Dimanche 31 juillet 2022 7 31 /07 /Juil /2022 09:15

Confessions lesbos
bisou1719

 

 

Sophie dans le métro

Je m’appelle Sophie, j’ai 24 ans et je suis brune aux cheveux longs. Très brune, avec un système pileux assez développé, puisque j’ai même des poils sur les avant-bras et ne fait pas grand-chose pour les dissimuler.

Il faisait chaud ce jour d’août, je portais une jupe stretch beige et un chemisier. Et le monde entrait et entrait toujours dans ce métro bondé.

Je suis debout tenant une barre pour ne pas tomber quand je remarque une femme, la quarantaine, qui me regarde fixement. Elle me fait carrément de l’œil ! Elle passe et repasse lentement la langue sur ses lèvres ! Encore une vieille lesbienne, pensais-je !

Elle se lève, s’approche de moi et me demande mon âge dans l’oreille.

– 24 ans, madame ! Répondis-je par réflexe
– Ecoute, me dit-elle, j’aime les jeunes femmes comme toi, réponds-moi dans l’oreille franchement à mes questions et je pourrais être très généreuse !

J’avais besoin d’argent et je répondis : « ok ! »

– Tu portes quoi sous ta jupe ?
– Une culotte en dentelle blanche.
– Est-elle transparente ? Réponds, tu m’excites !
– Oui il y a du lycra devant.
– Réponds-moi, est-ce que ta chatte est bien poilue ? Tu es bien brune, tu dois avoir une belle touffe ?
– Oui madame une grosse touffe !
– Humm et tes seins?
– 95 D madame
– Humm tu me fais mouiller, jeune fille ! Je serais très très généreuse si tu me suis chez moi et que tu te penches bien en avant que je te reluque le cul !
– Ok madame, tout ce que vous voudrez !

Arrivées dans l’escalier de son immeuble elle m’ordonna :

– Monte l’escalier devant moi, penche-toi bien, remontes ta jupe !

Je la remontais, laissant apparaître mes dim-ups et ma culotte moulant bien mon cul.

– Humm, fit-elle, je vois des poils dépasser de ton slip, cochonne ! Baisse-le et cambre-toi bien que je voie ta grosse moule poilue.

Je me penchais à fond, écartant les jambes et je sentais ma grosse chatte noire poilue dépasser de mon cul béant.

– Ahh, quelle grosse moulasse tu as petite pute, entre, je vais m’occuper de toi, et peut-être qu’après je vais appeler toutes mes vieilles copines gouines qui aiment les grosses chattes poilues !
– Si elles me paient, aucun problème.
– Tu es décidemment une petite pute !
– Oui, parfois, madame !

L’inconnue du petit bar par Alice

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Alice 31 ans, fausse blonde. J’étais entrée dans ce bistrot du Marais complètement par hasard. Je me dirige vers le bar et demande un demi panaché afin d’apaiser ma soif. Une nana est à côté de moi, assez imposante, visage agréable, la cinquantaine, mais attifée n’importe comment d’un pullover gris à grosses mailles

– Bonjour ! Me dit-elle

Je réponds à son bonjour par simple reflexe de politesse

– Vous cherchez une aventure ? Me demande-t-elle
– Pardon ?
– Vous ne cherchez pas ?
– Je cherche juste à me désaltérer, j’avais grand soif, voyez-vous.
– Alors je vous paie votre verre !
– Y’a pas de raison !
– Si, la raison c’est que vous êtes très belle !
– Vous ne seriez pas en train de m draguer, là ?
– Disons que je tente ma chance, il parait que je lèche bien !

Mais c’est qu’elle me trouble, la goudou !

– Je vais vous laisser ! Lui dis-je en terminant mon verre.
– Vous êtes si pressée que ça ?

Je ne sais pas comment elle s’est débrouillée, mais la voilà qui me caresse le bras… et elle le fait bien.

– Ecoutez, je ne suis pas gouine…
– Personne n’est parfait ! On fait ça aux toilettes ou je t’emmène chez moi.
– Mais enfin …
– T’as la peau douce et j’ai envie de toi, j’habite à 5 minutes. Je vais te faire jouir mieux qu’un homme.
– On dit ça, on dit ça !
– Essaie, ça ne te tuera pas !
– T’es gonflée quand même !
– Allez viens !

Je ne sais pas pourquoi je l’ai suivi, elle devait posséder un magnétisme.

Chez elle les choses n’ont pas trainées, elle s’est collée contre moi et nous nous sommes échangé un long baiser baveux, tandis qu’elle me pelotait ma poitrine. On s’est ensuite mises à l’aise, Pas mal foutue la goudou pour son âge, une jolie poitrine qu’elle m’invita à caresser et à lécher. On a continué sur le lit, on s’est caressé, on s’est léché, on s’est peloté. Et on s’est retrouvé en 69.

Me voilà avec une chatte devant ma bouche, ce n’est pas la première, j’ai dû me livrer à quelques fantaisies de ce genre pendant mes années collèges, mais depuis macache walou ! J’ai peur de passer pour une gourdasse, mais n’empêche que je me régale de cette chatte trempée, Son clito est énorme, on dirait une micro-bite, Ma langue s’en empare et le fait danser, Ma compagne de jeu gémit, je redouble d’efforts, elle pousse un cri. Super, un peu court mais super, n’empêche que j’aimerais bien jouir à mon tour, mais mon inconnue s’y attèle en profitant d’égarer son doigt dans mon petit trou intime et ce fut bientôt mon tour de m’envoler au ciel des amours saphiques.

Porte à porte par Janice

Je ne peux pas me qualifier de nymphomane, mais disons que je suis très portée sur le cul… J’ai eu souvent de torrides aventures avec des amants qui ont su me faire jouir jusqu’à ce que j’en frémisse de tout le corps. Mais bien que cela puisse paraître étrange, malgré que j’aie toujours été satisfaite à volonté dans la vie, mon aventure la plus excitante a été une aventure lesbienne.

Tout a commencé bien banalement… Je faisais du porte à porte pour vendre des encyclopédies. Je frappai à la porte d’une maison et ce fut très long avant que quelqu’un ne vienne répondre. J’étais sur le point de m’en aller quand une femme est venue ouvrir… Qu’elle ne fut pas mon étonnement de voir une femme d’environ 45 ans répondre (moi qui en a 25) et qui portait une robe de chambre attachée assez lâche pour que je puisse voir la courbe de ses seins et son triangle de poils brun foncé. La chose qui m’étonna plus encore fut de constater que ma chatte était excitée et mouillée. La femme m’invita à entrer chez elle… J’étais tellement bouche bée que je l’ai suivi sans rien dire jusqu’à son salon. Mal à l’aise, je commençai à lui expliquer le but de ma visite. Elle ne semblait pas tellement intéressée et pendant que je radotais inutilement, elle défit complètement sa robe de chambre et commença à se caresser

– Ça vous dirais de pendre un peu de bon temps ? Me demanda-t-elle avec un soutire enjôleur

J’étais paralysée. Elle comprit certainement que j’étais excitée juste à voir comment je la fixais et comment je me tortillais sur le divan. Elle me dit de me déshabiller sur un ton chaud mais autoritaire. Ce que je fis. Elle s’approcha de moi, et sans hésitation, elle alla directement d’une main sur ma chatte humide, et de l’autre, elle commença à pétrir mes seins avec force. Elle se mit à tracer des cercles sur mon clitoris avec trois de ses doigts. Les cercles étaient de plus en plus rapides et elle mettait de plus en plus de pression. Déjà je croyais m’évanouir tellement que j’étais excitée. Mais ça ne s’arrêtait pas là…Toujours en me pétrissant le clito de sa main experte, elle amena sa langue vers mon minou au comble de l’excitation. Je respirais très fort et poussait de petits cris. Elle léchait sans plus s’arrêter et mon vagin en entier vibrait à chaque coup de langue qu’elle me distribuait. Avec mon pied je lui chatouillais le minou et elle aussi je voyais bien qu’elle en raffolait.

Ma timidité commençait à fondre complètement. Je lui pressait la tête tellement j’étais excitée et là… j’ai eu le plus bel orgasme de ma vie. Je lui ai offert de lui rendre la pareille et sans rien répondre, elle s’est étendue en s’écartant les jambes pour me laisser voir sa petite langue rose qui ne demandait qu’à être embrassée. Nous ne parlions pas beaucoup, nous étions bien trop occupées à jouir ou lécher… Je la léchais et le jus que sa chatte produisait me fascinait. Après qu’elle eut crié de plaisir à son tour, nous avons essayé un autre truc…

Chatte contre chatte, nous avons commencée à nous frotter ensemble. Le contact de son poil frisé sur le mien m’électrisait. Elle me massait les seins avec vigueur et puis tout d’un coup elle s’est levée brusquement me laissant là, toute mouillée et excitée… Heureusement elle est vite revenue avec quelque chose à la main. C’était un vibrateur tout en relief. Du genre parfait pour faire jouir à la mort. Elle a commencé à me le pénétrer dans des mouvements lents de va-et-vient. Je lui disait d’aller plus vite, étant trop pressée de venir une nouvelle fois, mais elle ne m’écoutait pas et faisait prolonger mon plaisir. Elle faisait tourner le vibrateur en dedans de moi, et je sentais les reliefs du plastique qui me chatouillait. Elle commença soudainement à aller plus vite et de l’autre main, elle me branlait encore le clito. J’ai été très étourdie et je crois que j’ai vu noir un moment… Elle me lâcha un peu et se masturba devant mes yeux avides de spectacles avant de recommencer à me lécher de nouveau.

Les émotions remises, je me rhabillais et alla regagner ma piaule en repensant à cette aventure incroyable. Tout avait été trop bon et je ne regrettais rien. Je n’ai jamais eu après d’autres relations avec cette femme. J’ai eu quelques autre expériences lesbienne mais aucune ne rivalisa en intensité avec celle que je viens de vous raconter.

Et devinez où était ma main gauche pendant je l’écrivais ?

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Dimanche 24 juillet 2022 7 24 /07 /Juil /2022 08:00

Dépannage pervers par Estonius
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Bonjour

Je suis Vincent, bientôt 30 ans, je suis pour le moment célibataire, ma compagne ayant été voir ailleurs. Je suis hétéro mais pas à 100 % si vous voyez ce que je veux dire.

L’histoire commence un samedi matin quand on vint frapper à ma porte. J’ouvre, c’est le voisin du dessus, un blondinet dans les 25 ans.

– Excusez-moi, vous avez Internet en ce moment ? Parce que moi, je ne sais ce qui se passe…
– Je vais regarder, entrez cinq minutes.

J’ouvre mon ordi, je ne décèle aucun problème.

– Non, tout est normal ça doit venir de votre machine.
– J’y connais rien, je vais essayer d’appeler la hotline mais ça va être galère.
– Vous voulez que je regarde ?
– Ce serait gentil, mais je ne voudrais pas abuser.
– Allons-y !

On monte là-haut, il me présente sa mère que je croise souvent dans l’escalier sans que nos relations aillent au-delà des bonjour, bonsoir.

Belle brune, cheveux noirs assez court et frisotants, lunettes à grosse monture, sourire carnassier et une poitrine que je ne vous en parle même pas.

– Je m’appelle Hugo, me précise le blondinet.

Sa chambre est un vrai bordel, des bouquins des DVD, des disques, des revues, des canettes de bière vides, des cendriers non vidés et j’en passe…

Mon œil de fin renard est tout de même surpris de voir au milieu de tout ce bordel, une revue gay très hard. Ainsi le mec est homo, ça ne m’étonne qu’à moitié mais ce ne sont pas mes oignons.

Je vérifie les connexions de son ordi, m’aperçois que la prise RJ45 est déplacée, je la remets correctement, mais pas très facilement car elle est à moitié cassée. Et voilà que ça refonctionne. Son navigateur était paramétré pour s’ouvrir sur la dernière page web visitée. Or la dernière page visitée était celle d’un site gay très explicite.

– Ah vous me sauvez la vie ! Faites pas attention aux images, je surfais… un peu n’importe comment.

Ben voyons !

– Je suis content de vous avoir rendu service !
– Je vous offre une bière ?
– Volontiers, on peut peut-être se tutoyer, on a à peu près le même âge.
– Bien sûr !

Je sens que le mec est gêné d’avoir ainsi dévoilé sans le vouloir son homosexualité, je fais donc dans le rassurant :

– Moi aussi ça l’arrive d’aller sur des sites comme ça ! Lui confiais-je.
– Des sites gays ?
– Oui, entre autres. Y’a pas de mal à se faire du bien !

Hugo ne semble plus gêné, mais est visiblement en train de se demander comment peut évoluer la situation. Je décide de le provoquer un peu.

– C’est vrai que le mec sur l’écran il a une jolie bite !
– Oui, j’aime bien !
– Moi aussi j’aime bien les jolies bites, ça m’est même arrivé d’en sucer !
– Ah oui ?
– Ben quoi, faut pas mourir idiot.

Et Hugo se met à se tripoter la braguette, attendant manifestement une réaction de ma part.

– Et toi tu aimes sucer ? Relançais-je.
– Oui j’adore, Et j’aime bien qu’on me suce aussi.
– Tu aimerais que je te suce ?
– Pourquoi pas ?
– C’est vrai, on le fait ?

Le mec dégrafe son pantalon qui lui dégringole sur les chevilles. En dessous il a un string, un string de femme.

– J’aime bien porter ça ! Dit-il comme pour s’excuser avant de le baisser à son tour.

Il se branle un peu la bite afin de la raidir comme il convient et me l’exhibe.

– Alors t’en dit quoi ?
– Elle est très belle !

Un petite merveille ! Taille standard, très légèrement courbée, le gland décalotté luisant… un amour de queue !

– On ne sera pas dérangé ? Demandais-je.
– Ne t’inquiètes pas !

Je m’agenouille, ouvre mes lèvres, et hop dans la bouche la bite à Hugo !

Humm, qu’est-ce qu’elle est bonne cette bite, je me régale d’autant que cela faisait plusieurs mois que je ne m’étais pas donné à ce genre de fantaisie.

Je lèche un peu partout, le gland, surtout le gland, je balaye la verge de haut en bas, puis de bas en haut, en même temps je lui caresse ses grosses couilles. Puis je me mets à pomper cette bite m’efforçant de la faire pénétrer au maximum dans ma bouche au point que ça me cogne dans l’intérieur des joues.

– Qu’est-ce qu’elle est bonne ta bite ! Commentais-je en reprenant mon souffle !
– Tu suces trop bien ! Me répondit-il
– Tu me la mettrais dans le cul ? Demandais-je.
– Ça peut se faire ! Tu voudrais maintenant ?
– Ben oui, pourquoi pas ?
– J’ai pas de capotes ici, je vais demander à ma mère !

Ais-je bien entendu ?

– A ta mère ?
– Ben oui, quoi… bouges pas, je reviens.

Il remonte son pantalon et me laisse seul. J’attends qu’il revienne pour me mettre à l’aise… seulement voilà… quand il revient il n’est pas seul, il est avec sa mère… ça se complique !

– Ben alors Monsieur Vincent, qu’est-ce que j’apprends ? Que vous êtes un petit coquin ?
– Ben…
– Ne vous inquiétez pas, j’ai les idées larges… vous êtes gay ?
– Non, hétéro mais avec quelques penchants…
– Je vois… j’ai apporté les capotes ! Ça vous gêne si je regarde mon fils en train de vous enculer ?

Mais où suis-je tombé ?

– Euh, non…
– Alors allez-y les garçons, foutez-vous à poil et offrez-moi un joli petit spectacle.

Situation insolite, mais après tout pourquoi pas ? Je me débarrasse de mes vêtements

– Vous avez une bien belle bite, Monsieur Vincent ! me complimente la mère d’Hugo, me permettez-vous de la prendre en main ?
– Bien sûr madame !
– Vous pouvez m’appeler Louisette. Et d’ailleurs on a qu’à se tutoyer, au point où nous en sommes…

Estonius depLa Louisette m’a pris ma bite, la branlotte, se penche un peu, je sens qu’elle va me la sucer, ça ne rate pas. Oh putain quelle lague elle a, la Louisette ! Elle a dû en sucer des kilomètres !

– Tourne-toi Vincent que je vois tes fesses ! Oh le joli cul ! T’as vraiment un petit cul de pédé !
– Ah bon ?
– Ça te fait bander quand je te dis que tu as un cul de pédé ?
– Oui, ça m’excite ! J’aime bien les mots crus…
– Quel cochon, penche-toi un peu, je vais t’embrasser le trou du cul !

Et sa langue se met à frétiller autour de mon trou intime, une vrai diablesse, cette nana !

– Hum, il a bon goût ton cul, mais dis-moi, tu voudrais peut-être gouter au mien ?
– Avec plaisir !
– Je vais me donner un coup de lingette avant, je ne me suis pas bien essuyé tout à l’heure… A moins que tu t’en fiches.
– Pas besoin de lingette ! Répondis-je, présumant que la situation ne devait pas être si catastrophique..

Me voilà derrière elle, derrière son gros cul qu’elle écarte. Ça sent bon, ça sent le cul, pas le gel douche !

– Tu peux me mettre un doigt si tu veux !

Je veux bien, et allons-y pour le doigt, je le mouille, le fait entrer et bouger comme il se doit.

– Hum, c’est bon tout ça, mais maintenant je veux mon petit spectacle, allez en position et ouvre bien tes fesses, Vas-y Hugo, il est prêt !

La bite d’Hugo est contre mon anus et quémande l’entrée, on me tartine avec un peu de gel. Une bonne poussée et le gland entre !

Une autre poussée et ça entre complètement ! Me voilà rempli, il y avait un certain temps que je n’avais pas connu cette sensation, une petite gêne au début qui s’estompe rapidement devant les frissons de plaisirs provoquées par les va-et-vient de cette bonne bite..

– Ne jouis pas dans son cul, Hugo, je veux ma part ! Déclare Louisette.

De quoi, de quoi ? J’ai du mal entendre, il ne va tout de même pas enculer sa mère !

– Tu voudrais qu’on te prenne en sandwiche, Maman ? Répond le fiston.
– Bonne idée !
– Alors on va faire comme ça, prépare-toi, pendant ce temps-là je vais continuer à lui limer le cul.

Euh, je rappelle que j’étais simplement venu dépanner l’ordinateur du voisin… Comment vais-je me dépêtrer de cette situation que la morale réprouve ?

Masi quand j’ai vu la Louisette se déshabiller, je n’avais plus du tout envie de me poser des questions philosophiques. Quelle poitrine superbe ! Envie de la lui lécher, ça ne devrait pas tarder…

Hugo décule

– Couche-toi par terre, me dit-il, ma mère va s’empaler sur ta bite, tiens voilà une capote.

O.K. c’est Hugo le gentil organisateur, j’obéis docilement et Louisette vient s’empaler sur mon sexe raide comme la justice. Puis elle se penche de façon à rendre son cul accessible à son fils qui l’encule d’un coup d’un seul !

Voici une figure de style qui demande une certaine coordination, mais nous la trouvons vite.

Ça n’a pas duré bien longtemps, nous avions, Hugo et moi du trop-plein de sperme dans les couilles. Tacitement nous avons attendu que la dame jouisse (et cela n’a pas été très discret) pour nous lâcher.

Tout le monde se relève en sueur.

– Un Coca, une bière ? Me propose la dame,
– Je veux bien une bière !!
– Vous êtes fort sympathique, mais je veux juste faire une mise au point, me dit Louisette, qui revient au vouvoiement, c’est l’occasion qui a nous a fait partouzer ! N’imaginez pas que nous allons prendre des habitudes…
– Oui bien sûr ! Murmurais-je.
– Je dis ça pour moi, en ce qui concerne Hugo, il assez grand pour faire ce qu’il veut.
– Oui bien sûr !

Hugo n’a rien ajouté, mais quinze jours plus tard son ordinateur était de nouveau en panne…

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Estonius
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Lundi 11 juillet 2022 1 11 /07 /Juil /2022 11:03

Corinne et l’auto-stoppeur par Elros
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La semaine est finie. Yohann a terminé cette mission compliquée en province. Prêt à partir, il apprend par la radio que le trafic ferroviaire est complètement arrêté suite à une grève surprise des conducteurs.

– Eh bien, il ne me reste plus qu’à faire du stop…

Yohann se dirige vers la route nationale, avec son sac à dos plein. Il fait chaud, sous ce soleil de début mai. Il a environ 500 mètres à faire à pied avant d’atteindre l’endroit stratégique. Une fois arrivé, il pose son sac et commence à attendre. Il y a peu de voitures.

Au bout d’un quart d’heure, une Golf rouge met son clignotant et s’arrête à sa hauteur. La vitre s’abaisse. La conductrice, une jeune femme blonde d’une vingtaine d’années lui demande où il va. Elle lui dit se rendre à Annecy et lui propose donc de l’emmener. Yohann est d’accord.

Il ouvre la portière arrière et se retrouve nez à nez avec un chien imposant, un border collie.

– N’ayez pas peur. Posez votre sac et venez devant avec moi. Mon chien n’est pas méchant ! Dit-elle

Yohann pose son sac et vient s’asseoir à côté de la conductrice. Celle-ci démarre et commence à rouler.

– Cela ne vous dérange pas si nous prenons des petites routes ? J’ai horreur des nationales et autoroute.
– Non, non. Faites comme vous le souhaitez.
– Merci. Cela va nous prendre un peu plus de temps, mais c’est tellement plus sympa.

Ils roulent donc sur les petites départementale, tout en discutant. Il apprend qu’elle se nomme Corinne, qu’elle est célibataire et qu’elle fait le voyage tous les vendredis. Elle travaille à Gap et dispose d’une maison sur les hauteurs d’Annecy.

– Il fait vraiment chaud. Si on s’arrêtait au prochain village pour boire quelque chose ? Propose Corinne
– D’accord, mais c’est moi qui t’invite !
– OK.

Ils s’arrêtent donc au village suivant. Ils s’installent à la terrasse d’un café, situé en retrait de la rue, sous des platanes. Yohann commande une bière tandis que Corinne demande un diabolo menthe et de l’eau pour Jippy, son chien. Elle se lève et dit :

– J’ai un peu chaud comme cela. Je vais me changer. Tu m’attends ici avec Jippy ?
– Euh, il va être sage ? Bon, d’accord.

Elle revient, 5 minutes plus tard, vêtue d’une petite jupette et d’un débardeur.

– Ouf, comme cela, ça ira mieux !

Elle est face à Yohann. Alors qu’elle se penche sur le côté pour regarder son chien, Yohann peut alors distinguer sa poitrine par l’échancrure du débardeur. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Alors qu’elle se relève, leurs regards se croisent et elle comprend ce qu’il a vu.

– Ç’a t’a plu ? Tu pourrais quand même vérifier l’écuelle de Jippy de temps en temps !

Yohann se penche pour regarder l’écuelle sous la table, Il voit alors Corinne, les jambes bien écartées. Elle ne porte pas de culotte non plus. Il découvre son sexe, rasé de prés. Il se redresse brusquement, et se cogne la tête sur le bord de la table. Corinne éclate de rire.

– Alors, on redemande de l’eau ou pas pour Jippy ?
– Je ne sais pas. Je n’ai pas eu le temps de voir.!

Corinne rit et se trémousse sur sa chaise. Ils boivent leur consommation, payent et repartent, sans avoir échangé un mot de plus. Ils roulent à nouveau, quand Corinne met son clignotant et tourne dans un petit chemin de terre, à droite.

Elle roule pendant 1 à 2 kilomètres et tourne encore une fois à droite dans un petit chemin herbeux. Elle roule pendant environ 500 mètres. Ils arrivent dans une sorte de clairière, avec une grange dans le fond. Elle s’arrête et coupe le moteur.

Yohann un peu inquiet demande :

– Qu’est-ce que tu fais ? On est où là ?
– Ne t’inquiètes pas. Ici, on est tranquille et personne ne viendra nous déranger.

Elle ouvre la portière arrière et Jippy sort de la voiture. Il commence à courir tout autour. Pendant ce temps, Corinne retire son débardeur. Ses seins, ronds et fermes apparaissent complètement. Ils possèdent une auréole fine et des tétons fièrement dressés.

– Corinne, tu… , enfin je… mais quand même, tu vas pas… si on fait…

Elle sort alors de la voiture et retire sa jupe. Elle est là, dehors, totalement nue. Yohann sort aussi et se dirige vers elle.

– Si c’est ce que tu veux, alors d’accord. Suce-moi !

Elle se met à genoux devant lui et commence à lui défaire sa ceinture. Puis elle attaque la braguette. Elle lui descend le pantalon sur les chevilles. Elle retire alors son slip. La verge de Yohann apparaît devant elle, tendue, les reflets du soleil brillant dessus. Elle le caresse, prenant ses couilles dans une main. Elle approche ses lèvres, et commence à le sucer. Elle mordille son gland, s’amuse avec sa langue. Puis elle se relève et se couche, dos au capot de la voiture.

– Lèches moi. Prépare-moi bien, que je mouille.

Yohann s’approche de cette chatte offerte et commence à promener sa langue sur les lèvres. Puis, il l’immisce entre les lèvres, à la recherche du clitoris. Il enfonce ses doigts dans la chatte et commence à la branler. Elle mouille de plus en plus. Elle se redresse et lui dit :

– Arrête maintenant. Je vais te sucer à nouveau. Appuis-toi à la voiture.

Et elle se met à quatre pattes devant lui, prends sa bite dans une main et siffle.

– Jippy, approche !

Yohann constate alors que le chien était là, assis en train de les regarder. Sa bite sortait du manchon, rouge. Il approche de Corinne et commence à lui lécher la chatte. A ce moment, elle avale complètement le sexe de Yohann. Le chien monte alors sur son dos et commence à donner des coups de reins. Il veut la baiser. Elle crie :

– Oui mon chien. Prends-moi bien pendant que je le suce. Enfonce-toi en moi. Fais-moi jouir !

Elle prend la bite de Yohann dans la bouche et passe sa main libre sous elle. Elle prend alors le manchon de son chien, le pousses à fond, vers les couilles, dégageant complètement le sexe rouge et gonflé. Cette pine, pointue est aussi grosse que celle d’un homme. Elle la prend dans la main et la dirige vers l’entrée de sa chatte. Le chien donne toujours de petits coups de reins. Petit à petit, son sexe la pénètre. Le chien se rétablit sur son dos, enfonçant sa queue un peu plus profondément. Il s’active de plus en plus, tandis que Corinne pompe de plus en plus la bite de Yohann. Le chien halète lentement au début, de plus en plus vite. Il bave sur le dos de Corinne.

Sa pine ressort de la chatte de Corinne. Il s’active essayant de la pénétrer à nouveau. Les seuls effets sont de frotter sa verge sur les fesses de Corinne, l’enculant presque. Corinne essaie alors de la reprendre par la main pour la remettre dans sa fente. Le frottement sur son cul associé au toucher de la main le font jouir. Il halète énormément et crache son foutre. Celui-ci, plus liquide que le sperme humain, gicle en longs jets qui vont s’écraser dans le dos, jusqu’au cou et dans les cheveux blonds. Il couine un peu. Plusieurs jets conséquents de sperme se répandent ainsi dans le dos.

Devant ce spectacle, Yohann n’en peut plus. Il se raidit, entrant sa pine au fond de la gorge de Corinne qui se rétracte. Le premier jet de sperme s’écrase au bord de sa bouche et sur ses joues. Elle ouvre la bouche en grand et le jet suivant va s’écraser à l’intérieur. Elle referme la bouche pour l’avaler et relève alors la bite de Yohann. Les jets suivants s’écrasent alors sur ses yeux et ses cheveux. Puis, elle se caresse le visage avec le gland, étalant le sperme, pendant que Jippy se retire et va s’allonger à côté de sa maîtresse.

Corinne se relève alors et va le caresser. Il s’allonge alors sur le dos et écarte les pattes. Elle lui caresse les bourses et le sexe, penchée en avant.

Yohann voit alors sa chatte d’où s’écoule un peu de sperme. Puis elle se met debout, s’approche de lui, lui prend la main et l’entraîne vers la grange. Elle lui dit :

– Reposes toi un peu à l’ombre. Je reviens tout de suite.

Il s’allonge sous un arbre et ferme les yeux. Jippy vient le rejoindre. Il s’approche de lui et commence à lui sentir le sexe. Il lui lèche les couilles et la bite. Yohann se redresse alors et le repousse gentiment, c’est quand même un chien. Mais Jippy recommence. Corinne revient alors, tirant un âne derrière elle. Elle s’approche de Yohann et lui dit :

– Je vois que Jippy t’aime bien. Ma chatte lui est réservée. Que dirais tu de jouir dans mon cul maintenant ? Moi, je sucerais Milon ! Dit-elle en désignant l’âne.
– Là, maintenant ?
– Oui, pas dans deux heures. Alors ?
– Euh, bon d’accord. Mais il faut que tu m’aides ?
– Jippy va s’en charger. Hein Jippy ? Suce-le !

Le chien se précipite alors sur le sexe de Yohann et se met à le lécher frénétiquement. Sa langue lui lèche aussi le cul. Cela semble plaire à Yohann car sa bite se redresse petit à petit. Pendant ce temps, Corinne est passée sous le ventre de l’âne et lui a saisi le sexe. Elle commence à le branler lentement à travers le manchon et l’on voit le sexe s’allonger et grossir progressivement. Elle le dégage progressivement. Sa bite est noire, assez grosse. Elle en suce le gland puis toute la partie découverte. Elle le branle lentement. Elle se tourne par moment pour contrôler l’érection de Yohann. Au bout d’un moment elle dit :

– Branles toi un peu, maintenant Jippy va me préparer. Jippy ! Viens là ! Lèche-moi le cul !

00CorinneEt en disant cela, elle se met à quatre pattes, écartes les jambes et tend son cul vers l’arrière. Jippy se tourne et se précipite vers sa maîtresse. Il pose sa truffe entre ses fesses et commence à la lécher. Pendant ce temps, Corinne essaie d’avaler la bite de Milon. Elle ne parvient qu’à enfourner légèrement le gland. Elle passe constamment sa langue sur cette pine énorme et noire. Elle titille le gland et essaie d’écarter le méat urinaire avec sa langue. On voit la poitrine de l’âne se soulever de plus en plus rapidement. Avec sa jambe, elle écarte Jippy et dit :

– Yohann, viens maintenant. Prends-moi dans le cul.

Yohann s’approche alors, la bite à la main. Il se place derrière Corinne et lui pose la bite sur l’anus, complètement mouillé et légèrement dilaté. Jippy approche son museau et redonne quelques coups de langue. D’une poussée, Yohann entre son gland dans ce cul, rond et chaud. Il s’enfonce progressivement.

Jippy, est maintenant passé sous Corinne et lui lèche la chatte. Yohann sent ses coups de langue sur ses testicules. Corinne branle toujours l’âne qui se met à braire et qui décharge. Son sperme abondant et liquide va se répandre sur le visage et les cheveux de Corinne. Elle tente d’en avaler un peu. Elle semble jouir car elle se trémousse et pousse de nombreux cris. Yohann, entre les mouvements de son cul et la langue de Jippy, n’en peux plus et éjacules dans son cul. Il s’enfonce le plus profondément possible et décharge, en longs jets brûlants. Il râle et sa jouissance est immense. On entend couiner le chien qui décharge dans la main de Corinne qui était en train de le branler.

Tout le monde se relève alors et Corinne, dégoulinante de sperme, prend Milon par le licol et va le ranger dans la grange. Lorsqu’elle revient, elle semble un peu plus propre.

Il y a là-bas un peu d’eau. J’ai pu me débarbouiller. Mais maintenant, il faut repartir.

Ben oui, les meilleures choses ont une fin !

Léger rewriting d’un texte paru en 2000 sur le site de Revebebe, puis passé à la trappe. Les modifications effectuées l’ont été en respectant l’esprit du récit original

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Samedi 9 juillet 2022 6 09 /07 /Juil /2022 11:43

Le travesti et le dalmatien par TransMonique
coin102

 

Bonjour, voici un récit de pure fiction qui m’a été inspiré par certaines bonnes lectures sur ce site.

C’est parti !

J’ai 29 ans, je me travesti et suis artiste de cabaret. Alors inévitablement, on finit par être sollicité par des clients qui souhaitent des prestations « extérieures ».

Au début j’étais plutôt réticent et puis j’ai fini par me dire qu’il serait bête de refuser de l’argent aussi facile. Et outre les rendez-vous pris à l’intérieur du cabaret, je passais aussi quelques annonces.

Donc me voilà un peu pute !

Je m’en vais donc vous narrer l’une de ces rencontres, la plus insolite, pourrait-on dire.

Aujourd’hui c’est perruque blonde, petit caraco rose, string assorti, minijupe en vinyle noir, porte-jarretelles et bas résille, escarpins vertigineux de chez Louboutin. Je suis rasé de près partout, savamment maquillé et les ongles manucurés. Je me contemple dans le miroir. Je m’adore comme ça !

Je passe sur le luxe de précautions que m’a fait prendre mon client du jour, parce qu’après tout, quel intérêt !.

Je n’ai jamais su le nom de ces gens. C’est le grand luxe, pavillon en meulière, jardin fleuri parfaitement entretenu, escalier bordé de statuettes…Une femme mature très classe et ma foi fort appétissante me fait entrer. Elle est en robe de chambre, du satin rouge quand même…

Ça pue le fric là-dedans, meubles de style, tableaux sur les murs, objets tape-à-l’œil et j’en passe. La musique diffuse des valses de Johan Strauss. J’ignore si c’est de circonstance, mais ça ne me déplait guère.

– Mon mari arrive de suite, il finit de se laver la bite

Je suppose que cette vulgarité est volontaire et j’esquisse un sourire qui se voudrait complice.

– Votre rétribution est dans l’enveloppe sur la cheminée, vous avez le droit de recompter.

Elle me laisse seul un instant. Je ne recompte pas les sous, mais jette un coup d’œil, puis madame revient, suivi du mari et du chien.

Mon regard va d’abord sur l’animal, c’est un dalmatien, et je sais ce qu’il me faudra faire avec le moment venu.

Le mari, est en blazer bleu marine, chemise blanche et cravate. C’est dingue ça de rester en cravate à la maison ! Quelle manque de décontraction.

– C’est donc vous, Monique ! M’interpelle-t-il.
– Ben oui, c’est moi !
– Vous êtes une très belle pute !
– Merci monsieur !
– Un petit rafraichissement avant de passer aux choses sérieuses ?
– Avec plaisir !
– Le pipi de madame vous conviendrait-il ?.
– Pourquoi pas ?
– Vous ne boirez pas à la source, il serait dommage d’abimer votre beau maquillage, nous allons procéder différemment

Il se dirige vers un guéridon sur lequel ont été déposés fort opportunément sur un plateau d’argent trois verres à pied en cristal.

La femme se débarrasse de sa robe de chambre sous laquelle elle est entièrement nue. Jolie femme, belle poitrine incitant à la caresse..

– Me trouvez-vous baisable ? Me demande-t-elle.
– Oui, madame vous êtes très belle !
– Ce n’était pas ça, la question !
– Oui, vous êtes baisable, madame !
– Dites-moi que je suis une belle salope !
– Vous êtes une belle salope, madame !
– Une morue, un garage à bites…
– Oui, vous êtes tout ça madame !
– Et vous allez boire ma pisse de pute !
– Avec plaisir, madame.

Elle s’empare de l’un des verres, le porte sous sa chatte et pisse dedans.

J’aime bien les jeux uro pour leur côtés coquins (pour ne pas dire pervers), j’aime qu’on m’urine sur la bite, ou dans la bouche. Boire de l’urine dans un verre fait, pour ce qui me concerne, perdre de l’intérêt à la chose. Mais bon, il serait déplacé de faire une quelconque remarque, après tout, ces gens-là m’ont grassement payé !

Je bois donc le pipi de la dame, ces messieurs dame ne trinquent pas avec moi, pas bien grave..

– Ma femme va vous sucer la bite et quand elle sera bien raide, vous allez m’enculer ! M’informe Monsieur.
– Pas de problème. Je suis à votre disposition.

Je suis d’ordinaire davantage passif qu’actif dans mes rapports sexuels, mais je sais m’adapter.

– A toi de jouer, salope !

Comment il parle à sa femme, ce mec !

Je retire ma mini-jupe et écarte mon string afin de laisser sorti mon zigouigoui, et la dame vient y poser ses douces lèvres.

Oh ! Mais c’est qu’elle suce super bien la bourgeoise, et très vite ma bite bande comme une baguette de tambour. (une grosse baguette) .

– Il est prêt, je crois ! Constate-t-elle en se redressant.
– Bel engin en effet !

Monsieur pose alors son blazer sur un dossier de chaise, puis retire son pantalon et son caleçon. Par contre il conserve chemise et cravate ! Dingue ça, je vais enculer un mec en cravate !

– Il se tourne, me montre son cul !
– Alors ma chère, comment trouver vous mon cul ?

Il est moche son cul ! Mais je ne vais pas lui dire.

– Hum il me plait bien je vais avoir grand plaisir à vous enculer !
– N’est-ce pas que j’ai un cul d’enculé !
– Absolument, vous avez un cul d’enculé !
– Préparez-moi ! Un peu de langue, un peu de doigts

J’ai connu des anus plus sympathiques, mais bon en fermant les yeux, ça le fait, je lui lèche donc le troufignon avec application, à ce point que son trou du cul se met à bailler. J’en profite pour lui introduire un doigt que je fais aller et venir, puis je fais entrer un second doigt, puis un troisième. Voilà qui fait miauler notre homme.

– Ça suffit les doigts, enculez-le maintenant ! M’ordonne la dame.

Puisque c’est demandé gentiment… On me tend une capote et une dosette de gel. Et allons-y la jeunesse !

– Ça te plait de te faire enculer, Hubert, espèce de gros pédé ! Le nargue son épouse.
– Oh, oui ! Je ne suis qu’un pédé qui se fait enculer par un travelo devant sa salope de femme.
– T’est qu’une morue, une tafiole !

Je suis tombé sur des poétes !

– Et toi le travelo, tu ne jouis pas, les réjouissances ne sont pas terminées !

Ben oui, je sais ce qui m’attends, donc je décule.

– Oh ! Qu’est-ce c’est bon une bite dans le cul ! Commente Monsieur.
– Je suis bien d’accord avec vous !
– Je ne comprendrais jamais les gens qui refusent de se faire enculer ! S’ils savaient ce qu’ils perdent ! Poursuit ce grand philosophe.
– Bon, on passe à la suite ? Demande Madame.
– On y va !

Madame s’assoit sur le canapé et m’invite à venir à ses côtés.

– Pelotez moi les nichons, jeune fille !

C’est moi la « jeune fille ! »

Je lui caresse ses jolis seins, j’agace un peu ses gros tétons érigés.

– Mieux que ça, plus fort ! Pincez-moi, mordez-les, je ne suis pas en sucre !

Et pendant que je maltraite les nénés de la bourgeoise, son mari s’est emparé d’une carotte (elle sort d’où la carotte ?) et se ramone le cul avec.

– Fouille moi la chatte maintenant ! Me demande la dame !

C’est tout mouillé là-dedans, j’enfonce un doigt qui émet un étrange bruit de floc-floc

– Ça va être bon ! Viens Lancelot !

C’est qui Lancelot ? C’est le chien. Il vient lécher mémère avec frénésie.

– Ah que c’est bon, je plains les nanas qui ne connaissent pas ce plaisir ! Aaaah !

Ma parole elle va jouir ! Déjà ? Ben oui ! Et c’est guère discret.

Elle souffle un peu, puis récupérant un peu de sa mouille ave sa main elle m’en badigeonne ma bite.

Ce n’est pas ma première expérience zoo, mais les deux autres fois le chien ne m’avait pas léché. C’est donc un pas à franchir !

TransMoniqueMoment fatidique ! Un peu d’appréhension, en principe un chien ne mord jamais dans ces moment-là, il se contente de lécher, mais sait-on jamais, un coup de folie… et hop, plus de bite !

De sa main gluante, Madame dirige le chien vers mon sexe, et le voilà qui me lèche ! Putain quelle langue. Non seulement c’est excitant « physiquement », mais la situation est quand même super bandante. Je crains de partir trop vite et en prévient la dame.

– O.K, on va faire un petite pause, couché le chien ! Mais j’y pense, je manque à tout mes devoirs ! Je ne vous ai pas montré mon cul !
– Je ne crois pas non !
– Les aimez-vous un peu sales.
– Disons que ça ne me dérange pas !
– Eh bien, ça tombe à pic, figurez-vous que ce matin, j’ai chié un gros boudin et je ne me suis pas torché. Je me suis dit que peut-être vous pourriez me le nettoyer ?
– Je suis à votre disposition, madame !

Elle se lève, se retourne et m’exhibe son cul, un joli cul ma foi, à ceci près qu’il est mal torché.

– Allez, servez-vous de votre langue !

J’avais craint un moment que le tableau serait catastrophique, ce n’est pas le cas, quelques traces marrons quand même. Un odeur d’andouillette qui n’a rien d’insurmontable, j’approche ma langue, je lèche ! En fait je suis loin de détester ça.

– Alors ? Vous appréciez ?
– Oui, madame, votre merde est délicieuse.

Je continue à lécher, puis ma langue vient fureter dans le petit trou.

– Je suppose que c’est terminé ?
– Oui, madame !
– Votre bouche doit avoir le gout de ma merde ?
– Probablement, madame !

Et là se produisit l’impensable, la dame approche sa bouche de la mienne et me roule un patin d’enfer, un patin tellement baveux que de la salive dégouline sur mon menton.

« Merde mon maquillage ! »

– On peut reprendre, maintenant ? Me propose-t-elle.

Elle rappelle Lancelot, passe sa main sous son ventre afin de l’exciter en lui tripotant le sexe. Quand il fut sorti de son fourreau, convenablement bandé elle le fait passer entre ses cuisses et l’embouche sans autre forme de procès.

– Vous, je veux vous voir sucer la bite de mon chien !

Pas de problème, je l’ai déjà fait, et me met à sucer cette queue rouge et visqueuse, je m’en régale tellement la chose est perverse.

– C’est bon la bite de chien, n’est-ce pas ?
– C’est divin madame !
– Et maintenant il va vous enculer !
– Oui, madame !
– Et vous n’avez pas honte ?
– Euh… que dois-je répondre ?
– Ce que vous voulez !
– Alors j’ai honte, mais ça m’excite !
– Vous n’êtes qu’une salope !
– Oui madame !
– Comme moi !
– Oui madame, nous sommes deux salopes qui baisons avec les chiens.
– Alors en position !

La bite du dalmatien est de taille convenable, visqueuse comme elle est je ne vais pas avoir besoin de lubrifiant. Je me mets en levrette, la dame aide le chien à entrer sa bite dans mon cul… et c’est parti. Dans mes expériences précédentes j’avais juste sucé, mais le fantasme de me faire prendre était resté tenance.

Curieuse sensation, l’animal me lime avec une cadence infernale, à ce point qu’au début c’est carrément gênant, après ça va mieux et des ondes de plaisir ne tardent pas à m’envahir.

La dame met fin à l’acte, afin, me dit-elle que je ne reste pas bloqué, et m’indique que si je veux me soulager, je peux lui juter au visage et sur sa poitrine.

Je ne m’en suis pas privé et bientôt mon sperme vint tapisser les nichons et la frimousse de cette charmante personne.

Pendant ce temps, monsieur, la carotte toujours flanqué dans son cul jouissait dans un kleenex.

On m’a proposé une boisson (une vraie) on m’a appelé un taxi.

Je suis rentré, pas mécontent de cette expérience. Avec les sous qu’ils m’ont donnés, je vais pouvoir m’acheter plein de petits trucs afin que je sois encore plus belle !

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Mercredi 29 juin 2022 3 29 /06 /Juin /2022 13:16

La prêtresse d’Anubis par Marie-Paule Perez
zoo

C’est aujourd’hui le jour propice,
Celui de mon ordination
Comme prêtresse d’Anubis.
Ils sont tous là, par tradition :
Les vielles prêtresses
Qui ont tant donné de leurs fesses,
D’autres plus jeunes et délurées
Nues et peinturlurées,
Le sexe généreux et ouvert
Aux diables de l’enfer.
Les prêtres, les scribes, les gardes
Guettent le signal du porteur de hallebarde.
On m’enlève ma toge, on la jette au feu
Et je monte les marches deux par deux.
Ramon m’attend sur l’estrade
Très digne, comme à la parade
Il tient en laisse, Travis,
Le chien sacré, symbole du vice.
Deux officiants couchent la bête
Le font bander. Sa bite est prête
– Suce, salope ! M’ordonne-t-on.
Je suce la bite du chien, c’est bon,
Elle est visqueuse, je bave,
Et je lèche sans ambages

Anubis
– Suffit maintenant, deviens sa chienne
Je me positionne à la phénicienne,
Dare, dare, le chien me sodomise,
Je suis sa pute et sa soumise.
Les chœurs retentissent
Pour la gloire d’Anubis !
– Elle est des nôooootres,
– Elle est une chienne comme les autres.
Je salue la foule, signe des autographes,
Pose pour les photographes.
Me voilà prêtresse d’Anubis
Et bien excitée du clitoris !
Mais c’est quoi cette langue
Sur ma chatte non exsangue ?
Pardi, c’est mon chien
Qui présentement, me lèche bien.
Il vient me faire l’amour, ce touche-à-tout :
– Une seconde, mon toutou,
Je viens de faire un rêve insensé
Laisse-moi récupérer
Et ensuite nous allons baiser
Comme des forcenés !
Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-Paule Perez
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