Mardi 26 décembre 2023 2 26 /12 /Déc /2023 16:44

Rendez-vous au bar 1 – par Vivien01

Récit « fiction » écrit pour une femme dont le fantasme est d’être soumise
à une autre femme et « offerte »…

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Imaginez-vous Sandra, assise à une table dans un café lyonnais, désert à
cette heure de la journée. Vos fesses sont en contact avec la banquette en
cuir. Visiblement, vous attendez quelqu’un.

Votre jupe noire un peu trop courte et serrée, a du mal à cacher vos cuisses
qui sont gainées dans des bas noirs dont on commence à distinguer la
dentelle du haut. En se penchant un peu, on pourrait voir ce petit
intervalle de peau entre le bas et la jupe. Vous ne portez pas de
soutien-gorge et vos seins sont visibles sous un corsage en tissus noir,
léger et transparent. On devine vos tétons durcis sous le tissu. Ils
seraient prêts à le transpercer.

Vous croisez vos jambes, ce qui découvre encore un peu plus le haut de vos
cuisses et met en valeur ces superbes chaussures noires à talons de six
centimètres, très « décolletées » qui ne tiennent à vos pieds que par un
savant contour de brides fines. Vous les avez chaussées pour l’occasion, car
vous savez qu’elles vous font des jambes encore plus belles.

Dans cette tenue, vous êtes exquise, appétissante, alléchante et désirable.

La patronne du bar, une femme dans la quarantaine, avec de belles formes,
brune aux cheveux mi-longs vous jette régulièrement des regards un peu en
coin, interrogateurs et envieux. C’est elle qui vous a contacté vous
demandant si une expérience vous intéressait. Votre présence laisse entendre
que oui.

Voilà vingt minutes que vous êtes sur cette banquette. Un homme rentre dans
le bar et se dirige vers la patronne.

–  » bonjour Irène, pourquoi m’as-tu appelé ? »
–  » regarde cette belle fille que je t’ai trouvé »
–  » en effet, tu connais bien mes goûts.  » Dit-il en vous regardant.
–  » je l’ai vu en photo sur son site. Crois-moi, elle a ce qu’il faut où il
faut »
–  » de partout ?  »
–  » ah oui, les seins, un bon 90 et un cul ! Tu m’en diras des nouvelles.

Il se dirige vers votre table, la patronne ferme la porte à clé et tire les
rideaux des grandes vitres donnant sur la rue.

L’homme s’assied face à vous et commence à vous tâter les seins à travers le
tissu. Il les malaxe, prend vos tétons entre deux doigts de chaque main et
les fait rouler, les pince doucement, les étire sur les côtés et sur l’avant
avant de reprendre son massage sur vos deux globes.

La patronne allume une cigarette, s’accoude au bar et vous mate sans
discrétion. L’homme se lève et repousse deux tables afin de libérer un
espace plus important de la banquette.

– » montrez-les »

Vous ouvrez votre corsage, le quittez et le posez plus loin sur la
banquette.

–  » les mains sur la tête »

Vous passez vos mains sur la tête. Vos seins se relèvent un peu. Ils sont
encore plus arrogants comme ça. Il se met à genoux devant vous et attrape un
téton dans sa bouche, le suce, le tète. Il passe à l’autre pendant que sa
main attrape l’autre téton et le fait rouler entre ses doigts. Il l’étire,
le pince à nouveau, reprend les deux tétons dans les mains, pétrit vos
nichons entiers, les malaxe. Votre souffle devient plus court.

L’homme plaque ses mains sur vos cuisses, les remonte sous votre jupe
découvrant ainsi le haut de vos cuisses et le triangle de votre slip noir.

–  » mettez-vous debout, face au mur »

Vous voyez dans le miroir qui est sur le mur votre visage déjà marqué par le
plaisir. Votre regard croise celui de la patronne qui vous mate toujours,
son corsage blanc ouvert. Elle a sortit ses seins du soutien-gorge et les
caresse délicieusement.

– « mettez les mains contre le mur » vous ordonne l’homme.

Il défait la fermeture éclair de votre jupe, la fait glisser à vos pieds et
dévoile votre cul dont les fesses sont séparées par la ficelle noire de
votre string. Vous voilà le cul rebondi, légèrement tendu en arrière. Il
vous fait écarter vos jambes et commence à tirer sur votre string en
l’obligeant à s’introduire de plus en plus entre vos fesses rondes. Dieu que
vous avez un beau cul !

La ficelle n’a pas de difficulté à pénétrer entre les lèvres de votre
chatte. Le string tiré d’avant en arrière glisse à l’intérieur et sur votre
clitoris.

Vous avez fermé les yeux quelques secondes sous la morsure de la ficelle et
en les rouvrant vous voyez la patronne qui est juste derrière vous.

– » tiens, j’ai des ciseaux pour le string » et elle coupe les deux côtés du
string qui tombe à terre.

Vous voilà plus nue que nue du cul. Vos bas noirs délimitent encore plus vos
jambes de vos fesses, vos cuisses sont tendues par votre position écartée et
par vos talons hauts.

– » mettez-vous debout sur la banquette, les pieds au bord. Plaquez vos seins
contre la glace et écartez plus les cuisses. Encore. Tendez votre cul en
arrière »

Sa main vient s’insinuer entre vos cuisses et vient fouiller votre con.
C’est à ce moment qu’il s’aperçoit que votre chatte est entièrement nue,
lisse et luisante de mouille.

-« elle mouille comme une salope, dit la patronne. Regarde comme sa chatte
dégouline »

En effet, on peut voir un filet humide qui descend à l’intérieur de vos
cuisses jusqu’à vos bas. L’homme introduit déjà deux doigts dans votre trou
déjà béant.

-« mets lui trois doigts, elle a l’air d’être large du con »

Vous remuez le cul de gauche à droite, vous gémissez, les nichons écrasés
contre la vitre, les mains agrippées à l’applique juste au-dessus de vous.

Quatre doigts vous pénètrent maintenant et vous fouillent. Votre jus
s’entend. La patronne s’est assise à une table juste à côté de vous. Elle a
quitté son corsage et son soutien-gorge et se trouve les mamelles à l’air.
Sa jupe est relevée jusqu’à la taille. La main dans la culotte, elle se
branle en vous regardant vous faire doigter le con.

– » retourne toi, vous commande-t-elle, écarte bien les jambes et ouvre les
cuisses.  »

Vous faites face à l’homme et à la femme. Ils s’aperçoivent que votre pubis
est délicatement délimité par une petite bande de poils coupés très ras de
un centimètre sur quatre. Quelle beauté !

– » mets ton pied sur le dossier, qu’on voit bien ta chatte, petite garce. »

En écartant encore plus les cuisses dans cette position, vous dévoilez les
lèvres de votre con, votre clitoris tout gonflé, luisant, brillant,
ruisselant.

L’homme l’attrape dans la bouche, le lape, le suce, vous lèche la chatte.
Vous haletez, vous n’en pouvez plus, vous vous déhanchez, votre cul frotte
le mur. La patronne se lève et vous attrape les nichons, joue avec vos
tétons, vous les suce. Vous présentez vos seins et votre con, indécents,
offerts à cet homme et à cette femme qui sont prêts à vous faire jouir. Ils
le sentent et décident d’attendre un peu.

– » mets toi à quatre pattes sur la banquette, vous demande l’homme »

Il vous a tutoyé. L’excitation sans doute.

– » viens me sucer et applique-toi bien »
– » oui, fait lui une belle pipe, petite pute. Et si tu t’appliques, tu auras
un bel arrosage sur ton joli minou de petite salope »

L’homme a quitté son pantalon. Il ne porte pas de slip. Sa bite raide se
dresse devant vous, et sans attendre, vous vous jetez sur elle et
l’engouffrez dans la bouche. Vous entamez rapidement des va et viens sur
cette longue queue décalottée. Votre main lui attrape les couilles et les
malaxe délicatement. Vous enfoncez le plus profondément possible cette bite
dans votre bouche.

La patronne a quitté sa jupe et son slip et se retrouve en
porte-jarretelles, bas noirs et chaussures. Le cul, le con et les seins nus.
Elle s’est assise sur la banquette à côté de vous et se branle, les cuisses
largement ouvertes.

 

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L’homme n’en peut plus de votre pipe. C’est trop, il sent qu’il va jouir. Il
vous arrête car il veut vous défoncer le trou avant de gicler. Vous lui
présentez votre cul bien tourné vers lui, vous vous écartez les fesses, mais
le passage est déjà fait. Vous avez une chatte béante, dégoulinante de
plaisir.
La bite raide n’a aucune difficulté à vous pénétrer. On entend cette queue
plonger dans votre jus et vous pilonner le fond du trou. Son pubis bute vos
fesses avec force, elles bougent sous les coups de boutoir que vous recevez.

 

La patronne en profite pour plaquer ses lèvres aux vôtres et vous embrasse à
pleine bouche.
Brusquement l’homme se retire de votre chatte, vous retourne. Vous vous
trouvez assise sur la banquette. Il vous attrape par les cheveux et vous
fait engloutir sa bite toujours raide et énorme dans votre bouche. Vous avez
juste le temps de lui prodiguer deux ou trois pompages qu’il éclate et gicle
au fond de votre bouche. Les cinq ou six soubresauts de cette queue vous
envoient à chaque fois une décharge supplémentaire de foutre au fond de la
gorge. Vous avez même du mal à tout garder. Un peu de sperme dégouline au
bord de vos lèvres. La femme se relève et prend la bite de l’homme dans ses
mains.

– » et bien mon salaud, tu lui en a balancé une bonne dose. Et elle a tout
avalé la garce »

Affalée sur la banquette, vous essayez de récupérer avec votre langue le
moindre reste de foutre pour ne rien perdre.

(À suivre…)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Mercredi 6 décembre 2023 3 06 /12 /Déc /2023 19:53

Léonard de Vinci, génie gay  (1452-1519)

Fils bâtard qu’un notaire respecté de Florence a eu avec une servante d’auberge, il a été élevé à la campagne par ses grands-parents paternels. Veillent sur lui sa grand-mère, sa belle-mère et sa mère.

Convaincu des qualités de son fils, son père l’emmène à Florence pour le former dans l’atelier du maître Verrocchio. Là, l’élève ne marque pas seulement ses contemporains par ses qualités intellectuelles et artistiques : il tranche aussi par son physique éblouissant. Haut de plus d’1,90. Le jeune Léonard de Vinci était un éphèbe au corps élancé, à la chevelure blond vénitien et aux yeux clairs. Bien plus qu’un physique, il apparaissait charmant, drôle, séducteur –sans parler de ses talents. Irrésistible donc, mais aussi scandaleux : il attirait bien des médisances et des jalousies.

Notons l’absence de femmes dans son entourage : le maître passe toute sa vie entouré d’hommes. Au cours de ses multiples pérégrinations, il est accompagné par une petite troupe de garçons, les élèves qui composent sa bottega, son atelier

.
JeanBaptisteSes dessins témoignent du plaisir évident qu’il prend à tracer les membres du corps masculin, un plaisir qu’on ne retrouve pas pour ceux de la femme. Les hommes qu’il représente sont souvent parés d’une ambiguïté androgyne. Son Saint Jean-Baptiste, dont le sourire et le doigt tendu n’évoque guère la dévotion, a de quoi déconcerter.

Ces jeunes hommes prennent, en fin de journée, des parties de plaisir avec un modèle qui leur a plu, et cela n’a rien d’extraordinaire : les pratiques de ces ateliers d’artistes font école.

La discrétion de Léonard sur sa sexualité remonte précisément à un scandale qui a failli ruiner sa vie. Il a 24 ans et débute sa carrière d’artiste à Florence. Une nuit, quelqu’un glisse une dénonciation anonyme dans le tamburo, cette boîte qui recueille délations et calomnies du tout-venant. Le matin, l’accusation est lue par des officiers : quatre garçons sont accusés de sodomie en réunion. Parmi eux figure «Lionardo di ser Piero da Vinci». Un neveu de Laurent le Magnifique, alors à la tête de Florence, est également mis en cause.

La dénonciation est jugée suffisamment sérieuse pour qu’une enquête soit diligentée. Il existait un tribunal des « Officiers des sodomites » à Florence pour condamner l’homosexualité. L’accusation était gravissime car elle pouvait conduire au bûcher. Tout Florence se passionne pour ce fait divers qui impliquait un homme apparenté aux Médicis. Léonard comparaît le 8 avril 1476 après avoir passé quatre mois en prison. Un non-lieu est rendu. Mais sa sexualité reste étalée sur la place publique… On imagine la risée et la colère de son père, célèbre notaire, qui l’envoie hors de Florence.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Biographies
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Samedi 2 décembre 2023 6 02 /12 /Déc /2023 07:27

Brigitte et son fils par Kriss Baxter
Mat Stamp

Je suis Brigitte, une femme de 40 ans, mariée à un homme que je ne désire plus vraiment. Nous avons un fils, Gauthier, qui a maintenant 18 ans. Il a beaucoup changé depuis les deux dernières années. Il a beaucoup grandi et il est devenu un homme, un bel homme comme je les aime, ni trop musclé, ni trop frêle un petit côté ambigu même.

Il faut donc que je vous avoue que mon fils m’attire sexuellement. Depuis quelques mois, je l’observe et en voyant son corps quelques fois presque nu dans la maison, je ne peux m’empêcher de fantasmer en pensant à lui. L’autre jour, en passant devant sa chambre, j’ai aperçu Gauthier nu sur son lit et j’ai remarqué que son membre était en érection. Je n’ai pu m’empêcher de l’espionner un peu et je suis devenue mouillée. Il m’arrive de plus en plus souvent de me masturber en pensant à mon fils. Je sais que ça ne se fait pas de désirer de telles choses mais l’envie est plus forte que tout. L’autre jour, à ma grande surprise et à ma grande joie, je m’aperçu que mon fils Gauthier me regardait lui aussi du coin de l’œil alors que j’étais habillée légèrement par cette chaude journée d’été. Pour être certaine de ce que je pensais, j’ai tenté de provoquer les choses en m’asseyant doucement et en soulevant ma jupe un peu pour lui dévoiler ma cuisse. Ah, je ne vous ai pas dit, je suis bronzée, mes fesses et mes gros seins fermes me rendent sexuellement attirante et je parais plus jeune que les 40 ans que j’affiche.

Bref, mon fils ne pouvait s’empêcher de me regarder et soudain il s’est levé et il est monté dans sa chambre à toute vitesse. J’ai remarqué quand il s’est levé qu’il était bandé très dur dans son pantalon. Je suis monté doucement et j’ai espionné mon fils. Sa porte de chambre était fermé mais j’ai tendu l’oreille et j’ai pu entendre qu’il se masturbait. Probablement qu’il pensait à moi. Je n’avais que l’envie d’entrer dans sa chambre et de le baiser. Je n’ai pas pu le faire, c’était un trop gros tabou et je ne savais pas s’il aurait voulu. J’ai alors été, moi aussi, me masturber dans ma chambre.

Ne pouvant garder ceci pour moi plus longtemps je me suis décidé à en parler à ma grande copine Elsa, qui demeure pas très loin de chez nous. Je voulais savoir si j’étais normal et j’avais vraiment besoin de me confier à quelqu’un. Elsa m’a écouté. Elle était surprise de la situation farfelue mais elle me comprenait car elle aussi trouvait mon fils Gauthier très séduisant. Et elle m’a même dit franchement qu’elle le baiserait volontiers elle aussi.

Le samedi suivant, ma copine Elsa a invité toute notre famille pour diner, mais mon mari ne pouvait y aller ce qu’elle savait très bien d’ailleurs. Gauthier et moi sommes arrivés chez Elsa vers 18 h 30 et nous avons diné. Elsa portait un robe très sexy et j’ai remarqué qu’elle regardait Gauthier d’une drôle de façon. Après avoir pris deux ou trois digestifs elle mit de la musique et pris Gauthier par le bras pour l’emmener danser. En se dirigeant vers le salon, elle mit une main sur la fesse de Gauthier en se retournant vers moi et fit un clin d’œil. J’ai alors compris son plan tout de suite. Je l’ai suivi au salon et Elsa dansait de façon très sexy devant Gauthier qui avait l’air un peu embarrassé. Je me suis assise sur le canapé et j’ai observé Elsa se dandiner devant mon fils.

Elle caressait maintenant Gauthier le long de son corps et soudain elle allongea ses bras derrière lui, l’agrippa par les fesses pour l’entraîner sur elle. Gauthier sans faire ni un ni deux lui agrippa les fesses à son tour. La danse devenait très cochonne et j’enviais Elsa. Elle vint alors me chercher par la main pour danser avec eux. J’ai un peu hésité, j’étais embarrassé mais le vin et les digestifs m’encouragèrent à me lancer. Elsa se remit à danser langoureusement dos à Gauthier en se frottant les fesses contre le sexe de mon fils. Je dansais en regardant les fesses de mon fils et je me surpris à mettre mes mains sur son cul. Je me collai à lui en allongeant ma main pour atteindre son sexe déjà dur. Il resta surpris et un peu embarrassé sans toutefois trop le montrer mais se laissa faire et je sentais son érection augmenter à son maximum dans ma main. Il branla ses fesses doucement contre ma chatte humide tout en mettant ses mains sur les seins d’Elsa. Nous dansions tous les trois dans une chorégraphie très cochonne et mes fantasmes des derniers mois se réalisaient.

Soudain Elsa se retourna, descendit sur ses genoux face à Gauthier et détacha son pantalon. Elle sortit la queue de mon fils en lui demandant :

– Ça te plait cette soirée en compagnie de deux belles femmes ?
– Oh oui, je suis excité comme tu peux le voir ! Répondit-il nerveusement.

Kriss BrigitteSa belle queue dure pointait vers le visage d’Elsa et elle s’en empara, me fit un clin d’œil puis prit le sexe de mon fils dans sa bouche. Elle le suçait en le branlant doucement. Je descendis le pantalon de Gauthier jusqu’en bas et j’ai pris ses fesses dans mes mains pour savourer ce moment. Je me suis alors assise sur le canapé et les regardant. Elsa arrêta et dit à Gauthier de venir me rejoindre.

Il avait l’air très surpris, il hésita et me regarda l’air de se demander quoi faire. Je lui fis signe du doigt de venir. Il s’approcha doucement. Sa bite était là, pour moi maintenant, pointée vers moi et n’attendait que ma bouche. Je pris la queue de mon fils et commençai à la branler et je voyais l’excitation dans son visage. Je sentis ma chatte devenir toute mouillée et j’ai mis le sexe de mon fils dans ma bouche pour le sucer avec intensité. Au bout d’une dizaine de minutes, Elsa qui était nue sur le tapis du salon m’interrompit et me demanda:

– Dis-moi, est-ce que je peux me faire baiser par ton fils ?

Je lui fis signe que oui en disant à Gauthier de la baiser mais d’en garder pour moi. Pendent que Gauthier entrait sa jolie queue dans le sexe de ma copine Elsa, je me déshabillais et m’allongeai sur la canapé et me caressai en les regardant baiser. Après quelques minutes Elsa me regarda et repoussa Gauthier afin qu’il me voie sur le canapé. Je lui fis signe de nouveau et cette fois il n’hésita pas. Ma chevelure blonde qui cachait à peine mes seins qui pointaient vers le ciel, les cuisses écartées légèrement. Il se dirigea vers moi et me lécha mes gros seins fermes en les massant doucement. Je sentis son sexe chaud sur le mien. Mon fils dirigea sa queue vers ma chatte, je le pris par les fesses pour aider le mouvement et il me pénétra d’un seul coup. C’était bon de me faire baiser par mon fils que je désirais, ce joli corps ambigu avec une si belle queue que je voyais déambuler chez moi sans pouvoir rien faire. Mon fils me sautait de façon très virile et je sentais que lui aussi était en train de réaliser un fantasme. Il pompait très fort et mes seins bougeaient devant son visage. Il agrippa un de mes seins avec sa main, le lécha et jouit en moi, je sentis son sperme chaud couler dans mon intimité et j’ai joui en même temps que lui. Elsa s’était reculé dans l’ombre et nous regardait du coin du salon, à la fois excitée et abasourdie par le spectacle insolite que mon fils et moi lui donnions.

J’ai remercié mon amie Elsa. Et depuis ce temps, quand mon fils et moi avons des envies du genre, nous ne nous masturbons plus mais on se permet de baiser en douce chez nous ou chez Elsa avec sa participation

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Christelle Baxter
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Mardi 28 novembre 2023 2 28 /11 /Nov /2023 14:45

Pizzas magiques par Lazenby
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Je me nomme Lucas, j’ai 30 ans et suis célibataire mais j’ai une copine en ville, elle s’appelle Carole et ce soir-là j’étais partie chez elle, une jolie petite blonde avec des seins comme des obus. Elle me reçoit chaleureusement, on s’embrasse, on se pelote.

– On va dans ta chambre ? demandais-je tout excité.
– Y’a pas le feu, j’ai envie que tu me racontes une belle histoire bien cochonne, et si tu réussi à m’exciter bien comme il faut on s’enverra en l’air.
– Pas de soucis

Alors voilà !

C’était un repas de famille, on prenait l’apéro en attendant le livreur de pizzas

Autour de la table nous étions six. il y avait mon père Charles, 57 ans, ma mère Solange 55 ans, encore très bien conservée avec des fesses rebondies et des seins gros et biens ronds. Elle aime s’habiller encore sexy avec de beaux décolletés. Ma sœur Florence 37 ans aussi jolie que ma mère ainsi que son mari Richard 38 ans et leur fille Delphine 19 ans qui elle tenait autant de la mère que de la grand-mère.

On a sonné, c’était le livreur de pizzas.

– On n’avait plus de pizzas quatre saisons, alors la maison vous offre des pizzas magiques, on vous a fait 50 %…
– Il y a quoi dans la pizza magique ?
– Une surprise ! Je vous laisse, j’ai plein de livraisons à faire.

On a commencé à manger nos pizzas et soudain j’ai senti la jambe de ma mère se coller contre la mienne, j’ai aussitôt ressenti une chaleur me monter à la tête. Mon père se mit à raconter des anecdotes de sexe particulièrement osées, et plus il racontait plus ma mère appuyait sa jambe contre la mienne. à un point même que je croyais qu’elle faisait exprès pour la faire monter descendre contre ma jambe. Elle commença aussi à coller son bras contre le mien tout en mangeant sa pizza. Je n’en pouvait plus, je glissais discrètement ma main comme si j’allais me frotter la cuisse et je la posais sur le côté de la cuisse de ma mère. J’ai senti immédiatement sa réaction. Elle avait l’air d’aimer ce traitement car elle se collait davantage. Soudainement la main de ma mère se retrouva sur ma braguette. J’étais bandé au maximum et ma mère s’en aperçut car elle me fit un clin d’œil complice. Plus ma mère mettait de la pression plus ma main s’aventurait sur son entre-cuisse, jusqu’à toucher sa petite culotte..

Puis mon père se leva prétextant vouloir aller aux toilettes. Delphine s’écria alors :

– OHHH!!!! WOW !

Son père Richard lui a demandé qu’elle était l’objet de son émoi. Delphine répondit qu’une bosse déformait le pantalon de son grand-père. Richard répliqua :

– C’est normal avec ces histoires que racontent Charles, moi aussi ça m’a excité. Dis Delphine tu veux voir ma bosse de plus près en réel ?

Mon père éberlué n’osa pas répondre mais Richard revenait à la charge :

– Allez beau-père fais-lui ce plaisir, ça lui permettra de voir une bonne bite d’homme bien bandée !

Alors mon père s’exécuta, baissa sa fermeture éclair devant les yeux éberlués de Delphine et extirpa son sexe gros et dur. Une bien belle bite qui me fit saliver d’envie ! Richard demanda à Delphine si elle voulait lui toucher. Delphine timidement tendit la main vers le sexe dur à souhait. Delphine commença à caresser le membre de son grand-père. Mon père ferma les yeux pour sentir la sensation de la caresse de Delphine. Puis Richard se leva d’un trait et alla se placer à coté de Delphine, baissa son pantalon et dis à Delphine :

– Regarde la queue de ton père, elle aussi elle est belle !

Delphine regarda son père et lui sourit tout en prenant dans l’autre main sa queue hyper excitée

Pendant ce temps-là ma mère n’était pas restée inactive à la vue du spectacle offert, elle baissa ma fermeture éclair et sorti mon membre bien raide et le caressa avec ardeur, alors que moi j’avais déjà mes mains dans son décolleté pour lui caresser ses gros seins. Ma sœur était en face de nous avait baissé sa culotte et se caressait la chatte. Elle me dit alors :

– Lucas lève-toi, je veux voir ta queue se faire sucer par maman. Vas-y maman, sois cochonne suce bien la bite de ton fils.!

Je me levais d’un trait et présentais ma queue à la bouche de ma mère qui la goba aussitôt.

A l’autre bout de la table; Delphine était étendue au milieu des assiettes, elle suçait la queue de son père qui lui avait baissé sa culotte. Ma mère invita ma sœur à l’accompagner, elle se leva et au lieu de s’occuper de moi elle vint caresser le cul de ma mère. Florence dit à ma mère qu’elle avait envie de lui manger la chatte. Ma sœur appuyait sa langue sur le clito de ma mère. Pendant ce temps-là Delphine râlait; elle dit à ses deux partenaires :

– Je suis chaude come la braise, j’ai envie de sentir vos deux queues.
– Allons dans le salon nous serons beaucoup mieux. Proposa mon père

Ce que nous fîmes !

Mon père, Richard et Delphine avaient pris place sur le canapé tandis que moi je m’asseyais dans le fauteuil, ma mère se plaça à mes pieds voulant encore avoir ma queue dans sa bouche. Mon père coucha Delphine sur le côté et pénétra sa petite-fille tandis que Richard, son père lui présenta sa queue à sucer. Ma mère se leva et me dis qu’elle avait envie de se faire pénétrer par ma queue. Elle s’empala sur mon membre bien raide et demanda à sa fille de venir lui lécher le clito. Florence à quatre pattes vint sucer sa mère. Mon père avait une vue imprenable sur son cul. Il se leva et demanda à Richard de prendre sa place et se dirigea vers Florence en lui disant :

Lazenby

– J’ai envie de ton cul.
– Oui vas-y papa encule-moi, je la veux ta queue dans mon cul. Répondit Florence

Et mon père lubrifia bien l’anus de Florence et l’encula d’un coup sec. Pendant ce temps-là je pistonnais ma mère et je ne pouvais plus me retenir bien longtemps et lui dis que j’allais jouir. Elle me répondis :

– Fiston je veux gouter à ton jus.

Elle s’excusa auprès de Florence de la déranger, elle se leva et commença à me pomper avec vigueur. C’est à cet instant que je giclais toute ma semence dans la bouche de maman, qui la garda dans sa bouche puis alla embrasser Florence pour qu’elle puisse y gouter.

Mon père continuait de pistonner le cul de ma sœur et lui dis :

– Je veux te la mettre partout et finir dans ta bouche.

Ma mère insatiable alla rejoindre son gendre et sa petite-fille; elle a sorti la queue de Richard de la chatte de Delphine et la présenta à l’anus de celle-ci qui s’exclama :

– Oui papa encule-moi je la veux.

Richard ne put résister longtemps à ce traitement, ma mère le sentit jouir et sorti la queue gluante de sperme et de merde pour la mettre dans sa bouche pendant que Richard était pris de violents spasmes et envoyait sa purée. Ma mère se délectait. Mon père toujours occupé avec sa fille demanda à sa petite-fille de venir aider sa mère à gouter à sa semence. Et envoya trois ou quatre jets de sperme.

Après un petit break à coup de bon vin d’Italie, mon père a voulu m’enculer. Devant une si belle bite je ne pouvais refuser, j’ai commencé par bien la sucer avant qu’il me la foute dans le trou du cul. Et pendant qu’il me sodomisait Richard est venu devant moi pour m’offrir son sexe à sucer.

Après tout ça, nous sommes tous effondré de fatigue sur le plancher.

– Mais que nous est-il arrivé ? Demanda mon père quand il reprit ses esprits.
– Ce doit être les pizzas magiques ! Suggéra ma mère !
– Il faudra qu’on en recommande, alors !

Et voilà mon histoire.

– Ben dis donc tu en as des drôles de fantasmes ! Me dit Carole.
– Ça t’as excité au moins ?
– Ça on peut le dire !
– Alors on va dans ta chambre !.
– Mais bien sûr mon gros biquet !

Fin du délire

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Samedi 25 novembre 2023 6 25 /11 /Nov /2023 08:43

L’éducation de Pascaline par Mathilda Stenberg
bisou1719

Bonjour, je suis Pascaline. Il y a quelques années, jamais je n’aurais imaginé pouvoir raconter mes histoires de cul.

Je n’étais pas la dernière des gourdes mais tout ce qui touchait au sexe me faisait peur. J’avais la terrible angoisse de baiser et de me retrouver nue avec un homme et couchée dans le même lit. Mes angoisses, c’était de mal faire les choses, de ne pas être à la hauteur, de paraître ridicule et d’être incapable de m’occuper du sexe de mon partenaire. J’étais pleine de doutes et remplie d’hésitations même si je savais que je plaisais beaucoup aux garçons.

Et plutôt que d’être confrontée à leur désir (et à leur queue toute dure devant moi, si j’ose dire ), je préférais me masturber et vivre des relations imaginaires. C’est en arrivant à la faculté de Bordeaux que je me suis complètement dévergondée, au grand dam de mes parents qui espéraient, pour moi, des études brillantes et une carrière réussie dans la magistrature.

A Bordeaux, j’ai fait la connaissance d’Aurore. Comme moi, elle était étudiante. Nous avons sympathisé sur les bancs de l’amphi et elle m’a proposé de partager avec elle son grand appartement tout en payant la moitié du loyer. Aurore était le contraire de moi. Elle parlait de garçons et de cul sans arrêt et vivait quasiment nue toute la journée. Elle me racontait ses expériences dans les moindres détails. Elles préféraient les hommes murs et mariés. La situation de maîtresse et les relations troubles des rencontres adultères l’excitaient beaucoup. Cela se passait le plus souvent dans des hôtels ou dans des garçonnières discrètes. Je savais tout de ses rendez-vous clandestins et j’étais souvent jalouse d’elle quand elle rentrait à la maison et me disait, sans aucune gêne :

– Il m’a bien baisée, le salaud ! Je n’ai pas arrêté de jouir. Je n’en peux plus ! A la fin je lui ai demandé un petit billet ! Il a joué les offusqués en me reprochant de faire la pute ! Je lui ai répondu qu’effectivement ça m’amusait beaucoup ! Fallait voir sa tronche !

Aurore n’amenait jamais ses amants de rencontre à la maison pour rester totalement libre. Elle leur faisait croire qu’elle vivait encore chez ses parents.

Quant à moi, je n’avais rien à lui raconter. Parfois, je mentais mais Aurore semblait s’en apercevoir tout de suite et je rougissais. Un jour, elle m’a lancé :

– Ne me dis pas que jolie comme tu es, tu es encore pucelle !

C’était pourtant vrai. A dix-huit ans, mon sexe n’avait connu que mes doigts. Et c’est Aurore qui s’est chargé de me pervertir et de me faire découvrir tous les plaisirs du libertinage. Non pas en me présentant à l’un de ses nombreux partenaires mais en s’en chargeant elle-même. Un soir, elle est venue se glisser dans mon lit. C’était juste pour bavarder un peu? Elle ne portait qu’une petite culotte en dentelle et, après m’avoir raconté ses dernières aventures avec un toubib de la ville, elle m’a questionné sur les miennes avant de me demander, sur le ton de la plaisanterie :

– Tu n’es pas gouine, au moins ? Remarque, j’ai rien contre les filles qui font ça entre elles.

Deux minutes plus tard, elle m’embrassait en ajoutant :

C’est même très bon, entre filles !

PascalineJe n’avais jamais eu de fantasmes bisex pourtant, je ne refusais ni sa bouche ni ses mains qui caressaient déjà mes seins et dont je sentais les pointes s’ériger sous ses doigts. En riant, Aurore m’a dit :

– Je vais t’apprendre à être une bonne petite salope.

Ses lèvres se sont de nouveau posées sur les miennes et sa main est descendue lentement sur mon ventre avant d’atteindre ma chatte. J’étais déjà toute mouillée. Entraînée par un délicieux tourbillon de sensations, je me laissais faire et j’écartais bien mes cuisses pour m’offrir aux attouchements de ma copine. Aurore a quitté ma bouche pour pencher sa tête vers mes seins. Elle a sucé et léché mes tétons l’un après l’autre. Plusieurs fois, elle m’a demandé :

– Tu aimes ce que je te fais ?

J’éprouvais trop de plaisir pour lui répondre d’autant plus que ses doigts excitaient toujours ma chatte. Pourtant, je ne me sentais pas du tout gouine mais j’adorais ce qu’elle me faisait et je n’avais qu’une envie : qu’elle continue ! Ce fut encore plus fort quand Aurore s’est mise à embrasser ma chatte et à la titiller avec la pointe de sa langue. Elle l’insérait entre mes lèvres que je sentais gonflées de désir et s’attardait sur mon clitoris, me faisant gémir de plaisir.

– Qu’est-ce que tu mouilles ! M’a-t-elle dit, il était temps de te faire dépuceler, je crois !

Ses caresses me rendaient folle. J’étais prête à jouir mais Aurore a retardé mon orgasme en revenant m’embrasser sur la bouche. Sa langue avait gardé le goût de ma chatte et elle a pris mes mains pour que je lui caresse ses seins avant de me demander de la toucher en bas, entre ses cuisses. Elle aussi était trempée. Je l’ai masturbée de la même manière que si je me masturbais moi-même, pressant mes doigts sur son clitoris et frottant sa fente. Je savais très bien comment fonctionnait le corps d’une femme et c’était facile, pour moi, de rendre à Aurore tout le plaisir qu’elle venait de me donner. Au bout d’un moment, elle s’est mise tête-bêche sur moi. J’avais son joli minou blond juste au-dessus de mes yeux et je pouvais également découvrir le petit orifice sombre caché entre ses fesses.

Je n’ai eu qu’à approcher ma bouche pour la lécher, pour goûter ce sexe de femme et le fouiller avec ma langue. Je me souviens d’un véritable feu d’artifice dans ma tête quand j’ai joui. Tous les muscles de mon corps se sont raidis et je n’ai pas pu retenir mes cris. Aurore a passé la nuit dans mon lit et avant de s’endormir, elle m’a murmuré, le regard animé d’une lueur espiègle :

– Je t’apprendrais tout. Tout ce que doit savoir une fille pour s’éclater avec les mecs.

Cette relation, exclusivement homosexuelle de mon côté, a duré plusieurs semaines. Ca me plaisait qu’Aurore veuille tout m’apprendre. Je me comportais comme une élève docile et appliquée et elle, comme un professeur attentionné. J’avais fini par lui révéler que j’étais totalement vierge et Aurore m’avait promis de me trouver quelqu’un de très bien pour mon premier passage à l’acte. Mais en attendant, elle continuait de m’initier chaque jour. Elle est allée jusqu’à entrer dans un sex-shop de Bordeaux pour acheter un godemiché. Elle me l’a présenté en me disant :

– Voilà ! C’est la même chose, un homme qui bande.

Nous rions beaucoup pendant les petites leçons particulières de sexologie qu’elle me donnait. Aurore me montrait comment caresser une queue, comment la lécher, la sucer? Elle me répétait :

– Les mecs, c’est pas compliqué. Dès que tu leur touches la queue, ils sont contents. Chez eux, tout se passe au-dessous de la ceinture. La bite, les couilles et certains aiment bien qu’on s’occupe un peu de leur petit trou.

Et justement? Aurore me débarrassait peu à peu de tous mes tabous ou de tous mes blocages. Aujourd’hui, je ne peux que l’en remercier. Elle m’a fait découvrir les délices d’une langue coquine entre les fesses ou ceux d’un doigt délicat en fureteur dans l’anus. Elle s’est occupée progressivement de mon dépucelage anal tandis que par-devant, elle me pénétrait souvent avec le godemiché. Le premier objet qu’elle a introduit entre mes fesses fut une bougie. Je trouvais ça très excitant d’être pénétrée de cette manière ce qui faisait dire à Aurore que j’étais aussi salope qu’elle. C’était vrai. Je jouissais autant avec la bougie dans le cul qu’avec le gode dans ma chatte. En quelques semaines, elle avait réussi à faire de moi une vraie petite garce, vicieuse et complètement pervertie. Je ne lui refusais rien et c’était même moi qui lui réclamais mes leçons de sexe, comme elle disait. J’étais étonnée par toutes les capacités à jouir de mon corps. Je pouvais éprouver du plaisir avec mes tous mes orifices et chaque fois que nous faisions l’amour, j’avais envie de repousser encore plus loin mes tabous. Tout me plaisait et il me fallait, maintenant, découvrir la jouissance avec un homme.

C’est encore Aurore qui s’est chargé de le trouver. Elle avait rencontré un architecte, très mignon et très séduisant d’après elle. Un type d’une quarantaine d’années et très bon baiseur :

– On pourrait se faire un truc à trois. Je suis sûre qu’il ne serait pas contre. Il n’a pas une grosse queue mais il peut bander pendant des heures.

C’est ainsi qu’un soir, j’ai fait la connaissance de Frédéric. Nous nous sommes retrouvé tous les trois dans un restaurant espagnol. Il me plaisait beaucoup mais j’étais très intimidée. Je m’étais habillée de manière très sexy avec des jolis dessous. Heureusement, Frédéric remplissait sans cesse mon verre de vin et l’alcool m’aidait à me détendre et à me sentir moins nerveuse. Quand Frédéric s’est levé de table pour régler l’addition, Aurore s’est penché vers moi et m’a murmuré :

– Alors ? Il te plaît ? On va aller prendre un verre chez lui.

J’étais un peu saoule et à présent, je n’avais plus du tout peur. En plus, faire ça à trois avec Aurore me sécurisait un peu. Moins d’une heure plus tard, je suçais mon premier sexe d’homme, ma première queue, tandis qu’Aurore lui doigtait l’anus. Et c’était mille fois meilleur et plus excitant que le godemiché d’Aurore. Nous avons passé une nuit complètement folle. J’ai tout donné de moi à Frédéric, il a pu me prendre par tous les orifices mais aussi, me voir en 69 avec Aurore.

Cette soirée fut un véritable déclic dans ma vie. Par la suite, j’ai rencontré beaucoup d’hommes. Tout comme Aurore, je faisais croire que j’habitais encore chez mes parents et j’allais faire l’amour dans des hôtels, dans des voitures, dans la nature. Et quand je sentais que le mec avait du fric je faisais ma pute. Et lorsque je retrouvais ma copine, cette fois, j’avais beaucoup de choses à raconter. J’ai continué à avoir des relations avec elle mais aussi, à partager certains de nos amants. Je suis devenue plus allumeuse dans la rue et c’est comme ça que, petit à petit, j’ai découvert une autre facette de moi : la provocation et l’exhibitionnisme. Certains de mes partenaires m’ont permis d’évoluer dans mes fantasmes. Quelques années plus tard, je prends un plaisir inouï à m’exhiber sans pudeur devant des hommes, que ce soit sur les plages naturistes, les boîtes échangistes les saunas… C’est dans un sauna que j’ai vu pour la première fois de ma vie deux hommes s’enculer. Une vision qui m’a profondément excité

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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