Helga, ma correspondante allemande par Christelle Baxter
Récit contenant des passages scato explicites
C’est en relevant mon courrier, le soir que je découvrais une enveloppe manuscrite provenant d’Allemagne. Intriguée, j’ouvrais et découvrait une lettre d’Helga, mon ancienne correspondante. Elle
devait passer à Paris pour rencontrer quelqu’un dans le cadre de son travail et me disait en profiter pour y rester une semaine, elle espérait me rencontrer et m’indiquait son numéro de portable.
Ça pour une surprise, j’avais déjà rencontré trois fois Helga, les deux premières fois furent classiques, mais nous étions bien appréciées, cette fille respirait la joie de vivre et la
décontraction. La dernière fois, nous avions dix-huit ans tous les deux, elle me dévorait des yeux, et moi je n’osais franchir ce pas, elle multipliait les provocations se baladaient nue devant
moi, pissait ou chiait sans fermer la porte des chiottes. « Ce serait bête d’attendre le dernier jour » m’avait-elle dit… « Je ne suis pas prête pour ça ! » avais-je répondu…
Alors juste une fois, et on en parle plus… Je n’avais pas dit « non », j’avais dit « je ne sais pas »… elle sut alors qu’elle pourrait cueillir ce qu’elle était venue
chercher. Ce fut le dernier jour, le dernier soir, ses valises étaient déjà faites, un amour bestial, nous nous sommes caressées, léchées, doigtées, fait jouir je ne sais combien de fois, et même
compissées. Et au petit matin on s’est mises à pleurer comme des fontaines au milieu de ses bagages. « On se reverra bientôt, je t’appelle… »
Je m’étais traité de conne, pourquoi avoir attendu le dernier moment ? Helga m’avait rappelé le lendemain, on était resté longtemps à jacasser au téléphone. « Je te rappelle la semaine
prochaine ! » Elle ne l’a pas fait, je ne l’ai pas rappelé non plus, c’était il y a huit ans !
Huit années… comme le temps passe trop vite !
Cette fille m’a profondément marqué, elle m’a permis de découvrir une bisexualité qui ne m’a depuis jamais quitté, même si je n’ai jamais retrouvé les frissons de cette chaude première fois.
Certaines de ses réflexions incongrues sont restées dans ma mémoire. Elle me dit un jour qu’il fallait aimer et rechercher tous les plaisirs de la vie Comment ne pas être d’accord, mais c’est
quand elle les énumérait que ça devenait insolite : « Manger, rire, baiser, boire, chanter, pisser, chier ». Et ses commentaires du même ordre « Oh ! J’ai bien chié, j’ai fait un
gros boudin, il était joli comme tout ! » Je ne m’offusquais pas mais ne relançais pas.
Comment avait-elle aujourd’hui évolué ? Elle était peut-être mariée, ses tendances lesbiennes et scatologiques avaient peut-être été remisées aux magasins des fantasmes de jeunesse ? Mais bon,
rien ne m’empêchait de la voir. J’étais pour ma part libre comme l’air, j’ai bien un lit à deux places mais il n’y a pas souvent deux personnes dedans.
Je lui téléphone, elle me dit qu’elle n’a pas beaucoup de temps pour me parler, mais si je pouvais lui rendre le service de lui trouver un petit hôtel pas cher et de lui en textoriser les
cordonnées…
– Je peux t’héberger chez moi, je suis seule… si tu acceptes de coucher dans mon lit !
– Oh ! Quelle excellente idée…
Je suis allée la chercher Gare de l’Est, le dimanche soir. Un peu changée, coiffure plus sage, allure moins gamine et quelques kilos de plus. Un gros bisou.
– Tu veux boire un coup, ou on file direct à la maison ?
– Maison !
Et hop, métro.
Je lui avais préparé un petit repas sympa avec un bon petit rosé, elle me raconte un tas de trucs, une vraie pie, elle m’apprend qu’elle s’est mariée mais qu’elle a divorcé rapidement pour se
mettre en ménage avec un mec et qu’ils se sont séparés dernièrement… Il s’en passe des choses en huit ans ! Par contre aucune allusion à nos galipettes d’antan, aucun propos ambigu sinon un banal
« T’es toujours aussi belle ! » que je lui renvoie bien volontiers, aucune allusion scato non plus. Serait-elle devenue trop sage ?
Elle m’explique qu’elle a rendez-vous demain lundi avec un mec, que ça lui prendra toute la journée, je ne comprends pas bien ce qu’elle fait comme boulot, un vague rapport avec la recherche, je
crois comprendre, mais je ne suis même pas sûre. Idem pour le mardi , mais elle sera donc complètement libre les trois jours suivants avant de repartir en Allemagne samedi matin. Je lui dis que
je vais me débrouiller pour me libérer jeudi et vendredi. Elle a l’air désolée que je ne puisse le faire pour les quatre jours… Comme si c’était forcément simple !
On est allé se coucher, elle était crevée, elle s’est mise à poil et s’est endormie de suite sans aucune manœuvre d’approche. J’ai eu pour ma part du mal à trouver le sommeil.
Le lendemain matin, madame fait un raffut du diable dans la salle de bain et en plus elle traîne, elle traîne, idem pour le petit déjeuner qu’elle prend toute nue, trouvant le moyen de se mettre
de la confiture sur les seins. Ça la fait rire et elle me demande si je veux lécher.
C’est le signal que j’attendais, mais il arrive au mauvais moment.
– Je voudrais bien, mais si je le fais, ça va nous emmener je ne sais où ?
– Tu n’aimes plus ?
– Si, mais faut que j’aille bosser et je sens que je vais être en retard.
– Ils ne sont pas cool tes patrons !
– Pas trop non, mais si tu veux on rejouera la scène ce soir…
– Oh, oui, « rejouer la scène » c’est un bon plan ça !
J’ai été bosser au magasin en me disant que ce soir j’allais passer à la casserole. Je me demandais si j’en avais réellement envie. Ce matin j’aurais bien dit oui si j’avais eu le temps. Là, je
ne savais plus. Je rentrais vers 18 heures, j’hésitais entre préparer quelque chose à manger ou ne rien faire et l’emmener au restaurant.
La voilà qui rentre, elle a l’air dans un état d’excitation assez dingue, sans transition elle me demande si elle peut aller se doucher. Bien sûr qu’elle peut aller se doucher. Je ne sais
toujours pas ce qu’on va faire après, je vais attendre que madame sorte, si c’est comme ce matin ça va durer un certain temps. Finalement ça aura été plus vite que prévu, la voilà qui se pointe à
poil et à peine sèche.
– Il faut que je te raconte ma journée.
J’ai droit à un déluge verbal inimaginable, comme le plupart des gens elle ne sait pas raconter, ne respectant aucune chronologie, faisant référence à des personnages dont j’ignore tout. Je finis
par comprendre quand même qu’il est question d’un contrat pour sa boite et que son interlocuteur voulait la sauter…
– Moche, très moche, il était !
– Qui ça ?
– Monsieur Berger.
Vraiment du mal à suivre.
– Et alors il m’a dit, « je ferais n’importe quoi pour passer une heure avec vous ! » Et moi, je lui dis « Monsieur, je n’ai pas envie de coucher avec vous ! » Il me parle
alors de compensation, me demande ce qui me ferait plaisir… Je lui dis « du fric » ! Il me regarde avec des drôles de yeux, je crois qu’il va laisser tomber, il hésite et me dit
d’accord « combien ? » Alors j’ai fait la pute avec lui, j’ai décroché le contrat et j’ai gagné de l’argent de poche… alors je suis allé chez le parfumeur… Ah, tiens je t’ai acheté un
petit flacon pour toi… dit-elle en allant farfouiller dans son grand sac.
Elle me demande si ça me plait, bien sûr que ça me plait, c’est bien la première fois qu’on m’offre un parfum aussi cher. Je lui fais un bisou.
– Mieux que ça le bisou ! Demande-t-elle.
On se roule un patin. Je la caresse tandis qu’elle essaie de me déshabiller, elle n’y arrive pas trop bien, je me dégage et entreprends de le faire moi-même. J’allais pour reprendre nos ébats
quand elle m’annonce tout de go :
– Il faut que fasse caca, tu viens avec moi ?
– Euh, peut-être pas !
– Mais si viens, on va rigoler !
J’aurais dû me douter que ce genre de choses arriveraient tôt ou tard ! Je la suis. Elle s’assoit sur la cuvette, puis se ravise.
– Je vais me mettre comme ça, tu verras mieux !
Je ne lui réponds pas que ce n’est peut-être pas indispensable… Elle ne m’écoute pas et se met donc les pieds sur le rebord de la cuvette, puis se met à pisser. Le filet n’est pas très abondant,
sans doute, avait-elle déjà pissé sous la douche, mais cela me trouble confusément.
– Viens nettoyer mon pipi, pour le reste, je vais me retenir encore un peu.
Pas de problème, ça aussi c’est elle qui me l’avait apprise, et j’avais aimé le goût de son urine. Merveilleux souvenir d’une
pratique que je n’avais jamais eu l’occasion de réaliser de nouveau. Un délicieux picotement m’envahit tandis que je me régale de sa pisse ! Mais pourquoi donc ne m’a-t-elle pas proposé de me
pisser directement dans la bouche ? Bof, nous aurons d’autres occasions ! Il me suffira de lui demander !
Je me recule ! Je pourrais en profiter pour la faire jouir, mais le veut-elle maintenant ? Non, elle me retient pas, elle doit maintenant faire ce qu’elle à faire. Elle change alors de position
me tournant le dos sur la cuvette.
– Attention les yeux ! Dit-elle. Approche-toi bien.
Je me rapproche mais pas trop quand même. Son anus s’ouvre : Un bout d’étron apparaît, puis le reste suit, très vite avant de sombrer dans la cuvette avec gros floc, un second boudin suit le
premier. Helga descend de la cuvette sans s’essuyer. Elle regarde avec amusement le fond de la cuvette.
– Alors c’était beau ?
– Beau, je ne sais pas, mais c’est très troublant.
– Tu veux que je tire la chasse, si l’odeur te gênes.
– Mais, tu ne t’es pas essuyée ?
– Je sais, j’ai pensé que tu aimerais me le faire !
– Tu veux que je t’essuie le cul ?
– Que tu me le lèches, plutôt ! Tu n’as jamais fait ça ?
– Ben non !
– Tu voudrais essayer ?
– Oui, je veux bien, mais c’est juste pour essayer, d’accord ? Précisais-je.
– O.K. je vais t’aider, tu vas d’abord approcher ton nez de mon trou du cul et renifler, juste renifler, c’est pour que tu t’imprègnes bien de l’odeur.
Je fais comme elle me dit, petit mouvement de recul quand même, c’est vrai que ça pue la merde, mais je m’habitue vite, et puis l’excitation ça doit aider !
– Vas-y maintenant, lèche-moi mon cul plein de merde !
Je m’étonnais de la facilité avec laquelle j’accomplissais cette tâche.
– Alors tu te régales ? Me lança-t-elle.
– Je ne sais pas si je me régale, mais qu’est-ce que je suis excitée.
Curieusement, quand je repense à ce moment, et que j’essaie de me remémoriser la façon, dont je qualifiais le goût, le mot qui me vient à l’esprit c’est « surprenant ». Dans
l’inconscient populaire, la forme et l’odeur de la merde sont toujours associées au « dégueulasse », alors vous pensez bien que le goût… alors que personne n’y a jamais gouté. Je
m’attendais donc à rencontrer un gout abominable que seuls des détraqués de la papille pouvaient apprécier, genre vieux camembert oublié six mois dans un placard, mélangé à un ragout de de
ragondin mort d’amour. Ben non, c’est presque neutre, avec une petite âcreté dans l’arrière-goût. En fait c’est pas mauvais du tout et puis c’est tellement pervers !
Je suis tellement dans mon trip que je m’acharne à ne laisser aucune trace suspecte et que je lui restitue son joli petit anus tout propre comme un sous neuf. J’en reprendrais bien encore…
Je suis dans un état second, je ne me reconnais plus. Helga s’en aperçoit et en profite, la salope !
La chasse n’était toujours pas tirée, alors Helga a ce geste incroyable d’aller de sa main repécher l’un des étrons, le regarder avec malice, puis d’y porter la langue.
– Regarde ce que je fais, je suis cochonne, n’est-ce pas ?
– Oui…
– Si je le fais, tu peux le faire aussi !
Elle approche l’étron de ma bouche. Je ne vais quand même pas faire ça ? Mais ça ne me dégoute pas. Alors pourquoi ne pas essayer ?
– Vas-y, lèche ma merde, la bonne merde de ta copine allemande.
Ça y est ma langue lèche l’étron. C’est le même goût que tout à l’heure, pourquoi aurait-il été différent d’abord ?
Helga reprend la merde, la prend en bouche cette fois par l’extrémité et se met à la sucer comme si elle faisait une fellation. Je suis hypnotisée. Elle le relâche.
– Ouvre ta bouche !
J’obéis, elle me fais pénétrer l’étron dans ma bouche, juste un peu, par reflexe, à moins que ce soit par vice, j’y porte la langue, je suis complètement folle.
Helga m’a ensuite badigeonné le corps avec sa merde, les seins, le ventre mais aussi le visage, les joues, le menton, puis elle m’a passé un morceau de l’étron m’invitant à lui rendre la
pareille..
On est mignonne toutes les deux, ainsi enduite de caca, on rigole, on s’embrasse s’échangeant un délicieux baiser merdeux pendant de long instants.
L’affaire s’est terminée en soixante-neuf, je crois sans mentir avoir ce jour-là jamais joui aussi intensément.
Et après ? Me demanderez-vous.
Ben après, on s’est douché, on est passé à autre chose, on s’est tapé un bon petit repas, on a rigolé comme des bossues et on s’est endormies à poil l’une contre l’autre.
Le lendemain elle est partie de bonne heure, elle ne repartira que dans deux jours en Allemagne. Alors vivement ce soir qu’on refasse de belles cochonneries toutes les deux, J’en suis déjà tout
excitée à l’avance.
Fin
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