Tante Viviane par Elian Lvekman
Je me présente je m’appelle Jérôme et l’histoire que je vais vous raconter date de l’année de mes 19 ans. Mes parents devaient déménager suite à une mutation, mais ne voulant pas que je quitte l’établissement où je suivais mes études, ils me proposèrent d’aller loger chez ma tante Viviane. J’étais aux anges car j’ai toujours fantasmé sur elle et j’allais pouvoir l’admirer tous les jours et j’espérais bien en petite tenue. C’était une magnifique femme de 45 ans, divorcée, une vraie rousse mais surtout possédant un cul de rêve et sans parler de son opulente poitrine. Ma tante avait deux fils. Le plus grand était marié, le plus jeune, Alexis avait un an de moins que moi et était de bonne compagnie. C’est pourquoi j’étais ravi de passer cette année chez eux.
J’arrivai donc à la fin de l’été chez eux. Je devais dormir dans la même chambre que mon cousin car elle était sous les toits et c’était la plus grande. Elle possédait dans un coin un bureau avec ordinateur et aussi de l’autre côté de la pièce un vieux canapé et télé, lecteur de DVD et console de jeux. Le rêve ! Je m’installai donc dans cette chambre. Nous parlions souvent de nos copines respectives et nous comparions la taille de leur poitrine.
Et le soir même alors que ma tante était couchée, mon cousin Alexis sortit d’un recoin une vidéo porno.
– Ça te dit de mater un film de boules ?
– Pourquoi pas ?
Il introduit le film dans le lecteur et on s’est installé sur le canapé. La vidéo commence fort par une scène où une belle blonde à forte poitrine prodiguait une pipe d’enfer à un mec super bien monté. c’était très excitant et je fus bien vite à l’étroit dans mon caleçon. Je voyais mon cousin qui ne tenait pas en place, il devait être dans le même état que moi.
– Je me branlerais bien la queue ! Lui dis-je.
– OK. Moi aussi, on va se branler tous les deux !
Au début c’était bizarre de faire ça l’un à côté de l’autre et puis en regardant le film on s’accoutume. On a fini par éjaculer dans des kleenex pendant le film. Avant d’aller se coucher je lui demandais des détails sur la poitrine de sa mère car il savait mon attirance pour elle.
– Elle n’est pas très pudique, quand elle va dans la salle de bain, elle ne ferme par la porte, pareil pour les toilettes, elle fait ses besoins sans fermer la porte.
– Tu dois t’en foutre plein la vue !
– C’est un peu délicat, quand je la vois comme ça, je bande, et je n’ai pas envie qu’elle s’en aperçoive ! Me dit-il en rougissant quelque peu.
J’eu quand même l’impression qu’il me cachait une partie de la réalité. Mais je n’insistais pas ne souhaitant pas le mettre mal à l’aise
On était super excité et après m’avoir confié que Viviane dévoilait ses seins à la plage, il me demanda si ça me dirait d’aller à un plan d’eau demain avec sa mère. Je lui répondis vite oui en espérant pouvoir voir ses seins.
Puis il sortit de nouveau sa bite et commença à s’astiquer de nouveau. Je le regardais faire, et mes yeux restaient scotchés sur son beau chibre. Je ne sais pas ce qui m’a pris, sans doute mon état de grande excitation mais je lui demandais si je pouvais le branler il accepta sans hésitation. Ma main empoigna son engin, c’était vraiment une sensation bizarre de serrer une autre bite que la sienne. Je commençais de petits va-et-vient, puis des mouvements de plus grande amplitude, pendant ce temps il sortit ma queue et fit de même. On calqua nos mouvements l’un sur l’autre pour être au diapason, c’était super. Puis d’un seul coup je vis Alexis me lâcher la bite, s’accroupir et d’un seul coup engloutir mon engin dans sa bouche. C’était surréaliste cette sensation de chaleur, je n’avais jamais connu ça, et voir mon cousin à genoux devant de moi… humm. Il ressortit ma bite pour dire qu’il en avait envie depuis un moment mais qu’il avait peur de ma réaction, mais que le désir l’avait emporté et que c’était trop bon. Puis il donna quelques coups de langue de bas en haut tout le long avant de gober juste le gland. C’était merveilleux. Je lui demandais d’arrêter et on inversa les rôles. Quelle douce sensation que de sentir cette bite dans ma bouche, et plus j’aspirai son gland plus j’avais l’impression qu’il gonflait. On décida de s’allonger pour faire un 69
Au bout d’un moment je lui dis d’arrêter car j’allais venir et il aspira de plus belle et je déchargeai au fond de sa gorge. Il eut l’air d’apprécier et sans me prévenir il fit pareil.
– C’était bon ? Demanda-t-il
– Super !
– La prochaine fois tu aimerais qu’on s’encule ?
– Je ne l’ai jamais fait mais j’aimerais bien essayer !
– Hum ! Ma bite dans ton petit cul, ça va être génial !
– Tu l’as déjà fait, toi ?
– Oui, avec mon frère !
Le lendemain avec Alexis nous nous sommes réveillés tôt. Nous avions dormi nus et notre érection matinale était au maximum. Alexis me flatta les fesses.
– Je vais te sucer un peu et ensuite j’aimerais que tu m’encules.
Il suçait bien, ce cochon et quand ma bite fut bien raide il me tendit une capote et me présenta son croupion.
– Lèche un peu avant ! J’adore ça !
Je n’avais encore jamais léché l’anus d’un mec, mais trouvait ça bien agréable. Lorsqu’il fut bien humecté, je m’encapotes et approchais mon gland se son trou intime. J’entrais avec facilité, preuve que mon cousin devait avoir l’habitude de ce genre de privauté. La situation m’excitais et je jouis rapidement tandis que mon cousin râlait de plaisir.
– Dès qu’on aura l’occasion, on inversera les rôles ! Me prévint-il.
En arrivant dans la cuisine, je vis ma tante qui était en nuisette noire très courte qui laissait voir ses magnifiques jambes et on pouvait apercevoir sa généreuse poitrine (du 95 C) mal dissimulée sous la dentelle. Nous primes le déjeuner tous trois. Plus je regardais ma tante plus une bosse se formait dans mon short, je la voyais croiser et décroiser les jambes. Je ne sais pas si elle le faisait exprès mais en tout cas ça m’excitait au plus haut point. Je fis tomber volontairement ma petite cuillère sous la table et m’empressais d’aller la récupérer pour mater les cuisses de ma tante. Une fois sous la table je regardais en direction de l’entrejambes de ma tante et je fus scotché en voyant ces cuisses grandes ouvertes avec une vue sur un magnifique string blanc sous lequel on distinguait ses lèvres intimes. Je me suis relevé vite pour ne pas éveiller les soupçons. Ensuite la fin du petit déjeuner se passa sans incident. Ma tante se leva avant nous, ce qui me permis de voir son magnifique cul.
Quand elle fût partie, je demandais à mon cousin si elle était dans cette tenue tous les matins, il me répondit qu’oui et que c’est dans ces moments-là qu’il bandait et il me donna la confirmation en sortant son engin. Je l’empoignais et lui appliquais quelque va-et-vient. Mais j’arrêtai bien vite de peur de nous faire surprendre. Nous allâmes nous installer dans sa chambre devant la console et au bout d’un moment ma tante monta nous voir. Quand je la vis apparaître je fus tétanisé, elle était splendide dans sa robe blanche d’été, on voyait pointer ses tétons, preuve qu’elle ne portait pas de soutif mais aussi par transparence on voyait son string, blanc lui aussi.
– Que voulez-vous faire aujourd’hui ? Nous demande ma tante
– On en a parlé et on aimerait bien aller au plan d’eau pour pouvoir se baigner et profiter du soleil.
– Très bonne idée, et ça vous dit un pique-nique ?
– Super !
– Très bien je vais faire des courses et quand je reviens, soyez prêts.
Et sur ce elle nous laissa. Je filai vite fait dans la douche pendant que mon cousin préparait nos affaires et ensuite nous avons échangé nos places. Et quand ma tante Viviane revint nous étions prêts à partir. On chargea les affaires dans le coffre et on se mit en route. Alexis me laissa monter devant et je pus ainsi mater les cuisses de ma tante car sa robe remontait beaucoup
– Où nous emmènes tu, maman ? demande Alexis
– Sur le même lac que d’habitude mais pas sur la plage. Je connais un endroit retiré où on sera plus tranquille pour pique-niquer et on pourra quand même se baigner.
Pendant tout le trajet je regardais ses cuisses qui me fascinent mais le problème c’est qu’en short on voit tout de suite mon érection et j’ai peur que ma tante s’en aperçoive. Donc j’essaye de ne pas trop regarder et enfin on arrive, ouf. Je sors vite de la voiture pour la décharger et ainsi cacher ma grosse érection. On se dépêche de tout sortir pour enfin aller dans l’eau qui était un peu fraîche au début ce qui me permis de débander. Je regarde du côté de la plage et je vois l’objet de mes fantasmes étendre la couverture pour le pique-nique. Je n’attends qu’une chose qu’elle enlève sa robe et au même moment mon vœu est exaucé. Elle me tourne le dos et attrape le bas de sa robe et la fait remonter. Je suis médusé par le spectacle, je vois son cul de déesse dans son string, et je bande à nouveau comme un fou. Etant dans l’eau jusqu’au cou j’en profite pour descendre mon maillot et me branler. Je me dis pourvu qu’elle se retourne mais malheureusement je la voie attraper son haut de maillot, mais aussitôt elle enlève son string et cela me permet d’apercevoir ses lèvres intimes que je rêve d’embrasser. Et je me dis que je tiens la gaule pour la journée.
Quand elle se retourne elle me demande si l’eau est bonne et vient nous rejoindre, j’ai juste le temps de remonter mon short qu’elle est déjà à ma hauteur. Nous nous amusons tous les trois une petite heure puis rejoignons la plage pour déjeuner. Ma tante s’enveloppe d’une serviette après avoir enlevé le haut de son maillot en nous tournant le dos et sort les sandwichs. Je n’attendais qu’une chose : que sa serviette tombe malheureusement ce ne fût pas le cas.
Le repas terminé nous sommes tous un peu fatigués et on s’allonge au soleil. Ma tante est sur le ventre et a enlevé sa serviette et rentré au maximum son string. Au bout de cinq minutes elle demande.
– Dites les garçons, lequel de vous serez assez gentil pour venir me passer la crème dans le dos ?
Je saute sur l’occasion et à peine sa demande formulée, je suis déjà auprès d’elle, le tube de crème dans les mains.
– Mets en bien partout n’ai pas peur et surtout étale uniformément que je sois bronzé partout.
Je commence par mettre la crème sur son dos, je l’étale du mieux que je peux, puis peu à peu je lui masse le dos. Je laisse mes mains vagabonder sur les côtés de son corps et ainsi je peux effleurer ses seins. Cette sensation finit de me faire bander, je n’ai jamais autant bandé. Puis mon massage se transforme en caresse, et ma tante à l’air d’apprécier.
– C’est très bon ce que tu me fais mais n’oublies pas mes jambes aussi.
Alors aussitôt je descends sur ses jambes, je passe vite sur ses mollets et commence un massage des cuisses. Et lors d’un mouvement j’effleure ses fesses et j’entends ma tante me dire :
– Oui, là aussi, il en faut.
Je rajoute donc de la crème et commence à lui malaxer ses miches, hum quelle divine sensation ! Je descends mes mains jusqu’à l’orée de son sexe, ma tante ne dit rien et bouge légèrement pour faciliter ma progression. Je sens que c’est humide et continue de la caresser quand elle me stoppe en disant :
– Merci c’était parfait mon neveu. Je te rappellerai quand il faudra en remettre..
Et je la laisse allongée et désirable et file dans l’eau pour calmer mon sexe. Mon cousin qui avait tout observé vient me rejoindre.
– Alors c’était bon ?
– C’était plus que bon. Tu as vu j’ai pu lui caresser sa chatte. Elle est chaude ta mère.!
– Je n’aurais jamais cru ça d’elle. Tu sais quoi, moi maintenant j’ai envie d’elle, même si c’est ma mère.
Tu parles ! Je suis persuadé qu’ils ont déjà fait des trucs ensemble !
On s’amusa un peu dans l’eau avant de revenir auprès de ma chère tantine. Nous sommes arrivés près d’elle et l’avons arrosé, ce qui l’a réveillé.
– Arrêtez je veux pas allez à l’eau tout de suite ! Puis en me regardant :Tu as pu voir que j’aime pas les marques de bronzage ! Ça te gène si je me mets les seins à l’air ?
Je restais bouche bée et joignant le geste à la parole, elle se lève faisant apparaître ses superbes nichons. Et ma tante ajouta
– Et puis après tout il y a personne ici et on est en famille. Ça te gêne si je me mets complètement nue ?
– Non, non !
– Et vu que tu as l’air à l’étroit là-dedans tu peux faire de même ! Ajoute-t-elle en passant sa main sur ma bite et en faisant des va-et-vient par-dessus le tissu. Hum, c’est moi qui te mets
dans cet état ?
Voyant mon cousin dans le même état elle s’approche de lui et lui enlève carrément son short en disant
– Voilà c’est mieux comme ça !
Et alors je me déshabillais rapidement pendant que ma tante enlevait son string. Elle avait le sexe complètement rasé.
– Hum ! J’adore avoir la chatte à l’air ! C’est tellement agréable !
On bandait comme des chevaux avec Alexis. Nos engins étaient si durs qu’ils nous en faisaient mal. Et ma tante qui faisait comme si de rien n’était se passait de la crème solaire sur les seins, en prenant bien soin de faire ça tout doucement et en nous regardant avec un sourire espiègle sur les lèvres. J’hallucinais complètement de voir ma tante aussi provocante et sexy ! Je n’en revenais toujours pas.
Quand elle fut allongée les yeux fermés on commença discrètement à s’astiquer de peur qu’elle ne les rouvrent. On se branlait devant ce corps si magnifique qui était à notre portée tout en restant inaccessible. On était tellement excité que l’on ne mit pas longtemps à venir. Comme nous étions toujours excité nous décidâmes de soulever Viviane et de la mettre dans l’eau, et on l’attrapa par les pieds et les bras et le temps qu’elle réalise ce qui lui arrivait, elle était dans l’eau.
– Vous exagérez tous les deux, ça va se payer.
Et comme on était dans l’eau elle vient vers nous pour essayer de nous couler. Ce fût une succession d’attouchements volontaires ou non, en tout cas tour à tour on put caresser ses seins ou son cul et même une fois son sexe, alors que Viviane s’attardait souvent sur nos bites. Au bout d’un moment nous étions tous essoufflés c’est pourquoi on décida de faire une pause et on sortit de l’eau. Ma tante sortit la première et en voyant son cul bouger à quelque pas de moi cela me remit la trique et Viviane le remarqua :
– Dis donc pour quelqu’un de fatigué tu es drôlement en forme.
Et elle éclata de rire et moi aussi. Ma tante avait apporté des beignets qu’on s’empressa de manger mais Viviane fit tomber de la confiture sur son sein gauche et au moment où elle aller l’enlever elle regarda Alexis et lui dit :
– Tu veux un peu de confiture ? Ça te rappellera quand je te donnais le sein.
Mon cousin ne se fit pas prier et s’approcha de sa mère et lécha la confiture.
– Suce bien sinon ça va coller et je vais attirer les insectes et je n’aime pas ces bestioles !
Et Alexis lécha encore un peu avant de prendre en bouche pratiquement toute l’aréole de sa mère. Je le vis aspirer juste son téton et le mordiller, d’après les gémissements de Viviane ce traitement lui plaisait beaucoup mais elle lui demanda d’arrêter et le remercia en l’embrassant à pleine bouche. Puis elle vint vers moi et me dit :
– Il te reste un peu de confiture au coin des lèvres.
Et là elle se rapproche et me lèche le bord des lèvres puis m’embrasse à pleine bouche. Je sens sa langue qui cherche la mienne et lorsqu’elles se rejoignent c’est le bonheur. Mes mains sont descendues jusqu’à ses fesses que je caresse, j’ose un doigt vers son anus, elle ne dit rien. Le ballet de nos langues continue et je pénètre mon doigt dans son petit trou et ma chère tante gémit et bouge sur mon doigt, alors je fais quelques va-et-vient. Puis je retire mon doigt quand je sens sa langue s’enfuir de ma bouche. Mon doigt n’est pas ressorti très net de cette intrusion, mais saisi d’une pulsion incontrôlable, je l’ai léché avec délice.
– Merci tantine ! Mais si j’osais je te demanderais bien quelque chose.
– Vas-y tu peux tout me demander.
– Je peux te téter comme Alexis?
– Mais bien sûr, mon neveu
Et sur ce, elle s’allongea et nous invita à prendre possession de sa poitrine. Nous nous sommes placés chacun d’un côté. J’ai commencé par la caresser doucement puis j’ai embrassé son sein avant de le sucer goulûment. Viviane était aux anges, je l’entendais gémir et même crier, pendant que ma langue jouais avec son téton je risquais une main vers sa grotte intime. Ma tante écarta aussitôt les jambes et je pus la caresser, c’était une sensation bizarre c’était humide et même carrément trempé, elle mouillait comme une folle. Ayant envie de lui faire un cuni je descends au fur et à mesure mes baisers afin d’attendre son sexe. Je me place bien entre ses cuisses grandes ouvertes, ce qui me frappe en premier c’est cette délicieuse odeur. Cela m’attire encore plus, et je me lance et enfin je colle ma bouche contre sa fente. Que c’est bon, je bois son jus je lèche de bas en haut ses lèvres, puis je remonte vers le clito tout en insérant deux doigt dans son vagin. Ma langue joue avec cette petite protubérance et je l’aspire, ma tante n’en peut plus. Elle ferme les yeux et crie sa jouissance, elle a son fils qui gobe un de ses seins et qui caresse l’autre pendant que son neveu la lèche.
Ses cris m’excitent trop je me place à l’entrée de son sexe et entre ma bite d’un seul coup. J’arrache un cri de surprise à ma tante, j’attends de voir sa réaction quand je sens qu’elle bouge alors je commence mes va-et-vient.. Je glisse littéralement en elle.
– Attends on va changer de position ! M’indique-t-elle
Je ressors à grand regret d’elle, elle fait allonger Alexis sur le dos, se place à quatre pattes au-dessus de lui en se penchant de façon à avoir la croupe relevé et ses seins à hauteur du visage de son fils. Alors que Viviane embrasse son fils toute langue dehors je me remets derrière elle et la pénètre encore je ne me lasse pas de cette sensation. Alors qu’elle se fait lécher ses gros seins je lui caresse les fesses et lui donne de petites tapes et ma tante m’en demande d’autres quand je m’arrête. Je lui introduit un puis deux doigt dans l’anus ce qui la fait crier de plus belle.
– Encule-moi, mon neveu ! Viens enculer ta poufiasse de tante !
Je vois mon cousin qui de sa main libre se branle comme un fou alors que je sens que je vais venir je me retire fait tourner Viviane sur le dos et avec mon cousin nous lui jouissons sur les seins. Ma tante s’étale tout le sperme sur ses seins et alors qu’un jet arrive sur son visage elle l’essuie avec ses doigts avant de les lécher. Et pour finir elle nous donne un coup de langue sur nos glands.
Je suis fourbu et soudain saisi d’un besoin urgent, je vais pour m’éloigner et préviens ma tante.
– Pissez-moi dessus, les garçons ! Soulagez-vous,
Avec Alexis on s’est placé chacun d’un côté et on a ouvert les vannes, nos jets ont fusés sur sa poitrine, mais c’est sa bouche qui réclamait notre pluie d’or.
Après ce petit délire, elle a voulu pisser à son tour.
– Je n’ai rien pour m’essuyer ! Alexis, viens me rincer la foufoune avec ta langue !
– Oui maman, j’arrive.
Me voilà jaloux ! Ma tante s’aperçoit de ma déception.
– Ne soit pas triste, mon neveu, j’aurais d’autres occasion de faire pipi. Mais j’aimerais que vous deux vous me fassiez un petit spectacle.
– Un spectacle ?
– Oui j’ai très envie de vous voir vous enculer !
– Maman t’es une cochonne ! Lui répond Alexis.
– Tu es bien content de la trouver, la cochonne, non ?
– Oui, Maman !
– Alors d’accord ?
On se concerte du regard avec Alexis, petit caprice ne nous pose pas de problème.
– Mais qui va enculer l’autre ! Demandais-je
– Alors là, vous vous débrouillez, si vous n’arrivez pas à vous décider, tirez au sort !
C’est ce que nous avons fait, ce fut donc moi l’enculé. Nous n’avons pas fait ça sur la plage mais à la maison ou nous avions à notre disposition préservatifs, gel et même musique d’ambiance.
Alexis m’a bien préparé de la langue et des doigts avant de tenter de rentrer son braquemart dans mon anus vierge. Quatre fois il s’y est repris, à la cinquième c’est entré mais ça m’a fait horriblement mal.
– On arrête, je ne supporte pas !
– Ça va passer, je vais faire doucement.
– Non, non !
– Tiens le coup une minute ! M’encouragea Vivianne.
Je me suis mordu les lèvres, la douleur s’est apaisée, puis petit à petit un étrange trouble m’a envahi, J’étais bien… et bien dans ma peau.
Merci Vivianne !
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