Samedi 24 septembre 2022 6 24 /09 /Sep /2022 16:07

Chanette 28 – Magazines littéraires – 1 – Un éditeur singulier

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Coucou, c’est moi Chanette qui viens vous narrer une de mes nouvelles aventures. Celles et ceux qui m’ont déjà lu savent que j’exerce le métier (ben oui c’est un métier) de dominatrice professionnelle. Mes récits ne sont pas des histoires de domination mais des récits d’aventures incluant de l’érotisme (et bien sûr aussi de la domination). Je suis ce qu’on qualifie de MILF, fausse blonde et je plais.

Principaux personnages :
Patrice Colombani, écrivain à succès
Stan Baker, éditeur et agent de Colombani.
Lorenza Baker, épouse de Stan
Guillaume Beauregard, critique littéraire chez « Lire encore »
Delphine Lebœuf, rédactrice en chef du magazine « Plaisir délire ».
Janice Minazolli, rédactrice chez « Plaisir délire ».
Cédric Bornerave, rédacteur chez « Plaisir délire ».
Maître Emile Doubise, avocat à la cour
Estelle Morin, secrétaire de Maître Doubise

Maintenant on peut commencer…

C’est Monsieur Baker qui après m’avoir expliqué mon rôle dans cette petite mise en scène m’a demandé de fixer la date du rendez-vous.

– Que diriez-vous de lundi prochain ? Proposais-je.
– Pourquoi pas ? Mais si votre client nous fait faux bond…
– Ne vous inquiétez pas, je gère, votre scénario ne me pose aucun problème, à part un petit détail bassement trivial…
– Dites-moi.
– J’aimerais vous demander d’augmenter un peu la prime offerte à ma collègue.
– Juste un peu alors ?
– C’est cela, juste un peu !
– Il nous faudrait un plan B quand même…
– Ne vous inquiétez pas.

Non je n’ai pas de plan B, Carole viendra avec Valentin, Valentin n’est pas un client mais le compagnon de cette dernière. Comme il est toujours fauché et qu’il sera correctement rétribué je ne vois vraiment pas pourquoi il nous ferait faux bond.

Lundi 8 janvier

C’est aujourd’hui que ça va se passer.

L’histoire commence au café du coin où je suis attablée en compagnie de Patrice Colombani, écrivain à succès et de Stan Baker, son agent et éditeur.

On a répété le plan, Baker est un anxieux, il a beaucoup investi financièrement dans l’opération, il a peur que ça foire.

Bien sûr que le risque existe, mais si le plan échoue ce ne sera pas de mon fait.

A 9 h 30, Carole pénètre dans le bistrot, elle fait comme prévu, semblant de ne pas me connaître, commande un jus de fruit au bar et se faufile aux toilettes.

Je prétexte une envie pressante et m’éclipse à mon tour, je rejoins Carole et lui confie les clés de mon studio, puis reviens tranquillou à ma place après avoir fait un tout petit pipi. (Désolée mais la scène uro ce sera plus loin…)

Patrice Colombani ne paie pas de mine, il est bedonnant, chauve et binoclard, mais jovial. Je suis d’ordinaire peu attentive aux délires de mes clients, mais celui-ci c’est quand même un cas.

Laissons-lui un peu la parole :

Le récit de Patrice Colombani

Je travaillais comme rédacteur dans une grande compagnie d’assurance, je tapais des rapports et des mémoires au sujet d’affaires compliquées qui se terminaient souvent en justice. On me félicitait souvent pour mon style.

Un jour notre nouveau directeur de département a eu l’idée de créer un journal interne, c’est un truc récurent dans la culture d’entreprise, une bonne âme lui a alors soufflé que j’étais capable d’écrire une petite nouvelle fantastique qui plairait bien.

Je l’ai donc fait, c’était une très courte histoire d’un type coincé dans une cabine téléphonique par un banc de langoustes géantes. Il s’en est suivi un dialogue surréaliste avec le directeur.

– Vous avez du style, cher ami, dommage que vous ne fassiez pas attention aux détails…
– C’est une nouvelle fantastique…
– J’entends bien, ce ne sont pas les langoustes que je vous reproche, c’est la cabine !
– La cabine ?
– Ignoreriez-vous qu’il n’y plus de cabine téléphonique depuis 2018. Maintenant tout le monde possède un portable.
– Certes mais être enfermé dans un téléphone portable entouré de langoustes, je ne vois pas très bien.

Là j’ai senti que le bonhomme n’appréciait pas l’ironie de ma réplique.

– Pour les jeunes générations, une cabine téléphonique c’est un objet qui ne leur parle plus, trouvez une cabine d’autre chose, moi, je ne sais pas une cabine d’ascenseur.
– Mais comment voulez-vous que des langoustes attaquent un ascenseur ?
– Démerdez-vous.

Cet entretien a eu deux conséquences, la première c’est qu’on n’a pas publié ma nouvelle, la seconde c’est que j’ai essayé en vain d’aménager mon récit sans y parvenir, mais que je me suis découvert une irrésistible passion pour l’écriture.

Et puis je voulais me venger de ce directeur débile, quelle revanche ce serait si je me faisais publier et que je puisse lui foutre sous le nez mon ouvrage !

Alors je me suis mis à essayer d’écrire, je voulais faire un polar, je choisissais des personnages, les décrivais, mais je bloquais sur l’intrigue, je n’étais pas doué pour ça.

Et un jour en flânant sur les quais, je suis tombé sur des vieux polars poussiéreux des années 1970. J’en ai acheté une dizaine, Puis je me suis mis à les lire, le premier était décidément trop tarte, mais le second offrait une intrigue astucieuse et des personnages intéressants.

Il me restait à recopier tout cela en le modernisant. Mais les problèmes n’ont pas tardé, dès la page 20 l’un des protagonistes téléphone d’une cabine… Mon histoire de langoustes me revient en pleine poire. Je me rends compte que l’adaptation est difficile, aujourd’hui nous avons des téléphones portables, l’accès à internet, la police a évolué, elle a à sa disposition des tests ADN, les enregistrements de vidéo surveillance, les relevés de carte bleue, les fadettes, les crimoscopes… L’adaptation devient vite un calvaire.

J’ai failli renoncer mais la nuit m’ayant portée conseil, je décidais de jouer sur la nostalgie, je conserverai l’action en 1970, même peut-être avant, mon inspecteur se nommera Bontemps, parce que les gens disent toujours que le bon temps c’était avant. Simplement je réécrirais tout dans mon style à moi, modernisant les dialogues, faisant parler les gens comme tout le monde et non pas comme dans les romans ampoulés. Puis j’ajouterais un peu de sexe, les gens aiment bien.

J’ai mis six semaines à faire ça et plein d’espoir je déposais ça à l’accueil des Editions Duchesse.

Une dizaine de jours plus tard je recevais un appel téléphonique, j’étais convoqué chez l’éditeur qui me demanda simplement d’effectuer quelques retouches…

Le mois suivant « Bontemps contre l’homme au rictus » devenait un best-seller.

Je signais un contrat avec mon éditeur qui me proposa un bouquin par an, je lui répondit que je pouvais faire mieux et lui proposais deux bouquins par an.

C’est ainsi que j’ai écrit cinq best-seller et que j’espère que le sixième ouvrage suivra le même chemin.

Fin du récit Patrice Colombani

Mes interlocuteurs semblent tenir à ce que je comprenne leurs motivations, alors que moi franchement, je m’en fous !

– Vous voyez mieux le contexte ? Me demande Stan Baker, son agent éditeur, en finissant de boire son café.
– En fait pas vraiment, les bouquins de monsieur Colombani ont du succès, le public continuera à les lire et se fout complètement de ce que pourra écrire Monsieur Beauregard.
– Certes, mais ce n’est pas comme cela qu’il faut voir les choses, Nous avons appris que Guillaume Beauregard s’est mis en tête de ridiculiser Colombani à partir de l’interview qu’il va réaliser. Avec notre petit scénario, il va complètement changer de point de vue, c’est un opportuniste, cela ne le généra pas, Il va donner ses lettres de noblesses à Colombani, du coup nous aurons deux publics, le populaire et les bobos. Et puis surtout il y a autre chose, nous allons sortir dans 15 jours le nouveau thriller de Colombani, nous avons prévu un gros tirage, si Beauregard le descend en flamme, un certain nombre de critiques qui ne savent faire que du copier-coller vont l’imiter et beaucoup d’exemplaires vont finir au pilon.
– Bon après tout, ça ne me regarde pas, je suis de toute façon gagnante dans l’histoire puisque vous m’avez généreusement payé…
– C’est comptabilisé dans les frais généraux de la maison d’édition, à la rubrique « prestations diverses » !

Prestation diverse ! Prestation diverse ! Est-ce que j’ai une gueule de prestation diverse ?

– Je disais donc, repris-je, que même si ça ne me regarde pas, il m’aurait intéressé de savoir comment vous pouvez être aussi sûr de votre coup ?

Baker consulte sa montre

– Nous ne sommes pas en retard, je vais vous raconter : C’était il y a trois ans et à l’époque Beauregard était encore inconnu du grand public. Il avait néanmoins participé à un plateau télévisuel au cours d’une émission à faible audience, il se trouve que j’étais présent dans le public, et que ses interventions m’avaient prodigieusement agacées, je le connaissais donc de vue mais pas lui. Je remarquais son tic consistant à redresser régulièrement une mèche rebelle qui lui dégringolait sur les lunettes. Mais la suite fut plus croustillante. J’étais allé dans un sauna gay…
– Ah, bon ! Fis-je amusé.
– Ça ne devrait pas vous choquer !
– Ça ne me choque pas, je suis un peu surprise c’est tout.
– Et pourquoi donc ?
– Disons que la façon dont vous me regardez ne colle pas trop avec l’image de quelqu’un qui fréquente les sauna gays.
– Et la bisexualité, qu’en faites-vous ?
– Justement, j’ignorai que les bisexuels fréquentaient ce genre d’endroits.
– Mais si, je vais vous raconter tout ça en commençant par le début :

Le récit de Stan Baker.

J’ai toujours été attiré par les choses du sexe, ado et ayant cessé de croire au père Noël, puis en Dieu le père, je ne comprenais pas le tabou sur le sexe et la nudité, il me semblait pourtant qu’une société moderne se devait de dépasser ça.

Au collège, j’ai longtemps été de ceux qui tripotaient la bite de mes petits camarades, branlettes réciproques, puis turlutes dans les chiottes.

Je me souviens d’un de mes camarades, qui avait une bite superbe à ce point que je l’ai encore en mémoire, elle goutait bon, et ce fut avec lui que je goutais pour la première fois au sperme.

Je n’avais qu’une envie, c’est qu’il m’encule, mais sans que je me souviennes pourquoi, cela n’a jamais pu se faire.

Ma sexualité avait pris un cours étrange, je ne me considérais pas comme gay, restant toujours admiratif devant un beau minois féminin ou un décolleté avantageux. Bisexuel ? Peut-être ?

Toujours est-il que mes premiers flirts avec quelques demoiselles, me firent remiser mes penchants bitophiles, et je découvris que sucer une belle chatte faisait aussi partie des plaisirs dont on ne saurait se priver.

Le temps a passé, j’ai eu des copines, des liaisons, je consommais aussi pas mal de films pornos, j’essayais de visionner des films gays mais décidemment les gros balèzes californiens ne m’inspiraient guère, mais je n’étais pas guéri pour autant de mes obsessions bitophiles, et parfois la nuit dans les fantasmes je rêvais de sodomie.

Un jour, dans la salle de projection d’une sex-shop quand mes yeux s’habituèrent à l’obscurité, ce fut pour apercevoir des gars qui se branlaient en toute décontraction… et certains se le faisaient mutuellement. J’étais tombé chez les dingues et écourtais ma visite, sauf qu’un démon facétieux m’y fit revenir le lendemain.

Et cette fois, j’ai sorti ma queue, me suis branlé et j’ai attendu. Pas longtemps, une main étrangère s’est posée sur ma bite, puis le gars a voulu me sucer, j’aurais préféré le contraire, mais bon… Ne voulant pas jouir trop vite, je l’ai fait arrêter, il ne souhaitait pas que je le suce. Qu’à cela ne tienne, des bites il y en avait plein d’autres. Je fis une tentative auprès d’un type en costume debout et débraguetté, je lui caresse un peu le zizi, je me penche, il ne dit rien, et voilà qu’après 25 ans, je retrouve cette sensation, cette douce texture, ce petit goût pervers, je me régale, ce jour-là j’ai dû en sucer cinq ou six.

Et puis un jour dans cette même salle, il y avait un attroupement, je m’approche, un gars, les fesses à l’air, arbouté sur le dossier d’un siège se faisait proprement enculer. On est là à cinq ou six à mater, un type me tripote la queue et je lui rends la politesse.

– T’aimerais bien être à sa place ? Me dit le gars.
– Oui, ça me plairait bien !
– D’accord, dès qu’ils ont fini, je te baise.

J’ai vérifié que le gars se mettait bien une capote, et je me suis laisse prendre.

– Attention, je n’ai pas trop l’habitude !

Le gars y est allé doucement, ça m’a fait drôle au début, mon cul se demandait qu’elle était cette chose qui le remplissait… Mais non seulement je m’habituais vite, mais mon corps fut rapidement envahi d’ondes de plaisir. Le type a joui en m’enculant, il s’est retiré, un autre a voulu prendre le relais, j’ai refusé, voulant partir du lieu avec cette bonne impression.

J’ai recommencé deux fois, ce n’était pas mal, mais je n’ai pas retrouvé le plaisir de cette « première fois ».

Et un beau jour un type un peu plus bavard que la moyenne me donna l’adresse d’un sauna.

Ça ne me coutait rien d’aller voir et c’est ce que j’ai fait.

J’y ai trouvé une ambiance complètement différente, ici pas de voyeurs, ceux qui viennent cherche carrément un contact, ça facilite les choses, je regrette juste le cérémonial de la braguette qui m’amusait bien, sinon c’est super. Il y a deux salles de contact dont l’une très peu éclairée ainsi qu’une salle de projection, une piscine, des cabines, bref un tas d’endroits. Je ne sais par où commencer et je me pose dans la salle de contact qui est éclairée.

Je m’assois, sur la banquette devant moi un type se fait enculer tout en suçant une bite. Fabuleux. Je suis assis à côté d’un type qui se tripote, je m’apprêtais à faire un mouvement d’approche, mais je n’ai pas été assez rapide, un gars vient s’immiscer entre ses cuisses et lui gobe la bite tout en lui tortillant les tétons. Et moi alors ?

Je n’ai pas attendu longtemps, un type se pointe devant moi bite en avant. J’ouvre la bouche, je suce ! Que c’est bon, que c’est doux, que c’est excitant.. Un deuxième s’amène à ses côtés, je suce les deux bites alternativement, on me serre les tétons, on me caresse, c’est la fête !

L’un des gars me propose d’aller en cabine ! Pourquoi pas, moi je serais bien resté là, mais bon…

Droit au but ! Une fois installé, le gars me propose de me sodomiser. Je me suis mis en position, il a fermé la porte, je l’aurais bien laissé ouverte, mais puisque c’était son choix…

Ce fut rapide et un peu brusque, je n’ai pas aimé, mais je n’ai pas voulu rester sur un échec, je suis retourné draguer et le suivant m’a fait ça comme un chef !

Bref je suis devenu accro à cet endroit et m’y rendait environ une fois par mois.

Un soir, à la maison en vidant mes poches avant de me mettre en pyjama, j’ai laissé trainer le ticket d’entrée du sauna.

– Tu fréquentes les sauna gays, maintenant ? Me questionne Lorenza, ma femme.
– Simple curiosité, je voulais savoir comment ça se passait…
– Et tu vas me dire que tu t’es contenté de regarder, c’et ça ?
– Ben…
– Alors tu vas t’assoir gentiment sur le bord du lit et tu vas me raconter, et je veux tous les détails !
– Ben…
– On dit qu’on ne se cachait rien… et puis ça risque de m’exciter. Alors je t’écoute.

Je lui est donc tout raconté, enfin presque tout et à la fin, excitée comme une puce, elle s’est jetée sur moi, ma fait une pipe d’enfer et m’a demandé de la sodomiser !

Mais je m’égare, pardonnez-moi, revenons au sujet :

Et un jour j’étais assis dans la salle de contact où je matais deux mecs en train de se sodomiser, tout en branlant mon voisin de banquette quand je vois arriver un bonhomme.

Flash dans ma tête, car je l’ai déjà vu quelque part. La mémoire me revient rapidement, et quand je vois le type se redresser sa mèche rebelle, je n’ai plus de doute, c’est Beauregard.

Le monde est donc petit, et je me fiche pas mal qu’il soit là, n’empêche que je me demande comment il va se comporter dans cet endroit.

Un type, un grand roux est debout en train de se tortiller les tétons, il bande joliment. Beauregard s’approche du lui et lui touche la bite, l’autre se laisse faire. L’instant d’après la bite du roux était dans la bouche de Beauregard. Et faut voir comme il suçait, l’animal, il était aux anges. Comme souvent dans ces situations les deux mecs ne restent pas longtemps seuls, ça s’agglutine autour avec bonheur. Beauregard suce alternativement deux ou trois bites, je fini par ne plus rien voir…

Et puis tout d’un coup le groupe se disloque, je vois Beauregard sortir avec le roux, Je m’amuse à les suivre discrètement, ils vont dans la salle des cabines mais n’en trouve aucune de libre. Ils se dirigent alors vers une petite salle où il y a un canapé et un distributeur d’eau fraiche.

Beauregard se met en levrette sur le canapé, le roux s’encapote et l’encule. Un troisième larron se pointe et lui donne sa bite à sucer.

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Je sens que ça va encore s’agglutiner, ça ne rate pas, entre les voyeurs et ceux qui veulent se faire sucer, je n’y vois plus rien.

Un mec s’approche de moi et me dit « vous avez une bien belle bite, cher monsieur ! » Que voilà un personnage insolite car d’ordinaire on se tutoie en ces lieux. Il me tripote, je lui rends la politesse. Bref ça s’est terminé en cabine où nous sommes bien restés une bonne demi-heure. J’avais joui, mais avant de quitter les lieux j’ai eu la curiosité de faire le tour des salles afin de voir si Beauregard était toujours là. Il y était, dans la salle de projection et il suçait une bite pendant qu’un gars lui doigtait le cul

Fin de récit de Stan Baker

– Depuis, continue Baker, la situation a évolué, il ne peut plus se rendre dans des endroits comme ce sauna, il est trop connu !
– Il se débrouille peut-être autrement les escorts-boys, ce n’est pas fait pour les chiens ! Fis-je remarquer.
– Certes, mais là on lui offre une occasion… Et ce sont toujours les occasions qui font les larrons. Je vais maintenant vous laisser, ajoute Baker, Beauregard devrait arriver d’une minute à l’autre, c’est quelqu’un de très ponctuel. Je vous fais confiance, tout devrait bien se passer.
– On va essayer ! Et si un jour vous avez besoin de mes services, ce sera un plaisir.
– Voulez-vous que je vous réponde comme dans les mauvais films américains « non, non, je suis marié… » ?
– Ce n’était qu’un proposition… Mais il m’aurait amusé de vérifier si le monsieur qui vous a complimenté sur votre bite avait raison.
– Oh vous savez, elle est très ordinaire, mais elle plait bien !
– Et votre réponse ?
– Disons que je ne suis pas contre…

Et sur ces bonnes paroles, je suis montée dans mon studio de travail avec Colombani, et à 10 heures précises, Guillaume Beauregard déboulait.

Beauregard n’est pas très grand, peut-être 1 m 65, un petit maigrelet au visage poupin, il a d’énormes sourcils et une chevelure très brune et abondante, une tronche de loup-garou, un petit loup-garou !

– Voici Chanette, une amie ! Déclare Colombani en me désignant. En fait c’est ma muse !
– Mes hommages, madame ! Me répond Beauregard en me gratifiant d’un baise-main. Voilà comment nous allons procéder, je vous pose des questions et j’enregistre tout, Vous aurez un droit de regard et de retrait sur la transcription écrite que je vous ferais parvenir. Ce droit de retrait ne s’applique qu’à l’interview elle-même et non pas à l’article que j’écrirais à la suite ! Confirmez-vous votre accord sur tout ça ?
– Pas de problèmes.
– Donc, si vous voulez bien me signez ce papelard, et on commence !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Jeudi 8 septembre 2022 4 08 /09 /Sep /2022 18:15

Délivrance par Catherine Valmurey

Catherine Valandrey2

Je vais sur mon pot de chambre, m’accroupir
Me libérer de ma merde, quel plaisir
L’odeur m’envahit et me flatte les sens
J’admire le fruit de ma délivrance
Je ne m’essuie pas après ce moment
Fanchon me léchera le cul aisément !

cacabom

Catherine Valmurey : Courtisane et poétesse française (1795-1880) Pour laquelle nous possédons peu d’éléments biographiques. Le portrait ci-dessus attribué à Isabelle Pinson la représente peut-être.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Catherine Valmurey
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Samedi 3 septembre 2022 6 03 /09 /Sep /2022 22:34

Helga, ma correspondante allemande par Christelle Baxter
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Récit contenant des passages scato explicites

 

C’est en relevant mon courrier, le soir que je découvrais une enveloppe manuscrite provenant d’Allemagne. Intriguée, j’ouvrais et découvrait une lettre d’Helga, mon ancienne correspondante. Elle devait passer à Paris pour rencontrer quelqu’un dans le cadre de son travail et me disait en profiter pour y rester une semaine, elle espérait me rencontrer et m’indiquait son numéro de portable.

Ça pour une surprise, j’avais déjà rencontré trois fois Helga, les deux premières fois furent classiques, mais nous étions bien appréciées, cette fille respirait la joie de vivre et la décontraction. La dernière fois, nous avions dix-huit ans tous les deux, elle me dévorait des yeux, et moi je n’osais franchir ce pas, elle multipliait les provocations se baladaient nue devant moi, pissait ou chiait sans fermer la porte des chiottes. « Ce serait bête d’attendre le dernier jour » m’avait-elle dit… « Je ne suis pas prête pour ça ! » avais-je répondu… Alors juste une fois, et on en parle plus… Je n’avais pas dit « non », j’avais dit « je ne sais pas »… elle sut alors qu’elle pourrait cueillir ce qu’elle était venue chercher. Ce fut le dernier jour, le dernier soir, ses valises étaient déjà faites, un amour bestial, nous nous sommes caressées, léchées, doigtées, fait jouir je ne sais combien de fois, et même compissées. Et au petit matin on s’est mises à pleurer comme des fontaines au milieu de ses bagages. « On se reverra bientôt, je t’appelle… »

Je m’étais traité de conne, pourquoi avoir attendu le dernier moment ? Helga m’avait rappelé le lendemain, on était resté longtemps à jacasser au téléphone. « Je te rappelle la semaine prochaine ! » Elle ne l’a pas fait, je ne l’ai pas rappelé non plus, c’était il y a huit ans !

Huit années… comme le temps passe trop vite !

Cette fille m’a profondément marqué, elle m’a permis de découvrir une bisexualité qui ne m’a depuis jamais quitté, même si je n’ai jamais retrouvé les frissons de cette chaude première fois. Certaines de ses réflexions incongrues sont restées dans ma mémoire. Elle me dit un jour qu’il fallait aimer et rechercher tous les plaisirs de la vie Comment ne pas être d’accord, mais c’est quand elle les énumérait que ça devenait insolite : « Manger, rire, baiser, boire, chanter, pisser, chier ». Et ses commentaires du même ordre « Oh ! J’ai bien chié, j’ai fait un gros boudin, il était joli comme tout ! » Je ne m’offusquais pas mais ne relançais pas.

Comment avait-elle aujourd’hui évolué ? Elle était peut-être mariée, ses tendances lesbiennes et scatologiques avaient peut-être été remisées aux magasins des fantasmes de jeunesse ? Mais bon, rien ne m’empêchait de la voir. J’étais pour ma part libre comme l’air, j’ai bien un lit à deux places mais il n’y a pas souvent deux personnes dedans.

Je lui téléphone, elle me dit qu’elle n’a pas beaucoup de temps pour me parler, mais si je pouvais lui rendre le service de lui trouver un petit hôtel pas cher et de lui en textoriser les cordonnées…

– Je peux t’héberger chez moi, je suis seule… si tu acceptes de coucher dans mon lit !
– Oh ! Quelle excellente idée…

Je suis allée la chercher Gare de l’Est, le dimanche soir. Un peu changée, coiffure plus sage, allure moins gamine et quelques kilos de plus. Un gros bisou.

– Tu veux boire un coup, ou on file direct à la maison ?
– Maison !

Et hop, métro.

Je lui avais préparé un petit repas sympa avec un bon petit rosé, elle me raconte un tas de trucs, une vraie pie, elle m’apprend qu’elle s’est mariée mais qu’elle a divorcé rapidement pour se mettre en ménage avec un mec et qu’ils se sont séparés dernièrement… Il s’en passe des choses en huit ans ! Par contre aucune allusion à nos galipettes d’antan, aucun propos ambigu sinon un banal « T’es toujours aussi belle ! » que je lui renvoie bien volontiers, aucune allusion scato non plus. Serait-elle devenue trop sage ?

Elle m’explique qu’elle a rendez-vous demain lundi avec un mec, que ça lui prendra toute la journée, je ne comprends pas bien ce qu’elle fait comme boulot, un vague rapport avec la recherche, je crois comprendre, mais je ne suis même pas sûre. Idem pour le mardi , mais elle sera donc complètement libre les trois jours suivants avant de repartir en Allemagne samedi matin. Je lui dis que je vais me débrouiller pour me libérer jeudi et vendredi. Elle a l’air désolée que je ne puisse le faire pour les quatre jours… Comme si c’était forcément simple !

On est allé se coucher, elle était crevée, elle s’est mise à poil et s’est endormie de suite sans aucune manœuvre d’approche. J’ai eu pour ma part du mal à trouver le sommeil.

Le lendemain matin, madame fait un raffut du diable dans la salle de bain et en plus elle traîne, elle traîne, idem pour le petit déjeuner qu’elle prend toute nue, trouvant le moyen de se mettre de la confiture sur les seins. Ça la fait rire et elle me demande si je veux lécher.

C’est le signal que j’attendais, mais il arrive au mauvais moment.

– Je voudrais bien, mais si je le fais, ça va nous emmener je ne sais où ?
– Tu n’aimes plus ?
– Si, mais faut que j’aille bosser et je sens que je vais être en retard.
– Ils ne sont pas cool tes patrons !
– Pas trop non, mais si tu veux on rejouera la scène ce soir…
– Oh, oui, « rejouer la scène » c’est un bon plan ça !

J’ai été bosser au magasin en me disant que ce soir j’allais passer à la casserole. Je me demandais si j’en avais réellement envie. Ce matin j’aurais bien dit oui si j’avais eu le temps. Là, je ne savais plus. Je rentrais vers 18 heures, j’hésitais entre préparer quelque chose à manger ou ne rien faire et l’emmener au restaurant.

La voilà qui rentre, elle a l’air dans un état d’excitation assez dingue, sans transition elle me demande si elle peut aller se doucher. Bien sûr qu’elle peut aller se doucher. Je ne sais toujours pas ce qu’on va faire après, je vais attendre que madame sorte, si c’est comme ce matin ça va durer un certain temps. Finalement ça aura été plus vite que prévu, la voilà qui se pointe à poil et à peine sèche.

– Il faut que je te raconte ma journée.

J’ai droit à un déluge verbal inimaginable, comme le plupart des gens elle ne sait pas raconter, ne respectant aucune chronologie, faisant référence à des personnages dont j’ignore tout. Je finis par comprendre quand même qu’il est question d’un contrat pour sa boite et que son interlocuteur voulait la sauter…

– Moche, très moche, il était !
– Qui ça ?
– Monsieur Berger.

Vraiment du mal à suivre.

– Et alors il m’a dit, « je ferais n’importe quoi pour passer une heure avec vous ! » Et moi, je lui dis « Monsieur, je n’ai pas envie de coucher avec vous ! » Il me parle alors de compensation, me demande ce qui me ferait plaisir… Je lui dis « du fric » ! Il me regarde avec des drôles de yeux, je crois qu’il va laisser tomber, il hésite et me dit d’accord « combien ? » Alors j’ai fait la pute avec lui, j’ai décroché le contrat et j’ai gagné de l’argent de poche… alors je suis allé chez le parfumeur… Ah, tiens je t’ai acheté un petit flacon pour toi… dit-elle en allant farfouiller dans son grand sac.

Elle me demande si ça me plait, bien sûr que ça me plait, c’est bien la première fois qu’on m’offre un parfum aussi cher. Je lui fais un bisou.

– Mieux que ça le bisou ! Demande-t-elle.

On se roule un patin. Je la caresse tandis qu’elle essaie de me déshabiller, elle n’y arrive pas trop bien, je me dégage et entreprends de le faire moi-même. J’allais pour reprendre nos ébats quand elle m’annonce tout de go :

– Il faut que fasse caca, tu viens avec moi ?
– Euh, peut-être pas !
– Mais si viens, on va rigoler !

J’aurais dû me douter que ce genre de choses arriveraient tôt ou tard ! Je la suis. Elle s’assoit sur la cuvette, puis se ravise.

– Je vais me mettre comme ça, tu verras mieux !

Je ne lui réponds pas que ce n’est peut-être pas indispensable… Elle ne m’écoute pas et se met donc les pieds sur le rebord de la cuvette, puis se met à pisser. Le filet n’est pas très abondant, sans doute, avait-elle déjà pissé sous la douche, mais cela me trouble confusément.

– Viens nettoyer mon pipi, pour le reste, je vais me retenir encore un peu.

Helga et KrissPas de problème, ça aussi c’est elle qui me l’avait apprise, et j’avais aimé le goût de son urine. Merveilleux souvenir d’une pratique que je n’avais jamais eu l’occasion de réaliser de nouveau. Un délicieux picotement m’envahit tandis que je me régale de sa pisse ! Mais pourquoi donc ne m’a-t-elle pas proposé de me pisser directement dans la bouche ? Bof, nous aurons d’autres occasions ! Il me suffira de lui demander !

Je me recule ! Je pourrais en profiter pour la faire jouir, mais le veut-elle maintenant ? Non, elle me retient pas, elle doit maintenant faire ce qu’elle à faire. Elle change alors de position me tournant le dos sur la cuvette.

– Attention les yeux ! Dit-elle. Approche-toi bien.

Je me rapproche mais pas trop quand même. Son anus s’ouvre : Un bout d’étron apparaît, puis le reste suit, très vite avant de sombrer dans la cuvette avec gros floc, un second boudin suit le premier. Helga descend de la cuvette sans s’essuyer. Elle regarde avec amusement le fond de la cuvette.

– Alors c’était beau ?
– Beau, je ne sais pas, mais c’est très troublant.
– Tu veux que je tire la chasse, si l’odeur te gênes.
– Mais, tu ne t’es pas essuyée ?
– Je sais, j’ai pensé que tu aimerais me le faire !
– Tu veux que je t’essuie le cul ?
– Que tu me le lèches, plutôt ! Tu n’as jamais fait ça ?
– Ben non !
– Tu voudrais essayer ?
– Oui, je veux bien, mais c’est juste pour essayer, d’accord ? Précisais-je.
– O.K. je vais t’aider, tu vas d’abord approcher ton nez de mon trou du cul et renifler, juste renifler, c’est pour que tu t’imprègnes bien de l’odeur.

Je fais comme elle me dit, petit mouvement de recul quand même, c’est vrai que ça pue la merde, mais je m’habitue vite, et puis l’excitation ça doit aider !

– Vas-y maintenant, lèche-moi mon cul plein de merde !

Je m’étonnais de la facilité avec laquelle j’accomplissais cette tâche.

– Alors tu te régales ? Me lança-t-elle.
– Je ne sais pas si je me régale, mais qu’est-ce que je suis excitée.

Curieusement, quand je repense à ce moment, et que j’essaie de me remémoriser la façon, dont je qualifiais le goût, le mot qui me vient à l’esprit c’est « surprenant ». Dans l’inconscient populaire, la forme et l’odeur de la merde sont toujours associées au « dégueulasse », alors vous pensez bien que le goût… alors que personne n’y a jamais gouté. Je m’attendais donc à rencontrer un gout abominable que seuls des détraqués de la papille pouvaient apprécier, genre vieux camembert oublié six mois dans un placard, mélangé à un ragout de de ragondin mort d’amour. Ben non, c’est presque neutre, avec une petite âcreté dans l’arrière-goût. En fait c’est pas mauvais du tout et puis c’est tellement pervers !

Je suis tellement dans mon trip que je m’acharne à ne laisser aucune trace suspecte et que je lui restitue son joli petit anus tout propre comme un sous neuf. J’en reprendrais bien encore…

Je suis dans un état second, je ne me reconnais plus. Helga s’en aperçoit et en profite, la salope !

La chasse n’était toujours pas tirée, alors Helga a ce geste incroyable d’aller de sa main repécher l’un des étrons, le regarder avec malice, puis d’y porter la langue.

– Regarde ce que je fais, je suis cochonne, n’est-ce pas ?
– Oui…
– Si je le fais, tu peux le faire aussi !

Elle approche l’étron de ma bouche. Je ne vais quand même pas faire ça ? Mais ça ne me dégoute pas. Alors pourquoi ne pas essayer ?

– Vas-y, lèche ma merde, la bonne merde de ta copine allemande.

Ça y est ma langue lèche l’étron. C’est le même goût que tout à l’heure, pourquoi aurait-il été différent d’abord ?

Helga reprend la merde, la prend en bouche cette fois par l’extrémité et se met à la sucer comme si elle faisait une fellation. Je suis hypnotisée. Elle le relâche.

– Ouvre ta bouche !

J’obéis, elle me fais pénétrer l’étron dans ma bouche, juste un peu, par reflexe, à moins que ce soit par vice, j’y porte la langue, je suis complètement folle.

Helga m’a ensuite badigeonné le corps avec sa merde, les seins, le ventre mais aussi le visage, les joues, le menton, puis elle m’a passé un morceau de l’étron m’invitant à lui rendre la pareille..

On est mignonne toutes les deux, ainsi enduite de caca, on rigole, on s’embrasse s’échangeant un délicieux baiser merdeux pendant de long instants.

L’affaire s’est terminée en soixante-neuf, je crois sans mentir avoir ce jour-là jamais joui aussi intensément.

Et après ? Me demanderez-vous.

Ben après, on s’est douché, on est passé à autre chose, on s’est tapé un bon petit repas, on a rigolé comme des bossues et on s’est endormies à poil l’une contre l’autre.

Le lendemain elle est partie de bonne heure, elle ne repartira que dans deux jours en Allemagne. Alors vivement ce soir qu’on refasse de belles cochonneries toutes les deux, J’en suis déjà tout excitée à l’avance.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Christelle Baxter
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Mardi 23 août 2022 2 23 /08 /Août /2022 10:05

Ma mère et son esclave par Josepha
Fetish2

 

Je m’appelle Josepha, grande et brune, j’ai maintenant une trentaine d’année, mais l’histoire que je vais vous raconter eu lieu quelques mois après mon 18ème anniversaire

Mes premières sorties avec les garçons furent catastrophiques, mon dépucelage un non-évènement tellement la chose fut rapide et insignifiante. Je me demandais ce qui m’arrivais, mais la coupe fut pleine quand un grand benêt tout content de m’avoir baisé en moins de trois minutes, ne trouva rien de mieux que me planter en me traitant de pétasse. C’est ma prof de dessin qui voyant mon désarroi entreprit de me consoler. Quelques heures plus tard, chez elle, je broutais ma première chatte et m’en régalait. J’avais donc découvert mon orientation sexuelle. J’étais devenue amoureuse d’elle acceptant toutes ses turpitudes, ainsi il lui prenait parfois l’envie de me rougir les fesses avant de me prendre dans ses bras pour me consoler. Elle m’a fait également découvrir les jeux de pipi et prenait plaisir à chier devant moi. Quand elle m’a demandé de lui nettoyer l’anus après qu’elle ait déféqué, j’ai fermement refusé, elle a su alors, à force de persuasion, me faire essayer, je ne l’ai pas regretté. Et puis un jour elle m’a appris que sa mutation en province était acceptée. J’ai pleuré.

Je n’ai jamais connu mon père, ma mère ne s’est jamais mise en couple et m’a donc élevé seule. Une belle femme, cadre dans l’administration. Peu pudibonde, il lui arrivait de se balader dans l’appartement à moitié à poil. Elle est remarquablement conservée pour ses 50 ans .Moi j’étais à l’époque beaucoup plus pudique qu’elle.

Quelque part, ma mère me faisait fantasmer… Mais que voulez-vous, une fille de 18 ans ne va pas aller l’avouer à sa mère. Le tabou de l’inceste et tellement ancré dans l’inconscient qu’il en devient irrationnel.

Un matin alors que je me dirigeais vers la salle de bain, je vis ma mère en sortir complètement nue et aller s’installer sur la cuvette des toilettes. Manifestement elle avait une grosse envie de caca. Elle n’avait pas fermé la porte, et je restai là, subjuguée, à l’admirer. Quand je vis qu’elle s’aperçut de ma présence, je quittais les lieux envahie d’un profond trouble.

Ma mère ne fit aucune allusion à ce qui n’était même pas un incident.

Et un jour, alors que nous finissions de diner, ma mère me lança :

– Tu ne me parles jamais de tes petits copains ! Les garçons ne t’intéresse pas ?
– Pas trop, non !
– Ce sont les garçons qui ne t’intéresse pas ou c’est le sexe ?
– Tu m’embarrasse un peu, là !
– On est entre adultes, tu peux tout me dire… mais je ne t’oblige pas !
– En fait, je me demande si je ne préfère pas les femmes !
– Je m’en doutais un peu ! Tu vas finir par être aussi gouine que ta mère.

Enfin elle l’avouait, je le savais déjà, certaines des femmes qui lui rendaient visite le samedi ne laissaient peu de doutes quant à leur motivations. Deux femmes ne s’enferment pas dans une chambre à coucher pour faire du crochet !

– Je t’ai choqué ? Reprend-t-elle.
– Mais pas du tout !
– C’est si bon de brouter une bonne chatte, n’est-ce pas ?
– Ben oui…
– Tu sais ce que je fais quand je reçois Madame de Trévor ?
– Ben vous faites l’amour, je suppose ?
– Mais pas que ! Je la domine, elle est mon esclave, et je lui fais des petites misères, elle adore ça !
– Ah bon ! C’est de l’amour vache, alors ?
– Si tu veux ! Tu aimerais nous regarder ?
– Si j’aimerais vous regarder ? Quelle drôle d’idée ?
– Ça te dirait ou pas ?
– Je ne sais pas trop !
– On peut faire simple, tu assistes au début, si ça t’intéresse tu restes, si ça ne t’intéresse pas tu restes pas ?
– D’accord comme ça !

Et on a parlé d’autre chose. Le soir dans mon lit je me caressais en repensant à cette discussion surréaliste. J’avais été assez hypocrite en faisant semblant d’hésiter, en fait j’avais une envie folle de voir ma mère se gouiner avec la mère de Trévor.

Et le samedi Madame de Trévor arriva à 17 heures avec un joli bouquet de fleurs. Comment la décrire, look très BCBG, cheveux mi-court décolorés en blond platiné, lunettes fumées à grosses montures, rouge à lèvres de « pute »

– Bonjour Sixtine ! lui dit ma mère
– Bonjour Marie-France !

(Comme ça vous saurez leurs prénoms !)

– Aujourd’hui, lui dit ma mère, Ma fille assistera à notre petit jeu !
– Ah, bon ?
– Problème ?
– Mais non pas du tout !
– Alors à poil, morue !
– On ne va pas dans la chambre ?
– Non on reste ici !

La Sixtine se déshabille dévoilant une très belle poitrine dont les tétons sont ornés de larges piercing en anneaux.

Ma mère sort d’une cassette un collier de chien qu’elle lui attache autour du cou…

– Il faut toujours rappeler leur conditions aux esclaves ! M’explique-t-elle.

Elle sort ensuite une chainette, qu’elle passe entre les anneaux puis me la tend.

– Vas-y torture lui les nichons, elle adore ça cette chienne !

Je me retrouve comme une andouille avec cette chainette dans la main, je tire un peu, provoquant chez ma victime une vilaine grimace.

– Continue comme ça, n’aie pas peur de lui faire mal !

Je titre sur la chainette puis m’amuse à faire d’autres mouvements comme la lever très haut ou l’envoyer sur côté gauche puis sur le côté droit. Sixtine hurle ! Ma mère la gifle et lui crache au visage !

– Je ne veux pas t’entendre, t’es là pour souffrir, alors tu supportes !

JosephaMa mère me tend une cravache.

– Vas-y tape la, tape la fort, vise ses seins, son ventre, ses cuisses, marque-la ! Défoule-toi !

Je tape !

– Non ma fille, tu ne fais pas assez fort, je vais te montrer.

Ma mère arme la cravache et lui cingle les seins, Sixtine hurle, un deuxième coup la fait hurler encore plus, Des larmes coulent de ses yeux entrainant le Rimmel.

– C’est ça, chiale, ça m’excite de te voir chialer.

Elle me redonne la cravache, et maintenant excitée comme une folle je tape à la volée lui zébrant les chairs.

– Retourne-toi, morue, on va s’occuper de ton cul.

Ma mère s’est saisie d’un gode, un truc très réaliste qui a vraiment la forme d’un bite et lui introduit dans l’anus sans aucune préparation, Sixtine hurle, puis s’accommode de la chose.

– Regarde-moi cette morue, elle est toute contente de se faire enculer par une bite en latex.

Elle retire le gode d’un mouvement vif, il ressort pollué du jus de son cul.

– Salope tu m’as foutu plein de merde sur mon joli gode, lèche moi tout ça !

Elle ne se fait pas prier et restitue le gode tout net, tout propre.

– Maintenant tape-la

Je tape les fesses, je tape le dos, ses cris et ses pleurnicheries ne m’arrêtent pas, bien au contraire.

– Stop, me dit ma mère, on ne va pas l’abimer non plus, je parie qu’elle mouille comme une fontaine. Vérifie Josepha !
– Que je vérifie ?
– Ben oui tu vérifie !

Sixtine se retourne pour me présenter sa chatte, j’y porte la main, effectivement c’est tout mouillée.

– Alors ?
– C’est mouillé !
– Tu devrais lécher un peu !
– Que je lèche ?
– Ben oui, c’est délicieux la mouille de vieille salope !

Je me baisse et lui lape la chatte, effectivement c’est délicieux. Mais ma mère m’arrête !

– Stop, le but n’est pas de la faire jouir, du moins pas de suite. Viens donc vérifier si moi je mouille aussi !
– Mais Maman, qu’est-ce que tu me demandes ?
– Je sais très bien ce que je te demande, et arrête de faire ta mijaurée, je sais que tu en meurs d’envie.
– Mais ça ne se fait pas !
– Eh bien nous on va le faire quand même, allez lèche moi, et en ce qui me concerne tu as le droit de me faire jouir.

Je reprend mon souffle et me mets à lécher la mouille de ma mère.

– Regarde Sixtine, regarde ce que me fait ma fille, elle me lèche la chatte, je suis vraiment la reine des salopes, tu ne trouve pas ?
– Si maîtresse !

Moi aussi, je mouille mais j’ignore si quelqu’un va s’occuper de moi. Tout naturellement ma langue a bifurqué sur le clito de ma mère que ma langue vient titiller. Maman hurle de plaisir ! Je viens de faire jouir ma mère, c’est dingue ça ! Elle m’enlace, elle m’embrasse, on se roule un patin ! Quand même je me demande quelles vont être nos relations après cet événement.

Ma mère se retourne et invite Sixtine à venir lui lécher le cul.

– Viens me lécher mon cul plein de merde ! Lui dit-elle. Quand elle vient, je ne me lave jamais le cul ! Me précise-t-elle

Sixtine lèche le cul de ma mère avec gourmandise. Mais au bout d’u moment elle l’a fait arrêter,

Ma mère se déshabille complétement et me demande d’en faire autant. Curieusement ça me gêne un peu de mettre nue devant Sixtine de Trevor.

– Ben alors t’attends quoi ?
– Je suis obligée ?
– Bien sûr que non ! Mais ce serait mieux.

Je l’ai donc fait.

– Allez, tout le monde dans la salle de bain pour le final.

Sans qu’on ne lui demande Sixtine s’est allongée de tout son long sur le carrelage de la salle de bain

– Pisse lui dessus ! Me dit ma mère.

J’avais justement une bonne envie, j’ai chevauché Sixtine de Trévor et me suis lâchée.

– Vise la bouche, donne-lui à boire, à cette salope, et si tu as envie de chier, ne te gêne pas.
– Je ne pourrais jamais faire ça !
– Essaie, tu vas voir comme elle aime ça !

Je pousse, je lâche un étron, je me retourne. Madame de Trévor a reçu mon « cadeau » en pleine bouche et le maintient entre ses lèvres d’un air satisfait ! C’est vraiment une grosse salope.

– Lèche bien l’étron ! Voilà comme ça ! C’est bon hein ?
– Humm !
– Allez la séance est terminée, viens m’embrasser, ma salope.

Les deux femmes se roulent alors un patin, un baiser au goût particulier..

J’ai maintenant la chatte en feu, ma mère rejoint le salon, tandis que Sixtine se livre à une petite toilette.

Je rejoins ma mère. Oserais-je lui demander de me calmer mon excitation ?

– Maman, j’aimerais que tu me fasse jouir !
– Mais certainement, ma fille, allonge-toi je vais te faire monter au ciel.

Maman est venu poser son visage sur ma chatte et a commencé à me brouter tandis que ses mains projetées en avant me pinçait me bouts de seins.

Cette douce étreinte n’a pas duré longtemps, excitée comme j’étais je n’ai pas tardé à jouir dans un geyser de mouille.

Madame de Trévor revient de la salle de bain, à poil, cette femme est décidemment très belle.

– Je peux la lécher, Maman ?
– Mais certainement ma fille, pendant ce temps-là je vais préparer l’apéro.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Samedi 20 août 2022 6 20 /08 /Août /2022 13:27

Vicky par Kelya

scat

Avertissement : récit contenant des passages scatos explicites

Chapitre 1 : Contact sur le net

Mon copain venait de me laisser pour une autre. J’ai eu énormément de peine, je me suis enfermée sur moi-même. Je  » chattais  » de plus en plus sur Internet… sans trop savoir d’ailleurs ce que j’y cherchais… Puis un soir, j’y ai fait la connaissance de Vicky. On a parlé un peu de tout, mais comme très souvent sur le net, la conversation a bifurqué sur le sexe. Les choses allèrent alors assez vite. Elle me confia sa bisexualité et me demanda si de mon côté j’étais intéressée par ce genre de choses

– Je ne sais pas, je ne l’ai jamais fait ! Répondis-je alors.
– Mais si tu avais l’occasion d’essayer ?
– Je ne dis pas non, en fait, je n’en sais rien !
– Ecoute, je te propose une chose, je t’envoie ma photo, et toi tu fais pareil, si on se plait, on peut peut-être aller plus loin ! Me proposa Vicky.

Nous n’habitions pas si loin l’une de l’autre et le lendemain soir, je l’invitai à venir chez moi. Elle accepta, tout en précisant que ce serait une rencontre d’essai et qu’elle n’aurait pas beaucoup de temps. Elle vint vêtue d’un jean très moulant et d’un tee-shirt laissant voir subtilement ses jolies formes… Moi, j’étais en culotte et en nuisette. Pas de soutien-gorge, rien d’autres ! Vicky l’avait bien remarqué… Elle me regardait avec envie, l’ambiance était électrique !

– Bonjour, je suis Vicky !
– Ça je m’en doute bien ! Rentre donc !
– Tu es très belle !

J’allais répondre je ne sais plus quoi, mais je n’en ai pas eu le temps. Vicky s’est approchée de moi, je savais ce qui allait se passer, je l’ai accepté et nos lèvres se sont soudées. Nos langues se frôlaient, doucement, puis presque violemment. Je sentis les mains de Vicky soulever ma nuisette, puis me l’enlever… Elle me massait les seins, me les pressait. Je me décidai à lui enlever son tee-shirt et découvrit un joli soutien-gorge en dentelle. Je n’ai pas tardé à lui enlever ce soutif et lui presser à mon tour les seins fortement. Je la sentis très excitée et je lui baissais son jeans, sous lequel elle n’avait pas mis de petite culotte… Ma main descendit sur ses fesses, pour découvrir son vagin déjà tout mouillé. Je pris son jus dans ma main et massa ma visiteuse avec son jus. Puis je me mis à la lécher… N’en pouvant plus, elle enleva ma culotte et me serra fortement la chatte. Elle trouva rapidement mon clitoris, le pressa, il durcit. Je mouillai… Vicky m’a couché sur le plancher et elle commença à me lécher mon sexe. Je criais !! Je sentis sa langue pénétrer dans mon vagin… Je branlais de plaisir et lui tenais bien la tête entre mes cuisses pour ne pas qu’elle arrête…

Oh ! Mais elle n’a pas arrêté !!

Elle buvait mon jus, qui ne cessait pas de couler. Puis elle vint se coucher sur moi, m’embrassa, me pressa les seins… Elle me mordillait les mamelons. Et je me suis retrouvée sur Vicky. Je descendais tout en la léchant… Et je me retrouvais le nez devant son sexe que je caressais doucement et violemment avec mes mains débutantes. Elle était toute mouillée. Vicky criait des  » Continue !!  » J’introduisis ma langue dans son vagin, puis je la retirais, pour la réintroduire aussitôt, je fis ce petit manège plusieurs fois de suite. Vicky était au septième ciel !! On s’est arrêté là pour cette soirée mais ce n’était pas fini. Elle est partie après m’avoir invité à passer une fin de semaine à son chalet…

Chapitre 2 : Arrivée au chalet

Alors, comme prévu, nous nous sommes retrouvées au chalet de Vicky pour la fin de semaine. Elle était venue me chercher chez moi, ce n’était pas tout près, et j’avais malgré tout, une certaine appréhension de me retrouver dans un endroit quasi désert. Mais je me rassurai en pensant à la sensuelle femme qui m’accompagnait. Arrivé sur les lieux, elle me fit, comme le veulent bonnes manières et traditions visiter les lieux. En les découvrant, je m’amusais à scruter tous les endroits qui étaient susceptibles d’accueillir nos ébats. Elle me demanda ensuite si j’avais faim ?

Oh mais j’avais faim mais pas juste de bouffe ! Ah la maudite, elle me faisait languir et elle le savait ! J’avais si hâte qu’elle s’approche de moi…

Mais elle devait avoir d’autre projet, elle s’en alla vers le coin kitchenette et en rapporta du pain et de la confiture. Puis elle prétexta une envie de pisser. Lorsqu’elle fut sortie de la salle de bain, j’avais devant moi une Vicky toute nue que je mourrais d’envie de dévorer. Elle s’avança vers moi, m’embrassa tendrement… Puis, elle prit de la confiture, s’en étala sur son sexe et m’ordonna d’essuyer ce  » dégât « . Elle ne m’a pas suppliée ! Vicky s’assit sur le bord du comptoir. Alors, je lui écartai les jambes et commençai à la lécher… Elle avait mis de la confiture jusque dans son vagin et même dans son anus ! J’ai tout léché… Vicky ne se contenait plus. Ahhh elle serrait la tête et s’accotait sur mon visage. Elle jouissait ! Je relevai ma tête, l’embrassai. Puis je montai sur elle, je m’assis sur elle. J’enlevai mon chemisier, puis mon soutien-gorge. Elle pressa mes seins…

Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh j’en voulais encore plus ! Puis je sentis sa main dans ma petite culotte… Alors j’enlevai cette culotte ! On s’est ôté de sur le comptoir pour se retrouver debout, collées l’une contre l’autre. Elle me dit de me coucher sur le divan et d’écarter mes jambes au maximum. Puis elle s’approcha et amena sa chatte toute mouillée contre la mienne… Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Nos chattes se frottaient doucement puis violemment. On pouvait crier autant que nous le voulions puisque personne ne nous entendait ! Alors je me lâchais, je hurlais et ça excitait Vicky ! J’avais envie de la manger toute crue tellement je l’aimais!! Puis épuisées, nous nous sommes endormis l’une contre l’autre, par terre, mortes de fatigue.

Chapitre 3 : Lendemain au chalet

Vicky0424Le lendemain matin, je me réveillai la première. J’ai toujours été une lève-tôt. J’allai sur le bord de la porte-patio et contemplais la neige qui tombait. Il y avait un lac derrière le chalet de Vicky, il était bien dommage que nous soyons en hiver car j’aurais aimé me baigner avec Vicky. Ce sera pour l’été prochain, me dis-je, alors ! J’allai à la salle de bain, souhaitant prendre une douche j’ouvris alors ce que je croyais être une sorte de garde-robe mais je découvris une nouvelle pièce adjacente à celle-ci et découvrit un bain-tourbillon ! Quelques secondes plus tard, je sentis les bras de Vicky m’enrouler voluptueusement, et de sa voix sensuelle me proposa :

– Tu aimerais qu’on prenne un bain toutes les deux ?

Sans attendre ma réponse, elle fit couler l’eau et démarra le tourbillon. Elle m’invita à pénétrer dans cette eau très chaude… Elle vint me rejoindre et s’assit face à moi. Je fus un peu déçue qu’elle se place si loin de moi, elle le remarqua, elle jouait, alors elle descendit sous l’eau et je sentis ses mains caresser mes jambes sous la surface. Vicky réapparut hors de l’eau, son visage à quelques tous petits centimètres du mien. J’approchai mes lèvres des siennes et nous nous sommes embrassées passionnément. Mes mains se promenèrent sur son corps et s’attardèrent sur ses fesses. Je les caressais, les pinçais… Nous sommes sorties du bain.

Ma main lui chatouillant sa chatte. Je sentis que Vicky aimait mes caresses. Me voilà enfin sur sa chatte, je trouvai son clitoris et le titillais. Vicky me serrait très fort, ce qui signifiais que je lui procurais du plaisir. Lentement, j’approchais ma main de son vagin et j’introduis deux doigts, puis trois… Je fis des mouvements de va-et-vient qui faisait hurler Vicky de plaisir. Elle pressa maintenant mes seins alors que moi, de mon autre main, je m’attaquais à son anus. Je fis tourner mon index plusieurs fois autour de son petit trou, ce qui augmentait son plaisir. Puis mon index s’introduit dans son anus, je fis quelques mouvements de va et vient et j’introduis un deuxième doigt puis un troisième… Mes doigts touchaient sa crotte, j’hésitais à continuer mais le fis quand même, C’était tellement pervers. Mes doigts ressortirent légèrement merdeux.

– Lèche les, lèche ma merde !

Je le fis sans problème

– C’était bon ? Me demanda-t-elle.
– Humm, délicieux !
– Tu as déjà joué à des trucs scatos ?
– Seulement dans mes fantasmes.
– On peut essayer si tu veux ! Tu aimeras me voir chier ?
– Pourquoi pas ?
– Allonge-toi, on va faire ça !

Vicky me chevaucha et commença par me pisser dessus, je reçu plein d’urine sur les seins et me badigeonnais avec. Elle me proposa d’ouvrir la bouche et je pu me régaler de ce divin nectar.. Ensuite elle se retourna me présentant ses jolies fesses, Son anus s’écarta laissant passer un petit étron qui s’agrandit et me dégringola sur le ventre, un second suivit, puis un troisième.

Vicky ramassa l’un des étrons et le porta à ses lèvres pour le lécher, puis me le présenta. Je léchais sa bonne merde dans un état d’excitation inimaginable. Elle me badigeonna tout le corps avec la merde : les seins, le ventre, les cuisses, puis me demanda de lui rendre la pareille. Toutes enduites de merde, nous nous sommes embrassées à pleine bouche et léché les tétons. Que c’était bon !

Vicky se tordait de plaisir et laissa aller sa jouissance que je sentais retenue depuis quelques minutes. Elle s’écroula sur moi, sa tête sur mes seins. Je continuai à lui faire des caresses tout le long de son corps.

Quelques minutes plus tard, elle leva la tête pour m’embrasser avec passion. Ses mains côtoyaient ma poitrine qu’elle pressait. Mes seins raidissaient de plaisir. Ses mains descendaient doucement sur mon corps déjà tout excité par les caresses qu’elle me donnait. Elle sentit mon excitation et ne me fit pas languir, elle pénétra immédiatement deux ou trois doigts dans mon vagin. Dans un réflexe, mes jambes s’enroulèrent autour de son corps, lui disant de continuer. ses va-et-vient me firent immédiatement jouir…

Nous nous somme rincées dans le bain et nous nous sommes dirigées main dans la main vers le salon. Nous nous sommes assises sur le divan, toujours collées l’une contre l’autre. Je me suis assise sur elle, face à face. Elle mit ses mains sur mes fesses et moi mes bras étaient autour de son cou et nous nous embrassions avec fougue et amour

Nous ne sommes pas allées plus loin car la sonnerie de la porte qui retentit à ce moment-là, nous dérangea…

Chapitre 4 : Jonathan et Frédéric …

Vicky, toujours nue, se dirigea vers la fenêtre située à côté de la porte et regarda discrètement s’enquérant de l’identité de l’opportun, puis parut rassuré et toujours à poil alla ouvrir. Et tandis que j’essayais de couvrir ma nudité avec une serviette de bain qui traînait là, je vis deux sympathiques messieurs entrer. Vicky me les présenta :

– Kelya, je te présente Jonathan et Frédéric… Je leur avais demandé de passer vers midi… On va bien s’amuser, tu vas voir, ils sont un peu pédés tous les deux ! Vous êtes en avance les gars !
– Je sais, répondit Jo. On s’était dit qu’on pourrait peut-être faire les courses ?

Jo est un blond musclé, d’environ 1,70 m) avec des yeux verts, magnifiques ! Fred a le teint basané et les cheveux noirs. Il mesure presque 1,80 et il n’est pas très baraqué.

Croyant, ou plutôt voulant croire que nous regardions la télévision, (allumée mais que personne ne regardait) nos deux compagnons s’installèrent sur le divan. Je regardai Vicky, nous étions nues, pas eux… Elle s’approcha de moi et me dit glissa à l’oreille :

– Et si nous leur faisons un petit spectacle ? Je lui souris…

Elle prit la télécommande et éteint la télévision. Les gars lâchèrent un hypocrite soupir de désappointement. Vicky se mit face à la télé et commença à se dandiner. Puis, elle me fit signe de venir la rejoindre. Elle m’attira vers elle et on s’embrassa. Nous nous caressions mutuellement et en passant ma main entre les jambes de Vicky, je remarquai qu’elle mouillait, moi aussi d’ailleurs… J’eus alors la surprise de voir les gars se caresser mutuellement les cuisses. Vicky me dit discrètement

– Je m’occupe de Jo, prends Fred…

Je m’approchai donc doucement de Fred qui, visiblement, n’attendait que ça. Je m’assis sur lui et l’embrassa tendrement. Pendant ce temps, je sentis ses mains me parcourir le dos sans descendre plus bas. Je lui enlevai son pull-over et couvrais son torse de baisers. Fred caressa mes seins d’une main et approcha l’autre de mon endroit intime. Sous son jeans, je sentais que son pénis allait bientôt manquer de place. Je dis donc à Fred de se lever et je lui enleva tranquillement son jeans en prenant soin d’embrasser tout ce que je pouvais. Le pénis de Fred était en pleine érection, j’y déposais une langue coquine qui eut tôt fait d’en accroître encore la raideur, mais, ce pénis je mourrais d’envie de le sentir en moi. Fred s’assit et je m’agenouilla sur lui. Son sexe me pénétra. Je fis des mouvements avec mon bassin qui aidait au pilonnage de mon vagin. Fred se cabra et éjacula en moi. Je me laissai tomber sur lui, son pénis toujours en moi.

Reprenant nos esprits, nous aperçurent alors Vicky et Jo embarqué dans des ébats qui n’avaient rien à envier à ceux que nous venions de, sauf qu’eux, ils le faisaient debout, Vicky ayant les jambes autour de Jo. Nous nous sommes alors approchés d’eux. Je me plaçai sous Vicky, la caressai et lui léchai l’anus alors que Jo pénétrait dans son vagin. Je me demandais bien ce qu’allait entreprendre Fred, les possibilités n’étant pas vraiment infini. C’est alors qu’il se plaça juste derrière Jo et, son sexe étant de nouveau en érection, il encula son ami. Moi, j’introduisis mes doigts dans l’anus de Vicky et je pus rejoindre en elle le pénis de Jo, puisque seule une mince paroi nous séparait. Vicky eut une énorme cri de jouissance. Jo la laissa tomber sur moi, par terre.

J’entourais Vicky de mes bras et mes jambes et lui donna des petits bisous dans le cou. Je vis les deux gars qui étaient maintenant en soixante-neuf. C’était la première fois de ma vie que je voyais deux hommes faire l’amour ensemble et j’étais particulièrement excité de les voir se sucer le sexe mutuellement.

Quelques minutes plus tard, Jo s’approcha de moi et me murmura :

– Dis-moi ma belle, est-ce que tu aimes te faire sodomiser ?
– Ben, quand c’est bien fait…

Je me mis à quatre pattes, comme une chienne. J’étais déjà tout excitée de l’étreinte que je venais de donner à Vicky. Et le pénis de Jo stimulé par les caresses que lui prodigué Fred se portait plutôt bien

Jo se mit donc derrière moi, par-dessus moi. Je sentis son gland frotter mon anus. Vicky aida Jo à me pénétrer. Lorsque le pénis de Jo me pénétra, je sentis une douleur si terrible… que je hurlais ! Mais le temps que dure mon cri, et le pénis de Jo était complètement entré dans mon cul. Il fit des mouvements de va-et-vient tout en me tenant les cuisses pour bien me tenir. J’étais incontrôlable, j’adorais ce qu’il me faisait ! Puis, il se cabra et éjacula dans mon cul… Vicky s’approcha et s’amusa à me lécher mes fesses dégoulinantes de sueur, de mouille et du jus de mon cul. Fred était assis sur le divan et se masturbait… Après avoir nettoyé avec sa langue le sperme qui imbibait la bite de son copain, Il s’approcha et moi et m’embrassa. Puis il me dit :

– C’était bon ! Tu as vu, je suis tout excité…

Je me lançai alors dans ses bras, croyant avoir la force de repartir vers de nouvelles fantaisies, mais tout ce que je réussis à faire c’est de poser mon visage sur son épaule et de m’y endormir, complètement épuisée…

Kelya

Ce récit a déjà fait l’objet d’une publication sur le site québécois sophiexxx, aujourd’hui disparu. Le récit a été un peu remanié pour cette double réédition (revebebe en juillet 2002, avant d’y être retiré et vassilia en octobre 2002)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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