Mercredi 8 mars 2023 3 08 /03 /Mars /2023 09:17

C’était le début
par Liouba

Fetish

J’étais déjà une bonne salope quand mon ami m’a proposé avant de vendre occasionnellement mes charmes, de m’en servir comme monnaie d’échange.

Il avait l’intention de remplacer son téléviseur et avait fait le choix d’un tout petit magasin, dont, l’unique vendeur était le patron (beau mec la quarantaine sportive)

L’accueil fut d’emblée chaleureux et pendant qu’il argumentait sur les avantages de chaque téléviseur, son regard ne manquait pas de plonger dans mon décolleté que mon ami avait voulu généreux pour l’occasion…

Quand son choix fut fait, le beau mec nous fit asseoir dans des fauteuils profonds en face son bureau. Je demeure convaincu que ces fauteuils avaient été choisis uniquement en pensant que des femmes y prendraient place car, à moins de s’asseoir sur le bord et de serrer les genoux, une femme, assise au fond du fauteuil, ne pouvait, si elle n’y prenait garde , empêcher certains regards indiscrets.

Liouba VToujours à la demande de mon ami je n’avais pas de culotte ne faisait rien, bien sur, pour empêcher le regard du maître des lieux de se glisser entre mes cuisses et je commençais à être très excitée A la coloration que pris son visage et à son sourire entendu, mon ami et moi avons tout de suite compris qu’il était sensible aux « arguments »que je lui proposais et qu’une certaine négociation était possible. J’avais laissé ma jupe remonter si haut sur mes cuisses que j’aurais pu tout aussi bien l’enlever.

Afin que la « négociation » soit discrète. Le vendeur ferma le magasin et nous invita à passer derrière dans son autre bureau. Mon ami proposa de payer la moitié en espèces et le reste en trois traites dont la première à encaisser tout de suite, sur le bureau. Mon ami avait dégrafé ma jupe qui était tombé à mes pieds et ouvert mon corsage Le type prit sa calculette et finalement après un coup d’œil sur ma nudité accepta la transaction. Les deux autres traites se réglèrent aussi bien sur par des coups de queues, après avoir sur le bureau encaissé la première.

C’était le premier pas, ensuite j’ai acheté plusieurs paires de chaussures en compagnie de mon ami de la même façon. A chaque fois j’étais tellement excitée, que quand mon ami m’a proposé de faire la pute, j’ai accepté sans aucune hésitation. Même le mot « pute » m’excitait et m’excite encore.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Mercredi 8 mars 2023 3 08 /03 /Mars /2023 09:15

Confessions d’exhibitions

culmat


Fesses à l’air au bureau
par Jocelyne_D

 

Lisant un récit à propos de la fessée imposée à une femme par son employeur, ça m’a fait penser à mon cas personnel et m’a incité à vous le raconter. Je travaille depuis près d’un an dans une agence d’une grande entreprise d’assurances, et je suis satisfaite de mon emploi bien payé et de mes conditions de travail assez particulières.

Nous sommes quatre à travailler dans les mêmes locaux, trois femmes dont moi qui m’occupe du standard et notre chef direct, Roger, un homme d’une cinquantaine d’années.

Lors de mon entretien d’embauche, le chef en question a été très direct et m’a dit que j’avais le choix entre être payée le smic ou un salaire de 2.300 € brut. Quand je lui ai demandé sur quoi reposait cette différence de salaire pour un même job sans qualification particulière, il m’a expliqué sans se démonter que je gagnerais les deux mille trois cent roros si j’acceptais de venir travailler tous les jours en jupe… et sans culotte.

Bien sûr, j’ai été d’abord soufflée du culot du type et j’ai commencé par refuser énergiquement en menaçant d’aller de ce pas porter plainte contre ces méthodes sexistes et machistes. Mais il m’a rattrapée et s’est mis à rire en me disant que les deux femmes qui travaillaient ici étaient déjà elles-mêmes sans culotte sous leur jupe, qu’elles ne s’en portaient pas plus mal, et qu’il n’exigerait strictement rien de plus. Il m’a laissé jusqu’au lendemain pour réfléchir.

Rentrée chez moi, j’ai mal dormi en pensant toute la nuit à cette proposition aussi bizarre qu’indécente. Un fils de 8 ans à charge, j’étais au RMI depuis plus de six mois, et les 2.300 € mensuels étaient dans ces conditions bien alléchants. Le lendemain matin, Roger me rappelle et me demande si j’ai réfléchi. Comme je ne sais toujours pas quoi répondre, il me passe l’une de ses employées qui me raconte qu’effectivement, elle-même ne porte jamais de culotte, que c’est la condition pour bosser et qu’à part ça l’ambiance est sympa, Roger n’exigeant rien de plus. Je ne sais pas pourquoi mais cette situation commence malgré moi à m’émoustiller, et je décide de retourner là-bas pour voir de plus près comment est l’ambiance de travail.

Je suis reçue par les deux femmes (sans le chef) qui se montrent très gentilles et très persuasives, n’hésitant pas à relever leurs courtes jupes pour me montrer qu’en effet… Bref, je passe sur les détails et mes dernières hésitations.

J’ai finalement accepté de tenter l’expérience, et j’ai effectivement été engagée à 2.300 € (pour un job de standardiste !). Ce que mes collègues ne m’avaient pas dit à l’époque c’était que Roger avait tout de même les mains très baladeuses, et j’ai pu m’en apercevoir très vite. Il ne se passe jamais un jour sans qu’il nous colle les mains aux fesses sous les jupes, mais c’est exact qu’il ne cherche jamais à aller plus loin. Aujourd’hui, je suis très satisfaite de ce travail cool et très bien payé, d’autant plus que le fait d’avoir les fesses à l’air et de ressentir une main s’y balader de temps en temps me maintient dans un état d’excitation permanent très agréable.

Mon petit ami ne sait évidemment rien de cette situation, mais il trouve que je suis devenue beaucoup plus portée sur le sexe qu’avant que je trouve ce travail ! Je sais que ce genre de situation peut être considéré comme du harcèlement sexuel (c’est d’ailleurs ce que j’ai pensé au début), mais il est des fois où ce « harcèlement » peut être très agréable, surtout s’il correspond à des fantasmes que l’on a, et si le chef est habile et sympa.

Je suis sûre que d’autres femmes pensent comme moi et connaissent ce genre d’expérience au boulot.

Bisous à tous les lecteurs.

Au bord de la rivière par Mike67

C’est le printemps, nous allons souvent au bord d’une petite rivière passer l’après-midi. Tandis que je pêche, ma copine Yolande lit et bronze au soleil. L’endroit est très isolé, nous y sommes seuls tout le temps

 

Ce jour-là avant de partir, je lui suggère d’enfiler un débardeur très court et une minijupe ample très raz des fesses. Elle est nue dessous mais elle sait qu’où nous allons il n’y a personne. (du moins c’est ce qu’elle croit)

 

Je descends son sac pour le ranger dans le coffre, dans le garage je l’ouvre et vérifie ce qu’elle emporte. Il y a un maillot de bain et une serviette, je les retire du sac et les cache puis referme le sac et le remets dans le coffre.

 

Elle me rejoint et monte en voiture. Tandis que nous roulons je la félicite pour sa tenue sexy et la rassure de nouveau en lui rappelant que toutes les fois l’endroit est désert, elle me répond que c’est pour cette raison qu’elle a accepté de garder cette jupe sans culotte sinon elle n’aurait pas cédé car c’est vraiment trop court.

 

Nous arrivons à la rivière, je me gare et prends les sacs dans le coffre. Yolande est déjà engagée dans le petit sentier qui mène à la crique, elle s’est hâtée pour éviter d’être vue sur la route. Il y a 5 mn de marche encore à travers des buissons, je la regarde marcher, sa jupe est vraiment courte elle couvre à peine le pli des fesses et le vent qui s’est levé la lui soulève facilement découvrant ses rondeurs généreuses. Enfin nous arrivons, j’installe nos tapis sur les galets ronds, elle ouvre le sac et s’aperçoit qu’il n’y a pas de maillot:

 

– J’ai oublié mon maillot et les serviettes ! Dit-elle

– Ma pauvre, tu n’as pas de tête !

– C’est que tu étais tellement pressé de partir…

– Ça y est, ça va être de ma faute…

 

Elle ne répond pas et s’assoit sur son tapis.

 

– Tu vas pas rester comme ça ! Lui dis je

– Ben si, puisque je n’ai pas de maillot !

– T’as qu’à te foutre à poil ! Y’a personne !

 

Elle se met debout et quitte ses vêtements en les rangeant soigneusement dans le sac et va s’allonger au soleil sur une pierre plate au milieu du ruisseau. Je reste près des sacs à l’ombre pour lire un peu. Le temps passe, je vais voir Yolande et comme elle ne répond pas je lève ses lunettes de soleil, je constate qu’elle s’est assoupit, je la laisse dormir, le soleil est faible et avec la crème elle ne craint rien. Je me replace sur mon tapis et reprends ma lecture.

 

Un homme surgit, il me salut en passant. Tandis qu’il continue de descendre la rivière , je fais mine d’être plongé dans ma lecture et l’observe discrètement. Il est debout sur la berge juste en face de Yolande et la regarde en se tripotant la braguette. Yolande est sur le dos, ses cuisses légèrement ouvertes dévoilent ses lèvres intimes, son pubis rasé la rend indécente, ses seins lourds aux larges aréoles roses sont bronzés mais invisibles pour le moment.

 

– Ne la réveillez pas ! Lui dis-je doucement en m’approchant.

 

Il se recule un peu gêné en me souriant et se sauve rapidement dans les buissons. Je reste seul déçu qu’il ne comprenne pas. Me retournant, je vois Yolande assise sur la pierre:

 

– Il est parti?’ demande t elle

 

Elle m’avoue s’être rendu compte qu’on l’observait et par peur elle est restée immobile.

 

– Tu vois c’est pas difficile de s’exhiber ! Lui dis je

– Oui, bon ! On ne va pas épiloguer…

 

Je m’approche et la caresse entre les cuisses, elle est vite excitée

 

– Tu as apprécié d’être matée on dirait ?

– Oui j’avoue… un peu… Mais tu ne vas pas me demander de recommencer ?

– Disons que c’est un jeu !

– Tu exagères !

 

Je lui pelote les fesses, elle se laisse faire en gémissant.

 

Un homme sort des buissons, il s’approche timidement. Je lui fais signe de venir plus près, sa braguette est ouverte.

 

– Tu ne la touches pas, mais si tu veux te branler, tu peux.

 

Le mec à sorti son chibre et se masturbe frénétiquement. Ça ne dure pas longtemps et il envoie son sperme sur les fesses de Yolande.

 

– Cochon ! Lui dit-elle.

 

L’homme disparaît.

 

– Salaud qu’est-ce que tu m’a fait faire ? me reproche-t-elle

– Mais je ne t’ai rein fais faire tu avais toute liberté pour l’envoyer promener , tu ne l’as pas fait!

– Ah, c’est vrai !

– Tu vas faire quoi maintenant ?

– Je vais attendre, dès fois qu’l vienne un autre cochon !

 

 

Glups !

 


Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Mercredi 8 mars 2023 3 08 /03 /Mars /2023 09:11

Ghita par Youssef

Fathia

Elle s’appelait Ghita et était déjà là à mon arrivée au bureau, ce matin de Juillet.

Ghita était de ces brunes qu’on ne voit que dans les magazines, peau satinée, yeux marrons noisette et visage innocent, pour l’occasion de son entretien d’embauche, elle avait mis un magnifique tailleur écru, qui mettait encore plus en valeur son teint hâlé, sur une chemise blanche aux larges rayures noires…

24 ans, diplômée d’une grande école de commerce, Ghita postulait un poste dans mon département et avait passé avec brio l’étape des RH et du cabinet de recrutement.

Subjugué par son charme, je me suis avancé vers elle et ai balbutié mon nom, comme un jeune adolescent qui aborde une fille pour la première fois. Je sentais le regard pesant de l’assistante sur nous. Je me suis ressaisi. Et pour faire l’intéressant, je l’ai fait patienter un moment.

Je suis rentré dans mon bureau, ouvert les fenêtres pour aérer, ouvert mon ordinateur (pour faire sérieux)… j’étais dans un état tout à fait anormal.

Je l’ai ensuite fait venir, je lui ai proposé un café et nous entamâmes notre entrevue.

Sa voix si suave me faisait suer, je me perdais dans son regard, dans son magnifique décolleté… Elle m’interrompu à plusieurs reprises en me demandant si j’allais bien.

Evidemment, je l’ai retenue et lui ai demandé de commencer le lendemain matin, ce qu’elle accepta.

Cette nuit, j’ai pris ma femme comme une bête en fantasmant sur la jeune Ghita.

Le lendemain matin, je me suis réveillé de bonne heure et me suis mis sur mon 31. Je suis arrivé au bureau à l’heure (pour une fois) et suis tombé sur Ghita dans l’ascenseur. J’avais envie de la prendre là, à cet instant, devant tout le monde, mais je me suis retenu, non sans difficultés.

Ce jour-là, j’ai tout fait pour programmer une réunion tard dans la soirée avec un client et où j’ai invité Ghita pour son initiation.

Le soir arrivée, nous allâmes diner avec ledit client dans le restaurant d’un hôtel sympa. là encore, j’étais subjugué par son aisance, sa beauté, son style, ses cheveux, ses yeux, ses rondeurs, son sourire… Elle arriva à convaincre le client d’augmenter son budget de 15% rien qu’avec des arguments bidons, mais tellement convaincants.

Après le diner, le café, le client se retira et j’ai proposé à Ghita de fêter sa première victoire commerciale comme il se doit.

Nous sommes allés au bar de l’hôtel pour prendre un verre. Elle s’est excusée un instant et s’est retiré dans les toilettes, à son retour, j’ai remarqué qu’elle avait déboutonné sa chemise et mis en valeur son décolleté, elle avait réajusté sa jupe et quitté sa veste. Là, j’étais survolté, surexcité… était-ce là une invitation explicite ou s’était-elle simplement mise à l’aise après une longue et rude première journée de travail.

Elle arriva à mon niveau et me murmura à l’oreille :

– Peut-on changer d’endroit, je me sens observée.

Aussitôt dit, aussitôt fait, nous sortîmes du bar pour aller au lougne, plus discret, plus intime.

Je l’ai prise par la hanche dans un geste maladroit et crispé, elle mis sa main sur la mienne… j’ai cru un instant que la terre allait trembler tellement j’étais survolté, et au lieu de me retirer ma main, elle la réajusta, sans dire un mot.

J’ai choisi un table dans un coin retiré du lounge et nous nous sommes installés, face à face. Dans un mouvement subtile et d’une grande élégance, elle se glissa sur la banquette près de moi et feint de vouloir voir la carte.

J’ai à peine eu le temps de passer commande qu’elle me dit :

– Je suis très heureuse de vous avoir comme patron.

La phrase résonna dans tout mon être.

Nous nous sommes alors regardés, et comme si une force invisible nous poussait l’un vers l’autre, nos lèvres se sont effleurées, puis nos joues, puis nos langues… je n’ai jamais été embrassé aussi suavement de ma vie. à peine fûmes nous servis qu’elle prit un glaçon qu’elle mit dans sa bouche et m’embrassa le cou, derrière les oreilles, puis le cou puis les tempes, puis les joues, puis les lèvres.

Nous nous regardions, tels deux adolescents, perdus, excités, affamés… au bout d’une ou deux minutes de silence, elle me dit :

– As-tu réservé ici ou veux-tu qu’on parte ailleurs?

Prévoyant, j’avais déjà pris une chambre dans cet hôtel, que j’avais pris le soin de mettre sur le compte de l’entreprise.

Dans l’ascenseur déjà, je l’ai embrassé goulument, elle déboutonna ma chemise et entreprit de me lécher le torse.

A peine la chambre ouverte, je lui ai arraché sa chemise et elle fit de même pour la mienne, elle ouvra ma ceinture et retira ma verge, déjà toute raide et dégoulinante de désir. Elle entreprit alors une magnifique séance de flirt avec ma queue, de plus en plus raide et de plus en plus chaude. Elle la léchouillait, la mordillait, l’embrassait mais sans la prendre en bouche, ce qui augmentait mon excitation, je pris ma queue et l’ai guidé vers sa bouche mais elle esquivait magnifiquement. Soudain, pris par un désir indescriptible, je l’ai jeté sur le canapé et lui ai présenté ma verge toute excitée devant sa bouche, presque violemment, dans un geste directif.

Encore une fois, elle arriva à renverser la situation en me renversant sur le fauteuil, et cette fois, elle s’installa à genou devant ma queue et m’administra la meilleure fellation qu’il m’ai été donné de vivre, de voir et ou de décrire. Un parfait mélange entre succion et léchage, en trois temps deux mouvements, j’ai éclaté dans une jouissance magnifique.

Et comme si de rien n’était, mademoiselle continua sa succion, son léchage jusqu’au nettoyage complet de ma verge. Elle se mit ensuite debout, et dans un mouvement d’une rare sensualité, elle entama un strip d’enfer. Ses mouvements étaient tels que j’arrivais à imaginer la musique sur laquelle elle dansait, mélange entre du latino et de la soul.

Elle ôta sa jupe, toute tâchée de sperme, relâcha ses cheveux, ôta ses chaussures puis ses bas, mais garda ses soutiens et son string.

GhitaElle se rapprocha vers moi et sans dire mot, me repris la verge, encore toute raide, en bouche et réentama un va-et-vient sensuel. Ce faisant, elle m’aida à me défaire de mon pantalon, de mon caleçon et de mon marcel.

Et comme dans une chorégraphie parfaitement maitrisée, elle remonta, tout en se déhanchant, le long de mon ventre, puis mon torse pour arriver à mon cou. Je sentais son corps nu sur le miens, mais il y avait encore son soutien-gorge qui me dérangeaient, dans un geste fin, j’ai libéré ses magnifiques seins de sirène. Je pris ses tétons, déjà durs, dans ma bouche et j’ai essayé, tant bien que mal, de lui rendre sa succion, en les caressant du bout de la langue, elle me chevaucha, en gardant son string, et m’offrit sa poitrine dans une sensualité divine.

Je sentais ses reins se cambrer à chaque mouvement de ma langue, et à chaque caresse de mes mains.

Soudain, comme prise par une soudaine envie de baise, elle me jeta sur le canapé, pris ma verge de sa main et la présenta, tel un cadeau, à l’entrée de sa chatte, dégoulinant, en écartant le string, tout mouillé.

Je n’ai jamais, de ma vie, vue une fille se déhancher comme elle, elle entreprit un va-et-vient rythmé par les spasmes de son corps… tout à coup, elle s’arrêta net, me regarda dans les yeux et explosa dans une jouissance phénoménale. Instantanément, je jouis à mon tour en elle et nous nous écroulâmes l’un sur l’autre pour reprendre nos esprits.

Elle me regarda et me dit:

– Tu as aimé?
– Comment ne pas aimer le plus bel instant de ma vie?
– Et si tu avais à le valoriser, à combien le paierais-tu, si tu en avais l’occasion?

J’ai trouvé la question très bizarre, mais, je répondis, naïvement :

– A tout l’or du monde.
– OK, mais, concrètement, donne-moi un chiffre, en dirhams.
– Comme ça, je dirais 3.000 dirhams,
– OK, se sera désormais notre tarif !

Sa phrase fut d’une telle surprise qu’elle le remarqua et rétorqua :

– Cette fois, je te l’offre, car tu es mon patron. Allez, regarde ce qu’il y a dans le mini bar, reprend des couleurs, la nuit est longue.

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Mercredi 8 mars 2023 3 08 /03 /Mars /2023 09:03

La signature du contrat par Fleur02
Stamp sodo2

Ce soir-là, mon mari avait invité à la maison un important client. Il m’avait demandé de me faire belle. Cette soirée comptait énormément pour lui. Il y avait à la clé un important contrat et de sa signature dépendait une belle promotion pour lui.

Je m’étais donc habillée sexy. Je portais une robe noire très courte qui mettait bien en valeur mes longues jambes. Le haut, décolleté, laissait voir la naissance de mes seins. Un soutien-gorge noir en bandeau se distinguait à peine. En bas, j’avais mis un minislip noir en dentelles et une paire de bas auto-fixants.

A l’heure prévue, son invité est arrivé. Charmant, la quarantaine environ, il avait amené des fleurs ce qui me fit très plaisir. Pour prendre l’apéritif, nous nous sommes installés au salon. Mon mari et cet homme se sont assis sur le divan. Je me suis retrouvée dans un fauteuil en face d’eux. En m’asseyant, ma robe très courte est encore remontée dévoilant nettement le haut de mes bas. Notre invité n’a rien raté du spectacle que je lui offrais involontairement. J’ai surpris son regard et me suis mise à rougir. J’ai ensuite tiré sur le bas de ma robe mais sans grand résultat. J’ai quand même fait attention à garder les jambes serrées. L’apéritif s’est déroulé normalement, mon mari faisant le service.

Puis nous sommes passés à table. Mon mari s’est placé en face de son client et je me suis retrouvée à côté de lui. Au début du repas, je me suis occupée du service pendant que les hommes parlaient entre eux de travail. Le repas était très agréable et les conversations ont vite dévié sur des sujets plus légers. Arrivés au fromage, mon mari s’est aperçu qu’il n’y avait plus de vin et s’est levé pour aller en chercher à la cave.

Je me suis retrouvée seule avec notre invité. Il s’est alors mis à me complimenter. Je le remerciais lorsque j’ai senti sa main se poser sur ma cuisse à la lisière de ma robe.

– Je vous en prie, arrêtez ! Mon mari va revenir, m’exclamais-je totalement surprise par ce geste.
– Allons, vous êtes tellement sexy. Laissez-vous faire. J’ai envie de vous caresser. Vous savez que vous me faites énormément d’effet ?
– Non arrêtez enlevez votre main.

Mais il avait déjà glissé sa main jusqu’au-dessus de mes bas et le contact avec ma cuisse me donna le frisson.

A ce moment-là, un bruit dans le couloir lui a fait enlever sa main. C’était mon mari qui revenait une bouteille à la main. Je me suis alors levée précipitamment pour aller dans la cuisine. Mon mari m’y a suivi, se doutant de quelque chose. Alors je lui ai raconté ce qui venait de se passer. Mais sa réaction ne fut pas celle que j’attendais. Il me dit :

Ecoute, chérie, tu fais comme tu veux et je ne t’oblige en rien mais pense au contrat que je dois signer. Il en va de ma carrière. Puis il m’embrassa et retourna dans la salle à manger. Je restai un moment seule me demandant si j’avais bien compris ce que je venais d’entendre. Puis je me décidai à rejoindre les deux hommes. Le repas se termina rapidement, les hommes faisant les frais de la conversation. Puis nous sommes retournés au salon pour prendre un digestif.

Mon mari avait légèrement tamisé la lumière et mis de la musique douce. Il m’invita alors pour un slow. Je l’accompagnai. Il me tenait serrée contre lui et je sentais ses mains me caresser le bas des reins. Puis ses mains descendirent sous ma robe et remontèrent sur mes fesses. Il me caressa ainsi par-dessus mon slip puis glissa quelques doigts en-dessous. Je le laissais faire et sentais son désir grossir contre moi. Je tournais le dos à notre invité mais je suis sûre qu’il ne perdait rien du spectacle et devait apprécier de voir ma robe retroussée.

Puis brusquement mon mari s’arrêta de danser et déclara qu’il devait gagner son bureau afin de terminer de rédiger le contrat. Il proposa à son client de venir danser avec moi. Celui-ci ne se fit pas prier et prit de suite sa place.

J’eus juste le temps de rabaisser ma robe sur mes cuisses. C’était parti pour un autre slow. Manifestement, cet homme n’était pas resté insensible au spectacle donné avec mon mari car je sentais sa virilité durcie.

Il me serra contre lui et plaça ses mains sur mes fesses. Je murmurai un « non » timide mais il commença à me peloter les fesses. Ses mains parcouraient le haut de mes cuisses et se glissaient sous mon slip. Je ne pouvais pas l’empêcher.

Puis il me plaqua contre un mur et se mit à me peloter les seins. En même temps il me murmurait qu’il avait très envie de moi, qu’il bandait comme jamais. D’un coup il fit glisser les bretelles de ma robe et, accrochant au passage le soutien-gorge, il me dénuda les seins.

Il se pencha vers moi et se mit à me lécher les bouts. Ceux-ci étaient déjà durs car j’étais excitée depuis la danse avec mon mari. Puis il se redressa et dégrafa son pantalon, le baissa avec son slip et je vis surgir sa queue tendue au maximum.

Fleur

Me poussant vers un fauteuil, il me fit me courber contre le dossier et releva ma robe sur mes reins. Il baissa brutalement mon slip et je sentis sa queue se frotter contre mes fesses. Puis, d’un coup sec, il me pénétra analement. Ses mouvements étaient puissants et je le sentais me labourer profondément. Je me mis à jouir sans pouvoir me retenir. Il devait n’attendre que cela car il explosa à son tour. Je sentais son sperme jaillir à grands jets au fond de moi. Puis il se retira, alla quérir son portefeuille dans son veston e sortit trois billets qu’il me glissa dans mon bas sans que je réagisse.

Je me redressai, récupérai mon slip et me rendit à la salle de bains faire un brin de toilette. Quand je revins au salon, mon mari était à en train de lui faire signer le fameux contrat. Je les laissai et partis me coucher, seule. J’étais consciente d’avoir fait la pute, mais étonnement cela ne me traumatisait guère.

Le lendemain, mon mari m’a avoué qu’il m’avait regardé me faire sodomiser par ce client. Cela l’avait beaucoup excité et il s’était masturbé en me regardant. Il m’a dit avoir joui en même temps que moi.

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Samedi 4 mars 2023 6 04 /03 /Mars /2023 09:01

Nadège, ma mère de 55 ans par Elian Lvekman
Mat Stamp

Passant par le Limousin, j’en profitais pour faire une halte chez ma mère. Et après avoir déjeuner nous sommes allés faire une promenade digestive en forêt. Malheureusement, nous avons été surpris par la pluie et sommes rentrés en courant et trempés. Je me suis assis devant la cheminée, pour me réchauffer et ma mère est monté se changer dans la salle de bains. Elle est redescendue aussitôt car e chauffage de la salle de bain était déficient, elle a donc décidé de se changer devant la cheminée.

Elle est venue près de moi et a commencé à s’essuyer. Moi, je regardais la télé sans prêter attention à ce qu’elle faisait. Puis, elle a dû se pencher pour attraper sa serviette, et là, je l’ai vu… ses seins nus et fermes dont les tétons se dressaient légèrement, ses belles hanches, ses épaules sur lesquelles tombaient ses cheveux mouillés. Je ne l’avais jamais vu autrement que comme ma mère, et je me retrouvais soudain à l’admirer en sentant naître une érection que je ne pouvais empêcher. Je voyais la serviette frotter ses seins, doucement, ils roulaient entre ses mains alors que mon érection devenait de plus en plus forte. Elle m’a souri et m’a demandé :

– Qu’est-ce qu’il t’arrive ?

Je revenais soudain à la réalité et réalisais que j’étais en train de désirer ma propre mère. Je m’efforçais de me concentrer sur la télé, mais mes pensées me ramenaient sur elle: Nadège, ma mère de 55 ans, que je n’avais jamais comme une femme aussi excitante avec des seins magnifiques et fermes, des jambes superbes et ses yeux…! N’y tenant plus, je me retournais à nouveau vers elle: elle avait posé une jambe sur le rebord de la cheminée, tout près de moi. elle essuyait sa jambe et sa jupe se relevait petit à petit. La peau de sa jambe était à peine à quelques centimètres de ma bouche. Penchée, je pouvais voir ses seins bouger au rythme de ses gestes. Elle ne faisait pas du tout attention à moi, trouvant la situation très naturelle .Je ne pouvais plus décrocher mon regard de ce spectacle. L’atmosphère était bizarre ce jour-là .Elle m’a souri de nouveau et m’a dit :

– Dos donc, tu ferais mieux de regarder la télé au lieu de te rincer l’œil !

Son sourire a achevé de me troubler, et j’ai totalement oublié qu’elle était ma mère. Je lui ai pris la serviette des mains en disant

– Laisse, je vais t’aider !

Je commençais alors à l’essuyer, très lentement, et à chacun de mes mouvements je faisais remonter sa jupe. mon regard allait de ses cuisses à ses seins puis a son visage. Ses cuisses s’écartaient un plus et je pouvais très bien voir son slip.

– Qu’est-ce que tu fais ?

Son sourire avait disparu, mais elle me troublait toujours autant. Elle baissa son regard vers mon pantalon de survêt et, comme je n’avais rien en dessous, elle n’a pas eu de mal à comprendre l’effet qu’elle me faisait tant mon érection était forte.

N’oublie pas que je suis ta mère !

La serviette avait glissé et c’étaient maintenant mes mains qui frôlaient la peau douce de ses cuisses. sa jupe était presque tout à fait retroussée et mes doigts glissaient dessous, sur ces fesses rondes, fermes et si douces.

Ne fais pas ça. Il ne faut pas !

Je n’entendais plus. Ma joue frôlait maintenant ses cuisses, mes lèvres se délectaient de la peau sucrée et de la chaleur qui provenait de son slip.

– Non, arrête !

J’écartais son slip et voyais sa belle toison déjà toute humide. Je savais que plus rien ne pourrais m’arrêter, maintenant , et j’enfournais ma langue entre les lèvres de son sexe. J’aimais la sentir mouiller;! je la buvais carrément alors qu’elle n’arrêtait pas de répéter mon prénom en me disant d’arrêter. Je suçais son clito avec un appétit féroce, pendant que mes mains écartaient ses fesses et que mes doigts s’enfonçaient dans son anus. Elle répétait toujours mon prénom, mais sa voix était plus douce et plus saccadée. Mon visage, blotti entre ses cuisses, était ruisselant de son plaisir. Je n’en pouvais plus;! J’avais l’impression que mon sexe allait exploser. je me relevais et plongeais mon regard dans ses yeux brillants de plaisir. Elle me dit une nouvelle fois d’arrêter, me rappelant qu’elle était ma mère. Mon sexe dressé frottait sur le sien au travers de mon survêtement. Je passais derrière elle et posais mes mains sur ses seins dont les tétons étaient durs. Ils se sont mis à durcir encore alors que je les faisais rouler entre mes doigts. Sa respiration était devenue très saccadée et sa tête tomba sur mon épaule. Je l’embrassais tendrement derrière ses lobes d’oreilles, dans son cou.

Je sentis alors sa main glisser dans le pantalon de mon survêt et ses doigts saisir mon sexe. Elle commençait à me masturber pendant que je caressais ses seins et son sexe. Ma bite glissait maintenant entre ses cuisses. doucement, elles s’entrouvraient. Puis elle posa une jambe sur le rebord de la cheminée et mon gland commença à rentrer dans son anus. tout doucement, centimètre par centimètre. Je la sentais respirer de plus en plus vite, ses lèvres pincées, pour se retenir encore. Alors je la pénétrais tout à fait, d’un coup qui lui arrachais un cri. j’accélérais mon va-et-vient alors qu’une de mes mains s’agrippait à ses seins et que l’autre écartait les lèvres de sa chatte. Elle relevait ses jambes et se penchait pour que je puisse m’enfoncer encore davantage. Ma bite entrait tout entière dans son cul. Elle poussait des râles de plus en plus fort. Je l’agrippais par les hanches et accélérais encore le mouvement.

J’étais tellement excité que je ne pouvais plus retenir mon sperme plus longtemps. Mon jus giclait entre ses fesses, sur ses hanches. D’un mouvement, elle se retournait et se mit à genoux devant moi. Sa langue nettoyait le sperme et le jus de mon cul qui coulaient de mon sexe. Elle suçait mon gland pour ne pas perdre une goutte. Puis elle pris ma queue à pleines mains et se mit à me sucer goulument. Je sentais mon sexe rouler sous sa langue, puis s’enfoncer jusqu’au fond de sa gorge. Elle me suçait si fort que j’ai eu l’impression que ma bite allait imploser. Mes râles devenant de plus en plus fort, elle comprit que j’allais jouir une nouvelle fois. Alors elle se releva en me souriant.

– Doucement, mon fils. Pas encore…

Elle s’assit sur le canapé en me faisant signe d’approcher. Elle prit ma bite dans ses mains et m’attira vers elle. Je me retrouvais à califourchon sur elle et elle glissait ma queue entre ses deux seins superbes, gonflés et durs. Elle pressait ses seins sur mon sexe et je commençais à le faire glisser vers sa bouche. A chaque fois que ma bite s’approchait de sa bouche, je sentais sa langue caresser mon gland devenu hyper sensible. J’adorais sentir la peau de ses seins sur celle de mon sexe ! Elle me sourit et me dit

– Maintenant , vas-y !

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J’accélérais le mouvement jusqu’à ce que je jouisse à nouveau et que mon sperme aille gicler sur sa figure, ses seins, sa poitrine, ses cheveux. Elle étalait mon jus sur son corps puis se léchait les doigts. Comme elle écartait ses jambes, je ne pus m’empêcher d’approcher mon sexe

– Oui, prends-moi… Fais-moi encore jouir…

A ce moment, je suis revenu à moi une fraction de seconde et je réalisais que je m’apprêtais à baiser ma propre mère, mais ses mains guidaient déjà ma queue vers son minou humide et mon désir repris le dessus: je me laissais guider et la pénétrais d’un coup. Ses jambes venaient bloquer mes hanches comme pour ne pas me laisser ressortir. Mais mon intention était toute autre alors que ma langue léchait ses seins encore imprégnés de mon sperme. Elle ne me disait plus d’arrêter, maintenant, mais au contraire d’aller plus vite, plus profond. Je m’exécutais avec joie en mordillant ses tétons devenus extrêmement durs. Elle remonta ses jambes et posa ses talons sur mes épaules, s’ouvrant totalement. Je la pénétrais entièrement et chaque fois que mes bourses venaient heurter sa chatte, elle poussait un cri qui m’excitait encore davantage. Finalement un flot de sperme jaillit de mon sexe alors que mon cri de plaisir se mêlait au sien

Nous sommes restés un long moment comme ça, l’un dans l’autre, puis nous sommes relevés. Une fois rhabillés, nous nous sommes longuement embrassés; elle m’a dit qu’elle avait rarement été aussi excitée puis m’a fait promettre de ne plus recommencer. Mais quelques temps après, c’est elle qui est venu me retrouver sous la douche et là….. Mais ceci est une autre histoire !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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