Mercredi 10 novembre 2021 3 10 /11 /Nov /2021 18:05

7 rêves pour une femme par Cepaderefus – 6- Partie carrée

bi stamp

Le silence se fait tandis que Philippe commence son récit.

 

– J’étais au lycée, en pleine période de révision des examens de fin d’année. Un copain m’avait proposé de venir étudier les maths chez lui. Comme il était meilleur en maths que moi, j’avais immédiatement accepté. Ses parents possédaient une belle maison, avec une grande cour et une piscine. Ils n’étaient pas souvent à la maison et on était donc seuls dans la maison. On avait étudié pendant deux heures au bord de la piscine quand il m’a proposé de faire une pause. Évidemment, j’ai accepté. Il m’a proposé alors de faire quelques longueurs dans la piscine pour nous détendre. J’étais embêté, je n’avais pas prévu de maillot de bain. Je lui explique ça en espérant qu’il allait me prêter un des siens. Pas du tout.

– Qu’est-ce qu’il a fait ?

– Il a retiré son t-shirt et son short devant moi et s’est donc retrouvé à poil. Il m’a dit alors que je n’avais qu’à en faire autant. En voyant Simon à poil l’histoire m’est revenue à l’esprit.

 

Marie est impatiente.

 

– Et la suite ?

– Sans plus attendre, il a plongé dans l’eau. Je ne sais pas s’il l’a fait exprès, mais ça m’a pas mal éclaboussé, mes vêtements étaient tout mouillés. Je me suis retrouvé comme un épais au bord de la piscine, et lui était en train de faire la planche, à me dire de le rejoindre. Alors j’ai retiré moi aussi mes vêtements. En même temps, je fixais des yeux son sexe que l’on ne pouvait pas éviter de voir puisqu’il faisait la planche. Ça commençait à m’obséder, mais aussi à m’inquiéter. J’ai quand même fini par me retrouver nu à mon tour et j’ai vite sauté à l’eau.

– C’est tout ?

– Non. On a niaisé comme ça pendant un bon quart d’heure, peut-être plus. On s’est amusé dans l’eau à jouer à la balle. Mais il ne manquait pas une occasion de me frôler, j’ai eu l’impression de sentir le contact de son sexe à plusieurs reprises, je pense qu’il était en érection. Il s’est aussi amusé à passer sous moi dans l’eau et à me renverser en me soulevant par-dessous.

 

Philippe raconte son histoire au fur et à mesure qu’il s’en souvient. C’est ainsi qu’il se rend compte qu’il aurait mieux fait de ne pas la commencer. Tant pis, maintenant autant aller jusqu’au bout.

 

– Quand on est sortis de la piscine, j’ai remarqué que son sexe était encore assez gros, c’est pour ça que je pense qu’il était en érection dans l’eau. Il m’a dit qu’il allait chercher des serviettes, et qu’en attendant je n’avais qu’à m’allonger sur un des chaises longues qui étaient au bord de la piscine. C’est ce que j’ai fait et je me suis mis sur le ventre pour cacher mon sexe. Il est revenu peu de temps après avec les serviettes et m’a essuyé le dos et les jambes. Je n’ai pas osé bouger de peur qu’il m’essuie aussi le ventre. J’ai alors ressenti un truc frais dans le dos et ses mains ont commencé à me masser. Il était en train de m’étaler de la crème solaire sous le prétexte que je risquais un coup de soleil en restant allongé ainsi. En fait, il en profitait pour me tripoter. Il m’a aussi étalé de la crème sur les jambes et pour finir sur les fesses.

 

Marie commence à trouver de plus en plus d’intérêt au récit de son mari.

 

– Et ensuite, il t’a mis aussi de la crème de l’autre côté ?

– Non. J’ai préféré rester sur le ventre. Plus il me massait, plus son sexe grossissait. Quelquefois il se retrouvait assez près de moi, je ne pouvais pas m’empêcher de regarder du coin de l’œil sa queue qui ne cessait de grossir. J’angoissais, j’avais peur qu’il me la foute dans la bouche ou dans le cul, j’ai préféré ne pas bouger.

– Et ça s’est terminé comment ?

– Il s’était installé sur la chaise longue à côté de moi après s’être enduit de crème solaire sur tout le corps, n’hésitant pas à se caresser le sexe au passage. Il était allongé sur le dos ce qui faisait que je voyais parfaitement sa queue. Je n’arrêtais pas de le regarder, par curiosité. Au bout d’une demi-heure, j’ai voulu me retourner, c’est alors que je me suis rendu compte que j’avais le sexe presque en érection. J’ai préféré me mettre la serviette autour de la taille.

 

Le récit de Philippe

 

Puis, comme pour rigoler, on s’est mis à se raconter des histoires de cul. A cet âge-là, on bande avec n’importe quoi, et en un rien de temps, on était bandé tous les deux ! On s’est regardé et il m’a alors demandé.

 

– Es-tu aussi excité que moi ?

– Oui, je le suis

– Tu es sérieux!!? Aimerais-tu qu’on se masturbe tous les deux!

– Habituellement quand je suis excité, je me retiens pas

– Je suis sérieux, j’aimerais te masturber

– Hein? Tu veux me masturber? Non, je ne veux pas !

 

Il n’a alors plus posé de question, mais après 5 minutes de silence, je lui ai dit :

 

– Je suis encore bandé

– Insiste pas je t’ai dit

– Regarde !

 

Et j’ai enlevé la serviette pour lui montrer ma queue qui était encore toute dure

 

– Si tu en as envie, que tu es sérieux, je vais faire une chose. Je m’en vais dans le salon juste là, et si tu as vraiment envie que je te branle, tu viens me rejoindre, sinon, tu restes ici, et on se rhabille

 

Il s’est alors levé et je l’ai vu marcher la queue dure pour rentrer chez lui par la porte-patio donnant sur sa cour. Je suis resté immobile une minute, puis je me suis levé, attiré, excité par l’idée de me faire branler. En entrant dans le salon il m’a dit

 

– Tu sais ce que tu fais, je suis sérieux!!

 

– Oui, je le sais, mais je ne veux pas qu’on s’embrasse

 

– Ok

 

– Je me suis alors assis à côté de lui, la queue en extension et lui, il s’est mis à genoux sur le plancher devant moi. Il a écarté les jambes et avec une main, il a pris ma queue et il a commencé à me masturber. Avec son autre main, il s’est mis à me caresser les couilles !! Après une ou deux minutes de ce petit manège, où il était bandé bien dure lui aussi juste à me masturber, il s’est assis à côté de moi, et ma dit de croiser ma jambe avec la sienne, et de prendre ma queue avec ma main tandis qu’il prenait ma bite avec sa main ! Et on s’est branlé mutuellement comme ça jusqu’à ce que j’éjacule. Après avoir éjaculé, j’ai augmenté le rythme de mon mouvement sur sa queue et je l’ai fait éjaculer à mon tour ! Il s’est alors levé pour aller à la salle de bain, et est revenu avec une boite de kleenex sans s’être essuyé. Il a pris quelques kleenex et ma tendu la boite et il a commencé à s’essuyer debout devant moi ! J’ai fait de même en restant assis.

 

Après cela, je suis allé reprendre mes vêtements qui étaient secs. On a continué à faire des maths pendant encore deux heures. Mais disons que notre concentration n’était pas au beau fixe. Je ne voulais surtout pas qu’il en parle à nos amis. Et il se mit à me raconter tout plein d’histoires concernant des aventures semblables entre camarades de classe. J’insistais à chaque fois pour qu’il ne dise rien et à chaque fois, il me racontait une anecdote sexuelle sur untel ou unetelle. De temps en temps, c’était plus fort que moi, je souriais de gêne. Je suis ensuite rentré à la maison, il avait insisté pour que je reste à manger, mais j’avais peur de me faire violer avant la fin de la soirée.

 

<i</i

 

– Dis plutôt que tu avais peur de craquer et de lui sucer la bite.

– J’ai préféré partir avant d’avoir à me poser la question. L’examen était le lendemain. La question n’arrêtait pas de me hanter l’esprit. Heureusement, je t’ai rencontré par la suite dans une fête qu’on avait organisée avec des copains pour fêter Halloween et je n’ai plus repensé à ce garçon jusqu’à maintenant.

 

– En quelque sorte, je t’ai sauvé de l’homosexualité ?

– Peut-être.

– Tu n’as jamais regretté de ne pas avoir poussé plus loin ?

– Je ne sais pas.

 

Simon a suivi ce récit avec étonnement.

 

– Après tout, il voulait peut-être juste te sucer.

– Et alors ? Tu te serais fait sucer, toi ?

– Peut-être. Pourquoi pas ?

– Tu t’es déjà fait sucer par un mec ?

– Ben…

 

Nicole réagit immédiatement.

 

– Hein quo i!!? C’est intéressant ça. Raconte !!!

 

– J’étais en camping à Old Orchard avec ma famille et la famille de ma tante, cousins, cousines. On avait sympathisé avec des Américains qui étaient nos voisins. Il y avait deux filles et un garçon. Un soir, je me suis retrouvé sur la plage avec l’une des deux filles. Elle me dit qu’elle voulait me faire un petit plaisir, mais qu’elle préfèrerait me bander les yeux. Évidemment, j’accepte. Elle a ouvert mon zip sortis ma queue déjà bandée de mon pantalon. Elle a commencé à me masturber, puis s’est mise à me sucer. Une magnifique fellation. Au bout de quelques minutes elle me demande si j’aime, je lui dis que j’adore, tellement c’est bon. Elle me retire mon bandeau. Ce n’était pas elle, mais le mec qui était en train de me sucer ! Le choc. En plus, il m’a demandé s’il pouvait continuer.

– Et qu’est-ce que tu as fait ?

– J’ai dit  » yes, yes, continue !!! « . Il m’a sucé jusqu’au bout. J’ai prévenu que j’allais jouir en disant,  » wait, i will jouisss  » mais il est resté en position et je lui ai tout giclé dans la bouche. C’était trop bon. Ces deux pervers se sont alors embrassés devant moi pour partager le sperme, et elle m’a embrassé ensuite, ce qui fait que je me suis retrouvé à goûter à mon propre sperme.

– C’est tout ?

– Oui.

 

Philippe intervient.

 

– C’est déjà pas mal. Je ne suis pas allé aussi loin.

 

Sa femme se fait curieuse.

 

– Et si tu avais été dans cette situation, tu te serais laissé sucer jusqu’au bout?

– Peut-être. Je ne sais pas.

 

Nicole reprend la parole.

 

– Ça m’a bien excité vos histoires, les gars. Maintenant, je voudrais bien qu’on s’occupe un peu de moi.

 

Marie répond la première.

 

– Je peux te lécher, si tu veux.

– Pourquoi pas ? Je te rendrai la pareille. Allons dans la chambre.

 

Les deux femmes quittent la salle de bains, suivies de près par leurs hommes, elles traversent le couloir en se tenant la main et retirent le peu de vêtements qu’elles portent. Elles se placent à genoux l’une en face de l’autre sur le lit. Marie commence doucement par caresser Nicole sur les bras, les épaules et elle descend très lentement, avec une main sur les seins de sa partenaire et les caresses du bout des doigts ! Puis, avec son autre main, elle refait la même chose et lui caresse l’autre sein ! Tout ça dans le but de s’entendre gémir un peu, car tous savent maintenant que Marie fantasme sur les seins d’une femme.

 

Après quelques minutes de caresse, Nicole rend la pareille à Marie. Toujours dans la douceur, les deux filles augmente la cadence et se caressent le ventre, les hanches, les fesses, le dos, les épaules, le cou et le visage.

 

Marie s’approche alors de Nicole et remplit sa promesse faîte à son mari en commençant à embrasser dans le cou son amie. Puis, en léchant tranquillement chaque partie du visage de la fille, elle se dirige ainsi sur la bouche de Marie, et elles se frenchent toutes les deux, la langue sortie de leurs bouches. Pendant ce temps, les deux gars regardent leur conjointe et se retrouve en moins quelques secondes avec une de leur plus grosse érection de leur vie.

 

Les filles s’allonge alors sur le lit de la chambre à coucher. Sans plus attendre, elles se mettent en position de 69 et commencent à se lécher la fente avec application et délectation. Les deux hommes les regardent faire, excités mais ne sachant pas trop quoi faire. Marie s’adresse alors à eux.

 

– Ne restez pas plantés comme ça, faites comme nous.

 

Son mari se refuse à comprendre.

 

– Comment ça ?

– Faites un 69.

– Entre gars ?

– Ben oui.

 

Les deux hommes se regardent. Que faire ? Les histoires qu’ils ont racontées les ont passablement excités et leurs deux femmes en train de se manger leur font également énormément d’effet. Après tout, cette soirée un peu folle est tellement flyée que ce serait dommage de ne pas s’amuser encore plus. Ils se regardent alors le sexe, ils sont tous les deux en pleine érection, en train de se caresser le sexe. Ils se rapprochent, leurs bras se croisent, chacun caresse alors le sexe de l’autre, découvrant pour l’un, redécouvrant pour l’autre, le plaisir de caresser un sexe masculin, imberbe en plus. Une minute s’est écoulée. Les deux femmes prennent visiblement beaucoup de plaisir à se lécher, elles ne cessent de crier et de gémir. Quant à leurs maris, ils ont maintenant le sexe de l’autre bien raide dans leur main et les caresses se sont muées en masturbations bien franches. Ils se regardent, regardent leurs sexes, s’interrogent du regard. Pourquoi ne pas aller plus loin ? Philippe et Simon s’approchent du lit et s’allongent l’un à côté de l’autre en position inversé. Philippe reprend alors la masturbation de son ami, dont la bite tendue au max n’est plus qu’à quelques centimètres de sa bouche. Simon a fait de même. Les deux hommes se regardent. Presque simultanément, chacun se rapproche du sexe de l’autre, ouvre la bouche et y laisse glisser le membre de chair.

 

Après les premiers instants de surprise, le plaisir devient le plus fort, et les deux hommes commencent à gémir tout en se suçant. Marie et Nicole s’en rendent compte et cela augmente encore plus leur excitation. Tout en étant par-dessus Nicole, Marie ne peut s’empêcher de regarder les deux hommes se sucer ensemble! Son excitation est à son plus haut point! Quant à Philippe, il commence à s’inquiéter, car lui aussi ressent la même chose que sa blonde!

 

– On va jusqu’où comme ça ? Je ne vais pas tarder à jouir. Et toi, tu n’oserais quand même pas m’éjaculer dans la bouche ?

– C’est ton problème. Pas le mien.

 

Marie leur répond.

 

– Hé, pas si vite. Moi aussi, je voudrais y goûter à vos bites. Nicole, tu me prêtes ton mari ?

– Bien sûr, et je t’emprunterai le tien.

 

Les deux femmes se mettent alors chacune à sucer le mari de l’autre. Au bout de quelques minutes Nicole sent qu’elle veut passer à autre chose.

 

– J’ai comme un manque. Je voudrais bien sentir une queue dans ma chatte. Je sais, je suis vulgaire quand je suis en manque !

 

Elle s’adresse alors à Philippe.

 

– Avez-vous apporté des capotes ?

– Ben non. On n’en a pas besoin.

– C’est embêtant ça. Je me méfie quand même des MST. Tant pis, je me contenterai de Simon cette fois-ci.

– Je peux en acheter pour la prochaine fois.

 

Simon intervient alors.

 

– Personnellement, je ne suis pas trop capote. On ne pourrait pas plutôt faire des tests de MTS pour être tranquilles une bonne fois pour toutes ?

 

Marie acquiesce.

 

– C’est vrai ça. Il n’y a rien de meilleur que de sentir le sperme chaud gicler au plus profond de soi.

 

Nicole se contente de confirmer.

 

– C’est vrai.

cepaderefus6

En attendant ce moment, les deux couples se reforment pour une pénétration côte à côte. À défaut de pouvoir pénétrer la femme de l’autre, les deux hommes se permettent quand même de prodiguer des caresses à leur voisine. Cela dure quelques minutes, les deux femmes ne cessent de gémir tandis que tout le monde se caresse mutuellement. Philippe est le premier à jouir, après plusieurs cris rauques, il ressort sa bite de la chatte de sa femme et termine de lui éjaculer sur ses magnifiques seins. Épuisé, il va l’embrasser puis redescend le long de son corps, la léchouillant de partout jusqu’à arriver au contact de son propre sperme qui s’est répandu sur les seins de Marie. Il se met alors à lécher avec application sa semence, sous le regard hébété de Simon. Philippe le sait, c’est pour ça qu’il l’a fait, et il en fait part à son ami.

 

– Et ça tu le fais ?

 

Simon était sur le point de jouir. Il sort alors son sexe à temps et laisse gicler son sperme en direction du visage de son copain sans le ménager.

 

– Tiens. Voilà une dose supplémentaire.

 

Philippe se redresse, mécontent. Il a du sperme sur la joue.

 

Pour équilibrer le tout, il prend son ami par la nuque et le fait basculer en avant vers le ventre de Marie. Simon atterrit le visage en plein dans le sperme, ce qui satisfait Philippe.

 

– C’est moins drôle, hein ?

– Bah ! T’es dégueulasse ! Et tu goûtes à ton sperme, toi ?

– Comme toi. Tu y as bien goûté quand tu t’es fait sucer par un mec.

 

Simon se relève et dirige son sexe encore couvert de sperme vers son ami.

 

– C’est vrai. Goûte aussi le mien, tu pourras comparer.

 

Philippe s’approche de son ami, puis se ravise en regardant sa bite, elle aussi couverte de sperme.

 

– Alors, toi aussi, il faut que tu essayes.

 

Marie est ravie.

 

– Oh oui. Quelle bonne idée. Sucez-vous donc mutuellement !

 

Les deux hommes se replacent l’un en face de l’autre, comme ils l’ont fait précédemment pour leur 69. Chacun se retrouve à nouveau face à la bite de l’autre, mais cette fois-ci elle est recouverte de sperme. Et de plus, Marie se place pour aider Philippe à sucer Simon, et Nicole aussi aide Simon à sucer Philippe. Les gars s’avancent simultanément, comme ils l’ont déjà fait, chacun observant l’autre. Chacun s’avance encore un peu, ouvre la bouche et lèche la queue devant eux. C’est gluant, légèrement salé mais sans avoir réellement de goût. Sous l’effet de la succion, chacun a repris de l’ardeur dans la bouche de l’autre, leurs sexes sont à nouveau en érection et ils continuent leurs fellations. Ils ne peuvent plus se retenir et se laisse jouir à nouveau et les 4 bouches sont en train de se remplir de sperme. Quelques instants plus tard, les gars s’approchent de leur femme en partageant la semence de leur copain avec leur femme respective.

 

Puis les femmes prennent la position de leur homme et on refait le même manège mais à l’inverse, les hommes léchant la chatte de l’une et l’autre avec leur femme respective.

 

Marie jouit à nouveau, grâce aux langues de son couple d’ami, tout en continuant de partager la chatte de Nicole avec Philippe pour la faire jouir à son tour! Elle est particulièrement excitée à voir son mari manger une chatte devant elle ! Encore étourdis pas des émotions aussi intenses, elle demande alors à Nicole quelque chose de surprenant.

 

– Tu peux me pincer ?

– Encore un nouveau fantasme ?

– Non, je veux juste vérifier que je ne rêve pas.

– Comme tu veux.

 

Nicole pince Marie qui sursaute. Non, elle ne rêve pas. Tout ceci est bien réel. Quelle joie, elle en rigole même, ce qui ne manque pas de surprendre ses amis. Elle se charge de les rassurer.

 

– Tout va bien. Je me sens guérie. Je vais beaucoup mieux. Je vais maintenant pouvoir profiter des plaisirs de la vie.

 

Nicole conclut alors :

 

– C’est vrai. Je te sens beaucoup mieux. En plus, cette petite thérapie aura profité à tout le monde, y compris à nos maris. N’est-ce pas, messieurs ?

 

Les deux hommes acquiescent de la tête, les yeux ébahis, couchés sur le lit sans rien dire, sauf de respirer très fort !!!!

 

Tous sont épuisés, vivement la prochaine fois !

 

Fin

 

Conforme au texte original, nous avons simplement découpé ce long récit en 6 parties, effectués quelques corrections mineures et remplacé, quelques québécismes

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 10 novembre 2021 3 10 /11 /Nov /2021 18:00

 rêves pour une femme par Cepaderefus – 5 – Souvenirs, souvenirs

Voy

Les deux hommes commencent à s’intéresser vivement à la conversation, en particulier Simon.

 

– Et vous vous étiez léchées aussi ?

 

Sa femme lui répond.

 

– Eh que t’es con ! Non !!! T’es déçu ? D’ailleurs on ne s’est pas léchées cet après-midi.

 

Marie complète ce qu’a dit son amie.

Lesb dv2

- Mais on s’était quand même senti le doigt par curiosité. D’ailleurs, le lendemain matin au réveil, j’avais la main près de la figure, et je sentais toujours l’odeur sur mon doigt.

– Ça t’a drôlement marquée. Tu t’en souviens encore ?

– Je me souviens bien des odeurs. C’est l’effet  » Madeleine de Proust « .

– Et cet après-midi ? Ça ne t’a rien rappelé ?

– Je n’ai pas pensé à sentir mon doigt.

 

Philippe a alors une idée saugrenue.

 

– Essaye maintenant. Tu nous diras si ça t’évoque des souvenirs.

 

Marie ne peut cacher sa surprise.

 

– Drôle d’idée !

– Mais si ! Vas-y. Essaye.

– Pourquoi pas, après tout ? Tu veux bien, Nicole ?

– Pas de problème.

 

Marie se lève, fait le tour de la table et s’approche de Nicole. Elle se penche, approche sa main de l’entrejambe de son amie, la passe sous la jupe à la recherche de sa fente. Quand elle l’a trouvée, elle y introduit un doigt, puis deux, puis trois. Nicole ne peut s’empêcher de réagir.

 

– À l’époque, un doigt avait suffi.

– A l’époque, tu étais vierge.

– Plus pour très longtemps

– Et depuis ? Tu ne préfères pas en avoir plus ?

– Ouiiiiii.

 

Marie retire alors la main, la porte à son visage, à la hauteur de son nez et en hume le fumet comme on goûte un bon vin.

 

– Hum… C’est incroyable, tous ces souvenirs qui me remontent à l’esprit. Tu sais qu’après cette expérience j’avais souvent rêvé que nous nous masturbions mutuellement.

– Déjà des rêves érotiques à cette époque…

– Oui, c’est à croire que mes rêves ont commencé depuis longtemps.

 

Philippe ne comprend plus.

 

– Je croyais que c’était nouveau, ces rêves érotiques ?

– C’est la première fois que c’était aussi intense. Et c’est aussi, je pense, la première fois depuis que nous vivons ensemble.

 

Nicole reprend la conversation avec son amie.

 

– Tu te souviens d’autre chose ?

– Pendant nos vacances ?

– Oui.

 

Nicole, qui s’est rassise entre-temps, se flatte la chatte et porte machinalement ses doigts à son nez, comme si cela pouvait l’aider à se remémorer d’autres souvenirs.

 

– On allait à la plage tous les après-midi. Elle n’était qu’à quelques centaines de mètres, on prenait nos vélos ou on y allait à pied.

– C’est vrai. À cette époque, on ne parlait pas encore d’agressions sexuelles à la télé, alors grand-maman nous laissait y aller seules. Elle préférait y aller plus tard dans l’après-midi, quand le soleil commence à taper moins fort.

– C’était cool. On se faisait de grandes marches à pied sur le sable, le long de l’eau. Une fois on a été assez loin et on a remarqué qu’il y avait des gens tout nus sur la plage.

– Oui. Exact. Il y avait une plage naturiste un peu plus loin. Elle existe toujours d’ailleurs, elle est même indiquée depuis la route maintenant.

– On avait continué à marcher tout en essayant de regarder discrètement les quéquettes des hommes qui étaient allongés, ou celles de ceux qui se baladaient sur la plage.

– C’était la première fois qu’on en voyait. Certains en avaient des toutes petites, d’autres des très longues. C’était rigolo car, quand ils marchaient, elles se balançaient de droite à gauche. Ça m’avait marquée.

– Moi aussi.

– Tout ça nous avait excitées. Alors on était allées se cacher dans les buissons.

 

Philippe est impatient.

 

– Et ensuite ?

– Ben on s’était masturbées en repensant à ce que l’on avait vu sur la plage. C’est à ce moment-là que deux hommes sont arrivés. Ils étaient nus, comme les autres, mais en plus ils avaient le sexe rasé. Je pense qu’ils nous avaient vu nous masturber, mais on ne le saura jamais

 

Nicole se souvient à son tour de tout cela.

 

– Ouais, connaissant les hommes maintenant comme je les connais, ils ont dû nous voir, et ils sont venus se montrer pour qu’on leur voit leur sexe rasé. C’était rare à l’époque.

 

– Ça devait être les seuls de toute la plage. Maintenant c’est beaucoup plus fréquent.

– Comment tu sais ça, toi ? demande Simon

– Je suis retournée voir ma grand-mère de temps en temps.

– Et tu en profites pour aller épier les hommes tout nus sur la plage ?

– Ben, oui.

– C’est du voyeurisme. Tu n’as pas honte ?

– C’est-à-dire que…

 

Marie réalise qu’elle a trop parlé. Elle regarde son mari qui se charge de terminer la phrase.

 

– La dernière fois qu’on y a été, Marie voulait retourner sur la plage naturiste pour voir si elle existait toujours. C’est comme ça qu’on sait qu’il y a une indication sur la route. Une fois qu’on y était, on s’est sentis un peu idiotes de rester habillées. Alors on s’est foutus à poil tous les deux ! On ne l’aurait pas fait si les enfants avaient été avec nous par contre.

 

– Je comprends. Bien que ce n’est pas cela qui risque de les marquer le plus à leur âge

– Bien, si je me fie au psy que j’ai vu, l’attitude et le comportement des parents à une grande influence sur les fantasmes sexuels une fois adultes

– Oui, mais il vaut mieux des parents avec une ouverture d’esprit et une sexualité saine et respectueuse comme exemple pour leur enfant que des parents strictes et inconscients qui bousillent l’épanouissement de leur enfant !!! S’cusez, défaut professionnel…

 

Marie reprend alors son récit.

 

– Donc, les deux gars avaient le sexe rasé. Ça m’a paru bizarre. J’avais l’impression qu’il y avait quelque chose de pas normal. C’est quand ils ont déroulé leur serviette, qu’ils se sont assis dessus et ont commencé à se masturber mutuellement, que je me suis dit qu’en effet, ce que je regardais était inhabituel.

 

Nicole confirme.

 

– Surtout à l’âge qu’on avait. Mais moi j’étais mal placée, je n’arrivais pas à tout voir.

– C’est vrai que j’étais du bon côté, à même pas deux mètres d’eux. Quand ils ont été en érection, ils se sont sucés chacun leur tour en se mettant à genoux devant l’autre. Ça a duré un certain temps. On ne comprenait pas trop ce qui se passait, mais on n’osait pas bouger de peur d’être repérées. Ensuite, ils se sont relevés, ont repris leur serviette et sont repartis comme ils étaient arrivés, sauf qu’ils avaient encore le sexe à moitié en érection. Je suppose qu’ils se sont éjaculés dans la bouche et ont avalé.

– C’est bien possible. Maintenant que j’y pense, je me demande si ceci n’est pas à l’origine d’une bonne partie de tes rêves.

– Tu parles de ceux de cette nuit ?

– Oui.

– C’est bien possible. Déjà, à l’époque, j’en avais rêvé durant les jours qui avaient suivi. Je m’étais masturbée en repensant à ces deux hommes mais sans bien comprendre ce qu’ils avaient fait ensemble.

– En fait, ces quelques jours de vacances expliquent presque tous tes rêves. Pourquoi n’as-tu pas raconté ça à mon patron ce matin ?

– Je n’y ai pas pensé. D’ailleurs, ça m’est revenu tout à l’heure quand j’ai senti ton odeur. Ce matin, le psy m’a dit qu’il avait retiré des blocages dans mon subconscient. Peut-être que, sans cela, je ne m’en serais pas souvenue.

– C’est possible.

– En tout cas, ça m’a fait du bien d’en parler.

 

Simon s’est levé et est parti à la cuisine chercher le dessert tandis que Marie terminait son récit. C’est alors que l’on entend un grand plouf suivi de quelques jurons bien placés. Nicole tourne la tête en direction de la cuisine.

 

– Qu’est-ce qui t’est arrivé, chéri ?

– Rien ! Enfin si. Le pot de moutarde que j’avais posé sur le bord de la fenêtre est tombé dans le bol de salade de fruits. J’en ai plein sur moi. Heureusement, il n’y a rien de cassé.

 

Il fait alors le tour du comptoir pour montrer dans quel état il est. Sa chemise est à moitié trempée et lui colle à la peau, elle en est devenue transparente. Le pantalon est à peine en meilleur état.

 

– Je vais aller me changer.

 

Nicole est consternée.

 

– C’est terrible. On ne peut pas lui laisser faire la cuisine sans qu’il s’en mette partout. Ah, ces hommes !

 

Marie confirme.

 

– Le mien n’est pas mieux. Il faut toujours qu’il se salisse. Dès fois, je me demande s’il ne vaudrait pas mieux qu’il fasse la cuisine tout nu.

– C’est une idée ça. Mon chéri, pas la peine de te changer. Enlève juste ta chemise et ton pantalon.

– Que je garde juste mon string!!?

– En plein ça

– Quand même ! C’est gênant…

 

Marie intervient.

 

– Mais non. J’ai déjà vu des hommes.

– C’est vrai.

– Si ça te gêne d’être le seul à te déshabiller, Philippe va faire pareil. Philippe…

 

Philippe s’inquiète.

 

– Hein ? Pourquoi moi ? Je n’ai rien fait !

– C’est comme ça. Tu ne vas quand même pas contrarier ma psychothérapie.

 

Philippe se lève à contrecœur tandis que Simon a déjà retiré sa chemise.

 

– Elle a le dos large la psychothérapie. Si je me déshabille, Simon enlève aussi son string alors.

– Non, ça lui fait bien un string !! Il a le cul pour en porter !!!

– C’est correct, je vais l’enlever

 

Rapidement, les deux hommes se retrouvent nus. Ce qui surprend le plus quand on les regarde tous les deux, c’est que Philippe s’est rasé le sexe tandis que Simon a conservé tous ses poils pubiens. Ça frappe immédiatement Nicole.

 

– Tiens, ton mari se rase le sexe ? Comme dans tes rêves ? Tu m’avais pourtant dit qu’il ne le faisait pas.

– C’est tout nouveau. Il l’a fait tout à l’heure. Pour me faire plaisir.

– C’est gentil ça. Et qu’est-ce que tu en penses ?

– Très agréable. Tellement que je l’ai même sucé avant de partir.

 

Simon revient à table avec la salade de fruits et la pose au centre de la table. Son sexe se retrouve alors posé sur le bord ; les deux femmes le regardent faire avec un vif intérêt jusqu’à ce qu’il se rasseye.

 

– En tout cas, pour la salade de fruits, j’espère que tu n’as pas une recette secrète comme pour les crêpes ? Nicole et Marie rigole, mais pas les gars, car cette partie des rêves ne leur fut pas conté.

 

Nicole change le sujet de la conversation en s’adressant à Philippe et Simon pour les provoquer un peu.

 

– Et vous, les hommes ? Vous avez eu des expériences comme ça lorsque vous étiez plus jeunes ?

 

Son mari lui répond.

 

– Pas du tout. Tout d’abord, je te fais remarquer que je ne connais Philippe que depuis peu. C’est vous qui êtes des copines d’enfance, pas nous.

– Oui, mais séparément ? Vous avez eu des expériences étant plus jeunes ?

– Non.

 

Réponse également fournie par Philippe. Décidément, les deux hommes ne sont pas loquaces quant à leurs premiers émois. Marie n’en croit rien.

 

– Je n’arrive pas à le croire. Vous n’étiez quand même pas vierges quand on vous a connus ?

 

C’est Philippe qui lui répond.

 

– Quand même pas. J’avais eu plusieurs expériences, mais plus classiques. Dans un lit, avec une seule fille à la fois.

 

Ce que confirme Simon.

 

– Pareil pour moi.

 

Marie reprend.

 

– C’est dingue ça, d’être aussi conventionnel. Moi, c’était avec le fils du fermier, pendant les vacances. C’était notre voisin. On avait été faire un tour à vélo et ça s’était terminé en plein champ. Il était un peu maladroit, mais ça reste un bon souvenir pour une première fois.

 

Sa copine la regarde médusée.

 

– C’est comme dans tes rêves… L’inconnu au milieu des champs…

– C’est vrai qu’il y a des points communs. C’est incroyable que je raconte des trucs pareils.

– Je pense que ta séance d’hypnose de ce matin y est pour quelque chose.

– Peut-être… Ça me fait du bien d’en parler.

 

Le repas est terminé. Nicole se tourne vers son amie.

 

– Et maintenant, qu’est-ce que tu voudrais faire ?

– Pourquoi tu me demandes ça ?

– Parce que c’est toi qui choisis, puisque tu dois laisser libre cours à tes désirs. Exprime-toi.

– Ben… Il y a bien un truc, mais je n’ose pas.

– Si. Vas-y. Dis-le.

– Ça me ferait très plaisir que Simon se rase le sexe.

– Je m’y attendais un peu.

 

Simon est stupéfait.

 

– Ah, mais je ne suis pas d’accord !

 

Sa femme lui répond.

 

– Philippe l’a fait et moi aussi, alors pourquoi pas toi ?

– J’y tiens moi, à mes poils. Ils sont drus, ils sont frisés, et ils sont là depuis si longtemps !!!

– Tu ne vas quand même pas refuser les volontés d’une personne malade ?

– Mais…

– Même Philippe s’est rasé le sexe pour faire plaisir à sa femme ! Et elle n’a même pas eu à insister…

– Bon.

 

Simon se lève à contrecœur et quitte la salle à manger. Nicole et Marie le suivent. Philippe, qui se retrouve seul à table, leur emboîte le pas. C’est quand il est arrivé en haut de l’escalier que Simon réalise qu’il est suivi.

 

– Mais où est-ce que vous allez tous ?

– On te suit.

– J’aurais préféré faire ça tranquillement.

– Et si on préfère profiter du spectacle ?

 

Simon, dépité, se rend à la salle de bains, suivi de sa femme et de ses amis. Il s’adresse alors à Philippe.

 

– Toi aussi tu es là ? Ça t’excite de me regarder en train de me raser les couilles ?

– Je ne vais quand même pas rester en bas à attendre tout seul comme un cruche.

 

Une nouvelle idée germe alors dans le cerveau de Marie.

 

– Et si tu participais aussi ?

– Comment ça ?

– En aidant Simon à se raser. Après tout, j’ai bien aidé Nicole à le faire.

– Mais c’est dégueulasse !

– C’est pour mon bien !

– En plus, je n’étais même pas là quand vous l’avez fait. J’aurais bien voulu profiter du spectacle.

– Si tu es gentil, on se lèchera les seins et on s’embrassera devant toi tout à l’heure.

– Évidemment, dans ces conditions-là…

 

Pendant ce temps, Simon a sorti la mousse à raser et un rasoir, puis il s’est assis au bord de la baignoire. Sa femme se permet de le conseiller.

 

– Il vaudrait mieux enlever le plus gros avec ton rasoir électrique.

– C’est ce que tu as fait ?

– Oui. Sinon, ça tire assez fort sur les poils.

 

Philippe confirme.

 

– C’est vrai. Tout à l’heure, je l’ai fait directement au rasoir, j’aurais dû commencer à la tondeuse.

 

Du coup, Simon sort son rasoir électrique, le branche sur le courant et s’assied à nouveau au bord de la baignoire. Il est prêt, pour se faire raser le sexe par son ami. Philippe s’approche, prend le rasoir en main et le met en route. Il est quand même un peu gêné, Marie s’en rend compte.

 

– Qu’est-ce qui t’arrive, chéri ? Tu as un problème ?

– Je ne sais pas comment m’y prendre.

– Ben, c’est facile, tu passes la tondeuse tout autour du sexe de Simon pour retirer les poils les plus longs. L’idéal, c’est de bien tout dégager de façon qu’il ne reste plus que des poils courts.

– Ce n’est pas simple. Vous, les femmes, vous n’avez pas un gugusse qui dépasse au milieu.

– Tu n’as qu’à le tenir en main, le gugusse qui dépasse. Ce sera plus facile.

 

Philippe ne sait pas trop comment s’y prendre pour prendre en main la queue de son copain. Après avoir essayé plusieurs méthodes sous les yeux amusés des deux femmes, il choisit finalement de la saisir du bout des doigts comme s’il s’agissait d’une grosse bestiole repoussante.

 

– Une bé… bite, c’est le cas de le dire, rigolent les deux femmes!

 

De cette façon, il parvient quand même à passer maladroitement la tondeuse presque partout. Reste maintenant l’épreuve du rasoir. Il prend la bombe de mousse, la secoue et en fait couler sur le pubis de Simon sans l’étaler. Il prend alors le rasoir maintenant et commence à le passer sur la peau de son ami qui se plaint immédiatement.

 

– Eh, attention ! Tu fais mal !

 

Marie sait très bien où est le problème.

 

– C’est normal. Il faut étaler la mousse à raser avant de passer le rasoir. Tu le fais bien d’habitude, mon chéri ?

– Oui. Mais là, ce n’est pas pareil.

– Mais si c’est pareil. Allez, étale bien la mousse.

– Simon pourrait peut-être le faire à ma place.

– Non. Ça serait trop facile.

 

Philippe, encore plus gêné, se retrouve contraint d’étaler la mousse à raser sur le pubis de son ami. Il commence alors le rasage qu’il parvient à faire assez facilement. En finale, il n’est pas mécontent de lui.

 

– Ça y est. C’est fait.

 

Sa femme n’est pas d’accord.

 

– Ce n’est pas fini. Il faut encore faire les testicules et le pénis.

– Aussi ?

– Tu as bien rasé les tiens, toi !

– C’est vrai. Bon, d’accord.

 

Philippe reprend la mousse à raser, mais cette fois-ci il la fait couler sur ses doigts. Il s’efforce de l’étaler le mieux possible sur les parties intimes de son ami, même s’il n’ose pas utiliser son autre main pour soulever la bite de Simon et passer dessous. Il prend alors le rasoir et continue son travail. Au début ce n’est pas bien facile, mais Philippe se détend peu à peu et commence enfin à prendre la bite de son ami dans sa main pour la soulever chaque fois que nécessaire. C’est un nouveau défi pour lui, car il lui faut bien tirer sur la peau pour que le rasage soit réussi. Au bout de dix minutes d’efforts intenses, Philippe est enfin parvenu à terminer le rasage du sexe de son ami. Il se relève tandis que Simon s’asperge d’eau avec la pomme de douche pour se débarrasser des restes de mousse à raser.

 

Sans qu’il ne s’en aperçoive, Philippe constate que les deux femmes se sont caressées les seins et l’entrejambe pendant la séance de rasage! Simon, qui voyait bien l’excitation des deux femmes a pu savourer le spectacle tout le temps que Philippe s’occupait de le raser

 

– Je comprends pourquoi tu disais rien, tu as eu tout le show pour toi!

 

Simon sourit à Philippe et une fois bien séché, il peut enfin découvrir cette incroyable sensation, celle que l’on a quand on se caresse le sexe après se l’être rasé.

 

– C’est doux. C’est agréable, très agréable. Je ressens plein de sensations nouvelles.

 

Tandis que les deux hommes se font face et s’observent mutuellement, Philippe le confirme tout en allant plus loin.

 

– C’est vrai. Et ces sensations me rappellent des souvenirs.

 

Ce qui ne manque pas d’intéresser sa femme.

 

– Toi aussi, chéri ? C’est intéressant. Raconte-nous.

– Je ne sais pas. Je n’aurais rien dû dire.

– Si. Raconte. Ce n’est pas grave. Tout le monde a déjà raconté ses petits souvenirs.

– Non. Pas Simon.

– Pas encore, mais il trouvera bien quelque chose. Alors, c’est quoi ton histoire ?

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 10 novembre 2021 3 10 /11 /Nov /2021 17:56

7 rêves pour une femme par Cepaderefus – 4 – Docteur Paradis : Le retour

Massage3

 

Discussion

 

Marie est tellement excitée en arrivant chez elle, qu’elle va immédiatement dans la chambre, s’allonge sur le lit et se masturbe sans plus attendre. Il ne lui faut que quelques secondes pour jouir et elle pousse encore un grand cri rauque comme elle l’a déjà fait chez son amie. Épuisée, elle retire son chemisier et son soutien-gorge et sa jupe. Cela ne dure pas longtemps, elle se relève encore une fois, reprend son chemisier sans mettre de soutien-gorge et le boutonne. Elle commence alors à se toucher les seins à travers le chemiser. C’est agréable. Ses tétons se mettent rapidement à pointer et deviennent tout durs et sensibles. Elle s’allonge et continue de se caresser les seins. L’excitation monte à nouveau. Tandis qu’elle continue de se caresser la poitrine de la main gauche, sa main droite descend vers son sexe et commence à l’explorer. Cela va vite : deux doigts, trois doigts, puis quatre, elle mouille énormément et ne cesse de gémir. Quelques dizaines de secondes plus tard, elle jouit pour la troisième fois en moins d’une heure. Elle est épuisée, mais… qu’est-ce que c’est bon !

Après s’être reposée un bon quart d’heure, Marie se lève, retire son chemiser et quitte la chambre en direction de la salle de bains. Une douche bien fraîche lui permet de retrouver rapidement ses esprits. Elle ressort de la cabine de douche et prend sa serviette pour se sécher. L’envie de se caresser en même temps traverse son esprit, mais elle préfère néanmoins se retenir. Ses jouissances ont été assez intenses aujourd’hui, ce qui l’épuise un peu plus à chaque fois. Une fois bien sèche, elle quitte la salle de bains et retourne dans la chambre.

 

Quelle tenue va-t-elle bien pouvoir mettre ce soir ? Marie regarde l’heure sur le cadran de la radio. Déjà 17 heures, Philippe ne devrait plus tarder. L’armoire est grande ouverte, le choix n’est pas facile. Une jupe courte ou longue ? Ou alors une robe ? En tout cas, pas un pantalon. Quitte à ne pas porter de sous-vêtement, autant avoir le cul à l’air. Les idées se bousculent dans son esprit. Faut-il mettre des bas ou un collant ? Porter un collant sans culotte dessous, c’est assez excitant, mais on a moins les fesses à l’air. En plus, c’est beaucoup moins pratique en cas de rapport sexuel. Donc plutôt des bas. Avec un porte-jarretelles ? C’est plus excitant, mais sous un vêtement moulant c’est trop visible. Et d’ailleurs, quel vêtement choisir ? Pourquoi ne pas commencer par-là ?

 

Donc une jupe ou une robe, mais pas trop longue. Pas trop courte non plus, à moins de vouloir montrer sa chatte chaque fois qu’elle écartera un tant soit peu les jambes. Et si l’on commençait d’abord par essayer de choisir le haut ? Un chemisier ? Pourquoi pas… Il y en a un blanc, légèrement transparent qui serait du plus bel effet, en tout cas pour ce qui est de dévoiler discrètement ses seins en liberté. C’est vrai, après tout, quitte à ne pas porter de soutif, que faire ? Cacher ses seins derrière un haut opaque et épais ? Ou au contraire laisser deviner qu’on ne porte pas de soutien-gorge en laissant deviner leur forme derrière un tissu légèrement transparent, ou bien derrière un tissu opaque mais moulant ? Marie a le bout des seins qui pointent facilement, elle le sait, et les montrer à travers un tissu moulant ne serait pas pour lui déplaire. Elle pourrait aussi mettre un top à bretelles, elle en a plusieurs qu’elle n’hésite pas à mettre en été, quelquefois même sans soutien-gorge, pendant les vacances, loin de chez eux et du regard des voisins, la proéminence de ses tétons n’étant pas sans la gêner dans sa vie de tous les jours. Non, pas assez habillé, tant pis pour le top à bretelles.

 

Finalement, l’attention de Marie finit par se concentrer sur une robe moulante en satin noir. Descendant jusqu’au-dessus des genoux, elle a l’air assez sage, mais le décolleté en V qu’elle a dans le dos la rend nettement plus sexy lorsqu’on la regarde par-derrière. Elle l’enfile. Sans soutien-gorge, ses seins pointent effrontément à travers le tissu. Quand elle bouge, ils bougent aussi sous le tissu. On ne les voit pas mais on les devine facilement. Plus elle bouge, plus les tétons durcissent et pointent. À peine se passe-t-elle les doigts sur le bout des seins qu’elle se sent déjà mouiller. Bon, le choix est fait.

 

Marie redescend au rez-de-chaussée, va au salon et s’installe sur le canapé, les jambes serrées, une posture bien sage. Puis elle croise les jambes, les décroise, change de place. La constatation est terrible : quoi qu’elle fasse, où qu’elle se mette, qu’elle bouge ou pas, elle ne cesse d’être excitée. Pour l’instant, c’est agréable, mais à la longue cela pourrait finir par être pénible. Elle n’a pas le temps d’y penser plus longtemps, la porte d’entrée vient de s’ouvrir, Philippe vient d’arriver. Que va-t-il penser de cette tenue ? Faut-il tout lui dire ? De toute façon, il faut bien qu’elle lui annonce qu’ils sont invités ce soir. S’il ne veut pas être surpris, il faudrait le prévenir du thème de la soirée. Pour qu’il comprenne le sens de ce thème, il vaudrait mieux tout lui expliquer depuis le début. Ce serait plus simple.

 

Marie se lève alors et va à la rencontre de son mari.

 

– Bonjour, mon chéri.

– Bonjour, ma chérie.

– Alors, ce voyage ?

– Bien. Intéressant. C’est pour fêter mon retour ?

– Quoi donc ?

– Que tu t’es habillée comme cela ?

– Pas tout à fait. Mais on peut quand même le fêter.

 

Philippe prend sa femme dans ses bras et pose les mains sur son dos. Il a déjà remarqué qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, ce qui lui permet de lui parcourir le dos sans entrave. Il laisse alors descendre une de ses mains plus bas, pour lui caresser les fesses. Surprise ! Il ne ressent pas la couture de la culotte. Curieux, il descend plus bas, passe sous la robe et fait remonter sa main. Il parvient sans difficulté jusqu’au sexe abondamment mouillé de sa femme.

 

– Pas de culotte ? C’est une grande occasion ! Je sens que je ne vais pas pouvoir résister.

 

Philippe retire alors son pantalon et son caleçon, son sexe est déjà raide, en érection. Ne prenant pas le temps de retirer sa cravate, sa chemise et ses bas, il entraîne Marie vers la cuisine. Il lui remonte sa robe et l’assoit sur le bord du comptoir. Sans plus de préliminaires, bien qu’il adore cela, surtout quand il s’agit de donner du plaisir à sa femme en lui caressant les seins et la chatte, il s’introduit sans aucune difficulté dans le sexe détrempé de sa femme. Philippe se met aussitôt à la fourrer tandis que Marie ne cesse de crier très fort l’intensité de sa jouissance. Il ne tarde pas à jouir, remplissant de sperme la chatte de sa femme. Quand il se retire, la fente de Marie est toujours aussi dégoulinante d’un mélange de sa mouille et de sperme qui s’écoule lentement sur le comptoir. Épuisée par sa jouissance, elle ne parvient pas à bouger tandis que Philippe lui apporte quelques essuie-tout pour qu’elle se nettoie ainsi qu’il le fait lui-même.

 

Remis de leurs émotions, ils montent jusqu’à leur chambre. Tandis que Philippe range dans l’armoire les vêtements qui ne lui ont pas servi, Marie lui raconte sa nuit, puis sa journée. Cette énumération détaillée de tous les fantasmes de sa femme ne cessent de l’épater.

 

– C’est incroyable tout ce que tu as comme idées.

– Tu n’as pas été trop choqué ?

– Non, ça va. Pas trop. Encore que sucer Simon ou me faire enculer par lui, ça ne me tente pas vraiment.

– Vous êtes tous les mêmes, les gars. Quand il s’agit de regarder des femmes se manger la chatte, ça vous excite. Mais s’il s’agit que vous fassiez la même chose, il n’y a plus personne.

– Il ne faut pas exagérer. Il y a quand même des limites à ne pas dépasser. C’est une question de dignité humaine.

– Et pour nous, les femmes ? Il n’y a pas de limites ?

– Ce n’est pas pareil. Il y a de la sensualité. C’est ce qui rend un rapport sexuel entre femmes beau et esthétique. Tu sais, dans ce genre de rapport, tu as en même temps la femme passive et la femme active ! C’est ce qui rend ce fantasme si attrayant pour les hommes ! Entre hommes, ce n’est pas pareil.

– Évidemment. C’est toujours comme ça. Quand il s’agit de faire un effort, il n’y a plus personne.

– Mais je vais en faire des efforts. Repose-toi donc un peu, tu as l’air épuisée.

 

Marie s’allonge alors sur le lit tandis que son mari quitte la chambre. Qu’est-il parti faire ?

 

Peu de temps après, Philippe revient dans la chambre, suivi par le psy.

 

– Voilà, elle est ici. Je vous laisse.

 

Il repart aussi vite qu’il était arrivé, laissant sa femme avec le psy, ce qui ne manque pas de la surprendre.

 

– Docteur Paradis !!??? Que faites-vous là ?

– J’avais oublié votre ordonnance. Comme je passais dans le quartier, j’en ai profité pour m’arrêter chez vous.

– Une ordonnance ?

– Oui, des infusions de produits naturels que vous pourrez prendre pour calmer vos ardeurs.

– Bon.

 

Marie s’attend alors à ce qu’il quitte la chambre, mais il n’en est rien. Au contraire, il s’avance encore un peu plus vers elle.

 

– D’après vous, j’ai le sexe rasé ou pas ?

– Drôle de question. Qu’est-ce qui vous prend ?

– C’est la suite de votre traitement. Alors ? Rasé ou pas ?

– Je ne sais pas. Peut-être bien que vous êtes rasé.

 

Sans lui répondre, le psy retire sa chemise.

 

– Juste avec votre pantalon comme ça, vous avez le look d’un eunuque dans les contes des mille et une nuit. Tout ce qui vous manque, ce sont des souliers à pointe retroussée et une grosse plume pour servir d’éventail pour rafraîchir les femmes du harem.

– Ah, mais j’ai pas la petite voix qui vient avec le look !

 

L’instant de rigolade passé, il retire son pantalon sous les yeux étonnés de la jeune femme. Il ne semble pas très poilu sur le torse, en tout cas moins que bien des hommes avec les mêmes rondeurs. Après avoir également retiré ses bas, il ne lui reste plus que son caleçon. Il le fait alors glisser sensuellement avec le bout de ses doigts. Son pubis apparaît, on y voit des poils pubiens, foncés. Marie semble déçue. Il continue à faire descendre son sous-vêtement et son sexe se dévoile. Il est épilé. En fait, le psy n’a gardé qu’un carré de poils coupés court sur le pubis, tout le reste a été rasé. Son torse a un peu de poils, mais ses bras, ses jambes, tout son corps est imberbe, à l’exception d’un carré intime. S’épile-il tout le corps ? Marie ne va pas tarder à avoir la réponse à cette question incongrue qui lui a traversé l’esprit.

 

– Je pratique le naturisme, c’est pour cela que je m’épile tout le corps. C’est plus facile pour bronzer égale et mettre de la crème.

– Mais vous avez gardé des poils pubiens et une ligne sur le torse ?

– Oui, ça me plait bien comme ça !

– Mais vous avez quand même épilé le reste de votre sexe.

– C’est une question de préférence personnelle.

 

Alors qu’elle est en train de discuter, Marie ne s’est pas rendu compte qu’il s’est rapproché lentement d’elle pendant la conversation. Sa robe est suffisamment relevée pour que le psy puisse voir son sexe. Il approche ses mains des cuisses de la jeune femme et commence à les masser. Marie est surprise mais ne dit rien. Son regard est captivé par cette queue qui commence à grossir. Ce matin, elle n’avait rien remarqué de son pénis, mais c’est vrai qu’il était en grande partie caché par son pantalon. C’est quand il commence à faire remonter ses mains en direction de l’entrejambe de Marie qu’elle manifeste enfin son désaccord.

 

– Mais enfin ! Qu’est-ce qui vous prenez ?

– Je vous relaxe. Ça vous fait du bien ?

– C’est possible. Mais je ne veux pas que vous me touchiez.

– Pourquoi ?

– Ce n’est pas bien. Vous n’avez pas le droit. Si vous continuez, j’appelle mon mari.

cepaderefus4

 

Il ne tient pas compte de ce qu’elle dit et continue son massage. Ses doigts arrivent au contact de la fente de Marie tandis que son sexe commence à être réellement en érection, une très belle érection. Marie ressent le contact de ces doigts étrangers qui cherchent à s’insinuer en elle à la recherche de son clitoris. C’est trop, elle ne peut pas laisser faire ça. Elle se met alors à crier.

 

– Philippe ! Chéri ! À moi ! Au viol !

 

Philippe arrive instantanément. Marie a l’impression qu’il était caché derrière la porte, peut-être en train d’observer ce qu’elle était en train de subir. Pourquoi n’est-il pas intervenu spontanément ? Prenait-il du plaisir à les observer ?

 

– Qu’est-ce qui se passe ?

– Ben, tu ne vois pas ce qui se passe ?

– Ton psy s’occupe de ton traitement.

– C’est comme ça que tu vois les choses ?

– Ben oui.

 

Le psy prend la parole.

 

– C’est vrai. C’est pour son bien. Il faut qu’elle laisse libre cours à ses désirs les plus profonds.

 

Marie est stupéfaite d’une telle réponse.

 

– Et là, quand vous me masturbez, c’est un désir de ma part ?

– Oui. Tout à fait.

– Et c’est quoi mon prochain désir ?

– Que votre mari me suce.

– Tu entends ça, chéri ? Maintenant, il voudrait que tu le suces !

 

Philippe corrige ce qu’elle vient de dire.

 

– Ce n’est pas lui qui le voudrait, mais toi.

– Pas du tout. Je n’ai rien dit.

– Monsieur connaît tes désirs. S’il le dit, c’est que c’est vrai.

 

Et, dans la foulée, Philippe s’approche du psy. Il s’agenouille devant lui, ouvre la bouche et y laisse pénétrer le sexe en érection du praticien.

 

Stupéfaite, Marie assiste alors à la fellation que son mari prodigue au psy. Et c’est que Philippe s’y prend bien, elle le voit faire, il pompe comme s’il l’avait toujours fait. Voir son mari comme ça lui donne les mêmes envies de se masturber que ce matin au téléphone avec Marie. Le psy apprécie visiblement les talents de Philippe, il ne cesse de gémir. Sur la fin, il en oublie même Marie, à la place il préfère utiliser ses mains pour tenir la tête de Philippe, qui se laisse faire, et lui imprimer un mouvement de va-et-vient. Cela ne dure guère car, dans un dernier soubresaut accompagné d’un cri rauque et puissant, le psy éjacule dans la bouche du mari de Marie.

 

D’où elle est placée, elle ne remarque que le filet de sperme qui commence à couler le long de la bouche de son mari. Le jet a dû être considérable et il n’a pas pu tout avaler, à moins qu’il n’ait essayé de recracher. Le psy se retire alors de la bouche de Philippe et va vers Marie, le sexe encore érigé et couvert de restes de sperme. Marie recule.

 

– Qu’est-ce que vous voulez ?

– Que vous me léchiez la queue.

– Quoi ? Pas question.

 

Philippe essaye de la raisonner mais, la bouche pleine de sperme, sa diction n’est pas très claire. Il essaye d’en avaler le maximum pour parvenir à mieux parler.

 

– Enfin, ma chérie. Fais donc ce qu’on te dit. C’est pour ton bien.

 

Dégoûtée, Marie s’exécute quand même et lèche tout le jus souillant la verge du médecin. Elle ne peut pas s’empêcher de manifester son désaccord tandis qu’elle lui suce le gland.

 

– Je ne vois pas pourquoi ceci serait un de mes fantasmes. Après tout, cela pourrait aussi être le contraire.

– C’est exact. Monsieur… déshabillez-vous.

 

Philippe s’exécute et retire ses vêtements. Son sexe est intégralement rasé, ce qui surprend un peu plus Marie.

 

Une fois que Philippe a fini de se mettre nu et que Marie a terminé de nettoyer le sexe du psy, ce dernier s’approche du mari, le fait s’allonger sur le lit et se met à le sucer à son tour. Le gros bonhomme semble être un spécialiste de la fellation, il arrache immédiatement des cris de plaisir à Philippe. Marie qui est allongée à côté d’eux peut profiter à loisir du spectacle. Il a l’air de se débrouiller aussi bien que les cochonnes que l’on voit dans les films pornos et cela finit par l’exciter.

 

Machinalement, sans réellement s’en rendre compte, Marie laisse une de ses mains s’avancer vers son sexe et elle commence à se masturber tout en regardant ces deux hommes s’amuser ensemble. Elle ressent une gêne, mais aussi beaucoup de plaisir. Peut-être même que c’est la gêne qui entraîne le plaisir. C’est contradictoire, mais qu’est-ce que c’est bon… Philippe ne tarde pas à crier, de plus en plus fort, il ne crie jamais comme ça quand c’est sa femme qui le suce. Peut-être qu’elle ne sait pas s’y prendre ? Les cris de Philippe cessent soudain tandis que la bouche du psy se remplit de sperme. Son mari vient de jouir dans la bouche d’un autre homme, peu de temps après avoir lui-même fait jouir ce même homme dans sa bouche. Marie repense à tout ça, en observant le sperme de son mari couler sur la joue du praticien. Elle jouit à son tour, laissant échapper un cri de plaisir.

 

Le psy ne manque pas de remarquer ce cri et ce qui en est la cause. Il se relève et s’adresse à Marie, la bouche pleine de sperme, comme l’avait fait son mari auparavant.

 

– Vous voyez que ce sont bien vos désirs. Vous en avez même joui.

– C’est vrai. C’est indéniable.

– Et maintenant, vous allez sucer votre mari. Je pense que vous avez l’habitude.

– Oui, bien sûr.

 

Elle se penche vers Philippe et lui nettoie la bite de la même façon qu’elle l’a fait au psy peu de temps auparavant.

 

Une fois le sexe de son mari bien propre, elle termine d’avaler le sperme qui lui reste dans la bouche et s’allonge sur le lit, pensive.

 

Soudain, on lui tape sur l’épaule. Marie sursaute. Qu’est-ce qui se passe ? C’est Philippe, toujours à côté d’elle, qui vient de la réveiller. Le psy n’est plus là. C’était bien un rêve. Un 7ème…

 

– J’ai rêvé ?

– Oui, je crois bien.

– Comment tu le sais ?

– Tu as parlé en dormant. J’ai suivi presque tout ton rêve.

– Non ? !

– Si !

– Alors tu sais ce que tu as fait avec le psy dans mon rêve ?

 

Il lui répond tout en se levant pour faire le tour du lit.

 

– Oui. Je l’ai sucé et ensuite il m’a sucé. Ça t’a excité, tu t’es masturbée et tu as joui aussi.

 

Philippe a fait le tour du lit, Marie peut enfin le voir de face. Il a le sexe rasé ! Elle rêve encore !

 

– Non, pas ça ! Je veux me réveiller pour de vrai !

– Qu’est-ce qui t’arrive ?

– Je rêve encore ! Tu as le sexe rasé. Dans mes rêves tu as toujours le sexe rasé, mais dans la réalité, ce n’est pas le cas.

– Rassure-toi, tu ne rêves pas. Je viens de me le raser pendant que tu t’endormais.

– C’est vrai ?

 

Marie s’avance, sent le sexe de son mari, elle reconnaît l’odeur de la mousse à raser. C’est exact, il vient de se raser le sexe. Tout est trop réaliste pour être un rêve. Elle lui caresse le sexe, curieuse et ravie.

 

– Quelle bonne idée. C’est agréable comme tout.

 

Elle se penche en avant et commence à le sucer.

 

– Ça donne envie.

 

Philippe se laisse faire. Il retire la robe de Marie en un seul coup et elle se retrouve nue en moins de temps que pour dire  » ouf « . Le plaisir de Philippe monte rapidement, accompagné de gémissements rauques. Quelques minutes plus tard, il laisse éclater son plaisir en éjaculant sur les seins de sa femme. Ravi, Philippe se penche vers elle et l’embrasse alors qu’elle a les seins dégoulinant de sperme. Il se penche et lèche les seins de sa femme! Elle en est surprise.

 

– Mais enfin ! Qu’est-ce qui te prend ?

– Ben quoi ? Je goûte. Il vaut mieux que je me prépare.

– À quoi ?

– Au goût du sperme. Si je veux t’aider à suivre ta thérapie.

– Tu crois ?

– Oui. Je t’aime et je pense que c’est important. Je ne veux pas que nous nous séparions parce que tu aurais refoulé tes fantasmes.

– C’est gentil à toi.

– Et nous allons aller chez Nicole et Simon. Ça te fera le plus grand bien.

– Tu es sûr de ça ? Tu ne vas pas le regretter ?

– On verra bien. Le plus important, c’est que tu ailles mieux.

– Bon. Alors on va se préparer pour y aller.

 

Marie se rhabille de sa robe moulante. Elle ne porte toujours rien dessous. Philippe, toujours nu, se dirige vers la commode, en sort un boxer-short et des chaussettes et commence à s’habiller. Sa femme l’interrompt.

 

– Tu mets un boxer ?

– Oui. Pourquoi ?

– Tu pourrais ne pas en mettre.

– Pourquoi pas ? Si ça te fait plaisir.

 

Il range alors le boxer, ouvre l’armoire et choisit un pantalon ample et léger.

 

– Avec ça, j’aurai vraiment le pénis en pleine liberté.

– En effet. On peut presque le deviner tellement le tissu est léger.

– Je sens l’air me caresser les couilles. Le tissu aussi me caresse, c’est très agréable.

– Surtout avec le sexe rasé. Je connais.

– Oui, je pense que ça y est pour quelque chose. Je vais finir par bander, si ça continue.

– Attends d’être arrivé chez Simon et Nicole.

– Ça devrait aller. Tu viens de me vider, alors je peux attendre un peu.

 

Philippe termine de s’habiller, choisissant un polo de couleur pâle. On devine le contour de son corps quand il se place devant la lumière de la fenêtre. Marie le remarque et trouve cela aussi érotique qu’une femme habillée d’une robe moulante. Encore un fantasme ?

 

Il est donc 19 heures 30, Marie et Philippe sont plutôt nerveux, ils arrivent devant la maison de leurs amis pour y passer une soirée qui risque d’être assez chaude. Leur appréhension est grande, ils ne sont pas du tout adeptes de ce type de soirée. Ce qui les rassure un peu, c’est que leurs amis ne le sont pas non plus. Ce sera une découverte pour tout le monde. Ils sont certainement tout aussi nerveux qu’eux. Marie sonne. Les dés sont jetés.

 

C’est Nicole qui vient leur ouvrir. Sa tenue n’a rien à envier à celle de Marie. Elle porte un petit haut en dentelle noire et une minijupe, noire également. Les deux femmes s’observent. Chacune semble rassurée de constater que son amie a opté pour des vêtements tout aussi osés que les siens. Philippe observe également Nicole. Il ne peut s’empêcher d’observer la poitrine de la jeune femme, visible par transparence. Cela l’excite déjà pas mal mais, quand il se rappelle qu’elle ne porte certainement pas de culotte sous sa minijupe, cela achève de lui faire de l’effet. En l’absence de sous-vêtement, son sexe se redresse promptement dans son pantalon, il se forme alors une bosse très visible au niveau de sa braguette.

 

Les deux femmes se font la bise, puis c’est au tour de Philippe d’embrasser la copine de sa femme. Nicole remarque immédiatement l’érection de Philippe, elle est tellement visible qu’on ne voit que cela. Tout en l’embrassant, elle le complimente mais sans oser y toucher.

 

– Ben dis donc ! C’est moi qui te fais cet effet-là ?

– J’en ai bien l’impression.

 

Marie remarque à son tour la bosse dans le pantalon de son mari.

 

– Ça promet !

 

Tous les trois vont dans le salon. Simon ne tarde pas à arriver, une bouteille de vin en main. Un vin blanc de très bonne qualité, Bourgogne Montrachet 1987.

 

– J’avais cela dans ma cave depuis un certain temps, c’est ce soir qu’on se débarrasse de cette vieille affaire!

 

Philippe, qui apprécie le vin, connaît bien la valeur et la rareté de ce vin et ne dit pas un mot pour ne pas éveiller Simon et le faire changer d’idée.

 

– Ouin, ça risque d’être excellent ce vin, tu l’as acheté où ?

– Je l’ai eu quand j’ai acheté la cave de mon ex-associé

– Ah ok, je comprends

 

Côté vestimentaire, Simon a opté pour une tenue assez proche de celle de Philippe. Marie s’en rend compte.

 

– T’es habillé presque comme Philippe. C’est pareil en dessous ?

– C’est-à-dire ?

– Regarde.

 

Et d’un seul mouvement, elle montre la bosse dans le pantalon de son mari, la saisit à pleine main et entame un mouvement de masturbation qu’elle interrompt après quelques allers et retours. Il n’en faut pas plus pour qu’une bosse se forme également dans le pantalon de Simon, trahissant par là même le fait que lui non plus ne porte pas de sous-vêtement, ce que remarque Philippe.

 

– Toi non plus, tu n’as pas mis de caleçon ?

– Euh !!! Pas tout à fait, j’ai mis un J-string pour homme reçu en cadeau à Noël.

– Ah oui, mais c’est pas évident non plus il paraît ?

– C’est vrai. Alors, on ouvre cette bouteille !!??

 

Simon reste encore un instant à la cuisine, le temps de déboucher la bouteille qu’il vient d’apporter, et vient la poser sur le bar. Il rejoint alors ses amis qui ont pris place autour de la table du salon. Les deux femmes sont assises sur le sofa tandis que Philippe s’est vautré dans un fauteuil. Même si les deux femmes ont gardé bien sagement leurs jambes serrées, leurs tenues très courtes ne parviennent pas à masquer totalement leur intimité, dès lors que l’on est juste face à elles. Et c’est justement ce que fait Simon, il s’assied face à Marie et se penche ostensiblement. Il arrive ainsi à entrevoir en partie le pubis épilé de la copine de sa femme, ce qu’il n’hésite pas à dire à ses amis.

 

– Ouin !! Depuis que je te connais, tes seins ont toujours été à leur avantage mais pour le reste, je n’aurai pas dû attendre longtemps pour m’en rendre compte.

 

Marie ne comprend pas immédiatement.

 

– Quoi donc ?

– Que tu as fait comme Nicole.

– Tu as tout vu ?

– Pas tout. Juste un petit peu, mais c’est déjà un début.

 

Il se tourne alors vers Philippe, qui est placé entre lui les femmes, sur le côté de la table.

 

– Mais tu es mal placé où tu es. Viens donc ici, à côté de moi.

 

Philippe se lève et déplace son fauteuil.

 

– Je me mets où ?

– Ici, face à Nicole.

 

Après s’être déplacé, Philippe peut à son tour bénéficier d’une vue sur l’entrejambe de l’amie de sa femme. Il peut alors remarquer qu’elle semble elle aussi épilée, ce qui confirme ce que lui a dit sa femme.

 

Au cours de l’apéritif, le vin aidant, tout le monde commence à se détendre. Les deux femmes se contrôlent moins et il est de plus en plus facile pour Philippe et Simon de fixer les seins ou l’entrejambe de la femme de l’autre et cela commence à les exciter. Philippe commence même à discrètement se caresser le sexe à travers son pantalon, ce qui est facilité par sa tenue. Nicole s’en rend compte et décide de réagir.

 

– Et si nous passions à table ?

 

Philippe est déçu. Ça commençait à devenir intéressant. À moins qu’elle ne veuille plus de cette soirée débridée… Nicole se lève. Ce qu’elle lui glisse à l’oreille en passant le rassure.

 

– Pas si vite… La soirée ne fait que commencer.

 

Les quatre convives se dirigent donc vers la table ronde de la salle à manger.

 

Simon dit à Philippe de venir avec lui dans la cave à vin pour choisir les vins pour accompagner le repas.

 

Philippe se plait à admirer les nombreuses bouteilles couchées! Il s’arrête sur des bouteilles de Pétrus. Simon le voit regarder les bouteilles et dit

 

– Ça c’est mon vin préféré! Ça coûte cher, mais c’est super bon !

– Oui, je sais

 

Philippe pointe plusieurs bouteilles et s’aperçoit de la qualité des vins dans la cave de Simon. Il aperçoit un Bordeaux St-Julien Léoville-Barton 1997 et un Château Margaux 1990 !

 

– Ça serait pas mal ces deux vins-là !

– Ouin, c’est aussi bien de les sortir, trop vieux ça sera plus bien bon! Et ça devrait aller avec la bouffe.

– Ça vient de la cave de ton ex-associé ?

– En plein ça, ce n’est pas le genre de vin que j’achète habituellement

– Tu achètes quoi d’habitude?

– Je laisse le marchand de vin de la SAQ faire les choix pour moi et Nicole fait le reste.

– Ta femme a bien des talents dans ce cas

– Ça, je peux le certifier !!!

 

Le repas, qui fut préparé par Nicole et Simon, se déroule normalement et l’alcool ne tarde pas à monter à la tête de chacun. La discussion devient de plus en plus frivole et quelque peu grivoise. Le principal sujet est bien évidemment le sexe. Marie et Nicole sont de vieilles copines d’enfance. À l’occasion de cette journée, d’anciens souvenirs leur remontent à l’esprit. C’est Nicole qui en parle la première.

 

– Tout à l’heure, pendant que vous étiez à la cave, j’ai remémoré un souvenir de ma jeunesse à Marie. Quand nous avions fait du camping entre copines.

 

Les deux gars se concentrent alors sur les propos de Nicole

 

– Ça fait une quinzaine d’année, si je ne me trompe pas?

– Oui, c’est ça. Quinze ans. Nous avions été en vacances chez ma grand-mère, près de la mer.

– On avait mis la tente dans la cour de ta grand-mère.

– Et nous avions dormi ensemble.

– C’est vrai.

– Et on s’était masturbées avant de s’endormir.

– J’avais oublié cela

– C’est si loin. J’avais oublié avant que Nicole m’en parle tout à l’heure.

– C’est notre branlette de cet après-midi qui me l’a rappelé. Je me suis souvenue que nous nous étions déjà masturbées mutuellement.

– C’est vrai. On avait essayé pour voir l’effet que ça fait.

– Oui. C’était agréable.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 10 novembre 2021 3 10 /11 /Nov /2021 17:52

7 rêves pour une femme par Cepaderefus – 3 – Travaux pratiques

bisou1719

Confidences

 

Une fois sortie de chez le psy, Marie rentre chez elle et attend le début de l’après-midi pour aller chez son amie. Bien qu’elle lui ait déjà tout raconté par téléphone, elle est impatiente d’en discuter à nouveau avec elle, d’autant plus que Nicole ne sait pas encore ce qui s’est passé chez le psy.

Il n’est que quatorze heures lorsque Marie sonne à la porte de Nicole. Elle a l’impression de revivre un de ses rêves. Pourtant tout est normal, elle porte une jupe et un chemisier, après vérification sa culotte et son soutien-gorge sont toujours présents. Son amie ouvre la porte, elle aussi est normalement habillée, dans une tenue assez proche de la sienne. Elle n’est pas à moitié déshabillée comme dans ses rêves. Tout ceci a l’air visiblement réel, ce qui la rassure. Nicole invite alors son amie à entrer.

 

– Tu m’as l’air pressée de me voir. Je me trompe ?

– Non, non, tu as raison. J’ai vraiment besoin d’en parler avec toi. Je me retiens de venir depuis ce matin.

– Suis-moi. Les enfants jouent en bas et dans le jardin, on va monter pour en discuter tranquillement.

 

Les deux femmes vont donc dans la chambre de Nicole et Simon. Marie s’assied dans un fauteuil tandis que son amie s’allonge sur le lit.

 

Nicole entame enfin la conversation.

 

– Alors ?

– Il est bizarre, ton patron.

– Je sais, mais il est très compétent.

– Vraiment ? Tu crois que ce qu’il m’a dit, c’est vrai ?

– Probablement, mais je ne sais pas ce qu’il t’a dit.

 

Marie commence alors le récit de sa matinée, détaillant point par point tout ce qui lui est arrivé. Une fois ceci terminé, Nicole reprend la parole, plutôt déconcertée.

 

– En effet, c’était grave. Mais si je comprends bien, je devrais participer à ton traitement…

– Comment cela ?

– Je suis dans tes rêves. Logiquement, tu devrais faire dans la réalité ce que tu as rêvé.

– Et laisser ton mari enculer le mien ?

– On n’a peut-être pas à aller jusque-là. Commençons par tes principaux fantasmes. Si j’ai bien suivi, c’est la nudité sous les vêtements et l’épilation du sexe.

– Exactement.

– Qu’en est-il réellement ? Tu n’as pas de culotte ?

 

Nicole se penche pour essayer de deviner ce qui se cache à l’entrejambe de son amie.

 

– Si, si, j’en ai une.

 

Marie écarte les jambes, dévoilant un tanga en dentelle noire que son amie peut entr’apercevoir. Ceci fait, elle reprend.

 

– Par contre…

– Oui ?

– Je m’épile le sexe.

– C’est vrai !!? Tu ne me l’avais jamais dit.

– On n’a jamais eu de conversation réellement très intime au niveau cul.

– En effet.

 

Un silence s’installe dans la pièce. Marie n’ose pas continuer à livrer ses pensées. Nicole s’en rend compte et décide d’aider son amie à se livrer.

 

– Mais encore ? J’ai l’impression que tu veux encore me dire quelque chose ?

– C’est vrai. Mais je n’ose pas.

– Vas-y, lance-toi !

– Je ne voudrais pas te choquer.

– Mais non. Ne t’inquiète pas. De toute façon, si mon patron a dit que c’était pour ton bien…

– Bon. Eh bien, voilà ! Je voudrais savoir ce qu’il en est pour toi.

– À quel sujet ?

– Les sous-vêtements et l’épilation.

– En effet, c’est une question difficile. Je vais te répondre simplement, je porte toujours des sous-vêtements et je ne me rase pas le sexe.

 

Marie a l’air déçue.

 

– Vraiment ? Pas du tout ?

– Je me fais le maillot quand même.

– C’est un minimum.

– Et toi, tu rases tout ?

– Ce n’est pas du rasage, mais de l’épilation électrique. C’est plus efficace, ça dure plus longtemps et je n’ai pratiquement pas de boutons. Et, en effet, je suis tout épilée.

– Même le pubis ?

– Complètement, je te dis.

– Et pourquoi tu l’as fait ?

– En fait, c’est Philippe qui le voulait. Au début, c’était pour faciliter le cunnilingus, sans les poils c’est bien plus agréable. Progressivement, on a enlevé de plus en plus de poils car la peau est plus douce et plus sensible aux environs du sexe, mais il faut débroussailler pour s’en rendre compte. Maintenant, je suis entièrement lisse et c’est comme cela que je préfère.

– Et Philippe aussi ?

– Non.

– Pourtant dans tes rêves, il est épilé.

– C’est vrai. Peut-être une envie refoulée. Et Simon ?

– Non plus.

– Je dois rêver que tout le monde est épilé parce que je le suis moi-même.

– Probablement.

 

À nouveau, le silence vient envahir la pièce. Mais cette fois-ci c’est Nicole qui n’ose pas parler. Marie reprend alors la parole.

 

– Tu veux me demander quelque chose ?

– Tu t’en es rendu compte ?

– Oui.

– En fait, je serais curieuse de voir ton sexe.

– Pourquoi pas ? Mais dans ce cas, tu fais de même.

– D’accord.

 

Marie se lève et passe les mains sous sa jupe pour en retirer son tanga. Nicole fait de même et retire à son tour une jolie culotte en dentelle blanche. Ceci fait, les deux femmes, face à face, soulèvent leurs jupes, chacune dévoilant ainsi à l’autre son intimité cachée. Le sexe totalement imberbe de Marie ne cache absolument rien de son intimité, le haut de ses lèvres étant parfaitement visible. Pour ce qui est de Nicole, ce n’est pas la même chose, la touffe de poils bruns qui recouvre son pubis cache son sexe encore mieux qu’une culotte. Elles s’observent de longues secondes, silencieuses et immobiles. C’est finalement Nicole qui reprend la parole en premier.

 

– Troublant.

– L’épilation ?

– Oui. Je ne pensais pas que ça pourrait me faire un tel effet. Tu sais quoi ? Je voudrais bien savoir l’effet que ça fait.

– Tu veux te raser ?

– Non… Ce que je voudrais, c’est te toucher.

– Vraiment ?

– Oui.

 

Pendant que Marie retire sa jupe, Nicole laisse retomber la sienne. Elle se penche alors, approche sa main du pubis de son amie. Elle est nerveuse, ses doigts tremblent. Va-t-elle oser ? Quelques centimètres encore à parcourir, ses doigts n’ont jamais été aussi près du sexe de son amie. Elle finit enfin par atteindre le pubis rasé de Marie. Ses doigts commencent à le caresser, ressentant le plaisir qu’il y a à caresser une peau bien lisse. Ses doigts s’hasardent un peu plus bas et atteignent le haut des lèvres. Nicole n’ose pas aller plus loin, elle est déjà en sueur sous l’effet de l’émotion. Elle se relève et s’assied sur le lit, les jambes tremblantes, tandis que son amie, dans un état assez proche, fait de même.

 

Côte à côte sur le lit, les deux femmes reprennent leur souffle, cela dure de longues secondes. Nicole est la première à reprendre la parole, elle est impatiente de partager ses impressions.

 

– Eh bien, dis donc ! Je n’aurais jamais cru que ça pouvait me faire un tel effet!

– Moi non plus.

– Quelle drôle de sensation, c’est difficile à décrire.

– J’avais honte, mais j’étais aussi très excitée.

– Pareil, mais je crois que l’excitation était la plus forte. J’ai senti que je devenais toute humide.

 

Marie porte la main à son sexe avant de lui répondre.

 

– Incroyable, je suis toute mouillée.

 

Nicole fait de même.

 

– C’est aussi mon cas.

 

Des cris émanant du jardin parviennent jusqu’à la chambre en passant par la fenêtre entr’ouverte. Ce sont les enfants de Nicole qui appellent leur mère, elle se lève et s’adresse une dernière fois à son amie avant de quitter la chambre.

 

– Je vais voir ce qui se passe en bas. Allonge-toi si tu veux. Tu m’as l’air assez pâle.

– Je ne sais pas si c’est le manque de sommeil où ce que l’on vient de faire, mais c’est vrai que je ne me sens pas très bien.

– Repose-toi un peu. J’en aurai peut-être pour un certain temps.

 

Nicole a quitté la chambre. Marie, qui n’a pas eu le courage de remettre son tanga et sa jupe, s’est allongée sur le lit. Elle s’efforce de reprendre ses esprits et de se décontracter. Ça y est, la thérapie du psy a commencé à être appliquée. Il fait beau, l’air est chaud, il est agréable de rester allongée à ne rien faire.

 

Quelques instants plus tard, Nicole est de retour. Marie est plutôt surprise car son amie s’est entièrement déshabillée.

– Qu’est-ce qui t’arrive ?

– Il faisait chaud, alors je me suis mise à l’aise.

– En effet, tu t’es vraiment mise à l’aise.

– À propos… J’ai bien aimé ton épilation… J’essaierais bien, moi aussi.

– Tu as un épilateur électrique ?

– Non, mais j’ai un rasoir et de la mousse.

– Ça ira, mais le poil repoussera plus vite.

– C’est juste pour essayer, mais j’ai peur de me couper, je n’ai pas l’habitude.

– Tu veux que je t’aide ?

– Je veux bien. Tu m’accompagnes à la salle de bains ?

 

Les deux femmes ressortent de la chambre et traversent le couloir en direction de la salle de bains. Nicole, complètement nue, est suivie de Marie qui ne porte plus que son chemisier. Nicole entre la première et se dirige vers un placard où elle prend une serviette ; elle va ensuite à un autre placard d’où elle sort un rasoir et de la mousse à raser. Elle pose le tout au bord de la baignoire et se retourne vers son amie.

 

– Bon. Et maintenant, qu’est-ce qu’on fait ?

– Voyons… Assieds-toi au bord de la baignoire, ce sera plus pratique.

– D’accord.

 

Tandis que Nicole prend place à côté de la serviette, Marie fait couler de la mousse à raser dans le creux de sa main. Elle s’approche ensuite de son amie et commence à recouvrir sa toison pubienne. Le contraste entre les poils noirs et la mousse blanche est net, mais le blanc prend progressivement le dessus. Marie prend alors le rasoir en mains et commence son travail de débroussaillage. Les poils noirs disparaissent au fur et à mesure de l’avancement du travail. Simultanément, sa fente commence à apparaître. Marie lui fait bien écarter les jambes pour accéder aux moindres replis, et du coup le sexe de Nicole s’entrouvre sous les yeux de Marie qui parvient difficilement à cacher son excitation.

 

cepaderefus3

Par deux fois, Marie remet de la mousse pour affiner le rasage. À la fin, il n’y a plus de contraste entre le noir et le blanc, tous les poils ont disparu, la peau est à nu. Nicole enjambe alors la baignoire et se rince l’entrejambe à l’aide de la pomme de douche. Son sexe est devenu imberbe, plus aucun poil ne cache ses parties les plus intimes, et ce pour le plus grand plaisir de son amie qui ne peut s’empêcher de lui dévorer le sexe des yeux. Marie prend la serviette et se charge elle-même d’essuyer son amie, une façon très intime de la caresser. Elle repose ensuite la serviette et, sans un mot d’explication, se met à caresser le pubis de son amie puis, descendant vers le sexe, elle lui parcourt la fente de haut en bas. Bien qu’elle se laisse faire, car cela est très agréable, Nicole est néanmoins surprise de ce traitement.

 

– Qu’est-ce qui te prend ?

– Rien. Je vérifie si j’ai bien travaillé.

 

Ses doigts se font plus précis, elle commence même à en faire pénétrer un à l’intérieur de la fente de son amie, à la recherche de son clitoris. Toujours aussi surprise, Nicole ne peut s’empêcher d’être gagnée par le plaisir qui monte en elle.

 

– Attends. Pas ici. Allons plutôt dans la chambre.

 

Marie, qui entre temps a déboutonné son chemiser, le jette négligemment sur le fauteuil. Elle se retrouve alors totalement nue car elle ne portait pas de soutien-gorge. Les deux jeunes femmes se place d’abord à genoux devant l’une et l’autre. De cette façon, chacune peut explorer à loisir le sexe de son amie avec leur main. Les petites caresses du début se transforment rapidement en masturbation prononcée, chacune introduisant d’abord un doigt dans la chatte de sa partenaire, puis deux, puis trois. N’y tenant plus, Marie se couche sur le dos et Nicole monte sur Marie et les deux femmes se mettent à se lécher mutuellement le sexe sans retenue en 69. Les langues remplacent les doigts, parcourant les lèvres avec fébrilité, titillant le clitoris, s’insinuant au plus profond de l’intimité. Tout à coup, Marie ressent une présence, elle tourne la tête, un garçon et une fille sont sur le pas de la porte, les enfants de Nicole sont en train de les observer. Surprise et honteuse, elle tressaillit, pousse un cri et ouvre les yeux. Elle est seule dans le lit, plus personne à la porte, elle porte à nouveau son chemisier, elle vient de se réveiller. Tout ceci n’était qu’un rêve. Encore un rêve !

 

Nicole arrive quelques instants plus tard.

 

– Qu’est-ce qui t’arrive ? Je t’ai entendue crier.

– J’ai encore fait un rêve.

– C’était un cauchemar ?

– Non. C’était plutôt agréable. On était ensemble, je t’avais rasé le sexe et puis nous avons fait un 69 sur le lit.

– Et c’est pour ça que tu as crié ?

– J’ai rêvé que tes enfants nous avaient surpris.

– Ne t’inquiète pas, ils sont partis jouer avec les enfants de la voisine, c’est pour cela qu’ils m’appelaient.

– Bon… En tout cas, encore un drôle de rêve.

– Plutôt prémonitoire. J’avais justement l’intention de me raser le sexe.

 

Marie regarde le pubis de son amie, il a l’air largement moins fourni que tout à l’heure.

 

– Tu as déjà commencé ?

– J’ai enlevé le plus gros avec la tondeuse de Simon. Comme j’ai vu que tu dormais, j’ai préféré ne pas te réveiller. Mais je veux bien que tu m’aides pour le rasage.

 

Une fois dans la salle de bains, Nicole s’assied au bord de la baignoire. La serviette, la mousse à raser et le rasoir sont déjà sortis. Marie a l’impression d’avoir déjà vécu cette scène.

 

– C’est curieux, c’est presque comme dans mon rêve.

– Alors, fais comme dans ton rêve. C’est ce que mon patron t’a dit de faire.

– Tu es sûre ? Dans ce cas, il faut que je te lèche et que tu fasses de même.

– On verra bien jusqu’où on ira, mais on peut toujours commencer par le début.

– D’accord.

 

Marie reprend alors la bombe de mousse en main et en fait couler sur ses doigts. Elle étale ensuite la mousse sur la toison pubienne de son amie jusqu’à ce qu’elle ait recouvert tous les poils. Pendant cela, Nicole écarte les cuisses pour faciliter le travail de son amie. Ce faisant, elle lui dévoile encore plus profondément ses parties les plus intimes. Ses lèvres s’entrouvrent, dévoilant partiellement son clitoris et le reste de l’intérieur de sa fente. Troublée, Marie se ressaisit et prend le rasoir en main pour passer à la partie la plus importante, la suppression totale des poils pubiens de son amie.

 

Tout en maniant le rasoir, Marie demeure pensive.

 

– C’est troublant, cette impression de déjà-vu.

– Moi, c’est plutôt que tu me rases le sexe qui me trouble.

– Je comprends, j’avais aussi cette sensation dans mon rêve.

– À propos de tes rêves. Je suis descendue sans culotte tout à l’heure.

– Oui, et alors ?

– C’est très excitant. Évidemment les enfants ne se sont doutés de rien, la voisine non plus. Je sentais l’air passer sous ma jupe et me caresser le sexe. Jamais je n’avais ressenti cela jusqu’à présent.

– Et ça t’a plu ?

– Beaucoup. Je pense que je vais recommencer. La plote à l’air!!! Tu devrais essayer toi aussi. Je sais, je suis vulgaire quand je parle de cul!!!!

– Pourquoi pas…

 

Tout en discutant, Marie a fini de raser le sexe de son amie. Il est dorénavant aussi lisse que le sien, aussi lisse que dans son rêve. Va-t-elle aller plus loin et continuer à faire ce qu’elle a rêvé ?

 

– Voilà, ça y est. C’est fini.

 

Nicole porte la main à son sexe et commence par se caresser le pubis, puis les lèvres, elle s’introduit ensuite nonchalamment un doigt devant les yeux éberlués de son amie.

 

– C’est très agréable. Je sens que je vais aimer. Qu’est-ce qui t’arrive ? Tu es toute rouge.

– Je te fais remarquer que tu es en train de te masturber devant moi.

– Et alors, ce n’est pas ce qui s’est passé dans ton rêve ?

– Non, c’est moi qui te masturbais.

– Alors, fais-le.

– Ah non. Je ne veux pas. Je ne suis pas lesbienne!

– Ça rien à voir! C’est pour ton bien. Tu dois suivre ta thérapie.

– Pas ici. Retournons plutôt dans la chambre.

 

Arrivée dans la chambre, Marie retire son chemiser comme elle l’a déjà fait dans son rêve. La seule différence c’est que, cette fois-ci, elle porte un soutien-gorge qu’elle retire également. Une certaine appréhension la gagne.

 

– Tu es sûre que tes enfants ne risquent pas de débarquer sans prévenir ?

– Aucun risque, ils sont chez la voisine.

– Et ton mari, il ne risque pas de rentrer ?

– Pas à cette heure-ci.

– Tu penses que c’est nécessaire ?

– C’est fini d’angoisser ? Mon patron est un très bon psy. S’il t’a dit ça, c’est que c’est vrai.

– Mais je ne voudrais pas t’obliger à faire des choses que tu ne veux pas faire.

– Je ne me force pas. Si je le fais, c’est que j’en ai envie. Tu vas bientôt arrêter d’angoisser ? Relaxe-toi et allonge-toi.

 

Obéissant à son amie, Marie s’allonge sur le lit. Nicole se place à côté d’elle. Les deux femmes se regardent, Marie commence à se calmer. Nicole approche sa main du corps de son amie et commence à le caresser. Tremblante et hésitante, Marie fait de même. Sa main touche enfin la peau de son amie, puis ses seins et elle se met alors à parcourir son pubis rasé. Nicole écarte les jambes pour faciliter les caresses qu’elle reçoit. Marie fait de même, ce qui permet à son amie de laisser pénétrer le bout de ses doigts entre ses lèvres. Elle laisse Nicole enfoncer progressivement un de ses doigts plus profondément, puis un second. Tandis qu’elle est partie à la recherche du clitoris de son amie, cette dernière se décide enfin à découvrir l’intimité de sa partenaire de façon plus approfondie. Les deux femmes ont maintenant chacune deux doigts dans le sexe de l’autre.

 

Le temps s’écoule tranquillement. La chambre est calme, les enfants étant sortis il n’y a plus de bruits qui viennent du jardin. Les deux femmes peuvent profiter pleinement du temps présent en se masturbant mutuellement. Les mouvements se font plus rapides et plus profonds. De deux doigts, on passe à trois. La caresse du clitoris se fait plus insistante et précise. Les deux femmes ne cessent de laisser échapper des petits cris de jouissance. De leur main libre, elles se caressent le corps et les seins. La tension monte encore, les cris se font plus forts. Maintenant elles se caressent mutuellement les seins de leur main libre tout en continuant de se masturber de l’autre. Les bruits qui émanent de leurs sexes laissent deviner qu’elles sont complètement mouillées, d’ailleurs leurs mains ruissellent de leur jus intime. L’excitation est à son comble. Marie ne pense plus qu’à son plaisir et à celui de son amie. Par moments, des flashs fugaces lui rappellent brièvement des extraits de ses rêves passés et cela l’excite encore plus.

 

C’est trop, elle n’en peut plus, elle ne cesse de gémir et de crier, tant la sensation de jouissance traverse son corps de part et d’autre. Un dernier cri. Violent. Rauque. Brutal. La jouissance aura été totale. Elle gémit encore tandis que Nicole jouit à son tour. Elle non plus ne ménage pas ses cris de jouissance. Intenses. Bruts. Bestiaux. Ils emplissent la pièce. Heureusement, les enfants ne sont plus dans le jardin, ils auraient tout entendu.

 

Épuisées, les deux femmes restent allongées sur le lit de longues minutes, la main dans la main, le temps de reprendre leurs esprits et de retrouver leur souffle. Sortant de sa léthargie, Marie reprend la parole la première.

 

– Qu’est-ce que c’était bon !

– Extra. Ça faisait longtemps que je n’avais pas joui ainsi.

– J’ai quand même un peu honte. On a eu des rapports lesbiens et j’ai trompé mon mari.

– C’était nécessaire pour ta thérapie. On n’a jamais fait qu’appliquer un traitement médical. Une masturbation mutuelle, c’est pas si pire !!

– Tu n’as pas l’impression d’en faire trop ?

– Pour une fois qu’un traitement est agréable et gratuit…

– Ça doit être ce que l’on appelle de la médecine douce…

– Pour sûr.

– Je pense que je vais en parler à Philippe.

– Alors je mettrai aussi Simon au courant, c’est mieux.

 

Alors qu’elles sont en train de se rhabiller, Nicole se tourne vers son amie.

 

– Je crois que je ne vais pas remettre de culotte.

– Vraiment ?

– Oui. C’était trop agréable. Tu n’as qu’à essayer.

– Je ne sais pas. Je ne me sens pas prête.

– Tu dois le faire, c’est pour ton traitement.

 

Dans le même temps, Nicole subtilise le tanga de son amie avant qu’elle ait eu le temps de l’enfiler.

 

– Comme ça, tu devras rentrer le cul nu.

– Rends-le-moi !

– Plus tard. Venez donc manger ce soir à la maison.

– Pourquoi ?

 

Tout en s’expliquant, Nicole raccompagne son amie jusqu’à la porte d’entrée.

 

– Pour suivre ton traitement. Je vais aller déposer les enfants chez la baby-sitter, nous serons tranquilles pour la soirée. Tu ne mets pas de sous-vêtements, je n’en mettrai pas non plus.

 

Alors qu’elle est en train de réajuster son soutien-gorge, Marie s’inquiète.

 

– Et le soutien-gorge ?

– Non plus. On ne met pas de soutien-gorge.

– Ce sont nos maris qui vont être surpris.

– Moi, je pense surtout qu’ils vont être excités.

– Bon. Si tu penses que c’est ce qu’il faut.

– J’en suis sûre.

– Alors, à ce soir.

– A ce soir.

 

Les deux amies se séparent. Sur le trajet du retour, Marie ne peut s’empêcher d’être perplexe. Que va-t-elle faire ? Jusqu’où cela va-t-il aller ? En tout cas, ce qui est certain, c’est que se balader dans la rue le cul à l’air, c’est très agréable. Le vent qui passe sous sa jupe lui caresse sans cesse les fesses et le sexe. Nicole avait raison, une fois de plus…

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 10 novembre 2021 3 10 /11 /Nov /2021 17:49

7 rêves pour une femme par Cepaderefus – 2 – Le docteur Paradis

bi stamp

Initiation

 

Une fois de plus, Marie est en pleine campagne. Comme d’habitude, l’inconnu est également présent, mais accompagné d’un jeune homme. Il s’adresse immédiatement à Marie.

 

– Je me doutais bien que vous passeriez à nouveau. Permettez-moi de vous présenter mon jeune frère.

 

Marie est inquiète, mais elle préfère jouer le jeu.

 

– Bonjour.

 

Le jeune homme lui répond timidement, n’osant la regarder en face.

 

– Bonjour, madame.

 

L’inconnu reprend la conversation.

 

– Mon frère est plutôt inexpérimenté en matière de sexe. Grâce à vous, je vais pouvoir lui montrer comment l’on fait. Déshabillez-vous.

– Êtes-vous fou!! ? Vous n’imaginez pas que je vais me laisser faire !

 

Pendant ce temps, le jeune frère a déjà commencé à se déshabiller. Avec ses cheveux blonds et sa peau pâle, on ne distingue pratiquement aucun poil sur son corps. C’est quand il retire son boxer-short que Marie constate qu’il n’a pas plus de poils sur le sexe que sur le reste du corps. Elle en fait part à l’inconnu.

 

– Mais ce n’est qu’un adolescent.

– Pas du tout, il est majeur. Mais la tradition familiale veut que l’on soit intégralement épilé le jour de son dépucelage.

– De toute façon, il est hors de question que je couche avec lui. Je ne me déshabillerai pas.

– Mais si, d’ailleurs vous êtes déjà à demi-nue.

 

En effet, Marie n’a plus ses vêtements. Elle ne porte plus qu’une culotte, un soutien-gorge, un porte-jarretelles et une paire de bas. Toute cette lingerie est de couleur noire, parfaitement assortie à la couleur de ses cheveux.

 

Surprise, elle ne sait que faire. Son regard se porte aux alentours, à la recherche d’une solution, mais tout ce qu’elle remarque c’est un lit qui est placé au bord du chemin. L’inconnu continue à donner des ordres.

 

– Maintenant, allez-vous allonger sur le lit.

 

Subjuguée et ne sachant que faire pour échapper à cela, Marie se résigne à se diriger vers le lit, accompagnée par le jeune homme. Elle est à peine allongée qu’il commence à la caresser. Très timide, il commence par les épaules, mais son grand frère lui prend les mains pour les placer sur les seins de Marie. Il se met alors à palper cette poitrine, première grande découverte pour lui. Il prend rapidement du plaisir à tripoter cette chair ferme et douce, son sexe en est la preuve, il grossit rapidement. Pendant ce temps, le bout des seins de Marie s’est également durci, ce qui ne manque pas de surprendre le jeune homme.

 

L’inconnu continue à diriger les opérations.

 

– Maintenant, vous allez le sucer pour le mettre en érection.

Zakhia37

Obéissante, Marie s’avance vers le jeune homme et se met à lécher ce sexe déjà bien raide et qui continue à se redresser sous l’effet de ses coups de langue. Elle le prend alors entièrement dans sa bouche et le suce sur toute sa longueur. L’effet est immédiat, le sexe imberbe du jeune homme finit de se raidir entre les lèvres de Marie. C’est ensuite à lui de se pencher vers elle, de retirer la culotte de Marie et de découvrir de sa langue le plaisir de lécher un sexe de femme. Marie a le pubis rasé, quelle douceur ! Les lèvres entrouvertes, quel délice ! Toujours en érection, il semble réellement apprécier ce qu’il fait. Il titille le clitoris et insinue sa langue au plus profond de son intimité. Visiblement aussi excités l’un que l’autre, ils optent rapidement pour une position de 69 afin de se donner mutuellement du plaisir, Marie se retrouvant au-dessus.

 

Le jeune homme n’est pas expérimenté et son grand frère le sait bien. Il est grand temps qu’il passe à autre chose avant d’être victime d’une éjaculation précoce. L’inconnu sort de sa poche un préservatif qu’il donne à Marie.

 

– Vous savez comment faire???

 

Ne discutant pas les ordres qu’elle reçoit, elle sort la capote de son emballage et la déroule consciencieusement sur le sexe en érection du jeune homme. L’inconnu continue de donner ses directives mais, cette fois-ci, il s’adresse à son frère.

 

– Maintenant tu te places sur la dame et tu rentres ton sexe dans le sien. Ensuite, tu fais des allers et retours, comme tu as vu sur la vidéo que je t’ai prêtée.

 

Marie s’allonge sur le dos, prête à recevoir en elle le sexe du jeune homme, tandis que celui-ci vient se placer sur elle en position du missionnaire. Après quelques essais infructueux, il parvient enfin à s’insérer en elle. Il commence alors des mouvements de va-et-vient, d’abord timidement, sans doute par peur d’une sortie inopinée, mais l’assurance le gagne rapidement et il augmente alors l’amplitude de ses mouvements, la pénétrant de plus en plus profond. Marie commence même à ressentir du plaisir et à gémir sous l’effet de ces coups de bite, mais pas longtemps… Le jeune homme inexpérimenté jouit rapidement. Il se retire alors, ôte la capote et la confie à son frère. Ce dernier observe le contenu du préservatif avec intérêt, admiratif.

 

– Fort bien.

 

Puis il s’adresse à Marie.

 

– Voulez-vous goûter ?

– Non merci, sans façon.

– Alors, je vous remercie de votre collaboration. Vous pouvez disposer.

 

Sans plus attendre, Marie les quitte, espérant arriver au plus vite chez son amie. Quand elle arrive devant la maison, elle est à nouveau habillée. C’est Nicole qui lui ouvre et elle l’invite sans plus d’explications à la suivre jusqu’au salon. La stupéfaction de plein fouet lorsqu’elle découvre ce qui est en train de se passer sur le divan. Son… son mari est en train de sucer le mari de son amie.

 

– Mais, chéri, qu’est-ce que tu fais ?

 

Philippe lui répond comme il peut, le sexe de Simon dans sa bouche le gênant quelque peu pour parler.

 

– Commmm uh ois, ze uce Imon. (Comme tu vois, je suce Simon)

 

Sortant la queue de Simon de sa bouche, il ajoute;

 

– Tu n’as pas voulu le faire, alors je suis pris pour le faire à ta place.

– Mais enfin, ce n’était pas la peine !

– Si, c’est une question d’honneur.

– Ça pas de bon sens!

– Pas du tout, c’est très important.

 

On sonne alors à la porte et Nicole s’absente pour aller ouvrir. Quand elle revient, elle est accompagnée du jeune homme qui a fourré Marie au beau milieu des champs.

 

– Je vous présente mon neveu.

 

Marie en est surprise et le jeune homme s’en rend compte.

 

– Mon frère vient de m’expliquer comment effectuer une sodomie.

– Et alors ?

– Il m’a dit que vous pourriez à nouveau être ma partenaire.

 

Marie est outrée.

 

– Et puis quoi encore ? Une fessée ? Et devant mon mari en plus !

 

C’est alors ce dernier qui prend la parole.

 

– Justement, il faut bien qu’il apprenne. J’aimerais bien voir comment il y s’y prend, ce petit jeune. Tu es tellement serrée du cul que ce n’est pas toujours facile.

 

Puis, se tournant vers le neveu.

 

– Mais si tu en as une moins grosse que moi, ce sera plus facile.

 

Nicole se lève pour faire de la place à son amie.

 

– Vas-y, installe-toi là, tu seras mieux.

 

Sans trop savoir ce qu’elle fait, Marie se met à quatre pattes sur un des sièges qui fait face au divan. Nicole soulève la jupe de son amie, qui ne porte pas de culotte.

 

– Tu es toujours aussi salope, toi. Toujours prête à recevoir un coup.

– Mais non. Ce n’est pas vrai. Ne l’écoute pas, mon chéri. Je ne t’ai jamais trompé.

 

Il lui répond nonchalamment, la bite au coin de la bouche.

 

– Ce n’est pas grave, du moment que je suis au courant et que je connais ceux avec qui tu es.

 

Marie n’a pas le temps de lui répondre. Le neveu est déjà derrière elle et il lui introduit un doigt dans le cul sans plus attendre. Surprise, elle ne peut réfréner un cri. À peine a-t-elle le temps de s’habituer qu’il lui introduit un second doigt. Pendant ce temps-là, Nicole le suce pour le mettre en érection puis lui déroule un préservatif sur le sexe. Dès qu’il a atteint la raideur nécessaire, le neveu présente sa bite à l’entrée d’un trou arrière de Marie et s’introduit progressivement. Le troublant mélange de plaisir et de douleur qu’elle ressent la fait gémir malgré elle.

 

Simon regarde cette scène avec envie.

 

– Quel petit veinard, ton neveu, ma chérie.

 

Philippe lève les yeux vers son ami.

 

– Pourquoi ? Tu veux m’enculer ?

 

– Je dois avouer que ça me plairait bien.

 

Aussitôt, Philippe se retourne et se met en position pour recevoir la bite de son ami dans son cul. Sans plus attendre, Simon présente son sexe en érection face à l’anus de son partenaire et commence à appuyer pour en ouvrir le passage. La dilatation se fait progressivement, et au bout d’une minute Simon peut enfin faire pénétrer sa bite dans le fondement de son ami. Encore quelques efforts pour y pénétrer le plus profondément possible. Simon commence ses mouvements de va-et-vient, pénétrant son ami à grands coups de bite.

 

Restée seule, Nicole se masturbe tout en regardant ses amis en train de se faire enculer. Cela ne dure pas très longtemps, Simon a déjà été sucé pendant pas mal de temps et le jeune homme encore inexpérimenté n’arrive pas à se contenir longtemps. Les deux hommes jouissent donc presque en même temps, remplissant de foutre les entrailles de leurs partenaires.

 

Emportée par son plaisir, Marie ressent une jouissance qui la réveille. Le réveil affiche 6 h 30, le jour est en train de se lever. Elle porte la main à son sexe, il est encore trempé. Encore tout excitée par son rêve pervers, elle s’introduit deux doigts et commence à se masturber. Il ne lui faut pas dix secondes pour jouir encore une fois, une jouissance forte et intense qui lui arrache un grand cri qui semble résonner dans toute la maison.

 

– Eh bien… heureusement que les enfants sont en vacances chez les beaux-parents.

 

Ne souhaitant plus se rendormir, elle préfère se lever et va à la salle de bains prendre une douche fraîche qui achève de la réveiller pour de bon. La nuit aura été agitée, Marie espère bien que la journée sera plus calme.

 

Une heure a passé, mais Marie n’a toujours pas fini de se réveiller, ce qui devrait pourtant être le cas après une douche et le petit déjeuner. Juste vêtue d’une robe de chambre, elle quitte la cuisine et se dirige vers le salon tout en emportant le téléphone sans fil. Elle s’affale sur le canapé et compose un numéro de téléphone. Avec un pied sur le canapé et l’autre au sol, ses cuisses sont largement écartées. Sa robe de chambre s’ouvre et ne cache ainsi rien de ses seins et de son sexe intégralement épilé.

 

Son correspondant décroche enfin, il s’agit de son amie Nicole.

 

– C’est Marie, je ne te dérange pas ?

– Non, comment vas-tu ?

– J’ai passé une nuit atroce à faire des rêves bizarres.

– De quel genre ?

– C’est un peu spécial comme rêve. Très sexy. En plus tu étais dedans et ton mari aussi.

– Raconte, ça m’intéresse.

– Ok, si ça ne te gêne pas.

 

Marie lui raconte alors tous les rêves qu’elle a faits durant la nuit. Ce faisant, elle se masturbe machinalement tout en les racontant. La sensation de douceur de sa chatte rasée la porte a laissé sa main entre ses cuisses. De temps en temps, elle se rend compte qu’elle est en train de se caresser le sexe et s’interrompt alors, honteuse. Malgré tout, ses doigts retournent peu après explorer son intimité, presque malgré elle.

 

À la fin, Nicole reprend la parole

 

– Très excitants, tes rêves. Tu n’en aurais pas encore d’autres à me raconter ? Je me suis même caressée en t’écoutant.

– Toi aussi ? Heureusement que l’on était au téléphone.

– En effet…

– Bon. Eh bien, qu’est-ce que tu en penses ?

– Tu devrais aller voir un psy. Ça tombe bien, tu sais où je bosse. Je t’aurais bien pris un rendez-vous avec mon patron, mais je suis en vacances. Tu n’as qu’à appeler de ma part, ma remplaçante saura bien te trouver une case de libre dans la matinée.

– D’accord. Et je peux passer te voir cet après-midi ?

– Bien sûr, passe quand tu veux.

 

Après avoir raccroché, Marie s’arme de courage et compose le numéro de téléphone du cabinet du psychiatre. Elle parvient à obtenir un rendez-vous pour dix heures.

 

Le psy

 

Dix heures moins cinq. Marie sonne chez le psy. Une jolie fille aux longs cheveux blonds bouclés, vêtue d’une blouse blanche, avec de belle courbe au niveau de la poitrine, vient lui ouvrir la porte. Certainement la remplaçante de son amie Nicole. Elle fait entrer Marie et l’installe dans la salle d’attente.

 

Quelques minutes plus tard, la porte du cabinet s’ouvre. Un homme assez grand, un peu rond, l’air d’un bon bonhomme, apparaît et invite Marie à entrer. Ses cheveux complètement rasés le font ressembler à Kojak, une paire de petites lunettes fines lui couvre ses yeux. Il a la face ronde, la bouche souriante et les murs de son bureau sont couverts de livres. Il se présente;

 

– Bonjour, je suis le docteur Paradis, si vous le permettez, je vais vous parler un peu de moi et de mon approche et si cela vous convient on poursuivra la séance avec ce pourquoi vous êtes ici aujourd’hui.

 

Le médecin psychiatre fait alors une courte présentation de son vécu et de ses connaissances! Une fois que Marie lui eut donné son accord pour poursuivre, il lui demande de se mettre à l’aise et de s’asseoir sur le divan tandis qu’il engage la conversation en s’asseyant dans un fauteuil à côté d’elle.

 

– Vous êtes une amie de mon assistante, c’est bien cela ?

– Oui. Comment le savez-vous ?

– Elle m’a appelé pour que je prenne bien soin de vous.

– C’est gentil à elle.

– En effet… Alors, si vous me racontiez ce qui vous amène ?

 

Marie recommence son récit. Le même qu’elle a raconté il y a peu de temps à son amie.

 

Quand elle a terminé son récit, le psy se lève, marche vers elle et reprend la parole.

 

– Ce que vous avez n’est pas bien grave. Juste des fantasmes refoulés. Il faut faire quelque chose, sinon ils vont se transformer en obsessions et il sera encore plus difficile de les traiter.

– Et que faut-il faire ?

– Laisser libre cours à vos pulsions.

– Mais je n’oserai jamais.

– Vous en avez déjà parlé à deux personnes, c’est mieux que rien. Votre mari est-il également au courant ?

– Pas du tout. Vous pensez bien que je n’oserais jamais lui confesser de telles choses. Je n’imagine pas qu’il accepterait d’avoir des rapports avec un autre homme.

– Qu’en savez-vous ?

 

Marie marque un temps d’arrêt, pensive.

 

– En effet, je n’en sais rien.

– Il ne faut jamais juger les gens sans bien les connaître. Comment va votre vie de couple ?

– Nous nous entendons très bien.

– Je parle sexuellement.

– Rien de spécial.

– Vous vivez ensemble depuis combien de temps ?

– 10 ans.

 

Le ton du psy se fait alors plus grave.

– Vous êtes en train de passer un cap. Si vous ne savez pas le négocier, vous allez au-devant d’une crise grave.

– Et qu’est-ce que je dois faire ?

– Anticiper sur les problèmes. Aller de l’avant. Prendre l’initiative.

– C’est-à-dire ?

– Vous devez parler de ce rêve à votre mari. Vous avez besoin de vous épanouir sexuellement.

– Jamais je n’oserai.

– Je vais vous y aider.

 

Le psy vient se placer derrière elle, il pose la main sur les yeux de Marie tout en continuant à parler.

 

– Respirez calmement… Laissez vos yeux fermés…

 

Il retire sa main et se met à lui masser délicatement les tempes, puis la nuque.

 

– Ça va mieux ?

– Oui. Je me sens plus calme.

– C’est très bien. Vous pouvez rouvrir les yeux. Comment vous sentez-vous ?

– Bien.

 

Le psy fait à nouveau le tour du canapé et s’assied dans un autre fauteuil, face à Marie.

 

– Nous allons maintenant revenir sur divers points qui semblent jalonner vos rêves avec une telle régularité qu’ils pourraient bien finir par être obsessionnels. Tout d’abord votre tenue. Vous vous retrouvez régulièrement sein nue ou sinon vous ne portez pas haut, et si vous en avez un ce sont vos sous-vêtements qui font défaut. Est-ce quelque chose de fréquent chez vous ?

– Absolument pas.

– Vous n’avez jamais essayé ?

– Non.

 

Tout en continuant à parler, le psy penche la tête pour mieux observer les seins de Marie.

 

– Pourtant vous n’en portez pas aujourd’hui.

– Ce n’est pas possible.

– Puisque je vous le dis.

 

Marie se penche la tête pour vérifier. En effet, elle ne porte rien sur le haut. Ses seins sont complètement à l’air et entièrement dévoilé aux yeux du psy.

 

– Je ne comprends pas. Je suis confuse.

– Ce n’est pas grave. Dites-moi plutôt ce que vous ressentez en ce moment.

– Je suis troublée, je me sens bizarre.

 

Il s’approche alors très près d’elle, au plus près de son intimité.

 

– Et si je regarde vos seins avec insistance comme je le fais ?

– J’ai honte de le dire, mais j’en ressens du plaisir.

– Écartez les bras derrière la tête.

 

Sans se poser de question, Marie obéit. Le psy peut maintenant voir en détail toutes les formes des seins de la jeune femme, ses mamelons et les rondeurs de ses boules. Le bout de ses seins durs dévoile son excitation. Le psy se relève et reprend.

 

– Vous êtes tellement excitée que je suis certain que vous commenceriez à mouiller si je continuais à vous regarder.

– Peut-être bien.

– Vous pouvez vous masturber si vous voulez et vous caresser les seins aussi.

 

Sans plus attendre Marie s’introduit un doigt dans la chatte et caresse un de ses seins avec son autre main, et portant le bout de son sein à sa bouche. Il ne lui faut que quelques caresses sur sa chatte et quelques coups de langue sur son sein pour jouir bruyamment devant le praticien.

 

Le psy se relève, passe derrière elle et recommence à lui masser le cou tout en continuant la conversation.

 

– Le sexe rasé, c’est aussi une constante dans vos rêves. Êtes-vous épilée au niveau du sexe?

– Oui

– C’est par désir personnel ?

– À l’origine, c’est mon mari qui me l’a demandé. Mais je dois avouer que j’ai vite apprécié le confort que cela procure.

– Et votre mari, il s’épile aussi ?

– Pas du tout.

– Et vous trouvez cela normal ?

– Je ne me suis jamais posé la question.

– Vous êtes plutôt du genre soumise.

– Vous croyez ?

– Tout à l’heure, quand je vous ai dit d’écarter les bras, vous avez obéi sans discuter.

– Oui, mais j’étais très excitée, j’en avais envie mais je n’osais pas le faire.

– Vous venez à l’instant d’expliquer l’origine de vos rêves : des envies que vous n’osez pas faire aboutir.

– Vous croyez ?

– J’en suis certain.

 

Le psy commence à élargir le cercle de ses massages. Ce n’est plus seulement le cou, mais aussi les épaules dont il s’occupe. Les mains de l’homme se font plus précises, elles commencent à descendre vers la poitrine. Il finit enfin par atteindre le bout des seins. Il lui pétrie les seins. Marie, qui ne porte pas de culotte sens sa chatte devenir de plus en plus mouillée, et lorsqu’elle s’en rend compte, elle esquisse une plainte.

 

– Mais enfin, que faites-vous ?

– Je vous caresse.

– Je vois bien, qu’est-ce qui vous prends ?

– C’est pour votre thérapie. Si vous ne vous débattez pas, c’est que vous êtes consentante ou soumise. Vous appréciez ?

– Oui.

– Bien. Retirez donc votre jupe .

– Mais je vais me retrouver toute nue !

– Si vous ne voulez pas le faire, ne le faites pas.

 

Marie obéit malgré tout et retire les vêtements qui barraient encore la vue sur son corps dénudé. Elle se retrouve complètement nue, allongée sur le divan. Le psy se penche sur son bureau et décroche le téléphone pour faire venir son assistante. La jeune fille entre dans la pièce et, à la demande de son patron, va se placer de l’autre côté du divan. Ensuite, il reprend sa conversation avec Marie.

 

– D’après-vous, comment serait habillée mon assistante dans vos rêves ?

– Vu mes obsessions, je suppose qu’elle ne porterait pas de sous-vêtements et qu’elle aurait de beaux seins ferme et rond et qu’elle aurait le sexe épilé.

 

Le psy se tourne vers son assistante.

 

– Mademoiselle. Si vous voulez bien retirer votre blouse…

 

La jeune fille s’exécute et défait les quelques boutons qui maintiennent sa blouse fermée. Dès que celle-ci s’entrouvre, Marie entrevoit les gros seins ronds de la femme et le sexe de l’assistante. Celui-ci est épilé comme elle s’y attendait et, s’il est visible, c’est évidemment qu’elle ne porte pas de sous-vêtements. Elle ouvre ensuite entièrement sa blouse et la laisse tomber à ses pieds. En fait, l’assistante n’est pas intégralement nue sous sa blouse. Elle porte un porte-jarretelles assorti et une paire de bas blancs.

 

Tandis que son assistante reste debout les mains dans le dos à les regarder, le psy s’approche à nouveau de Marie et reprend ses caresses. Il lui parcourt le corps entier, de la tête aux pieds, n’hésitant pas à lui caresser les seins et même le pubis, mais n’allant jamais jusqu’à lui toucher le sexe. Tout en continuant ses caresses, il demande son avis à Marie.

 

– Vous aimez ?

– Oui, beaucoup.

– Vous voulez que je continue ?

– Oui.

– Vous en voulez plus ?

 

En guise de réponse, Marie laisse retomber chacune de ses jambes d’un côté du divan. Cela a pour effet d’ouvrir généreusement ses cuisses et de dévoiler ainsi complètement son sexe entrouvert. Le psy s’agenouille au pied du divan pour se rapprocher au plus près du pubis de Marie. Il lui lèche alors consciencieusement le sexe, parcourant toute la fente, les lèvres, le clitoris et allant même jusqu’à introduire sa langue au plus profond de l’intimité de la jeune femme.

 

– Visiblement vous aimez, vous êtes trempée tellement vous mouillez.

– Oui, c’est vrai. Continuez donc.

– Non, c’est mon assistante qui va me remplacer.

 

La jeune femme enjambe le divan et se place sur Marie en position de 69. Les deux femmes se mettent aussitôt à se lécher le sexe avec application. Pendant ce temps-là, le psy ouvre sa braguette et en sort son sexe, déjà à moitié en érection. Il commence à se masturber tout en regardant les deux femmes se manger. Marie regarde le psy se masturber, et le fait de sentir que le docteur est excité par ce qu’elle fait avec l’assistante lui fait augmenter son plaisir encore plus!

 

Elles ne tardent pas à jouir tandis que le psy continue à s’astiquer le manche. Dès que les deux femmes ont émergé de leur plaisir, l’assistante se relève et retourne se mettre debout à côté du divan. Marie reste les jambes écartées devant le psy qui se branle toujours en la regardant. Quelques instants plus tard il jouit à son tour, son sperme gicle sur elle, lui recouvrant le ventre et la poitrine de grands traits d’un épais jus blanc. Il se tourne vers son assistante et en quelques mots lui fait comprendre ce qu’il attend d’elle, son regard désignant clairement sa braguette.

 

– Mademoiselle, s’il vous plaît, dit-il en pointant du doigt sa queue.

 

La jeune femme s’avance aussitôt, s’accroupit et embouche le sexe de son patron pour le nettoyer. Ceci fait, elle se tourne vers Marie, se penche sur son ventre et lèche également tout le sperme disséminé sur son corps.

 

Marie s’insurge alors.

 

– Vous n’avez pas honte ? Traiter ainsi votre assistante !

– Je n’en suis pas responsable, c’est elle qui insiste pour tout avaler, elle aime cela!

– Et sinon, comment feriez-vous ?

– Comme cela.

 

Le psy s’avance vers sa patiente, se penche sur sa poitrine et commence à son tour à lécher le sperme qui y a coulé, son propre sperme. En se partageant chacun la moitié du travail, le psy et son assistante finissent rapidement leur tâche de nettoyage en léchant longuement les seins de Marie.

 

L’assistante quitte alors le bureau tandis que le psy repasse derrière Marie pour lui masser la nuque.

 

– Voilà, c’est terminé. Comment allez-vous ?

– Vous osez me demander cela ? Espèce d’obsédé !

– Calmez-vous et regardez, vous êtes habillée.

 

En effet. Marie n’est plus nue.

 

– Qu’est-ce qui s’est passé ?

– Vous venez de subir une séance d’hypnose.

– Il ne s’est donc rien passé ?

– Rien du tout. Enfin presque rien : vous m’avez tout raconté et vous n’avez pas arrêté de vous caresser.

– Je me suis caressée ?

– Oui. Et tout particulièrement les seins et le sexe.

 

Entendant cela, Marie se met à rougir. Le psy s’en rend compte et la rassure.

 

– Ne vous mettez pas dans un tel état. Votre comportement sous hypnose est tout à fait normal, enfin disons qu’il est désinhibé. Votre éducation, probablement assez stricte, vous a inculqué des valeurs qui ne sont pas compatibles avec une vie sexuelle parfaitement épanouie. Par exemple, l’influence de vos parents, qui poussent souvent les filles à être de parfaite petite fille tranquille ou à s’habiller comme une belle petite poupée gentille, sont des choses qui influencent le comportement. Ou encore en vous donnant le bain, la façon dont votre mère a pu vous regarder ou vous dire de laver votre vulve, peut venir influencer votre vie et vos relations sexuelles. Ceci a pour effet que par le biais de vos rêves, vous laissez échapper ce trop-plein de sensualité. C’est la première fois que vous avez ce genre de rêves ?

 

– Je ne sais pas trop. Certainement pas depuis des années, mais cette fois-ci, c’était tellement intense et réaliste.

– Vos fantasmes ont évolué avec le temps. Ils se sont exprimés cette nuit suite à un changement de situation.

– Mon mari était à l’extérieur cette semaine, il rentre ce soir. Les enfants sont chez leurs grands-parents depuis hier. J’étais donc seule à la maison cette nuit.

 

– Et cela fait longtemps que ça n’est pas arrivé ?

– C’est la première fois depuis la naissance du plus grand. Il a six ans.

– Vous imaginez donc tous les fantasmes qui ont dû s’accumuler en vous sans jamais pouvoir s’exprimer ni en rêve, ni dans la réalité. Cette nuit, le retard a été rattrapé, d’où l’intensité de ces rêves.

– Donc cela ne risque pas de se reproduire tant que je ne dormirai pas seule à la maison.

– Probablement. Mais ce n’est pas sans danger, vos fantasmes vont recommencer à s’accumuler. Vous allez ressentir une sensation de frustration intérieure grandissante. Tout cela peut mener à une rupture violente.

 

Marie commence à s’inquiéter.

 

– Et qu’est-ce que vous me conseillez ?

– Laissez libre cours à vos fantasmes.

– Mais je ne peux pas. C’est inconvenant.

– C’est votre éducation qui vous l’a présenté ainsi. Vos premiers fantasmes seront toujours anodins, puis ils deviendront de plus en plus pervers si vous les refoulez. Si vous ne vous laissez pas aller tout de suite, vous pouvez fort bien ressentir dans quelques mois des pulsions sado-masochistes. Comme celles-ci sont assez faciles à concrétiser, par exemple lors d’une scène de ménage, vous risquez de dévier vers ce genre de penchant.

– Vous me faites peur.

– Je m’en doute bien, mais c’est le but. Je préfère prévenir que guérir, il n’est pas trop tard pour prendre les devants et adopter une attitude volontaire.

– C’est-à-dire ?

– Laissez libre cours à vos fantasmes. Commencez par les plus anodins. Si cela suffit, tant mieux, mais je pense que vous serez tentée d’aller plus loin. Le tout c’est de trouver le juste milieu. Si vous allez trop loin, vous risquez aussi la rupture, mais cette fois-ci cela viendra de votre mari. Le mieux est de tout lui raconter.

– Je n’oserai jamais.

– Vous l’avez bien raconté à Nicole.

– C’est ma meilleure amie. On se dit tout.

– Vous n’aurez qu’à faire de même avec votre mari. De toute façon, j’ai profité de votre hypnose pour vous retirer plusieurs blocages qui empêchaient toute solution.

– Vous voulez dire que vous m’avez désinhibée ?

– Je n’irai pas jusque-là, c’est à vous de faire le chemin qui libèrera votre moi émotionnel. Ce que j’ai fait, c’est retirer les barrières qui s’étaient dressées en travers de ce chemin.

– Bien. Et maintenant ?

– La séance est terminée. Rentrez chez vous. Reposez-vous. Le cas échéant, passez voir Nicole et discutez-en avec elle. Le plus important est que vous vous prépariez pour ce soir, votre mari doit être mis au courant et accepter vos fantasmes.

– Merci, docteur. Au revoir.

– Au revoir.

 

Marie, inquiète et dubitative, quitte le cabinet. Que faire ? Comment le faire ? En repassant devant le bureau de l’assistante, elle ne peut s’empêcher d’observer la tenue de la jeune femme. On distingue aisément un chemisier sous sa blouse, elle n’est donc pas aux trois-quarts nue comme dans son rêve. Cela la rassure, mais en même temps une sensation curieuse l’envahit, probablement parce qu’elle a essayé de voir les dessous d’une autre femme. Encore un de ses fantasmes ? Si maintenant ceux-ci l’envahissent également en pleine journée, cela va rapidement tourner à l’obsession. Finalement, la thérapie proposée par le psy serait peut-être bien la moins mauvaise des alternatives.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Images Aléatoires

  • Leiris06b
  • Sarah7
  • Lilly04
  • chanette15d
  • Plan Vargala
  • Bellyvuo24 03

Derniers Commentaires

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés