Jeudi 8 septembre 2022 4 08 /09 /Sep /2022 18:15

Délivrance par Catherine Valmurey

Catherine Valandrey2

Je vais sur mon pot de chambre, m’accroupir
Me libérer de ma merde, quel plaisir
L’odeur m’envahit et me flatte les sens
J’admire le fruit de ma délivrance
Je ne m’essuie pas après ce moment
Fanchon me léchera le cul aisément !

cacabom

Catherine Valmurey : Courtisane et poétesse française (1795-1880) Pour laquelle nous possédons peu d’éléments biographiques. Le portrait ci-dessus attribué à Isabelle Pinson la représente peut-être.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Catherine Valmurey
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Samedi 3 septembre 2022 6 03 /09 /Sep /2022 22:34

Helga, ma correspondante allemande par Christelle Baxter
scat

Récit contenant des passages scato explicites

 

C’est en relevant mon courrier, le soir que je découvrais une enveloppe manuscrite provenant d’Allemagne. Intriguée, j’ouvrais et découvrait une lettre d’Helga, mon ancienne correspondante. Elle devait passer à Paris pour rencontrer quelqu’un dans le cadre de son travail et me disait en profiter pour y rester une semaine, elle espérait me rencontrer et m’indiquait son numéro de portable.

Ça pour une surprise, j’avais déjà rencontré trois fois Helga, les deux premières fois furent classiques, mais nous étions bien appréciées, cette fille respirait la joie de vivre et la décontraction. La dernière fois, nous avions dix-huit ans tous les deux, elle me dévorait des yeux, et moi je n’osais franchir ce pas, elle multipliait les provocations se baladaient nue devant moi, pissait ou chiait sans fermer la porte des chiottes. « Ce serait bête d’attendre le dernier jour » m’avait-elle dit… « Je ne suis pas prête pour ça ! » avais-je répondu… Alors juste une fois, et on en parle plus… Je n’avais pas dit « non », j’avais dit « je ne sais pas »… elle sut alors qu’elle pourrait cueillir ce qu’elle était venue chercher. Ce fut le dernier jour, le dernier soir, ses valises étaient déjà faites, un amour bestial, nous nous sommes caressées, léchées, doigtées, fait jouir je ne sais combien de fois, et même compissées. Et au petit matin on s’est mises à pleurer comme des fontaines au milieu de ses bagages. « On se reverra bientôt, je t’appelle… »

Je m’étais traité de conne, pourquoi avoir attendu le dernier moment ? Helga m’avait rappelé le lendemain, on était resté longtemps à jacasser au téléphone. « Je te rappelle la semaine prochaine ! » Elle ne l’a pas fait, je ne l’ai pas rappelé non plus, c’était il y a huit ans !

Huit années… comme le temps passe trop vite !

Cette fille m’a profondément marqué, elle m’a permis de découvrir une bisexualité qui ne m’a depuis jamais quitté, même si je n’ai jamais retrouvé les frissons de cette chaude première fois. Certaines de ses réflexions incongrues sont restées dans ma mémoire. Elle me dit un jour qu’il fallait aimer et rechercher tous les plaisirs de la vie Comment ne pas être d’accord, mais c’est quand elle les énumérait que ça devenait insolite : « Manger, rire, baiser, boire, chanter, pisser, chier ». Et ses commentaires du même ordre « Oh ! J’ai bien chié, j’ai fait un gros boudin, il était joli comme tout ! » Je ne m’offusquais pas mais ne relançais pas.

Comment avait-elle aujourd’hui évolué ? Elle était peut-être mariée, ses tendances lesbiennes et scatologiques avaient peut-être été remisées aux magasins des fantasmes de jeunesse ? Mais bon, rien ne m’empêchait de la voir. J’étais pour ma part libre comme l’air, j’ai bien un lit à deux places mais il n’y a pas souvent deux personnes dedans.

Je lui téléphone, elle me dit qu’elle n’a pas beaucoup de temps pour me parler, mais si je pouvais lui rendre le service de lui trouver un petit hôtel pas cher et de lui en textoriser les cordonnées…

– Je peux t’héberger chez moi, je suis seule… si tu acceptes de coucher dans mon lit !
– Oh ! Quelle excellente idée…

Je suis allée la chercher Gare de l’Est, le dimanche soir. Un peu changée, coiffure plus sage, allure moins gamine et quelques kilos de plus. Un gros bisou.

– Tu veux boire un coup, ou on file direct à la maison ?
– Maison !

Et hop, métro.

Je lui avais préparé un petit repas sympa avec un bon petit rosé, elle me raconte un tas de trucs, une vraie pie, elle m’apprend qu’elle s’est mariée mais qu’elle a divorcé rapidement pour se mettre en ménage avec un mec et qu’ils se sont séparés dernièrement… Il s’en passe des choses en huit ans ! Par contre aucune allusion à nos galipettes d’antan, aucun propos ambigu sinon un banal « T’es toujours aussi belle ! » que je lui renvoie bien volontiers, aucune allusion scato non plus. Serait-elle devenue trop sage ?

Elle m’explique qu’elle a rendez-vous demain lundi avec un mec, que ça lui prendra toute la journée, je ne comprends pas bien ce qu’elle fait comme boulot, un vague rapport avec la recherche, je crois comprendre, mais je ne suis même pas sûre. Idem pour le mardi , mais elle sera donc complètement libre les trois jours suivants avant de repartir en Allemagne samedi matin. Je lui dis que je vais me débrouiller pour me libérer jeudi et vendredi. Elle a l’air désolée que je ne puisse le faire pour les quatre jours… Comme si c’était forcément simple !

On est allé se coucher, elle était crevée, elle s’est mise à poil et s’est endormie de suite sans aucune manœuvre d’approche. J’ai eu pour ma part du mal à trouver le sommeil.

Le lendemain matin, madame fait un raffut du diable dans la salle de bain et en plus elle traîne, elle traîne, idem pour le petit déjeuner qu’elle prend toute nue, trouvant le moyen de se mettre de la confiture sur les seins. Ça la fait rire et elle me demande si je veux lécher.

C’est le signal que j’attendais, mais il arrive au mauvais moment.

– Je voudrais bien, mais si je le fais, ça va nous emmener je ne sais où ?
– Tu n’aimes plus ?
– Si, mais faut que j’aille bosser et je sens que je vais être en retard.
– Ils ne sont pas cool tes patrons !
– Pas trop non, mais si tu veux on rejouera la scène ce soir…
– Oh, oui, « rejouer la scène » c’est un bon plan ça !

J’ai été bosser au magasin en me disant que ce soir j’allais passer à la casserole. Je me demandais si j’en avais réellement envie. Ce matin j’aurais bien dit oui si j’avais eu le temps. Là, je ne savais plus. Je rentrais vers 18 heures, j’hésitais entre préparer quelque chose à manger ou ne rien faire et l’emmener au restaurant.

La voilà qui rentre, elle a l’air dans un état d’excitation assez dingue, sans transition elle me demande si elle peut aller se doucher. Bien sûr qu’elle peut aller se doucher. Je ne sais toujours pas ce qu’on va faire après, je vais attendre que madame sorte, si c’est comme ce matin ça va durer un certain temps. Finalement ça aura été plus vite que prévu, la voilà qui se pointe à poil et à peine sèche.

– Il faut que je te raconte ma journée.

J’ai droit à un déluge verbal inimaginable, comme le plupart des gens elle ne sait pas raconter, ne respectant aucune chronologie, faisant référence à des personnages dont j’ignore tout. Je finis par comprendre quand même qu’il est question d’un contrat pour sa boite et que son interlocuteur voulait la sauter…

– Moche, très moche, il était !
– Qui ça ?
– Monsieur Berger.

Vraiment du mal à suivre.

– Et alors il m’a dit, « je ferais n’importe quoi pour passer une heure avec vous ! » Et moi, je lui dis « Monsieur, je n’ai pas envie de coucher avec vous ! » Il me parle alors de compensation, me demande ce qui me ferait plaisir… Je lui dis « du fric » ! Il me regarde avec des drôles de yeux, je crois qu’il va laisser tomber, il hésite et me dit d’accord « combien ? » Alors j’ai fait la pute avec lui, j’ai décroché le contrat et j’ai gagné de l’argent de poche… alors je suis allé chez le parfumeur… Ah, tiens je t’ai acheté un petit flacon pour toi… dit-elle en allant farfouiller dans son grand sac.

Elle me demande si ça me plait, bien sûr que ça me plait, c’est bien la première fois qu’on m’offre un parfum aussi cher. Je lui fais un bisou.

– Mieux que ça le bisou ! Demande-t-elle.

On se roule un patin. Je la caresse tandis qu’elle essaie de me déshabiller, elle n’y arrive pas trop bien, je me dégage et entreprends de le faire moi-même. J’allais pour reprendre nos ébats quand elle m’annonce tout de go :

– Il faut que fasse caca, tu viens avec moi ?
– Euh, peut-être pas !
– Mais si viens, on va rigoler !

J’aurais dû me douter que ce genre de choses arriveraient tôt ou tard ! Je la suis. Elle s’assoit sur la cuvette, puis se ravise.

– Je vais me mettre comme ça, tu verras mieux !

Je ne lui réponds pas que ce n’est peut-être pas indispensable… Elle ne m’écoute pas et se met donc les pieds sur le rebord de la cuvette, puis se met à pisser. Le filet n’est pas très abondant, sans doute, avait-elle déjà pissé sous la douche, mais cela me trouble confusément.

– Viens nettoyer mon pipi, pour le reste, je vais me retenir encore un peu.

Helga et KrissPas de problème, ça aussi c’est elle qui me l’avait apprise, et j’avais aimé le goût de son urine. Merveilleux souvenir d’une pratique que je n’avais jamais eu l’occasion de réaliser de nouveau. Un délicieux picotement m’envahit tandis que je me régale de sa pisse ! Mais pourquoi donc ne m’a-t-elle pas proposé de me pisser directement dans la bouche ? Bof, nous aurons d’autres occasions ! Il me suffira de lui demander !

Je me recule ! Je pourrais en profiter pour la faire jouir, mais le veut-elle maintenant ? Non, elle me retient pas, elle doit maintenant faire ce qu’elle à faire. Elle change alors de position me tournant le dos sur la cuvette.

– Attention les yeux ! Dit-elle. Approche-toi bien.

Je me rapproche mais pas trop quand même. Son anus s’ouvre : Un bout d’étron apparaît, puis le reste suit, très vite avant de sombrer dans la cuvette avec gros floc, un second boudin suit le premier. Helga descend de la cuvette sans s’essuyer. Elle regarde avec amusement le fond de la cuvette.

– Alors c’était beau ?
– Beau, je ne sais pas, mais c’est très troublant.
– Tu veux que je tire la chasse, si l’odeur te gênes.
– Mais, tu ne t’es pas essuyée ?
– Je sais, j’ai pensé que tu aimerais me le faire !
– Tu veux que je t’essuie le cul ?
– Que tu me le lèches, plutôt ! Tu n’as jamais fait ça ?
– Ben non !
– Tu voudrais essayer ?
– Oui, je veux bien, mais c’est juste pour essayer, d’accord ? Précisais-je.
– O.K. je vais t’aider, tu vas d’abord approcher ton nez de mon trou du cul et renifler, juste renifler, c’est pour que tu t’imprègnes bien de l’odeur.

Je fais comme elle me dit, petit mouvement de recul quand même, c’est vrai que ça pue la merde, mais je m’habitue vite, et puis l’excitation ça doit aider !

– Vas-y maintenant, lèche-moi mon cul plein de merde !

Je m’étonnais de la facilité avec laquelle j’accomplissais cette tâche.

– Alors tu te régales ? Me lança-t-elle.
– Je ne sais pas si je me régale, mais qu’est-ce que je suis excitée.

Curieusement, quand je repense à ce moment, et que j’essaie de me remémoriser la façon, dont je qualifiais le goût, le mot qui me vient à l’esprit c’est « surprenant ». Dans l’inconscient populaire, la forme et l’odeur de la merde sont toujours associées au « dégueulasse », alors vous pensez bien que le goût… alors que personne n’y a jamais gouté. Je m’attendais donc à rencontrer un gout abominable que seuls des détraqués de la papille pouvaient apprécier, genre vieux camembert oublié six mois dans un placard, mélangé à un ragout de de ragondin mort d’amour. Ben non, c’est presque neutre, avec une petite âcreté dans l’arrière-goût. En fait c’est pas mauvais du tout et puis c’est tellement pervers !

Je suis tellement dans mon trip que je m’acharne à ne laisser aucune trace suspecte et que je lui restitue son joli petit anus tout propre comme un sous neuf. J’en reprendrais bien encore…

Je suis dans un état second, je ne me reconnais plus. Helga s’en aperçoit et en profite, la salope !

La chasse n’était toujours pas tirée, alors Helga a ce geste incroyable d’aller de sa main repécher l’un des étrons, le regarder avec malice, puis d’y porter la langue.

– Regarde ce que je fais, je suis cochonne, n’est-ce pas ?
– Oui…
– Si je le fais, tu peux le faire aussi !

Elle approche l’étron de ma bouche. Je ne vais quand même pas faire ça ? Mais ça ne me dégoute pas. Alors pourquoi ne pas essayer ?

– Vas-y, lèche ma merde, la bonne merde de ta copine allemande.

Ça y est ma langue lèche l’étron. C’est le même goût que tout à l’heure, pourquoi aurait-il été différent d’abord ?

Helga reprend la merde, la prend en bouche cette fois par l’extrémité et se met à la sucer comme si elle faisait une fellation. Je suis hypnotisée. Elle le relâche.

– Ouvre ta bouche !

J’obéis, elle me fais pénétrer l’étron dans ma bouche, juste un peu, par reflexe, à moins que ce soit par vice, j’y porte la langue, je suis complètement folle.

Helga m’a ensuite badigeonné le corps avec sa merde, les seins, le ventre mais aussi le visage, les joues, le menton, puis elle m’a passé un morceau de l’étron m’invitant à lui rendre la pareille..

On est mignonne toutes les deux, ainsi enduite de caca, on rigole, on s’embrasse s’échangeant un délicieux baiser merdeux pendant de long instants.

L’affaire s’est terminée en soixante-neuf, je crois sans mentir avoir ce jour-là jamais joui aussi intensément.

Et après ? Me demanderez-vous.

Ben après, on s’est douché, on est passé à autre chose, on s’est tapé un bon petit repas, on a rigolé comme des bossues et on s’est endormies à poil l’une contre l’autre.

Le lendemain elle est partie de bonne heure, elle ne repartira que dans deux jours en Allemagne. Alors vivement ce soir qu’on refasse de belles cochonneries toutes les deux, J’en suis déjà tout excitée à l’avance.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Christelle Baxter
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Mardi 23 août 2022 2 23 /08 /Août /2022 10:05

Ma mère et son esclave par Josepha
Fetish2

 

Je m’appelle Josepha, grande et brune, j’ai maintenant une trentaine d’année, mais l’histoire que je vais vous raconter eu lieu quelques mois après mon 18ème anniversaire

Mes premières sorties avec les garçons furent catastrophiques, mon dépucelage un non-évènement tellement la chose fut rapide et insignifiante. Je me demandais ce qui m’arrivais, mais la coupe fut pleine quand un grand benêt tout content de m’avoir baisé en moins de trois minutes, ne trouva rien de mieux que me planter en me traitant de pétasse. C’est ma prof de dessin qui voyant mon désarroi entreprit de me consoler. Quelques heures plus tard, chez elle, je broutais ma première chatte et m’en régalait. J’avais donc découvert mon orientation sexuelle. J’étais devenue amoureuse d’elle acceptant toutes ses turpitudes, ainsi il lui prenait parfois l’envie de me rougir les fesses avant de me prendre dans ses bras pour me consoler. Elle m’a fait également découvrir les jeux de pipi et prenait plaisir à chier devant moi. Quand elle m’a demandé de lui nettoyer l’anus après qu’elle ait déféqué, j’ai fermement refusé, elle a su alors, à force de persuasion, me faire essayer, je ne l’ai pas regretté. Et puis un jour elle m’a appris que sa mutation en province était acceptée. J’ai pleuré.

Je n’ai jamais connu mon père, ma mère ne s’est jamais mise en couple et m’a donc élevé seule. Une belle femme, cadre dans l’administration. Peu pudibonde, il lui arrivait de se balader dans l’appartement à moitié à poil. Elle est remarquablement conservée pour ses 50 ans .Moi j’étais à l’époque beaucoup plus pudique qu’elle.

Quelque part, ma mère me faisait fantasmer… Mais que voulez-vous, une fille de 18 ans ne va pas aller l’avouer à sa mère. Le tabou de l’inceste et tellement ancré dans l’inconscient qu’il en devient irrationnel.

Un matin alors que je me dirigeais vers la salle de bain, je vis ma mère en sortir complètement nue et aller s’installer sur la cuvette des toilettes. Manifestement elle avait une grosse envie de caca. Elle n’avait pas fermé la porte, et je restai là, subjuguée, à l’admirer. Quand je vis qu’elle s’aperçut de ma présence, je quittais les lieux envahie d’un profond trouble.

Ma mère ne fit aucune allusion à ce qui n’était même pas un incident.

Et un jour, alors que nous finissions de diner, ma mère me lança :

– Tu ne me parles jamais de tes petits copains ! Les garçons ne t’intéresse pas ?
– Pas trop, non !
– Ce sont les garçons qui ne t’intéresse pas ou c’est le sexe ?
– Tu m’embarrasse un peu, là !
– On est entre adultes, tu peux tout me dire… mais je ne t’oblige pas !
– En fait, je me demande si je ne préfère pas les femmes !
– Je m’en doutais un peu ! Tu vas finir par être aussi gouine que ta mère.

Enfin elle l’avouait, je le savais déjà, certaines des femmes qui lui rendaient visite le samedi ne laissaient peu de doutes quant à leur motivations. Deux femmes ne s’enferment pas dans une chambre à coucher pour faire du crochet !

– Je t’ai choqué ? Reprend-t-elle.
– Mais pas du tout !
– C’est si bon de brouter une bonne chatte, n’est-ce pas ?
– Ben oui…
– Tu sais ce que je fais quand je reçois Madame de Trévor ?
– Ben vous faites l’amour, je suppose ?
– Mais pas que ! Je la domine, elle est mon esclave, et je lui fais des petites misères, elle adore ça !
– Ah bon ! C’est de l’amour vache, alors ?
– Si tu veux ! Tu aimerais nous regarder ?
– Si j’aimerais vous regarder ? Quelle drôle d’idée ?
– Ça te dirait ou pas ?
– Je ne sais pas trop !
– On peut faire simple, tu assistes au début, si ça t’intéresse tu restes, si ça ne t’intéresse pas tu restes pas ?
– D’accord comme ça !

Et on a parlé d’autre chose. Le soir dans mon lit je me caressais en repensant à cette discussion surréaliste. J’avais été assez hypocrite en faisant semblant d’hésiter, en fait j’avais une envie folle de voir ma mère se gouiner avec la mère de Trévor.

Et le samedi Madame de Trévor arriva à 17 heures avec un joli bouquet de fleurs. Comment la décrire, look très BCBG, cheveux mi-court décolorés en blond platiné, lunettes fumées à grosses montures, rouge à lèvres de « pute »

– Bonjour Sixtine ! lui dit ma mère
– Bonjour Marie-France !

(Comme ça vous saurez leurs prénoms !)

– Aujourd’hui, lui dit ma mère, Ma fille assistera à notre petit jeu !
– Ah, bon ?
– Problème ?
– Mais non pas du tout !
– Alors à poil, morue !
– On ne va pas dans la chambre ?
– Non on reste ici !

La Sixtine se déshabille dévoilant une très belle poitrine dont les tétons sont ornés de larges piercing en anneaux.

Ma mère sort d’une cassette un collier de chien qu’elle lui attache autour du cou…

– Il faut toujours rappeler leur conditions aux esclaves ! M’explique-t-elle.

Elle sort ensuite une chainette, qu’elle passe entre les anneaux puis me la tend.

– Vas-y torture lui les nichons, elle adore ça cette chienne !

Je me retrouve comme une andouille avec cette chainette dans la main, je tire un peu, provoquant chez ma victime une vilaine grimace.

– Continue comme ça, n’aie pas peur de lui faire mal !

Je titre sur la chainette puis m’amuse à faire d’autres mouvements comme la lever très haut ou l’envoyer sur côté gauche puis sur le côté droit. Sixtine hurle ! Ma mère la gifle et lui crache au visage !

– Je ne veux pas t’entendre, t’es là pour souffrir, alors tu supportes !

JosephaMa mère me tend une cravache.

– Vas-y tape la, tape la fort, vise ses seins, son ventre, ses cuisses, marque-la ! Défoule-toi !

Je tape !

– Non ma fille, tu ne fais pas assez fort, je vais te montrer.

Ma mère arme la cravache et lui cingle les seins, Sixtine hurle, un deuxième coup la fait hurler encore plus, Des larmes coulent de ses yeux entrainant le Rimmel.

– C’est ça, chiale, ça m’excite de te voir chialer.

Elle me redonne la cravache, et maintenant excitée comme une folle je tape à la volée lui zébrant les chairs.

– Retourne-toi, morue, on va s’occuper de ton cul.

Ma mère s’est saisie d’un gode, un truc très réaliste qui a vraiment la forme d’un bite et lui introduit dans l’anus sans aucune préparation, Sixtine hurle, puis s’accommode de la chose.

– Regarde-moi cette morue, elle est toute contente de se faire enculer par une bite en latex.

Elle retire le gode d’un mouvement vif, il ressort pollué du jus de son cul.

– Salope tu m’as foutu plein de merde sur mon joli gode, lèche moi tout ça !

Elle ne se fait pas prier et restitue le gode tout net, tout propre.

– Maintenant tape-la

Je tape les fesses, je tape le dos, ses cris et ses pleurnicheries ne m’arrêtent pas, bien au contraire.

– Stop, me dit ma mère, on ne va pas l’abimer non plus, je parie qu’elle mouille comme une fontaine. Vérifie Josepha !
– Que je vérifie ?
– Ben oui tu vérifie !

Sixtine se retourne pour me présenter sa chatte, j’y porte la main, effectivement c’est tout mouillée.

– Alors ?
– C’est mouillé !
– Tu devrais lécher un peu !
– Que je lèche ?
– Ben oui, c’est délicieux la mouille de vieille salope !

Je me baisse et lui lape la chatte, effectivement c’est délicieux. Mais ma mère m’arrête !

– Stop, le but n’est pas de la faire jouir, du moins pas de suite. Viens donc vérifier si moi je mouille aussi !
– Mais Maman, qu’est-ce que tu me demandes ?
– Je sais très bien ce que je te demande, et arrête de faire ta mijaurée, je sais que tu en meurs d’envie.
– Mais ça ne se fait pas !
– Eh bien nous on va le faire quand même, allez lèche moi, et en ce qui me concerne tu as le droit de me faire jouir.

Je reprend mon souffle et me mets à lécher la mouille de ma mère.

– Regarde Sixtine, regarde ce que me fait ma fille, elle me lèche la chatte, je suis vraiment la reine des salopes, tu ne trouve pas ?
– Si maîtresse !

Moi aussi, je mouille mais j’ignore si quelqu’un va s’occuper de moi. Tout naturellement ma langue a bifurqué sur le clito de ma mère que ma langue vient titiller. Maman hurle de plaisir ! Je viens de faire jouir ma mère, c’est dingue ça ! Elle m’enlace, elle m’embrasse, on se roule un patin ! Quand même je me demande quelles vont être nos relations après cet événement.

Ma mère se retourne et invite Sixtine à venir lui lécher le cul.

– Viens me lécher mon cul plein de merde ! Lui dit-elle. Quand elle vient, je ne me lave jamais le cul ! Me précise-t-elle

Sixtine lèche le cul de ma mère avec gourmandise. Mais au bout d’u moment elle l’a fait arrêter,

Ma mère se déshabille complétement et me demande d’en faire autant. Curieusement ça me gêne un peu de mettre nue devant Sixtine de Trevor.

– Ben alors t’attends quoi ?
– Je suis obligée ?
– Bien sûr que non ! Mais ce serait mieux.

Je l’ai donc fait.

– Allez, tout le monde dans la salle de bain pour le final.

Sans qu’on ne lui demande Sixtine s’est allongée de tout son long sur le carrelage de la salle de bain

– Pisse lui dessus ! Me dit ma mère.

J’avais justement une bonne envie, j’ai chevauché Sixtine de Trévor et me suis lâchée.

– Vise la bouche, donne-lui à boire, à cette salope, et si tu as envie de chier, ne te gêne pas.
– Je ne pourrais jamais faire ça !
– Essaie, tu vas voir comme elle aime ça !

Je pousse, je lâche un étron, je me retourne. Madame de Trévor a reçu mon « cadeau » en pleine bouche et le maintient entre ses lèvres d’un air satisfait ! C’est vraiment une grosse salope.

– Lèche bien l’étron ! Voilà comme ça ! C’est bon hein ?
– Humm !
– Allez la séance est terminée, viens m’embrasser, ma salope.

Les deux femmes se roulent alors un patin, un baiser au goût particulier..

J’ai maintenant la chatte en feu, ma mère rejoint le salon, tandis que Sixtine se livre à une petite toilette.

Je rejoins ma mère. Oserais-je lui demander de me calmer mon excitation ?

– Maman, j’aimerais que tu me fasse jouir !
– Mais certainement, ma fille, allonge-toi je vais te faire monter au ciel.

Maman est venu poser son visage sur ma chatte et a commencé à me brouter tandis que ses mains projetées en avant me pinçait me bouts de seins.

Cette douce étreinte n’a pas duré longtemps, excitée comme j’étais je n’ai pas tardé à jouir dans un geyser de mouille.

Madame de Trévor revient de la salle de bain, à poil, cette femme est décidemment très belle.

– Je peux la lécher, Maman ?
– Mais certainement ma fille, pendant ce temps-là je vais préparer l’apéro.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Samedi 20 août 2022 6 20 /08 /Août /2022 13:27

Vicky par Kelya

scat

Avertissement : récit contenant des passages scatos explicites

Chapitre 1 : Contact sur le net

Mon copain venait de me laisser pour une autre. J’ai eu énormément de peine, je me suis enfermée sur moi-même. Je  » chattais  » de plus en plus sur Internet… sans trop savoir d’ailleurs ce que j’y cherchais… Puis un soir, j’y ai fait la connaissance de Vicky. On a parlé un peu de tout, mais comme très souvent sur le net, la conversation a bifurqué sur le sexe. Les choses allèrent alors assez vite. Elle me confia sa bisexualité et me demanda si de mon côté j’étais intéressée par ce genre de choses

– Je ne sais pas, je ne l’ai jamais fait ! Répondis-je alors.
– Mais si avais l’occasion d’essayer ?
– Je ne dis pas non, en fait, je n’en sais rien !
– Ecoute, je te propose une chose, je t’envoie ma photo, et toi tu fais pareil, si on se plait, on peut peut-être aller plus loin ! Me proposa Vicky.

Nous n’habitions pas si loin l’une de l’autre et le lendemain soir, je l’invitai à venir chez moi. Elle accepta, tout en précisant que ce serait une rencontre d’essai et qu’elle n’aurait pas beaucoup de temps. Elle vint vêtue d’un jean très moulant et d’un tee-shirt laissant voir subtilement ses jolies formes… Moi, j’étais en culotte et en nuisette. Pas de soutien-gorge, rien d’autres ! Vicky l’avait bien remarqué… Elle me regardait avec envie, l’ambiance était électrique !

– Bonjour, je suis Vicky !
– Ça je m’en doute bien ! Rentre donc !
– Tu es très belle !

J’allais répondre je ne sais plus quoi, mais je n’en ai pas eu le temps. Vicky s’est approchée de moi, je savais ce qui allait se passer, je l’ai accepté et nos lèvres se sont soudées. Nos langues se frôlaient, doucement, puis presque violemment. Je sentis les mains de Vicky soulever ma nuisette, puis me l’enlever… Elle me massait les seins, me les pressait. Je me décidai à lui enlever son tee-shirt et découvrit un joli soutien-gorge en dentelle. Je n’ai pas tardé à lui enlever ce soutif et lui presser à mon tour les seins fortement. Je la sentis très excitée et je lui baissais son jeans, sous lequel elle n’avait pas mis de petite culotte… Ma main descendit sur ses fesses, pour découvrir son vagin déjà tout mouillé. Je pris son jus dans ma main et massa ma visiteuse avec son jus. Puis je me mis à la lécher… N’en pouvant plus, elle enleva ma culotte et me serra fortement la chatte. Elle trouva rapidement mon clitoris, le pressa, il durcit. Je mouillai… Vicky m’a couché sur le plancher et elle commença à me lécher mon sexe. Je criais !! Je sentis sa langue pénétrer dans mon vagin… Je branlais de plaisir et lui tenais bien la tête entre mes cuisses pour ne pas qu’elle arrête…

Oh ! Mais elle n’a pas arrêté !!

Elle buvait mon jus, qui ne cessait pas de couler. Puis elle vint se coucher sur moi, m’embrassa, me pressa les seins… Elle me mordillait les mamelons. Et je me suis retrouvée sur Vicky. Je descendais tout en la léchant… Et je me retrouvais le nez devant son sexe que je caressais doucement et violemment avec mes mains débutantes. Elle était toute mouillée. Vicky criait des  » Continue !!  » J’introduisis ma langue dans son vagin, puis je la retirais, pour la réintroduire aussitôt, je fis ce petit manège plusieurs fois de suite. Vicky était au septième ciel !! On s’est arrêté là pour cette soirée mais ce n’était pas fini. Elle est partie après m’avoir invité à passer une fin de semaine à son chalet…

Chapitre 2 : Arrivée au chalet

Alors, comme prévu, nous nous sommes retrouvées au chalet de Vicky pour la fin de semaine. Elle était venue me chercher chez moi, ce n’était pas tout près, et j’avais malgré tout, une certaine appréhension de me retrouver dans un endroit quasi désert. Mais je me rassurai en pensant à la sensuelle femme qui m’accompagnait. Arrivé sur les lieux, elle me fit, comme le veulent bonnes manières et traditions visiter les lieux. En les découvrant, je m’amusais à scruter tous les endroits qui étaient susceptibles d’accueillir nos ébats. Elle me demanda ensuite si j’avais faim ?

Oh mais j’avais faim mais pas juste de bouffe ! Ah la maudite, elle me faisait languir et elle le savait ! J’avais si hâte qu’elle s’approche de moi…

Mais elle devait avoir d’autre projet, elle s’en alla vers le coin kitchenette et en rapporta du pain et de la confiture. Puis elle prétexta une envie de pisser. Lorsqu’elle fut sortie de la salle de bain, j’avais devant moi une Vicky toute nue que je mourrais d’envie de dévorer. Elle s’avança vers moi, m’embrassa tendrement… Puis, elle prit de la confiture, s’en étala sur son sexe et m’ordonna d’essuyer ce  » dégât « . Elle ne m’a pas suppliée ! Vicky s’assit sur le bord du comptoir. Alors, je lui écartai les jambes et commençai à la lécher… Elle avait mis de la confiture jusque dans son vagin et même dans son anus ! J’ai tout léché… Vicky ne se contenait plus. Ahhh elle serrait la tête et s’accotait sur mon visage. Elle jouissait ! Je relevai ma tête, l’embrassai. Puis je montai sur elle, je m’assis sur elle. J’enlevai mon chemisier, puis mon soutien-gorge. Elle pressa mes seins…

Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh j’en voulais encore plus ! Puis je sentis sa main dans ma petite culotte… Alors j’enlevai cette culotte ! On s’est ôté de sur le comptoir pour se retrouver debout, collées l’une contre l’autre. Elle me dit de me coucher sur le divan et d’écarter mes jambes au maximum. Puis elle s’approcha et amena sa chatte toute mouillée contre la mienne… Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Nos chattes se frottaient doucement puis violemment. On pouvait crier autant que nous le voulions puisque personne ne nous entendait ! Alors je me lâchais, je hurlais et ça excitait Vicky ! J’avais envie de la manger toute crue tellement je l’aimais!! Puis épuisées, nous nous sommes endormis l’une contre l’autre, par terre, mortes de fatigue.

Chapitre 3 : Lendemain au chalet

Vicky0424Le lendemain matin, je me réveillai la première. J’ai toujours été une lève-tôt. J’allai sur le bord de la porte-patio et contemplais la neige qui tombait. Il y avait un lac derrière le chalet de Vicky, il était bien dommage que nous soyons en hiver car j’aurais aimé me baigner avec Vicky. Ce sera pour l’été prochain, me dis-je, alors ! J’allai à la salle de bain, souhaitant prendre une douche j’ouvris alors ce que je croyais être une sorte de garde-robe mais je découvris une nouvelle pièce adjacente à celle-ci et découvrit un bain-tourbillon ! Quelques secondes plus tard, je sentis les bras de Vicky m’enrouler voluptueusement, et de sa voix sensuelle me proposa :

– Tu aimerais qu’on prenne un bain toutes les deux ?

Sans attendre ma réponse, elle fit couler l’eau et démarra le tourbillon. Elle m’invita à pénétrer dans cette eau très chaude… Elle vint me rejoindre et s’assit face à moi. Je fus un peu déçue qu’elle se place si loin de moi, elle le remarqua, elle jouait, alors elle descendit sous l’eau et je sentis ses mains caresser mes jambes sous la surface. Vicky réapparut hors de l’eau, son visage à quelques tous petits centimètres du mien. J’approchai mes lèvres des siennes et nous nous sommes embrassées passionnément. Mes mains se promenèrent sur son corps et s’attardèrent sur ses fesses. Je les caressais, les pinçais… Nous sommes sorties du bain.

Ma main lui chatouillant sa chatte. Je sentis que Vicky aimait mes caresses. Me voilà enfin sur sa chatte, je trouvai son clitoris et le titillais. Vicky me serrait très fort, ce qui signifiais que je lui procurais du plaisir. Lentement, j’approchais ma main de son vagin et j’introduis deux doigts, puis trois… Je fis des mouvements de va-et-vient qui faisait hurler Vicky de plaisir. Elle pressa maintenant mes seins alors que moi, de mon autre main, je m’attaquais à son anus. Je fis tourner mon index plusieurs fois autour de son petit trou, ce qui augmentait son plaisir. Puis mon index s’introduit dans son anus, je fis quelques mouvements de va et vient et j’introduis un deuxième doigt puis un troisième… Mes doigts touchaient sa crotte, j’hésitais à continuer mais le fis quand même, C’était tellement pervers. Mes doigts ressortirent légèrement merdeux.

– Lèche les, lèche ma merde !

Je le fis sans problème

– C’était bon ? Me demanda-t-elle.
– Humm, délicieux !
– Tu as déjà joué à des trucs scatos ?
– Seulement dans mes fantasmes.
– On peut essayer si tu veux ! Tu aimeras me voir chier ?
– Pourquoi pas ?
– Allonge-toi, on va faire ça !

Vicky me chevaucha et commença par me pisser dessus, je reçu plein d’urine sur les seins et me badigeonnais avec. Elle me proposa d’ouvrir la bouche et je pu me régaler de ce divin nectar.. Ensuite elle se retourna me présentant ses jolies fesses, Son anus s’écarta laissant passer un petit étron qui s’agrandit et me dégringola sur le ventre, un second suivit, puis un troisième.

Vicky ramassa l’un des étrons et le porta à ses lèvres pour le lécher, puis me le présenta. Je léchais sa bonne merde dans un état d’excitation inimaginable. Elle me badigeonna tout le corps avec la merde : les seins, le ventre, les cuisses, puis me demanda de lui rendre la pareille. Toutes enduites de merde, nous nous sommes embrassées à pleine bouche et léché les tétons. Que c’était bon !

Vicky se tordait de plaisir et laissa aller sa jouissance que je sentais retenue depuis quelques minutes. Elle s’écroula sur moi, sa tête sur mes seins. Je continuai à lui faire des caresses tout le long de son corps.

Quelques minutes plus tard, elle leva la tête pour m’embrasser avec passion. Ses mains côtoyaient ma poitrine qu’elle pressait. Mes seins raidissaient de plaisir. Ses mains descendaient doucement sur mon corps déjà tout excité par les caresses qu’elle me donnait. Elle sentit mon excitation et ne me fit pas languir, elle pénétra immédiatement deux ou trois doigts dans mon vagin. Dans un réflexe, mes jambes s’enroulèrent autour de son corps, lui disant de continuer. ses va-et-vient me firent immédiatement jouir…

Nous nous somme rincées dans le bain et nous nous sommes dirigées main dans la main vers le salon. Nous nous sommes assises sur le divan, toujours collées l’une contre l’autre. Je me suis assise sur elle, face à face. Elle mit ses mains sur mes fesses et moi mes bras étaient autour de son cou et nous nous embrassions avec fougue et amour

Nous ne sommes pas allées plus loin car la sonnerie de la porte qui retentit à ce moment-là, nous dérangea…

Chapitre 4 : Jonathan et Frédéric …

Vicky, toujours nue, se dirigea vers la fenêtre située à côté de la porte et regarda discrètement s’enquérant de l’identité de l’opportun, puis parut rassuré et toujours à poil alla ouvrir. Et tandis que j’essayais de couvrir ma nudité avec une serviette de bain qui traînait là, je vis deux sympathiques messieurs entrer. Vicky me les présenta :

– Kelya, je te présente Jonathan et Frédéric… Je leur avais demandé de passer vers midi… On va bien s’amuser, tu vas voir, ils sont un peu pédés tous les deux ! Vous êtes en avance les gars !
– Je sais, répondit Jo. On s’était dit qu’on pourrait peut-être faire les courses ?

Jo est un blond musclé, d’environ 1,70 m) avec des yeux verts, magnifiques ! Fred a le teint basané et les cheveux noirs. Il mesure presque 1,80 et il n’est pas très baraqué.

Croyant, ou plutôt voulant croire que nous regardions la télévision, (allumée mais que personne ne regardait) nos deux compagnons s’installèrent sur le divan. Je regardai Vicky, nous étions nues, pas eux… Elle s’approcha de moi et me dit glissa à l’oreille :

– Et si nous leur faisons un petit spectacle ? Je lui souris…

Elle prit la télécommande et éteint la télévision. Les gars lâchèrent un hypocrite soupir de désappointement. Vicky se mit face à la télé et commença à se dandiner. Puis, elle me fit signe de venir la rejoindre. Elle m’attira vers elle et on s’embrassa. Nous nous caressions mutuellement et en passant ma main entre les jambes de Vicky, je remarquai qu’elle mouillait, moi aussi d’ailleurs… J’eus alors la surprise de voir les gars se caresser mutuellement les cuisses. Vicky me dit discrètement

– Je m’occupe de Jo, prends Fred…

Je m’approchai donc doucement de Fred qui, visiblement, n’attendait que ça. Je m’assis sur lui et l’embrassa tendrement. Pendant ce temps, je sentis ses mains me parcourir le dos sans descendre plus bas. Je lui enlevai son pull-over et couvrais son torse de baisers. Fred caressa mes seins d’une main et approcha l’autre de mon endroit intime. Sous son jeans, je sentais que son pénis allait bientôt manquer de place. Je dis donc à Fred de se lever et je lui enleva tranquillement son jeans en prenant soin d’embrasser tout ce que je pouvais. Le pénis de Fred était en pleine érection, j’y déposais une langue coquine qui eut tôt fait d’en accroître encore la raideur, mais, ce pénis je mourrais d’envie de le sentir en moi. Fred s’assit et je m’agenouilla sur lui. Son sexe me pénétra. Je fis des mouvements avec mon bassin qui aidait au pilonnage de mon vagin. Fred se cabra et éjacula en moi. Je me laissai tomber sur lui, son pénis toujours en moi.

Reprenant nos esprits, nous aperçurent alors Vicky et Jo embarqué dans des ébats qui n’avaient rien à envier à ceux que nous venions de, sauf qu’eux, ils le faisaient debout, Vicky ayant les jambes autour de Jo. Nous nous sommes alors approchés d’eux. Je me plaçai sous Vicky, la caressai et lui léchai l’anus alors que Jo pénétrait dans son vagin. Je me demandais bien ce qu’allait entreprendre Fred, les possibilités n’étant pas vraiment infini. C’est alors qu’il se plaça juste derrière Jo et, son sexe étant de nouveau en érection, il encula son ami. Moi, j’introduisis mes doigts dans l’anus de Vicky et je pus rejoindre en elle le pénis de Jo, puisque seule une mince paroi nous séparait. Vicky eut une énorme cri de jouissance. Jo la laissa tomber sur moi, par terre.

J’entourais Vicky de mes bras et mes jambes et lui donna des petits bisous dans le cou. Je vis les deux gars qui étaient maintenant en soixante-neuf. C’était la première fois de ma vie que je voyais deux hommes faire l’amour ensemble et j’étais particulièrement excité de les voir se sucer le sexe mutuellement.

Quelques minutes plus tard, Jo s’approcha de moi et me murmura :

– Dis-moi ma belle, est-ce que tu aimes te faire sodomiser ?
– Ben, quand c’est bien fait…

Je me mis à quatre pattes, comme une chienne. J’étais déjà tout excitée de l’étreinte que je venais de donner à Vicky. Et le pénis de Jo stimulé par les caresses que lui prodigué Fred se portait plutôt bien

Jo se mit donc derrière moi, par-dessus moi. Je sentis son gland frotter mon anus. Vicky aida Jo à me pénétrer. Lorsque le pénis de Jo me pénétra, je sentis une douleur si terrible… que je hurlais ! Mais le temps que dure mon cri, et le pénis de Jo était complètement entré dans mon cul. Il fit des mouvements de va-et-vient tout en me tenant les cuisses pour bien me tenir. J’étais incontrôlable, j’adorais ce qu’il me faisait ! Puis, il se cabra et éjacula dans mon cul… Vicky s’approcha et s’amusa à me lécher mes fesses dégoulinantes de sueur, de mouille et du jus de mon cul. Fred était assis sur le divan et se masturbait… Après avoir nettoyé avec sa langue le sperme qui imbibait la bite de son copain, Il s’approcha et moi et m’embrassa. Puis il me dit :

– C’était bon ! Tu as vu, je suis tout excité…

Je me lançai alors dans ses bras, croyant avoir la force de repartir vers de nouvelles fantaisies, mais tout ce que je réussis à faire c’est de poser mon visage sur son épaule et de m’y endormir, complètement épuisée…

Kelya

Ce récit a déjà fait l’objet d’une publication sur le site québécois sophiexxx, aujourd’hui disparu. Le récit a été un peu remanié pour cette double réédition (revebebe en juillet 2002, avant d’y être retiré et vassilia en octobre 2002)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Dimanche 14 août 2022 7 14 /08 /Août /2022 10:59

Confessions scatos – 4
scat

 

Le salon de Catherine Valmurey, récit anonyme du 19ème siècle

C’est Vernouillet qui m’a fait connaitre le salon de Catherine Valmurey, il y avait les habitués, Rodineau, Chabert et son fils, nous étions donc cinq ce jour-là. La soirée commença par la lecture de poèmes grivois que chacun avait dégoté, voire écrit. Madame Valmurey outre le fait d’être une très belle femme se distinguait par ses traits d’esprits très pertinents.

Après qu’elle nous eut versé le champagne et que nous l’avions bu après avoir trinqué aux belles femmes et aux plaisirs qu’elles nous apportent, notre hôtesse après avoir ôté ses dessous monta sur la table, chacun a alors posé sa coupe sous son pubis afin de recueillir sa pisse. Quand toutes les coupes furent remplies, y compris la sienne, nous retrinquâmes. Sans bouger de la table elle demanda au fis Chabert de lui quérir une belle assiette à l’office. Et devant nous, la belle Catherine poussa une longue merde brune qui tomba dans l’assiette. Elle nous fit ensuite passer l’assiette afin que nous puissions contempler son œuvre de plus près. Rodineau commença et se contenta d’humer. J’étais le deuxième, Ce fut pour moi un plaisir exquis de lécher la bonne merde de Catherine Valmurey.

Club sans tabou par Marouzet

J’ai eu l’occasion d’être invité dans un petit club qui organise des soirées sans tabou (uro, sadomaso, scato et même zoo)

Joël, le maitre de cérémonie nous disposa en cercle autour d’une grand pièce, au fond de laquelle avait été disposée une croix de Saint André.

– Voilà nous sommes quatorze aujourd’hui, il ne viendra plus personne, Je rappelle la seule règle : entre vous, vous pouvez vous faire tout ce que vous voulez, mais vous n’intervenez pas au milieu de la scène sauf si on vous le demande. Et maintint je vous présente Belinda

C’était une très belle femme, brune aux yeux bleu, dans les quarante ans tout sourire, avec un rouge à lèvres cerise. Vraiment très belle, elle aurait pu faire du cinéma. Joel lui demanda de se déshabiller. A la vue de sa magnifique poitrine, j’imitais mon voisin qui avait sorti sa bite et me branlait nonchalamment.

a8008n1Une femme blonde un peu forte mais au physique agréable se déshabilla à son tour puis après avoir attaché Bélinda sur la croix entreprit de la flageller par devant. Les coups zébraient sa peau et elle gigotait et hurlait comme un beau diable mais semblait s’accommoder de ce traitement sadique.
Après cette petite mise en bouche, la blonde la détacha et les deux femmes s’embrassèrent sur la bouche. Belinda fut invitée à se coucher par terre et la blonde lui pissa dans la bouche puis vint le clou du spectacle, se positionnant au-dessus de la bouche de sa soumise la blonde libéra un long boudin qui arriva directement dans la bouche de Bélinda. Elle en garda un peu en bouche en regardant l’assistance d’un air de défi.

Voir une aussi jolie femme avoir un tel rapport avec la merde tout en gardant le sourire a quelque chose fascinant. je bandais comme un malade.
On fit ensuite venir le chien, mais ceci est une autre histoire…

Grosse envie par Anna

L'autre samedi j'ai rencontré un jeune homme en boite fort charmant, il m'a proposé de me ramenée chez moi mais je voyais les choses autrement. j'avais très envie d'aller aux toilettes alors je lui ai proposé de l'emmener sur la plage, de le sucer et de partir comme ça sans rien de plus et il a accepté. Arrivé sur la plage je me suis mise a genoux et je me suis occupé de lui, il avait une très belle bite qui sentait un peu le pipi. Tout en le suçant je lui introduisit un doigt dans le cul, je sentis sa crotte et mon doigt est ressorti tout merdeux, je n'ai pas pu m'empêcher de lécher mon doigt jusqu') ce qu'il redevienne tout propre, sa merde avait un goût délicieux, mais ce qui était étrange c'est que le type ne se rendait pas trop compte de ce que je faisait. Et puis j'ai un comme un coup de folie, je me suis lâché dans ma culotte tout en sentant son sexe dans ma bouche et ses mains sur mon visage, moi je poussais dans ma culotte, ma position faisais que je me suis retrouvé très vite avec une énorme masse chaude aux fesses, j'ai continuer a pousser plus fort en le sauçant plus vite jusqu'à le faire jouir, il m'a regarder m'a dit merci et il est parti, moi je me suis relevée, la culotte pleine et mouillée. J'ai marché jusqu’à chez moi comme ça !

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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