Mercredi 10 novembre 2021 3 10 /11 /Nov /2021 17:44

7 rêves pour une femme par Cepaderefus – 1 – Les trois premiers rêves

bisou1719

 

 

Un premier rêve

 

Dans une rue déserte de la banlieue de Montréal, une jeune femme marche sans but précis. Elle ne sait pas où elle est mais, ce qui est pire, c’est qu’elle ne sait pas non plus où elle va. Malgré tout, elle continue à marcher, espérant peut-être finir par arriver à un endroit qu’elle connaît. Ses cheveux bruns ondulés bougent au rythme de ses pas, elle est habillée d’un chemisier clair, d’une jupe noire et de chaussures à talons. Son errance l’amène à un carrefour, elle tourne au coin, c’est une voie sans issue mais une barrière permet d’entrer dans un grand parc arboré. Elle marche encore, traverse le parc et se retrouve soudainement à la campagne. C’est surprenant, car plus aucune trace de la ville n’est visible. L’endroit est calme et silencieux, totalement désert. Il n’y a autour d’elle que de grands champs plats et déserts. Elle continue à avancer droit devant elle sans but précis, sur un chemin de terre.

 

Soudain, quelqu’un l’aborde. D’où est-il venu ? Elle n’a pas le temps de se poser la question car cet inconnu engage immédiatement la conversation.

 

– Vous cherchez quelque chose, madame ?

– Je ne sais pas, je crois que je me suis perdue.

– Ça ne m’étonne pas, tout le monde se perd par ici… Avancez tout droit jusqu’à la fontaine et vous retrouverez votre chemin.

– Mais je suis où, là ?

– Le nom ne vous dirait rien. Mais je peux vous le situer par rapport à un village que vous connaissez.

– Je ne sais même pas d’où je viens.

– Allez à la fontaine, vous saurez alors où aller.

– Merci.

 

Marie reprend sa marche à travers champs. Heureusement pour elle, le sol est sec, car ses chaussures à talons ne sont pas très pratiques sur ce genre de chemin. Rapidement, des habitations réapparaissent, elle arrive alors sur une petite place au milieu de laquelle il y a bel et bien une fontaine, ce qui la rassure.

 

– Ça y est, j’y suis arrivée. Mais je ne sais toujours pas où je voulais aller.

 

Elle prend une rue au hasard. Et c’est alors qu’elle réalise où elle est.

 

– Voilà, je reconnais, je vais arriver chez Nicole.

 

Continuant sa marche dans la rue, elle finit par arriver une centaine de mètres plus loin devant le pavillon de son amie. Elle ouvre le portillon, traverse le jardin et va frapper à la porte d’entrée.

 

Quelques instants plus tard, une autre jeune femme entrouvre la porte. Ses cheveux bruns en désordre et ses yeux mi-clos donnent l’impression qu’elle vient de se réveiller. C’est bien son amie Nicole, ce qui ne manque pas de la rassurer. Par contre, ce qui la surprend, une fois la porte grande ouverte, c’est que son amie n’est vêtue que d’un pantalon. Celui-ci lui arrive au nombril, le haut de son corps est nu. Marie, bien que surprise, voire même choquée, ne peut s’empêcher de porter son regard sur les seins de son amie. Ceux-ci sont nus, bien fermes et ronds, avec des petits mamelons mais des gros bouts.

 

Nicole l’accueille ainsi, sans la moindre gêne.

 

– Bonjour, Marie. J’ai cru que tu avais un empêchement, je me suis même assoupie en t’attendant.

– Je suis venue à pied et me suis perdue.

– Tu ne sais plus venir ici ? Tu n’habites pourtant qu’à deux coins de rue.

– Oui, mais j’ai fait un détour.

 

Pensive, Nicole regarde son amie.

 

– Qu’est-ce qui t’arrive ? Tu as l’air troublée.

– Je ne sais pas si tu t’en rends compte, mais tu es toute nue.

– Pas du tout, je porte un pantalon.

– Mais tu ne portes rien en haut.

– Toi non plus.

– Quoi ?

 

Marie ne comprend pas mais, tout en répondant, elle penche la tête vers ses seins et se rend alors compte qu’elle n’a plus ni chemisier, ni soutien-gorge, mais qu’elle a cependant conservé sa jupe et sa culotte et ses bas auto-fixants. Ses seins sont gros, doux, à faire baver tous les hommes.

 

Sans réellement comprendre ce qui s’est passé, Marie commence à s’inquiéter tout en essayant pudiquement d’abriter ses seins derrière ses mains.

 

– J’ai dû perdre mes vêtements dans la rue, je vais aller les rechercher.

– Laisse tomber, je vais te prêter quelque chose. Entre donc.

 

Nicole s’absente pour aller chercher un vêtement. Pendant ce temps, Marie se balade à moitié nue dans le hall d’entrée, attendant un peu gênée le retour son amie. Quelques instants plus tard, Nicole redescend du premier étage, toujours les nénés à l’air. Elle rapporte un t-shirt qu’elle donne à Marie.

 

– Tiens, essaye cela. Ça devrait t’aller.

 

Marie enfile le t-shirt tout en restant debout. Elle lève les bras en l’air pour l’enfiler et une fois mis, le t-shirt fait ressortir encore plus ses seins. Pendant ce temps, son amie en profite pour observer chacun des mouvements que font ses seins. Marie sent bien où le regard de son amie se porte, elle pourrait se retourner pour se cacher d’elle, mais elle n’ose le faire de peur de la vexer. C’est pour cela qu’elle préfère rester face à Nicole pendant qu’elle se rhabille.

 

Après quelques ajustements, Marie semble presque satisfaite.

 

– Ça me va bien. Tu n’aurais pas un soutien-gorge à me passer aussi ?

– Je n’en mets jamais, tu le sais bien.

– Ah bon ? Je ne me souviens pas que tu me l’aies dit.

 

Tout en discutant, les deux femmes se dirigent vers le salon.

 

– Ce n’est pas grave. Assieds-toi et raconte-moi ce qui t’amène ici.

 

Marie s’assied sur le sofa, à côté de son amie. Ce faisant, le t-shirt lui fait montrer la fente de ses seins. La forme de ses seins se retrouve alors largement dévoilé. Marie ne semble pas y prêter attention, peut-être a-t-elle déjà oublié qu’elle n’a plus de soutien-gorge. En fait, elle est surtout concentrée pour tenter de répondre à la question de son amie, mais sans succès.

 

– Je ne sais pas. Je crois que je suis venue ici par hasard.

 

Nicole s’avance au bord du divan pour admirer la tenue de son amie. En penchant un peu la tête, cela lui permet d’admirer également le haut des seins de Marie. Elle le fait sans grande discrétion mais Marie ne semble toujours pas s’en rendre compte.

 

– Tu sais que tu es excitante quand tu t’habilles comme ça ? Où l’as-tu achetée ?

– Quoi donc ?

– Mais ton t-shirt, voyons !

– Enfin, c’est toi qui viens de me le passer.

– Ce n’est pas possible, je n’en porte jamais.

– Pourtant, tu viens de me le donner.

– Ah bon ?

– Et tu t’habilles comment, alors ?

– Comme ça.

– Mais tu es à moitié nue !

– Et alors ?

 

Marie n’a pas le temps de réfléchir plus longtemps à cette situation absurde. La porte d’entrée vient de s’ouvrir. C’est Simon, le mari de Nicole qui rentre de son travail. Après avoir déposé sa veste dans la garde-robe de l’entrée, il se rend au salon et y découvre les deux femmes assises côte à côte. Simon s’avance et embrasse sa femme sur la bouche, puis fait la bise à Marie.

 

– Bonjour, chérie. Bonjour, Marie.

 

Il s’installe alors sur le divan à côté de sa femme.

 

– Bon sang, je suis crevé.

 

Machinalement, il place sa main sur l’épaule de sa femme, le bout des doigts arrivant tout juste au niveau de la clavicule de Nicole. Tout en la caressant, il commence à discuter avec Marie.

 

– C’est sympa de passer nous voir.

– Oui. Enfin, le problème c’est que je ne sais toujours pas pourquoi je suis venue.

– Ce n’est pas grave. Tu as dû avoir un trou de mémoire.

– Peut-être.

– Tu restes avec nous pour manger ?

– Je ne pense pas. Philippe ne va pas tarder à rentrer et il ne sait pas où je suis.

 

Pendant cette discussion, Nicole a bombé un peu le torse au fur et à mesure que son mari lui caressait l’épaule. Simon se penche alors vers la poitrine de sa femme et se met à lui lécher les seins sous les yeux ébahis de Marie qui se sent monstrueusement gênée. Nicole se rend alors compte que le visage de son amie est devenu rouge.

 

– Qu’est-ce t’arrive ? Ça ne va pas ?

– Ben…

– J’ai compris. Nous sommes égoïstes. Mon chéri, occupe-toi donc de Marie.

 

Simon quitte alors la poitrine de sa femme, relève la tête et se déplace à genoux en direction de Marie. Celle-ci n’arrive pas à resserrer ses cuisses, elles sont grandes ouvertes, et elle ne peut placer ses mains sur ses seins. Arrivé à sa hauteur, Simon retire le t-shirt à Marie et avance la tête en direction des deux magnifiques seins de Marie. Marie ne veut pas, mais elle ne peut rien faire pour l’empêcher, elle n’arrive même pas à parler. Il n’est plus qu’à quelques centimètres, sa langue est sortie, prête à jouer avec les deux boules de la jeune femme.

 

Marie pousse un cri.

 

Soudain, elle se réveille en sueur. Ouf ! Ce n’était qu’un rêve !

 

– Qu’est-ce qui m’arrive ?… Quel rêve débile…

 

Endormie, elle sort de son lit, elle est vêtue d’un pyjama. Elle ouvre la porte de la chambre et va jusqu’à la cuisine où elle se sert un verre d’eau qu’elle boit lentement pour se remettre de ses émotions. De là, elle va aux toilettes satisfaire un petit besoin. Tout en retournant vers sa chambre, à moitié éveillée, elle repense encore à ce rêve troublant.

 

– Bizarre… C’est peut-être parce que Philippe n’est pas là depuis le début de la semaine.

 

De retour dans la chambre, elle remet rapidement les draps en ordre, se recouche et éteint la lumière, espérant retrouver un sommeil apaisé.

 

Sursaut

 

Marie se retrouve à nouveau au milieu des champs, toujours habillée d’un chemisier et d’une jupe. Elle aperçoit au loin le même inconnu que la fois précédente. Continuant sa marche, elle se rapproche de lui. Elle le distingue mieux et sa tenue lui semble bizarre. Encore quelques dizaines de mètres et elle se rend compte qu’il est complètement nu. Son physique est quelconque, ni sportif, ni gros. L’homme est légèrement poilu sur le torse, son sexe est caché en partie par les poils abondants de son pubis. Il ne semble pas se rendre compte qu’il est nu, à moins que cela ne lui importe pas. En fait, il se comporte exactement comme s’il était habillé.

 

Lorsque Marie arrive à sa hauteur, l’inconnu lui adresse immédiatement la parole.

 

– Vous vous êtes encore perdue ?

– Non, ça va mieux. Mais vous par contre…

– Qu’est-ce qu’il y a ?

– Vous êtes tout nu.

– Ne vous inquiétez pas, je n’ai pas froid.

– Je ne m’inquiète pas, mais vous êtes obscène.

– Dites donc, soyez polie, vous ne vous êtes pas vue.

 

Une appréhension la gagne alors qu’elle baisse le regard vers ses pieds. A-t-elle encore perdu son chemisier ? Non, c’est pire ! Elle se rend compte avec stupéfaction qu’elle ne porte plus qu’une nuisette blanche transparente en coton et dentelle, ainsi que des bas et un porte-jarretelles assortis.

 

– Qu’est-ce qui m’arrive ? J’étais habillée il y a un instant.

– Moi, tout ce que je sais, c’est que vous m’excitez, comme ça.

 

Tout en disant cela, l’inconnu commence à s’approcher d’elle, le sexe en érection et les mains tendues vers ses seins. Marie voudrait fuir, courir loin, mais elle est pétrifiée, incapable du moindre mouvement.

 

– Ne m’approchez pas !

– Qu’est-ce qui vous arrivez ?

– Ne me touchez pas !

– D’accord. Je ne vais pas vous toucher. Mais tout à l’heure, chez votre copine, vous devrez faire comme elle.

– Comment ça ?

– Si elle fait quelque chose, vous devrez faire la même chose.

 

Marie repense à l’expérience précédente. Si elle doit rester chez sa copine les nénés à l’air, ce n’est pas bien grave. Si Simon veut lui lécher les seins, après tout pourquoi pas ? Ce sera toujours un moment agréable.

 

– Bon, d’accord.

– Mais attention ! Si vous ne respectez cet engagement, vous me reverrez bientôt.

 

Délivrée de l’emprise de cet inconnu, Marie reprend son chemin à travers champs, soulagée mais néanmoins pensive. Ce qu’il vient de dire l’angoisse quand même un peu. Jusqu’où va-t-il falloir aller ? De toute façon, c’était ça ou se faire violer par cet inconnu.

 

– Après tout, ce sera peut-être agréable.

 

Quelques minutes plus tard, Marie arrive devant la maison de Nicole. Elle est à nouveau habillée, même qu’elle porte le t-shirt que son amie lui a précédemment prêtée. Arrivée sur le seuil de la porte, elle frappe, attendant qu’on lui ouvre.

 

Quand Nicole apparaît derrière la porte, Marie est presque surprise qu’elle ne soit pas nue. En effet, son amie porte un pantalon moulant en cuir noir, un bustier noir et elle a attaché ses cheveux en arrière. Tout ce noir et ses cheveux bruns, cela lui donne comme un air sévère.

 

– Salut, Marie, tu tombes bien, as-tu déjeuné ? Simon allait faire des crêpes. Je crois que tu adores ça ?

– Oui. C’est vrai.

– Alors entre et suis-moi.

 

Les deux femmes vont à la salle à manger. Simon est en effet derrière la séparation, dans la cuisine, en train de préparer des crêpes. On ne le voit qu’en partie mais, ce qui surprend Marie, c’est qu’il fasse la cuisine torse nu. Mais, après tout, étant donné la température actuelle… pourquoi pas ? Les deux femmes vont s’asseoir côte à côte sur le divan du salon. La table basse face à elles semble idéalement placée pour déguster de bonnes crêpes bien chaudes. Des assiettes sont déjà disposées, ainsi qu’un sucrier et plusieurs pots de confiture.

 

Lorsque Marie s’assied, sa minijupe remonte le long de ses cuisses. Du coup, son sexe se dévoile, mais ni elle ni personne d’autre ne semble s’en rendre compte. D’ailleurs son amie est occupée à regarder son mari préparer les crêpes. Quant à Marie, si elle n’a pas remarqué l’indécence de sa propre tenue, c’est qu’elle profite du fait que son amie regarde ailleurs pour observer sa tenue de façon plus approfondie. Le bustier noir de Nicole est en dentelle, il est légèrement transparent et l’on parvient à deviner sa poitrine dont les contours se dessinent à travers le tissu. Découvrir les courbes de Nicole derrière ce bustier est encore plus agréable pour Marie que lorsque qu’elle ne portait rien.

 

Simon vient de terminer les crêpes. Il prend alors la grande assiette sur laquelle elles sont empilées et sort du coin cuisine pour les amener sur la table basse du salon. Marie peut alors le voir en entier, elle se rend compte ainsi qu’il ne porte pour tout vêtement qu’un petit tablier blanc de soubrette. Une fois les crêpes posées sur la table, il reste debout tandis que les deux femmes et lui-même commencent la dégustation de ce déjeuner improvisé.

 

Nicole ne peut s’empêcher d’admirer la tenue sexy de son mari et de faire partager son point de vue à son amie.

 

– J’adore quand il s’habille comme ça. Il est excitant, n’est-ce pas ?

 

Marie est à nouveau gênée, elle essaye alors de changer de conversation.

 

– Oui. Tout à fait. Dis donc, elles sont drôlement bonnes ces crêpes.

 

Simon lui répond tandis qu’il termine gloutonnement la sienne.

 

– C’est normal, j’ai un petit secret de fabrication. Je mets du sperme dans la pâte.

 

Marie, qui ne s’attendait pas à une telle réponse, manque, sous l’effet de la surprise, de recracher ce qu’elle a dans la bouche. Elle réussit à l’éviter mais il s’en faut de peu qu’elle ne s’étouffe. Après quelques quintes de toux, elle réussit à reprendre son souffle tandis que ses amis s’inquiètent pour elle.

 

– Ça va mieux ?

– Oui. J’ai juste été un peu surprise.

– Bon.

 

Tandis que Simon se sert une seconde crêpe au sperme, Nicole ne peut empêcher sa curiosité de s’exprimer.

 

– Et tu fais comment pour préparer la pâte ?

– De la farine, du lait, des œufs…

 

Nicole l’interrompt :

 

– Non, je veux dire : pour le sperme, comment tu fais ?

– Facile : je me masturbe au-dessus du bol de pâte et je fais tout gicler à l’intérieur.

– Et… tu en manges aussi ?

– Pourquoi pas ? Elles sont bonnes !

 

Et tout en disant cela, Simon termine sa seconde crêpe. Marie se tourne alors vers son amie.

 

– Ça ne va pas ? Tu ne termines pas ta crêpe ?

 

Nicole regarde la crêpe au sperme qu’elle a dans la main. Après tout elle en a déjà mangé la moitié et ça n’a pas vraiment le goût de sperme. Elle la reprend donc dans sa bouche, un peu comme une bite, et termine de l’avaler.

 

Simon s’approche un peu plus de sa femme. Celle-ci pose sa main sur le tablier de son mari et se tourne à nouveau vers son amie.

 

– J’adore lui caresser le sexe à travers le tissu du tablier.

 

En même temps, elle prend dans sa main le sexe de son mari à travers le tissu et commence à le masturber. Le sexe, qui prend rapidement de l’ampleur, commence à soulever le tablier. Nicole semble épatée par l’effet que cela fait à son mari.

 

– Tu as vu comme il aime ça ? Moi aussi j’adore. Ça me fait mouiller. Et toi, tu as déjà essayé ?

 

Marie s’inquiète d’une telle question, elle se dit que les ennuis vont bientôt commencer.

 

– Non.

– Alors, essaye. Tu vas voir, c’est génial.

 

Il faut bien qu’elle fasse comme son amie si elle veut éviter de se faire violer par l’inconnu en pleine campagne. Après tout, ce n’est qu’une petite masturbation de rien du tout. Elle prend donc le sexe de Simon entre ses mains. La gêne l’envahit, elle se met à trembler légèrement. Prenant son courage à deux mains, elle commence à le masturber timidement. Elle sent alors que la bite de Simon est en train de grossir encore plus dans sa paume. Marie s’enhardit et se met à le masturber de plus en plus généreusement. Son amie, toujours à côté d’elle, la regarde faire avec un vif intérêt.

 

– Alors c’est bien ?

 

Marie essaye de lui répondre le plus naturellement du monde même si elle a du mal à articuler plus de deux mots.

 

– C’est super.

– Il bande ?

– De plus en plus.

 

Pour confirmer ce qu’elle vient de dire, Marie lâche la bite du mari de son amie. Le sexe de Simon est tellement redressé que son tablier ne cache plus ses testicules. Marie constate alors avec surprise qu’elles ne semblent pas avoir de poils. Pendant qu’elle est perdue dans ses pensées, Nicole pousse son amie vers l’avant.

 

– C’est encore mieux de le sucer. Allez, vas-y.

 

Ce qui ne manque pas de surprendre Marie.

 

– Quoi ?

– Tu as l’air surprise. Tu n’as jamais sucé un homme ?

– Si, mais…

– Je ne te crois pas, sinon tu n’hésiterais pas à le prendre dans ta bouche. Il a une bite très agréable à sucer.

 

Nicole soulève le tablier. Marie a alors la confirmation de ce qu’elle pensait. Simon s’épile le sexe, pas un poil sur les testicules ni sur le pénis. Même les alentours sont proprement rasés. Cette belle verge bien lisse ne manque pas de la captiver, mais quand même pas au point de la sucer. Ce n’est pas son mari, elle a la sensation désagréable de commettre un adultère. Cependant, son amie continue à la pousser en avant.

 

– Vas-y, qu’est-ce que tu attends pour sucer mon mari ? Il a une si belle queue. Je ne comprends vraiment pas pourquoi tu hésites?

 

Comme Marie n’esquisse pas le moindre mouvement, Nicole pousse avec force la tête de son amie vers le sexe redressé de son mari.

 

– Tu le vas sucer, salope ? Elle ne te plaît pas assez, la bite de mon mari ? Elle n’est pas assez bien pour toi ?

 

Marie se réveille en sursaut.

 

Sa peau est à nouveau couverte de sueur. Son pyjama lui colle au corps. Les draps sont en vrac au pied du lit, elle a dû énormément bouger durant son rêve.

 

– Encore ce rêve, mais qu’est-ce qui m’arrive ?

 

Elle essaye de respirer un peu d’air pour se rafraîchir l’esprit, mais c’est peine perdue, il fait trop chaud dans la chambre. Tant pis, elle tapote son oreiller, tire le drap sur elle et se retourne dans l’espoir de se rendormir plus sereinement.

 

Glissade

 

Marie est encore au beau milieu des champs. Mais cette fois-ci complètement nue. L’inconnu est toujours là, quelques dizaines de mètres plus loin. Cette fois-ci, c’est lui qui est habillé. Il se rapproche lentement de Marie tandis qu’elle entame la conversation.

– Vous êtes encore là ?

– Évidemment, vous devriez vous y attendre.

– Cette fois-ci, vous êtes habillé.

– Ne détournez pas la conversation, vous n’avez pas respecté votre engagement.

– Quoi donc ?

– Vous n’avez pas fait tout ce que faisait votre amie.

– Mais si, j’ai masturbé son mari.

– Mais vous n’avez pas voulu le sucer.

– C’est dégueulasse ! Je ne vais quand même pas sucer le mari de mon amie.

– Si ! Il le fallait. Vous allez donc être punie.

– Je ne suis pas d’accord. D’ailleurs, elle ne l’a pas sucé. Je devais faire ce qu’elle faisait.

– Elle vous a dit qu’elle aimait le faire, ça revient au même. Vous n’avez pas respecté ce que j’avais dit. Je vais donc pouvoir profiter de votre corps.

– Quoi ! ? Pas question !

 

Tout en disant cela, elle se met à courir pour tenter de lui échapper mais l’homme la poursuit.

 

– Toute fuite est inutile, je vous rattraperai.

 

Le chemin de terre est irrégulier, dans de telles conditions une paire de chaussures à talons n’est pas l’idéal pour courir. Marie finit par trébucher au bout d’une dizaine de mètres et chute dans une grande flaque de boue. Elle essaye de se relever mais ça glisse. Tout ce qu’elle parvient à faire, c’est se retourner dans la flaque. Elle se retrouve couverte de boue de la tête aux pieds. Angoissée, elle sait que l’inconnu s’approche d’elle tranquillement, inexorablement. Il a la ferme intention de la violer, mais elle ne peut plus rien faire pour lui échapper.

 

– Qu’est-ce qui se passe ? Je n’arrive plus à bouger.

– C’est normal, je vous avais prévenue, toute fuite est inutile.

 

Arrivé à sa hauteur, il se penche sans se presser et commence à palper ce corps couvert de boue.

 

– Vous savez, vous avez de la chance d’être pleine de boue, je ne ferai que vous caresser.

 

Ce massage de l’ensemble de son corps finit par la décontracter. Les mains de l’inconnu se font alors plus précises et convergent vers le sexe de la jeune femme. Il commence par lui effleurer la fente, puis il introduit un doigt, puis deux. Ses doigts, pleins de boue, s’insinuent entre les lèvres de Marie, viennent lui exciter le clitoris puis s’introduisent dans son sexe. Quand il les ressort, ses doigts sont propres, complètement nettoyés.

 

– Je vois que vous appréciez. Vous mouillez tellement que cela a enlevé toute la boue que j’avais sur les doigts.

 

Et, disant cela, il porte les doigts à son nez pour les sentir, puis il les introduit dans sa bouche et les lèche. Le murmure admiratif qu’il laisse échapper permet de deviner qu’il apprécie le goût du sexe de Marie.

 

Bien décidé à aller plus loin, il retire ses vêtements sans se presser. Une fois nu, il s’allonge au sol à côté de Marie et se roule à son tour dans la boue pour s’en recouvrir le corps tout en se masturbant. Son sexe grossit rapidement jusqu’à l’érection tandis qu’il continue de caresser la jeune femme d’une main et de se masturber de l’autre. Au bout de quelques minutes, il sent qu’il va bientôt jouir. Il se redresse alors sur les genoux en continuant de braquer son sexe en érection vers le corps maculé de la jeune femme. Quelques allers et retours de la main serrée sur sa bite sont encore nécessaires pour qu’il arrive à la jouissance finale. Son éjaculation est abondante, le ventre, les seins, le cou et même le visage de Marie sont recouverts du jus tiède et visqueux qui gicle par saccades au rythme de ses gémissements.

 

L’inconnu lui caresse encore le corps une dernière fois, ce qui a pour effet de mélanger son sperme et la boue en un mélange marron et gluant. Il se lève alors et s’en va, laissant Marie dans sa flaque de boue. Progressivement, elle peut à nouveau bouger ses membres et finit par se relever et reprendre son chemin.

 

Une fois revenue en ville, personne ne semble prêter attention à sa tenue. Pourtant, nue et couverte de boue, elle ne devrait pas passer inaperçue. Quand elle arrive enfin chez Nicole, cette dernière remarque immédiatement l’état dans lequel est son amie.

 

– Mais qu’est-ce qui t’es arrivé ?

– C’est toute une histoire. Mais je peux prendre une douche d’abord ?

– Oui, bien sûr, suis-moi.

 

Les deux femmes montent au premier étage jusqu’à la salle de bains. Alors qu’elle ouvre un placard pour en sortir une serviette de bain, Nicole se rend compte qu’elle a également de la boue sur elle.

 

– Je ne sais pas comment j’ai pu m’en mettre.

 

Tout en disant cela, elle sort une serviette pour elle aussi. Pendant ce temps-là, Marie est déjà passée sous la douche, en train de faire couler l’eau chaude. Elle dirige la pomme de douche sur son corps tout en frottant. Nicole, qui a fini de retirer ses vêtements, rejoint son amie sous la douche. Les quelques taches qu’elle a sur les bras ne semblent pas vouloir se décoller si facilement que cela.

 

– Dis donc, elle colle cette boue, il faut sacrément frotter.

 

Impression confirmée par Marie qui peine à se nettoyer le dos.

 

– En effet, ça ne part pas facilement.

– Attends, je vais t’aider, ce sera plus facile.

 

les288

Nicole se met alors à frotter consciencieusement le cou et le dos de son amie. La boue part progressivement, il ne faut pas être pressé. Elle s’occupe ensuite de la taille et des fesses de son amie, qu’elle se met à frictionner énergiquement. La boue enfin évacuée, ses frottements se muent progressivement en caresses. Elle remonte ses mains le long du corps de son amie. Arrivée aux épaules, elle les fait passer de l’autre côté et redescend lentement, sensuellement. Puis elle lui caresse les seins et le ventre. Agréablement troublée, Marie se laisse faire tandis que Nicole continue de lui caresser la poitrine d’une main et que l’autre main s’approche progressivement de son sexe. N’y tenant plus, gagnée par le désir, Marie se retourne et lui rend ses caresses de face. Elle porte alors sa bouche sur les seins de sa partenaire et lèche, mordille, suce et embrasse chacun des deux seins de Nicole! Nicole finit par parcourir le sexe de son amie de ses doigts, caressant cette fente ruisselant de l’eau de la douche. Portée par son désir, excitée par le ruissellement de l’eau sur leur corps respectifs, Marie se laisse aller et rend la pareille à son amie.

 

Soudain, Simon entre dans la pièce, juste au moment où Marie vient d’écarter les cuisses pour que son amie puisse s’insinuer plus profondément dans son intimité. Déjà nu et en érection, il pénètre sans un mot dans la cabine de douche et referme la porte derrière lui. Sans plus attendre, il écarte les fesses de sa femme et s’introduit en elle par-derrière sous les yeux ébahis de Marie. À chacun de ses coups de bite, Nicole est projetée contre son amie qui subit donc indirectement les assauts de Simon. Nicole se retourne alors vers son mari qui lui soulève une jambe pour la pénétrer par-devant. Simon maintient un rythme soutenu, sa verge ne cesse d’entrer et de ressortir de la chatte de sa femme qui, à chaque coup de queue, laisse échapper des cris de jouissance. Nicole part alors à la recherche des mains de son amie, les saisit et les porte sur sa poitrine. Marie comprend que son amie souhaite qu’elle lui caresse les seins, ce qu’elle se met à faire, ce qui a pour effet de décupler les cris de Nicole. Simon ne tarde pas à jouir, il ressort sa bite à temps pour que tout son sperme gicle sur le ventre et la poitrine de sa femme, et bien sûr sur les mains de Marie. Ceci fait, Nicole se penche vers sa bite et la suce pour la nettoyer. Simon sort alors de la douche, s’essuie rapidement et repart aussi vite qu’il était arrivé.

 

Marie est surprise de ce comportement.

 

– Ben, dis donc, il n’est pas bavard, ton mari.

– Oh, tu sais, c’est un grand timide.

– Ah bon ? Il n’en a pas l’air pourtant.

 

Nicole se retourne vers son amie et se colle contre elle. Le sperme de Simon s’étale sur les corps des deux femmes tandis qu’elles se caressent mutuellement le dos et les fesses. Marie étend sur le dos de son amie le sperme qu’elle a reçu sur les doigts. Nicole, toujours excitée, s’écarte de son amie et se met à lui lécher le corps pour y collecter tout le sperme qui y est étalé. Pour finir, elle introduit ses doigts pleins de sperme dans le sexe de Marie, qui jouit immédiatement, inondant de mouille la main de son amie. Nicole porte alors sa main à sa bouche pour goûter au jus de son amie. C’est à ce moment-là que Marie se réveille en sursaut.

 

– J’ai encore rêvé. Et cette fois-ci, je crois même que j’ai joui.

 

Mue par la curiosité, elle porte une main vers son entrejambe, son pantalon de pyjama est trempé au niveau de son sexe.

 

– Et il n’y a pas que dans mon rêve que j’ai joui.

 

Marie retire son pantalon, dévoilant ainsi son sexe intégralement épilé, comme dans ses rêves. Puis elle se retourne, recherchant en vain un sommeil plus calme.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 10 novembre 2021 3 10 /11 /Nov /2021 16:44

Annonce insolite par Mathilde Stenberg

scat

 

Attention texte scato explicite

 

Chloé (c'est moi) finissait son café en rêvassant à la terrasse de ce bistrot. Situé devant la gare, il était fréquenté par une clientèle de passage, où se mélangeait allégrement familles nombreuses encombrées de bagages, voyageurs de commerce, le nez dans leurs journaux économiques et babas-cool prenant leurs quartiers d'été.

 

La sonnerie du portable d'un type placé à un mètre de moi retentit. Il gueule comme un putois, il se croit tout seul, j'en ai rien à foutre de ses affaires. Je crois comprendre qu'il y a eu confusion sur l'heure d'un rendez-vous. Le type sort un billet de son portefeuille, et décampe, son portable à l'oreille. Il a oublié deux journaux sur la table, je les attrape pour y jeter un coup d'œil ! L'un est un journal sportif à grand tirage, en revanche je ne connais pas l'autre, de format plus petit, la couverture montrant une femme à la poitrine généreuse et dévoilée m'apprend qu'il ne s'agit cependant pas d'un manuel de jardinage. Je feuillette amusée, ce sont des petites annonces. Des petites annonces bien coquines...

 

Qui l'eu cru ! Toutes ces annonces m'excitent, il y a de tout, des sados, des masos, des homos, des lesbiennes, des travelos, des partouzeurs, des apprentis cocus, des voyeurs, des exhibos. Je voudrais foutre ce canard en l'air, mais non ça m'excite, ça m'excite et je continue à lire 

 

Et puis je tombe sur ça :

 

"Tina, 26 ans aimerait rencontrer une jeune femme qui accepterait de faire ses besoins devant moi. Réciprocité bienvenue."

 

N'importe quoi ! N'importe quoi ! Il y a des tarées graves quand même ! Allez regarder quelqu'un chier ? Non mais ça ne va pas ! Pisser encore, ce peut être rigolo ! Mais la merde, ça pue, c'est moche ! Berck Berck Berck et re berck !

 

Et puis ce flash, ce souvenir ! La campagne, ma cousine, la forêt.... 

 

- Faut que je fasse caca ! M'avait-elle annoncée.

- Ben vas-y ! Planque-toi derrière un tronc d'arbre !

- Non, reste avec moi, j'ai peur des serpents.

- Bon, ben vas-y, je me tourne !

 

Je le fais ! Mais ma cousine m'interpelle !

 

- Il n'y a rien derrière moi ?

 

Je suis bien obligée de me retourner ! Malgré moi je suis fascinée, ma cousine est accroupie, en train de déféquer et je la regarde, je n'arrive pas à détourner mes yeux de ce gros boudin qui pendouille et qui finit par dégringoler mollement au sol ! Je suis tout d'un coup terriblement excitée !

 

- Hum, ça fait du bien de faire un gros caca ! Commente-t-elle ? Tu n'as pas envie toi ?

 

Je lui ai répondue que non, je l'ai regardé s'essuyer et je suis restée avec mon excitation ! Le soir dans mon lit, je me suis rejoué la scène dans ma tête et j'ai regretté de ne pas avoir répondu à cette étrange demande de réciprocité. Allez donc savoir pourquoi ? Le goût de l'interdit sans doute... L'excitation retombée, j'ai refoulé ce plaisir pervers qui m'avait envahi. Et puis quelques jours plus tard quand ma cousine m'a demandé si elle pouvait faire caca devant moi "comme l'autre jour", au lieu de partager son délire, j'y ai mis des limites : "Pipi, oui, mais pas caca !" L'affaire en est restée là. Les jeux uros ont ensuite intégré petit à petit mon univers érotique mais jamais je n'ai accepté de franchir la frontière que je m'étais fixée. Et pourtant régulièrement des esquisses de fantasmes scatos m'assaillent, ça ne dure jamais longtemps d'habitude.

 

Pourquoi suis-je si excitée alors ? Je relis encore l'annonce. Rejouer cette scène une fois, juste une fois, après on verrait bien ! Après tout qu'est-ce que je risque ? Et puis cette impression si troublante de tenter le diable... Un numéro de téléphone est indiqué, je le compose. Evidement c'est un répondeur ! C'est vrai qu'il doit falloir gérer ce genre d'annonce. On me demande mes coordonnées, je les donne, je pourrais toujours dire que c'est une blague si ça me prend trop la tête.

 

J'ai passé la journée comme d'habitude à vendre des pantalons, des petits hauts et autres fanfreluches à quelques minettes et le soir en rentrant dans mon studio de "célibataire et fière de l'être" je ne pensais plus du tout à cette affaire quand mon portable sonna vers 19 h 30

 

- Je suis bien au 06 xx....

- Oui !

- Vous avez appelé suite à mon annonce….

- Ah ! Oui, c'est vrai ! 

 

L'excitation étant retombée, je n'avais plus trop envie de donner suite.

 

- Vous avez quel âge ? Demande la douce voix

- 28 !

- Et vous êtes quel genre ?

- Quelconque, brune à lunettes. Pas trop moche.

- Vous êtes sur Montpellier même ?

- Oui, mais...

- On peut se voir, pour discuter un peu ?

- Oui, mais...

 

Ça y est, les images de ma cousine qui reviennent. Il faut que je me calme, je ne vais quand même pas m'embarquer avec n'importe qui pour faire n'importe quoi...

 

- Je peux vous retrouvez où ? Insiste-t-elle

- Au "café des amis" devant la gare, à la terrasse, dans vingt minutes.

- Donnez-moi un signe de reconnaissance, c'est moi qui vous aborderais, je prends mes précautions, vous comprenez ?

- Je sais pas, moi, j'aurais un gilet noir et un cahier bleu à la main.

- Dans combien de temps ?

- 20 minutes, ça va ?

 

Ravagée, je suis ravagée, mais j'ai un plan, le cahier bleu je ne vais pas le sortir tout de suite, comme ça si je vois une fée carabosse en train de chercher quelqu'un et bien elle continuera à attendre. 

 

Je m'installe à la terrasse, le gilet sur les genoux et le cahier dans le sac. Personne n'a l'air ni d'attendre ni de chercher qui que ce soit sinon cette jolie blonde un peu plus loin, qui attend probablement son mec...

 

Donc récapitulons : j'ai rendez-vous avec une nana qui a passé une petite annonce pour qu'on chie devant elle et vice versa ! Il faudra que je consulte !

 

La blonde passe et repasse devant la terrasse ! Ce n'est pas elle tout de même ? J'enfile le gilet, elle regarde dans ma direction, semble hésiter. Je sors le cahier bleu et fais le geste de m'éventer avec. Elle s'approche, c'est elle !

 

- Bonjour, je suis Gwen !

- Chloé, enchantée ! Je ne vous voyais pas comme ça, vous êtes charmante.

- Merci ! On se tutoie !

- Oui !

- Toi aussi, tu aimes les grosses cochonneries alors ? Me dit-elle en guise d'entrée en matière.

 

Alors, je lui explique qu'il ne faut peut-être pas aborder le problème de cette façon. Et je lui explique : le bouquin d'annonces, la sienne d'annonce, le flash avec la cousine, tout sur la cousine, mon excitation, mon incomprehensible excitation.

 

- Et sinon sexuellement tu te classes comment ? Me demande-t-elle.

- Je ne me classe pas, j'aime tout un tas de chose, les mecs, les filles, les partouses, l'uro, un peu le SM... En fait j'aime beaucoup de choses mais je ne pratique pas souvent. Je suis trop indépendante pour supporter la vie de couple, alors le sexe c'est souvent en solo... et toi ?

- J'avais une copine, une fille plus vieille que moi, mais elle a été mutée dans le Nord, elle m'a initié à un tas de trucs, alors ça me manque, c'est pour ça que j'ai passé une annonce un peu extrême, mais faut pas croire, il n'y a pas que ça dans la vie ! Sinon, je te plais ?

- Oui, t'es mignonne !

- Bon, alors je t'emmène chez moi ?

 

Ben voyons !

 

L'impression d'être prise dans un engrenage... Et mon cœur qui fait des gros toc-toc dans cet interminable escalier. On rentre, la porte se referme. Je jette un coup d'œil sur le studio. C'est gentiment décoré, peut-être un peu chargé à mon goût, des poufs, des coussins, des tableaux genre pop'art. On se croirait à Greenwich Village dans les années hippies 

 

- T'es pas pressée, j'espère ?

- Non ! (je n'allais pas lui dire oui) 

- T'as mangé ?

- Non.

- T'as peut-être faim, il est 21 heures passés ? 

 

Elle farfouille dans le frigo.

 

- Jambon, pâtes, ça va ? J'ai du fromage, des fruits, tu bois quoi, du vin ?

 

Nous voilà à parler de nous, de nos vies, de nos boulots respectifs, elle travaille dans une boîte d'assurance. On se trouve quelques affinités. Elle est gentille, douce, je m'étonne de ne l'avoir jamais rencontrée, mais c'est vrai qu'elle n'a rien de particulier qui ferait qu'on la remarque.

 

On a mangé un dessert, elle me propose un café, je décline. Je l'aide à débarrasser la table et à faire la vaisselle. 

 

Et puis sans transition :

 

- Je vais pisser, tu veux regarder, je suppose ?

- Bien sûr !

- J'aimerais bien un petit bisou avant.

 

Pas de problème, on se rapproche on se serre dans nos bras, on se roule un patin d'enfer. J'en suis toute chose. 

 

- Viens !

 

Elle quitte son pantalon, puis sa culotte, elle m'exhibe carrément sa chatte poilue. 

 

- Elle te plaît ?

- Bien sûr qu'elle me plaît.

- Tu aimerai que je te pisse dessus ?

- Oui, pourquoi pas ?

- Dans la bouche ?

- Un peu dans la bouche, oui !

- Déshabille-toi, sinon on va en foutre partout !

 

Me voilà en train de me foutre à poil devant une inconnue rencontrée il y a un peu plus d'une heure. 

 

- Hum, c'est mignon tout ça ! Commente-t-elle.

- N'est-ce-pas ?

 

Elle m'embrasse les tétons, me caresse, me malaxe les fesses. Je lui fais comprendre qu'elle pourrait elle aussi retirer le haut. Pas de problème, le petit haut valse, le sous-tif, également. C'est trop mignon tout ça !

 

On s'embrasse, on se pelote, on roule sur le tapis, mais Gwen se libère.

 

- Viens, j'ai trop envie !

 

Je la suis dans la salle de bain, elle me fait allonger par terre, puis approche son pubis de mon visage. C'est vrai qu'elle avait une grosse envie, j'en avale pas mal mais rapidement, je ne peux plus suivre; j'en laisse plein à côté, on rigole comme des bossues.

 

- Alors,  il est comment mon pipi ?

- Hum ! Un délice !

- T'as pas envie, toi ?

- Si je peux t'en faire un peu, c'est quand tu veux !

 

Elle m'embrasse à nouveau, je suis bien, elle me susurre alors à l'oreille :

 

- Alors tu voudrais qu'on fasse des grosses cochonneries maintenant ?

 

Je lui fais signe de la tête que oui, le moment fatidique est donc arrivé.

 

- T'as envie de faire un petit caca ? Demande-t-elle.

- Je ne sais pas, je ne crois pas, pas tout de suite !

- Pousse pour voir !

 

Je le fais, mais sans résultat !

 

- La meilleure façon est d'aller voir sur place ! Répond-elle alors. 

 

Elle mouille alors son doigt et me le pénètre dans l'anus qu'elle me trifouille avec énergie.

 

- Pousse en même temps... C'est pas très loin, je sens ta merde, mais il faut peut-être attendre un petit peu... c'est pas un problème... On attendra.

 

Elle sort son index en vérifie l'état ! Il n'est pas très net, c'est le moins que l'on puise dire, recouvert qu'il est de choses marrons. Elle le regarde, amusée et sans hésiter un seul instant elle se le fourre dans la bouche et le nettoie de sa langue.

 

- Deuxième tentative ! Dit-elle en m'enfonçant cette fois deux doigts ! Allez pousse, pousse ma petite salope !

 

Elle retire ses doigts, me les fout sous le nez !

 

- Lèche !

- Non !

- Sois pas bête, ça n'a pas beaucoup de goût !

- Si ça n'a pas de goût, pourquoi veux-tu que je le fasse ?

- Parce que c'est pervers, parce qu'on est deux belles cochonnes et parce que ça me fait plaisir ! Ouvre ta bouche, ma mignonne !

 

Elle me dit ça tellement gentiment que je n'ose pas refuser. Je lèche ses doigts, c'est acre, et effectivement ça n'a pas beaucoup de goût.

 

- C'est bien, on fera quelque chose de toi, commente Gwen en plaisantant. On va attendre que ça vienne... Mmmm moi par contre, je crois que je vais faire un joli petit étron !

 

Elle me fait un peu peur, je ne sais pas trop où je m'embarque. Peur mais fascinée aussi !

 

- Tu veux vérifier ? Demande-t-elle

- Tu veux que je te mette un doigt ? Osais-je.

 

A mon tour je me mouille l'index et lui introduit dans l'anus, je sens effectivement une masse un peu molle. Je réalise que je suis en train de lui toucher sa merde, et que non seulement ça ne me gêne pas plus que ça, mais que ça m'excite ! 

 

- Je crois qu'il y a un gros caca en préparation ! Lui-dis je !

- Ok ! Retire ton doigt ! 

 

Bien sûr mon index est sale, je lui offre à sucer ! Je pensais qu'elle refuserait, me demandant de le faire, mais non elle me lèche le doigt, et une fois que c'est fini, elle approche son visage de mes lèvres, nous nous embrassons, un vague goût acre reste alors sur sa langue ajoutant à mon trouble.

 

Gwen s'en va chercher une assiette dans sa cuisine, elle se met ensuite à genoux sur la table, me tourne le dos au dessus du plat qui est prêt à recevoir ce qu'elle va chier.

 

- Tu veux me sucer l'anus avant ! 

- Oui, mais ne pousse pas, alors ?

- Tu as tort, mais OK, autant y aller progressivement.

 

J'approche mon visage de son trou du cul ! Bigre, ça ne sent pas la rose par là ! Ça sent nettement plus fort que ce qu'il y avait sur nos doigts à l'instant !

 

- Dis donc, tu sens un peu fort !

- C'est normal, c'est un trou du cul, c'est une odeur naturelle. Tu vas t'habituer, lèche !

 

Je lèche quelques instants son petit anus, mais j'ai l'impression que celui-ci à tendance à se dilater, je n'ai quand même pas envie de recevoir sa crotte dans la bouche. Je me recule.

 

- Ne pousse pas !

- Je ne pousse pas, c'est toi qui appréhendes. Bon j'y vais ! Regarde bien et tu vas me commenter tout ça !

Chloe

Commenter ? Il faut faire des commentaires ?

 

- Tu vas me dire ce que tu vois !

- Pour l'instant je ne vois pas grand chose, si... ton trou du cul se dilate !

- Je vais essayer de faire ça tout doucement !

- Ça y est, ton caca commence à sortir !

- Ça te plait de me regarder chier ?

- Je ne sais pas si ça me plait mais ça m'excite.

- C'est de quelle couleur ?

- Ben, marron, c'est toujours marron, non ?

- Oui mais marron comment ?

- Marron foncé !

- T'as de la chance se sont les plus belles merdes.

 

Un long étron merdeux se fraye un chemin hors de l'étroit conduit, sa taille augmente dans des proportions que je n'aurais pas cru possible, puis la merde se casse et tombe dans l'assiette. Gwen défèque toujours, une nouvelle merde sort de son anus et vient rejoindre l'autre, une troisième arrive; mais avant qu'elle ne tombe, elle y met la main, en récupère un peu et se l'étale entre ses fesses. 

 

Je crois que j'ai fini, viens me nettoyer avec ta langue !

 

Je jette un coup d'œil sur le cul merdeux de ma complice de ce soir, non trop c'est trop, je ne me vois pas lécher tout ça et je le lui dis.

 

- Juste un peu, je ne te demande pas de tout enlever... mais juste un peu pour faire plaisir à ta copine !

- Je ne sais pas...

- Ce n'est pas pire que de lécher les doigts, c'est la même chose...

- Bon je vais essayer, mais tu ne seras pas fâchée si j'arrête ?

 

J'y vais. Je choisis une zone pas trop encombrée et je commence à lécher, effectivement à part ce petit côté acre, le goût est plutôt neutre. Il y a l'odeur, mais ça reste supportable, je lèche, je lèche.

 

- Ça va ? demande-t-elle ?

- Ouais ! 

- Lèche-moi le trou !

 

Au point où j'en suis, je n'ai plus aucune réticence, je lance ma langue sur l'anus merdeux, je l'embrasse puis je le suce de petits coups de langues répétées. Je m'enivre de ce que je fais, je suis maintenant complètement dans le trip. Le goût n'est pas à proprement (?) parler désagréable, avec un arrière-goût un peu amer comme certains fromages. En fait le premier pas franchi, c'est même pas mauvais du tout, un peu particulier mais pas mauvais. 

 

- Hummm, elle est bonne ta merde !

- Ben tu vois !

 

Je suis dans un état second, ma chatte est mouillée comme une soupe, je continue à lui lécher le cul comme si je dégustais le meilleur plat d'un grand restaurant.

 

Et puis les jeux scatos ont aussi leur limites, alors excitées comme des puces nous nous sommes retrouvées spontanément en soixante-neuf à nous lécher la moule jusqu'à l'orgasme…

 

On a pris une douche, pas ensemble, l'une après l'autre…

 

Je craignais un peu la suite, mais Gwen m'a rassuré.

 

- C'était un fantasme, je suis contente de l'avoir réalisé ! Me dit-elle. Mais on ne recommencera pas… Si on se croise un jour dans Montpellier on se fera un bisou, on pourra même prendre un café vite fait, mais on en resteras là.

 

Voilà qui me convenait très bien.

 

Environ un mois après cette rencontre, je croisais Gwen en rentrant du boulot. Nous somme allées boire un verre, en fait on était contente de se retrouver, nous avons bavardé comme des pies, je l'ai suivi chez elle, on s'est bien amusé, on s'est trouvé tellement bien ensemble que cela va bientôt faire 10 ans que nous vivons ensemble.

 

Fin

 

 

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 10 novembre 2021 3 10 /11 /Nov /2021 16:29

Diane, ma prof de piano par Mathilda Stenberg

scat

Texte scato explicite

 

Je m'appelle Claire, j'ai 35 ans et je m'emmerde ! Mariée avec un cadre supérieur, celui-ci est toujours en vadrouille aux quatre coins du globe. Son niveau de rémunération est impressionnant. Ah, ça, je ne risque pas de manquer de quelque chose ! Mais enfin, on se demande à quoi je sers ? Prendre un amant, bof, je n'aime pas assez les hommes, me lancer dans des activités, j'en ai essayé plein, des solitaires comme l'aquarelle ou la sculpture. Des collectives comme la gymnastique, la randonnée, le chant choral, mais au bout de quelques mois tout cela ne me passionne plus, je laisse tout tomber. Je voudrais en fait changer de vie, avoir l'occasion de le faire, mais je ne sais tout simplement pas comment procéder. Et puis tout ce fric m'a habitué à un certain confort, suis-je vraiment prête à l'abandonner... On a beau se dire qu'il n'y a pas que ça dans la vie, mais bon...

 

J'ai le cafard cet après-midi : je me passe un disque, je ne choisis même pas, c'est une anthologie de morceaux pour le piano. Je connais tous ces airs par cœur. Tiens, la "Romance sans parole" de Mendelssohn ! Je savais la jouer avant ! Est-ce que je saurais encore ? Il y a des mois que je n'ai pas ouvert ce magnifique piano hérité de la tante de mon mari. Je m'y installe ! Et allons-y ! Le désastre ! Nouvel essai ! Nouveau désastre ! Je m'énerve, j'ai envie de casser quelque chose, je vais casser quelque chose, et je choisi cette ridicule sculpture "spéciale touriste naïf" ramenée par mon mari de Birmanie ! Patatras ! En miette l'œuvre d'art ! Au moins je ne la verrai plus !

 

- Oh madame !

 

Quoi "Oh madame !" ? La bonne qui joue les éplorées à présent. Elle est mignonne, mais elle m'énerve, tout le temps dans mes pattes, si au moins elle possédait un peu de tendresse, mais la seule fois où je me suis amusée à lui demander de me frotter le dos alors que je prenais mon bain, elle s'est enfuie en courant !

 

- Ecoute Anna ! Je te fais cadeau de huit jours de vacances, je ne veux pas te voir avant la semaine prochaine... 

- Mais pourquoi, madame ?

- Parce que c'est comme ça, allez file !

 

Je dois être timbrée, pendant huit jours je vais me farcir la cuisine les courses, le ménage, non pas le ménage, je vais lui laisser...

 

Je cours faire pipi, il faut que vous explique, je suis une pisseuse, j'ai souvent envie, le docteur m'a dit que je devais avoir une toute petite vessie, pas si facile à gérer, j'évite de boire trop de liquide ainsi que tout ce qui est diurétique si je dois sortir.

 

Je pisse, je me mets la main devant la chatte afin de l'imbiber de mon urine, puis je lèche, j'adore faire ça. J'aurais dû profiter de l'absence de la bonne pour me faire pipi dans ma culotte et rester comme ça un moment, pas grave, ce sera pour plus tard, de toute façon comme je vous l'ai, dit, je pisse tout le temps. Je me fous un doigt dans le cul, je le fais aller et venir, puis le ressors, il est un peu merdeux. Je le lèche ! Hum, c'est bon et c'est surtout délicieusement pervers, je recommence. Cet autre jeu est plus rare, mais j'adore le faire quand je sens l'excitation monter. Je crois qu'en poussant je peux faire un petit caca. Je pousse tout en mettant mes mains en corolle sous mon anus. La merde sort et tombe dans le creux de mes mains. J'approche ma main de mon visage, je contemple l'étron, le hume et m'enhardit jusqu'à le lécher un peu. Je me sens salope et j'aime ça !

 

Je quitte les chiottes sans me torcher le cul ni me laver les mains et vais me branler sur le lit.

 

Bon, si je n'arrive plus à jouer correctement au piano, quelques cours devraient me faire du bien. Je recherche un prof de piano, décide que je préférerais que ce soit une femme.

 

- D'accord ! Me dit la dame, on peut commencer jeudi, c'est à quelle adresse ?

 

Le problème c'est que jeudi, la maison sera pleine de poussière…

 

- Je préfère que ça se passe chez vous.

- Non, je ne donne pas de cours chez moi. Me précise la dame.

- Même si je double le prix ?

- Ce sera donc à titre exceptionnel.

 

Diane est blonde, la quarantaine, habillée très bourgeoise, le chignon ridicule prêt à chanceler, des lunettes… En s'arrangeant elle pourrait être pas trop mal, elle a des belles lèvres et un beau sourire… et bien sûr de très belles mains.

 

Nous sommes en pleine leçon quand j'ai soudain envie de faire pipi. Pour bousiller la concentration quand on est au piano c'est pas mal ! Je lui demande donc où sont les toilettes.

 

- Les toilettes ?

 

Ben quoi ? On dirait que je lui demande la lune, il y a bien des toilettes dans son appart, non ? Elle devient toute blanche.

 

- Heuh... c'est dans le couloir la deuxième porte, mais, euh, c'est un peu délicat, la chasse d'eau ne fonctionne pas très bien, le plombier devait passer hier, mais il faut que je le rappelle.

 

OK, pas la peine de se mettre dans des états pareils, je me rends donc à l'endroit indiqué ! Ça ne sent vraiment pas la rose, elle ne sait pas qu'il existe des déodorants pour chiottes, la prof de piano ? Un coup d'œil instinctif dans la cuvette. Il y a un magnifique colombin marron qui flotte dans de l'eau brunâtre. Bon, je n'effarouche pas pour si peu, elle m'avait prévenue, et puis comme ça par réflexe, je tire la chasse ! Miracle tout s'en va ! Elle fonctionne très bien sa chasse d'eau ! C'est quoi ce délire. ?

 

Je ne me suis ce jour-là pas attardée sur cette bizarrerie, j'ai fait ce que j'avais à faire, j'ai tiré la chasse qui pour la seconde fois de suite a fonctionné parfaitement, et je me suis remise à la musique.

 

C'est quelques jours après que la bizarrerie se renouvela. Pressée d'aller faire pipi, je remarquais encore une fois que la chasse n'avait pas été tirée ! Tout cela n'avait aucun sens ! Ou alors elle oubliait régulièrement de l'actionner ? Oui ça devait être ça, et c'est ce qui expliquait son trouble de l'autre jour ! Elle devait être incapable de se souvenir si elle avait tiré la chasse ou pas, d'où son explication vaseuse... Le syndrome du poisson rouge ! Quand on y réfléchit, les choses deviennent parfois bien simples... Et puis soudain un éclair dans mon esprit, la chose se compliquait. Où était donc passé le papier avec lequel elle s'était torchée et qui aurait dû être dans la cuvette ? On peut oublier de tirer la chasse mais pas de se torcher le cul quand même ! 

 

A moins d'être aussi cochonne que moi !

 

J'appuyais sur le mécanisme actionnant la chasse d'eau éliminant définitivement l'hypothèse d'un dysfonctionnement. Elle le faisait donc exprès. En voilà une perversion qui est bizarre ! Bizarre ? Mais pourquoi bizarre, puisque moi aussi, il m'arrive de faire des cochoncetés avec mon caca… 

 

Une réminiscence de mon adolescence me vint à l'esprit. Une sortie en forêt avec des copines, je m'étais isolée avec Julie pour faire caca. Et cette dernière m'avait proposé de jouer à qui ferait le plus gros boudin. On avait poussé, accroupies l'une devant l'autre en rigolant comme des malades.

 

- Celle qui a perdu à un gage ! Me dit-elle

- D'accord.

 

J'avais perdu.

 

- Le gage, c'est que tu ramasses mon caca et que tu le lèches !

- T'es malade. T'as qu'à le faire toi !

- C'est pas moi qui a perdu.

- Oui, mais si tu avais perdu, tu l'aurais fait ?

- Bien sûr !

- Mon œil !

- Regarde !

 

Et devant mes yeux effarés, Julie, ramasse un morceau de son boudin, le porte devant ses lèvres et le lèche en me narguant.

 

Alors tout c'est passé très vite, comme dans un rêve, sans doute n'ais-je pas voulu perdre la face, j'ai fait pareil. La surprise c'est que je pensais trouver quelque chose d'abominable, mais qui ne durerait que quelques secondes, une épreuve, quoi ! Au lieu de ça je rencontrais un gout plutôt neutre et loin d'être désagréable, 

 

L'affaire n'eut pas de suite immédiate, mais me troubla profondément. 

 

Quelques mots là-dessus quand même, étant gosse, le caca ne me dérangeait pas, et je me moquais de mes petites camarades que la chose révulsait. En grandissant, je me suis rendu compte que j'étais bien seule sur ce sujet, je me suis dit alors que je n'étais peut-être pas très normale et j'ai refoulé tout ça.. Jusqu'au jour ou en surfant sur Internet j'ai découvert des petites vidéos où l'on voyait de jolies femmes s'amuser comme des folles en faisant de la scato. Ce jour-là j'ai dû rester l'après-midi sur Internet, la main dans la culotte.

 

C'est à partir de ce moment là que j'ai commencé à me doigter le cul, et quand le doigt sortait il allait directement dans ma bouche.

 

Quand j'étais très excité, j'allais plus loin, parfois je chiais dans le creux de ma main et portait mon étron à mes lèvres et je le léchais vicieusement.

 

J'ai ensuite voulu chercher une complice C'était il y a trois mois, j'avais passé une annonce sous pseudo en ouvrant une boite mail anonyme. Une nana m'a répondu, elle voulait savoir si j'étais une vraie femme, un travelo… Bref elle se faisait payer, je m'en fous j'ai du fric. On a pris rendez-vous, et j'avais quelques idées sur ce que je lui demanderais de faire. Sur place, j'ai un peu déchanté, la nana n'était pas conviviale pour un rond, pas un sourire, pas une once d'humour, une moue dédaigneuse et suffisante. Je lui ai juste demandé de chier devant moi : elle m'a fait un joli boudin bien moulé, mais quand elle m'a demandé si je désirais autre chose, j'ai préféré en rester là. 

 

Alors parfois dans mes fantasmes, quand je suis réellement trop excitée, je me rejoue la scène avec Julie, et parfois j'y incorpore des variantes. 

 

Se pourrait-il que Diane...

 

Je décidais de la provoquer... Dommage, je n'avais envie que de faire pipi...

 

- Je crois que votre chasse d'eau est de nouveau bloquée, je n'ai pas tirée la chasse, on ne sait jamais, je ne voudrais pas que vous soyez inondée...

 

Sa tête ! L'autre jour, elle était blanche, mais aujourd'hui elle est rouge. Elle cherche quelque chose à dire ! Mais rien ne sort, elle me regarde, elle a les larmes aux yeux. Je suis sans doute allé trop loin. Soudain elle se lève, se dirige vers la patère où j'ai accroché mon manteau, me le lance !

 

- Foutez-moi le camp ! Trouvez une autre prof ! Je n'ai pas de compte à vous rendre. C'est si facile de juger les gens !

- Mais je ne vous juge pas !

- Si ! Vous me prenez pour une folle ! Comme si les choses étaient si simples que ça ! Disparaissez, j'ai besoin d'être seule !

 

Moi qui pensais créer un déclic positif, j'ai raté mon coup, lamentablement ! Diane est manifestement au bord de la crise de nerf ! Il faut que je trouve quelque chose pour la désamorcer.

 

- Je peux vous aider ! Vous n'êtes pas folle, ce sont les autres qui ne vous comprennent pas !

- Qu'est-ce que vous en savez, vous êtes psychiatre ? De toute façon, je le sais que je ne suis pas normale ! Maintenant laissez-moi, s'il vous plait, laissez-moi !

- Diane, vous êtes parfaitement normale !

 

Elle ne répond pas, elle sanglote, je lui mets la main sur les épaules, mais elle se dégage. 

 

J'aurais pu la planter là, et la laisser avec ses étranges pratiques, mais que voulez-vous, ce doit être mon côté protectrice, je n'aime pas que les gens soient malheureux. Et puis elle est mignonne avec son petit bout de nez en l'air... Je comprends que la seule façon de s'en sortir ça va être l'ultra choc, mais ça va être à mes risques et périls car après il faudra gérer la suite :

 

- Diane, j'ai les mêmes fantasmes que vous ! C'est pour cela qu'il faut arrêter de vous mettre dans de tels états.

 

Elle continue d'abord de se rebiffer !

 

- Quels fantasmes ? Qu'est-ce que vous en savez qu'on a les mêmes fantasmes ?

- Si vous le souhaitez, la prochaine fois que j'aurais envie, vous pourrez regarder, ça ne me dérange pas du tout....

 

Elle fait des yeux tout ronds, incrédules.

 

- Vous aussi vous aimez ces trucs-là, alors ?

- Puisque je vous le dis !

 

Elle n'a plus envie de me foutre à la porte. Je raccroche mon manteau. Elle a l'air un peu paumée. 

 

- Ecoutez, je ne suis plus très motivée aujourd'hui pour faire une leçon de piano, revenez demain, nous aurons pris du recul, et nous verrons bien si nous pouvons comment dire… rester en contact.

 

J'étais dans un état d'esprit assez partagé, d'une part je regrettais qu'elle ait mis fin à notre rencontre alors que les conditions étaient réunies pour que l'on tente d'aller plus loin. Mais je me disais aussi que demain je pourrais caresser son corps et lui offrir le mien… à moins qu'elle ne se dégonfle… à moins que ce soit moi qui me dégonfle !

 

Le lendemain, je me suis retenue d'aller faire caca. Diane m'accueille, tout sourire, elle s'est passé une petite robe beige, sans manches, et légèrement décolletée, je lui tends la main.

 

- Il faut d'abord que je vous dise une chose ! Commence-t-elle

 

Qu'est-ce qu'elle va me sortir ?

 

- Pour les toilettes, faut que je vous explique, j'aime bien l'odeur de mon caca…

 

En me disant ça elle devient rouge comme une pivoine

 

- Donc je ne tire pas toujours la chasse et je ne m'essuie pas systématiquement. Comme je ne reçois personne depuis mon divorce, ça ne gêne personne. Alors quand vous avez insisté pour prendre les cours chez moi, je n'aurais jamais imaginé que vous auriez besoin d'aller aux toilettes. Si ça vous choque, on en reste là.

- Mais non, ça ne me choque pas du tout.

- Alors, on s'embrasse ? Me propose-t-elle ?

 

Je lui fais un chaste bisou, mais elle me reprend :

 

- Si nos relations prennent un tour un peu particulier, autant nous embrasser mieux.

 

Je n'ai rien contre, et on se roule un patin. Mais alors le patin de chez patin, celui qui bave jusqu'au menton.

 

- Et la deuxième fois, vous aviez oublié… Demandais-je, poussé par la curiosité.

- Non, j'ai été naïve, je me suis dit :"elle ne va quand même pas aller pisser à chaque fois qu'elle va venir !"

 

On rigole de bon cœur, Et toujours est-il que la prof à l'air enchantée, ravie de ma réaction.

 

- Je peux vous caresser ?

- Bien sûr

 

En fait, elle se contente de me caresser les bras par-dessus mon chemisier, comme érotisme on fait mieux, mais elle s'enhardit rapidement et me pose les mains sur les seins.

 

Je lui fais un sourire d'encouragement, elle continue un peu puis elle se recule, manifestement elle a envie de me dire quelque chose, mais ça a du mal à sortir.

 

- Claire !

- Oui

- Je me suis un peu retenue en vous attendant, mais maintenant il faut je le fasse… Euh, cela vous plairait vraiment de me voir chier ?

- Mais assurément !

- Vous n'imaginez pas quel plaisir je vais avoir à chier devant vous !

- Je crois que le plaisir sera partagé !

- Vous préférez que je sois nue !

- Oui bien sûr !

 

Elle se déshabille vite fait et se plante devant moi. Je réalise alors que la situation est incongrue dans la mesure où je suis restée habillée... je me déshabille à mon tour, elle ne bouge pas, elle m'attend.

 

Ses jolis seins m'attirent irrésistiblement, je les pelote, je suce un peu les tétons, elle me caresse aussi, on se roule un nouveau patin aussi baveux que le précédent.

 

- Euh, on fait comment ? Dans les toilettes, nous risquons d'y être un peu à l'étroit ! La salle de bain ?

 

Allons-y pour la salle de bain, où elle s'y accroupit.

 

- Je vais faire par terre, me prévient-elle. 

 

Elle cherche une serviette.

 

- A moins que je fasse sur vous ? Ce n'est peut-être pas dans vos pratiques ?

- Dans mes pratiques, non, mais dans mes fantasmes, oui ! Alors faisons comme ça ! Chez moi dessus, Diane ! 

 

Je m'allonge sur le sol, elle s'accroupit de nouveau mais cette fois au-dessus de ma poitrine. Elle commence à pousser, mais abandonne au bout d'un moment.

 

- Ça ne vient pas, on va attendre un peu. Je vais faire pipi d'abord.

- Pissez-moi dessus, Diane ! Dans la bouche, je veux vous boire !

- Hum, et si je vous crachais dans la bouche, un tout petit peu !

- Allez-y Diane.

 

J'ouvre la bouche, elle me crache une première fois.

 

- Je peux vous insulter, je veux dire en le prenant comme un jeu ?

- Mais bien sûr !

- N'hésitez pas à me rendre la pareille, ça n'en sera que plus excitant.

- Crache-moi dessus, salope !

 

Elle le fait et ça m'émoustille, elle rectifie la position.

 

- Ouvre la bouche, grognasse !

 

La "grognasse" ouvre la bouche, et je reçois son urine dans la bouche, c'est délicieux, je me régale, il y avait une éternité que je n'avais pas goûté une autre pisse que la mienne.

 

Quand elle s'arrête c'est pour m'informer que cette fois "ça vient" et qu'elle va pouvoir me chier dessus.

 

- Vas-y ! 

- On y va !

Diane

L'anus s'ouvre, un petit étron marron quémande la sortie, il grossit, c'est maintenant un magnifique boudin qui sort du cul de la prof de piano, il se détache et me tombe sur la tronche.

 

Je n'ouvre pas la bouche, je n'ose pas, pas encore. L'odeur de merde m'envahit, pas grave, c'est de la fraiche, je m'habitue.

 

Diane se recule, un autre étron descend de son cul, il est magnifique. Terriblement excitée je me délecte du spectacle. Que c'est beau une belle merde qui sort d'un joli cul !

 

J'ose ouvrir la bouche, ma langue touche un peu de la merde de Diane, C'est surprenant, c'est même plutôt bon. Du coup, je m'enhardis et je lèche davantage.

 

Diane m'enlève le plus gros de ce que j'ai sur le visage et me badigeonne le torse avec, me voila avec les seins tout merdeux. Elle en prend un peu dans sa bouche, le garde et viens m'embrasser.

 

Son petit étron passe de sa bouche dans la mienne, puis de la mienne dans la sienne, je deviens folle d'excitation, mes cuisses dégoulinent de mouille.

 

Elle aussi s'est badigeonné, on est dans un drôle d'état, excitées comme des puces.

 

Et c'est quasi spontanément qu'on s'est retrouvé en soixante-neuf. J'ai sa belle chatte devant ma bouche, je lèche, je suce son jus, mais je sens mon ventre qui gargouille.

 

- Je crois que j'ai vais chier à mon tour !

- Chic ! Je veux ta merde dans ma bouche !

 

Je chie une grosse merde, Diane en a plein la tronche.

 

Ensuite ce fut la douche, le rhabillage, la cigarette, une bière.

 

- Je vais y aller…

- On se reverra ? Demande-t-elle avec une pointe d'angoisse dans la voix.

- Evidemment, j'ai vraiment besoin de vraies leçons de piano !

 

FIN

Scato hard, uro, doigtage anal féminin, lesbos,

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 8 novembre 2021 1 08 /11 /Nov /2021 17:43

Florence, femme soumise par Firmin Dumigron 

stamp slave

 

Lorsque je suis entré dans la chambre, Florence s'y trouvait déjà…

 

Nous avons tous les deux la quarantaine, j'ai rencontré Florence un peu par hasard il y a environ un an. Elle était attablée au bistrot et chialait comme une madeleine. Je n'aime pas voir les femmes pleurer. Je suis allé la consoler, elle a mis un certain temps à m'expliquer que son jules venait de la quitter pour une autre et qu'elle ne savait même pas où dormir.

 

Je l'ai donc invité à venir chez moi. Nous n'avons pas baisé de soir-là, mais le lendemain on s'en est donné à cœur joie. Et tout de suite elle s'est révélée soumise et maso. Voilà qui tombait bien puisque je suis un tantinet dominateur.

 

Elle est brune, les cheveux longs, un beau visage avec un nez mutin, elle a une jolie poitrine dont les tétons s'ornent de piercing en anneaux.

 

Je suis cadre dans une grosse boite d'édition, et comme elle était sans travail, je lui ai obtenu un poste de traductrice qu'elle exerce à la maison.

 

Ce jour-là je suis rentré du boulot à 18 heures, un mot m'attendait :

 

"J'ai envie que tu me corriges, viens me rejoindre !"

 

Je criais : "j'arrive dans cinq minutes" 

 

Le temps de retirer ma veste et mes chaussures et d'aller faire pipi, non pas pipi, le pipi ce sera pour elle !

 

Elle était vêtue d'une simple chemise de nuit qui laissait découverts ses seins et ses épaules et lui descendait aux mollets, elle était debout au pied de son lit. Elle s'était attaché les mains à l'aide d'une corde fixée à la barre du lit. 

 

Je viens m'asseoir tranquillement dans un fauteuil.

 

- Quelle correction ce soir ? Demandais-je

- Je veux que tu me fouettes les épaules et les seins avec le petit bouquet d'orties fraîches que je t'ai cueilli ce matin ! Ensuite je voudrais douze coups de martinet sur les fesses !

- A nu ? 

- Evidemment !

 

J'ouvre une boite en carton dans laquelle se trouvaient rangée une dizaine de tiges d'orties bien garnies de feuilles. Florence avait entouré l'extrémité des tiges avec du papier d'aluminium afin d'éviter que je me pique. Délicate attention ! Je dénoue les rubans qui retenaient la chemise de Florence aux épaules. Elle tombe par terre, se retrouvant toute nue. Les épaules, le dos gracieusement incurvé, la poitrine bombée, les seins droits et blancs m'apparurent. 

 

- Baisse ta tête, poufiasse, pendant la correction… Et je ne veux pas t'entendre !

 

Je brandis le bouquet d'orties, commence à flageller mollement les épaules les seins, le dos et les flancs de Florence. Elle se met à gémir tout doucement tandis qu'elle remue son buste en tous sens sous l'action cuisante des plantes urticantes. 

 

- Je te défends de bouger ! Morue ! Baisse la tête sinon je te donne vingt-quatre coups de martinet sur le cul au lieu de douze ! T'as compris, trainée ?

 

Florence ne bouge plus. Maintenant la peau tout entière est rouge. Je décide d'arrêter la flagellation aux orties mais j'exige que ses fesses soient bien tendues. 

 

- Tu vas être une bonne fille, n'est-ce pas? Une bonne et sage fille, bien soumise, bien obéissante ? Penche-toi encore un peu, je vais te donner tes douze coups de martinet sur tes fesses de salope. 

 

DumigronFlorence se penche en avant. Je lui passe la main gauche sous l'estomac, au creux, pour la soutenir et armée du martinet, je lui demande de compter les coups qu'elle désirait recevoir. Sur ses fesses tendues, le premier coup, donné en travers des fesses, je l'applique très bas, presque sur les cuisses, Florence sur ce coup rebondit en tressaillant tout entière en même temps que l'on entend le bruit de grêle des six lanières du martinet s'abattant presque simultanément et d'une voix étouffé Florence compte "un". 

 

Le second coup suit presque aussitôt, puis le mouvement se précipite. Florence est fouettée avec force et rage, sans que je donne une seconde de répit au pauvre derrière corrigé. Un dernier coup donné sur ses fesses rouges et boursouflées et Florence prononce avec soulagement le dernier chiffre. Je pose le martinet sur le lit. Je palpe un instant la partie fouettée, vérifiant si elle était suffisamment échauffée par le fouet. 

 

Je détache les mains de Florence, qui se frictionne sans pudeur aucune, puis s'agenouille et vient vers moi… sur les genoux

 

- J'ai soif !

 

Alors je sors ma bite bandée de ma braguette, attend un petit moment et me met à pisser d'abondance dans son adorable petite bouche.

 

Ma miction terminée, je suis branlé un petit peu pour redonner vigueur à mon membre. Elle l'a pris entre ses lèvres et m'a sucé jusqu'à la jouissance. Vicieusement elle ouvre sa bouche remplie de sperme, puis se relève et me demande de l'embrasser.

 

Drôle de fille !

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 5 novembre 2021 5 05 /11 /Nov /2021 15:41

La mouche - 3 – Telle mère, telle fille.par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne

Stamp MD

 

Carole rencontre une femme intrigante dans une salle de sport, Carole la surnomme « la mouche » mais elle se fait appeler « Madame Isabelle ». Celle-ci l’emmène chez elle, et lui montre ses talents de dominatrice en punissant sévèrement la bonne. Carole ayant confié à la « mouche » les rapports particuliers qu’elle entretenait avec sa fille, se fait inviter chez elle, le but étant de s’arranger pour l’emmener dans son donjon…

 

Carole avait accepté avec l’impression de se lancer à l’eau, elle ignorait comment sa fille de 19 ans allait réagir et cela l’angoissait, mais elle se disait aussi que Madame Isabelle savait ce qu’elle faisait.

 

Carole n’avait pas invité « la mouche » à diner. Comment aurait-elle pu rivaliser avec la table succulente qu’elle lui avait servie chez elle ? La différence de classe était énorme. Ce serait donc juste un apéritif, tous les gens ne deviennent-ils pas égaux devant un Martini avec des glaçons et une rondelle de citron ?

 

Actuellement Elodie faute de mieux travaille à mi-temps dans un magasin de fringues à bon marché. A 18 heures elle rentre à la maison et embrasse sa mère.

 

– J’ai mal aux fesses ! Lui dit Carole

– Voilà ce que c’est d’abuser de la salle de sports !

– Non ce n’est pas ça, j’ai rencontré une nana qui m’a donnée une fessée !

– Pardon ?

– Une jolie femme, dans la salle de sport justement, elle m’a dragué, je me suis laissé faire.

– Et elle t’as donnée une fessée ?

– Oui, c’était très… comment dire ? Très érotique, très sensuel !

– Elle fesse mieux que moi ?

– C’est différent, toi tu aimes mieux recevoir que donner.

– Bon, qu’est-ce qu’on mange ?

– Il reste du poulet, mais j’ai invité la fille pour l’apéro.

– Ah ? Répondit Elodie sans enthousiasme.

 

Carole téléphona discrètement à « la mouche » pour lui confirmer le rendez-vous et lui décrire comment elle avait annoncé sa venue à sa fille.

 

Madame Isabelle est là à l’heure, offrant à ses hôtes une bouteille de whisky pur malt. Elle s’est habillée de façon quasi provocante, pantalon et blouson en vinyle. On se présente ! Elodie n’a fait aucun effort de toilettes et après avoir pris une douche s’est revêtue d’un jogging gris trop ample,

 

On s’installe autour de la table basse, on remplit les verres, « la mouche prend un Martini » Carole le whisky, non pas par préférences mais par politesse. Elodie se contente d’un jus d’orange.

 

La conversation a du mal à s’installer, alors on parle de la météo épouvantable et de la circulation difficile.

 

Elodie a envie de sonder cette inconnue qui la fascine :

 

– Alors comme ça vous fréquentez la salle de sport ?

– En fait je viens juste de m’y mettre…

– Et si j’ai bien compris vous avez fessé ma mère ?

– C’était un jeu !

– Je n’en doute pas Et vous aimez faire ça !

– J’adore ! Et quand une personne a de jolies fesses, comme votre maman, c’est encore mieux.

– Et ça vous intéresserait de me donner une fessée, à moi ?

 

Madame Isabelle n’en revient pas que les choses aillent si vite, mais cela n’est pas pour lui déplaire.

 

– Pourquoi voudrais-tu une fessée, tu as fait des bêtises ?

– Vous avez besoin d’un prétexte pour me fesser ?

– Non mais ce serait mieux !

– Alors j’ai piqué le gode de ma mère, j’avais trop envie de me le foutre dans le cul ! Ça ira comme prétexte ?

– Oh la vilaine fille ! S’écrie Madame Isabelle, entrant dans le trip, retire-moi ce pantalon trop moche et viens t’allonger sur mes genoux.

– Maman, tu vas la laisser faire ? Demande Elodie, joueuse.

– Bien sûr ! Ça t’apprendra à me piquer mon gode.

 

Elodie se débarrasse de son pantalon sous lequel ne logeait aucune culotte.

 

– Oh ! Le joli cul ! S’exclame Madame Isabelle. Il est aussi beau que celui de ta mère… Bien que pour comparer, il faudrait que tu te mettes aussi les fesses à l’air, Carole !

 

Carole à son tour enlève le bas, la mère et la fille sont maintenant côte à côte, Madame Isabelle leur pelote le cul sans vergogne à la façon d’un maquignon à la foire aux bestiaux.

 

– Humm, difficile de départager, mais ce sont de vrais culs de putes. Ça ne te gêne pas Elodie d’avoir un cul de pute ?

– On ne me l’avait jamais dit, mais ça ne me gêne pas du tout !

– Petite effrontée ! Allez viens te coucher sur mes cuisses, tu vas l’avoir ta raclée

 

Elodie obtempère et offre ses fesses aux instincts sadiques de la « mouche », en ponctuant ses coups d’insultes diverses et variés.

 

– Tiens ! Jeune dévergondée ! Tu es aussi salope que ta mère !

– Aïe !

– Tiens putain !

– Ouille !

 

En fait Madame Isabelle est peu habituée à prodiguer des fessées à mains nues, et ne tarde pas à ressentir de la douleur dans les mains, tandis que le cul de la belle Elodie se met à virer au cramoisie.

 

– Bon j’arrête, tu as eu ce que tu méritais, mais je vais te dire un secret !

– Un secret ?

– Oui, tu m’as fait mouiller

– J’en suis fort aise, chère madame.

– Tu dis ça mais je suis sûre que tu ne me crois pas !

– Si, si !

– Je vais te montrer quand même !

 

La « mouche » ôte son pantalon, elle ne mentait pas, la mouille lui dégoulinant sur les cuisses.

 

– Je ne peux pas rester ainsi ! Dit-elle.

– Et que voudriez-vous que je fisse ?

– Que tu me lèches !

– Et pourquoi moi et non pas Maman ?

– Justement j’y pensais ! Mais tu ne vas pas te défiler ! Vous allez me lécher le minou toutes les deux !

– On le fait Maman ? Demande Elodie.

– Je crois bien que nous allons le faire !

– Mettons nous toutes à poil propose madame Isabelle, ce sera plus fun..

 

Et tout en disant cela, elle dézippe la fermeture éclair de son blouson de vinyle… elle n’avait rien en dessous.

 

– Alors ma salope, ils te plaisent mes nichons ?

– Je peux les embrasser ? Demande Elodie.

– Oui, tu pourras, mais pas maintenant, pour l’instant ça va être du broute-minou.

 

Elle s’installe sur le canapé, les jambes écartées, Elodie et sa mère viennent lui butiner la chatte, pas facile de faire ça en même temps mais en pratiquant de façon alternative, ça le fait très bien.

 

– Stop ! Dit « la mouche » au bout d’un moment, vous avez de la mouille plein la bouche, j’aimerais vous voir vous embrasser.

 

La suggestion amuse Elodie qui ouvre les lèvres et approche sa bouche de celle de sa mère, l’instant d’après elles se roulaient un patin.

 

– C’est bien ce que je pensais, vous êtes des vraies salopes, continuez à me lécher ! Oui comme ça, l’une après l’autre…

 

Madame Isabelle eut la jouissance aussi fulgurante qu’humide. Carole très excitée aurait bien joui, Elodie aussi, mais elles n’étaient plus maîtresses du jeu.

 

– Vous m’avez l’air bien excitées toutes les deux, si vous voulez on va arranger ça, mais c’est moi qui vais vous dire comment cela va se passer. D’accord ?

– Pourquoi pas ? Répondit Elodie.

– Vous allez vous mettre toutes les deux en soixante-neuf, j’ai assisté à pas mal de turpitudes mais je n’ai pas encore vu une mère et une fille se gouiner devant moi ! Alors vous allez m’offrir ce spectacle ! Objections ?

 

Les deux femmes ne répondent même pas, se positionnent comme il se doit et se gamahuchent jusqu’à l’extase.

 

Elles se relèvent, épuisées. Carole ressert des apéritifs et la « mouche » s’adresse à Elodie :

 

– Tu es très soumise, n’est-ce pas ?

– Par jeu, uniquement par jeu !

– Et tu serais capable d’aller plus loin que des fessées ?

– Oui !

– Alors si tu veux, je vous emmène toutes les deux chez moi, j’ai un sous-sol aménagé dans lequel je peux faire plein de misères à mes esclaves du moment. Ça te dit ?

– Je ne me laisse pas faire n’importe quoi ?

– Ce ne sera pas n’importe quoi, un peu de flagellation, de bondage, de pinces et aussi quelques humiliations à ma manière !

– Je ne veux pas de trucs dangereux…

– Il n’y en aura pas et on emploiera un mot de sécurité !

– C’est quoi ça ?

– Par exemple si tu dis une fois « roudoudou », j’arrête ce que je fais et je passe à autre chose. Si tu dis deux fois « roudoudou », on arrête tout. Mais ça c’est la théorie, j’ai acquis une certaine habitude et je suis capable de deviner ce que vont supporter ou non mes soumises.

– Mwais… et on ferait ça quand ?

– Mais tout de suite, si tu veux, on se rhabille et on monte dans la bagnole !

 

***

 

C’est Annie, la soubrette délurée qui ouvre aux trois femmes.

 

– Nous allons descendre à la cave ! Lui dit « la mouche ». Prépare-nous un repas pour trois personnes que tu serviras dans une heure et demie.

– Bien Madame !

– Tu vois j’ai ramené l’autre salope avec sa fille ! Ce sont vraiment des trainées, elle se sont gouinées devant moi !

– La mère et la fille ?

– C’est comme je te le dis !

– Mais c’est très mal, ça, ça mérite une bonne punition !

– Justement c’est prévu ! Tu aurais aimé voir ça, je suppose ?

– Oui bien sûr !

– Mais ça, ce n’est pas dans mes intentions, file en cuisine et réserve nous un bon pinard.

 

Elodie exprime alors le souhait de satisfaire un petit besoin naturel avant de passer à autre chose.

 

– Pas question, tu te retiens, on gérera ça en bas.

 

Une fois dans le donjon, Madame Isabelle ordonne à ses « invitées » de se déshabiller, ce qu’elles font sans rechigner. Elle demande ensuite à Carole de se coucher sur le sol.

 

– Elodie tu as envie de pisser, si je ne m’amuse ?

– Ben oui !

– Et bien tu vas pisser sur ta mère !

– Quoi ?

 

Elodie croise le regard de sa mère, y cherchant un quelconque signe de désapprobation, mais c’est le contraire qui se produit, Carole opine du chef en signe d’assentiment.

 

Résignée, Elodie enjambe sa mère et se positionne au niveau de son ventre, mais elle bloque.

 

– Ben alors, mademoiselle ne peut pas pisser ? Se moque madame Isabelle.

– C’est que je n’y arrive pas !

– Voilà qui est fâcheux ! Ne bouge pas, reste comme tu es !

 

Madame Isabelle se saisit d’une cravache !

 

– Ton cul est déjà rouge, mais bon, un peu plus, un peu moins…

– Aïe !

 

Cinq coups de cravache viennent zébrer les fesses de la pauvre Elodie.

 

– Alors tu pisses ?

– J’essaie.

 

Elodie se concentre, essaie de faire le vide dans son esprit mais sa vessie refuse de se vider.

 

– En te cravachant le ventre et les nichons, ça va peut-être venir.

– Non !

– Ta gueule !

 

La cravache cingle son ventre, Elodie crie de douleur, la « mouche » arme de nouveau son instrument.

 

– Non, je crois que ça vient, juste une seconde !

 

Effectivement, le jet doré commence à jaillir se sa source.

 

– Et maintenant, tu avances en pissant vers son visage !

 

Carole comprend ce qui va se passer et ouvre la bouche, geste qui stoppe Elodie dans son élan. Mais la mère lui fait de la main signe de continuer d’avancer.

 

Et c’est le cœur battant et le rouge aux joues qu’Elodie finit de faire son pipi dans le gosier de sa propre mère qui s’astreint à avaler ce qu’elle peut.

 

Sa miction terminée, Elodie se déplace sur le côté, elle est chancelante, mais n’a pas employé le mot de sécurité. Quant à Cadole elle est aux anges.

 

– Quelle humiliation ! Se faire pisser dessus par sa propre fille ! J’en suis tout émoustillée ! Mon dieu, je mouille comme une éponge !

– C’est vrai, maman, C’est dingue ce qu’elle nous a fait faire !

 

Carole se relève, elle embrasse sa fille… sur la bouche évidement…. Et profondément.

 

– C’est très bien, mes chéries, Nous allons passer à autre chose.

 

A l’aide de menottes fourrées, Madame Isabelle attache les mains des deux femmes derrière leur dos puis s’emparant d’épingles à linges, elle leur fixe sur les tétons, enfin avec l’aide d’une chainette elle relie le téton droit de Carole au téton gauche de sa fille et inversement…

 

Mouche3La « mouche » se saisit à nouveau de la cravache et s’en va fouetter les cuisses, le dos et les fesses des deux femmes qui gigotent en tous sens, faisant s’étirer les chainettes et leur provoquant des cris de douleur. Elle agit avec beaucoup de sérieux, prenant garde à ce que les chainettes ne se tendent pas de trop, mais c’est surtout pour faire durer le plaisir parce que le final est terrible. Elle abat sa cravache sur les chainettes faisant voler les pinces et crier les deux soumises qui s’étreignent en pleurant tandis que « la mouche » les libère des menottes.

 

Madame Isabelle s’en va dans un coin et utilise son téléphone portable, puis elle s’assoit et attend. Les deux femmes restent plantées au milieu de la place, se demandant quels diaboliques sévices va encore leur tomber dessus.

 

Et voilà qu’arrive un bonhomme, la quarantaine, grosse moustache, il tient en laisse un gros labrador noir qu’il fait se coucher à l’entrée.

 

– Voici Roger, mon régisseur et jardinier, vous savez il y a toujours quelque chose à faire dans ces grandes baraques… Le chien c’est Zoltan, mais on va faire les choses dans l’ordre, vous n’aimez pas les hommes me semble-t-il ?

– Pas trop, non ! Répond Elodie

– Ça tombe bien, sinon ce n’aurait pas été une punition. A poil Roger !

 

Les deux femmes se regardent, résignées tandis que Roger exhibe maisnteant une vraie bite de complétion qu’il branle énergiquement pour la rendre très raide.

 

– Allez les putes, allez sucer Roger, l’une devant l’autre derrière, faites comme vous voulez, de toute façon on invertira les rôles au bout d’un moment.

 

C’est Carole qui spontanément se place derrière, ne voulant pas laisser la pose la plus « humiliante » à sa fille, et elle qui n’a pas eu de rapport avec un homme depuis bien longtemps se met à lécher le trou du cul du bonhomme, un trou du cul qui est loin de sentir la rose. Et pendant ce temps-là, Elodie lui suce la bite, elle a d’ailleurs conscience de le faire très mal. Hé, c’est qu’elle n’en pas sucé beaucoup dans sa jeune vie ! Une ou deux, l’histoire ne le dira pas.

 

– Ça se passe bien ! Demande la « mouche »

– J’ai l’impression qu’elle ne sait pas sucer, on sent ses dents ! Répond le moustachu.

– D’accord, j’ai du pain sur la planche si je veux en faire une bonne pute. Allez les filles on alterne.

 

Elodie est rouge de honte, la tentation de laisser tomber tout ça l’effleure, mais comme sa mère semble à l’aise, elle n’en fait rien. L’anus de Roger est maintenant tellement imprégné de salive que le gout en est devenu neutre. Carole suce la bite avec application, elle n’a rien contre les bites, ce qu’elle ne supporte plus ce sont leurs propriétaires, mais présentement ce genre de relation n’ayant rien d’affectif, elle peut se lâcher et même y trouver un certain plaisir.

 

Mais Carole fait signe d’arrêter et demande aux deux femmes de se mettre en levrette.

 

– Mieux que ça, le cul cambré, les jambes écartées, Roger va vous enculer l’une après l’autre.

 

Elles n’hésitent même pas ! A quoi bon d’ailleurs ? Elles se contentent de prier les dieux de la baise que l’homme ne fasse pas usage de brutalité.

 

Il commence par la mère, l’introduction se fait sans aucune douceur. Eh oui une bite ce n’est pas comme un gode où l’on reste constamment maîtresse du jeu. Et les premiers instants sont pénibles, ensuite ça va mieux et ça commence même à être plutôt agréable, mais Roger décule, change de capote et s’en va enculer la fille qu’il gardait pour le dessert.

 

– Doucement, doucement !

– Je vais doucement !

– Ah bon !

 

Mais excité comme il est Roger ne tient pas la distance et jouit dans le fondement d’Elodie en meuglant comme un veau qu’on égorge.

 

– Merci Roger, maintenant amène le chien au milieu et vas t’assoir sur une chaise. Lui dit la « mouche »

– Je ne fais rien avec le chien ! Proteste Elodie !

– Essaie au moins !

– Non !

– Et on peut savoir pourquoi ?

– Ça ne me branche pas, c’est tout !

– Et toi Carole ?

– Qu’est que tu voudrais que je fasse ? Que je suce le chien ?

– Pas forcément ! Pour l’instant ne bouge pas je vais vous montrer quelque chose.

 

La « mouche » sort d’un petit placard une boite de conserve de pâté pour chien et l’ouvre, elle enlève ensuite son pantalon et s’enduit le pubis et la chatte d’un peu de pâté.

 

– Viens Zoltan, viens mon chien .

 

Le chien hésite mais elle l’attire avec son doigt qu’elle rapproche insensiblement de son bas ventre. Le chien cette fois comprend, sort une large langue et viens lécher tout ça !

 

– A quelle langue, mes chéries quelle langue ! Tu m’as bien léché tu es un bon chien.

 

Il est content Zoltan, il remue la queue en tous sens, mais il n’y a plus de pâté.

 

– A toi, Carole !

– C’est pas dangereux ?

– T’en a d’autres des questions idiotes, allez lance-toi.

 

Carole se tartine à son tour et se laisse lécher par le chien.

 

– Je suis vraiment une salope ! Commente-t-elle

– Je ne te le fais pas dire. A toi Elodie.

– J’ai dit que je ne voulais pas !

– Jusqu’à présent ça n’a tué personne ! Carole empêche-la de bouger je vais lui tartiner la chatte.

 

Carole hésite, voilà une façon de procéder qui n’a plus rien à voir avec le consentement, mais elle se dit aussi que si vraiment sa fille veut quitter le jeu, il y a le mot de sécurité, alors elle l’immobilise, mais Elodie ne se débat pas et se laisse faire. Et quand le chien vient lui laper la chatte elle se met à rigoler de bon cœur !

 

– C’est pas possible une langue pareille !

 

Madame Isabelle fait ensuite coucher le chien sur le côté et lui tripote la bite, celle-ci ne tarde pas à émerger de son fourreau et de présenter une belle raideur, sans hésiter elle porte l’organe en bouche.

 

– C’est quand vous voulez les filles ! Leur dit-elle en leur faisant signe de la rejoindre.

 

Elodie n’est pas du tout décidée, mais Carole hésite.

 

– Bon alors ? Vous vouliez être humiliées, c’est pas une bonne humiliation, ça de sucer la bite d’un chien ?

 

L’argument est sans aucun doute idiot mais il fonctionne et Carole se lance, timidement mais elle le fait .

 

– Mais c’est épouvantable de faire ça ! S’écrie Elodie qui à la surprise générale se lance à son tour et goute brièvement la bite du chien.

– C’est bien Elodie, je t’avais promis que je te laisserais me lécher les seins, tu peux y aller maintenant.

 

La bouche d’Elodie s’approche du téton droit de Madame Isabelle, il est tout érigée d’excitation, tout dur. Inutile de préciser qu’Elodie se régale

 

– Pour vous les tortures sont terminées, nous allons monter déguster ce que nous préparé Annie mais avant je vais vous offrir un petit spectacle. Ah ! Vous auriez aimé jouir, mes chéries, et bien faites-le en me regardant…

 

Le « mouche » extrait du placard une paire de grosses chaussettes qu’elle enfile sur les pattes avant du chien, elle se met en levrette et attire le quadrupède qui la monte et qui la bourre.

 

Carole et Elodie n’ont regardé que le début, elle se sont rapidement enlacées, caressées, pelotées, embrassées, léchées et c’est en position de soixante-neuf quelles firent éclater leur plaisir.

 

Ce qui clôt la partie sexe de cette folle soirée qui se termina dans une bonne ambiance autour d’un délicieux canard à l’orange et d’un Pommard millésimé.

 

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Images Aléatoires

  • Leiris06b
  • Sarah7
  • Lilly04
  • chanette15d
  • Plan Vargala
  • Bellyvuo24 03

Derniers Commentaires

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés