Samedi 11 février 2023 6 11 /02 /Fév /2023 12:59

Lilly Firefly par Léna Van Eyck – 2 – Une fessée pour un cowboy

Lilly

Et le lendemain je commençais le boulot. Auparavant Dorothy avait réuni les quatre filles.

– Je vous présente Lilly que vous avez peut-être aperçue hier, elle va travailler avec nous, elle chante et elle danse…
– Elle ne suce pas, alors ? Se moque Kate, une jolie rousse avec les cheveux en cascade et le visage mutin
– Pas quand je danse ! Répondis-je du tac au tac.
– Donc voilà Kate, Cindy et Ellen !
– Salut ! Répondis-je en faisant une révérence protocolaire qui amusa tout le monde.
– Au début, elle va vous piquer vos clients, qu’est-ce que vous voulez, c’est l’attrait de la nouveauté, après ça se calmera, ça fait partie du jeu. Bon pas d’histoires entre vous… et au boulot ! Tu as vu tout le monde ? Non il manque Molly, elle est où Molly ?
– J’arrive ! Clame cette dernière en descendant l’escalier..

Je n’ai pas pipé mot, j’ai essayé de rester impassible, elle aussi… parce que Molly, c’est ma mère !

On a fait comme si on ne se connaissait pas.

Dorothy m’emmène vers la cuisine.

– Je te présente Chang, notre cuisiner. Parfois certains clients souhaitent la présence d’un autre homme. Alors c’est Cheng qui s’y colle.
– Hi hi ! Répond l’intéressé.

J’appréhendais quelque peu le moment où Davy souhaiterait exercer son droit de cuissage, ce bonhomme ne m’inspirant pas du tout. Mais ce moment n’a jamais eu lieu, je me dis alors que je ne devais pas être son genre… mais ce n’était pas ça, la vrai raison, je ne l’ai compris qu’un peu plus tard…

Pas la foule pour le moment, arrivent deux types qui s’attablent. Je reconnais le jeune benêt de la diligence.

– Le plus jeune c’est William Buchanan, me précise Kate, c’est le neveu du caïd local, je te le laisse, moi je vais chauffer l’autre.

Ah, bon ? J’espère qu’il n’y a pas d’embrouille.

– Hello, il me semble qu’on s’est déjà vu quelque part. Commençais-je.
– En effet ! Vous allez donc travailler ici ?
– Comme vous le voyez ! Mais dites-moi, mon décolleté à l’air de vous intéresser ?
– Il est prometteur, dirais-je ! Répond le type.
– Que diriez-vous d’une petite détente.?
– C’est tentant !
– Alors monte avec moi mon biquet !
– T’es mignonne, je monterais avec toi un jour, mais aujourd’hui j’ai envie d’aller avec Kate.

Qu’à cela ne tienne, j’ai proposé mes services à son comparse qui a accepté de me suivre.

On passe à la caisse où Davy encaisse son dû et nous refile à ma collègue et à moi-même des serviettes propres.

– Vous ne serez pas déçu, cette petite a une bonne réputation ! Dit-il à William Buchanan en parlant de moi..
– C’est James qui va monter avec elle, moi je vais avec Kate. Rétorque William

Alors là je me suis demandé pourquoi Davy tirait une tronche impossible.

– Vous devriez essayer la nouvelle, je vous offre la passe, c’est mon jour de bonté ! Insiste Davy.
– Non, non, notre choix est fait ! Répond James.

Et alors que j’allais monter avec mon client, je vois ma mère grimper l’escalier toute seule et manifestement en panique.

– Qu’est-ce qu’elle nous fait celle-ci ? Demande James, rigolard.
– Elle a dû bouffer une saloperie ! Répond simplement Davy.

On monte, ma mère est dans le couloir, blanche comme une craie, je commence à m’inquiéter et à chercher comment lui porter secours, quand elle voit rentrer Kate dans sa chambre en compagnie de William Buchanan. Je m’avance vers ma mère, elle me fait un grand sourire et pénètre dans sa propre chambre. Je n’ai rien compris !

Beaucoup de clients sont volubiles, la baise ne semble n’être pour ceux-là qu’un prétexte, tellement ils ont envie de parler. Moi je n’ai pas trop envie de les écouter mais je le fais quand même, ça fait partie du métier. D’autres sont des taiseux et ce James semble faire partie de cette catégorie.

Il se déshabille en silence, mais conserve son maillot de peau et ses chaussettes. Je ne vous dis pas l’odeur des chaussettes, mais bon je suis aussi habituée à ce genre de désagréments.

– Tu veux que je me déshabille ? Demandais-je.
– Juste le haut !

C’est comme il veut, de toute façon, il sait très bien que je ne porte rien sous ma jupe !

– Tu n’as pas fermé la porte ! Me fait-il remarquer.

Là je suis embêté, j’ai bien en tête les instructions de Dorothy mais comment savoir si le mec est un habitué du lieu ou pas ? Je jette un coup d’œil dans le couloir : personne.

– T’es déjà venu ? Lui demandais-je
– Plein de fois.
– D’accord mais pourquoi veux-tu que je ferme la porte ?
– Je ne veux pas qu’on m’entende quand tu vas me donner la fessée !

C’était donc ça ! Donc je me dépoitraille m’assoit sur le bord du lit et invite le miché à s’allonger sur mes douces cuisses.

– Euh, je fais ça à mains nues !

J’aurais dû demander avant.

– Oui !

Pas de bol, pratiquer de la sorte finit par faire horriblement mal aux mains. Tant pis, je ferais avec.

Je commence à taper, on m’avait appris un truc au Green Saloon de Norton City : Pour empêcher celui qui reçoit la fessée d’anticiper les coups, il ne faut pas les appliquer de façon régulière mais de façon aléatoire, par exemple trois coups qui se suivent rapidement, puis une pause de 15 secondes, suivit d’un coup, lui-même suivi d’un autre 15 autres secondes après, puis on enchaîne avec trois coups successifs… et ainsi de suite. Toute une technique !

Les fesses de James marquent rapidement et d’abord rosies per mes coups, virent au cramoisie, mais il a l’air de bien apprécier, l’animal !

Quant à mes petites mains, elles deviennent douloureuses !

– Et si je prenais un instrument, ça te dirait ?
– Non j’aime bien avec les mains !
– Tu ne veux pas essayer, juste essayer ?
– C’est quoi tes instruments ?
– Je ne suis pas encore complètement équipée, mais je peux me faire prêter une cravache…
– Non, non, sûrement pas !
– Ton ceinturon alors ?
– Non, non, c’est trop violent tout ça !

Idée !

– Et avec ma brosse à cheveux ?
– Pourquoi pas ?

J’ai donc été chercher la brosse et j’ai commencé à taper !

– Ça va c’est bon?!
– Oui, c’est bon, un tout petit peu plus fort.
– Comme ça !
– Oui !

Lilly02
Mais trois minutes après il quitte mes cuisses et se précipite bouche en avant sur mes seins.

– Hé, attention, c’est fragile les belles choses !

Il se reprend et se calme un peu, du moins en ce qui concerne son pelotage de nénés, parce que son autre main s’agite frénétiquement sur sa bite et le voilà qui décharge avec un bruit bovin.

J’ai plein de sperme sur moi, pas bien grave !

– Je reviendrais te voir, comment tu t’appelles déjà ?
– Lilly !
– Ah oui, j’avais oublié.

Et voilà comment j’ai fidélisé un client avec une simple brosse à cheveux !

Quand je suis redescendue avec James, j’ai demandé un verre d’eau à Davy, je le sirote lentement avant de retourner racoler dans la grande salle.

Sur ces entrefaites, Kate et Buchanan descendent à leur tour. Davy se précipite vers ce dernier, de la table assez proche où je plaisante avec un client, j’entends tout :

– La prochaine fois, vous devriez essayer la petite Lilly, James a été ravi.
– Peut-être un jour ! Mais j’ai vraiment un faible pour Kate, servez-moi un whisky et je vais rentrer au ranch.

J’essaie de draguer mon cow-boy, il mate mon décolleté, mais ne se décide pas à monter.

Et voilà, Molly, (ma mère pour ceux qui aurait oublié) qui se pointe derrière nous.

– Alors tu ne veux pas monter avec la jolie Lilly ? Demande-t-elle au type.
– Ché pas !
– Tu préfères peut-être une femme plus mûre, dans ce cas je suis à ta disposition.
– D’accord je te suis.
– Tu ne veux pas faire un trio ?
– Non juste toi !

Il se lève ! Voilà que ma mère me pique mes clients maintenant ! Mais l’autre surprise c’est que je me retrouve avec un bout de papier dans la main. Je m’arrange pour le déplier et le lire discrètement.

« Ne montes jamais avec William. Buchanan, il y va de ta vie, je t’expliquerais. »

Je reconnais l’écriture maladroite de ma mère. C’est quoi cette histoire ? J’ai évidemment hâte d’en savoir plus, mais je suppose que c’est elle qui va se débrouiller pour m’expliquer tout ça

Ce n’est que le lendemain que l’occasion s’est présentée, j’étais au bar occupé à chauffer un cow-boy un peu timide quand ma mère est venue me trouver.

– J’ai un client qui veut faire un petit trio, je t’enquille ?

Ça va me faire drôle, mais je savais que ça devrait arriver un jour, alors allons-y !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 11 février 2023 6 11 /02 /Fév /2023 12:56

Lilly Firefly par Léna Van Eyck – 1 – Serveuse montante
Lilly

Principaux personnages

Lilly Firefly : La narratrice, serveuse montante au Pretty Saloon de Colsontown
Molly : serveuse montante au Pretty Saloon et mère de Lily
Kate, Cindy : serveuses montantes au Pretty Saloon
Dorothy : Patronne du Pretty Saloon
Davy Donaldson : Régisseur du Pretty Saloon
Stanley Hutchinson : Régisseur éphémère du Pretty Saloon
Spencer McGregor : Riche notable de Norton-city
Robin Lynch : Shérif de Norton-City
Bryan Taylor : Shérif adjoint, puis shérif de Norton-City
Davenport : Shérif adjoint de Norton-City
Howard Buchanan : Gros éleveur et « parrain » de Colsontown
William Buchanan, : neveu du précédent
Bob Fincher, Peter, Dany : hommes de main du précédent
Randolph Jackson : le pasteur
Farah : la femme du pasteur

1 – Serveuse montante

Nous sommes au Far-West en 1880 et je me prénomme Lilly Firefly

Prologue

Mes parents et moi-même habitions dans un petit ranch, ou plutôt une petite fermette dans laquelle nous nous efforcions de tenter de survivre en faisant pousser quelques légumes et en élevant un peu de volaille et même un gros cochon. Ma mère m’a eu très jeune et n’a pas encore la quarantaine c’est une très belle femme, un peu enveloppée mais qui plait. Et le fait qu’elle plaise insupporte mon père, qui lui fait des crises de jalousie à tout bout de champ avec forces raclées à l’appui. Je déteste ce bonhomme.

Et moi ? Bin moi, j’ai les cheveux blonds souvent nattés, et il paraît que j’ai des jolies formes.

J’ai perdu mon pucelage assez vite. J’ignorais d’où sortait ce type qui m’avait abordé alors que je faisais des courses en ville, il était beau comme un dieu et quand il m’a proposé d’aller nous caresser dans une grange, mon cœur a chaviré et je me suis laissé faire. Il était doux et très attentionné, j’avais connu quelques émois charnels en me caressant de ma main, mais là c’était bien mieux. On s’est donné rendez-vous pour la semaine suivante, je l’attends encore ! Un mec de passage… je craignais qu’il m’ait mise enceinte… mais non ! Ouf !

J’ai donc l’âge de me marier, comme on dit et j’ai déjà eu pas mal de propositions, mais d’une part je me méfie, ma mère m’ayant mise en garde :

– Au début ils sont doux comme du miel et après, ils se lassent et te maltraitent… alors prend ton temps rien ne presse.

De plus mon père ne m’encourageait pas non plus, le travail ne manquait pas à la ferme et si je la quittais, il serait obligé d’embaucher un aide. Avec quel argent ?

Une pauvre ferme, oui, mais n’empêche que le terrain était convoité par King Rovell, le gros éleveur du coin. Il paraît qu’on gênait. Rovell nous a d’abord fait des propositions d’achat que mon père a refusé de façon nette et définitive, puis sont venus les menaces. Nous nous sommes plains au shérif qui nous a dit de ne pas nous inquiéter. Alors nous ne nous sommes pas inquiétés.

Et puis un jour… ou plutôt une nuit…

Des drôles de bruits, on ne s’alarme pas trop, puisque l’orage qui vient d’éclater illumine la nuit de ses éclairs de lumière… Puis un coup de feu… qui vient de la porcherie ! Quelqu’un s’en prendrait après notre cochon ?

Mon père sort, nouveau coup de feu, il s’écroule, un cavalier surgi de la nuit s’enfuit au galop.

Ma mère et moi se précipitons, le paternel est mort sur le coup. On ne l’aimait pas ni l’une ni l’autre mais on pleure à chaudes larmes malgré tout.

On a rentré le corps et on a attendu l’aube comme deux andouilles sans prononcer le moindre mot.

Au petit matin, nous sommes allées en ville à pied pour rendre visite au shérif.

– C’est forcément King Rovell, nous avions reçu des menaces, vous nous aviez dit de ne pas nous inquiétez…
– Vous n’avez aucune preuve, donc je ne peux rien faire. Répond l’homme de loi d’un ton péremptoire
– Vous n’allez pas enquêter ?
– Vous croyez que je suis de taille à m’affronter à Rovell ? Ce que je vous conseille c’est de quitter la ville, ce qui est sûr c’est que l’on vous en veut.
– Mais cette terre m’appartient.
– Vendez là au notaire, il s’en débrouillera… Je vais vous faire héberger pour la nuit à l’hôtel en face, demain nous enterrerons ce pauvre homme, et je vais m’arranger pour faire venir le notaire…

Bref, on a vendu le terrain ainsi que les meubles, la vaisselle, le linge de maison, les outils… tout quoi… contre une poignée de dollars que nous avons partagée, ma mère et moi, et nous avons pris place dans la première diligence en partance avec nos maigres bagages

Celle-ci partait pour Norton-City.

– On va faire quoi ? Demandais-je quand la diligence fit halte.
– On va se séparer, tu as plusieurs possibilités, ou bien tu te trouves un mec gentil et tu te marries avec, mais souviens-toi de mes conseils, le mariage est une loterie et il y a davantage de perdants que de gagnants.
– Et l’autre solution ?
– Te trouver un travail ! Mais le tour va être vite fait, trouver une place de serveuse dans un saloon, c’est facile, au bout d’un moment on te demandera d’être gentille avec les clients, si tu refuses on ne te garderas pas longtemps, si tu acceptes, ce sera à toi de gérer la situation, de rester maitresse du jeu, tu pourras te faire une belle cagnotte au bout d’un petit moment.
– Autrement dire, tu me suggères de faire la pute ?
– Je ne te suggère rien du tout, j’expose la situation, à toi de voir ce tu vas faire. Au fait tu es toujours pucelle ?
– Non, Maman. Mais toi tu vas faire quoi ?
– La pute, mais pas ici, je vais aller dans une autre ville. Le prochain arrêt de la diligence c’est Colsontown, je vais aller voir si on veut de moi.
– On se sépare alors ?
– Oui ! Si le hasard veut que nous nous rencontrions, on ne se connait pas, évidemment.
– Comment ça, « on ne se connait pas » ?
– Je veux dire en public ! Mais rassure-toi si nous nous rencontrons en privé, je te serrerais très fort dans mes bras. Adieu ma fille, prends bien soin de toi !
– Adieu Maman !

Et c’est ainsi que je suis devenue serveuse montante au Green Saloon de-City.

J’y suis restée environ un an et y fait mes classes, j’ai tout vu, tout connu, quelques moments pénibles, mais dans l’ensemble cela s’est plutôt bien passé et mon escarcelle s’est considérablement remplie.

Tout allait donc bien jusqu’au jour où tout s’écroula… Et le présent récit peut maintenant commencer :

Nouveau saloon

Le voyage en diligence entre Norton-City et Colsontown s’est déroulé sans incident notable. Personne ne m’a adressé la parole. Il faut dire que le shérif de Norton-City et ses acolytes m’avaient propulsé sans ménagement dans la diligence sans je ne puisse emporter toutes mes affaires ni me changer. C’est qu’on ne gifle pas impunément le patriarche de la ville !

L’affaire était pourtant banale, le vieux McGregor m’avait présenté un client sorti de nulle part et il voulait le gâter en lui offrant mes services. Je n’étais pas contre puisque c’est mon métier, le souci c’est que l’individu n’avait pas dû se laver la bite depuis la fin de la guerre de Sécession et que je lui avais conseillé d’aller se faire une petite rincette. L’homme l’avait mal pris, s’était plaint à McGregor qui m’avait giflé, je lui avais rendu sa gifle par réflexe. Ne se contenant plus McGregor avait demandé aux hommes du shérif de m’expulser de la ville. La diligence partait dans une heure, entre temps on m’enferma dans un cagibi. La maquerelle du lieu qui ne m’avait pourtant pas spécialement à la bonne eut le temps de me glisser un petit mot, c’était une lettre de recommandation pour sa collègue du « Pretty Saloon » de Colsontown.

Le voyage avait duré deux heures sans incidents notables, (je me répète) trois autres passagers occupaient la diligence, un couple entre deux âges dont la femme me regardait d’un air bizarre mais sans animosité et l’homme avec une concupiscence mal dissimulée. Le quatrième passager, un jeune bellâtre, chapeau neuf et lavallière, ne savait quelle attitude adopter, d’un côté subjugué par mon charme (bin quoi ?), de l’autre soucieux de ne pas passer pour un débauché aux yeux du couple, il se contenta de se présenter.

– William Buchanan, je vais rejoindre mon ranch.

Un autre embraya :

– Randolph Jackson, je suis pasteur, et voici mon épouse Farah, nous rentrons à Colsontown, nous étions invités à un mariage.

Je répondais d’une esquisse de sourire mais m’abstins de me présenter puis fit semblant de dormir.

Arrivée à destination, une dame vint accueillir le pasteur et sa femme, elle ne put s’empêcher de me lancer une pique.

– Qui êtes-vous ? Je ne pense pas que vous soyez la bienvenue, ici ?
– Mais ce n’est pas avec vous que j’ai rendez-vous chère madame, si vous pouviez vous poussez que je puisse descendre.
– Pfff ! Quelle tenue pour voyager !
– Je ne vous dois aucune explication !
– Catin !
– Et alors ça vous défrise ?
– Ne me touchez pas !
– Je ne vous touche pas, je vous pousse.

Et pendant que la dame renouvelait ses invectives, Je me dirigea calmement vers le saloon en roulant du popotin par pure provocation.

Pas mal de monde en ce début de soirée, des soiffards, des joueurs de poker, un pianiste qui joue faux, une entraineuse rigolant avec un client bien propre su lui…

Je m’approche du bar, Davy Donaldson, le régisseur de l’établissement paraît intrigué, mais pas tant que ça ! Bizarre !

– Tu sors d’où toi ?
– De Norton-City, j’ai un petit mot de recommandation.

Le type lit le mot et appelle la patronne !

– Dorothy, viens voir !
– C’est bon ! Dit-elle après avoir lu le mot à son tour, on va peut-être la garder, mais avant viens avec moi, ma grande, que je puisse voir à qui j’ai affaire.
– Je peux venir aussi ? Demande Davy.
– Bin non ! Faut bien que quelqu’un s’occupe du bar et de la caisse !
– Il y a Kate…
– Kate, elle est en train d’emballer, laisse-la bosser.

Je suis la dame, Dorothy doit avoir la cinquantaine, elle a dû être très belle au temps de sa jeunesse, elle est aujourd’hui un peu enveloppée mais peut toujours plaire. Assez grande, cheveux châtain foncé clairs, yeux noirs, bouche pulpeuse, visage « intéressant ».

– Bon, tu vas te mettre à poil ! Me dit-elle en me conduisant dans une petite remise qui doit servir de bureau.

Bin oui, faut bien tester la marchandise ! J’obtempère, la maquerelle me dévore des yeux, j’effectue une pirouette afin qu’elle puisse contempler mon verso.

Elle ne fait pas que contempler, d’ailleurs puisqu’elle me fout carrément la main au cul. Je me laisse faire puis me retourne.

– Joli cul ! Ça t’arrive d’aller avec les femmes ? Demande-t-elle.
– Oui !
– Et éventuellement, tu ferais un gros câlin avec moi ?
– Oui !

Autant mettre le maximum d’atouts de mon côté !

– A la bonne heure, bon si tu veux travailler ici, c’est une bonne maison, à chaque passe tu te fais payer d’avance à la caisse, tu nous laisses 2 $, le reste tu le gardes. Sinon la politique de la maison est simple, on ne veut pas d’histoire, les clients d’ici on les connait, certains sont doux, d’autres sont bourrins. Pour les spécialités, tu prends un supplément, si tu t’attardes de trop, t’as le droit mais ça double notre part. Tu laisses toujours la porte légèrement entrouverte quand tu montes avec des clients de passage, il y aura toujours quelqu’un dans le couloir. Des questions ?
– Non ça va !
– Tu vas aussi tomber sur des causeurs, ceux-là laisse les causer, ne te mêle pas des histoires de la ville :En gros, tu dois juste savoir qu’Howard Buchanan dirige la ville en sous-mains, il contrôle tout, le maire, le shérif, le juge… Nous ça ne nous plait pas, mais tant qu’on nous laisse tranquille, on la ferme. Sinon il y a le pasteur et sa bande de dames patronnesses qui s’agitent comme des morpions, faudra pas faire attention.
– O.K.
– Ah, oui, Davy, mon homme est le régisseur officiel du saloon, même si c’est moi qui fait chauffer la marmite, de temps en temps il voudra te sauter, il faudra l’accepter, il n’en abusera pas.
– Bien !
– Maintenant on va monter, non, ne te rhabilles pas, passe cette chemise de nuit, je vais te montrer ta chambre, faudra l’arranger un peu, la fille qui l’occupait était une véritable souillon !

Une fois en chambre, et sans autres préliminaires, Dorothy se déshabille entièrement.

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C’est vraiment une belle femme, sa poitrine un peu lourde est magnifique.

– Alors ? Pas mal pour mon âge ! Me nargue-t-elle.

J’approuve d’un sourire et d’un hochement de tête, je n’ai d’ailleurs pas à me forcer, cette bonne femme parvient à me troubler.

Faut dire que si le fait d’exercer le plus vieux métier du monde ne m’a jamais posé trop de problème, il a cependant modifié ma libido. Sauf exceptions, je n’ai jamais fantasmé sur mes partenaires de chambre. Mais quand après ma journée de travail je me retrouvais avec les copines, j’ai très souvent apprécié leur tendresse, tendresse qui eut tôt fait de se transformer en délicieuses caresses.

Et Dorothy s’affale sur le plumard et écarte les jambes.

– Viens me rejoindre, ma belle, viens me caresser.

Je n’ai rien contre et viens à ses côtés, mes mains sont irrésistiblement attirées par ses seins que je caresse avec volupté avant que ma bouche vienne en léchouiller les tétons déjà durci par l’excitation.

Elle cherche ma bouche, je ne me dérobe pas et nous nous échangeons un long baiser bien baveux

A son tour elle me pelote, elle a les mains très douces, ça me fait un bien fou !

– Maintenant tu vas me lécher l’abricot !

Pas de problème, je prends la bonne position et me voilà tête contre chatte. C’est tout trempé par-là, un vrai marécage, J’écarte ses lèvres et commence des mouvements de langue, me régalant de ses sucs.

Son clitoris est érigé comme une bite de farfadet, j’approche ma langue,

– Continue, continue ! Me dit la maquerelle qui en même temps se pince le bout de mes seins avec une certaine violence.

Je n’ai pas eu le loisir de continuer longtemps, l’explosion de sa jouissance a été fulgurante.

Elle m’enlace, elle m’embrasse… Ça me plairait bien qu’elle s’occupe à maintenant de moi, vu que je suis excitée comme une puce !

J’attends une initiative. Ça n’a pas l’air de venir, Madame sourit aux anges, la chatte et les cuisses dégoulinantes de mouille.

Puis la voilà qui se retourne. Son verso est nettement moins spectaculaire que le devant, non pas qu »il soit moche, non il est quelconque.

– Pelote moi les fesses !

Je pelote, je caresse, je malaxe…

– Ecarte-les, je voudrais que tu m’embrasses le trou du cul !

Allons-y ! J’écarte, il est plutôt mignon son petit troufignon brun et plissé, il est même attendrissant. Mais plus je m’approche, plus l’odeur me pénètre mes petites narines.

Faut-il rappeler que l’hygiène corporelle au Far West n’était pas terrible !

J’ai un mouvement de recul involontaire, je ne sais d’ailleurs pas pourquoi puisque des culs j’en ai léché pas mal, je me reprends et fait feuille de rose à la dame. Ça l’a fait frétiller.

A tous les coups, elle va me demander de lui foutre un doigt ! Non ? Si ! Je mouille mon index, je l’enfonce et la pilonne, ça la fait miauler comme une chatte en chaleur, j’accélère, elle jouit pour la seconde fois ! Quelle santé !

Elle souffle quelques secondes, se relève et se rhabille Je reste comme une conne avec mon excitation non calmée.

Tant pis, je serais bonne pour me faire une petite branlette en solo ! En attendant je remets l’infame chemise de nuit que m’a prêté Dorothy.

– Je suis un peu fatiguée avec ce qui m’est arrivé à Norton-City, est-ce que je peux ne commencer que demain ?
– Bien sûr ma bibiche.
– Il me faudra du linge de rechange, on ne m’a rien laissé emporter.
– Je vais dire à Kate qu’elle te prête des trucs,,. vous avez à peu près la même taille; il faudra que tu fasses un saut au drugstore pour commander ce dont tu as besoin, tu leur diras de mettre ça sur mon compte, évidemment tu devras me rembourser…

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 29 octobre 2022 6 29 /10 /Oct /2022 15:13

Trio interdit par James01
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Je devais rentrer ce soir, mais non, il a fallu que ce con de directeur commercial me propose un nouveau rendez-vous le lendemain pour finaliser le contrat…

Oui, je vais me présenter, je suis Roland, voyageur de commerce et je suis bloqué dans cette ville de province dans laquelle il n’y a rien à foutre. Il est 20 heures, je n’ai pas faim, je sors de mon hôtel, j’ai déniché sur mon smartphone l’adresse d’une sex-shop, je vais y aller faire un tour.

Au rez-de-chaussée, des revues, des vidéos des gadgets, il faut prendre un jeton pour se rendre au sous-sol où il y a des projections coquines. Allons y.

Un couloir avec des cabines et au bout une petite salle, sur l’écran du porno standard avec une fille qui garde ses escarpins pour baiser. Des mecs se branlent dans leur fauteuils, je m’assois et c’est là que j’aperçois près du coin gauche de l’écran un trio très chaud. Du coup je me relève et je m’approche. Un blondinet complètement nu suce alternativement, deux mecs, l’un genre grand bourgeois avec porte-documents sous le bras, l’autre un grand dadais en blouson de cuir.

Je m’approche, fasciné par le spectacle, la bite du bourgeois est vraiment très belle, bien droite, d’une belle couleur, le gland qui brille… j’ai envie de la sucer. Mais pour l’instant je me contente de sortir ma queue de ma braguette et de me branler mollement. Une main entre dans mon pantalon par l’arrière ! Faut surtout pas se gêner ! Le mec cherche à me doigter le cul, Après tout pourquoi pas ? Du coup je laisse tomber mon pantalon et mon bénard sur les chevilles.

– T’aimes ça, mon doigt dans le cul ! Hein salope ?

Comment il me parle, celui-ci ?

– Tu veux que je t’encule ? Me demande-t-il

Je me retourne, il ne me dit rien du tout ce mec.

– Laisse tomber ! lui dis-je

Le blondinet continue de sucer le mec au blouson, du coup la bite du bourgeois est accessible, je tends la main, lui soupèse ses grosses couilles.

– Vas-y suce !

Je ne me le fais pas dire deux fois et j’embouche ce membre magnifique. Il y avait une éternité que je n’avais pas sucé une bite, mais j’aime ça !

Oh ! Qu’est-ce que c’est bon de sucer de la bite ! Je me régale et je bande comme un bout de bois. Une goutte de pré-jouissance perle sur son gland, quel bonheur !

Un type s’approche de nous, c’est un black, il sort de sa braguette un engin de compétition et me fait comprendre qu’il aimerait bien que je le suce.

Moi je veux bien, mais je n’ai qu’une seule bouche et je n’ai pas envie d’abandonner celle que je suce actuellement..

– Tu suces bien ! me dit le type !

Un compliment ça fait toujours plaisir.

– Me fait pas jouir ! Reprend-il.

J’abandonne donc ma pipe, autour de nous ça se suce, ça se branle… L’orgie, quoi !

J’allais pour me reculotter et m’assoir histoire de me reposer cinq minutes, mais mon « Bourgeois » m’interpelle.

– T’es gay ou bi ?
– Pourquoi cette question ? En fait je suis hétéro mais parfois un peu bi.
– Tu aimerais que je t’encule ?
– Pourquoi pas ? M’entendis-je répondre.
– Et toi tu m’enculerais aussi ?
– Ça peut se faire.
– On va pas faire ça ici ! Je n’habite pas très loin.

J’hésite un peu, craignant je ne sais quel embrouille.

– C’est à cinq minutes ! ajoute-il, on va se faire un trip d’enfer…

Et histoire de me motiver il me prend ma bite dans sa main et la branlotte.

– J’aime bien ta bite ! Me dit-il

Puis prenant à témoin l’un des types qui se trouvait là, il l’interpelle :

– N’est-ce pas qu’il a une belle bite !
– Oui c’et vrai, et un beau cul aussi !
– Un vrai cul d’enculé, ajoute mon bourge.! Allez viens j’ai eu une dure journée il faut que je déstresse.

Alors comme un zombie, la bite encore bandée, je me reculotte et suis le bonhomme. Je pensais bêtement qu’il m’emmenait à son hôtel, mais non, il s’arrête devant une voiture qu’il ouvre, une super bagnole.

– Euh… on va où ?
– Chez moi, c’est pas très loin. Je m’appelle Pedro

Je suis monté, on a roulé, on est sorti de la ville.

– Dis-donc je croyais que c’était à cinq minutes ?
Cinq minutes, c’est une expression pour dire que ça ne prend pas beaucoup de temps. On est presque arrivé.
– Et comment je vais rentrer à mon hôtel, moi ?
– Je te reconduirai

On finit par s’arrêter dans un patelin dont le nom ne me dit rien. On sort de la bagnole et on entre dans une jolie maison bourgeoise.
– Bonsoir, t’as diné ? Dit une dame à l’adresse de Pedro, puis m’apercevant… Oh ! Bonsoir Monsieur, je ne vous avait pas vu. Qui est donc ce charmant jeune homme ?
– C’est Roland, je l’ai rencontré dans la sex shop de Bitenville

Ça devient surréaliste cette affaire-là, je me pince, non je ne rêve pas.

Dolores2– C’est Dolorès, ma mère !

De mieux en mieux ! Mais il nous faut la décrire, entre 50 et 60 ans, fausse blonde, visage intéressant, sourire carnassier, poitrine prometteuse sous le haut décolleté.

Comment me sortir de ce guêpier ?

– Je vous offre à boire, qu’est-ce qui vous ferait plaisir
– Euh, un jus de fruit si vous avez.!

Elle revient avec du jus de pomme.

– Mon fils a toujours très bon gout, je suis sûr que vous allez m’offrir un joli spectacle !

Mais qu’est-ce qu’elle raconte ?

– Euh, il y a un petit problème ! Je pensais que nous ne serions tous les deux… tentais-je
– Allons , allons, vous n’allez pas me priver d’un petit spectacle, jeune homme ! Au fait comment me trouvez-vous ? Je veux dire physiquement.
– Vous êtes une belle femme !
– Vous aimeriez me voir à poil ?

C’est typiquement le genre de question à laquelle on ne peut décemment répondre par non !

– Pourquoi pas ?
– D’accord, je vais le faire, mais vous deux déshabillez-vous aussi.

Ça devient dingue cette affaire, mais je n’étais pas au bout de mes surprises. Pedro se déshabille, il est rapidement tout nu alors que sa mère reste en sous-vêtements. Je me déshabille à mon tour.

Dolores retire son soutif ! Putain ses seins ! Ça tombe un tout petit peu mais ils ont belle allure, j’ai une envie folle de les sucer, mais je reste à ma place.

Venez la tous les deux je vais vous sucer la bite !

Elle a dit « tous les deux », je n’ai pas rêvé. Elle attrape nos bites, une dans chaque main, les branlotte un peu avant de nous sucer alternativement.

Donc Pedro se fait sucer par sa mère…

Et donc elle me suce aussi, et c’est qu’elle suce bien la bougresse. Sa petite langue de bonne salope venant m’électriser le bout du gland

Elle finit par se relever.

– Je peux vous embrasser les seins ? Demandais-je
– Mes bien sûr, je te les offre, caresse-les, lèche-les, pince-moi les tétons !

Vous pensez bien que je ne m’en suis pas privé !

– Allez tourne-toi et met toi en levrette, Pédro va t’enculer.

Pour être franc je ne suis pas un habitué de cette pratique, j’ai dû faire ça cinq ou six fois mais chaque fois j’en ai ressenti un plaisir extrême.

Je me place donc dans la position demandée, les deux dévergondés passent derrière moi et me lèche le cul alternativement. C’est fou ça de se faire lécher par une mère et son film. Putain ces deux langues sur mon cul, ça me fait un bien fou.

– Je me met une capote et j’y vais ! M’indique Pedro.
– Vas-y encule-moi !

Sa bite rentre. Toujours cette sensation de gêne au début, mais ça ne dure jamais, il s’enfonce à fond puis se met à coulisser sa bonne bite dans mon cul. Je me sens salope, mais qu’est-ce que c’est bon !

Et pendant ce temps, Mamie Dolorès se branle la chatoune avec frénésie des doigts de la main droite tandis que ceux de sa gauche pince le bout de ses seins.

Je perd la notion du temps, le plaisir m’envahit, mais Pedro décule sans crier gare, me laissant mon trou béant. C’est pô juste !

Je pensais que c’était la fatigue qui avait fait Pédro se retirer de mon cul ! Eh bien non ce n’était pas ça, Dolorès s’est mise en levrette et c’est elle qui à son tour reçoit la bite de son fils dans son cul !

– Ah, vas-y, encule bien ta mère, petit salaud ! Lui crie-t-elle

Et moi je fais quoi ?

Elle avait dû lire dans mes pensées.*

– Tiens-toi prêt quand Pedro aura joui, tu prendras le relais.

Voilà qui me convient très bien ! J’ai donc enculé la dame qui a joui plusieurs fois comme une truie, moi je n’ai joui qu’une seule fois, mais quelle intensité, mes enfants !

Je me redresse, demande où est le lavabo pour me rincer la bite.

– Venez donc me voir jeune homme, je vais vous nettoyer la bite, j’adore le sperme !
– Mais c’est qu’il faudrait que je fasse pipi !
– Voilà qui est encore meilleur, pisse-moi dessus mon grand, j’adore ça !

J’ai donc arrosé la dame, elle m’a demandé de lui viser la bouche, elle a eu l’air de se régaler, puis ensuite elle m’a nettoyé comme il se doit. Elle s’en léchait les babines, la cochonne !

Quand Dolorès s’en alla dans la salle de bain pour se rincer un peu, Pedro me prit à part.

– Ce serait sympa si tu lui donnais un petit billet ! Elle ne fait pas ça pour l’argent mais ça lui plait tellement de se sentir pute.

Et des soirées comme celle-ci je vous assure mes amis qu’on n’en vit pas tous les jours

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : James
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Samedi 22 octobre 2022 6 22 /10 /Oct /2022 11:05

Soubrette de deux jours par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne
stamp brune

 

Dans cette histoire mon pseudo sera Myriam. Mais en vrai je suis Zoé, 35 ans, fausse blonde aux cheveux mi-long. Mes parents m’ont légué l’usufruit de quatre grands appartements dans le Marais. Inutile de vous dire que vu le prix des loyers, je n’ai nul besoin de travailler.

Parlons sexe puisque, vous êtes, chers lectrices et lecteurs, là pour ça. Mon mariage à 18 ans avec un apollon de la plage, con comme la lune a fait long feu. J’avais de grosses tendances lesbiennes et j’ai vécu plus de 10 ans avec une maitresse femme qui m’en a fait voir de toutes les couleurs et qui m’a révélé mes penchants masochistes.

Et un jour elle est partie avec une autre. La salope !

J’ai essayé de retrouver les mêmes relations. Pas si facile et en vieillissant je deviens compliquée.

Et puis un jour sur Internet, une annonce m’a fait fantasmer

« Belle femme autoritaire, cherche femme de ménage ne craignant ni les châtiments corporels, ni les humiliations… »

Moi la petite bourgeoise, allez passer le plumeau chez une autre bourgeoise, voilà qui m’a interpellé.

Je prend contact, tombe sur ce que je pense être la secrétaire de madame.

– Je ne réponds qu’aux questions pratiques, me dit-elle. Horaires, salaire. Pour le reste c’est à voir sur place. Mais envoyez-nous une photo de votre visage et de votre silhouette…
– Habillée ?
– Comme vous voulez.

Après réception des photos, on m’a fourni l’adresse et donné rendez-vous. Et le jour venu, c’est une grande rousse habillée en soubrette d’opérette qui me fit entrer dans cette villa cossue de l’ouest parisien.

– Je suis Myriam, j’ai rendez-vous avec Madame de Chatenfeu…
– C’est pour le poste de soubrette ?

Question idiote, est-ce que j’ai l’air de quelqu’un qui vient relever le compteur du gaz ?

– Oui…
– OK, entre et suis-moi ! Je m’appelle Katia. N’ai pas peur, on ne va pas te manger.

Je la suivis donc jusque dans cette immense pièce où trônait dans un fauteuil « Emmanuelle » une grande femme, entre cinquante et soixante ans, brune coiffée d’un chignon strict, joli visage, teint halé. Elle était vêtue d’une robe noire assez simple, légèrement décolletée et laissant ses belles épaules dénudées. A ses pieds, roupille un grand labrador noir que ma présence semble indifférer.

– La pétasse est arrivée ! Dit simplement la rousse.

Je ne réagis pas à ces paroles volontairement humiliantes, puisque ça devait faire partie du cérémonial.

– Bonjour madame ! Dis-je en faisant une jolie petite courbette.

Elle me dévisage sans aucune gêne, me déshabille du regard.

– Bon, t’es pas mal foutue, T’as une bouche à taller des pipes ! Mais dis-moi : tu as déjà fait ce genre de travail ? Me demande la maîtresse des lieux sans répondre à mon bonjour.
– Oui, mais mon patron n’a pas pu me garder, il a été muté à l’étranger… Inventais-je
– Tu aimes obéir ?
– Oui madame.
– Tu aimes être punie ?
– Oui, madame.
– Tu sais qu’ici tu seras mon jouet, que tu seras humiliée, fouettée…
– Oui ! Je viens pour ça…
– On dit : « Oui, madame ! », pétasse !
– Oui madame !
– T’as des tabous ?
– Non, mais il y a des choses que j’aime moins que d’autres.
– Il y a des choses que tu refuses ?
– Oui, tous les marquages définitifs, tatouages, brulures au fer rouge…
– Ben voyons,, je suppose que tu refuses également qu’on te coupes en rondelles ?

Quel humour à deux balles, je feint un sourire.

– OK, ouvre ta bouche de pute.

Je le fais, et Honorine puisque c’est le nom de la dame, me crache au visage plusieurs fois.

– On dit « merci madame « !
– Merci Madame
– Reprenons, je suppose que la pisse ne te gêne pas ?
– Non pas du tout, Madame, j’adore ça !
– Et la merde ?
– Quand ça reste raisonnable.
– Ça ne veut rien dire ! Tu pratiquais chez tes anciens patrons ?
– Oui Madame, un peu !
– Donne-moi des détails, pétasse !
– Madame me faisait lécher son cul après qu’elle ait fais ses besoins.
– Tu léchais sa merde ?
– Ben oui !
– Donc tu lécheras la mienne ?
– Si tel est votre désir, je lécherai votre merde, Madame !
– Et tu t’es déjà fait sauter par un chien ?
– Ma foi non !
– Et si je t’ordonne de le faire ?
– J’obéirais, Madame.
– OK ! Déshabille-toi entièrement.

J’obtempérais, elle vint près de moi me peloter un sein, puis une fesse.

– Bon, ça devrait aller. Katia va te tester, suis-là… non, non reste à poil.

Je suis donc la rousse qui ouvre une pièce aménagée spécialement pour les jeux entre esclaves et maitresses, un donjon, quoi ! Avec Croix de Saint André, cheval d’arçon, chaines, et étagères occupées par des gadgets multiples et variés.

– Je te préviens, je vais t’en faire baver !
– Attends… Tu vas m’attacher ?

Katia me gifle deux fois de suite.

– Alors deux choses, quand je te punis tu dois me vouvoyer, le reste du temps je m’en fous, sinon, bien sûr que je vais t’attacher.
– Il y a un mot de sécurité ?.
– Oui c’est « balai brosse ». Maintenant tu te mets à genoux.

J’obéis, Katia me serre fortement les tétons du bout de ses doigts.

– T’aimes ça, hein morue ?
– Euh, oui Katia !

Zoe02Elle s’éloigne de quelques pas afin de prendre deux pinces à seins reliées par un chainette. Et après les avoir fixés sur mes jolis tétons elle me force à avancer en tirant sur la chainette. Ça fait très mal mais je supporte. Elle retourne chercher deux autres pinces, pour mes grandes lèvres cette fois.

Elle me fait faire plusieurs fois le tour de la pièce à quatre pattes, puis me fait me relever et m’attache contre la croix de St André, mon cul face à elle.

Et c’est parti pour une série de coups de cravache qui me mord les chairs, je crie en essayant en vain de retenir mes larmes, mais je supporte.

Je pousse un ouf de soulagement quand elle me détache, mais c’est pour mieux me rattacher, mais de face cette fois-ci.

C’est terrible elle me cingle les seins plusieurs fois, je vais me taper des traces pendant quinze jours à ce rythme-là !

De nouveau elle me détache, et sans que je m’y attende elle me gifle

– Tiens, ça c’est en prime !
– Aïe !
– Tu dois avoir soif ma pauvre bichette !
– Un peu, oui
– On va arranger ça !

Il y avait par terre une écuelle probablement destinée à donner à boire ou à manger au chien, Katia s’accroupit au-dessus (elle n’avait donc pas de culotte) et pisse dedans.

Puis elle revient vers moi, me faire mettre à quatre pattes en me tirant sur la chainette qui réunit mes pinces aux tétons. J’ai compris ce qu’elle voulait que je fasse… mais j’attends qu’elle me le confirme :

– Bois ma pisse ! Non tu ne soulèves pas la gamelle, tu lapes, comme une chienne.

Eh bien moi qui voulait de l’humiliation, je suis servie, ce n’est pas l’uro qui me gêne mais le fait de laper la pisse dans cette position.

Et pendant que je lape sa pisse, elle vient derrière moi et m’introduit sans trop de ménagement un gode dans l’anus.

– Remet toi à genoux, on va faire autre chose.

Elle s’éloigne de quelques pas, appelle quelqu’un sur son téléphone portable, raccroche, va s’assoir et fumer une cigarette en attendant, sans me jeter un seul regard.

A peine 10 minutes plus tard, la porte s’ouvrait, un bonhomme dans la soixantaine fait son apparition, il ne me salue pas et sors sa bite de sa braguette, un bon morceau !

– Allez suce-le et à fond !
– Que je…
– Oui que tu le suces ! T’as quelque chose contre ?
– Non, non !

J’ai eu peur que sa bite ne soit pas nette, mais ça allait, juste un petit arrière-gout de pisse.

Malgré ma trentaine, je n’ai pas sucé tant de bites que ça dans ma vie, mais j’essaie de bien faire. Mais toujours est-il qu’au bout de 10 minutes le monsieur bandait bien mais ne semblait pas prêt de jouir.

– Monsieur Albert, baissez votre pantalon, la pute va nous lécher le trou du cul !

Manquait plus que ça. J’ai déjà léché l’anus de mes copines de lit, mais je n’ai jamais fait de feuille de rose à un homme. Est-ce que je vais être capable de faire ça ?

Petite appréhension mais bon, je lui lèche la rondelle en fermant les yeux, ça aurait pu être pire.

Après quelques mouvements derrière, je repasse devant et le pompe en cadence. Je ne tarde pas à percevoir quelques soubresauts annonçant sa jouissance.

– Tu avales tout ! M’ordonne Katia. Les salopes, ça avale tout !

Ben oui, je suis là pour ça !

On me fait nettoyer la bite du mec afin qu’Il ne reste plus de sperme agglutiné, Il se reculotte et me jette un billet de 20 euros par terre.

20 euros ? Le salaud ! Je veux bien jouer à la pute, mais je vaux quand même plus que ça, non ?

– Vas te reposer cinq minutes sur la canapé, je vais aller dire à Honorine que tu es bonne pour le service.

Encore heureux !

Un quart d’heure plus tard, Katia vint me retrouver, me fixa un collier de chien, muni d’une laisse, autour de mon cou et me conduisit devant la maîtresse du lieu.

– Katia va t’expliquer le travail, comme elle est plus ancienne, tu lui dois entière obéissance, elle aura le droit de te punir et de s’amuser avec toi si ça lui chante, on est bien d’accord ?
– Oui madame !
– Mon fils passe parfois à la maison pour me baiser, tu lui devras obéissance également !
– Oui, Madame !
– Katia, gifle-moi cette pétasse et crache-lui à la gueule, pour qu’elle comprenne bien qu’elle n’est qu’une merde ici !

La rousse me balança un double aller-retour que j’encaissais sans broncher, puis me cracha dessus !

– Ouvre la bouche ! Pétasse !

Je reçus la salive de Katia au fond du palais et la déglutit.

– Qu’est qu’on dit !
– Heu ! Merci ?
– Et maintenant que tu m’a bien excité, tu va me sucer la chatte.

Voilà qui n’est pas un problème, je me mis en position et pointait ma petite langue agile sur son minou tout humide. Je procédais par longs mouvements effleurant à chaque fois son clitoris gonflé d’excitation. En même temps mes doigts s’aventuraient sur ses tétons que je faisais rouler.

Quand sa respiration devint saccadée, je lui donnais le coup de grâce en titillant son clito de l’extrémité de ma langue. Elle prit son pied mais manifestement s’empêcha de crier.

– Faudrait pas que l’autre folle m’entende ! Commentât-elle en se redressant

Katia n’était pas méchante, elle m’expliqua le travail et tous les détails de la maison. Effectivement il y avait du travail, la maison était immense.

– Si tu es un vraiment maso, que tu aimes les femmes et le sexe tu ne devrais pas être malheureuse ici ! Mais tu vas voir au début Honorine va-t’en faire voir de toutes les couleurs.
– C’est qui, Honorine ?
– C’est le prénom de la patronne !
– Elle vit toute seule ?
– Oui, en fait, elle est rentière, elle doit avoir pas mal d’immeubles, et tout ça est géré à l’extérieur. Pour s’occuper, elle fait de la sculpture, c’est d’ailleurs affreux, mais ce n’est pas la peine de lui dire. Elle reste parfois des heures entières dans son atelier, pendant ce temps-là elle nous fout la paix. Et puis quand ça lui prend, il faut se farcir ses séances de domination. Elle reçoit parfois des copines, des vielles salopes, surtout une…

Katia me choisit ensuite une tenue de soubrette à ma taille, très décolletée en haut et très raccourci en bas.

J’ai ensuite vaqué à des occupations exclusivement domestiques, il fallait aider la rousse Katia à faire le ménage et il y avait pas mal de repassage en retard.

Je suis rentré à la maison vers 18 heures, plutôt satisfaite de cette première journée… Ce n’est que le lendemain que les choses sont devenues un peu plus hard.

Je n’avais pratiquement pas croisé Miss Honorine de la matinée à l’exception d’un petit bonjour que j’avais trouvé bien malicieux, quand celle-ci m’appela en début d’après-midi. Elle s’était habillée en haut d’un chemisier crème et d’une jupe de tailleur pied de poule. Très classe !

– Viens devant moi, poufiasse !
– Oui, madame !

Elle se lève alors, se met devant moi et commence à trifouiller dans mon décolleté de soubrette, en extrait le haut de mes seins et se met à me pincer les bouts entre ses doigts.

– Tourne-toi maintenant !

Une fessée suivie d’une autre plus forte atterrit sur mon cul !

– Mets-toi à poil, ce sera plus pratique pour la suite !
– Bien madame
– Maintenant je veux que tu me déshabilles. Tu vas faire ça très lentement, à chaque fois que tu découvriras une partie de mon corps, je veux que tu la caresses, que tu l’embrasses, que tu la lèches ! Tu as bien compris conasse ?

– Oui, madame !
– On dit « Oui, madame, la conasse a compris »
– Oui, madame, la conasse a compris !

Puis elle m’ordonna de marcher à quatre pattes.

– Non, pas comme ça, tu ne le fais pas bien, il faut cambrer ton cul !

Et tout en disant cela elle m’asséna un coup de cravache sur les fesses. Elle m’obligea à faire plusieurs tours dans la pièce dans cette position, et bien sûr elle me frappait à chaque fois. Ce petit manège dura une dizaine de minutes et mon cul commençait à chauffer sérieusement.

– Reste comme tu es, on va changer d’endroit !

Elle demande à Katia de nous rejoindre. Nous sommes alors sorties de la pièce et Honorine me conduisit jusqu’aux toilettes !

– Je les ai fait agrandir, elles étaient un petit peu petites pour mes petits jeux…

Il y avait une vraie toilette bien classique mais aussi une autre qui l’était beaucoup moins puisqu’il s’agissait en fait d’un simple abattant élégamment monté sur quatre pieds, il n’y avait rien du tout en dessous de ce truc.

– Allez, tu t’allonges, tu passes ta tête là-dessous et tu ouvres bien la bouche. Katia, tu surveilles !

J’ai une vue imprenable sur les intimités de ma patronne, mais je n’ai pas trop le temps de m’y attarder, sa pisse dégouline, j’avale ce que je peux, mais ne peux tout absorber.

– Nettoie-bien avec ta langue !

Je lui lèche sa chatte pleine de pisse. Je me régale, sa pisse est savoureuse.

– Et maintenant je vais chier !

Et dans cette position, elle ne peut que me faire sur le visage. Je n’étais jamais allé aussi loin avec mon ex-copine. Après tout je suis ici pour voir jusqu’où je peux aller mais rien ne m’empêche de laisser tomber l’affaire.

Bien sûr mon côté profondément maso pourrait me faire tenter l’expérience, mais bon si je ne me sens pas prête, je ne me sens pas prête !

– Non pas comme ça ! Me rebiffais-je.
– De quoi ? On se rebelle !
– Je veux bien essayer de faire de la scato, mais je n’ai jamais fait ça. Je ne suis pas contre, mais faut y aller progressivement. Expliquais-je en m’extirpant de ma position.
– Autrement dit, tu me dis ce qu’il faut que je fasse ! Poufiasse !

Bon, ça tourne mal, je ne vais pas rester

– La pouffasse va sa rhabiller et aller voir ailleurs. Répondis-je.
– Non mais quelle petite effrontée ! Qu’en penses-tu Katia ?
– Puis-je suggérer à Madame d’envisager un dressage progressive de la poufiasse.
– T’as raison, les chiennes, ça se dresse ! Alors poufiasse t’es d’accord pour qu’on te dresse ?
– Oui Madame !
– Mais j’espère que tu ne vas pas me fait perdre mon temps, si je vois que ça ne colle pas, je te fous à la porte et tu ne seras pas payé .

N’importe quoi ! Je n’attend pas après l’argent, mais les principes ce sont des principes…

– Non ça ne va pas ! Si vous me virez, il faudra me payer mes gages.
– Mais c’est qu’elle commence à nous emmerder la poufiasse ! Dehors !

Je récupère mes fringues, me rhabille, mais avant de partir je compte bien lui réclamer mes gages de la journée, je n’ai pas fait tout son putain de repassage pour des prunes !

Mais la voilà qui me rejoint…

– Tiens conasse, c’est pour le dédommagement ! Me dit-elle en me tendant une enveloppe. Si tu restes tu seras payée à la journée pendant ta période d’essai.

Je compte les sous dans l’enveloppe ! C’est correct. Je ne lui a pas dit « merci » !

– Tu fais quoi, maintenant , tu te barres ou tu restes ?

Je suis restée, je me suis déshabillée et j’ai attendu les ordres.

– Bon avec tout ça, je n’ai pas chié ! Indique Honorine dans un grand moment de poésie.

Elle ordonne à Katia se s’allonger par terre, elle ne sert pas de la chaise percée, je comprends pourquoi : elle veut m’en foutre plein la vue !

– Tu t’assois là et pour l’instant tu regardes ! Me dit-elle.

Je vois Honorine de dos accroupie au-dessus de Katia. Son anus s’ouvre et ne tarde pas à dégager un petit étron qui grandit pour devenir boudin, se baisse et dégringole sur le visage de Katia qui ne fait aucun geste pour s’en débarrasser.

– Commentaires ? Me demande Honorine.
– Votre merde est très belle ! M’entendis-je mentir.

Je retrouvais mes taches ménagères, quand environ une heure plus tard la sonnette d’entrée retentit. Katia me pria d’aller ouvrir.

Un blondinet (décoloré) dans la trentaine.

– T’es nouvelle, toi ! Me balance-t-il sans me saluer !
– Oui, je suis Myriam !
– La daronne est là ?
– Elle est dans son atelier ! Lui répond Katia.
– Ben va lui dire que je suis arrivé, qu’est-ce que tu attends, conasse ?

Honorine s’amène. Elle embrasse le type.

– Qu’est-ce qui t’amène, mon fils ?
– Ben tu m’avais demandé un bouquin, je l’ai trouvé…
– Super, on s’installe un moment dans le salon.
– T’as encore le feu au cul, maman ?
– Quand je te vois, oui !

La mère et le fils s’installent sur le canapé très proches l’un de l’autre, Sammy puisque c’est nom du moutard, débraille sa mère et lui fait ressortir un sein qu’il se met à téter goulument. C’est très excitant de voir ça !

– Myriam au lieu de rester là comme un conne va nous chercher à boire, une vodka à l’orange pour moi et un jus de pomme pour mon enculé de fiston.

J’y vais puis reviens avec les verres sur un plateau.

– Elle est pas mal cette gonzesse, je peux la voir à poil ! Demande Sammy.
– Evidement ! Ben qu’est-ce que t’attend toi la boniche, allez à poil !

Je m’exécute, on me demande de me retourner, de me dandiner, d’ouvrir les cuisses, de me foutre un doigt dans la chatte, je suis devenue une jument à la foire aux bestiaux.

– Elle fait tout ?
– Elle fait pas mal de choses ! Répond Honorine.
– Tu lui as fait sucer le chien ?
– Non pas encore.
– Ça me plairait de la voir faire ça !
– Pas de problème, Katia va chercher le chien !

Et la voilà qui revient avec le toutou, elle le caresse, il se laisse faire, les chiens Ils aiment bien les caresses ! Sa main lui enserre le pénis et après quelques mouvements un cylindre rougeâtre et gluant sort de son fourreau. Impressionnant !

– Allez Myriam fait nous voir comment tu te régales en suçant la bite du chien !
– Moi je veux bien, mais je n’ai jamais fait ça, faut me montrer !
– Quelle gourdasse ! S’écrie Honorine. Allez Katia assiste-la !

Katia se baisse et sans hésiter une seule seconde embouche la bite du quadrupède.

Ben oui c’est tout con, une fellation reste une fellation sauf que là il s’agit d’un chien. Donc je suce la bestiole, ça ne me fait ni chaud, ni froid, ça ne m’excite pas, ça ne me répugne pas… l’indifférence, quoi !

Pendant ce temps Honorine, complètement désintéressée par le spectacle que je suis censé donner, s’occupe à sucer la bite de son fils..

– Maintenant, met toi en levrette, le chien va te baiser ! Me dit Sammy.

Pas envie… je le ferais sans doute un jour mais ces gens-là m’énervent.

– Je reviens… Dis-je.

Je me refugie dans l’entrée, là où sont posés mes affaires et je me rhabille. Katia déboule.

– Tu fais quoi ?
– Je me barre !
– Tu as tort, c’est le premier jour, c’est normal que ce soit dur, mais ce n’est pas tous les jours comme ça !
– Ah ! Bon et on fait quoi les autres jours ?
– Le ménage, le repassage…
– Super ! Tiens, je te laisse mon adresse, tu diras à ta patronne qu’elle m’envoie un chèque pour ma journée d’aujourd’hui…
– Mais
– Salut ma belle !

Je ne regrette pas mes deux journées, mais j’aurais au moins appris deux choses, faire la soumise avec des gens antipathiques genre Honorine et son rejeton n’a rien d’excitant.

En revanche je ne regrette pas la séance avec la belle Katia, mais s’il faut que je me farcisse une semaine de repassage pour rejouer la scène, merci !

La seconde chose c’est que les séances sado-maso, c’est comme les visites au musée, on est super content d’y avoir été, mais on n’a pas envie d’y retourner de suite.

Et sur ce mes amours, je vous quitte.

AnneAbigail Lemeunier du Chesne

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Jeudi 20 octobre 2022 4 20 /10 /Oct /2022 15:07

Confession incestueuses – 3
Mat Stamp

Brianna par Smith

Brianna a 25 ans,, c’est une ravissante rousse à la peau très pâle et aux yeux bleus, célibataire et fière de l’être, vivant de coups d’un soir. Elle est cadre supérieure dans grosse compagnie d’assurance et à la responsabilité de gérer les gros litiges.

Elle a en ce moment en charge un gros conflit impliquant une usine des Midlands de l’Ouest. L’affaire s’annonce compliquée et prendra plusieurs journées.

Au lieu de prendre une chambre d’hôtel, elle a demandé à ses parents qui habitent à Birmingham de la loger pendant la durée de ses investigation.

Elle est arrivée, la veille au soir, on a discuté, évoqué des anecdotes en dinant et on pas mal bu.
Le lendemain matin, Brianna est un peu vaseuse. Vêtue d’un peignoir prêté par sa mère et qu’elle a un mal fou à maintenir fermée elle débarque dans la cuisine.

Papa et maman sont aussi en peignoir et préparent le petit déjeuner.

On s’échange des banalités matinales et Brianna étale de la confiture sur sa tartine… et son peignoir s’ouvre de nouveau.

Matthew, le père n’en perd pas une miette.

– Tu n’as pas honte de mater ta fille comme un vieux cochon ? L’interpelle Jenny, la mère.
– Je regarde ce qui est beau !
– On dirait que tu ne m’as jamais vu ! Fait remarquer Brianna en essayant de refermer le peignoir
– Il y a si longtemps ! Soupire le père !
– On dirait que tu as grossis de la poitrine ! Faut remarquer Jenny.
– Ah ! C’est possible !
– Montre voir !
– Pas maintenant !
– Allons, allons je ne vais pas te manger…

Brianna consent alors à ouvrir son peignoir.

– Hum, joli ! S’exclame la mère en approchant sa main.
– Ben Maman !
– Je te fais mal
– Non mais c’est gênant.
– D’accord, j’arrête.
– C’est dommage c’était mignon ! Intervient le père.

Brianna est profondément troublée par ce court épisode et assaillie de pensées contradictoires. Elle n’a pas refermé son peignoir.

– Maman caresse moi encore ! Finit-elle par dire.

Jenny ne se le fait pas dire deux fois et se met de nouveau à caresser les seins de sa fille sauf que cette fois, profitant de la permission accordée, elle y va carrément, et se saisissant du téton elle le pince légèrement, provoquant chez Brianna un spasme de plaisir.

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Ravi par ce spectacle, Matthew ouvre son peignoir laissant apparaitre une belle bite bien bandée qu’il masturbe à quelques centimètre de sa fille.

– Oh, papa, tu bandes bien !
– Elle te plait ma bite !
– Elle est belle !
– Je suis sûr que tu aimerais la sucer, petite vicieuse
– Tu m’en crois incapable ?
– Tu vas le faire ?
– Approche toi !

Et Brianna emboucha la bite de son père, se régalant de cette douce texture et procédant par d’énergiques allers et retours, jusqu’à ce qu’il éjacule dans sa bouche. Voilà qui tombait bien, j’adore le sperme !

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Trio avec Gloria par Patrice

Je m’appelle Patrice, j’ai 19 ans et mes parents sont divorcés depuis 11 ans . Depuis 5 ans mon père est remarié avec Gloria une femme de 44 ans et qui a un fils de 20 ans prénommé Sylvain .

Gloria m’a toujours attiré car elle est extrêmement belle, elle mesure 1m 68, a les cheveux roux, les yeux bleus, des seins imposants jolis petits seins et un cul très attirant. Elle s’habille toujours avec des jupes très courtes et met rarement de soutiens-gorges, même à la maison elle ne porte qu’un t-shirt avec une culotte. Souvent en me branlant je pensais à elle en imaginant différents scenarios pour l’aborder et la baiser. Comme elle ne travaille pas elle est souvent à la maison avec moi mais le seul problème qui m’empêche de l’aborder c’est son fils ! Lui n’est pas du tout branché sexe mais plutôt jeux vidéo (du moins c’est ce que je pensais). Maintenant que vous savez tout je vais vous racontez cette fameuse nuit !

Mon père est un homme de 59 ans et il n’a plus tellement envie de faire l’amour à sa femme et c’est d’ailleurs à ce sujet qu’ils se sont engueulés ce soir-là, Gloria disait qu’elle avait des besoins et qu’elle en avait marre que personne ne puisse les combler, elle partit dans sa chambre et alla s’assoir sur le canapé pour fumer un cigarette. Je me levai de mon lit pour aller la rejoindre car cette engueulade, qui m’avait réveillée, m’a donné envie de fumer. J’étais en slip et elle en robe de chambre, je me suis assis à côté d’elle en lui demandant de m’expliquer ce qui se passait, elle fondit en larmes sur mon épaule en m’expliquant tout et en rigolant je lui dis que si elle voulait je pouvais la dépanner ! Elle rigola et elle s’interrompit vite en sentant ma main glisser sur sa cuisse, elle avait compris que j’étais sérieux et balbutia qu’elle ne pouvait pas ou du moins pas ici, je lui proposa alors d’aller dans ma chambre, sans penser à mon demi-frère.
Elle accepta et une fois dans la chambre, je me mis à la déshabiller et à la caresser, mes doigts fouillais sa chatte détrempée et elle poussait des petits gémissements qui intriguèrent son fils. Il entra dans la pièce et nous étions très gênés mais à ma grande surprise il ne dit rien et nous regarda pendant un moment
– Continuez, ne vous gênez pas pour moi ! Dit-il
Je baissais mon slip et j’allongeai Gloria en écartant ses cuisses, et d’un coup sec je la pénétra, elle poussa un petit gémissement et commença à se dandiner. D’un coup Sylvain se leva et alla s’assoir sur le lit à côté du visage de sa mère, il se mit à lui fourrer sa langue dans la bouche en lui malaxant les seins. Je me mis à la bourrer de plus en plus fort quand Sylvain sortit son sexe et lui mit dans la bouche en lui baisant la bouche comme une pute. De mon côté je ralentis le rythme pour admirer ce spectacle, quand d’un coup, dans un dernier coup de rein Sylvain lâcha son foutre dans la bouche de sa mère, elle avala tout sans en perdre une goutte et Sylvain me dit :
– Vas-y défonce-la cette salope !
Je ne me fis pas prier et je l’ai mis à quatre pattes, lui enfonçai ma queue dans son cul et je lui défonçai sa petite rondelle jusqu’à ce qu’elle jouisse dans un cri strident, je ne mis pas longtemps à lui décharger mon sperme dans son anus tout mouillé . Elle nous dit merci en disant qu’on remettait ça quand on voulait . J’espère que ça viendra vite !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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