Felicity et Bérangère par Sylvain Zerberg – 1 – Une Anglaise très coquine
Bonjour, je m’appelle Sylvain et j’aimerais vous raconter comment à 24 ans, ma sœur cadette avec la complicité de son amie anglaise m’ont entrainé dans une avalanche de perversions.
Mais rassurez-vous, je ne vais pas pleurer, je ne regrette rien et je me sens très bien dans ma peau.
Ma sœur qui se prénomme Bérangère est une fausse blonde de 22 ans, pas très grande mais dotée de jolies formes, Voulant perfectionner son anglais, elle est partie un an à Londres et a fait connaissance d’une dénommée Felicity. Elles sont devenues copines. J’ignorais bien évidemment jusqu’où allait leur degré de copinage.
Moi j’habite un grand studio à Paris du côté de la Place des Fêtes. Au mois de novembre, Bérangère disposant de quelques jours de vacances, me demanda si je pouvais l’héberger, elle et sa copine pendant une petite semaine.
Je possède un canapé à deux places pour coucher ces demoiselles, quant à moi je pourrais dormir dans le fauteuil ou par terre. Ça m’embête un petit peu mais je ne me vois pas leur refuser ce service.
Je gère une petite agence de publicité avec un associé, je peux donc me libérer facilement.
J’allais chercher les deux donzelles à la Gare du Nord en début d’après-midi et faisait connaissance avec Felicity, une grande bringue rousse un peu potelée, au visage malicieux constellé de raches de rousseurs, qui m’embrassa comme si on se connaissait depuis l’enfance. Une belle fille avec ce qu’il faut là où il le faut .
Une fois à la maison et après avoir bu un petit rafraichissement, les deux filles, manifestèrent le désir de prendre une douche.
– Allez-y, c’est juste là…
Et voilà que devant mes yeux écarquillés, les deux copines se déshabillent intégralement comme si je n’étais pas là.
Il y avait un bout de temps que je n’avais pas vu ma sœur à poil, et là elle me semblait plus belle que jamais avec ses jolis seins laiteux. Quant à Felicity… Quel joli brin de femme, de belles et interminables cuisses dorées, un postérieur à damner un saint et des nichons parfaits. Alors évidemment je bandais comme un cochon sous ma braguette.
J’espérais rencontrer un regard complice des nanas, mais non, je vous dis, je n’existais pas, j’étais devenu complètement transparent…
Les deux amies pénétrèrent dans la salle de bains, poussant la porte derrière elles mais sans la refermer complètement.
La salle de bain n’est pas insonorisée, pourquoi le serait-elle ? Ce qui fait qu’on peut y entendre ce qui se passe. J’entendis d’abord le bruit de l’eau, puis plus rien, l’eau à nouveau, des rires continus et puis après un quasi-silence des gémissements incongrues.
Je compris alors que ma sœur s’était convertie à l’amour goudou et que les deux donzelles étaient en train de se donner du plaisir. Imaginez l’état de ma bite ! Je me faisais déjà un mini plan : « Quand elles seront ressorties c’est moi qui irais dans la salle de bain et je me ferais une bonne branlette ! »
Bérangère ressortit la première, le corps enveloppé d’une large serviette.
– Alors grand frère, tu t’es bien rincé l’œil ?
– Fallait pas vous déshabiller devant moi !
– Parce que t’as pas remarqué que ma copine te provoquait ?
– Pas du tout !
– Elle m’a dit qu’elle te trouvait mignon ! Si tu veux la sauter, elle en sera ravie !
– Ben vl’a autre chose !
– Profites-en, elle est très gentille, très douce…
– Avec les hommes et avec les femmes ? C’est ça ?
– Très perspicace ! Se gaussa-t-elle.
– Bon, on va voir comment ça va se passer, mais c’est un peu exigu ici… Fis-je remarquer.
– Où est le problème ? Reprit ma sœurette, si vous avez envie de vous envoyer en l’air, je peux aller faire un tour ou aller bouquiner dans la salle de bain. D’ailleurs faut que j’y retourne,
j’ai un ongle qui accroche.
Et quelques secondes plus tard Felicity faisait son apparition, revêtue de mon propre peignoir… mais non refermé.
– Si je te plais, on peut s’amuser un peu, toi tu me plais ! Me confie-t-elle avec son accent impossible.
Je ne pensais pas que les choses arriveraient si vite, mais quand l’anglaise me mit la main à la braguette, j’aurais été le roi des couillons de l’envoyer promener. Je lui fis donc un sourire de connivence, ce qui l’incita à me dézipper ma fermeture-éclair, puis à sortir ma bite sa cachette.
– Oh ! Joli ! Ça bande beaucoup !
Je pensais qu’elle allait me sucer direct, non mademoiselle prenait son temps et me branlait délicatement.
– Je vais tout mettre dans ma bouche ! Me prévient-elle.
Elle ne tarda pas à le faire. Le problème c’est que j’étais tellement excité que je risquais de jouir prématurément.
– Doucement, doucement ! La prévins-je
Elle me fit un coup d’œil complice, mais ne put s’empêcher de donner un petit coup de langue sur mon gland. Puis subrepticement, elle se tourna afin de m’exhiber ses jolies fesses.
– Tu veux me lécher le trou du cul ?
Une proposition pareille ne se refuse pas, j’approchais ma langue de sa rosette brune. Evidemment comme mademoiselle sortait de la bouche, au lieu de rencontrer le petit goût suave que le fait bien, je tombais sur une senteur de gel douche parfumée.
– Je peux entrer un doigt ? Demandais-je.
– Tu peux entrer plein de doigts !
J’en ai entré qu’un seul, et j’ai commencé à l’agiter frénétiquement dans son petit trou du cul. Elle a démarré au quart de tour en gémissant comme une chatte en chaleur et a réclamé un deuxième doigt. Qu’à cela ne tienne, je fais comme elle veut. Mais la voilà qui braille de plus en plus fort. Quel tempérament ! Elle piaille comme une malade. Ce n’est pas vrai que je vais la faire jouir par le cul, et si vite ? Ben si ! Elle éclate, je retire mes doigts, Elle est en sueur, les yeux dans le vague.
Elle reste quelques instants comme ça, pas trop longtemps, moins d’une minute. Et sans crier gare, se jette comme une furie dans mes bras, cherche ma bouche.
Comment, elle m’embrasse ! Une vraie sangsue mais je ne vais pas m’en plaindre !
– Tu m’a bien enculé avec tes doigts, tout à l’heure tu m’enculeras avec ta bite !
– Ce n’est pas un problème !
– Je suis une salope, une enculée et ça me plait…
– On se calme, on se calme !
– Tu veux gouter à ma chatte ?
– Oui bien sûr !
Mais elle n’a pas attendu ma réponse, elle s’affale sur le canapé, les cuisses ouvertes et m’attend.
Alors, O.K. je vais m’occuper de son minou, mais auparavant je ne peux faire autrement que de m’occuper de ses beaux nichions, que je caresse, que je lèche, me régalant de ses jolie pointes durcies par l’excitation.
– Oh, mais qu’est-ce qu’il me fait, ce petit cochon ?
– Des bonnes choses, j’espère !
Et je descends vers sa petite chatte. C’est tout trempé là-dedans, une véritable éponge. Je plonge un doigt que j’agite frénétiquement.
– Non, ta langue, je préfère !
Ah bon ! Ce n’est pas un problème, je lèche tout ça, mélange de cyprine et de sueur, gout suave légèrement salé, odeur de rousse, un régal de fin gourmet..
Felicity s’agite, halète… je passe ma langue sur son clitoris érigé, elle s’arcboute, gémit, puis crie, inondant de nouveau son entre jambe.
– Et maintenant, encule-moi !
Pas de soucis, sauf que je me demande si je vais tenir la distance, vu mon état d’excitation. Je vais pour me lever afin d’aller chercher un préservatif dans l’armoire à pharmacie de la salle de bain, mais voici qu’une mignonne petite main m’en tend un, sachet déjà ouvert.
Eh oui, Bérangère n’était pas restée longtemps dans sa cachette et nous regardait avec une main très active sur son petit minou !
J’enfilais la capote sous les yeux de ma sœur et pénétrait la belle anglaise en levrette Je m’enfonçais dans son étroit conduit avec une facilité étonnante et commençait à la pilonner.
– Ne vas pas trop vite !
Je fais ce que je peux ! Mais voilà que contre toute attente, Bérangère vient offrir son petit minou à sa camarade.
Imaginez mon excitation ! Difficile de me retenir en de telles circonstances. Alors je bouge doucement, tout doucement… tandis que Felicity fait minette à ma sœurette avec délectation.
– Oh ! T’es en panne ! Finit par protester l’anglaise.
– Je vais venir, je suis trop excité !
– Eh bien, viens, mais essaie de continuer après l
Elle en a de bonnes, elle ! Mais bon, je fais comme elle a dit, je reprends mon rythme initial et ne tarde pas à décharger dans la capote quelques courtes minutes après.
Reste le plus difficile, j’attends quelques secondes, puis me remet à remuer afin d’éviter de débander. Miracle, ça fonctionne, même si ma bite devient un peu douloureuse.
De l’autre côté de Felicity, Bérangère est en train de crier sa jouissance, c’est la première fois que je vois ma sœur en train de jouir, ça fait drôle tout de même !
Felicity commence à pousser des gémissements significatifs, voilà qui m’encourage et me motive, j’accélère comme je peux, je sens l’anglaise prête à partir. Ça y est, elle jouit, je me retire fourbu, tandis que les deux coquines se roulent une galoche tellement baveuse qu’elles en ont le menton inondé.
Si j’ai bien compté, la Felicity a joui trois fois ! Quelle santé !
Je me sers un verre d’eau fraiche et allume une cigarette. Les deux filles se chuchotent je ne sais quoi en rigolant comme des bossues, puis se dirigent vers la salle de bain.
– On va pisser ! Me dit Felicity, tu viens ?
– Non, je n’ai pas envie !
– Tu ne veux pas nous regarder ?
N’importe quoi !
– Vous regarder ?
– Ben, oui, allez viens, et puis je suis sûre que tu as une petite envie !
– Non, je vais fumer ma clope !
– Bon tu viens, oui ? On ne refuse pas une invitation ! Intervient ma frangine.
Alors, sans trop chercher à comprendre je les suis, ma salle de bain est assez exigüe, il y a juste un carré à douche, un lavabo et une cuvette de chiotte
Sur place, Felicity entre dans le carré à douche et s’y accroupit, Bérangère entre à son tour, reste debout, écarte les jambes, puis les lèvres de sa chatte. Ma sœur a les yeux rivés sur elle…
Non mais c’est pas vrai qu’elles vont se pisser dessus !:
Ben, si c’est vrai, un jet dru ne tarde pas à jaillir de la chatte de ma petite sœur chérie et à arroser la belle anglaise.
Bérangère ouvre sa bouche. Elle ne va tout de même pas… Mais si ! Devant mes yeux incrédules, la voilà qui boit l’urine de sa copine et qui manifestement s’en régale !
Je ne sais plus où j’en suis, je suis à la fois fasciné par cette scène insolite et scandalisé par la conduite de ma sœur.
Et pour l’instant c’est le deuxième sentiment qui domine, sans pouvoir me contrôler, je hurle.
– Mais ce n’est pas possible, Bérangère ! T’es devenue une vraie pute ! Et c’est l’autre salope qui t’a perverti !
Evidemment ça jette un froid.
– Quand t’as enculé ma copine tu faisais moins de chichi ! Me rétorque la frangine.
– C’est pas parce que j’ai eu un moment de faiblesse que… Et puis je ne vous dois aucune explication. Rhabillez-vous, foutez-moi le camp et allez faire les putes ailleurs !
Et je quitte la salle de bain, fier comme un petit banc (je sais) vais me rhabiller et fais semblant de m’intéresser à « l’Affaire Tournesol » qui trainait sur une étagère.
Ces demoiselles qui se sont évidemment concertées en chuchotant, puisque je n’ai rien entendu, sortent à leur tour à poil et comme si j’étais de nouveau transparent se rhabillent en silence, puis elles s’emparent de leurs valises et disparaissent de mon studio.
Et voici donc le temps de la réflexion. Je me dis que j’y suis allé un peu fort de les mettre à la porte, mais bon, on est impulsif ou on ne l’est pas. Il n’est pourtant pas dans mes intentions de me fâcher avec ma sœur. Alors je fais quoi ? Attendre quelques jours et lui téléphoner ? Que faire d’autre ? Et en attendant je me sers un whisky bien tassé.
Et voilà qu’on sonne !
J’ouvre ! C’est Bérangère !
– Je ne fais que passer, j’ai oublié mon sèche-cheveux !
Elle part dans la salle de bain, revient avec un sac en plastique, il ne me semble pas qu’il contienne l’objet en question, ce retour était donc une feinte !
– Ce n’était pas la peine de te mettre dans un état pareil ! Je suis très déçue ! Me déclare-t-elle.
J’ai donc le choix entre m’enfermer dans mon mutisme ou répondre, ce qui ouvrira une discussion à l’issue incertaine.
– C’est moi qui suis déçu ! J’ignorais que ma sœur était devenue une salope !
– Primo la salope elle t’emmerde ! Secundo, monsieur est tout content de baiser ma copine, et en ma présence en plus, mais il est dégoûté parce qu’on s’amuse à des jeux de pipi ! Y’aurait pas
quelque chose d’illogique quelque part ?
– Mais…
– J’ai pas fini… Et tertio, ce qu’on fait avec Felicity, ça ne fait de mal à personne. Dans mes souvenirs tu n’étais pas homophobe à ce que je sache ?.
– La question n’est pas là ! Fallait pas m’obliger à regarder !
– Pourquoi, c’est sale, le pipi ?
Et toc ! Je ne sais pas quoi répondre. Ou bien je m’incline ou alors je joue la mauvaise foi, ce qui à terme est toujours contre-productif. Donc je biaise.
– Mets-toi à ma place, ça fait drôle quand même !
– Donc la question maintenant, c’est : est-ce que tu vas t’en remettre ?
– Je crois que je devrais m’en remettre.
– Felicity m’attend en bas, je lui dis de remonter ou pas ?
– Oui, viens me faire un bisou !
– D’accord mais je lui téléphone d’abord !
– J’aimerais peut-être parler avec toi un petit peu.
Elle téléphona donc à sa copine :
– Ça s’arrange, je te dirais quand tu pourras remonter, bisous !
Un ange passe, Bérangère retire son manteau, je fais du café et lui en propose un.
– C’est ta copine anglaise qui t’as transformé comme ça ?
– Mais pas du tout, il y a longtemps que j’avais mon petit jardin secret mais je ne voyais pas trop comment t’en parler. L’amour entre filles ça date du lycée, les jeux de pipi aussi, d’autres
trucs aussi, les godes, les petits jeux de domination… Ça va, j’ai répondu ?
– On en apprend tous les jours !
– N’est-ce pas ? Dis-moi, une question : si je n’étais pas ta sœur, tu me baiserais ?
– Possible, oui !
– Et ça change quoi, que je sois ta sœur ?
– C’est de l’inceste !
– Ce n’est pas une réponse, ça, tu me réponds par un mot, je m’en fous des mots. Si on baisait ensemble où serait le mal ?
– Bon, c’est quoi cette discussion ? Je n’ai pas envie de baiser avec toi, si c’est ça que tu veux savoir !
– Tu te contredirais pas un peu, là ?
– Bon on arrête ?
– O.K.. j’arrête, je te propose un truc ! Quand je ferais l’amour avec Felicity tu n’auras qu’à regarder, et si tu veux nous rejoindre, on te laissera une petite place. Mais tu ne seras pas
obligé de me toucher ! Ça te convient ?
– Ouais, c’est ça, on verra…
Je ne suis pas complètement idiot, je me doute bien qu’en me faisant cette proposition lubrique, Bérangère se dit que complètement excité à la vue de ce spectacle annoncée, je ne pourrais m’empêcher de m’approcher et qu’immanquablement l’engrenage effectuera son travail.
Sur quoi, elle se fout le doigt dans l’œil. Il me suffira de trouver un prétexte pour décliner l’invitation à regarder et l’engrenage ne pourra pas fonctionner.
Felicity est donc revenue comme s’il ne s’était rien passé et s’est mise à baragouiner en English avec ma sœur, comme je ne maîtrise pas bien la langue je n’ai pas suivi. J’ai essayé de lire mais n’ai pu me concentrer, je suis donc allé faire un tour en indiquant à ces demoiselles que j’en profiterais pour ramener de quoi diner pour le soir.
– Des sushis, ce serait sympa ! A proposé Bérangère.
Le soir après avoir trainé à table, Felicity et ma sœur ont commencé à se faire de petits câlins innocents, puis à s’embrasser sur la bouche. Quand elles ont entrepris de se peloter de façon plus poussée, j’ai compris comment cela allait se terminer, j’ai donc débarrassé la table et lavé la vaisselle.
Entre temps, les deux coquines avaient gagné le canapé et commençaient à se débrailler sévère. Fidèle à mes résolutions, j’enfilais un blouson et m’apprêtais à me chausser pour aller faire un tour dans le quartier, quand Felicity m’interpella :
– Tu t’en vas ?
– Je vais faire un tour, je reviens dans une petite heure.
– Tu n’as pas envie de nous regarder, alors ?
– Non !
– Pourquoi, on est moches ?
– La question n’est pas là, je vous laisse entre femmes.
– Reste, ça nous fait plaisir ! Tu n’as pas envie de nous faire plaisir ?
– Bon, à tout à l’heure !
– Tu sais que Felicity est ceinture noire de judo ? Intervint Bérangère, restée silencieuse jusqu’alors.
J’avoue ne pas comprendre cet aparté, mais ma sœur tint à préciser :
– Si tu t’en vas, on t’attrape et on te ligote sur une chaise !
– Tu veux vraiment que nos rapports se détériorent ?
– Je plaisantais, voyons, assis-toi sur une chaise, regarde-nous et quand tu en auras marre et bien tu iras faire un tour.
Et tout en disant cela Bérangère caressait le gentil téton de Felicity.
Bon, ma résolution est déjà ébranlée, rester cinq minutes, c’est rester tout le temps avec les conséquences que j’imagine. Et voilà que ma bite commence à bander.
Putain, je ne suis quand même pas pris dans un piège, il me suffit de me diriger « courageusement » vers la porte d’entrée…
– Ils sont beaux les nénés de ma copine ! Minaude Bérangère avant de le lui sucer le téton.
Bon, allez, on ne vit qu’une fois, je m’assois et trouve tout de suite un plan B. Je vais me branler en les regardant et je vais m’arranger pour jouir avec ma main afin d’éviter de les rejoindre. Donc, je sors ma queue et commence à me caresser.
Changement de tableau chez les deux nanas, Bérangère est descendue s’engouffrer entre les jolies cuisses de l’anglaise et lui broute le minou. Le souci c’est que je ne vois rien du tout. Après tout, tant mieux, moins j’en verrais, moins je serais excité.
Je ne vois rien mais j’entends et je dois dire que les miaulements de jouissance de l’anglaise ne me laissent pas de marbre. Et la voilà qui hurle, Bérangère se recule puis vient rouler une pelle à sa partenaire. Puis après quelques secondes de répit, Felicity entraine ma sœur sur le tapis.
J’allais protester me disant qu’elles allaient le saligoter si elles se mettent à mouiller comme des soupes, mais je me dis que de toute façon il faudra que je le fasse shampouiner
Bérangère se tourna me montrant son cul tandis que l’anglaise le prit en main ! Cette fois-ci je ne ratais rien, la vue imprenable sur la chatte ouverte de ma sœur se faisant doigter copieusement par sa camarade. Puis quand les doigts furent bien lubrifiés, ils pénètrent son délicieux petit anus marron, puis ressortirent après une bonne minute de va-et-vient. Sans se soucier le moins du monde de l’état où ils étaient, la belle british les suça avec une gourmandise évidente ! Quelle cochonne !
Et c’est maintenant la langue qui entrait en action, Bérangère trouvant la position peu pratique et souhaitant une réciprocité dans ce genre de choses, les deux coquines se mirent spontanément en soixante-neuf, et cela jusqu’à ce qu’elles jouissent, bien bruyamment et en mouillant mon tapis.
Quant à moi, j’avais toujours ma bite dans la main, pour l’instant on ne m’avait fait aucune sollicitation, mais ça pouvait encore venir, aussi accélérais-je les mouvements de ma main.
Messe basse entre les deux filles… Elles complotent quelque chose, j’ai intérêt à jouir avant la catastrophe prévisible.
Mais je suis rassurée quand je constate que c’est Felicity qui vient vers moi !
– Enlève tes mains, je vais m’occuper de ta bite…
A quatre pattes, elle rampa jusqu’à moi et emboucha ma queue. Bérangère arriva derrière elle, sans que je puisse voir ce qu’elle y faisait, mais les commentaires de l’anglaise me l’apprirent.
– Hum, sucer une bonne bite en se faisant lécher le trou du cul ! C’est si bon !
– Je sens que ça vient ! Prévins-je.
– Alors on fait une petite pause !
Felicity se leva et alla chercher son paquet de cigarettes. Je ne bougeais pas de mon siège et les deux filles tout en clopant se caressaient les seins. Un spectacle qui ne me fit pas débander, vous vous en doutez bien.
L’anglaise me demanda de me mettre à poil et de me coucher sur la moquette.
– Parce que ?
– C’est une surprise, laisse-moi faire ! Répondit la jolie rousse,
J’obtempérais, ne conservant que mes chaussettes, je réalisais après coup que si Bérangère avait prévu un traquenard, ma position rendrait ma fuite plus difficile, plus difficile, mais pas impossible, je pourrais toujours me réfugier dans la salle de bains…
Felicity commença par me caresser le torse et sans que j’y prenne gare me pinça les tétons, une caresse que j’apprécie, non seulement je me laissais faire mais lui demandais de le faire plus fort.
Puis elle s’empala l’anus sur ma bite et commença à monter et à descendre en de lents mouvements ! Quelle sensation !
Quant à Bérangère, elle regardait le spectacle et sans doute inconsciemment le fait d’être observé par ma sœur accroissait mon excitation.
Et soudain, et de façon complètement inentendue, la main de ma sœur vint caresser mes couilles.
Contre toute attente, ce geste me fit venir au bord de la jouissance, ma partenaire n’ayant pas changé de rythme, c’est moi qui en pratiquant des mouvements de bassin tentait d’en finir.
– On se calme ! Me dit l’anglaise qui tout en restant empalée cessa tout mouvement.
Et voilà que ma sœur, complètement déchaînée se mit à califourchon sur mon visage !
– Non ! Protestais-je.
– Juste un peu !
Imaginez, j’avais sa jolie chatte pleine de mouille parfumée, à moins d’un demi-centimètre de mes lèvres C’est pratiquement par reflexe que j’ouvrais la bouche et que ma langue se mit à lécher tout ça.
– Vas-y, grand frère, bouffe-moi la moule !
Je ne sais plus où j’en suis, il n’y plus de plan A, il n’y a plus de plan B, je lèche ma sœur, mais ça s’arrêtera là et nous aurons une bonne explication après, non mais dès fois !
– Mets-lui un doigt dans le cul. Elle adore ça cette salope ! Me suggéra l’anglaise.
Bon, je peux faire ça aussi, son petit cul est tellement bandant. Le doigt entra comme dans une motte de beurre.
– C’est trop bon, continue, encule-moi avec tes doigts ! Me dit-elle
Et pendant que je doigtais l’anus de ma sœur, Felicity reprit ses mouvements de va-et-vient, elle ne tarda pas à haleter, alors ne me retenant plus je me laissais aller et inondait son conduit réalisant alors que j’avais complètement oublié le préservatif.
Je déculais, sortait ma bite polluée de sperme et d’un peu de merde, l’anglaise s’empressa de me nettoyer tout cela de sa petite langue agile sous les yeux concupiscents de Bérangère. Je vous dis, elles sont frappées !
Je quittais ces deux furies et m’en allait boire un grand verre d’eau. J’étais assez dubitatif, d’un côté je n’avais pas été capable de tenir mes engagements et m’était laissé entrainer dans une spirale de stupre. Mais d’un autre côté, je n’avais pas été jusqu’un bout, c’est vrai qu’on ne m’avait pas sollicité en ce sens, je m’étais contenté, si l’on peut dire, de lécher et de doigter ma sœur.
Alors ? Y aura-t-il une suite ? Il me parait évident que les deux nanas vont essayer de m’entrainer plus loin, ce sera à moi de stopper net.
A suivre
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