Samedi 2 avril 2022 6 02 /04 /Avr /2022 16:47

Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 1 – Le mystère Dernoul par Nicolas Solovionni
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Voici une petite liste des principaux personnages qui interviendront dans cette histoire, il y a du monde, inutile de lire cette liste maintenant, mais sachez qu’elle est là au fur et à mesure de l’avancée de votre lecture vous pourrez vous y référer si vous êtes perdu !

LAjas Stoffer : capitaine du Rosamonda et narrateur de l'épisode
Dyane Makaya : seconde de vaisseau à bord du Rosamonda
Nerren Petrov : navigateur à bord du Rosamonda
Dilos Ionatos : ingénieur de bord du Rosamonda
Nadget M'Golo : technicienne de bord du Rosamonda
Le docteur Levkovich : directeur d'une clinique sur Vargala
Gundula Miller : infirmière à la clinique du docteur Levkovich
Carrie : tenancière du Carrie's bar, fille de Marcia
Marcia : serveuse montante au Carrie's bar, mère de Carrie
Kamil Dernoul : Capitaine de vaisseau, assassiné.
Ingmar Hofjom : rescapé de l'équipage du capitaine Dernoul
Elvira, Valencia, Tallulah : trois des onze filles abandonnées sur Dernoula 7
Calloch : biologiste sur Dernoula 7
Kinsky : géologue sur Dernoula 7
Laburo : cadre d'une secte d'adorateurs des précurseursr

Bonjour, c’est moi le capitaine Ajas Stoffer, je glandais sur Vargala-Station, ma dernière expédition avait failli se terminer tragiquement (voir Les labyrinthes d’Orza) , mais non seulement l’affaire avait connu un dénouement inattendu et heureux mais m’avait apporté la fortune.

Je n’étais donc nullement pressé de reprendre la route de l’espace. Les expéditions d’import exports auprès de colonies bizarroïdes, c’était fini. Je m’étais acheté un appart confortablement meublé, j’avais investi dans une boite de nuit, le Diable Rose, qui avait besoin d’un bon coup de neuf.

Je n’avais pas pour autant l’intention de pantoufler, si une belle aventure bien exaltante se présentait, eh bien, pourquoi pas ?

Je me rendis au « Diable Rose » en quête d’un peu de détente.

– Bonjour patron ! Me lança Riquita.

Riquita est une jolie transsexuelle à la peau chocolatée (voir la Reine Russo) avec laquelle je m’amuse parfois. Elle est désormais la régisseuse du lieu.

Ah, oui, les lecteurs qui n’ont pas lu mes précédentes aventures ont le droit d’en savoir un peu plus sur ma modeste personne. La quarantaine en équivalence terrienne, grand amateur de jolies femmes, mais me laissant aller volontiers à quelques penchants bisexuels quand les circonstances s’y prêtent.

– Rien de neuf ? Lui demandais-je
– C’est un peu calme ce soir, il y a des jours comme ça.
– Rien qui puisse m’intéresser ?
– Pas grand-chose ! Juste un mec qui racontait tout à l’heure, qu’il avait vu des ruines de précurseurs…
– Où ça ?
– J’en sais rien, mais d’après ce qu’il racontait, c’est assez loin, j’ai noté discrètement son identité si ça t’intéresse.
– Bof les précurseurs !

On appelle précurseurs la (ou les) civilisations qui nous ont précédés dans l’espace. Un seul vestige avait été officiellement retrouvé, une haute colonne qui n’avait jamais livré ses secrets (voir Vargala Station 3 – La Maison parme). En fait il eut d’autres découvertes, mais toutes étaient blackoutés par la flotte galactique.

J’étais bien placé pour le savoir, puisque les labyrinthes d’Orza étaient très probablement leur œuvre, mais je n’en avait parlé à personne, pas envie qu’on vienne emmerder Jira et Wulma, (voir Les labyrinthes d’Orza)

– Ça a l’air de te rendre pensif… Fit remarquer Riquita
– Il t’as rien dit d’autre ?
– Ce n’est pas à moi qu’il parlait, j’épiais la conversation…
– Il parlait à qui ?
– Joanna, je crois, elle est là ce soir, mais en ce moment elle est en cabine privée.
– Eh bien on va attendre qu’elle sorte.
– C’est qu’elle a un autre client après…
– Eh bien il attendra, je suis prioritaire, c’est moi le patron, non ? Je monte au bureau, rejoins-moi avec elle dès qu’elle sera libre.

Je ne me souvenais plus de cette Joanna qui ne fait pas partie des salariés de l’établissement. Mais nous acceptons la présence de filles et de trans indépendantes, contre une petite rétribution évidemment.

Et là voilà devant moi, maintenant je m’en souviens, une belle trans blonde un peu sur le retour, je crois qu’on avait partouzé… Souvenirs, souvenirs, mais le moment n’est pas à la bagatelle.

– Alors, Joanna, il paraît que tu as enquillé un mec qui t’a parlé des précurseurs.
– Et j’ai fait quelque chose de mal ?
– Pas du tout mais je voudrais savoir ce qu’il t’a raconté.
– Un illuminé, il m’a parlé d’une espèce de secte qui gardait les secrets des précurseurs, il m’a décrit un machin, une construction qu’il aurait vue là-bas, la description était très réaliste, mais ça ne prouve rien.
– Le type, c’est un homme d’équipage ou un officier ?
– Avec ce qu’il a claqué ici, ça ne pouvait être qu’un officier…
– Bon, tout cela est surement bidon, mais j’irais quand même trouver le bonhomme, file-moi ses coordonnées, Riquita.

Mais j’étais aussi passé pour me détendre, et la présence de ces deux magnifiques créatures me faisait frétiller la braguette.

Riquita était vêtue d’une nuisette parme très décolleté et d’une petite culotte qui dissimulait mal son sexe. Je lui caressais ses douces cuisses d’un air faussement négligé.

– C’est doux, n’est-ce pas ? Me dit-elle
– Super doux ! Tu fais comment ?
– Je mets de la crème tous les matins.
– Partout ?
– Partout, partout, même sur la bite !
– Voyons voir ça ! Répondis-je en extrayant sa queue demi-molle de son string.

Je commençais quelques légers mouvements de masturbation

– Je vais vous laisser ! Dit alors Joanna.
– Non reste on va s’amuser tous les trois. Répondis-je
– C’est que, j’ai un client qui m’attend…
– Tu ne peux pas t’arranger ?
– C’est un éjaculateur précoce, en cinq minutes ce sera fini, je peux revenir tut de suite après.
– Alors faisons comme ça !

Je continuais à branler Riquita, sa bite ne tarda pas à devenir raide, une très jolie bite couleur chocolat, que je connaissais par cœur mais dont je ne me lassais pas, c’est bien connu, on ne se lasse pas des jolies choses. Et puis ce gland, ces couilles… Quel bonheur de tripoter tout ça !

Je ne me pressais pas, n’ayant pas envie de précipiter les choses avant le retour de la sculpturale Joanna.

Aussi, résistant à l’envie de prendre le membre dans ma bouche gourmande, je lui fis signe de retirer sa nuisette afin que je puisse m’occuper de sa jolie poitrine aux tétons arrogants que je tétais sans retenue

Inutile de préciser que je bandais comme un cochon, je fis donc une courte interruption afin de me débarrasser de mes vêtements.

– Hum, tu bandes bien, capitaine !

Riquita se pencha alors sur ma queue afin de la sucer. Sa langue diabolique me faisait un bien fou, tandis que ses doigts m’attrapaient mes tétons afin de les tortiller avec énergie.

Mais voilà Joanna qui revient !

– Eh, bien on peut dire que vous commencez, fort tous les deux ! Clama-t-elle.
– T’as déjà fait ton client !
– Plus rapide que lui, tu meurs, il a voulu m’enculer, il était à peine rentré dans mon cul, que deux ou trois petits coups après, il jouissait comme un malade. Je dois avoir encore son sperme dans mon cul, vous voulez que je m’essuie ou pas ?

Quelle cochonne celle-ci.!

– Tourne toi, je vais regarder ça !

Elle le fait après avoir prestement retiré sa petite culotte et enlevé son caraco noir, et se courbe en deux afin de m’en mettre plein la vue.

Quel cul, mes amis, mais quel cul d’enfer, son anus m’attire comme un amant et j’y porte ma bouche, langue en avant. Il sent le foutre. L’autre vicieuse en profite pour pousser faisant ainsi ressortir le sperme que son client y avait déposé, je le recueille dans ma bouche et continue à lui humecter le trou pendant de longues minutes, avant de me lasser. Joanna alors m’enlace et m’embrasse à pleine bouche.

Elle est maintenant devant moi, je lui tripote les seins tandis qu’elle me tiraille les tétons, nous bandons tous les deux comme des ânes en rut.

Sa bite est impressionnante, elle me nargue, je la veux dans mon cul ! Mais avant je me baisse afin de la sucer comme il se doit. Quel régal ! J’adore sucer des bites, c’est mon péché mignon. Et celle-ci me comble, de par la douceur de sa peau et son goût légèrement musqué.

Riquita vient se coller auprès de sa camarade, pas compliqué de comprendre le message, je me mets à lécher alternativement ces deux belles queues, un coup pour la blanche, un coup pour la noire et on recommence.

Je n’en peux plus de bander comme un bout de bois. Je veux maintenant que l’on m’encule. Je me met en levrette. J’ignore laquelle de deux va opérer, ce sera la surprise….

Je ferme les yeux, je sens une langue me lécher la rondelle, c’est si bon que j’en frétille, mais c’est encore meilleur quand un doigt viens me fouiller en cadence. Un doigt ? Mais il en a peut-être deux, aller savoir ?

Et cette fois ce n’est plus un doigt mais bel et bien une bite bien raide qui entre dans mon fondement et qui le pistonne. Que c’est bon, c’est à la fois un plaisir physique intense et un plaisir psychologique, j’aime l’idée de me faire enculer, allez savoir pourquoi ?

Stoffer301J’ai toujours les yeux fermés, je les ouvre. Riquita est devant moi, c’est donc Joanna qui s’agite dans mon derrière, et elle s’agite à merveille. Riquita s’approche, j’ouvre la bouche. Je suce. Une bite dans le cul, une autre dans la bouche, ce doit être ça le bonheur !

Joanna se prend au jeu, je ne pensais pas qu’elle continuerait jusqu’à la jouissance, c’est pourtant ce qu’elle fait, je sens son sperme jaillir dans mon cul ! Que c’est bon !

Elle sort de mon cul, épuisée, me demande si je veux nettoyer. Je suis trop excité pour jouer les chochottes, alors on joue aux chaises musicales, Riquita vient derrière moi et m’encule à son tour pendant que je prends en bouche la bite dégoulinante de sperme de Joanna, Il n’y a peut-être pas que du sperme, d’ailleurs mais peu me chaut comme disait Voltaire.

Riquita continue de me régaler le trou du cul avec sa bite en pleine forme, tandis que Joanna est partie s’assoir histoire de récupérer quelque peu.

Mon enculeuse a fini par se fatiguer, elle sort de mon cul sans avoir joui. Quant à moi, je ne peux plus rester comme ça, je vais exploser !

Je m’allonge à plat ventre et fais signe aux deux trans de venir me « finir », Riquita prend alors sexe en bouche tandis que Joanna s’occupe de mes tétons.

Et quand le geyser de mon sperme m’arrosa le torse, les deux coquines virent s’en régaler.

Je demandais à Dyane Makaya, la seconde de mon vaisseau, une belle blonde, entre deux âges, comme on dit, de m’aider à retrouver la trace de l’individu signalé par Riquita et qui s’appelait Dernoul.

Nous avons fait, chacun de notre côté le tour des hôtels de la ville en nous limitant toutefois aux établissements classieux, les officiers ne louant pas dans les bouibouis. Ne trouvant rien, nous avons essayé avec les hôtels de catégorie inférieure, toujours sans résultats.

– Il a peut-être un appart à lui ? Suggéra Dyane.
– Il viendrait de l’acheter, alors…

On s’est renseigné au cadastre, l’individu était inconnu au bataillon.

– Bon, s’il loge chez l’habitant on est pas près de le trouver.

J’eu l’idée de me renseigner auprès d’une veille connaissance, le capitaine Annabelle Jiker, responsable de la sécurité sur Vargala, mais plus ou moins sous contrôle de la mafia locale. C’est une géante rousse grande consommatrice de jeunes blondes aux yeux bleus.

– Tu ne sais plus faire tes enquêtes tout seul ? Persifla-t-elle.
– Que veux-tu ? La fatigue… Dernoul ça te parle.
– Où tu vas encore fourrer tes pieds ?
– Justement j’en sais rien.
– Bon je ne t’ai rien dit, mais ça m’a tout l’air d’un un meurtre rituel…
– Pourquoi ? Il est mort ?
– Ben oui en principe quand il y a un meurtre, on en meurt. On a retrouvé son corps empalé sur un pieu à trois kilomètres de la ville, vers la ferme des Pecho, on lui avait enlevé le cœur, on ne l’a pas retrouvé, on ne l’a pas cherché non plus !
– Et on a une idée de l’assassin ?
– Je t’en ai dit assez.
– Il créchait où ?
– Au bar de Carrie.
– Connait pas !
– Tu trouveras bien, maintenant excuse-moi, mon vieux mais maintenant la boite de renseignements est fermée. Fais attention à toi !

Poursuivons l’enquête, quelque part ça m’amuse, mais si je vois que ça sent trop le roussi, je ne vais pas continuer longtemps. Il me paraît évident que la Jiker ne sait rien de plus, et pour une fois ce n’est pas parce qu’elle a été soudoyée, mais tout simplement parce qu’elle s’en tape.

Il n’est pas dans les méthodes de la mafia locale de pratiquer des meurtres rituels. D’abord parce que la mafia évite de tuer, du moins officiellement, depuis qu’un pacte de non-agression a été conclu entre les différents parrains du lieu, non par conviction pacifique mais par crainte de voir leurs effectifs fondre comme neige au soleil.(voir pour plus de précisons sur ce point : Vargala station -3 – La-Maison parme). Ensuite parce que ce n’est pas leur façon d’agir.

Bon, je ne vais pas me précipiter pour utiliser le tuyau de Jiker, inutile d’aller enquêter auprès de la logeuse d’un mec qui est mort. En revanche Dyane sait très bien tirer les vers du nez à Rudy, le type de permanence à la capitainerie du port.

– Tu ne crois pas que je vais faire une pipe à ce mec pour avoir une liste d’équipage alors que tu as les droits pour accéder à ce genre de renseignement.
– Je peux avoir accès à la liste de l’équipage, mais pas au code d’accès de leur vaisseau
– Tu veux entrer dans leur vaisseau ?
– Non, je veux me connecter à leur journal de bord.
– Mais il ne voudra jamais !
– T’en sais rien, tu n’as pas essayé.
– Tu as envisagé une petite prime pour le service ?
– Bien sûr ma jolie !
– Même si j’échoue !
– Même si t’échoue.

Dyane attendit l’heure propice avant de se rendre à la capitainerie.

– Tiens bonjour belle blonde ! Je parie que vous venez me soutirez des renseignements que je ne devrais pas donner. J’ai bon ?
– Disons que je vous propose un échange de bons procédés !
– Vous savez, je suis toujours prêt à me laisser corrompre, surtout par une aussi jolie pute que vous, à condition que ça ne me retombe pas sur la gueule, bien entendu. Alors c’est quoi la demande ?
– La liste des officiers et des hommes d’équipage qui accompagnaient le capitaine Dernoul.
– Celui qui s’est fait buter ?
– Oui !

Le bonhomme se dit que quelque chose clochait, pourquoi cette femme semblait prête à baiser pour obtenir ce genre renseignement alors que son capitaine avait tout pouvoir pour l’obtenir ? Il aurait pu creuser l’affaire, mais il ne le fit pas. Il n’allait tout de même pas refuser une partie de jambes en l’air alors qu’on la lui apportait sur un plateau.

A ce stade, Dyane ne lui parla pas de la connexion au journal de bord du vaisseau de Dernoul. Il aurait été forcément méfiant et réticent, pour cela elle attendrait le moment propice et elle avait une botte secrète. Ça allait être un moment difficile, mais personne ne lui avait dit que ce serait facile.

– Je t’envoie la liste sur ton spacephone, je ferme le bureau et on se fout à poil !
– Très bon plan !

– Comment tu fais pour être aussi belle ? Demande Rudy.

Dyane ne se considérait pas comme un canon de beauté, certes elle avait du charme, un charme très mature, et ne se plaignait pas, mais il y avait tellement mieux. Mais elle n’allait pas le contrarier.

– Parce que je suis coquine ?
– Il y a plein de coquines qui ne sont pas si belles que toi !
– Tu sais pourquoi je suis belle ?
– Dis-moi !
– Parce que quand je vois une belle bite, ça me fais pétiller les yeux et ça m’éclaire le visage.
– Tu me fais rire, tiens, approche tes nichons de salope que je lèche un peu tout ça.
– J’aime quand tu me parles comme ça, ça m’excite !
– T’es vraiment une pute !
– Ça c’est vrai ! Dis-moi quand tu auras fini de me bouffer les seins, je pourrais te faire une pipe.
– Vas-y suce-moi !

La jolie blonde emboucha la bite du fonctionnaire, et commença une fellation lente, Si elle voulait réussir sa « mission », il ne fallait surtout pas qu’il jouisse trop rapidement.

– C’est vraiment dommage que tu veuille pas que je t’encule ? Dis Rudy au bout d’un petit moment.
– Tu sais bien que ce n’est pas mon truc… à moins que…
– A moins que quoi ?

« Allons-y pour la botte secrète ! »

– Exceptionnellement, je veux bien que tu m’encules, mais ce sera contre un autre gros service.
– Dis toujours !
– Tu me donnes le code d’accès à leur journal de bord.

Rudy ne répondit pas, et ne renouvela pas sa demande, il la pénétra vaginalement et besogna la belle jusqu’à ce qu’il éjacule dans un grognement.

Dyane simula son plaisir tout en se demandant si ça servirait à quelques chose.

– Alors ! C’était bien ma bibiche ?
– C’est toujours bien avec toi, mon gros lapin !
– Je suis désolé pour ce que tu m’as demandé tout à l’heure, je peux toujours te donner le code d’accès de leur journal de bord mais il ne te servirait à rien !
– Et pourquoi donc ?
– Parce que le vaisseau est reparti ce matin !

Oups !

– Un départ précipité ?
– On dirait bien ! Ils sont partis sans fret et ont indiqué une destination bidon.
– Tu pouvais pas me le dire avant ?
– Tu ne me l’avais pas demandé ! Tu avais besoin d’une liste, je t’ai donné la liste, j’ai été réglo. J’aurais aussi pu faire semblant d’oublier que le vaisseau était parti, je ne l’ai pas fait, je suis peut-être corruptible mais je ne suis pas un salaud !
– C’est vrai ! On s’embrasse ?

Quand Dyane est revenu me voir, elle était complètement dépitée, moi aussi d’ailleurs !

– On va laisser tomber cette affaire, ça sent le pourri. Dis-je.
– Et le tuyau à Jiker.
– Ça ne coute rien d’aller voir, au point où on en est… Le bar de Carrie, tu connais ?
– Je ne connais pas mais je sais où c’est. Tu n’as jamais entendue parler de Carrie ?
– Ben non, je ne peux pas connaitre tout le monde.
– Elle devrait te plaire ! Une belle rousse bronzée avec des cheveux partout. C’était l’une des putes vedettes du « Tambourin », elle a gagné un paquet de fric et elle a voulu acquérir son propre bordel. Mais elle a été incapable de s’entendre avec la mafia, elle s’est faite pas mal racketter et elle a revu ses ambitions à la baisse, son bar, c’est un mini bordel, trois quatre filles c’est tout…
– Comment tu sais tout ça ?
– C’est tout bête, un jour un mec m’avait dragué, il m’a emmené dans son hôtel pour me sauter, il voulait un plan à trois, il a booké Carrie, on a partouzé, et ensuite la nana, elle a eu envie de parler…
– Et tu t’es fait payer ?
– Evidemment ! A partir du moment où il payait Carrie, je n’allais pas baiser gratuitement.
– Alors on y va ensemble, tu me présenteras, ça va faciliter le contact.

Effectivement, le bouiboui qui s’appelle tout simplement le « Carrie’s bar » ne paie pas de mine, trois tables de quatre personnes, une autre de deux personnes, un bar avec les tabourets assortis. Sur l’un deux une nana en petite jupe noire et soutien-gorge fait la causette avec une grande femme filiforme aux cheveux gris et courts qui sert au bar.

– C’est pour manger ? Nous demande l’ancienne.
– Eventuellement, mais on aimerait rencontrer Carrie.
– C’est de la part ? Reprend-elle d’une voix gouailleuse.
– Capitaine Ajas Stoffer.
– Je vais la prévenir, soyez patient, elle était en chambre, elle doit avoir fini, mais elle est bavarde… Ne restez pas debout, asseyez-vous, je vous sers quoi ? On a un excellent watchibole, c’est une boisson de capitaine, ça !

On s’assoit, la brune nous sert notre watchibole, qui effectivement est très buvable. Et voilà que l’on entend des pas dans l’escalier. Ce n’est pas Carrie, c’est un espèce de garde du corps, cent-vingt kilos de muscles et le regard idiot. On est méfiant dans le bouiboui ! Un autre bonhomme suit, probablement le client…

Et enfin, la voilà !

Dyane ne m’avait pas menti, une jolie femme avec des cheveux partout, un beau visage souriant et volontaire, une belle robe très décolletée et bien collante.

– Salut la compagnie, je suis Carrie, je vais vous demander de mettre vos mains sur la table et de ne plus les bouger. On prend parfois des précautions idiotes, mais ça permet de rester en vie. Le monsieur là-bas, c’est mon garde du corps.
– On avait deviné ! Répondis-je. Je suis le capitaine Ajas Stoffer
– Et moi, tu me reconnais ? Lui demande Dyane.
– Euh… c’est-à-dire je vois tellement de gens…
– Un plan à trois à « l’hôtel du Grand Nuage »,
– Ah, oui ! Et je suppose que tu vas me proposer un autre plan à trois avec ce charmant capitaine.
– Non, on verra ce qu’on fera après, mais là, on voudrais des renseignements sur quelqu’un… Interviens-je.
– Je ne suis pas une agence de renseignement.
– Est-ce qu’on peut juste vous dire de qui il s’agit ? Demandais-je
– Si ça vous amuse, mais vous ne saurez rien de plus.
– C’est un peu confidentiel, je suppose que vous avez une arrière-salle…
– Vous êtes chiants, venez !

La curiosité féminine me surprendra toujours !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 26 mars 2022 6 26 /03 /Mars /2022 07:18

A la recherche d’Alice par Estonius
Massage3

 

Voilà un bout de temps que je n’avais rien écrit, voici donc une toute petite histoire plus ou moins inspiré de faits réels. Bonne lecture !

Me voilà rentré bien plus tôt que prévu, et la bite sous le bras. Déjà le fait qu’il n’y ait pas de lumière m’avait intrigué, puis en m’approchant je découvrais une affichette « établissement sous scellés, brigade de répression du proxénétisme ».

Proxénétisme ? N’importe quoi ! Ici on ne forçait personne, tout se passait dans la bonne humeur ! Quel est donc ce malade qui s’est livré à une dénonciation ? Qui sont ces flics qui au lieu d’emmerder des adultes consentants seraient mieux à leur place en enquêtant sur les véritables réseaux de traite des blanches ? J’ai la rage !

Mais de quoi s’agit-il ?

Je vais tout vous raconter, ça me calmera.

Je suis un habitué des salons de massage asiatiques. Ces instituts sont une vraie loterie, cela va su sublime au sordide.

Le massage est parfois nul, la finition (parce que tout le monde ou presque ne vient que pour ça) n’est parfois même pas proposé. Il n’est pas toujours permis de toucher la masseuse, laquelle opère parfois en tenue de ville !

Et puis la différence n’est pas seulement d’un institut à l’autre mais parfois d’une masseuse à l’autre dans le même institut. La raison en est simple : afin de ne pas être accusés de proxénétisme, les gérants des salons interdisent formellement toutes prestations sexuelles (c’est d’ailleurs clairement affiché à la caisse et même dans les cabines). Tout écart en ce sens est censé être ignoré de la direction et laissé à la discrétion des masseuses qui font évidemment ce qu’elles veulent.

Je n’évoquerais pas non plus ces instituts où, la prestation étant terminée, ces demoiselles insistent bien lourdement pour que vous preniez une douche ! Et pourquoi donc ? Pour vous faire les poches, pardi !

Donc tout a commencé un soir d’hiver dans cette petite rue du 17ème arrondissement, où il y a plusieurs salons, j’entre dans celui-ci au hasard. Jolie femme à la caisse, je choisis une prestation basique de 60 minutes. Une autre jolie femme en blouse blanche vient me chercher. Et hop, nous voici en cabine (très étroite la cabine) dans laquelle je me déshabille.

– Moi Alice ! me dit-elle
– Moi, c’est Etienne.
– Si toi, petit billet, moi plus coquine.

En voilà une qui ne perd pas de temps, je sors 20 euros de mon larfeuille, ça a l’air de lui convenir. Du coup elle déboutonne sa blouse. Joli corps, jolie peau, jolis seins tous ronds, et belle foufoune plutôt poilue.

Et la voilà qui me masse. Assez énergiquement. Je me fous de savoir si c’est un vrai massage ou pas, tout cela n’est qu’un prétexte pour ce qui va venir après. Pour l’instant elle me masse les épaules, le dos, les bras, les mollets, les cuisses. De temps en temps elle me demande d’une voix très suave :

– Ça vaaaaa ?

La deuxième « a » formant une étrange mélopée.

Elle semble avoir complétement oublié mes fesses, ce n’est peut-être pas dans son programme ?

Si, ça y est, mais seulement au bout d’un quart d’heure. La voilà qui me les triture dans tous les sens et m’écarte les globes. Par un savant mouvement d’approche, je sens son pouce s’approcher de mon trou de balle.

– Ça vaaaaa ? Répète-t-elle en augmentant la pression.
– Oui, oui,
– Je masse ici ?
– Je veux bien, oui !

Dingue, me voilà avec son doigt dans mon cul, et cette diablesse le fait aller et venir. Que c’est bon ! Je m’abandonne à cette douce caresse. Mais les bonnes choses ont toujours une fin, elle me demande de me retourner. Bien sûr je bande comme un âne.

– Toi en forme ! Commente-t-elle.

Mais elle ne me touche pas la bite, me massant le torse, les épaules, les cuisses, les mollets… Elle revient sur le torse, s’attarde sur les tétons.

– Tu aimes, là ?
– Oui, pince-les.

Elle retire sa blouse, la voici intégralement nue, je lui demande si je peux la caresser. Elle veut bien, et je balade ma main sur ses douces cuisses et sur ses fesses légèrement rebondies.

– Comme ça ? Demande-t-elle en me pinçant légèrement les tétons.
– Plus fort ! Oui comme ça ! C’est bon.
– Toi un peu masokiste !
– Un petit peu ! Répondis-je en m’amusant de sa prononciation.
– Je peux donner fessée !
– Pas aujourd’hui, continue les tétons, j’aime bien.

Estonius322Après quelques minutes de ce traitement, et sans rien me demander, elle s’empare de ma bite et commence à me masturber. Je sens que je vais craquer. Effectivement elle me fait jouir en quelques instants.

Je vais pour me relever, mais elle me fait signe d’attendre. Alors délicatement, elle prend une lingette pour me nettoyer le zizi, puis si comme si cet épisode très hot n’avait été qu’un intermède, elle continue son massage jusqu’à ce que les 60 minutes soit écoulées.

– Toi content ?
– C’était très bien !
– Toi revenir ! Surtout demander Alice !

Et nous échangeâmes un chaste bisou sur le bord des lèvres .

Pas de problème !

Je revins une dizaine de jours après et je demandais donc Alice. La femme de la caisse me proposa une carte de fidélité, m’expliquant qu’au bout de 10 séances, la onzième serait gratuite, puis je fus invité à attendre Alice dans un petit salon d’attente.

La prestation fut quasiment identique à la première fois, la surprise était en moins mais l’efficacité était toujours là.

Quelques semaines passèrent, j’en étais à ma huitième séance et ce jour-là, je fus fort dépité quand la caissière m’informa qu’Alice n’était pas disponible ce jour.

– Suzy et Lana sont là, mais ne seront pas libre avant une heure, elles font un massage à quatre mains, et Lana a un rendez-vous tout de suite après, sinon aujourd’hui on a aussi Cheng, c’est un jeune homme.
– Un jeune homme ?
– Oui, il ne vient qu’une fois par semaine, le jeudi, Ça vous intéresse ?
– Non, je préfère une femme.
– Je vous bloque une séance avec Suzy dans une heure ?
– Je ne sais pas, Alice sera là demain ?
– Non, elle ne revient que dans 10 jours.
– Bon, je reviendrais peut-être demain !
– Vous voulez qu’on prenne rendez-vous ?
– Non, je ne suis pas sûr de venir.
– Demain nous aurons aussi Ava, c’est une lady boy ? Si ça vous intéresse, profitez-en, elle n’est pas là souvent, et elle est très demandée !

Une lady boy ? Depuis le temps que fantasme sur ces créatures androgynes. Je n’hésite même pas :

– D’accord, demain 16 heures ?
– Parfait !

Le lendemain, j’étais pile à l’heure. Ava est une grande perche de 1,80 m au visage très féminin encadré par de longs cheveux de jais.

Elle me fait un clin d’œil et m’invite à la suivre.

– Si tu veux que je sois coquine, tu me donnes un petit billet.

Exactement la même formalité qu’avec Alice, donc, sauf qu’Ava s’exprime mieux en français. Je lui donne donc 20 euros de pourboire. Et je me déshabille. Ava a ouvert sa blouse, Sa poitrine est glabre mais non transformée, elle a de jolis tétons très bruns. Je suis un peu déçu qu’elle ait gardé son string. Ne soyons pas timide, je lui demande :

– Tu n’enlèves pas ton string ?
– Tu veux voir ma queue ?
– Oui, j’aimerais bien !
– Tu aimes les queues ?
– Disons que c’est un fantasme !
– Je te la montrerai tout à l’heure !

Tout à l’heure, dans ce genre de prestation, ça peut tout aussi bien vouloir dire jamais ! Tant pis pour moi ! Bien sûr je pourrais lui glisser un billet supplémentaire, mais à ce jeu-là, on sait quand ça commence, mais jamais comment ça finit.

Je me laisse masser, le massage est très physique, il n’a rien d’érotique et mon esprit s’évade. Au bout d’un quart d’heure, il s’occupe de mes fesses. Est-ce que ça va devenir intéressant ?

Il commence par un bon malaxage qu’il fait durer un peu, j’attends, peut-être aurais-je droit à un doigt…

Puis au moment où je m’y attendais le moins, le voilà qui se couche pratiquement sur moi, il a son bas ventre contre mon cul et se livre à une série de frottements successifs entre mes fesses. La sensation est trouble et étrange car au fur et à mesure de l’action je sens sa bite qui se met à bander. Quant à la mienne, elle s’est joyeusement réveillée et ne tient plus en place.

Hélas, ce petit jeu ne dure pas, et Ava me demande de me retourner. Sa queue en érection déforme son string. Il regarde la mienne avec un sourire amusé et y porte la main.

– Il faut que je te calme ! Commente-t-il tout en me masturbant très doucement.

De son autre main, il fait sortir sa bite par le côté du string, un bel engin !

– Tu voudrais la sucer ?
– Oui !
– Tu aimes ça, sucer des bites ?
– Oui !

Je ne vais pas lui raconter ma vie, il (elle) n’a pas besoin de savoir que ça fait une éternité que je n’ai pas fait ce genre de choses.

– Ici, ce n’est pas possible ! Mais je peux te donner mon numéro de téléphone, tu viendras chez moi, ça t’intéresse ?
– Si le prix est raisonnable… Répondis-je tout en m’étonnant que la chose ne « soit pas possible ici. »

A tous les coups, il veut m’attirer pour une prestation plus longue, donc plus chère.

– Ne t’inquiète pas pour le prix ! On pourra se sucer tous les deux, et même faire des choses encore plus coquines. Ajoute Ava

– Hummm !
– T’aimerais que je t’enfonce ma bite dans ton cul !
– Je ne sais pas ! Je n’ai jamais essayé ! Disons que ça me tente !
– Tu ne seras pas déçu, il parait que j’encule très bien !

Et tout en me parlant, il accentue ses mouvements sur ma bite qui est prête à exploser.

– Laisse-toi aller ! Pense à ce qu’on va faire ensemble.

Je ferme les yeux. Il continue. Je sens que je vais venir. Ça y est ! La jouissance est fulgurante. Ava m’essuie avec des lingettes. Il réajuste son string, puis reprend son massage. Je me laisse faire, je plane à moitié.

Dès le lendemain, je téléphone à Ava et après avoir convenu du prix, rendez-vous fut pris à 18 heures dans un immeuble de l’Avenue de la Porte de Choisy en plein quartier chinois.

Ava m’ouvre avec un grand sourire, elle est en jeans et en tee-shirt.

– Je te présente Cheng, c’est mon boy-friend.
– Ah, bonjour !

Qu’est-ce qu’il vient faire ici celui-là ? J’espère qu’il va foutre le camp.

– Si tu veux, me dit Ava, Cheng peut participer, il est très doux, les poils rasés et il a une jolie bite.
– Non, non, juste tous les deux !
– Il va te montrer sa bite, ça ne t’engage à rien.

Cette tournure commence à m’agacer. Cheng extrait de son pantalon une bite à demi bandée. Je dois avouer que c’est tentant.

– Une autre fois ! Là on va rester tous les deux. Je n’aurais pas assez d’argent.
– Imagine, une bite dans le cul, une autre dans la bouche.
– Une prochaine fois !

Cheng se masturbe et sa queue a maintenant atteint une bonne vigueur. Heureusement que j’ai pris la précaution d’emporter que très peu d’argent liquide.

– Pour lui, je te fais demi-tarif !

Je me surprends à faire un rapide calcul mental, j’ai juste ce qu’il faut. Je me lance ou je me lance pas ? Je me lance en espérant que je ne serais pas déçu. On passe dans la chambre et on se déshabille tous les trois. Ava et Cheng sont côte à côte.

– Viens nous sucer !

Ben, oui, je suis là pour ça ! Et je commence par mettre en bouche celle d’Ava ! Quelle sensation, quand je pense que je me suis privé de ce plaisir pendant si longtemps. La texture est d’une douceur inimaginable, le goût en est légèrement salé. Quel régal ! J’essaie l’autre, celle de Cheng. Aussi douce, mais l’odeur est plus forte.

Je suis dans un état d’excitation incroyable à ce point qu’à un moment je me demande si je ne vais pas éjaculer sans avoir rien fait. Je ne sais plus où donner de la bouche avec ces deux bites qui me narguent et me provoquent, je les lèche, je les suce, je les embrasse, je les engloutis, je vais partout du gland jusqu’aux testicules et quand j’ai fini, je recommence. Gloup.

Je ne sais combien de temps a duré cette fantaisie, mais j’en ai la tête qui tourne et la mâchoire douloureuse !

– Tu veux qu’on t’encule ? Me propose Ava.

La question aurait été posée à froid, j’aurais sans doute temporisé en prétextant que je ne me sentais peut-être pas encore prêt pour ça, mais là je n’hésite pas une seconde. On me fait mettre sur le lit et je me positionne en levrette.

– T’as un joli cul ! Me confie Ava.

On en apprend tous les jours !

Ava me trifouille le trou du cul avec le doigt, merveilleuse sensation, d’autant que ce doigt ne reste pas seul, je ne sais pas combien il m’en introduit, deux, trois, je n’ai pas apporté de rétroviseur ! Il finit par les retirer. Ça y est c’est le grand moment, je sens son gland contre mon trou du cul, je m’ouvre au maximum, ça un peu de mal à entrer, on fait plusieurs tentatives et hop, ça y est c’est entré ! Pas trop agréable au début, mais il y va doucement et bientôt la gêne et la douleur passent au second plan. Je suis en train de me faire enculer pour la première fois de ma vie, et j’en suis plutôt satisfait !

Pendant que Ava me laboure le trou du cul, Cheng m’a donné sa bite à sucer. Une bite dans le cul, une autre dans la bouche, c’est quand même pas mal pour un hétéro !

Ava semble excitée par la situation et accélère la cadence provoquant dans mon cul une étrange et nouvelle sensation de plaisir et de bien-être.

Il m’a limé ainsi pendant près de dix minutes tandis que je suçais son copain. Au bout de ce temps les deux coquins intervertirent leur position, c’est-à-dire que Cheng m’enculait tandis que je suçais Ava. Ils s’excitèrent ainsi avec moi jusqu’à leur jouissance. Quant à moi je ne savais trop comment conclure, aussi commençais-je à me masturber quand Ava me fit comprendre, que cela ne la dérangerait pas d’avoir ma bite dans son cul ! Pas de problèmes, entre enculés on se comprend et on se doit être solidaires !.

Je quittais les lieux plutôt ravi, mais néanmoins avec un certain mal de cul.

Quelques jours plus tard je retrouvais Alice à l’institut. La prestation était toujours aussi agréable mais n’évoluait pas.

– Toi aller avec qui quand moi en vacances ?
– Ava !
– Ava avoir une bite !
– Je sais !
– Toi aimer les bites ?
– Ça change !
– Cheng ?
– Aussi, oui !
– Ah !

Et la foi suivante fut la dixième, ma carte de fidélité était donc remplie. La prochaine fois devait donc être gratuite.

Devait !

Parce que maintenant c’est fermé. Je suis dégouté, j’ai même pas faim, je ne sais pas quoi faire.

Et puis soudain l’idée ! J’ai le numéro d’Ava, je lui téléphone. Il (Elle) ne répond pas, je laisse un message en lui demandant de me rappeler. Puis je rentre à la maison et me plante devant la télé en regardant des conneries.

Huit jours plus tard, Ava ne m’avait toujours pas rappelé. Je compose le numéro sans y croire. Miracle : ça décroche :

– Ava ?
– Oui !
– C’est Etienne, vous vous souvenez de moi ?
– Pas du tout !
– J’étais venu chez vous pour un rendez-vous, et il y avait Cheng aussi.
– Vous voulez un rendez-vous ?
– Non, un renseignement, je cherche à retrouver Alice…
– Au téléphone, on ne sait jamais à qui on a affaire…
– Je peux passer vous voir ?
– Si vous voulez ! Mais je ne reçois que pour des rendez-vous pour des massages.

Pourquoi cet étrange changement de comportement, elle est peut-être bipolaire, la transsexuelle ?

Nous avons néanmoins pris rendez-vous et elle a insisté pour que je sois à l’heure.

Je fus donc ponctuel et Ava m’ouvrit en tee-shirt rouge et jeans. Seul son beau visage et ses cheveux longs trahissait son côté ambigu.

– Ah ! C’est vous ! Entrez, je reviens !

Elle est tout sourire, en fait elle n’a m’avait pas reconnu lorsque j’avais téléphoné.

Elle me laisse seul quelques courtes minutes, et quand elle revient elle s’est changée et s’est revêtue d’un kimono.

– Vous voulez boire quelque chose ?
– Non merci !

Et la voilà qu’il ouvre son kimono, elle porte sa main à sa bite et la fait rapidement bander. J’ai du mal à avaler ma salive.

– Ça te dit ?
– Je ne suis pas vraiment venu pour ça !
– Ça te dit ? Répété-t-il

J’essaie de me dominer ! En fait j’ai peur qu’elle profite de la situation et qu’elle ne me donne pas le renseignement que je suis venu chercher. Mais c’est vrai que sa bite me fascine.

– Je venais pour avoir les coordonnées d’Alice. Si tu me les donnes, d’accord, je te suce.

Elle s’en va dans un coin, trifouille dans ses affaires et me recopie quelque chose sur un bout de papier qu’elle me donne. J’espère que ce n’est pas bidon !

– Voilà, allez fais-moi mon petit cadeau et déshabille-toi. Je suis en forme, tu vas voir comme je vais bien enculer ton petit cul !

Un minute après j’avais sa bite dans la bouche !

Quel bonheur de sucer cette bite ! Elle un a aujourd’hui un vague arrière-gout de pipi, elle n’en est que meilleure Je joue des lèvres et de la langue, me régalant de toutes les parties de cette queue parfaite au gland magnifique.

– Tu suces bien ! Me dit Ava ! Mais ça pourrait être encore mieux, Je vais te montrer !

Il va me montrer quoi ?

Il sort alors de je ne sais où un godemiché très réaliste muni d’une ventouse et le colle sur la table, puis il sort sa langue et fait quelques mouvements à la base du gland.

– A toi !

Je fais comme il m’a montré, il me dit de ne pas aller trop vite, me corrige..

– Maintenant, suce !

Je m’applique tellement que sa bite est bientôt raide comme un bout de bois.

– Tu veux que je te la foute dans le cul.
– Oui, bien sûr !
– Mais avant j’ai envie que tu me suces la rondelle.

Il se tourne et me présente son cul dont il écarte les globes. J’avoue trouver cette rosette brune fort sympathique mais je ne m’attendais néanmoins pas, à ce genre de sollicitation.

J’approche mon visage et tente un premier coup de langue. Ça m’amuse et ça m’excite car je trouve la pratique extrêmement perverse d’autant que l’anus commence à s’entrouvrir très légèrement.

– Humm, j’adore ça me confie-t-il.

Mais il se retourne, me demande de me mettre en levrette et m’encule comme il se doit. Et pendant ce temps là je me branle comme un malade.

Je sors, un peu épuisé par cette prestation, je me pose dans un bistrot et m’empresse de composer le numéro de téléphone que m’a communiqué Ava.

Ça ne répond pas, je laisse un message… le répondeur n’est pas personnalisé.

Dix fois, quinze fois, je ne sais plus… ais-je tenté de joindre Alice et j’ai fini par laisser tomber.

Que s’est-il passé ? Je me suis d’abord persuadé qu’Ava m’avait refilé un numéro bidon, une façon comme une autre de me conserver comme client au détriment d’Alice ! Si c’est le cas, il peut toujours courir… Et puis je me suis dit ensuite qu’il y avait plein d’autres hypothèses .Peut-être ne répond-elle pas aux numéros qu’elle ne connait pas ? Peut-être a-t-elle changé de téléphone ? Peut-être a-t-elle été expulsée de France. Bref je ne saurais jamais.

Alors j’ai continué à fréquenter les instituts de massages avec des fortunes diverses, mais je ne fidélisais plus. Sans doute inconsciemment pensais-je retrouver Alice dans un autre salon ?

Et ce jour-là, je me dirige vers cet institut où je n’ai jamais mis les pieds.

– Un massage d’une heure, s’il vous plait !
– Bien sûr Monsieur, c’est Alice qui va vous masser.
– Alice ! M’exclamais-je.
– Vous la connaissez ? me demande la caissière.

Je ne sais pas ce que j’ai répondu, mais j’ai bien bafouillé.

Et voilà qu’arrive Alice ! Evidemment ce n’est pas la même ! C’est fou le nombre de masseuses qui se font appeler Alice !

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Estonius
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Mercredi 23 mars 2022 3 23 /03 /Mars /2022 14:47

Julie chez sa tante par James01
zoo

 

Julie, belle blonde de 21 ans, et venue passer une semaine de vacances chez sa tante Mado en Haute Savoie

L’idée lui était venue comme ça ! Envie de se ressourcer après un gros chagrin d’amour. Julie n’avait pas vu sa tante depuis quatre ans, cette dernière l’accueillit chaleureusement et le soir après un bon repas bien arrosé, vint le moment des confidences.

Mado est une femme de cinquante ans, bien conservée et toujours souriante, divorcée depuis quelques années, et fâchée avec la moitié de sa famille, sans doute en raison de sa réputation assez sulfureuse

– C’est toi qui a rompu ou c’est lui ? Demande Mado à sa nièce.
– C’est elle !
– Une femme ?
– Ben, oui ! J’espère ne pas te choquer !
– Pas du tout, j’ai moi-même eu quelques aventures féminines

Elle parlèrent ensuite d’autre chose, mais au moins les choses étaient claires.

Le lendemain matin, accompagnée de sa nièce, Mado en short et tee-shirt va promener Wolf, un superbe chien, au museau très pointu, toujours humide. Julie est vêtue d’une jupette de tennis, et d’un petit haut sans manche, fermé par deux boutons.

A l’entrée du sous-bois, Julie trébuche sur une racine, et s’affale, se retrouvant sur le dos, jupe relevée jusqu’à la taille. Elle reste un petit moment dans cette position.

– Dis donc, petite vicieuse, remarque Mado, tu n’as pas de culotte, et je vois un joli minou tout épilé.
– Il est joli, hein ?
– Je le caresserais bien !
– Vas-y tantine, tu as ma permission

Mado se penche sur sa nièce, et parcours son entre jambe d’une main experte forçant Julie à écarter ses cuisses.

– Dis donc, qu’est-ce que tu mouilles !
– Hi ! Hi !

Mado fait rouler un doigt sur le clitoris de Julie, ce qui lui provoque un agréable frisson.

– Oh, Tata, qu’est-ce-que tu me fais ? C’est bon !
– Petite vicieuse ! J’adore ton minou !

Mado caresse la chatte, frottant les lèvres les unes contre les autres, les ouvrant pour glisser un doigt, puis revient sur le clitoris. Elle attend que sa nièce soit en surchauffe. Elle veut que Julie la supplie. Après, elle sera à elle.

– Tu veux qu’on fasse quelque chose de très cochon ? Lui demande Mado.
– Tout ce que tu veux, tantine !.
– Wolf, appelle Mado, viens voir ta maîtresse.

Le chien, obéissant, déboule en remuant la queue.

– Viens mon chien, cette petite pute a envie de se faire lécher la fente
– Non, tantine, pas ça, tu es folle !
– Calme toi, ma chérie, dit Mado. Il ne va pas te faire du mal, il et doux comme un agneau. Allez Wolf, avance.
– Non, non !
– Essaie, ça ne va pas te tuer ! Je le fais bien, moi !
– Bon d’accord, mais je ferme les yeux !

Le museau du chien entre légèrement dans le sexe de Julie, ce qui lui provoque des gémissements de plaisir. La truffe humide, frotte contre le petit bouton d’amour de la nièce. Elle cambre son bassin.

Mado se met à genoux derrière Julie, assise sur ses talons. Elle lui soulève le visage, et le pose sur ses cuisses. Calmement, elle défait les deux boutons, et écarte le gilet. Julie est maintenant entièrement offerte. A la tante, et au chien.

– Oh ma nièce ! S’exclame Mado, quels jolis seins !

Avec le pouce et l’index de chaque main, elle saisit les bouts, les fait rouler, les étire, arrachant de petits cris à Julie.

– Ma tante, tu vas me rendre folle !

La truffe de Wolf continue sa progression. Elle est largement entrée dans la chatte de Julie. Il fouille le vagin de sa langue râpeuse. De temps en temps, il la sort puis recommence, faisant sangloter de plaisir la jeune femme.

– Tata, tata, je vais jouir, ah !.ah ! ah ! Dis à ton chien de continuer ! Ma petite chatte est toute mouillée, oui… oui… oh, quel pied
– Tu vois, répond Mado, tu t’es régalée, hein ? Tu veux qu’on recommence ?

Julie se redresse et regarde le chien finir de lécher sa mouille. Elle entrevoit entre ses pattes, le sexe de Wolf, tout rouge, décalotté sur quatre ou cinq centimètres.

– Mais, tantine, il va me pénétrer ? S’affole Julie. Quel bite, il a, c’est impressionnant !
– Je suis sûre que t’as envie de la sucer !
– Sucer la bite d’un chien ? Je ne sais pas trop…
– Regarde, je vais le faire !

Mado s’allonge sous le chien et lui attrape la bite qu’elle embouche sans hésiter une seconde, du liquide poisseux s’écoule, la tante s’en régale.

– Tantine, t’es une cochonne !
– T’as envie de faire pareil ?
– Peut-être…
– Alors prend ma place.

Julie s’allonge à son tour, après une petit moment d’appréhension, elle met à son tour la bite de Wolf dans sa jolie petite bouche. Elle cesse après quelques minutes.

Julie Wolf
Les deux femmes s’embrassent profondément.

– On fait une belle paire de cochonnes ! Dit Mado.
– Tu te rends compte de ce que tu m’as fait faire ?
– Je ne t’ai pas obligé !
– Quand même, sucer la bite d’un chien ! Je suis vraiment salope !
– Si tu le dis… Tu recommenceras ?
– Bien sûr, tantine.
– Alors tout va bien ! Il faut que je fasse pipi ! Ça ne te gêne pas que je pisse devant toi !
– Oh, non, Tantine, au contraire !
– T’es vraiment vicieuse, mais je ne vais pas te décevoir.

Mado se débarrasse de son short laissant apparaitre un joli minou tout lisse.

– Oh, que tu as une belle chatte, Tantine !
– Tu va pouvoir la lécher, mais seulement quand j’aurais pissé !
– Humm

Mado s’accroupit et laisse échapper un joli filet jaune.

– Alors c’était joli ? Demande la tata.
– Hum, je vais te nettoyer tout ça !

Mado se couche sur le dos, et Julie vient de sa petite langue nettoyer les gouttelettes de pipi. Evidemment, elle ne s’arrête pas en si bon chemin et lape la chatte de sa tante pendant quelques minutes avant de cibler le clitoris et de l’emmener au plaisir.

– Lèche moi derrière, maintenant ! Dit Mado en présentant son cul à sa nièce.et en écartant ses grosses fesses.

Julie approche sa langue du petit œillet brun.

– Il est comment mon trou du cul ? Il sent bon !
– Une très légère odeur de merde, mais ça en me dérange pas, j’aime bien !
– Quelle vicieuse tu fais !
– Oui tantine !

Le soir, les deux femmes dinèrent en tête à tête, Wolf étant couché sous la table.

– Tu sais qu’il y a mon fils qui vient demain ?
– Kévin ? demande Julie. Voilà un bout de temps que je ne l’ai pas vu. Ça lui fait quel âge maintenant ?
– Il va avoir dix-neuf ans, répond Mado, Il est toujours aussi mignon et il a une belle bite !
– Ah bon ? Il se met à poil devant toi ?
– On peut dire ça comme ça…
– Qu’est-ce que tu me cache, tantine ?
– Rien, je ne voudrais pas que tu me prennes pour une dépravée…
– Mais non, tantine ! Je crois que j’ai compris, tu l’as un peu branlé, c’est ça !
– Un peu branlé, un peu sucé…
– T’es vraiment coquine, tata !
– Je suis contente que tu le prennes comme ça !

Elles arrivent au désert.

– Qu’est-ce qu’il t’arrive ma chérie, pourquoi tu gigotes ? demande Mado.
– C’est Wolf, murmure Julie. Ce chien est trop vicieux… ah, ah, ah !

Mado se penche sous la table.

– Il t’a adopté ! Si tu veux je vais l’enfermer dans la buanderie.
– Non, tata, laisse-le faire, c’est trop bon!

Wolf lèche la chatte et le clitoris de Julie. Elle est totalement soumise au chien. Elle ouvre son petit haut, et se caresse les seins, insistant sur les bouts. Elle glisse sur la chaise, avançant son bassin pour mieux se faire pénétrer par la langue de Wolf.

– Hou, hou.., tantine, je vais venir ! Comme il me lèche ce salaud, quelle langue il a.!

Julie prend la tête du chien à pleine main, et la maintien contre sa mounette.

– Je viens encore, tata, oui, oui !

Une fois fini, le chien quitte le dessous la table en se léchant les babines et va se coucher.

– Je vais m’allonger cinq minutes, dit Julie, épuisée.
– Vicieuse va. Allez, moi aussi je vais me coucher. Tu viens Wolf ?

Une fois dans la chambre, Mado se déshabille.. Elle se regarde dans la glace, et se trouve encore très belle et désirable. Wolf glisse son museau entre les fesses de Mado.

– Wolf, tu me fais la chatouille, voyons !

Mado s’assied sur le lit, jambes écartées. Avec deux doigts, elle décalotte son clitoris, et écarte sa chatte.

– Viens faire du bien à ta maitresse ! Ordonne-t-elle.

Wolf a été dressé pour ce genre d’activité. Au dire de Mado, son instinct de mâle est supérieur à l’homme dans ce domaine. Un véritable expert

– Mon chien, fouille bien ta maitresse, lèche mon petit bouton, vas-y mon toutou, joue avec moi. Ha.. ha.. oui. Oui, je joui.

Wolf, avec sa langue pointue, explore la chatte de Mado, lui arrachant des cris de plaisir. Il lèche le bouton. Mado n’en peut plus. Elle se retourne, et offre sa croupe à son amant à quatre pattes. Wolf, son sexe entièrement sorti, monte sur le dos de Mado. Elle écarte sa chatte, et se fait prendre par son chien. Elle pousse un râle de plaisir.

– Vas-y mon gros toutou ! Gémit-elle, bourre bien ta maitresse.

Wolf, tire la langue de bonheur. Il accélère ses va-et-vient dans la chatte de Mado. Ce sont des cris de plaisir qui sortent de sa bouche.

– Oh putain, comme tu me baises, salaud, vas-y, régale-moi.

D’un coup, le chien couine, et se couche sur la moquette, entrainant Mado, toujours prise par la queue de Wolf. Le chien est en phase d’éjaculation. Mado est obligée d’attendre qu’il ait fini de se vider dans sa chatte. Au bout d’un moment, Wolf se retire. La sortie est douloureuse. Mais tant pis, le reste était tellement bon. Wolf se lèche la queue et les testicules, puis, il s’approche et prend la chatte de sa maitresse à coups de langue, comme s’il voulait la nettoyer. Mado s’abandonne, entièrement soumise. Elle le prend par le cou, et l’embrasse.

– Mon chien, mon amant, comme tu me rend heureuse ! Reposons-nous maintenant.

Le lendemain matin, elle est réveillée par la truffe humide de son chien contre son petit trou.

– Ah non, dit-elle, assez, il y a Kévin qui va arriver. Il faut que je fasse un peu de ménage…

Wolf jappe, comme s’il avait compris. A dix heures, Kévin sonne à la porte.

– Bonjour maman, salut Wolf. Oh, mais qui est là ? Julie, ma cousine préférée. Comme tu as changé !
– Je vais préparer un café, dit Mado, pendant ce temps, installez-vous sur le canapé.

– T’es toujours aussi mignon ! Lui dit Julie.
– Et toi tu es vachement sexy. Tu sais que tu m’excites ?
– Sans blague ? Tu ne vas pas me dire que je te fais bander.
– Ben si !
– Menteur !
– Tu n’as qu’à vérifier !
– Fais gaffe, je suis capable de le faire, mais ça risque de nous entrainer un peu loin.
– Je prends le risque.
– Tu l’auras voulu !

Et Julie lui pose la main sur la braguette, constatant la bosse qui s’y est formée !

– Eh ben, je ne pensais pas te faire un effet pareil !

Julie ouvre la braguette du jeune homme, fait se faufiler la main à la recherche de la bite qu’elle finit par extraire. Elle la masturbe un petit peu avant d’y porter ses lèvres.

Mado revient avec le café et est surprise par le spectacle.

– Ben faut pas vous gêner tous les deux ! Là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir

Devant tant d’érotisme, Mado sent la chaleur envahie ses entrailles. Sa chatte devient humide. Wolf l’a senti. Il faufile son museau sous son déshabillé, et commence à lécher sa maitresse.

– Maman ! Viens donc jouer avec nous ! Lui propose Kévin
– Oui viens tata ! Ajoute Julie
– J’arrive, mais je vais ranger le chien ! Répond Mado.
– Mais non, laisse le tranquille répond la jeune femme

Wolf est le premier en action. Il fourre son museau contre la chatte de Julie, et la pénètre avec sa langue, frottant le clitoris du bout de sa truffe.

– Quel vicieux ! Gémit Julie, comme il me fouille. Tata, viens que je te caresse.

Mado se débarrasse de son déshabillé et fait admirer sa poitrine à sa nièce

– Oh, les beaux nénés ! Ne peut s’empêcher de s’exclamer Julie, admirative.

Celle-ci se jette dessus bouche en avant et fait rouler les gros tétons avec le bout de sa langue. Mado se laisse faire un moment puis s’arrange pour poser sa chatte sur la bouche de sa nièce.

– Vas-y, petite pute, ordonne Mado, lèche-moi bien le bouton.

Wolf de son côté lèche les couilles de Kévin, remontant jusqu’au gland, entièrement décalotté.

– Wah, comme il me lèche ! Soupire Kévin. Que c’est bon !

Wolf fait courir sa langue de la base des couilles jusqu’au bord du gland. Kevin sent qu’il va jouir. Des petits jets de sperme gicle du méat, et retombe sur le ventre du jeune homme. Wolf avance son museau, et lèche la semence.

Mado ne peut retenir l’orgasme que lui provoque sa nièce. Elle inonde la bouche et le visage de Julie. Kévin se met sur le côté, à genoux, prenant appui sur ses mains. Mado en profite pour lui saisir ses testicules.

– Mon fils, dit-elle, j’adore te tripoter les couilles !
– C’est bon maman, dit Kévin. Mais laisse-moi te baiser…

Julie, à quatre pattes sur la moquette, se fait prendre par Wolf. Le chien a posé ses pattes avant sur les flancs de Julie. En gémissant, il commence ses va-et-vient.

– Tu veux que je lui dise d’arrêter ? Demande Mado.
– Sûrement pas, c’est trop bon ! Ce chien, comme il me nique, ce salaud ! Quel mâle ! J’ai envie de le sucer après. J’ai envie d’être salope !

Le chien finit par se retirer mais bande toujours, Mado et Julie se jettent spontanément sur sa bite et se mettent à lui lécher alternativement.

– Vous êtes vraiment des belles salopes ! Commente Kévin !
– Jaloux ! se moque Mado

La tata se relève, mais c’est pour se mettre à quatre pattes.

– Viens mon fils, viens enculer ta mère !
– J’arrive Maman !

Le jeune homme approche sa bite du petit œillet fripé de sa mère et la sodomise en cadence. Le chien tourne autour du couple, Il approche son museau du fessier de Kévin, puis pris d’une impulsion subite, il l’encule !

– Et moi je fais quoi ? Demande Julie.
– Va refaire du café, on en aura besoin !
– Ah bon ? Je vais aller pisser d’abord !
– Pisse-moi dessus, ma chérie ! Pisse-moi dans la bouche !

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : James
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Samedi 19 mars 2022 6 19 /03 /Mars /2022 14:37

Felicity et Bérangère par Sylvain Zerberg – 2 – Perversions décomplexées

 stamp rousse

J’en étais là de mes réflexions quand Felicity, la clope au bec s’approche de moi avec un sourire craquant.

– Toi, tu es un petit cochon, tu m’as enculé deux fois, c’était très bon !
– Pour moi aussi c’était bon ! Répondis-je en lorgnant sur ses beaux nichons, il y a des choses dont on ne se lasse jamais.
– Je peux te demander une petite fantaisie qui me ferait plaisir ?

Je m’attends au pire !

– Dis-moi !
– Je voudrais que tu me pisses dessus !

C’est pas vrai que ça recommence ! Et au lieu de faire une réponse intelligente, je réponds n’importe quoi :

– Et j’ai quoi en échange ?
– Ce que tu veux ! Je t’offre mon corps, je n’ai aucun tabou !

Je suis comme un con, je ne sais plus quoi lui répondre.

– T’as le droit de réfléchir, rien ne presse ! Alors tu viens me le donner ce pipi ! Insiste-t-elle en me prenant la main et me tirant vers la salle de bain.

– Mais j’ai pas envie !
– Tu peux toujours essayer.

Mais qu’est-ce qui m’arrive ? Alors que ce matin je me révoltais, là je me laisse trainer comme un toutou. Felicity s’est accroupie dans le carré à douche après avoir laissé couler l’eau du lavabo, il parait que ça aide. Je ferme les yeux, j’attends que ça vienne, ça finit par venir, le jet part, l’anglaise s’arrange pour qu’il atterrisse dans sa bouche. Je me demande quel gout ça peut avoi ?

Une fois l’affaire terminée, je quitte la salle de bain sans un mot et je me rhabille. Les filles ont fait la même chose, on a joué aux cartes en buvant des bières et on est allé se coucher.

J’ai mal dormi, et le matin j’avais pris une résolution qui n’avait plus rien à voir avec celle de la veille. Si vraiment ma sœur veut que je la baise, et bien je vais la baiser, ça sera fait et on n’en parlera plus !

Je me suis levé, douché rapidement, habillé tandis que les deux donzelles roupillaient encore comme des bienheureuses, puis je suis descendu chercher des croissants, J’adore les croissants bien chauds !

– Ben Monsieur Sylvain, vous m’avez l’air fatigué ! Me dit ma jolie boulangère.
– J’ai mal dormi.

J’aurais bien continué la conversation, mais il y avait du monde derrière moi, le monde est mal fait.

Quand je suis rentré, les filles avaient quitté le lit et occupait la salle de bain. Je fis donc « partir » le café.

Et voilà qu’elles sortent, Bérangère dans mon peignoir, Felicity emmitouflée dans une grande serviette de bain. Ces demoiselles sont pudiques, ce matin ! Mais à mon avis elles ne vont pas le rester longtemps.

Felicity réclame de la confiture ! J’avais oublié que les Anglais ne petit-déjeunent pas de la même façon que nous. Alors allons-y pour la confiture, je suis sûr qu’après elle va me demander de lui faire cuire un œuf !

L’anglaise laisse tomber sa serviette de bain ! Qu’est-ce que je disais ? Elle commence par enduire des bouts de croissant avec la confiture avant de les déguster… Puis sans crier gare, la voici qui avec sa cuillère remplie de confiture s’en badigeonne le téton.

– Un peu de confiture, Sylvain ? Me propose-t-elle en m’exhibant son sein au cas où je n’aurais pas compris.

Donc, ça y est, c’est parti, je lèche le néné de l’anglaise et je commence à bander !

– A moi de jouer ! Intervient Bérangère, qui se barbouille la chatte de confiture.

Je n’ai même pas hésité et commence à lécher tout ça, mais elle interrompt le jeu assez rapidement.

– Tss, tss c’est à toi de jouer maintenant !
– Comment ça ?
– Ben je ne sais pas, moi, mets-toi de la confiture sur la bite !

Sont complètement barges !

– Allez quoi ? Me presse l’anglaise !

Je n’ai pas non plus envie de tacher mes fringues, je me déshabille prestement et enduit ma bite de confiture.

Felicity approche sa bouche et commence à faire le ménage.

– Il y a en a de trop, viens m’aider Bébé !

Bébé c’est donc le nouveau diminutif de Bérangère, c’est idiot, non ?

Mais là n’est pas le plus important, parce qu’en ce moment je suis en train me faire sucer la bite par ma sœur, et je me laisse faire.

Quand la confiture fut absorbée, les deux filles abandonnèrent leur fellation dégustatrice en rigolant comme des bossues.

On fait quoi maintenant ? Je bande comme un cerf et j’ai devant moi deux gazelles qui ne demandent qu’à s’envoyer en l’air.

– Je crois que Bébé aimerait beaucoup que tu l’encules ! M’informa Felicity
– Oh, oui s’il te plait ! Confirma cette dernière.

J’hésitais un peu ! Ma sœur se mit alors en levrette, le cul cambré, exhibant tous ses trésors en écartant ses fesses de ses mains.

– Allez viens ! La sodomie ce n’est pas de l’inceste !
– Hein ?
– Tu réfléchiras à ça si tu n’arrives pas à dormir ce soir, c’est un bon sujet de philo, en attendant viens m’enculer !

Toutes mes inhibitions avaient maintenant disparues. J’entrais facilement dans son conduit anal. Ma frangine avait dû se faire ramoner un certain nombre de fois pour avoir le passage si facile.

Alors je pilonne, je pilonne…

– T’aimes ça te faire enculer par ton frère, Hein salope !
– Continue, va bien au fond, ah, aaaaah ! Bourre-moi bien.

Je sens que l’affaire ne va pas durer longtemps, d’une part la sœurette est en train de râler comme une possédée et moi je sens que je ne suis pas loin du plaisir.

Quand Bérangère laissa libre champ à sa jouissance, j’accélérai afin de jouir à mon tour. Une fois la chose faite, je me retirais, la bite gluante de sperme et tachée de traces de merde. Sans trop réfléchir, je déposais un peu de ces pollutions sur la rosette de ma sœur puis me reculait. Felicity se précipita alors pour lécher tout cela avec gourmandise. Elle procéda ensuite avec une gloutonnerie non feinte, au nettoyage buccal de ma bite, son état ne la dérangeant pas le moins du monde.

Je me fis alors la réflexion que l’on s’approchait l’air de rien de la scato, d’autant que l’anglaise avait l’air de s’y complaire.. Bizarrement cela ne me choqua pas plus que ça.

Felicity sollicita ensuite Bérangère afin qu’elle la fasse jouir à son tour. Elles ne s’arrêteront donc jamais !

Et sur ces entrefaites, les deux donzelles s’habillèrent et partirent faire les touristes, au programme, Tour Eiffel, le Louvre et je ne sais plus quoi.

Me voilà tranquille jusqu’au soir. Elles m’ont téléphoné qu’elles dineraient au restaurant, j’ai donc cassé la croute tout seul et j’ai fini la soirée en pyjama en écoutant de la musique tout en lisant un bon polar.

Et les voilà qui rentrent, me disent qu’elles sont crevées, qu’elles vont se coucher et m’invitent à mettre un casque pour écouter ma musique.

Dix minutes après j’entendais d’étranges gémissements. Je retirais mon casque et pointait un regard interrogateur en direction des deux copines qui étaient pas du tout en position de s’endormir.

– Ne t’inquiète pas, c’est seulement ta salope de sœur qui vient de m’enfiler son petit godemichet dans le cul, et cela me fait beaucoup de bien ! Tu devrais essayer, c’est bon !
– Essayer quoi ? Demandais-je faisant semblant de ne pas comprendre.
– Oh ! Oui ! Oh oui ! On va lui mettre dans le cul ! S’exclame Bérangère.
– Certainement pas !
– Mais si faut tout essayer ! Tu n’as pas confiance en nous !

Je me demande quoi dire et quoi faire mais déjà ma sœur s’est levée, m’a descendu mon pantalon de pyjama et m’a écarté les fesses, Felicity approche le godemichet de mon anus après l’avoir recouvert d’un préservatif.

Je les laisse faire en me disant que ça ne va jamais entrer, mais ça entre ! Me voilà rouge de confusion d’autant que Felicity l’enfonce maintenant aux trois quarts de sa longueur.

– Retirez moi ça, ce n’est pas drôle !
– Mais si ! Répond Felicity

Et elle fait bouger l’objet dans ma cavité rectale, et là il se passe quelque chose, le sentiment de gêne et de rejet s’éloigne pour faire face à une sensation qui finit par ne plus être désagréable du tout.

FelicityJe crois que je viens de découvrir quelque chose. Du coup je m’excite et commence à me branler toujours avec le machin dans le trou du cul. J’éjacule prématurément, le sperme gicle sur les seins de Felicity que Bérangère vient lécher avec gourmandise.

– C’est malin, proteste cette dernière, tu aurais pu te réserver pour nous !
– On ne fait pas toujours ce qu’on veut !

Ces deux sacrées femelles avaient-elles donc décidé de me rendre dingue ? Mais je n’étais pas encore au bout de mes surprises.

Le lendemain les filles qui se levèrent fort tard, avaient prévu une nouvelle journée de tourisme.

Felicity était dans la salle de bain et je ne sais quel démon m’y fit entrer à mon tour.

– Tu viens me voir ? Demanda-t-elle
– Je cherche mon briquet ! Improvisais-je
– Je vais pisser, tu veux regarder ?

Mes inhibitions en la matière ne devaient pas être bien fortes, puisqu’elles avaient disparues.

L’anglaise s’installa, pieds sur la cuvette afin que je puisse bien voir et m’offrit le spectacle charmant de son petit pipi s’échappant de sa jolie chatte rose.

– Hum, je crois que je vais faire caca ! Annonça-t-elle avec un naturel désarmant.
– O.K. je te laisse.
– Mais non regarde !
– Non, non !
– Tu n’as jamais regarder une fille en train de chier ?
– Ma foi non ?
– C’est très joli, moi j’aime bien quand Bérangère chie devant moi ! Ce matin elle a fait un très joli boudin.

C’est bien ce que je pensais, ces deux nanas sont complètement givrées. Mais pourquoi est-ce que je bande comme un taureau ? Je me dis alors que je peux toujours commencer à regarder et que si le spectacle me répugne, je la laisserai terminer

– O.K. j’essaie de regarder, mais ne m’en veut pas si je me sauve.

Felicity change de position, toujours les pieds sur la cuvette, mais tournée vers le mur, ses belles fesses devant mes yeux. Son anus s’ouvre, quelque chose de marron demande à sortir. Je suis dans un état second, comme pétrifié, l’étron sort, compact et brun puis chute dans l’eau de la cuvette.

J’ai donc « survécu » à cette épreuve que je me suis plus ou moins infligé. Je n’en suis pas devenu scatophile pour autant. Contrairement à Felicity parce que le spectacle n’était pas tout à fait terminé.

La coquine au lieu de prendre du papier pour s’essuyer, porte ses doigts à son cul, puis se les lèche avec un air vicieux.

– Tu veux m’embrasser ?

Je me sauve, mais j’entends encore son rire ! Quelle belle salope !

Elles avaient laissé le godemichet sur le bord du canapé, je ne résistais pas à la tentation de me faire du bien en me l’introduisant dans le cul, tout en me faisant une bonne branlette. Il me vint alors une pensée que je chassais très vite avant qu’elle ne revienne m’obséder : Si une bite en plastique peut donner du plaisir, qu’en est-il d’une bite de chair bien vivante ?

Je me couchais avant que les filles ne soient rentrées, elles m’avaient prévenu qu’elles souhaitaient terminer la journée en boite ! Grand bien leur fasse !

Le matin, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir que le lit était occupé par trois personnes. Un mec, d’une quarantaine d’année sans doute, était couché entre les deux nanas. Gonflées quand même d’amener quelqu’un chez moi sans me prévenir. Peut-être me dis-je ont-elles l’intention de faire une partie carrée ? Cela doit faire un drôle d’effet que de voir sa propre sœur se faire sauter par un mec !

J’attends que ce petit monde se réveille et bon prince, lorsque je descends à la boulangerie je prends un croissant supplémentaire.

Sur le chemin, je reçois un coup de fil de mon associé, rien de grave, mais un truc assez compliqué ce qui fait que la communication dure assez longtemps.

Quand je rentre, Felicity et l’inconnu sont debout, je suppose que Bérangère est dans la salle de bain.

– Je te présente Henri.

Je lui tends la main, mais le mec m’embrasse sur la joue, c’est quoi ces familiarités ? Et voilà que la serviette qui lui ceint les reins dégringole, dévoilant une bite de bonne taille, mais au repos.

Voyant cela, l’anglaise la prend dans ses mains et la masturbe ! Faut surtout pas se gêner, ça devient un vrai bordel ici !

– Tu trouves qu’elle est belle ? Me demande la rousse.
– Une bite, c’est une bite !
– Oui mais il y en a qui sont plus belles que d’autres !

En vérité je n’arrivais pas à dissimuler mon trouble et je cherchais une réponse pour me tirer de cette situation gênante quand Bérangère qui était dans l’embrasure de la porte la salle de bain en ajouta une couche.

– Suce-le ! Dit-elle. Tu n’en mourras pas
– Non, ce n’est pas mon truc !
– Tu n’en sais rien, tu n’as jamais essayé.
– Peut-être un jour, mais pas aujourd’hui !
– Ça m’aurait fait plaisir de voir ça !
– Non !
– Juste un peu !

Un regard sur ce bel organe, magnifiquement bandé, la peau diaphane parcourue d’une jolie veine bleutée, le gland luisant… Dans un état second je me retrouvais avec cette merveille dans ma bouche et en testait le goût. C’était doux, musqué, envoutant. Je me surpris à m’appliquer à cette première fellation, puis d’un coup je me relevais, me demandant ce que j’étais en train de faire.

Felicity me félicita ce qui d’une part m’empêcha de culpabiliser mais aussi de réfléchir.

– Si on le suçait à deux ? Me propose-t-elle.

Je ne pouvais décemment refuser d’autant que cette proposition avait le mérité de gommer quelque peu le côté gay de la chose.

Felicity et moi nous nous refilions la bite d’Henri chacun à notre tour. J’étais comme dans un rêve, mais n’était pas au bout de mes surprises.

– Les garçons ! Si vous faisiez une bite au cul ?
– Ça te dirait ? Me demande le zigoto.
– Bien, sûr que ça lui dit ! Il s’est déjà pris des godes…

C’est sans trop réfléchir que je me mis alors en levrette, et acceptait de recevoir dans mon intimité cette bite qui allait me sodomiser.

Le gars était doux et intentionné, il m’encula comme un dieu, je n’eus comme exigence que de lui demander de se revêtir d’une capote.

Quand il eut joui, il décula me laissant mon cul béant, mais content. Je venais de me faire enculer et n’en éprouvait ni honte ni remord, j’étais même assez fier d’avoir transgressé un tabou ! Bérangère était allongée sur le canapé et se masturbait.

– Maintenant si tu veux me baiser, je suis prête ! Me dit-elle.
– J’arrive, petite sœur !

Et là il se passa quelque chose que je n’ai pas bien compris… Certes l’invitation de ma sœur à la baiser était excitante en soi. Sa pose était obscène, ses seins étaient magnifiques, son regard était vicieux, Et ne parlons pas de sa bouche experte qui s’empara de ma bite afin de la sucer comme il se doit.

Mais pendant sa fellation, mon esprit était ailleurs ! L’image de la magnifique bite de Monsieur Henri revenait en boucle dans ma tête sans que j’arrive à m’en détourner.

Quand Bérangère relâcha son étreinte buccale, je la pénétrais sans passer par la case « préliminaires ». Et je m’agitais tant et si bien que j’éjaculais après moins d’une dizaine de va-et-vient.

– Ben, qu’est-ce qu’il t’arrive, c’est l’émotion ?
– Ce doit être ça ! Balbutiais-je.

N’empêche que j’avais été infoutu de faire jouir ma sœur, alors dans un grand élan de tendresse, j’ai pointé ma langue sur son intimité et après avoir léché ses sucs, je titillais son clitoris. Elle fut un petit peu longue à venir, mais elle vint.

Ayant joui, ma libido était redescendue à la cave. L’image de la bite de Monsieur Henri était partie de mon esprit. D’ailleurs où était-il passé celui-là ?

– Il a été appelé au téléphone, il a dû partir précipitamment. Pourquoi ? Tu voulais le revoir ? Me demande Felicity avec un œil coquin
– Non je demandais ça comme ça, il aurait pu dire au revoir !
– Il n’a pas voulu vous déranger.
– Vous allez le revoir ?
– Ce n’est pas prévu, c’est juste un coup de rencontre. Pourquoi tu demandes ça ?
– J’en sais rien, faut que je réfléchisse.

Avec tout ça, on n’a pas bouffé les croissants, je fais réchauffer du café. Felicity s’assoit devant moi, Bérangère nous rejoint un peu vaseuse.

– On dirait que Sylvain à de la peine qu’Henri soit parti ! Lui dit Felicity.
– C’est vrai, ça ? Me demande ma sœurette
– N’importe quoi !
– Non ce n’est pas n’importe quoi, reprend l’anglaise, tu as aimé lui sucer la bite et la prendre dans le cul. Le souci c’est que tu ne veux pas te l’avouer !

Elle m’énerve, elle m’énerve !

– Et alors ! C’était un coup de folie ! Les coups de folies ça arrive ! C’est pas pour ça que je suis devenue pédé, d’ailleurs j’ai baisé ma frangine.
– Hi ! Hi ! se marre cette dernière.

Et voilà les deux donzelles qui se mettent à échanger en anglais, c’est très pointu et je n’y comprend pas grand-chose sauf qu’il est question de sexe.

– Le sexe doit être une fête ! Reprend Felicity, cette fois en français, il y a des gens qui passent leur temps à expliquer aux autres que s’ils sont comme ci comme ça, c’est parce que dans leur enfance blablabla… Y’en a marre à la fin ! Si t’es pédé faut expliquer, si t’es bisex faut expliquer, si tu aimes le pipi-caca faut expliquer. Mais merde à la fin. Par contre hurler comme un dingue dans un stade de foot, pas besoin d’expliquer, ce doit être naturel. Le sexe doit rester simple, s’il y a un truc qui te plait et si tu n’as fait de mal à personne, tu n’as besoin d’aucune justification. T’as aimé sucer la bite d’Henri, alors si tu veux un conseil, un seul ce sera celui-ci : Si ça t’a plu, recommence !.

Ouais, j’avoue que ce n’est pas complètement idiot ce qu’elle raconte.

– Et comment veux-tu que j’assume ce genre de chose ?
– Ça mon vieux tu te débrouilles, mais dis-toi bien une chose, c’est souvent l’occasion qui fait le larron. Et puis je vais te dire un truc, des hommes bisexuels en puissance, il y en a plein, mais ceux qui l’avouent sont rares. Mais quand tu enfonces le doigt dans le cul d’un mec et que ça lui plait, ça veut souvent dire que dans ses fantasmes secrets, c’est autre chose qu’un doigt…

Un peu facile, je trouve, mais ça fait réfléchir.

– Dis voir, tu n’aurais pas un martinet ou une cravache ? Me demande-t-elle à brule pourpoint

L’art de changer de conversation.

– Non, j’ai pas ça, pourquoi ?
– J’ai promis une fessée à Bérangère, et j’aime pas faire ça à mains nues. Une grande cuillère en bois peut-être ?

Ma sœur, à poil, s’est arcboutée devant l’évier, l’anglaise lui tape sur les fesses en cadence en ponctuant sa flagellation de gentillesse en anglais :

– Slut, whore, bitch !

– Bientôt le postérieur de Bérangère devient rouge comme une pivoine. Elle couine, elle trépigne, elle gémit, mais elle reste en place alors qu’elle pourrait se dégager.

Felicity finit par poser la cuillère, Bérangère se retourne, les deux femmes se roulent un patin d’enfer.

Quelques jours plus tard, Felicity me fit cette étrange proposition.

– J’ai parlé de toi à mes parents, je leur ai dit que tu étais super sympa, tout ça. Du coup ils aimerait bien te voir. Mon frère aussi d’ailleurs.
– Pourquoi pas, on en reparlera ! Répondis-je peu emballé !
– Pourquoi attendre, nous on va rentrer en Angleterre, tu n’as qu’à nous accompagner, ça ne fait jamais que trois heures de train !
– Je ne sais pas…
– Tu sais, mon frère il a une très joli bite et il aime se faire sucer !

Qu’entends-je ?

J’ai failli être choqué avant de réaliser qu’en matière d’inceste, je suis assez mal placé pour faire des reproches.

– Parce que… avec ton frère…
– Ben oui, avec mon frère !
– Bon O.K., je viens avec vous.

A la gare de Saint-Pancras une voiture nous attendait et nous conduisit chez les parents de Felicity.

Ceux-ci nous attendent en rang d’oignons dans un grand salon. On fait les présentations

– Ma mère Maggy, mon père William et mon frère David.

Tous ces gens-là baragouinent un peu en français. La conversation commence de façon convenue « Vous avez fait bon voyage, vous voulez boire quelque chose, quel temps fait-il à Paris… » Et puis les choses sont vite devenues plus crues.

– Felicity nous a dit que vous étiez un petit cochon ! Me sort le père William.
– Cochon, je ne sais pas, un peu coquin je préfère.
– Nous aussi nous sommes un peu coquins. Me répond-il
– Y’a pas de mal à se faire du bien ! Rétorquais-je dans un grand élan philosophique.
– Tu le trouves comment mon frère ? Intervient Felicity.

Je me sens un peu mal à l’aise…

– Charmant, bien sûr !
– Et encore tu n’as pas vu sa bite !

Oh ! là !

– David, montre ta bite à Sylvain ! Lui demande sa mère.

Je rêve ou quoi ? Toujours est-il que le frangin baisse pantalon et caleçon et m’exhibe devant mes yeux incrédules un jolie bite demi-molle.

– On va la faire bander un peu ! Dit sa mère tout en joignant le geste à la parole.

Le mec parait tout content de se faire palucher par sa maman et me lance des œillades lubriques.

– La voilà en forme, si vous voulez sucer ?
– Là maintenant ?

Je me demandais comment me sortir de cette situation insensée quand j’entends un type rentrer dans la pièce. Il n’est vêtu que d’un ridicule caleçon à pois.

– Ah ! Me dit William, je vous présente Lord Harrigton, un ami de la famille que nous avons hébergé quelques jours, mais vous pouvez l’appelez Arthur.

Le type ne semble pas du tout surpris de voir David la bite à l’air. Il doit s’en passer des belles dans cette maison. Il me serre la main.

– Enchanté, je suis un peu, comment on dit en français ? Pédale ?
– C’est assez péjoratif…
– Pas grave ! Mais j’ai l’impression que j’ai interrompu quelque chose.
– Sylvain s’apprêtait à sucer David ! Lui explique William.
– Eh bien, ne vous gênez pas pour moi, sucez, vous ne serez pas déçu.

Comment temporiser ?

– Ce serait plus cool si les garçons se déshabillaient ! Suggère Felicity.
– Oui, à poil ! Renchérit Lord Machintruc.

Ce qui signifie que si j’accepte, c’est le point de non-retour, jusqu’à présent je pouvais m’enfuir de chez ces cinglés. A poil c’est plus compliqué ! Alors je fais quoi ?

David lui se désape, il est complètement imberbe avec des gros tétons marrons. Je vais craquer. Je craque et me déshabille à mon tour.

Je suis dans un autre monde, je m’accroupis devant David, je tends ma main vers sa bite, la caresse et la branle un peu avant de le la mettre en bouche. Inutile de vous dire que je bande comme un cerf. Quelle sensation c’est encore mieux qu’avec Monsieur Henri. C’est doux, c’est chaud, c’est vivant, c’est pervers, c’est un tas de choses. Ma langue lèche, mes lèvres sucent.

Mais au bout d’un moment j’ai besoin de faire une toute petite pause, je me recule de quelques centimètres et qu’est-ce que j’aperçois ? William et Arthur la bite à l’air.

– Suce, suces les toutes ! Me dit ma sœur qui était restée fort discrète jusqu’à maintenant.

Alors allons-y, pervers pour pervers, j’embouche la bite de William, puis je passe à celle d’Arthur, avant de revenir vers celle de David, c’est quand même ma préférée.

Et puis complètement dans mon trip j’ai fini par lui demander.

– Tu aimerais me prendre !
– Oh Yes !

Un préservatif lui arrive dans la main… comme quoi tout cela était prémédité si j’en doutais encore. Je me retourne, offre mes fesses. David viens m’embrasser le trou du cul et le lèche avec sa langue, ça me fait un bien fou. Puis le doigt remplace la langue. Faut voir comment il l’agite dans mon cul, je me pâme, je suis bien je suis aux anges.

Une mini pause. Le gland quémande l’entrée, ça ne rentre pas du premier coup, mais au second c’est bon. Et voilà, pour la deuxième fois de ma vie je me fais enculer. Arthur vient devant moi et me propose de nouveau sa bite à sucer. Une bite dans la bouche, une bite dans le cul. Je deviens une vraie salope !

Ma bite est raide comme un bout de bois, mais pour l’instant c’est du cul que je vais jouir, David accélère ses va-et-vient.

– I’m going !

Il jouit en poussant un hurlement de bête fauve, et se retire me laissant le cul béant.

Je m’attends à ce que l’un des deux seniors prenne le relais. Mais non. Je fais signe à Arthur que je dois me reposer cinq minutes. Le type pas compliqué est allé se finir tout seul.

Je me reposerais plus tard car Maggy s’est avancée vers moi et m’a gobé la bite. Pendant ce temps-là Felicity suçait celle de son père, tandis que Bérangère passée derrière lui prodiguait une jolie feuille de rose.

On s’est calmé et on est passé à table, la conversation a du mal à sortir du champ des banalités. Mais voilà que Lord Arthur Harrigton, entreprend Bérangère.

– J’aurais peut-être une mission comme la fois précédente ! Lui dit-il, ça vous intéresse, my dear ?
– Il est comment ?
– Banal, la cinquantaine, rien de repoussant.
– Même tarif ?
– Yes.
– OK, vous me direz la date et l’heure !

Mais de quoi parlent-ils ?

– Je peux savoir ? demandais-je à Bérangère.
– Je vais aider Arthur à signer un contrat.
– Comment ça ? Tu ne couches pas avec le mec, quand même ?
– Ben si ! Tout le monde s’y retrouve, je suis moins chère qu’une escort de luxe et je me débrouille aussi bien.
– Autrement dit, tu fais la pute !
– On peut appeler ça comme ça, oui !

Quelle famille !

fin

Ce texte est plus ou moins inspiré de « Alison et Caroline, un hiver au paradis » par A. Huri, publié en 1998. J’en ai plus ou moins conservé la trame et vassilialisé les situations.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Samedi 19 mars 2022 6 19 /03 /Mars /2022 14:35

Felicity et Bérangère par Sylvain Zerberg – 1 – Une Anglaise très coquine
stamp rousse

 

Bonjour, je m’appelle Sylvain et j’aimerais vous raconter comment à 24 ans, ma sœur cadette avec la complicité de son amie anglaise m’ont entrainé dans une avalanche de perversions.

Mais rassurez-vous, je ne vais pas pleurer, je ne regrette rien et je me sens très bien dans ma peau.

Ma sœur qui se prénomme Bérangère est une fausse blonde de 22 ans, pas très grande mais dotée de jolies formes, Voulant perfectionner son anglais, elle est partie un an à Londres et a fait connaissance d’une dénommée Felicity. Elles sont devenues copines. J’ignorais bien évidemment jusqu’où allait leur degré de copinage.

Moi j’habite un grand studio à Paris du côté de la Place des Fêtes. Au mois de novembre, Bérangère disposant de quelques jours de vacances, me demanda si je pouvais l’héberger, elle et sa copine pendant une petite semaine.

Je possède un canapé à deux places pour coucher ces demoiselles, quant à moi je pourrais dormir dans le fauteuil ou par terre. Ça m’embête un petit peu mais je ne me vois pas leur refuser ce service.

Je gère une petite agence de publicité avec un associé, je peux donc me libérer facilement.

J’allais chercher les deux donzelles à la Gare du Nord en début d’après-midi et faisait connaissance avec Felicity, une grande bringue rousse un peu potelée, au visage malicieux constellé de raches de rousseurs, qui m’embrassa comme si on se connaissait depuis l’enfance. Une belle fille avec ce qu’il faut là où il le faut .

Une fois à la maison et après avoir bu un petit rafraichissement, les deux filles, manifestèrent le désir de prendre une douche.

– Allez-y, c’est juste là…

Et voilà que devant mes yeux écarquillés, les deux copines se déshabillent intégralement comme si je n’étais pas là.

Il y avait un bout de temps que je n’avais pas vu ma sœur à poil, et là elle me semblait plus belle que jamais avec ses jolis seins laiteux. Quant à Felicity… Quel joli brin de femme, de belles et interminables cuisses dorées, un postérieur à damner un saint et des nichons parfaits. Alors évidemment je bandais comme un cochon sous ma braguette.

J’espérais rencontrer un regard complice des nanas, mais non, je vous dis, je n’existais pas, j’étais devenu complètement transparent…

Les deux amies pénétrèrent dans la salle de bains, poussant la porte derrière elles mais sans la refermer complètement.

La salle de bain n’est pas insonorisée, pourquoi le serait-elle ? Ce qui fait qu’on peut y entendre ce qui se passe. J’entendis d’abord le bruit de l’eau, puis plus rien, l’eau à nouveau, des rires continus et puis après un quasi-silence des gémissements incongrues.

Je compris alors que ma sœur s’était convertie à l’amour goudou et que les deux donzelles étaient en train de se donner du plaisir. Imaginez l’état de ma bite ! Je me faisais déjà un mini plan : « Quand elles seront ressorties c’est moi qui irais dans la salle de bain et je me ferais une bonne branlette ! »

Bérangère ressortit la première, le corps enveloppé d’une large serviette.

– Alors grand frère, tu t’es bien rincé l’œil ?
– Fallait pas vous déshabiller devant moi !
– Parce que t’as pas remarqué que ma copine te provoquait ?
– Pas du tout !
– Elle m’a dit qu’elle te trouvait mignon ! Si tu veux la sauter, elle en sera ravie !
– Ben vl’a autre chose !
– Profites-en, elle est très gentille, très douce…
– Avec les hommes et avec les femmes ? C’est ça ?
– Très perspicace ! Se gaussa-t-elle.
– Bon, on va voir comment ça va se passer, mais c’est un peu exigu ici… Fis-je remarquer.
– Où est le problème ? Reprit ma sœurette, si vous avez envie de vous envoyer en l’air, je peux aller faire un tour ou aller bouquiner dans la salle de bain. D’ailleurs faut que j’y retourne, j’ai un ongle qui accroche.

Et quelques secondes plus tard Felicity faisait son apparition, revêtue de mon propre peignoir… mais non refermé.

– Si je te plais, on peut s’amuser un peu, toi tu me plais ! Me confie-t-elle avec son accent impossible.

Je ne pensais pas que les choses arriveraient si vite, mais quand l’anglaise me mit la main à la braguette, j’aurais été le roi des couillons de l’envoyer promener. Je lui fis donc un sourire de connivence, ce qui l’incita à me dézipper ma fermeture-éclair, puis à sortir ma bite sa cachette.

– Oh ! Joli ! Ça bande beaucoup !

Je pensais qu’elle allait me sucer direct, non mademoiselle prenait son temps et me branlait délicatement.

– Je vais tout mettre dans ma bouche ! Me prévient-elle.

Elle ne tarda pas à le faire. Le problème c’est que j’étais tellement excité que je risquais de jouir prématurément.

– Doucement, doucement ! La prévins-je

Elle me fit un coup d’œil complice, mais ne put s’empêcher de donner un petit coup de langue sur mon gland. Puis subrepticement, elle se tourna afin de m’exhiber ses jolies fesses.

– Tu veux me lécher le trou du cul ?

Une proposition pareille ne se refuse pas, j’approchais ma langue de sa rosette brune. Evidemment comme mademoiselle sortait de la bouche, au lieu de rencontrer le petit goût suave que le fait bien, je tombais sur une senteur de gel douche parfumée.

– Je peux entrer un doigt ? Demandais-je.
– Tu peux entrer plein de doigts !

J’en ai entré qu’un seul, et j’ai commencé à l’agiter frénétiquement dans son petit trou du cul. Elle a démarré au quart de tour en gémissant comme une chatte en chaleur et a réclamé un deuxième doigt. Qu’à cela ne tienne, je fais comme elle veut. Mais la voilà qui braille de plus en plus fort. Quel tempérament ! Elle piaille comme une malade. Ce n’est pas vrai que je vais la faire jouir par le cul, et si vite ? Ben si ! Elle éclate, je retire mes doigts, Elle est en sueur, les yeux dans le vague.

Elle reste quelques instants comme ça, pas trop longtemps, moins d’une minute. Et sans crier gare, se jette comme une furie dans mes bras, cherche ma bouche.

Comment, elle m’embrasse ! Une vraie sangsue mais je ne vais pas m’en plaindre !

– Tu m’a bien enculé avec tes doigts, tout à l’heure tu m’enculeras avec ta bite !
– Ce n’est pas un problème !
– Je suis une salope, une enculée et ça me plait…
– On se calme, on se calme !
– Tu veux gouter à ma chatte ?
– Oui bien sûr !

Mais elle n’a pas attendu ma réponse, elle s’affale sur le canapé, les cuisses ouvertes et m’attend.

Alors, O.K. je vais m’occuper de son minou, mais auparavant je ne peux faire autrement que de m’occuper de ses beaux nichions, que je caresse, que je lèche, me régalant de ses jolie pointes durcies par l’excitation.

– Oh, mais qu’est-ce qu’il me fait, ce petit cochon ?
– Des bonnes choses, j’espère !

Et je descends vers sa petite chatte. C’est tout trempé là-dedans, une véritable éponge. Je plonge un doigt que j’agite frénétiquement.

– Non, ta langue, je préfère !

Ah bon ! Ce n’est pas un problème, je lèche tout ça, mélange de cyprine et de sueur, gout suave légèrement salé, odeur de rousse, un régal de fin gourmet..

Felicity s’agite, halète… je passe ma langue sur son clitoris érigé, elle s’arcboute, gémit, puis crie, inondant de nouveau son entre jambe.

– Et maintenant, encule-moi !

Pas de soucis, sauf que je me demande si je vais tenir la distance, vu mon état d’excitation. Je vais pour me lever afin d’aller chercher un préservatif dans l’armoire à pharmacie de la salle de bain, mais voici qu’une mignonne petite main m’en tend un, sachet déjà ouvert.

Eh oui, Bérangère n’était pas restée longtemps dans sa cachette et nous regardait avec une main très active sur son petit minou !

J’enfilais la capote sous les yeux de ma sœur et pénétrait la belle anglaise en levrette Je m’enfonçais dans son étroit conduit avec une facilité étonnante et commençait à la pilonner.

– Ne vas pas trop vite !

Je fais ce que je peux ! Mais voilà que contre toute attente, Bérangère vient offrir son petit minou à sa camarade.

Felicity01

Imaginez mon excitation ! Difficile de me retenir en de telles circonstances. Alors je bouge doucement, tout doucement… tandis que Felicity fait minette à ma sœurette avec délectation.

– Oh ! T’es en panne ! Finit par protester l’anglaise.
– Je vais venir, je suis trop excité !
– Eh bien, viens, mais essaie de continuer après l

Elle en a de bonnes, elle ! Mais bon, je fais comme elle a dit, je reprends mon rythme initial et ne tarde pas à décharger dans la capote quelques courtes minutes après.

Reste le plus difficile, j’attends quelques secondes, puis me remet à remuer afin d’éviter de débander. Miracle, ça fonctionne, même si ma bite devient un peu douloureuse.

De l’autre côté de Felicity, Bérangère est en train de crier sa jouissance, c’est la première fois que je vois ma sœur en train de jouir, ça fait drôle tout de même !

Felicity commence à pousser des gémissements significatifs, voilà qui m’encourage et me motive, j’accélère comme je peux, je sens l’anglaise prête à partir. Ça y est, elle jouit, je me retire fourbu, tandis que les deux coquines se roulent une galoche tellement baveuse qu’elles en ont le menton inondé.

Si j’ai bien compté, la Felicity a joui trois fois ! Quelle santé !

Je me sers un verre d’eau fraiche et allume une cigarette. Les deux filles se chuchotent je ne sais quoi en rigolant comme des bossues, puis se dirigent vers la salle de bain.

– On va pisser ! Me dit Felicity, tu viens ?
– Non, je n’ai pas envie !
– Tu ne veux pas nous regarder ?

N’importe quoi !

– Vous regarder ?
– Ben, oui, allez viens, et puis je suis sûre que tu as une petite envie !
– Non, je vais fumer ma clope !
– Bon tu viens, oui ? On ne refuse pas une invitation ! Intervient ma frangine.

Alors, sans trop chercher à comprendre je les suis, ma salle de bain est assez exigüe, il y a juste un carré à douche, un lavabo et une cuvette de chiotte

Sur place, Felicity entre dans le carré à douche et s’y accroupit, Bérangère entre à son tour, reste debout, écarte les jambes, puis les lèvres de sa chatte. Ma sœur a les yeux rivés sur elle…

Non mais c’est pas vrai qu’elles vont se pisser dessus !:

Ben, si c’est vrai, un jet dru ne tarde pas à jaillir de la chatte de ma petite sœur chérie et à arroser la belle anglaise.

Bérangère ouvre sa bouche. Elle ne va tout de même pas… Mais si ! Devant mes yeux incrédules, la voilà qui boit l’urine de sa copine et qui manifestement s’en régale !

Je ne sais plus où j’en suis, je suis à la fois fasciné par cette scène insolite et scandalisé par la conduite de ma sœur.

Et pour l’instant c’est le deuxième sentiment qui domine, sans pouvoir me contrôler, je hurle.

– Mais ce n’est pas possible, Bérangère ! T’es devenue une vraie pute ! Et c’est l’autre salope qui t’a perverti !

Evidemment ça jette un froid.

– Quand t’as enculé ma copine tu faisais moins de chichi ! Me rétorque la frangine.
– C’est pas parce que j’ai eu un moment de faiblesse que… Et puis je ne vous dois aucune explication. Rhabillez-vous, foutez-moi le camp et allez faire les putes ailleurs !

Et je quitte la salle de bain, fier comme un petit banc (je sais) vais me rhabiller et fais semblant de m’intéresser à « l’Affaire Tournesol » qui trainait sur une étagère.

Ces demoiselles qui se sont évidemment concertées en chuchotant, puisque je n’ai rien entendu, sortent à leur tour à poil et comme si j’étais de nouveau transparent se rhabillent en silence, puis elles s’emparent de leurs valises et disparaissent de mon studio.

Et voici donc le temps de la réflexion. Je me dis que j’y suis allé un peu fort de les mettre à la porte, mais bon, on est impulsif ou on ne l’est pas. Il n’est pourtant pas dans mes intentions de me fâcher avec ma sœur. Alors je fais quoi ? Attendre quelques jours et lui téléphoner ? Que faire d’autre ? Et en attendant je me sers un whisky bien tassé.

Et voilà qu’on sonne !

J’ouvre ! C’est Bérangère !

– Je ne fais que passer, j’ai oublié mon sèche-cheveux !

Elle part dans la salle de bain, revient avec un sac en plastique, il ne me semble pas qu’il contienne l’objet en question, ce retour était donc une feinte !

– Ce n’était pas la peine de te mettre dans un état pareil ! Je suis très déçue ! Me déclare-t-elle.

J’ai donc le choix entre m’enfermer dans mon mutisme ou répondre, ce qui ouvrira une discussion à l’issue incertaine.

– C’est moi qui suis déçu ! J’ignorais que ma sœur était devenue une salope !
– Primo la salope elle t’emmerde ! Secundo, monsieur est tout content de baiser ma copine, et en ma présence en plus, mais il est dégoûté parce qu’on s’amuse à des jeux de pipi ! Y’aurait pas quelque chose d’illogique quelque part ?
– Mais…
– J’ai pas fini… Et tertio, ce qu’on fait avec Felicity, ça ne fait de mal à personne. Dans mes souvenirs tu n’étais pas homophobe à ce que je sache ?.
– La question n’est pas là ! Fallait pas m’obliger à regarder !
– Pourquoi, c’est sale, le pipi ?

Et toc ! Je ne sais pas quoi répondre. Ou bien je m’incline ou alors je joue la mauvaise foi, ce qui à terme est toujours contre-productif. Donc je biaise.

– Mets-toi à ma place, ça fait drôle quand même !
– Donc la question maintenant, c’est : est-ce que tu vas t’en remettre ?
– Je crois que je devrais m’en remettre.
– Felicity m’attend en bas, je lui dis de remonter ou pas ?
– Oui, viens me faire un bisou !
– D’accord mais je lui téléphone d’abord !
– J’aimerais peut-être parler avec toi un petit peu.

Elle téléphona donc à sa copine :

– Ça s’arrange, je te dirais quand tu pourras remonter, bisous !

Un ange passe, Bérangère retire son manteau, je fais du café et lui en propose un.

– C’est ta copine anglaise qui t’as transformé comme ça ?
– Mais pas du tout, il y a longtemps que j’avais mon petit jardin secret mais je ne voyais pas trop comment t’en parler. L’amour entre filles ça date du lycée, les jeux de pipi aussi, d’autres trucs aussi, les godes, les petits jeux de domination… Ça va, j’ai répondu ?
– On en apprend tous les jours !
– N’est-ce pas ? Dis-moi, une question : si je n’étais pas ta sœur, tu me baiserais ?
– Possible, oui !
– Et ça change quoi, que je sois ta sœur ?
– C’est de l’inceste !
– Ce n’est pas une réponse, ça, tu me réponds par un mot, je m’en fous des mots. Si on baisait ensemble où serait le mal ?
– Bon, c’est quoi cette discussion ? Je n’ai pas envie de baiser avec toi, si c’est ça que tu veux savoir !
– Tu te contredirais pas un peu, là ?
– Bon on arrête ?
– O.K.. j’arrête, je te propose un truc ! Quand je ferais l’amour avec Felicity tu n’auras qu’à regarder, et si tu veux nous rejoindre, on te laissera une petite place. Mais tu ne seras pas obligé de me toucher ! Ça te convient ?
– Ouais, c’est ça, on verra…

Je ne suis pas complètement idiot, je me doute bien qu’en me faisant cette proposition lubrique, Bérangère se dit que complètement excité à la vue de ce spectacle annoncée, je ne pourrais m’empêcher de m’approcher et qu’immanquablement l’engrenage effectuera son travail.

Sur quoi, elle se fout le doigt dans l’œil. Il me suffira de trouver un prétexte pour décliner l’invitation à regarder et l’engrenage ne pourra pas fonctionner.

Felicity est donc revenue comme s’il ne s’était rien passé et s’est mise à baragouiner en English avec ma sœur, comme je ne maîtrise pas bien la langue je n’ai pas suivi. J’ai essayé de lire mais n’ai pu me concentrer, je suis donc allé faire un tour en indiquant à ces demoiselles que j’en profiterais pour ramener de quoi diner pour le soir.

– Des sushis, ce serait sympa ! A proposé Bérangère.

Le soir après avoir trainé à table, Felicity et ma sœur ont commencé à se faire de petits câlins innocents, puis à s’embrasser sur la bouche. Quand elles ont entrepris de se peloter de façon plus poussée, j’ai compris comment cela allait se terminer, j’ai donc débarrassé la table et lavé la vaisselle.

Entre temps, les deux coquines avaient gagné le canapé et commençaient à se débrailler sévère. Fidèle à mes résolutions, j’enfilais un blouson et m’apprêtais à me chausser pour aller faire un tour dans le quartier, quand Felicity m’interpella :

– Tu t’en vas ?
– Je vais faire un tour, je reviens dans une petite heure.
– Tu n’as pas envie de nous regarder, alors ?
– Non !
– Pourquoi, on est moches ?
– La question n’est pas là, je vous laisse entre femmes.
– Reste, ça nous fait plaisir ! Tu n’as pas envie de nous faire plaisir ?
– Bon, à tout à l’heure !
– Tu sais que Felicity est ceinture noire de judo ? Intervint Bérangère, restée silencieuse jusqu’alors.

J’avoue ne pas comprendre cet aparté, mais ma sœur tint à préciser :

– Si tu t’en vas, on t’attrape et on te ligote sur une chaise !
– Tu veux vraiment que nos rapports se détériorent ?
– Je plaisantais, voyons, assis-toi sur une chaise, regarde-nous et quand tu en auras marre et bien tu iras faire un tour.

Et tout en disant cela Bérangère caressait le gentil téton de Felicity.

Bon, ma résolution est déjà ébranlée, rester cinq minutes, c’est rester tout le temps avec les conséquences que j’imagine. Et voilà que ma bite commence à bander.

Putain, je ne suis quand même pas pris dans un piège, il me suffit de me diriger « courageusement » vers la porte d’entrée…

– Ils sont beaux les nénés de ma copine ! Minaude Bérangère avant de le lui sucer le téton.

Bon, allez, on ne vit qu’une fois, je m’assois et trouve tout de suite un plan B. Je vais me branler en les regardant et je vais m’arranger pour jouir avec ma main afin d’éviter de les rejoindre. Donc, je sors ma queue et commence à me caresser.

Changement de tableau chez les deux nanas, Bérangère est descendue s’engouffrer entre les jolies cuisses de l’anglaise et lui broute le minou. Le souci c’est que je ne vois rien du tout. Après tout, tant mieux, moins j’en verrais, moins je serais excité.

Je ne vois rien mais j’entends et je dois dire que les miaulements de jouissance de l’anglaise ne me laissent pas de marbre. Et la voilà qui hurle, Bérangère se recule puis vient rouler une pelle à sa partenaire. Puis après quelques secondes de répit, Felicity entraine ma sœur sur le tapis.

J’allais protester me disant qu’elles allaient le saligoter si elles se mettent à mouiller comme des soupes, mais je me dis que de toute façon il faudra que je le fasse shampouiner

Bérangère se tourna me montrant son cul tandis que l’anglaise le prit en main ! Cette fois-ci je ne ratais rien, la vue imprenable sur la chatte ouverte de ma sœur se faisant doigter copieusement par sa camarade. Puis quand les doigts furent bien lubrifiés, ils pénètrent son délicieux petit anus marron, puis ressortirent après une bonne minute de va-et-vient. Sans se soucier le moins du monde de l’état où ils étaient, la belle british les suça avec une gourmandise évidente ! Quelle cochonne !

Et c’est maintenant la langue qui entrait en action, Bérangère trouvant la position peu pratique et souhaitant une réciprocité dans ce genre de choses, les deux coquines se mirent spontanément en soixante-neuf, et cela jusqu’à ce qu’elles jouissent, bien bruyamment et en mouillant mon tapis.

Quant à moi, j’avais toujours ma bite dans la main, pour l’instant on ne m’avait fait aucune sollicitation, mais ça pouvait encore venir, aussi accélérais-je les mouvements de ma main.

Messe basse entre les deux filles… Elles complotent quelque chose, j’ai intérêt à jouir avant la catastrophe prévisible.

Mais je suis rassurée quand je constate que c’est Felicity qui vient vers moi !

– Enlève tes mains, je vais m’occuper de ta bite…

A quatre pattes, elle rampa jusqu’à moi et emboucha ma queue. Bérangère arriva derrière elle, sans que je puisse voir ce qu’elle y faisait, mais les commentaires de l’anglaise me l’apprirent.

– Hum, sucer une bonne bite en se faisant lécher le trou du cul ! C’est si bon !
– Je sens que ça vient ! Prévins-je.
– Alors on fait une petite pause !

Felicity se leva et alla chercher son paquet de cigarettes. Je ne bougeais pas de mon siège et les deux filles tout en clopant se caressaient les seins. Un spectacle qui ne me fit pas débander, vous vous en doutez bien.

L’anglaise me demanda de me mettre à poil et de me coucher sur la moquette.

– Parce que ?
– C’est une surprise, laisse-moi faire ! Répondit la jolie rousse,

J’obtempérais, ne conservant que mes chaussettes, je réalisais après coup que si Bérangère avait prévu un traquenard, ma position rendrait ma fuite plus difficile, plus difficile, mais pas impossible, je pourrais toujours me réfugier dans la salle de bains…

Felicity commença par me caresser le torse et sans que j’y prenne gare me pinça les tétons, une caresse que j’apprécie, non seulement je me laissais faire mais lui demandais de le faire plus fort.

Puis elle s’empala l’anus sur ma bite et commença à monter et à descendre en de lents mouvements ! Quelle sensation !

Quant à Bérangère, elle regardait le spectacle et sans doute inconsciemment le fait d’être observé par ma sœur accroissait mon excitation.

Et soudain, et de façon complètement inentendue, la main de ma sœur vint caresser mes couilles.

Contre toute attente, ce geste me fit venir au bord de la jouissance, ma partenaire n’ayant pas changé de rythme, c’est moi qui en pratiquant des mouvements de bassin tentait d’en finir.

– On se calme ! Me dit l’anglaise qui tout en restant empalée cessa tout mouvement.

Et voilà que ma sœur, complètement déchaînée se mit à califourchon sur mon visage !

– Non ! Protestais-je.
– Juste un peu !

Imaginez, j’avais sa jolie chatte pleine de mouille parfumée, à moins d’un demi-centimètre de mes lèvres C’est pratiquement par reflexe que j’ouvrais la bouche et que ma langue se mit à lécher tout ça.

– Vas-y, grand frère, bouffe-moi la moule !

Je ne sais plus où j’en suis, il n’y plus de plan A, il n’y a plus de plan B, je lèche ma sœur, mais ça s’arrêtera là et nous aurons une bonne explication après, non mais dès fois !

– Mets-lui un doigt dans le cul. Elle adore ça cette salope ! Me suggéra l’anglaise.

Bon, je peux faire ça aussi, son petit cul est tellement bandant. Le doigt entra comme dans une motte de beurre.

– C’est trop bon, continue, encule-moi avec tes doigts ! Me dit-elle

Et pendant que je doigtais l’anus de ma sœur, Felicity reprit ses mouvements de va-et-vient, elle ne tarda pas à haleter, alors ne me retenant plus je me laissais aller et inondait son conduit réalisant alors que j’avais complètement oublié le préservatif.

Je déculais, sortait ma bite polluée de sperme et d’un peu de merde, l’anglaise s’empressa de me nettoyer tout cela de sa petite langue agile sous les yeux concupiscents de Bérangère. Je vous dis, elles sont frappées !

Je quittais ces deux furies et m’en allait boire un grand verre d’eau. J’étais assez dubitatif, d’un côté je n’avais pas été capable de tenir mes engagements et m’était laissé entrainer dans une spirale de stupre. Mais d’un autre côté, je n’avais pas été jusqu’un bout, c’est vrai qu’on ne m’avait pas sollicité en ce sens, je m’étais contenté, si l’on peut dire, de lécher et de doigter ma sœur.

Alors ? Y aura-t-il une suite ? Il me parait évident que les deux nanas vont essayer de m’entrainer plus loin, ce sera à moi de stopper net.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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