Lundi 11 juillet 2022 1 11 /07 /Juil /2022 11:03

Corinne et l’auto-stoppeur par Elros
zoo

 

La semaine est finie. Yohann a terminé cette mission compliquée en province. Prêt à partir, il apprend par la radio que le trafic ferroviaire est complètement arrêté suite à une grève surprise des conducteurs.

– Eh bien, il ne me reste plus qu’à faire du stop…

Yohann se dirige vers la route nationale, avec son sac à dos plein. Il fait chaud, sous ce soleil de début mai. Il a environ 500 mètres à faire à pied avant d’atteindre l’endroit stratégique. Une fois arrivé, il pose son sac et commence à attendre. Il y a peu de voitures.

Au bout d’un quart d’heure, une Golf rouge met son clignotant et s’arrête à sa hauteur. La vitre s’abaisse. La conductrice, une jeune femme blonde d’une vingtaine d’années lui demande où il va. Elle lui dit se rendre à Annecy et lui propose donc de l’emmener. Yohann est d’accord.

Il ouvre la portière arrière et se retrouve nez à nez avec un chien imposant, un border collie.

– N’ayez pas peur. Posez votre sac et venez devant avec moi. Mon chien n’est pas méchant ! Dit-elle

Yohann pose son sac et vient s’asseoir à côté de la conductrice. Celle-ci démarre et commence à rouler.

– Cela ne vous dérange pas si nous prenons des petites routes ? J’ai horreur des nationales et autoroute.
– Non, non. Faites comme vous le souhaitez.
– Merci. Cela va nous prendre un peu plus de temps, mais c’est tellement plus sympa.

Ils roulent donc sur les petites départementale, tout en discutant. Il apprend qu’elle se nomme Corinne, qu’elle est célibataire et qu’elle fait le voyage tous les vendredis. Elle travaille à Gap et dispose d’une maison sur les hauteurs d’Annecy.

– Il fait vraiment chaud. Si on s’arrêtait au prochain village pour boire quelque chose ? Propose Corinne
– D’accord, mais c’est moi qui t’invite !
– OK.

Ils s’arrêtent donc au village suivant. Ils s’installent à la terrasse d’un café, situé en retrait de la rue, sous des platanes. Yohann commande une bière tandis que Corinne demande un diabolo menthe et de l’eau pour Jippy, son chien. Elle se lève et dit :

– J’ai un peu chaud comme cela. Je vais me changer. Tu m’attends ici avec Jippy ?
– Euh, il va être sage ? Bon, d’accord.

Elle revient, 5 minutes plus tard, vêtue d’une petite jupette et d’un débardeur.

– Ouf, comme cela, ça ira mieux !

Elle est face à Yohann. Alors qu’elle se penche sur le côté pour regarder son chien, Yohann peut alors distinguer sa poitrine par l’échancrure du débardeur. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Alors qu’elle se relève, leurs regards se croisent et elle comprend ce qu’il a vu.

– Ç’a t’a plu ? Tu pourrais quand même vérifier l’écuelle de Jippy de temps en temps !

Yohann se penche pour regarder l’écuelle sous la table, Il voit alors Corinne, les jambes bien écartées. Elle ne porte pas de culotte non plus. Il découvre son sexe, rasé de prés. Il se redresse brusquement, et se cogne la tête sur le bord de la table. Corinne éclate de rire.

– Alors, on redemande de l’eau ou pas pour Jippy ?
– Je ne sais pas. Je n’ai pas eu le temps de voir.!

Corinne rit et se trémousse sur sa chaise. Ils boivent leur consommation, payent et repartent, sans avoir échangé un mot de plus. Ils roulent à nouveau, quand Corinne met son clignotant et tourne dans un petit chemin de terre, à droite.

Elle roule pendant 1 à 2 kilomètres et tourne encore une fois à droite dans un petit chemin herbeux. Elle roule pendant environ 500 mètres. Ils arrivent dans une sorte de clairière, avec une grange dans le fond. Elle s’arrête et coupe le moteur.

Yohann un peu inquiet demande :

– Qu’est-ce que tu fais ? On est où là ?
– Ne t’inquiètes pas. Ici, on est tranquille et personne ne viendra nous déranger.

Elle ouvre la portière arrière et Jippy sort de la voiture. Il commence à courir tout autour. Pendant ce temps, Corinne retire son débardeur. Ses seins, ronds et fermes apparaissent complètement. Ils possèdent une auréole fine et des tétons fièrement dressés.

– Corinne, tu… , enfin je… mais quand même, tu vas pas… si on fait…

Elle sort alors de la voiture et retire sa jupe. Elle est là, dehors, totalement nue. Yohann sort aussi et se dirige vers elle.

– Si c’est ce que tu veux, alors d’accord. Suce-moi !

Elle se met à genoux devant lui et commence à lui défaire sa ceinture. Puis elle attaque la braguette. Elle lui descend le pantalon sur les chevilles. Elle retire alors son slip. La verge de Yohann apparaît devant elle, tendue, les reflets du soleil brillant dessus. Elle le caresse, prenant ses couilles dans une main. Elle approche ses lèvres, et commence à le sucer. Elle mordille son gland, s’amuse avec sa langue. Puis elle se relève et se couche, dos au capot de la voiture.

– Lèches moi. Prépare-moi bien, que je mouille.

Yohann s’approche de cette chatte offerte et commence à promener sa langue sur les lèvres. Puis, il l’immisce entre les lèvres, à la recherche du clitoris. Il enfonce ses doigts dans la chatte et commence à la branler. Elle mouille de plus en plus. Elle se redresse et lui dit :

– Arrête maintenant. Je vais te sucer à nouveau. Appuis-toi à la voiture.

Et elle se met à quatre pattes devant lui, prends sa bite dans une main et siffle.

– Jippy, approche !

Yohann constate alors que le chien était là, assis en train de les regarder. Sa bite sortait du manchon, rouge. Il approche de Corinne et commence à lui lécher la chatte. A ce moment, elle avale complètement le sexe de Yohann. Le chien monte alors sur son dos et commence à donner des coups de reins. Il veut la baiser. Elle crie :

– Oui mon chien. Prends-moi bien pendant que je le suce. Enfonce-toi en moi. Fais-moi jouir !

Elle prend la bite de Yohann dans la bouche et passe sa main libre sous elle. Elle prend alors le manchon de son chien, le pousses à fond, vers les couilles, dégageant complètement le sexe rouge et gonflé. Cette pine, pointue est aussi grosse que celle d’un homme. Elle la prend dans la main et la dirige vers l’entrée de sa chatte. Le chien donne toujours de petits coups de reins. Petit à petit, son sexe la pénètre. Le chien se rétablit sur son dos, enfonçant sa queue un peu plus profondément. Il s’active de plus en plus, tandis que Corinne pompe de plus en plus la bite de Yohann. Le chien halète lentement au début, de plus en plus vite. Il bave sur le dos de Corinne.

Sa pine ressort de la chatte de Corinne. Il s’active essayant de la pénétrer à nouveau. Les seuls effets sont de frotter sa verge sur les fesses de Corinne, l’enculant presque. Corinne essaie alors de la reprendre par la main pour la remettre dans sa fente. Le frottement sur son cul associé au toucher de la main le font jouir. Il halète énormément et crache son foutre. Celui-ci, plus liquide que le sperme humain, gicle en longs jets qui vont s’écraser dans le dos, jusqu’au cou et dans les cheveux blonds. Il couine un peu. Plusieurs jets conséquents de sperme se répandent ainsi dans le dos.

Devant ce spectacle, Yohann n’en peut plus. Il se raidit, entrant sa pine au fond de la gorge de Corinne qui se rétracte. Le premier jet de sperme s’écrase au bord de sa bouche et sur ses joues. Elle ouvre la bouche en grand et le jet suivant va s’écraser à l’intérieur. Elle referme la bouche pour l’avaler et relève alors la bite de Yohann. Les jets suivants s’écrasent alors sur ses yeux et ses cheveux. Puis, elle se caresse le visage avec le gland, étalant le sperme, pendant que Jippy se retire et va s’allonger à côté de sa maîtresse.

Corinne se relève alors et va le caresser. Il s’allonge alors sur le dos et écarte les pattes. Elle lui caresse les bourses et le sexe, penchée en avant.

Yohann voit alors sa chatte d’où s’écoule un peu de sperme. Puis elle se met debout, s’approche de lui, lui prend la main et l’entraîne vers la grange. Elle lui dit :

– Reposes toi un peu à l’ombre. Je reviens tout de suite.

Il s’allonge sous un arbre et ferme les yeux. Jippy vient le rejoindre. Il s’approche de lui et commence à lui sentir le sexe. Il lui lèche les couilles et la bite. Yohann se redresse alors et le repousse gentiment, c’est quand même un chien. Mais Jippy recommence. Corinne revient alors, tirant un âne derrière elle. Elle s’approche de Yohann et lui dit :

– Je vois que Jippy t’aime bien. Ma chatte lui est réservée. Que dirais tu de jouir dans mon cul maintenant ? Moi, je sucerais Milon ! Dit-elle en désignant l’âne.
– Là, maintenant ?
– Oui, pas dans deux heures. Alors ?
– Euh, bon d’accord. Mais il faut que tu m’aides ?
– Jippy va s’en charger. Hein Jippy ? Suce-le !

Le chien se précipite alors sur le sexe de Yohann et se met à le lécher frénétiquement. Sa langue lui lèche aussi le cul. Cela semble plaire à Yohann car sa bite se redresse petit à petit. Pendant ce temps, Corinne est passée sous le ventre de l’âne et lui a saisi le sexe. Elle commence à le branler lentement à travers le manchon et l’on voit le sexe s’allonger et grossir progressivement. Elle le dégage progressivement. Sa bite est noire, assez grosse. Elle en suce le gland puis toute la partie découverte. Elle le branle lentement. Elle se tourne par moment pour contrôler l’érection de Yohann. Au bout d’un moment elle dit :

– Branles toi un peu, maintenant Jippy va me préparer. Jippy ! Viens là ! Lèche-moi le cul !

00CorinneEt en disant cela, elle se met à quatre pattes, écartes les jambes et tend son cul vers l’arrière. Jippy se tourne et se précipite vers sa maîtresse. Il pose sa truffe entre ses fesses et commence à la lécher. Pendant ce temps, Corinne essaie d’avaler la bite de Milon. Elle ne parvient qu’à enfourner légèrement le gland. Elle passe constamment sa langue sur cette pine énorme et noire. Elle titille le gland et essaie d’écarter le méat urinaire avec sa langue. On voit la poitrine de l’âne se soulever de plus en plus rapidement. Avec sa jambe, elle écarte Jippy et dit :

– Yohann, viens maintenant. Prends-moi dans le cul.

Yohann s’approche alors, la bite à la main. Il se place derrière Corinne et lui pose la bite sur l’anus, complètement mouillé et légèrement dilaté. Jippy approche son museau et redonne quelques coups de langue. D’une poussée, Yohann entre son gland dans ce cul, rond et chaud. Il s’enfonce progressivement.

Jippy, est maintenant passé sous Corinne et lui lèche la chatte. Yohann sent ses coups de langue sur ses testicules. Corinne branle toujours l’âne qui se met à braire et qui décharge. Son sperme abondant et liquide va se répandre sur le visage et les cheveux de Corinne. Elle tente d’en avaler un peu. Elle semble jouir car elle se trémousse et pousse de nombreux cris. Yohann, entre les mouvements de son cul et la langue de Jippy, n’en peux plus et éjacules dans son cul. Il s’enfonce le plus profondément possible et décharge, en longs jets brûlants. Il râle et sa jouissance est immense. On entend couiner le chien qui décharge dans la main de Corinne qui était en train de le branler.

Tout le monde se relève alors et Corinne, dégoulinante de sperme, prend Milon par le licol et va le ranger dans la grange. Lorsqu’elle revient, elle semble un peu plus propre.

Il y a là-bas un peu d’eau. J’ai pu me débarbouiller. Mais maintenant, il faut repartir.

Ben oui, les meilleures choses ont une fin !

Léger rewriting d’un texte paru en 2000 sur le site de Revebebe, puis passé à la trappe. Les modifications effectuées l’ont été en respectant l’esprit du récit original

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Samedi 9 juillet 2022 6 09 /07 /Juil /2022 11:43

Le travesti et le dalmatien par TransMonique
coin102

 

Bonjour, voici un récit de pure fiction qui m’a été inspiré par certaines bonnes lectures sur ce site.

C’est parti !

J’ai 29 ans, je me travesti et suis artiste de cabaret. Alors inévitablement, on finit par être sollicité par des clients qui souhaitent des prestations « extérieures ».

Au début j’étais plutôt réticent et puis j’ai fini par me dire qu’il serait bête de refuser de l’argent aussi facile. Et outre les rendez-vous pris à l’intérieur du cabaret, je passais aussi quelques annonces.

Donc me voilà un peu pute !

Je m’en vais donc vous narrer l’une de ces rencontres, la plus insolite, pourrait-on dire.

Aujourd’hui c’est perruque blonde, petit caraco rose, string assorti, minijupe en vinyle noir, porte-jarretelles et bas résille, escarpins vertigineux de chez Louboutin. Je suis rasé de près partout, savamment maquillé et les ongles manucurés. Je me contemple dans le miroir. Je m’adore comme ça !

Je passe sur le luxe de précautions que m’a fait prendre mon client du jour, parce qu’après tout, quel intérêt !.

Je n’ai jamais su le nom de ces gens. C’est le grand luxe, pavillon en meulière, jardin fleuri parfaitement entretenu, escalier bordé de statuettes…Une femme mature très classe et ma foi fort appétissante me fait entrer. Elle est en robe de chambre, du satin rouge quand même…

Ça pue le fric là-dedans, meubles de style, tableaux sur les murs, objets tape-à-l’œil et j’en passe. La musique diffuse des valses de Johan Strauss. J’ignore si c’est de circonstance, mais ça ne me déplait guère.

– Mon mari arrive de suite, il finit de se laver la bite

Je suppose que cette vulgarité est volontaire et j’esquisse un sourire qui se voudrait complice.

– Votre rétribution est dans l’enveloppe sur la cheminée, vous avez le droit de recompter.

Elle me laisse seul un instant. Je ne recompte pas les sous, mais jette un coup d’œil, puis madame revient, suivi du mari et du chien.

Mon regard va d’abord sur l’animal, c’est un dalmatien, et je sais ce qu’il me faudra faire avec le moment venu.

Le mari, est en blazer bleu marine, chemise blanche et cravate. C’est dingue ça de rester en cravate à la maison ! Quelle manque de décontraction.

– C’est donc vous, Monique ! M’interpelle-t-il.
– Ben oui, c’est moi !
– Vous êtes une très belle pute !
– Merci monsieur !
– Un petit rafraichissement avant de passer aux choses sérieuses ?
– Avec plaisir !
– Le pipi de madame vous conviendrait-il ?.
– Pourquoi pas ?
– Vous ne boirez pas à la source, il serait dommage d’abimer votre beau maquillage, nous allons procéder différemment

Il se dirige vers un guéridon sur lequel ont été déposés fort opportunément sur un plateau d’argent trois verres à pied en cristal.

La femme se débarrasse de sa robe de chambre sous laquelle elle est entièrement nue. Jolie femme, belle poitrine incitant à la caresse..

– Me trouvez-vous baisable ? Me demande-t-elle.
– Oui, madame vous êtes très belle !
– Ce n’était pas ça, la question !
– Oui, vous êtes baisable, madame !
– Dites-moi que je suis une belle salope !
– Vous êtes une belle salope, madame !
– Une morue, un garage à bites…
– Oui, vous êtes tout ça madame !
– Et vous allez boire ma pisse de pute !
– Avec plaisir, madame.

Elle s’empare de l’un des verres, le porte sous sa chatte et pisse dedans.

J’aime bien les jeux uro pour leur côtés coquins (pour ne pas dire pervers), j’aime qu’on m’urine sur la bite, ou dans la bouche. Boire de l’urine dans un verre fait, pour ce qui me concerne, perdre de l’intérêt à la chose. Mais bon, il serait déplacé de faire une quelconque remarque, après tout, ces gens-là m’ont grassement payé !

Je bois donc le pipi de la dame, ces messieurs dame ne trinquent pas avec moi, pas bien grave..

– Ma femme va vous sucer la bite et quand elle sera bien raide, vous allez m’enculer ! M’informe Monsieur.
– Pas de problème. Je suis à votre disposition.

Je suis d’ordinaire davantage passif qu’actif dans mes rapports sexuels, mais je sais m’adapter.

– A toi de jouer, salope !

Comment il parle à sa femme, ce mec !

Je retire ma mini-jupe et écarte mon string afin de laisser sorti mon zigouigoui, et la dame vient y poser ses douces lèvres.

Oh ! Mais c’est qu’elle suce super bien la bourgeoise, et très vite ma bite bande comme une baguette de tambour. (une grosse baguette) .

– Il est prêt, je crois ! Constate-t-elle en se redressant.
– Bel engin en effet !

Monsieur pose alors son blazer sur un dossier de chaise, puis retire son pantalon et son caleçon. Par contre il conserve chemise et cravate ! Dingue ça, je vais enculer un mec en cravate !

– Il se tourne, me montre son cul !
– Alors ma chère, comment trouver vous mon cul ?

Il est moche son cul ! Mais je ne vais pas lui dire.

– Hum il me plait bien je vais avoir grand plaisir à vous enculer !
– N’est-ce pas que j’ai un cul d’enculé !
– Absolument, vous avez un cul d’enculé !
– Préparez-moi ! Un peu de langue, un peu de doigts

J’ai connu des anus plus sympathiques, mais bon en fermant les yeux, ça le fait, je lui lèche donc le troufignon avec application, à ce point que son trou du cul se met à bailler. J’en profite pour lui introduire un doigt que je fais aller et venir, puis je fais entrer un second doigt, puis un troisième. Voilà qui fait miauler notre homme.

– Ça suffit les doigts, enculez-le maintenant ! M’ordonne la dame.

Puisque c’est demandé gentiment… On me tend une capote et une dosette de gel. Et allons-y la jeunesse !

– Ça te plait de te faire enculer, Hubert, espèce de gros pédé ! Le nargue son épouse.
– Oh, oui ! Je ne suis qu’un pédé qui se fait enculer par un travelo devant sa salope de femme.
– T’est qu’une morue, une tafiole !

Je suis tombé sur des poétes !

– Et toi le travelo, tu ne jouis pas, les réjouissances ne sont pas terminées !

Ben oui, je sais ce qui m’attends, donc je décule.

– Oh ! Qu’est-ce c’est bon une bite dans le cul ! Commente Monsieur.
– Je suis bien d’accord avec vous !
– Je ne comprendrais jamais les gens qui refusent de se faire enculer ! S’ils savaient ce qu’ils perdent ! Poursuit ce grand philosophe.
– Bon, on passe à la suite ? Demande Madame.
– On y va !

Madame s’assoit sur le canapé et m’invite à venir à ses côtés.

– Pelotez moi les nichons, jeune fille !

C’est moi la « jeune fille ! »

Je lui caresse ses jolis seins, j’agace un peu ses gros tétons érigés.

– Mieux que ça, plus fort ! Pincez-moi, mordez-les, je ne suis pas en sucre !

Et pendant que je maltraite les nénés de la bourgeoise, son mari s’est emparé d’une carotte (elle sort d’où la carotte ?) et se ramone le cul avec.

– Fouille moi la chatte maintenant ! Me demande la dame !

C’est tout mouillé là-dedans, j’enfonce un doigt qui émet un étrange bruit de floc-floc

– Ça va être bon ! Viens Lancelot !

C’est qui Lancelot ? C’est le chien. Il vient lécher mémère avec frénésie.

– Ah que c’est bon, je plains les nanas qui ne connaissent pas ce plaisir ! Aaaah !

Ma parole elle va jouir ! Déjà ? Ben oui ! Et c’est guère discret.

Elle souffle un peu, puis récupérant un peu de sa mouille ave sa main elle m’en badigeonne ma bite.

Ce n’est pas ma première expérience zoo, mais les deux autres fois le chien ne m’avait pas léché. C’est donc un pas à franchir !

TransMoniqueMoment fatidique ! Un peu d’appréhension, en principe un chien ne mord jamais dans ces moment-là, il se contente de lécher, mais sait-on jamais, un coup de folie… et hop, plus de bite !

De sa main gluante, Madame dirige le chien vers mon sexe, et le voilà qui me lèche ! Putain quelle langue. Non seulement c’est excitant « physiquement », mais la situation est quand même super bandante. Je crains de partir trop vite et en prévient la dame.

– O.K, on va faire un petite pause, couché le chien ! Mais j’y pense, je manque à tout mes devoirs ! Je ne vous ai pas montré mon cul !
– Je ne crois pas non !
– Les aimez-vous un peu sales.
– Disons que ça ne me dérange pas !
– Eh bien, ça tombe à pic, figurez-vous que ce matin, j’ai chié un gros boudin et je ne me suis pas torché. Je me suis dit que peut-être vous pourriez me le nettoyer ?
– Je suis à votre disposition, madame !

Elle se lève, se retourne et m’exhibe son cul, un joli cul ma foi, à ceci près qu’il est mal torché.

– Allez, servez-vous de votre langue !

J’avais craint un moment que le tableau serait catastrophique, ce n’est pas le cas, quelques traces marrons quand même. Un odeur d’andouillette qui n’a rien d’insurmontable, j’approche ma langue, je lèche ! En fait je suis loin de détester ça.

– Alors ? Vous appréciez ?
– Oui, madame, votre merde est délicieuse.

Je continue à lécher, puis ma langue vient fureter dans le petit trou.

– Je suppose que c’est terminé ?
– Oui, madame !
– Votre bouche doit avoir le gout de ma merde ?
– Probablement, madame !

Et là se produisit l’impensable, la dame approche sa bouche de la mienne et me roule un patin d’enfer, un patin tellement baveux que de la salive dégouline sur mon menton.

« Merde mon maquillage ! »

– On peut reprendre, maintenant ? Me propose-t-elle.

Elle rappelle Lancelot, passe sa main sous son ventre afin de l’exciter en lui tripotant le sexe. Quand il fut sorti de son fourreau, convenablement bandé elle le fait passer entre ses cuisses et l’embouche sans autre forme de procès.

– Vous, je veux vous voir sucer la bite de mon chien !

Pas de problème, je l’ai déjà fait, et me met à sucer cette queue rouge et visqueuse, je m’en régale tellement la chose est perverse.

– C’est bon la bite de chien, n’est-ce pas ?
– C’est divin madame !
– Et maintenant il va vous enculer !
– Oui, madame !
– Et vous n’avez pas honte ?
– Euh… que dois-je répondre ?
– Ce que vous voulez !
– Alors j’ai honte, mais ça m’excite !
– Vous n’êtes qu’une salope !
– Oui madame !
– Comme moi !
– Oui madame, nous sommes deux salopes qui baisons avec les chiens.
– Alors en position !

La bite du dalmatien est de taille convenable, visqueuse comme elle est je ne vais pas avoir besoin de lubrifiant. Je me mets en levrette, la dame aide le chien à entrer sa bite dans mon cul… et c’est parti. Dans mes expériences précédentes j’avais juste sucé, mais le fantasme de me faire prendre était resté tenance.

Curieuse sensation, l’animal me lime avec une cadence infernale, à ce point qu’au début c’est carrément gênant, après ça va mieux et des ondes de plaisir ne tardent pas à m’envahir.

La dame met fin à l’acte, afin, me dit-elle que je ne reste pas bloqué, et m’indique que si je veux me soulager, je peux lui juter au visage et sur sa poitrine.

Je ne m’en suis pas privé et bientôt mon sperme vint tapisser les nichons et la frimousse de cette charmante personne.

Pendant ce temps, monsieur, la carotte toujours flanqué dans son cul jouissait dans un kleenex.

On m’a proposé une boisson (une vraie) on m’a appelé un taxi.

Je suis rentré, pas mécontent de cette expérience. Avec les sous qu’ils m’ont donnés, je vais pouvoir m’acheter plein de petits trucs afin que je sois encore plus belle !

fin

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Mercredi 29 juin 2022 3 29 /06 /Juin /2022 13:16

La prêtresse d’Anubis par Marie-Paule Perez
zoo

C’est aujourd’hui le jour propice,
Celui de mon ordination
Comme prêtresse d’Anubis.
Ils sont tous là, par tradition :
Les vielles prêtresses
Qui ont tant donné de leurs fesses,
D’autres plus jeunes et délurées
Nues et peinturlurées,
Le sexe généreux et ouvert
Aux diables de l’enfer.
Les prêtres, les scribes, les gardes
Guettent le signal du porteur de hallebarde.
On m’enlève ma toge, on la jette au feu
Et je monte les marches deux par deux.
Ramon m’attend sur l’estrade
Très digne, comme à la parade
Il tient en laisse, Travis,
Le chien sacré, symbole du vice.
Deux officiants couchent la bête
Le font bander. Sa bite est prête
– Suce, salope ! M’ordonne-t-on.
Je suce la bite du chien, c’est bon,
Elle est visqueuse, je bave,
Et je lèche sans ambages

Anubis
– Suffit maintenant, deviens sa chienne
Je me positionne à la phénicienne,
Dare, dare, le chien me sodomise,
Je suis sa pute et sa soumise.
Les chœurs retentissent
Pour la gloire d’Anubis !
– Elle est des nôooootres,
– Elle est une chienne comme les autres.
Je salue la foule, signe des autographes,
Pose pour les photographes.
Me voilà prêtresse d’Anubis
Et bien excitée du clitoris !
Mais c’est quoi cette langue
Sur ma chatte non exsangue ?
Pardi, c’est mon chien
Qui présentement, me lèche bien.
Il vient me faire l’amour, ce touche-à-tout :
– Une seconde, mon toutou,
Je viens de faire un rêve insensé
Laisse-moi récupérer
Et ensuite nous allons baiser
Comme des forcenés !
Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-Paule Perez
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Samedi 25 juin 2022 6 25 /06 /Juin /2022 08:42

Martinov 24 – L’énigme du hangar – 12 – Assaut sur le bipède par Maud-Anne Amaro
stamp blackette

 

Brachet

Caroline, la copine de Brachet a donc fait sa valise et est retourné chez sa maman.

Une situation qui ajoutée à la visite musclée de Gérard Petit-Couture n’arrange pas le moral du dit Brachet

Inquiet il téléphone à Kamel dont il sait qu’il est l’un de ceux qui surveille le hangar de la ZI des trois couronnes..

– Dis donc, tu sais exactement ce qu’on nous fait faire ? Lui demande-t-il
– Juste de la surveillance peinard. On se fait chier, mais au moins c’est pas fatigant.
– Tu sais ce qu’il y a dans le hangar ?
– Non mais je m’en fous.
– Je te dis ça parce que j’ai eu la visite d’un mec, peut-être un flic mais c’est pas sûr, il m’a laissé ligoté et bâillonné pendant toute une partie de la journée et pendant ce temps-là une pétasse surveillait ma femme.
– Oh ! Tu me racontes pas des conneries ?
– Non !
– Et quel rapport avec le hangar ?

Brachet lui explique mieux…

– Bon tu ne sais vraiment pas ce qu’il y a dans le hangar ? Insiste-t-il.
– Pédro m’a dit que ce devait être des armes !
– Je m’en doutais un peu, j’ai la trouille je vais me retirer de ce truc… Et toi ?
– Je vais voir, je vais réfléchir.

Brachet raccroche et il lui vient une idée qu’il pense géniale. Il s’habille, prend sa bagnole et s’en va à la porte de Montreuil. Il s’arrête devant une boutique indiquée « téléphonie » C’est le magasin des frères Attar. Ils vendent des téléphones, des godasses de marques mais ils ont aussi une arrière-boutique avec des choses plus hard, pas de drogue, (personne ne trafique de la drogue, c’est bien connu !) mais des armes interdites à la vente ou des produits pharmaceutiques qui ne sont normalement délivré que sur ordonnance.

– J’ai l’adresse d’un hangar où est déposé un stock d’armes, ça vous intéresse ?
– Le tuyau est sûr !
– Complètement.
– Ça peut nous intéresser ! Tu veux quoi en échange ?
– Une belle enveloppe !
– Avec combien dedans ?
– C’est vous qui verrez !

Il leur donne l’adresse, ce qui leur permet de repérer les lieux dans la foulée. Et le soir même les frères Atar volent une camionnette qui leur servira d’abord de voiture bélier pour enfoncer la porte du hangar et ensuite de voiture relais pour acheminer leur butin.

Ils ne passent même pas par la case « vigile », ils foncent dans la porte qui s’écroule et entrent. Le maitre-chien tente de s’interposer. Le chien est froidement abattu, le vigile violemment frappé au visage.

– Bon comment on allume ?
– On s’en fout, on a nos lampes torches !
– Putain, tu as vu le nombre de caisses !
– Allons-y, c’est quoi ça ? Des éponges, encore des éponges… j’ai compris faut trouver les bonnes caisses, ça risque de prendre un moment.
– Balise pas !

A plusieurs kilomètres de là, l’écran de contrôle de la vidéosurveillance couine, Olivia et Amélie accourent

– Merde c’est qui ceux-là ? S’égosille Olivia
– Les sbires de Krypton à tous les coups.
– Appelle la police.
– S’ils remontent jusqu’à Krypton, on ne pourra pas faire l’opération ! Objecte Amélie.
– Ils ne remonteront pas jusqu’à Krypton, il a dû prendre ses précautions.

Amélie prévient la police qui est sur les lieux cinq minutes plus tard.

Les frères Atar n’offrent aucune résistance.

– Vous foutiez quoi là-dedans ?
– On nous a dit qu’il y avait un trésor.
– Et vous l’avez trouvé ?
– Non pour l’instant on a trouvé que des éponges en métal.

Deux policiers vérifient les caisses qui sont devant eux : des éponges, encore des éponges.

– C’est quoi ce cirque ?
– Bon on les embarque.
– Mais qui a appelé la police ? Demande l’un des poulets.
– On s’en fout, on ne va pas ouvrir une enquête pour un vol d’éponges !
– Il y a une porte de défoncée et un homme blessé.
– Bon on les embarque, on appelle une ambulance pour le monsieur qui est au sol. Pour le reste il faudra prévenir le proprio.

Evidemment, les policiers échouent à trouver le propriétaire.

– Bon tant pis on ne va pas se prendre la tête avec ça !

Les frères Attar sont inculpés de détérioration de matériel, violation de propriété privée, coups et blessures, violence sur animal, mais sont laissés libres après leur garde à vue.

Alors la première chose qu’ils font, c’est de chercher Brachet, ils le trouvent chez lui et sans prononcer une seule parole, lui casse les jambes à coups de barre à mines.

Après les premiers soins, Brachet de son lit d’hôpital prévient Kamel qui cette fois prend son collègue au sérieux (et pour cause, il n’était pas très loin quand les frères Attar ont défoncé la porte du hangar). Du coup toute la bande est bientôt au courant.

Et Monsieur Ferdinand, déjà empêtré dans l’affaire de son vétérinaire hippique se retrouve du jour au lendemain sans petites mains.

Alors quand Krypton le convoque afin de savoir où en est son plan d’action, il faillit lui rire au nez.

– Y’a comme un gros problème, chef !
– Et c’est quoi le gros problème ?
– Je n’ai plus d’équipe !
– Ils sont en grève ? Se gaussa Krypton.
– Un de mes gars a déconné et s’est fait démolir, et il y a eu comme un effet contagion !
– Mais vous allez reconstituer une équipe ?
– Oui, mais ça ne se fait pas en huit jours.
– Caroulet, trouvez-moi une solution sinon je vais péter un câble !
– Je ne vous promet rien.

Deux semaines plus tard

C’est à ce moment-là qu’Olivia demanda au professeur Martinov d’enclencher le plan prévu. Celui-ci impliquait Florentine Petit-Couture.

Le professeur téléphona donc à Krypton.

– J’ai une nouvelle qui devrait vous intéresser, j’ai obtenu le nom du propriétaire du hangar.
– Quoi ?
– Puisque je vous le dit.
– Attendez, j’aimerais comprendre, nous ne sommes plus en contrat et vous continuez à enquêter ?
– Ce n’est pas comme ça que ça s’est passé. L’un des contacts que j’avais sollicité suite à votre requête, m’a demandé si le renseignement m’intéressait toujours. J’ai répondu oui, parce que je subodore que vous allez me payer grassement.
– Vous voulez combien ?
– 20.000 euros !
– Vous ne vous faites pas chier !
– Jamais !
– Je suppose qu’il faut que je vienne !
– Vous supposez bien.

« Et c’était un piège ? Et je n’ai plus les sbires de Ferdinand pour me protéger ! Tant pis, je prends le risque, j’en ai vu d’autres ! »

Sur place et devant Krypton, le professeur Martinov appela au téléphone Florentine Petit-Couture.

Martinov mit l’ampli et passa l’appareil à Krypton.

– Euh bonjour !
– Bonjour Monsieur ! Alors il paraît que vous cherchez le propriétaire d’un hangar ?
– Exactement.
– C’est moi !
– Et vous êtes ?
– Peu importe, mais maintenant que vous m’avez en ligne, il va falloir me dire ce que vous souhaitez exactement ?
– J’ai un objet à moi dans ce hangar, je veux simplement le récupérer.
– C’est tout ?
– Oui !
– Vos nom et prénom, monsieur ?
– Parce que ?
– Juste pour le vigile !
– Renaud Piérac.
– C’est noté, je fais ajouter votre nom sur la liste des personnes autorisées à entrer. Vous souhaitez cette autorisation pour combien de temps ?
– Disons une semaine, le temps que je m’organise pour faire sortir mon truc.
– Ce ne sera pas gratuit !
– Vous abusez !
– Pas d’argent, pas d’entrée. Allez juste 5 000 euros
– O.K.
– Bon, je vais vous demander d’effectuer un virement Western Union aux cordonnées que je vais vous communiquer.
– Non, on ne fait pas comme ça, je me déplace immédiatement jusqu’au hangar et je verrais bien comment ça se passe.
– Ce n’est pas un problème, il est normal que vous preniez vos précautions.

Sur place, Florentine l’attendait, le vigile les fait entrer, Krypton constate que son immense caisse est toujours en place.

– Signez moi l’ordre de virement et je vous laisse la semaine pour récupérer ce qui vous appartient.

Il n’en revient pas « Krypton ». Mais il est enchanté ravi ! Il va enfin pouvoir reprendre possession du bipède articulé.

Sur la frontière

Gérard a trouvé trois « durs à cuire » qui devraient faire l’affaire. L’un d’eux se contentera de prendre des photos. Les autres seront là en couverture.

Le monstrueux bipède avance dans la savane sans rencontrer personne, mais le premier village n’est plus très loin.

Deux jeeps avec chacune quatre hommes à l’intérieur à la solde de Krypton, suivent très lentement 100 mètres plus loin.

La jeep de Gérard après avoir repéré la direction prise par le bipède et ses acolytes, avance en parallèle à 300 mètres sur la gauche, dépasse le groupe et quand la végétation devient touffue, se met en planque.

Sur un signal de Gérard la première jeep est promptement attaquée.

– Rendez-vous vous êtes cernés !

Les quatre bonhommes descendent de la jeep en levant les bras au ciel. L’un deux veux en découdre mais reçoit un coup de crosse sur la tête. Le chauffeur de la seconde jeep a déjà fait demi-tour et s’est enfui en direction de la côte sans chercher à comprendre mais en maugréant.

« On m’avait pourtant assuré que c’était sans aucun risque ! »

L’homme dans le bipède a entendu du bruit derrière lui, la structure n’est pas équipée de rétroviseur. (ben oui, on ne peut pas penser à tout !) Il est donc obligé de la faire pivoter afin de voir ce qui se passe.

Gérard et l’un des mercenaires le contourne puis effectuent des tirs de sommation à l’arrière du bipède.

– Sortez de là-dedans les mains en l’air ! Dépêchez- vous, nous allons mettre le feu à cette horreur.

Le clapet s’ouvre.

– Ne tirez pas ! Implore le courageux artilleur.

On désarme le bonhomme qui avait dans ses fouilles une arme de poing et un couteau de trappeur. On met le feu à la vilaine sculpture. Et c’est fini.

Le groupe de Gérard attache les mains des cinq prisonniers et les laissent désarmés en pleine brousse. Il n’y a plus qu’à regagner la côte en jeep.

– C’est peut-être embêtant de les laisser, il paraît qu’il y a des lions. Fait remarquer l’un des mercenaires.
– Penses-tu, ils vont se détacher rapidement et foutre le camp…

Krypton est prévenu que l’opération s’est conclue par un fiasco.

– Tant pis pour moi, je n’avais qu’à pas confondre guérilla et carnaval. Soupire-t-il

Olivia s’est démenée comme une petite fée pour fournir un dossier savamment illustré et commenté aux principaux organes de presse.

Pratiquement personne n’a relayé l’information, à l’exception de quelques officines sans grande audience. Sur les réseaux sociaux le sujet n’a convaincu que ceux qui l’étaient déjà et n’a pas fait le buzz.

Olivia avait envie de parler, elle a invité Béatrice au restaurant à midi en plein Quartier Latin.

– Tout ça pour rien ! Qu’est-ce qu’il faut faire pour que les gens prennent conscience de tout ça ? Se plaint Olivia auprès de Béatrice en vidant d’un trait son troisième verre de rosé.
– Je crains qu’il n’y ait pas grand-chose à faire.
– C’est triste !
– Il reste le sexe !
– Même pas, les gens ont un rapport hypocrite avec le sexe, ils en consomment, mais en ont honte et jouent les pères la morale.
– Pas nous ! Répond Béa.
– Alors viens m’embrasser !

Les deux femmes s’embrassent avec fougue .

– Attends; il y a des gens qui nous regardent ! Finit par dire Béatrice.
– On s’en fout.
– Oui mais si on veut s’envoyer en l’air, on ne va pas le faire, là.
– Bon argument, on y va, je t’emmène à la maison !
– J’ai pas bu mon café !
– Amélie nous en fera un, ça te rappellera des souvenirs !
– Hi hi !
– Je vais l’appeler et lui annoncer qu’on arrive.

Les deux femmes quittent le restaurant bras dessus bras dessous et hèlent un taxi. Olivia lui indique son adresse.

– J’espère que ça ne vous dérange pas si on s’embrasse et si on se plote un peu dans votre taxi ?
– Oh, non ! Vous savez, j’en ai vu d’autres. Répond le chauffeur, un black immense.

Il en a peut-être vu d’autres mais n’empêche qu’il ne rate pas une miette de ce qu’il aperçoit dans son rétroviseur car derrière non seulement ça se bécote et ça se caresse mais ça se dépoitraille; et Béatrice a maintenant un sein dehors. Olivia qui est en jupe ne trouve rien de mieux que de retirer sa culotte, comme ça par pure provocation.

– Vous faites toujours ça entre femmes, vous n’aimez pas les hommes ? Leur demande le chauffeur.
– Regardez donc la route, vous risquez d’avoir un accident ! Lui répond Olivia.
– C’était juste une question !

Mais la question n’obtient aucune réponse.

– Parce que si ça vous intéresse, j’en ai une grosse ! Reprend le chauffeur.
– On aime pas les grosses ! Lui rétorque Olivia.
– On dit ça, on dit ça ! Vous savez, m’essayer, c’est m’adopter !
– On est trop cher pour vos moyens !
– Parce que vous êtes des putes !
– Hi ! Hi !
– Désolé, moi je ne paie pas pour faire l’amour !
– Eh bien tant mieux pour vous, arrêtez-vous au prochain feu rouge, on est arrivé !

Les deux femmes réajustent leur tenues

– Voilà, ça fait 40 euros avec le pourboire.
– Le pourboire vous l’avez eu dans votre rétroviseur, le compteur indique 35 euros, alors voilà 35 euros.

Le chauffeur cherche une réplique assassine, mais ne trouve que celle-ci qui ne l’est pas (assassine) :

– Tenez, je vous laisse ma carte, si un jour vous avez besoin de moi.
– Vous avez raison, que serait la vie sans une part de rêve !
– Pardon ?
– Laissez tomber !

Les deux femmes sont accueillies par Amélie qui se balade dans l’appartement revêtue d’un simple kimono avec rien en-dessous. Elle enlace sensuellement Béatrice.

– Apporte-nous des cafés ! Lui dit Olivia, vous aurez le temps de vous gouiner après !

Mais voici que le carillon de la sonnette d’entrée se fait entendre. Amélie se réajuste, va voir et ouvre à un immense black.

– Qu’est-ce que c’est ?
– J’ai accompagné deux charmantes dames jusqu’en bas, mais l’une d’elles a oublié quelque chose dans mon taxi alors je lui rapporte.
– Donnez, je vais lui rendre !
– C’est que c’est un peu personnel !
– Ah, bon ! Olivia, il paraît que tu as oublié quelque chose de personnel dans le taxi !

Olivia arrive, reconnait le chauffeur de taxi !

– Mais qu’est-ce que vous faite-là, vous ?
– Ben, je vous rapporte votre petite culotte !
– C’est gentil, mais vous pouvez la garder, ça vous fera un souvenir.
– Je croyais bien faire.

Il dit ça avec un air tellement malheureux qu’Olivia éprouve pour le type une sorte de compassion.

– Bon, entrez cinq minutes, je vous offre un café, mais ensuite vous nous laissez.

Béatrice s’étonne qu’Olivia ait fait rentrer le bonhomme, mais n’en souffle mot, elle n’est pas chez elle !

Le chauffeur boit son café debout, personne ne lui ayant proposé de s’assoir.

– Bon, je vais vous laisser… est-ce que je peux utiliser vos toilettes ?

Il est d’usage de ne jamais répondre négativement à ce genre de sollicitation…

– Au fond du couloir, la porte à droite…

Mais le type ne manque pas de toupet

– S’il y avait quelqu’un pour me la tenir, ça m’arrangerait.
– Elle est si lourde que ça ? Demande malicieusement Amélie.
– Non, mais j’aime bien !
– 50 euros, je vous le fais ! Réplique Amélie.
– C’est cher !
– La qualité, ça se paie ! Se gausse-t-elle.

Alors à la surprise générale, le chauffeur de taxi, fouille dans son portefeuille et en extrait un billet brun.

– On se calme, vous n’aviez pas compris que je plaisantais ? Lui dit-elle.
– Non Amélie, tu dois être bonne joueuse ! Tu l’as défié, il a accepté, maintenant tu dois le faire ! Intervient Olivia.
– Et si je ne fais pas ?
– Mais enfin, Amélie, ça ne va pas te tuer !
– Bon, bon !

Et résignée, elle conduit le chauffeur dans les toilettes qu’elle laisse ouvertes. Le type sort de sa braguette un gros chibre brun foncé. Gros mais pas démesuré.

– Oh quelle belle bite ! Ne peut-elle s’empêcher de se s’exclamer en tâtant la marchandise..
– Pour le prix que je t’ai payé tu peux peut-être la sucer un peu ? Suggère le chauffeur.
– Ma foi, ça fait envie, mais il ne faudra pas le dire aux autres !
– Motus et bouche cousue !

Martinov2412Alors Amélie prend en bouche ce joli membre et le suce avec fougue.

– Et si je t’enculais ? Propose le chauffeur.
– Et puis quoi encore, c’est pas Noël !
– Même si je rajoute un billet.
– Arrête de me faire parler, j’ai la bouche pleine !

Amélie accélère ses mouvements, elle sent une goutte de liqueur séminale sur sa langue, le type s’abandonne et crache son foutre dans la bouche de la belle antillaise.

– Bon maintenant tu peux pisser ! Lui dit-elle. Je te la tiens ou pas ?
– Non, ça va !

En fait il est dépité, certes il a eu sa pipe, mais tout ça s’est passé trop vite.

– Au revoir, mesdames ! Dit-il simplement avant de s’éclipser.

– Ben dis donc, Amélie, c’était un peu long ce pipi !
– Ah tu trouves ?
– Et qu’est-ce que tu as sur le menton ?
– Rien !
– On dirait du sperme !
– Quelle drôle d’idée !

Elle s’était pourtant essuyée, mais pas partout…

– Tu ne l’aurais pas sucé, par hasard ?
– Dieu m’en garde !
– Tu parles comme les bonnes sœurs maintenant ?
– Tu sais bien que c’est mon fantasme.
– Alors tu l’a sucé ou pas ?
– Juste un peu.
– Donc tu as menti et tu sais ce qu’on leur fait aux vilaines menteuses de ton espèce ?
– Oui !
– Où tu vas ?
– Ben chercher une cravache !

Olivia proposa à Béatrice de se charger de la punition, ce que la jolie chimiste accepta de bon cœur.

– Allez, allonge-toi sur mes genoux, ma chérie que je te rougisse le cul ! Lui ordonne Béa en se débarrassant de ses propres vêtements (parce que ça fait plus fun !)

Amélie se prête de bonne grâce à cette petite séance de panpan-cucul

Béatrice tape de bon cœur sur ce joli fessier en gratifiant sa suppliciée de tout un catalogue de noms d’oiseaux, tandis qu’Olivia qui ne sait comment s’immiscer dans ce duo insolite, se déshabille.

« Comme ça, ce sera fait ! »

Evidemment ce que fait Béatrice l’excite et la fait mouiller, aussi après que le cul d’Amélie eut été convenablement rougi, à ce point que notre chimiste préférée en avait attrapé mal aux mains, celle-ci se met à caresser ostensiblement le joufflu martyrisé de la belle métisse.

Puis saisie d’une pulsion soudaine, elle se mouille le doigt et l’introduit dans le trou du cul de partenaire.

– Aaaa !
– T’aimes ça, hein ma salope ?
– Ouiiii
– T’as décidemment tous les vices, tu suces les bites des chauffeurs de taxi pour 50 balles, tu te fais doigter le trou du cul… et je dois en oublier !

Olivia disparaît un moment, puis revient avec un gode.

– Encule-moi cette salope avec ça ! Dit-elle à Béatrice en lui tendant le joujou.
– Oh, oui, encule-moi bien ! Réplique Amélie, pas contrariante.

Mais avant d’introduire le pénis de plastique, Béa tient à humecter ce trou du cul décidemment trop mignon, et c’est qu’elle aime ça lécher ce petit endroit et en apprécier ce petit goût bien particulier.

– Oh, ta langue !

Le gode n’eut aucun mal à entrer, Béatrice lui fait faire d’incessants allers et retours en utilisant toute la longueur de l’objet, Amelie se pâme d’aise à ce traitement, elle ne tient plus en place, elle gigote, elle gémit et finit par jouir peu discrètement.

Béatrice retire le gode d’un coup sec !

– Aaaaahhh
– T’as vu dans quel état tu as mis le gode ? T’es vraiment une salope. Nettoie maintenant.

Voilà qui ne pose aucun problème à la belle Amélie qui entreprend de nettoyer les traces brunes dont le gode était parsemé.

– Et maintenant, c’est à toi de me faire jouir !

Béatrice s’allonge de tout son long sur le canapé, Amélie commence par lui caresser les seins et d’en exciter les bouts avant d’entamer un cunnilingus en règle.

Et Olivia ? Eh bien, elle peut enfin participer, elle vient rejoindre les deux coquines et s’assoit carrément sur le visage de Béatrice lui offrant sa chatte à lécher.

Le trio infernal est en place, la position n’est pas des plus pratiques pour Béatrice qui respire mal et a du mal à lécher correctement Olivia. En revanche au niveau de sa chatte, ça va très bien, les coups de langue d’Amélie complètement déchainée lui procurent d’inimaginables frissons. Elle sait qu’elle est au bord de la jouissance, elle se tétanise, puis se lâche.

Amélie satisfaite du travail accompli, se redresse, Du coup Olivia adopte une position plus confortable afin que Béatrice la lèche et qu’elle puisse jouir à son tour.

Les trois femmes sont satisfaites, elles s’embrassent et se caressent.

Olivia prend les mains de ses deux complices et les entraine vers la salle de bain. Eh, oui, on a beaucoup pissé dans cette histoire, alors pourquoi ne pas finir par une dernière douche dorée ?

Béatrice et Amélie s’agenouillent sur le carrelage, Olivia se place au-dessus d’elles, respire un grand coup et ouvre les vannes. L’urine dégringole en un jet dru aspergeant les deux coquines qui en reçoivent autant qu’elles le peuvent dans leur bouches gourmandes.

Olivia se force à faire encore deux ou trois gouttes, puis la source se tarit. Alors Béa et Amélie s’échangent un tendre baiser parfumé à la liqueur dorée !

Rideau !

Fin de l’épisode

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 25 juin 2022 6 25 /06 /Juin /2022 08:40

Martinov 24 – L’énigme du hangar – 11 – Chez Brigitte par Maud-Anne Amaro
zoo

 

Lundi

C’est Béatrice qui fait les présentations. Curieusement (pourquoi curieusement ?) Brigitte Silverberg semble ravie de la présence de Florentine. Les deux femmes qui ne s’étaient jamais rencontrées s’embrassent comme s’ils étaient de vieilles copines. Puis tout le monde s’assoit tandis que l’hôtesse verse les apéritifs dans les verres.

– Alors expliquez-nous tout ça ? Propose Gérard.
– Donc au départ, un dénommé Renaud Piérac vient me voir, une sombre histoire d’autorisation d’accès dans un hangar, en fait il veut le nom du propriétaire. Jusque-là ça parait facile sauf que le gars a déjà essayé de se renseigner et que son hangar a été vendu plusieurs fois de suite pour aboutir dans un dédale de société off-shore au Panama.
– On connait, j’ai moi-même enquêté là-dessus ! Intervient Gérard. Effectivement à partir d’un moment on n’y comprend plus rien…
– Vous avez enquêté là-dessus ?
– Tu nous as envoyé l’affaire, et comme ça dépasse nos compétences, nous avons demandé à Gérard de regarder… Précise Béatrice
– Ah ! Le monde est petit. Donc j’ai dit au client que je voulais bien prendre le volet français de l’affaire, mais pour le reste je lui ai donné l’adresse de Martinov. J’ai un peu fouiné, j’ai trouvé l’acheteur…Un dénommé Mattson, je suppose que vous l’aviez trouvé aussi ?
– Non, nous n’avons pas eu le temps d’aller jusque-là, parce que figurez-vous que Béatrice a été enlevé…
– Quoi ?
– Oui ! Et il a fallu s’organiser en conséquence. On vous racontera, mais continuez.
– Les choses se sont mal passées chez Mattson, j’ai été bousculée par son garde du corps. Du coup j’ai changé d’optique, je me suis dit que puisque je ne trouverais rien, j’allais me recentrer sur les moyens de me venger de ce salopard.
– Attendez ! Intervient Gérard en se tournant vers Béatrice, ce Mattson ce ne serait pas le mec dont s’est servi Olivia pour racheter le hangar ?
– Il y a des chances, oui ? Répond la jeune chimiste.
– Mais de quoi vous parlez ? Demande Brigitte, c’est qui Olivia ?
– On vous dira tout, mais continuez votre récit, mais autant vous prévenir de suite on est en plein sac de nœuds !
– Je me suis procuré tout ce que j’ai pu sur la ribambelle de société gérées par Mattson et ses acolytes, et là j’ai eu de la chance, en fouinant je suis tombée sur un trafic de tableaux superbement organisé.

Et Brigitte explique à ses hôtes ses investigations.

– La fumisterie n’est pas obligatoirement un délit ! Indique Gérard. En fait ils ont trouvé un truc pour faire de l’argent facile…
– Mais cette pratique devrait s’essouffler, le nombre d’acheteurs potentiels n’est pas infini ! Fait remarquer Florentine..
– Il n’est pas infini mais la demande reste forte, il y a de par le monde des très gros collectionneurs qui ne savent plus quoi faire de leur fric, ils achètent tout. En France un milliardaire s’enorgueillit de posséder plus de 10.000 œuvres.
– Mais ce n’est pas illégal !
– Si on veut creuser, on peut trouver des choses, il y a échange d’argent, paiement des intermédiaires, toute une partie des transactions doit être camouflée, et là on se retrouve avec les sociétés off-shore. Il n’est pas interdit de penser que conjointement à ce blanchiment, il doit y avoir le bénéfice d’autres pratiques douteuses. Mais je vois dis pas l’enquête, non seulement c’est long et hasardeux, mais en face il y a la mafia panaméenne.
– Donc ? Lui demande Brigitte.
– Donc : laissez tomber !
– Dommage, j’aurais tellement souhaité me venger de Mattson.
– S’il n’y a que ça pour vous faire plaisir, je peux peut-être faire quelque chose, j’ai une carte magique…
– Et vous pensez à quoi ?
– Il y a mille façons de démoraliser un connard…
– Je saurais vous récompenser !

Et c’est à cet instant que la conversation fut interrompue par le carillon de la porte d’entrée.

– Monsieur René, qu’est-ce qui vous amène ? Je suis occupée. Et qu’est-ce qu’il a votre chien ? Il me parait bien excité !

Les lecteurs assidus des aventures de professeur Martinov auront deviné que ce René-là est le gardien de l’immeuble de Brigitte. Celui-là même qui a récupéré un jour un chien Husky, apparemment perdu, mais avec lequel Béatrice et Brigitte se sont un peu amusées. (voir chapitres 17 et 22)

Le chien tire sur sa laisse, Monsieur René ne peut le retenir et la bestiole déboule dans le salon, reconnait l’odeur de Béatrice et vient la renifler.

– Bon voilà autre chose ! Se désole Brigitte, mais vous veniez pour quoi, Monsieur René ?
– J’ai peut-être fait une bêtise, j’ai vu passer la dame blonde et je me suis dit… enfin vous m’avez compris.
– Oui, bon, ben, je ne vous ai pas autorisé à prendre de telles initiatives, allez récupérer votre chien et laissez-nous !

Du coup René pénètre dans le salon et essaie de récupérer son chien. Brigitte tente d’aider le bonhomme mais le chien se met à grogner.

– Bon, on ne va pas s’en sortir, on vous garde le chien le temps qu’il se calme et on vous rappellera pour venir le chercher. Finit-elle par dire.

René s’en va, le chien, lui, revient renifler Béatrice.

– Ben dis donc, il a l’air de t’aimer ce chien, tu le connaissais ? Lui demande Florentine.
– Oui, je l’ai déjà vu… deux fois.
– Et il est toujours aussi collant ?
– Il est collant, mais gentil.
– Ah, oui ! Comment il s’appelle ?

Personne ne sait comment il s’appelle, ce sera donc simplement « le chien »

Florentine l’appelle !

– Viens mon gros toutou, viens voir tata Floflo !
– Faites attention ! Prévient Brigitte, il est parfois un peu vicieux !

Béatrice se lève de son siège, laissant le chien se diriger vers Florentine qui lui caresse le dos.

– Ben alors mon gros toutou, c’est vrai ça que t’es vicieux ?

Pour toute réponse, le chien pose son mufle entre les cuisses de la belle mature et se met à lécher le pantalon au niveau de l’entrejambe.

– Mais veux-tu arrêter, vilain toutou ! Il t’a fait ça aussi, Béatrice ?
– Même pire, mais disons que ça m’a amusé !
– Tu lui as touché son zizi ?
– Ben oui !
– Et vous avez fait ça toutes les deux ?
– Oui, et on a bien rigolé ! Répond Brigitte.
– J’aimerais bien voir ça !
– Vous n’avez jamais fait ?
– Non mais je sais que ça se fait, et puis j’ai vu quelques petites vidéos sur Internet, j’avoue que c’est assez excitant.
– Monsieur Gérard ! Y voyez-vous un inconvénient ?
– Mais pas du tout !
– Alors mettez-vous à l’aise, Florentine, vous allez pouvoir tester la langue du chien sur votre intimité d’accord ?
– Si j’ai bien compris, je dois donc me mettre la chatte à l’air ?
– Ce n’est qu’une suggestion…
– La seule chose qui m’embête, c’est que je vais être la seule à m’exhiber.
– Mais non, vous ne serez pas la seule !

Et tout en parlant, Brigitte se débarrasse de son pantalon et de sa petite culotte.

– Hum, elle est bien jolie cette petite culotte ! Lui dit Florentine. Je peux la voir ?
– Oui, mais elle est un peu sale !
– Est-ce si grave ?
– Tenez !

Florentine hume la culotte !

– J’adore cette odeur !
– Alors pourquoi ne pas aller directement à la source ? Léchez-moi donc le cul !
– Mais avec grand plaisir.

La belle mature lèche l’œillet brun offert à sa concupiscence.

– Hum, votre trou du cul est délicieux, Brigitte !
– Régalez-vous ma chère, régalez-vous !
– Puis-je me permettre un doigt ?
– Même deux si vous voulez !

Et complètement dans son trip, Florentine mouille deux doigts et les enfonce dans le troufignon de la détective privée. Elle lui pilonne le cul, la faisant miauler d’aise.

Au bout d’un moment, elle ressort ses doigts, des doigts pas très propres ce qui ne l’empêche pas de les lécher.

– Je vois que vous appréciez le jus de mon cul !
– Quand je suis très excitée, je peux faire des choses très cochonnes.
– Alors peut-être que tout à l’heure je pourrais vous surprendre, mais nous nous égarons, qu’est-ce qu’il nous fait le chien ?

Eh bien en ce moment le chien, il ne fait pas grand-chose, il est revenu aux pieds de Béatrice et s’est à moitié endormi.

Brigitte se badigeonne la main avec sa mouille, puis réveille le chien, lui fait sentir sa main et l’entraine ainsi jusqu’à l’entre cuisse de Florentine.

– Vas-y mon gros toutou, lèche bien la chatte de cette salope ! Vous permettez que je vous traite de salope ?
– Bien évidemment ! Et d’ailleurs c’est vrai je suis une salope, mais si je ne me trompe vous en êtes une autre !
– Absolument ! Confirme Brigitte.
– Et quand une salope rencontre une autre salope, elles font quoi ?
– Oh ! Elles peuvent faire des tas de choses, S’embrasser pour commencer.

Ce qu’elles firent ! Un baiser profond et baveux accompagné de mains baladeuses.

Et après ces échanges de politesse, Brigitte s’empressa de bien exciter le chien qui sortit sa bite de son fourreau.

– Venez près de moi, Florentine, ce sera plus pratique.

Les deux femmes sont à présent affalées sur la moquette, Brigitte se met à sucer le pénis du chien, puis invite Florentine à l’imiter, ce qu’elle fait sans hésitation, du coup Béatrice qui veut sa part, les rejoint dans leur délire.

Martinov2411

Ils sont donc trois à s’occuper du chien, ou plutôt de sa bite qui projette en permanence du liquide préséminal.

– Il faut aller jusqu’au bout, maintenant ! Dit Brigitte à Florentine.
– Quel bout ?
– Faites-vous prendre comme une chienne.
– Je ne sais pas si je suis prête pour ça !
– Si vous ne le faites pas, vous regretterez de ne pas l’avoir fait.
– Est-ce si grave ?
– Non mais j’ai un autre argument !
– J’écoute !
– Vous m’avez bien dit que vous étiez une salope !
– Oui !
– Eh bien lorsqu’on est salope, on n’hésite pas à se faire couvrir par un chien.
– C’est toi la salope, mais tu as raison, je ne vais pas me dégonfler. Dis-moi comment me mettre.
– Tu te mets en levrette, je vais protéger les pattes avant du chien pour ne pas qu’il te griffe !
– En voilà une délicate attention !
– N’est-ce pas ?

Florentine se met en position, Brigitte guide le chien qui saute sur sa « femelle » et se met s’agiter en cadence.

– Whaah, c’est trop bon, c’est vrai que je suis une salope !

Pendant ce temps-là, Béatrice qui se sent un peu larguée est allé extraire la bite de Gérard de sa braguette et la suce avec gourmandise.

Par précaution, Brigitte fait cesser le coït

– C’est dommage ! Proteste Florentine.
– S’il jouit dans cette position tu risques de rester collé pendant plusieurs minutes.

Pas si grave, Florentine reprend la bite du chien dans la bouche et cette fois jusqu’à son abondante éjaculation.

Evidemment après cette petite fantaisie les deux femmes sont excitées comme des puces.

Florentine pensait que Brigitte allait la solliciter, mais c’est vers Gérard que cette dernière se dirige.

– Cher ami, puisque vous êtes mon invité, vous allez avoir le privilège de me baiser !
– Mais avec grand plaisir, excuse-moi Béatrice, mais je ne peux refuser.
– Je t’en prie, répond la belle chimiste qui du coup fait signe à Florentine de venir la rejoindre.

Les deux femmes se plotent de conserve avant d’entamer un soixante-neuf, Gérard encule Brigitte, le chien roupille. Tout va bien !

Fin de la partouze ? Pas tout à fait puisque Brigitte se sent comme une envie de faire pipi et le fait savoir à tout le monde. L’envie devait être contagieuse puisque toutes ces dames se bousculent pour être dans la salle de bain, dans laquelle tout le monde pisse sur tout le monde dans la plus folle des décontractions.

Brigitte veut encore pisser et pousse tant et si bien que son anus mal refermé après la sodomie que lui a prodiguée Gérard laisse sortir un petit étron. Voilà qui faire rire Florentine qui pas gênée pour deux sous ramasse l’impertinente crotte et la lèche comme elle l’aurait fait d’un Rocher Suchard.

– Votre merde est délicieuse, Brigitte !
– Salope !
– Trainée !
– Poufiasse !

Et après ces insultes proférées sur le ton de la plaisanterie les deux femmes s’étreignent une fois encore.

– Je me demande si je ne vais pas refaire une petite crotte ! Dit Brigitte.
– Chiez-moi dans la bouche, Brigitte !
– Sérieuse ?
– Oui !

Les deux femmes se mettent en position, Florentine couchée la bouche ouverte, Brigitte le cul au-dessus d’elle et poussant.

Ce fut rapide, un gros boudin sort à grande vitesse de l’anus de la détective privée et vient polluer le joli visage de Florentine, laquelle se débarrassa de l’encombrant présent en rigolant comme une bossue.

– Il faudra que nous nous échangions nos coordonnées ! Dit Florentine.
– J’allais vous proposer la même chose !

Après ces moments de pure folie, il fallut bien que tout ce petit monde se calme.

Gérard renouvelle son offre d’aider Brigitte à se venger de Mattson et précise qu’il fera ça à sa manière.

Et c’est ainsi que Gérard Petit-Couture n’a jamais été proposer ses œuvres aux galeristes de la Rive Gauche.

Mattson

Gérard Petit-Couture et Florentine frappent au domicile de Carl Mattson, Gérard exhibe sa carte de la DGSE.

– Mais enfin, c’est pourquoi ?
– Vous n’allez pas tardez à le savoir ! Répond Gérard en braquant Mattson et son barbichu. Tout va bien se passer, vous allez vous déshabiller, vous avez le droit de conserver votre slip, on a vu assez d’horreur pendant la guerre.
– C’est inadmissible ! Rouspète Mattson.
– Vous vous déshabillez immédiatement sinon je vois ici et là quelques objets de collections qui ne résisteront pas aux balles.
– Mais dans quel pays sommes-nous ? Grommelle Mattson en commençant à se déshabiller.
– Bon maintenant, en voiture !
– Comment ça en voiture ?
– Oui, en voiture mais avant ma collègue va vous menotter.
– Mais nos vêtements ?
– Pas besoin !

Une heure et quart plus tard, en pleine forêt de Rambouillet, sur la départementale 150, Mattson et son barbichu furent priés de descendre de voiture.

Gérard les prit en photos.

– C’est pour Brigitte ! Précisa-t-il à sa compagne.

Le couple retourna ensuite à l’appartement de Mattson, commirent un carnage, embarquèrent quelques jolis bibelots, et surtout planquèrent un sac de farine tamisée dans un emballage neutre et transparent, sous l’évier.

Et pour parachever le tout, un coup de fil anonyme et rapide à la brigade des stups :

– Il y a une cache de cocaïne, les occupants sont en fuite. on a été dérangé on n’a pas eu le temps de fouiller partout.

On imagine aisément la suite, les deux bonhommes choqués et humiliés cheminant en caleçon jusqu’au poste de gendarmerie du patelin le plus proche. En les raccompagnant chez eux les hommes en képi constatent qu’une équipe des stups est déjà sur les lieux finissant de mettre la maison sans dessus dessous pour ne trouver finalement qu’un inoffensif paquet de farine.

– Mais putain, c’est quoi ce bordel ? Vocifère Mattson.
– On nous a dit que vous cachiez de la drogue ! Répond le fonctionnaire de police.
– C’est ça ! Une simple dénonciation et vous venez foutre le bordel chez les gens.
– Ce n’est pas une simple dénonciation ! Répondit le policier avec suffisance.

Une réponse bateau sans aucun fondement mais permettant de clouer le bec à l’interlocuteur.

L’équipe des stups partit laissant le relais aux hommes du commissariat du quartier.

– Vous allez porter plainte ?
– Je suis bien obligé, pour les assurances…
– Vous vous connaissiez des ennemis ?
– Quand on est dans les affaires, on se fait toujours des ennemis et même parfois des ennemis inconnus.
– On va faire des relevés d’empreintes.
– Vous fatiguez pas, ils avaient des gants. Bon vous en avez encore pour longtemps, parce que moi j’aimerais prendre une douche et aller me coucher.
– Mais monsieur, nous sommes là pour vous aider, si vous le prenez sur ce ton, ça ne va pas arranger vos affaires, croyez le bien.
– J’en ai marre, mais marre !

Et Mattson se mit alors à sangloter comme un gosse.

Nous avons au cours de ce récit croisé un certain nombre de personnages. Certains ont été abandonné, tout simplement parce que leur rôle dans cette affaire avait cessé d’être important. Cependant le lecteur aimerait sans doute savoir ce qui leur est arrivé. Normal un lecteur, c’est curieux !

Ferdinand

Ferdinand Caroulet s’angoisse, non pas à cause du tracas provoqué par le vol de son téléphone et la perte d’une partie des coordonnées de ses contacts, mais il espère secrètement avoir eu affaire à un petit voleur, juste un petit voleur, parce que dans le cas contraire…

« Si c’est un mec qui surveille mes activités, je suis mal ». Il faut que je joigne Decousin de toute urgence… »

Et comme il n’a plus ses coordonnées, il prend sa voiture, direction Longchamp en s’assurant que personne ne le suit.

– Ah ! Monsieur Ferdinand, j’ai essayé de vous appeler mais je me suis rendu compte qu’on avait volé votre téléphone.
– M’appeler ? Mais tu sais bien qu’on ne doit jamais s’appeler sauf en cas d’urgence.

Decousin se rend compte de sa gaffe.

– Disons que je me suis fait piéger !
– Raconte !
– Un type m’a appelé, il m’a dit qu’il connaissait plein de choses sur moi, surement un flic, alors il m’a demandé d’arrêter ce qu’on fait !
– C’est tout, il ne t’a rien demandé d’autre ?
– Non.
– Tu te fous de ma gueule ou tu veux trois baffes ?
– En fait il cherchait des renseignements sur vous.
– Et tu lui as dit quoi ?
– Rien ! Qu’est-ce que vous voulez que je lui dise ?
– Donc si tu ne mens pas, ça veut dire que le gars est reparti bredouille, donc il reviendra à la charge. Evidemment tu ne sais pas comment le joindre.
– Non !
– Ben moi je le sais, il a mon téléphone. Donc tu vas l’appeler et lui proposer un rancard.
– Je préférerai qu’on arrête tout !
– Tu sais où tu peux te les foutre, tes préférences ?
– Euh…
– On va l’attirer dans un endroit où il ne risque rien, par exemple au restaurant, et à la sortie on s’en occupe.
– Je ne fais pas ça !
– Si ! Tu vas lui expliquer que je fais dans la drogue et que tu vas servir d’intermédiaire dans une transaction.
– Je ne sais pas si c’est une bonne idée.
– Allez on fait une répétition, parle-moi comme si tu l’avais au bout du fil.

Pas évident Decousin n’est pas très bon comédien.

Le téléphone de Monsieur Ferdinand n’arrête pas de sonner dans la poche de Gérard Petit-Couture.

– Ferdinand ?
– Monsieur Ferdinand est très occupé en ce moment, il m’a confié son téléphone pour gérer les urgences. C’est pourquoi ?
– Rien d’important, je rappellerai…

En fait, ils se méfient tous ! Tous les voyous ne sont pas systématiquement des imbéciles !

Et puis…

– Allo ! C’est Decousin, j’ai comme un remord, je ne vous ai pas tout dit.
– Et bien je t’écoute !
– Faudrait qu’on se voie, je ne peux pas parler de ça au téléphone.
– Pourquoi tu as peur que la police t’écoute ? Tu aurais oublié qui je suis.
– Non, mais c’est compliqué…
– Je sais écouter les communications compliqués.
– Bon je vous rappelle !

Decousin se tourne vers Ferdinand avec un air désolé.

– Ça ne marche pas, il se méfie…
– Laisse tomber, passe-moi ton téléphone.

– Allo ! C’est Monsieur Ferdinand. Bon on va arrêter de tourner autour du pot, si vous voulez me voir vous savez où je me tiens. Je ne refuse jamais le dialogue. Salut !
– Je fais quoi ? S’inquiète Decousin.
– Rien, tu ne fais rien.

Gérard jeta le téléphone portable de Ferdinand à l’égout après avoir récupéré sa carte SIM, on n’est jamais trop prudent. Mais rencontrer Ferdinand Caroulet n’avait plus maintenant plus aucun intérêt

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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