Dimanche 1 mai 2022 7 01 /05 /Mai /2022 22:56

Au parc des anges par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne
zoo

 

Je suis Ophélie, 35 ans divorcée et sans enfants. Grande brune, cheveux longs, yeux bleus. Je suis conseillère bancaire et je viens d’avoir une belle mutation en province.

C’est en faisant mon jogging dans le bois environnant que je suis tombée sur ce gros chien beige manifestement affamé et stressé, probablement un labrador croisé avec je ne sais pas quoi. Il est venu me renifler, je l’ai caressé, il n’a pas voulu me quitter, je l’ai adopté et bichonné, c’est une brave bête. Je l’ai baptisé Cookie.

Je le promène deux fois par jour, le matin de bonne heure et en fin d’après-midi après ma journée de travail. Je me rends pour se faire au « Parc des Anges ».

Bien sûr je ne suis pas la seule propriétaire de chien et les rencontres sont nombreuses, Simple échange de politesse, phrases convenues, quelques casse-pieds des deux sexes, les inévitables dragueurs, les mémères aux discours intarissables. Je reste polie mais réservée, je n’ai pas envie qu’on m’emmerde.

Ce jour-là, Cookie était manifestement pressé, je ne me suis pas changée et suis redescendu vêtue de mon tailleur pied de poule

– Mâle ou femelle ? Me demande une dame rousse dans la cinquantaine tenant en laisse un grand labrador noir.
– Bonjour madame ! Répondis-je simplement.
– Oh ! Pardonnez mon impolitesse !
– Pas grave !
– Mais je vois que c’est un mâle ! Il m’a l’air bien excité ! Vous avez vu sa bite ?

C’est qui cette cinglée ? Je m’apprête à filer mon chemin, mais quand même, je me demande… Je vérifie, mon chien a effectivement la pine en érection.

– Ben mon toutou, qu’est-ce qui t’a mis dans cette état ?
– C’est moi ! Répond la dame !
– Pardon ? Votre chien c’est une femelle ?
– Non c’est un mâle, la femelle, c’est moi !

Je vous dis, elle est frappée.

– Vous savez que vous êtes très belle ? Reprend la rousse.
– J’en suis fort aise, bonne fin de journée madame.
– C’est la première fois que je vous vois dans le coin !
– Il y a toujours une première fois !
– Accepteriez-vous que je vous paie un verre ?
– C’est gentil, mais en quel honneur ?
– En l’honneur de rien du tout, vous me paraissez très sympathique.
– Eh bien merci, je vous laisse !
– Et vous allez laisser votre chien avec sa bite en rut ?
– Mais enfin madame !
– Désolée pour la provocation, mais je pense que nous serons amenées à nous rencontrer de nouveau !

Ben oui, c’est bien ça qui me navre !

Et puis, sans savoir pourquoi, je lui balance :

– Vous tenez ce genre de discours à tous les habitués du parc ?
– Certainement pas, je tiens à ma réputation !
– J’ai peur de ne pas comprendre !
– J’ai été profileuse dans la police, ça laisse des traces !

Mytho en plus !

– Quel rapport ? Et des traces de quoi, d’abord ?
– Vous êtes célibataire, probablement suite à une déception, vous entendez le rester, mais votre sexualité n’est pas éteinte…
– Mais…
– Et c’est avec les femmes que vous vous consolez parfois ! J’ai bon ?

Une sorcière, j’ai rencontré une sorcière !

– Et si vous me foutiez la paix ?
– Je suis moi-même un peu goudou ! Ça vous dirait qu’on passe un petit moment ensemble ?

Du coup je la regarde différemment, Le visage est agréable, jolie peau (je devrais dire joli maquillage),. le sourire carnassier, jolies lèvres, les yeux dissimulés sous des verres légèrement teintés. Elle est vêtue d’une robe imprimée très légèrement décolletée par-dessus laquelle elle a enfilé un blouson de cuir qu’elle a laissé ouvert. Pendant quelques courts instants mon esprit vagabonde et je l’imagine en train de me sucer un téton. Je dois être complétement frappée !

– Vous voudriez me violer ?
– Je ne ferais rien sans votre permission.

Je reste là, figée comme une andouille, au lieu de la laisser planter là ! Je sens que je vais me faire avoir. L’autre n’est pas folle et a bien compris que je suis maintenant à deux doigts d’accepter de la suivre..

– Vous ne le regrettez pas, je sais être très douce et il parait que je lèche bien.
– Mais enfin, nous ne nous connaissons pas !
– Ce sera donc une excellente façon de faire connaissance, non ?
– Je vais peut-être me laisser tenter !
– Ben voilà !
– Mais j’ai quand même l’impression que je vais faire une bêtise…
– Il y a des bêtises qu’il est agréable de partager, allez viens ma grande, je vais te lécher bien comme il faut.
– Euh, mon chien ?
– Ben vous l’emmenez !

Elle n’habite pas très loin du parc, pendant le trajet, elle monopolise la parole en me parlant du temps qu’il fait et du temps qu’il va faire ! C’est fou comme c’est passionnant, mais ça m’empêche de réfléchir.

On arrive, immeuble cossu, appartement qui pue le fric, encombré d’une myriade d’objets, Après m’avoir libéré de ma veste de tailleur, elle m’invite à m’assoir sur le canapé du salon u milieu d’une imposante bibliothèque.

– J’ai un excellent Porto, ça vous dit ?
– Pourquoi pas ?

Je me demande ce que je fous là, elle arrive avec la bouteille et deux verres qu’elle remplit. Elle s’assoit à ma gauche, on boit…

– On se tutoie ? Je m’appelle Sonia.
– Pas de problème, moi c’est Ophélie.
– Tiens regarde ! Me dit-elle en soulevant sa robe ! Je n’ai pas mis de culotte ! Précise-t-elle au cas où je ne m’en serais pas aperçu.

Je me demande que faire ! Je suppose qu’il faudrait que je me lève et que je m’approche d’elle…Mais les choses se passèrent tout à fait différemment.

Tango le chien de Sonia vint intercaler son museau entre les cuisses de sa maîtresse.

– Attend, mon chien, ne soit pas pressé ! Oui tu me lèches bien, mais fous le camp maintenant, allez couché. !

Le chien s’en va comme à regret, mais voilà que Cookie tout content de trouver la place vacante s’en vient le remplacer en frétillant de la queue.

– Oh, o, dirait bien que ton chien est aussi vicieux que le mien !
– Cookie, arrête d’embêter la dame ! Me crus-je obligé de dire.
– Il ne m’embête pas, si tu savais comme c’est agréable ! Il te fais ça aussi ?
– Euh, il voudrait bien, mais je l’ai toujours empêché.
– Tu devrais essayer !
– Non, non !
– Arrête ! Je vois bien que tu en meurs d’envie !
– Mais non !
– Mais si !

Et à ce moment Sonia approche son visage du mien. Son odeur me fascine, j’entrouvre la bouche, j’accepte sa langue et c’est parti pour un baiser fougueux. J’étais déjà troublée par cette rencontre, mais maintenant je fonds, me voilà en train de mouiller ma culotte..

Elle me pelote les seins à travers mon chemisier, cherche le téton, le trouve, le pince. Et c’est instinctivement que je porte ma main vers sa chatte, mouillée elle aussi, sa chatte que le chien vient de lécher !

– On va peut-être se mettre à l’aise ! Me propose Sonia.

Et hop, elle enlève sa robe en-dessous de laquelle nichait un joli soutien-gorge en dentelle rose qu’elle conserve pour le moment.

Une belle femme, bien foutue, de belles cuisses, j’ai toujours aimé les jolies cuisses !

Je ne peux faire autrement que de l’imiter ayant trop envie de de mettre à poil afin que cette belle bourgeoise puisse s’occuper de moi, et contrairement à elle j’enlève tout, y compris le soutif

Je me rassois, Sonia vient me lécher les tétons ! Mon dieu quelle langue ! Je mouille de plus en plus et j’écarte les jambes voulant par-là lui signifier que j’aimerais bien qu’elle vienne s’occuper de mon minou !

Mais voilà que justement une langue râpeuse vient s’en occuper ! Je réalise alors que cette langue est celle de Tango.

– Non !
– Laisse-toi faire ! Me dit Sonia, il ne va pas te faire du mal… au contraire.

Alors je me suis laissé faire, une langue de vieille gouine sur mes nichons, une langue de clébard sur ma chatte. Je me sens salope, mais salope ! Et le fait de me sentir salope m’excite ! Allez y comprendre quelque chose ?

Mon chien Coolie n’est pas resté inactif et s’occupe de la chatte de Sonia.

On se pelote, on se caresse, je lui dégrafe son soutien-gorge dégageant deux belles mamelles laiteuses au tétons durcis que j’honore de ma bouche.

– Bon le chien, tu fais quoi ? T’as envie de me prendre, c’est ça ! Dit-elle à l’adresse de Cookie. Attends, couche-toi un peu, je vais te sucer la bite ! Tu permets, Ophélie que je suce la bite de ton chien ?
– Tu ne vas pas faire ça ?
– Ben quo ? Je ne vais pas lui faire de mal.
– Mais quand même…
– Quand même quoi ?
– Je ne sais pas, je ne sais plus où j’en suis, vas-y ,je te regarde.

Et la voilà qui attrape la bite du chien, la fait passer sous son arrière-train et commence à lécher. En même temps, elle me regarde, un regard extatique.

– Comment… comment tu peux faire une chose pareille ? Balbutiais-je.
– Ben tu vois, je me sers de ma bouche !

La question était un peu idiote, je le conçois !

– Viens essayer !
– Non, non, je regarde, c’est tout !
– Alors approche-toi mieux !
– Pour quoi faire ?
– Donne juste un petit coup de langue ! Un tout petit, pendant une seconde !

Ben oui, une seconde ce n’est pas beaucoup ! Est-ce que je suis capable de faire ça ? Je reprends ma respiration ! Je me lance, ma bouche s’approche, je recule, je recommence, je ne sors pas ma langue mais mes lèvres touchent la bite du chien.

– Un peu mieux que ça ! Me dit Sonia.

Elle m’énerve ! Elle a vraiment besoin de me regarder ? je recommence, sors un petit bout de langue, Je lèche un peu, c’est doux, c’est agréable, je me recule pour reprendre mon souffle et j’y retourne et cette fois je n’hésite plus, je lèche la bite du chien ! Je ne me serais jamais cru capable de faire une telle chose !

Cookie
On n’arrête pas, on est déchaîné, on suce, on lèche alternativement ou ensemble, juste une petite pose pour se rouler une pelle. Je me sens chienne, c’est le cas de le dire.

Et soudain, Sonia se relève.

– Viens me brouter la chatte !

Elle se dirige vers le canapé et s’y allonge de tout son long, après avoir envoyé les chiens se coucher. Je la rejoins. Bien sûr que je vais lui lécher la chatte, mais moi aussi je veux jouir. Je me couche sur elle en position de soixante-neuf, et c’est parti.

Sa chatte est charnue, visqueuse à force d’être imbibée de mouille, je lèche, c’est délicieux. Elle me rend la pareille en agitant sa langue comme une forcenée.

– Un doigt ! Fous-moi un doigt dans le cul ! Me demande-elle en soulevant légèrement son bassin.

Pourquoi pas ? J’ai le nez sur son anus, la peau y est légèrement plus brune qu’ailleurs il sent un peu fort, il sent le cul, quoi ! Il est attendrissant. Je le lui embrasse, je sors ma petite langue, j’aime bien, mais puisque c’est le doigt qu’elle veut, je me mouille l’index et le lui enfonce dans le cul.

Sonia pousse des petits cris et me fait la même chose. Elle est bien gentille, et j’apprécie la chose mais j’aurais préféré qu’elle continue à s’occuper de mon minou..

Au bout de quelques minutes, je commence à fatiguer du doigt et reprends mon léchage de chatte. Miracle de la spontanéité elle fait pareil et cible mon clito avec sa langue diabolique.

Je ne vais pas tenir longtemps et fais à mon tour virevolter ma petite langue sur son gros clito fièrement érigé.

Elle m’a fait jouir la première ! Une jouissance intense qui m’a lessivée, mais je m’en serais voulu de ne pas rendre la pareille à cette charmante personne et reprenant mes coups de langue je l’emmenais à son tour vers le jouissance.

Moment calme assorti de quelques petits câlins. Elle me propose un autre Porto, je lui répond que je préférai un grand verre d’eau.

– Ça va te faire pisser ! Me dit-elle en m’apportant un verre.
– Justement il faut que j’y aille, c’est où ?
– Je vais te montrer !

Elle m’accompagne jusqu’à la porte des toilettes.

– Ça t’embête si je te regarde pisser ? Me demande-t-elle.
– Ah ? Non !

Je pisse en me positionnant de façon à ce qu’elle puisse bien voir. Son doigt vient rencontrer la trajectoire du jet de mon pipi. Elle le porte à la bouche.

– Hum, il est délicieux ton pipi !
– Ah bon ? Répondis-je bêtement.
– Tu as déjà joué a des jeux de pipi ?
– Ma foi non !
– Et tu aimerais essayer ?
– On a déjà fait beaucoup de choses…
– Mais tu n’es pas contre ?
– On verra !
– O.K on verra,! Tu veux que je t’étonne encore ?
– Il va falloir que je rentre…
– Tu n’es pas à un quart d’heure près quand même ?
– Non !

Nous nous dirigeons de nouveau vers le canapé. Et au lieu de s’y assoir, Sonia se pose à genoux, le jambes écartées, le cul offert. Elle ne va tout de même pas…

Ben si !

– Tango ! Viens mon chien ! Vien sauter ta maîtresse.

L’assaut fut rapide, le chien a déboulé à toute vitesse et s’est mis à niquer sa maîtresse à une fréquence infernale. La scène devait interpeller Cookie qui se mit à nous tourner autour, comme attendant son tour. Le spectacle me fascinait.

– Il ne te fais pas mal, au moins ? Demandais-je !
– Oh, non que du plaisir, c’est trop bon ! Aaahhh !

Serais-je capable de faire une chose pareille ? Au point ou j’en suis… J’adopte la même position que Sonia. L’instant d’après Cookie me couvrait ! Quelle sensation un vraie mécanique infernale. Je me suis mise à gueuler, Sonia gueulait aussi ! J’espère que ses murs sont insonorisés ! On a joui comme des malades, On s’est libéré des chiens mais ne souhaitant les laisser dans cet état, nous les avons sucés. J’y prends gout, savez-vous !

Les meilleures choses ont une fin ! Cette expérience m’a beaucoup plus ! Et puis cette Sonia est charmante, j’aimerais faire quelque chose qui lui fasse plaisir.

Je crois que j’ai trouvé

– Sonia avant de partir, je voudrais goûter à ton pipi !

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Lundi 18 avril 2022 1 18 /04 /Avr /2022 11:33

Sapristi
par Etranges 
Délires

zoo

 

Suite aux réactions des lecteurs après la publication de « Ditar » nous publions un autre récit zoo, nous publierons désormais les bons textes sur le sujet

 

Maryse se frottait doucement le clitoris en pensant à Philippe. C’était l’été et dans l’appartement il régnait une chaleur moite et étouffante. Elle essayait d’imaginer Philippe entre ses cuisses, la tête penchée vers son intimité, en train de la lécher. Et elle fermait les yeux pour mieux rêvasser, pour sentir sa langue le long de sa chatte, ses lèvres contre son bouton d’amour.

Philippe était un bel étudiant d’université promis à un bel avenir. Ils se connaissaient depuis l’enfance. Ensuite, leurs chemins avaient divergé et tandis que lui poursuivait de brillantes études, elle se retrouvait elle à remplir les rayons dans un supermarché. Mais depuis toujours elle flashait sur lui et depuis toujours elle espérait qu’un jour ils seraient ensemble pour de vrai.

Un jour qu’ils étaient, lui, elle et deux anciens copains du collège en train de discuter au troquet, il avait bu trop de bière et était légèrement éméché. Du coup, sa langue s’était déliée et il se mit à dire des insanités. Du style qu’il aimait bien les salopes, que l’autre jour justement il en avait rencontré une en boîte et qu’elle avait voulu à tout prix qu’il la prenne sur le capot de sa voiture. Et lui en avait profité pour la prendre par derrière par le cul. Et ce disant, il regardait Maryse en riant et en reluquant sa poitrine, semblant signifier par-là : « Toi aussi tu dois n’être qu’une salope ! ». Mais elle ne lui en tînt pas rigueur pour si peu. Elle voulait bien être SA salope après tout si c’est ce qu’il désirait. Le seul problème c’est qu’il ne se décidait jamais… Humm ouiii, et elle qui avait toujours la chatte en feu pour lui !!!

Elle en était là de ses réflexions quand Sapristi, le jeune labrador que ses voisins lui avait demandé de garder pendant une semaine, fit irruption dans la chambre. Situation délicate puisqu’elle était en train de se masturber, allongée sur le lit sans petite culotte. L’animal fit le tour du lit et vint s’asseoir juste près d’elle en la regardant. Elle s’arrêta un instant pour lui caresser la tête, espérant qu’après ce geste affectueux il allait repartir et la laisser continuer. Malheureusement, ce n’était pas le cas. Il restait là à l’arrêt devant elle à la reluquer en tirant la langue comme un soiffard.

Mais après tout ce n’était qu’un chien et qu’importe s’il la voyait la main dans la culotte. De toute façon il ne dirait rien à personne. Aussi, elle reprit ses caresses, insistant un peu plus sur ses seins aux durs tétons dressés. Sa poitrine était assez forte, bien galbée, bien pleine et très gracieuse, sans doute ce qu’elle avait de mieux réussi chez elle. Une main donc sur ses seins et l’autre sur son pubis, elle recommençait à se caresser en fantasmant à Philippe, en s’imaginant même à la place de la fille en train de se faire enculer sur le parking. Humm, ouiii elle était prête à tout lui donner. Du coup son doigt vint s’égarer vers son anus, elle aimait ce contact.

Soudain Sapristi se redressa en aboyant. Surprise, elle le caressa à nouveau en lui intimant l’ordre de se coucher. Mais il se dégagea et entreprit de lui lécher les doigts, ses doigts qui devaient à coup sûr sentir la mouille. Quelle sensation étrange… Déjà le jeune chien avait posé ses pattes sur le lit et était en train de renifler son corps, ses aisselles et ses seins. Et bientôt elle sentit la langue rappeuse de l’animal sur ses nichons… De nouveau sensation étrange… Mais agréable ! Serait-ce ainsi lorsque Philippe lui lècherait les seins ? Non, là ce n’était qu’un animal. Elle voulut alors repousser Sapristi, mais l’animal revenait sans cesse à la charge et ne répondait plus à ses injonctions. Il lui montra même les dents lorsqu’elle se montra un peu trop agressive.

Désormais, il lapait ses seins et bavait sur son ventre et elle ne contrôlait plus très bien la situation. Mais malgré la peur provoquée par cette situation cocasse, elle était malgré tout excitée, trop excitée d’ailleurs. Et la langue rappeuse de l’animal sur ses tétons lui procurait un plaisir qu’elle n’arrivait plus à nier. Une dernière fois elle tenta de l’arrêter mais il n’y avait rien à faire…

Et puis après tout ce n’était pas grave. Même lorsqu’il est venu avec sa langue jusqu’à sa chatte pour le laper. Oui c’était là que ça sentait bon, il en était visiblement particulièrement excité. Et à Maryse, cela lui faisait du bien, un bien fou, mieux qu’avec ses propres doigts, cette grande langue humide qui la léchait partout c’était divinement bon. Toute cette bave aussi mélangée à sa mouille. Le chien lapait partout, indistinctement, ses cuisses, sa chatte, son clito, son anus… Elle écarta encore plus les cuisses pour mieux le laisser faire… D’être ainsi dévorée lui procurait des sensations partout et pas uniquement dans l’entrecuisse. Des frissons zébraient tout son corps de jeune femme. C’était tellement bon qu’elle en voulait encore plus. Elle avait complètement oublié qu’il s’agissait d’un animal et pensait être aux mains d’un redoutable amant. Elle ne pensait même plus à Philippe, juste à cette langue qui lui provoquait un plaisir inouï ! Elle était déjà presque au bord de l’orgasme. Ça arrivait, très fort entre ses cuisses, très fort et très profond, du plus profond de ses entrailles, une série de spasmes incontrôlables qui lui la firent couiner comme une truie. Un flot de mouille s’écoula de sa chatte se mêlant à la bave de l’animal, un torrent tel qu’elle crut un instant qu’elle était en train d’uriner sur le lit.

z654Sapristi, à cet instant-là, sauta carrément sur le lit, à quatre pattes au-dessus d’elle, pour continuer à laper de plus belle, semblant apprécier au plus haut point l’odeur forte de son liquide intime. Et c’est là qu’elle s’aperçut qu’il était lui aussi excité, son vit était en parti sorti de sa gaine. Elle regarde, médusée, c’était la première fois qu’elle voyait d’aussi près le pénis d’un chien en érection. Et, alors que cela ne se fait pas, qu’il est de bon ton de dire que c’est inconvenant et incorrect, elle a eu tout de suite envie de le toucher. Humm… et lui qui continuait à lécher sa mouille… Elle cambra même ses reins pour aller au-devant de cette langue. Et, se tournant lentement sur le lit pour être légèrement en 69, elle tendit sa main vers le braquemart de l’animal. Après tout n’avait-il pas droit lui aussi à sa part de plaisir ?

Elle caressait donc doucement le pénis de l’animal, s’attardant sur ses couilles puis revenant sur sa pine. Il avait l’air d’apprécier l’attention et son engin gonflait encore un peu plus. Un pénis bien rouge, bien long, qu’elle essayait de caresser au mieux dans l’espoir de lui donner du plaisir. Elle le branlait désormais, fascinée par ce beau vit, approchant peu à peu son visage. Non, il ne fallait pas, c’était dégueulasse… Mais malgré tout elle avait envie, envie de lécher tout ça de lécher partout, de lui rendre la pareille… Et elle était en train de sucer une bite de chien. Et, loin de la dégoûter, ce goût fort dans la bouche ne faisait que l’exciter encore plus. Elle avait envie qu’il la baise, d’être sa chienne, qu’il la baise comme une chienne.

Elle a donc pris l’initiative de se mettre à quatre pattes pour se faire saillir et l’animal a tout de suite compris ses intentions et est naturellement monté sur elle en cherchant maladroitement sa cible. Elle a senti le dard de l’animal frotter entre ses cuisses mais il était à côté et avait besoin d’aide. Aussi elle l’a saisi entre ses doigts et l’a guidé vers son trou. C’était plus gros et plus long qu’elle ne l’aurait imaginé de prime abord et elle eut un peu de mal à se l’enfoncer. Mais, une fois bien calé en elle, les pattes sur son dos, elle sentit qu’il la grimpait. Et elle aimait ça, se faire prendre par cette bête. Elle adorait même ça, cette sensation d’être aussi dépravée, son excitation était au comble, elle se tortillait de plaisir.

Chaque poussée du chien la faisait partir un peu plus, le pénis de l’animal était en train d’éclater sa vulve, de l’exploser. Et lui donnait envie de se frotter le clito de l’autre main. Elle se l’astiquait à s’en faire mal tellement elle était dépravée. Elle n’en pouvait plus, c’était trop, trop bon, trop fort… Et soudain elle a senti le liquide s’écouler en elle, lui remplir le vagin, des jets saccadés qui lui éclaboussaient les entrailles… La semence animale, ultime signe de sa perversité… Et là ainsi, collée à l’animal, n’importe qui aurait bien pu arriver, c’était vraiment trop fort et trop bon d’être ainsi saillie…

Un peu plus tard, Maryse écrivit sur son journal intime : « Aujourd’hui, je me suis fait prendre par le chien du voisin, j’ai aimé, je recommencerai. »

Une version quasi identique avait été publiée (aujourd’hui retirée) sur Revebebe en 2/2000 sous le titre  » rêve animal  » (et le chien s’appelait « Démon ») Nous avons précédé à quelques corrections mineures.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Samedi 2 avril 2022 6 02 /04 /Avr /2022 17:39

La bourgeoise de la plage par Marie-Paule Perez
Domina

 

Marie-Paule, 35 ans, célibataire, brune aux yeux bleus. Cadre supérieure dans un boite de crédits hypothécaires.

Au boulot, je passe pour une femme sérieuse et inaccessible, toujours tirée à quatre épingles, tailleurs strict, chignon et lunettes à grosse monture.

J’ai toujours refusé les avances de mes collègues, mais accepté celles de mes supérieurs quand je pouvais y trouver avantage, et à condition que la relation reste furtive, je ne suis la maîtresse de personne. Maintenant ça va, j’ai une bonne situation et ne monterai pas plus haut !

Dans ma vie privée, je suis toute différente, nymphomane et bisexuelle, j’aime sucer des bites, des chattes et des trous du cul, je ne déteste pas me faire faire des petites misères avec un martinet ou des pinces, j’aime me faire humilier par des hommes ou par des femmes, mais c’est toujours moi qui mène la barque. Je n’ai pas de tabou, j’aime la pisse et j’ai mes périodes où je me laisse aller à la scato.

Je n’avais pas encore expérimenté la zoo, mais l’idée me faisait fantasmer. Pour passer à l’acte il m’aurait fallu un chien, je n’avais pas de chien. Trop de contraintes…

Le passage à l’acte eu lieu pendant mes vacances. Je vais donc vous raconter cet épisode qui a été un tournant dans ma vie sexuelle. Mais pas tout à fait comme vous pourriez le penser !

C’était un magnifique jour d’été au bord de la grande Bleue Le climat était des plus agréable, soleil, un léger vent rafraîchissant, le sable chaud et la mer.

Il n’y avait plus grand monde sur la plage naturiste. Je m’étais installée à environ un mètre du bord de l’eau, étendue sur ma serviette de bain et enduite de crème solaire profitant du beau temps qui s’offrait à moi. Au bout de quelques minutes, je me décidai à aller me baigner un peu. L’eau était très bonne. Ni trop froide, ni trop chaude, en somme à la température idéale pour se baigner. Avant de quitter la plage, je me mis à me faire sécher avec la chaleur naturelle. Une fois que cela fut fait, je remis mon petit haut et mon paréo autour de la taille et réunis toutes mes affaires et pris tranquillement le chemin du retour.

J’aurais bien fumé une cigarette, mais je n’en avais plus.

J’avise deux nanas qui prennent le soleil en clopant. Bizarre ces deux-là, l’une, fausse blonde, la cinquantaine mais bien conservée, semble être une bourgeoise friquée si j’en crois sa quincaillerie de bijoux et ses piercings aux tétons. L’autre est une jeune blackette très souriante.

Une jolie paire de gouines vicieuses ! Me dis-je.

– Bonjour ! Je peux vous demander une cigarette ?
– J’aime bien la façon dont tu nous regardes ! Me répond la bourgeoise.
– Pardon ?
– Tu nous trouves jolies ?
– Oui, vous êtes de très belles femmes.
– Tu vas avec les femmes, parfois.? Me demande-t-elle avec un œil coquin.
– Ça m’arrive ! J’aime bien ! Pourquoi ?
– T’es mignonne je t’ai vu à poil tout à l’heure, t’aimerais qu’on se caresse ?
– Pourquoi pas ?
– Assis-toi entre nous deux.

Je le fais et Guylaine, la bourgeoise me met carrément sa main sur mon téton droit par-dessus mon petit haut, et me le titille.

– Je peux plus fort ?
– Oui, oui !
– Un peu maso, un peu soumise, non ?
– Un peu tout ça ! Un peu salope aussi.

Et la voilà qui me roule un patin, pendant que Maud, la blackette s’attaque à mon autre téton.

Incroyable comment elle embrasse, la Guylaine, j’en ai de la bave sur le menton.

– Je te cracherais bien sur ta petite gueule d’amour ! Me dit-elle
– Si tu veux ! Répondis-je en ouvrant le bouche.

Elle me crache dans la bouche, j’avale sa salive en la regardant d’un air de défi.

– Petite vicieuse !
– Si tu le dis !

Elle lève son bras gauche.

– Lèche-moi mon aisselle, j’aime bien qu’on me le fasse.

Pourquoi pas, ça change !

– Ça sent un peu fort, non ? Me dit-elle
– Oui, mais ce n’est pas désagréable. Répondis-je
– Tu aimes les odeurs intimes ?
– Oui, j’aime bien !
– Le pipi ?
– Aussi !
– T’aimerais me lécher le trou du cul ?
– Pourquoi pas ?
– Ça te dirai qu’on t’emmène chez nous, et que tu sois notre petite soumise. Comme ça pour jouer un peu pendant une heure ?
– Ça peut se faire !
– T’as des tabous !
– Non mais je ne veux pas qu’on m’attache, pas de trucs trop violents, pas de sang..
– La fessée quand même ?
– Fessée, martinet, oui !
– Ça colle, viens ma biche ! Dit-elle en se levant, se passant son paréo et en ramassant ses affaires. Pluto ! Viens ! Où il est Pluto ? Pluto !

Et je vois un chien qui déboule, un labrador beige qui remue la queue joyeusement. Ça promet !

Bon, je suis ces dames, Guylaine me fait la conversation. Elle m’apprend que Maud est à la fois sa soubrette, sa dame de compagnie et son amante. Sinon elle ne se dévoile pas trop, moi non plus.

Madame possède un luxueux appartement de vacances sur le front de mer, ce n’est pas très loin.

On arrive et on se débarrasse de suite des paréos.

– Bon, on va s’amuser disons une heure, et après… ben après on verra, ça te convient ?
– Pas de problème.

Guylaine se tourne m’exhibant ses jolies fesses qu’elle écarte afin de me dévoiler son petit anus brun..

– Viens lécher, tu me diras ce que tu en penses !

Voilà qui ne me dérange pas du tout, je pointe ma langue vers ce charmant endroit et je lèche, découvrant un gout légèrement acre.

– Alors ?
– Délicieux !
– Ça ne sentait pas un peu la merde ?
– Juste un peu ! Ça ne me dérange pas !
– T’es vraiment une salope ! Tu veux boire quelque chose ?
– Oui je veux bien.
– Maud, prépare-nous à boire, moi faut que je fasse pipi. Tu le veux mon pipi ?
– Oui !
– Quel enthousiasme ! Je suppose que pour toi, boire du pipi n’est pas une punition ?
– Non, j’aime bien !
– Le caca aussi ?
– Là, c’est un peu plus compliqué. Disons que de temps en temps ça peut m’amuser, mais dans le cadre d’un jeu de domination, je peux accepter sans problème.
– Donc tu vas accepter ma merde ?
– Sans problème ! Répondis-je avec un air de défi
– Et la lécher !
– Pourquoi pas ?

Guylaine demande un verre à sa soubrette et pisse dedans avant de me l’offrir à boire.

– Humm, délicieux ! Commentais-je en avalant ce doux breuvage.

Guylaine me toisa, s’approcha très près de moi et m’attrapa les tétons qu’elle me tordit avec force.

– T’aimes ça, hein ?
– Oui.
– Maud, vas me chercher des pinces à linges !

Chic j’adore ce genre de petites misères, la bourgeoise m’en fixe une sur chaque téton, puis sur mes grandes lèvres. Et là ça fait un peu mal, mais je supporte, on est maso ou on ne l’est pas ! Ma tortionnaire s’amuse un peu à les faire bouger, elle les tire, les tord, les serre plus fort en les pinçant entre son pouce et son index. Bref, elle me tourmente, la douleur que je transcende me donne des frissons de plaisir, je dois être bargeot ! Et en plus je mouille.

– T’es vraiment une salope ! Qu’elle me dit.
– Ça n’a pas l’air de te déplaire que je sois salope !
– Et arrogante en plus !

Et voilà que je reçois une gifle, j’attends la seconde, non pas de seconde, je suis déçue !

Il se passa ensuite une séquence insolite, Guylaine demanda à Maud de lui cracher sur les seins. En voilà une idée ! Toujours est-il que la blackette s’en donne à cœur joie, envoyant une dizaine de crachats sur les beaux nénés de la bourgeoise, à ce point qu’il ne tardèrent pas à être entièrement recouvert de salive gluante et écumante.

– Et maintenant tu me lèches tout ça ! M’ordonna-t-elle.

Pourquoi pas, c’est nouveau, ça vient de sortir, je m’excite en léchant ses seins gluant de bave et en insistant sur ses gros tétons que j’aspire de ma bouche..

– Hum, tu me fait mouiller ! Minaude la bourgeoise. Maintenant tourne-toi, pose tes mains sur le petit meuble et tends bien ton petit cul, Maud va te donner 20 coups de cravache.

Un peu d’appréhension quand même, j’espère qu’elle ne va pas me démolir !

Elle cingle fort, ça fait mal, j’essaie tant bien que mal de supporter la douleur et de la sublimer, je crie, des larmes me viennent au coin des yeux, mais je me laisse faire. J’aime avoir mal… et je mouille.

La flagellation est terminée, personne ne m’a dit de me retourner, mais je le fais quand même, Guylaine est affalée dans un fauteuil en train de se palucher, elle pousse des petits cris de plus en plus rapprochés et finit par jouir en faisant un boucan du diable.

Elle émerge, un peu hagard.

– Pluto, viens, viens lécher ta maîtresse ! Dit-elle.

Le chien doit avoir l’habitude, l’instant d’après il était entre les cuisses de la bourgeoise en train de laper son jus. Puis sa tâche terminée il s’en va dans un coin en remuant la queue.

– T’as déjà sucé la bite d’un chien ? Me demande Guylaine.
– Ah, non, je n’ai jamais fait ça !
– Et ça te dirait ?
– A vrai dire je n’en sais rien, j’ai vu des vidéos, c’est assez fascinant. mais si tu me demandes le faire, je veux bien essayer.
– Bien sûr que je vais te demander de le faire, une bonne chienne comme toi, ça doit sucer les chiens. Viens près de moi, viens, ma salope.

J’obéis, je sais que je vais le faire et je suis déjà tout excitée à l’idée d’accomplir cet acte « contre nature ». Guylaine est passé derrière le chien, lui a pris sa bite dans la main et la sort d’entre ses pattes de derrière. Elle approche ses lèvres et se met à sucer ce bout de chair baveux.

Perez bourgeoise
Franchement je préfère avoir affaire à belle bite de mec, ici je ne vois pas bien ce qu’il y aurait comme petit plus. Sauf que le plus en question n’a rien à voir avec l’esthétique mais avec le tabou ! Je m’apprête à sucer la bite d’un chien ! Ce n’est pas le truc à tout le monde !.

Guylaine après s’en être mis plein la bouche me repasse l’organe comme s’il s’agissait de l’acte le plus banal du monde, et hop, ça y est je le fais. J’ai le machin dans la bouche, je le lèche et je le suce, je suis la reine des salopes !

On se roule un patin avec Guylaine, on a toutes les deux le goût de la bite du chien dans la bouche et je trouve ça génial, c’est dingue non ?

Maud en profite pour sucer le chien à son tour, puis réclame sa part de baiser.

– Maintenant, tu vas te faire sauter par Pluto !
– Euh, peut-être pas aujourd’hui… tentais-je de temporiser.
– Ah, oui ? Quand alors ?
– Je ne sais pas, on pourrait peut-être se revoir…

Je n’ai pas vu arriver la gifle.

– Qu’est-ce qu’on dit ?
– Merci.
– Merci qui ?
– Merci Guylaine.

Nouvelle gifle

– Non, on dit, merci ma maîtresse adorée !

N’importe quoi ! Mais je reste très joueuse.

– Merci ma maîtresse adorée !
– Tu es là pour m’obéir, n’est-ce pas ? Pour obéir à ta maîtresse adorée ?

Elle me crache plusieurs fois de suite sur le visage, j’en ai partout sur le nez, sur le menton… Je fais le geste de m’essuyer.

– Non, défense de t’essuyer ! Alors tu vas le faire ?

Bon j’ai compris, elle veut absolument que je me fasse sauter par le chien, ça ne va me tuer d’essayer.

– Bon OK, je vais me faire baiser par le chien, montre-moi comment on fait.
– Ah te voilà raisonnable ! Maud : démonstration !

Maud quitte un moment la pièce, puis revient avec deux gants de toilettes, qu’elle enfile sur les pattes de devant du quadrupède..

– Ben oui, normalement on lui met des chaussettes, mais on n’emporte pas de chaussettes au bord de la mer ! Commente-elle.

Maud se met ensuite à quatre pattes, puis enduit sa main gauche de sa mouille afin d’attirer le chien, qui vient lécher. Lentement elle déplace sa main vers ses fesses. Le chien vient lécher, puis tout d’un coup la pénètre.

Spectacle fascinant !

Guylaine me demande de me mettre en levrette aux côtés de Maud, celle-ci parvient à se détacher des assauts du clébard et se relève. Guylaine attire le chien vers mon cul…

Et ça y est, j’ai la bite du chien dans ma chatte. Quelle sensation, physiquement ce n’est jamais qu’une pénétration même si elle est très rapide (c’est le moins qu’on puisse dire) mais psychologiquement c’est fabuleux, je suis en train de me faire baiser par un chien. Je plane, je suis sur un autre planète.

Au bout de quelques minutes le chien s’est calmé, et est parti roupiller dans un coin.

– Alors, c’était bon ? me demande Guylaine.
– C’était une première.
– Tu le referas ?
– Si j’ai l’occasion, pourquoi pas ? Salope un jour, salope toujours !
– Ce qui est génial c’est de prendre la bite du chien dans le cul, mais c’est un tout petit peu compliqué, il faut avoir l’anus bien ouvert ! Tu aimes te faire enculer, toi ?
– Quand c’est bien fait, oui !
– Maud, rentre donc un doigt dans le cul de cette salope !

Je me prête volontiers à cette délicieuse fantaisie, la soubrette fait aller et venir son doigt à une allure frénétique.

– On dirait qu’elle a le cul plein ! Commente la soubrette.
– Fais-moi voir ! Demande Guylaine

Maud sort son doigt maculé de matière, le montre à sa maîtresse, puis le lèche.

– Hum, elle est bonne sa merde! Commente-t-elle.
– A moi maintenant ! Dit Guylaine qui à son tour m’enfonce un doigt qui ressort merdeux.

Elle le lèche avec une gourmandise non feinte.

– Tu ne vas pas garder ce caca dans ton cul ! Fais-nous une jolie petite crotte.

Moi je veux bien, mais je fais ça où ?

Maud se couche par terre, Guylaine me fait signe de m’accroupir au-dessus de sa bouche.

– C’est que je vais faire pipi aussi ! Précisais-je
– On s’en fout, fais-lui sur la gueule à cette chienne !

Je n’ai jamais été très loin en scato, sans doute par manque d’occasion, me limitant à nettoyer quelques culs pas bien nets.

Je suis accroupie au-dessus de Maud, la chatte à quelques centimètres de sa bouche. J’ouvre les vannes et ma pisse dégringole, j’essaie de contrôler mon débit, mais je n’y parviens pas, Maud avale en toussant. Il y a plein de pisse par terre.

Et maintenant je dois chier, je me retourne, je pousse, ça vient, non ça ne vient pas, je pousse encore, ça y est, l’étron va sortir. Il y a un vrai plaisir à se libérer de son caca, mais ici les circonstances sont particulières. Par réflexe je chercher quelque chose pour m’essuyer le cul.

Je me retourne, c’est spectaculaire, Maud a plein de merde sur le visage et reste ainsi. dans un attitude extatique.

Je me redresse. Guylaine vient alors de poser délicatement son pied nu gauche sur la bouche de sa soubrette. Puis elle change de pied, et s’en va s’affaler dans un fauteuil.

– Viens Marie-Paule, viens, ma salope, viens me lécher mes jolis pieds. Je crois que viens de me les salir, je vais quand même pas rester comme ça,!

Au secours ! Est-ce que je vais être capable de faire ça ? Le pied est à quelques centimètres de mon visage, je pointe ma langue, la fait toucher la merde. Pour l’instant ça va, je m’enhardis, je lèche davantage, puis fait signe à Guylaine que je ne souhaite pas continuer.

Elle a l’intelligence de ne pas insister C’est Maud qui prend ma place et qui lui nettoie consciencieusement ses panards.

Guylaine lui intime ensuite l’ordre de nettoyer le sol souillé de merde par endroit. La soubrette se met à quatre pattes et entreprend de lécher tout ça. La bourgeoise me confie alors une badine en me demandant de frapper Maud et de l’insulter.

Je suis maso, pas dominatrice et ce qu’on me demande ne me dis rien que vaille. Me voilà comme un conne, la badine dans la main, me demandant ce que je dois faire.

– On t’as dit .de me frapper, alors frappe-moi, conasse ! M’apostrophe Maud.

Alors je me suis lancé, et j’ai frappé à la volée son joli cul couleur de chocolat au lait. Cela a duré plusieurs minutes aux termes desquelles la soubrette s’est redressée mettant ainsi fin à cette cuisante fantaisie.

Je suis excitée comme je l’ai rarement été. Maud veut m’embrasser… M’embrasser après ce qu’elle vient de faire, avec ce goût dans la bouche… Pourtant j’ai accepté ce baiser, j’ai la chatte en feu. Maud s’en est aperçue, elle se baisse, sa langue vient me lécher la figue, je tremble d’excitation, elle s’approche de mon clitoris, elle l’a juste effleuré, j’ai jouis comme un bête.

On m’a proposé une douche et un soda light.

Je vais pour prendre congé. Guylaine me propose de nous retrouver au restaurant.

– C’est moi qui paie ! Me précise-t-elle.

Je n’ai pas envie de raconter ma vie autour d’une assiette, j’ai donc décliné. Et au moment de quitter les lieux, Maud a trouvé le moyen de me glisser un papier dans les mains.

J’attends un peu d’être éloignée pour en prendre connaissance. Il y a un numéro de téléphone et cette phrase « téléphone-moi pour un truc »

Intriguée, je téléphone de suite en cachant mon numéro

– Oui, c’est Marie-Paule.
– D’accord, rappelle-moi dans 10 minutes, je vais sortir faire une course.

J’ai donc fait comme ça !

– Juste une question ! Me dit-elle. Ça te dirait d’embaucher une soubrette comme moi ?

En voilà une idée qu’elle est drôle !

– T’as envie de changer de patronne ?
– En fait oui, elle me paie bien, mais j’en ai marre de supporter sa bipolarité…
– Je suis désolée, j’aime bien les jeux de domination mais comme soumise.
– S’il n’y a que ça, on peut s’arranger ! La soubrette qui fait des petites misères à sa maîtresse, ça existe aussi !

Du coup je vois les choses autrement.

Voilà maintenant deux ans que Maud est mon service ! Et qu’est-ce qu’elle m’en fait baver, mais j’y trouve largement mon compte ! Ah et puis j’ai acheté un chien, un labrador noir gentil comme tout, il s’appelle Smooty. Et c’est moi qui le promène.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-Paule Perez
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Samedi 2 avril 2022 6 02 /04 /Avr /2022 17:36

Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 18 – Partouzes sur la terre ferme par Nicolas Solovionni

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Hofjom est venu me trouver en m’indiquant qu’un type qui possédait une petite boite de pièces détachées souhaitait la vendre, et que la chose l’intéressait. Je lui ai donc prêté quelques sous afin qu’il puisse reprendre l’affaire.

Gundula s’est installée chez moi, pour quelques temps, notre liaison durera ce qu’elle doit durer, nous en sommes bien conscients tous les deux, c’est pour cela qu’elle a voulu conserver son travail à la clinique, elle ne souhaite pas être à mes crochets, elle a bien raison.

Ce soir elle était invitée à une soirée entre filles organisé dans l’appartement de Dyane. Il y aurait aussi Nadget, Elvira, Valencia, Tallulah et quelques autres.

– Tu me raconteras ! Lui demandais-je.
– Ça dépend, toi tu vas faire quoi ?
– Ça fait un bout de temps que je n’ai pas été profiter de mon cabaret… J’avais pas trop envie ces dernier temps. Là ça me titille de nouveau.
– Cochon !
– Oui, mais j’assume !
– Tu me raconteras aussi ?
– Bien sûr !

Et le lendemain, nous nous sommes raconté nos frasques respectives.

Le récit de Gundula

On a pas mal bu, pas mal déconné, puis des couples et de petits groupes se sont formés. L’ambiance est devenue de plus en plus chaude et débraillée.

Je me suis retrouvée, je ne sais trop comment, avec Elvira et Dyane dans sa chambre.

On s’est amusé à se peloter les seins, et à se faire de petits bisous, Elvira jouant les divas, mais ça lui va si bien, elle est tellement belle !. On s’est vite retrouvé à moitié à poil, Dyane a donné ses jolis seins à téter à Elvira, et cette dernière ne voulant pas faire de jalouse s’est emparée des miens. Putain sa langue sur mes tétons, qu’est-ce que c’était bon ! D’autant qu’en même temps Dyane en profitait pour me rouler une gamelle

Ça été la fête à nos nichons pendant un long moment, chacune suçait, chacune était sucée. Un moment j’avais la langue d’Elvira sur un téton, et celle de Dyane sur l’autre. Une sensation inouïe !

On a fait une petite pause, Dyane a quitté un moment la chambre puis est revenue avec une bombe de crème Chantilly. Elle m’en a aspergé les seins, et les deux autres se sont amusées à déguster tout cela !

Nous sommes ensuite passées à des choses plus hards, on a fini de se déshabiller, Elvira s’est couchée sur le dos, je me suis accroupie au-dessus de son visage afin qu’elle puisse me lécher la chatte, tandis que Dyane lui écartait les cuisses pour lui butiner le minou.

Un moment Dyane a changé de position, elle s’est débrouillée pour que sa chatte soit en contact avec celle d’Elvira, et elles se sont mises à se faire du frotti-frotta. La position de Dyane lui permettait d’avoir accès à mes nichons, apparemment elle ne s’en lassait pas .

Un moment je me retournais afin que Dyane puisse profiter de mon gros cul. Mais cette salope au lieu de me le caresser, se mit à me donner des fessées. J’avoue que ce n’était pas désagréable. Puis elle m’a écarté mes fesses et ma léché le trou du cul comme elle sait si bien le faire. Elvira s’est mise à côté de moi réclamant elle aussi qu’on lui lèche l’anus. Dyane nous a alors doigté simultanément, Quand elle a ressorti ses doigts imprégnés du jus de nos culs, elle les a léchés avec gourmandise.

Dyane a ensuite sorti un gode de sa cachette, tout le monde le voulait dans son cul, on a tiré au sort. J’ai gagné et elle m’ont fait aller et venir la bite artificielle à un rythme infernal, je jouissais comme une folle et quand le gode est ressorti pollué de matière on s’est précipité dessus pour le nettoyer, moi la première.

Dyane et Elvira se sont fait jouir presque simultanément, moi pas encore, alors on a changé nos positions. A mon tour d’être sur le dos; Elvira venant entre mes cuisses.

Dyane s’est amusé à m’attacher les poignets, je l’ai laissé faire, puis tandis que la langue d’Elvira s’agitait de plus en plus, Dyane m’a redonné ses tâtons à téter avant d’attaquer les miens qu’elle mordillait légèrement.

J’ai enfin joui, j’étais bien, Dyane m’a détaché et embrassé, puis Elvira m’a pissé dans la bouche. Une bonne soirée, quoi !

Fin du récit de Gundula

Et maintenant à toi !Stoffer0318

Pas mal de monde au Diable rose, ce soir, et la musique est assourdissante, quelques-unes des pensionnaires de l’établissement me saluent et je me dirige non pas vers mon bureau, n’ayant rien de particulier à y faire mais vers celui de Riquita, ma régisseuse transsexuelle.

– Oh ! Bonjour patron ! Me dit-elle avec un sourire désarmant.

Elle est là sur son canapé, en culote et soutien-gorge blanc sous un chemisier déboutonné de la même couleur.

– Tu m’as l’air débordé à ce que je vois ! Lui fais-je remarquer.
– J’ai bien le droit de souffler un peu, non ? Il y a eu une bagarre hier soir, un cinglé qu’on a été obligé de sortir, mais il a cassé du matériel, il faut qu’on remplace tout ça, qu’on voit avec l’assurance, tout ça.
– Vous ne vous êtes pas débrouillées pour faire payer le mec ?
– Bien sûr que si, mais l’assurance n’est pas obligée de la savoir.

Elle se lève, s’avance vers moi, se fait chatte, caresse mon torse à travers mon tee-shirt.

– J’ai un peu squatté ton bureau, j’ai auditionné une nouvelle, elle devrait te plaire…
– Une trans ?
– Oui, une belle blonde ! Elle attend dans ton bureau. Elle s’appelle Mimi.
– Quelle originalité ! Et qu’est-ce qu’elle fout dans mon bureau ?
– J’attendais Joanna pour la tester, mais elle n’a pas l’air pressée de venir. Viens je vais te la présenter.

On change de pièce, effectivement mon canapé personnel est occupé par une magnifique créature en sous-vêtements noir et rose.

– Je te présente le patron ! Lui dit Riquita.
– Bonjour Patron !

Riquita, collée dernière moi me masse la braguette et quand elle sent la chose convenablement bandée la fait sortir de sa cachette.

Je me branlotte un peu pour en affiner la rigidité. Je m’approche du canapé, Mimi est maintenant très proche de moi, elle ouvre une large bouche et me gobe ma queue avec gourmandise, tandis que Riquita me pelote les fesses

Je décide d’opter pour une position plus confortable et rapidement nous nous retrouvons couchés tous les trois, et tandis que Mimi continue de me sucer la bite, j’ai dégagé la magnifique queue noire de Riquita afin de m’en régaler comme il se doit de ma bouche gourmande..

Je prends mes aises et m’allonge de tout mon long, résolu à me laisser faire par ces deux magnifiques créatures. Riquita vient alors me sucer la bite tandis que Mimi m’embrasse à pleine bouche de sa langue diabolique

Mimi veut ensuite gouter à la queue de Riquita Je passe derrière elle, lui écarte ses jolies fesses, approche ma langue de son petit trou du cul et me met à le lui lécher avec gourmandise L’endroit devient vite bien lubrifié et d’un seul coup de rein je l’encule.

Riquita se dégage de la bouche de sa collègue et vient derrière moi, je sais ce qu’elle va faire et accueille volontiers sa bonne bite dans mon cul, Nous voilà trous les trois en train de faire le petit train, je suis à la meilleure place, j’encule et me fait enculer !

On finit par se désemboiter et je reprends ma position passive, couché peinard sur le dos Mais voici Mimi décidemment insatiable qui ne trouve rien de mieux à faire que de venir s’empaler sur ma bite. Riquita qui ne veut pas être en reste m’encule de nouveau. A ce rythme-là, mon cœur ne va jamais tenir !

Allez, j’ai envie de jouir, j’encule Riquita pendant qu’elle suce Mimi

Je souffle un peu, nous nous embrassons tous les trois dans un grand moment de tendresse, puis je prends la bite de Mimi dans ma bouche Je n’y avais pas encore gouté !

– T’aime ça, sucer des bites ! Me lance Riquita qui connait évidement la réponse

– Humm, elle est trop bonne sa bite !
– Régale toi, pendant ce temps-là, je vais t’enculer !

Encore ! C’est décidemment la fête à mon cul ! Mais je ne vais pas m’en plaindre ! Riquita ne se contrôle plus et me pilonne à un rythme infernal me provoquant des frissons de plaisir inimaginables

Elle jouit et décule m’offrant sa bite pleine de sperme à nettoyer, tandis que Mimi finit de me pomper jusqu’à ce qu’à mon tour je libère mon foutre dans un râle

Et tandis que je reprends mes esprits, Mimi se branle comme une malade m’envoyant toute sa purée sur le ventre

– Faut que je pisse ! Dit-elle

Riquita a alors suggéré à sa collègue de m’asperger de son urine. Quoi de mieux pour terminer ce moment de folie que se désaltérer de cette délicieuse pluie dorée !

Ces piquants récits nous ont bien émoustillés, Gundula et moi. Nous avons fait l’amour comme des sauvages puis nous nous sommes endormis blottis l’un contre l’autre en se remémorant nos galipettes et en rêvant à de nouvelles aventures.

Je l’aime bien Gundula, mais l’image de Mamie Marcia me hante ! Un jour les femmes me perdront !

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 2 avril 2022 6 02 /04 /Avr /2022 17:34

Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 17 – Mission spéciale pour Gundula par Nicolas Solovionni
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Laburo descendit d’un vaisseau une semaine plus tard. Il est immédiatement repéré par Dilos qui le suit, il m’en informe et prévient Gundula de se tenir prête.

L’homme tente de contacter le docteur Levkovich et devant le manque de réaction du spacephone, il lui envoie un message sibyllin.

Il patiente une bonne heure dans un bistrot en piaffant d’impatience.

« Je fais quoi ? Il lui serait arrivé quelque chose ? Je vais essayer de savoir si le vaisseau qui l’a transporté est rentré. »

Il quitte le rade et va pour retourner au cosmodrome. L’éventualité de cette situation ayant été prévue, Dilos rattrape le bonhomme.

– Monsieur Laburo ?
– Mais comment…
– Le docteur Levkovich est souffrant, il a eu votre message, il vous attend dans sa clinique, soyez prudent.
– Mais…
– Soyez très prudent ! Répète Dilos avant de s’éloigner et de se cacher, prêt à reprendre la filature.

Laburo est dubitatif.

« Un piège ? Mais je ne vois pas comment ? A priori, personne ne connait mes liens avec Levkovich. Il a dû se passer quelque chose, prudence, prudence… »

Alors, il y va. Son désintégrateur à portée de main.

– Allo Gundula, il sera là dans cinq minutes, tiens-toi prête.

Gundula qui s’était rendue introuvable pour ne pas risquer d’être dérangée se tient maintenant près de la porte d’entrée de la clinique.

– On nous envoie un type malade, probablement empoisonné, je vais immédiatement le prendre en charge ! Explique-t-elle à sa collègue de l’accueil.
– Je ne suis pas au courant…
– Ben maintenant tu l’es !

Et voici Laburo…

– Euh, bonjour…
– Je suis au courant venez avec moi ! Lui dit Gundula.

Au détour du couloir, Gundula le pique avec une seringue de propofol pour l’envoyer dans les vapes, une seconde injection lui envoie de l’acetylamino-testiculophosphate, un poison lent qui nécessite un antidote si on ne veut pas que sujet clapote.

– Quelqu’un pourrait venir m’aider ? Crie-t-elle après lui avoir subtilisé les papiers de l’homme et les remplacer par une fausse carte au nom de Lexro.
– Qu’est ce qui se passe ?
– J’en sais rien, il est entré et il s’est écroulé.
– On va le mettre au lit ! Ensuite on lui fera passer un scanner et on fera des analyses…

On diagnostiqua évidement un empoisonnement, le traitement durerait plusieurs jours, et Gundula se débrouilla pour que ce soit elle qui s’en occupe.

Le soir toute la petite bande se réunissait chez moi. Gundula toute fière, nous raconta tout ça :

– Bravo ! T’as été formidable ! La complimentais-je
– J’espère que ça ne va pas me retomber sur le dos !
– Non, il reste juste une chose à faire, demain je passerais à la clinique.

J’ai demandé à voir Monsieur Lexro, on m’a répondu que ce patient paraissait très abattu et qu’il ne fallait pas que je reste longtemps. Une fois dans sa chambre, et après avoir pris soin de refermer la porte, Gundula l’a hypnotisé en ma présence.

– C’est quoi ton rôle dans l’organisation des amis des précurseurs.
– On dit « Les témoins des précurseurs »
– C’est ce que je voulais dire.
– Je suis un initié de classe B et je supervise les informations provenant de la zone V5A.

La zone en question est un petit secteur du bras galactique exploré par les terriens, il comprend Vargala et quelques autres planètes gravitant autour d’étoiles plus ou moins chaudes.

– Et tu supervises de quelle façon ?
– Je m’assure que chaque planète possède un superviseur de classe C et j’ai la charge de m’informer de leurs investigations.
– Que contenait le message que vous a envoyé Levkovich ?
– Les coordonnées de la planète où il désirait se rendre suite à une présomption de vestiges précurseurs et les conditions de la découverte de ces vestiges.
– C’est tout ?
– Le matricule du vaisseau de transport, la date du départ.
– Vos supérieurs ont-ils été informés de tout ça ?
– Non !
– Et pourquoi ?
– On ne dérange pas les initiées de la classe A avec des rumeurs, on attend d’avoir une vue complète des choses pour leur transmettre des informations.
– Levkovich a-t-il informé d’autres personnes de ses intentions ?
– Il n’en avait pas le droit.
– Que comptez-vous faire à présent ?
– Retrouver Levkovich.
– Et si vous ne retrouvez pas ?
– Je me rendrais sur la planète dont il faisait état.
– O.K., maintenant faites un gros dodo, vous ne m’avez jamais rencontré, bien évidemment…

En sortant de sa chambre, nous sommes tombés sur le Docteur Zolier.

– Il va mieux ? Demande-t-il
– Il ne va pas pire ! Répond Gundula.
– Vous le connaissez ce type ? Me demande le toubib. Impossible de lui remplir sa fiche, sa carte est fausse et il reste muet comme une carpe.
– Oui bien sûr je vais vous donner tous les renseignements nécessaires. Dis-je en donnant un coup de coude à Gundula.
– Venez dans mon bureau, non pas vous Gundula, je vous laisse à votre travail.
– Oh, mais ce n’est pas possible j’ai encore une poussière dans l’œil.
– Vous le faites exprès, vous, faites voir.

Quelques instants plus tard le docteur Zolier remplissait une fiche d’admission en bonne et due forme au nom de Théophraste Lexro, artiste peintre.

Le soir Gundula me retrouvait.

– On fait quoi maintenant ? Me demande-t-elle.
– Si on le lâche dans la nature et s’il n’est pas trop con, il va se rendre compte que mon vaisseau a atterri, donc il va chercher à me rencontrer.
– Et alors ?
– Et alors : j’aimerais mieux pas…
– Il le fera peut-être pas ? Il peut très bien chercher un vaisseau pour se faire prendre comme passager.
– Et comme il y a toutes les chances que personne ne réponde à son appel d’offre, il va aller démarcher tous les capitaines en stand-by… et tomber sur notre vaisseau.
– Aïe !
– Comme tu dis.
– Il reste quoi comme solution ?
– Si tu diminues de moitié la dose de l’antidote, il en a pour combien de temps ?
– T’es pas en train de me proposer de le tuer, j’espère ? S’inquiète Gundula
– Pas le tuer ! Juste le laisser mourir.
– Ça revient au même ! Je ne peux pas faire ça ?
– Ecoute-moi, si ce mec sort de la clinique, il va nous rechercher, il nous extorquera les renseignements qu’il cherche par n’importe quel moyens : du fric, des tortures, du chantage… et une fois qu’il sera renseigné, il ne nous laissera pas en vie.
– Tu sais te défendre, non ?
– Moi, oui, mais toi peut-être pas, ni les filles qu’on a embarquées… Et puis admettons que je le tue, la mafia ici ne tolère que les crimes qu’elle commandite, les gens coupables de meurtre sont éliminés à leur tour.
– Tu me fais froid dans le dos !
– Tu veux que je te réchauffe ?
– Andouille !
– Alors d’accord ?
– Puisqu’on ne peut pas faire autrement ! Mais je ne vais pas en dormir de la nuit.
– Je sais ! Parfois on fait des choses qui ne sont pas toujours très jolies, j’ai bien laissé Kinsky se faire assassiner.
– Oui, bon, j’ai dit que j’étais d’accord… S’énerve-t-elle.
– Et donc combien de temps ?
– Il va durer deux jours, peut-être moins.

Laburo est mort au bout de deux jours, il avait la peau dure; j’ai pris en charge le corps et l’ai fait incinérer.

Gundula a mal vécu cet épisode, elle m’a fait la tronche et s’est éloignée de moi. J’ai demandé des nouvelles, elle m’a répondu assez sèchement qu’elle s’amuse très bien avec Tallulah. Tant mieux pour elles.

Je me sens un peu dans le mou. J’ai proposé à Nerren de passer à la maison, afin de boire un coup… et plus si les circonstances s’y prêtent…

Une heure avant qu’il arrive, je reçois un message de Gundula, qui me demande si elle peut passer en compagnie de Tallulah. Voilà qui contrarie mes plans, mais je n’ai pas envie de me défiler, cela ne simplifierait pas nos rapports.

Je crois comprendre le but de sa visite, il me parait évident qu’elle souhaite se rabibocher. Quant à Tallulah elle est là pour faire tampon et éviter que l’on s’engueule. Classique !

Alors est-ce que je vais dire à Nerren de reporter. Non !

Les deux filles arrivent. Bisous, bisous.

– J’ai été un peu vache avec toi ! Commence Gundula.
– Je ne t’ai pas demandé une chose facile !
– Je t’en ai voulu de m’avoir fait faire ça, mais maintenant avec un peu de recul, je me dis que je ne peux pas te donner tort !
– Alors tout va bien ! Bisous ?

C’est ce qui s’appelle un désamorçage de crise express !

Gundula me fait un bisou qui se transforme vite en patin et en profite pour me toucher la braguette. Ah, bon ? Ça devait faire partie du plan de réconciliation !

– Vous n’êtes plus fâchés, alors ? Demande Tallulah en me tripotant les tétons à travers ma chemise.

Bon comment vais-je pouvoir résister à ces deux nymphomanes ? D’ailleurs ais-je vraiment envie de résister ? Sauf qu’il y a un élément qu’elles ignorent…

– Euh, les filles, vous faites ce que vous voulez, mais je dois quand même vous prévenir que Nerren devrait arriver d’un moment à l’autre.
– Ah ? Vous vouliez faire des choses entre garçons ? Demande Gundula.
– Je lui ai dit de passer pour boire un coup…
– On dit ça, on dit ça… On ne peut pas rester alors ?
– Mais bien sûr que si !
– Si vous vous faites des trucs, on pourra regarder ? Reprend Gundula.

La conversation n’est pas trop facile, ces deux coquines s’évertuant à mettre leur petites mains partout !

– Bon les filles, on va peut-être l’attendre, on fera des bêtises après !
– On ne fait pas des bêtises, on fait des caresses.

On sonne ! Je vérifie dans le vidéophone la tronche du visiteur, n’ayant pas envie d’ouvrir au grand méchant loup ! Mais c’est évidemment Nerren.

– Bonjour tout le monde !

Bisous, bisous une fois de plus, il est un peu surpris de voir les filles, mais que voudriez-vous qu’il fasse, il ne va quand même pas se sauver en courant.

Je sers à boire. Watchibole pour tout le monde ! On trinque, on boit.

– Ma copine aimerait bien vous voir faire du sexe tous les deux ! Déclare Gundula sans autre préambule.

Décidemment elle devient de plus en plus délurée la petite infirmière !

– Qu’est-ce que tu en penses, Ajas ? Me demande Nerren.
– Ben…
– On ne peut pas refuser une telle chose à une si belle femme ! Ajoute-il.

S’il s’y met aussi, je n’ai plus qu’à m’incliner (au sens figuré, du moins pour l’instant)

– Alors dégage-moi ta bite que je te la suce ! Répondis-je.

Il le fait et sort de sa braguette une bite demi-molle que je m’apprête déjà à mettre en bouche.

– Pas comme ça les garçons, pas comme ça ! Intervient Tallulah.
– Ben quoi ?
– Vous croyez que c’est esthétique ? Mettez-vous plutôt à poil ce sera plus sympa.

« Ce que femme veut ne saurait nuire à la queue ! » disait Confuquisus

On se dessape donc. Mais j’interpelle les filles !

– Dites donc vous pourriez vous déshabillez aussi, ça aussi ce sera sympa.
– On ne va pas tarder à le faire ! Répond Gundula. N’est-ce pas Tallulah ?
– Mais bien sûr ma chérie.

On peut donc passer aux travaux pratiques. La bite de Nerren, je la connais par cœur, mais c’est un plaisir toujours renouvelé de sucer cette bonne bite. Ce gros coquin, a pris la précaution de ne pas prendre de douche avant de venir, j’ai horreur des bites qui sentent la savonnette. Là elle a un petit goût musquée, juste ce qu’il faut !

– T’aimes ça la bite, hein gros cochon ! M’apostrophe Tallulah.

Ben oui, j’aime ça, mais je ne vais pas répondre, j’ai la bouche pleine. Et pour l’instant je me régale, je lèche, je pourlèche, je suce. Ma langue voltige et se faufile partout, le gland, la hampe et les bourses.

Stoffer317– Tu suces trop bien ! Me complimente Nerren.
– Humpf, humpf !

Ben oui, en principe ce qu’on aime faire, on le fait bien !

– Il va t’enculer, maintenant ? Demande Tallulah.
– Bonne idée ! Répondis-je sans ambages

Je me mets en position, Nerren vient me lécher la rondelle, il adore ça et moi aussi. Puis au bout de quelques instants je sens son gland quémander l’entrée de mon trou intime, Une petite poussée et ça entre. Il n’a plus qu’à faire pistonner son chibre tandis que je me pâme déjà de plaisir.

Les deux coquines se déshabillent comme des sauvages en profitant du spectacle… et ça se pelote, ça se caresse, ça se bécote. De vraie furies.

Au bout d’environ dix minutes, je dis environ parce qu’il est toujours difficile d’évaluer le temps en de telles circonstances, Nerren prend son pied et jute son foutre dans mon conduit anal. Il se retire, et la folie sexuelle atteint alors son paroxysme, Gundula vient lui nettoyer la bite, tandis que Tallulah vient lécher le sperme qui s’évacue de mon anus.

Puis les deux femmes s’embrassent comme des goulues en se tripotant partout et finissent par atterrir ensemble sur le canapé où elles entament un soixante-neuf frénétique.

Et moi ? Je n’ai pas joui. Nerren me propose sa main gentiment, mais j’ai préféré temporiser.

Quand les deux femmes eurent terminées leur petites affaires, j’ai fait un petit signe à Gundula, qui comprit le message et c’est dans sa bouche que j’ai libéré ma jouissance.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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