Vendredi 14 janvier 2022 5 14 /01 /Jan /2022 17:10

Vacances en famille par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 3 – Nouvelles expériences
Stamp MD

Le soleil était levé depuis longtemps lorsque nos quatre lesbiennes ouvrirent un œil. Martine aurait bien voulu commencer par quelques gâteries, mais Marie préférait garder ses forces pour plus tard. La journée s’annonçait chaude sous tous rapports et il aurait été dommage de se rendre à l’invitation de Suzanne en étant déjà épuisée. Nicole et Janine avaient eu la même réaction. Après une douche rapide et un petit-déjeuner consistant, il fut l’heure de se mettre en route. Un peu à contrecœur, les jeunes filles s’habillèrent. Elles avaient appris à apprécier la nudité et porter des vêtements leur semblait désormais une sorte de contrainte. Elles n’enfilèrent que le strict minimum, minijupe et tee-shirt, sachant bien que très rapidement elles n’en auraient plus besoin. Leurs mères avaient opté pour le même style d’habillement; minirobe légère largement décolletée. La voiture s’arrêta près de la porte de la villa de Suzanne peu avant onze heures. Nicole alla sonner. La porte s’ouvrit aussitôt qu’elle se fut présentée. La voiture parcourut l’allée et vint stopper devant le perron. Suzanne les attendait en bas des marches.

– Entrez vite. Vous seriez arrivées dix minutes plutôt, vous auriez aperçu le livreur, Il avait une très jolie bite, nous l’avons sucé toutes les deux moi et Sophie. Elle est impatiente de vous rencontrer.

Les quatre femmes la suivirent à travers la maison. Sur la terrasse, une jeune femme apparut. Elle était en maillot de bain deux pièces et son soutien-gorge avait de la peine à contenir sa poitrine imposante. Elle n’était pas grosse mais sa silhouette toute en rondeur attirait les regards lubriques des nouvelles venues. Suzanne la présenta à ses amies:

– Voici Sophie, ma nièce. Sophie, je te présente Nicole et Janine dont je t’ai déjà parlé.
– Enchantée, firent Nicole puis Janine. Voici Martine et Marie nos filles.
– À présent que les mondanités ont été respectées, nous pouvons passer aux choses sérieuses, reprit Suzanne.

Elle se mit aussitôt à déboutonner sa robe.

– Si tu permets, intervint Janine, j’aimerais bien m’en charger.
– Avec plaisir ! Répondit Suzanne.

Martine s’approcha de Sophie et avança ses mains vers sa poitrine. ! Le visage de la jeune fille s’illumina. Elle dégrafa rapidement son soutien-gorge pour dévoiler ses magnifiques seins. Martine s’y précipita. Sa bouche happa le téton fièrement dressé et se mit à le sucer. Pendant ce temps, Marie et Nicole s’étaient déshabillées mutuellement et avaient roulé sur le gazon en une étreinte passionnée. Suzanne et Janine avait depuis longtemps abandonné tout vêtement. Aussitôt que Janine eut retiré la robe de Suzanne, cette dernière avait prestement déshabillé Janine puis l’avait entraînée sur l’herbe. Les trois couples gémissaient et criaient, soupiraient et se tordaient. Les orgasmes se succédaient, les partenaires changeaient. Chacune put ainsi faire l’amour avec chacune.

VEF3
Une fois leur appétit sexuel apaisé pour un temps, les six lesbiennes abandonnèrent leurs caresses pour passer à table. Les plus jeunes ne purent cependant pas s’empêcher de laisser leurs mains s’égarer sur les courbes excitantes de leurs aînées tout en dévorant le repas à belles dents. Ces dernières ne s’en plaignaient pas. Comment ne pas apprécier être l’objet de convoitise et d’attention charnelle de la part de jeunes filles aussi attirantes. Tout était prétexte à peloter ou à caresser. Ainsi, une carotte visita-t-elle tout à tour l’intimité de Suzanne, Nicole, puis Janine pour être chaque fois léchée avec délectation par les trois adolescentes. A l’issue du repas, Suzanne proposa à ses invitées de quitter la terrasse pour aller s’étendre au bord de la piscine. Sophie s’éclipsa discrètement, puis rejoignit les autres quelques instants plus tard, portant une petite mallette. Les six femmes s’installèrent dans des chaises longues pour profiter du soleil et récupérer un peu avant de reprendre leurs activités. Janine se leva quelques minutes plus tard et demanda à Suzanne où se trouvaient les toilettes.

– Tu veux faire pipi ? Demanda Suzanne.
– Oui, répondit Janine.
– Eh bien, intervint Sophie pourquoi aller aux toilettes ?
– Tu veux que je pisse ici, devant vous ?
– Bien sûr, reprit Suzanne. Tu ne peux pas savoir comme c’est excitant de voir une femme pisser.

Janine demeura interloquée. L’idée fit cependant son chemin dans son esprit.

– Et vous ? Demanda-t-elle à ses amies. Qu’en pensez-vous ?
– C’est vrai que l’idée est plutôt excitante ! Répondit Nicole.
– Oh oui ! S’exclama Marie. Vas-y !
– Bonne idée ! Dit Martine.
– Bon, d’accord. Mais j’espère ne pas être la seule.
– Pas de problème, dit Suzanne. Je crois que nous avons toutes envie de nous soulager aussi.

Les autres femmes acquiescèrent. Janine s’accroupit donc face aux spectatrices.

– Pas comme ça ! S’exclama Suzanne. Reste debout. Ce sera encore plus excitant.
– Mais je n’ai jamais pissé debout, dit Janine. Je vais m’en mettre partout.
– Mais non. Attends. Je vais te montrer, dit Suzanne.

Elle se leva et, face aux cinq autres, les jambes légèrement écartées, ouvrit les lèvres de son vagin à deux mains.

– Regardez bien, dit-elle.

Aussitôt, un jet d’urine gicla de sa fente pour venir éclabousser l’herbe à quelques dizaines de centimètres des chaises longues. La vision était des plus érotique. Lorsqu’elle eut terminé, elle fit semblant de chercher de quoi s’essuyer…

– Si quelqu’un veut me rincer la foufoune avec sa langue,… Sophie trouve mon urine délicieuse., n’est-ce pas Sophie ?
– Un vrai régal ! Confirma cette dernière.
– Alors quelqu’un ?

Janine et Nicole se regardent circonspectes.

– J’ai bien envie d’essayer ! Confie Marie à Martine.
– Vas-y tu ne diras…

Marie s’approche de Suzanne, et commence à lui lécher les quelques gouttes qui ont coulé sur ses cuisses

– Hum, c’est pas mauvais ! Un peu spécial mais pas mauvais, viens Martine on va faire ça ensemble.

Et devant les yeux subjuguées de leurs mères, les deux coquines lapèrent tout le pipi qui imprégnait la chatte de Suzanne.

A toi, maintenant, proposa cette dernière à Janine.

Cette dernière prit la place de Suzanne et imita ses gestes. Les autres ne perdaient rien du spectacle.

– Me permet-tu de gouter à ton urine demanda Suzanne.
– Vas-y, fait toi plaisir.
– Hum ! Intervient Marie, j’aimerais bien gouter à l’urine de ma mère.
– Marie tu es une cochonne !
– Ou maman, mais je crois qu’on est toutes cochonnes ici en ce moment.

Suzanne laissa diplomatiquement la place à Marie.

– Tu te rends compte de ce qu’on vient de faire? Fit remarque Janine quand sa fille eut terminé ce petit nettoyage incestueux.
– Tu peux faire mieux que ça ! Répondit Suzanne, s’il te reste un goutte, pisse-lui directement dans la bouche !
– Quoi ?
– C’est ce que font les amateurs d’uro !
– Je n’ai plus envie !
– Alors on peut faire le contraire, Janine, accepte-tu que ta fille te pisses dessus ?
– Oui, mais pas dans la bouche !
– Juste un peu !
– D’accord juste un peu pour gouter.

Et c’est ainsi que Janine avala une bonne rasade de la pisse de sa propre fille, elle trouva l’acte pervers et le goût particulier.

Seule Nicole était restée en retrait pendant ces petites distractions.

– Ben alors on fait bande à part ? Se moqua Sophie.
– Pas du tout, j’attends mon tour ! Répondit-elle avec défi !

Personne ne savait que Nicole avait déjà gouté à ce genre de jeu, mais quand Sophie commença à lui pisser dessus et que son jet rencontra la bouche ouverte, l’assistance comprit qu’elle n’en était pas à son coup d’essai.

Peu de choses suffisaient, à présent, pour relancer la partouze. Sophie proposa alors aux trois adultes de se faire baiser par les jeunes filles.

– Comment ça ? Demanda Nicole.

Sophie se contenta d’ouvrir la mallette qu’elle avait apportée pour en dévoiler le contenu. Elle en sorti un godemiché à sangles.

– Avec ça ! Déclara-t-elle. J’en ai trois. Un pour Martine, un pour Marie et un pour moi.
– Super ! S’exclama Nicole. Encore mieux que mon vibromasseur !

Janine et Suzanne étaient aussi enthousiastes que leur amie. Sophie harnacha donc Marie puis Martine avant de fixer son instrument sur son ventre. Elle plaça ensuite les trois adultes derrière les chaises longues.

– Penchez-vous, dit-elle et appuyez-vous au montant. Et relevez bien votre cul.

Les jeunes filles se placèrent alors derrière, leur fausse bite fièrement dressée. Martine baiserait Janine, Marie, Suzanne et Sophie, Nicole.

– Prêtes ? Demanda Sophie.

Tout le monde acquiesça. Aussitôt, les baiseuses avancèrent d’un pas. Les fausses bites pénétrèrent lentement dans leur orifice respectif et la fornication commença. Martine agrippait Janine par les hanches, Marie malaxait les seins de Suzanne tout en la pénétrant et Sophie caressait le clito de Nicole en faisant aller son instrument d’avant en arrière. Les trois matures gémissaient de plaisir sous les coups de queue. Nicole fut la première à jouir, bientôt suivie par Janine puis Suzanne. Ce n’était cependant pas fini. La fornication continua. Après le deuxième orgasme, Sophie dit:

– Je crois qu’elles sont prêtes à se faire enculer maintenant. Qu’en pensez-vous les filles ?
– Oui, oui ! Répondirent Marie et Martine en chœur. On les encule ! On les encule !
– Allez-y quand même doucement, dit Suzanne. Nicole et Janine n’ont certainement pas l’habitude. Mais toi, ma petite Marie, tu peux y aller franchement. J’adore me faire enculer.

Les trois fausses queues se retirèrent des cons et furent placés entre les fesses. Marie n’hésita pas une seconde. Son membre s’enfonça rapidement dans le cul de Suzanne qui hurla de joie. Martine et Sophie furent plus prudentes mais le résultat final fut identique. Et le mouvement de va-et-vient reprit. Cette fois-ci, les jeunes filles profitaient de la disponibilité des fentes de leurs victimes consentantes pour leur branler le con simultanément. Ces dernières, même les deux moins inexpérimentées, appréciaient énormément ce genre de baise. Elles gémissaient et encourageaient les jeunes filles à les empaler le plus profondément possible. Soudain, Janine poussa un cri encore plus aigu que les précédents et elle s’effondra sur l’herbe en tremblant comme une feuille. Nicole ne tarda pas à jouir à son tour, tout aussi violemment. Suzanne essaya bien de retarder l’instant fatidique mais le plaisir que lui procurait Marie l’entraîna à son tour au nirvana. Les jeunes filles contemplèrent quelques instants les trois adultes épuisées allongées sur l’herbe.

Elles retirèrent leur harnais, nettoyèrent consciencieusement les bites, Martine et Marie à l’aide de mouchoirs en papier, mais elles furent surprises de voir Sophie accomplir ce petit nettoyage avec sa langue.

– Tu ne serais pas un peu scato ? Lui demanda Martine
– Un petit peu ! Pourquoi ça t’intéresse ?
– Non, non se défendit Martine. Enfin je veux dire, je suis curieuse de tout, mais la scato me semble un pas difficile à franchir.
– Et tu fais quoi exactement ? Demanda Marie.
– Des petits trucs, ce matin j’ai regardé ma tante chier, elle a fait un joli boudin, elle ne s’est pas essuyée, c’est moi qui lui ai léché le cul. C’était très excitant. Oh là là !

Martine et Marie semblaient fasciné par ce récit inattendue.

– Si ça vous tente, je suis à votre disposition. ! Ajouta Sophie.
– Je ne sais pas, je ne suis pas vraiment prête pour ça ! Répondit Martine.
– Moi non plus ! Ajouta Martine. Faut qu’on se fasse à l’idée…
– Dans ce cas dépêchez-vous, je vais bientôt repartir.
– Mais moi je serais toujours là ! Intervint Suzanne en faisant un clin d’œil très significatif a l’intention des deux jeunes filles.

Les trois jeunes filles se précipitèrent dans la piscine. Elles auraient bien aimé être payée en retour, mais force leur était de constater que leurs aînées n’étaient pas en état. Elles tentèrent donc d’oublier le désir qui les démangeait entre les cuisses en s’aspergeant et en nageant. Quelques minutes plus tard, Nicole se leva encore un peu tremblante et vint les rejoindre. L’eau fraîche lui fit du bien et bien vite, elle riait avec elles. Janine et Suzanne l’imitèrent un peu plus tard. Finalement, Martine sortit de l’eau et s’essuya.

– Maintenant que vous semblez être reposées, dit-elle. Vous pourriez peut-être nous renvoyer l’ascenseur.
– Avec le plus grand plaisir, ma chérie, répondit sa mère. J’ai très envie de baiser cette petite salope de Sophie et la sentir jouir sous mes coups de queue. Qu’en dis-tu ? Demanda-t-elle à l’intéressée.
– J’en meurs d’envie, dit cette dernière en prenant pied sur le bord de la piscine.

Les autres les rejoignirent à leur tour. Bientôt, Nicole, Janine et Suzanne eurent attaché les harnais autour de leur taille et conduit les trois jeunes filles derrière les chaises longues. Et la baise reprit, mais cette fois dans l’autre sens. Les nouvelles « victimes » prenaient leur pied comme jamais. Et quand, après avoir joui plusieurs fois, Nicole proposa de les enculer, elles hurlèrent de joie. La pénétration fut lente et prudente. Ces petits culs, à part celui de Sophie sans doute, n’avaient pas été ramoné si souvent. Martine et Marie serrèrent les dents sous la douleur. Mais le jeu en valait la chandelle. Le plaisir vint rapidement effacer la douleur première et leurs chattes ruisselèrent bientôt de jus, tant l’excitation était grande. Jamais, elles n’avaient ressenti un tel plaisir. Les trois matures ramonaient les trois petits culs tout en pelotant ou en branlant les jeunes gouines qui se mirent à jouir en hurlant de plaisir.

Après quelques instants de récupération, Sophie se releva et se mit à dodeliner du cul devant Janine.

– Tu l’aimes mon cul, on dirait !
– Il est charmant ! Consentit Janine
– Donne moi la fessée !
– En voilà une idée !
– Je suis très vilaine, alors je mérite une fessée. Insista le jeune fille.
– Tu ne vas pas lui refuser ça ! Intervient Suzanne.

Mise au pied du mur, Janine s’assit sur un fauteuil de jardin et proposa à Sophie de se cocher sr ses cuisses, puis elle commença à lui fesser le cul en cadence. Elle se surprit à mouiller tout en accomplissant cet acte.

Les quatre autre femmes formaient un cercle autour d’elles et y allaient de leurs commentaires salaces.

– Vas-y fesse-moi cette petite putain qui suce des bites et des chattes y compris celle de sa tante. L’invectivait cette dernière !
– J’arrête, j’ai attrapé mal au main ! Dit Janine.
– Elle ne t’as pas raté, t’as le cul tout rouge ! Remarqua Nicole.
– Bof, c’est rien du tout, la semaine dernière, ma tante ma donné 50 coups de cravaches, partout sur les fesses, le dos, les cuisses et même les seins, j’ai adoré. Je suis un peu maso.
– Si vous inversiez le rôles ! Propose alors Suzanne.
– Hé, mais je ne suis pas maso, moi ! Proteste Janine.
– Essaie, si ça ne te plais pas elle arrêtera. Précise Suzanne
– Tu ne vas pas te dégonfler, maman lui dit Marie.

Mise au défi, Janine s’avança vers Sophie qui avait pris sa place sur la chaise de jardin

Les sarcasmes reprirent !

– C’est bien fait pour toi, espèce de gouine perverse qui baise avec sa fille ! Lui lança Suzanne.
– Et l’autre gouine, là-bas, il faudrait la fesser aussi ! Fit remarquer Sophie en montrant Nicole du doigt.
– Bonne idée ! Répondit Suzanne, viens Nicole que je te rougisse les fesses.

Quelques minutes plus tard les deux matures se retrouvèrent le cul cramoisies et s’échangèrent un long baiser langoureux, avant de s’assoupir sur le gazon.

Ce fut un violent coup de tonnerre qui les fit sortir de leur torpeur. Les nuages s’étaient accumulés durant leur somnolence et l’orage éclatait. Quelques gouttes de pluie se mirent à tomber. L’atmosphère n’en était pas plus fraîche pour autant. Aussi, restèrent-elles sous la pluie quelques minutes, profitant de cette douche naturelle pour se rincer naturellement. Elles rentrèrent ensuite à l’abri et se séchèrent. Il était près de dix-huit heures et Nicole incita ses amies à retourner aux Amandiers. Nul ne protesta. La journée avait été bien remplie et toutes ne désiraient qu’une chose : se reposer. Elles se rhabillèrent donc et prirent congé de leurs hôtesses en promettant bien de recommencer semblable partie.

– Quel pied ! S’exclama Janine lorsqu’elles se retrouvèrent sur la route du retour. Jamais je n’aurais pensé jouir aussi fort.
– Moi non plus, renchérit Nicole. J’ai le con et le cul douloureux mais ça valait la peine. Et vous les filles ? Pas trop pénible ?
– Ça va maman, répondit Martine. J’ai mal au cul mais je ne regrette rien.
– Moi non plus, dit Marie. Quelle baise !

Arrivées aux Amandiers, elles ne traînèrent pas. Une douche rapide suivie d’un ou deux sandwiches, puis elles retrouvèrent leurs lits avec délectation. Le lendemain fut très calme. Les excès de la veille se faisaient encore ressentir et Marie et Martine avait encore le cul endolori. Nicole et Janine furent plus rapides à s’en remettre et n’eut-ce été le commencement des règles de Nicole, elles auraient repris volontiers certains exercices. D’autant que Suzanne leur avait fait cadeau de deux harnais qui les avaient tant fait jouir. Les jours suivants ne virent guère plus d’activité sexuelle aux Amandiers. Martine se retrouva à son tour indisponible et Janine et sa fille, par esprit de solidarité réfrénèrent leurs envies. Quelques jours plus tard, elles furent toutes de nouveau prêtes à assouvir leurs désirs. Après cette période d’abstinence forcée, Martine et Marie ne tenaient plus en place. Lorsqu’elles descendirent ce matin-là pour prendre le petit-déjeuner, elles trouvèrent leurs mères occupées devant la cuisinière. Après les embrassades matinales, Nicole demanda, en présentant son cul à sa fille:

– Eh bien, Martine que dirais-tu de baiser ta chère maman ?

Janine fit la même proposition à sa fille. Les deux jeunes femmes n’attendaient que ça. Elles remontèrent précipitamment dans leur chambre pour enfiler les harnais et revinrent, non moins rapidement, pour enfoncer leurs instruments entre les cuisses de leurs mères.

– Oh oui, ma chérie, encourageait Nicole, baise-moi. Enfonce ta grosse queue dans mon con ! Oui, oui…

Janine n’était pas en reste. Elle prodiguait le même genre d’encouragements à sa fille:

– Vas-y petite salope ! Baise ta maman ! Baise ta chienne de maman, petite gouine vicieuse. Et tripote mes nichons. Pince-les ! Oui, comme ça. Encore, plus profond !

Les deux jeunes femmes n’avaient guère besoin de ces paroles ordurières pour satisfaire leurs mères, mais la vulgarité du langage les excitait encore plus. Lorsque Nicole et Janine eurent joui, elles demandèrent une autre sorte de pénétration:

– Encule-moi, salope ! ordonna Nicole à sa fille.
– C’est toi la salope ! Répliqua Martine. N’est-ce-pas maman que tu es une salope ? Une salope qui demande à sa fille de l’enculer ?
– Oui, ma chérie. Je suis une salope, une sale gouine en chaleur ! Et toi tu es aussi salope que moi. Toi qui viens de baiser ta maman. Alors encule-moi ! Encule ta chère maman, ma petite gouine vicieuse !

Janine et Marie ne s’exprimèrent pas moins vulgairement:

– Tu veux que je t’encule, ma chère maman ? Tu veux que ta gouine de fille t’enfonce cette grosse queue dans ton petit cul ?
– Oui, ma petite gouine. Encule ta salope de maman ! Ta gouine de maman que tu viens de baiser si bien.

Les godemichés changèrent d’orifice pour le plus grand plaisir des deux femmes et le ramonage reprit de plus belle, ponctué par les gémissements et les paroles vulgaires:

– Alors, maman, chère salope, tu aimes ça hein ?
– Oh oui, chérie. C’est bon ! J’aime quand tu m’encules.
– Vas-y ma petite gouine, enfonce ta grosse bite dans le cul de ta putain de maman !
– Tiens, espèce de pute, prend ça ! Tu la sens ma grosse bite ! Tu aimes ça, te faire ramoner le cul ?
– Ouiiii… Encore ! Plus profond ! Défonce-moi mon cul de salope ! Ouiiii….

Les deux mamans jouirent de nouveau en chœur. Martine et Marie se retirèrent tandis que Nicole et Janine se redressaient, un peu hagardes. Elles prirent leurs filles dans leurs bras et les embrassèrent.

– Allez vite nettoyer vos belles queues, dit Nicole. Après le petit-déjeuner, nous vous renverrons l’ascenseur.
– Pourquoi pas tout de suite ? Demanda Marie. Ma chatte est une vraie fontaine.
– Désolée, mes chéries, mais nous devons reprendre nos esprits. Vous nous avez si bien baisées et enculées que nous tenons à peine debout.

A regret, les jeunes filles obéirent. Nos quatre charmantes gouines dévorèrent les tartines avec appétit et, lorsque la table fut débarrassée, Martine et Marie s’y appuyèrent, les jambes écartées. Les répliques vulgaires reprirent.

– Viens vite, maman chérie, dit Martine. Viens ramoner le con de ta salope de fille.
– J’arrive, petite vicieuse. Je vais enfoncer ma grosse queue dans ton petit con.
– Dépêche-toi, maman. Baise ta petite gouine adorée.
– Ne t’inquiète pas, petite salope. Ta maman va baiser sa gouine chérie.

Les bites artificielles s’enfoncèrent aussitôt dans les sexes juvéniles dégoulinants de jus. Les mères baisaient les jeunes filles avec un enthousiasme forcené et celles-ci criaient de plaisir sous les assauts tant attendus.

– Voilà pour toi, sale gouine, dit Janine en ramonant le con de sa fille. Tu aimes que ta maman te baise, n’est-ce-pas ?
– Oh oui ! Maman, c’est bon, c’est boooooon ! Ouiiiiii…
– Et si je pelote tes nichons en te baisant, ça te plaît, hein ! Dit Nicole. C’est bon de se faire baiser par sa maman ?
– Oh ! oui ! Tu es une vraie salope, ma chère maman. Continue ! Je vais jouir ! Ouiiiiiii…

Les deux jeunes femmes atteignirent l’orgasme en criant de plus belle.

– Tu veux que ta maman t’encule ? Demanda Janine.
– Oh oui, maman. Encule-moi. Encule ta salope de fille.
– Alors ma chérie. Toi aussi tu veux te faire enculer par ta maman ?
– Oh oui, s’il te plaît maman. Encule ta gouine de fille.

Et comme auparavant, les bites changèrent d’orifice. Les orgasmes n’en furent pas moins violents ni les dialogues moins vulgaires. Et lorsque Martine et Marie demandèrent grâce, les quatre femelles assouvies eurent tout juste la force de se traîner à l’extérieur pour s’allonger au bord de la piscine. Quelques minutes plus tard, elles allèrent prendre une douche avant de plonger dans la piscine pour se rafraîchir. Elles paressèrent ainsi jusqu’à l’heure du repas de midi qu’elles avalèrent avec délice.

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Vendredi 14 janvier 2022 5 14 /01 /Jan /2022 17:06

Vacances en famille par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 2 – Début de vacances
Stamp MD

Lorsque la voiture conduite par Janine stoppa près du portail, il était à peine 14 heures. Nicole sortit de la voiture et ouvrit. Une fois l’entrée franchie, elle referma le portail puis le verrouilla et remonta dans la voiture. Après avoir suivi l’allée bordée d’arbustes, elles arrivèrent finalement devant la villa. Les cigales chantaient et l’air embaumait le thym et la lavande. Tout le monde était ravi. Ravi mais excité. La culotte de Janine était détrempée. Elle sortit rapidement de la voiture et retira son sous-vêtement sous le regard amusé de ses amies.

– Vous pouvez bien rigoler toutes les trois. Ça fait plus de six heures que je conduis en supportant vos gémissements. Je n’ai pas eu l’occasion de me soulager comme vous.
– Pauvre chérie, la consola Nicole. Es-tu capable de tenir encore quelques minutes ? Le temps que nous déchargions les bagages ?
– Il faudra bien, répondit Janine en souriant. Mais après, je compte bien que chacune d’entre vous s’occupe de moi.
– Avec plaisir, répondirent les trois autres en chœur.

Elles déchargèrent les valises puis ne purent résister à l’envie de faire un rapide tour du propriétaire. Il y avait deux grandes chambres à l’étage, une salle de bain et, au rez-de-chaussée, la cuisine et le salon dont les portes s’ouvraient sur la piscine.

– C’est magnifique, dit Nicole à son amie, un vrai paradis ! .
– Oui, répondit Janine, je crois que nous allons passer des vacances formidables. Mais en attendant, je suis toujours aussi excitée.
– Tu as raison, ma chérie. Il est temps de passer aux choses sérieuses. Tout le monde à poil !

Et joignant le geste à la parole, elle se déshabilla prestement. Lorsque les quatre femmes furent nues, elle reprit:

– Janine, si tu veux bien t’allonger sur l’herbe, nous allons te faire oublier ces six heures de conduite astreignantes de la meilleure façon qui soit.

La jeune femme ne se fit pas prier pour s’exécuter. Aussitôt, Nicole prit place entre ses cuisses et se mit à laper consciencieusement sa chatte tandis que Martine et Marie s’occupaient de sa poitrine. Un premier orgasme récompensa rapidement la ferveur des trois femmes qui n’en restèrent cependant pas là. Elles échangèrent leur place; Marie prit la place de Nicole entre les jambes de sa mère alors que Nicole suçait les seins de son amie et que Martine l’embrassait à pleine bouche. La rotation eut lieu une nouvelle fois. Finalement, Janine demanda grâce. Mises en train par ces ébats, Nicole, Martine et Marie s’engagèrent dans un soixante-neuf à trois des plus animé. La partouze lesbienne se poursuivit ainsi pendant près d’une heure. Janine avait repris ses esprits et rejoint ses amies avant que toutes les quatre ne s’endorment finalement épuisées. Elles ne se réveillèrent que beaucoup plus tard et plongèrent aussitôt dans la piscine. Après quelques minutes passées à s’éclabousser et s’amuser comme des gamines, elles sortirent de l’eau et se firent sécher au soleil.

– Il faudrait quand même défaire les bagages avant la nuit, dit Janine en se levant.

Un peu à contrecœur, les autres acquiescèrent. Les valises furent montées dans les chambres respectives puis déballées. Martine et Marie allaient occuper la chambre donnant sur la piscine tandis que Nicole et Janine prendraient celle donnant sur l’entrée. Il y avait deux lits dans chaque chambre mais leurs dimensions étaient bien suffisantes pour accueillir deux personnes à la fois. Il était évident que Martine et Marie d’un côté et Nicole et Janine de l’autre allaient dormir dans le même lit. Lorsque les vêtements furent rangés dans les armoires, elles se retrouvèrent toutes les quatre au bord de la piscine.

– Il va falloir penser à faire quelques courses si nous voulons manger ce soir et les jours suivants, dit Janine.
– Ce qui veut dire que nous allons devoir nous rhabiller ? Demanda Marie.
– Vous n’êtes pas obligées de venir avec nous, répondit Nicole. Janine et moi sommes assez grandes pour faire les courses toutes seules.

Les deux jeunes filles poussèrent un soupir de satisfaction.

– N’en faîtes pas trop quand même, dit Janine en posant sa main sur les fesses de sa fille. Nous avons toutes les vacances pour organiser de nombreuses parties carrées.
– Je sais, répliqua Marie. Mais nous avons pas mal de temps à rattraper.
– Et puis, ajouta Martine, le climat d’ici à un effet particulièrement aphrodisiaque. Tu ne trouves pas ? Demanda-t-elle à sa mère en se caressant la chatte.
– Tout à fait d’accord, répondit Nicole. Mais il faut bien que quelqu’un se dévoue si nous ne voulons pas mourir de faim.
– Et puis, j’ai promis à la propriétaire de lui rendre visite à notre arrivée, dit Janine.
– Eh bien, aurevoir, reprit Marie.
– A tout à l’heure, les filles, dit Nicole en rentrant dans la maison, suivie de Janine.

La propriétaire

Janine et Nicole regagnèrent leur chambre et s’habillèrent rapidement puis descendirent vers la voiture.

– C’est vrai que le climat a un effet très vivifiant, dit Janine en ouvrant la portière. Il y a longtemps que je ne m’étais sentie aussi bien.
– A mon avis, il n’y a pas que le climat, dit Nicole en s’installant. Nos petites parties y sont certainement pour quelque chose aussi.
– Sans aucun doute. Et le pire, c’est que plus nous faisons l’amour, plus j’ai envie de jouir. Jamais je n’aurais imaginé faire ce que j’ai fait ces deux derniers jours.
– Moi non plus. Je n’avais jamais fait ça avec une autre femme, mais rien au monde ne me ferait y renoncer. Je devais sans doute avoir des prédispositions pour les amours lesbiennes.
– Et tu n’es pas la seule. Sans parler de moi, ta fille et la mienne ne sont pas en reste. Tu imagines, toi et moi avons fait l’amour avec nos propres filles.
– Tu regrettes ?
– Pas du tout ! Le plaisir efface tout, même les tabous les plus solidement ancrés dans mon esprit. Et je n’ai qu’une hâte, recommencer.
– Et moi donc ! J’espère que les courses en ville ne nous prendront pas trop de temps.
– Tu oublies la propriétaire.
– Sommes-nous vraiment obligées de lui rendre visite ?
– Hélas oui, soupira Janine. Je lui ai promis. Si nous n’y allions pas, elle s’inquiéterait et risquerait fort de venir nous trouver à la villa. Et alors là, pense un peu à la tête qu’elle ferait si elle nous surprenait en pleine action.
– Je vois, répondit Nicole en éclatant de rire. J’imagine très bien la vieille dame prendre une attaque en nous découvrant nues toutes les quatre, enlacées près de la piscine.
– Tu n’y es pas du tout. Madame Lecoeur n’est pas vieille. Elle doit avoir à peine cinquante ans.
– Tu l’as déjà rencontrée ?
– Oui, une fois. C’est une amie qui me l’avait présentée. Et c’est d’ailleurs à cette occasion que j’ai appris qu’elle possédait cette villa.

La conversation se poursuivit tout le long du chemin qui les conduisit à la ville. Il s’agissait, en fait d’un village assez important et qui possédait plusieurs magasins ainsi qu’un supermarché. C’est là que les deux jeunes femmes s’arrêtèrent pour faire leurs provisions. Elles ne perdirent pas de temps. Une demi-heure plus tard, la voiture était chargée et elles repartaient en direction, cette fois-ci, de la demeure de la propriétaire. Au bout de quelques minutes, elles arrivèrent devant une porte imposante.

– Si j’en juge par la porte, dit Nicole, elle doit habiter un vrai château.
– Aucune idée, dit Janine. On verra bien.

Elle descendit de la voiture et alla appuyer sur le bouton d’un interphone. Une voix se fit entendre au bout de quelques instants:

– Oui ? Qui est là ?
– C’est madame Germain et son amie. Nous avons loué votre villa « les Amandiers ».
– Oh oui. Bien sûr. Vous pouvez entrer.

Un déclic se produisit dans la porte puis celle-ci s’ouvrit silencieusement. Janine retourna à la voiture et embraya. Le chemin, contrairement à ce qu’elles avaient pensé, n’était pas très long. La maison apparut au bout d’une dizaine de mètres après qu’elles eurent contourné un massif d’arbres. Il s’agissait d’une villa assez modeste, plus petite que « les Amandiers ». Sur le perron, une femme en robe d’été largement décolletée les attendait en souriant. Elle était accompagnée d’un gros chien beige, genre labrador, lequel après avoir constaté que les visiteurs n’avaient rien d’hostile s’en alla retourner à sa vie de chien

– Bonjour mesdames, dit-elle en leur tendant la main.
– Bonjour madame, fit Janine. Je vous présente mon amie, Nicole Duchemin.
– Ravie de vous voir, reprit, madame Lecoeur.

Nicole s’était effectivement complètement trompée. Madame Lecoeur n’avait rien d’une vieille femme et on lui aurait facilement donné quarante ans, son physique n’accusant nullement les années. Elle les conduisit à travers la maison jusqu’à une terrasse qui donnait, tout comme « les Amandiers », sur une superbe piscine. Elle les invita à s’installer autour d’une table basse, puis les quitta quelques instants pour aller chercher des boissons. Les trois femmes sirotèrent leur limonade tout en bavardant de tout et de rien. Madame Lecoeur s’avéra une personne charmante, mais ce qui attirait particulièrement les regards de Nicole et de Janine c’était sa poitrine qui, lorsqu’elle se penchait, était parfaitement visible à travers l’échancrure de sa robe. Elle finit par s’en rendre compte mais n’en fut pas le moins du monde gênée:

– J’espère que ma tenue ne vous choque pas ? Demanda-t-elle. Vous savez, en été, ici, j’aime être à l’aise. Du reste, si vous n’étiez pas là, je ne porterais rien du tout.
– Ne vous inquiétez pas pour nous, répondit Nicole. Nous aimons aussi être à l’aise. Et pour tout vous dire, nous avons l’intention de vivre aux Amandiers dans le plus simple appareil aussi souvent que possible.
– Voilà une excellente décision. Il n’y a rien de tel que de vivre nu pour retrouver les vraies valeurs. Dans ces conditions, je vais retirer cette robe qui ne cache pas grand-chose, en fait. A moins que cela ne vous dérange.
– Pas du tout, répondit Janine qui commençait à ressentir une démangeaison familière entre les cuisses.
– À condition, madame, que nous puissions en faire autant, ajouta Nicole.
– Naturellement. ! Et puis ne m’appelez pas madame. Si nous devons nous trouver nues toutes les trois, autant nous tutoyer. Appelle-moi Suzanne.
– Très bien Suzanne, moi c’est Nicole.
– Et moi, Janine.

Les trois femmes se dévêtirent rapidement puis se rassirent.

– N’est-on pas mieux ainsi ? Demanda Suzanne.

Janine et Nicole acquiescèrent.

– Et puis, dans cette tenue, ajouta-t-elle, vous pouvez admirer ma poitrine plus facilement. Ne rougissez pas. J’ai bien remarqué vos regards insistants tout à l’heure. Ne croyez pas que cela me gêne, bien au contraire. J’en suis flattée. D’autant plus flattée que vous n’avez rien à m’envier ni l’une ni l’autre. Mais ce qui me flatte le plus c’est l’effet que j’ai produit sur Janine. Inutile de croiser les jambes, ma chérie. Je n’ai pas pu m’empêcher de remarquer à quel point ta chatte était humide. Et quand je dis humide, je suis modeste.

Janine rougit de plus belle mais décroisa ses jambes.

– Voilà qui est mieux, reprit Suzanne. Il eut été dommage de cacher un tel trésor. C’est tellement beau un sexe de femme. Vous ne trouvez pas ?
– Si, si. Je suis bien d’accord, répondit Nicole. Surtout lorsqu’il dégouline de jus comme celui de Janine ou comme le tien à présent.
– Le tien n’est pas en reste, constata Janine.
– C’est ma foi vrai, dit Suzanne. J’ai l’impression que nous sommes toutes les trois dans le même état d’excitation. Et pour y remédier je connais un excellent moyen.

Et, joignant le geste à la parole, Suzanne passa lentement ses doigts sur sa fente.

– Rien de tel qu’une bonne branlette pour se sentir mieux ! Reprit Suzanne en soupirant.

Nicole et Janine restèrent quelques instants sans réaction, puis Nicole se leva et vint s’agenouiller entre les jambes de Suzanne:

– Et que dirais-tu si ma langue remplaçait tes doigts ? Demanda-t-elle.
– Je n’osais te le demander, répliqua Suzanne ravie.

AAVF2Janine se leva à son tour et vint téter les seins de Suzanne tout en se branlant. Cette dernière poussa aussitôt des cris de bonheur. Son bassin se soulevait en rythme tandis que ses mains pressaient la tête de Nicole contre son ventre. Elle encourageait nos deux amies de la voix:

– Oui Nicole, suce-moi, suce mon clito, aspire mon jus. Oh ! Comme c’est bon… Oh oui ! Janine suce mes seins. Oui… Encore, mords mes tétons. Ouiiiiiii….

Son corps se cabra en un spasme plus violent que les précédents et elle poussa un véritable hurlement de plaisir. Janine et Nicole se relevèrent. Suzanne reprit rapidement ses esprits:

– Magnifique ! Dit-elle. Vous avez été magnifiques – toutes les deux.

Elle quitta son siège et les embrassa l’une après l’autre à pleine bouche.

– A mon tour de vous faire jouir, reprit-elle.
– Nous ne demanderions pas mieux, dit Janine. Mais nos filles nous attendent et la voiture est pleine de provisions.
– Quel dommage ! Vous êtes certaines de ne pas pouvoir rester encore un peu ?
– Hélas oui, dit Janine. Et pourtant ce n’est pas l’envie qui me manque.

Nicole et Janine se rhabillèrent rapidement puis prirent congé de leur hôtesse.

– J’espère vous revoir bientôt, dit celle-ci. Ne manquez pas de venir me rendre visite le plus tôt possible. Je suppose que vous pouvez laisser vos filles seules à la villa. ! Nos petits jeux ne sont pas vraiment pour elles.
– Détrompe-toi, répondit Janine. Elles sont majeures er si je te racontais ce que nous avons fait ce matin toutes les quatre, tu changerais d’opinion.
– Toutes les quatre ? S’étonna Suzanne.
– Oui en fin c’est une façon de parler, nos deux filles se sont gouinées devant nous, puis nous avons interverti les rôles. Reprit Janine se rendant compte qu’elle avait parlé un peu vite.
– Et tu n’as rien fait avec la fille de Nicole ?
– Si, si, justement…
– Je ne voudrais pas être indiscrète, mais être excitée par les ébats de ta propre fille, c’est presque de l’inceste.

Janine ne trouva pas de réponse et se mit à rougir comme une tomate.

– Bon on va peut-être s’en aller ! Finit-elle par bredouiller.
– Mais je ne porte pas de jugement, tout cela se passe entre personne majeures et ne fait de mal à personne, je trouve même ça plutôt excitant. Alors dites-moi toutes le deux, vous vous gouinez avec vos filles.?
– Oui, puisque tu veux tut savoir ! Intervint Nicole.
– Alors bien venu au club des pratiques tabous, vous savez je n’ai rien à vous envie, je suce bien la bite de mon chien !
– Oh ! C’est vrai ?
– Bien sûr c’est vrai, vous voulez voir ?

Janine et Nicole s’échangent un regard

– Pourquoi pas !
– D’accord ! Viens Japy, viens voir ta maîtresse

Tandis que le chien arrive en trottinant, Suzanne s’humecte la main avec sa propre mouille, la fait sentir au chien avant de l’approcher de sa chatte. Et le chien se met à la lui lécher à grand coup de langue.

– Oh ! Quelle langue ! S’exclame Suzanne, vous le feriez-vous ?
– Je ne sais pas, je ne dis pas oui, je ne dis pas non ! Répondit Nicole. Et toi Janine ?
– Pareil que toi.

Suzanne se relève, caresse son chien tendrement, puis se positionne derrière lui et passe sa main sou son flanc pour l’exciter. Sa bite sort de son fourreau, elle la fait passer entre ses cuisses, approche sa bouche et la léché avec un sourire provocateur.

Nicole ne peut s’empêcher de porter la main à sa chatte et de se caresser, Janine ne tarde pas à l’imiter, se frottant le clito avec énergie tout en se pinçant un téton

– Ça vous excite, hein mes salopes ? Leur lance Suzanne. Si vous voulez me rejoindre, n’hésitez surtout pas.

Mais les deux femmes ne répondent pas, continuant à se donner du plaisir tandis que la bite du chien se met à juter d’abondance rendant le visage de Suzanne tout gluant.

Au bout d’un petit moment , elle s’arrête, le chien ayant donné tout ce qu’il pouvait, Une nouvelle fois elle le caresse tendrement, puis l’envoie se coucher.

– La prochaine fois, si ça vous intéresse, je vous montrerais comment il me baise ! Alors vous en pensez quoi ?
– C’était très excitant, mais moi je ne le ferais pas… enfin disons que je ne suis pas prête ! Répond Nicole.
– Moi, un jour peut-être ! Ajoute Janine
– Bien ! Je vous propose de venir toutes les quatre passer la journée demain ? On sera donc cinq, et on laissera le chien tranquille.

Janine et Nicole se regardèrent, puis opinèrent.

– D’accord, répondit Nicole.
– Excellent ! S’exclama Suzanne. Je demanderai à ma nièce de venir. On sera donc six. Elle apprécie aussi beaucoup ce genre de parties. Elle n’a que 19 ans mais c’est une sacré brouteuse de chatte. Alors demain onze heures. Ça vous va ?
– Entendu.

Elles s’embrassèrent une dernière fois, puis Nicole et Janine montèrent dans la voiture. Durant le trajet de retour, elles rirent comme des gamines. Les vacances s’annonçaient sous des auspices on ne peut plus favorables. A peine arrivées à la villa, Nicole appela Martine et Marie. Ces dernières se reposaient au bord de la piscine. Elles semblaient épuisées. Elles avaient visiblement passé l’après-midi à faire l’amour.

– Debout, paresseuses ! Dit Nicole en se déshabillant. Venez décharger la voiture.
Janine vint les rejoindre, déjà nue.
– Et vous ? Demanda Marie. Vous comptez nous laisser faire le travail toutes seules ?
– Parfaitement ! Nous avons un certain retard à rattraper. Regarde un peu comme je mouille ainsi que ta mère.
– Et peut-on savoir ce qui vous a mis dans cet état ?
– Plus tard, répondit Janine. Pour l’instant, je dois absolument jouir.

Elle prit Nicole par la main et l’entraîna au sol. Les deux jeunes filles se regardèrent en souriant puis se rendirent vers la voiture. Lorsque les provisions furent rangées, elles retournèrent vers leurs mères. Celles-ci poursuivaient avec ardeur leurs activités sexuelles. Trop fatiguées pour se joindre à la fête, Martine et Marie s’allongèrent quelques mètres plus loin et ne tardèrent pas à s’endormir. Plus tard, lorsque chacune eut suffisamment récupéré, Nicole et Janine relatèrent leurs aventures de l’après-midi. Les jeunes filles n’en revenaient pas.

– Je comprends pourquoi vous étiez si excitées en rentrant, commenta Marie.
– Et le mieux, dit Nicole, c’est que nous sommes invitées toutes les quatre à passer la journée de demain chez elle.
– Toutes les quatre ?
– Oui. Nous lui avons dit que vous étiez toutes prêtes à participer à nos ébats.
– Et qu’est-ce qu’elle a dit ?
– Elle a été un peu surprise sur le moment, puis elle e a été enchantée. Elle nous a même dit que sa nièce serait aussi là.
– Super ! S’exclama Martine.

La perspective d’avoir de nouvelles partenaires enchantait les jeunes filles. La soirée s’écoula paisiblement. Nicole et Janine préparèrent un repas copieux afin de remettre tout le monde en forme, puis, peu avant dix heures, les quatre femmes gagnèrent leurs chambres pour un repos bien mérité.

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Vendredi 14 janvier 2022 5 14 /01 /Jan /2022 17:03

Vacances en famille par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 1 – Essayages

Stamp MD

Cet été-là, Nicole et Janine avaient décidé de passer leurs vacances ensemble dans le midi avec leurs filles respectives Martine et Marie. Les deux femmes s’étaient rencontrées par hasard quelques années plus tôt alors qu’elles venaient toutes deux de divorcer. Elles s’étaient trouvées de nombreux points communs, outre leur divorce et leur fille de 18 ans. Les deux jeunes filles, quant à elles, avaient vite fait connaissance et étaient devenues les meilleures amies du monde. Toutes deux sortaient d’une grosse déception amoureuse et elles avaient trouvé consolation en se caressant mutuellement d’abord de façon très soft, pour terminer têtebêche en se léchant la chatte. Depuis elles se gouinaient régulièrement et s’étaient jurées de ne plus toucher aucune bite

Janine avait loué une villa en Provence, à l’écart de la foule, avec, pour la plus grande joie des filles, une piscine. La veille du départ, il fut décidé de se réunir chez Janine, qui possédait un magasin de vêtements, afin de pouvoir partir tôt le lendemain.

– Ce sera plus facile comme ça, avait dit Janine. De plus, j’ai tout un stock de vêtements d’été qui n’a pas été vendu. Vous pourrez choisir ce qui vous plaît pour les vacances.

Elle ajouta à l’adresse de Nicole:

– Il y a aussi de superbes maillots de bains très sexy. Je suis sûre qu’ils vont te plaire.

Ainsi fut fait. Le vendredi soir, Nicole et sa fille débarquèrent chez Janine avec leurs bagages. Elles se sentaient déjà en vacances, débarrassées des soucis quotidiens et ravies à la pensée de cette séance d’essayage. Janine et Marie les accueillirent avec joie, les débarrassèrent de leurs valises et s’empressèrent de les conduire au salon. Là, Janine avait déballé un nombre impressionnant de robes, jupes et autres maillots de bain.

– Que chacune fouille dans le tas, dit Janine. Les vêtements d’abord. Nous essayerons les maillots ensuite.

Elles ne se firent pas prier. Bientôt les quatre femmes avaient jeté leur dévolu, qui sur une petite robe imprimée, qui sur une minijupe en coton, qui sur un ensemble de plage, etc…

– Je ne pense pas que le passage en cabine d’essayage soit nécessaire, reprit Janine. Nous sommes entre femmes après tout.

Personne ne la contredit. Nicole, qui avait choisi l’ensemble de plage, fut la plus prompte à se mettre en culotte et soutien-gorge. Sa fille, Martine s’empressa d’en faire autant pour essayer la minijupe et le corsage qui l’avait séduite. Marie ne fut pas en retard pour pouvoir essayer la robe imprimée tandis que sa mère, suivant le mouvement, fut vite prête à enfiler une autre robe. Une fois les quatre femmes rhabillées, les exclamations fusèrent. Chacune s’admirait, prenant des poses plus ou moins lascives et éclatait de rire pour un rien. Le petit jeu se répéta ainsi plusieurs fois avant que tout le monde n’ait choisi ce qui lui convenait.

– Parfait, dit Janine. Il est temps d’essayer les maillots, à présent.

Les trois autres applaudirent comme des gamines.

– J’ai déjà choisi un maillot pour chacune. Bien sûr, si ça ne vous plaît pas, vous pourrez toujours changer.

Elle tendit à chacune une tenue de bain. Nicole déplia la sienne et s’exclama en le montrant:

– Tu crois que je peux porter ça ? J’ai l’impression que ça ne va pas cacher grand-chose.
– Mais si, mais si, répondit Janine. Je suis certaine que tu seras parfaite là-dedans.
– Si tu le dis.

Les deux filles avaient regardé le maillot en souriant. C’est vrai qu’il y avait bien peu de tissu. Elles attendaient avec impatience de voir l’effet produit sur Nicole une fois enfilé. Celle-ci reprit:

– Il semblerait que je sois le centre d’intérêt du moment. Eh bien, puisqu’il faut une première, allons-y. Mais je vous interdis de rire.

– Pourquoi se moquerait-on de toi ? dit sa fille. Tu es plutôt bien foutue. Ce maillot va t’aller comme un gant.
– Espérons-le, dit Nicole en retirant sa robe.

Elle jeta un regard circulaire, puis dégrafa son soutien-gorge. Ses seins jaillirent. Ils étaient imposants, comparés à ceux de son amie, mais se tenaient fièrement sans montrer le moindre signe d’affaissement. Sa fille siffla doucement pour montrer son admiration.

– De quoi te plains-tu ? Dit-elle. Moi j’aimerais bien avoir les mêmes à ton âge.
– Merci ma chérie. J’espère que le reste ne te décevra pas.

Elle tourna le dos et, lentement, comme une strip-teaseuse, fit glisser sa culotte le long de ses jambes. Elle se pencha pour la dégager de ses pieds, et offrit ses fesses aux regards des autres.

– Alors, fit-elle sans bouger. On n’applaudit pas l’artiste ?
– Jamais avant le final, dit Janine en riant.
– Petites vicieuses, reprit Nicole. Dans ce cas, le spectacle continue.

Prise au jeu, elle se pencha encore plus en avant et se caressa ses fesses.

– Encore ! Encore ! firent les autres.

Devant l’enthousiasme général, Nicole poursuivit. Des deux mains, elle écarta ses fesses donnant aux autres la vision parfaite de son cul. Des sifflets fusèrent, bientôt suivis d’applaudissements.

– Gardez vos applaudissements pour la fin, dit-elle. Le meilleur est encore à venir.

Elle relâcha ses fesses et se redressa. Puis ramenant une main sur son ventre, elle se retourna lentement. Son autre main jouait avec sa poitrine, pelotant les seins lascivement. Elle passait sa langue sur ses lèvres et lançait des œillades provocatrices.

– La chatte ! La chatte ! se mit à crier Janine. On veut voir la chatte !

Rapidement, Nicole échangea la place de ses mains. Le mouvement avait été si brusque que personne n’avait eu le temps d’apercevoir son sexe. Elle reprit ses caresses sur sa poitrine, puis écarta les doigts de son autre main. Rien n’était encore visible. Sa paume cachait toujours son sexe aux autres qui n’en perdaient pas une miette. Finalement, elle retira sa main et étendit les bras en un geste de triomphe. Les autres se déchaînèrent, applaudissant à tout rompre.

– Vous en voulez encore ? demanda Nicole.
– Oui, oui, répondirent trois voix unanimes.

Nicole n’attendait que ça. Elle s’assit sur l’accoudoir d’un fauteuil, écarta les jambes et rejeta sa tête en arrière. Son sexe largement ouvert attirait tous les regards. Elle semblait comme grisée et se sentait prête à toutes les indécences. Ni la présence de son amie, ni même celle de sa propre fille ne pouvait la retenir. Elle savoura son triomphe, puis, mue par une force irrésistible, redressa la tête et, ramenant les mains vers son ventre, écarta les lèvres de son clito qui montrait tous les signes d’une formidable excitation.

– Magnifique ! s’exclama Janine. On dirait que tu as fait ça toute ta vie.

Nicole revint lentement à la réalité. Elle se sentait vidée mais aussi un peu honteuse de s’être ainsi donnée en spectacle devant trois autres femmes.

– Je… je ne sais pas ce qui m’a pris, bredouilla-t-elle en ramenant ses mains devant son ventre.
– Tu as été géniale, maman, dit sa fille. Vraiment géniale !
– Tu… tu trouves ?
– Bien sûr, pas vrai Marie ?
– Oh oui. J’ai adoré.
– Nous avons toutes adoré, reprit Janine.

Devant une telle unanimité, Nicole se rasséréna. Après tout, si tout le monde avait adoré, pourquoi serait-elle honteuse. Elle aussi avait pris plaisir à s’exhiber sans pudeur. Elle se rappela soudain le maillot de bain et allait le saisir lorsqu’elle repensa aux paroles de Janine:

« C’est une villa superbe, avait dit cette dernière. Petite mais charmante avec tout le confort et surtout une piscine. En outre, elle est complètement isolée du monde et entourée d’un mur de trois mètres de haut. Aucun risque d’être dérangé. On pourra même se balader à poil sans gêner qui que ce soit »

Cette dernière phrase résonna dans son esprit. « On pourra même se balader à poil sans gêner qui que ce soit ». Elle regarda Janine et dit:

– Tout compte fait, je ne crois pas que je vais essayer le maillot.
– Ah bon, pourquoi ? demanda Janine étonnée.
– Parce que je n’en aurais pas besoin. N’as-tu pas dit, je cite: « On pourra même se balader à poil sans gêner qui que ce soit » ?
– C’est vrai !
– Alors pourquoi s’embarrasser de maillots de bains ?
– Ma foi, tu as raison. Vive la liberté ! Tout le monde à poil sans contrainte !
– C’est dommage, intervint Martine.
– Pourquoi est-ce dommage, ma chérie, demanda sa mère ?
– Parce que, pas de maillot de bain, pas d’essayage.
– Oh, mais est-ce-que ma petite fille ne serait pas une peu vicieuse, par hasard ?
– Pas plus que toi, ma chère maman.
– Touchée, dit Nicole.
– Peut-être pourrions-nous contenter tout le monde, dit Janine. Il n’est pas juste que ta mère soit la seule à s’être déshabillée en public. Que penseriez-vous d’un concours de strip-tease ? Puisque de toutes façons nous nous côtoierons tous les jours dans le plus simple appareil, pourquoi ne pas commencer tout de suite ?
– Tout à fait d’accord, dit Nicole qui ne voulait pas être la seule à s’être donnée en spectacle.
– Accepté, répondirent les filles en chœur.
– Qui commence ? demanda Janine.
– Martine, pardi, dit sa mère. C’est elle qui vient de se plaindre.
– Et pourquoi pas un duo ? dit Marie. Martine et moi.
– Excellente idée, fit sa mère.
– D’accord, fit Martine. Mais je vous préviens, je n’ai ni la poitrine ni le savoir-faire de ma mère.
– Aucune importance, ma chérie, dit sa mère. Tu verras, ça vient tout seul. Mais tout d’abord, il faut créer l’ambiance. Lumières tamisées et musique.
– Je m’en charge, dit Janine.

Lorsque tout fut prêt, les deux filles vinrent se placer au centre de la pièce et retirèrent rapidement leurs vêtements. Janine maniait le rayon lumineux d’un spot comme une vraie professionnelle. Martine, contre toute attente, dégrafa le soutien-gorge de son amie en suivant le rythme langoureux de la musique et en ondulant lascivement. Marie fit de même en essayant de suivre les mouvements de son amie. Leurs jolies poitrines, éclairées par le spot, suscitèrent des commentaires admiratifs. Les deux filles, tout en dansant nonchalamment, se rapprochèrent l’une de l’autre et firent mine de se caresser les seins. Puis, leurs mains descendirent et se posèrent sur les culottes. Leurs ventres se soudèrent et se frottèrent en rythme sous le regard subjugué de leurs mères. Finalement, Marie recula d’un pas et s’agenouillant, déculotta lentement son amie. Elle se releva et ce fut au tour de Martine de lui ôter sa culotte.

L’opération terminée, les deux filles s’enlacèrent de nouveau pour effectuer quelques pas de danse, sexe contre sexe. Les deux mères étaient au comble de l’excitation. Janine avait passé sa main droite sous sa jupe et se caressait lentement à travers le tissu de son slip. Nicole, voyant cela, n’avait pas réfréné longtemps ses pulsions. Sa main s’était bien vite posée sur son sexe et allait en venait en cadence. Les deux filles se séparèrent de nouveau et tournèrent le dos à leurs mères. Dans un ensemble presque parfait, elles se penchèrent en avant et écartèrent leurs fesses. Abandonnant sa branlette, Janine fit effectuer un balayage des deux culs par le faisceau lumineux. Jugeant que le moment était venu, les jeunes filles se retournèrent, exposant leurs chattes à la lumière du spot. Elles luisaient d’humidité et les lèvres de leurs clitos étaient en pleine érection. Chacune d’elles les écarta des deux mains en balançant le bassin d’avant en arrière en faisant des moues très suggestives avec la bouche. Soudain, Marie relâcha son clito et fit lentement glisser son index sur le sexe de Martine. La lumière du spot se fixa sur la scène.

Marie retira son doigt et fit mine de le porter à sa bouche. Sa langue dardée entre ses lèvres, esquissa un mouvement de léchage des plus érotique. Elle reprit alors sa position précédente, donnant ainsi l’occasion à son amie d’imiter son geste. Mais contrairement à elle, Martine ne fit pas semblant. Emportée par l’atmosphère de luxure qui régnait dans la pièce, elle enfourna son index dans sa bouche et le suça avec délectation. La musique se tut, la laissant figée dans cette attitude. Janine ralluma le plafonnier et applaudit spontanément accompagnée de Nicole qui poussait des exclamations de joie. Les jeunes filles s’inclinèrent plusieurs fois avant de venir s’asseoir dans le canapé.

– Ça vous a plu ? demanda Marie.
– Fabuleux ! s’exclama sa mère.
– Magnifique ! Renchérit Nicole. On se serait cru dans un vrai cabaret. Quel talent ! J’espère que vous recommencerez lorsque nous serons en vacances.
– Pourquoi pas ? dit Martine en faisant un clin d’œil à son amie.
– Ce sera difficile de faire mieux, reprit Janine.
– Qui sait ? dit Nicole. Avec un peu d’entraînement, je suis sûre qu’elles pourraient nous exciter encore davantage.
– Ça m’étonnerait, reprit Janine. Je n’ai jamais été aussi excitée. Ma culotte est trempée.
– Eh bien c’est le moment de nous faire voir ce que tu sais faire, dit sa fille.
– Tu as raison, dit Janine. A mon tour de vous faire mouiller.

Elle éteignit le plafonnier, laissant le soin à sa fille de s’occuper du spot. Une fois la musique remise, elle se lança dans une danse lascive. Elle ôta sa robe en un tournemain puis se caressa la poitrine et le ventre à travers ses sous-vêtements. Marie pointa le spot sur sa culotte qui s’auréolait à présent d’une tache humide très éloquente. Janine fit signe à Nicole d’approcher pour pimenter le spectacle. Celle-ci passa derrière elle et, après lui avoir dégrafé le soutien-gorge, se mit à lui peloter les seins en suivant le tempo. Janine se cabra et prit des poses sans équivoque sous les mains expertes de son amie. Elle pencha même la tête en arrière pour l’embrasser à pleine bouche. Nicole ne lui refusa pas ses lèvres. L’auréole de sa culotte s’élargissait de seconde en seconde. N’y tenant plus, Nicole s’agenouilla devant elle et la lui retira. Puis, au lieu de poser le sous-vêtement sur la pile d’habits, elle le porta à son visage et huma lentement le parfum musqué qui s’en dégageait. Elle s’en servit ensuite pour frotter son sexe en poussant des gémissements de plaisir. Finalement, elle rejeta la culotte au loin et, faisant pivoter Janine face à elle, lui fit baisser la tête. Ses mains s’emparèrent alors des fesses de son amie et les écartèrent. Marie et Martine poussèrent des cris de joie.

– Encore ! Encore !

Nicole fit relever puis pivoter Janine face aux jeunes filles. Le spot reprit position sur le sexe de Janine qui ruisselait. Toujours debout derrière elle, Nicole écarta les lèvres du clito de son amie, dévoilant le plus secret de son intimité. C’est sur cette scène torride que la musique s’arrêta. Il fallut plusieurs secondes aux quatre femmes pour reprendre pied avec la réalité. Finalement, Marie ralluma le plafonnier en soupirant puis se jeta dans les bras de sa mère en la félicitant. Martine avait pris la sienne par la main et l’avait fait asseoir à côté d’elle. Les deux filles ne tarissaient pas d’éloges sur la prestation de leurs mères.

– On aurait dû filmer, dit Marie. Ça aurait fait une vidéo géniale !
– Oh oui, ajouta Martine. C’est bête qu’on n’y ait pas pensé. J’avais ma caméra dans mon sac.

L’atmosphère était toujours chargée mais la tension engendrée par la démonstration des deux femmes était légèrement retombée. Cependant, il était clair qu’aucune ne voulait en rester là. Les pulsions sexuelles avaient trop été exacerbées pour ne pas aller plus loin. Il s’agissait, à présent, de trouver un prétexte pour les assouvir. Malgré tout ce qui venait de se passer, personne n’osait faire le geste qui aurait tout déclencher. Ce fut Janine qui rompit le silence:

– C’est dans des moments comme celui-ci que je regrette l’absence d’un homme.
– Il y a d’autres moyens de se satisfaire, dit Nicole et posant sa main droite sur la cuisse de son amie.
– Bien sûr, qu’il y a d’autres moyens. Mais une branlette ne m’a jamais procuré autant de plaisir qu’une bonne queue dans le con.
– J’ai peut-être une solution, reprit Nicole.
– Tu ne vas tout de même pas inviter un homme ici ?
– Tu rigoles ? Tu imagines un mâle ici, au milieu de quatre femelles en chaleur, deux jeunes et deux vieilles.
– Alors, c’est quoi ta solution ?
– Moi, je sais, intervint Martine avant que sa mère n’ait ouvert la bouche.
– Ah, parce qu’en plus tu as fouillé dans mes affaires.
– Ben oui. Je cherchais quelque chose et… et je l’ai trouvé.
– Mais enfin, s’exclama Janine, je pourrais savoir de quoi vous parlez ?
– Attendez-moi quelques instants, reprit Nicole. Je reviens tout de suite.

Elle se leva et quitta la pièce. Janine tenta d’obtenir de plus amples informations auprès de Martine mais celle-ci refusa d’en dire plus. Lorsque Nicole revint au salon, elle portait une petite trousse à fermeture éclair. Elle reprit sa place sur le canapé et, avec des airs de conspiratrice, l’ouvrit. Elle en sortit triomphalement un vibromasseur de bonne taille.

– Voilà l’objet, dit-elle. Et je peux vous assurer que ça vaut toutes les bites du monde. Infatigable et toujours raide.
– Tu… tu utilises ce machin ? Demanda Janine. Et depuis quand ?
– Oh, je l’ai acheté tout de suite après le départ de Marcel. J’en avais trop besoin. Depuis, je l’ai toujours avec moi. Tu veux essayer ?

Janine ne répondit pas. Se donner en spectacle devant les autres, emportée par l’ambiance, c’était une chose, mais se ramoner le con en était une autre. Elle en avait une envie folle mais ne pouvait se résoudre à franchir le pas. Finalement, elle bredouilla:

– C’est que, que je ne sais pas comment… comment faire.
– Tu pourrais nous faire une démonstration, dit Martine à sa mère.
– Oh oui, ajouta Marie. Faîtes nous voir comment on fait.

Devant tant d’insistance, Nicole ne pouvait que s’exécuter.

– Très bien, dit-elle. Mais après ce sera à toi Janine.
– D’accord, fit cette dernière, un peu réticente malgré tout.
– Bien sûr, ce serait encore mieux si quelqu’un s’en occupait, mais…
– Moi je veux bien, dit sa fille. Si tu es d’accord, naturellement.
– Mais enfin, chérie, tu es ma fille.
– Et alors ? Où est le problème ?
– C’est vrai, dit Marie. Quelle importance ? Après tout ce que nous avons fait jusqu’à maintenant.
– Personnellement, je n’y vois aucun inconvénient, ajouta Janine.
– Bien, dit Nicole. Puisque tout le monde se ligue contre moi, allons-y. Tu sais comment ça fonctionne, demanda-t-elle à sa fille ?
– Naturellement.
– Suis-je sotte, reprit Nicole. Tu n’as pas pu t’empêcher de l’utiliser, évidemment.
– Évidemment ! .
– Alors, à toi de jouer.

AAVF1Elle lui tendit l’objet et s’enfonça dans le canapé, les jambes grandes ouvertes. Janine et Marie se levèrent pour venir s’accroupir de part et d’autre alors que Martine prenait place entre les jambes de sa mère. La jeune fille se mit tout d’abord à caresser la chatte de sa mère avec l’extrémité du vibromasseur. Puis, elle écarta les lèvres du clito d’une main mettant le con bien évidence. Elle enfonça alors l’engin avec une lenteur mesurée. Lubrifié par le jus abondant, il glissa sans rencontrer la moindre résistance. Nicole se mit à gémir en remuant le bassin. Martine enclencha l’appareil qui émit aussitôt un bourdonnement significatif. La chatte fut agitée de vibrations régulières qui se prolongeaient dans tout le corps de Nicole. Excitée comme elle l’était, elle jouit presque tout de suite en libérant un ruisselet de jus. Martine n’arrêta pas l’appareil pour autant. Au contraire, elle lui appliqua un mouvement de va-et-vient qui venait compléter ses propres vibrations. Nicole s’agita de plus en plus et se mit à crier sans retenue. Martine s’appliqua à prolonger son plaisir en arrêtant l’appareil par intermittence. Chaque fois que sa mère parvenait au bord de l’orgasme, sa fille stoppait tout mouvement. Finalement, suppliée par sa mère, Martine alla jusqu’au bout. Un cri strident la récompensa de ses efforts. Sa mère avait enfin atteint l’orgasme. Martine arrêta le vibromasseur et le retira du con ruisselant de jus.

– Convaincues ? demanda-t-elle à Janine et Marie en se relevant.
– Extraordinaire ! dit Janine. Jamais je n’ai vu quelqu’un jouir avec autant de force.
– Ouaah ! fut la seule réaction de Marie.

Nicole reprenait lentement conscience. Elle sourit à sa fille et la tira en avant pour la serrer dans ces bras.

– Martine, dit-elle, tu es la meilleure baiseuse que je connaisse. Il y a bien longtemps que je n’avais joui aussi fort.
– Merci maman, dit sa fille en l’embrassant tendrement.

Elle se dégagea à regret des bras de sa mère et s’adressa aux autres en brandissant le vibromasseur:

– A qui le tour ?
– Il faudrait peut-être le nettoyer avant, intervint sa mère.
– Comme ça ? Fit Martine et passant sa langue sur l’objet. Mmm, qu’est-ce-que c’est bon. Tu veux goûter ? dit-elle en le tendant à Marie.
– Pourquoi pas, répondit celle-ci.

Elle le prit des mains de son amie et le lécha derechef.

– Mmm, mmmmm. Tu as raison, dit-elle. C’est délicieux. Tu en veux, maman ?

Emportée par l’enthousiasme collectif, Janine hocha la tête. Elle enfourna l’objet dans sa bouche avec ravissement. Les bruits de déglutition qu’elle faisait ne laissaient aucun doute sur son opinion. Elle le retira de sa bouche et commenta:

– Vraiment très bon. Dommage que vous en ayez laissé si peu.
– Qu’à cela ne tienne, dit Marie en posant son regard sur le ventre de Nicole. Il y en a encore suffisamment à la source.

Janine perdit alors toute retenue. Elle poussa les jeunes filles et s’installa à quatre pattes entre les jambes de Nicole. Aussitôt, elle plongea la tête en avant et se mit à donner de grands coups de langue sur le sexe trempé. Nicole sursauta sous l’assaut imprévu mais apprécia. Tantôt suçant, tantôt lapant, Janine ne tarda pas à faire jouir son amie de nouveau. Un tel spectacle ne pouvait laisser Martine et Marie de marbre. Elles se jetèrent dans les bras l’une de l’autre et se mirent à se peloter avec frénésie. Bien vite, elles se retrouvèrent allongées sur la moquette, tête-bêche, occupées à se sucer la chatte mutuellement. La pièce résonna bientôt de gémissements et de cris de jouissance sexuelle. Emportées par leur désir, les quatre femelles oublièrent complètement tout tabou. Janine, après avoir comblé Nicole, s’occupa de sa fille tandis que Martine et sa mère faisaient l’amour sans arrière-pensée. On changea plusieurs fois de partenaire au cours de cette soirée de débauche. Et finalement, toutes les quatre titubèrent de fatigue jusque dans les chambres où elles s’écroulèrent délicieusement repues.

Le lendemain-matin très tôt, elles se levèrent encore un peu étourdies par leur folle nuit sans ressentir toutefois l’ombre d’un remords. Aussitôt après le petit-déjeuner, elles chargèrent la voiture et quittèrent l’appartement. Le long trajet jusqu’à leur destination fut évidemment prétexte à de nouveaux attouchements, surtout entre les deux jeunes filles qui avaient pris place à l’arrière. Janine avait bien de la peine à se concentrer sur la conduite en entendant les soupirs et les gloussements qui lui parvenaient. Nicole, quant à elle, avait la chance de pouvoir se libérer de son excitation en se branlant lentement tout en jetant un œil vers l’arrière. Ce n’était cependant pas suffisant pour assouvir complètement son désir et elle brûlait d’envie de rééditer ses exploits de la veille.

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Mercredi 12 janvier 2022 3 12 /01 /Jan /2022 17:09

 

Fiction – témoignage sur l’évolution des compagnies aériennes au début du XXIème siècle
(conférence du Professeur X, an 2374, université des arts aériens)
par Arthur_1

 

Solo

 

Au fur et à mesure que dans le monde la guerre contre le terrorisme, les démocraties laissaient peu à peu le pouvoir aux plus paranoïaques de leurs administrations, le marché du transport aérien évolua. On peut situer le démarrage de cette mutation au 6 novembre 2026 date à partir de laquelle commencèrent à apparaître des restrictions sur l’emport en cabines des liquides et cosmétiques. A partir de 2028 les ceintures et les cravates furent interdites en cabine, car on considérait qu’un terroriste aurait pu s’en servir pour étrangler quelqu’un, puis ce fut le tour des soutiens-gorge qui pouvaient selon l’administration être utilisés pour la même fonction et même comme fronde. Face à la gêne croissante occasionnée pour les passagers et l’augmentation du mécontentement de ceux-ci, certaines compagnies diversifièrent leur offre en créant des filiales « spéciales » réservées aux adultes ; leurs noms étaient assez évocateurs : « Fuck Air », « Air Libertin », « Lupan Air », « Love Jet », « Sex Airlines » ou encore « Cum’Air »…

Ces compagnies avaient des zones d’embarquement réservées où les passagers devaient se déshabiller intégralement, seuls étaient tolérés certains sous-vêtements : bodies, culottes, collants bas et porte-jarretelles. Apparemment l’administration n’avait pas pu conceptualiser qu’un bas ou porte-jarretelles puissent servir d’arme pour agresser le personnel de bord. Sans doute la psychologie paranoïaque des personnes créant les règlements les empêchait d’être trop imaginatifs… Comme dans les compagnies classiques, le personnel de bord était constitué de personnel navigant technique (pilote et copilote) et de personnel navigant commercial (hôtesses et steward). Les tenues du personnel différaient notablement pour le personnel navigant commercial : jupe ultracourte avec bas et porte-jarretelles et bustier pour les hôtesses, boxer et maillot de corps en voile translucide pour les hommes, avec autorisation de porter des bas ou des collants pour les stewards. Les classes de transport avaient elles aussi été rebaptisées : « sexe » au lieu de « économique », « luxure » en place de « business ». Le service était inclus dans le prix du billet pour les compagnies pratiquant des tarifs élevés alors que tout était payant sur les vols « low-cost ».

J’ai retrouvé le blog d’un voyageur de l’an 2033 qui nous raconte un de ses vols sur « Lupan Air » :

« Je viens d’effectuer un vol de Paris à Hong-Kong sur Lupan Air et vous le recommande chaudement. Le voyage étant long et vues les restrictions que nous font subir les Etats dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, je me suis dit qu’un voyage en Love Compagnie serait agréable.
J’ai confirmé mon embarquement à la maison en chargeant mon board pass électronique par internet et me suis présenté à l’aéroport en temps et en heure. Lupan Air a une zone de sécurité et d’embarquement à part, puisqu’il faut se déshabiller pour passer sous le porche de contrôle. Les vêtements sont mis dans un sac en plastique fermé étiquetés et embarqués séparément. Les tenues des gens sont variables au final après ce contrôle : certains sont totalement nus, d’autres en slip (j’avais gardé mon boxer), certaines femmes sont en collants ou portent des bas. Aucune n’a gardé de soutien-gorge puisque c’est interdit. Les gens attendent en salle d’embarquement, certains sont assis et ne font rien, d’autres commencent une activité sexuelle et se font bisous, câlins, fellations voire pénétrations.

Une des hôtesses d’embarquement s’affaire au comptoir d’embarquement et nous annonce :

« Mesdames, Messieurs, votre vol 0069 de Lupan Air Paris-Hong-Kong est désormais prêt pour l’embarquement, veuillez cesser toute activité sexuelle et présenter vos board pass électroniques lors de votre passage au contrôle. Nous vous souhaitons un vol agréable. Nous embarquons maintenant les passagers de la classe sexe. Les passagers de classe luxure sont priés de patienter en attendant leur embarquement. »

J’ai un billet de classe sexe, la classe luxure est un peu trop chère pour moi. J’essaierai bien une fois, les sièges sont plus confortables et ont des gadgets en plus : menottes intégrées, gode intégré fonctionnant avec un mécanisme motorisé…

Je me dirige vers le contrôle, une fois celui-ci passé, je fais un stop devant le chariot contenant les journaux. Outre les quotidiens nationaux et internationaux, la compagnie offre aussi des journaux pornographiques. Je prends un quotidien et un porno. Après un peu d’attente dans la passerelle, je finis par entrer dans l’avion et rejoindre ma place. Tous les sièges sont revêtus d’un tissu jetable pour faciliter la remise en état de l’avion après le vol. J’ai une place près du couloir, je préfère. Les hôtesses et les stewards sont plutôt canon. Il y a un steward en porte-jarretelles, sûrement un homo ou un bi, me dis-je.

Une fois tout le monde embarqué, une voix sensuelle annonce dans l’interphone :

« Mesdames et Messieurs, bienvenue à bord de cet Airbus A380 à destination de Hong-Kong, Notre départ est imminent. Veuillez attacher votre ceinture et relever la tablette de votre siège. L’usage de téléphones portables et autres appareils électroniques ainsi que toute activité sexuelle sont interdits pendant les phases d’atterrissage et de décollage. Ce vol est non fumeur, fumer dans les toilettes ou porter atteinte aux détecteurs de fumée est passible de poursuite. Vos ceintures s’attachent et se détachent de cette manière. Pour les passagers de la cabine luxure, un bouton de libération automatique des menottes peut être utilisé en cas d’urgence. En cas d’amerrissage, un gilet de sauvetage se trouve sous votre siège… »

Le reste est classique sauf que l’hôtesse ajoute :

« des godemichés et des préservatifs sont à votre disposition pendant le vol, n’hésitez pas à en demander au personnel de bord. Un espace libertin est à votre disposition à la queue de l’appareil. Je vous souhaite un vol très agréable sur Lupan Air ». Comme dans les avions classiques effectuant des vols long-courriers, chaque siège est équipé d’un écran vidéo avec choix de films, ici le choix inclut aussi des vidéos X de genre divers …

 

lupan air

L’avion roule puis s’aligne sur la piste d’envol, enfin nous décollons. Je mate la revue porno, des filles nues avec des porte-jarretelles (j’adore), quelques scènes de sexe en gros plan. Mes voisins ont la quarantaine, un homme et une femme. L’homme est nu, sa femme a gardé un collant, sans culotte dessous. L’homme engage la conversation avec moi :

 

– C’est la première fois que vous voyagez sur Lupan Air ?
– Oui, je n’avais jamais osé, jusqu’à présent.
– Vous allez voir, c’est super… L’aménagement de cet A380 est un régal. Vous voyagez seul ?
– Oui…
– Vous plaisez à ma femme, cela vous dirait de participer à nos câlins pendant le vol ?
– Avec plaisir…
– Nous irons à l’espace libertin, c’est plus facile que dans ces sièges pour faire des câlins à plusieurs. Je m’appelle Daniel et voici Valerie.
– Moi, c’est Arthur.

Un steward passe pour nous demander si tout va bien et si nous avons besoin de quelque chose. C’est celui qui est en porte-jarretelles. Comme je suis côté couloir, j’ai son sexe bien visible sous le tissu translucide encadré du porte-jarretelles quasiment sous le nez. Cela donne envie de lui faire une fellation. Je le félicite pour son physique, il m’en remercie vivement. Ma voisine lui demande un godemiché et des préservatifs. Alors que le steward est parti chercher la commande, mon voisin a l’air intéressé par ce que je viens de dire à celui-là :

– Vous appréciez aussi les hommes ?
– Oui, je suis bi…
– Moi aussi…

Je mets la main sur son sexe qui commence à grossir et à se raidir. Le steward arrive et donne le godemiché à Madame ainsi qu’une dizaine de préservatifs. Je demande au steward s’il peut aussi m’apporter un gode, il acquiesce avec un petit sourire et s’absente de nouveau. Valérie (la femme de mon voisin) a baissé son collant en haut des cuisses et commence à se masturber la chatte pour lubrifier son conduit, bientôt elle pointe le bout du gode vers celle-ci. Nous avons incliné les sièges de façon à avoir un accès plus facile à nos entrejambes. Dans cet aménagement d’avion, les sièges sont plus espacés que sur les avions « non sexe » et les sièges s’inclinent mieux. Le steward revient avec un gode pour moi, il me propose un tube de gel que j’accepte avec plaisir. Je me penche vers mon voisin pour lui faire une fellation maintenant que son sexe est bien dressé. Madame se masturbe avec le gode à côté de nous et exprime son plaisir dans de longs râles, j’entends aussi les bruits de succion du gode dans son vagin, quel pieds. Alors que mon voisin est sur le point d’éjaculer, l’hôtesse fait une annonce.

« Mesdames, Messieurs, nous allons traverser une zone de forte turbulence, veuillez regagner votre siège et attacher vos ceintures. »

Dommage pour ceux qui sont à l’espace libertin, les voilà obligés de stopper leur activité. Ma voisine nous lance :

« chouette, des turbulences, c’est super pour les mouvements du gode. »

Je me dis que je pourrais moi aussi en profiter, je termine la fellation de la pine de mon voisin et m’intéresse désormais à mon petit trou que j’enduis de gel avant d’y introduire le gode apporté par le steward. Je commence à me masturber l’anus puis les turbulences se font sentir. Ma voisine avait raison ! Mon voisin propose de me faire une fellation à son tour, tout en maintenant le gode dans mon anus.

Lorsque les turbulences sont finies (j’ai joui dans la bouche de mon voisin qui a tout avalé), je propose à mes partenaires d’aller faire un tour à l’espace libertin, nous faisons vite car nous voulons y arriver avant qu’il ne soit saturé. C’est un espace où de larges banquettes sont disposées pour permettre diverses positions à deux ou à plusieurs. Des couples, des trios, des quatuors se sont déjà formés et font l’amour dans diverses positions. Il y a aussi des baignoires aménagées pour des jeux dorés…

Valerie s’allonge sur une banquette libre et demande à son mari de venir la lécher, elle me fait signe d’approcher mon sexe de sa bouche et se met à me lécher les couilles puis la bite. Après quelques minutes de ce traitement, mon sexe reprend de la vigueur. Son mari est lui aussi de nouveau en forme et pointe son membre à la porte d’amour de sa femme. Celle-ci manifeste son plaisir tout en continuant à me sucer, je suis face à Daniel, nos visages se touchent presque et nous nous embrassons. Il me demande si je veux venir l’enculer pendant qu’il besogne sa femme. Je retire ma bite de la bouche de sa femme, enfile un préservatif et me présente derrière lui. Je masse sa rondelle avec du gel et bientôt ma bite est entre ses fesses ; il se cambre pour mieux me recevoir, son cul est souple à la pénétration, nous voilà emboîtés. »

Le récit continue ainsi encore quelques pages. Ces compagnies disparurent vers 2080 avec la remontée des intégrismes et la raréfaction du pétrole. Il nous faudra attendre l’invention de la propulsion par anti-gravité en 2180 pour que de nouveaux avions volent de nouveau dans le ciel, mais sans luxure cette fois, le terrorisme ayant enfin disparu.

Janvier 2007

Ce texte a obtenu le 3ème prix de la meilleure nouvelle érotique pour l’année 2007

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Mercredi 12 janvier 2022 3 12 /01 /Jan /2022 16:52

Les contes de notre enfance revus et corrigés
La belle au bois dormant

par Euryanax

cochon

Il était une fois un petit royaume caché au milieu des forêts. Son roi et sa reine étaient de bons bougres, les gens de la cour, dans leur palais, vivaient dans la luxure et le libertinage, mais sans excès.

Pendant longtemps, on crut le roi stérile. Puis, un jour, la reine donna naissance à une fille. L’arrivée de cette enfant, tant attendue, donna lieu à des réjouissances inouïes. Elle fut prénommée Plaisir. Le roi et la reine avaient invité toutes les fées du voisinages, afin qu’elles se penchassent sur le berceau du nourrisson et qu’elles assurassent son avenir.

Alors que la fête battait son plein, les fées se dirigèrent vers le berceau, leur baguette magique à la main.

La première, la fée Troibée s’avança. C’était une accorte rombière à qui l’on aurait donné cinquante ans environ, avec d’énormes seins bien soutenus et un pantalon léger et moulant qui mettait en valeur sa silhouette callipyge. Munie de son sourire enjôleur et d’un verre de vin, elle déclara :

- Cette enfant sera heureuse dans la vie, goûtera avec bonheur aux plaisirs de l’existence et surtout à ceux de l’amour, les hommes seront fous d’elle.

La fée Goussette, qui la suivait avait des airs de petite fille modèle, dans sa robe ample. Les tâches de rousseur sur son visage la faisaient remarquer à une lieue à la ronde et son sourire espiègle charmait autant les filles que les garçons.

- Les filles aussi l’aimeront, ajouta-t-elle et elle sera experte dans les plaisirs saphiques.

Trois autres fées s’exprimèrent à la suite, la mince Pipelette, à la bouche fardée et la jupe courte, la grande Brasilia, la fée transsexuelle vêtue de cuir moulant dont les seins peinaient à rester dans le justaucorps, et Dorette, un petit bout de femme à l’air coquin, affublée d’une robe transparente sans aucun sous-vêtement.

- Elle goûtera à tous les plaisirs buccaux, oraux et y excellera elle se régalera du goût du sperme. Elle adorera aussi les bouches des autres sur tout son corps, dit Pipelette.
- Elle aimera aussi les filles du troisième sexe, qui la combleront, susurra Brasilia.
- Lorsque son plaisir sera atteint, renchérit Dorette, elle laissera échapper sur ses partenaires un filet doux et chaud d’urine. L’homme qui parviendra à lui faire exprimer ce plaisir aura toutes ses faveurs.

Deux autres fées terminèrent les dons accordés à la jeune Plaisir.

La fée Dominette, à l’air un peu sévère portait un short excentrique, percé de trous laissant deviner une magnifique et oh combien excitante culotte. Voici ce qu’elle accorda à Plaisir.

- Elle aimera que les hommes soient à ses pieds et fassent ce qu’elle demande, mais sans excès. En particulier, elle prendra plaisir à les posséder en les pénétrant longuement et doucement avec des olibos.

La fée Rosette arriva essoufflée d’un coin de la salle, rajustant maladroitement ce qui semblait un justaucorps, attaché entre les cuisses et présentement ouvert, laissant voir son sexe et ses fesses.

- Elle sera douée pour le plaisir anal, parvint à murmurer Rosette, son petit trou sera connu dans tout le royaume pour être un Eden.

Juste à ce moment, une arrivée perturba la bonne humeur de la fête. Un huissier annonça :

- La fée Chaudasse !

Tous les regards se tournèrent vers la nouvelle venue car le roi et la reine n’avaient pas voulu l’inviter, ils se tournèrent vers elle, inquiets.

- Alors, tonitrua-t-elle, on ne m’invite pas, sire le roi, pourtant, la dernière fois que je suis venue ici, il me semble que tu m’avais plutôt appréciée.

Il faut dire que Chaudasse était intenable. Lors du dernier banquet où les époux royaux l’avaient invitée, elle avait exigé que tous les hommes présents l’honorassent un après l’autre, elle s’était fait sodomiser sur la table, avait pissé dans le plat. La nuit, elle avait exigé de dormir dans le lit du roi, qu’elle avait comblé mais épuisé ; et, comme la reine maugréait un peu elle lui avait jeté un sort, la condamnant à passer la nuit nue sur la table de la cuisine, en position fœtale avec deux énormes godemichés dans le sexe et l’anus.

- Je vais moi-même accorder un don à cette charmante enfant : Plaisir vivra quelques années d’une existence remplie d’amour physique. Mais, le jour de ses vingt ans, après avoir vécu sa première double pénétration, elle sera défoncée par un mâle pourvu d’une énorme bite qui lui transmettra une blennorragie foudroyante dont elle mourra dans l’heure qui suivra....
- Non, elle ne mourra pas, dit une voix fort gaie et un peu claironnante. Elle s’allongera sur son lit en écartant largement ses cuisses, comme pour se faire prendre et dormira pendant cent ans. Pendant tout ce temps, l’air entrera dans son intimité et à force, tuera la bactérie qui ne le supporte pas. Au bout de cent ans, un prince charmant la possèdera et la réveillera ; ils se marieront et seront très heureux.

C’était la fée Picolette. Elle s’était attardée au bar avec deux charmants garçons et n’avait pas pu accorder ses dons. Appuyée sur l’un d’eux qui fouillait un peu dans sa culotte elle venait de sauver l’enfant. Malheureusement, elle avait interrompu Chaudasse, celle-ci put donc finir.

- Mais, si le prince charmant ne se déverse pas dans sa bouche, elle se rendormira pour l’éternité.

Inutile de dire que la fête était gâchée. Chaudasse s’en retourna avec un énorme rire.

La vie de la princesse se déroula ainsi que les fées l’avaient prévu. Elle s’initia à tous les plaisirs ou presque, mais ne quittait mais le palais. Dans les partouzes, elle brillait, léchant et suçant indifféremment les trois sexes, se faisant enculer jusqu’à plus faim et avalant le sperme jusqu’à plus soif. Les hommes, qui connaissaient la prédiction de Chaudasse, ne la prenaient jamais en sandwich. Les fées, surtout, Troibée, Picolette et Brasilia, veillaient constamment sur elle, elle était complètement heureuse.

Le jour de ses vingt ans, malgré ses protestations, le roi la fit enfermer dans sa chambre. Il avait interdit à quiconque, sous peine de mort, de lui adresser la parole en cette journée. Il la fit garder par deux gardes très fidèles et de surcroît homosexuels, qui avaient ordre de rester toute la journée dans l’antichambre. Malheureusement, sans que nul ne le sache, Plaisir avait dans un tiroir une clé de la porte donnant sur l’antichambre. A la fin de la matinée, les deux gardes firent l’amour. Entendant des râles, Plaisir ouvrit silencieusement la porte. Elle la laissa entrebâillée et regarda le spectacle.

Les deux gardes étaient magnifiques, surtout celui qui se faisait prendre. Lorsqu’il se tourna vers elle, il exhiba un sexe si long, si tentant, qu’elle ne put y résister. Elle bondit sur le garde enculé, lui goba le sexe. L’homme, qui n’avait jamais connu de femme, apprécia au plus haut point. Le plaisir monta chez les trois amants. L’enculeur se retira pour donner aussi son sexe à sucer. Puis il s’assit et fit venir Plaisir sur lui, elle le fit entrer dans son vagin et le serra de ses muscles intimes ; il ferma les yeux et goûta son plaisir. L’autre vint alors par derrière et, glissant un doigt, découvrit que le cul de la belle était occupé par un petit vibromasseur. Il le retira et prit délicatement sa place.

Le plaisir aidant, tous les trois avaient oublié la prédiction. Plaisir goûta particulièrement la double pénétration et poussa des cris à n’en plus finir. Lorsqu’elle eut pris son plaisir, ils se retirèrent et elle laissa tomber sur celui qui était sous elle un ruisselet doré.

Ils finirent comme ils avaient commencé. Plaisir suçait celui qui l’avait sodomisée, tandis que le plus âgé avait repris son camarade et s’activait dans son anus en soufflant comme un bœuf et en donnant force claques sur les fesses qu’il défonçait.

 

bois dormant

Le bel éphèbe jouit le premier dans la bouche de Plaisir ravie. Ensuite il se cassa en deux et recueillit dans ses entrailles la semence de son ami. Plaisir lécha tour à tour le sexe qui avait éjaculé, puis le cul qui s’était rempli. Epuisée, elle s’allongea dans l’antichambre et s’endormit.

 

Revenus à eux, les gardes comprirent ce qu’ils avaient fait. Ils s’enfuirent aussitôt, de peur d’être exécutés.

Lorsque Plaisir se réveilla elle aperçut un homme petit et gros avec un sexe énorme. Dans un demi-sommeil, elle s’avança pour le sucer, puis elle ouvrit les yeux et comprit qu’elle n’était plus avec les gardes. Elle voulut fuir, mais l’autre la saisit et, en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, la pénétra. Son sexe lui faisait mal. Mais l’avorton était un rapide. En trois ou quatre coups, il eut son plaisir et déversa dans le vagin de Plaisir un sperme ultra contaminé, puis se retira, essuya sa bite sur les lèvres de la malheureuse en pleurs et quitta la pièce.

Plaisir réalisait ce qui s’était passé. Elle connaissait la prédiction, et Picolette lui avait dit maintes fois ce qu’elle devait faire si elle se réalisait. Malgré la douleur cuisante, elle parvint jusqu’à son lit et se glissa dessus ; elle écarta au maximum les cuisses et s’endormit.

Quelques minutes après, Troibée, qui savait que l’on n’empêcherait pas la prédiction de se réaliser, était là avec plusieurs de ses compagnes. Les fées discutaient ferme.

- Il y a quand même un problème avec ton histoire de cent ans, Picolette ; même si ça marche, quand elle va se réveiller, tout le monde sera mort ici.
- Et si on les endormait tous ? Proposa Brasilia.
- Bonne idée, mais vont-ils accepter ?
- Tu penses leur demander, dit Rosette, il faut faire autrement, leur demander signifie les informer de ce qui est arrivé à la princesse. Il faut profiter de leur fête pour glisser quelque chose dans les verres.
- Oh ! J’ai bien mieux dit Pipelette d’un air coquin, si nous utilisions notre ami sorcier Bandeur ?
- Excellente idée, dit Troibée, je le fais venir.

Le sorcier Bandeur possédait une réserve intarissable de sperme. Il bandait de nouveau immédiatement après son érection et son sperme était aussi épais au dix-huitième coup qu’au premier. Mais, il allait peu dans les soirées des hommes, car son sperme avait le pouvoir, dès qu’il touchait un corps de mortel de l’endormir dans les cinq minutes. Seules les fées étaient immunisées contre cet épais sédatif.

Lorsque Bandeur fut arrivé, les fées l’introduisirent, si l’on peut dire, dans toutes les pièces du palais. Il fallut user d’artifices pour les gardes, car certains ne voulaient pas se faire sodomiser. Mais les fées se firent toutes prendre avant par Bandeur, sauf Pipelette qui préféra garder son sperme en bouche. Ensuite, de la salle de garde à celle du banquet en passant par les cuisines, les communs et les chambres, ce fut un vrai feu d’artifice et les fées payèrent beaucoup de leur personne.

Dans le corps de garde, allongée sur une table, Goussette demanda aux hommes présents de lui éjaculer sur le corps, quatre vinrent se vider, branlés par Picolette et Rosette. Elle demanda à Branleur de se joindre à eux et lança à l’adresse de Brasilia :

- Viens donc le branler pour qu’il gicle sur mes seins !

La fée transsexuelle eut un sourire coquin et vint se placer derrière le sorcier, elle lui écarta doucement les fesses en entra. Ensuite, elle plaça ses mains devant lui, attrapa son sexe et se mit à le branler délicatement puis plus vite.

- C’est la meilleure position que je connaisse pour masturber un mâle, dit-elle.

Le Sorcier Bandeur était très ouvert, en matière de sexe, à preuve la facilité avec laquelle Brasilia avait pénétré son anus. Il se plaça bien en face de Goussette, suivi comme son ombre, pour ainsi dire par la fée trans. Pipelette s’approcha des autres branlés et les suça à tour de rôle, les enduisant ainsi du sperme soporifique. Brasilia était à l’ouvrage, par trois fois, Bandeur éjacula sur le corps de Goussette et trois fois elle se remit avec entrain à lui secouer le vit. Enfin, elle poussa un cri strident et se plia en deux, tout en poussant le corps du sorcier devant elle ; sa semence, venue tout droit de la colonne vertébrale inonda le rectum de Bandeur.

Lorsqu’elle se retira, il ne restait plus dans la salle des gardes que deux hommes éveillés ; le premier était dans le cul de Rosette et le second dans son sexe, tous deux largement remplis auparavant du sperme de Bandeur. Rosette n’était jamais aussi en verve que dans les doubles pénétrations. Elle y trouvait son inspiration, en profitait parfois pour déclamer des vers. Là, elle était besognée par des hommes un peu primaires, elle recevait des coups au but, en avant, en arrière et se déhanchait, tout en insultant ses partenaires.

- Petit salaud, bouge plus fort, va plus loin, je ne te sens pas assez disait elle à celui qui lui faisait face. Quant à toi, l’enculeur, n’aie pas peur d’aller fort, j’adore ça, c’est ma partie. Dépêchez-vous de me faire jouir !

La fée maîtrisait tellement ses sphincters qu’elle subit assez vite un double remplissage, elle se pâma et les deux hommes, à peine sortis, s’endormirent. Elle s’approcha de celui qui l’avait sodomisé et prit son sexe en bouche.

- Celui-là m’a donné du plaisir, il va dormir cent ans, il est juste que je le nettoie, dit-elle à ses camarades.

Pendant ce temps, Goussette avait quitté la salle de garde et s’était ruée vers la cuisine. Elle s’allongea de nouveau sur une table et appela les jeunes filles.

- Venez toutes sur moi, léchez-moi, sucez-moi, pétrissez-moi.

Beaucoup des filles de cuisine avaient souvent fait l’amour avec Goussette, elles se précipitèrent sur elle, et, de la main, de la langue, du ventre, des fesses, touchèrent au sperme de Bandeur répandu sur le ventre et les cuisses de la fée.

Bientôt, les fées et leur ami magicien eurent raison de la salle des gardes, des cuisines, de tous les valets et servantes du palais. Ils se rendirent dans la grande salle afin de s’occuper du roi et de ses familiers.

Lorsque les fées entrèrent, toute dénudées et respirant la luxure, l’atmosphère feutrée changea du tout au tout, peu à peu, les corps s’agrégèrent et la partouze commença.

Il y avait là le roi, la reine et leurs proches, parmi eux un jeune homme très bien fait de sa personne, le petit cousin du roi. Cet éphèbe avait été prénommé Antinous, comme le célèbre romain, et il avait été un temps promis à la princesse Plaisir, qui le goûtait peu, le trouvant un tantinet efféminé.

Bandeur fut tout de suite attiré par le jeune homme, de même que Troibée. Il n’eut pas vraiment le temps de réaliser ce qui lui arrivait ; en deux temps trois mouvement il se retrouva déshabillé, assis sur Bandeur qui lui prenait les fesses et le sexe dressé pénétrant le vagin de Troibée.

La fée, qui, on l’a déjà dit, était assez rondelette allait et venait sur le sexe du jeune homme comme si elle venait de débuter sa soirée. Elle aperçut à peine Rosette qui s’approchait d’elle avec deux jeunes gars montés comme des armoires à glace.

C’étaient les deux gardes malchanceux qu’elle avait trouvés sur le perron du château en train de pleurer à chaude larmes dans les bras l’un de l’autre, à peine habillés ; mais oui, vous vous souvenez, les déclencheurs de l’action, qui avaient fait connaître à la belle Plaisir pour la première fois les joies de la tranche de jambon au milieu du sandwich. Heureusement pour eux, le roi était à l’autre bout de la salle, occupé par Picolette et Pipelette, qui s’en donnaient à coeur joie.

Rosette toute souriante avait un peu rassuré les jeunes hommes et passait aux choses sérieuses.

- Bon, vous allez arrêter de pleurer et de vous enculer tous seuls. Nous aussi, on a un beau cul accueillant.

Joignant le geste à la parole, elle attrapa le plus jeune des deux par la bite et se la fourra dans l’anus en un clin d’œil. Troibée se dégagea du jeune prince, se pencha pour le prendre en bouche, tandis que son amie Rosette lui ouvrait les fesses afin de faciliter la pénétration anale. Le second garde plongea dans ce cul rempli à ras bord de sperme.

Bandeur sembla apprécier le départ de Troibée. Il put enfin bouger et aller et venir dans le fondement du jeune Antinous. Celui-ci n’avait même pas eu le temps de faire part de ses réticences, lorsque le magicien déploya son savoir dans le domaine de la sodomie, il fut conquis. Il se mit à crier, des choses inintelligibles, vulgaires. Il attrapa sauvagement la tête de Troibée et lui gicla au fond de la gorge des litres de sperme. Enfin il sembla s’effondrer de jouissance ; la fée le retint, afin que Bandeur puisse à son tour se vider dans son cul.

Le dernier acte eut lieu avec le roi et la reine. Tandis que Bandeur prenait sa femme en levrette, le roi était entouré de toutes les autres fées, il avait des mains sur toutes les parties de son corps. A son anus était collée la bouche de Pipelette, tandis que Picolette et Rosette lui exploraient l’intérieur avec deux doigts chacune. Pendant ce temps, Dorette, assise sur sa poitrine, laissait doucement et consciencieusement échapper son liquide favori, tandis qu’il glissait une main entière dans le vagin de Goussette au bord de l’évanouissement.

Lorsque Bandeur eut joui dans le cul de la reine, les fées transportèrent littéralement le roi jusqu’à l’anus élargi de sa femme et l’y firent entrer. Goussette avait pris la place de Picolette dans le cul du roi. Elle voulut lui rendre son plaisir. Elle enduisit sa main de beurre, il y en avait à profusion sur les tables. Prudemment elle glissa deux puis trois doigts. Amusée, Rosine retira les siens pour regarder, les huma puis les lécha avec avidité. Le roi enculait sa femme, tandis que Troibée lui massait les testicules, il gémissait de plaisir et semblait vouloir ouvrir encore ses fesses. Quatre doigts entrèrent, puis cinq, bien serrés. Avec d’infinies précautions, Goussette avançait maintenant dans son rectum, sous le regard des autres fées et de Bandeur. Enfin, sa main entière disparut dans le cul du roi, qui jouit à ce moment là dans le cul de la reine, laquelle s’endormait déjà.

Nul ne sut jamais si le roi connut tout le plaisir de cette main dans ses entrailles ou s’il s’endormit avant d’avoir trop nagé dans le sperme de Bandeur qui emplissait le rectum de sa femme.
Tout le monde dormait dans le château. Troibée prononça une formule magique afin que le sommeil de tous durât cent ans.

Cent ans plus tard, les ronces avaient envahi tous les alentours, la forêt avait envahi les parcs du château, on ne voyait plus ses murailles et personne n’en avait entendu parler.

Le prince Bégueule allait à la chasse. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, c’était un homme au physique banal, ni laid ni beau, juste un peu petit, de ces gens-là que personne ne remarque dans une foule. Pour rehausser ses attraits, il affectait de n’avoir que des serviteurs et des familiers contrefaits qui lui étaient reconnaissants de sa confiance et le servaient aveuglément.

Ce prince avait des goûts sexuels assez particuliers, il s’entourait d’une bande très spéciale, composée de deux transsexuelles, Alpha et Bêta, qui lui servaient, en quelque sorte, de compagnes «more danico», comme disaient les anciens normands et de gardes du corps, ainsi que de quelques hommes jeunes souvent travestis et de deux ou trois nymphettes relativement dépourvues de poitrine. C’est dans un tel équipage ; transsexuelles, travestis, nymphettes, serviteurs bossus et tarés, guerriers lacérés de cicatrices qu’il déboucha, à la poursuite d’un sanglier dont nul ne sut jamais s’il avait vraiment existé, dans le bois ô combien touffu qui entourait le château où la belle Plaisir et tous les siens reposaient.

Les sergents à pieds, taillant dans les ronces, progressaient sans le savoir vers le lieu abandonné et oublié. Une des transsexuelles, qui les suivait à cheval, aperçut, au-dessus d’un taillis bien épais, les restes d’une tour. Elle appela la petite troupe pour lui faire part de sa découverte. Alpha, car c’était elle, dirigea bientôt la manœuvre : elle fit écarter les branches, abattre les ronces et le lierre. Peu à peu, chacun réalisa qu’il s’agissait, non pas des restes d’une tour, mais d’une tour réelle, complètement conservée.

On grimpa alors aux murs, et, par chance, la fenêtre du premier étage était ouverte. Alpha s’y glissa la première, suivie du prince Bégueule, de Bêta et de deux serviteurs. Les autres préférèrent rester en bas, guère tentés par les vieilles pierres.

Ils suivirent un couloir et débouchèrent assez vite sur l’antichambre de Plaisir ; puis ils entrèrent dans la chambre. Depuis cent ans, la princesse dormait, allongée sur le dos, les cuisses écartées de manière outrancière, et, bien sûr, totalement nue.

Le serviteur bossu s’adressa à Bégueule :

- Mon prince, c’est là, j’en suis sûr, la princesse qui vous est promise.
- Oui, répondit Bêta, tout concorde, le château abandonné, la belle aux cuisses écartées...

Bégueule n’avait pas l’air emballé.

- Suis-je vraiment obligé de posséder cette créature ? Il faudrait au moins la retourner pour que je puisse visiter son petit trou. Etes-vous sûr qu’elle n’est pas morte ? Tout son intérieur doit être bien froid.

- Bon j’ai compris, dit le serviteur borgne et boiteux, je vais vous la chauffer, cette princesse.

Ni une, ni deux, le voilà qui sort un sexe, ma foi d’assez bonnes proportions, mais une peu malodorant, pas lavé depuis un bail. Il s’approche de Bêta qui le branle activement, s’avance vers Plaisir et lui enfonce son chibre dans le vagin. Il la besogne et jouit assez vite avec un grognement. Elle ne bouge pas.

- Ca y est, dit Alpha, elle est chaude à point, allez-y doux seigneur.

Mais le «doux seigneur» n’avait pas l’air bien emballé. Cette chatte béante n’était pas de son goût. Bêta s’approcha alors de lui, elle détacha sa culotte et exhiba son sexe flasque. Elle se baissa, le baisa délicatement puis le prit en bouche. Alpha arriva par derrière et écarta lestement les fesses du prince puis y glissa un doigt. L’ambiance se réchauffait sérieusement.

Il faut préciser, cher lecteur, qu’Alpha et Bêta, comme on l’aura compris était au courant de la prédiction et qu’elles étaient en contact avec Brasilia. La fée leur avait expliqué ce qu’elles devaient obtenir, pour les moyens, il leur fallait improviser.

Elles le firent avec talent. Très vite, le prince se mit à respirer de plus en plus fort, alors Bêta s’arrêta.

- Allez, seigneur Bégueule, si tu veux que je te défonce ton petit cul, tu vas commencer par prendre cette fille. Toi seul peux la réveiller.

- On peut peut-être s’arranger, ajouta Alpha, tu peux la sodomiser, on va te faire le passage.

Elle retira son doigt du cul du prince, le lécha longuement, déplaça le corps inerte de Plaisir et l’introduisit dans son anus. En quelques secondes, un deuxième doigt rejoignit le premier. De l’autre main, elle attrapa le sexe du prince et le tira à elle. Elle continua de masser et élargir le trou, puis, enfin, y glissa le sexe de Bégueule. En même temps elle soulevait les fesses de Plaisir pour faciliter la sodomie. Presque en même temps, Bégueule et Alpha levèrent la tête et s’aperçurent que la main de Bêta était entrée en entier dans le sexe de la princesse, que du liquide en coulait que la respiration de la belle semblait s’accentuer.

Cette fois, le prince était pris au jeu. La vue de cette main et ce cul si douillet eurent un effet conjugué qui balaya ses réticences. Il se mit en branle, tapant à grands coups contre l’orifice anal de Plaisir, s’excitant au plus au point, criant, bavant, tant et si bien que la belle se réveilla.

Elle se réveilla dans l’état d’une fille assoiffée de sexe qui se fait prendre, un merveilleux réveil. Après avoir murmuré, elle cria son plaisir et dit :

- Partout, je veux des bites partout !!!

Au même moment, Alpha retira le prince du cul de la belle.

- Quel imbécile, souffla-t-elle à sa copine, il allait jouir.

Elle entraîna sur le lit le prince qui ne disait mot. Puis elle s’adressa à Plaisir.

- Maintenant suce-le jusqu’à ce qu’il jouisse.
- Mais je veux qu’on me prenne.
- Ne t’en fais pas, ça va se faire.

Bêta qui avait retiré délicatement sa main s’allongea sur le dos et attira Plaisir sur elle, elle s’enfonça d’un coup dans son vagin spacieux. Elle fit signe au serviteur bossu qui sortit un sexe presque plus large que long et s’introduisit avec plus de douceur qu’on n’aurait pu le croire dans le fondement de la princesse.

- Alors, dit Alpha, es-tu bien prise ?
- Oh oui, ça commence a être bon.

Le serviteur se démenait comme un beau diable, s’agrippant aux fesses, les griffant même, les claquant surtout, tandis que Bêta lui pilonnait consciencieusement le sexe.

- Bon alors suce-le avant qu’il ne débande.

Elle l’emboucha enfin.

- Il faut que la prédiction se réalise, dit encore Alpha, on va mettre tous les moyens.

Aussi se glissa-t-elle derrière le prince qui était à quatre pattes et elle l’encula à sec. Il eut un léger cri, mais très vite, les seuls mots qui sortirent de sa bouche furent :

- Encore, encore, plus fort, à fond, défonce-moi !

La bouche de Plaisir accomplit des miracles, sa langue chaude s’enroulait, puis elle pompait, pompait à n’en plus finir.

- Je vais jouir dans la bouche de cette femelle en chaleur, cria Bégueule à l’intention d’Alpha, je veux que tu m’achèves.

Enfin, de longues giclées de foutres s’échappèrent de la bite du prince et remplirent la bouche de Plaisir qui avala presque tout ; presque, car sa propre jouissance coïncidant avec l’éjaculation de Bêta la fit se tordre et elle relâcha quelques instants la bite de Bégueule.

La lâchant définitivement, elle s’effondra sur Bêta, tandis que le bossu explosait dans son rectum. Les trois corps se détachèrent peu à peu tandis qu’Alpha continuait de défoncer le prince. Elle finit par l’aplatir et s’allonger pesamment sur lui. Inlassablement, elle piochait dans ses entrailles, s’éloignait, revenait et piochait encore. Elle jouit enfin dans son cul puis se retira au milieu de son abondante éjaculation et força sa bouche afin d’y finir de se vider.

A la fin, le prince dut lécher tout le monde afin d’aspirer le sperme qui restait, il finit par le vagin de Plaisir.

La prédiction s’accomplit donc, ainsi que l’avait dit Picolette. Bégueule épousa Plaisir, mais ils firent rarement l’amour seuls. Chaudasse, peu rancunière, se réconcilia avec Plaisir et lui offrit même un énorme godemiché ceinture qu’elle harnachait souvent pour défoncer le cul de son mari.

Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants, mais nul ne sut jamais, pas même Plaisir elle-même, combien étaient de Bégueule...

 

Ce récit à eu l'honneur d'être 1er prix de la meilleure nouvelle pour 2007

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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