Dimanche 9 janvier 2022 7 09 /01 /Jan /2022 08:46

Chanette 27 – L’affaire Manet-Carrier – 2 – Hubert mène l’enquête

Chanette2

Mardi 27 avril

 

Hubert suivit donc Louise et quand elle pénétra une nouvelle fois rue des Saulniers, il lui emboîta le pas, repéra l’appartement où elle se rendait, puis redescendit, attendit qu’elle ressorte une heure après, puis remonta.

 

Il n’y a rien sur ma porte hormis les initiales M C comme maitresse Chanette, mais on peut interpréter cela comme on veut.

 

Sans plan précis Hubert, baratineur né, comptait sur ses capacités d’improvisation.

 

On sonne, je n’attends personne à cette heure. Je me revêts d’un joli petit kimono et ouvre.

 

– Bonjour on m’a donné votre adresse.

– Vous n’avez pas rendez-vous ?

– Ah, non, j’ignorais qu’il fallait prendre rendez-vous.

– Je peux vous prendre maintenant j’ai une heure de libre.

– Avec plaisir !

 

Le bonhomme est habillé très décontracté, jeans, blouson de cuir et basquets.

 

Il me déshabille du regard, pas grave, bien au contraire, ça veut dire que je lui plais.

 

– Ok, vous me dites ce que vous aimeriez exactement.

– Je ne sais pas trop, vous me proposez quoi ?

– Ça dépend de vous, petites misères, humiliations…

– Quoi ?

 

Hubert tombe du placard. Fiona ne lui avait pas parlé de « pute », ce mot employé par Ergan n’étant pas toujours employé au sens propre. Ainsi découvrait-il que Louise Manet-Carrier se rendait régulièrement chez une pute et une domina en plus. Il a donc son renseignement, il pourrait donc en rester là, mais ce serait peut-être de nature à hypothéquer la suite, alors il décide de jouer au client.

 

– Y’a un problème ? Demandais-je, surprise par l’air embarrassé du bonhomme.

– Mais pas du tout, une petite fessée, c’est possible ?

– Bien sûr que c’est possible ! Tu me donnes mon petit cadeau ?

 

Il me demande combien, il a l’air de trouver ça cher ! Ben oui, elles ne sont pas gratuites mes petites misères et en principe quand on vient solliciter mes services, on a un petite idée des tarifs ! Bizarre !

 

– Vous prenez les chèques ?

– Non !

– Je n’ai pas assez sur moi, mais je vais prendre de l’argent au distributeur ! Si, si je vais revenir, tenez je vous laisse mon portefeuille en gage.

 

Son comportement n’a aucun sens, ou il est neuneu, ce qui ne semble pas être le cas, ou c’est un fouineur. Un comparse de l’abruti de l’autre fois ? Pourquoi pas. Et cet idiot me laisse son portefeuille, il doit être farci de faux papier. Je relève néanmoins l’identité indiquée. On est jamais trop prudente !

 

Le drôle de bonhomme me paye, et se fout à poil. A moi de gérer la suite parce qu’une fessée pendant une heure ça ne va pas le faire.

 

J’emmène le type dans mon donjon, uniquement pour le fun parce que j’aurais pu faire ça dans le salon. Il a vraiment l’air de se demander où il est tombé, c’est probablement la première fois qu’il pénètre dans un donjon.

 

– C’est la première fois que tu viens voir une maîtresse ?

– Oui, c’est un vieux fantasme, mais je n’avais jamais franchi le pas… et puis je n’ai pas un gros budget.

 

Je prends un paddle avec moi n’ayant guère envie de taper à mains nues pendant une heure et je m’assois sur mon trône de domina.

 

– Allez, viens t’allonger sur mes douces cuisses, vilain garnement, je vais te flanquer une bonne fessée !

– Pas trop fort, s’il vous plaît !

– T’inquiète pas, je suis une pro !

 

Je frappe de la main un premier coup, ni trop fort, ni trop mou, il encaisse laissant juste échapper un tout petit cri. Pour le deuxième, je tape un peu plus fort, en fait je cherche son point limite afin de rester juste en dessous.

 

Je tape maintenant à la volée, son cul vire rapidement au cramoisi. Quant à mes mains, elle commencent à devenir douloureuses.

 

Je fais une pause, ensuite je prendrais le paddle, amis je me dis que je ne peux décemment continuer à lui rougir le cul pendant tout le temps restant

 

– Si on continue comme ça, tu vas être marqué, moi ça ne me gêne pas, mais il faut que tu le saches !

– Ben…

– Il n’y a pas autre chose qui te ferais plaisir ?

– Ben…

 

C’est fou ce que ce gars-là a comme conversation ! Je décide donc d’improviser, je mouille mon index et je le lui fous dans le cul.

 

– Mais…

– Il y a un problème ?

– Non mais, enfin, je ne sais pas …

– On te ne le jamais fait ?

– Euh, si.

– Ben tu vois ! Et moi je te fais ça comme une artiste ! Dis-moi que tu aimes !

– Ce n’est pas désagréable.!

 

Du coup je ressort mon doigt, et le réintroduit aussi sec accompagné d’un deuxième.

 

– Oh ! Ah !

– C’est bon, hein ? Dis-moi que c’est bon !

– C’est bon ! Ah ! Oh !

– Tu sais ce que je vais faire, je vais te mettre un gode !

– Ah, non !

– Il est ù le problème, un doigt ou un gode, c’est le même principe, juste que c’est plus gros et plus long, et comme il y a un vibro d’incorporé, le plaisir est intense et garantie.

– Non !

– Et pourquoi ?

– Je n’ai pas envie !

– Ecoute, tu vas me faire plaisir, tu vas juste essayer, et en récompense je te montrerais mes nénés.

– Juste pour essayer, alors !

 

Je le fais se lever de sur mes cuisses et le fait installer sur le chevalet sans l’attacher, les jambes écartées et pendantes, le cul offert.

 

Je le nargue on lui présentant le gode devant ses yeux, j’ai volontairement choisi parmi ma collection, un gode très réaliste de taille raisonnable, le moulage en latex reproduisant avec minutie une vraie bite avec le gland décapuchonné, la grosse veine courant le long de la verge… du bel ouvrage !

 

– Regarde comme il est joli !

– Euh ! Vous n’allez pas m’enfoncer ça ?

– C’est un petit, ça va rentrer tout seul.

– Je ne sais pas…

– Tu ne sais pas, mais moi, je sais, on essaie et après je te montre mes nichons.

– Bon, allez-y !

– Tu ne veux pas le sucer un peu avant ?

– Pourquoi faire ?

– Comme ça pour le fun !

– Non !

 

Je revêt le gode d’un préservatif, puis je tartine l’anus du client avec une noix de gel, et j’enfonce doucement.

 

– Oh !

– Respire bien, tu vas voir, ça va te plaire.

 

J’enfonce doucement, j’actionne le vibrateur, puis commence une série de lents allers et retours.

 

– Ah ! Oh !

– Ça te plait, hein mon cochon !

– Rrrrr !

– Qu’est-ce que tu dis !

– C’est bon, aah, aah

– Je le retire ou on continue un peu.?

– Je veux bien encore un peu !

 

J’accélère la cadence ! Le gars est envahi par des ondes de plaisir, il est en train de découvrir quelque chose. Et puis tout d’un coup je le retire d’un coup sec

 

– Aaaaah !

 

Et sans lui laisser le temps de réagir, je le lui replante. Inutile de vous dire qu’il est aux anges. Quelques allers et retours bien rythmés, puis je le retire pour de bon. Il n’en peux plus le pauvre garçon et il bande comme un cochon !

 

Chanette2702– Rejoins moi, je vais m’assoir.

 

Il se pointe devant moi encore tout troublé par ce que je viens de lui faire. Je me dépoitraille comme promis.

 

– Oh ! Que c’est beau !

– Je ne te le fais pas dire ! Maintenant tu as le droit de te branler et de m’arroser les nénés.

– Euh ! On ne peut pas finir autrement ?

– Eh non, je suis une dominatrice, les dominatrices, ça ne suce pas et ça ne baise pas !

 

Oh ! la menteuse !

 

Il ne discute pas et s’astique le poireau en cadence, quelques secondes plus tard j’avais les nichons pollués par son sperme. Pas grave, j’ai des lingettes !

 

– C’était bon, ça ta plu ?

– Oui, oui, !

– Tu as vu comme c’est bon de se faire enculer !

– Je ne me suis pas fait enculer ! Se défend-il

– Ah bon, tu appelles ça comment alors ?

– Euh !

 

Je le laisse se rhabiller tandis que je vais me rincer et m’essuyer les seins.

 

– Reviens quand tu veux, on pourra essayer d’autres trucs. J’ai plein de choses à mon catalogue, jeux de rôle, cravache, pinces, adoration des pieds, pipi…

– Euh, pourquoi pas ?

– Mais prends rendez-vous avant, tu peux prendre ma carte dans la petite coupelle… Et même un petit chocolat.

 

Bizarre, il ne m’a posé aucune question « extérieure », je dois m’inquiéter pour rien, ce doit juste être un mec un peu à l’ouest.

 

Fiona et Hubert sont dubitatifs.

 

– Plan A : on demande à la fille de prendre des photos, on les publie sur internet, le ministre est ridiculisé, poussé à la démission, je tiens ma vengeance.

– Quelle vengeance ? demande Hubert

– Je ne peux pas le sacquer, ce mec !

– Et financièrement ?

– Ben justement, financièrement, je ne vois pas. Et en plus c’est dangereux, cette saloperie de ministre était prêt à la supprimer sans que ça ne le traumatise plus que ça, donc, plan B j’appelle la Louise et j’improvise.

– T’improvise quoi ?

– Ben, justement, je ne sais pas, c’est comme ça quand on improvise !

 

Fiona téléphone donc à Louise, très à l’aise.

 

– Bonjour ! Je m’appelle Fiona. Une indiscrétion m’a appris que votre mari cherchais à vous nuire.

– Vous n’avez que ça à foutre… Et d’abord qui vous a donné mon numéro ?.

– La rue des Saulniers, ça vous dit quelque chose ?

– Hein ?

– Allo ?

– Venez en au fait. Je n’ai pas que ça à faire. S’agace Louise.

– On pourrait peut-être se rencontrer ce serait plus convivial.
– Dites-moi ce que vous avez à me dire

– Non, il faut qu’on se voie, au téléphone ce n’est pas si simple…

– Et vous espérez quoi ?

– Faire d’une pierre deux coups, je vous rends service et sans doute estimerez-vous que le service vaut une récompense.

– Non, on se verrait où ?

– Au Café de la Truite, c’est à la sortie de métro Etienne Marcel, j’aurais Le Figaro à la main avec la première page déchirée .

 

Louise hésite à se rendre à ce rendez-vous bizarre, mais la curiosité féminine étant ce qu’elle est…

 

Elle trouve facilement son interlocutrice et s’assoit devant elle sans la saluer.

 

– J’espère que vous n’êtes pas en train de me faire perdre mon temps ?

– Je ne penses pas, non.

– Alors je vous écoute, je n’ai pas beaucoup de temps.

– En fait, votre mari effectue en ce moment un chantage assez crapuleux auprès de la personne que vous rencontrez rue des Saulniers.

– Mais comment… il m’aurait suivi ?

– Il ne vous a pas suivi, il vous a fait suivre !

– Et en quoi serais-je concernée ?

– Parce que c’est vous sur les photos.

– Quelles photos ?

– Les photos qui ont été prises pendant que vous étiez occupée avec cette madame Chanette.

– Il n’y a pas eu de photos.

– Elles ont été prises à votre insu. Il y a des caméras chez elle.

– La salope ! Mais c’est quoi le chantage. ?

– Votre mari veut s’assurer que ces photos ne seront jamais diffusées, en fait il craint que dans ce cas, son poste de ministre ne résistera pas longtemps.

– Et ensuite…

– Ensuite, votre mari a envoyé l’un de ses gardes du corps menacer cette personne. Apparemment il n’a rien trouvé, ces photos doivent être bien cachées !

– C’est tout ?

– Oui madame !

 

Un blanc, les deux femmes se regardent, Fiona avec un étrange sourire en coin, Louise Manet-Carrier avec incompréhension.

 

– Mais qu’attendez-vous de moi ? Reprend cette dernière.

– Je pense que vu l’importance de l’information que je vous livre, une rétribution substantielle serait un minimum.

– Vous êtes gonflée, vous ! Qu’est-ce qui me prouve que vous n’êtes pas en train de me baratiner ?

– Voulez-vous que vous décrive un détail intime de l’anatomie de votre mari ?

– Ça prouvera que vous avez été la maitresse de mon mari et c’est tout , je me demande d’ailleurs comment on peut être la maitresse d’un type qui baise aussi mal.

– C’est une bonne question, mais je n’y répondrais pas.

– Peu importe. Et les autres preuves ?

– Je n’en ai pas. Libre à vous de me croire ou pas.

– Je vais vous donner 50 euros pour le déplacement, sinon, je vais réfléchir. Je peux avoir votre numéro de portable ?

– Si c’est pour vous permettre de savoir qui je suis, je peux vous épargner cette peine, je suis la secrétaire de votre mari. Quant à mon numéro de portable, vous l’avez déjà, je ne vous ai pas contacté en numéro caché.

– Je vous rappelle demain en tout état de cause

 

Fiona est dépitée, elle ne s’attendait pas à une telle réaction de méfiance.

 

– Non. mais je rêve, 50 balles ! Elle se fout de ma gueule !

 

Elle est néanmoins persuadée que la bourgeoise va la rappeler, il lui faudra faire en sorte, alors, de mieux l’accrocher.

 

La première réaction de Louise Manet-Carrier a été de se dire qu’elle allait cesser toute relation avec mon aimable personne, mais l’esprit d’escalier fit en sorte qu’elle vit les choses de façon un peu plus compliquée.

 

– C’est bizarre, mais je n’arrive pas à imaginer Chanette en train de faire ce genre de choses, on ne connait jamais les gens, .mais bon… et puis comment pouvait-elle savoir que j’étais la femme d’un ministre. ? Qui serait allé lui dire, ça n’a aucun sens !

 

Alors Louise a voulu me rencontrer après ma journée de travail et en dehors du studio. Ça me prend un peu la tête mais il paraît qu’elle a des choses importantes à me dire. On verra bien

 

Elle m’a expliqué :

 

– Une nana qui s’est présentée comme une secrétaire de mon mari m’a dit que tu filmais tes clients et que tu conservais les photos. Je ne l’ai pas cru, j’espère que j’ai bien fait de ne pas la croire.

 

Je ne vois pas pourquoi elle finissait par cette phrase, elle n’avait aucune raison d’avoir confiance en moi, mais en fait elle adoptait la fameuse tactique consistant à prêcher le faux pour savoir le vrai.

 

– Putain, mais ce n’est pas vrai, c’est quoi ce fantasme ? Ce n’est pas parce qu’on est une pute qu’on trempe dans un tas d’affaires louches.

– Elle m’a dit aussi qu’un type était venu te menacer ?

– Oui, c’est vrai ! Il m’a dit que si les photos étaient publiées, il ne donnerait pas cher de ma peau. Mais comme les photos n’existent pas, elles ne risquent pas d’être publiées, donc je ne risque rien.

– Et si les photos avaient existé t’aurait fait quoi ?

– Mais enfin, je ne me suis jamais posé la question, ces pratiques ne sont pas mon monde.

 

N’empêche que j’ai perdu une journée de travail à cause de ces conneries, n’empêche que si je pouvais ridiculiser le débile qui me prête des pratiques mafieuses…

 

– C’est qui ton mari ? Il est connu ?

– Charles-Paul Manet-Carrier, il est ministre des capacités logistiques environnementales.

– Et en clair ?

– Aucune idée, il a essayé de m’expliquer, mais j’ai rien compris et je m’en fous un peu..

– Jamais entendu parler de ce mec !

– Tu ne perds pas grand-chose.

– On fait quoi, on continue nos séances ou pas ? T’as le droit de vouloir arrêter, tu ne me dois rien.

– Non, on continue ! Mais si tu pouvais me prouver que tu n’as pas de caméra…

– Ecoute, ce n’est pas comme ça qu’il faut aborder le problème, si tu veux on monte au studio et je te laisse chercher partout, mais ça ne te convaincra pas, tu pourras toujours dire que j’ai enlevé la caméra ou qu’elle est génialement cachée… Mais si tu veux on y va…

– Non…

– Laisse-moi finir, dans ma clientèle, j’ai eu et j’ai encore des hommes politiques, des juges d’instruction, des stars du cinéma, de la télé, de la chanson, des sportifs de haut niveau, des officiers supérieurs, des cadres supérieurs de grandes sociétés… Si je te disais les noms tu tomberais de ta chaise, mais ces noms je ne les ai jamais confiés à personne, même à mes amis les plus intimes. Alors si j’avais voulu faire du chantage, il y a longtemps que je l’aurais fait, et il y a longtemps que je serais morte, l’espérance de vie des maîtres-chanteurs est assez courte vois-tu !

– Evidemment vu comme ça ! Mais pourquoi mon mari a cru à cette histoire ?

– Il ne l’a pas cru, il l’a inventé, croire aux histoires qu’on invente, ça porte un nom en psychiatrie.

– Bon, j’espère qu’il ne va plus te faire chier, on s’embrasse ?

– Bien sûr qu’on s’embrasse !

 

Smack

 

– Mais dis-moi, pourquoi elle est venue te raconter ça, la secrétaire ? Demandais-je

– Elle voulait de l’argent !

– Tu lui en as donné ?

– Je lui ai filé 50 balles !

 

Je me suis mis à rire, ce devait être nerveux.

 

– Et elle était contente avec ses 50 balles ?

– Non, elle avait l’air déçue.

– Tu m’étonnes ! Elle va revenir à la charge…

– Je lui ai dit que je la rappellerais, mais je ne n’ai plus de raison de le faire, je sais tout ce que j’avais besoin de savoir.

– Elle va forcément te rappeler. Quoi qu’elle te propose, tu temporises, tu réserves ta réponse et tu m’en parles, on verra bien ce qu’elle a dans le ventre !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Samedi 8 janvier 2022 6 08 /01 /Jan /2022 07:27

Chanette 27 – L’affaire Manet-Carrier – 1 – Louise

Chanette

Coucou, chers lecteurs, c’est moi Chanette, la petite dominatrice professionnelle, fausse blonde et pas trop mal foutue, aujourd’hui en retraite, qui va vous narrer l’une de ses palpitantes aventures.

 

Les personnages

 

Charles-Paul Manet Carrier : secrétaire d’état

Louise Manet Carrier : femme de Charles-Paul

Fiona Martini : secrétaire de Manet Carrier

Hubert Charpin : compagnon de Fiona

Ergan Ivascu : barbouze au service de Manet Carrier

Didier Remiremont : Détective privée

Tanya Carnot et Karine Levillain; collaboratrices de Remiremont

Adam-Claude alias Gilles Brunet : Gigolo

Eliette Barbanchon : galeriste

Et aussi Nœud-Pap et Marguerite, clients de mon studio

Et bien sûr, Anna-Gaëlle, ma copine de toujours

 

Mardi 2 mars

 

Il est très rare que j’ai des femmes seules comme clientes, mais parfois ça arrive.

 

Et justement en voilà une, et même que ce sera le sujet de cette histoire !

 

Très classe la nana : fausse blonde, sans doute la cinquantaine, tailleur pied de poule de chez un grand couturier, chapeau « soucoupe volante », gants noirs démesurés en soie, boucles d’oreilles de luxe, collier et bracelet itou, parfum envahissant. Madame pue le fric ! Mais ça ne l’empêche pas d’avoir un charmant sourire.

 

– Bien, dites-moi ce que vous souhaitez et on verra ce qu’on peut faire ?

– Je veux être humiliée, juste humiliée, je ne veux pas de trucs qui me fasse souffrir.

– C’est possible, bien sûr, mais humiliée de quelle façon ?

– Je vous laisse improviser, je vous paie une heure, si ça ne me convient pas je partirais avant mais si ça me convient, je reviendrais et on pourra affiner la chose.

 

J’aime bien l’expression « affiner la chose » !

 

– Bon, eh bien on va essayer ! Y’a des choses que vous ne souhaitez pas que je vous fasse ?

– Je n’ai aucun tabou.

– Je peux vous attacher ?

– Si vous me promettez de me détacher sur simple demande, oui !

– Pas de problème ! Vous êtes consciente que ça risque de vous faire bizarre ?

– Je sais parfaitement ce que je suis venue chercher ! On y va ?

 

Elle est pressée en plus !

 

– Bon, mets-toi à poil, grosse pouffe !

 

La nana se dessape sans broncher.

 

– Tu m’enlèves tes boucles, ton collier et toute ta quincaillerie de merde, tu poses ça sur le guéridon. O.K !. Maintenant tu te mets à genoux devant moi, chienne lubrique !

 

La voilà dans la position demandée, les outrages de l’âge ne l’ont pratiquement pas marquée, elle doit fréquenter les salles de fitness et les cabinets d’esthéticienne. Les seins sont modestes mais les tétons sont beaux. Je les lui pincerais volontiers mais comme madame ne veut pas de violence, je vais jouer à autre chose.

 

– Ouvre ta bouche ! Non pas comme ça ! Quand on a une bouche à sucer des bites, on l’ouvre en grand, t’as compris pétasse ?

– Oui !

– On dit « oui, maîtresse » !

– Oui, maîtresse !.

– On t’as déjà dit que tu avais une bouche à sucer des bites ?

– Non. Euh, non maîtresse !

– Et bien maintenant tu le sauras. Dommage que je n’aie pas un petit esclave d’attaché ,je t’aurais demandé de le sucer.

 

Ses yeux s’illuminent, elle doit s’imaginer en situation.

 

– T’aime ça sucer des bites, hein ?

– Oui, maîtresse !

– T’es vraiment une salope !

– Oui, maîtresse !

– Bon, revenons aux exercices pratiques, ouvre la bouche et laisse-la ouverte, chiennasse !

 

Je me marre parce qu’à l’évidence, elle n’a aucune idée de ce que je vais lui faire. Elle me regarde avec des yeux perplexes.

 

– Tu gardes la bouche bien ouverte et maintenant tu relèves bien ta tête d’abrutie vers l’arrière ! Mieux que ça sinon je vais être obligée de te tirer les cheveux et tu ne vas pas aimer ça.

 

Elle ne comprend toujours pas, mais elle obtempère.

 

Et quand elle me voit faire un mouvement de bouche, elle comprend. Fallait voir sa tête, dans son catalogue de fantasmes humiliants, elle n’avait pas ça en rayon.

 

Elle ne se rebelle pas, mais elle ferme les yeux.

 

– Laisse tes yeux ouverts ! Morue !

Chanette27a

Je lui ai craché plusieurs fois dans la bouche, elle a avalé sans broncher. Et quand j’eu fini, madame reste la bouche ouverte comme si elle en voulait encore.

 

Un cas, celle-ci !

 

Je vais chercher un collier de chien que je lui attache autour du cou avant d’y accrocher une laisse, je lui fais faire plusieurs fois le tour de la pièce à quatre pattes, en la traitant de tous les noms d’oiseaux qui me viennent en tête.

 

J’ai un petit os en plastique dans mes affaires, je le nettoie devant elle avec du gal hydroalcoolique pour lui montrer que la maison ne lésine pas sur l’hygiène, puis je le balance à l’autre bout de la pièce.

 

– Va, ma chienne, va chercher la baballe, rapporte la baballe à ta maitresse !

 

Elle n’y va pas, elle y court, arrivé devant la balle, elle se demande comment la rapporter.

 

– Avec ta gueule, ta belle gueule de salope.

 

Je lui fais répéter, plusieurs fois le même manège, mais ça commence à devenir lassant.

 

Je retire ma culotte et lui fait renifler ma chatte.

 

– Tu renifles uniquement je ne veux pas de ta langue de bourgeoise sur ma petite chatte. Ta langue se sera pour mon trou du cul !

 

Je me retourne et m’écarte les globes fessiers, lui facilitant ainsi l’accès à mon anus.

 

– Lèche mon trou du cul, lèche mon trou à merde, Dis-moi qu’il pue et que tu aimes ça !

– J’aime bien le goût de votre cul, maîtresse.

– Super, la prochaine fois, j’oublierais de m’essuyer, ça sera encore meilleur.

– Avec plaisir, maîtresse ! Ça m’excitera de lécher votre merde !

 

Au moins, elle n’est pas contrariante, la bourgeoise ! Faut voir les yeux qu’elle fait, elle est saoule d’excitation !

 

Je m’harnache d’un joli gode ceinture et le lui fait lécher, ce qu’elle fait avec décontraction étonnante, et même qu’elle en bave ! Une vraie salope, je vous dis !

 

Du coup je décide de corser un peu la chose, je la fais se retourner et après avoir lubrifié le machin, je l’encule.

 

– Doucement, doucement ! Minaude-t-elle.

– T’aimes pas ?

– Peu importe ! Continuez maîtresse !

 

Bon, je crois comprendre, elle la déjà fait mais n’est pas trop habituée, j’y avais donc modérément, mon intention n’étant pas de lui faire une longue sodomie, mais de la surprendre autrement.

 

Après quelques allers et retour qui la font miauler, je me retire en espérant que le gode va ressortir moins net que quand il est entré. Et c’est exactement ce qui se passe ! Oh, rien de « dramatique », mais il est néanmoins légèrement pollué.

 

– T’as vu ce que tu as fait, morue, tu as tout dégueulassé mon joli gode !

– Pardon, maîtresse !

– Nettoie !

– Je… je … comment ?

– Avec ta langue, débile profonde !

 

Est-ce qu’elle va le faire ? Ben oui, elle voulait simplement au préalable s’assurer que c’était bien cela que je souhaitais, alors elle y va carrément et me nettoie tout ça bien comme il faut.

 

– Humm, j’adore ! Vous êtes une bonne maîtresse !

 

Ben oui, c’est un métier !

 

Le temps passe vite, la prestation est censée durer une heure mais il faut soustraire le déshabillage et le rhabillage… Je décide de finir par une petite douche dorée puisque j’ai justement comme une bonne envie de pipi. J’enlève ma combinaison de vinyle, ce qui lui permet au passage de découvrir ma poitrine. Et apparemment elle a l’air de l’apprécier, ma bourgeoise aurait donc des tendances goudous, si elle revient me voir, il faudra que j’en tienne compte.

 

– Ouvre bien la bouche, je vais te pisser dedans.

– Non, peut-être pas ! Me dit-elle

– Dis donc, qui c’est qui commande ici ?

 

Si elle n’apprécie pas, je n’insisterais pas, mais ça m’étonne un peu quand même !

 

– C’est pour mon maquillage, je n’ai rien emporté…

– D’accord, on va faire autrement !

 

Je vais chercher un verre à pied dans ma kitchenette et je le remplis de ma pisse devant elle,

 

– Et maintenant glouglou !

 

Elle a tout bu et m’a rendu le verre avec un air de défi ! Drôle de bonne femme.

 

– Voilà la séance est terminée ! Ça va ?

– Oui, ça m’a formidablement déstressée. Je peux revenir mardi prochain ?

– Mais avec grand plaisir !

– Je m’appelle Louise.

 

Mardi 9 mars

 

Quand Louise est revenue, elle m’informa qu’elle voulait juste causer, mais qu’elle n’était pas contre une petite humiliation simultanée.

 

Qu’à cela ne tienne !

 

Après lui avoir demandé de se déshabiller, je lui est passé le collier de chien et je l’ai conduit à quatre pattes jusqu’au donjon. Là je me suis mise à pisser dans une gamelle de chien, puis j’ai trempé mes petits pieds dedans.

 

– Et maintenant viens lécher !

 

Elle n’hésite pas une seconde et commence par les doigts de pieds, insistant lourdement sur le gros orteil qu’elle sue comme elle ferait d’une petite bite, néanmoins je suis obligé de la corriger quand elle veut me lécher la plante des pieds. Hé, c’est que je suis chatouilleuse, moi ! Alors elle passe à l’autre pied, le gauche, du coup je retrempe le droit dans mon urine, le jeu peut ainsi durer quelque temps.

 

Je passe ensuite à une autre sorte d’amusement, je m’empare d’un tube de rouge à lèvres et je lui écris quelques gentillesses sur le cops comme « Salope », « garage à bites ». Ça l’a fait rigoler !

 

– Et sinon, tu voudrais causer de quoi ?

– J’aimerais qu’une prochaine fois on puisse aller plus loin dans l’humiliation.

– Et tu penses à quoi au juste ?

– Vous ne voyez pas ?

– Ecoute, morue, on ne va pas jouer au devinettes, alors tu me dis ce que tu aimerais, je n’ai pas les oreilles chastes.

– L’argent n’est pas un problème, j’en ai beaucoup, je vous paierai bien, très bien même.

– C’est gentil mais tu ne m’as toujours pas dit ce que tu souhaitais.

– Vous pourriez me chier dessus ?

 

J’aurais parié un truc dans le genre..

 

– Ça peut se faire en effet.

 

Son visage s’éclaire de ravissement. Elle est trop belle quand elle sourit.

 

– Dans la bouche ?

– Pourquoi pas ? Mais je ne peux pas faire ça n’importe quand, mais on pourrait faire ça le matin de bonne heure, j’essaierai de me retenir et on fera.

– Super, on va prendra rendez-vous pour ça. Euh une question, juste comme ça, j’ai vu un petit film sur internet avec un chien, vous ne faites pas ce genre de choses ?

– Faut avoir un chien…

– Oui, évidemment… mais si vous en aviez un à votre disposition…

– Humm… Avec des si, on peut imaginer ce qu’on veut…

– Vous savez, dans le film que j’ai vu, le chien n’avait pas du tout l’air traumatisé…

– Vous m’embarrassez, nous en reparlerons si vous voulez.

– Mais vous n’êtes pas contre ?

– Mais non, ma biche !

 

Mardi 6 avril

 

Tout s’est bien passé pendant environ un mois je m’étais dégoté une vraie mine d’or avec cette cliente. Nous n’avons pas encore fait de scato, madame rechignant à venir de bonne heure. Quelque part, elle m’excitait, en fait j’avais une envie folle de me l’envoyer mais les rapports étaient faussés. Certes je trichais je me régalais de ses tétons et de sa chatte en accompagnant ma besogne de conneries du genre :

 

– Tiens ma grosse poufiasse, t’es bonne qu’à te faire lécher la chatte par une pute !

 

J’aurais préféré des rapports plus tendres, plus intimes, quelque chose dépassant les rapports prostituée/cliente, mais je ne désespérais pas de les faire évoluer.

 

Je ne sus que beaucoup plus tard la gaffe de Louise…

 

Ce jour-là, avant de quitter mon studio, je lui avais proposé de prendre une douche, elle m’avait répondu qu’elle préférait rester souillée jusqu’à ce qu’elle rentre chez elle. C’est ainsi que revenue dans son bel appartement et sachant la bonne occupée en cuisine, elle se débarrassa de ses vêtements dans le salon avant de se diriger, nue, vers la salle de bain.

 

Une voix masculine :

 

– C’est quoi ces trucs ?

 

Charles-Paul, son mari qui n’aurait pas dû être là, y était bel et bien. Elle ne l’avait pas entendu rentrer. Celui-ci découvrit avec stupéfaction les inscriptions au rouge à lèvres sur ses seins et ses fesses, des petits mots plein de poésie comme « Salope, grosse truie, suceuse de bites »…

 

– Ben quoi, j’ai bien le droit de m’amuser ?

– Quel est le salaud qui t’as fait ça ?

– Personne, je me suis amusée toute seule !

– Tu t’écris toute seule sur les fesses ? T’a été à l’école de cirque ?

– C’est ça, je suis allé à l’école de cirque !

– J’aimerais quand même savoir…

– Si on te demandes ?

– Non, c’est moi qui te demande…

– Je n’ai pas de compte à te rendre, tu baises qui tu veux, moi aussi. Et si ça ne convient plus à monsieur, le divorce ce n’est pas fait pour les chiens.

– Va te laver, morue !

– La morue, elle t’emmerde !

 

L’incident aurait pu se terminer ainsi, si une horrible pensée n’était pas venue titiller le cerveau compliqué de Charles-Paul…

 

« Et si son abruti d’amant l’a prise en photo avec ces horreurs et qu’il diffuse ça sur Internet… »

 

Un premier détective privé ne mit pas trop de temps à découvrir que l’amant en question était une « escort professionnelle »…

 

– Il y a indiqué MC sur la porte, si vous le souhaitez je peux rechercher son identité.

– On verra éventuellement plus tard. Mais comment avez-vous appris que c’était une pute ?

– C’est mon métier, monsieur.

– Bon, je vous dois combien ?

 

Mardi 13 avril

 

Et voici qu’aujourd’hui, alors que Louise venait juste de prendre congé, un mec se pointe au studio, le genre garde du corps de base, costume trop sombre, chemise trop blanche, cravate trop moche, boule à zéro, lunettes noires et air con, mais con…

 

– Vous avez rendez-vous ?

– Non mais faut que je vous cause.

– Eh bien vous me causerez plus tard, j’attends quelqu’un, là.

– C’est grave et urgent madame !

 

J’ai la faiblesse de faire entrer le bonhomme.

 

– Juste cinq minutes, lui précisais-je tout en m’emparant discrètement d’une mini bombe de lacrymo.

 

Et là le mec sort un flingue et me braque.

 

Moment de panique, j’ignore à qui j’ai affaire, je ne peux prendre le risque de me servir de ma mini bombe et je n’en mène pas large, j’espère qu’il n’en veut qu’à mon fric et que ce n’est pas le frère de Jack l’éventreur !

 

– File-moi ton portable !

– ?

– Grouille

 

Je vais le chercher sur la table et lui tend, il fouille dans la galerie de photos, ne semble pas trouver ce qu’il cherche.

 

– L’autre !

– Pardon ?

– L’autre portable ! Les putes ont toujours deux portables.

– Si vous me disiez ce que vous cherchez ?

– Il vient ce portable ?

 

Il me fait le même cirque qu’avec le premier, me le rend avec un soupir de bœuf.

 

– Elles sont où les photos ?

– Quelles photos ?

– Bon, arrête de jouer à la conasse, elles sont où ?

– Ecoutez, je ne comprends rien, vous êtes sûr de ne pas vous tromper d’adresse. ?

– Bien sûr que non, tu prends bien des photos de tes clients connus pour les faire chanter. Toutes les putes font ça, c’est bien connu !

– N’importe quoi !

– Bon, on va procéder autrement, si jamais ces photos étaient publiées, on te troue la peau, la tienne et celle de ton mac.

 

Mais, il est complètement taré, ce mec !

 

Et sur ces menaces débiles, le cinglé s’en va, me laissant néanmoins dans un drôle d’état.

 

Mon client arrive, je lui raconte n’importe quoi et lui propose de revenir le lendemain. Il a l’air un peu déçu mais il accepte et s’en va. Et voilà qu’on sonne de nouveau.

 

C’est le garde du corps débile qui revient, l’esprit d’escalier sans doute,

 

– Quoi encore ?

– Juste pour vous dire que s’il vous prenait l’envie de négocier vos photos, nous pourrions surenchérir sans problème

– Foutez-moi le camp !

– Si notre proposition ne vous intéresse pas, c’est grave.

– Bon, ça suffit maintenant, disparaissez ou je fais un scandale !

– Réfléchissez quand même.

– C’est ça, dehors les mouches !

– Mon numéro de portable est là-dessus.

 

C’est un carton de restaurant, il a griffonné un numéro au dos, je le ramasse à tout hasard.

 

Je prends une douche et décide de clôturer ma journée. Je ne pris pas le métro de suite estimant qu’un peu de marche à pied ne pourrait que me faire du bien. Je tentais de me rassurer toute seule. Étant donné que ces mystérieuses photos n’existent pas, il est impossible qu’elles soient publiées, donc je ne risque rien. Mais tout cela ne me dis pas le fond de l’histoire, ce type est peut-être un mytho, mais dans le cas contraire, il est au service de qui ?

 

– Je ne peux même pas me faire aider pour y voir plus clair, je n’ai aucun indice, aucune piste. Son téléphone a dû être acheté avec une fausse identité et ne me mènera nulle part.

 

Ergan se rendit au ministère et montra son laissez-passer.

 

Le ministre lui avait ordonné de proscrire tout échange téléphonique, il demanda donc à le rencontrer d’urgence. L’huissier hésita.

 

– Il va vous falloir patienter, monsieur le ministre est en entretien…

 

– Dites-lui que c’est de la part d’Ergan et soyez discret

 

L’huissier entra et chuchota à l’oreille du ministre.

 

– Je vous laisse cinq petites minutes… Dit ce dernier à son interlocuteur, une urgence…

– On va aller dans le bureau de ma secrétaire… indiqua le ministre en retrouvant Ergan dans l’antichambre

 

Et il demande à Fiona, sa secrétaire de sortir cinq minutes dans le couloir.

 

Elle le fait, et gagne un petit local d’archives contiguë à son bureau dans lequel elle a justement un document à rechercher. La cloison séparant les deux locaux est fine comme du papier à cigarettes, ce qui fait qu’on entend tout.

 

Fiona est en froid avec son patron, celui-ci lui a promis une augmentation substantielle contre une folle nuit d’amour. L’augmentation, elle l’a eue sauf qu’elle n’avait rien de substantielle. Et quand elle se mit à protester il eut des paroles blessantes. Elle chercha donc un moyen de se venger, elle aurait pu porter plainte pour viol puisque ce genre d’accusation est à la mode, mais sa réputation de « miss saute au paf » ne pourrait que la desservir.

 

Alors aujourd’hui à tout hasard elle va écouter ce que le ministre a de si secret à écouter :

 

– Alors ?

– La pute dit qu’elle n’a pas de photos.

– Vous l’avez cru ?

– Je ne sais pas, elle a eu l’air de tomber du placard.

– Et puis ?

– Il n’y a rien sur ses portables, j’ai vérifié. Je lui ai fait le grand jeu, menaces de mort, proposition de rachat, ça ne l’a pas ébranlé.

– Dans le doute il faudrait peut-être envisager de s’en débarrasser, vous sauriez faire ?

– Sauf que ce n’est pas forcément une bonne idée, imaginez qu’elle ait confié les photos à quelqu’un avec instruction de les publier s’il lui arrivait quelque chose ? C’est un truc classique.

– Une bonne correction alors ?

– Pareil, ça peut être contreproductif.

– Donc à part la croire, on ne peut rien faire ?

– Je ne vois pas.

– Bon, je vais réfléchir, vous feriez quoi à ma place ?

– Je divorcerai.

– Hors de question, Louise a une fortune colossale, je serais trop perdant.

 

Fiona comprit alors qu’il était question de la femme du ministre mais que faisait-elle donc de si compromettant ?

 

Elle se dit qu’il y avait sans doute là quelque chose à creuser.

 

Récupérer le numéro de portable de Louise Manet-Carrier fût pour Fiona un jeu d’enfant, restait à la contacter, mais pour lui dire quoi ?

 

Elle en parla à Hubert son nouveau compagnon, s’abstint de parler de vengeance et lui indiqua qu’il y avait éventuellement du fric à se faire, mais qu’il fallait pour cela en apprendre plus et que pour se faire il faudrait filocher la femme du ministre.

 

Hubert était au chômage, il avait donc le temps de faire ça et en plus ça l’amusait.

 

Hubert sans être un playboy est assez joli garçon, brun, les cheveux plats, visage en lame de couteau, il porte une moustache très dessinée qui lui donne des faux airs de Clark Gable. Taille et corpulence moyenne.

 

Il ne nota rien de particulier la première semaine, beaucoup de shopping, une heure dans un club de fitness, une autre chez le coiffeur et encore une autre chez l’esthéticienne, un rendez-vous chez le kinésithérapeute… et un autre chez une personne non identifiée rue des Saulniers mais aucun rendez-vous à connotation sexuelle évidente.

 

– Tu la filoches encore une semaine et si ça ne donne rien on changera de tactique, essaie tout de même de savoir pour la rue des Saulniers si elle y retourne. Lui explique le ministre.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Lundi 3 janvier 2022 1 03 /01 /Jan /2022 18:33

Esclave d'un jour par Mathilda Stenberg

zoo

 

 

e m’appelle Marion, j’avais 19 ans à l’époque et poursuivais mes études. Nous étions en été et, comme toutes les nuits je dormais nue sans couverture mais cette fois ci j’avais oublié de fermer ma porte…

Je me réveillais quand je découvris mon chien (Cypher un labrador mâle noir), sa truffe était contre mon sexe, je sentais son souffle chaud sur ma chatte, puis il se mit à me la lécher sans retenu, j’étais pétrifiée, je ne pouvais plus bouger, mais ma chatte commençais à s’ouvrir et à mouiller abondamment, et je commençais à aimer ça, je poussais de petits gémissements, je me caressais les seins qui était tout durcis, je me mordais les lèvres pour ne pas crier, sa langue rugueuse me faisait totalement fondre.

Je fis soulever doucement la gueule de Cypher et le fit avancer doucement, je pris son sexe et après m’être assuré de sa rigidité en le lui suçant quelques instants, je me le suis enfoncé dans la chatte, ce qui me fit immédiatement jouir. Mon chien commença ses va-et-vient, je dû me mordre fortement les lèvres pour ne pas crier mais je ne pouvais retenir mes gémissements, j’enlaçais Cypher et le caressais.

– Hoooo, Ouiiii, continue mon toutou, fait plaisir à maman.

Il accéléra ses va-et-vient et jouit fortement en moi. Il se retira au bout d’un moment et s’assis sur mon lit, je mis quelques minutes pour m’en remettre. Mon chien m’avait donné un orgasme comme je n’en avais jamais eu, mais j’en voulais encore plus, alors je me suis mise à genoux et j’ai écarté les fesses devant sa truffe, il me renifla l’anus et sans se faire attendre, il se mit sur moi, je sentais son sexe chaud et humide faire pression sur mon cul, j’aidais son sexe à entrer dans mon anus. Une fois en moi il fit des va-et-vient très rapides en moi, je ne pouvais retenir mes cris de plaisir, il accéléra.

– Vas-y Cypher, je suis ta chienne, défonce-moi bien le cul ! Ouiiiii !

Je dû mettre ma tête dans les coussins pour couvrir mes cris, quand il a joui dans mon cul j’ai eu un orgasme encore plus violent que le premier. Il se retira et sortit en trottinant de ma chambre, et je vis la porte ouverte.

Alors mon sang ne fit qu’un tour, je me suis habillée en quatrième vitesse puis je suis sortie de la chambre et heureusement pour moi il n’y avait personne dans la maison, ils avaient profité tous que je dorme pour partir faire des courses. Je fus très soulagée que personne ne m’ai vu et entendu. Mais un soir mon frère, Corentin et moi étions seuls dans la maison, nos parents étaient sortis, il vint dans ma chambre.

– Il faut que je te parle ! Me dit-il
– C’est grave ?
– Mais non ! Voilà : ma copine voudrait faire une partie de jambes en l’air tous les trois.
– Tu veux dire moi, toi et ta copine ?
– Oui, Elle m’a demandé des photos nue de toi, tu l’excites beaucoup.
– Ben elle pourra toujours attendre avant que j’en fasse et en plus que je lui en donne !
– L’autre jour ta porte était ouverte, j’ai vu ce que tu as fait avec le chien…
– Et alors ?
– Et alors j’ai pris une photo.
– Montre la moi !
– Mon téléphone est resté en bas !

J’ai compris qu’il bluffait, mon frère est tellement accro au smartphone qu’il le garde toujours dans sa poche, mais je jouais le jeu, curieuse de savoir jusqu’où il irait.

– Salaud, j’espère que tu n’as posté cette photo sur le web
– Non, mais je pourrais…
– Tu n’oserais quand même pas !?
– Va savoir ?
– Et tu voudrais qui au juste ?
– Que tu sois mon esclave sexuelle, puisque tu as fait la chienne, maintenant tu vas faire la salope, jusqu’à la fin des vacances sinon…
– Sinon quoi ?
– Sinon, je te fais la gueule !

Si ce n’est que ça !

– Allez, réfléchi, prend ça comme un jeu, je suis sûr que tu seras aussi excitée que nous !
– Humm
– Je vais dans ma chambre et j’attends ta réponse.

Il sortit de ma chambre je mis plusieurs heures pour réfléchir Je pestais contre mon frère, en fait ce n’est pas tellement sa proposition qui m’embarrassais mais la façon dont il m’en avait fait la demande. Je pesais le pour et le contre et sans doute un peu par défi je décidais d’accepter

– Bon c’est d’accord ! Lui dis-je. Sauf qu’il n’est pas question que je sois à votre disposition jusqu’à la fin des vacances.
– Mais…
– Laisse-moi finir ! Mais je veux bien être votre esclave pendant une journée entière !
– O.K. On fera ça demain

Le lendemain matin mon frère vint me réveiller, il me demanda de me déshabiller, ce que je fis, puis il me passa un long manteau que j’enfilais à même mon cops nu.

– Aujourd’hui je t’amène chez Lucie

Il me prit la main et m’amena dans sa voiture, les sièges étaient rabattus, je ne portais comme vêtement que le manteau qu’il m’avait donné.

– Prends le gode qu’il y a dans la boite à gants, allonge-toi et déshabille-toi, tu vas te masturber tout au long du voyage.

Je me suis donc déshabillée, j’ai pris le gode et me suis allongée comme il me l’avait demandé. Je me suis caressé la chatte doucement avec le gode, je l’ai enfoncé délicatement en moi, mon frère démarra, il me caressait et me pinçait les tétons à chaque stop et à chaque feu rouge. Puis au dernier feu rouge un motard me vit.

– Allez ma salope accélère le mouvement et fait un sourire au motard, ça lui fera un souvenir !

Je n’osais pas, mon frère prit le gode en main et accéléra lui-même le mouvement, il me masturbait violemment et j’aimais ça, je me suis caressé les seins et je me léchais les lèvres. Mon frère a choisi le moment où je jouissais pour redémarrer la voiture. Nous arrivâmes chez sa copine.

– Maintenant ma salope, la journée ne fait que commencer, enlève ton manteau.

Je me retrouvais donc nue devant la porte d’entrée de chez Lucie, elle nous ouvrit et dès que nous sommes entrés, elle me tendit une boite en me disant :.

– Tiens comme je sais que tu aimes faire la chienne !

J’ouvris la boite, Il s’agissait d’un collier et une laisse de chien. Mon frère me fixa le collier avec la laisse et m’ordonna :

– Maintenant met toi à quatre pattes, on a un compagnon pour toi !

Lucie ouvris une porte et un chien Griffon en sorti.

– Regarde Rex : on t’a amené une vraie chienne en plus tu as de la chance elle est en chaleur.

Cypher


Mon frère me tenait en laisse, je ne pouvais plus bouger. Le chien a tout de suite compris ce qu’on lui demandait, il se mit derrière moi, grimpa et n’eut aucun mal à trouver mon cul, il se mit à faire des va-et-vient rapides, malgré l’incongruité de la situation je prenais beaucoup de plaisir. Mon frère se mit à côté de moi et me caressait, Lucie se déshabilla, c’était une belle fille, blonde à lunettes avec une abondante poitrine. Elle s’assit devant moi et écarta les jambes, prit ma tête entre ces mains et l’approcha de sa chatte.

– Maintenant ma salope, bouffe-moi la chatte.

Elle mit sa chatte contre ma bouche, je gémissais de plus en plus sous les coups de bite de son chien, je commençais à lécher doucement son sexe déjà humide, mon frère se déshabilla et me caressait, je mordillais les lèvres de Lucie. D’un coup mon frère plaqua ma tête violemment contre la chatte de Lucie.

– Elle t’a demandé de lui bouffer la chatte, alors tu vas lui bouffer jusqu’à ce qu’elle jouisse.

Je me suis mise à mordre, à lécher et à sucer tous ce que je pouvais. Lucie me gifla.

– Applique toi, sale chienne !

Ce que je fis, je léchais lentement ses lèvres chaudes, Rex accéléra nettement ces coups de queue en moi, je gémissais de plus en plus fort, Lucie commençait à mouiller et je buvais tous ce qu’elle me donnait, Le chien finit par jouir en moi en s’en alla, je suçais tendrement le clito de Lucie qui gémissait en se caressant les seins. Corentin se plaça derrière moi et enfonça violemment son sexe dans ma chatte ce qui me surpris, les rapports que j’avais pu avoir jusqu’à maintenant avec mon frère s’étant limités à quelques attouchements anodins. Lucie me tenait la tête contre son sexe chaud et très humide, mon frère faisait des va-et-vient très lents en moi, puis j’ai enfoncé deux doigts dans la chatte de Lucie et je l’ai masturbé très rapidement tout en lui titillant le clito avec ma langue, Lucie gémissait de plus en plus ce qui m’excitais aussi de plus en plus, mon frère accéléra ses coups de reins et les rendit très violents, je n’arrivais plus à me concentrer sur la chatte de Lucie, Les coups de reins était si violents (et si bons) que je me suis mise à crier de plaisir et je me suis totalement écroulée. Lucie me tira par la laisse et me releva.

– Alors petite pute, on a l’air d’aimer ça. Continue Corentin, fait la jouir.

Elle m’embrassa fougueusement, me pris le visage :

Je vois que tu préfères te faire prendre par ton frère que par des chiens.

Mon frère n’arrêtait pas ses coups de reins et finit par jouir en même temps que moi, il sortit son sexe de ma chatte et l’enfonça violemment dans mon cul.

– Vas-y Corentin, encule-moi cette salope, je vais m’occuper de sa chatte !

Mon frère me redressa et sa salope de copine se mit sous moi, m’enfonça trois doigts dans la chatte et elle me masturba, je sentais le souffle chaud de mon frère sur ma nuque, je me sentais bien, plus j’étais humiliée et plus j’aimais ça, Corentin me malaxa doucement les seins, Lucie, elle, continuait ma masturbation tout en me suçant le clito, je gémissais de plus en plus fort. Mon frère renforçait ces coups de reins dans mon cul, et sa copine buvait toute ma cyprine. Corentin finit par jouir dans mon cul et se retira, sa bite était maculée de merde…

– Tu as vu dans quel état tu as mis ma bite ! Nettoie-moi ça !

J’hésitais, ne sachant trop comment me dérober bien que j’en avais la possibilité.

– Tu hésites ? Me dit Lucie ! Après 20 coups de ceinturon tu hésiteras sans doute moins.

Lucie me frappait mon cul avec un sadisme évident, mes fesses me cuisaient.

– Arrête, je vais le faire ! Lui crias-je
– On termine la punition, tu le suceras après.
– Salope !
– Je sais !

Je me demandais si j’étais capable de faire une chose pareille, mais je le fis comme un défi que je me lançais à moi-même. J’engloutissais sa bite et léchais ce mélange de sperme et de merde, m’étonnant de trouver le goût beaucoup plus soft que ce que j’appréhendais. Du coup ce nettoyage humiliant fut un vrai plaisir.

– Tu as vu, Corentin, comme elle se régale avec la merde, j’ai bien envie de lui chier dessus.
– Tu as entendu, la chienne, mets-toi sur le dos, Lucie va te chier dessus.

J’étais dans un tel état de soumission que je ne discutais même pas, j’eu tout de même une appréhension quand je la vis s’arbouter au-dessus de mon visage, elle n’allait tout de même pas…

Mais ce n’était pas ce que je croyais, elle se mit à pisser, m’intimant l’ordre d’ouvrir la bouche, j’avalais son pipi et le trouvait délicieux. Puis elle se recula de quelques centimètre se retourna afin que je puisse voir sa crotte sortir de son trou du cul.

Puis ce fut très rapide, un long boudin se fraya un chemin à l’extérieur et dégringola sur mes seins..

Lucie étala la merde sur mon corps avec ses mains, puis elle me les donna à lécher.

– Alors ? Elle est comment ma merde ?
– Délicieuse ! Répondis-je. Le mot délicieux était peut-être exagéré mais je en voulais surtout pas la contrarier.
– Ah bon, vérifions ! dit-elle en léchant ses propres doigts.
– Hum tu as raison, elle est très bonne aujourd’hui. Embrasse-moi !

Un étrange french-kiss au gout de merde.

– Tu sais ce qu’on fera la prochaine fois ? Me demanda-t-elle
– Je ne sais pas s’il y aura une prochaine fois, mais dis toujours !
– Ce sera Corentin l’esclave, j’aimerais bien qu’il se fasse enculer devant moi par mon père !
– Excellente idée !
– En attendant on va prendre une douche, puis on va aller tous les trois au restaurant, c’est moi qui paye

 

Ce fut donc une bonne journée !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Samedi 1 janvier 2022 6 01 /01 /Jan /2022 16:49

En face d'elle… par Viva_libertad

BiteFlag

Cette histoire me fait toujours le même effet lorsque j'y repense et c'est encore le cas lorsque je vous l'écris…

 

Lorsque ça s'est passé j'avais 18 ans, j'étais fâché avec mes parents et je vivais chez ma sœur. A l'époque elle avait un nouveau compagnon qui venait régulièrement dormir chez elle. Il s'appelait Paul et je le trouvais plutôt sympa.

 

J'étais en terminale, rien de particulier dans ma vie à ce moment précis si ce n'est que je ne passais pas une journée sans de régulières montées de plaisirs… normal à mon âge, et encore plus du fait que je n'avais eu personne depuis un moment, et que surtout je n'avais jamais été jusqu'au mélange des corps avec une fille. Mise à part quelques amies auxquelles je ne me confiais pas, la seule présence féminine régulière était ma sœur. On est d'origine berbère et elle a de bonnes formes qui n'ont rien à envier, et son teint bronzé lui donne l'impression d'être toujours de retour de vacances. On a toujours eu de très bons rapports et elle s'est toujours bien occupée de moi. J'avoue avoir ces derniers temps quelques tendances à m'accrocher sur ces formes et à laisser voguer mon imagination, sans pour autant risquer que ça se sache…

 

C'était la fin de l'année scolaire, les examens étaient finis et enfin les vacances en attendant les résultats du Bac.

 

On est vendredi, et j'ai passé la nuit chez un pote qui habitait prêt de chez elle et je rentre chez ma sœur en fin d'après-midi. Le soleil est au rendez-vous et c'est tenue décontractée pour tout le monde, on sent que c'est l'été… j'habite en plein centre-ville alors sur le retour je croise beaucoup de monde qui se balade et qui profite de cette chaleur, beaucoup de minijupes et de long décolletés sont au rendez-vous et je ne manque pas de reluquer tout ça, après tout c'est aussi fait pour…

 

J'habite un pavillon un peu reculé dans une petite ruelle piétonne, ce qui donne à la fois un sentiment de tranquillité et de proximité au centre-ville, j'aime beaucoup notre maison. Au moment d'arriver au portail je trouve la porte verrouillé et malgré ma clé je n'arrive pas à ouvrir, cependant, j'aperçois qu'il y a la voiture de Paul garée dans le jardin et Paul n'est là que si ma sœur est chez elle. Je vais pour sonner et me rappelle que je n'avais pas prévenu de mon retour. Du coup je me dis que si à cette heure-là c'est fermé c'est qu'il y a une bonne raison. J'avais cru comprendre plusieurs fois qu'ils étaient assez amateur de petits jeux coquins et du coup je deviens assez curieux. Je me dis que c'est une occasion en or pour vérifier ça. Je sais que ce n'est pas vraiment moral mais je dois bien avouez que l'idée me plait et je me sens d'attaque pour tenter le coup. Ce n'est pas tant pour les mater, c'est tout de même ma sœur, que plus de la curiosité de savoir pourquoi ils ont pris le soin de s'enfermer. Ma décision est prise, je passe par-dessus le portail et décide de passer à gauche de la cour, sur l'herbe, et ainsi de faire le tour du pavillon. C'est stratégique parce que je peux arriver direct au jardin sans me faire repérer et ainsi accéder à une bonne partie des pièces de la maison par les grandes baies vitrées. Une fois sur la gauche de la maison je peux voir, caché derrière un arbuste, le salon à travers la grande vitre, je ne vois rien de particulier. J'avance donc vers le jardin et là je vois une bouteille de champagne sur la table de jardin mais aucun verre à côté. J'avance doucement et là je commence à entendre du bruit.

 

La chambre de ma sœur se trouve à l'étage et un escalier partant du jardin amène directement à sa porte, qui là est légèrement entre ouverte. Je m'y avance alors doucement et entend un long gémissement… je ressens alors un sentiment de honte d'être là et de culpabilité… malgré tout je sens bien que la situation m'excite et je n'arrive pas à faire demi-tour, je veux les voir… je ne me reconnais plus parce que je sens que je commence à avoir chaud et moi qui suis en bermuda j'ai du mal à cacher mon sexe qui commence à se raidir. Alors je continue et arrive face à cet escalier et continue à entendre des petits cris, ceux de ma sœur, et l'excitation ne me lâche pas. Je commence à monter très discrètement pour ne pas éveiller de soupçon et trouve une culotte à ma sœur sur une marche, ça commence à être très étrange comme situation mais je continue. Je suis quasiment couché sur l'escalier de façon à entrevoir ce qui se passe dans sa chambre sans pour autant risquer d'être vu mais la porte n'est qu'entre ouverte. Finalement je trouve un bon angle et là je vois une partie du lit et je les vois dessus. Ma sœur est assise sur lui et fait des va-et-vient en poussant de petits gémissements… c'est obscène, je vois le cul de ma sœur là devant moi en train de se faire prendre et ça m'excite terriblement, mon sexe est tendu à l'extrême et me fais mal. C'est magnifique de voir ça malgré l'interdit ou justement à cause de l'interdit, je ne sais plus, et je ne suis plus en condition de réfléchir… c'est trop dur de rester comme ça, je descends ma main dans mon slip et prend à pleine main ma bite qui est gonflé à l'extrême et qui ne demande qu'à sortir. C'est tellement bon et je m'imagine même à la place de Paul en train de prendre ma sœur, son cul bronzé et de profiter de ses gros seins que je ne peux malheureusement pas voir d'où je suis. En plus de ça je commence à percevoir quelques odeurs et j'en deviens fou…

 

J'ai l'impression d'avoir quitté le réel et du coup au point où j'en suis je finis par prendre la culotte de ma sœur restée sur une marche pour sentir sa douce odeur de plus près. Je la prends et la respire et j'en suis dingue, comment n'avoir pas pensé avant à lui en piquer une qu'elle avait déjà portée… J'ai dans ma main gauche la culotte de ma sœur et de ma main droite je me branle en regardant le beau cul de ma sœur se faire empaler par la bite de Paul que j'imagine assez conséquente vu de leur position. Cela dure quelques minutes de pur extase et jusqu'à ce que ma sœur se lève du sexe de Paul pour le prendre à pleine bouche. Il est énorme, tellement gros et long, et encore luisant de la mouille de ma sœur, j'en suis encore plus excité. Je me retrouve à voir ma sœur tailler une bonne pipe à son copain sous mes yeux et c'est incroyable comme situation…

 

- Vas-y branle la bien comme tu sais le faire, bonne salope que tu es… Lui dit Paul

- Une bonne grosse bite comme ça mérite un bon traitement ne t'inquiète pas. lui répond ma sœur

 

C'est surréaliste et pourtant je ne peux pas m'empêcher de faire des va-et-vient sur ma bite sortie, longue et gonflée. J'imagine même que c'est ma bite que ma sœur suce et là l'effet est immédiat : je ne contrôle plus rien et je sens que malgré moi je vais tout sortir et pour ne pas en mettre sur moi ou sur les marches je prends la culotte de ma sœur, que j'avais sous mon nez pour la porter à mon gland rouge d'excitation qui va tout décharger… c'est tellement bon mais je me rend compte de ce que je viens de faire et malgré que je sois en face du plus beau spectacle que j'ai jamais vu je reprends mes esprits, et file aussi discrètement que je suis arrivé pour ne pas être vu en prenant soin d'emmener la culotte de ma sœur…

 

Je repars au centre-ville le temps de me changer les esprits et attend un long moment avant de revenir chez moi et de sonner…

 

Il est maintenant 21 h et lorsque je rentre tout est comme si rien ne s'était passez en apparence sauf que je ne les regarde plus comme avant :

 

- Ça va Titou, ta soirée hier c'est bien passé ? me demande t'elle

- Ça va ouais, plutôt tranquille ! Et je détourne vite le visage n'osant pas la regarder dans les yeux…

 

Paul, lui, est assis dans le salon et je ne peux m'empêcher lorsque je le vois de repenser à son sexe énorme que ma sœur essayé, avec du mal, à mettre dans sa bouche il y a quelques heures….

 

- Je monte dans ma chambre je suis naze, bonne nuit à vous ….

 

Arrivé dans ma chambre je ressors la culotte de ma sœur imprégnée de mon foutre et je la porte à mon nez et l'effet est direct, je bande comme un cheval et descend mon caleçon pour être à l'aise et me fous sur mon lit la queue dressée… l'odeur m'exalte mais j'aperçois un détail que je n'avais pas remarqué à savoir qu'elle était tout de même très odorante et une petite trace marron sentait sa bonne odeur de cul… un régal que je ne pus m'empêcher de lécher délicatement…La nuit fut terrible après une pareil expérience et ce fut difficile de trouver le sommeil…

 

Le matin au réveil j'étais encore tout chamboulé de ça et descend dans la cuisine prendre mon petit déjeuner, personne n'est encore levé. Cinq minutes plus tard j'entends une porte à l'étage et c'est ma sœur qui descend, en chemise de nuit.

 

- Ça va Titou, bien dormi, t'as pas eu trop chaud ? me demande t'elle

- Nan, ça va, plutôt bien dormi… 

 

Si elle savait que j'avais pensé à son cul toute la nuit et que j'avais rêvé d'avoir sa bouche empalé sur ma bite…

 

Je ne me reconnais plus et lorsqu'elle s'approche me faire la bise habituel je fixe sa bouche et rêve de lui attraper sa langue et lui porter ma bite à sa bouche. Elle se penche pour prendre une tasse dans le lave-vaisselle et elle se retrouve penché de dos avec sa nuisette qui remonte jusqu'au haut de ses fesses et pas de culotte ! Quel spectacle ! J'entrevois sa belle fente et, surprise, de petites traces marrons autour de ses fesses, comme si elle venait d'aller aux toilettes et qu'elle ne s'était pas essuyée ! Et là c'en ai de trop, impossible de calmer mes envies et je rêve d'aller l'enculer là sur place… c'est terrible comme je suis dans un autre état. Je ne contrôle alors plus rien et je sens ma grosse bite gonflée et prendre forme dans mon caleçon et je ne porte que ça sur moi vu la chaleur, pourvu qu'elle ne s'en aperçoive pas… elle pose sa tasse et s'assoit en face de moi. Sa nuisette, mal fermée, laisse ressortir une partie de sa poitrine, et dans l'état où je suis c'est intenable et je me retrouve à fixer ses gros seins. Après un mouvement de sa part c'est carrément un téton que j'ai face à moi et mon caleçon est tendu sans qu'elle s'en rende compte. Bander autant devient presque douloureux et de voir en face de moi la bouche de ma sœur, et son téton pointer après avoir reluqué son gros cul me rend fou. Le pire advient après lorsqu'après avoir fixé son beau téton je relève les yeux et voit qu'elle m'a vu, et elle me sourit en refermant sa nuisette… j'en deviens dingue ! Une minute après elle fait tomber sa cuillère et la ramasse sous la table, j'en suis tétanisé ! Elle s'attarde et en remontant me dis avec un sourire de vicieuse :

 

- Alors tu m'as l'air un peu tendu ce matin… j'espère que ce n'est pas de ma faute… Dit-elle en descendant une main sous la table que j'imagine destinée à sa jolie chatte…

 

Pris de panique je change de sujet et comme je ne peux même pas me lever, j'attends qu'elle se lève et me tourne le dos pour aller filer à l'étage prendre ma douche et me décharger de toute cette excitation. Je rentre dans la salle de bain, le caleçon tendu vers l'avant et vais pour le descendre sauf que je me retrouve en face de Paul, nu, le sexe semi-bandé dans sa main droite…

 

- Excuse moi je ne savais pas que tu étais là… Lui dis-je ne réalisant même pas la situation….

- Nan, nan, rentre au contraire j'allais t'appeler, j'avais besoin d'un conseil. Il me dit.

 

Un conseil ? Il a sa bite dans sa main et il veut un conseil ? C'est quoi cette histoire ?

 

- Qu'est que tu veux me demander ? je lui dis

 

Il s'approche de moi et me montre son sexe qui malgré l'apparence et sa longueur n'étais même pas bandé, juste en semi-érection dans sa main. Il me dit alors :

 

- Tu vois c'est délicat mais je crois que j'ai chopé une petite allergie sur mon sexe et ça m'inquiète, j'ai pensé qu'entre hommes je pouvais te demander si ça t'étais déjà arrivé… 

 

Il me montre alors son sexe et le décalotte pour me laisser entrevoir un magnifique gland et une petite rougeur sous le frein.

 

- Tu vois je ne sais pas si c'est inquiétant ou pas, ça t'es déjà arrivé ? 

- Nan je crois pas. Je lui dis, et je me surprends à me mettre à genoux devant lui pour mieux voir.

- Je peux toucher ? Je lui demande.

- Vas-y oui, sans problème .

 

Je me retrouve à genoux devant lui avec sa belle bite énorme à 10 centimètres de moi en train de regarder sa rougeur. Sa bite sent fort et ça m'excite terriblement et j'en profite pour lui caresser la rougeur en lui demandant si ça lui faisait mal.

 

- Euh, nan, ça ne me fais rien… Me répond-il

 

Je marmonne deux trois mots et sens que sa bite gonfle entre mes doigts et prend une taille incroyable. En même temps dans mon caleçon ma bite a repris de sa vigueur et la situation devient très délicate, très gênante. De l'avoir gonflé entre mes doigts j'ai envie de la prendre à pleine bouche et de le pomper jusqu'à ce qu'il me crache tout en pleine face. Je sens qu'il n'est pas indifférent mais je ne sais pas s'il fera le pas de provoquer la situation. Je prends alors les choses en main, et je positionne ma main droite comme si j'allais le branler et part du bout de son gland énorme jusqu'au bout de sa tige en lui demandant si c'est douloureux. Il me répond alors tout troublé que non et d'un mouvement de bassin rentre son gland dans ma bouche qui n'attendait que ça et je me retrouve à sucer une bite, chose que je n'avais jamais faite. Elle est douce et tellement bonne que je descends mon caleçon pour caresser la mienne en même temps. Situation aussi incroyable qu'hier… je continue mes va-et-vient jusqu'à entendre les pas de ma sœur montant les escaliers et appelant Paul. Aussitôt je me faufile derrière le bac à linge et laisse Paul tout seul avec son sexe bien bandé. Ma sœur arrive alors et lui dit :

 

- Ah bah je vois que tu t'ennuies pas sans moi, ça t'as pas suffi la bonne pipe de ce matin mon gros cochon… t'en veux encore ? 

 

D'où je suis-je vois toute la scène et je suis au première loge, les yeux fixé sur son énorme bite que ma sœur prend d'une main.

 

- Oui j'en veux encore, ta bouche est magique pour ça, prend la tout de suite ! Il lui répond, en commençant déjà à doigter ma sœur qui a l'air d'apprécier…

- Ça rentre tout seul… et c'est encore chaud… Qu'est ce qui t'excite comme ça ma petite cochonne ?

- Mon frère en bas qui bandait comme un taureau tout à l'heure, il a maté mes seins ce petit pervers, et je suis sûre qu'il n'a pas loupé une seconde de mon cul vu que je n'avais pas de culotte, n'empêche que j'aurai bien pris en bouche sa grosse bite à lui aussi… en parlant de mon gros cul je t'ai fait une petite surprise, je ne me suis pas torché tout à l'heure pour que tu me nettoie ça, gros cochon que tu es… 

 

Elle lui tourne alors le dos et se cambre en avant pendant et écarte ses deux globes fessiers pour lui offrir ces délicieuses traces marrons que j'ai vu tout à l'heure…

 

- Hum, cochon va, nettoie bien avec ta langue…

 

Paul s'exécute alors avec un plaisir non dissimulé et semble faire comme s'il je n'étais pas là…

 

- Attends cochonne, vu l'état de ton cul j'imagine que ça doit être pareil à l'intérieur… 

 

Il lui met alors un doigt pendant qu'elle se tortille dans tous les sens et lui ressort sous son nez

 

- T'aime l'odeur de ton cul hein belle salope que tu es… 

 

Ma bite est gonflée et je me branle frénétiquement en sentant d'ici l'odeur du cul de ma sœur, c'est le rêve. Elle qui a dit qu'elle me sucerait bien ma bite. J'en peux plus d'excitation et je suis au paradis pendant qu'elle se fait doigter l'anus par Paul…

 

Paul dit alors :

 

- Sors de là petit salaud, viens nous rejoindre au lieu de te branler tout seul dans ton coin 

 

Mon souffle s'est coupé court et le monde s'est arrêté.

 

- Viens-là, t'as entendu ta sœur dire qu'elle aimera bien sucer ta grosse bite, viens… 

 

Je me lève alors, le sexe dressé jusqu'au nombril et regarde ma sœur qui me dit :

 

- Viens mon Titou, depuis le temps que j'ai envie de connaître son goût… en plus elle a l'air d'être à point, viens me la fourrer dans la bouche… 

 

Elle avait des yeux de cochonne et je n'ai pas hésité un moment à me placer devant elle pour lui offrir ma grosse bite. Elle a tout de suite ouvert sa bouche et j'ai commencé mes mouvements de va-et-vient dans sa grosse bouche pendant que Paul continuait de lui dilater son anus plein de merde afin de pouvoir mieux l'enculer ensuite.

 

J'étais sur une autre planète et ma sœur qui gémissait comme une bonne salope me dit alors :

 

- Qu'elle est bonne ta queue mon frangin, elle m'a manqué depuis l'époque où je te branlais dans ton bain pendant que tu t'amusais avec ma grosse chatte…, tu t'en souviens ?

- Nan ! Je lui réponds. Par contre c'est certain que maintenant je n'oublierai pas le goût de ta bouche et que tu vas souvent avoir ma grosse bite dans ta bouche, belle salope que tu es ! 

- Encule-moi mon Titou, j'ai tellement envie de ta queue dans mon cul, depuis le temps que j'en rêve… encule moi vas-y vite ! me crie-t-elle.

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Paul me laissa gentiment la place et je me retrouvai avec ma bite devant l'anus de ma sœur, bien dilaté et qui sentais une odeur bien excitante et malgré la grosseur de ma bite je n'eu pas de mal à entrer et à l'enculer cette bonne chienne de sœur ! Et je lui dis :

 

- Alors tu aimes la bite de ton Titou ? Grosse salope ! T'avais pas mis de culotte exprès pour voir bander ma grosse bite hein ? Et maintenant tu l'as dans le cul, tu la sens bien là ! Et t'as pas fini de la prendre et de la sentir sale chiennasse ! Maintenant tu me tailleras des pipes dès qu'on aura l'occasion salope !

- Oui mon chéri on a du temps à rattraper… et tu fais ça tellement bien… depuis le temps que j'observais ta bite en espérant la sentir en moi… 

 

Le mouvement était sauvage et elle adorait ça et ne se gênait pas pour crier ! Sa mouille coulait sur moi et tombait par terre, c'était l'extase à l'état pur. Pendant que je l'enculais, elle suçait Paul et son énorme bite qui finit par lui foutre tout son sperme dans sa bouche qu'elle avala jusqu'au bout.

 

Et ça a duré de bonnes minutes jusqu'à ce que je lui foute tout mon sperme dans son cul…

 

- Tu sais mon Titou, j'aimerais bien que Paul t'encule devant moi ! Elle me dit.

- C'est qu'elle est grosse ! Je lui réponds.

- Tourne toi, tu verra comme c'est bon !

 

Je me suis retourné offrant mon cul à la grosse bite de Paul

 

Advienne_que_pourra@hotmail.fr

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Samedi 18 décembre 2021 6 18 /12 /Déc /2021 18:52

Sophie, ma mère par James01

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Sophie, ma mère est une jolie femme de 48 ans, brune, les yeux marrons, elle mesure 1,65 et pèse environs 65 kg, elle possède quelques tenues sexy mais ne les porte que très rarement, je trouvais dommage qu'elle ne mette pas un peu plus en avant sa poitrine généreuse. (95 C). En ce qui concerne mon père, son métier l'oblige à être souvent en déplacement. Moi j'ai 25 ans je suis brun mesure 1,75 m et pèse 80 kg, étudiant et célibataire.

 

Je ne pensais que ma mère était une folle de sexe, mais il y a quelques jours alors que j'étais seul à la maison, en fouillant au hasard dans plusieurs dossiers de l'ordinateur, je suis tombé, après plusieurs sous dossiers sur le dossier "Cuisine". Que j'ai ouvert machinalement. Quelle ne fut pas ma surprise en ouvrant ce dossier de découvrir une série de photos qui n'avaient rien à voir avec la cuisine.  La première montrait ma mère fortement maquillée, chose dont elle n'a pas l'habitude, en sous-vêtements une main dans la culotte. De photos en photos je découvrais ma mère dans diverses positions, elle se doigtait, jouait avec des godes, je vis également qu'elle avait la chatte rasée, puis une autre photo la montrait en train de sucer un mec qui n'était pas mon père, puis elle se faisait baiser par encore un autre mec. La vue de ces photos me faisait bander, ma mère dans toutes les positions du kamasoutra, d'autres photos la montrait en pleins ébats avec une femme, sur une autre elle se faisait rougir les fesses à coup de cravache, et la plus surprenante était celle ou harnaché d'un gode-ceinture, elle enculait un jeune homme d'environ mon âge. La dernière photo l'exposait avec du sperme sur tout le corps et dans la bouche. Je ne pus me retenir et suis allé chercher dans la corbeille de linge sa petite culotte de la veille, je suis retourné devant l'écran, sorti mon sexe et l'enroulai du petit bout de tissu intime de ma mère, il me restait un sous-dossier à ouvrir, c'était un dossier vidéo, il montrait ma mère nue, les jambes écartées, elle récitait le texte suivant : 

 

"Je suis bien avec vous mes amis, vous me baisez et vous me traitez comme une chienne, j'aime tellement avoir un sexe bien raide dans la chatte et dans le cul, j'aime aussi me faire lécher par une femme, je suis vraiment prête à tout pour vous, maintenant je vais boire ce verre de sperme pour vous remercier de tout le plaisir que vous me donnez. Pissez-moi dessus pendant que je bois"

 

Pendant que je voyais ma mère boire le verre de sperme, je jouis dans sa culotte avec une force rare.

 

Grâce à ces photos je découvris une facette bien cachée de ma mère, et sachant que mon père était en déplacement, j'avais la ferme intention de la baiser comme elle aime. 

 

J'élaborais un plan tout simple, j'imprimais une dizaine de ces photos et les étalais sur la table de la salle à manger. Quand elle rentra elle poussa un cri de surprise.

 

- Qu'est-ce que ça signifie ? M'apostropha-t-elle.

- Rien, j'ai trouvé, ça, ça ne m'a pas choqué, ça m'a même excité.

- Eh bien tant mieux pour toi ! 

- Tu ne serais pas ma mère… Ajoutais-je en omettant de finir ma phrase.

- Si vraiment ça te dis, ça peut se faire ! Répondit-elle à ma grande surprise.

- Dans ce cas…je vais peut-être me laisser tenter

- Pourquoi pas, ça ne fera du mal à personne. Attends-moi, je reviens.

 

Elle se dirigea vers sa chambre et après quelques minutes revint dans le salon. Elle portait de longs bas noirs, un string blanc assorti à son soutif qui lui compressait les seins. Elle est superbe je résistais pour ne pas lui sauter dessus, je m'approcha doucement d'elle, et commença à la caresser, mes mains parcouraient son corps, je m'attardais un instant sur ses fesses bien fermes, je la fis asseoir sur le canapé et lui ôtai délicatement ce string qui cachait son intimité, je lui écartai les jambes au maximum et plongeai ma tête entre ses cuisses, je la léchais avec plaisir et à en croire ses soupirs elle aussi commençait à prendre du plaisir, sa chatte était tout ouverte et ma langue visitait ce trou tout humide, en effet elle mouillait vraiment beaucoup, je me relevais pour m'occuper de ses seins un moment, je dégrafa son soutien-gorge, je soupesais ses deux énormes nichons et tétais ses pointes toutes dures, je redescendis ensuite vers son sexe et lui enfila deux doigts et commença à la masturber tout en lui léchant son clito prêt à exploser, sa position me permettait d'apercevoir son petit trou du cul, je sortis mes doigts de sa chatte et lui enfila un doigt trempé de mouille dans son anus, elle se mordillait les lèvres pour ne pas crier son plaisir, j'approcha ma bouche de son visage et nous nous sommes embrassés comme un couple d'amant. Nos langues se mélangeaient ainsi que notre salive, puis je me mis debout devant elle en lui indiquant du doigt mon sexe, elle s'agenouilla, dégrafa mon pantalon et libéra ma bite de mon caleçon puis l'engloutis au fond de sa bouche. Elle me pompait tout en me caressant les couilles, elle léchait mon gland comme une reine, elle savait vraiment y faire, je dus l'arrêter pour ne pas jouir trop vite tellement elle me tétait avec entrain. Elle se lâcha complètement en m'adressant un :

 

- Viens me baiser !"

 Sophie James

Je l'allongeai sur le dos, fouillai encore sa chatte avec ma langue et enfin positionnai ma bite à l'entrée de son vagin, j'introduisis mon sexe raide comme un bâton dans sa chatte tellement humide et commençais mes va-et-vient, ses deux énormes miches se balançaient, elle atteint un orgasme violent à en croire ses cris, je la pilonnais de plus en plus vite, j'avais l'impression que mon sexe grossissait encore. Je l'invitais à venir se positionner sur moi de manière que l'on puisse s'embrasser, c'était merveilleux je la baisais par la chatte et ma langue se mêlait une nouvelle fois à la sienne, et en plus je commençais à écarter ses fesses pour la préparer à la sodomie. Son cul me faisait tellement envie, je la soulevai et la fis mettre à quatre pattes, le cul bien en avant, je plongea ma langue dans son anus, puis un doigt, puis deux doigts et la masturbai par le cul, une fois son orifice bien dilaté je crachai un coup dedans et rentrai ma bite à l'intérieur, quelle sensation superbe d'être dans un cul et qui plus est celui de ma mère ? Pendant ce temps elle se masturbait, en effet elle avait trois doigts dans la chatte deux dans la bouche et ma bite qui lui défonçait le cul, nos cris de plaisir résonnaient dans la pièce, elle aimait vraiment çà. J'alternais maintenant entre sa chatte et son cul, je lui demandais ensuite de se mettre sur le dos afin de voir son visage de salope qui aime se faire enculer, je rentrai donc une nouvelle fois ma bite dans ce conduit étroit, son visage était vraiment celui d'une chienne que l'on voit dans les films X, dans cette position ma bite était vraiment serré et je sentais ma jouissance monter, je sortis mon sexe et alla lui présenter au visage, elle le saisit et commença à me masturber avec la bouche grande ouverte moi aussi je la branlais pour récupérer sa mouille encore abondante, mais ne pouvant plus me retenir et dans un dernière effort je lui éjacula dans la bouche avec une force inouïe. Jamais je n'avais autant joui, ma mère me lécha pour récupérer les dernières goûtes de sperme qui perlaient sur mon sexe. Elle m'a ensuite demandé de lui pisser dessus, d'abord sur sa belle poitrine puis sans sa bouche gourmande.  Nous nous sommes enlacés épuisés par notre séance de baise.

 

Elle me remercia de l'avoir fait jouir avec autant de force, je la remerciai également. Elle me fit comprendre qu'elle avait de gros besoins sexuels que mon père ne pouvait la satisfaire n'étant jamais là et c'est pour cela qu'elle allait voir ailleurs. Elle me dit également que quand mon père sera en déplacement nous pourrions recommencer, nous sommes allés nous doucher en nous lavant mutuellement, et nous nous sommes dirigés vers la chambre nous avons dormis ensemble complètement nus et le lendemain matin j'eus la chance d'être réveillé par ma mère qui me pompait le dard. Elle cessa sa fellation pour ouvrir son tiroir de chevet d'où elle sortit un joli godemichet 

 

- Tourne-toi, je vais te l'enfoncer dans le cul !

- Mais non ! Protestais-je

- Tu as voulu baiser ta mère, j'ai accepté, alors tu ne vas pas me refuser ce petit caprice, tous les hommes aiment ça quand c'est bien fait, fait moi confiance.

 

Et c'est ainsi que pour la première fois de ma vie je me suis retrouvé avec un gode dans le cul, j'ai beaucoup aimé la sensation qu'il m'a procuré

 

- Evidemment, ça ne vaut pas une vrai bite, mais on pourra arranger ça quand je te présenterais mes amis

- Mes enfin, maman…

- Enfin quoi ? 

 

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : James
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