Partouze chez nos voisins par James01
Pierre et Sylvie sont nos nouveaux voisins depuis quelques mois. Pierre est un petit gros binoclard mais très sympathique, Sylvie une belle brune très souriante, dotée d'une poitrine généreuse. Ils ont un chien, un imposant labrador beige prénommé Pitch.
Et un jour ces voisins nous ont invité pour l'apéro ! Comme ça sans raisons particulières, disons qu'ils nous ont trouvés sympas.
L'apéro s'est déroulé normalement, à ceci près que Pitch venait régulièrement poser son museau entres les cuisses de Dorothée, ma tendre épouse, une fausse blonde bien conservée malgré ses presque soixante ans.
- Il est gentil, mais parfois il est un peu collant ! Nous confie Sylvie.
- Ça ne me dérange pas, j'adore les chiens, ! Répond mon épouse.
- Vous n'en n'avez pas ?
- On en prendra un quand nous serons en retraite. Pitch veux-tu laisser Dorothée tranquille. Répondis-je
- Ne le laissez pas faire n'importe quoi, il est un peu vicieux ! Reprend Sylvie
- Mais non, que voulez-vous qu'il me fasse ? Répond naïvement ma chère et tendre.
- Certes, vous êtes en pantalon ! Moi parfois quand je sors de la douche et que suis toute nue, il vient me renifler… Nous confie Sylvie.
- Et vous faites quoi ? Demandais-je
- Si je vous disais que je le laisse faire, je vais passer pour quelqu'un de pervers.
- Pensez-vous, nous avons les idées larges !
Moment de flottement parce que on se rend tous compte que la conversation prend un tour bien particulier.
Donc deux scénarios possibles, soit on parle d'autre chose, soit ça dégénère.
Et justement Sylvie en remet une couche en interpellant mon épouse.
- Vous feriez quoi, vous dans une telle situation ?
- On ne peut jamais savoir, mais disons qu'éventuellement je pourrais me laisser faire.
- Ben voilà ! Vous savez ce n'est pas désagréable une langue de chien !
- Je ne demande qu'à vous croire !
- Vous ne voulez pas essayer ?
- Un jour, si les circonstances s'y prêtent...
- Vous le feriez, maintenant, tout de suite !
- Non quand même pas !
Cette conversation commence à m'exciter et je me surprends à bander comme un âne
- Mais si, ne te dégonfle pas ! Lançais-je à mon épouse.
- Oh doucement ! Espèce de vicelard
- Tu en meures d'envie !
- Sylvie, si vous le faites devant moi, je veux bien le faire aussi, consentit mon épouse.
La situation est surréaliste, prenant la balle au bond, Sylvie retire son pantalon et fait venir le chien qui se met à la lécher à grand coups de langue.
- Oh ! Qu'est-ce que c'est bon ce qu'il me fait ! S'écrie t'elle
Devant ce spectacle, je me touche la braguette.
- Si vous voulez vous masturber, ne vous gênez pas me dit Pierre. Je crois d'ailleurs que je vais faire la même chose.
Et nous voici tous les deux la bite à l'air.
Sylvie a joui comme un dingue, et c'est au tour de mon épouse d'accueillir la langue du toutou dans ses replis intimes.
Je mate aussi la bite de Pierre, une bien belle chose bien raide, avec un très joli gland ! Evidemment il a vu mon regard.
- Elle te plait ? Me demande-t-il
- Elle est belle !
- Si ça t'intéresse, je suis un peu bi, à mes heures
Ça tombe bien, moi aussi, et je n'ai pas si souvent l'occasion de sucer une bonne bite. Je l'ai donc pris en bouche et lui a prodigué une fellation avec éjac pendant de son côté ma femme hurlait sa jouissance.
J'aurais bien joui à mon tour, mais cette partie improvisée semblait terminée, Sylvie remet son pantalon, mon épouse aussi tandis que Pierre s'en va se laver la bite dans la salle de bain.
On se ressert l'apéro.
- On part 10 jours en province, vous pourriez nous garder le chien ? Demande Sylvie
- Avec grand plaisir ! Répond Dorothée.
Je ne vous décris pas les moments de folie que mon épouse a vécu avec le chien. Pendant ces dix jours, elle ne s'est pas contentée de se faire lécher, elle lui a sucé la bite et s'est fait sauter comme une chienne, c'est le cas de le dire !
Nos voisins Pierre et Sylvie sont revenus, et pour nous remercier, ils nous ont invités à déjeuner. Ils nous ont présenté leur fille, Cécile, un petit canon de 25 ans assez grande et bien mamelue, vêtue d'une mini-jupe très sexy !
Comme on pouvait le prévoir, en arrivant, le chien fait la fête à mon épouse en tournant autour d'elle, et en poussant de petits cris, il se rappelle qu'à plusieurs reprises, elle a été sa femelle. Son maître lui dit d'aller se coucher d'un ton autoritaire, ce qu'il fait en baissant la tête.
Le repas a été sage, sans doute, cela était-il dû à la présence de leur fille qui n'avait pourtant pas du tout l'air d'une sainte nitouche ?
Du coup nous ne nous attendions pas à ce qu'après le café, le repas glisse en orgie complètement débridée.
C'est Cécile, qui a fait démarrer la partouze. Elle se lève de table et va s'asseoir sur le canapé tout proche. Aussitôt, Pitch se lève, et va mettre son museau entre les jambes de sa jeune maîtresse, qui au lieu de le repousser, ouvre un peu plus ses cuisses, le labrador lèche la culotte de la fille, qui écarte ce dernier rempart pour donner libre accès à sa langue, ses doigts écartent ses lèvres pour permettre au mâle d'aller plus en elle.
Tout le monde a les yeux fixés sur le spectacle, la petite cochonne pousse des petits cris, en encourageant son compagnon à quatre pattes, à aller plus loin dans son intimité. Sylvie, sa mère, la rejoint sur le canapé, elle écarte ses belles cuisses, retrousse sa robe, enlève son string, dévoilant son sexe intégralement épilé, elle se masturbe en appelant Pitch à venir la rejoindre. Le mâle, va d'une femme à l'autre, je suggère alors à mon épouse de les rejoindre, elle parait un peu gênée (pourquoi ?), mais l'envie est trop forte, et elle va s'asseoir sur le canapé, en retroussant sa jupe, sa culotte est ôtée, la langue râpeuse lui donne à elle aussi bien du plaisir. Les trois cochonnes s'excitent avec leurs doigts quand le quadrupède les délaisse pour une autre, elles couinent, transpirent, elles ont la bouche grande ouverte, et encouragent Pitch qui a bien de la peine à suivre les désirs de ce trio de femelles en chaleur.
C'est alors que Pierre se lève, baisse son pantalon et son slip, et m'exhibe sa bite à quelques centimètres de mon visage. J'ouvre la bouche et me régale de ce joli membre.
Après quelques moments de douce fellation Pierre me propose d'aller rejoindre Cécile.
Pitch, lui est en train de s'occuper de mon épouse qui est tout excitée, elle semble prendre énormément de plaisir de retrouver son amant à pattes.
Cécile me fait signe de m'approcher avec un grand sourire, mon sexe est à hauteur de sa bouche. Je suis un peu gêné, mais Pierre me fait signe qu'il n'y a pas de problème.
Elle prend ma bite dans sa main, me branle vigoureusement quelques instants, puis me lèche, elle fait pénétrer ma bite dans sa bouche pendant que je lui ôte ses vêtements, elle n'a pas de soutien-gorge, et je découvre ses gros nichons laiteux. Je triture ses tétons en les pinçant légèrement, je les mordille doucement, arrachant quelques plaintes. Elle a des jambes assez longues, et fines qui se terminent par un petit cul qui parait assez nerveux et qui me donne bien envie de me la faire. Je la positionne en levrette, passe un doigt sur sa chatte toute gluante, je le fais coulisser à l'intérieur de sa moulette que je trouve assez étroite. Elle transpire, gesticule sous mes caresses et me demande de la baiser, elle veut sentir ma queue bien au fond de son minou. Je positionne alors mon pénis à l'entrée de sa grotte, je le passe sur ses lèvres pour l'enduire de mouille, j'avance lentement dans ce conduit très humide, Cécile est impatiente et très excitée, elle vient au-devant de ma pine qui va aller se planter au plus profond de son intimité. Elle me regarde en souriant et me demande de bien la faire jouir.
Pendant ce temps, mon épouse s'est déshabillée, et positionnée à quatre pattes, les fesses bien cambrées, les cuisses bien ouvertes, son amant canin est en train de la monter vigoureusement, sous les cris d'encouragement de Sylvie. Pierre s'approche de moi et me propose de m'enculer. J'accepte avec grand plaisir et adopte la positon adéquate. Il y avait longtemps que mon cul n'avait pas accueilli une bonne bite. C'est si bon une sodo quand c'est bien fait !.
Sylvie s'est rapprochée de sa fille pour l'embrasser à pleine bouche avant que les deux femmes de mettent en soixante-neuf en entamant un broute-minou à deux dos. Cécile transpire, souffle et couine, tant son plaisir est intense.
Après m'avoir sodomisé pendant une dizaine de minutes, Pierre s'apercevant que le chien s'est éloigné de mon épouse s'en va enculer cette dernière à son tour.
Sylvie s'est positionnée de façon à caresser la poitrine de Dorothée tout en lui prenant la bouche par de profonds baisers, leurs langues s'enlacent, de la bave coule de leurs visages.
De la façon dont est positionnée Sylvie, j'ai bien envie de me sauter cette belle femme à la poitrine bien généreuse et aux cuisses bien pleines, je lui enfile un puis deux doigts dans la minette, je passe ma bite sur son entrecuisse, je la prends par les hanches et fais pénétrer ma queue au plus profond de son intimité. Je la lime pendant un bon moment sous ses encouragements, ne pouvant plus me retenir, je me bloque, et me vide par plusieurs jets, dans ses profondeurs vaginales, tout en regardant ma femme dans les yeux, elle a aussi bien du plaisir sous les coups de boutoir qu'elle prend au plus profond de son anus. Nous nous désaltérons et reprenons des forces.
Pierre pisse sur ma femme qui ouvre une bouche gourmande. Encouragé, je fais de même dans la bouche de Sylvie et n'oublie pas Cécile qui vient quémander les dernières gouttes.
Pierre se couche sur le dos, sa bite bien verticale, il fait signe à sa fille de venir s'y empaler, Cécile enjambe son père, descend lentement, ses doigts écartent son abricot qui vient s'enfiler sur ce pieu violacé, il la couche sur lui, faisant se cambrer son derrière, il me fait signe de lui prendre l'anus.
Je présente ma bite à l'entrée, je pousse légèrement, mon sexe est comme aspiré dans ce conduit bien serré où il fait bon être. La fille jouit de cette double pénétration en poussant des jappements de plaisir.
Pendant ce temps Sylvie et Dorothée se mettent en soixante-neuf afin de se gouiner la chatte, pendant que Pitch se débrouille pour saillir par l'anus, une nouvelle fois mon épouse.
On a continué à forniquer comme des bêtes pendant pas mal de temps avant que la fatigue nous gagne et que l'alcool nous achève…
Ben oui, nous avons fait quelques pauses, il faut bien récupérer de temps en temps, et ces pauses furent arrosées au Champagne (et du bon !)
Tout va bien, merci de m'avoir lu ! Un petit mot pour me dire si ce récit vous a excité me ferait plaisir !
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