Samedi 7 mai 2022 6 07 /05 /Mai /2022 07:16

Souvenirs d’une pisseuse par Héléna Sevigsky
Stamp uro

 

Souvent , je tapinais aux terrasses des cafés, croisant les jambes de façon provocante, et lançant des sourires enjôleurs aux messieurs seuls.

Un jour, un vieux monsieur m’a demandé si je voulais bien faire pipi sur lui. Je n’avais jamais fait ça auparavant.

C’était en plein été. Un monsieur bien sur lui, poli et cultivé. Il m’avait offert un verre en terrasse. Ensuite, nous étions allés chez lui, car il voulait me montrer sa collection d’objet érotiques insolites. Je n’avais pas d’attirance particulière pour les vieux messieurs, à cette époque, mais je l’avais trouvé aimable et attachant. Je devais avoir 21 ans.

Je l’ai laissé m’embrasser dans son canapé, puis me toucher, et nous avons eu une relation sexuelle dans son lit. Quand je lui ai demandé à quel endroit il voulait que je fasse pipi, il m’a répondu :

– Viens t’asseoir sur mon visage !

Il m’a payé généreusement, mais je ne l’ai jamais revu.

J’ai rencontré plusieurs autres vieux messieurs par la suite. Et des moins vieux aussi. Certains m’ont abordée sur d’autres terrasses de cafés, ou dans des parcs publics. Mais le plus souvent sur Internet, via des sites spécialisés

Aujourd’hui, j’ai presque 40 ans. Je n’ai pas fait le compte des hommes qui m’ont demandé de leur faire pipi dessus. Je n’ai pas compté non plus ceux qui m’ont rendu le change. Je n’ai pas fait de moyenne d’âge, mais je serais tentée de dire, à vue d’œil, que plus on avance dans le temps, plus on est tenté par les jeux d’urine.

Je me souviens d’un homme d’une quarantaine d’années, que j’ai revu de nombreuses fois et avec qui j’allais me promener dans des lieux publics assez variés : parcs, sentiers pédestres, rues piétonnes, mais aussi rayons de grandes surfaces. A chaque fois, je portais une jupe ou une robe, sans rien dessous. Tout en marchant et en croisant des dizaines et des dizaines de personnes sur notre passage, je pissais. L’urine coulait le long de mes cuisses et de mes jambes, jusqu’à mes pieds, puis elle se répandait derrière moi. Mon partenaire aimait que je le prévienne alors. Que je lui dise :

– Je pisse !

Et alors il me répondait :

– Salope. Tu n’imagines pas comment tu me fais bander !

Généralement, pour finir, nous nous trouvions un endroit pour baiser. Il pouvait s’agir d’un coin de forêt, de bosquets dans un parc, mais aussi de WC publics où il me baisait systématiquement debout.

Je me suis plusieurs fois faite surprendre en train de pisser. Adolescente, dans un sous-bois situé au bord d’une aire d’autoroute, je me souviens d’un homme qui avait au moins l’âge de mon père, qui est tombé sur moi tandis que j’avais ma robe relevée et ma culotte baissée au milieu d’un petit chemin. Il est resté là, immobile, les yeux grands ouverts à regarder ma chatte et le généreux filet de pisse qui coulait sur la terre.

Je me souviens aussi d’un mec de ma promo, à la fac, qui a ouvert d’un seul coup la porte des toilettes qui ne fermaient pas à clé. C’était dans un appartement où se déroulait une soirée étudiante. J’étais en train de pisser et lui aussi est resté figé en découvrant le spectacle : ma chatte, ma pisse. Après plusieurs secondes, je lui ai dit :

– Tu veux bien refermer la porte, s’il te plait ?

Il a tardé à réagir.
Il a tardé à décrocher son regard de ma chatte.
Il a tardé à venir me voir, plus tard dans la soirée, pour s’excuser, mais aussi pour me dire qu’il avait beaucoup aimé ça. Cette même nuit, dans cette maison, nous sommes revenus dans ces toilettes ensemble pour baiser.

La première fois que j’ai goûté de la pisse, j’ai songé à un thé très amer. Tout comme il m’est arrivé de trouver un goût de café au lait sans sucre à des anus que j’ai pu lécher.
Un homme, un jour, m’a parlé de jus d’huître sans citron.
Un autre encore m’a parlé d’alcool fort d’origine inconnue.
Une affaire de goûts…

Toujours est-il que le premier jet de pisse que j’ai pris dans la bouche avait un goût de thé. C’était la pisse d’une fille de mon âge, de la même fac, mais pas de la même promo. Au retour d’une soirée étudiante, bien arrosée, nous avons pris une douche ensemble, chez moi. Nous étions un peu éméchées et nous nous sommes embrassées, tripotées et masturbées mutuellement. Nous ne nous sommes pas concertées, c’est elle qui m’a pissé dessus en premier. Sur les seins, pour commencer, tandis que j’étais agenouillée devant elle. Puis on a inversé les rôles, aussitôt après. Je me souviens être parvenue à lécher son cul pendant que son flot brûlant se déversait sur mes yeux. J’en ai avalé un peu, j’en ai recraché beaucoup.

Je l’ai aussi souvent fait toute seule, sous la douche. Je n’ai jamais trouvé ça répugnant. Comme beaucoup de personnes, je me suis très souvent branlée sous la douche, avec mes doigts, mais aussi avec des objets que j’avais sous la main. Je continue de le faire à l’heure actuelle, et je ne connais pas de femmes de mon âge qui ne le font jamais.

Seulement, pour moi, la pisse a toujours fait partie du jeu et du plaisir. Se lâcher comme ça, c’est divin. Se faire dessus, c’est exquis. Répandre la pisse sur son pubis et sur son ventre quand on se douche, c’est l’extase. En boire un peu est un régal.

Il n’y a pas très longtemps, je l’ai fait avec une collègue de boulot. Elle était en instance de divorce et nous nous étions accordé une soirée entre femmes. Au fil des heures, je ne sais plus comment, nous en sommes venues à parler d’urine. Il se trouvait qu’elle avait déjà partagé ce genre de jeu avec des hommes par le passé, à deux reprises. Mais aussi avec une fille, quand elle était au lycée.

Nous avons beaucoup bu ce soir-là. Nous n’avions pas envie de nous quitter, alors nous sommes allées chez moi. Elle avait un gros cul, mais il était ferme. Nous nous sommes mises en 69 sur mon lit, pour commencer. Je lui ai bouffé le cul et la chatte. Je me suis régalée. Ensuite, nous sommes allées sous la douche pour se pisser dessus. J’ai été stupéfaite, car cette femme fait partie des rares qui avalent beaucoup et qui recrachent peu. Elle a aimé boire ma pisse et j’ai aimé lécher de nouveau son anus sous cette douche.

Je me souviens d’un autre vieux monsieur qui m’a demandé de faire pipi sur sa bite, sur le sol de sa cuisine. Il était tout nu et il n’était pas parvenu à bander suffisamment pour me pénétrer. Après lui avoir fait dessus, sa bite était raide et je me suis empalée dessus.

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Je me souviens d’un homme marié, il y a de ça quinze ans. Cadre supérieur, marié, trois enfants (du moins c’est ce qu’il m’avais dit) , il m’avait contactée sur Internet. Son trip à lui consistait à se faire pisser dessus sans se déshabiller, sachant qu’un cadre supérieur porte généralement des costards coûteux et des cravates. Vous n’imaginez pas le plaisir que j’ai eu à arroser sa tenue.

Etudiante, j’ai très souvent posé toute nue pour des photographes, et il m’est arrivé de pisser pour certains. C’était quelque temps après mon premier vieux monsieur. J’avais la chatte poilue, à l’époque. J’ai conservé quelques clichés. Quand je les regarde, je me trouve vraiment un air de garce sur ces photos. Il m’arrive de me masturber en les regardant, y compris sur celles où je ne suis pas en train de me faire tripoter par le photographe en question, ou de lui sucer la bite.

Je me souviens avoir pissé sur le siège passager d’une voiture, devant un homme qui m’avait prise en stop.

Je me souviens avoir fait en sorte que le père d’une copine de lycée me voit en train de pisser, au fond de son jardin. Juste mon cul et le jet de pisse qui coulait entre mes fesses.

Je me souviens avoir reçu en plein visage la pisse d’un homme, un jour, dans une chambre, suite à de longs échanges sur Internet. Sa femme était assise à proximité, dans un fauteuil, à poil, à nous regarder en se branlant.

Je me souviens être parvenue à pisser tandis que la queue d’un inconnu était en train de me pénétrer, en pleine nature. Il a fallu que je me concentre un long moment, car il n’est pas évident de pisser quand une grosse queue vous bourre la chatte.

Je me souviens m’être mise à poil chez moi, un soir, en observant un couple qui baisait dans une voiture, dans ma rue. Ils étaient deux étages plus bas et je me suis pissée dessus en me branlant.

Je me souviens avoir fait en sorte qu’un amant de ma mère me surprenne dans les toilettes, un soir. J’avais envie qu’il voie ma chatte, après l’avoir vu à plusieurs reprises bourrer celle de ma mère.

Je me souviens d’avoir léché la chatte de ma mère après l’avoir regardé pisser.

Je me souviens de tellement de choses.
Vous n’imaginez pas.
Tous ces goûts de thés amers.

Fin

Ce texte est un rewriting d’un très vieux texte érotique anonyme que j’ai trouvé intéressant

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Helena Sevigsky
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Samedi 7 mai 2022 6 07 /05 /Mai /2022 07:11

Surprise-partouse 7 – Soirée luxembourgeoise par Enzo_Cagliari
zoo

 

Au chapitre 1 : en sortant d’une fête, Angéla, Carole et Thibault m’emmènent chez ce dernier, la partie à quatre me fera sucer ma première bite et subir ma première sodo.
Au chapitre 2 : Thibault me fait faire la connaissance d’un couple d’Antillais, Gwladys et Simon. Partouze à quatre puis à cinq avec Carole
Au chapitre 3 : On prend les mêmes et on recommence mais on va plus loin, c’est un tout petit peu scato et voici Alain et Katia, un couple mature, qui s’en mêle.

Au chapitre 4 : Une partouze est organisée chez Alain et Katia qui reçoivent Monique et Philippe, mais aussi Thibault, Carole et moi-même.
Au chapitre 5 Monique nous raconte sa rencontre avec un autre couple
Au chapitre 6 Alain nous narre un épisode un peu gay. A la fin Katia branche Monique sir la zoophilie, celle-ci répond qu’elle a expérimenté la chose…

– Mais vous n’avez pas de chien ? S’étonne Katia
– Non, répond Monique, on aime bien les bêtes, mais c’est trop de contrainte, quand on sera en retraite on verra.
– Alors cette histoire ?
– Ah ! Ah ! En fait je n’avais aune expérience en la matière, tout juste avais-je été assez fascinée par des petites vidéos sur Internet, mais ça n’allait pas plus loin…
– Et toi Philippe ? Lui demande Katia.
– Un jour j’ai dit à Monique que ça ne me déplaira pas de la voir se faire lécher par un chien. Elle m’a répondu je ne sais plus quelle plaisanterie, mais j’ai bien senti qu’elle fantasmait un peu
– Non ce n’était pas du fantasme, juste de la curiosité ! Corrige Monique. Bon vous voulez l’histoire ?
– Oui, oui ! Avons-nous tous répondu en chœur !
– Alors la voici :

Le récit de Monique à Luxembourg

On rencontre parfois dans les clubs échangistes, des types qui organisent des soirées privées très spéciales, la plupart du temps il s’agit d’assister et éventuellement de participer à des séances sado-masos ou d’humiliation publique, mais ce jour-là Monsieur Germain nous a soufflé, l’air de rien, dans la conversation que les ambiguïtés de la loi française feraient que la prochaine soirée à thème se déroulerait… au Luxembourg.

– Et qu’est-ce qu’elle aura de spéciale cette soirée ? Questionne Monique
– Disons que le thème sera « nos amis les bêtes »
– Oh !
– Mais rassurez-vous, tout cela se passera sans aucune maltraitance et dans la bonne humeur.
– Ça te dit ? demandais-je à mon compagnon
– Pourquoi pas ? Répond Philippe

Monsieur Germain nous demande alors une « participation aux frais » Ben oui il n’y a pas grand-chose de gratuit en ce bas monde ! Et nous communique les coordonnées du lieu, la date et l’heure.

Et une semaine plus tard nous étions à Luxembourg. La séance se déroulerait dans un théâtre de poche qui faisait relâche ce jour-là. La salle devait pouvoir tenir une quarantaine de personne, mais nous n’étions qu’une vingtaine, répartis sur les deux travées les plus proches de la scène. Coup d’œil sur le public, un couple assez jeune, sinon des hommes et des femmes d’âge murs. La scène est décorée avec des motifs floraux, une petite banquette matelassée et un guéridon y sont installés.

La lumière de la salle s’éteint, celle de la scène s’allume, une musique plus on moins jazzy se fait entendre, et voici qu’y apparaissent deux splendides jeunes femmes, l’une une peu rondelette, fausse blonde coiffée au bol et vêtue d’une semple petite robe noire. L’autre, une grande brune en culotte et soutien-gorge grenat.

– Bonjour, bande de petites cochons; je suis Britta ! Nous informe la rondelette. Ma copine c’est Jessica. J’espère que vous allez passer une bonne soirée ! Hum, j’aimerais que vous vous redisposiez un peu sur les sièges, un homme, une femme, un homme… et il faudrait aussi que les couples se séparent, vous êtes là pour faire des rencontres, non ?

Du coup Philippe se déplace et je me retrouve entouré de deux inconnus.

– Bien sûr vous avez le droit, Reprend Britta, je dirais même le devoir, de vous tripoter pendant le spectacle et tant qu’à faire, faites-vous tripoter par votre voisin ou par votre voisine, Le tripotage, c’est mieux à deux. Allez on commence !

Les deux nanas se tortillent, Britta qui n’a (évidemment) pas de culotte nous montre ses belles fesses puis elle se retourne et nous dévoile sa petite chatte, puis elle dégage sa jolie poitrine. Jessica enlève son soutien-gorge.

Les deux belle créatures jouent avec leurs seins, se les caressent d’abord seules puis réciproquement,

Britta fait se retourner Jessica, lui baisse sa culotte et l’envoie dans l’assistance. Mais la surprise est ailleurs ! Elle est entre les jambes de Jessica, où s’exhibe une très jolie bite. Jessica est donc une transsexuelle, une magnifique transsexuelle !

Britta lui masturbe la bite quelques instants, puis la prend dans sa bouche avant de narguer l’assistance.

– Hum, elle est trop bonne sa bite ! Quelqu’un voudrait gouter ?

Hésitation dans l’assistance, il y a probablement des volontaires potentiels, mais personne s’ose se dévoiler.

– Toi ! Indique-t-elle alors en désignant un petit chauve. Je suis sûre que tu en meurs d’envie !
– Euh !
– Allez monte sur scène, tu ne vas pas le regretter.

Le bonhomme hésite encore un peu

– Bon, tu te décides ? Rends-toi compte de la chance que tu as, si tu te dégonfles je vais être obligé de désigner un autre volontaire.

Britta finit par venir le chercher en le prenant par la main et l’entrainer sur la scène.

– Voilà, mets-toi à genoux devant elle, et pour le moment tu lui branles un peu la bite. Mais dis-moi : tu as déjà sucer des bites ?
– Euh, y’a longtemps !
– C’est vrai ça ? T’es venu avec un copine ce soir ?
– Oui !
– Comment elle s’appelle ?
– Gisèle !
– Gisèle, vous êtes là ?
– C’est moi ! Annonce une belle brune à lunettes en se levant de son siège.
– Vous êtes très belle Gisèle, montrez-nous vos seins.

Pas gênée pour deux sous la jolie mature se dépoitraille dévoilant une belle paire de nénés.

– Tu savais que ton mari suçait des bites ?
– Bien sûr, c’est un gros cochon !
– Bon toi, le petit chauve, t’attends quoi pour le sucer ?
– J’y vais !

Et le mec après avoir léché la colonne et le gland, fourre tout le paquet dans sa bouche avant de se livrer à une série de va-et-vient.

– Bon ça va, laisses-en pour les autres, t’aurais bien voulu qu’il t’encule, hein ?
– Pourquoi pas ?
– Gros gourmand ! Je parie que tu bandes comme un porc ! Lui dit Britta en lui touchant la braguette. Oh, mais oui, tu bandes ! Baisse ton pantalon que tout le monde puisse bien voir ta bite et des fesses de pédé.
– Euh !
– Euh quoi ? Tu ne veux plus jouer ?
– Si, si ! Répond-il en baissant pantalon et boxer.

C’est alors que Jessica intervient :

– Mais il nous a menti tout à l’heure, en nous disant qu’il ne suçait pas si souvent.
– Elle a raison ma copine ! Reprit Britta, ça mérite une punition.
– 10 coups de martinet peut-être ? Propose Jessica
– Non…
– Laisse toi faire, tu l’as bien mérité ! Lui crie sa compagne
– Bon ben allez-y, je me laisse faire.
– Mais ce sera 15 coups au lieu de 10, ça t’apprendra à rouspéter.

Britta s’empare d’un martinet mais avant de commencer s’adresse à l’assistance.

– Bien, messieurs-dames on va compter les coups tous ensemble ! On y va !
– Un…

L’ambiance est déchainée, on compte les coups. Mes deux voisins ont la bite sortie de leur braguette, je m’en empare et les branle, mais pas trop vite, la soirée n’est pas terminée

– Quatorze, quinze.

Le bonhomme a maintenant les fesses rouges comme des tomates. Il se reculotte et regagne sa place sous les acclamations du public en délire.

Les deux femmes déplacent la petite banquette de 90 degrés ! Pourquoi donc ? Eh bien pour que les spectateurs puissent mieux voir, car, Jessica et Britta s’y installent en soixante-neuf, La transsexuelle en dessous et Britta au-dessus, son magnifique fessier tournée vers le public.

Ça dure un certain temps mais pendant ce temps-là le spectacle est aussi dans la salle. Mon voisin de gauche a trouvé le moyen de se faufiler entre mes cuisses et me lèche divinement la chatte, tandis que celui de droite s’amuse à me tripoter les nichons.

Du bruit sur la scène, les deux « artistes » remettent la banquette dans sa position initiale et s’y assoient côte à côte, elle s’échangent des pinces à linges qu’elles se fixent mutuellement sur les tétons. Britta s’est saisie d’un joli gode bleu avec lequel elle s’astique la chatte. Ne voulant pas être en reste Jessica en fait de même avec un gode rouge qu’elle fait aller et venir dans son trou du cul accueillant.

Et voici que quelqu’un sort des coulisses côté cour, c’est une belle femme mature aux cheveux blond vénitien coupés assez courts, elle est complètement nue et tient en laisse deux labradors, un beige et un noir..

Pas difficile de deviner ce qui va se passer.

– Bonsoir tout le monde, je suis Laurence ! Nous indique la dame. Et j’adore baiser avec mes chiens.

Britta et Jessica remettent la banquette à 90 degrés, puis cette dernière disparaît en coulisse pour revenir avec une chaise qu’elle place devant la banquette et sur laquelle Laurence s’assied.

On a donc si tout le monde a bien suivi, Laurence et Britta devant le public, de profil.

Rapidement les chiens viennent immiscer leur museau entre les cuisses des deux femmes, et c’est partie pour une partie de léchouille que ces dames semblent apprécier en se tortillant les tétons.

L’affaire dure cinq ou dix minutes, difficile d’évaluer le temps en de telles circonstances.

Puis, Jessica fait coucher les chiens, Laurence se relève et s’adresse au public :

– Si vous saviez comme c’est agréable de se faire lécher la moule par un chien ! N’est-ce pas madame ?

Je n’ai pas réalisé immédiatement que c’était à moi qu’elle s’adressait.

– Ben alors, vous ne voulez pas me répondre ? Insiste la belle mature.
– Je vous crois sur parole, ça doit être très agréable ?
– Vous l’avez déjà fait ?
– Ah, non !
– Eh bien venez sur scène, on va combler cette lacune.
– Non, non, moi je regarde !
– C’est quoi ton prénom ?
– Monique !
– Mais c’est qu’elle veut se faire prier, Monique ! Mesdames, messieurs encouragez-là !

Je n’y crois pas, l’assistance se met à scander « Monique, Monique ». Je cherche secours du côté de mon compagnon. Je t’en fous, il hurle avec les autres.

Je suis coincée, enfin, façon de parler, je peux toujours m’en aller, on ne me retiendra pas de force ! Mais comment va réagir Philippe ? Après tout je m’en fous. Toutes ces réflexions se déroule à 100 à l’heure dans ma pauvre tête, à ce point que je me suis à peine aperçu que Laurence était descendue dans la salle, m’avait pris la main et me tirait vers la scène.

Le public applaudit ! C’est moi la vedette. Laurence approche sa bouche de la mienne, on se roule un patin d’enfer puis elle me demande de me déshabiller.

On m’invite à m’assoir sur la chaise. Je ferme les yeux, le chien arrive ! Il me lèche, Quelles sensations ! Laurence ne mentait pas, cette langue est diabolique, à moins que ce soit la perversité de la situation, mais je me mets à mouiller comme une fontaine.

Quelques minutes plus tard, Laurence dégage le chien et me dit :

– Reste là un moment, pour la suite, tu vas être aux premières loges.

Ben oui, la suite est devant moi, Jessica et Britta ont fait coucher le chien noir sur le flanc, sa bite est sortie par l’arrière, un machin rouge, tout raide.

Jessica suce le bite baveuse en prodiguant des grand sourires complices à un peu tout le monde, puis Britta prend le relais

 Britta522Le spectacle est fascinant, il y a là-dedans quelque chose d’absolument pervers, esthétiquement ça n’a rien de génial, mais qu’on puisse faire ça en toute décontraction me sidère.

Et tandis que les deux belles complices continuent de se repasser la bite du chien noir, Laurence s’est mise à sucer le chien blanc.

Je savais où je mettais les pieds en me rendant avec Philippe à cette soirée luxembourgeoise, Mais jamais je n’aurais imaginé que je serais là sur une scène, le pubis encore humide de la bave du chien.

On va maintenant me demander de sucer à mon tour ! C’est inévitable, sinon on ne m’aurait pas demandé de rester sur ma chaise. Et je vais faire quoi, je vais dire quoi ? En attendant je reste prostrée sur mon siège, incapable de détacher mes yeux de ce spectacle tabou.

Britta se relève, le visage dégoulinant de la mouille du chien

– Mesdames, messieurs, je fatigue un peu si quelqu’un veut me remplacer ?

Pas de réponse !

– Qu’est ce que tu en penses, toi, la salope à lunettes ?
– Moi ? Demande Gisèle, la compagne du petit chauve de tout à l’heure.
– Ça te dirait de sucer la bite d’un chien ?
– Je veux bien essayer, mais juste essayer.
– Alors fous-toi à poil et viens sur scène.

Elle n’avait plus grand-chose à enlever, elle le fait et rejoint la scène sous les applaudissements.

Décontractée, la nana, elle n’a même pas hésité, elle s’est baissée et hop, la bite baveuse dans la bouche.

Britta vient alors me rejoindre en m’offrant ses lèvres. on se caresse on se pelote, cette fille est la douceur même.

– Maintenant va aider Gisèle à sucer le chien.

Je l’attendais celle-là. J’y suis allé comme un zombie, j’ai embouché la bite du chien sans réfléchir, comme ça d’un coup d’un seul. Je me suis sentie salope, mais salope ! Et le fait de me sentir salope m’excitait.

Un coup de gong. Laurence se relève !

– Et maintenant le final ! Il va être grandiose annonce-t-elle.

Britta et Jessica se positionne en levrette, le cul bien cambré, les cuisses bien écartées.

– Vous deux, pour l’instant vous regardez !

Je m’assois sur la banquette, Gisèle me rejoint et sans me demander quoique ce soit se met à me caresser mes nichons. Là ou il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir !

Et sur un signe de Laurence, c’est l’assaut, les deux bestioles montent sur leurs partenaires humains, Jessica se fait enculer par le chien, le spectacle est inouï, le chien la baise comme un métronome, on le dirait monté sur piles tellement il s’agite sans s’épuiser !

Et du côté de Britta c’est à peu près la même chose, sauf que j’ignore dans quel orifice le chien opère, d’où je suis-je ne vois pas bien.

– Tu vas le faire ? me demande Gisèle.
– Je ne sais pas trop… et toi?!
– Ah, oui, faut que j’essaie ça !

Les chiens se sont momentanément calmés, Britta et Jessica se sont relevées.

– Mesdames si ça vous tente ? Nous demande Laurence.
– Pour moi c’est d’accord ! Répond Gisèle qui est invitée à se mettre en levrette sur le tapis.

Je l’ai imité et le chien est venu me baiser me provoquant une jouissance aussi intense qu’imprévue tandis que le public applaudissait à tout rompre.

Et ensuite comme nous étions au théâtre, je suis venue saluer le public en compagnie de Gisèle, de Britta, de Jessica et de Laurence.

L’orgie s’est poursuivie dans la salle, mais j’étais crevée, j’ai demandé à Philippe les clés de la voiture, il m’a rejoint un quart d’heure plus tard après avoir baisé je ne sais plus qui.

Fin du récit de Monique

Et ainsi s’achève (provisoirement ?) mes aventures partouzardes et celles de nos amis.

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Enzo Cagliari
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Lundi 2 mai 2022 1 02 /05 /Mai /2022 17:41

La femme porte-parapluie (Coutumes, mœurs et métiers d’antan) par Ursulin Neveway

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Elle portait les parapluies aves sa langue, les chapeaux avec ses tétons, on lui donnait la pièce, on lui donnais rendez-vous, on pouvait lui mettre la main aux fesses, elle ne protestait jamais mais il était interdit de la chatouiller.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Ursulin
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Lundi 2 mai 2022 1 02 /05 /Mai /2022 17:40

Le porte-coton (Coutumes, mœurs et métiers d’antan) par Ursulin Neveway

Le porte-coton est un métier

Voyons la définition que nous propose les dictionnaires « convenables »

« Officier de la garde-robe qui assistait le roi lors de la satisfaction de ses besoins naturels, notamment en lui présentant une serviette pour s’essuyer. »

En d’autres termes, le type était chargé de torcher le cul du roi

La tradition vint d’Angleterre sous le règne du sinistre Henri VIII. Ce titre était donné à un favori par le roi. C’était un fils d’un noble important ou d’un membre de la gentry. La fonction était très prisée du fait de l’accès à l’attention du roi.

Louis XIV la reprit à son compte, la fonction a été abolie à la Révolution puis rétablie sous les règnes de Louis XVIII et Charles X.
Si la reine avait également droit au privilège d’avoir son propre porte coton (une dame porte coton) , courtisanes et courtisans faisaient eux leur besoins dans les couloirs du château ou dans les allées du parc dans l’indifférence quasi générale..

portecoton

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Ursulin
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Lundi 2 mai 2022 1 02 /05 /Mai /2022 17:35

Le père-fouettard (Coutumes, mœurs et métiers d’antan) par Ursulin Neveway

Le Sénat a adopté mardi 2 juillet 2019 la loi anti-fessée ! La France est le 56e pays à se doter d’une loi interdisant totalement ce type de « violences », déjà adoptée par une large majorité des pays européens.

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On ne pourra donc plus faire appel à un père ou à une mère fouettard, ces sympathiques personales vont donc se retrouver au chômage. C’est malin !

Mais on s’en tape de leur loi débiles
Fessons-nous les uns les autres !

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Par vassilia-x-stories - Publié dans : Ursulin
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