Jeudi 19 octobre 2023 4 19 /10 /Oct /2023 15:24

Les tapineuses de la route par Enzo Cagliari – chapitre 2 – Virginie
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Résumé du chapitre précédent :

Voulant bénéficier des services d’une prostituée, je tombe sur Adeline, la meilleure amie de ma fille. Au moment de la quitter, je vois descendre d’une camionnette, ma propre fille Virginie. (voir Les tapineuses de la route - 1)

Virginie ne m’a pas vue et s’avance comme une fleur vers sa camarade. Celle-ci lui fait des signes voulant la dissuader de s’approcher mais elle ne comprend pas et continue d’avancer.

Je me recroqueville dans ma voiture et met le contact.

Trop tard, je cale et Virginie s’avance imprudemment.

Elle me reconnait, pousse un cri.

– Oh !
– Qu’est-ce que tu fous là ? Tempêtais-je en baissant la vitre
– Ce n’est pas ce que tu crois… commence-t-elle
– C’est quoi alors ?
– Je venais dire bonjour à Adeline…
– Dans cette tenue ?

Eh oui, minijupe vraiment mini, haut déboutonnée sur un soutien-gorge à balconnet. Pas vraiment une tenue de jeune fille sage !

– Je voulais juste m’amuser ! Bredouille-t-elle
– Tu t’amuses à faire la pute, c’est cette trainée d’Adeline qui t’as entrainée ,
– Dis donc, la trainée, tu as été bien content de la trouver, si je n’amuse.

Touché !

– Mais pourquoi tu fais ça ?
– Et toi pourquoi tu vas aux putes ?

On ne va pas s’en sortir.

– Je ne suis pas parfait !
– Ben moi non plus et d’abord je ne fais de mal à personne.
– C’est pour le fric ?
– Même pas ! Mais je ne crache pas dessus.
– Alors ?
– C’est un fantasme, j’aime me sentir pute, j’aime que des mecs se dise, elle est tellement jolie que je n’hésite pas à payer pour faire l’amour avec elle.
– Eh bin ! . Et tu en as d’autres des fantasmes comme ça ?
– Ah, si tu savais ,
– Je m’attends au pire !
– Mais je te ne dirais pas !
– Tu te rends compte, si ta mère apprenais ça ?

Elle éclate de rire ! Qu’est-ce que j’ai dit de drôle ?

– Tu ne va pas me dire qu’elle est au courant ? Repris-je
– Non, elle n’est pas au courant.
– Ah, tant mieux !
– Bon alors maintenant à toi de me dire ce que tu vas faire, je suis majeure, donc j’ai parfaitement le droit de me prostituer. Donc, soit tu fais avec, soit tu me fous à la porte.
– Je ne te fous pas à la porte, mais tu arrêtes tes conneries.
– Non, voyons les choses autrement, je ne serais pas ta fille et tu m’aurais vu fringuée comme je suis, tu m’aurais invité à monter dans la bagnole ?.

En voilà une question ! Et la réponse est « oui », mais je ne vais pas lui dire.

– Ben alors tu me réponds ?
– Je ne réponds pas aux questions idiotes.
– Alors renie-moi, dis-moi que tu je ne suis plus ta fille !
– Quel intérêt ?
– Pour que les choses soient claires.
– Non, je ne peux pas faire ça !
– Dis le quand même.
– Mais non !
– Dis simplement que je ne suis plus ta petite fille bien sage !
– Oui ça je peux le dire
– Ben dis-le
– Tu n’es plus ma petite fille bien sage

Je vois alors ma fille comploter à voix basse avec Adeline. Qu’est-ce qu’elles foutent ?,

– Ouvre les deux portières, on va discuter tous les trois… entre adultes responsables.

putes routes2
Tu parles d’adultes responsables ! Mais j’accède à leur demande, Adeline vient s’assoir à ma gauche, Virginie à ma droite.

– Bon je vous écoute les filles !
– Je parie que tu bandes encore ! Me dit Adeline
– Hein ?

Et la voilà qui me tripote la braguette.

– Mais arrête de me tripoter.
– D’accord, alors embrasse-moi les seins ! Répond-elle en me les foutant sous le nez.

Quand un téton érigé se balade à trois centimètres de votre bouche, qu’est-ce que vous faites, vous ? Parce qu’à cet instant ce n’est plus le cerveau qui commande, ni la raison, ce sont les hormones, alors on attrape cet insolent téton et on suce et par effet de contagion la bite de met à bander.

Et d’ailleurs une main se repose sur ma bite, mais cette fois ce n’est pas la main d’Adeline, mais celle de Virginie.

– Mais Virginie tu es malade !
– Mais non, tu m’as bien dit que je n’étais plus ta fille bien sage, je suis juste une pute et je veux te faire plaisir!
– Mais…

J’ai la tête qui tourne, ma fille m’a choppé la bite et la mise dans sa bouche, je suis en train de me faire faire une pipe par ma propre fille ! Je rêve ou quoi. Putain qu’est-ce qu’elle suce bien ! Je ferme les yeux, quand je les rouvre c’est pour constater qu’elles sont deux à me sucer. Et c’est bon

J’éclate mon sperme qui atterrit sur le visage des deux coquines.

Au lieu de s’essuyer avec un kleenex elles se lèchent réciproquement le visage, mais quelles salopes ces deux là !

– Tu vas le dire à Maman ? Me demande Virginie.
– Non !
– Tu sais elle a les idées larges, parfois je lui lèche le minou, elle adore ça et moi aussi !

Oups !

 Tu racontes n'importe quoi ?
 Tu n'auras qu'à lui demander !

Ben non, je ne vais pas lui demander, des images défilent dans ma tête notamment celles de son intérêt jamais démenti pour les jolies femmes. Se pourrait-il que… Mais bon je suis assez mal placé pour lui en faire reproche.


Un peu plus tard

– Un demi comme d’habitude Monsieur Martin ?
– Non un double whisky sans glaçon !

Trop de choses dans ma pauvre tête, je n’arrive pas à trier.

Je ne suis pas parvenu à trouver le sommeil cette nuit, le lendemain matin j’ai pris mon petit déjeuner en face de Virginie, on a fait comme s’il ne s’était rien passé et puis quand mon épouse s’est éloigné :

– Tu fais quoi aujourd’hui ?
– Comme d’hab’ !
– Je passerais peut-être te dire bonjour !
– Comme tu veux, mais ce sera 50 euros.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Enzo Cagliari
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Jeudi 19 octobre 2023 4 19 /10 /Oct /2023 15:20

Les tapineuses de la route par Hyrem32 – chapitre 1 – Adeline
(proposé par Enzo Cagliari)

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Cette histoire est arrivée il y a quelques années. J’étais commercial dans une boite de second œuvre du bâtiment, marié, 2 enfants, une vie rangée en quelque sorte, sauf peut-être cette habitude d’aller me faire sucer par des prostitués à l’occasion d’évènements positifs pour moi, une belle vente ou une promotion par exemple. Rien de compulsif mais une agréable récréation.

Hé oui j’avoue. J’aime particulièrement me faire sucer, et avec des pros, je n’ai pas l’impression de tromper ma femme. J’avais ainsi trouvé une sorte d’équilibre.

Bref.

J’habitais dans le sud de la France, et je connaissais quelques petites routes bien fréquentées. Ce vendredi, je venais juste de recevoir ma nouvelle voiture de fonction, et quoi de plus naturel que de fêter ça ? Donc je pris la direction d’un petit coin sympa. Il faisait chaud et beau, on entendait les cigales..

Après avoir fait un aller et retour rapide sur cette route, j’ai repéré quelques demoiselles, toute jolies et court vêtue, qui ferai très bien mon affaire en cette fin d’après-midi. Je m’arrête donc derrière une voiture, la fille est penchée à la portière, surement en train de détailler ses prestations. Elle porte un mini short et des bottes façon cuissardes et un petit haut en jeans. De là ou je suis, il faut avouer que sa silhouette est superbe, et je sens monter en moi cette excitation bien particulière, prélude à chacune de mes rencontres.

Voilà elle se relève, l’affaire ne s’est pas conclue. Petit coup d’œil dans le rétroviseur, j’avance la voiture tout en baissant la vitre passager.

– Bonjour, c’est 50 euros la……..

Et là, le choc mutuel ! A la même seconde, nous venons de nous reconnaitre.

Adeline, une amie de ma fille, penchée à ma portière, une poitrine à moitié offerte soutenue par un soutien-gorge rouge. Adeline qui doit avoir 20 ans, comme ma fille, et que je connais depuis des années. Vous dire exactement tout ce qui me passe par la tête à cette seconde est impossible. Un mélange d’excitation je l’avoue, de gêne aussi, de curiosité, de surprise bien sûr. C’est un choc dans ma tête, tout se bouscule. Un vrai bordel !

– Bonjour Monsieur Martin.

Voilà, la messe est dite. Trop tard pour reculer. Je suis grillé, mais grillé de chez grillé.

– Monte !

C’est moi qui ai dit ça ? Je ne réfléchis plus, je suis en mode reflexe.

Et la comme dans un film, la portière qui s’ouvre, ma passagère qui s’assoit, ses cuisses découvertes entre le short et les cuissardes. Nos regards qui se fuient .

– Prenez le petit chemin à droite là. Là c’est bien garez-vous.

Sa voix est fluette, timide, gênée. On sent à la fois ce malaise, et une force de caractère qui l’oblige à faire face à cette situation inattendue. C’est elle qui décide, qui mène le jeu.

– Bon, la situation est un peu glauque, mais on est chacun là pour quelque choses non ? dit-elle avec un ton agressif.

Elle s’est tournée vers moi. 20 ans, brune, assez grande, ses seins qui semblent vouloir s’échapper de ce petit haut, bien ronds, opulent. Un visage fin, des lèvres ourlées juste comme il faut, luisante de gloss. Deux yeux titrant sur les gris, provocateurs, fiers.

Elle est là, offerte contre un billet de 50, et moi qui commence à reprendre mes esprits. Mon trouble se transformant en quelque chose de plus excitant, vicieux, comme si mes plus bas instincts remontaient soudainement à la surface. Vous savez ces moments où Monsieur Hyde remplace le docteur Jekyll.

– Tu as raison… tiens tes 50, mais t’enlève ton haut.

L’échange est froid, mécanique, une bête transaction commerciale, sans chaleur. L’accord est tacite, non exprimé. Nos silences respectifs sur cet épisode contre une neutralité mutuelle. Je paye, tu suces on oublie.

Sans un mot elle fait glisser son haut, enlève son soutien-gorge, dont elle n’a pas besoin franchement. Moi je recule mon siège, j’ouvre mon pantalon, le baisse, ainsi que mon caleçon. Elle ne dit pas un mot et se penche, écrasant ses seins contre ma cuisse.

J’ai fermé les yeux, les images se bousculent dans ma tête. Les différentes femmes qui m’ont sucées, enfin celles dont je veux bien me rappeler, puis son souffle sur mon gland à moitié dur, et la douceur de sa langue, la chaleur de sa bouche.

Plus rien n’existe à ce moment que cette chaleur, que ma main qui se pose sur son dos, la souplesse de sa peau, sa douceur. Puis, petit à petit, la réalité qui refait surface. Sa bouche qui monte et descend sur ma queue qui se dresse maintenant bien raide. Ma main qui remonte sur sa nuque.

– Oui va y pompe moi bien !
– Hummm t’aimes ça, hein ?

putes routes1
J’impose le rythme, plus lent, j’ai juste envie que ça dure.

Sa douce main caresse mes couilles, une vraie pro. Depuis combien de temps avale-t-elle des bites comme ça? Pourquoi le fait-elle ? Ma main file sur ses seins, que je commence à malaxer. Elle grogne un peu, ses tétons sont durs. La situation l’excite ou c’est juste une réponse physique à ma caresse ?

Et puis merde après tout je suis venu me faire vider les couilles. J’accélère le rythme, ma main se crispe sur son sein. Je sens ce divin picotement, dans un éclair je prends conscience qu’on a même pas mis de capote… trop tard. Ma semence monte, éclate, j’appuis sur sa tête poussant un grognement animal. Les jets se succèdent dans une éjaculation particulièrement abondante. Je sens la contraction de sa gorge quand elle avale, ses lèvres bien serrées sur ma tige, sa langue qui se promène sur mon gland hyper sensible. Les secondes s’écoulent, le temps se calme, elle dégluti une dernière fois, et se relève.

Et là, en une demi-seconde, son visage perd toute expression, se fige. Le sang semble refluer de ses joues, ses lèvres s’entrouvrent. Son regard se perd au dehors. Je tourne la tête dans la même direction. A quelques mètres, une autre fille descend d’une camionnette, petite jupe écossaise, des grandes chaussettes beiges qui montent à moitié cuisse, un caraco en coton blanc qu’elle reboutonne. Blonde, jolie comme un cœur… C’est ma fille Virginie. !

Ce texte a été retrouvé dans sa rédaction d’origine, publié sous le titre « Du paradis a l’enfer » nous l’avons ici juste corrigé de quelques fautes mineures. Il comportait une suite que nous n’avons pas publié, étant non conforme à notre charte (il était question de chantage…) Nous avons demandé à Enzo de nous rédiger une suite inédite : Les tapineuses de la route  - 2

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Enzo Cagliari
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Jeudi 19 octobre 2023 4 19 /10 /Oct /2023 11:04

Un train en été par Guy01

 

Voy

Je suis assis dans le compartiment d’un train en été, près de la fenêtre. Il
n’y a personne avec moi jusqu’à ce que le porte s’ouvre sur une belle femme,
grande et brune. Ses cheveux sont courts et noirs. Elle a la quarantaine.
Elle porte une jupe noire à mi-jambe, des sandales noires, un chemisier
blanc assez léger.

Elle s’assied devant moi sans me regarder, l’air sévère, croise les jambes
et laisse son regard se perdre dans le paysage.

J’ai poussé mes jambes pour lui laisser de la place. Je me cale dans la
banquette pour continuer ma sieste.

Mais je jette un coup d’oeil sur elle avant de me rendormir. Ses genoux
blancs brillent juste au bord de sa jupe. Ses cheveux sont agités par l’air
qui passe par la fenêtre entrouverte. Son chemisier aussi frissonne. C’est
un tissu léger, un peu transparent. Je crois voir au travers la pointe de
ses seins qui se dessine. J’ai l’impression qu’elle n’a pas de soutien
gorge. Elle ne me regarde toujours pas, m’ignore et je ferme les yeux.

Pour être bien assis, j’ai les mains dans les poches de mon jean noir. Dans
un demi-sommeil, des images me passent par la tête, et j’imagine son visage
en face de moi, ses lèvres épaisses, ses grands yeux noirs. Je revois la
marque de ses seins sous sa chemise. Mes doigts sous le pantalon sentent mon
sexe qui durcit doucement à cette image. Je le touche doucement à travers le
tissu de ma poche. Je sens le gland qui devient gros et je le caresse
doucement. J’allonge les jambes pour permettre à mes doigts d’aller plus
loin, de couvrir mon sexe qui grossit jusqu’au milieu de sa longueur. Au fur
et à mesure qu’il s’allonge, je reprends conscience, et je prends conscience
aussi de sa présence. J’arrête de bouger mais je laisse mes doigts contre
mon sexe.

J’ouvre les yeux et je m’aperçois alors qu’elle est en train de me regarder.
Elle a mis ses mains contre sa poitrine. Elle s’aperçoit que je suis
réveillé, mais elle continue de regarder le haut de mon pantalon. Elle me
regarde dans les yeux et bouge un peu ses doigts sur sa poitrine.

Je me sens tout à coup très excité et, moi aussi je pose mes doigts sur mes
tétons qui sont tout durs. Je déboutonne deux boutons de ma chemise et je
passe ma main à l’intérieur. Mon index atteint mon téton gauche et
l’effleure doucement. C’est un geste que je fais souvent quand je suis seul
devant ma glace qui m’excite beaucoup.

Elle continue à me regarder fixement et appuie un peu sur ses seins du bout
de ses index. Alors je m’enhardis et ouvre ma chemise. De chaque main je me
caresse les pointes de mes tétons qui sont très durs. Je la vois elle aussi
qui se pince ses tétons à travers le tissu. Elle me regarde encore en
léchant ses lèvres de sa langue. Je vois ses jambes qui sont décroisées et
qui se frottent doucement l’une contre l’autre.

Je me dis alors qu’elle a envie que je continue et je pose ma main sur mon
sexe au travers de mon pantalon. Je frotte un peu et je le sens qui est très
dur. Je déboutonne tout doucement mon jean pour pouvoir glisser ma main sur
mon slip. Je sens le tissu qui est tout mouillé. J’ai envie de libérer mon
sexe de le voir à l’air libre. Je la regarde devant moi qui continue à
frotter ses jambes. Alors je baisse mon slip et je sors mon sexe. Je
l’entends qui gémit. Je la vois qui ouvre elle aussi sa chemise et me montre
ses petits seins tout ronds. Ils ont des tétons très longs et très noirs
qu’elle caresse du bout des doigts. Elle prend ses seins en entier dans sa
main en se léchant les lèvres.

Ruby03bMoi je n’en peux plus de voir ça. Je prends mon sexe entre les
deux doigts de la main droite et je tire sur la peau pour bien sortir mon
gland qui est tout gonflé et tout rouge. Il y a du jus qui en sort. J’en
prends un peu sur le bout des doigts et je le mets sur mes tétons qui sont
tout doux à caresser. Elle se frotte les jambes en gémissant et elle pince
ses seins très fort. Moi je continue à me caresser le sexe. C’est mon rêve
de me masturber devant une femme. Elle a l’air d’aimer cela. Elle me regarde
droit dans les yeux pendant que que j’ai ma bite bien serrée dans ma main.
Je caresse le gland avec de la salive que j’ai mise dessus pour que cela
glisse bien. J’aime qu’elle me voie faire cela. Elle avance sa main entre
ses cuisses et la plonge à l’intérieur en gémissant. Je vois qu’elle
continue à regarder ma bite en train d’être masturbée par moi. Elle écarte
ses jambes et soulève sa jupe au moment où je suis sur le point de jouir.
Elle s’en aperçoit, et au moment où elle va montrer son sexe elle me dit

 » Vas-y ! Jouis! »

Et elle lève sa jupe. Elle n’a pas de culotte. Je vois son sexe bien écarté
avec ses poils au-dessus. Il y a de l’humidité qui coule sur la banquette.
Elle pose son doigt sur son clitoris et moi je n’en peux plus. Je gémis et
je la vois qui me regarde. Je laisse mes yeux dans les siens et je tire
fort, fort sur mon sexe qui explose. Elle me fixe toujours pendant que tout
mon sperme jaillit sur mon ventre.

Alors elle se penche vers moi, prend mon sperme sur mon ventre et caresse
ses seins avec lui. Sa peau brille. Elle en reprend et enfonce encore ses
doigts entre son sexe et frotte elle aussi en écartant complètement les
jambes; Je la vois tout à coup qui tremble, qui ferme fort ses cuisses et
qui garde sa main serrée entre ses jambes en fermant les yeux et en
gémissant. Elle tremble longtemps comme cela de plaisir, puis elle ouvre les
yeux et me regarde encore longtemps avec un beau sourire, qui luit de toutes
ses dents.

Guy

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 13:07

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 13 – Assaut sur le dôme par Nicolas Solovionni
Solo

Ça me fait un peu bizarre de me retrouver avec une équipe inédite. Le navigateur un certain Blummer. m’énerve un peu, il est trop curieux et pose un tas de questions auxquelles je n’ai nulle envie de répondre. Mais heureusement sa fonction ne sera importante qu’au moment de l’atterrissage. En ce qui concerne les autres ça peut aller, ils sont plutôt sympas voire délurés.

Dyane a dû expliquer aux deux détectives qu’elle m’avait convaincu de l’accompagner. Ils ont trouvé ça étrange, mais comme on les a laissés libres de leurs mouvements, ils n’ont pas posé trop de questions embarrassantes. Bien sûr nous ne leur avons touché aucun mot de la menace constituée par l’expédition d’El Menhir.

Nous avons atterri sans problème, Blummer s’étant comporté en meilleur technicien que ce que je pressentais. Je préviens Edina par radio.

– Attends-toi à une attaque sanglante imminente, je suis venu te prêter main-forte…

J’ai donc pénétré dans le dôme avec mes agents de sécurité, fait entrer l’armement et expliqué la situation à notre hôtesse. Les deux détectives nous accompagnent. Je suggère à Baboukar de les faire patienter dans une salle privée avec accès à la vidéo du sas. En même temps j’ai demandé à Blummer de satelliser mon vaisseau afin que El Menhir ne se doute de rien.

– S’ils passent par le sas piétons on les flingue. S’ils passent par-là la nasse, même tarif.

Plus qu’à attendre…

Trois jours plus tard, un vaisseau sollicitait l’autorisation de se poser…

– Ici le Pivert, commandé par le capitaine Gregor et blablabla…

Il existait une solution radicale : sortir le canon laser et pulvériser le vaisseau. Sauf que le capitaine Grégor et son équipage n’ont rien à voir avec le plan diabolique d’El Menhir et ne sont sans doute même pas au courant.. Il faut donc procéder autrement.

Nous sommes tous dans la salle de contrôle, Edina, Arkon, Baboukar, Dyane, Indira et moi ainsi que mes trois « agents de sécurité »

On attend et soudain une voix provenant du vaisseau de fait entendre.

– Ici Mazzioli, je désirerais m’entretenir avec madame Von Graz, j’ai une proposition intéressante à lui soumettre.
– C’est la voix d’El Menhir ! Me souffle Indira

Boubacar s’empare du micro.

– Ok, on prépare l’entrée du sas pour un seul visiteur. Personne d’autre n’est pour l’instant autorisé à quitter votre vaisseau, ceci pour des raisons de sécurité.
– Pas de souci. Répond la voix.

Comment ça pas de souci ? Je ne comprends pas leur plan, mais j’envoie néanmoins deux agents de sécurité à la sortie de la nasse, le troisième m’accompagnant à l’entrée du sas piéton. Je me masque.

Dans le sas on demande à l’homme de se déshabiller entièrement et de déposer ses armes éventuelles, puis de revêtir une tenue banalisée. L’homme obtempère sans discuter. Il demande s’il peut conserver son spacephone. Autorisation accordée, inutile de l’énerver.

Je comprends de moins en moins.

El Menhir sort du sas, souriant comme un prince. Il n’est en rien menaçant. Je vous le dis, je n’y comprends rien. Je me suis mis un peu en retrait. Baboukar s’avance…

– Je vais vous conduire auprès de Madame Eugenia…
– Madame Eugenia ?
– Edina si vous préférez.

On est passé à trois dans une petite salle vide, Edina, Baboukar et moi.

– On vous écoute.
– Le deal est simple, annonce El Menhir, on va dire qu’après la publication de votre localisation, des bandits sans scrupules vous ont attaqué et enlevé. Mais que j’ai pu remonter leur piste et suis venu vous délivrer. Du coup je suis éligible à la prime, que nous nous partagerons bien sûr. Qu’en pensez-vous ?
– Et vous êtes venu jusqu’ici pour me dire ça ?
– Mais absolument et vous rencontrer est pour moi un très grand plaisir.
– J’en suis fort aise. Mais votre proposition ne m’intéresse guère.

Elle n’aurait pas dû répondre ça. Elle aurait dû le faire lanterner. Maintenant les choses vont se précipiter.

– Vous avez répondu très vite, pourquoi ne pas réfléchir un petit peu ?

Il lui tend une perche, va-t-elle la saisir ?

Non.

– C’est tout réfléchi, l’entretien est terminé, on va vous reconduire au sas.
– Mais pourquoi ce refus ?
– Je ne vous dois aucune explication. Salut et bon retour !

Baboukar et moi reconduisons l’individu. Il sort son spacephone.

– Vous faites quoi ?
– Je préviens le vaisseau, leur dire que je rentre.

Il est possible que je me trompe, mais à tous les coups il va envoyer un signal à ses comparses afin de donner l’assaut. Il va falloir agir vite et limiter la casse.

Pour l’instant il n’a pas l’air de se méfier, je suppose que son intrusion ne visait qu’à évaluer les risques.

On ouvre la porte intérieure du sas, il y entre et se change.

– Ça bouge ! me dit Arkon dans l’oreillette, cinq mecs armés viennent de sortir du vaisseau, trois s’approchent du sas et deux autres s’en vont de l’autre côté du dôme.

Attention pour la boucherie !

– Je suis prêt. Indique El Menhir dans le micro.

Baboukar ouvre la porte extérieure, les trois lascars entrent dans le sas. Il referme la porte derrière eux, les assaillants sont surpris, d’autant que c’est maintenant la porte intérieure qui s’ouvre.

Je suis devant eux avec deux agents de sécurité.

– Déposez vos armes, sinon on tire.

L’un des types se croit malin et devient menaçant. Mes agents tirent.

Ça a duré trente secondes, bilan quatre morts y compris El Menhir, l’un de mes agents est blessé.

Baboukar demande des nouvelles de l’arrière.

– On a deux prisonniers. Lui répond-t-on.

On nous amène les deux gus désarmés et désemparés.

Je contacte le vaisseau qui les a acheminés ici.

– Ici Capitaine Gregor, je vous écoute.
– Je suppose que El Menhir ne vous a pas expliqué ce qu’il venait faire ici ?
– Vous savez, moi j’achemine, je ne pose pas de questions.
– Alors je vous informe que votre client est décédé tragiquement avec trois de ses acolytes. Je vous renvoie les deux rescapés de la bagarre. Vous allez pouvoir repartir…
– Mais qui va me payer ? Et je n’en veux pas de vos rescapés !
– Ce n’est pas mon problème. Je coupe.

On a jeté les cadavres dans la nasse, les poissons vont se régaler !

– Je te dois une fière chandelle. Me dit Edina.
– Bof, ça me plaît bien de jouer les chevaliers blancs.
– Mais un chevalier ça chevauche ? Non
– Ben oui !
– Et si c’était moi qui te chevauchais ?
– Bonne suggestion, mais avant je vais te présenter deux détectives cosmiques.
– Pourquoi faire ?
– Pour qu’on te foute la paix.

Je rejoins les deux énergumènes dans la petite salle où nous les avons laissé. Ils sont blancs comme neige, les gugusses.

– C’est fini, il n’y plus de risques ? Parvint à bredouiller Vitali.
– L’attaque a été complétement repoussée, quatre morts et deux prisonniers de leur côté, un blessé de notre côté. Le vaisseau qui transportait le commando s’apprête à repartir, tout danger est donc écarté.
– Quelle boucherie quand même ! Soupire Maderna
– C’était eux ou nous ?
– Et nous on fait quoi maintenant ? Demande Vitali.
– Déjà vous avez oublié de saluer Edina Von Graz, je comprends que la scène qui vient de se dérouler a pu vous traumatiser, mais je vous en prie retrouvons les bons usages.
– Bonjour Madame, pardonnez notre impolitesse. Lui dit Vitali.
– Nous sommes effectivement fort confus ! Ajoute Maderna
– J’accepte vos excuses, mais présentez-vous donc !
– Vitali et Maderna, détectives cosmiques.
– Certes mais qui vous mandate ?
– Un collectif composé de membres de votre famille, de votre agent professionnel et de quelques médias.
– Autrement dit des gens qui veulent se faire du fric avec mes aventures, pour information j’ai rompu avec toute ma famille il y a déjà plusieurs années. Et votre but en venant ici ?
– Vous délivrez !
– Me délivrez mais de qui, de quoi ? De qui serais-je la prisonnière ou l’otage, j’ai écrit un communiqué, il n’était pas assez clair sans doute ?
– Disons que l’hypothèse d’une mise en scène nous a traversé l’esprit !
– Ah oui ! Et maintenant ?
– Il restera toujours un léger doute… Reprend Vitali.
– Vous êtes gonflé, quand même ! Mais bon peu importe, on se retrouve tous tout à l’heure nous dinerons ensemble, vous allez gouter à notre glochton
– Glochton ?
– Ben oui, glochton ! En attendant je vous invite à patienter dans la salle de loisirs.

Les deux détectives paraissent complétement largués. Maderna est allé s’affaler dans un fauteuil tandis que Vitali s’approche de Dyane.

– C’était donc un piège ?
– En partie seulement, disons que le commando de mercenaires a un peu chamboulé tout ça.
– Et s’il n’y avait pas eu ce commando, vous auriez fait quoi ?
– Si je vous dis que je n’en sais rien, vous allez me croire ?
– N’empêche que vous m’avez manipulé !
– C’était de bonne guerre, et puis vous avez eu droit à un massage gratuit, alors arrêtez de pleurnicher.
– Ok sans rancune alors, je peux vous faire la bise ?
– Avec plaisir !

Il en est tout chose, Vitali !

– Vous pouvez m’embrasser mieux que ça ?
– Vous jouer à quoi, Dyane ?
– Je ne joue pas, j’ai un faible pour vous ,je n’en dirais pas autant de votre comparse… Lui répond-elle en lui mettant la main à la braguette.
– Vous allez me faire bander !
– J’espère bien, j’ai envie se sucer de la bite là tout de suite.
– Mais si on nous voit ?
– Cela en sera encore davantage excitant. Alors ce baiser c’est pour quand ?

Vitali à ces mots approche sa bouche de celle de Dyane et les voilà partis pour un patin magistral.

Les mains de la femme ne restent pas inactives et détachent la ceinture de l’homme faisant chuter à terre le pantalon. Du coup Diane se baisse, dégage le caleçon et embouche ce sexe joliment bandé.

Le hasard me fit passer par là. Joli spectacle, Dyane est une excellente suceuse, de plus cette bite me semble tout à fait convenable.

– Alors on se donne du bon temps ? Intervins-je.
– On ne vit qu’une fois, il faut en profiter ! Répond Vitali, se prenant pour un philosophe.
– Vous me semblez avoir une bien belle bite, Dyane si tu pouvais arrêter de sucer que je la voie mieux.
– Pas moyen d’être tranquille ! Rouspète Dyane tout en se dégageant. Tiens, prends-en plein la vue, mais c’est moi qui suce c’est pas toi.

Pas grave, je m’astique le poireau en les regardant. Mais un moment Dyane s’arrête, fatigue de la position accroupie ou fatigue de la mâchoire ? Allez savoir ?

Vitali pose son regard sur mes attributs sexuels, il semble kiffer, ma bite n’a pourtant rien d’exceptionnelle, elle est désespérément moyenne ! Dyane s’en aperçoit…

– Qu’est-ce que tu fous, t’es en train de calculer la bite du capitaine. Si tu as envie de la sucer vas-y, il est très cochon mon capitaine.

Du coup le type n’hésite pas une seconde et viens me gober la bite.

Putain qu’est-ce qu’il suce bien, ce mec devait fréquenter les clubs gays en secret. Oh, ces petits coups de langue sur mon gland, ses balayages sur ma verge. A ce rythme-là il va me faire jouir prématurément.

Stoffer13Et comme si ça ne suffisait pas Dyane trouve très malin de passer derrière moi afin de me foutre son doigt dans le cul.

Je deviens incapable de me retenir et je décharge dans la bouche de Vitali. Il s’en lèche les babines, ce gros cochon !

Je m’assois par terre, afin de souffler un peu… Et voilà Indira qui s’amène, ça devient un vrai boulevard ici…

– Alors on s’amuse, on rigole, on fornique ! Se gausse-t-elle.
– Absolument et si tu veux participer mets-toi donc à poil. Répond Dyane

Elle fait sans hésiter une seconde alors que pendant ce temps, Dyane s’est retournée et penchée, offrant son joli cul à Vitali.

– Encule-moi, mon gros bébé !

Et tandis que Vitali la pilonne comme il se doit, Indira est venue face à elle et la débraille pour mieux lui peloter ses gros nichons.

Tout cela ne dure pas trop longtemps, Vitali trop excité par toutes ces péripéties ne peux plus tenir la distance et éclate sa jouissance dans le troufignon de Dyane qui braille comme une génisse.

– Ben, et moi alors ? Se désole Indira.
– Tu veux me nettoyer la bite ? Lui propose le détective.
– Voyons voir… Qu’est-ce qu’il y a sur cette bite ? Du sperme, de la merde !
– Ben oui, elle sort du cul de Dyane !
– La salope !
– Non mais dis donc ! Proteste l’intéressée.
– C’est plutôt toi qui devrais nettoyer ! Suggère Indira.
– On le fait à deux ?

Et les deux cochonnes entreprirent donc de purifier le membre de l’homme de tout ce qui le souillait.

– Et pendant que tu y es, nettoie-moi donc le trou du cul ! Proposa Dyane en lui exhibant son joufflu.
– T’es dégueulasse ! T’as plein de merde autour du trou !
– C’est bien pour ça qu’il faut nettoyer !
– Alors demande le moi gentiment !
– Ma petite chérie, nettoie-moi le trou de balle et après je te lécherais l’abricot.
– Demandé comme ça, je ne peux pas refuser.

Indira vint alors lécher toutes les tâches brunes autour de l’anus de sa partenaire.

– Alors, elle est bonne ma merde ?
– Délicieuse, tu veux gouter ?
– Hein quoi ?

Mais déjà Indira a collé sa bouche sur les lèvres de Dyane et les deux coquines ‘échange un long baiser au goût un peu particulier. Puis chose promise, chose due, Indira écarta ses cuisses afin que la blonde puisse venir lui faire minette.

Quelle ambiance, mes mais, quelle ambiance

Après quelques instants de récupération, Vitali se mit à parler.

– On est dans la merde,
– Pardon ?
– Quand on nous a confié cette mission, Maderna et moi étions certains de réussir, il y avait une énorme prime à la clé qui ne nous serait versée qu’en cas de réussite. On a un peu négocié et obtenu que 50 % de cette prime nous soit versée à titre d’acompte. Evidemment il y avait une clause de remboursement en cas d’échec de la mission, mais nous étions tellement confiants… Seulement voilà, on a échoué, l’acompte a été dépensé (peu importe les détails) et nous sommes incapables de rembourser.
– Ce sont les risques du métiers…
– Ne prenez pas ça à la légère, nous ne pouvons rentrer sur terre, nous n’avons pas de famille mais il va nous falloir survivre, si vous avez une idée pour nous aider, elle sera la bienvenue.
– Mon pauvre ami ! Vous savez faire quoi ?
– Maderna sait cuisiner…
– Eh bien on lui trouvera un poste de cuistot, je m’en occuperais personnellement et toi ?
– Je ne sais pas trop.
– Il y a des fermes à côté, le travail des champs ça te dirait ?.
– S’il n’y a rien d’autre…
– Et serveur, tu as déjà été serveur ?
– Ben non !
– Ça s’apprend assez vite, je pourrais t’embaucher dans mon cabaret, en plus comme tu es beau garçon ça te permettrait de faire des extras.
– Faire des extras, ça veut dire faire la pute ?
– Ce n’est qu’une question de vocabulaire, mais ce n’était qu’une proposition comme ça !
– Y’a une période d’essai ?
– Mais bien sûr, ma biche !

Epilogues

De retour sur Vargala-station, je suis allé faire un tour au Carrie’s bar où la charmante tenancière des lieux m’a informé que Topar avait vraisemblablement quitté la planète.

Indira s’est fait embaucher dans le salon de massage de Dyane, avec ses mains de fées, ça devrait aller pour elle.

Quant à Angie, dépitée de ne pas revoir son amant et furieuse de voir son projet d’empocher une prime juteuse s’envoler, elle réintégra docilement l’équipage du capitaine Trujillo.

Ainsi va la vie. Cette histoire de chevalier blanc m’a bien plu. J’aurais sans doute d’autres occasions.

A bientôt tout le monde

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 13:05

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 12 – Magouilles sur Vargala par Nicolas Solovionni
Trio2

Après s’être rhabillés, Vitali et Dyane descendirent à la buvette où suivant les instructions de cette dernière Maderna les attendaient déjà.

– Buvons le verre de l’amitié, ce serait indiscret de vous demander quelles sont vos intentions ?
– Je ne crois pas à la version soi-disant diffusée par Edina Von Graz, pour moi l’affaire n’est pas close…
– Et vous comptez faire quoi ?
– J’en sais rien, l’idéal serait de retourner là-bas, mais ça risque d’être compliqué…
– Compliqué mais pas infaisable ! Croit devoir ajouter Maderna
– Faisable comment ?
– On trouvera bien, on trouve toujours, c’est notre métier !
– Et si on collaborait ? Propose alors Dyane.
– De quelle façon ?
– Ah, ça j’en sais rien, mais je vais y réfléchir, en unissant nos forces et nos capacités on arrivera peut-être à quelque chose, ça s’appelle de la synergie !
– On pourrait se revoir pour en parler? Demande Vitali.
– J’allais justement vous le proposer.

Je me devais de faire un petit saut au Carrie’s bar. Coup de bol, Carrie et Marcia, sa mère sont dans la salle. Bisous, bisous, on est super content de se revoir, on boit un coup, on rigole et fatalement elles me demandent si un petit câlin me conviendrait.

Bien sûr que ça me convient et je dois dire que j’ai autant envie de l’une que de l’autre, même si mon attirance pour Marcia ne se limite pas à son agréable physique.

En chambre les deux femmes se déshabillent sans un mot et je fais de même.

Les voilà qui s’approchent de moi. Je me sens tout con, mes yeux zigzaguant de l’une à l’autre, je devrais dire pour être honnête d’une poitrine à l’autre !

Stoffer412Ça y est, elles posent leurs mains sur moi, celles de Marcia sur mes fesses, celles de Carrie sur mes tétons qu’elle serre fortement. Le résultat est radical, je bande comme un collégien.

Mes propres mains ne peuvent rester inactives, je pelote, les cuisses, les bras, les fesses, les seins… surtout les seins.

Ceux de Marcia sont à portée de ma bouche, mes lèvres s’emparent de ses gros tétons turgescents et je me régale, tandis que Carrie m’a choppé la bite et la masturbe avec beaucoup de savoir-faire.

Evidemment, la suite était inéluctable, Carrie se baisse et fourre tout ça dans sa bouche. Putain qu’elle suce bien, quelle langue diabolique !

Marcia s’est dégagée de mon étreinte, et passée derrière moi entreprend de me travailler le troufignon, d’abord de la langue, puis du doigt qu’elle enfonce hardiment avant de le faire bouger comme il se doit.

A ce régime je crains de jouir prématurément, mais je ne crains rien, je suis entre les mains de deux bonnes professionnelles, complices dans le plaisir ce qui ne gâche rien bien au contraire.

Je ne sais comment je me suis retrouvé sur le plumard, Carrie s’est quasiment assise sur mon visage offrant ses intimités à ma concupiscence.

Sa chatte a un goût de miel, son cul sentirait plutôt l’andouillette. Qu’importe ou plutôt tant mieux, j’ai toujours été amateur du sucré-salé !

Marcia laisse pour le moment ma bite tranquille et me masse de l’extrémité de ses doigts, en ne négligeant pas mes tétons qu’elle tortille comme une furie. J’adore !

Carrie se dégage, elle chuchote je ne sais quoi à sa maman, elles rigolent, puis s’embrassent sur la bouche. Quel spectacle de voir ainsi la mère et la fille se rouler une galoche, mais je sais pour les avoir déjà vu à l’œuvre qu’elles peuvent aller encore plus loi (voir Stoffer 3 – la bâtisse rouge)

Alors effectivement, ça dégénère, pour mon plus grand plaisir, la main de Carrie se pose sur la chatte de sa mère, laquelle, vous vous en doutez-bien lui rend la politesse.

Elles ne vont pas rester comme ça ?

Non, elles roulent à côté de moi, m’obligeant à me pousser, Marcia est sur le dos, sa fille lui grimpe dessus tête bêche, les voici donc en soixante-neuf.

Et moi dans tout ça ? M’auraient-elles oublié ? Bien sûr que non, elles m’offrent un spectacle et ce spectacle est bon puisque je bande ! Oh, que je bande !

Evidemment la position qu’elles ont prise ne me permet pas de tout voir, n’empêche qu’assister au ballet de la langue de Maria léchant la chatte de sa propre fille à quelque chose d’infiniment excitant et troublant.

Et puis ce qui devait arriver arriva (et très vite), Marcia est agitée de soubresauts, le sang lui monte au visage, elle crie, elle hurle, elle gueule. Elle souffle quelques instants puis reprend ses léchouilles visant cette fois le clito de sa fille afin qu’elle puisse la rejoindre dans l’extase.

– On est coquine, hein ? Commente simplement Marcia
– De belles coquines !
– Tu veux enculer ma mère ? Me propose Carrie.

Dame, je ne vais dire non !

D’ailleurs Marcia n’a pas attendu mon accord pour se positionner en levrette, croupion relevé, jambes écartées, trou offert.

Ce spectacle est trop beau, j’écarte un peu plus ses globes fessiers, j’y mets la langue, j’adore sucer un bon trou du cul… Puis j’enfonce ma bite, ça rentre comme un couteau dans une motte de beurre. Et je m’agite comme un beau diable pendant que Carrie passée derrière moi me pince mes tétons.

Je ne suis pas « bite d’acier » et je sais que je ne vais pas tenir très longtemps, trop excité que je suis. Je tente néanmoins de me maîtriser mais quand on ne peut pas, on ne peut pas… Le désir m’emporte, je décharge dans le fondement de Mamie Marcia, je décule. Elle n’a pas joui, mais elle l’avait fait avant et puis cette sodomie c’était pour me faire plaisir : Elle est trop gentille !

– On te laisse te rhabiller, on redescend, me dit Carrie.

Je me fais une petite toilette intime avant de me rhabiller, puis je sors de la chambre. A ce moment-là la porte de la chambre contiguë s’ouvre et je vois qui apparaître ? Je vous le donne en mille ? Topar !

– Topar ! Mais qu’est-ce que vous foutez là ?
– J’ai reconnu votre voix.
– OK mais ça. ne répond pas à la question.
– Je suis en danger de mort, soyez sympa, prêtez-moi une arme.
– De quoi ? Attendez une minute, je reviens.

Je rejoins les filles, leur explique que j’ai rencontré une vieille connaissance sur le palier de l’étage… qu’il ne faut pas qu’elles s’inquiètent… et remonte voir l’individu.

– Bon alors qu’est-ce qui se passe ? Vous n’avez pas pu rejoindre la presqu’île ?
– Si, mais on m’a exfiltré.
– C’est quoi cette histoire ?

Alors il m’a raconté. Je comprends donc que son tueur mafieux, flairant le gros coup, cherche à faire cavalier seul.

– Je me fais aucune illusion, quand le type n’aura plus besoin de moi, il m’éliminera. Donc si je veux éviter ça, il faut que ce soit moi qui le tue.
– Ben voyons ! Mais tu n’as pas besoin d’armes, costaud comme tu es, je t’ai bien vu faire sur le tarmac.
– Je veux mettre toutes les chances de mon côté… Il ne va pas m’attaquer de face, c’est un sournois.
– Je n’ai pas d’armes sur moi et même si j’en avais une, je ne vous la prêterais pas.
– Vous me conseillez quoi, alors ?

Il m’emmerde ce mec. Il est réellement paniqué. J’ai peur qu’il fasse une connerie et que Carrie ait des ennuis.

– Faites ça dehors !
– Comment ça dehors ?
– Débrouillez-vous, je ne suis pas votre chaperon. Et puis ne me dites pas que vous n’avez pas d’idée, vous étiez dans la police, non ?
– Et après je vais où ?
– Vous trouverez bien.

Kloben après maintes réflexions se dit qu’avant de prendre une décision définitive il serait opportun de prendre avis auprès d’une personne susceptible de s’impliquer dans cette affaire.

Le choix est rapide, beaucoup de capitaines sont en mission, il pense alors à El Menhir.

El Menhir est un vieux baroudeur, en retraite il gère un restaurant aux prix prohibitifs mais fréquenté par quelques voyous huppés et autres parvenus locaux. Grand ami d’un cadre de la mafia locale, il lui est arrivé de rendre service à celle-ci qui en échange ne s’est jamais trouvé très regardante sur ses activités. Pas vraiment mafieux mais très proche de ces derniers et se considérant comme membre de la « famille ».

« Il est en retraite mais c’est bien connu, tous les gens en retraite reprennent parfois du service quand il y a un gros poisson au bout de la ligne. »

El Menhir a déjà vu ce client attablé devant une salade et qui demande à lui parler. Il ne saurait dire où, mais c’est vrai que sur Vargala-station, tout le monde se connait de vue.

– Bonjour, je suis El Menhir, je vous écoute.
– J’ai un gros tuyau, un très gros tuyau, je ne sais pas quoi en faire, alors je le vends
– C’est quoi le tuyau ?
– Je sais où se trouve Edina Von Graz.

El Menhir parvint à dissimuler sa surprise. Cela faisait la troisième fois en quelques jours qu’on lui parlait de ça.

– Hum, le souci, c’est qu’elle n’est plus retenue en otage. Elle a publié un communiqué, vous n’êtes pas au courant ?
– Si, mais c’est une manœuvre de diversion.
– En indiquant sa position ! Ça ne tient pas debout.
– Je suis bien informé, croyez-moi !
– Et votre source…
– Je ne la divulgue pas.
– Alors aurevoir monsieur, je vous laisse terminer votre salade !.

N’empêche que El Menhir aurait bien voulu savoir. Il prit son temps pour se lever de son siège.

« Il va me le dire, je le sens ! » Se dit Kloben

– Si je vous indique ma source, je prends un très gros risque.
– C’est vous qui voyez.
– J’ai rencontré un type dans un rade, il était bourré et il m’a fait des confidences.
– Tss tss. C’est ça votre version à risques ? Racontez-moi autre chose ou je laisse tomber.
– Bon, je travaille un petit peu pour la mafia…

Tilt.

Évidemment Kloben ignore à qui il a réellement affaire et raconte l’histoire avec insouciance. Grave erreur, les gens de la Mafia détestent que l’un des leurs profite de la situation pour faire cavalier seul.

Et toujours est-il que El Menhir engendra le maximum d’informations et qu’ensuite plus personne n’entendit plus parler de Kloben. (étonnant, non ?)

Dyane est venue me trouver plusieurs fois pour me faire part de son inquiétude à propos des deux détectives.

– Ils sont pugnaces et plus intelligents qu’on pourrait le penser, ils vont tenter quelque chose, je le sens.
– Et s’ils ont un plan, tu penses qu’ils vont te faire des confidences ?
– Je n’en suis pas là, mais je crois que je peux gagner leur confiance.
– Ben alors continue.
– Je peux emprunter ton vaisseau ?
– Hein, quoi ? Et pour aller où ?
– Nulle part, je vais leur faire visiter et leur faire croire que je peux en assurer le commandement.
– Et ensuite ?
– Ensuite j’improviserai, tout dépendra de ce qui leur passera par la tête ?
– Ils vont te demander de les conduire dans le système de V6783
– Oui mais là je peux les faire lanterner, leur dire qu’il faut que je constitue un équipage, que j’ai besoin de tes codes de commandements, tout ça…
– Et ensuite ?
– Ensuite, je ferais confiance à mon sens de l’improvisation !

Topar ne comprend pas, il a élaboré dans sa tête toute une série de scénarios propre à éliminer définitivement Kloben. Oui mais voilà, cela fait trois jours que ce dernier n’a pas donné de nouvelles.

– Est-ce que vous pouvez joindre le capitaine Stoffer et lui demander de passer me voir ? Demande-t-il à Carrie.
– Vous n’avez pas de spacephone ?
– Je n’ai plus rien !
– Mon pauvre Monsieur ! se gausse-t-elle. Bon, je le préviens.

Je suis donc passé. Que peut bien encore me vouloir cet emmerdeur ?

Il m’explique.

– Il a dû se passer quelque chose, mais ne comptez pas pour moi pour faire une enquête. Lui signifiais-je.
– Vous n’êtes pas sympa.
– Pourquoi ? Je vous dois quelque chose ?
– Non, mais un conseil ça ne coûte pas cher.
– Restez au chaud ici et prévenez votre hiérarchie de venir vous chercher.
– Oui, bien sûr. Mais je n’ai plus de spacephone. Vous me prêtez le vôtre ?
– Certainement pas, mais je peux vous en dégottez un.

El Menhir a beaucoup réfléchi. Ses trois sources se recoupent parfaitement. Il convoque Indira.

– Le sas, c’est la seule entrée ?
– Pour un humain oui, mais les poissons en ont une autre.
– Pardon ?
– La base est construite sur l’extrémité d’une île. L’arrière donne sur l’océan, c’est ici que l’on recueille nos poissons, un simple coup de filet automatisé et hop, ils vont directo à la congélation.
– Et un homme peut emprunter cette voie ?
– Euh, je sais pas trop, peut-être qu’en faisant un trou dans la glace…
– T’as une idée de l’épaisseur ?
– Non.
– On saura faire, tu peux nous faire un petit plan, comment à partir de la nasse aux poissons, rejoindre les parties habitables…
– Oui, je peux faire ça.
– Tu le fais maintenant ?

Indira dessina un petit croquis que l’homme examina.

– Bon je vois à peu près le topo. On passe en force, quatre hommes devraient suffire, on fait un massacre et on embarque la mère Von Graz morte ou vive. Le temps de constituer une petite équipe et c’est bon pour moi.
– Mais pourquoi faire un massacre ?
– Parce que c’est comme ça qu’on gagne les batailles, dixit Napoléon Bonaparte.
– On ne peut vraiment pas faire autrement ?
– C’est fini tes scrupules de vierge effarouchée ? De quoi tu te plains ? T’auras ta part de prime comme convenu.

Indira ne répond pas, épouvantée par les propos de l’homme…

– Le temps de trouver un capitaine, quelques gros bras et j’y vais, inutile de trainer. On aura peut-être besoin de toi, je te préviendrai

Je pensais l’affaire terminée, j’étais tranquillou, seul chez moi quand mon interphone se manifesta en me dévoilant le visage d’Indira.

Qu’est-ce qu’elle me veut celle filoute ?

Je la fais monter. Elle arbore une mine affreuse.

– Je viens de faire une connerie, une très grosse connerie, il n’y a que toi qui puisses arranger les choses.
– Allons bon !
– Je pensais me faire un peu d’argent facile et c’est en train de tourner en cauchemar…
– Si tu me racontais…

Alors elle m’a raconté…

– Mais t’es vraiment la reine de connes.
– Je sais. Me dit-elle avant de fondre en larmes.
– Bon on se calme.

Je laisse passer l’orage et je réfléchis. La solution serait de me trouver au dôme avant l’arrivée de cet El Menhir qui me paraît effectivement être un type bien douteux.

– Bouge pas, je vais voir si je peux faire quelque chose.

Je téléphone aux membres de mon staff. Pour diverses raisons, ni Nerren, ni Dilos, ni Nadget ne peuvent se libérer rapidement. Dyane peut mais il y a un imprévu et de taille…

Alors juste un petit flash-back

Dyane a donné rendez-vous aux deux détectives.

– Je peux vous assurer le transport jusqu’au système de V6783, là où se trouve Edina Von Graz, et gratuitement encore, vous me dédommagerez après. Annonce-t-elle fièrement.
– Et par quel prodige ?
– Stoffer me prête son vaisseau.
– Oh, mais c’est très bien, ça ! Et on pourrait partir quand ?
– Très bientôt, il faut que je constitue un équipage, peut-être engager quelques mercenaires pas trop idiots et puis j’ai des codes à récupérer tout cela va prendre je ne sais pas… mais ça ne devrait pas excéder trois jours.
– Mais c’est super, ça ?
– Résiliez votre location d’hôtel, on se retrouve à l’astroport, je vous monterai vos cabines .
– Déjà ?
– Ben oui.

C’était donc cela le « petit imprévu » (fin du flashback)

– Tu me les vires ! Dis-je à Dyane.
– Mais non ! C’est une aubaine, ils vont pouvoir rencontrer Edina et ils vont se retrouver le bec dans l’eau.
– Bon admettons…

Je contacte l’astroport et visualise les demandes d’emploi, j’engage un navigateur, un ingénieur de bord et deux agents de sécurité. Je fixe le départ au lendemain et peux reprendre mon dialogue avec Indira.

– Ok, je t’emmène. Lui dis-je
– C’est que El Menhir veut que je l’accompagne.
– Pour mieux te mettre hors circuit, laisse-le poireauter.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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