– Tu ne veux pas ?
– Si ça te fait plaisir, je ne voudrais pas t’en priver.
– T’es gentille.
– Je peux même te pisser dans la bouche ! Tu aimerais bien, hein, petit salopard ?

Maman s’assoit sur la cuvette, chatte en avant… je me glisse entre ses cuisses, bouche grande ouverte et reçois directement ce bon jet doré dans le gosier.

– Alors elle est bonne la pisse de Maman ? Me nargue-t-elle
– Délicieuse.
– Essuie-moi maintenant… avec ta langue..
– Non, c’est moi ! Intervient Claire qui s’acquitte de cette tâche de façon un peu trop osée, le nettoyage de minou tournant carrément au cunnilingus.
– Tss, tss, je veux bien qu’on fasse des cochonneries, mais prenons nos aises. On retourne tous au salon.

James523

On s’assoit sur le canapé, ma mère s’est débarrassée de son pantalon et de sa culotte, et elle est là à côté de moi, la chatte à l’air, spectacle fascinant.

– Ça te fait bander de me voir comme ça ? Hein ? Me nargue-t-elle en me mettant la main au paquet.
– Ben oui…
– Sors moi donc cet engin, au point où on en est…

Me voici donc la bite à l’air.

– Hum elle est trop belle la bite de ton frère ! Dit-elle à Claire, on la suce à deux !

Quel bonheur de sentir à la fois la langue de ma sœur et celle de ma mère sur ma bite tendue comme un arc. Je baisse mon pantalon pour rendre l’accès plus facile, du coup ma mère en profite pour m’introduire un doigt dans le cul.

– T’aime ça qu’on te doigte le cul, hein pédé ?
– J’adore !
– Tu te fais enculer de temps en temps ?
– Quand j’ai l’occasion !
– Il faudra qu’un jour tu te fasses enculer devant moi ce doit être un joli spectacle !
– Ça peut se faire…

L’excitation est trop forte, je décharge, Maman reçoit mon foutre sur le visage et sur ses lunettes, Claire vient lui lécher tout ça.

– Bien, Claire je te devais une fessée, enlève le bas et couche toi sur mes cuisses.

Claire s’exécute et Maman se met à taper à mains nues sur son ravissant joufflu qui ne tarde pas à devenir cramoisie. S’arrêtant de frapper, elle lui porte la main à la chatte.

– Ça t’a fait mouiller; espèce de catin !
– Oui Maman.
– Enlève moi tout ça qu’on voit tes nichons, je vais faire pareil.

Ma pine se cabre en de longues ondes incontrôlables, devant ces deux créatures perverses.

Sans un mot, ma mère s’est levée et commence à se caresser les cuisses et les épaules. Elle s’enlace elle-même, faussement gênée. Je lui parle sans pudeur à la limite de la vulgarité, je veux me régaler du spectacle de l’inceste lesbien.

– Vas-y Maman, gouine-toi avec ta fille. Ce sera quand même plus agréable que de faire la pute avec tes clients allemands !

Claire s’approche, les deux femmes se roulent une gamelle baveuse en se tripotant mutuellement leurs jolies poitrines. Puis Claire se couche sur le canapé, les jambes écartées, offerte.

Ma mère pantelante se couche sur le corps brûlant de passion de sa fille et commence à mimer l’amour. Nouveaux baisers sur la bouche, le cou, le haut des seins qu’elle tète en faisant de longs cercles avec sa bouche et ses lèvres. Elle descend vers le ventre tout lisse, caresse les fesses et niche la tête entre les cuisses, respirant la mouille qui suinte de la grotte interdite

– Vas-y bouffe moi ! implore sa fille qui devient folle, je mouille à en crever !

La bouche de ma mère trouve le clitoris en érection, s’acharne et aspire déclenchant un premier orgasme. Partageuse, Claire veut rendre tout ce bonheur à sa mère, elle lui demande de se mettre contre le mur, face à moi ouverte. Maman dolente s’exécute, ma sœur à genoux, lèche à rapides coups de langue le sexe maternel Je dois retenir ma mère qui chancelle et tremble sous la bouche de sa fille qui la broute et les doigts déchainés qui fouillent son intimité déclenchant orgasme sur orgasme dans un couinement de truie en chaleur.

Devant ces deux chiennes qui s’agacent et se tripotent, ivre du parfum intime de ses corps qui se cherchent, je me branle comme un malade.

Je plante mon nez à quelques centimètres de l’anus de ma mère et caresse son petit trou du revers de l’ongle.

– Viole lui le cul, à cette salope ! crie Claire

J’obéis et pousse mon index au fur et à mesure des soupirs de ma mère, le désir remonte entre mes jambes et j’encule sans ménagement maman, je coulisse de plus en plus vite dans son cul, excité par les doigts de Claire qui explorent l’autre côté de la fine cloison.

– Oui mes enfants baisez moi ! Hurle maman quand je décharge tout mon jus dans ses intestins.

Lentement, les corps mélangés, nous reprenons nos esprits. Mes deux putes saisissent alors ma queue en berne et commencent à la nettoyer, les langues se touchent sur mon gland inerte.

Ma toilette faite nous nous endormons sans regret ni culpabilité ivre de ces caresses interdites dont nous savons que nous ne pourrons plus nous passer.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : James
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Dimanche 21 mai 2023 7 21 /05 /Mai /2023 15:40

Chanette 29 – Le croisière de l’Espadon – 14 – Shultz démasqué par Chanette

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Vendredi 23 avril

Je n’en reviens pas que les choses soient allées aussi vite.

A 19 heures regardant les informations sur mon téléphone je tombe là-dessus.

« Remy Chauvière appréhendé par la police pour attaque de fourgon blindé et falsification de documents comptables. Son avocat parle de machination dérisoire… »

En fait Chauvière était depuis longtemps dans le collimateur de la police, mais jusqu’ici, les alibis en béton et, les faux témoignages l’avaient protégé… il suffisait d’un simple grain de sable pour le faire tomber. Je fus donc ce grain de sable, non ce n’est pas tout à fait juste, sans la documentation qu’avait rassemblé Grace Hernandez, je n’aurais pu rien faire, il faudra que j’aille la remercier, celle-ci !

Reste Patrick Shultz, sans son patron, je ne le crois plus dangereux, n’empêche qu’il ne me déplairait pas de l’humilier de belle façon pour sa conduite inadmissible…

Et mon téléphone sonna, c’était Max

Pour mémoire Max, dit Max le dur, est l’homme de mains de Jean-Luc Gauthier-Normand, un brasseur d’affaires pas trop clair mais néanmoins correct et sympathique. Max m’a aidé plusieurs fois à me dépatouiller dans de sombres histoires (voir les chapitres 7 16, 22, 26)

– Ah Chanette, je passe à Paris demain, je suis invité par Carole et Valentin…

Depuis que Max a découvert sa bisexualité il est amoureux de Valentin, ce sont des choses qui ne se commandent pas.

– Et je suis persuadée que vous avez envie de venir me faire un petit coucou ! Le taquinais-je
– C’est la moindre des choses !
– Vous resterez longtemps à Paris ?
– Mon patron est en déplacement, alors j’ai une dizaine de jours, si vous avez besoin de mes services, c’est toujours avec plaisir…
– Justement, j’aimerais que vous flanquiez la frousse de sa vie à un connard… mais c’est très long à raconter… on peut se voir chez moi lundi soir ! ?
– Avec plaisir !

Lundi 26 avril

– Eh bien quelle histoire ! Vous ne faites pas dans la dentelle, vous ?
– Je n’ai pas fait grand-chose, j’ai surtout subi !
– J’entends bien !
– Bon, demain je récupère l’adresse du bonhomme, et je fonce, ça m’embête de faire ça tout seul je vais demander à Valentin de jouer l’adjoint ! Tu pourrais m’obtenir l’identité de cette escort russe ?.
– Oui !

Mardi 27 avril

Il est 19 h 30. Max et Valentin monte au troisième étage de ce bel immeuble de la rue Daumesnil, près de la Gare de Lyon.

Patrick Shultz regarde par l’œilleton, se demande qui sont ces inconnus qui ne connait pas.

– C’est pourquoi ?
– L’assurance, pour le dégât des eaux au-dessus.
– Je n’ai pas eu de dégât…
– On prend juste une photo pour le dossier…
– A cette heure-ci ?
– On a été retardé à cause de la manif, si vous voulez on repasse demain, mais enfin puisque nous sommes là…

Patrick ouvre, il n’aurait pas dû…

– Ah ! Toute la famille est là, vous êtes à table ?
– Ben oui !
– Donc la voisine du dessus, attendez je sors mon papier… Svetlana Bourova, c’est bien ça ?
– Je ne crois pas, non ?

Mais à l’évocation de ce nom Patrick devient rouge comme une tomate, sa femme ne comprend pas pourquoi.

– Ah oui, vous avez raison, mademoiselle Bourova a été mutée à Tanger…
– Bon je ne sais pas ce que vous cherchez, mais je vais vous demander de sortir ! Réplique crânement Patrick qui ne veut pas perdre la face devant sa petite famille.
– Ta gueule, connard ! Répond Max en sortant son révolver. Je vous préviens au moindre cri je vais faire un massacre. Silence ! Et maintenant vous sortez vos téléphones portables et vous les donnez à mon collègue, Ah je ne vous l’ai pas présenté mon collègue, Boris Valentinov des services secrets russes.
– Dépêchez-vous de faire ce qu’il demande ! Renchérit Valentin en prenant un impossible accent russe.
– Et le téléphone fixe, il est où ?

Madame Shultz lui indique en tremblant.

– Bon écoutez, restons calme ! Vous êtes en train de vous tromper de personne… Tente Patrick.
– On fait comment pour récupérer Svetlana Bourova ?
– Je ne connais pas cette personne !
– Cette personne a pris place comme hôtesse à bord de l’Espadon d’or, en octobre dernier. Vous étiez directeur de croisière sur ce bateau. Après la courte escale de Tanger, elle n’est pas remontée à bord. Explications ?
– Elle ne souhaitait pas continuer ce voyage, c’est aussi simple que ça !
– Elle n’en a averti personne et elle a laissé des objets personnels dans sa cabine, nous avons des témoignages. ! Bluffe Max.
– Bon, voulez quoi ?
– Que vous alliez la rechercher.
– Mais c’est quoi cette histoire ? Intervient Madame Shultz.
– Vous, on ne vous a pas sonné
– Les enfants peuvent quitter la table ?
– Non !
– Alors Monsieur Shultz, on vous a posé une question !
– Mais c’est impossible, voyons !
– Nous allons donc être obligé de supprimer monsieur ! Indique Max à l’attention de Valentin et le plus sérieusement du monde..
– Mais ça ne va pas, non ?
– Mais rassurez-vous, on ne va pas faire ici, ça va faire des saletés. Ah, déshabillez-vous Monsieur Shultz on va vérifier quelque chose.
– Me déshabiller ?
– Oui et magne toi on n’a pas que ça à faire.
– Mais vous n’avez pas le droit…
– Valentinov, fous lui une baffe !
– Bon ça va !

Shultz se déshabille mais garde son caleçon et ses chaussettes.

– Le caleçon aussi !
– Mais les gosses ?,
– Ils n’en perdront pas la vue, du moins j’espère !

Shultz tente de cacher sa nudité.

– C’est bien ce que je craignais, on va être obligé de te tuer, on va t’emmener dans la forêt, on fera ça en douceur, tu ne souffriras pas.
– Je ne pourrais pas m’amuser un peu ? Suggère Valentin.
– Juste un peu alors ! Tu vois Shultz, on a un dossier en béton, il n’y a pas que la russe, il y en a d’autres…
– Non ! C’est faux…
– Donc pour la russe, c’est vrai ?
– Je n’ai pas dit ça.
– Si tu viens de le dire. Donc on avait une alternative, celle de nous signer un papier que nous avions préparé et par lequel tu reconnais avoir participé à des trafics d’êtres humains notamment celui de Svetlana Bourova. C’est très puni en France ces trucs là, ce sera des années de prison, et tu ne tiendras pas le coup, je voulais voir comment tu étais bâti, tu ne feras jamais le poids, Alors à force de te faire enculer à la chaine tu auras vite le trou du cul comme le gouffre de Padirac. Donc autant qu’on te supprime, ce sera plus simple.
– C’est pas possible, c’est un cauchemar ! Bougonne Schultz

Les gosses pleurnichent, la femme retient ses larmes. Ambiance !

– Bon alors tu choisis ?
– Je vais signer leur papelard, c’est n’importe quoi, mais il faut bien qu’on s’en sorte ! Se justifie Schultz envers sa femme.

La rage au cœur Shultz signe le papier en double exemplaire.

– Eh bien voilà, vous allez pouvoir finir votre cassoulet, il risque d’être froid.

Valentin et Max quittent les lieux et s’installent dans la voiture de ce dernier mais sans démarrer.

– C’est moche pour la femme et les gosses… Commente Valentin
– Oui c’est pas terrible, mais je ne sais pas si on pouvait faire autrement.
– Qu’est-ce qu’il va faire ?
– Prendre le maquis, qu’est-ce que tu veux qu’il fasse d’autre ? Et il va faire ça rapidement, sinon comment il peut prétendre s’expliquer avec sa famille. Tiens, regarde, le voilà qui sort !
– Déjà ? Il est à pied .il va où ?
– Vers la gare de Lyon, on dirait !
– Il va faire quoi ?
– Pour le moment il ne doit avoir aucun plan, sa priorité c’est de disparaitre, après il a du fric, il pourra essayer de se démerder
– Et la plainte, on la dépose ou pas ?
– C’est Chanette qui décidera !

Vendredi 30 avril

J’ai souhaité prévenir Gollier par politesse, ces derniers événements l’on fait rire. Il m’a informé que Madame Schulz avait attendu 48 heures (c’est le délai légal) pour signaler la disparition de son mari et que grâce aux téléphones et à ses cartes bancaires il avait été repéré à Nice.

Lundi 3 mai

Je n’arrivais pas à me décider si je devais donner suite aux aveux écrits de Patrick Shultz, Amandine, elle me conseillait de le faire. Mais dans la matinée je recevais un message sibyllin de Gollier m’indiquant que Shultz s’était constitué prisonnier.

A midi : coup de fil :

– Je repars demain matin, qu’est-ce que tu dirais d’une petite boum ce soir ? Me propose Max par téléphone.

Nul besoin d’être sortie de polytechnique pour comprendre ce que Max entendait pas « petite boum ». Je ne pouvais lui refuser ça après le service qu’il m’avait rendu… et puis c’est un homme charmant.

– Avec plaisir, tu verrais ça comment ? Tu veux que je fasse livrer des pizzas…
– O.K pour les pizzas, je pensais venir avec Valentin. Si tu pouvais inviter la copine dont tu m’as parlé ?
– Amandine ?
– C’est ça !
– D’accord.
– On passera vers 19 h 30.

Allons-y pour la boum ! Max, Valentin, Amandine et moi, ça sera une petite boum.

Amandine ne répond pas au téléphone, je lui envoie un message, et elle accepte l’invitation, mais je me suis gardé de lui confier que cette petite sauterie se terminerait très probablement en partouze.

C’est ce qui s’appelle faire une connerie, Amandine m’a confié aller rarement avec les hommes (la petite sauterie cher Maître Doubise n’était que du business) et je ne pense pas que ceux-là soient dans ses goûts Elle ne sera pas à l’aise ni avec Valentin et ses manies de playboy ambiguë, ni avec Max et son physique de déménageur.

Comment m’en sortir ? Inviter une autre nana ? Je ne me vois quand même pas faire venir Grace Hernandez, reste Estelle, allons-y pour Estelle. Elle est d’accord…

Il me faut décommander Amandine, pas moyen de la joindre au téléphone. Il y a des gens comme ça, on se demande pourquoi ils sont un téléphone portable. Après plusieurs essais je lui envoie un message sibyllin :

« Boum annulée, téléphone-moi, bisous ! »

Il est 19 heures, on sonne.

Déjà, je regarde par l’œilleton, c’est Amandine ! C’est quoi ce cirque, elle n’aurait pas reçu mon message ?

Je lui ouvre, elle a un petit paquet provenant de la pâtisserie du coin, il n’est pas bien grand son paquet, il ne doit y avoir que deux gâteaux, Je comprends de moins en moins.

– Bisous ma grande ! j’en ai profité pour faire un saut puisque ta boum est annulée…
– Attends…
– Non je ne voulais pas partir sans te dire au revoir. Figure-toi que je me suis fait draguer par un vieux chanteur. Il est plein de fric et il m’emmène quinze jours en Italie tous frais payés !
– Super, je suis contente pour toi !Le soucis c’est que la boum n’est pas vraiment annulée

Alors je lui ai expliqué…. Bien obligée…

– .Nous voilà en plein vaudeville, ce n’est pas grave, mets les gâteaux au frigo, tu les mangeras demain en pensant à moi. On se reverra quand je reviendrais d’Italie. Quoi que j’aurais bien aimé entendre tes amis raconter comment ils ont piégé Shultz… Je partirais après si ça tourne en partouze…

Et voilà qu’arrivent Max et Valentin, ils ont apporté du Champagne et des fleurs.

Petites présentations. Fallait voir les yeux concupiscent des deux bonhommes en découvrant Amandine, Le loup de Tex Avery battu à son propre jeu.

– Estelle devrait arriver d’un moment à l’autre, commencez à choisir vos pizzas.
– Estelle ? Demande Max
– Oui c’est la secrétaire de Maitre Doubise, l’avocat dont je t’ai parlé.

Et justement, la voilà qui arrive avec un gâteau glacé, (c’est la spécialiste du gâteau glacé)

Nouvelles présentations, Amandine semble ravie de cette arrivée que je n’avais pas eu le temps de lui annoncer, puis elle prend les devants.

– Monsieur Max, Chanette m’a conté vos exploits, je veux parler de votre visite chez Patrick Shultz, mais j’aimerais tellement l’entendre raconter de votre bouche.
– Rassurez-vous, la soirée ne fait que commencer, et je vous promets de vous raconter tout ça…
– C’est que je ne pensais pas m’attarder, je dois sacrifier à quelques obligations…
– Oh, comme c’est dommage ! Ne peux s’empêcher de s’écrier Estelle.
– Et vous ne pouvez pas vous arranger… ou gagner un peu de temps ? Demande Max.
– Non, cher monsieur et croyez bien que je m’en trouve désolée.
– C’est d’autant plus dommage que je ne sais si nous aurons un jour l’occasion de nous rencontrer à nouveau ! Se désole Max. Enfin bref, je vais donc vous raconter mes « exploits ».

Il a une façon de raconter, Max, c’en est un vrai plaisir de l’écouter, évidemment il en ajoute, il enjolive, se donne le bon rôle, mais c’est délicieux.

– Bravo, messieurs, bravo pour ce que vous avez fait et bravo, monsieur Max pour ce récit passionnant. Allez, je vous fais la bise à tous et je me sauve.

Les bisous sont chastes, Max, Valentin, moi-même, mais il faut croire qu’Estelle ne l’entendait pas de cette façon, cherchant les lèvres d’Amandine le baiser devient vite un roulement de galoche laissant Max et Valentin sans voix.

Et elle disparut… Un ange passe, Estelle choisit sa pizza, on verse le champagne et on trinque en attendant le livreur.

Estelle a un ticket avec Valentin, je me demande comment elle va réagir si les deux hommes se mettent à faire des trucs ensemble, encore un détail auquel je n’avais pas pensé.

On a mangé nos pizzas en parlant de choses et d’autres, puis Max a donné le signal des opérations.

– Valentin, je crois qu’Estelle te regarde d’une drôle de façon !
– C’est un bel homme ! Intervient cette dernière.
– il ne vous décevra pas, mais il est un peu à voile et à vapeur, autant le savoir ! Ajoute Max.
– Comment ça ?
– Ben il est un peu comme moi, on adore les jolies femmes, mais de temps en temps quelques contacts entre hommes ça ne nous fait pas peur !
– Ben vous alors, vous êtes drôlement cochon, dites-donc !
– Des gentils cochons !
– Oui, mais des cochons quand même !
– Je ne vous ai pas choqué, j’espère ?
– Disons que je ne m’attendais pas à ça. Mais sinon, vous savez, il n’y a pas grand-chose qui me choque. Vous faites quoi ensemble, vous vous sucez la bite ?
– Oui !
– J’aimerais bien voir ça !
– Ce n’est pas un problème !
– Viens, Valentin, je vais te sucer la bite…
– Vous allez faire ça maintenant ?
– Vous préférez qu’on finisse nos pizzas !
– Non, non allez-y !

Bravo à Max qui a très bien désamorcé la situation.

– D’accord, on va le faire ! Intervient Valentin qu’on avait guère entendu jusqu’ici, mais j’ai une requête à formuler.
– Allons bon ! Soupire Max.
– Ce serait plus fun si ces dames nous montraient leurs nénés

Voilà qui n’est pas un problème Estelle retire tee-shirt et soutien-gorge à la vitesse grand V.

– Ils ont encore pas mal, non ? Dit-elle en les exposant fièrement.

Evidemment j’en fais autant !

– Ah ! Chanette la vision de votre poitrine est un moment de grâce ! Me complimente Max

Faut peut-être pas charrier, non plus !

Valentin entreprend de se déshabiller complètement (à l’exception de ses chaussettes)

– Max va me sucer la bite, mais vous pourrez en profiter tout à l’heure ! Dit-il à Estelle qui en frétille d’avance.

Après s’être mis à l’aise à son tour Max effectua une flexion des genoux devant Valentin et lui goba la bite, léchant, pourléchant, se régalant.

– Me fait pas jouir le prévint son partenaire.
– Ne t’inquiète pas, tiens, on va inverser les rôles

Et cette fois c’est Valentin qui suce la bite de Max. Estelle complètement scotchée ne rate pas une miette du spectacle, une main dans la culotte, tandis que de l’autre elle se tripote les seins.

Bonne fille, je viens lui prêter mains fortes et lui asticote ses tétons érigés.

– Ça te plait de voir ça ! Lance Max à l’adresse d’Estelle.
– Dame ! on ne voit pas ça tous les jours.
– Il me suce bien, j’ai bien envie de l’enculer !
– Oh !
– Un problème ?
– Vous allez vraiment faire ça ?
– Je crois oui !
– Eh bin !

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Sans attendre davantage de discours, Valentin s’est mis en levrette sur mon tapis, attendant l’assaut. J’avais prévu les capotes et le gel. C’est rentré comme dans du beurre, mais c’est vrai aussi que ce n’est pas la première fois que ces deux-là s’enculent.

A la limite, il s’agissait juste d’une sorte de démonstration les deux compères s’étaient en effet chuchoté un petit plan qu’ils allaient maintenant mettre en œuvre.

– Si la petite dame veut de nos bites, c’est maintenant ! Lance Max à l’adresse d’Estelle.

Estelle s’approche des deux gaillards, pensant le sucer alternativement, mais seul Valentin reste devant elle, elle s’empare du membre viril, le caresse un peu avant de le porter en bouche. Pendant ce temps Max passe derrière, elle lui flatte le joufflu, se protège d’une nouvelle capote et la pénètre sans aucun préliminaire.

Joli tableau qui voit bientôt Estelle jouir comme une damnée. Max se retire sans avoir joui, il me fait un petit signe complice, je sais ce qui va se passer, Max ne peux pas s’en empêcher, alors je me mets sen levrette et offre mon anus aux assauts de Max le dur ! Tandis que Valentin gratifie Estelle d’un :

– Ne bouge pas, j’arrive !

Avant de venir la sodomiser à son tour.

Il est 23 heures, le temps passe vite quand on baise, on finit le champagne, on a mangé le gâteau glacé qu’avait apporté Estelle. Celle-ci épuisé a commandé un taxi qui vient d’arriver. On se dit aurevoir et Max et Valentin s’apprêtent à prendre congé à leurs tours.

Le téléphone sonne ! Qui cela peut être à cette heure-là ? Je regarde : Amandine ! Que me veut-elle en pareil moment ?

Je m’éloigne !

– Allo ? Ils sont partis ?
– Ils sont en train de partir, pourquoi ?
– Je peux passer te faire un bisou !
– Bien sûr, attends 10 minutes et c’est bon ! Mais tes obligations ?
– Du pipeau !

Et c’est ainsi qu’avec Amandine nous nous sommes aimées toute la nuit.

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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