Mardi 2 novembre 2021 2 02 /11 /Nov /2021 15:13

La descente aux enfers de Madame Grenet par Irénée Vardin

Stamp sodo2

Je m'appelle Julien, j'ai 25 ans et travaille dans un cabinet d'assurance depuis quelques mois. Je suis tout à fait ordinaire, mon physique est quelconque, mais je suis très doué en l'informatique. Je suis au service comptabilité et directement sous les ordres de madame Grenet, la directrice financière. Cette femme d'une quarantaine d'année, plutôt belle, toujours habillée strictement est un cauchemar pour tous les employés du service qu'elle se plait à humilier. Hautaine et fière, méprisante, personne n'ose la contredire et ses désirs sont des ordres. 

 

Mais dans le comportement de madame Grenet, il y a une faille. Et je l'ai trouvée. J'ai remarqué que chaque vendredi, une rubrique comptable était débitée de petites sommes ne dépassant jamais quelques centaines d'euros. Quelqu'un préparait-t-il ses week-ends ?

 

Après de longues recherches, J'ai découvert grâce aux références du compte crédité que c'était la directrice financière elle-même qui se servait ! Ah l'informatique ! Après avoir réfléchi, je décide de ne pas laisser passer une si bonne occasion.

 

Je rédige un rapport détaillé à l'attention de la direction parisienne de la société en me donnant le beau rôle évidemment, J'espère ainsi obtenir une promotion substantielle. Mais avant je veux avoir le plaisir d'en informer ma directrice afin de l'humilier à son tour.

 

Le jour venu, je demande à la secrétaire de madame Grenet un rendez-vous en précisant que c'est important et urgent. En entrant dans le bureau, je ressens un moment de grande jubilation. Madame Grenet est assise derrière son bureau et sans lever la tête me dit :

 

- J'espère que c'est important ? 

- En effet, j'aimerai vous montrer ces documents, puis-je me servir de votre PC ?

- Oui, mais dépêcherez-vous je n'ai pas que ça à faire…

 

J'introduis une clé USB dans le lecteur.

 

- Depuis quelque temps, j'ai remarqué des irrégularités comptables qui je crois vont vous intéresser

- Ah ?

 

Madame Grenet regarde l'écran, son visage blêmit…

 

- Comment avez-vous ? … 

- Par hasard !

 

Je commence à savourer son triomphe.

 

- Au siège de Paris, ils ne vont pas apprécier les fraudes de leur directrice financière. 

- Nous pouvons nous arranger, dit-elle d'une voie plus douce, je vous donne la moitié des sommes. 

- L'argent ne m'intéresse pas… Répondis-je jouant les grand seigneurs.

- Alors, vous comptez faire quoi ? 

- Prévenir Paris ! Mais avant je voulais m'amuser à vous l'annoncer, rien que pour voir votre bobine ! Vous faites moins la fière maintenant !

- Connard !

- N'aggravez pas votre cas !

- Bon foutez le camp de mon bureau ! 

- Bonne continuation, Madame Grenet !

 

Je vais pour sortir, savourant ma vengeance.

 

- Attendez ! Ne me dites pas qu'il est impossible de s'arranger !

- Si, c'est impossible ! 

- Vous vous prenez pour quoi, pour le chevalier blanc ? Vous êtes sans doute un saint, vous ?

 

Et c'est à ce moment là que j'ai eu l'idée de lui faire une réplique salace.

 

- Il y aurait bien une solution…

- Je savais bien…

- Ce serait que tu deviennes mon esclave sexuelle.

- Hein ? S'esclaffe-t-elle en rougissant comme une pucelle

- On pourrait commencer, ce soir, je te fouetterais ton gros cul de salope avant de t'enculer comme une chienne.

 

La tronche qu'elle tire ! Madame Grenet reste stupéfaite et hébétée durant quelques minutes. Jamais elle n'aura imaginer une telle issue. Que faire ? Si au siège, cela se sait, sa carrière est fichue, sans oublier les éventuelles suites judiciaires.

 

Je me dirige à nouveau vers la porte

 

- Attendez, je suis d'accord !

- Sans blague ?

- Puisque je vous le dit ! On ferait comment ?

- Je vais te donner mon adresse, à 19 heures, tu sonneras chez moi, je te veux habillée en pute, décolleté, escarpins, porte-jarretelle… 

 

A 19 heures précises elle sonnait à l'interphone de mon immeuble, je lui ouvris et lui précisait l'étage et la porte.

 

-  Entre, grosse pute et donne-moi ton manteau ! 

 

Elle est superbe moulée dans un tailleur pied de poule, ses cheveux en chignon lui donnent un air encore plus sévère.

 

- Pose ton gros cul sur la chaise ! Tu devines ce qui va t'arriver ?

- Oui, je vous demande simplement de ne pas abuser de la situation.

- T'es pas en position de discuter, ma vieille ! Si tu n'as pas confiance, tu te casses et demain j'envoie mon rapport à Paris.

- Bien, je suis à votre merci !

- Tu portes quoi sous ta jupe ?

- Des bas 

- Fais voir ! !

 

Madame Grenet remonte sa jupe jusqu'à la lisière des bas.

 

- Maintenant je te veux à poil !

- Complètement ?

- Evidemment abrutie !

 

GranetPutain, elle a une de ses paires de doudounes, la directrice, Je m'empresse de les malaxer et d'en sucer et d'en mordiller le bout. Bizarrement ça n'a pas l'ai de lui déplaire. Je lui accroche des pnces à linges au bout des tétons. Oh, la vilaine grimace qu'elle me fait. Alors par pur sadisme je les retire… pour les remettre aussitôt.

 

- Aïe !

- Supporte connasse ! On t'as déjà dit que tu avais une bouche à tailler des pipes ?

- Euh, non ?

- Ben maintenant tu le sauras ! Tu va fouiller dans ma braguette et me sortir la bite, ensuite tu la mettras dans ta bouche.

- Maintenant ?

- Bien sûr que c'est maintenant, pas dans 8 jours, conasse ! A genoux et au boulot !

 

Madame Grenet s'agenouille entre mes jambes de Julien. Elle défait la ceinture et ouvre la braguette du pantalon. Elle sort du slip ma verge gonflée de désir.

 

- Allez, salope, en avant et commence par me donner des petits coups de langue, comme une bonne bourgeoise. 

 

Morte de honte, elle s'exécute. Le gland devient tout mouillé, je suis fou d'excitation.

 

- Suce-moi à fond !

 

La bouche enroule la verge et commence un long va-et-vient.

 

- C'est bien, continue, et surtout avale tout. Comme c'est bon de se faire sucer par sa directrice ! Aaaah, madame Grenet est une suceuse, Aaaah ! Aaaah ! Avale tout !

 

Ça a été trop vite, mais la soirée est à peine commencée.  Et j'ai quelques idées.

 

- Bon, ça m'a creusé tout ça ! Tu vas aller dans le frigo, il y a des œufs et du gruyère râpé , tu vas me faire une bonne omelette.

- Une omelette pour une personne ?

- Non pour deux, je ne voudrais pas que tu meures de faim.

- Je me rhabille ?

- Non !

- A quelle heure je vais pouvoir partir ?

- J'en sais rien !

 

Je regarde nonchalamment la télé pendant qu'elle est en cuisine.

 

- On mange où ? Demande- t-elle quelque minutes plus tard !

- Moi ici ! Et toi par terre !

- Par terre ?

- Ben oui les chiennes, ça bouffe par terre !

 

Quelle humiliation pour cette femme hautaine de devoir manger par terre, complètement nue. Me voilà de nouveau en train de bander.

 

J'attends qu'elle ait terminé son assiette, je n'aime gâcher la nourriture, puis je m'empare de ma ceinture et sans prévenir commence à lui cingler le cul en l'insultant !

 

- Tiens grosse pouffe, tiens morue !

- Aïe !

- Ta gueule !

 

Quand elle eut le cul bien rouge, je lui ai demandé de se mettre en levrette et je l'ai enculé. Elle a grogné au début, disant que ça lui faisait mal, mais je n'ai rien voulu entendre, et à ma grande surprise quelque minutes plus tard, elle en redemandait presque et c'est mise à joui du cul ! La salope !

 

Après m'être retiré, j'avais comme une envie de pisser. Idée !

 

- A genoux ! Chiennasse ! je vais te pisser dans la bouche !

- Non…

- Comment ça "non" ?

 

Elle a ouvert la bouche, manifestement elle n'avait jamais pratiqué ce genre de choses. Mais elle fit contre mauvaise fortune, bon cœur !

 

- Maintenant rhabille-toi et rentre chez toi ! Désormais chaque fois que j'aurais envie de m'amuser avec toi tu devras venir ! D'accord ?

- Puisque je ne peux pas faire autrement !

 

Voilà comment à commencer la déchéance de madame Grenet. Elle y a pris goût. Nos rapports sont toujours basés sur la domination mais une certaine complicité s'est installée entre nous à ce point que parfois c'est moi qui fait l'esclave !

 

Et l'argent détourné demanderez-vous ? Eh bien on se le partage. Et grâce à mes connaissances informatiques le détournement est maintenant bien sécurisé.

 

Un jour une mission d'audit a été annoncée, Pas grave, un vilain virus informatique a détruit tout l'historique des opérations comptables. La direction parisienne nous a infligé un blâme pour ne pas avoir installé un antivirus efficace. Ça nous a bien fait rigoler !

 

Fin

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Irenée Vardin
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 1 novembre 2021 1 01 /11 /Nov /2021 18:01

En revenant de Paris par Belle-Cour

blob

Je revenais de Paris après un week-end plutôt ennuyeux chez ma tante dont je venais de faire connaissance après 19 ans de vie.

 

Je montais dans le TGV et m'apprêtais un voyage plutôt ennuyeux à écouter ma musique et à faire des mots fléchés quand une belle blonde mature pris place juste devant moi.

 

Le train démarra et discrètement je commençais à loucher sur ma voisine. Elle avait les cheveux longs (fausse blonde), des yeux verts magnifiques, portait un tailleur vert amande et un décolleté à faire bander un monastère. Elle devait avoir une quarantaine d'années peut-être plus et était fort bien conservée. Rien qu'à la regarder mon sexe commença à grossir et à former une bosse sur mon pantalon. 

 

Elle avait sorti la plaquette et avait commencé à travailler sur son pc portable lorsqu'elle fit tomber un tas de feuille devant elle. Elle se pencha sur moi et essaya de les attraper mais n'y arrivait pas. Quelle vue, elle ne portait pas de soutif et j'eus tout le loisir d'admirer sa poitrine très ferme et d'une rondeur exceptionnelle. Je me suis pressé de lui ramasser les feuilles juste devant moi en admirant ces jambes et en lui redonnant. Pendant ce temps j'aperçus des notes juste au bas de ces pieds et m'excusai pour aller les ramassés. (il est bien évident que j'espérais pouvoir entre apercevoir sa petite culotte) mais qu'elle ne fut pas ma surprise de voir qu'au lieu de serrer ces jambes afin de ne me rien laisser entrevoir, elle écarta les jambes afin de me laisser voir sa chatte épilée. 

 

Je n'en revenais pas, mon sexe dans mon jean me faisait mal tellement je bandais fort. Quand je me rassis, elle me remercia et passa sa langue sur ces lèvres. Je devenais franc fou. Ensuite je vis que son regard se dirigeait sur ma bosse et elle avait vraiment l'air de vouloir voir ce qu'il se cachait là-dessous. Elle commença à caresser mon sexe avec douceur tout en se penchant vers moi pour me laisser voir sa poitrine. J'essayai de passer ma main sous sa jupe, mais celle-ci les referma en me disant que pour le moment je ne devais pas toucher et me contenter de savourer ses caresses.

 

Ensuite au bout de dix minutes de ces savoureuses caresses, elle me fit signe du doigt de la suivre et nous dirigeâmes vers les toilettes. A peine j'eus fini de fermer la porte qu'elle me plaqua contre la porte, défit ma ceinture et délivra mon sexe de mon jeans. Elle commença par le lécher délicatement tout en massant mes boules de l'autre main. Puis elle le happa d'un coup et l'entra entièrement dans sa bouche et on aurait dit qu'elle le tétait. C'était divinement bon. Puis au bout de dix minutes de ce traitement je luis fis signe que j'allais exploser, alors elle intensifia son va-et-vient avec sa bouche et avala toute ma liqueur de plaisir, laissant juste quelques gouttes déborder sur son menton qu'elle balaya de sa langue d'un geste infiniment troublant.

 

Ensuite elle me branla un petit moment juste histoire que je reprenne vigueur et enleva sa mini et monta sur la cuvette des WC, se mit dos à moi et en retournant sa tête, elle mit un doigt dans sa bouche puis se le mit dans son cul en me disant :

 

- C''est par là que j'ai envie que tu me prennes !

train111

J'étais éberlué, et je me mis à lui lécher son petit trou tout en lui titillant son clitoris. Quand elle fut prête, je mis mon sexe en face de son anus et je commençai à rentrer tout doucement centimètres après centimètres. Je voyais bien qu'elle aurait voulu que j'aille plus vite mais il n'en était pas question. Elle prenait son pied. Une fois parvenu bien au fond je commençais à faire du va-et-vient toujours aussi doucement et toujours en jouant avec son clitoris. Elle eut un premier orgasme et à ce moment j'ai commencé à la pilonner très fort et très vite et à chaque fois que je sentais qu'elle allait venir je ralentissais au point de presque m'arrêter. Après une petite demi-heure de ce traitement je lui rentrais dedans avec force et nous partîmes tous les deux dans un plaisir immense. Après avoir repris nos esprits, elle retira ma capote et pour me remercier me refit une pipe dont je n'ai pu trouver de comparaison jusqu'à aujourd'hui.

 

Elle s'assit ensuite sur la cuvette, pour soulager sa vessie ! Je cru un moment qu'elle me proposerai de l'essuyer avec ma langue, mais non ! Il ne faut pas être trop gourmand non plus et je garderais ce dernier acte pour mes fantasmes nocturnes.

 

Je conserve un souvenir immense de cette belle mature dont je ne connais point le nom et depuis ce jour j'adore les femmes plus âgées que moi.

Rewriting d'un teste paru sur le site de Sophiexxx en 200 intitulé Retour de Paris et signé David

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 1 novembre 2021 1 01 /11 /Nov /2021 16:37

On oublie toujours quelque chose ! par Mathilda Stenberg

coin102

La dernière fois que le nouveau facteur avait frappé à ma porte, il m'avait carrément déshabillé du regard

 

Un beau mec d'origine antillaise, souriant et jovial

 

Je ne sais pas ce qui m'a prise, mais j'ai eu envie de me l'envoyer 

 

Le facteur avait l'habitude de passer vers 8 heures du matin, et j'avais enfilé une robe de chambre légère que j'avais laissée entr'ouverte. Je ne savais pas vraiment si mon plan allait marcher, mais si je n'essayais pas, je ne saurais jamais. 

 

8 h 10, on sonne à la porte. Je vais ouvrir et je peux constater son air plus ou moins surpris de me voir ainsi vêtue. 

 

J'espérais pouvoir lui faire prendre un café malgré son travail. A mon grand étonnement (et plaisir surtout !), il accepta en souriant ! Son regard restait fixé sur ma poitrine dévoilée légèrement par l'habit de soie rose. Je l'ai alors invité à prendre place au salon et je suis allée préparer les cafés.

 

Je suis arrivée avec les tasses et je me suis assise de manière à laisser glisser un côté de ma robe de chambre sur ma cuisse, dévoilant alors ma jambe. J'ai aussitôt remarqué qu'il ne la quittait pas du regard. Finalement, j'ai écarté les cuisses, afin qu'il comprenne ce que je voulais précisément. 

 

Il lui fallut peu de temps pour m'enlever le vêtement de soie. J'étais alors assise sur le divan, à sa merci. Il l'avait bien compris d'ailleurs. Il glissa une main experte entre mes cuisses et introduit un premier doigt dans mon sexe humide et chaud. Il commença un va-et-vient agile qui m'arrachait des gémissements. Il me leva alors, me demanda où se situait ma chambre et m'y entraina, son doigt toujours en action. J'étais excitée comme une chatte en chaleur. (c'est le cas de le dire) Il me demanda si j'aimais être prise en levrette, je lui ai crié un oui à la limite de l'orgasme. Il compris alors que j'allais jouir alors il stoppa son va-et-vient me poussa sur le lit. Il disait aimer cette technique chinoise qui consiste à pousser le plaisir jusqu'à la limite de l'orgasme et d'arrêter juste avant pour mieux jouir ensuite !!!

 

Il saisit deux foulards qui avaient eu la bonne idée de trainer ici et m'attacha les mains au barreaux du lit, mais sur le ventre, afin que je puisse être à quatre pattes. Je n'en pouvais plus, il fallait qu'il vienne en moi. Il se déshabilla et me doigta encore un peu, jusqu'à ce que mon sexe coule de délice ! Il prit alors mes seins dans ses mains et me pénétra. Il commença alors un va-et-vient lent puis accéléra. Il me bourrait alors par saccades qui m'arrachaient des cris de plaisir. Je me déhanchais pour le sentir encore mieux. 

 

J'ai alors eu un orgasme terrible j'ai hurlé de plaisir comme jamais. Il éjaculait maintenant. Et c'était tellement bon... Il me dit ensuite qu'il allait m'enculer. Mais j'ai refusé, non pas par principe, mais je craignais que sa grosse bite me fasse mal. Il m'a alors proposé de l'argent, j'hésitais encore mais il m'a assuré qu'il savait ce qu'il faisait et qu'il me ferait ça en douceur. Je lui ai donné mon accord mais j'ai réclamé l'argent,.

 

Il a sorti un billet, je lui ai dit qu'il pouvait encore faire un effort, il a sorti un second billet en me traitant de pute. Evidemment qu'en ce moment j'étais une pute puisque pour la première fois de ma vie je me faisais payer pour me faire enculer.

 

Il me doigta encore pour mouiller mon petit trou. Ji eu une appréhension quand il a commencé à s'enfoncer, du coup il m'envoya une claque sur les fesses, pas grave, j'adore les petites fessées, puis il m'a pénétré, d'un coup sec. 

16Mathilda

Il m'a traité de salope, de putain et m'a dit que je devais alors assumer lorsque j'allumais. Il avait raison. Mais j'avais mal. Mais petit à petit, mon trou se détendit et cela me procurait du plaisir. Oui, un plaisir certain. J'atteins rapidement un orgasme. Il sortit de mon cul, me détacha et me coucha sur le dos, puis il se masturba en m'envoyant son foutre sur mon visage et sur mes lunettes que je n'avais pas retirées. 

 

Il resta un moment immobile sans que je comprenne de suite pourquoi, puis il me dit qu'il aimerait me pisser dessus.

 

J'ai failli lui demander un supplément pour cette fantaisie, mais je ne voulais pas être trop gourmande, si je veux qu'il revienne et me baise il faut rester raisonnable, alors j'ai ouvert la bouche et j'ai avalé une bonne rasade de cette bonne pisse.

 

Quand je pense que je ne l'ai pas sucé ! On oublie toujours quelque chose !

 

Mathilda

 

Rewriting d'une nouvelle parue sur le site de Sophiexxx en 200 intitulé "le facteur" et signée Bea

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 23 octobre 2021 6 23 /10 /Oct /2021 10:40

Plaisir à trois par Belle-cour

 

 bi stamp

 

Voici un récit sans prétention aucune que j’ai retrouvé au fond de mon disque dur. Les temps on bien changé et maintenant personne n’a besoin de formation pour aller sur internet…

 

Bonjour, moi, c’est Daniel, je ne sais pas si je vous ai raconté la fois où j’ai pu goûter le plaisir à trois.

 

C’était il y a quatre ou cinq ans Je suis informaticien, et comme tous ces gens, lors de réunion de famille, il y a toujours un cousin, un oncle, un copain du cousin … qui vous demande comment faire tout un tas de choses sur son ordi.

 

Un couple d’une cinquantaine d’années, Pierre et Annie, que je ne connaissais pas vraiment, me demanda de lui donner des cours d’informatique, ce que je fis avec plaisir.

 

Pierre est presque chauve et un peu bedonnant, mais il a comme on dit une bonne bouille et sourit tout le temps.. Annie est une belle brune peu marquée par les outrages du temps, le visage est agréable, jolie bouche, joli nez et les ridelles au coin de ses yeux noirs trahissent une certain plaisir de la vie.

 

Le premier soir, tout se passa normalement, lui était très attentif, elle peut-être un peu moins, à peine avait-elle tendance à se frotter contre moi, mais je n’y prêtais pas attention.

 

La semaine suivante, la leçon d’informatique se passa sans problème particulier, excepté le fait qu’elle ne portait pas de soutient gorge sous son tee-shirt, et j’ai pu avec plaisir constater que ses seins étaient encore bien fermes.

 

La troisième : mise en place d’Internet et explication sur la façon de s’en servir. Nous passâmes deux bonnes heures là-dessus (petit détail qui a son importance : toujours pas de soutient gorge, mais qui plus est, le tee-shirt était plus évasé et je pouvais apercevoir sa petite culotte lorsqu’elle se penchait)

 

De façon très décontractée, ils me questionnèrent sur les sites à caractère pornographique, nous visitons un, regardons les photos, je les observe discrètement afin d’épier leur réactions, cela a l’air de les émoustiller.

 

– Comment faire pour envoyer nous aussi des photos sur Internet ?! me demande-t-elle

– L’idéal est de prendre des photos numériques, de les transférer sur votre P.C, et de les envoyer !

– Chéri, demain tu achètes un appareil, on prendra des photos !.

 

La semaine suivante, je retourne chez eux

 

Annie me dit d’entrée de jeu que Pierre ne sait pas se servir de son appareil, il a bien pris des photos, mais ne sait pas transférer.

 

Petite formation sur son appareil, je peux apercevoir Madame dans certaines positions assez soft, lui par contre a posé nu et en érection.

 

– Bel engin ! lui dis-je

– Merci du compliment, vous appréciez ? ! me dit-il

– Disons que je sais reconnaître ! Vos photos sont pas mal, mais manque de piment !

– Bien sûr, l’idéal, ce serait d’avoir un photographe ! me dit Annie.

– Si vous le voulez bien, je peux être celui-ci ? !

 

Me rincer l’œil n’était pas pour me déplaire)

 

Aussitôt dit, aussitôt fait ! Pierre et Annie se déshabillent entièrement ! Quelle jolie poitrine elle a !

 

Je pris cinq photos d’Annie (peut-être pas très artistiques mais suffisamment subjectives pour nous titiller le bas du ventre, j’étais d’ailleurs très serré dans mon « Couilles croisées de chez… ».

 

Quand je pris Annie en train de sucer Pierre, j’ai été obligé de mettre la main dans le pantalon pour mettre mon sexe à la verticale, Pierre m’interpella :

 

– Ça t’ excite, Hein ? !

 

Annie rétorqua

 

– Enlève ton pantalon, tu seras plus à l’aise !

 

Ce que je fis, Annie me regarda et dit à son homme :

 

– J’en lécherais bien une autre, et même les deux en même temps !

– Approche ! me dit Pierre, ajoutant « si tu n’y vois pas d’inconvénients, moi non plus ! »

 

Tu parles Charles, je tendis ma bite à Annie qui se l’enfila d’abord délicatement, puis me branla plus vigoureusement, et passa d’une bite à l’autre.

 

Pierre s’assit sur le canapé, Annie s’enfourcha sur son pieu bien gonflé, mais face à moi.

 

Je me mis à quatre pattes et lui léchais le clito pendant que Pierre la fourrait.

 

Soudain, pendant que ma langue tournait autour de son bouton d’amour, la bite de Pierre sorti du fourreau et je la reçu involontairement dans ma bouche, mouvement de recul de ma part, j’attrape le sexe de Pierre prêt à le remettre dans le trou qu’il n’aurait pas dû quitter, et puis peut-être machinalement, l’ayant toujours dans la main, je passe ma langue dessus ;

 

– Ma foi , c’est pas dégeu, çà ! lui dis-je

– Continue alors ! me lance Pierre, et me voilà en train de tailler une pipe à un mec pour la première fois de ma vie.

 

En fait ce n’était pas vraiment la première fois, j’avais déjà gouté à ce genre de choses pendant mes années collèges, je n’avais jamais cherché à recommencer, et n’en avait d’ailleurs jamais eu l’occasion, mais parfois dans mes fantasmes…

 

Elle était délicieuse cette bite tout imprégnée des humidités d’Annie.

 

– T’aimes ça, sucer des bites ! M’interpella Annie.

– Ma foi ! Elle est tellement bonne !

– Continuez, continuez, ça m’excite de trop ! Ajouta-t-elle tout en se frottant le bouton.

 

Je m’appliquais, copiant les gestes que j’avais visionné sur Internet, titillant le gland, léchant la hampe gobant les couilles.

 

– Lèche lui le trou ! Suggéra Annie.

 

Là j’hésitais un court instant, la chose ne me disait pas grand-chose, mais ces gens étaient tellement charmants que je m’en serais voulu de faire le rabat-joie.

 

Je passais derrière Pierre, lui écartait ses globes fessiers et avançait ma langue vers son anus tout brun. J’aurais bien sûr préféré mille fois gratifier cette privauté sur le joli derrière d’Annie, mais après tout la journée n’était pas terminée.

 

Finalement un trou du cul masculin n’a pas un gout bien différent de celui de ces dames, la texture en est aussi délicieuse, et je me surpris à m’exciter en accomplissant cet acte pervers.

 

– Continuez, continuez, que ça m’excite de vous voir jouer les pédés. Commenta Annie qui le visage congestionné continuait à se branler comme une malade. Aaaah, je viens, je jouiiiii !

 

Une jouissance spectaculaire avec geyser de mouille assorti.

 

– Oh, que c’était bon, j’ai envie de pisser maintenant, venez me boire !

 

Pierre qui manifestement était habitué à cette fantaisie vint placer sa bouche devant la chatte de sa compagne et en attendant l’émergence du jet m’invita à venir à ses côtés.

 

Je n’ai rien contre l’uro, mais c’est une pratique à laquelle je n’ai pas souvent l’occasion de m’adonner, j’ai dû y jouer quelques rares fois avec ma moitié, mais ce n’est pas son truc, faut dire que les fantaisies et elle… Quant aux filles de rencontres, ce n’est pas si évident d’évoquer ce fantasme sans prendre le risque de se faire taxer de « pervers ». Pourtant quelques-unes… mais ne nous égarons pas…

 

La source jaillit, Annie se débrouille pour nous distribuer son pipi de façon alternative, un bon pipi, ma foi ! Et alors que la chose était terminée, Pierre eut ce geste fou de m’enlacer et de coller sa bouche contre la mienne pour me rouler une galoche alors que l’urine de sa compagne imprégnait encore son palais. Cette acte insensé m’excita tellement que j’en attrapais mal à la bite.

 

Mais je n’étais pas au bout de mes surprises !

 

– Tu aimerais que Pierre t’encule ? Me proposa Annie.

– C’est-à-dire, c’est pas trop mon truc… tergiversais-je.

– T’aimes pas ça ?

 

Bizarrement, je n’osais lui avouer que je n’avais jamais fait et peinais à trouver la bonne réplique.

 

– Pierre est très doux, il va te faire ça comme un chef.

– Ben…

– Allez fais-moi plaisir, on ne vit qu’une fois !

– Bon on essaie, mais si j’aime pas on arrête !

– Ne t’inquiète pas.

 

Pierre s’enfila une capote, je me mis en levrette,

 

– Attend je vais te préparer, j’adore préparer un petit cul ! Me confia Annie.

 

Sa langue se mit à virevolter autour de mon anus comme on ne me l’avait sans doute jamais fait à tel point que j’en jappais de plaisir, puis un doigt inquisiteur s’en vint violer mon intimité en une série d’aller-retour appliquée avec maîtrise.

 

Bellecour1021– A toi Pierre, encule-moi ce pédé !

– Je ne suis pas un pédé !

– En ce moment si ! Et puis ça m’excite de t’appeler comme ça !

 

Je sentis le gland de Pierre quémander l’entrée je m’ouvre.

 

– Ouvre toi mieux, t’es serré !

– Comme ça ?

– Attention…

 

C’est entré, encore une poussée, ça entre davantage, encore une, ça entre complètement, drôle d’impression d’avoir ce corps étranger dans le cul, Pierre commence à pilonner doucement, quelque chose me rend mal à l’aise.

 

– Bon, ça va aller, retire-toi ! lui demandais-je

– Encore une minute, juste une minute.

 

Il en a de bonnes, lui, je n’en veux pas de sa bite, il continue à gigoter, ça me fait des choses, finalement c’est pas si mal, c’est même pas mal du tout..

 

– Tu veux que j’arrête !

– Non, c’est bon, encule-moi bien !

 

Je transpire, je suis dans un état second, il continue, il accélére, et brusquement il se retire. Dommage ! Il enlève sa capote à toute vitesse et décharge sur les nichons d’Annie. Laquelle tout heureuse de ce présent se badigeonne et se lèche les doigts. Elle met tend l’un de ses doigts gluant de foutre, je le suce. Qui aurait pu imaginer que je fisse une chose pareille ?

 

– Tu bandes trop bien, viens me prendre !

 

Il y a des choses qu’il ne me faut pas dire deux fois. Hélas j’étais tellement excité que je n’ai pas tenu la distance, mais voulant satisfaire malgré tout mon hôtesse, je m’appliquais à lui lécher le clito, lui provoquant sa seconde jouissance de la soirée.

 

On a fait un break, bières et petits gâteaux

 

Un peu plus tard, nous avons repris nos galipettes, en changeant un peu les rôles : c’est Pierre qui me suça, puis nous avons décidé de prendre à deux la charmante Annie, comme j’étais l’invité, Pierre me dit :

 

– A toi le cul, moi je prends la chatte !

 

Moment grandiose, d’autant qu’Annie nous a suggéré de faire ça devant le miroir de la chambre.

 

Nous nous nous somme promis de nous revoir… Mais cela est une autre histoire

 

Rewriting d’une histoire intitulée « X à trois » par Daniel G. publiée sur le net il y a très très longtemps…

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 16 octobre 2021 6 16 /10 /Oct /2021 09:59

Abigaelle par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 3 – La punition

stamp slave

Les deux jeunes filles sont poussées sans ménagement dans la grande salle et forcée de s’agenouiller.

 

L’homme à la perruque s’approcha d’elles et les gifla.

 

– Sœur Jeanne nous a rapporté que vous devriez être punies…

– Nous n’avons rien fait, balbutia Abigaelle, nous avons juste surpris Sœur Jeanne faisant commerce charnel avec un baudet.

– Que la peste bubonique emporte ces sales menteuses ! S’écria Sœur Jeanne à qui on n’avait rien demandé.

– Nous pourrions les torturer et elles nous raconteraient n’importe quoi; j’ai mieux à vous proposer. Venez mesdames que je vous fasse part de mes intentions.

 

Les deux belles dames s’approchèrent du nobliau, s’en suivit grands chuchotements, ricanements et hilarité car tout en parlant le perruqué ne pouvait empêcher ses mains de tâter les joufflues des nobles dames.

 

On fit détacher la jeune femme qui avait durement gouté de la cravache et dont le corps était zébré d’écarlate. Elle alla s’assoir dans un coin. Quant à Sœur Jeanne, après tant d’émotions ce sont les bras de Morphée qui vinrent l’achever et elle se mit à ronfler de façon disgracieuse.

 

– Quoique vous ayez fait, stupides catins ! Déclara le nobliau, vous serez punies, mais ensuite il nous faudra vous empêcher de nuire de nouveau.

– Mais nous n’avons nui à personne ! Proteste Mina.

 

Une nouvelle gifle la fit taire.

 

– Donc après la punition que nous vous infligerons ici même, il vous faudra choisir votre destin. Soit vous serez cloitrées à jamais dans vos cellules…

 

Il laissa volontairement la suite de sa phrase en suspens, se réjouissant des mines terrorisées des deux jeunes filles.

 

– Soit, vous serez vendues comme putain dans un bordel…

– On préfère ! Intervint Mina.

– Moi aussi, je veux être putain ! Ajouta Abigaelle.

– Mais pour cela, il va falloir nous montrer comme vous êtes vicieuses…

– Oui, oui, nous sommes très vicieuses ! S’empressa de confirmer Mina.

– Nous allons bien voir de quelle façon vous allez supporter votre punition…

 

Les deux jeunes femmes se regardent peu rassurées.

 

Abigaelle2C

 

– Ouvrez la bouche, morues ! Vous allez me servir de pissotière !.

 

Les filles obtempèrent, elles connaissent le goût de l’urine, souvent quand elles se gamahuchent, leur vulve en restait imbibée.

 

Le nobliau pince cruellement le téton d’Abigaelle et se soulage dans son gosier avant de venir remplir celui de la brune Mina.

 

L’homme se retourne ensuite et crie à la cantonade que si d’autres veulent se soulager, ils peuvent volontiers le faire.

 

Louise, l’une des deux belles dames s’approche et demande aux deux prisonnières de s’allonger sur le sol. Puis elle enjambe Mina au niveau de sa bouche et déclenche un torrent de pisse.

 

Suzanne, l’autre belle dame ne veut pas être en reste et vient chevaucher puis asperger Abigaelle. Mais sa miction terminée, elle ne se retire pas.

 

– N’auriez-vous point terminé ? Demande le perruqué.

– Je crois que j’ai envie de chier ! Répond la noble dame.

– Eh bien, chiez, qu’attendez-vous, je veux voir votre noble étron choir sur le visage de cette catin.

 

Suzanne pousse et ouvre son anus, mais l’étron rechigne à sortir de son terrier.

 

– C’est terrible, je ne vais pas supporter une telle chose… chuchote Abigaelle à sa camarade d’infortune.

– Il le faut pourtant si tu veux devenir putain.

– Mais je ne peux point.

– Ce n’est pas si terrible… essaie de supporter…

 

Mais ce doux dialogue est interrompu par la chute d’une longue saucisse merdeuse qui vient s’affaler sur le visage de la blonde Abigaelle.

 

Suzanne qui n’a rien pris pour s’essuyer le joufflu, se sert de sa main et s’y étale le reste de ses excréments.

 

– Comment est votre merde, aujourd’hui ? Demande Louise.

– Eh bien goutez-y, ma chère !

– Mais bien sûr !

 

Et Louise ramène un bout de matière avec son index et le porte en bouche.

 

– Humm, elle est exquise ! Venez donc chercher cette impertinente petite crotte dans ma bouche de trainée

 

Les deux nobles dames s’embrassent à pleine bouche, faisant se balader l’étron d’une bouche à l’autre.

 

– Quand je pense qu’il y en a qui n’aime pas ça ! Se désole Louise.

– Quelle faute de goût !

– Qu’attendez-vous pour faire gouter votre merde à ces deux grues ? Intervient le perruqué.

– Je pensais justement me faire rincer le trou du cul par ces deux ribaudes. Intervient Suzanne.

 

On fait s’agenouiller Mina, et Suzanne lui présente son joufflu merdeux.

 

Timidement, la jolie brunette approche sa petite langue et vient tester ce gout très particulier. Elle ferme les yeux et nettoie la première trace. Elle s’habitue et continue, plutôt fière de s’être tirée de cette épreuve avec brio.

 

– Je suis vraiment une salope, j’ai léché toute la merde sur le cul de cette belle dame ! Dit-elle à son amie.

– Je ne pourrais pas… proteste Abigaelle.

– Mais si !

– C’est toi qui va lui faire goûter ! Lui dit Louise.

– Volontiers.

 

Abigaelle se débarrasse de l’étron qu’elle a sur le visage, tente de se relever et vocifère !

 

– Salope… tu ne vas pas me faire ça !

– Mais si, et même que ça va m’exciter !

– Gifle-la, ça va la calmer ! Intervient le perruqué

 

Mina, se prend au jeu et gifle son amie de toujours, qui surprise ne réagit pas. La brune réitère et lui crache au visage, cette fois la blonde, excédée se jette sur sa camarade, et c’est parti pour le corps à corps.

 

Les deux femmes se battent telles des chiffonnières après la foire, n’étant guère expertes dans l’art de la lutte, elles griffent, elles mordent, elles se tirent les cheveux, elle roulent au sol maculant leur corps de la merde que personne n’a ramassé.

 

Voilà une situation qui amuse fortement l’assistance qui joue les badauds, les hommes vits en pogne ne perdent rien du spectacle. tandis que les femmes rient et gloussent.

 

Ce jeu brutal excite terriblement Mina qui sent la mouille envahir son entrejambe. Elle veut jouir, mais admettez que la situation ne s’y prête guère.

 

Mais comme l’a très bien expliqué Denis Papin, les situations c’est comme la vapeur, ça peut toujours se renverser.

 

Alors Mina se débrouille pour immobiliser son amie en position de soixante-neuf. Elle a donc accès à sa chatte et y plonge sa langue sans attendre, mais en espérant une réciprocité.

 

Celle-ci tarde à venir, mais Mina est pugnace, et sa langue à force de ténacité parvient à faire gémir sa partenaire. Laquelle par politesse, par réflexe ou par obédience, allez donc savoir, se met à son tour à butiner la chatte qui est devant sa bouche gourmande.

 

Les deux femmes se gouinent maintenant à qui mieux mieux, ne se rendant pas même compte que quasiment tous les participants sont toujours agglutinés autour d’elles. Et ils ne restent pas inactifs Le mignon accroupi se régale du vit du mousquetaire et lui flatte les couilles, la fille des cuisines se fait lécher le trou du cul par sa propre fille, celle-là même qui avait été sévèrement fouettée auparavant.

 

Quant aux deux belles dames elles suçaient alternativement le perruqué tout en s’efforçant de ne rien perdre du charmant spectacle qui se déroulait sous leurs yeux.

 

Mina sent sa partenaire se raidir, elle concentre ses attaques linguales sur le clitoris de la blonde qui finit par crier sa jouissance, Abigaelle respire un grand coup et reprend son léchage faisant venir à son tour sa complice au paradis des amours saphiques.

 

Les deux femmes changent de position et s’embrassent. Mina a trempé son doigt dans le caca de Suzanne et l’approche des lèvres de Abigaelle.

 

– Je vais essayer ! Dit cette dernière.

– Ben voilà !

 

Et tout ce petit monde se met à applaudir.

 

Les deux femmes se relèvent, toutes souillées, et saluent le public comme on le ferait sur la scène d’un théâtre.

 

Du coup Sœur Jeanne se réveille !

 

– Mais que se passe-t-il ici, pourquoi applaudissez-vous ces deux trainées ?

– Ma sœur, vous êtes énervante, rejoignez votre cellule, foutez vous donc un crucifix dans le cul pour vous calmer et laissez nous nous amuser. Lui dit Louise en ponctuant ses paroles d’une belle paire gifle.

– Oh !

 

Suzanne est donc restée seule avec le perruqué, et après l’avoir bien sucé lui tend son joufflu afin qu’il l’enculasse comme une chienne.

 

Le drôle ne tarda pas à jouir dans l’anus de la belle et ressorti une bite gluante de sperme et de merde, Suzanne se fit un devoir de nettoyer ce chibre.

 

– Faut-il vraiment continuer ? demanda le nobliau. Ces catins me semblent parfaites pour le bordel ! Et je crois que vu leur beauté…

– Elles ne sont pas si belles que ça ! Intervint Louise. Et puis cela m’amuserait de les prendre à mon service personnel quelques semaines avant de les envoyer au bordel.

– Vous savez bien, chère Louise que je ne peux rien vous refuser.

– J’aurais bien aimer les fouetter un peu !

– Vous aurez l’occasion de le faire quand elles seront à votre service. Si vous voulez fouetter quelqu’un maintenant choisissez dans l’assistance, vous n’avez que l’embarras du choix.

– Pourquoi pas ? Toi la fille des cuisines, viens me voir, comment tu t’appelles ?

– Rosalie, Madame !

– Rosalie nous t’avons vu tout à l’heure te faire lécher le trou du cul par ta propre fille, sais-tu que cela est interdit par la religion ?

– Ce n’est point si grave, j’irais me confesser !

– Et tu crois que le curé va t’absoudre.

– Il m’absous toujours quand je lui lèche le derrière.

– Mais dans quel monde vivons-nous ! Se gausse Louise. Et dis-moi, que fais-tu d’autres avec ta fille !

– On se lèche l’abricot ! On se donne maints plaisirs et c’est bon !

 

Louise passa un collier autour du cou de Rosalie et la fit marcher à quatre pattes en lui assenant de bons coups de badine qui lui strièrent son gros cul de jolies marques.

 

Mais voici qu’Azor l’un des deux gros chiens attiré par l’odeur du cul de Rosalie se redressa et vint humer, puis lécher l’endroit.

 

Du coup Daran, l’autre chien s’empressa d’imiter son congénère.

 

– Couché les chiens ! S’énerve Louise, Rosalie ne vous mérite pas, si vous voulez lécher un cul léchez plutôt le mien !

 

Suzanne prend la laisse de Rosalie et l’installe dans un coin, puis elle revient et constate qu’Azor a déjà changé de partenaire balayant de sa large langue le joufflu de Louise.

 

Elle appelle Daran et le couche sur le côté, sa main enserrant son sexe,

 

– Soyez partageuses, mes jolies, invitez nos catins à vous rejoindre, on va voir comment elles se débrouillent.

 

Mina rejoint Suzanne, la bite du chien est déjà sortie de son fourreau et la noble dame le lèche à qui mieux-mieux se mouillant le menton de bave dégoulinante.

 

– Eh bien qu’attends-tu ?

– Rien, je vais le faire, mais. ce sera la première fois…

– Suce au lieu de me raconter ta vie !

 

Mina fascinée par ce cylindre de chair écarlate respire un bon coup, puis darde sa langue sur l’organe, en appréciant la texture particulière, sa langue balaye la tige et remonte vers l’extrémité, Dame Suzanne lui laisse sa place de façon à ce qu’elle puisse prendre le bout en bouche, la bite du chien secréte un liquide préspermatique qui envahit les bouches des deux dévergondées qui vont encore plus loin dans le stupre en s’embrassant à pleine bouche.

 

Abigaelle ne perd pas une miette du spectacle, partagée entre fascination et répulsion, et tandis que son amie se partage le vit de Daran, Louise à complètement retourné Azor et lui prodigue une fellation en règle, Elle fait signe à Abigaelle mais celle-ci, tétanisée ne bouge pas d’un poil.

 

Le perruqué vient derrière elle et lui administre une grande claque sur les fesses.

 

– Il serait singulier que ton amie rejoigne un bordel et que toi, tu restes enfermée à jamais dans une cellule de ce couvent.

– Je dois donc sucer ce chien ?

– Oui, mais ça ne suffira pas, il faut te guérir de tes atermoiements, je veux que tu te fasses prendre par le chien.

– Humm.

 

Quand Suzanne demanda à Mina de se mettre en chienne pour se faire couvrir par le chien, elle savait cet acte inéluctable et y consentit de bonne grâce. Mais quelle ne fut pas sa surprise de découvrir la scène sur sa droite, Abigaelle en train de faire sauter par Azor en poussant des jappement de plaisir.

 

Après ces émotions, tous ces débauchés se firent apporter quelques pâtés, tourtes et vin de Bourgogne, on mangeât et on but en chantant des refrains obscènes.

 

Assise l’une à côté de l’autre Abigaelle et Mina s’échangeaient de tendres baisers.

 

Le lendemain, Abigaelle entrait au service de Dame Suzanne et Mina à celui de Dame Louise

 

Au bout d’un mois, le perruqué les accompagna à Versailles et elle furent confiées aux bon soins de Madame Ducru, maquerelle de son état.

 

Les deux filles firent bonne impression et eurent comme clients quelques célèbres musiciens, jardiniers, et cuisiniers de la cour royale.

 

Elles accueillirent la Révolution avec enthousiasme, mais déchantèrent quand vint la Terreur, grâce à leurs relations elles purent s’enfuir à l’étranger. On perdit ensuite leur trace mais il se chuchota que les deux femmes firent ce qui est convenu d’appeler des « mariages avantageux ».

 

On sait aussi, qu’après être sortie du couvent, Abigaelle continua à remplir ses carnets de ses chauds souvenirs, on ne sait ce qu’ils sont devenus… Mais on cherche !

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Images Aléatoires

  • ageniux
  • Novassa13b
  • Zarouny34a
  • kisslez25
  • soeur Jeanne
  • Margot20

Derniers Commentaires

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés