Samedi 19 mars 2022 6 19 /03 /Mars /2022 14:35

Felicity et Bérangère par Sylvain Zerberg – 1 – Une Anglaise très coquine
stamp rousse

 

Bonjour, je m’appelle Sylvain et j’aimerais vous raconter comment à 24 ans, ma sœur cadette avec la complicité de son amie anglaise m’ont entrainé dans une avalanche de perversions.

Mais rassurez-vous, je ne vais pas pleurer, je ne regrette rien et je me sens très bien dans ma peau.

Ma sœur qui se prénomme Bérangère est une fausse blonde de 22 ans, pas très grande mais dotée de jolies formes, Voulant perfectionner son anglais, elle est partie un an à Londres et a fait connaissance d’une dénommée Felicity. Elles sont devenues copines. J’ignorais bien évidemment jusqu’où allait leur degré de copinage.

Moi j’habite un grand studio à Paris du côté de la Place des Fêtes. Au mois de novembre, Bérangère disposant de quelques jours de vacances, me demanda si je pouvais l’héberger, elle et sa copine pendant une petite semaine.

Je possède un canapé à deux places pour coucher ces demoiselles, quant à moi je pourrais dormir dans le fauteuil ou par terre. Ça m’embête un petit peu mais je ne me vois pas leur refuser ce service.

Je gère une petite agence de publicité avec un associé, je peux donc me libérer facilement.

J’allais chercher les deux donzelles à la Gare du Nord en début d’après-midi et faisait connaissance avec Felicity, une grande bringue rousse un peu potelée, au visage malicieux constellé de raches de rousseurs, qui m’embrassa comme si on se connaissait depuis l’enfance. Une belle fille avec ce qu’il faut là où il le faut .

Une fois à la maison et après avoir bu un petit rafraichissement, les deux filles, manifestèrent le désir de prendre une douche.

– Allez-y, c’est juste là…

Et voilà que devant mes yeux écarquillés, les deux copines se déshabillent intégralement comme si je n’étais pas là.

Il y avait un bout de temps que je n’avais pas vu ma sœur à poil, et là elle me semblait plus belle que jamais avec ses jolis seins laiteux. Quant à Felicity… Quel joli brin de femme, de belles et interminables cuisses dorées, un postérieur à damner un saint et des nichons parfaits. Alors évidemment je bandais comme un cochon sous ma braguette.

J’espérais rencontrer un regard complice des nanas, mais non, je vous dis, je n’existais pas, j’étais devenu complètement transparent…

Les deux amies pénétrèrent dans la salle de bains, poussant la porte derrière elles mais sans la refermer complètement.

La salle de bain n’est pas insonorisée, pourquoi le serait-elle ? Ce qui fait qu’on peut y entendre ce qui se passe. J’entendis d’abord le bruit de l’eau, puis plus rien, l’eau à nouveau, des rires continus et puis après un quasi-silence des gémissements incongrues.

Je compris alors que ma sœur s’était convertie à l’amour goudou et que les deux donzelles étaient en train de se donner du plaisir. Imaginez l’état de ma bite ! Je me faisais déjà un mini plan : « Quand elles seront ressorties c’est moi qui irais dans la salle de bain et je me ferais une bonne branlette ! »

Bérangère ressortit la première, le corps enveloppé d’une large serviette.

– Alors grand frère, tu t’es bien rincé l’œil ?
– Fallait pas vous déshabiller devant moi !
– Parce que t’as pas remarqué que ma copine te provoquait ?
– Pas du tout !
– Elle m’a dit qu’elle te trouvait mignon ! Si tu veux la sauter, elle en sera ravie !
– Ben vl’a autre chose !
– Profites-en, elle est très gentille, très douce…
– Avec les hommes et avec les femmes ? C’est ça ?
– Très perspicace ! Se gaussa-t-elle.
– Bon, on va voir comment ça va se passer, mais c’est un peu exigu ici… Fis-je remarquer.
– Où est le problème ? Reprit ma sœurette, si vous avez envie de vous envoyer en l’air, je peux aller faire un tour ou aller bouquiner dans la salle de bain. D’ailleurs faut que j’y retourne, j’ai un ongle qui accroche.

Et quelques secondes plus tard Felicity faisait son apparition, revêtue de mon propre peignoir… mais non refermé.

– Si je te plais, on peut s’amuser un peu, toi tu me plais ! Me confie-t-elle avec son accent impossible.

Je ne pensais pas que les choses arriveraient si vite, mais quand l’anglaise me mit la main à la braguette, j’aurais été le roi des couillons de l’envoyer promener. Je lui fis donc un sourire de connivence, ce qui l’incita à me dézipper ma fermeture-éclair, puis à sortir ma bite sa cachette.

– Oh ! Joli ! Ça bande beaucoup !

Je pensais qu’elle allait me sucer direct, non mademoiselle prenait son temps et me branlait délicatement.

– Je vais tout mettre dans ma bouche ! Me prévient-elle.

Elle ne tarda pas à le faire. Le problème c’est que j’étais tellement excité que je risquais de jouir prématurément.

– Doucement, doucement ! La prévins-je

Elle me fit un coup d’œil complice, mais ne put s’empêcher de donner un petit coup de langue sur mon gland. Puis subrepticement, elle se tourna afin de m’exhiber ses jolies fesses.

– Tu veux me lécher le trou du cul ?

Une proposition pareille ne se refuse pas, j’approchais ma langue de sa rosette brune. Evidemment comme mademoiselle sortait de la bouche, au lieu de rencontrer le petit goût suave que le fait bien, je tombais sur une senteur de gel douche parfumée.

– Je peux entrer un doigt ? Demandais-je.
– Tu peux entrer plein de doigts !

J’en ai entré qu’un seul, et j’ai commencé à l’agiter frénétiquement dans son petit trou du cul. Elle a démarré au quart de tour en gémissant comme une chatte en chaleur et a réclamé un deuxième doigt. Qu’à cela ne tienne, je fais comme elle veut. Mais la voilà qui braille de plus en plus fort. Quel tempérament ! Elle piaille comme une malade. Ce n’est pas vrai que je vais la faire jouir par le cul, et si vite ? Ben si ! Elle éclate, je retire mes doigts, Elle est en sueur, les yeux dans le vague.

Elle reste quelques instants comme ça, pas trop longtemps, moins d’une minute. Et sans crier gare, se jette comme une furie dans mes bras, cherche ma bouche.

Comment, elle m’embrasse ! Une vraie sangsue mais je ne vais pas m’en plaindre !

– Tu m’a bien enculé avec tes doigts, tout à l’heure tu m’enculeras avec ta bite !
– Ce n’est pas un problème !
– Je suis une salope, une enculée et ça me plait…
– On se calme, on se calme !
– Tu veux gouter à ma chatte ?
– Oui bien sûr !

Mais elle n’a pas attendu ma réponse, elle s’affale sur le canapé, les cuisses ouvertes et m’attend.

Alors, O.K. je vais m’occuper de son minou, mais auparavant je ne peux faire autrement que de m’occuper de ses beaux nichions, que je caresse, que je lèche, me régalant de ses jolie pointes durcies par l’excitation.

– Oh, mais qu’est-ce qu’il me fait, ce petit cochon ?
– Des bonnes choses, j’espère !

Et je descends vers sa petite chatte. C’est tout trempé là-dedans, une véritable éponge. Je plonge un doigt que j’agite frénétiquement.

– Non, ta langue, je préfère !

Ah bon ! Ce n’est pas un problème, je lèche tout ça, mélange de cyprine et de sueur, gout suave légèrement salé, odeur de rousse, un régal de fin gourmet..

Felicity s’agite, halète… je passe ma langue sur son clitoris érigé, elle s’arcboute, gémit, puis crie, inondant de nouveau son entre jambe.

– Et maintenant, encule-moi !

Pas de soucis, sauf que je me demande si je vais tenir la distance, vu mon état d’excitation. Je vais pour me lever afin d’aller chercher un préservatif dans l’armoire à pharmacie de la salle de bain, mais voici qu’une mignonne petite main m’en tend un, sachet déjà ouvert.

Eh oui, Bérangère n’était pas restée longtemps dans sa cachette et nous regardait avec une main très active sur son petit minou !

J’enfilais la capote sous les yeux de ma sœur et pénétrait la belle anglaise en levrette Je m’enfonçais dans son étroit conduit avec une facilité étonnante et commençait à la pilonner.

– Ne vas pas trop vite !

Je fais ce que je peux ! Mais voilà que contre toute attente, Bérangère vient offrir son petit minou à sa camarade.

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Imaginez mon excitation ! Difficile de me retenir en de telles circonstances. Alors je bouge doucement, tout doucement… tandis que Felicity fait minette à ma sœurette avec délectation.

– Oh ! T’es en panne ! Finit par protester l’anglaise.
– Je vais venir, je suis trop excité !
– Eh bien, viens, mais essaie de continuer après l

Elle en a de bonnes, elle ! Mais bon, je fais comme elle a dit, je reprends mon rythme initial et ne tarde pas à décharger dans la capote quelques courtes minutes après.

Reste le plus difficile, j’attends quelques secondes, puis me remet à remuer afin d’éviter de débander. Miracle, ça fonctionne, même si ma bite devient un peu douloureuse.

De l’autre côté de Felicity, Bérangère est en train de crier sa jouissance, c’est la première fois que je vois ma sœur en train de jouir, ça fait drôle tout de même !

Felicity commence à pousser des gémissements significatifs, voilà qui m’encourage et me motive, j’accélère comme je peux, je sens l’anglaise prête à partir. Ça y est, elle jouit, je me retire fourbu, tandis que les deux coquines se roulent une galoche tellement baveuse qu’elles en ont le menton inondé.

Si j’ai bien compté, la Felicity a joui trois fois ! Quelle santé !

Je me sers un verre d’eau fraiche et allume une cigarette. Les deux filles se chuchotent je ne sais quoi en rigolant comme des bossues, puis se dirigent vers la salle de bain.

– On va pisser ! Me dit Felicity, tu viens ?
– Non, je n’ai pas envie !
– Tu ne veux pas nous regarder ?

N’importe quoi !

– Vous regarder ?
– Ben, oui, allez viens, et puis je suis sûre que tu as une petite envie !
– Non, je vais fumer ma clope !
– Bon tu viens, oui ? On ne refuse pas une invitation ! Intervient ma frangine.

Alors, sans trop chercher à comprendre je les suis, ma salle de bain est assez exigüe, il y a juste un carré à douche, un lavabo et une cuvette de chiotte

Sur place, Felicity entre dans le carré à douche et s’y accroupit, Bérangère entre à son tour, reste debout, écarte les jambes, puis les lèvres de sa chatte. Ma sœur a les yeux rivés sur elle…

Non mais c’est pas vrai qu’elles vont se pisser dessus !:

Ben, si c’est vrai, un jet dru ne tarde pas à jaillir de la chatte de ma petite sœur chérie et à arroser la belle anglaise.

Bérangère ouvre sa bouche. Elle ne va tout de même pas… Mais si ! Devant mes yeux incrédules, la voilà qui boit l’urine de sa copine et qui manifestement s’en régale !

Je ne sais plus où j’en suis, je suis à la fois fasciné par cette scène insolite et scandalisé par la conduite de ma sœur.

Et pour l’instant c’est le deuxième sentiment qui domine, sans pouvoir me contrôler, je hurle.

– Mais ce n’est pas possible, Bérangère ! T’es devenue une vraie pute ! Et c’est l’autre salope qui t’a perverti !

Evidemment ça jette un froid.

– Quand t’as enculé ma copine tu faisais moins de chichi ! Me rétorque la frangine.
– C’est pas parce que j’ai eu un moment de faiblesse que… Et puis je ne vous dois aucune explication. Rhabillez-vous, foutez-moi le camp et allez faire les putes ailleurs !

Et je quitte la salle de bain, fier comme un petit banc (je sais) vais me rhabiller et fais semblant de m’intéresser à « l’Affaire Tournesol » qui trainait sur une étagère.

Ces demoiselles qui se sont évidemment concertées en chuchotant, puisque je n’ai rien entendu, sortent à leur tour à poil et comme si j’étais de nouveau transparent se rhabillent en silence, puis elles s’emparent de leurs valises et disparaissent de mon studio.

Et voici donc le temps de la réflexion. Je me dis que j’y suis allé un peu fort de les mettre à la porte, mais bon, on est impulsif ou on ne l’est pas. Il n’est pourtant pas dans mes intentions de me fâcher avec ma sœur. Alors je fais quoi ? Attendre quelques jours et lui téléphoner ? Que faire d’autre ? Et en attendant je me sers un whisky bien tassé.

Et voilà qu’on sonne !

J’ouvre ! C’est Bérangère !

– Je ne fais que passer, j’ai oublié mon sèche-cheveux !

Elle part dans la salle de bain, revient avec un sac en plastique, il ne me semble pas qu’il contienne l’objet en question, ce retour était donc une feinte !

– Ce n’était pas la peine de te mettre dans un état pareil ! Je suis très déçue ! Me déclare-t-elle.

J’ai donc le choix entre m’enfermer dans mon mutisme ou répondre, ce qui ouvrira une discussion à l’issue incertaine.

– C’est moi qui suis déçu ! J’ignorais que ma sœur était devenue une salope !
– Primo la salope elle t’emmerde ! Secundo, monsieur est tout content de baiser ma copine, et en ma présence en plus, mais il est dégoûté parce qu’on s’amuse à des jeux de pipi ! Y’aurait pas quelque chose d’illogique quelque part ?
– Mais…
– J’ai pas fini… Et tertio, ce qu’on fait avec Felicity, ça ne fait de mal à personne. Dans mes souvenirs tu n’étais pas homophobe à ce que je sache ?.
– La question n’est pas là ! Fallait pas m’obliger à regarder !
– Pourquoi, c’est sale, le pipi ?

Et toc ! Je ne sais pas quoi répondre. Ou bien je m’incline ou alors je joue la mauvaise foi, ce qui à terme est toujours contre-productif. Donc je biaise.

– Mets-toi à ma place, ça fait drôle quand même !
– Donc la question maintenant, c’est : est-ce que tu vas t’en remettre ?
– Je crois que je devrais m’en remettre.
– Felicity m’attend en bas, je lui dis de remonter ou pas ?
– Oui, viens me faire un bisou !
– D’accord mais je lui téléphone d’abord !
– J’aimerais peut-être parler avec toi un petit peu.

Elle téléphona donc à sa copine :

– Ça s’arrange, je te dirais quand tu pourras remonter, bisous !

Un ange passe, Bérangère retire son manteau, je fais du café et lui en propose un.

– C’est ta copine anglaise qui t’as transformé comme ça ?
– Mais pas du tout, il y a longtemps que j’avais mon petit jardin secret mais je ne voyais pas trop comment t’en parler. L’amour entre filles ça date du lycée, les jeux de pipi aussi, d’autres trucs aussi, les godes, les petits jeux de domination… Ça va, j’ai répondu ?
– On en apprend tous les jours !
– N’est-ce pas ? Dis-moi, une question : si je n’étais pas ta sœur, tu me baiserais ?
– Possible, oui !
– Et ça change quoi, que je sois ta sœur ?
– C’est de l’inceste !
– Ce n’est pas une réponse, ça, tu me réponds par un mot, je m’en fous des mots. Si on baisait ensemble où serait le mal ?
– Bon, c’est quoi cette discussion ? Je n’ai pas envie de baiser avec toi, si c’est ça que tu veux savoir !
– Tu te contredirais pas un peu, là ?
– Bon on arrête ?
– O.K.. j’arrête, je te propose un truc ! Quand je ferais l’amour avec Felicity tu n’auras qu’à regarder, et si tu veux nous rejoindre, on te laissera une petite place. Mais tu ne seras pas obligé de me toucher ! Ça te convient ?
– Ouais, c’est ça, on verra…

Je ne suis pas complètement idiot, je me doute bien qu’en me faisant cette proposition lubrique, Bérangère se dit que complètement excité à la vue de ce spectacle annoncée, je ne pourrais m’empêcher de m’approcher et qu’immanquablement l’engrenage effectuera son travail.

Sur quoi, elle se fout le doigt dans l’œil. Il me suffira de trouver un prétexte pour décliner l’invitation à regarder et l’engrenage ne pourra pas fonctionner.

Felicity est donc revenue comme s’il ne s’était rien passé et s’est mise à baragouiner en English avec ma sœur, comme je ne maîtrise pas bien la langue je n’ai pas suivi. J’ai essayé de lire mais n’ai pu me concentrer, je suis donc allé faire un tour en indiquant à ces demoiselles que j’en profiterais pour ramener de quoi diner pour le soir.

– Des sushis, ce serait sympa ! A proposé Bérangère.

Le soir après avoir trainé à table, Felicity et ma sœur ont commencé à se faire de petits câlins innocents, puis à s’embrasser sur la bouche. Quand elles ont entrepris de se peloter de façon plus poussée, j’ai compris comment cela allait se terminer, j’ai donc débarrassé la table et lavé la vaisselle.

Entre temps, les deux coquines avaient gagné le canapé et commençaient à se débrailler sévère. Fidèle à mes résolutions, j’enfilais un blouson et m’apprêtais à me chausser pour aller faire un tour dans le quartier, quand Felicity m’interpella :

– Tu t’en vas ?
– Je vais faire un tour, je reviens dans une petite heure.
– Tu n’as pas envie de nous regarder, alors ?
– Non !
– Pourquoi, on est moches ?
– La question n’est pas là, je vous laisse entre femmes.
– Reste, ça nous fait plaisir ! Tu n’as pas envie de nous faire plaisir ?
– Bon, à tout à l’heure !
– Tu sais que Felicity est ceinture noire de judo ? Intervint Bérangère, restée silencieuse jusqu’alors.

J’avoue ne pas comprendre cet aparté, mais ma sœur tint à préciser :

– Si tu t’en vas, on t’attrape et on te ligote sur une chaise !
– Tu veux vraiment que nos rapports se détériorent ?
– Je plaisantais, voyons, assis-toi sur une chaise, regarde-nous et quand tu en auras marre et bien tu iras faire un tour.

Et tout en disant cela Bérangère caressait le gentil téton de Felicity.

Bon, ma résolution est déjà ébranlée, rester cinq minutes, c’est rester tout le temps avec les conséquences que j’imagine. Et voilà que ma bite commence à bander.

Putain, je ne suis quand même pas pris dans un piège, il me suffit de me diriger « courageusement » vers la porte d’entrée…

– Ils sont beaux les nénés de ma copine ! Minaude Bérangère avant de le lui sucer le téton.

Bon, allez, on ne vit qu’une fois, je m’assois et trouve tout de suite un plan B. Je vais me branler en les regardant et je vais m’arranger pour jouir avec ma main afin d’éviter de les rejoindre. Donc, je sors ma queue et commence à me caresser.

Changement de tableau chez les deux nanas, Bérangère est descendue s’engouffrer entre les jolies cuisses de l’anglaise et lui broute le minou. Le souci c’est que je ne vois rien du tout. Après tout, tant mieux, moins j’en verrais, moins je serais excité.

Je ne vois rien mais j’entends et je dois dire que les miaulements de jouissance de l’anglaise ne me laissent pas de marbre. Et la voilà qui hurle, Bérangère se recule puis vient rouler une pelle à sa partenaire. Puis après quelques secondes de répit, Felicity entraine ma sœur sur le tapis.

J’allais protester me disant qu’elles allaient le saligoter si elles se mettent à mouiller comme des soupes, mais je me dis que de toute façon il faudra que je le fasse shampouiner

Bérangère se tourna me montrant son cul tandis que l’anglaise le prit en main ! Cette fois-ci je ne ratais rien, la vue imprenable sur la chatte ouverte de ma sœur se faisant doigter copieusement par sa camarade. Puis quand les doigts furent bien lubrifiés, ils pénètrent son délicieux petit anus marron, puis ressortirent après une bonne minute de va-et-vient. Sans se soucier le moins du monde de l’état où ils étaient, la belle british les suça avec une gourmandise évidente ! Quelle cochonne !

Et c’est maintenant la langue qui entrait en action, Bérangère trouvant la position peu pratique et souhaitant une réciprocité dans ce genre de choses, les deux coquines se mirent spontanément en soixante-neuf, et cela jusqu’à ce qu’elles jouissent, bien bruyamment et en mouillant mon tapis.

Quant à moi, j’avais toujours ma bite dans la main, pour l’instant on ne m’avait fait aucune sollicitation, mais ça pouvait encore venir, aussi accélérais-je les mouvements de ma main.

Messe basse entre les deux filles… Elles complotent quelque chose, j’ai intérêt à jouir avant la catastrophe prévisible.

Mais je suis rassurée quand je constate que c’est Felicity qui vient vers moi !

– Enlève tes mains, je vais m’occuper de ta bite…

A quatre pattes, elle rampa jusqu’à moi et emboucha ma queue. Bérangère arriva derrière elle, sans que je puisse voir ce qu’elle y faisait, mais les commentaires de l’anglaise me l’apprirent.

– Hum, sucer une bonne bite en se faisant lécher le trou du cul ! C’est si bon !
– Je sens que ça vient ! Prévins-je.
– Alors on fait une petite pause !

Felicity se leva et alla chercher son paquet de cigarettes. Je ne bougeais pas de mon siège et les deux filles tout en clopant se caressaient les seins. Un spectacle qui ne me fit pas débander, vous vous en doutez bien.

L’anglaise me demanda de me mettre à poil et de me coucher sur la moquette.

– Parce que ?
– C’est une surprise, laisse-moi faire ! Répondit la jolie rousse,

J’obtempérais, ne conservant que mes chaussettes, je réalisais après coup que si Bérangère avait prévu un traquenard, ma position rendrait ma fuite plus difficile, plus difficile, mais pas impossible, je pourrais toujours me réfugier dans la salle de bains…

Felicity commença par me caresser le torse et sans que j’y prenne gare me pinça les tétons, une caresse que j’apprécie, non seulement je me laissais faire mais lui demandais de le faire plus fort.

Puis elle s’empala l’anus sur ma bite et commença à monter et à descendre en de lents mouvements ! Quelle sensation !

Quant à Bérangère, elle regardait le spectacle et sans doute inconsciemment le fait d’être observé par ma sœur accroissait mon excitation.

Et soudain, et de façon complètement inentendue, la main de ma sœur vint caresser mes couilles.

Contre toute attente, ce geste me fit venir au bord de la jouissance, ma partenaire n’ayant pas changé de rythme, c’est moi qui en pratiquant des mouvements de bassin tentait d’en finir.

– On se calme ! Me dit l’anglaise qui tout en restant empalée cessa tout mouvement.

Et voilà que ma sœur, complètement déchaînée se mit à califourchon sur mon visage !

– Non ! Protestais-je.
– Juste un peu !

Imaginez, j’avais sa jolie chatte pleine de mouille parfumée, à moins d’un demi-centimètre de mes lèvres C’est pratiquement par reflexe que j’ouvrais la bouche et que ma langue se mit à lécher tout ça.

– Vas-y, grand frère, bouffe-moi la moule !

Je ne sais plus où j’en suis, il n’y plus de plan A, il n’y a plus de plan B, je lèche ma sœur, mais ça s’arrêtera là et nous aurons une bonne explication après, non mais dès fois !

– Mets-lui un doigt dans le cul. Elle adore ça cette salope ! Me suggéra l’anglaise.

Bon, je peux faire ça aussi, son petit cul est tellement bandant. Le doigt entra comme dans une motte de beurre.

– C’est trop bon, continue, encule-moi avec tes doigts ! Me dit-elle

Et pendant que je doigtais l’anus de ma sœur, Felicity reprit ses mouvements de va-et-vient, elle ne tarda pas à haleter, alors ne me retenant plus je me laissais aller et inondait son conduit réalisant alors que j’avais complètement oublié le préservatif.

Je déculais, sortait ma bite polluée de sperme et d’un peu de merde, l’anglaise s’empressa de me nettoyer tout cela de sa petite langue agile sous les yeux concupiscents de Bérangère. Je vous dis, elles sont frappées !

Je quittais ces deux furies et m’en allait boire un grand verre d’eau. J’étais assez dubitatif, d’un côté je n’avais pas été capable de tenir mes engagements et m’était laissé entrainer dans une spirale de stupre. Mais d’un autre côté, je n’avais pas été jusqu’un bout, c’est vrai qu’on ne m’avait pas sollicité en ce sens, je m’étais contenté, si l’on peut dire, de lécher et de doigter ma sœur.

Alors ? Y aura-t-il une suite ? Il me parait évident que les deux nanas vont essayer de m’entrainer plus loin, ce sera à moi de stopper net.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Dimanche 13 mars 2022 7 13 /03 /Mars /2022 16:37

Un chien pour l’été par Elian Lvekman
zoo

 

Au mois de juin, un de mes amis m’a demandé si je consentais à garder son chien durant le mois de juillet car le camping où il partait n’acceptait pas les animaux.

Ne pouvant partir cette année, je lui répondis que c’était d’accord si son chien, Sammy, était bien dressé et si je ne risquais pas de problèmes au niveau du jardin

Il me répondit, avec un petit sourire, que Sammy ne préférait rien tant que de rester couché et qu’il avait bénéficier d’un dressage parfait. Je lui confirmais donc que c’était OK

Le soir même, je prévenais ma femme, Chantal, que nous aurions un compagnon à quatre pattes durant l’été. La nouvelle ne fut pas acceptée aussi bien que je le croyais mais, étant donné que j’avais donné mon accord, elle fit contre mauvaise fortune bon cœur.

Le 1er juillet au matin, mon ami arriva pour nous amener sa bestiole. Jaillit du coffre un superbe labrador noir en pleine force de l’âge. Il était véritablement magnifique. Je dis « il » car la paire de bourses qui pendait entre ses cuisses ne laissait aucun doute sur son sexe.

En découvrant le chien, Chantal. faillit dire à mon pote qu’il était hors de question de le garder mais il était un peu tard pour faire machine arrière.

Sammy vint vers nous très gentiment en remuant la queue. Il avait l’air très doux et nous nous mimes à le caresser. C’était vraiment un superbe animal, à la musculature puissante mais au caractère calme et affectueux. Il nous lécha les mains de sa large langue râpeuse puis parti faire le tour du jardin

Après nous avoir passé les consignes pour la nourriture, l’exercice, les sorties, etc …, mon ami nous dit avec un grand sourire :

– Et surtout ne vous fiez pas à son allure, il est excessivement câlin, surtout d’ailleurs avec les femmes !

Sur ces paroles, il reprit sa voiture et nous laissa seuls avec notre nouveau compagnon

Je m’aperçus dès le soir même de ce qu’il avait voulu dire par là

La journée se passa sans problèmes, Sammy obéissant parfaitement bien aux ordres que nous lui avions donné, revenant vers nous dès que j’utilisais le sifflet à ultra-sons que m’avait confié mon copain. Il m’avait expliqué comment me servir de cet engin inaudible pour les humains, un coup bref suffisant pour que Sammy arrête aussitôt ses galopades et revienne bien sagement au pied

Le premier soir, Chantal. et moi nous installâmes sur le canapé pour regarder un film à la télé. Sammy vint se mettre à côté de nous. Au bout d’un court moment, il posa sa large tête sur les cuisses de Chantal., le museau tout proche de l’entre-jambes de ma femme. Il resta là sans bouger. Chantal. lui caressa doucement le crâne, ce qui eut l’air de lui plaire. Il bougea un peu et poussa sa truffe plus avant entre les cuisses de Chantal. Celle-ci, compte tenu de la chaleur ambiante portait une jupe légère et relativement courte ainsi qu’une culotte blanche très classique. Je savais toutefois que la température devait provoquer l’exhalaison de cette merveilleuse odeur de rousse, parfum dont je ne me lasse jamais d’apprécier lorsque je fais un petit câlin à Madame.

Le postérieur de Sammy était de mon côté et je caressais son dos depuis tout à l’heure. Au moment où il approcha son museau du sexe de Chantal., je sentis ses muscles se contracter. Doucement, il commença à se frotter contre mes genoux qui arrivaient sous son ventre, son sexe se mit à grandir. A voir la taille de ses couilles, je m’étais déjà dit qu’il devait être bien monté. Mais, à sentir ce que je sentais maintenant contre moi, je m’aperçus que je ne m’étais pas trompé.

Par curiosité (et par vice), je passais la main sous le ventre du chien et attrapait un braquemard palpitant et chaud. Chantal N’avait rien paru remarquer de ma manœuvre et continuait de passer doucement la main sur la tête de Sammy qui, lui, continuait à renifler la chatte de ma femme

J’avoue que mon esprit vicieux commença à travailler et je comprenais de mieux en mieux ce qu’avait voulu dire mon copain quand il parlait du caractère câlin de son chien avec les femmes.

En avançant sa truffe, Sammy avait remonté la jupe de Chantal. Jusqu’à son slip. Ses cuisses étaient donc nues et le chien en profita pour donner de grands coups de langue sur cette chair offerte. Chantal. qui, à première vue, n’avait pas encore constaté l’état d’excitation du chien, poussa un soupir étouffé en sentant la langue de Sammy passer et repasser sur ses cuisses. Elle me jeta un rapide coup d’œil, que je fis mine de ne pas remarquer semblant être très intéressé par le film, puis regarda droit devant elle, fixant la télé d’un œil plutôt glauque !

Je faisais semblant de ne rien remarquer de l’état de Chantal. Par contre, je continuais à manier doucement la bite de Sammy qui avait maintenant atteint une taille équivalente à celle d’un homme. Il bougeait son cul comme s’il était en train de se faire une chienne et Chantal. n’allait pas tarder à constater cet état de choses. Voulant vérifier la manière dont les choses pouvaient évoluer, je poussais le chien, me levais et dit d’un ton détaché :

– Je vais aux toilettes et je risque d’en avoir pour un petit moment !

Chantal me répondit d’une voix un peu voilée qu’elle continuait à regarder le film et que je pouvais prendre tout mon temps.

Je sortis de la pièce, ouvris la porte des chiottes et la refermais bruyamment. Tout doucement, je revins vers le salon et, me mettant à quatre pattes, passais la tête par la porte. Je savais que Chantal. ne pourrait me voir car j’étais dans l’axe du gros fauteuil. Par contre, d’où j’étais, je voyais tout ce qui se passait dans la pièce.

Chantal ne bougeai pas, continuant à laisser le chien lui lécher les jambes. Puis, doucement, je vis sa main descendre, remonter sa jupe jusqu’au nombril et s’infiltrer dans son slip. Ses doigts commencèrent à bouger, son souffle s’accéléra. Sammy continuait imperturbablement ses coups de langue mais ceux-ci se rapprochaient de plus en plus du slip que je devinais en train de se détremper sous l’action de la mouille de ma femme.

Chantal repoussa la tête du chien et se leva. Je me dis que tout était fini mais bien au contraire. Sammy sauta sur le canapé et s’assit, dévoilant alors au regard de ma femme son sexe rouge et gonflé.

Chantal fixa son regard sur cette superbe bite d’un œil étonné et une expression curieuse envahit son visage. Certaine que j’étais toujours aux toilettes, elle dégrafa sa jupe et passa ses mains dans son slip qu’elle fit descendre le long de ses jambes. Je voyais sa toison rousse coupée court, ses lèvres toutes gonflées et je savais que son bouton était bien décalotté de sa gangue de chair rose.

Elle se rassit et, écartant largement les jambes, se remit à se branler en regardant avec attention la bite de Sammy. L’index de sa main droite tournait sur son bouton, deux doigts de sa main gauche s’enfonçant dans son vagin dégoulinant. Sammy, excité par l’odeur de mouille, pencha sa tête vers la chatte offerte. Chantal arrêta sa masturbation et écarta ses lèvres de ses deux mains.

Je vis la langue du chien se poser sur la chair rose et remonter vers le clitoris tendu. Chantal gémit de plaisir sous cette caresse insolite. Après quelques coups de langue sur sa chatte, elle leva la jambe droite et posa le pied sur le dossier du canapé. Puis elle écarta ses fesses de ses mains pour dégager son trou du cul.

La langue de Sammy allait et venait entre l’anus et le clito de Chantal couvrant toute la surface à chaque fois. Chantal gémissait de plus en plus fort et trémoussait son corps sous le plaisir que lui procurait le chien. Sa main empauma sa motte et elle se branla le clito avec force jusqu’à ce qu’éclate sa jouissance.

Sammy se mit debout sur le canapé et, s’approchant de Chantal, fit mine de la couvrir. Il n’y arriva toutefois pas mais se mit à frotter sa bite contre les cuisses de ma femme. Cela dura juste quelques instants puis je vis jaillir des flots de foutre qui vinrent inonder l’entre-jambes de Chantal.

Le chien se retira tout de suite mais Chantal se barbouilla la chatte de cette liqueur grasse et bouillante et se rebranla avec jusqu’à ce qu’une nouvelle jouissance la terrasse.

Je me relevais alors et me dirigeait vers le canapé où gisait Chantal. Inutile de dire que mon pantalon était distendu par une érection qui me faisait mal tellement j’étais tendu.

Chantal, allongée les jambes ouvertes et les poils encore poisseux de sperme, ouvrit les yeux et me dit :

– Je suppose que tu as tout vu ? Tu sais, c’est l’un de mes fantasmes depuis toujours, je n’ai pas pu résister. Tu ne m’en veux pas ?
– Pas du tout, ma chérie. Au contraire, je dois dire que j’ai pris un très vif plaisir à te voir faire. D’ailleurs regarde !

Et j? Ouvris ma braguette, libérant mon sexe bandé.

– Mets-le moi, j’ai envie d’être prise, de sentir ta bite dans ma chatte !

Me débarrassant à la hâte de mon pantalon et de mon slip, je me glissais entre ses jambes ouvertes, sentant contre mon ventre le jus laissé par Sammy et m’enfonçait d’une longue poussée dans ce ventre si accueillant. En même temps que je labourais la chatte de Chantal, je l’imaginais en levrette prise avec force par le chien. J’étais tellement excité que je lâchais rapidement tout mon plaisir dans la vulve chaude, ce qui provoqua un nouvel orgasme de ma partenaire.

Sammy, lui, s’était couché sous la table basse et récupérait de ses efforts.

– Tu sais, dis-je à ma femme, je crois que ce mois de juillet va être particulièrement agréable !

Et, sur ces bonnes paroles, nous sommes montés nous coucher, laissant le chien dormir dans la cuisine.

Quelques jours passèrent sans que nous reparlions de cette soirée on ne peut plus érotique. Sammy s’était conduit de manière parfaite, calme et pas dérangeant du tout, sachant toutefois que nous le laissions désormais dans la cuisine quand nous regardions la télé. C’était, hormis le salon du premier soir, la seule pièce qu’il connaissait dans la maison.

Mais, quand vint le dimanche soir, soirée traditionnelle pour nos petits câlins, je demandais à Chantal

– Veux-tu que ce soir, pour pimenter un peu, nous soyons trois au lit. Sammy doit s’ennuyer sans toi. Et puis, on ne l’a jamais laissé monter dans la chambre ?
– J’ai un peu peur de ce qui pourrait se passer mais fais comme tu veux. Si tu souhaites qu’il recommence comme la dernière fois, pas de problèmes !

A vrai dire, non seulement j’espérais qu’il allait recommencer ses coups de langue mais j’escomptais bien qu’il aille plus loin encore, avec mon aide si besoin est.

Le soir venu, nous sommes allés nous coucher sans avoir reparlé du chien. Sachant ce qui se préparait, j’avais déjà planqué sous mon oreiller un gode et un tube à cigares dont nous nous servons souvent pendant que je me branle au-dessus de Chantal.

Une fois au lit, et après avoir lu un peu, Chantal posa son bouquin et, me tournant le dos, me dit :

– Tu sais que j’aime bien tes caresses dans le dos !

Je me mis immédiatement à l’ouvrage, passant mes mains le long du dos de Chantal, massant ses épaules, ses reins, ses côtes et, descendant petit à petit vers ses fesses. Sachant qu’elle est très sensible à ce genre d’attouchements, j’y mis tout mon cœur afin de la chauffer un maximum. Quand je sentis son cul se contracter sous mes mains, je lui écartais les fesses et commençais à passer ma langue autour de son anus odorant. Ma salive coulait sur son petit trou, la pointe de ma langue la titillait et je sentais l’excitation la gagner peu à peu.

Elle se mit sur le dos pour m’offrir son ventre et sa chatte qui était déjà bien humide. Ma tête vint se loger entre ses cuisses et j? Entrepris un léchage en bonne et due forme de sa fente. Bien que très attentif à ce cunnilingus, je ne cessais de penser au troisième objet caché sous l’oreiller, c’est-à-dire le fameux sifflet à ultra-sons que m’a confié mon copain pour appeler Sammy.

Quand je sentis que ma femme était vraiment bien émoustillée, je pris le tube à cigare et tout en continuant à la lécher, j? Enfonçais doucement ce mini-gode dans sa chatte grande ouverte. Je la branlais lentement et profondément. Je sentis ses hanches commençaient à rouler. Je savais qu’elle pensait à autre chose sous ses paupières closes. Aussi, je la fis retourner sur le côté, écartais ses cuisses au maximum et la branlais de plus en plus vite. Lançant ma main sous l’oreiller, je ramenais à mes lèvres le fameux sifflet et en tirait un son bref qui, je l’espérais, ne manquerait pas de faire venir le troisième intervenant à la soirée.

Le cul de Chantal faisait face à la porte, complètement écartelé, et, quand j’entendis le bruit des pattes de Sammy dans l’escalier, je sentis ma bite, qui était déjà dans un état extrême, se tendre encore davantage. Chantal avait dû entendre elle aussi le chien arriver car tout son corps se tendit d’un coup, sa bouche laissant échapper un léger gémissement. Le chien passa la tête dans la porte et n’hésita pas une seconde à s’approcher du lit. Il approcha sa truffe du cul offert et se mit à renifler la mouille qui coulait du vagin de Chantal.

Sa bite commença à sortir de son fourreau poilu et se mit à tressauter. Rapprochant encore son museau, il se mit à lécher à grands coups de langue ce que je lui offrais en pâture. Chantal se tordait sous le plaisir que Sammy lui procurait. Elle dit :

– Oh, c’est bon, il me lèche bien, écarte-moi plus, je veux sentir sa langue partout !
– Attends, laisse-moi faire !

Chantal, écartant à regret la tête de Sammy, se releva et, me regarda avec des yeux voilés par le plaisir. Je fis monter le chien sur le lit, s’allonger puis, lui attrapant les pattes, se coucher sur le dos. Je n’en revenais pas de la taille de ce sexe gonflé, turgescent et où pointait une goutte de foutre.

– Viens te mettre au-dessus de lui maintenant, je crois qu’il aimerait bien une petite caresse !

Se mettant à quatre pattes, Chantal vint se mettre en position de 69 au-dessus du chien et abaissa sa croupe jusqu’à son museau. Sammy, qui n’avait pas l’air d’être gêné par cette position, fit aussitôt jaillir sa langue et reprit ses activités sur la chatte de Chantal. Celle-ci avança doucement la main vers le braquemart et, l’empoignant, se mit à le branler

– Tu crois que je peux le sucer ?
– Mais bien sûr, ne te gêne pas, au contraire !

Elle abaissa alors son visage de plus en plus près du sexe tendu du chien et, lui agrippant les couilles d’une main, passa sa langue le long de la bite. Agenouillé à côté d’elle, je me branlais comme un fou. Enfin, elle ouvrit la bouche et enfourna le sexe du chien. Elle avait du mal à faire entrer cette bite tellement elle était gonflée. Seul le bout trouvait place entre ses lèvres et elle le pompait avec ardeur.

Ne tenant plus devant ce spectacle, je me positionnais derrière Chantal et, l’empoignant par les hanches, pénétrait sa chatte d’un coup presque brutal. Sa vulve était bouillante et ruisselait de son plaisir. La bouche pleine, Chantal ne put qu’émettre un long gémissement.

Je commençais à aller et venir en longs coups de reins. Je sentis soudain la langue râpeuse de Sammy sur mes couilles. Il léchait tout ce qu’il pouvait, aussi bien les lèvres de Chantal que ma pine quand elle ressortait. Ce contact était particulièrement excitant et je ne pus tenir plus longtemps. Je m’enfonçais au plus profond du ventre de Chantal et laissait couler mon foutre chaud dans son vagin trempé. Chantal lâcha la bite du chien et poussa un grand cri de plaisir.

Me retirant, je m’approchais d’elle et lui dit :

– Je suis sûr que tu as encore envie de te faire prendre ! Laisse Sammy se relever et remets-toi à quatre pattes. Je m’occupe du reste !

Chantal se releva et, dans le même mouvement, Sammy se remit sur ses pattes. Il était impressionnant sur le lit et je pouvais voir son mandrin rouge et luisant de la salive de ma femme, raide comme un bout de bois. Ses reins allaient et venaient comme si, déjà, il était au plus profond du ventre qui ne demandait qu’à l’accueillir.

Chantal Sammy

Chantal se mit en levrette, le cul levé, les cuisses largement écartées, la tête posée sur le matelas ce qui faisait encore plus ressortir l’écartèlement de sa chair. Je pris Sammy par son collier et l’amenait derrière Chantal. Il grimpa immédiatement dessus, ses pattes de part et d’autre du torse de Chantal. Ne voulant pas qu’il décharge immédiatement, je retenais ses reins et, passant sous son ventre, ma main attrapa son énorme bite. Je la guidai vers le sexe de Chantal et frottais les lèvres rouges avec le bout. Positionnant la pointe de cette verge juste devant l’ouverture béante du vagin, je lâchais le chien.

Sammy se mit immédiatement à remuer les reins à toute allure, pilonnant profondément la chatte de Chantal à grands coups. Celle-ci se mit à crier « Oui, oui, oui ! ». Elle jouissait comme une folle, lançait son cul en arrière pour s’empaler encore plus profondément. Je me penchais afin de voir encore mieux ce magnifique spectacle. Je voyais ce bout de chair rouge entrer et sortir, coulisser entre les lèvres écartelées. La bite de Sammy était non seulement de taille humaine mais présentait un renflement au milieu qui devait frotter et exciter encore plus les parois vaginales de Chantal.

Je bandais à en exploser. Le chien, au bout de deux ou trois minutes, se mit à ralentir ses coups de reins et Chantal me dit :

– Il jouit, il coule, c’est chaud !

Sammy se retira et de la chatte béante je vis jaillir un véritable flot de sperme. Chantal était encore sous le coup de la jouissance intense qu’elle avait ressentie. Je n’en pouvais plus tellement j’avais envie de la prendre encore brûlante de ce foutre. Je la fis s’allonger sur le dos et enduisit copieusement son anus de la liqueur canine puis, présentant le bout de ma pine devant cet orifice, je la pris par derrière.

Au point où elle en était, elle n’émit qu’un petit cri et releva ses cuisses afin de me faciliter le passage. Je m’enfonçais dans son anus et au bout de quelques allers et retours, je laissais couler mon plaisir.

Après une telle expérience, nous nous blottîmes dans les bras l’un de l’autre et nous endormîmes, notre compagnon s’étant allongé quant à lui par terre au pied du lit.

Inutile de vous dire que le mois de juillet fut assez fertile en expérience. Début août, Sammy repartit chez son maitre qui, avec un sourire complice, me demanda si tout c’était bien passé. Je lui répondis que oui.

– Tu serais d’accord pour qu’on achète un chien me demanda Chantal, peu après.
– Mais bien sûr, ma chérie !

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Jeudi 3 mars 2022 4 03 /03 /Mars /2022 14:05

Corina, ma Thaïlandaise aux doigts de fée
par Elian Lvekman
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Je me prénomme Eric et j’ai 23 ans. Pour mes études je suis allé faire un stage de deux semaines en Thaïlande, après ce temps, je m’octroyais huit jours supplémentaires, mais de vacances cette fois. Je logeais chez l’habitant et dans ma famille d’accueil, il y avait une interprète au nom imprononçable se faisait appeler Corina. Cette superbe eurasienne de père italien et de mère thaïlandaise traduisait les conversations entre la famille et moi. Ses cheveux droits, de couleur ébène, étaient attachés au bas de sa nuque, et de fines mèches retombaient sur son visage dans un tourbillon léger. J’étais subjugué par sa beauté et ses yeux en amande laissaient entrevoir son regard marron, brillant et sensuel. Ses lèvres fines et bien dessinées étaient enduites d’un baume naturel qui rendait sa bouche exquise merveilleusement attirante. En outre, elle dégageait une odeur très subtile de fleurs des champs. Je l’imaginais douce et sensuelle.

Ce soir-là nous étions tous dans un restaurant réputé de Bangkok. Elle était assise à mes côtés et j’avais de la difficulté à me concentrer sur la conversation. Je la regardais continuellement du coin de l’œil. Même sa façon de manger me rendait fou de désir pour elle. J’ai toutefois fait honneur à ce repas préparé avec brio et, juste avant de partir, j’ai subtilement glissé un petit mot à Corina. Elle l’a enfouie dans sa poche discrètement et nous sommes partis chacun de notre côté. Sur le message, je l’invitais à souper le lendemain soir au même restaurant et, au cas où elle ne pourrait venir, j’y avais indiqué mon numéro de téléphone. Elle m’a fait un grand sourire et a baissé les yeux timidement.

Le lendemain, fidèle au rendez-vous, j’attendais depuis près d’une heure dans l’établissement désigné et je commençais à désespérer de la voir venir. Comme je m’apprêtais à commander mon repas, elle est arrivée et a pris place en face de moi, très gracieusement, en s’excusant de son retard. Sa seule présence à ma table me faisait oublier l’heure que j’avais passée à l’attendre. Elle avait un chemisier en soie rouge et une jupe courte noire qui s’attachait sur le côté avec des lacets. Elle avait les cheveux attachés au creux de sa nuque en une sorte de chignon avec l’aide d’un ruban rouge flamboyant qui contrastait avec la couleur de sa chevelure.

Nous avons mangé un repas de spécialités locales et Corina s’est moquée gentiment de moi tout au long du souper parce que j’avais quelques peines à articuler les fameuses baguettes. Après ce repas, et afin de m’en remercier, elle m’a invité chez elle pour terminer la soirée. Nous avons abondamment parlé de décoration et de l’art du design intérieur thaïlandais et elle désirait me faire visiter son appartement. Sur des cousins, je me suis allongé par terre avec un verre qu’elle m’a servi; une boisson alcoolisée. Corina s’est allongée à mes côtés et elle s’est mise à me masser les épaules. Je sentais la chaleur de ses mains à travers le tissu de ma chemise. Elle semblait donner de l’énergie à tout mon corps fatigué. Puis, elle a déposé un léger baiser dans le creux de mon cou. Il n’en fallait pas plus pour allumer mon corps en entier.

Je me suis retourné vers elle et je l’ai embrassée sur la bouche. J’y mettais beaucoup de tendresse, mais mes pulsions se contrôlaient difficilement. J’avais véritablement envie d’elle. Ma queue dressée depuis l’instant où elle avait posé ses mains sur moi. Je promenais mes lèvres sur les siennes et ma langue s’insérait délicatement dans la chaleur de sa bouche. Mes mains se promenaient partout sur son corps. Je caressais ses mignons petits seins par-dessus son chemisier. Je sentais raidir la pointe de ses mamelons au fur et à mesure que je les touchais. Puis, je me suis éloigné d’elle et j’ai tiré sur la boucle de ses cheveux pour libérer son chignon. Ses cheveux sont alors retombés sur ces épaules très gracieusement. J’ai inséré ma main dans sa chevelure d’ébène et j’ai attiré sa bouche contre la mienne. J’ai repris possession de ses lèvres et de sa langue avec passion. Elle répondait à mes baisers avec autant de ferveur que moi. J’avais l’impression que nos corps s’attiraient comme des aimants.

J’ai commencé à déboutonner les minuscules boutons de son chemiser, mais elle m’a arrêté. Elle m’a demandé de m’allonger et de me laisser faire. Elle voulait me montrer comment faire l’amour à la Thaïlandaise. J’ai suivi son conseil et je me suis allongé par terre, sur les doux cousins de soie. Elle a déboutonné ma chemise et m’a débarrassé de mon pantalon et de mes sous-vêtements. Elle s’est dévêtue aussi, mais elle a gardé sa petite culotte et son soutien -gorge, tous deux de couleur rouge. Je voyais parfaitement ses mamelons foncés émerger de la dentelle écarlate et ça m’excitait au maximum. Elle m’a pratiqué un massage très particulier. Ses mains courraient sur mon corps et je sentais se détendre mes nerfs dorsaux sous la faible pression de ses paumes.

Elle a glissé ses mains sur mes fesses et elle les a tapé légèrement du revers de la main. Puis, elle a inséré deux de ses doigts entre mes fesses, et elle a massé délicatement les muscles de ma raie, de mon anus, de mes testicules. Un doigt a pénétré mon anus. On ne m’avait jamais prodigué cette fantaisie, mais je ne protestais pas, me trémoussant de plaisir. Je sentais monter en moi des sensations nouvelles. Je prenais un plaisir fou à me faire dorloter par cette ravissante femme. Je me suis retourné sur le dos pour qu’elle constate que ses caresses portaient fruit. Elle a souri en voyant ma queue, dignement dressé vers le ciel. Elle n’a pas été plus intimidée que ça. Elle a pétri mon torse et mon ventre de la même façon qu’elle l’avait fait pour mon dos et mes épaules. Puis après ‘avoir pincé fortement mes tétons, elle est descendue vers mes cuisses et elle est remontée jusqu’à mes parties viriles. J’avais les nerfs à fleur de peau. Mon érection s’accentuait de seconde en seconde.

summer17Elle a pris mon manche entre ces petites mains de fée et elle l’a caressé du bout des doigts. De violents spasmes ont traversé mes testicules jusqu’à l’intérieur de mon ventre. Elle a posé sa bouche sur mon pénis le plus doucement du monde. J’ai senti la chaleur de ses lèvres glisser le long de mon membre. Elle prenait son temps pour déguster chaque parcelle de mon pénis, Je voyais, par la réaction de son visage, qu’elle aimait beaucoup la présence de ma queue dans sa bouche. Sa langue s’enroulait autour de mon gland et traçait le contour marqué de mon capuchon. Elle a sucé pendant plusieurs minutes mon pénis, puis elle a fait glisser sa petite culotte le long de ses cuisses. Elle avait une chatte très féminine dont le poil, taillé à la perfection, dessinait le contour de ses lèvres vaginales. J’avais envie de la prendre et de lui rentrer mon membre entre les jambes pour la faire crier de plaisir…

Mais décidément ce soir, c’est d’elle que toutes les initiatives partaient. Sans plus de préliminaire elle a chevauché ma queue et l’a entrée très facilement à l’intérieur de son vagin, J’ai ressenti un sentiment de victoire traverser mes organes. Son vagin gardait mon pénis prisonnier de sa cavité juteuse. Une chaleur incroyable englobait ma verge et très lentement, Corina s’est mise à agiter son bassin. Elle semblait jouir beaucoup dès le début. Je sentais mon manche lui racler l’intérieur et elle poussait des cris puissants et son visage se contractait à chaque fois que mon gland revenait à l’entrée de son sexe, Je sentais chaque détail de son intérieur et j’en jouissais davantage. J’ai dégrafé son soutien-gorge pour prendre, dans la paume de ma main, ses petits seins fermes. J’ai massé très délicatement ses formes harmonieuses. Corina poussait des cris stridents qui provoquaient en moi des élans de jouissance intense. Par la suite nous avons été terrassés par un fabuleux orgasme qui surgit comme l’éruption d’un volcan du plus profond de nos entrailles. Elle m’a ensuite demandé si je désirais la boire, ne comprenant pas la suggestion je lui demandais des précisions. Elle m’annonça alors sans aucune pudeur qu’elle allait m’offrir son pipi. Alors comme dans un rêve, j’ai ouvert la bouche et absorbé quelques gorgées de son précieux nectar.

Je suis revenu chez moi et je n’ai jamais eu de nouvelles de Corina, ma Thaïlandaise aux doigts de fée

Adaptation d’un récit non signé paru sur le site de Sophiexxx en 2000

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Dimanche 20 février 2022 7 20 /02 /Fév /2022 17:50

Vestiaire lubrique par Elian Lvekman
scat

Texte contenant un passage scato explicite !

 

Bonjour je m’appelle Sophie, j’ai 29 ans. Comme tous les lundis je me rends dans une petite salle de gym, histoire de maintenir mes formes). Une fois dans les lieux j’introduis ma carte d’accès et me dirige dans les vestiaires pour filles pour me changer. Une fois dans une cabine je suis surprise par un petit bruit de fond. Je stoppe mes mouvements pour essayer de savoir ce que c’est. Les bruits proviennent du vestiaire d’à côté. Et comme je le pensais les deux paires de pieds m’indiquent que deux personnes batifolent.

Curieuse de nature je m’assois par terre et sort de mon sac le miroir qui me sert pour me recoiffer. Même si l’image est à l’envers, je peux voir que cette fille est en très bonne compagnie. L’homme est assis sur le banc et elle est à califourchon sur lui. Ses gestes sont lents et une de ses mains est sur la bouche de sa partenaire pour étouffer ses gémissements. Au bout d’un moment, le gland sort de sa chatte, elle se soulève un peu, saisit le sexe et le dirige contre son anus. La pénétration se fait avec quelques difficultés mais ça rentre. Moi à terre je me suis mise nue et mes doigts fouillent ma petite toison brune. Je sens le plaisir et l’envie monter en moi, j’aimerai les rejoindre, mais je n’ose pas.

De leur côté les choses ont évolué. Il la prend en levrette et ne pouvant plus étouffer ses bruits je peux l’entendre prendre son pied. Il continue son ramonage avant de rejoindre la bouche de sa partenaire qui est toujours à genoux devant lui. Il jouit à son tour et sa semence atterrit sur le visage de la fille. Elle attrape le plus de sperme possible dans ses mains pour le porter à sa bouche et finit par enfouir le sexe entier entre ses lèvres. Je n’en peux plus, je m’allonge sur le dos et me masturbe et comme mon envie est très forte je m’introduis ma brosse à cheveux dans la chatte et trois doigts dans l’anus. Je prends mon pied en tentant d’étouffer mes gémissements mais y parviens mal. Ils m’ont forcément entendu. Comment gérer ça ? Ils s’essuient, se rhabillent et sortent.

J’attend un peu, je n’entends plus rien, je sors à mon tour.

Ils sont là ils m’attendaient. Je suis déboussolée !

– Alors on mate ? Me dit la femme.
– Je n’ai pas pu m’en empêcher ! Bredouillais-je.
– On devrait te punir ! Reprend la femme.
– Euh faut que j’ aille ! De toute façon je n’ai rien vu, j’ai juste entendu…
– Nous on aime bien punir les petites vicieuses. Reprend-elle
– Ça ne se reproduira plus ! Balbutias-je
– Dommage que tu ne sois pas un peu soumise, on aurait pu s’amuser à te punir à notre façon !

Et c’est là que je me suis demandé si je ne devais pas rentrer dans leur jeu.

– Tu partais ? Demande l’homme
– Non, je viens juste d’arriver.
– T’es en voiture ?
– Oui !
– Alors changement de plan, tu te remets en tenue de ville, tu vas vers ta voiture, tu ouvres les portières, tu mets les clés sur le contact et tu t’assois à l’arrière.
– Ça va pas, non ?
– Réfléchis, tu passes peut-être à côté d’un bon petit moment.
– C’est tout réfléchis.

Le couple s’éloigne de quelques pas. Bizarrement je n’ai plus trop envie d’aller en salle de sport, je regagne ma cabine et remets mes vêtements de ville.

Je me dirige vers la sortie. Comme je le pensais ils sont sortis et me suivent. Je vais jusqu’à ma voiture, ouvre toutes les portières et m’installe à l’arrière. Le couple arrive

– J’ai mis les clefs sur le contact ! Leur précisais-je

L’homme s’installe au volant et elle à ses côtés.

– Enlève tes fringues ! M’ordonne la femme. Je m’appelle Natacha et lui c’est André, tu nous dois le respect !
– Ah ! Moi c’est Sophie !
– On s’en fout de ton prénom !

Charmante !

On est encore en pleine ville et il y a beaucoup de monde dans les rues que nous empruntons, mais poussée par l’excitation, j’obéis. Il traverse la ville et à tous les feux je sens le regard des passants et des automobilistes se poser sur moi. On sort de la ville. Du rétroviseur je sens son regard se poser sur moi. Natacha est restée silencieuse et pensive. André arrête la voiture au bord d’un petit bois.

– Allez descends, poufiasse !
– Comme ça toute nue ?
– Evidemment, quelle question ?

André sort de son sac de voyage un collier de chien assorti d’une laisse et me le passe autour de mon cou. Je commence à comprendre le jeu, la femme est sa soumise et aujourd’hui il a l’occasion de changer d’esclave. Comme la femme n’a pas l’air traumatisée, ça me rassure un tout petit peu.

Je sors du véhicule et André me fais signe de me mettre sur le capot. La chaleur du moteur me réchauffe. Il donne deux coups de klaxon et au bout de cinq minutes je vois deux promeneurs arriver. Le couple se dirige vers eux. Ils parlent quelques temps et le quatuor vient vers moi. Dès qu’ils sont au niveau du pare-chocs les deux arrivants tombent leurs pantalons, exhibant leurs bites bien raides.

Natacha sort la queue de la braguette d’André. L’un des promeneurs m’installe sur: sur le ventre, toujours sur le capot, les jambes en direction du pare-brise et la tête vers l’avant. Je prends les bites dans les mains et les suce l’un après l’autre. Le couple observe et ne bouge pas. Les deux types se bousculent légèrement pour être dans ma bouche, et soudain l’un d’eux me fait faire 90° sur la droite et passe derrière moi. Il frotte son gland sur ma chatte et me pénètre en un seul mouvement. Il m’a fait mal et je n’ai pu retenir un cri. Son compagnon toujours dans ma bouche, il me laboure sans précaution avec de grands mouvements et de grands râles. Il aurait dû faire bûcheron.

Celui qui me prend en levrette me soulève et il pose ses fesses sur le capot. Il sort son sexe de ma chatte en chaleur et toujours avec sa délicatesse très personnelle me sodomise. L’autre a fait le tour de la voiture et le sexe droit et humide, il commence par mettre son gland devant mon clito et le tapote avant de me pénétrer à son tour. J’avais toujours rêvé d’avoir deux sexes en moi mais jamais je n’avais pensé à une telle situation. Mon enculeur accélère ses râles et je sens très vite son foutre en moi. Ce sperme chaud fais basculer mes sens et je serre l’homme devant moi, je me plaque contre lui et je joui à mon tour. Mon esprit est dans une espèce de brouillard et je suis bien, plus rien n’a d’importance. Les deuxième promeneur me place sur les sièges arrière de ma voiture et éjacule sur mon ventre. Je passe ma main dans ce sperme et l’étale sur mon pubis. Les promeneurs partent comme ils sont venus, sans m’adresser le moindre mot.

C’est fini ? non !

Le couple se déshabille ! Je peux enfin admirer les beaux seins laiteux de Natacha. Elle vient devant moi attrape mes tétons et les tortille fortement.

– Aïe !
– Ta gueule poufiasse !

Elle me roule une pelle bien baveuse, puis nus tous les trois, nous déambulons dans la contre allée, nous croisons deux autres promeneurs, un vieux et un jeune un peu efféminé. ils sont nus, leurs affaires dans un sac à dos.

– Salut ! Dit le premier en se tripotant le bite
– Salut ! Répond André.
– Tu regardes ma bite ?
– Elle est belle !
– Tu veux la sucer !
– Avec plaisir !

C’est la première fois que je vois un mec en sucer un autre ! Je suis tombé sur les pervers du coin, ma parole ! André à l’air de se régaler, et pendant ce temps là Natacha suce le vieux ! Et moi qu’est-ce que je deviens dans tout ça ? Je regarde et j’attends.

Le bites bien sucées sont maintenant bien raides, s’en suit une très brève discussion entre ces messieurs dames au terme de laquelle André et Natacha se retourne offrant tous deux leurs anus aux assauts des deux types ! Incroyable de voir ça.

Tout le monde a joui… sauf moi. Les deux rigolos s’en vont. Natacha me demande de m’allonger par terre.

Sophie Natacha– Je vais te pisser dessus ! Me prévient-elle

C’est gentil de me prévenir, mais comme la chose m’amuse plus qu’elle ne me dérange, j’obtempère, elle s’accroupit au-dessus de moi et se concentre. Comme signe de bonne volonté, j’ouvre la bouche signifiant par-là que je ne suis pas contre le fait d’avaler son nectar ! Message reçu, elle rectifie la position. Le jet est puissant et j’en avale une bonne rasade.

– Je ferais bien quelque chose de plus consistant ! Me dit-elle
– Euh !
– Tu me dit « oui » ou « non », « Eu », je ne sais pas ce que ça veut dire.

Je n’aurais jamais pensé accepter une chose pareille, mais l’excitation fait faire de ses choses parfois.

Un magnifique boudin sort du cul de Natacha, je reçois tout sur le visage, bouche fermée, Elle m’enlève tout ça, mais en prélève un morceau qu’elle lèche vicieusement. Elle me propose de l’imiter. Alors j’ai léché sa merde, et ma foi, ce n’était pas mauvais du tout.

André n’en peut plus de spectacle et se branle comme un malade, je reçois son sperme sur le visage, en avale un peu.

Natacha m’embrasse à nouveau ! Drôle de baiser où persiste le gout tenace de toutes nos perversions.

– On va rentrer, tu nous raccompagnes chez nous ! Me suggère André.
– Déjà ? Proteste Natacha, je me serais bien fait prendre par un chien !
– Oui, ben la prochaine fois ! Je fatigue ! Et toi la poufiasse tu t’es déjà amusée avec un chien ?
– Non, mais je ne demande qu’à apprendre.

On est reparti en ville, je les ai déposés non pas chez eux, mais devant une supérette, ils ne m’ont pas communiqué leurs coordonnées. C’était un coup d’un jour

Je ne suis pas retournée à la salle de sport, allez savoir pourquoi ? J’ai pris un abonnement dans une autre salle. Et je n’ai jamais revu ces deux zygotos.

J’ai eu d’autres expériences, mais celle-là restera longtemps gravé dans ma mémoire

Bisous tout le monde !

Elian Lvekman, d’après une histoire originale de Bougetoi publié en 2000 sur le site disparu de Sophiexxx

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Samedi 12 février 2022 6 12 /02 /Fév /2022 15:09

Soubrette soumise par Marie-France Vivier
soubrette stamp

 

Ce texte n’est pas ma plume, il s’agit d’une traduction-adaptation d’un texte anglais.

Etre exhibée dans un menu costume aux tissus transparents… Aux coupes trop courtes… Et aux côtés échancrés… Revêtir la peau d’une vraie soubrette et tout faire pour répondre aux moindres désirs de Monsieur, à ses moindres caprices, ainsi vêtue, le cul exposé aux regards, pendant qu’il reçoit des amis… Devoir faire le service, nécessairement être très polie et courtoise à l’égard des invités de Monsieur… être humiliée de la situation, rougir de gêne et sentir ma chatte qui coule… Avoir honte d’être excitée de la sorte… Tout faire pour éviter qu’il s’en aperçoive… Et qu’il me qualifie de salope avant de me traiter comme telle…

J’imagine facilement l’amusement qu’il prendrait à échapper un quelconque objet par terre et à me demander de le ramasser, m’obligeant ainsi à me pencher vers l’avant et à montrer mon cul dans sa totalité. J’imagine son plaisir au moment où je viendrais pour me relever et, que d’une main robuste, il me contraindrait à rester penchée, poussant sur ma tête pour m’obliger à rester pliée en deux. J’entends déjà les rires de ses invités qui se rinceraient l’œil, leurs commentaires à mon égard. Je sens même la mouille qui coule entre mes cuisses mais ça c’est vraiment réel et présent au moment où j’écris ces mots !

Et puis la voix d’un invité qui dit son envie pressante d’aller uriner, le regard de Monsieur qui s’illumine et ses mots qui tombent et qui me nouent la gorge…

– T’es ici pour servir… Alors va avec lui… Détache son pantalon… Et tiens sa bite pendant qu’il pisse !

La peur mélangée à la honte qui m’envahit… Me retrouver ainsi seule dans une pièce fermée avec un inconnu… L’humiliation de la position dans laquelle je vais me commettre. Je me vois agenouillée dans la salle de bain en train de sortir ce sexe mou de sa prison… Maladroite et tremblotante, je vois la silhouette derrière lui et je l’entends me dire de faire attention et de bien diriger le jet dans la cuvette, ce qui ne fait qu’accentuer ma nervosité… Le jet fuse et, par maladresse de ma part, vient atterrir sur le sol… Je lis la colère dans ses yeux et j’entends dans le trop calme de sa voix son mécontentement… Il empoigne mes cheveux fermement, me tire vers l’arrière et me dit que je devrai tout nettoyer. Il m’oblige à me mettre à quatre pattes et à lécher l’urine sur le carrelage…

– Lèche ! Nettoie comme il faut et totalement ! Salope… Cochonne… Souillon.. Traînée !

Une pluie d’insultes vient couronner la mauvaise posture dans laquelle je me trouve. L’humiliation qui me remplit, la honte et la peur… être ainsi invectivée en public et pourtant être excitée comme ce n’est pas permis !

Je lèche le carrelage, m’appliquant pour faire disparaître la moindre trace… Monsieur m’abandonne à mon sort, allant rejoindre ses invités… Je n’ose pas revenir… Morte de gêne et de honte… Craignant d’accentuer sa colère par ma simple présence… Je l’entends rire… Je reste seule dans les toilettes pendant une durée de temps qui semble s’éterniser, ne sachant plus quoi faire… Et n’osant surtout pas attirer son attention ou faire quelque bruit que ce soit.

Quand je lève les yeux, Monsieur est devant moi, imposant par sa stature, imposant par son regard… Regard de glace ! Visage déserté de sourire…

– A genoux salope ! J’ai envie de pisser mais cette fois, je ne risquerai pas de salir la céramique ! Ouvre la bouche et bois ! Si tu perds ne serait-ce qu’une seule goutte, tu serviras d’urinoir à tous ceux qui auront envie ce soir, je te le jure !

C’est le cœur battant la chamaille que je m’agenouille, que j’ouvre la bouche et tends la langue pour recevoir son urine… Urine que je bois, urine que je suce pour ne rien perdre, de peur d’être contrainte à en boire toute la soirée… Enfin un sourire sur son visage me rassure un peu… Puis il me dit de le rejoindre au salon, m’abandonnant encore une fois…

C’est la tête baissée et le regard fuyant que je les rejoins, me faisant la plus petite possible pour ne pas être remarquée, pour être inaperçue… Mais sa voix plus forte que la musique retentit !

– Ça mérite une correction salope ! Tu as manqué à ton devoir envers un invité ! A plat ventre sur mes cuisses et cul relevé !

J’hésite, osant espérer qu’il n’est pas sérieux, qu’il blague… Mais non !

– Tu préfères que je me lève et que j’aille chercher le fouet peut-être ?

J’obéis immédiatement, me retrouvant à plat ventre sur ses jambes…

– Relève ton cul !

Aussitôt une main vient se glisser entre mes cuisses… Ses doigts découvrent instantanément ma chatte… Diluvienne… Monsieur me présente ses doigts enduits de ma mouille…

– Qu’est-ce que c’est ça ?

Je bredouille, ne sachant que répondre…

Monsieur me fesse sans ménagement… Je sens les claques pleuvoir sur mon cul… Je sens mon fessier en feu… Je me confonds en excuses, l’implorant d’arrêter… Puis il m’ordonne de servir le souper… Ce que je m’applique à faire minutieusement… Après avoir déposé la dernière assiette sur la table, Monsieur me regarde, sourire aux lèvres… Je connais ce sourire en coin, signe qu’il n’a pas terminé avec moi ! Je baisse les yeux, cherchant un peu d’indulgence et j’entends…

– Prends la bougie dans le tiroir !

Je vais chercher la bougie… M’en voulant amèrement de n’avoir pas pensé à la mettre sur la table pour le souper… Au moment où je m’apprête à l’allumer et à la glisser dans le chandelier…

– Non ! Tu vas nous servir de chandelier ! Allez ! A quatre pattes, à côté de la table, le cul bien cambré… Tu t’insères la bougie dans le cul et je vais me faire un plaisir de t’allumer !

Tous s’esclaffent de rire… Tout le monde sauf moi bien entendu… Néanmoins, j’obéis redoutant de ternir la bonne humeur qui semble habiter Monsieur… Accroupie, le cul bien relevé, j’introduis la bougie…

– Plus profond ! Allez, pousse un peu !

Puis il vient allumer la mèche… Je sens les regards amusés qui me fixent… La cire qui dégouline jusqu’à mon anus… Je reste silencieuse et immobile… Le souper semble s’éterniser… Je sens mes genoux engourdis… Mes bras s’affaiblissent… La chaleur de la flamme se rapproche dangereusement de mon cul… Et pourtant, une seule envie obsède mes pensées : l’envie de me masturber encore et encore !

L’attente, j’entends des propos de plus en plus grivois… Monsieur éteint la mèche… On me fait me relever. Les invités sont debout les uns à côté des autres… les bites sortent de leur braguette… Je sais qu’il me va falloir les sucer…

Soubrette MFV
Je commence par la première, la plus proche de moi… je la masturbe un peu, puis la porte en bouche… mes lèvres et ma langue s’activent.

– Sois une vraie salope, fous-lui un doigt dans le cul ! Me dit Monsieur.

Très vite, il décharge… j’avale un peu et laisse couler le reste sur mon menton.

– Nettoie, il a la queue pleine de sperme.

Je m’acquitte de cette tâche… l’homme range son sexe, puis sort un billet de son portefeuille qu’il jette à mes pieds.

– Tiens, putain !

Je suis morte de honte… mais ma chatte est en feu…

– Ne t’essuie pas, reste comme ça, et suce son voisin.

Je suce, il veut aussi que je lui suce les couilles, puis le trou du cul, il m’énerve ce type ! Mais j’obtempère en bonne soubrette obéissante.

Son cul sens la merde mais peu me chaut, ce soir je ne suis que la salope de service.

Il veut ensuite m’enculer, je redoute ce moment, certains s’y prennent tellement mal. Je me demande dans quelle position il veut faire ça… Il me fait mettre en levrette ! Tant mieux, je ne verrais pas sa gueule !

Il m’écarte les fesses et entre en force. J’ai mal, je serre les dents. Heureusement l’homme est tellement excité que l’épreuve ne dure pas longtemps. Je pensais en avoir terminé, mais un autre prend sa place et contrairement au précédent semble vouloir prendre son temps.

Celui qui vient de jouir dans mon fondement me présente sa bite afin. que je la nettoie. Il a conservé sa capote polluée par ma propre merde. J’ai un instinctif mouvement de recul, il me gifle. Je suce en lui lançant un regard de haine. Il en retire sa capote et je lèche son sperme

C’est tout ? Oui ?

L’autre décule, se débarrasse de sa capote et se branle en m’aspergeant le visage de son sperme visqueux.

Ils ont tous joui, ils n’ont plus besoin de moi, je suis invité à débarrasser le plancher.

Je ramasse les billets gisants au sol et l’enveloppe que m’a réservée le maître des lieux.

J’ai bien gagné ma soirée, mais quels connards ! Ils ne sont pas près de me revoir. Heureusement que la plupart de mes clients ne sont pas comme ça.

Mais je n’ai qu’à m’en prendra qu’à moi-même, j »avais accepté ce scénario… et n’empêche qu’ils m’ont fait mouiller !

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-France V
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