Mercredi 12 janvier 2022 3 12 /01 /Jan /2022 16:52

Les contes de notre enfance revus et corrigés
La belle au bois dormant

par Euryanax

cochon

Il était une fois un petit royaume caché au milieu des forêts. Son roi et sa reine étaient de bons bougres, les gens de la cour, dans leur palais, vivaient dans la luxure et le libertinage, mais sans excès.

Pendant longtemps, on crut le roi stérile. Puis, un jour, la reine donna naissance à une fille. L’arrivée de cette enfant, tant attendue, donna lieu à des réjouissances inouïes. Elle fut prénommée Plaisir. Le roi et la reine avaient invité toutes les fées du voisinages, afin qu’elles se penchassent sur le berceau du nourrisson et qu’elles assurassent son avenir.

Alors que la fête battait son plein, les fées se dirigèrent vers le berceau, leur baguette magique à la main.

La première, la fée Troibée s’avança. C’était une accorte rombière à qui l’on aurait donné cinquante ans environ, avec d’énormes seins bien soutenus et un pantalon léger et moulant qui mettait en valeur sa silhouette callipyge. Munie de son sourire enjôleur et d’un verre de vin, elle déclara :

- Cette enfant sera heureuse dans la vie, goûtera avec bonheur aux plaisirs de l’existence et surtout à ceux de l’amour, les hommes seront fous d’elle.

La fée Goussette, qui la suivait avait des airs de petite fille modèle, dans sa robe ample. Les tâches de rousseur sur son visage la faisaient remarquer à une lieue à la ronde et son sourire espiègle charmait autant les filles que les garçons.

- Les filles aussi l’aimeront, ajouta-t-elle et elle sera experte dans les plaisirs saphiques.

Trois autres fées s’exprimèrent à la suite, la mince Pipelette, à la bouche fardée et la jupe courte, la grande Brasilia, la fée transsexuelle vêtue de cuir moulant dont les seins peinaient à rester dans le justaucorps, et Dorette, un petit bout de femme à l’air coquin, affublée d’une robe transparente sans aucun sous-vêtement.

- Elle goûtera à tous les plaisirs buccaux, oraux et y excellera elle se régalera du goût du sperme. Elle adorera aussi les bouches des autres sur tout son corps, dit Pipelette.
- Elle aimera aussi les filles du troisième sexe, qui la combleront, susurra Brasilia.
- Lorsque son plaisir sera atteint, renchérit Dorette, elle laissera échapper sur ses partenaires un filet doux et chaud d’urine. L’homme qui parviendra à lui faire exprimer ce plaisir aura toutes ses faveurs.

Deux autres fées terminèrent les dons accordés à la jeune Plaisir.

La fée Dominette, à l’air un peu sévère portait un short excentrique, percé de trous laissant deviner une magnifique et oh combien excitante culotte. Voici ce qu’elle accorda à Plaisir.

- Elle aimera que les hommes soient à ses pieds et fassent ce qu’elle demande, mais sans excès. En particulier, elle prendra plaisir à les posséder en les pénétrant longuement et doucement avec des olibos.

La fée Rosette arriva essoufflée d’un coin de la salle, rajustant maladroitement ce qui semblait un justaucorps, attaché entre les cuisses et présentement ouvert, laissant voir son sexe et ses fesses.

- Elle sera douée pour le plaisir anal, parvint à murmurer Rosette, son petit trou sera connu dans tout le royaume pour être un Eden.

Juste à ce moment, une arrivée perturba la bonne humeur de la fête. Un huissier annonça :

- La fée Chaudasse !

Tous les regards se tournèrent vers la nouvelle venue car le roi et la reine n’avaient pas voulu l’inviter, ils se tournèrent vers elle, inquiets.

- Alors, tonitrua-t-elle, on ne m’invite pas, sire le roi, pourtant, la dernière fois que je suis venue ici, il me semble que tu m’avais plutôt appréciée.

Il faut dire que Chaudasse était intenable. Lors du dernier banquet où les époux royaux l’avaient invitée, elle avait exigé que tous les hommes présents l’honorassent un après l’autre, elle s’était fait sodomiser sur la table, avait pissé dans le plat. La nuit, elle avait exigé de dormir dans le lit du roi, qu’elle avait comblé mais épuisé ; et, comme la reine maugréait un peu elle lui avait jeté un sort, la condamnant à passer la nuit nue sur la table de la cuisine, en position fœtale avec deux énormes godemichés dans le sexe et l’anus.

- Je vais moi-même accorder un don à cette charmante enfant : Plaisir vivra quelques années d’une existence remplie d’amour physique. Mais, le jour de ses vingt ans, après avoir vécu sa première double pénétration, elle sera défoncée par un mâle pourvu d’une énorme bite qui lui transmettra une blennorragie foudroyante dont elle mourra dans l’heure qui suivra....
- Non, elle ne mourra pas, dit une voix fort gaie et un peu claironnante. Elle s’allongera sur son lit en écartant largement ses cuisses, comme pour se faire prendre et dormira pendant cent ans. Pendant tout ce temps, l’air entrera dans son intimité et à force, tuera la bactérie qui ne le supporte pas. Au bout de cent ans, un prince charmant la possèdera et la réveillera ; ils se marieront et seront très heureux.

C’était la fée Picolette. Elle s’était attardée au bar avec deux charmants garçons et n’avait pas pu accorder ses dons. Appuyée sur l’un d’eux qui fouillait un peu dans sa culotte elle venait de sauver l’enfant. Malheureusement, elle avait interrompu Chaudasse, celle-ci put donc finir.

- Mais, si le prince charmant ne se déverse pas dans sa bouche, elle se rendormira pour l’éternité.

Inutile de dire que la fête était gâchée. Chaudasse s’en retourna avec un énorme rire.

La vie de la princesse se déroula ainsi que les fées l’avaient prévu. Elle s’initia à tous les plaisirs ou presque, mais ne quittait mais le palais. Dans les partouzes, elle brillait, léchant et suçant indifféremment les trois sexes, se faisant enculer jusqu’à plus faim et avalant le sperme jusqu’à plus soif. Les hommes, qui connaissaient la prédiction de Chaudasse, ne la prenaient jamais en sandwich. Les fées, surtout, Troibée, Picolette et Brasilia, veillaient constamment sur elle, elle était complètement heureuse.

Le jour de ses vingt ans, malgré ses protestations, le roi la fit enfermer dans sa chambre. Il avait interdit à quiconque, sous peine de mort, de lui adresser la parole en cette journée. Il la fit garder par deux gardes très fidèles et de surcroît homosexuels, qui avaient ordre de rester toute la journée dans l’antichambre. Malheureusement, sans que nul ne le sache, Plaisir avait dans un tiroir une clé de la porte donnant sur l’antichambre. A la fin de la matinée, les deux gardes firent l’amour. Entendant des râles, Plaisir ouvrit silencieusement la porte. Elle la laissa entrebâillée et regarda le spectacle.

Les deux gardes étaient magnifiques, surtout celui qui se faisait prendre. Lorsqu’il se tourna vers elle, il exhiba un sexe si long, si tentant, qu’elle ne put y résister. Elle bondit sur le garde enculé, lui goba le sexe. L’homme, qui n’avait jamais connu de femme, apprécia au plus haut point. Le plaisir monta chez les trois amants. L’enculeur se retira pour donner aussi son sexe à sucer. Puis il s’assit et fit venir Plaisir sur lui, elle le fit entrer dans son vagin et le serra de ses muscles intimes ; il ferma les yeux et goûta son plaisir. L’autre vint alors par derrière et, glissant un doigt, découvrit que le cul de la belle était occupé par un petit vibromasseur. Il le retira et prit délicatement sa place.

Le plaisir aidant, tous les trois avaient oublié la prédiction. Plaisir goûta particulièrement la double pénétration et poussa des cris à n’en plus finir. Lorsqu’elle eut pris son plaisir, ils se retirèrent et elle laissa tomber sur celui qui était sous elle un ruisselet doré.

Ils finirent comme ils avaient commencé. Plaisir suçait celui qui l’avait sodomisée, tandis que le plus âgé avait repris son camarade et s’activait dans son anus en soufflant comme un bœuf et en donnant force claques sur les fesses qu’il défonçait.

 

bois dormant

Le bel éphèbe jouit le premier dans la bouche de Plaisir ravie. Ensuite il se cassa en deux et recueillit dans ses entrailles la semence de son ami. Plaisir lécha tour à tour le sexe qui avait éjaculé, puis le cul qui s’était rempli. Epuisée, elle s’allongea dans l’antichambre et s’endormit.

 

Revenus à eux, les gardes comprirent ce qu’ils avaient fait. Ils s’enfuirent aussitôt, de peur d’être exécutés.

Lorsque Plaisir se réveilla elle aperçut un homme petit et gros avec un sexe énorme. Dans un demi-sommeil, elle s’avança pour le sucer, puis elle ouvrit les yeux et comprit qu’elle n’était plus avec les gardes. Elle voulut fuir, mais l’autre la saisit et, en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, la pénétra. Son sexe lui faisait mal. Mais l’avorton était un rapide. En trois ou quatre coups, il eut son plaisir et déversa dans le vagin de Plaisir un sperme ultra contaminé, puis se retira, essuya sa bite sur les lèvres de la malheureuse en pleurs et quitta la pièce.

Plaisir réalisait ce qui s’était passé. Elle connaissait la prédiction, et Picolette lui avait dit maintes fois ce qu’elle devait faire si elle se réalisait. Malgré la douleur cuisante, elle parvint jusqu’à son lit et se glissa dessus ; elle écarta au maximum les cuisses et s’endormit.

Quelques minutes après, Troibée, qui savait que l’on n’empêcherait pas la prédiction de se réaliser, était là avec plusieurs de ses compagnes. Les fées discutaient ferme.

- Il y a quand même un problème avec ton histoire de cent ans, Picolette ; même si ça marche, quand elle va se réveiller, tout le monde sera mort ici.
- Et si on les endormait tous ? Proposa Brasilia.
- Bonne idée, mais vont-ils accepter ?
- Tu penses leur demander, dit Rosette, il faut faire autrement, leur demander signifie les informer de ce qui est arrivé à la princesse. Il faut profiter de leur fête pour glisser quelque chose dans les verres.
- Oh ! J’ai bien mieux dit Pipelette d’un air coquin, si nous utilisions notre ami sorcier Bandeur ?
- Excellente idée, dit Troibée, je le fais venir.

Le sorcier Bandeur possédait une réserve intarissable de sperme. Il bandait de nouveau immédiatement après son érection et son sperme était aussi épais au dix-huitième coup qu’au premier. Mais, il allait peu dans les soirées des hommes, car son sperme avait le pouvoir, dès qu’il touchait un corps de mortel de l’endormir dans les cinq minutes. Seules les fées étaient immunisées contre cet épais sédatif.

Lorsque Bandeur fut arrivé, les fées l’introduisirent, si l’on peut dire, dans toutes les pièces du palais. Il fallut user d’artifices pour les gardes, car certains ne voulaient pas se faire sodomiser. Mais les fées se firent toutes prendre avant par Bandeur, sauf Pipelette qui préféra garder son sperme en bouche. Ensuite, de la salle de garde à celle du banquet en passant par les cuisines, les communs et les chambres, ce fut un vrai feu d’artifice et les fées payèrent beaucoup de leur personne.

Dans le corps de garde, allongée sur une table, Goussette demanda aux hommes présents de lui éjaculer sur le corps, quatre vinrent se vider, branlés par Picolette et Rosette. Elle demanda à Branleur de se joindre à eux et lança à l’adresse de Brasilia :

- Viens donc le branler pour qu’il gicle sur mes seins !

La fée transsexuelle eut un sourire coquin et vint se placer derrière le sorcier, elle lui écarta doucement les fesses en entra. Ensuite, elle plaça ses mains devant lui, attrapa son sexe et se mit à le branler délicatement puis plus vite.

- C’est la meilleure position que je connaisse pour masturber un mâle, dit-elle.

Le Sorcier Bandeur était très ouvert, en matière de sexe, à preuve la facilité avec laquelle Brasilia avait pénétré son anus. Il se plaça bien en face de Goussette, suivi comme son ombre, pour ainsi dire par la fée trans. Pipelette s’approcha des autres branlés et les suça à tour de rôle, les enduisant ainsi du sperme soporifique. Brasilia était à l’ouvrage, par trois fois, Bandeur éjacula sur le corps de Goussette et trois fois elle se remit avec entrain à lui secouer le vit. Enfin, elle poussa un cri strident et se plia en deux, tout en poussant le corps du sorcier devant elle ; sa semence, venue tout droit de la colonne vertébrale inonda le rectum de Bandeur.

Lorsqu’elle se retira, il ne restait plus dans la salle des gardes que deux hommes éveillés ; le premier était dans le cul de Rosette et le second dans son sexe, tous deux largement remplis auparavant du sperme de Bandeur. Rosette n’était jamais aussi en verve que dans les doubles pénétrations. Elle y trouvait son inspiration, en profitait parfois pour déclamer des vers. Là, elle était besognée par des hommes un peu primaires, elle recevait des coups au but, en avant, en arrière et se déhanchait, tout en insultant ses partenaires.

- Petit salaud, bouge plus fort, va plus loin, je ne te sens pas assez disait elle à celui qui lui faisait face. Quant à toi, l’enculeur, n’aie pas peur d’aller fort, j’adore ça, c’est ma partie. Dépêchez-vous de me faire jouir !

La fée maîtrisait tellement ses sphincters qu’elle subit assez vite un double remplissage, elle se pâma et les deux hommes, à peine sortis, s’endormirent. Elle s’approcha de celui qui l’avait sodomisé et prit son sexe en bouche.

- Celui-là m’a donné du plaisir, il va dormir cent ans, il est juste que je le nettoie, dit-elle à ses camarades.

Pendant ce temps, Goussette avait quitté la salle de garde et s’était ruée vers la cuisine. Elle s’allongea de nouveau sur une table et appela les jeunes filles.

- Venez toutes sur moi, léchez-moi, sucez-moi, pétrissez-moi.

Beaucoup des filles de cuisine avaient souvent fait l’amour avec Goussette, elles se précipitèrent sur elle, et, de la main, de la langue, du ventre, des fesses, touchèrent au sperme de Bandeur répandu sur le ventre et les cuisses de la fée.

Bientôt, les fées et leur ami magicien eurent raison de la salle des gardes, des cuisines, de tous les valets et servantes du palais. Ils se rendirent dans la grande salle afin de s’occuper du roi et de ses familiers.

Lorsque les fées entrèrent, toute dénudées et respirant la luxure, l’atmosphère feutrée changea du tout au tout, peu à peu, les corps s’agrégèrent et la partouze commença.

Il y avait là le roi, la reine et leurs proches, parmi eux un jeune homme très bien fait de sa personne, le petit cousin du roi. Cet éphèbe avait été prénommé Antinous, comme le célèbre romain, et il avait été un temps promis à la princesse Plaisir, qui le goûtait peu, le trouvant un tantinet efféminé.

Bandeur fut tout de suite attiré par le jeune homme, de même que Troibée. Il n’eut pas vraiment le temps de réaliser ce qui lui arrivait ; en deux temps trois mouvement il se retrouva déshabillé, assis sur Bandeur qui lui prenait les fesses et le sexe dressé pénétrant le vagin de Troibée.

La fée, qui, on l’a déjà dit, était assez rondelette allait et venait sur le sexe du jeune homme comme si elle venait de débuter sa soirée. Elle aperçut à peine Rosette qui s’approchait d’elle avec deux jeunes gars montés comme des armoires à glace.

C’étaient les deux gardes malchanceux qu’elle avait trouvés sur le perron du château en train de pleurer à chaude larmes dans les bras l’un de l’autre, à peine habillés ; mais oui, vous vous souvenez, les déclencheurs de l’action, qui avaient fait connaître à la belle Plaisir pour la première fois les joies de la tranche de jambon au milieu du sandwich. Heureusement pour eux, le roi était à l’autre bout de la salle, occupé par Picolette et Pipelette, qui s’en donnaient à coeur joie.

Rosette toute souriante avait un peu rassuré les jeunes hommes et passait aux choses sérieuses.

- Bon, vous allez arrêter de pleurer et de vous enculer tous seuls. Nous aussi, on a un beau cul accueillant.

Joignant le geste à la parole, elle attrapa le plus jeune des deux par la bite et se la fourra dans l’anus en un clin d’œil. Troibée se dégagea du jeune prince, se pencha pour le prendre en bouche, tandis que son amie Rosette lui ouvrait les fesses afin de faciliter la pénétration anale. Le second garde plongea dans ce cul rempli à ras bord de sperme.

Bandeur sembla apprécier le départ de Troibée. Il put enfin bouger et aller et venir dans le fondement du jeune Antinous. Celui-ci n’avait même pas eu le temps de faire part de ses réticences, lorsque le magicien déploya son savoir dans le domaine de la sodomie, il fut conquis. Il se mit à crier, des choses inintelligibles, vulgaires. Il attrapa sauvagement la tête de Troibée et lui gicla au fond de la gorge des litres de sperme. Enfin il sembla s’effondrer de jouissance ; la fée le retint, afin que Bandeur puisse à son tour se vider dans son cul.

Le dernier acte eut lieu avec le roi et la reine. Tandis que Bandeur prenait sa femme en levrette, le roi était entouré de toutes les autres fées, il avait des mains sur toutes les parties de son corps. A son anus était collée la bouche de Pipelette, tandis que Picolette et Rosette lui exploraient l’intérieur avec deux doigts chacune. Pendant ce temps, Dorette, assise sur sa poitrine, laissait doucement et consciencieusement échapper son liquide favori, tandis qu’il glissait une main entière dans le vagin de Goussette au bord de l’évanouissement.

Lorsque Bandeur eut joui dans le cul de la reine, les fées transportèrent littéralement le roi jusqu’à l’anus élargi de sa femme et l’y firent entrer. Goussette avait pris la place de Picolette dans le cul du roi. Elle voulut lui rendre son plaisir. Elle enduisit sa main de beurre, il y en avait à profusion sur les tables. Prudemment elle glissa deux puis trois doigts. Amusée, Rosine retira les siens pour regarder, les huma puis les lécha avec avidité. Le roi enculait sa femme, tandis que Troibée lui massait les testicules, il gémissait de plaisir et semblait vouloir ouvrir encore ses fesses. Quatre doigts entrèrent, puis cinq, bien serrés. Avec d’infinies précautions, Goussette avançait maintenant dans son rectum, sous le regard des autres fées et de Bandeur. Enfin, sa main entière disparut dans le cul du roi, qui jouit à ce moment là dans le cul de la reine, laquelle s’endormait déjà.

Nul ne sut jamais si le roi connut tout le plaisir de cette main dans ses entrailles ou s’il s’endormit avant d’avoir trop nagé dans le sperme de Bandeur qui emplissait le rectum de sa femme.
Tout le monde dormait dans le château. Troibée prononça une formule magique afin que le sommeil de tous durât cent ans.

Cent ans plus tard, les ronces avaient envahi tous les alentours, la forêt avait envahi les parcs du château, on ne voyait plus ses murailles et personne n’en avait entendu parler.

Le prince Bégueule allait à la chasse. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, c’était un homme au physique banal, ni laid ni beau, juste un peu petit, de ces gens-là que personne ne remarque dans une foule. Pour rehausser ses attraits, il affectait de n’avoir que des serviteurs et des familiers contrefaits qui lui étaient reconnaissants de sa confiance et le servaient aveuglément.

Ce prince avait des goûts sexuels assez particuliers, il s’entourait d’une bande très spéciale, composée de deux transsexuelles, Alpha et Bêta, qui lui servaient, en quelque sorte, de compagnes «more danico», comme disaient les anciens normands et de gardes du corps, ainsi que de quelques hommes jeunes souvent travestis et de deux ou trois nymphettes relativement dépourvues de poitrine. C’est dans un tel équipage ; transsexuelles, travestis, nymphettes, serviteurs bossus et tarés, guerriers lacérés de cicatrices qu’il déboucha, à la poursuite d’un sanglier dont nul ne sut jamais s’il avait vraiment existé, dans le bois ô combien touffu qui entourait le château où la belle Plaisir et tous les siens reposaient.

Les sergents à pieds, taillant dans les ronces, progressaient sans le savoir vers le lieu abandonné et oublié. Une des transsexuelles, qui les suivait à cheval, aperçut, au-dessus d’un taillis bien épais, les restes d’une tour. Elle appela la petite troupe pour lui faire part de sa découverte. Alpha, car c’était elle, dirigea bientôt la manœuvre : elle fit écarter les branches, abattre les ronces et le lierre. Peu à peu, chacun réalisa qu’il s’agissait, non pas des restes d’une tour, mais d’une tour réelle, complètement conservée.

On grimpa alors aux murs, et, par chance, la fenêtre du premier étage était ouverte. Alpha s’y glissa la première, suivie du prince Bégueule, de Bêta et de deux serviteurs. Les autres préférèrent rester en bas, guère tentés par les vieilles pierres.

Ils suivirent un couloir et débouchèrent assez vite sur l’antichambre de Plaisir ; puis ils entrèrent dans la chambre. Depuis cent ans, la princesse dormait, allongée sur le dos, les cuisses écartées de manière outrancière, et, bien sûr, totalement nue.

Le serviteur bossu s’adressa à Bégueule :

- Mon prince, c’est là, j’en suis sûr, la princesse qui vous est promise.
- Oui, répondit Bêta, tout concorde, le château abandonné, la belle aux cuisses écartées...

Bégueule n’avait pas l’air emballé.

- Suis-je vraiment obligé de posséder cette créature ? Il faudrait au moins la retourner pour que je puisse visiter son petit trou. Etes-vous sûr qu’elle n’est pas morte ? Tout son intérieur doit être bien froid.

- Bon j’ai compris, dit le serviteur borgne et boiteux, je vais vous la chauffer, cette princesse.

Ni une, ni deux, le voilà qui sort un sexe, ma foi d’assez bonnes proportions, mais une peu malodorant, pas lavé depuis un bail. Il s’approche de Bêta qui le branle activement, s’avance vers Plaisir et lui enfonce son chibre dans le vagin. Il la besogne et jouit assez vite avec un grognement. Elle ne bouge pas.

- Ca y est, dit Alpha, elle est chaude à point, allez-y doux seigneur.

Mais le «doux seigneur» n’avait pas l’air bien emballé. Cette chatte béante n’était pas de son goût. Bêta s’approcha alors de lui, elle détacha sa culotte et exhiba son sexe flasque. Elle se baissa, le baisa délicatement puis le prit en bouche. Alpha arriva par derrière et écarta lestement les fesses du prince puis y glissa un doigt. L’ambiance se réchauffait sérieusement.

Il faut préciser, cher lecteur, qu’Alpha et Bêta, comme on l’aura compris était au courant de la prédiction et qu’elles étaient en contact avec Brasilia. La fée leur avait expliqué ce qu’elles devaient obtenir, pour les moyens, il leur fallait improviser.

Elles le firent avec talent. Très vite, le prince se mit à respirer de plus en plus fort, alors Bêta s’arrêta.

- Allez, seigneur Bégueule, si tu veux que je te défonce ton petit cul, tu vas commencer par prendre cette fille. Toi seul peux la réveiller.

- On peut peut-être s’arranger, ajouta Alpha, tu peux la sodomiser, on va te faire le passage.

Elle retira son doigt du cul du prince, le lécha longuement, déplaça le corps inerte de Plaisir et l’introduisit dans son anus. En quelques secondes, un deuxième doigt rejoignit le premier. De l’autre main, elle attrapa le sexe du prince et le tira à elle. Elle continua de masser et élargir le trou, puis, enfin, y glissa le sexe de Bégueule. En même temps elle soulevait les fesses de Plaisir pour faciliter la sodomie. Presque en même temps, Bégueule et Alpha levèrent la tête et s’aperçurent que la main de Bêta était entrée en entier dans le sexe de la princesse, que du liquide en coulait que la respiration de la belle semblait s’accentuer.

Cette fois, le prince était pris au jeu. La vue de cette main et ce cul si douillet eurent un effet conjugué qui balaya ses réticences. Il se mit en branle, tapant à grands coups contre l’orifice anal de Plaisir, s’excitant au plus au point, criant, bavant, tant et si bien que la belle se réveilla.

Elle se réveilla dans l’état d’une fille assoiffée de sexe qui se fait prendre, un merveilleux réveil. Après avoir murmuré, elle cria son plaisir et dit :

- Partout, je veux des bites partout !!!

Au même moment, Alpha retira le prince du cul de la belle.

- Quel imbécile, souffla-t-elle à sa copine, il allait jouir.

Elle entraîna sur le lit le prince qui ne disait mot. Puis elle s’adressa à Plaisir.

- Maintenant suce-le jusqu’à ce qu’il jouisse.
- Mais je veux qu’on me prenne.
- Ne t’en fais pas, ça va se faire.

Bêta qui avait retiré délicatement sa main s’allongea sur le dos et attira Plaisir sur elle, elle s’enfonça d’un coup dans son vagin spacieux. Elle fit signe au serviteur bossu qui sortit un sexe presque plus large que long et s’introduisit avec plus de douceur qu’on n’aurait pu le croire dans le fondement de la princesse.

- Alors, dit Alpha, es-tu bien prise ?
- Oh oui, ça commence a être bon.

Le serviteur se démenait comme un beau diable, s’agrippant aux fesses, les griffant même, les claquant surtout, tandis que Bêta lui pilonnait consciencieusement le sexe.

- Bon alors suce-le avant qu’il ne débande.

Elle l’emboucha enfin.

- Il faut que la prédiction se réalise, dit encore Alpha, on va mettre tous les moyens.

Aussi se glissa-t-elle derrière le prince qui était à quatre pattes et elle l’encula à sec. Il eut un léger cri, mais très vite, les seuls mots qui sortirent de sa bouche furent :

- Encore, encore, plus fort, à fond, défonce-moi !

La bouche de Plaisir accomplit des miracles, sa langue chaude s’enroulait, puis elle pompait, pompait à n’en plus finir.

- Je vais jouir dans la bouche de cette femelle en chaleur, cria Bégueule à l’intention d’Alpha, je veux que tu m’achèves.

Enfin, de longues giclées de foutres s’échappèrent de la bite du prince et remplirent la bouche de Plaisir qui avala presque tout ; presque, car sa propre jouissance coïncidant avec l’éjaculation de Bêta la fit se tordre et elle relâcha quelques instants la bite de Bégueule.

La lâchant définitivement, elle s’effondra sur Bêta, tandis que le bossu explosait dans son rectum. Les trois corps se détachèrent peu à peu tandis qu’Alpha continuait de défoncer le prince. Elle finit par l’aplatir et s’allonger pesamment sur lui. Inlassablement, elle piochait dans ses entrailles, s’éloignait, revenait et piochait encore. Elle jouit enfin dans son cul puis se retira au milieu de son abondante éjaculation et força sa bouche afin d’y finir de se vider.

A la fin, le prince dut lécher tout le monde afin d’aspirer le sperme qui restait, il finit par le vagin de Plaisir.

La prédiction s’accomplit donc, ainsi que l’avait dit Picolette. Bégueule épousa Plaisir, mais ils firent rarement l’amour seuls. Chaudasse, peu rancunière, se réconcilia avec Plaisir et lui offrit même un énorme godemiché ceinture qu’elle harnachait souvent pour défoncer le cul de son mari.

Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants, mais nul ne sut jamais, pas même Plaisir elle-même, combien étaient de Bégueule...

 

Ce récit à eu l'honneur d'être 1er prix de la meilleure nouvelle pour 2007

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Lundi 10 janvier 2022 1 10 /01 /Jan /2022 17:14

Sophie une rousse sauvage 3 – Retour à la pâtisserie par FétichOdeursFlag culote

 

Un soir que nous parlions, je proposais à Sophie d’aller revoir notre pâtissière et sa forêt noire. Sophie appela :

– Allô, bonjour c’est Sophie…. , je ne sais pas si vous vous souvenez, mais nous sommes venus avec mon ami, déguster une forêt noire il y a une dizaine de jour, – oui je m’en souviens très bien, d’ailleurs mon mari a adoré la petite culotte que vous m’avez laissée
– Ah ! monsieur aime les parfums intimes – Oui beaucoup, moi aussi d’ailleurs, par contre je suis désolée vous ne pourrez pas la récupérer, mon mari est en voyage, et la porte sur lui.
– Mais c’était un cadeau, j’appelais pour savoir si nous pouvions passer, dans 20 minutes ne sachant pas l’heure de la fermeture
– La pâtisserie sera close, mais sonnez et je me ferais un plaisir de vous accueillir, en plus nous ne serons pas dérangés.

– Bon habillons-nous, me dis Sophie !

Elle mis un chemisier blanc transparent, retira sa culotte me la tendis. Aussitôt, je humais les parfums subtils de cyprine et de pisse qui s’en dégageait.

– Enfile la chéri, je suis sûre que tu préfèrera porter des sous-vêtements féminins que tes slips en coton.
Elle mis des bas noirs et un porte jarretelle noir, et chercha dans la panière à linge sale une petite culotte noire en dentelle, à travers laquelle elle avait uriné debout dans une file d’attente.

Nous prîmes nos manteaux et après dix minutes de voiture, nous nous garâmes en face de la pâtisserie.

Arrivés devant la porte, il ne fut pas nécessaire de sonner, la porte s’ouvrit.

– Bonsoir, Sophie moi c’est Solange, installez-vous j’arrive, juste le temps de ranger quelques bricoles.

Une table nous attendait avec deux assiettes Solange revins avec deux flûtes à champagne.

-Je pense que vous apprécierez les serviettes. Bertrand, la vôtre est encore chaude

En fait de serviettes il s’agissait de deux petites culottes blanches. Je pris la mienne elle était toute chaude et humide. Je l’ouvris découvrant de larges auréoles et quelques poils noirs frisés. Solange m’observait et je pris un grand plaisir à lécher le fond de sa culotte.

– Ah ! j’ai oublié de vous dire, nous dit Solange, mon mari excité par votre aventure de l’autre jour m’a autorisé à faire visiter ma forêt noire, mais il m’a interdit que vous y pénétriez
– Pas de problème répondit Sophie, je porte garant de la queue de Bertrand.
– Bon je reviens dans 5 minutes.

Sophie ouvrit à son tour la serviette surprise de son verre, et mon montra le fond taché de jaune de la culotte.

– Eh bien, je crois qu’elle ne s’essuie pas la chatte après le pipi la cochonne
– Dis-moi Sophie et si on remplissait les verres
– Tu ne veux quand même pas que je pisse dedans
– Oh ! si je veux voir un liquide jaune d’or dans ces flûtes
– Ok, de toute façon, elle n’est pas obligée de boire

Lorsque Solange revint avec une bouteille de champagne et un plateau bourré de gâteaux au chocolat, nous vîmes qu’elle s’était changée. Notre brune de 45 ans avait mis un tablier de soubrette noir avec son surtablier blanc en dentelle qui partait des hanches. Elle ne portait rien en haut en dessous, et ses deux grosses mamelles bougeaient librement en dessous, ballottées par la marche de Solange. Ses bras légèrement écartés pour tenir le plateau découvraient deux touffes noires abondantes sous ses aisselles. Pour le bas, on découvrait des jambes rondes et gainées de noir.

Solange surprise :

– Vous aviez amené une bouteille ?
– Pas vraiment lui répondit Sophie avec un grand sourire
– C’est une fabrication maison, précisait-je, un grand cru classé Rousse-Sophie Ça ne vous gêne pas, j’espère ?
– Non dit Solange,
– Bertrand, montre comme tu apprécies ma liqueur dorée.
Je fixais Solange, pris mon verre et dégustais une première gorgée. Puis je décidais de boire tout cul-sec et me léchais les lèvres que Sophie venais d’embrasser. Sophie pris son verre et le tendit

– Solange vous voulez peut-être goûter ?
– J’allais vous le demander, c’est la première fois que je goutte un cru de rousse –
– Vous aussi vous aimez la liqueur dorée
– Disons qu’il nous arrive avec mon mari de boire à la source.

Solange était vraiment surprenante, nous qui pensions être les seuls à pratiquer l’Uro, nous découvrions une véritable complice. Solange nous sourit, pris un doigt le trempa dans le verre et le suça. Puis elle le retrempa et déposa une goutte d’urine sur son cou. Nous vîmes la goutte couler jusqu’au sillon vertigineux de ses gros seins. Puis elle porta le verre à ses lèvres et entreprit de boire son contenu gorgée après gorgée. Lorsqu’elle eut la dernière gorgée dans la bouche, elle ouvrit celle-ci et nous montra sa langue et ses dents baignant dans l’urine de Sophie. Et elle avala la dernière Gorgée et nous dit

– Un vrai nectar, mais vous n’avez plus rien à boire ; Que diriez-vous d’un château brune sauvage ?
– Avec plaisir répondis-je
– Mettons plus à l’aise dit Sophie, je crois que nos vêtements sont ridicules –
– Effectivement j’en meurrrrrre d’envie, Bertrand viens défaire le nœud de mon tablier
– Vas-y cochon, me dit Sophie, tu meures d’envie de toucher cette grosse salope.
– Parce que, tu te crois une oie blanche, la grosse rousse, dit Solange
– Je n’ai jamais dit que je n’étais pas une grosse truie

Je me collais derrière Solange et défie le nœud derrière son cou, tandis qu’elle soulevait ses cheveux. J’en profitais pour glisser sur le côté et embrasser son aisselle poilue. Elle était toute humide et sentait fort

– Allez lèche Bertrand, obéi à Solange
– Tout de suite Solange,

Pendant ce temps, j’avais détaché le haut de son tablier, découvrant ainsi de gros seins bien lourds et bronzés, qui pendaient sur son ventre. Je laissais son aisselle et entrepris de détacher le tablier tenu par une ficelle au niveau des hanches. De son côté Sophie était en petite tenue et écartait les cuisses, montrant à Solange sa touffe abondante et rousse qui dépassait de sa petite culotte en dentelle noire. Solange n’avait pas remis de culotte et une forêt sauvage brune nous apparut, lorsque le tablier glissa au sol.

Je bandais comme un âne et Sophie vint me déshabiller. En baissant mon pantalon, elle dit

Solange tu m’as donné une idée tout à l’heure, à partir d’aujourd’hui Bertrand ne portera plus que mes petites culottes
– Regarde ma chérie comme il bande dans ta culotte ton mec
– Oh ouiii ça t’excite salaud !
– Oui vos chattes luxuriantes me donnent soif

Solange monta sur la table et me demanda de tendre les verres. Elle s’accroupit et lâcha sa vessie Je remplis un verre, puis le deuxième, mais cela déborda, alors je plaquai ma main sur sa moule et la frottai pendant que les dernières gouttes sortaient. Puis Solange demanda à Sophie de la nettoyer. Sophie fit descendre Solange l’installa dans un fauteuil les cuisses sur les accoudoirs, se mis à quatre pattes et lui lécha la fente.

– MMM ça sent la marée, Solange, tu es une vraie truie
– Oh oui je suis une grosse truie, mon mari m’interdit de m’essuyer aux toilettes quand je fais pipi, et la douche m’est permise que le dimanche soir
– Mmmm tu mouilles comme une fontaine, viens Bertrand goutte-moi cette touffe
FO3
Elle dégageait un parfum différent de Sophie, elle sentait fort comme ma rouquine mais avec d’autres effluves. J’étais très excité et Sophie me caressait les couilles, je lui fit signe d’arrêter ne voulant pas exploser trop tôt. Sophie proposa un 69 à Solange, qui accepta avec empressement. Solange qui avait eu un avant-goût des parfums de la chatte rousse de Sophie à, travers la culotte que nous lui avions laissée se plongea avec ivresse dans la forêt de poils humides de Sophie.

– MMM c’est tout poisseux, salope fit Solange
– Bertrand aime beaucoup mes sécrétions abondantes
– Il a raison et de la chance, mmmmm c’est vraiment bon
– Bertrand Prend moi par derrière pendant que Solange me bouffe ma grosse moule.

Je m’approchais des fesses rebondies de Sophie et Solange les écarta pour me faciliter le passage. Sous les caresses de Sophie, Solange fut la première à jouir.

– Oh oui , ouiii mm vas-y plus fooooort , aaaaaah OOOOUUUUUUIIIIIIIII
-Bertrand je viens aussiiiiii- cria Sophie avant de s’écrouler sur le corps de Solange.

J’étais sur le point de craquer, lorsque Solange me dit

– Donne-moi ta crème

Et joignant le geste à la parole, elle retira ma bite du cul de Sophie et l’avala, il ne me fallut pas 30 seconde pour lécher mon sperme gras dans la bouche de Solange la goulue. Solange ouvrit la bouche pour me montrer le sperme qui la remplissait et avala. Sophie se redressa la touffe au-dessus du visage de Solange et lui dit ouvre la bouche

– Salope, je vais te rincer les dents.

Je vis le visage de Sophie se crisper, signe qu’elle essayait de pisser, puis j’entendit le jet magique sortir et vis Solange qui essayait d’en avaler le maximum, pendant que ses mains caressaient les cuisses velues de Sophie.

– Et moi on m’oublie dis-je
-T’en fait pas dit Solange

Elle s’assit sur une chaise écarta ses grosses cuisses se pencha en arrière. Je me mis à genou entre ses cuisses à 30 cm de sa grosse moule poilue je vis ses grosses lèvres bouger s’écarter lentement et un jet dru sortir et venir éclabousser mon ventre. J’ouvris la bouche et vins me coller à sa chatte pour boire un maximum de pipi chaud.

Nous étions passablement trempés et Solange nous amena à sa salle de bain pour prendre une douche. J’étais le seul à ne pas avoir encore vidé ma vessie. Sophie et Solange se mirent à genoux dans la baignoire et je commençais une douche dorée passant d’une bouche à l’autre. La pisse dégoulinait de leur menton sur leurs gros nibards avant de couler sur leur touffes sauvages. Sophie trempa ses fesses dans la flaque d’urine de la baignoire et me les tendis à lécher. Mon sexe repris de la vigueur je fis mettre Sophie debout jambes écartées, les mains en appuis sur la baignoire.

Solange se mis sur le côté une jambe sur un rebord de la baignoire et tout en se masturbant dirigea la manœuvre :

– Vas-y Bertrand, fourre ta grosse bite dans la moule de cette salope
– Tu aimes ça Sophie t’exhiber en train de te faire mettre, hein ?
– Oui j’aime que tu nous observes
– Vas-y plus fort ramone-lui le conduit à cette grosse vache ! t’aimes ça la rouquine te faire défoncer
– Oui c’est bon un gros sexe qui me laboure la chatte
– Vas-y plus fort Bertrand je veux entendre gueuler ta grosse truie, ce sac à pisse, mmmm oui continue, je jouiiis ohh ouiiiiiiiiii

Son explosion déclencha la nôtre et nous nous retrouvâmes, je ne sais comment tous les trois enchevêtré au fond de la baignoire. J’étais en dessous, un peu écrasé. J’avais le nez entre les fesses de Solange. Un vrai plaisir d’autant qu’elle écrasa son gros cul sur mon visage. Elle se redressa et sans prévenir laissa un filet d’urine couler sur mon visage. Après une bonne douche, nous nous rhabillâmes

Sophie offrit sa culotte à Solange

– Pour ton mari !

Solange nous donna un paquet de pâtisserie et nous nous quittâmes, non sans se promettre de remettre ça mais avec son mari cette fois.

 

FIN

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Lundi 10 janvier 2022 1 10 /01 /Jan /2022 17:08

Sophie une rousse sauvage 2 – Première orgie dans la cuisine par FétichOdeurs

Flag culote

Voici en exclusivité pour ce site la suite de – Sophie une rousse sauvage – Pour les amateurs d’odeurs de femmes rondes rousses et poilues, avec une passion pour les odeurs et le champagne chaud.

A partir de notre première expérience uro dans la baignoire, nous avons décidé avec Sophie qu’à tour de rôle nous devrions obéir au fantasme de l’autre. Je vais donc vous livrer quelques-unes de nos expériences.

1ère orgie dans la cuisine

Un jour que je faisais les courses à CARREFOUR j’ai acheté un tablier de cuisine en plastique transparent. En rentrant à la maison Sophie était dans la cuisine ;

– Sophie ?
– Oui mon amour
– Regarde ce que je t’ai ramené des courses
– Un tablier transparent et je suppose que tu veux que je le mette sans rien en dessous
– Exactement mon petit trésor

Sophie retira son tee-shirt dévoilant ses deux gros nichons prisonniers d’un soutien-gorge à armature Playtex. Elle vint vers moi avec un regard d’allumeuse et me demanda de lui enlever son soutif. Elle se retourna frotta son gros cul sur mon bas ventre et me dit

– Maintenant c’est à moi de décider, tu n’as pas le droit de me toucher sans que je t’y autorise

Je défis son soutien-gorge du bout des doigts libérant sa poitrine 105 d.

– Pour te faire patienter, je t’offre un petit apéritif

Elle mit ses mains derrière sa nuque découvrant ses aisselles fournies de poils roux

– Viens respirer et lécher mes petites touffes mon chéri

Je m’exécutais dégustant ses arômes de la journée

– Mmmm que j’aime ta langue, stop j’ai de l’eau qui bout.

Elle alla vers la cuisine s’arrêta devant la porte, balança son gros cul de gauche à droite puis enleva son pantalon et sa culotte. Et me dit

– Viens dans la cuisine maintenant

Je la rejoignis et elle mit le tablier qui ne cachait rien de ses formes généreuses. Elle mit des spaghettis dans l’eau et enfila des gants de cuisine bleus avant de laver un plat dans l’évier. En frottant, elle faisait vibrer ses fesses et ses cuisses ce qui était très excitant.

– Fous-toi à poil Bertrand
– Tout de suite Sophie
– Ça t’excite de voir mon gros cul se trémousser, hein ?
– Oh oui regarde
– En effet

Elle approcha sa main gantée et pleine de mousse de mon sexe et fit quelques va-et-vient me laissant sur ma faim. Elle égoutta les spaghettis et prépara une sauce crème fraîche sauce tomate.. Je repris l’initiative et lui pris le saladier des mains avant qu’elle ne le remplisse de pattes.

– Monte sur la table et remplie le, il nous faut une boisson pour accompagner les pâtes

Sophie monta sur la table, écarta ses grosses cuisses. Je voyais ses belles mamelles blanches collées au plastique du tablier et avais une vue imprenable sur sa toison rousse abondante et bouclée ainsi que ses deux grosses lèvres roses qui pendaient. Avec ses gants de vaisselle cela donnait un érotisme torride. Je glissais le saladier sous ses fesses et Sophie se soulagea la vessie dans un bruit de jet dru qui m’excita encore plus. Elle avait une grosse envie et le saladier fut rempli à moitié. Je pris une tartine de pain et lui essuya la touffe avec

– Mmm tu fais des mouillettes
– Oui ! Dis-je en dégustant le pain parfumé, tu veux goutter ?

Elle prit un morceau et le trempa carrément dans le saladier avant de l’avaler avec un sourire de vice et cette expression de triomphe qu’on affiche lorsque l’on sait que l’autre est surpris. Sans un mot elle pris un verre dans le placard le remplie à ras bord et me le tendit

– Surtout n’en renverse pas une goutte mon petit cochon

Je lui souris et avalais une première gorgée ;

– Continue dit-elle en riant

Je bus une deuxième gorgée, puis la troisième, mais je dois dire qu’au bout d’une dizaine ça devenait plus dur mais je mis un pont d’honneur à finir.

– Voilà salope j’ai tout bu

Je me léchais les lèvres penchait la tête en arrière et retournait le verre pour récupérer la dernière goutte.

– Bien mon gros pervers, mais on a oublié de trinquer

Elle sortit un deuxième verre, remplit le deuxième, fixa dans les yeux. Je lui souris pris mon verre ; et lui dis
– Ok on fait la course

Elle commença à toute vitesse, mais par chance ou plutôt par inexpérience se mis à tousser à la moitié du verre ce qui me permis de gagner. (Aujourd’hui, nous sommes tous deux capables de boire plusieurs verres de suite sans problèmes, c’est une question d’entraînement). Sophie abandonna à la moitié du verre

– Ok j’ai gagné, ma chérie
– Oui désolée mais là en toussant j’ai avalé de travers je ne peux plus
– On a pas fini, désolé, tu boiras la fin tout à l’heure. Pour l’instant tu as un gage, je veux que tu me branle avec tes gants de vaisselle
– Ok tu as gagné, monte sur la table et met toi accroupi

Je montais avec une trique d’enfer, et Sophie me caressait les fesses d’une main pendant que l’autre astiquait doucement mon dard.

– Mmm elle est bien raide ta grosse queue
– Ta gentille Sophie va te la soulager
– Oh oui salope continue !
– Mmm je vois ton gros gland rouge qui demande qu’à cracher son yaourt bien gras
– Oh salope, je viens recueille mon sperme !

Sophie accéléra son va-et-vient et me fit jouir dans mon verre vide.

– Mmmm c’est bon ma chérie vas-y nettoie-moi le gland

Elle me suça et me donna le verre. Je pris un couteau et fis une tartine au foutre, que je tendis à Sophie. Elle aimait visiblement cette situation et me pris le couteau des mains pour en couper la moitié qu’elle me tendit. C’était un peu fade alors je mis un peu de sel, et mangea ma part. Avec tout cela Sophie qui n’avait pas joui n’en pouvais plus. Mais je menais toujours le bal

– Bon maintenant je te propose une – pipi – spaghetti partie dans la baignoire
– Oui mais viens me soulager d’abord, j’ai la moule en fusion
– Seulement si tu finis ton verre

FO2


 

Elle prit le verre, et bu son urine cette fois tranquillement gorgée après gorgée.

– C’est bien mon trésor, assied-toi sur la table et écarte les cuisses que je te soulage
– Oh oui viens vite bouffe-moi la chatte, elle est toute fondue !

En effet, sa chatte et ses cuisses étaient poisseuses de mouille, et son bouton était très dur. Je lui introduis deux doigts dans la chatte tout en lui léchant et aspirant le clito. Elle était déjà mure et il me fallut seulement 30 secondes pour qu’elle explose sur ma bouche emprisonnant ma tête entre ses grosses cuisses.

– Bon c’est pas tout mais les pâtes ont refroidi; je les mets au micro-onde
– Moi je vais dans la salle de bain, je prends le saladier de champagne et les verres
– Attend moi et enlève ton tablier
– Oui ce sera plus pratique

Arrivé à la salle de bain, je dis à Sophie que j’avais une envie de pisser énorme.

– Viens faire dans le saladier

Sophie pris ma bite et dirigea le jet qui re-remplit le saladier. Elle égoutta les dernières gouttes sur chacun de ses tétons

– Cadeau pour tout à l’heure

Nous rentrâmes dans la baignoire et nous nous assîmes l’un en face de l’autre, le plat de spaghettis entre nous, je pris un spaghetti et la mangea avec mes mains. Le sexe ça creuse et ce n’est qu’au bout de 5 minutes une fois calé, que j’attaquais. Je pris une grosse poignée de spaghettis et la lança sur les gros nibard pendants de Sophie ; Elle ramassa les pattes tombées au sol et se les étala sur les seins. Sophie renversa le plat complet de spaghetti et en pris deux poignées qu’elle vint frotter sur mon visage très vite nous n’étions plus que deux corps glissant l’un sur l’autre dans la sauce tomate et les nouilles. Nous nous léchions, sucions, caressions avec les pâtes. Je finis par la prendre par derrière, nos deux corps glissant l’un sur l’autre dans uns sensations très agréables.

– Allez prend moi fort, oui je sens ton gros mandrin qui me ramone la cheminée
– Oh Sophie ton gros cul de salope il est bon, tu sens comme je te laboure la chatte
– Oh Bertrand je viens !
– Mmmm ohhhh ouii Sophie c’est bon

Nous nous écroulâmes dans la sauce tomate et les nouilles. Après avoir repris nos esprits, Sophie qui ne voulait pas rester sur une défaite nous servit deux verres de liqueur dorée

– Tchin tchin .

Les verres étaient plus petits et Sophie gagna cette fois.

– Bertrand à genoux, les mains dans le dos ; et tu dois manger les spaghettis

Je m’exécutais et lui mangeais les nouilles entre les doigts de pieds. C’est tout pour aujourd’hui

A suivre
marc.marc15@voila.fr

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Lundi 10 janvier 2022 1 10 /01 /Jan /2022 17:04

Sophie une rousse sauvage 1 – La rencontre par FetichOdeurs

Flag culote

Chapitre 1

C’était au volley que j’ai rencontré Sophie. Ce qui m’a tout de suite marqué c’est la jovialité de son regard et son entrain. On ne peut pas dire qu’elle avait le gabarit d’une volleyeuse : 1,60 m avec un tour de poitrine 100 D. Au cours de la partie je remarquai très vite que c’était une super joueuse avec une touche de balle très propre, et un sens du jeu certain. Etant passeur je repère tout de suite qui est l’âme de l’équipe. Et ce n’était pas les grands costauds qui smatchaient fort, non c’était cette petite rousse toute en rondeur qui se démenait, plongeait dans tous les sens pour offrir des balles d’attaques sur un plateau. Notre premier contact fut un peu brutal puisqu’un de ses coéquipiers en redescendant d’un contre la fit tomber et passant sous le filet elle vint s’écraser sur moi. Elle était trempée de sueur et en l’aidant à se relever, son odeur animale emplit mes narines. Elle me sourit.

– Pardon je ne vous ai pas fait mal ?
– Non rassurez-vous et vous ça va ?
– Ouiii, toujours prête !
– En tout cas vous êtes une sacrée joueuse
– Merci, mais comme passeur on a vu plus mauvais, au fait ton prénom, moi c’est Sophie ?
– Bertrand »

A la fin du match l’entraîneur nous invita à boire un verre, et Sophie était restée. J’étais le nouveau dans le club et l’entraîneur dit :

– Sophie pour les tournois en mixte tu as un sacré concurrent avec Bertrand
– T’en fais pas Maurice, au lieu de jouer à un passeur on va jouer à deux passeurs, et j’aime autant te dire que je suis sûr qu’il est aussi vicieux que moi et qu’en face il n’y a pas une équipe qui va nous résister.

Elle avait dit ça en me fixant dans les yeux, son regard brillait. On me questionna sur ce que je faisais, où j’avais joué avant, où j’habitais. Sophie réagit rapidement lorsqu’elle découvrit que nous habitions le même village

– Mardi prochain tu viens me prendre, Bertrand, ça sera plus sympa
– Pas de problème Sophie.

Nous nous quittâmes, après une dernière bière, et Sophie vint vers moi

– Eh chauffeur on se fait la bise ?
– Avec plaisir mademoiselle !

Au lieu d’une bise classique, elle posa ses lèvres avec une infinie tendresse sur mes joues, je lui rendis la pareille. elle me quitta en disant

– A mardi, je crois qu’on va faire une sacrée équipe tous les deux.

Pendant tout le week-end je repensais à elle, à son parfum animal. Le mardi j’étais 10 minutes en avance devant chez elle, elle accourut tout de suite en survêtement mais cette fois elle avait les cheveux libres ce qui me permit d’admirer sa longue chevelure rousse et bouclée.

– Sophie tu as des magnifiques cheveux
– Oui mais tu sais il y a beaucoup de gens qui n’aime pas les rousses
– Mais c’est idiot, surtout que tu es magnifique
– T’es gentil, mais tu as dû remarquer que je n’ai pas la taille mannequin,
– Arrête tes complexes, les mecs préfèrent une femme avec des seins, des fesses bien rondes que les planches à pain.

Nous arrivons au gymnase, vers la fin de l’entraînement, suite à un faux mouvement Sophie chopa une crampe carabinée au mollet. Je lui enlevai sa chaussure et lui fis faire des mouvements qui décrispèrent un peu la crampe. Pendant que les autres jouaient je commençais à lui masser la cheville, remontais son bas de survêtement jusqu’au genou et découvrit un mollet poilu. Sophie devint rouge et me dit

– Désolée, je ne me suis pas épilée depuis un bail
– Ça ne me gêne pas Sophie, j’adore les femmes natures sans complexe
– C’est gentil mais je suis sûr que ça t’écœure.
– Non, je t’assure, tu vas peut-être me trouver bizarre, mais je t’assure qu’une femme avec des rondeurs, une toison développée, des aisselles poilues est plus excitante qu’une blonde bcbg, à la taille de squelette, et aux sourcils épilés.
– Mince, mais je te fais de l’effet Bertrand
– Oh pardon
– Mais il faut pas, c’est plutôt flatteur mon chou ; mmmm continue ça me fait du bien ton massage du mollet mmm c’est bon ça détend bien, mmm t’as des mains qui valent de l’or.

Maurice siffla la fin de la séance, et Sophie lui dit

– Ça va mieux mais je ne reste pas boire ce soir Bertrand va me raccompagner.

Dans la voiture à peine avais-je démarré qu’elle posa sa tête sur mon épaule

– Bertrand, pardonne-moi si je suis aussi directe, mais tu me plais beaucoup
– Moi aussi Sophie j’ai pensé à toi pendant tout le week-end

Elle vint m’embrasser dans le cou et commença à y passer sa langue. J’avais du mal à conduire. En plus elle sentait fort, une odeur qui m’électrisait, je n’avais jamais connu de rousse avant et je peux vous certifier qu’il n’y a rien de plus aphrodisiaque que les parfums d’une rousse. Heureusement j’arrivais devant chez elle :

– Vite viens chez moi Bertrand

A peine arrivé sur le palier je l’embrassais sauvagement, elle m’avait excité la salope, elle m’attira dans le salon me fit tomber dans le canapé, se mit à quatre pattes au-dessus de moi et vint m’embrasser. Je lui retirai sa veste de survêtement, son tee-shirt, puis je libérai ses énormes seins de l’entrave de son soutif de sport. Elle avait les yeux qui brillaient d’excitation. Elle leva les bras en l’air pour détacher ses cheveux, ce qui releva ses seins et découvrit ses aisselles fournies de poils roux humides. Je me relevai et entrepris de respirer ses dessous de bras puis commençais à lui lécher

– T’es fou Bertrand, je suis sale, j’ai transpiré ce soir
– Mmm non c’est bon ma chérie; Tu ne peux pas savoir comme ça m’excite
– Mmm oh c’est bon ta langue

Puis elle me déshabilla à son tour, le tee-shirt puis le survêtement, elle attrapa mon sexe baissa ma culotte. Ma bite sentait fort aussi et je craignais qu’elle n’ait pas les mêmes attirances que moi pour les odeurs.

– Attend Sophie, je vais me laver
– Ah non tu ne vas pas me faire attendre salaud !

Et elle avala mon sexe tout en me caressant les fesses. Elle y mettait beaucoup d’ardeur je n’en pouvais plus

– Attention Sophie, je vais jouir
– Oui viens dans ma bouche
– Mmmm ohhhh ouii chérie mmmm ouiiiii

Elle avait tout avalé ! Elle se releva et vint m’embrasser, nos lèvres humides se mêlèrent et quand nos langues se joignirent je sentis une substance un peu âcre m’envahir la bouche. Sophie me roulait une pelle au sperme puis elle me repoussa dans le canapé et commença à se caresser les seins. Elle continua par un strip-tease découvrant son gros cul dans une culotte blanche toute simple. Les poils de sa chatte dépassaient de celui-ci, ce qui était très excitant. Elle s’approcha de moi, se retourna, fit saillir ses grosses fesses à 5 cm de mon visage et choisit ce moment pour baisser son slip. Elle recula et me frotta son cul sur le visage. Je sortis ma langue et elle me dit

– Oui bouffe-moi le cul Bertrand
– Mmm il est bon ton gros cul, slurp mmm

Elle retira complètement sa culotte et me la lança en riant, je lui dis merci et commençai à la respirer, Elle sentait terriblement bon et fort ce parfum subtil de mouille, de sueur et d’urine, mMmmm c’était un délice

– Maintenant que tu as goûté à l’apéritif si tu venais boire à ma fontaine, mon petit cochon.

Chapitre 2

Notre première nuit avait été torride et une odeur de sueur et de sexe emplissait la chambre. A 7 heures, Sophie se réveilla brutalement

– Merde je suis en retard, je dois présenter le projet marketing en conseil d’administration ce matin. Tant pis je ne me douche pas, s’il te plait soit gentil va me préparer un café fort pendant que je me prépare. Elle arriva 5 minutes plus tard en tailleur strict le chignon tiré à quatre épingles. Elle but son café d’une traite et me dit.

– Tiens Bertrand voilà une clef tu fermeras en partant, là c’est ma carte avec mon numéro direct appelle moi cet après -midi.

Puis elle glissa un morceau de tissu dans ma poche de chemise « cadeau, c’est pour que tu penses à moi (En fait de tissu, il s’agissait de sa petite culotte d’hier soir, je l’enlevai de ma poche et la respirai à plein nez) Mon dieu que cette femme sentait fort et bon de la chatte ! Au bureau je n’avais vraiment la tête au travail, je repensais à son corps son regard coquin son sourire gourmand. A 15 heures je l’appelle

– Allo Sophie, c’est Bertrand
– Ah j’ai eu peur que tu n’appelles pas
– Tu sais, tu vas peut-être me trouver con mais il faut absolument que je te parle
– Qu’est-ce qu’il y a tu ne veux plus que nous ayons des relations.
– Non au contraire, au téléphone j’aime pas trop parler, je veux juste te dire que, comment dire, hier c’était super entre nous
– Moi aussi j’ai adoooooré
– Je sais que c’est très tôt mais il faut que je te dise, que tu me plais énormément. Je ne sais pas, je sens comme quelque chose de magique entre nous. Voilà je crois que je t’aime, tu me trouves peut-être ridicule
– Oh non Bertrand, c’est complètement fou dans ma tête, je te jure, j’avais qu’une trouille c’est que tu me quittes en me disant, que sexuellement c’était super mais que ta vie est ailleurs.

On arrivait plus à parler, on entendait juste nos souffles.

– Bertrand
– Oui Sophie
– Tu termines à quelle heure.
– 18 h mais je peux me libérer plus tôt si tu veux
– Oh ouiiii je ne pourrai pas attendre si tard –
– Si on se retrouvait à 16 h 30 au café
– Je te propose un pâtissier salon de thé, c’est un maître chocolatier
– Ok j’adore le chocolat mon trésor !

A 16 h 30 j’arrivais au salon de thé, Sophie m’attendait. nous nous sommes jetés dans les bras l’un de l’autre et embrassés fougueusement comme deux collégiens

– Oh Bertraaand!
– Mmm Sophie je suis heureux
-Je suis excitée comme une vrai gamine
– Mm moi je plane, mmm.

On s’assoit dans un coin discret, Sophie me dit que toute la journée elle a eu peur que ses collègues remarquent qu’elle n’avait pas eu le temps de se doucher.

– Tu sais que quand je transpire je sens plutôt fort
– Tu sens divinement bon surtout, ma jolie rousse

Elle sourit

– En plus, je ne te dis pas j’avais des remontées d’odeur du sperme avec lequel hier tu avais baptisé mes seins. Je suis même allée me branler aux toilettes à la fin du conseil d’administration.
– Moi j’ai pas arrêté de caresser ta culotte dans ma poche de pantalon. Et j’ai profité de son odeur aphrodisiaque dès que je pouvais

La serveuse, une brune de 50 ans bien en chair, vint prendre la commande. Je demandais

– Votre forêt vierge, elle est comment ?

Sophie éclata de rire devant mon lapsus, mais la serveuse sans se démonter me répondit avec un sourire espiègle

– Ma forêt vierge est luxuriante mais elle appartient à mon mari j’espère que vous ne serez pas déçus, quant à ma forêt noire je vous la conseille elle est fondante.

Sophie en rajouta :

– Nous nous contenterons de la forêt noire et si ça ne lui suffit il pourra goutter de la forêt rousse, elle est crémeuse à souhait
– Monsieur a bien de la chance !

Elle revint avec nos forêts noires,

– Je vous ai mis deux grosses parts vous m’avez l’air de deux gourmands,

Elle se passa la langue sur les lèvres et repartit. Pendant que je dégustais ma forêt noire je sentis la main de Sophie se poser sur la bosse de mon pantalon.

– Doucement Sophie je suis à la limite de l’explosion
– C’est vrai mon pauvre chéri, et bien moi, j’ai la cerise de ma forêt vierge qui baigne dans la crème de chatte

Elle accéléra ses caresses

– Libère ta crème Bertrand, ça te fera du bien !

Elle frotta encore plus fort, et j’explosais dans mon slip tout en roulant une pelle à ma belle Sophie. Puis elle me dit

– Bertrand tu sais, il y a le feu sous ma jupe tu ne pourrais pas glisser discrètement sous la table pour éteindre l’incendie.

– Je me glissais sous la table et me dirigeais entre ses cuisses gainées de bas couleur chair. Le parfum sauvage de sa touffe me sauta à la figure. Ces essences de jus de chatte, de sueur et d’urine étaient enivrantes. Sophie écarta les cuisses, pour mieux m’offrir son intimité, en fait elle n’avait pas remis de culotte ce matin. Je me jetais alors sur sa grosse moule elle était vraiment trempée ; Je buvais son jus et lui suçais la cerise et très vite je la sentis se tendre et trembler. Elle avait joui sans dire un mot. En sortant de dessous la table je fus surpris de me trouver nez à nez avec la serveuse qui me demanda

– Vous préférez la forêt noire ou la forêt rousse ?

Rouge de confusion je lui répondis que cette forêt rousse était un grand millésime. La serveuse nous souris et Sophie récupéra alors sa petite culotte releva sa jupe s’essuya la chatte avec et dit

– Je suis sûre que vous mourrez d’envie de goutter !

Elle lui tendit sa petite culotte souillée et la serveuse la respira et la lécha.

 

FO1

 

Un client entra, elle nous dit

– Merci, les gâteaux je vous les offre n’hésitez à revenir, au revoir !

Une fois dehors en nous dirigeant vers le parking, Sophie me dit

– J’ai envie de pisser,
– Moi aussi je vais trouver un arbre
– T’es gentil, mais t’as pas mieux
– Si entre les deux portières de ma voiture.

Elle s’accroupit, remonta complètement sa jupe et tout en me fixant relâcha sa vessie, le bruit du jet m’a toujours excité

– Bertrand tu n’as pas de papier dans ta voiture ?
– Non désolé, mais je peux te nettoyer si tu le désires.

Ses yeux brillèrent, elle s’assit sur le bord de mon siège écarta les cuisses et m’offrit sa foune sauvage à lécher.

– MMmm mon petit cochon tu aimes ça mes gouttes de pipi ; viens profite mon trésor !

Après cette petite gâterie Sophie reprit sa voiture et me donna rendez-vous chez elle. Moi je pris juste le temps d’aller chez moi prendre quelques affaires…

Chapitre 3

Donc, après l’épisode du salon de thé je rejoignis Sophie chez elle avec mes affaires. En arrivant de l’hôtel avec mes valises, elle m’ouvrit. Sophie avait détaché son chignon strict, libérant sa merveilleuse chevelure rousse qui descend jusqu’au bas du dos. Vous savez, cette limite où commence un sillon sublime partageant deux magnifiques rondeurs. Elle avait remplacé son tailleur par un simple tee-shirt blanc et un panty noir qui moulait admirablement sont gros cul bien rond. Elle me montra les armoires pour ranger mes affaires et me dit :

– Mets-toi à l’aise mon chéri. Après si tu veux on ira prendre un bain ensemble
– Avec plaisir Sophie.

Elle revint 5 minutes plus tard, et pendant que j’accrochais une chemise dans l’armoire elle vint se coller contre mon dos et me caressa le torse, elle fit sauter deux boutons de ma chemise et glissa sa main contre mon poitrail velu

– Mmmm Bertrand, tu rangeras plus tard.

Elle défit mon pantalon me laissa juste mon slip et commença à me lécher sur le ventre. Je la fis relever et lui ôtai son tee-shirt découvrant ses deux gros seins libres qui, malgré leur taille, se tenaient superbement. Nous allâmes dans la salle de bain, où un bain nous attendait. Sophie s’agenouilla et embrassa mon slip déformé par l’excitation. Elle mordillait mon sexe à travers le tissu.

– Tu aimes ça Bertrand que je t’excite
– Oh oui Sophie continue c’est bon
– Mmm ça pue le sperme mon salaud, t’as gardé ton slip après la pâtisserie Bertrand
– Je sais parfaitement que tu adores les odeurs de sexe ma chérie, je suis sûr que ton panty doit être trempé de désir ma grosse cochonne
– Viens le vérifier mon petit porc, je suis sûr que tu vas te régaler
– Mmm c’est tout trempé cochonne, tu aimes ça que je te traite de salope;
– Oh oui je suis ta grosse chienne en chaleur »

Je lui retirai son panty découvrant sa grosse touffe rousse et odorante ; Sophie ne s’épile jamais au-dessus du genou, et sa toison est très développée. Aussitôt je frottais mon visage contre ce gazon humide aux délicieuses senteurs de sueur, de mouille et d’urine.

– Tu aimes ça la touffe de ta grosse Sophie,
– Oh ouiii elle est merveilleuse, ta grosse touffe
– Viens prends-moi en levrette j’en peux plus mon chéri !

Elle se positionna de côté par rapport à l’armoire à glace fit saillir ses grosses fesses dont la raie était ourlée de poils frisés. Je me plaçais derrière elle, et Sophie attrapa ma queue et la guida vers sa grotte humide.

– Fais-moi jouir Bertrand »

Je la pris d’un coup sec, et commençais un va-et-vient rapide. (Dans la glace, je voyais ses nibards ballotter dans tous les sens sous mes coups de rein). Sophie me regardait à travers la glace en criant des « oh oui » et des « mmmmm ». Elle fixait aussi ma queue qui lui pilonnait la chatte.

– Oh c’est bon, ouii je viens mmm ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii »

Et elle s’écroula par terre. J’avais réussi à me retenir, mais c’était juste. Elle me regarda et me dit :

– MM je t’aime et en plus tu ne peux pas savoir à quel point tu me fais jouir Bertrand. Je vais te faire un cadeau mon trésor. Je parie que tu as toujours rêvé d’enculer une femme, mais que tu ne l’as jamais fait. J’ai raison ?
– Oui effectivement c’est un fantasme
– Eh bien je te promets de réaliser tous tes fantasmes, sauf la violence. mais tu devras aussi réaliser les miens
– Avec plaisir !

Sophie se mit deux doigts dans la chatte et enduit sa rondelle de mouille

– Viens Bertrand, je suis sûre que mon gros cul t’excite
– Tu parles c’est un pousse au crime un pareil dessert
– Vas-y mon chéri pousse fort !

J’appuyai mon gland sur sa rondelle, fou d’excitation. Je la saisis par les hanches et commençai à la pénétrer. Elle poussait en même temps. Je commençais des va-et-vient dans ce conduit serré. Et étant au bord de l’explosion je dis :

– Oh Sophie je viens c’est trop bon, mmm, ouiii !

A ce moment Sophie contracta ses sphincters ce qui me fit hurler de plaisir

– Mmm c’était bon mon chéri hein
– Sublime mais toi
– Oh j’avais déjà pris mon pied, et je ne jouis jamais du cul, ça augmente mon plaisir quand on s’en occupe, c’est déjà pas mal. Je crois que l’on a besoin d’un bon bain
– Effectivement

Nous rentrâmes dans le bain encore tiède ; après une dizaine de minutes de détente Sophie me dit :

– Je sors, j’ai envie de pisser
– Tu n’as qu’à pisser dans le bain mon trésor
– Oh je sais ce qui va te plaire, j’ai bien vu tout à l’heure dans le parking, espèce de cochon.

Elle monta sur le bord de la baignoire s’accroupit en écartant les cuisses.

– Profite mon petit voyeur regarde ma chatte, il va en sortir du champagne !

Sophie contracta sa vessie et lâcha un jet d’urine qui vint rebondir sur mon ventre.

– Ça t’excite de me voir pisser salaud, allez viens goûter mon champagne, je suis sûr que tu en meurs d’envie.
– Oh oui, je suis ton gros cochon !

J’ouvre ma bouche et commence à sentir le liquide chaud et sous pression rebondir sur ma langue.

– Avale salaud, obéis à ta Sophie
– Oh oui maîtresse je bois votre urine »

Le goût était bizarre mais pas désagréable et j’en bus plusieurs gorgées avant de nettoyer la chatte de Sophie avec ma langue.

– Mmm merci Sophie, mais je suis sûr que tu as soif aussi
– Mmm ouii Bertrand fais-moi goûter ta bière pression !

à suivre

marc.marc15@voila.fr

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Dimanche 9 janvier 2022 7 09 /01 /Jan /2022 10:17

Chanette 27 – L’affaire Manet-Carrier – 18 – Résumons-nous !
Chanette

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Lundi 14 juin

L’entrevue entre Remiremont et Louise devient inutile, la presse ayant tout balancé suite à la fuite volontaire du rapport des services secrets.

Anna-Gaëlle est passée me faire un petit coucou après ma journée de travail. En fait comme elle est curieuse comme une chouette, elle souhaitait que je lui résume toute cette rocambolesque histoire.

Alors allons-y, résumons :

Les choses se sont donc passées un peu de la façon suivante, puisque parfois il faut bien romancer…

Après la maison de correction, Tony Morsang et Paul Tocquard sont placés dans une entreprise d’horticulture. Ils sont copains comme cochons. Tocquard s’achète véritablement une conduite et se prend de passion pour son labeur, Morsang au contraire se fait remarquer par son mauvais travail et un comportement exécrable à ce point qu’on le vire de l’établissement.

Mais les deux jeunes hommes continuent de se fréquenter, Morsang qui vit de deals et de petites rapines, emmène régulièrement son ami au restaurant et au cinéma.

Tony espérait pouvoir loger chez ses parents, mais les retrouvailles se passent fort mal et se terminent en engueulade.

Morsang qui est beau gosse n’a pas de mal à se trouver une copine chez qui il squatte. Recherchant la marginalité, il rencontre, plusieurs mois après, Dudu, un serbe, qui se vante d’avoir réalisé quelques coups audacieux. L’idée d’un casse chez un bijoutier germe, la cible choisi sera Amberson. Le plan est simple, simpliste même, on est pas dans Océan Eleven. Ils décident de braquer la boutique en trois minutes chrono, de ne surtout pas s’attarder, et de prendre la fuite dans une voiture prête à démarrer en trombe au volant de laquelle un complice les attendra.

Dudu et Morsang entrent cagoulés et menacent tout le monde de leurs armes, la sirène retentit, ils ne perdent pas leur sang-froid et devant la menace, l’un des employés commence à ouvrir l’une des vitrines, les bijoux s’entassent dans un sac préparé à cet effet. Ils se doutaient bien que le magasin était télésurveillé et que la police serait prévenue rapidement… mais ne pouvaient soupçonner qu’une voiture patrouillait justement dans le quartier.

Les flics déboulent et intiment l’ordre de se rendre aux deux malfaiteurs. Morsang panique et tire, blessant mortellement l’un des policiers, l’autre tire sur Dudu qui s’écroule, Morsang continue de tirer, blesse le second policier et une balle perdue abat le seul client qui se trouvait là. Il prend ses jambes à son cou, s’engouffre dans la voiture.

– Et Dudu ? Demande le chauffeur qui démarre en trombe.
– Il est mort, mais j’ai le butin. Magne-toi !

La voiture file vers une rue peu fréquentée du 18ème arrondissement, là un autre véhicule les attend. La piste est brouillée, du moins momentanément car ensuite la vidéo surveillance pourra identifier le deuxième véhicule

Entre le chauffeur et Morsang éclate une dispute au sujet du butin. Ce dernier souhaite le planquer en attendant que les « choses se calment ». Le chauffeur lui est partisan d’un partage immédiat, chacun se débrouillant comme il l’entend avec sa part… Et il n’en démord pas ! Le ton monte. Morsang demande au chauffeur de s’arrêter pour aller boire un coup. Le chauffeur ne se méfie pas et tombe dans les pommes quand Morsang le frappe violemment sur le crâne. Il le pousse prend sa place au volant et sort de Paris se dirigeant vers la forêt de Saint-Germain. Dans une contre allée qu’il empreinte, il achève le chauffeur d’un coup de revolver et laisse le corps dans un fossé.

Quand le cadavre du chauffeur sera découvert, la police l’identifiera, car Morsang ignore à ce moment-là que Dudu a donné les noms de ses deux complices avant de succomber des suites de ses blessures.

Tout le butin est donc dans les mains de Morsang, il file à Saint-Germain, abandonne son véhicule, s’achète une pelle, un blouson à capuche et un pantalon gris, vole une nouvelle voiture et revient vers la forêt, il la connait bien et sait des endroits où personne ne met les pieds, c’est là qu’il enterre le produit de son forfait. Il enfile ensuite son blouson à capuche, change de pantalon, revient à pied à Saint-Germain, puis prend le RER pour Paris.

Le lendemain, la photo de Morsang s’étalait à la une de tous les journaux, à la télé, sur Internet…

Panique à bord ! Pas question de rester chez sa copine, laquelle tombe du placard.

– C’est quand même pas toi qui a fait ça ?
– Ben si, j’ai merdé.
– Tu ne vas pas pouvoir rester ici !
– Non, je prends le maquis….

Mais avant il se rase le crâne et se badigeonne les sourcils avec du mascara de façon à ce « qu’on ne voit que ça ». Il prend l’argent liquide dont il dispose et une dizaine de doses de coke.

– Si les flics se pointent, inutile de me couvrir, tu leur diras que je suis passé et que je suis parti.
– Et je vais être poursuivie pour non-dénonciation de malfaiteur…
– Mais non, tu diras que quand je suis parti, tu n’avais pas vu les infos… Allez ciao.
– Tu ne m’embrasses pas ?
– Mais si…

En sortant il se débarrasse de son téléphone portable et prend le chemin de la Gare de Lyon. Il prend un billet pour Lyon, puis sur place commence une vie d’errance, il approche les marginaux locaux, la coke qu’il possède et son expérience de dealeur lui permettent de s’intégrer. Apparemment la police a perdu sa piste, tout va bien, mais ce genre de vie ne le satisfait pas.

Alors il a une idée, il sait que traditionnellement le 1er septembre toute sa famille se réunit autour d’un immense plateau de fruits de mer, précédé de caviar de contrebande et arrosé du meilleur champagne. Cette date est l’anniversaire de mariage de ses parents. Des parents qu’il a en horreur et avec lesquels il est fâché, mais la question n’est pas là. Ceux-ci tiennent un négoce de voitures d’occasion et de pièces détachées. Double comptabilité, et magouilles diverses ne leur font pas peur.

Le coup qu’il prépare est énorme, il ne faut pas le rater, et déjà se renseigner si la « petite fête » aura bien lieu ce jour-là.

Martine, la plus grande de ses deux sœurs est coiffeuse dans le Marais. Il s’achète des vêtements de ville, comme on dit, et débarque à Paris.

Arrivé devant le salon de coiffure, il fait signe à sa sœur, elle est surprise mais se décide à sortir.

– Qu’est-ce que tu viens foutre ici ?
– Te dire bonjour !
– Ben voilà c’est fait ?
– Tu sais tout de même que les flics te recherchent, il sont venus au moins quatre fois à la maison pour nous emmerder…
– C’est une erreur judiciaire, je n’ai tiré sur personne, j’avais dit à mon complice de ne pas emporter d’arme chargée, il ne m’a pas écouté…
– Fallait leur dire aux flics…
– J’ai eu la trouille.
– Ma pauvre bichette ! Et sinon tu viens pourquoi ?
– Les parents, ils fêtent toujours leur truc le 1er septembre.
– Ben oui !
– J’aimerais leur faire une surprise, qu’est ce qui leur ferait plaisir ?
– Ce qui leur ferait plaisir c’est que t’arrêtes tes conneries.
– C’est plus ou moins ce que j’avais l’intention de faire, j’en ai marre de cette vie de fugitif. Je vais essayer de me réconcilier avec la famille et après j’irais aux flics, on verra bien comment ça se passe.
– Bon j’y vais, on m’attend.
– Ne leur dis pas que je viens, ça leur fera une surprise.

Qu’elle leur dise ou pas, n’avait aucune espèce d’importance, il voulait simplement la confirmation de la date, il l’avait.

2ème acte : il se rend au foyer où loge Paul Tocquard en espérant qu’il y soit encore, sinon il a un « plan B ». Il faut toujours avoir un plan B !

– Toi ! Mais je ne te reconnaissais pas ! Oh ! Que ça me fais plaisir de te voir…
– Et moi donc !
– On m’a dit que tu avais des ennuis avec la police.
– Les journalistes m’ont tout mis sur le dos, mais moi je n’ai rien fait, je n’étais même pas armé.
– T’as fait un casse quand même.
– Disons que je me suis laissé entrainer, j’ai commis une erreur. Tu sais maintenant on va se voir régulièrement, tu veux qu’on aille au cinéma demain ?

Bref Tocquard est fou de joie d’avoir retrouvé son copain.

– Tiens je vais t’offrir un cadeau, lui dit Morsang en lui tendant sa gourmette en or.
– Attends, tu me donnes ta gourmette !
– Oui, parce que ça me fait plaisir de te la donner.
– Mais elle gravé à ton nom !
– Justement, tu auras une gourmette gravé au nom de ton ami !
– Ah, ben dis donc, tu me gâtes !
– Et il faudra la porter tout le temps, ça te portera bonheur.
– Ah bon !
– Et je vais faire encore quelque chose d’autre pour sceller notre amitié, je vais te présenter à mes parents.
– Tu m’as dit que tu ne les aimais pas.
– Oui mais disons qu’on a peut-être eu des torts des deux côtes, j’aimerais me réconcilier avec ma famille, quand il vont voir que tu es mon ami et que tu n’es pas un voyou, ça va leur faire plaisir.
– Ah, d’accord !

Le 1er septembre à 3 heures du matin, Morsang commence par jeter un gros bifteck saupoudré de somnifère que les deux gros chiens s’empressent de dévorer, il bricole la serrure de la porte donnant sur la rue, et entre tandis que les chiens ne tiennent plus sur leurs pattes. Il fait plusieurs voyages avec ses jerricans déversant de l’essence devant chaque fenêtre mais ne touche pas à la porte de la maison mais dissimule un dernier jerrican derrière un massif de roses.

Et à 20 heures, Tony Morsang et Paul Tocquard font leur apparition dans la salle à manger de la famille Morsang. Il y a là la mère, le père, Martine et un jeune blanc-bec qui doit être son petit copain. Il y a aussi sa plus jeune sœur.

– Que nous vaut cette visite inattendue ? Demande le paternel qui n’a pas l’intention de s’en laisser compter.
– C’est le retour du fils prodigue ! Répond Tony.
– Mais en clair !
– En clair, j’aimerais me réconcilier avec ma famille.
– Après les conneries que tu as fait et qui nous sont retombées sur le dos…
– Laisse le parler ! Intervient la Mamma
– La seule connerie c’est de m’être fait entrainer dans un casse avec des connards, je n’ai jamais tiré sur les flics puisque je n’étais pas armé.
– Et ce jeune homme ?
– C’est un ami ! Je lui demandé de venir parce que vous pourrez constater que désormais je ne fréquente plus de voyou. Je vous ai apporté un petit cadeau, je vais le chercher, je reviens de suite.

Morsang sort, s’empare du dernier jerrican, le vide devant la porte d’entrée, allume l’essence et disparait au volant de sa voiture tandis que la maison s’embrase.

Le lendemain on dénombrait six cadavres méconnaissables mais on crut identifier Morsang à l’aide de sa gourmette.

Le directeur de la police judicaire est furieux, il convoque le commissaire en charge du casse de la bijouterie Amberson et celui en charge de l’incendie du pavillon des Morsang.

– C’est une honte ! Morsang était planqué dans sa famille et vous ne l’avez pas vu ?
– Mais…
– Taisez-cous vous êtes nul, complètement nul, vous comprenez ça ! Nul ! Quand je pense qu’on pouvait l’avoir vivant ! Maintenant je vais avoir les syndicats de policiers sur le dos et la presse ! Quel exploit !

Le pauvre type fait un geste d’impuissance, il sait que quoiqu’il dise, ça lui retombera dessus.

– Et vous, où en est l’enquête ?
– C’est un incendie volontaire… Chez les garagistes ripoux, les règlements de compte sont courants, mais là…
– Là, quoi ?
– Il est possible que quelqu’un ait été mis au courant que Morsang serait là ce jour-là. Ça sent le règlement de comptes.
– Il faut éviter que la presse revienne sur l’affaire de la bijouterie, sinon ils vont nous qualifier d’incapables. Donnez une conférence de presse, vous déclarerez que l’incendie est un accident domestique, et vous vous féliciterez de la mort de Morsang, en disant qu’il s’est jeté dans la gueule du loup et qu’on le surveillait depuis plusieurs semaines… Rompez.

On ne recherche donc plus Morsang qui a donc pris l’identité de Tocquard. Il lui faut maintenant organiser sa nouvelle vie en sachant qu’il lui faut éviter toute action illégale qui pourrait conduire la police à creuser de trop près son personnage. Exit donc les deals et autres embrouilles. Que faire alors quand on n’a pas encore ni papier en règle ni domicile fixe, mais qu’on est beau gosse ?

Et c’est ainsi que Tony Morsang qui a maintenant l’identité de Paul Tocquard est devenu gigolo en se posant lui et sa consommation dans l’un des bistrots parisiens où les cougars viennent chasser l’étalon.

Le première était passable, mais la seconde fut une véritable épreuve. Heureusement qu’il avait pris des poppers et fait appel à ses fantasmes les plus secrets, mais il quitta la dame avec un sentiment de malaise qui l’empêcha de trouver le sommeil. Il se dit alors qu’il ferait tout pour ne pas se retrouver dans la même situation. Après tout, il avait le droit de choisir, non ?

C’est dès le troisième jour qu’il tomba sur Mireille, le visage n’avait pas trop souffert des outrages de l’âge et à priori le corps se tenait. Il la baisa sans problème, la dame en fut toute ravie et après l’acte le regardait avec des yeux de collégienne amoureuse.

– Tu fais quoi dans la vie !
– Chômage, j’étais cadre chez les pâtes Buitoni, j’ai été licencié, j’ai tout perdu, je suis à la rue, alors je fais un peu le gigolo, ça me permet de manger et de dormir à l’hôtel.
– Pas de famille ?
– Non, un tragique accident, mais je préfère ne pas en parler… répondit-il en s’efforçant de faire venir quelques larmes au coin de ses yeux.
– Mon pauvre lapin, peut-être que je pourrais faire quelque chose pour toi, mais je ne prends jamais de décisions précipitées. On peut se revoir après-demain ?
– Avec plaisir !

Mireille qui se méfiait des escrocs petits et grands demanda à un détective privé de suivre Morsang après sa prestation. Celui-ci confirma son emploi du temps sur trois jours consécutifs, drague de femmes d’un « certain âge », cinéma, club de jazz et nuit à l’hôtel. Rien de suspect donc.

Mireille lui fit part alors de son intention de faire « une bonne action » et lui offrit six mois de loyer d’avance dans un coquet studio. Il avait désormais une adresse, il lui restait à trouver une activité professionnelle pour sortir de la marginalité, mais il n’était pas pressé, Mireille l’entretenait bien et n’exigeait aucune fidélité, ses « honoraires » de gigolo lui remplissant pour le moment convenablement le portefeuille. Il faisait même beaucoup d’économies.

– T’as déjà été avec les hommes ? Lui demanda un jour Mireille.
– Je ne suis pas pédé ! Se défendit Morsang.
– Je le sais bien, mais je te demandais si un petit écart te serais insupportable.
– Mais enfin, pourquoi cette question ?
– Parce que j’ai un ami un peu homo, tu devrais lui plaire… figure-toi qu’en ce moment il cherche à recruter quelqu’un…
– Laisse tomber.
– Réfléchis ! Avoir un travail, c’est avoir des feuilles de paie, avec ça tu pourras ouvrir un compte en banque, te faire refaire la carte d’identité que tu as perdu, un téléphone légal… et puis, tu es très mignon, mais il ne faudrait pas croire que je vais te payer ton loyer toute ma vie.

Voilà des arguments qui laissèrent Morsang dubitatif.

– Et il me proposerait quoi comme boulot ?
– Assistant parlementaire.
– C’est quoi ça ?

Elle lui expliqua….

– Pas trop compliqué comme job…
– Mais c’est qui ce mec ?
– Jacques Alberti, député du Parti du Centre, un monsieur très bien.
– C’est quoi le Parti du Centre
– C’est un parti veut dépasser les clivages gauche/droite, qui dit qu’il y a des bonnes choses à gauche, des bonnes choses à droite et que logiquement pour concilier tout ça, il faut gouverner au centre. Malheureusement, c’est une idée qu’on a du mal à faire passer, en France on se complet dans les certitudes…
– Parce que toi aussi tu es adhérente ?
– Ben oui, on est pas très nombreux…
– C’est tentant mais je ne me vois pas devenir l’amant d’un mec…
– Mais qui te parles de ça ! Il a un compagnon attitré qui parait-il est jaloux comme un tigre, si tu te laisses draguer, ce sera platonique…
– Alors c’est super.
– Mais s’il te demande une petite pipe en catimini, tu ne devras pas refuser.

Oups !

– Alors d’accord ?
– Puisque le jeu en vaut la chandelle !

Une rencontre fut organisée dans un restaurant. Morsang qui n’y connaissait rien en politique s’était renseigné sur son smartphone au sujet de ce curieux parti politique. Il adopterait la stratégie qu’il employait souvent avec les femmes, écouter, feindre d’être intéressé et ne rebondir que pour aller dans le sens de l’interlocuteur.

Et Alberti se laissa berner, de temps en temps Morsang lançait un avis péremptoire appris par cœur la veille :

– La gauche en est restée à la lutte des classes, et la droite n’a aucun esprit social. Comme si les patrons et les salariés étaient incapables de s’entendre ? C’est vrai, c’est fou, ça ?
– C’est exactement ce que nous pensons ! Pourquoi n’adhériez-vous pas à notre parti puisque vous adhérerez à nos idées.
– Ma foi, pourquoi pas ?
– Vous me plaisez beaucoup, jeune homme, Mireille vous a dit que je recherchais un assistant parlementaire. Ça vous dirait ?
– Ça me dirait.

Alberti fit alors un signe a peine perceptible en direction de Mireille qui comprenant le message s’en alla aux toilettes.

– Je vais être direct ! Seriez-vous libre demain soir, mon compagnon sera en province…
– Pourquoi pas ?
– Je ne vous prend pas en traitre, il s’agit d’une sollicitation sexuelle… mais si cela ne vous dit rien, je n’insisterais pas, je sais me tenir !.

« Il n’insistera pas, mais ne m’offrira peut-être pas le poste… »

– Je suis hétéro, mais une petite fantaisie occasionnelle avec un homme charmant…

En fait si Morsang a une mentalité de macho, son hétérosexualité n’est pas si limpide que ça ! Quand on passe plusieurs années en maison de correction non mixte alors que la sève monte dans les parties génitales, il se passe forcément des choses. On fait comment alors pour concilier l’envie de sexe et sa fierté de mâle ? Eh bien on triche avec la réalité, on déclare que les homos se sont les autres, ceux qui sont passifs… Parce que Morsang lui il est actif, il se fait sucer mais ne suce pas (sauf deux ou trois fois, mais il ne veut pas s’en souvenir), il encule mais on ne touche pas à son propre cul ! Non mais dès fois !

Bref, le lendemain Morsang était chez Alberti, en espérant secrètement que c’est lui ferait l’homme, comme disent ceux qui ont une version étriqué de ce genre de relations.

– N’y allons pas par quatre chemins ! Lui dit Alberti, j’ai envie de te sucer la bite.
– Mais ce sera avec grand plaisir ! Répliqua Morsang qui dézippe sa fermeture clair et sort son paquet.
– Non pas comme ça, voyons, nous ne sommes pas sur une aire d’autoroute. Nous allons nous déshabiller et gagner ma chambre.
– Ce sera en effet bien plus cool ! Répondit Morsang qui s’en serait voulu de contrarier son sans doute futur protecteur.

Sue le plumard, Morsang du se farcir les caresses de son partenaire, il eut quelques frissons quand un doigt fureteur s’approcha subrepticement de son anus., mais il eut la bonne idée de rester au bord.

Et puis il y eut les bisous. Morsang n’avait jamais embrassé un homme sur la bouche, il se fit violence, mais cela n’arrangeait pas son érection qui avait du mal à venir.

Mais les doigts d’Alberti savaient parfaitement manipuler un pénis, et quand ce dernier fut bien raide, il l’emboucha et entama sa fellation.

– C’est qu’il suce vachement bien, ce pédé ! S’étonna Morsang.

Au bout d’un moment Alberti demanda à son partenaire de se mettre une capote sur le zizi, puis il se mit en position d’offrande. Et Morsang l’encula, fit appel à on ne sait quels fantasmes secrets afin de maintenir sa bandaison et finit par jouir abondamment tandis qu’Alberti piaffait comme un phoque en chaleur.

Morsang cru l’affaire terminée et se débarrassa de sa capote. Sauf que ce n’était pas vraiment terminé, Alberti s’était un peu paluché pendant la sodomie mais n’avait pas joui.

Celui-ci se tient la quéquette et se l’astique .

– Tu m’aides ?

C’est que Morsang n’a pas du tout envie de mettre cette bite dans sa bouche, Après un moment de panique, il comprend que l’autre se contentera d’une masturbation assistée.

– Hum , tu branles bien !
– Hé !
– Tu ne suces jamais ?
– Très rarement, ce n’est pas mon truc.

Alberti ne répondit pas, on ne peut pas énoncer des grandes phrases quand on est en pleine éjaculation !

Effectivement le parti n’avait que très peu d’adhérents et encore moins de militants. Adhèrent dans la fédération des Hauts de Seine, Morsang en devint en quelques semaines le secrétaire départemental, il fut du coup avec la bénédiction d’Alberti propulsé au Bureau National et devint sans le vouloir l’un de dirigeants du parti.

Le lecteur attentif remarquera que le récit de l’entrée en politique de Morsang diffère légèrement de celle narrée plus avant. Laquelle est donc la bonne ? Quelle importance ?

Tout allait pour le mieux, Mireille déménagea à Nice, elle s’était un peu lassée de Morsang et ne lui demanda pas de le suivre, ce qui n’aurait pas été simple eu égard à ses activités parisiennes.

Il était parfois invité dans des cocktails, il en profitait pour rencontrer du monde, c’est à l’une de ces occasions qu’il rencontra Louise Carrier.

Femme de diplomate, elle avait suivi son mari dans une dizaine de pays d’Europe et du proche orient, jusqu’à ce qu’ils divorcent. Il faut dire qu’elle avait rencontré un vieil émir libidineux mais pleins aux as qui eut la bonne double idée de lui léguer toute sa fortune et de mourir assassiné de vingt coups de couteaux quelques mois plus tard.

Le comportement de l’émir l’avait dégouté du sexe et après cette aventure elle s’était jurée de ne plus pratiquer ce genre de choses…

…Jusqu’à ce que ces yeux découvrent Morsang… Ce fut alors le coup de foudre. Il serait faux de dire qu’il fut réciproque mais le charme de la dame ne le laissait pas pour autant insensible.

Trois mois après il convolèrent en justes noces.

– Il y a juste un petit détail, mon amour !
– Mais quoi donc ?
– Je ne vais tout de même pas me faire appeler Madame Tocquard !
– Tu peux garder ton nom…
– Mais même pour toi c’est pas terrible « Tocquard ». C’est quoi le nom de jeune fille de ta mère ?
– Manet ! Répondit l’homme qui avait vu ce nom sur le tout nouveau livret de famille.
– C’est très bien ça Manet, on pourrait mettre les deux noms Manet-Carrier, ça en jette !

Quelques mois après, eurent lieu des élections, un nouveau gouvernement était en formation, et le président souhaitait que les petits partis qui l’avaient soutenu soient récompensés par quelques ministères de peu d’importance.

– Va falloir que tu t’y colles ! Lui dit Alberti.
– Jamais de la vie !
– Tu refuserais un secrétariat d’état ?
– Ben, oui, ce n’est pas mon truc !
– Mais arrête, ce n’est pas difficile, tu n’auras rien à faire, dans les ministères ce sont les directeurs de cabinet qui font tout le boulot !
– J’ai dit non !

En fait Manet-Carrier craignait que le poste soit trop visible, et une visibilité trop prononcée pouvait amener la presse « fouille-merde » à enquêter sur son passé…

Le ton monta avec Alberti, Manet-Carrier comprit qu’il lui fallait trouver une solution lui permettant de ne pas se fâcher avec son mentor. Alors il mit fin à la discussion avec une parade vieille comme le monde :

– Bon, écoute, je ne dis pas non ! T’auras une réponse demain !
– Demain matin alors, parce que le temps presse, et je n’ai personne d’autres.

Il pensait que Louise l’aiderait à trouver une solution, mais celle-ci au contraire l’encouragea à accepter la proposition lui faisant miroiter tous les avantages de la fonction…

Il accepta donc, en se jurant de faire attention, il fit savoir à qui l’entendrait qu’il détestait que l’on parle de lui et qu’on le prenne en photo. Il en profita aussi pour enluminer son prénom qui devint Charles-Paul, ça fait chic et ça brouille les pistes.

– On va quand même prendre une photo de groupe pour illustrer la plaquette ! Objecta le directeur de cabinet.
– Quelle plaquette ?
– Un simple recto-verso, une photo de vos proches collaborateurs et un petit paragraphe pour vous présenter.
– Comment voulez-vous que je me présente ?
– Oh, juste quelques lignes, vos études, vos activités professionnelles.

C’est à ce moment-là que Manet-Carrier s’inventa une scolarité imaginaire au Lycée Henri IV et à HEC

Psychologiquement, cette nouvelle fonction le transforma, il vivait désormais dans l’angoisse que quelqu’un trouve prétexte pour fouiller dans son passé et cherchait déjà un moyen de démissionner « en douceur ».

Voilà donc à peu près chers lecteurs, la biographie un poil romancée de Tony Morsang, alias Charles-Paul Manet Carrier telle que je l’ai raconté à Louise qui a eu du mal à s’en remettre.

On comprendra donc pourquoi, lorsque Manet-Carrier fut au courant des visites que me faisait son épouse en mon studio, sa parano s’exacerba comme vous avez pu le lire.

On connait la suite, Alberti suite à une mise en scène de Remiremont et Tanya, qui se posent des questions sur le passé du bonhomme, lequel reçoit des missives anonymes, lui faisant présumer que l’on est en train de découvrir ce qui souhaitait cacher. Puis la fuite au Mexique.

Que dire de plus au moment de conclure. Louise Manet Carrier a eu du mal à se remettre de ces révélations, mais elle a tenu le coup, nous nous voyons de temps en temps mais à titre non professionnel.

Reste les bijoux ! Louise a raconté l’épisode du coffre aux enquêteurs des services secrets. Ils n’ont pas trop compris mais n’ont pas trop creusé non plus, estimant que ça n’avait pas d’importance et évitant de le rapporter afin d’éviter des embrouilles avec les assureurs !

– Il envoie un homme de main vider son coffre, et ensuite il arrive lui-même plusieurs heures plus tard faire sa valise ? Pas très logique tout ça…

– Et voilà toute l’histoire ! Concluais-je.
– T’as vraiment le chic pour te fourrer dans des histoires impossibles.
– Mais je n’y suis pour rien, c’est un enchainement de circonstances…
– Je sais ma belle, mais maintenant faut que tu déstresses
– Je ne suis plus stressée !
– C’est dommage, je t’aurais volontiers déstressée.
– Je te vois venir, toi !

Elle ne répond pas et m’offre ses lèvres, il y a des choses dont on ne se lasse jamais !

– Ça ne te dirait rien de me taper sur les fesses ? Minaude-t-elle.
– De la domination, je fais ça toute la journée…
– Alors on fait le contraire, tu vas faire l’esclave !
– Chiche !
– Maintenant ?
– Ben oui ! Parce qu’après on va manger, ça va nous mettre en appétit !.
– Alors à poil chienne !

Voici une chose que je peux faire rapidement, n’ayant pas encore déposé mon peignoir après ma douche du soir. Pour Anna, c’est un peu long, mademoiselle ne se presse pas trop. Une fois nue comme un ver, elle s’en va dans la cuisine. Qu’est-ce qu’elle va encore nous inventer ?

Elle revient avec des pinces à torchons, une grande cuillère en bois et une carotte de bonne dimension. Ça va être ma fête, mais ça tombe bien, je suis très joueuse.

Elle me fait mettre à genoux et me tire mes tétons comme une malade.

– T’aimes ça, grosse pute !
– Oui ! Aïe !
– Dis le que tu aimes te faire faire des misères par une gouine.
– J’adore !
– Un peu plus de conviction, ce serait pas mal. Tien c’est bête j’aurais dû emmener le chien, je t’aurais obligé à lui sucer la queue.
– Tu le gardes encore ?
– Non mais si je demande à la mère Barbanchon de me le prêter, elle ne refusera pas.
– T’es si bien que ça avec elle ?
– Oui et non ! Quand elle est revenue, elle a voulu me payer le restaurant, j’ai pas osé refuser, mais ça été un calvaire, elle est exécrable avec le personnel, et puis ses sujets de conversation… au secours ! En sortant, elle m’a carrément proposé de venir chez elle faire un truc à trois…
– A trois ?
– Ben oui, le chien il compte pour un !
– Et alors ?
– J’ai prétexté une grosse fatigue. Mais je ne suis pas folle elle me relancera, je vais trouver le moyen de lui dire que je préfère prendre mes distances tout en conservant des relations de confraternité, comme on dit… Mais dis donc, je suis en train de te dominer ou de te raconter ma vie, là ?
– Tu me racontes ta vie !
– Regarde ces jolies pinces ! C’est pour qui ces jolies pinces.
– Vas-y mollo !
– Ta gueule, douillette !

Elle accroche la première, ça fait un peu mal, mais c’est supportable, par contre quand elle pose la deuxième, je gueule comme un putois. Elle me la retire et la replace, ça fait toujours aussi mal, ce n’est pas à cause de l’emplacement, c’est la pince qui est mal foutue.

– Des pinces à linges se rait peut-être mieux, non ? Lui suggérais-je
– Bon ça m’énerve ! Je vais m’assoir et tu vas t’allonger sur mes cuisses, je vais te rougir des fosses fesse de pute.

On y va, et voilà ma copine préférée , qui se met à me chauffer les fesses en cadence à grand coup de cuillère en bois.

– Laisse pas de marques !
– Ta gueule !

Elle continue quelques instants avant de déposer l’instrument frappeur.

– Dégage de mes cuisses ! T’as des capotes ?
– Dans ma table de chevet .

Qu’est-ce qu’elle veut fabriquer avec des préservatifs ?

– Et du gel, t’as du gel ?
– Regarde, mais je crois pas !

La voilà qui revient, elle encapote la carotte… la suite est prévisible, je me mets en levrette et lui offre la vue de mon orifice le plus intime.

Bon, c’est rigolo, mais c’est loin de valoir un bon gode muni d’un vibro… Mais faut dire qu’Anna est plutôt doué pour pratiquer des va-et-vient avec ce gode biologique, à tel point que des frissons de plaisirs commencent à m’envahir. Je me lâche, je jouis,

Anna m’enlace, et m’embrasse tandis que le gode ressort tout seul. On s’est retrouvée en soixante-neuf sur le plancher, j’ai commencé par lui brouter le minou, mais…

– Attends, je ne vais pas y arriver, faut que je pisse avant ! Me prévient-elle.
– Tu pisse tout le temps !
– C’est parce que j’ai une petite vessie.! Viens je vais te faire boire ma pisse.

chanette2718Combien de fois avons-nous jouer à ces petits jeux de pipi dont je raffole ? Je ne saurais dire mais je ne m’en laisse pas et c’est avec une gourmandise non feinte que je reçois son jet doré à même la bouche.

Evidemment elle a souhaité la réciproque, juste retour des choses avant de reprendre nos ébats…

Et Hubert au fait ? Je n’ai plus jamais eu de nouvelles. J’aurais pu en demander puisque j’ai son numéro, mais ce ne sont pas mes oignons, qu’il se démerde avec ses bijoux ! Il me doit le prix d’une passe. Je lui ai envoyé un message lui expliquant que s’il ne souhaitait pas me revoir, ma boite aux lettres pouvait néanmoins accueillir une enveloppe… Il n’a jamais donné suite. Pas grave, je n’en mourrais pas.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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