Samedi 29 janvier 2022 6 29 /01 /Jan /2022 07:42

Partouze chez nos voisins par James01
zoo

Pierre et Sylvie sont nos nouveaux voisins depuis quelques mois. Pierre est un petit gros binoclard mais très sympathique, Sylvie une belle brune très souriante, dotée d'une poitrine généreuse. Ils ont un chien, un imposant labrador beige prénommé Pitch.

Et un jour ces voisins nous ont invité pour l'apéro ! Comme ça sans raisons particulières, disons qu'ils nous ont trouvés sympas.

L'apéro s'est déroulé normalement, à ceci près que Pitch venait régulièrement poser son museau entres les cuisses de Dorothée, ma tendre épouse, une fausse blonde bien conservée malgré ses presque soixante ans.

- Il est gentil, mais parfois il est un peu collant ! Nous confie Sylvie.
- Ça ne me dérange pas, j'adore les chiens, ! Répond mon épouse.
- Vous n'en n'avez pas ?
- On en prendra un quand nous serons en retraite. Pitch veux-tu laisser Dorothée tranquille. Répondis-je
- Ne le laissez pas faire n'importe quoi, il est un peu vicieux ! Reprend Sylvie
- Mais non, que voulez-vous qu'il me fasse ? Répond naïvement ma chère et tendre.
- Certes, vous êtes en pantalon ! Moi parfois quand je sors de la douche et que suis toute nue, il vient me renifler… Nous confie Sylvie.
- Et vous faites quoi ? Demandais-je
- Si je vous disais que je le laisse faire, je vais passer pour quelqu'un de pervers.
- Pensez-vous, nous avons les idées larges !

Moment de flottement parce que on se rend tous compte que la conversation prend un tour bien particulier.

Donc deux scénarios possibles, soit on parle d'autre chose, soit ça dégénère.

Et justement Sylvie en remet une couche en interpellant mon épouse.

- Vous feriez quoi, vous dans une telle situation ?
- On ne peut jamais savoir, mais disons qu'éventuellement je pourrais me laisser faire.
- Ben voilà ! Vous savez ce n'est pas désagréable une langue de chien !
- Je ne demande qu'à vous croire !
- Vous ne voulez pas essayer ?
- Un jour, si les circonstances s'y prêtent...
- Vous le feriez, maintenant, tout de suite !
- Non quand même pas !

Cette conversation commence à m'exciter et je me surprends à bander comme un âne

- Mais si, ne te dégonfle pas ! Lançais-je à mon épouse.
- Oh doucement ! Espèce de vicelard
- Tu en meures d'envie !
- Sylvie, si vous le faites devant moi, je veux bien le faire aussi, consentit mon épouse.

La situation est surréaliste, prenant la balle au bond, Sylvie retire son pantalon et fait venir le chien qui se met à la lécher à grand coups de langue.

- Oh ! Qu'est-ce que c'est bon ce qu'il me fait ! S'écrie t'elle

Devant ce spectacle, je me touche la braguette.

- Si vous voulez vous masturber, ne vous gênez pas me dit Pierre. Je crois d'ailleurs que je vais faire la même chose.

Et nous voici tous les deux la bite à l'air.

Sylvie a joui comme un dingue, et c'est au tour de mon épouse d'accueillir la langue du toutou dans ses replis intimes.

Je mate aussi la bite de Pierre, une bien belle chose bien raide, avec un très joli gland ! Evidemment il a vu mon regard.

- Elle te plait ? Me demande-t-il
- Elle est belle !
- Si ça t'intéresse, je suis un peu bi, à mes heures

Ça tombe bien, moi aussi, et je n'ai pas si souvent l'occasion de sucer une bonne bite. Je l'ai donc pris en bouche et lui a prodigué une fellation avec éjac pendant de son côté ma femme hurlait sa jouissance.

J'aurais bien joui à mon tour, mais cette partie improvisée semblait terminée, Sylvie remet son pantalon, mon épouse aussi tandis que Pierre s'en va se laver la bite dans la salle de bain.

On se ressert l'apéro.

- On part 10 jours en province, vous pourriez nous garder le chien ? Demande Sylvie
- Avec grand plaisir ! Répond Dorothée.

Je ne vous décris pas les moments de folie que mon épouse a vécu avec le chien. Pendant ces dix jours, elle ne s'est pas contentée de se faire lécher, elle lui a sucé la bite et s'est fait sauter comme une chienne, c'est le cas de le dire !

Nos voisins Pierre et Sylvie sont revenus, et pour nous remercier, ils nous ont invités à déjeuner. Ils nous ont présenté leur fille, Cécile, un petit canon de 25 ans assez grande et bien mamelue, vêtue d'une mini-jupe très sexy !

Comme on pouvait le prévoir, en arrivant, le chien fait la fête à mon épouse en tournant autour d'elle, et en poussant de petits cris, il se rappelle qu'à plusieurs reprises, elle a été sa femelle. Son maître lui dit d'aller se coucher d'un ton autoritaire, ce qu'il fait en baissant la tête.

Le repas a été sage, sans doute, cela était-il dû à la présence de leur fille qui n'avait pourtant pas du tout l'air d'une sainte nitouche ?

Du coup nous ne nous attendions pas à ce qu'après le café, le repas glisse en orgie complètement débridée.

C'est Cécile, qui a fait démarrer la partouze. Elle se lève de table et va s'asseoir sur le canapé tout proche. Aussitôt, Pitch se lève, et va mettre son museau entre les jambes de sa jeune maîtresse, qui au lieu de le repousser, ouvre un peu plus ses cuisses, le labrador lèche la culotte de la fille, qui écarte ce dernier rempart pour donner libre accès à sa langue, ses doigts écartent ses lèvres pour permettre au mâle d'aller plus en elle.

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Tout le monde a les yeux fixés sur le spectacle, la petite cochonne pousse des petits cris, en encourageant son compagnon à quatre pattes, à aller plus loin dans son intimité. Sylvie, sa mère, la rejoint sur le canapé, elle écarte ses belles cuisses, retrousse sa robe, enlève son string, dévoilant son sexe intégralement épilé, elle se masturbe en appelant Pitch à venir la rejoindre. Le mâle, va d'une femme à l'autre, je suggère alors à mon épouse de les rejoindre, elle parait un peu gênée (pourquoi ?), mais l'envie est trop forte, et elle va s'asseoir sur le canapé, en retroussant sa jupe, sa culotte est ôtée, la langue râpeuse lui donne à elle aussi bien du plaisir. Les trois cochonnes s'excitent avec leurs doigts quand le quadrupède les délaisse pour une autre, elles couinent, transpirent, elles ont la bouche grande ouverte, et encouragent Pitch qui a bien de la peine à suivre les désirs de ce trio de femelles en chaleur.

C'est alors que Pierre se lève, baisse son pantalon et son slip, et m'exhibe sa bite à quelques centimètres de mon visage. J'ouvre la bouche et me régale de ce joli membre.

Après quelques moments de douce fellation Pierre me propose d'aller rejoindre Cécile.

Pitch, lui est en train de s'occuper de mon épouse qui est tout excitée, elle semble prendre énormément de plaisir de retrouver son amant à pattes.

Cécile me fait signe de m'approcher avec un grand sourire, mon sexe est à hauteur de sa bouche. Je suis un peu gêné, mais Pierre me fait signe qu'il n'y a pas de problème.

Elle prend ma bite dans sa main, me branle vigoureusement quelques instants, puis me lèche, elle fait pénétrer ma bite dans sa bouche pendant que je lui ôte ses vêtements, elle n'a pas de soutien-gorge, et je découvre ses gros nichons laiteux. Je triture ses tétons en les pinçant légèrement, je les mordille doucement, arrachant quelques plaintes. Elle a des jambes assez longues, et fines qui se terminent par un petit cul qui parait assez nerveux et qui me donne bien envie de me la faire. Je la positionne en levrette, passe un doigt sur sa chatte toute gluante, je le fais coulisser à l'intérieur de sa moulette que je trouve assez étroite. Elle transpire, gesticule sous mes caresses et me demande de la baiser, elle veut sentir ma queue bien au fond de son minou. Je positionne alors mon pénis à l'entrée de sa grotte, je le passe sur ses lèvres pour l'enduire de mouille, j'avance lentement dans ce conduit très humide, Cécile est impatiente et très excitée, elle vient au-devant de ma pine qui va aller se planter au plus profond de son intimité. Elle me regarde en souriant et me demande de bien la faire jouir.

Pendant ce temps, mon épouse s'est déshabillée, et positionnée à quatre pattes, les fesses bien cambrées, les cuisses bien ouvertes, son amant canin est en train de la monter vigoureusement, sous les cris d'encouragement de Sylvie. Pierre s'approche de moi et me propose de m'enculer. J'accepte avec grand plaisir et adopte la positon adéquate. Il y avait longtemps que mon cul n'avait pas accueilli une bonne bite. C'est si bon une sodo quand c'est bien fait !.

Sylvie s'est rapprochée de sa fille pour l'embrasser à pleine bouche avant que les deux femmes de mettent en soixante-neuf en entamant un broute-minou à deux dos. Cécile transpire, souffle et couine, tant son plaisir est intense.

Après m'avoir sodomisé pendant une dizaine de minutes, Pierre s'apercevant que le chien s'est éloigné de mon épouse s'en va enculer cette dernière à son tour.

Sylvie s'est positionnée de façon à caresser la poitrine de Dorothée tout en lui prenant la bouche par de profonds baisers, leurs langues s'enlacent, de la bave coule de leurs visages.

De la façon dont est positionnée Sylvie, j'ai bien envie de me sauter cette belle femme à la poitrine bien généreuse et aux cuisses bien pleines, je lui enfile un puis deux doigts dans la minette, je passe ma bite sur son entrecuisse, je la prends par les hanches et fais pénétrer ma queue au plus profond de son intimité. Je la lime pendant un bon moment sous ses encouragements, ne pouvant plus me retenir, je me bloque, et me vide par plusieurs jets, dans ses profondeurs vaginales, tout en regardant ma femme dans les yeux, elle a aussi bien du plaisir sous les coups de boutoir qu'elle prend au plus profond de son anus. Nous nous désaltérons et reprenons des forces.

Pierre pisse sur ma femme qui ouvre une bouche gourmande. Encouragé, je fais de même dans la bouche de Sylvie et n'oublie pas Cécile qui vient quémander les dernières gouttes.

Pierre se couche sur le dos, sa bite bien verticale, il fait signe à sa fille de venir s'y empaler, Cécile enjambe son père, descend lentement, ses doigts écartent son abricot qui vient s'enfiler sur ce pieu violacé, il la couche sur lui, faisant se cambrer son derrière, il me fait signe de lui prendre l'anus.

Je présente ma bite à l'entrée, je pousse légèrement, mon sexe est comme aspiré dans ce conduit bien serré où il fait bon être. La fille jouit de cette double pénétration en poussant des jappements de plaisir.

Pendant ce temps Sylvie et Dorothée se mettent en soixante-neuf afin de se gouiner la chatte, pendant que Pitch se débrouille pour saillir par l'anus, une nouvelle fois mon épouse.

On a continué à forniquer comme des bêtes pendant pas mal de temps avant que la fatigue nous gagne et que l'alcool nous achève…

Ben oui, nous avons fait quelques pauses, il faut bien récupérer de temps en temps, et ces pauses furent arrosées au Champagne (et du bon !)

 

Tout va bien, merci de m'avoir lu ! Un petit mot pour me dire si ce récit vous a excité me ferait plaisir !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : James
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Jeudi 27 janvier 2022 4 27 /01 /Jan /2022 23:03

Confessions SM – 3
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Que c’est bon d’être soumise par Erika

Un jour je me suis décidé à m’inscrire sur un site internet de rencontre car, divorcée, j’étais en manque de tendresse et de sexe. Après avoir éliminé pas mal de mecs bizarres, je suis tombée sur un homme qui sortait du lot. Nous avons longuement échangé sur nos envies et il m’a précisé qu’il aimait particulièrement diriger et dominer en douceur, sans aucune violence. Il aimait les jeux de soumission. Et puis un jour, nous nous sommes rencontrés, nous nous sommes plus et nous avons passé un moment tendre. Très en douceur, il a commencé à me faire découvrir ce monde étrange pour lequel je devais avoir des prédispositions. Des menottes, un bandeau sur les yeux, des caresses différentes avec les mains ou des objets que je ne voyais jamais.

Un après-midi, il m’a bandé les yeux, posé un rosebud dans mon petit trou et emmenée en voiture je ne savais où. Nous avons roulé 15 ou 20 minutes, puis il m’a fait descendre. Où étions-nous ? Je l’ignorais, j’avais toujours les yeux bandés. Il m’a enlevé mon chemisier, mon soutien-gorge puis il a remonté ma jupe sous laquelle je n’avais que des bas, selon sa demande. Il m’a caressée. Je mouillais. Soudain, j’ai senti sur mes seins une seconde paire de mains. Il m’offrait à un autre. Une première pour moi. Tout s’emballait dans ma tête. En même temps, avec amour, il me tenait par la main. Je la serrais très fort. C’était bizarre, mais si agréable de lui faire plaisir. Ensuite, il m’a fait pencher sur une table ou un bureau (allez savoir ?) et donné une douce fessée sur mon cul qu’il aime tant. J’ai dû les prendre tous les deux en même temps en bouche. Nous sommes partis sans que je sache où nous étions allés. Une fois le bandeau enlevé, il était évident qu’à ses yeux je lui appartenais et que je l’avais rendu heureux.

Nous nous voyons régulièrement et je l’aime de plus en plus, je suis accro, complètement folle de lui. Une autre fois, après m’avoir bondagé les seins, il a posé une pince à linge sur chacun de mes tétons. C’était trop beau, je caressais sans arrêt mes grosses mamelles tellement elles étaient belles ainsi. J’étais fière. J’aimerais, un jour, aller à mon travail les seins ainsi attachés sous un chemisier.

Trop impatiente de le revoir, je l’ai invité chez moi la semaine suivante. Je n’en pouvais plus; il fallait qu’il s’occupe à nouveau de mon corps, de mes seins surtout. Une fois nue, il les a bondagé avec une cordelette fine et serrée. J’ai complètement kiffé. Mais d’un coup, j’ai eu très peur. Il a sorti des tapettes à souris en m’interdisant de mettre mes mains. Il les a posées en douceur sur mes tétons. Moi qui étais devenue maso des seins, j’allais être servie. Quelles sensations merveilleuses ! Je coulais littéralement, tellement c’était bon. Je suis restée ainsi plus d’une heure, je l’ai sucé, il m’a pissé dans la bouche et j’ai adoré boire son urine, il m’a baisé en levrette, puis enculé. J’ai dû nettoyer sa bite gluante de sperme et tachée de matière, mais je l’ai fait volontiers. Ensuite, il a dilaté mon cul en douceur avec un gode avant de m’en mettre un plus gros dans la chatte. Hummmm… Que c’est bon d’être soumise.

Erika

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La cave par Alice

J’étais au travail lorsque je reçu sur mon portable un sms venant de mon Maître. Il était sans équivoque et me laissa sans voix…

« Sois disponible à 17 heures, je viendrai te chercher au travail pour que tu sois mon jouet »

Il n’était que 13 heures et déjà je sentais la pression monter, savoir que mon Maître aller m’imposer un nouveau jeu me rendait toute moite … Qu’allait-il encore m’arriver ? J’avoue que j’ai vraiment eu du mal à terminer ma journée de travail, j’étais toute tremblante et mon esprit était accaparé par mon futur rendez-vous.

A cette époque, j’avais 49 ans, et j’étais déjà une femme mature que l’on peut qualifier de soumise et de cougar, car oui, je ne vivais que pour les délires de mon Maître, et oui je préférais les hommes plus jeunes que moi. Mon Maître avait deux ans de plus que moi, et il prenait un malin plaisir à me faire baiser par des hommes ayant l’âge de mes fils… L’heure arriva, péniblement, et je sortis de travail. Il était déjà là, m’attendant dans sa grosse bagnole. J’entrai dans la voiture, et le saluai d’un. « Bonjour Maître ». Il ne répondit pas, et me regarda d’un air salace. Il me tendit une microrobe et des talons de 15 cm.

– Tiens enfile ça petite pute ! me dit-il.
– Oui maître !
– C’est bien, tu es une bonne salope ! me répondit-il

Je m’exécutai sans broncher. Nous arrivâmes dans les quartiers périphériques, là où les tours HLM se suivent et se ressemblent. Il trouva une place et se gara. Il m’ouvrit la porte, et m’ordonna de sortir. Là il me mit un bandeau sur les yeux, et me guida. D’après ce que je ressentais, nous étions en direction d’un immeuble. Il ne parlait pas, ne disait rien, ce qui me faisait frémir de désir … Je ne savais vraiment pas ce qui allait arriver. Nous avons descendu un escalier. Soudain il me dit :

– Voilà petite pute, on est dans une cave, et il va falloir que tu suces ce jeune mec qui est venu se faire vider.

Je ne voyais rien … Je me mis à genoux, difficilement, et j’ouvris la bouche… Et là, la queue arriva. Je n’avais d’autre choix que de sucer, mon Maître me tenait par les cheveux et me lançait des insultes, j’entendais également le jeune mec me qualifiant de « bonne salope », de « bonne pute cougar », de « bonne vide couille soumise » .de « vieille morue » et j’en passe.

Je ne sais pas combien de temps cela a duré, mais ma bouche était pleine de sperme au bout de quelques instants. Je me sentais humiliée, comme à chaque fois lors des jeux de mon Maître. Il m’a ordonné de conserver la bouche ouverte, l’inconnue me pissait dessus, je m’efforçais d’avaler mais j’eu un haut de cœur, non pas parce que c’était mauvais mais parce qu’il y en avait de trop. Soudain, il n’y eut plus aucun bruit. Il me releva, et nous partîmes enfin de ce lieu glauque. Arrivés dans la voiture il m’enleva mon bandeau, et me tendit une lingette pour essuyer le sperme et l’urine qui coulaient encore sur mon visage
.
– C’est bien, tu es vraiment une bonne salope ! Me dit-il.

Et il me tendit un billet

– C’est quoi ?
– Ben tu as fait la pute, c’est normal .qu’il te paie, non ?

Et il m’a ramené chez moi

Alice

Le club par Pozzi

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J'ai pendant plusieurs mois fréquenté un espèce de club qui organisait des soirées avec humiliation d'esclave. On était une vingtaine de spectateurs, des hommes seuls mais aussi des couples, y compris des couples de lesbiennes. c'était assez cher, un ticket bleu permettait uniquement d'assister, un tiquet rouge permettait de participer mais c'était plus cher. L'humiliation concernait de 1 à 3 filles suivant les séances. Ça commençait de façon classique (si j'ose dire) insultes crachats, pinces, et cravaches et humiliations en tout genre (faire le chien, ramener la balle) puis les filles se faisaient pisser dessus (il n'y avait pas de scato, réservé à des séances spéciales où je n'ai pas eu l'occasion de me rendre) puis après c'était sexe à gogo avec les gens qui avaient un ticket rouge. moi je n'en ai jamais pris, mais une fois un mec m'a gentiment prêté sa femme en me disant que je pouvais lui faire tout ce que je voulais (authentique),Le gars m'a tout de même demandé de le remercier en lui suçant la bite, je ne pouvais pas lui refuser ça. A la fin d'une des dernières séances à laquelle j'ai participé, on a "obligé" les filles à sucer les bites de deux gros chiens. Quel spectacle, je n'avais jamais vu ça, ensuite les deux filles se sont mises en levrette et une assistante est venue les aider à se faire pénétrer par les chiens. Inutile de dire que je me suis branlé comme un sauvage. A la fin de la séance les deux soumises sont venues remercier le public comme au théâtre !.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Lundi 24 janvier 2022 1 24 /01 /Jan /2022 13:23

Un jeu de rôle par Marine et Thibault

Avec Marine on joue parfois à des petits jeux de rôles. Je vais vous raconter celui-là
J’ai demandé à Marine de s’habiller en pute, et moi je fais le vilain maquereau

– Tu me rapportes combien aujourd’hui ?
– Aujourd’hui, je n’ai pas fait grand-chose.
– Salope ! Tu vas être punie !

Thibault Catherine01

Je fais mettre Marine à quatre pattes, puis je lui place un collier de chien autour du cou et je la promène un peu en laisse dans l’appartement, comme elle ne va pas assez vite, je la tire par son épaisse tignasse brune. Elle m’excite dans ces moment-là avec son grand nez et son air de chien battu.

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Je lui enlève son haut et sa jupe, et je lui administre une bonne fouettée sur son gros cul, faut dire qu’elle adore ça !



Thibault Catherine03

Puis sans ménagement je la tire à nouveau par les cheveux, et je l’installe sur la chaise, j’ai dû lui faire mal, je m’en veux un peu alors je la console en lui plaçant son visage contre mon ventre, et en lui faisant sentir la promesse de ce que j’ai, maintenant bien raide, dans ma culotte

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Thibault Catherine05

Je la ficelle sur la chaise et je lui demande de me sucer pendant que je lui pince le bout des seins, au bout d’un moment je la libère de ses liens mais cette fois ci je l’attache derrière le dossier.Thibault Catherine06

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Finalement je m’assois et je lui demande de me sucer, les mains attachées derrières le dos… mais finalement j’aime bien quand elle se sert de ses doigts alors je lui défais ses liens , me laisse sucer, « normalement » et lui offre un première récompense en lui suçant avec application sa belle chatte bien grasse. Puis je l’encule !Thibault Catherine12

Je souffle un peu, je m’amuse à l’attacher sur la table à l’aide d’une paire de menottes, après lui avoir excite l’anus avec un petit vibro masseur, et je lui demande de me nettoyer mon trou du cul merdeux avec sa petite langue. Toujours bien excité je lui demande encore de me sucer et j’en profite pour lui peloter ses gros nichons que j’adore, et je ne finis par jouir dans sa bouche…Thibault Catherine13

Thibault Catherine14

Marine n’a pas joui et se paluche comme une malade
Quel trip ! Après on est allée au restau comme deux amoureux et encore après on a fait les fous mais de façon un peu plus classique….

(juin 2003)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marine et Thibault
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Lundi 17 janvier 2022 1 17 /01 /Jan /2022 14:49

Pourquoi se marier ? par Honoré Letellier
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Pourquoi se marier
Quand les femmes des autres,
Pour être aussi les nôtres,
Se font si peu prier ? 

Letellier2022

Honoré Letellier dit Telius (1733-1793)
Cet horloger et astrologue fut un précurseur puisque 237 ans avant l’affaire du calendrier maya, il associait déjà l’alignement des planètes à la fin du monde. Réalisant ses démonstrations à l’aide d’un automate truqué, il tenait baraque sur le Pont Neuf à Paris et vendait fort chers des réservations d’abris qu’il était impossible de visiter puisque prétendument situés dans le domaine royal de Satory. Il fut aussi chansonnier et auteur de quelques poésies grivoises

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Honoré Letellier
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Vendredi 14 janvier 2022 5 14 /01 /Jan /2022 17:14

Vacances en famille par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 5 – Encore plus !
scat
Attention : scato et zoophilie explicite

 

Ce matin-là Martine et Marie s’amusaient dans la salle de bain, d’abord en s’aspergent d’eau et de mousse, puis en se prodiguant de douces et sensuelles caresses.

Celles-ci ne tardèrent pas à devenir de plus en plus osées. Martine commença par titiller les tétons de sa camarade qui lui rendit la pareille et bientôt les langues et les lèvres remplacèrent les doigts.

– Oh, c’est trop bon ce que tu me fais, touche-moi la chatte en même temps, je vais te faire la même chose !

A ce petit jeu nos deux jeunes femmes ne tardèrent pas à jouir de concert sans chercher à rester discrètes.

Janine, la mère de Marie fit soudain irruption dans les lieux.

– Dites-donc, les gouines, à quel moment je vais pourvoir espérer me servir de la salle de bain ?
– Gouine toi-même ! Lui répondit Martine.
– Ce n’est pas une réponse !
– On se rince et on sort, Dis Maman, tu n’as pas envie de pipi, un peu ?
– Non… si peut-être ! Pourquoi cette question ?
– Pisse-nous dessus Maman !
– Mais vous êtes de vraies cochonnes !
– Ça, on le sait ! Alors il vient ce pipi ?

Janine se mit en position sur le bord extérieur de la baignoire.

– Je n’y arrive pas, je bloque !
– Va chercher Nicole, à deux vous allez peut-être y arriver.
– Oui, bon, on pourra faire ça après…
– Maman s’il te plait, fais nous plaisir !
– Ah ces jeunesses !

Janine revint accompagnée de Nicole, côte à côte contre la baignoire, elles ouvrirent les vannes, et arrosèrent copieusement leur filles qui se régalèrent de ce joli liquide doré.

Après s’être rincées et séchés les deux jeunes lesbiennes prirent un petit déjeuner sur le pouce avant d’aller se prélasser dans l’herbe.

Elles ne restèrent pas longtemps inactives, et bientôt les deux jeunes filles se couvrirent de caresses et de baisers de plus en plus osés.

Un moment Martine présenta son postérieur à Marie en se cambrant et en écartant les fesses afin de rendre son bel anus brun et plissé bien visible.

– Oh ! que c’est beau ! S’exclama Marie, je vais l’embrasser.

Sa langue vint alors titiller ce délicat petit endroit.

– Il a bon goût, ça me rappelle ce que nous avons fait l’autre jour avec ta tante Julie.
– Mets-moi un doigt.

C’était de toute façon dans ses intentions et le doigt préalablement imprégné de salive pénétra dans le fondement de son amie

– Oh, c’est bon ! Continue à me branler le trou du cul, encore, encore ! Ouiii ! Mets un deuxième doigt… Aaaah !

Marie ressortit son doigt et sembla désolée de ne pas le trouver pollué, elle le lécha néanmoins avec plaisir.

– Hum c’est bon, mais j’aurais préféré quelques traces de merde ! Tu veux me faire la même chose ?
– J’allais te le proposer

Ce fut donc au tour de Martine de labourer le trou du cul de Marie et de la faire jouir.

Et quand son doigt ressortit, il présentait d’insolentes tâches brunâtres. Elle l’approcha de sa bouche.

– J’hésite un peu !
– Ferme les yeux et vas-y carrément !

Ce qu’elle fit !

– Humm, c’est pas mauvais, pas mauvais du tout !
– Tu m’en laisse un peu ! Intervint Marie..
– Bien sûr ma chérie !

Elles finirent par sucer le doigt de conserve, ravies d’avoir franchi un nouveau pas.

– Tu crois qu’on pourrait aller encore plus loin ? Demanda Martine.
– Tu aimerais que je fasse mon caca sur toi ?
– On pourrait toujours essayer !
– Maintenant ?
– Oui !
– Suce moi un peu la rondelle, ça va aider. Proposa Marie en présentant son joli petit cul à sa partenaire de jeu.

Martine lui écarta les globes fessiers afin d’avoir une vue imprenable sur l’orifice étoilé.

– Que c’est beau un anus ! S’exclame-t-elle
– Tu as déjà léché celui de ta mère ?
– Non mais ça me parait une excellente suggestion
– On fera ça ensemble !
– Oh ! oui ! s’enthousiasma Martine.

Sa langue virevoltait maintenant sur l’œillet brun, le gout âcre lui rappelait de façon mon prononcée celui qu’elle avait rencontré en léchant son doigt pollué.

Alors folle d’excitation, elle mouilla son doigt et le plongea de nouveau dans l’étroit conduit, rencontrant une matière molle sans doute prête à s’extraire.

Elle le retira, constata les « dégâts », voulu cette fois le lécher en gardant les yeux ouverts, mais n’y parvint pas. C’est donc, yeux fermés qu’elle entreprit ce second nettoyage de la matinée.

– Allonge-toi, je vais essayer ! Prévint Marie. Je te fais ça où ? Sur le ventre, sur les seins ?
– Les seins ? Suggéra sa complice

Marie se place légèrement accroupie au-dessus de Martine, le cul tourné vers son visage et commença à pousser.

– Ça va venir, un peu de patience !

Mais ses efforts furent interrompus par le bruit de la porte d’entrée d’où émergèrent Janine et Nicole.

Les deux mamans s’en allaient faire des courses en ville, toutes deux simplement vêtues d’un robe courte et très légère, bleue pour Janine, jaune pour Nicole.

– Mais vous faites quoi, les filles ? S’étonna Janine
– On essaie des jeux un peu scato ! Répondit Marie.
– Berck ! Ne put s’empêcher de dire Nicole.
– Si ça vous chante, mais faites ça sans nous ! Ajouta Janine.
– D’accord, d’accord répond Marie en se redressant, mais on aimerait vous demander une petite fantaisie.
– Eh bien on verra ça tout à l’heure, là nous partons en courses ! Répond Nicole.
– C’est juste un petit truc, ça ne va durer que cinq minutes ! Intervient Martine.
– C’est quoi ? Demande Janine poussée par la curiosité.
– On voudrait vous embrasser le trou du cul ! Dit alors Marie.

Les deux mamans se regardent, se demandant si elle doivent rire ou s’offusquer. Mais elle choisissent la première option.

– Elles sont folles ! S’amuse Nicole.
– On ne va pas leur refuser ça ! Dit Janine
– Alors d’accord, les filles, venez nous lécher la rondelle.

Alors dans un ensemble parfait les deux mamans se retournent, et soulèvent leurs robe sous lesquelles il n’y avait aucune culotte.

Martine et Marie se positionne derrière leur mères respectives, Nicole et Janine.

Ce petit léchage de cul dure juste quelques minutes.

– Bon vous avez eu ce que vous vouliez, maisnteant il faut que nous fassions es courses ! Précise Nicole.!
– C’est trop excitant de lécher le cul de sa mère ? N’est-ce pas Marie ? Lui dit Martine
– Dommage que ça sentait le gel douche ! Rétorque cette dernière.
– Oui reprend Martine, On refera ça juste après que vous aurez fait vos besoins.

Les deux mamans poussèrent un soupir d’exaspération et sans répondre se dirigèrent vers la voiture et s’y installèrent.

– Tu sais, confia Janine à son amie Nicole, ça m’a terriblement excité de me faire lécher le trou du cul par ma fille !
– Oui c’était troublant, moi aussi ça m’a excité !

Spontanément les deux belles matures s’enlacèrent et s’embrassèrent, les mains devirent baladeuses, allant à la rencontre d’abord des tétons durcis, puis s’aventurant dans les grottes humides..

Les mamans parties, les deux jeunes débauchées reprirent leur positions antérieures, Marie s’efforça de pousser tant qu’elle le pouvait, mais rien n’y fit, tout juste put-elle libérer quelques gouttes d’urine qui atterrirent sur les seins de Martine.

– On va remettre ça à plus tard, je bloque ! Convint Marie.
– Tu sais, je repensais au coup d’œil que nous avais lancé Suzanne quand Sophie s’était mise à nous parler de scato.
– Et tu crois que…
– On peut toujours l’appeler !

– Allo, Suzanne, c’est Martine, on ne te dérange pas…
– Mais non ma petite chérie.
– Avec Marie, nous évoquions le petit clin d’œil que tu nous avais lancé quand Sophie nous parlait de ses expériences scato…
– Ah ! Je te vois venir, petite cochonne ! Je suis à ta disposition ! C’est quand tu veux !
– Ce matin ?
– Pourquoi pas, je vous attends, j’ai plein de jeux bien salaces à vous proposer.
– Chic alors, on sera là dans une demi-heure

Le temps d’enfiler un petit haut et un short au ras des fesses, nos deux jeunes délurées cheminèrent jusqu’à la villa de Suzanne après avoir envoyé un message aux mamans leur précisant qu’elles allèrent « dire bonjour » à Suzanne.

Cette dernière les accueillit simplement vêtue d’un paréo

– Alors mes petites salopes ! On vient faire des petites cochonneries !
– Mwoui !
– Vous n’allez pas être déçue ! Accepteriez-vous d’être mes petits esclaves pendant une heure ou deux . Ce sera un jeu bien sûr et on pourra tout arrêter si vous le souhaitez !

Les deux jeunes femmes se regardèrent et acquiescèrent

– Alors asseyez-vous sur ces chaises et interdiction de bouger.

Suzanne retire son paréo, se retourne et se met à dodeliner du cul de façon obscène.

– Alors vous le trouvez comment mon joli derrière ?
– Il est très beau ! Répondit Marie.
– Bien sûr qu’il est beau, mais il sera encore plus beau quand vous verrez une belle merde en sortir, c’est bien ça que vous voulez, non ?
– Euh, oui !
– Mais figurez-vous qu’avant votre coup de fil j’avais un autre projet. Aujourd’hui j’ai mon homme de ménage qui est là et j’adore quand il m’encule, alors vous allez profiter du spectacle ! Julien viens, c’est l’heure.

Un jeune blondinet fit son apparition. Sa présence ne disait rien que vaille aux deux jeunes femmes peu porté sur la gent masculine, mais il eut été inconvenant de quitter les lieux alors qu’elle venaient à peine d’arriver.

L’homme se déshabilla, Suzanne le prit en bouche afin de le faire bander correctement, puis l’objectif étant atteint, elle se plaça en levrette.

– Il me fait ça sans capote, on se fait tester régulièrement ! Précisa Suzanne

L’homme lui entra sa bite dans le cul très facilement et se mit à effectuer une série de va-et-vient. Suzanne ne tarda pas à pousser des gémissement de plaisir de plus en plus explicites et de plus en plus bruyants. Avant de jouir dans un râle…

Julien décula, exhibant une bite poisseuse de sperme et de merde.

– Maintenant les filles, nettoyez-lui la bite !

Martine et Marie se regardent sans enthousiasme

– Non, peut-être pas ! Précise Martine
– Et toi Marie ?
– Moi non plus !
– Bon je ne vous retiens pas, vous pouvez partir ! Leur dit alors Suzanne
– Interloquées, les deux jeunes femmes se levèrent.
– Ou alors on va faire autrement ! Reprit Suzanne. Mettez-vous à genoux, tête baissée et cul relevé, je vais vous chauffer les fesses. Ça va peut-être vous permettre de voir les choses autrement.

Satisfaites de pouvoir rester, Martine et Marie s’exécutèrent. Suzanne se saisit d’une cravache et commença par fouetter Marie.

– Tiens vilaine fille ! Tiens pétasse.
– Aïe !
– T’aime ça te faire rougir le cul ?
– Je ne sais pas ! Aïe !
– Dis-moi que tu es une petite pétasse !
– Je suis un petite pétasse ! Aïe.
– Et les petites pétasses, ça suce les bites, même quand elles sont pleines de merde, tu le sais, ça ?
– Aïe ! C’est trop fort
– Répond-moi !
– Oui, je vais la sucer !
– Alors vas-y !

Marie s’approcha de la bite de Julien, eut un mouvement de recul, mais ferma les yeux et ouvrit la bouche et commença le nettoyage.

T’as le droit de la rejoindre ! Indiqua Suzanne à Martine qui toute contente de s’en tirer à si bon compte rejoignit sa camarade dans sa tâche.

Finalement l’épreuve ne fut pas si difficile que ça et les deux jeunes filles en sortirent ragaillardies.

– Ben alors ? Qu’est-ce qui vous bloquaient ? S’étonne Suzanne
– C’est-à-dire ! Répondit Marie en rougissant. Les garçons nous ont déçu, alors on s’étaient jurés toutes les deux de ne plus toucher à aucune bite.
– Oui mais là, ça n’a rien d’une relation sentimentale, c’est comme si vous aviez joué avec un sex-toys vivant ! N’est-ce pas Julien que tu n’es qu’un sex-toy ?
– Oui madame, si vous le dites ! Je ferais remarquer à madame que Madame a oublié de me donner ma petite enveloppe.
– Ce que tu peux être vénal. Répondit-elle en allant fouiller dans son sac à main afin d’y extraire ce qu’il convient. Voilà, maintenant tu te rhabilles et tu repars bosser. Vous les filles allongez-vous par terre collées l’une contre l’autre. Je vais vous chier dessus. Mais pour ça il faut me le demander.
– Oui chie-nous dessus Suzanne ! Répond Marie
– Vous êtes bien sûre parce qu’après ce ne sera pas fini, il faudra gouter à ma merde.
– Oui, on est venu pour ça, chie nous dessus et on goutera à ta merde ! Confirme Martine.
– Alors attention le petit oiseau va sortit

Suzanne se positionne au-dessus des deux jeunes délurées, elle commence par pisser dru, son jet atterrissant dans les bouches ouvertes de deux jeunes femmes, puis elle se recule, se retourne et s’accroupit légèrement. L’anus s’ouvre, elle pousse laissant sortir un petit étron. Elle respire un bon coup, pousse encore et très vite un long boudin se fraye un chemin vers la sortie. Elle effectue un mouvement de côté de façon que les deux filles en reçoivent sur leurs corps. En fait c’est Martine qui a presque tout reçu..

– Ne bougez pas ! Alors ça vous a plus ? Ça sent bon ?
– Ben ça sent la merde ! Commente Marie.
– Vous allez vous habituer.

Suzanne prélève un morceau de son caca, le passe sous les nez des deux jeunes femmes, puis l’approche de sa bouche et le lèche. Puis vient le moment fatidique.

– Rapprochez vos visages, vous allez lécher toutes les deux en même temps.

L’étron s’approche, Martine ferme les yeux. Suzanne la gifle. Oh pas trop fort mais le geste n’en n’est pas moins humiliant.

– Tu gardes les yeux ouverts, salope !

Plus d’hésitation, Martine et Marie lèchent la merde de Suzanne.

– Alors c’est comment ? Demande la belle mature-
– C’est pas mauvais, mais surtout qu’est-ce que c’est excitant ! Répond Marie.
– Je vois ça, je vais vous lécher la chatte à toutes les deux toutes les deux mais avant léchez encore un peu ma merde !
– Oh oui ! Répond Marie, mais tu es une vilaine, tu as giflé ma copine.

Suzanne prélève un peu de matière et s’en badigeonne les seins

– Allez sucez moi les nénés maintenant !

– Bien sûr que je suis vilaine… Oui comme ça, léchez bien, vous y prenez goût on dirait.
– J’ai essayé de chier sur Martine, tout à l’heure mais je n’y suis pas arrivée ! Explique alors Marie.
– Ah, voyons voir ! Répond Suzanne en introduisant son index dans le fondement de la jeune fille. Effectivement je sens quelque chose, pousse un peu pour voir !

Elle eut beau pousser, quand ça ne veut pas, ça ne veut pas.

– Je te ferais un petit lavement tout à l’heure mais pour l’instant on va passer à autre chose, où sont vos mères ?
– En courses !
– Tiens Marie appelle la tienne, puis passe-moi le portable.
– Mais tu ne devais pas nous lécher la chatte !
– Patience, la journée n’est pas terminée !

– Allo Janine, c’est Suzanne, les deux jeunes sont chez moi…
– Oui je suis au courant….
– On s’est amusé un peu, ça vous dirait de nous rejoindre ? On pourra manger toutes à la maison !
– Pourquoi pas ? On sera là dans dix minutes.

– Allez vous doucher, les filles, les mamans arrivent, je crois que la suite devrait vous surprendre !.

Janine et Nicole arrive avec quelques minutes de retard, elles ont toute pimpantes, On s’embrasent, on rigole.

– Alors vous avez fait quoi avec nos filles ?
– Un peu de scato
– Ce n’est pas pour nous ! Répond Nicole.
– Chacun ses fantasmes, mais en ce qui vous concerne, on peut peut-être envisager autre chose. Vous avez raconté à vos filles ce que j’ai fait avec le chien ?
– Euh, je ne sais plus, je vous en ai parlé, les filles ?
– Non ! Il s’est passé quoi avec le chien ? Raconte !
– Ben le chien lui a léché la chatte et après elle lui a sucé la bite ! Explique Nicole
– Oh la cochonne !
– Vous voulez qu’on rejoue la scène ? Demande Suzanne.

Tout le monde semble d’accord.

– Mais cette fois, je ne veux pas que vous vous dégonfliez ! Précise Suzanne.

Elle va chercher le chien et un pot de rillettes, elle en prélève un petit peu et se frotte la chatte avec. Il ne lui reste qu’à attirer le chien qui vient la lécher avec de grands coups de langues, tandis qu’elle se pince violemment le bout des seins.

– Oh ! C’est trop bon ce qu’il me fait ! Je suis vraiment une salope ! Allez les nanas, traitez-moi de salope
– T’es une salope, Suzanne, une grosse salope qui se fait lécher par son chien ! Répond Janine.
– Oui il faut vraiment être la reine des salopes pour faire ce genre de choses ! Renchérit Nicole.
– Mais vous aussi vous êtes de salopes ! Répond Suzanne ! N’est-ce pas les filles, que vos mamans sont des salopes ?
– Oui, oui, Répond Martine, des salopes qui se gouinent avec leurs propres filles.
– Et aujourd’hui vous allez être aussi salopes que moi ! Reprend Suzanne entre deux gémissements. Les filles distribuez des rillettes à vos mamans.

Janine se retrouve avec le pot de rillettes dans la main, elle hésite un peu

– C’est sans danger de faire ça ?
– Aucun danger !
– Bon, j’essaie !

Elle se tartine un peu le pubis avec les rillettes, puis passe le pot à Nicole qui se sent obligée de faire de même.

– On est prête ! Dit Janine ! Envoie le clébard quand tu veux.

Suzanne se lève, tire le chien vers la maman de Marie qui après un moment d’appréhension se laisse lécher

– Oh, quelle langue, c’est magique ! Aaaaah
– C’est vrai c’est si bon que ça ! Demande Nicole.
– Oh, oui !
– Tu as vu, Marie comme ta mère est salope !
– On est toutes des salopes.

Après quelques minutes, Suzanne tira la laisse du chien afin de le conduire devant Nicole.

– Laisse le moi encore un petit peu protesta Janine..
– Ne t’inquiètes pas, la partie n’est pas terminée.

Ce fut donc au tour de Nicole de gouter les plaisirs provoqués par la langue du chien. Pendant ce temps Janine, non rassasiée se faisait doigter la chatte par sa fille.

Suzanne222Suzanne revint chercher le chien, et le coucha sur le flanc, elle, le branla un peu et quand la bite fut sortie de son fourreau , elle l’emboucha. En regardant l’assistance d’un air de défi !

Janine et Nicole savaient ce qui les attendaient, quand Suzanne leur demanderait de les rejoindre, oseraient-elles le faire ?

– Qui veut me rejoindre ? Finit par demander Suzanne. Janine ? Nicole ?

Les deux mamans se regardent, les deux jeunes filles également. Puis Martine défia sa mère.

– Vas-y maman, va sucer la bite du chien !
– Et pourquoi moi ?
– Parce que j’ai envie de te regarder faire ça !
– Bon je vais essayer !

Nicole s’approche du couple formé par Suzanne et le chien, se baisse afin de s’approcher du sexe de l’animal, hésite encore.

– Allez vas-y, tu en meurs d’envie ! L’encourage Suzanne.

Nicole respire fort, l’instant d’après elle a la bite du chien dans la bouche, étonnée de rencontrer une texture aussi douce et peu gênée par le gout musqué qu’elle dégage.

Suzanne se retire laissant un moment Nicole seule avec l’animal, celle-ci fait alors signe à Janine de la rejoindre et bientôt les deux mamans sucent à l’unisson le sexe canin, l’écoulement de liquide spermeux leur coulant sur le visage.

– Bon ça va maintenant, laissez-en pour vos filles.

Martine et Marie sont étonnées de cette invite ayant fini par penser que Suzanne avait réservé ce genre de fantaisie à leurs mamans. Mais contrairement à celles-ci c’est sans aucune hésitation qu’elles vinrent prendre leur place.

– On peut aller encore plus loin si vous voulez, ça intéresse quelqu’un de se faire baiser par le chien. Mais attention je ne veux qu’une seule volontaire après ce brave toutou ira se reposer !
– C’est pas dangereux ? Demande Nicole
– Non, on lui enfilera des chaussettes sur ses pattes de devant pour ne pas qu’il griffe, sinon pas de problème. Répond Suzanne
– Tu le ferais, toi ? Demande Janine à son amie.
– Pourquoi pas, ça peut être amusant, et toi ?
– Je ne sais pas, mais pourquoi pas après tout !
– Alors laquelle des deux ? On va tirer au sort Pile pour Janine, face pour Nicole.

Ce fut Janine.

– Viens te mettre ne levrette, je vais préparer le chien.

Le chien ne proteste pas quand on lui enfile des chaussettes, Suzanne prélève un peu de sa propre mouille et tartine les fesses de Janine, elle fait venir le chien qui comprend ce qu’on attend de lui. D’un bond il grimpe sur la belle mature et la pénètre.

– Oh ! Il me baise ! Je me fais baiser par un chien, c’est moi la plus salope !

Le chien y va de ses va-et-vient à une cadence infernale faisant gémir la belle mature qui finit par jouir peu discrètement.

– Maintenant retire-toi sinon tu risques de rester collée dix minutes !

La partie est terminée ? Non pas tout à fait, d’ailleurs tout le monde se lèche, se tripote et s’embrasse.

– Je vais m’occuper de :Marie, elle a un petit problème ! Déclare Suzanne qui revient de la salle de bain avec une poire à lavement et une cuvette.

Suzanne injecte le contenu de quatre poires dans le fondement de Marie qui ne tarde pas à se tortiller. Elle veut aller jusqu’au toilettes, mais il lui faut passer devant les mamans et Martine. Elle ne peut pas aller plus loin, un jet obscène sort de son cul éclaboussant tout le monde. Et le reste suivit.

Les mamans se demandent si elles doivent s’offusquer de la situation ou d’en rire. Vous aurez deviné qu’elle ont préférer en rire.

La journée n’est pas terminée, la partie non plus, mais le récit s’arrête là, votre imagination fera le reste !

FIN

Informations de publication : Cette histoire s'inspire très largement d'un texte publié en 2000, (signé J. Bayec) puis repris sur le site de X Story (sans aucune correction et en oubliant le chapitre 1) J'ai conservé la quasi-totalité du texte original, en le corrigeant de ses quelques fautes, en le rendant compatible avec notre charte de publication, en y incluant quelques ajouts thématiques sans nuire à l'esprit du récit. Je n'ai pas conservé le dernier chapitre qui n'ajoutait pas grand-chose à l'histoire et l'ai remplacé !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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