Samedi 2 avril 2022 6 02 /04 /Avr /2022 17:11

Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 8 – L’étrange docteur Levkovich par Nicolas Solovionni
stamp partouz

 

Le jour du départ approche ! J’ai rassemblé tout le monde, il n’y a eu aucune défection. Gundula et Hofjom seront donc en surnuméraires. Pas bien grave !

– Bon j’explique la mission, on a pas de fret, mais un passager qui a payé très cher sa place. Ce type est dangereux, c’est lui qui a assassiné le capitaine Dernoul…

Remous dans l’assistance.

– Oui je sais, la Mafia a revendiqué l’assassinat du meurtrier, seulement la Mafia elle s’est plantée, je vous expliquerais tout en détail après le départ. Je disais donc ce type est dangereux, notamment parce qu’il pratique l’hypnose. Donc le gars ne sortira pas de sa cabine pendant tout le voyage aller. Mes ordres en ce qui le concerne c’est de ne jamais pénétrer seul dans sa cabine et ne jamais croiser son regard. De plus à chaque fois qu’il demandera quelque chose ou qu’on lui servira ses repas, une personne armée restera en appui dans la coursive prête à intervenir en cas de besoin. Nadget, je le laisse organiser tout ça !
– Bien, chef ! Mais sinon, on va où ?

J’ai donc expliqué que mon passager s’était probablement donné pour mission d’aller restituer aux précurseurs le caillou prélevé par le capitaine Dernoul.

– On sait qu’il y a du monde là-bas, on va essayer de les rencontrer, on ne sait pas combien ils sont et de quoi ils pourraient avoir besoin, on va charger quelques bricoles au cas où… Dyane fait nous livrer des draps, des tee-shirt et des godasses…
– Des chaussettes aussi !
– Si tu veux, Nerren occupe-toi de la bouffe : du chocolat, des bonnes conserves, du pinard et même du champagne et du watchibole… Dilos tu trouves des outils pour jardiner et pour bricoler…
– Du matériel de couture ce serait pas idiot non plus !
– Et quelques godes aussi, si on tombe sur des obsédés ! Intervient Dyane, ce qui fait rigoler tout le monde.
– Ça serait bien si on trouvait des artefacts à récupérer. On fera en sorte que Levkovich nous facilite la tâche…
– Levkovich ? S’écrie Gundula.
– Ben oui, c’est lui le passager…
– Mais…
– Je sais, tu ne connais pas toute l’histoire, mais là je résumais, après le décollage je fournirais toutes les explications à tout le monde. Maintenant tous à vos postes, préparez le compte à rebours.
– Et une fois la mission terminée, on en fait quoi du passager ?
– Des papillotes !

Ce qui m’a étonné pendant le briefing, c’est l’attitude de Hofjom, on aurait dit qu’il s’en foutait complètement, qu’il était ailleurs. Je me demande si j’ai bien fait de l’emmener. Je demande discrètement à mon mécanicien titulaire d’être toujours derrière lui et d’éviter de lui confier des tâches importantes.

J’envoie un signal à l’administration du cosmodrome demandant que le passager « Ronin », puisque c’est le nom d’emprunt qu’il a donné, se dirige vers l’aire 28.

J’attends le citoyen à l’entrée du sas. Levkovich alias Ronin arrive avec un sac de voyage, il s’est dissimulé le visage avec un masque en latex d’un réalisme bluffant. C’est idiot, les logiciels de contrôle à l’embarquement savent très bien déceler ce qu’il y a derrière les masques. Cette dissimulation nous est donc uniquement destinée, ce qui me parait dérisoire. D’autant qu’il a toujours la même voix, les mêmes cheveux blancs mal peignés et qu’il claudique toujours. C’en est comique. Je me présente, j’ignore s’il est surpris de me voir, il est joli son masque mais assez peu expressif !

– Bon, je résume ! Je vous conduit là-bas, vous faites ce que vous avez à faire, quelques heures m’avez-vous dit ?
– Oui c’est ça !
– Ensuite je vous récupère et on revient à la maison.
– C’est ça !
– Vous ferez tout le voyage consigné dans votre cabine…
– Il n’en est pas question, je ne suis pas pestiféré !
– Alors descendez et cherchez-vous un autre vaisseau !
– Dites-moi au moins pourquoi cette instruction ?
– Parce que c’est moi le seul maître à bord et que je fais ce que je veux. Vous avez payé pour un aller et retour, nous allons faire cet aller et retour ! Vous ne serez pas malheureux, vos repas vous serons servi trois fois par jour en cabine, si vous avez besoin de quoi que ce soit vous sonnerez et on essaiera de vous donner satisfaction, dans la limite du raisonnable, bien entendu !
– Pfff.
– Maintenant, je vais vous demander d’ouvrir votre bagage, je dois m’assurer que vous ne transportez aucune arme.
– Mais c’est inadmissible.

Dans sa valise, je trouve un pistolet paralysant et un couteau de chasseur…

– Confisqué, on vous rendra ça en temps utile, Maintenant vous vous mettez à poil et vous allez enfiler cette combinaison.
– Ça vous excite d’humilier vos passagers ?
– Je ne fais qu’appliquer les règles de sécurité et ce n’est pas fini, je vais être obligé de vous faire un toucher rectal.
– Salaud !
– Un peu de respect, toubib !

On est parti ! Comme d’habitude, dans le mess des officiers, nous avons attendu d’être en hyperespace pour trinquer et nous souhaiter un bon voyage. Il y a là, outre Dyane, ma seconde et Gundula, notre invitée, Nerren, le navigateur, Dilos, l’ingénieur de bord et Nadget, la jolie blackette occupant le poste de technicienne de bord. Hofjom n’est pas présent, il n’est pas officier et de plus il n’a pas l’air au top. J’en ai profité pour expliquer à tout ce petit monde ce que je n’avais pas encore raconté. J’ai évidemment eu droit à un déluge de questions diverses et variées.

– Bon, j’ai confiance, ça va bien se passer, de toute façon on est payé ! Et si sur place on ne trouve rien, on pourra toujours récupérer le caillou, l’armée nous en en donnera forcément un bon prix.

On lève tous nos verres ! On trinque ! Je m’arrange pour me faufiler à côté de Gundula.

– En principe ce genre de pot dégénère assez vite en orgie sexuelle, si la chose te gêne, tu n’es pas obligée de rester, personne ne t’en voudra.
– Je verrais bien, je ne suis pas une oie blanche !

Ma parole je l’ai vexé !

D’habitude tout le monde est en pays de connaissance, mais aujourd’hui, c’est un peu différent puisque ni Dilos, ni Nerren, ni Nadget ne connaissent Gundula, ce qui fait que tout le monde fait un peu son timide.

La question est donc de savoir comment va se briser la glace !

On presse Gundula de questions, elle répond parfois franchement, d’autre fois évasivement.

– Et ce Levkovich, il était comment, un peu cochon, non ? Demande Dilos.
– Comme tous les hommes ! Répond-elle.
– Comment ça comme tous les hommes ? Est-ce que j’ai l’air d’un cochon, moi ? Proteste-t-il
– Potentiellement, oui ! Dit-elle en riant.
– Vous avez entendu, vous autres, je suis un cochon potentiel ! Et si je pose ma main sur tes seins est-ce que je serais un cochon potentiel ?
– Essaie pour voir, mais tu vas peut-être te ramasser une baffe !
– Même si je demande la permission ?
– Eh bien vas-y demande-là.
– Je peux ?
– Avec plaisir ! Répond la coquine.

Alors, Dilos touche d’abord timidement puis se met à peloter.

– Dans un instant tu vas me demander si tu peux les voir !
– C’est vrai que j’aimerais bien !
– Et je vais passer pour qui ? Tout le monde est sage ici !

A ces mots, Nadget, notre blackette de charme intervient avec malice :

– Moi je n’ai pas envie d’être sage. Tiens tu veux voir mes doudounes ? Dit-elle en se dépoitraillant prestement.

Du coup Nerren passe derrière elle et lui pelote tout ça sans grand ménagement.

Je sens que c’est parti et je fais un signe à Dyane. Elle l’interprète de travers, et alors que je pensais qu’elle allait à son tour se mettre la poitrine à l’air la voilà qui se baisse, m’ouvre ma braguette, en extrait mon kiki, le paluche un instant avant de se le mettre carrément en bouche.

Du coup Gundula qui manifestement ne paraît pas insensible au charme « beau gosse » de Dilos, lui exhibe ses nénés, sur lesquels il jette son dévolu.

Nerren se met complètement à poil, et s’approche de moi, ce qui permet à Dyane de sucer nos bites alternativement. Et coquin que je suis-je profite du moment où la fille suce mon navigateur pour me baisser et prendre à mon tour ce joli cylindre de chair dans ma bouche.

Eh oui ! Parfois j’adore ce genre de fantaisie ! Du coup Dyane décide de me laisser seul avec mon partenaire et s’en va rejoindre Nadget qui n’en avait plus. Ces dames se pelotent, se débraillent et se lèchent es tétons en un troublant black and white.

De leur côté Gundula et Dilos ont franchi un nouveau cap dans leur flirt, puisque l’ex-infirmière a désormais la bite de son comparse dans sa jolie bouche.

En quelques instants, l’ambiance est devenue torride. Plus personne ne parle, on n’entend plus que des râles de plaisir.

Je sens l’excitation monter chez mon partenaire mais ne souhaite pas que les choses se concluent si rapidement, je lui laisse donc sa queue tranquille pour le moment et m’en vais lui lécher la rondelle. J’aime bien son cul, à Nerren, il est tout joufflu, tout doux, je lui introduit ma langue dans le trou de balle, il adore, ça l’animal !

– Encule-moi ! Me demande-t-il.

Stoffer0308Moi je veux bien faire plaisir, mais avec les hommes je suis surtout passif, ce sont des choses qui ne s’expliquent pas. Mais, puisque c’est demandé gentiment…

– D’accord, mais après on inverse les rôles !
– Pas de souci !

Je me déshabille complètement car je commence à avoir chaud et pénètre ma queue dans ce mignon petit cul, ma foi bien accueillant et chaud.

Et tandis que je pilonne mon navigateur en cadence, je jette un coup d’œil sur les autres partouzards. Gundula et Dilos ne se décollent plus, l’homme est en train de la bourrer avec une fougue digne d’un étalon de compétition. Leurs corps transpirent à grosses gouttes et la fille jappe son plaisir sans retenue.

– Et dans le cul, tu aimes ? Lui demande Dilos.
– Oui, encule-moi comme une chienne !

Vous pensez bien que l’homme n’hésite pas une sonde et le voila qui change de trou et qui se déchaine comme un beau diable !

– T’aime ça, une bite dans le cul, hein ma salope !
– Ouiii ! Redis-moi des mots d’amours comme ça !
– Salope ! Morue ! Cul à bites !
– Je me vengerais ! Aaah !

Et le voilà qui décule, la bite gluante de sperme et d’un peu d’autre chose aussi ! Gundula excitée comme une puce n’a cure de son état et prend tout cela en bouche afin de rendre la chose propre comme un sous neuf.

Je me demande comment Dyane réagir, puisque jusque-là Dilos était son partenaire préféré ? Cela dit elle serait mal placée pour être jalouse… Pour l’instant elle se gamahuche en soixante-neuf avec Nadget, un joli duo aux couleurs contrastées et peu silencieux.

Je sors du cul de Nerren, je me suis retenu de jouir, et je me met en position pour recevoir son vit dans mon anus.

– Resuce moi un peu avant ! Me demande-t-il

Ce n’est pas un problème, j’adore sucer de la bite, et m’applique de la langue et des lèvres à rendre cette queue bien dure.

Et ça y est je l’ai dans mon fion ! Il fait ça avec beaucoup de classe et de délicatesse ! J’avoue ne pas comprendre ceux qui refusent de tester cette pratique !

Dyane et Nadget ont terminé leur petite affaire en hurlant comme des baleines, et s’approchent du couple maintenant au repos. Dilos se retire de la bannette afin d’aller se désaltérer. Du coup les mains baladeuses de ces dames s’égarent et sur les seins et sur la chatoune de l’infirmière qui se laisse faire volontiers, En fait elle adore qu’on la caresse. Et quand Nadget lui flanque sous le nez sa chatte crépue et chocolatée, elle l’accueille bien volontiers en dardant sa petite langue.

Nerren accélère la cadence au sein de mon intimité, je sens la conclusion proche. Effectivement, il décule avec un drôle de bruit évoquant celui d’une bouteille que l’on débouche.

Je n’ai toujours pas joui, je dois être le seul, Dyane qui a laissé les deux autres filles se distraire en duo, s’approche de moi :

– Tu veux mon pipi ?
– Bien sûr !

Je m’allonge sur le sol, et tandis que ma seconde de vaisseau s’accroupit au-dessus de mon visage pour m’offrir son nectar doré, je me branle comme un malade et asperge mon ventre d’une giclé de sperme qu’elle vient lécher comme une grosse gourmande.

Le dernier cri de jouissance de la partouze fut celui de Nadget succombant au léchage de minou que lui prodiguait Gundula. Et elle n’était pas peu fière de l’avoir fait jouir, la petite infirmière.

Et tandis qu’une odeur de stupre planait dans le mess, nous avons ouvert une nouvelle bouteille, on avait grand soif !

Le voyage est particulièrement long, on s’occupe comme on peut, on regarde des vidéos, on écoute de la musique, on bouquine, on fait un peu de gymnastique, et… on baise comme des lapins.

Hofjom est malade dans sa tête, alternant des moments d’apathie et d’autres où il raconte n’importe quoi ! Cet imbécile de Levkovich n’a donc pas été capable de le guérir. En fait je crois qu’il n’a pas été victime d’un hypnotisme classique mais de quelque chose de plus élaboré. Pas grave, on va le laisser à l’infirmerie jusqu’à notre retour et ensuite on l’enverra dans une clinique plus sérieuse que celle du docteur Levkovich.

Quand même, une question me taraude, Levkovich savait pertinemment d’où venait Hofjom, puisque c’est Dernoul qui le lui avait confié. Alors pourquoi le toubib l’avait-il laissé en vie ? Mystère !

Toujours est-il que le voyage s’est passé sans histoire, Levkovich est resté sage comme une image, Hofjom est resté toujours aussi zarbi mais sans rien causer d’irréparable, et j’ai l’impression de Gundula devient amoureuse de moi.

Nous sommes sortis de l’hyperespace et avons activé les moteurs ioniques qui permettent de voyager à 0,10 C à l’intérieur d’un système, puis nous nous sommes positionnés au-dessus du plan de l’écliptique afin d’en avoir une vue globale. Grace aux indications portées sur le journal de bord de Dernoul je sais de suite de quelle planète il s’agit, mais Levkovich n’a pas besoin de savoir que je le sais.

Je descends donc le voir, accompagné de Dyane, Nerren reste dans la coursive afin de parer à toutes éventualités.

– Hello ! Maintenant qu’on est dans le système, il faudrait nous dire sur quelle planète on va ?
– Mais je n’en sais rien !
– Vous ne savez pas où vous allez ?
– Il ne doit pas y avoir trente-six planètes habitables dans ce système.
– Je n’en sais rien, j’ai trouvé une planète avec une température de surface à 400° ! C’est là que vous voulez allez ? Bluffais-je.
– Beuh… euh…

Il est tout blanc Levkovich, il va se trouver mal.

– Bon on va continuer à regarder et on revient vous voir.

Dilos, l’ingénieur du bord me fait son rapport.

– Ça doit être celle-ci, tous les paramètres sont dans le vert, il y a une activité biologique…
– Et la détection géométrique !
– Oui, un truc qui ressemble à un bâtiment !
– Putain, on se dirige vers un site de précurseurs ! On a intérêt à gérer comme il faut ! Bon, on va essayer d’en savoir plus et surtout montrer à Levkovich qu’il n’est pas maître du jeu. Dyane tu redescends avec moi, on va retourner voir ce zouave, Nerren tu restes en appui. Dilos branche les images du survol en direct sur l’écran de Levkovich !

On entre dans la cabine de Levkovich, il est malade d’angoisse, le bonhomme.

– Vous m’apportez de bonnes nouvelles, j’espère ?
– On a trouvé ta planète ! Allume ton écran !
– Je ne vous autorise pas à me tutoyer…
– Si monseigneur veut bien allumer son écran… Et puis non, je vais le faire moi-même. Bon alors elle est là sur l’écran, on se pose où ?

Levkovich semble complètement paumé.

– Parce qu’il y en a plusieurs ?
– Plusieurs quoi ?
– Des… des constructions.
– J’en sais rien on n’a pas tout analysé.

Je fais faire un zoom sur le bâtiment qu’on a repéré.

– Y’a bien ce truc là, mais ça ressemble à rien ! Bluffais-je.
– Comment, ça, ça ne ressemble à rien, vous vous rendez compte que ce sont des vestiges des précurseurs, cette civilisation qui…
– Oh ! On se calme ! Ça n’existe pas les précurseurs, c’est une invention de l’armée !
– Mais vous êtes buté !
– Absolument, la seule question qui m’intéresse est de savoir si c’est là que vous voulez descendre ou ailleurs.
– Vous pouvez me montrer les autres…
– Quand on aura fini les analyses.

On sort, laissant le docteur en pleine confusion mentale, c’était le but de l’opération. Plus le gars sera fragile, plus on pourra le manipuler.

– Merde j’ai oublié mon connecteur dans sa cabine ! Me dit Dyane. Je vais allez le récupérer.
– Fais attention !
– Ne t’inquiète pas !

Ne dit-on pas que quand on a édité des règles de sécurité très striques, toute entorse à ces règles, même minime, peut avoir des conséquences catastrophiques. Mais comme personne n’est parfait…

Ça devait être ultra rapide, genre : elle entre, elle récupère le connecteur, elle sort, elle referme. Sauf que ça ne s’est pas passé comme ça.

– Je reviens récupérer mon connecteur.
– Il n’est pas là !
– Commet ça il n’est pas là
– Ben ça se verrait, non ?

Et inconsciemment pendant ce très bref échange, Dyane a croisé le regard de Levkovich et se retrouve en état d’hypnose.

– Prenez votre connecteur, sortez mais ne verrouillez pas la porte, quand vous serez dans la coursive, vous sortirez de l’hypnose en étant persuadée d’avoir verrouillé.

Le plan de Levkovich est tout simple, il veut récupérer une arme, la sienne ou une autre, et c’est tout pour le moment.

A pas de loup, il s’élance dans la coursive, il voit une porte frappée d’un caducée.

« L’infirmerie ! A défaut d’autre chose je peux toujours piquer quelques seringues bien remplies… »

Et c’est là qu’il découvre Hofjom

« Qu’est-ce qu’il fout là celui-ci ? Ce doit être un signe du destin, c’est vraiment la chance, je vais soumettre cet imbécile à ma volonté, et si Stoffer et sa bande me mettent des bâtons dans les roues, j’aurais un allié dans la place »

Alors Levkovich hypnotise Hofjom.

– Tu feras tout ce que je te dis, tu refuseras tout ordre qui ne viendra pas de moi. Attention mes instructions priment sur tout ce qu’on a ordonné avant. Tu as bien compris ?
– Oui.
– Pour commencer tu vas te débrouiller pour aller en salle de contrôle, tu expliqueras que tu es guéri. Je veux savoir si le site auprès duquel le vaisseau va se poser est le même que celui que le capitaine Dernoul a exploré. Tu me répondras sur mon canal au numéro 14.
– Oui.

« Et maintenant cherchons une arme… »

Il repère l’armurerie, mais elle est fermée et ne s’ouvre qu’avec un bracelet magnétique…

« Bon je sais où c’est, c’est déjà ça… »

Et il réintègre sagement sa cabine.

Nous avons refait une nouvelle fois le tour de la planète, nous choisissons d’atterrir à quelques centaines de mètres de la bâtisse de précurseurs.

– Attention, atterrissage imminent, tout le monde à son poste !

C’est fabuleux, la bâtisse est de plus en plus visible, elle semble nous narguer, elle est là, la lumière de son soleil se reflétant sur ses murs rouges pourpre, ce ne sont pas des siècles qui nous contemplent mais sans doute des dizaines de millénaires.

– On ne va pas laisser l’autre y aller tout seul, j’ai envie de voir ça de près ! Me dit Dilos.
– Evidemment !
– Attention, on se cramponne ! Gueule Dyane.
– Problème ?
– Mais non ! Atterrissage réussi.
– O.K. On se met tous en pause…
– Pourquoi faire ? Intervient Dilos, j’ai hâte de voir ce machin de très près !
– Oui, bon, on a tous envie d’y aller, mais faut peut-être qu’on s’organise un peu et qu’on voit avec l’autre zouave… Et puis Je boirais bien un petit coup… Répondis-je.

Et soudain, nous avons senti une présence, et la présence se mit à parler :

– Bonjour tout le monde, ça y est je suis guéri !
– Hofjom, vous n’avez rien à faire ici, Dilos et Nerren, raccompagnez-le à l’infirmerie.
– Attendez, attendez !
– Attendre quoi ?
– Je veux juste savoir si on est sur le même site que celui où s’était posé le capitaine Dernoul ?

De quoi ? Il se passe quelque chose d’anormal. Jamais au grand jamais, nous avons dévoilé à ce type le but de notre mission, non pas parce que c’était secret, mais d’une part ça ne le regardait pas et puis surtout il était dans un état où ce genre de révélation aurait pu lui faire un choc.

– Mais qui est-ce qui t’as indiqué le but de notre mission ?
– Est-ce qu’on est sur le même site ?
– Oh ! Réponds d’abord à ma question.

Le type semble en pleine confusion.

– Alors ?
– C’est le monsieur qui est venu me guérir !
– Quel monsieur ?
– Je ne sais pas comment il s’appelle !

Qui c’est qui joue au con à bord de mon vaisseau ?

– Décris le ! Lui demandais-je
– Des cheveux blancs…

Personne n’a les cheveux blancs, je grisonne un peu, mais comme ce n’est pas moi…

– Qui c’est qui a les cheveux blancs à bord ? Demandais-je à la cantonade.
– Personne à part Levkovich ! Répondit Dilos.
– Mais comment ils ont pu se rencontrer ces deux-là ? La cabine de Levkovich est verrouillée…

Et l’horrible doute…

– Dyane ! Tu es sûre que tu as refermé la porte quand tu es retournée chercher le connecteur ?
– Je sais encore ce que je fais !
– J’ai quand même l’impression qu’il se passe quelque chose…
– Vous ne m’avez pas répondu ! S’énerve Hofjom en s’approchant du tableau de bord.
– Oh ! Tu restes à ta place !

Il en a cure et continue d’avancer !

– Aidez-moi à maîtriser cet abruti.

C’est la mêlée, il se débat comme un beau diable, mais un bon coup de rayon paralysant finit par le calmer. Il a en a pour une bonne heure avant de sortir de sa torpeur.

Quel bordel ! Mais faisons les choses dans l’ordre :

. Dilos, Nerren et Nadget, allez vérifier si sa porte est verrouillée…
– La confiance règne ! S’énerve Dyane.

Quelques instants après, Dilos et les autres revenaient.

– La porte était ouverte, mais le type était à l’intérieur, on a refermé.
– Je n’y suis pour rien, je suis sûre d’avoir refermé ! Proteste Dyane. Il a dû trouver un truc pour ouvrir tout seul.
– Tu sais bien que c’est impossible, la sécurité est branchée de telle façon qu’on ne puisse pas ouvrir de l’intérieur. J’espère qu’il ne t’a pas hypnotisé ?
– Ça va pas, non ? Je m’en souviendrai !
– Ben non justement l’hypnose ça sert aussi à ça, à foutre le bordel dans la mémoire !

Putain, s’il l’a vraiment hypnotisé en lui donnant des ordres à retardement, ça peut être hyper dangereux !

– Dyane, je suis désolée, on ne peut prendre aucun risque, tu vas rejoindre ta cabine et on va t’y enfermer le temps qu’on y voit clair dans cette affaire.

Si elle refuse, on va au clash !

– Mais ça va pas, non ?
– C’est juste une précaution, laisse-nous le temps de régler ça !
– Vous êtes vraiment cons ! Bon O.K. je vous laisse délirer, je vais aller m’enfermer, mais faudrait pas que ça dure trop longtemps.

Ouf !

Elle est allée gentiment vers sa cabine, elle s’y est enfermée et j’ai posé une sécurité sur sa serrure.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 2 avril 2022 6 02 /04 /Avr /2022 17:08

Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 7 – Dyane, Gundula et moi par Nicolas Solovionni
StampFFH

 

– Reste cinq minutes, je vais te présenter ma seconde de vaisseau, tu auras affaire à elle quand on embarquera…
– Si on embarque un jour… Soupira Gundula

On fait les présentations, bisous, bisous, Dyane a toujours été très câline et affectueuse…

– Je lui a tout raconté ! Précisais-je à l’intention de Gundula. Je n’ai aucun secret pour Dyane.
– Elle en a de la chance ! Se gaussa l’infirmière.
– En revanche, puisqu’il est question de secret, Gundula en a un mais elle en veut pas me le dire ! Ajoutais-je à l’intention de Dyane.
– Oh, la vilaine !
– Bon je vous laisse ! Voulut conclure l’infirmière.
– Dis-moi, ton secret c’est un truc dans quel genre, je veux dire : un gros secret ou un petit secret ?
– J’en sais rien, c’est une info que le capitaine cherchait à obtenir. Il se trouve que cette info, je peux lui apporter.
– Parce que tu veux quelque chose en échange ?
– Eh, oui !
– Et pourquoi tu ne lui donnes pas !
– Parce que pour l’instant je n’ai pas l’article.
– C’est d’un clair ! Tu sais que t’es une belle femme, tu serais lesbienne ou bi, je t’aurais volontiers dragué. Lui déclare Dyane en papillotant des yeux
– Je ne suis pas lesbienne ! Se défend mollement Gundula.

Quelle gourde, elle n’a pas dit « je ne suis pas bi non plus » Dyane a un boulevard devant elle si elle sait en profiter.

– On sera amené à se revoir, je pense ! Autant rester en bon terme ! Reprend ma seconde de vaisseau.
– Mais je ne demande que ça !
– Alors tu ne vas pas me refuser un baiser sur tes jolies lèvres ?

Ben non, elle ne voit pas comment refuser et de toute façon, elle n’a pas le temps de réfléchir, et quand la langue de Dyane sollicite l’entrée de sa bouche, elle l’accepte.

Dyane en profite pour lui plaquer négligemment ses mains sur les seins

– Tu ne serais pas en train de me peloter, là ?
– Ce n’est qu’une innocente caresse…
– Tu parles ! Elle joue à quoi ta copine ? M’apostrophe Gundula.
– Je crois qu’elle tente sa chance ! Réponds-je
– Ben oui, je tente ma chance ! Renchérit Dyane.
– Et tu crois que je vais me laisser faire ?
– J’en sais rien mais pour l’instant tu as les tétons qui pointent.
– C’est une réaction purement mécanique ! Ma chère
– Tu crois vraiment ? Fais mine de demande Dyane en serrant les tétons à travers les tétons.
– Arrête, on va finir par faire des bêtises !
– D’accord j’arrête, mais embrasse-moi.

Les deux femmes se roulent alors une galoche baveuse et Dyane oubliant volontairement sa promesse continue à peloter à tout va, Sa main passe maintenant sous le haut, arrive au niveau du soutien-gorge et en fait sauter l’un des bonnets.

– Tu peux peut-être enlever tout ça ? Lui propose Dyane ?
– T’as vraiment envie de me sauter, on dirait !
– Ben oui !
– Tu vas être déçue !
– Pourquoi ? T’es en silicone ?
– Non, mais la dernière fois que j’ai fait des trucs avec une fille, c’était il y a des années.
– Et t’avais aimé ?

Elle est formidable, la petite Gundula, elle se piège toute seule.

– Bon je ne dis plus rien ! Consent-elle en retirant son haut et son soutien-gorge. C’est trop gros tout ça !

Ça y est ça la reprend !

– L’essentiel, lui répond Dyane c’est qu’ils soient beaux et doux.

Et elle se jette sur les tétons pour les sucer avec gourmandise.

– Vous seriez peut-être mieux sur le canapé ! Leur suggère-je

Elle ne m’entendent même pas ! Dyane fait une petite pause en se dépoitraillant à son tour et en offrant ses nénés à la petite infirmière, laquelle n’affiche aucun scrupule à lui rendre la politesse.

Bon, et moi, qu’est-ce que je deviens ? Je n’aurais pas l’outrecuidance de m’immiscer dans ce prologue lesbien qui me ravit les yeux et me chatouille la bite. Si elle veulent de moi, il leur suffira de m’appeler et j’accourrais. Mais cela dit je suis chez moi, je fais ce que je veux et décide de me mettre à poil et de me branler doucement en attendant la suite des événements.

Et justement les événements se poursuivent de façon logique, si toutefois on peut qualifier de logique les activités sexuelles, Dyane a fini de déshabiller sa partenaire et s’est accroupit devant sa chatte afin de la lui lécher. Gundula se laisse faire en fermant les yeux, mais a du mal à se maintenir en équilibre devant les sollicitation de sa lécheuse.

Elles se dirigent donc vers le canapé en se tenant la main comme deux vieilles copines. Dyane en profite pour se mettre à poil à son tour. Quel charmant tableau que j’ai là sous mes yeux avec ces feux fausses blondes nues comme des grenouilles. Je bande comme un bout de bois, mais je serais transparent, le résultat serait le même, pour elles, en ce moment, je n’existe pas !

Sur le canapé, ça s’embrasse et ça s’enlace, ça se caresse et ça se tripote, et au bout d’un moment les voilà en soixante-neuf, Dyane en-dessous, Gundula dessus, Placé comme je suis-je ne peux pas voir ce que fait l’infirmière. En revanche ma collaboratrice ne se contente pas de lécher la cramouille de sa partenaire, mais viens de lui introduire un doigt dans le trou de balle. Je la reconnais bien là.

Ça devient très chaud, dans tous les sens du terme, ça s’agite, ça transpire, ça gémit, ça mouille ! Gundula est la première à faire éclater son plaisir. Dyane s’abandonne aux mouvement de langue de sa partenaire. Je me demande si elle va y arriver. Elle manque sans doute d’expérience.

Si elles avaient adopté une position plus accessible, je serais venu « aider » mais non, je me suis promis de ne pas m’immiscer, alors je ne m’immisce pas.

Et soudain je sens que Dyane est en train de partir. Les deux femmes quittent leur position et s’enlacent. Un coup d’œil sur les cuisses de Dyane, elles sont trempées, elle n’a donc pas simulé !

– Eh ben toi, alors ! Dit simplement Gundula !
– T’as vue, hein ?

Ça c’est du dialogue !

Et soudain je ne suis plus transparent !

– Mais tu as vu l’autre cochon ! Dit Dyane, il s’est branlé en nous matant !
– Hi ! Hi ! Répond Gundula avec un grand sens de la répartie.
– On va l’entreprendre à deux !

Dyane s’approche de moi, Gundula la suit comme un toutou.

Ma collaboratrice préférée commence par me tirer les tétons, ce n’était pas la peine, je bandais convenablement, mais c’est toujours agréable, et elle fait signe à l’infirmière de prendre ma bite en bouche.

Stoffer307
Après cette petite séance de voyeurisme, je crains de ne pas pouvoir tenir bien longtemps. Finir dans la douce bouche de Gundula, pourquoi pas, mais si l’une de ces dames m’offrait son anus, ce serait encore meilleur. Et c’est avec une délicatesse que je vous laisse deviner, que je pose la bonne question :

– J’encule qui ?
– On tire au sort ! Propose Dyane.

On fait ça à la « pair-impair » Dyane choisir l’impair. J’allume mon spacephone, le premier chiffre qui apparaît est un huit. C’est donc Gundula qui va s’y coller. Ce ne sera jamais que la seconde fois que j’aurais le plaisir de lui ramoner la rondelle.

Elle s’est prêtée gentiment au jeu, et comme la fois dernière elle a préféré se mettre sur le dos en levant les jambes plutôt que se mettre en levrette, je l’ai donc pilonné pendant que Dyane lui faisait des mimis sur les seins. A ma grande honte, je n’ai pas tenu la distance et j’ai déchargé trop vite ce sont des choses qui arrivent.

– Il faut que je fasse pipi, je ne peux plus me retenir ! Dit alors Dyane.
– Je peux en profiter ? Demandais-je

Dyane et moi affectionnons cette pratique, reste à savoir comment Gundula va réagir.

– Je vais lui pisser dessus, il adore ! T’as déjà fait ça, toi ? Demande-t-elle à l’infirmière.
– Je sais que ça se fait, mais moi personnellement, non.
– Tu veux essayer ?
– Un jour peut-être.

Elle a le tact de ne pas insister, je suis Dyane dans la salle de bain, Gundula vient aussi, elle est curieuse, l’infirmière !

Je m’allonge sur le sol, Dyane s’accroupit au-dessus de ma bouche et ouvre les vannes, j’en avale une bonne goulée, c’était délicieux, Il faudra juste que je passe un coup de serpillère pour éponger ce qui est tombé par terre.

– Fait moi un bisou sur la chatte ! Demande alors Dyane à Gundula en minaudant.
– Mais tu ne t’es pas essuyée !
– Je sais !
– Et tu veux que…
– Juste un peu, ça ne va pas te tuer !
– C’est pas vrai ! Qu’est-ce que tu me fais faire ?
– T’es pas obligée, mais ça va te prendre juste une seconde.
– Et tu ne m’en crois pas capable ?
– Si, justement !

Alors Gundula s’est penché, a approché sa petite langue de la foufoune de Dyane, juste un petit coup.

– Oui, bon, c’est spécial ! Pas de quoi en faire un plat ! Commente-t-elle.
– Ça a quel goût ? La taquine Dyane
– J’en sais rien un gout de pisse !
– Mais encore !
– Attends je vais te dire !

Et voilà que Gundula se plonge vers la chatte de ma collaboratrice et cette fois lèche pendant plusieurs secondes.

– Non, je ne sais toujours pas quel goût ça a, mais ce n’est pas si mauvais que ça !
– C’est bien, la prochaine fois je te pisserais peut-être dans la bouche.
– Ça ne va pas, non ! Quoi que si tu me demande gentiment…

Je suis épuisé, les deux nanas aussi. On se boit un coup.

– Tu peux peut-être le dire ton petit secret, maintenant ? Lance Dyane à Gundula.
– Non, non ! Et j’espère que ce n’est pas pour ça que tu m’as débauchée.
– Va savoir ? Tu ne regrettes pas j’espère.
– Non, pas du tout !

J’ai un appel en absence sur mon spacephone, c’est Riquita. Il est assorti d’un message, j’en prend connaissance puis le repasse en hautparleur à l’attention de Gundula :

« A la limite, je peux virer Diamond, elle ne supporte pas que soit moi la nouvelle régisseuse…  »

Qui c’est Diamond ? Je suis en train de m’apercevoir que j’ai acheté une boite sans en connaitre ni tous les rouages, ni tous les acteurs.

« …Mais c’est un poste à mi-temps, et puis faut pas rêver, je ne sais pas comment est ta petite protégée, mais quand elle va voir les différences de salaires entre-elle et les autres, ça va lui faire drôle… »

– Elle est incapable de comprendre, ta pétasse, que je n’ai aucune envie de faire du sexe avec des inconnus ? S’agace Gundula.
– Bon je vais essayer de trouver autre chose, on pourrait aller bouffer tous les trois ensemble ? Proposais-je.
– C’est une excellente idée ! Répond Dyane, mais nous allons faire ça demain ! Parce qu’aujourd’hui mon cher capitaine j’ai des choses à te dire et entre quatre yeux !

On a donc laissé partir Gundula, puis sans attendre Dyane me questionne :

– T’en es où ?

Je lui explique, j’espère simplement ne pas la mettre en péril en lui dévoilant le secret de l’intrusion au Carrie’s bar par l’homme masqué.

– Bien, bien, dit-elle ! On peut voir les choses de façon complètement différente.
– Ah ?
– Mets-toi dans la peau des adorateurs des précurseurs, n’oublie pas qu’il s’agit d’une secte et que les ces gens-là ont des réactions qui peuvent paraître incompréhensibles ou farfelus aux yeux des non-croyants
– Pas si facile !
– On peut toujours essayer ! Donc les adorateurs locaux, ils en sont où ? Ils ont tué Dernoul, coupable selon eux de sacrilège, le reste de l’équipage semble leur avoir échappé, je ne vois pas comment ils vont pouvoir leur courir après. Mais la bonne question est : est-ce que leur mission est terminée ?
– Quelle mission ?
– Laver le sacrilège !
– Je n’en sais rien, moi, c’est quoi ton idée ?
– Mon idée, c’est que le caillou qu’il ont piqué à Dernoul, ils vont vouloir le remettre à sa place sur sa planète d’origine. Rétorque Dyane
– C’est de la folie douce !
– Rappelle-toi qu’il s’agit d’une secte.
– Et une fois que tu as dit ça ?
– Eh bien la petite Dyane, elle a été trainer à l’astroport consulter les appels d’offre, et que dans les offres, figure-toi que j’ai trouvé un passager qui offre très cher pour un aller et retour sur une planète à numéro. Et le numéro correspond à la planète où s’est posée Dernoul.
– Putain !
– Je t’en bouche un coin, là.

Du coup, on s’est servi un grand verre de watchibole avec des glaçons.

– Donc, on prend le passager, et dès qu’on a décollé on le neutralise, on le prend en photo et on l’abandonne dans l’espace, et l’affaire est terminée ! Génial ! Proposais-je
– Sauf qu’on peut faire mieux que ça ! Le mec il doit savoir des tas de trucs, on va le cuisiner et aller jusque-là bas, c’est un peu loin mais c’est un investissement, on va arriver sur un site de précurseurs, on ne se laissera pas avoir comme Dernoul, les types là-bas ils ne doivent pas être si nombreux que ça, et il y a surement du fric à se faire…
– Tu me tentes !
– Eh oui, l’aventure, le fric…
– Le fric, j’en ai déjà…
– Reste l’aventure, c’est bien l’aventure !
– O.K. ! Accepte et bloque l’offre du mec, avise-le qu’on part… euh… combien de temps pour réunir tout l’équipage ?
– Deux jours !
– C’est bon !

J’aurais pu prévenir de suite Gundula que nous allions partir, mais j’ai préféré la faire lanterner, son petit secret ne doit pas être si important que ça, mais à coup sûr il est en rapport avec Hofjom. Alors ? Sa date de sortie ? Des informations sur ses échanges téléphoniques, sur ses visites ?

J’ai donc attendu le lendemain pour l’appeler.

– Tu peux démissionner de la clinique, je viens d’avoir une opportunité, je décolle demain ou après-demain.
– Super !
– Rejoins-moi à mon appart !

– J’arrive !

Elle est essoufflée.

– Décidemment, me dit-elle, c’est la journée des surprises, hier j’avais une info, maintenant j’en ai deux.
– Moi aussi j’en ai deux.
– Hein ?
– Laisse tomber, je faisais de l’humour, je t’écoute :
– Première information : Hofjom sort aujourd’hui, je ne sais pas s’il est guéri mais Levkovich avait besoin d’un lit, il va faire de la chirurgie esthétique à une pétasse…

Voilà une nouvelle qui m’embarrasse plus qu’autre chose, me voilà obligé « moralement » de prendre cet énergumène dans mon équipage…

– O.K. et l’autre information ?
– Levkovich nous a réuni ce matin pour nous dire qu’il allait s’absenter de l’établissement pour plusieurs semaines, c’est un de ces collègues, un mec que je ne connais pas qui assurera l’intérim.

Bingo ! Tous les doutes sont désormais levés, c’est donc bien Levkovich mon mystérieux passager et c’est donc bien Levkovich l’assassin de Dernoul !

Il me reste à organiser tout ça. Sur sa demande d’offre Levkovich a laissé un numéro de spacephone, un appareil anonyme sans doute acheté uniquement pour l’occasion.

Je le préviens donc d’être prêt à se présenter une heure avant le décollage. L’heure précise lui sera communiqué en temps voulu.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 2 avril 2022 6 02 /04 /Avr /2022 17:06

Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 6 – Le boiteux par Nicolas Solovionni
StampFFH

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Un peu avant midi, je retournais voir la capitaine Jiker, afin de lui demander si elle connaissait ce citoyen.

– Tu commences à m’emmerder, Stoffer !
– Je te paierais le restau, après !
– Corruption de fonctionnaire ?

Je lui montrais la photo. Ça la fit rigoler !

– T’as plus besoin de le chercher ! On l’a trouvé !
– Comment ça ?
– Dans une benne à ordure, il y a une heure… apparemment un mec sans histoire, il faisait la plonge au Lupercus. Mort par étranglement avec juste un petit mot d’accroché « Dernoul est vengé ».
– T’as d’autre détails ?
– Non et on en aura pas d’autres, on ne va pas s’emmerder avec ça.

Autrement dit, si je veux des précisions, il faudra que je me démerde tout seul.

J’ai donc indiqué à Jiker que je lui offrirais le restaurant une autre fois et me suis rendu au Lupercus

Le Lupercus n’est pas mon restaurant habituel mais il m’arrive de m’y rendre, je me demandais comment aborder l’affaire dans la conversation,. Je connaissais un peu, Zina, l’une des serveuses, je la brancherais.

Ne la voyant pas, je demandais après elle.

– Elle est occupée, mais dès qu’elle sera libre, je lui dirais de venir vous saluer. Me répondit le loufiat.

Et effectivement, alors que je finissais mon dessert.

– Ah Capitaine Stoffer, ça faisait longtemps…
– Je sais, je ne peux pas être partout, mais je me disais « il faut que je trouve le moyen d’aller dire bonjour à Zina ».
– C’est gentil ! Tu as appris ce qui est arrivé à ce pauvre Conrad, lui qui était si gentil ! A mon avis c’est une erreur, on l’a pris pour un autre.
– C’est bien possible en effet ! Répondis-je histoire de dire quelque chose. Il avait l’air normal ces derniers jours, je veux dire il ne paraissait pas angoissé ?
– Non, pourquoi tu demandes ça ?
– Tu sais parfois, il y a des braves gens qui se trouvent mêlés à de drôles d’histoires malgré eux…
– Ah, oui, je n’avais pas pensé à ça ! Mais non, il était comme d’habitude, toujours à raconter des blagues.

O.K. c’est tout ce que je voulais savoir.

– Un petit extra, ça te tente, capitaine ?
– Allons-y !

Décidemment dans cette histoire, je baise avec tout le monde. Que voulez-vous en ce moment j’ai la libido débordante ! Et puis après le panpan cucul avec Marcia, la séance sadomaso avec Shapie Rô et mon trio avec les transsexuelles, un gros câlin bien classique avec Zina, la petite serveuse délurée frisée comme un mouton, ça va me « reposer ».

En fait pas vraiment, mais n’anticipons pas !

– On fait ça dans l’arrière-salle, ou tu préfères un salon ? Un salon je suppose ?
– Tant qu’à faire !

Nous montons à l’étage. Petite transaction financière puis déshabillage mutuel. Elle est mignonne Zina, même si je préfère les femmes plus grandes avec davantage de formes, mais elle a un sourire désarmant, ça compense.

– Tu t’allonges, je vais te faire une pipe pour commencer.

O.K. je fais comme ça, je ferme les yeux m’abandonnant à cette douce gâterie qu’elle me prodigue avec grand savoir-faire d’autant que tout en travaillant de sa bouche et de ses lèvres, ses mains se sont égarées sur mes tétons qu’elle tortille vigoureusement

Et soudain !

– Excusez-moi de vous dérangez, tu n’as pas vu mes cigarettes, Zina.
– Euh, non !

C’est gros comme une maison, à tous les coups cette blondinette que je n’avais jamais vue va essayer de s’enquiller dans notre duo afin qu’il devienne trio. Je me marre !

– Je ne sais pas où je les ai foutus. Tant pis, amusez-vous bien tous les deux. Au revoir monsieur ! Remarquez si vous voulez un petit truc à trois, ça peut se faire…

Qu’est-ce que je vous disais ?

– Pourquoi pas, soyons fou ! Répondis-je.
– Euh, pour le paiement…
– Laisse tomber, Kali, je connais monsieur, il te paiera après.

Kali se déshabille en deux temps, trois mouvements. On l’attend, puis Zina lui fait signe de venir la rejoindre afin qu’elles me sucent de conserve.

Une pipe à deux bouches ! Quoi de plus excitant ! Même si la blondinette n’a pas autant d’expérience que sa collègue.

Tout en poursuivant sa turlutte, Zina fait passer sa main sous mes fesses et m’introduit un doigt dans le cul. Tout va bien !

– Tu m’as bien payé, je ne voudrais pas que tu jouisses trop vite ! Me dit-elle. Tu aimerais nous voir en train de nous gouiner.

Bien sûr que je veux bien, c’est toujours très excitant et très charmant de voir deux belles jeunes femmes se faire des trucs.

C’est Zina qui mène la barque, elle demande à sa collègue de se coucher sur le dos et vient lui rouler une pelle magistrale avant de lui lécher les tétons. Moi aussi j’aurais bien gouté à ses seins, mais je patiente, la passe n’est pas terminée.

Zina descend maintenant son visage entre les cuisses de Kali et commence à lui brouter le gazon.

Tu peux nous caresse un peu pendant qu’on fait ça me dit-elle.

Ben oui, c’est la moindre des choses, non ? Je caresse donc les douces fesses de Zina, J’hésite à lui enfoncer un doigt dans l’anus, alors je fais un mouvement d’approche.

– Vas-y, vas-y ! Me dit-elle, s’interrompant une seconde.

Alors j’y vais, je la doigte avec énergie pendant qu’elle s’acharne sur le sexe de sa copine.

Stoffer306Sauf situations exceptionnelles ou particulières les filles que l’on paye, ne jouissent pas pendant les rapports et simulent. Mais en ce moment Kali ne simule rien du tout, la pression sanguine rougit le haut de son corps et elle halète comme une sprinteuse en fin de course, tandis que son visage dégouline de transpiration. Et soudain elle hurle de plaisir avant de souffler comme un bœuf

– Ben toi alors ? Dit-elle à sa collègue, tout étonnée d’avoir joui en de telles circonstances.
– T’as vu, ça je suis une championne !
– Tu veux que je te fasse pareil ?
– Quand on sera toutes les deux !

Ben oui, je suis là, moi quand même !

– Tu sais ce qu’on va faire, ma dit Zina, tu vas baiser Kali et en même temps tu vas me lécher le minou !
– Pourquoi pas ?
– Je peux te prendre par derrière ? Demandais-je à Kali.
– Comment ça ?
– Ben il te demande s’il peut d’enculer ! Lui précise sa collègue.
– Ah, non !
– Comment ça, « Ah, non ! » ? Le capitaine est très correct, il ne va pas te faire de mal…
– Il m’a demandé, j’ai le droit de répondre non !
– Justement s’il t’as demandé ça prouve qu’il est correct, alors maintenant tu arrêtes de faire ta chochotte et tu te laisses faire. S’énerve Zina.
– Je demandais-ça comme ça, si elle ne veut pas ça ne fait rien… tentais-je de tempérer.

Moment de flottement, je pensais que les deux filles allaient intervertir leurs rôles, mais Kali finit par me dire, d’un air embarrassé.

– Bon d’accord allez-y, mais n’y allez pas trop fort.

J’aurais pu lui dire que ce n’était pas la peine, mais j’ai craint que ce soit une source d’embrouille entre les deux filles.

Kami s’est donc placé en levrette, Zina l’a chevauché debout de façon à ce que ma langue puisse accéder à sa chatte… et c’est parti mon kiki.

C’est serré chez Kali et il a fallu une bonne tartine de gel pour faciliter l’introduction. Je m’enfonce le plus doucement possible, j’ai l’impression que la fille a mal mais qu’elle n’ose pas le dire. Je lui demande si ça va, elle me répond oui, je en suis pas convaincu, je la pilonne un peu.

– Tu vas t’habituer ! Lui dis-je pour la rassurer.
– Maintenant c’est mieux, finit-elle par me dire.

Du coup j’accélère, elle pousse des petits cris mais ce ne sont pas des cris de douleur, tout va bien, je n’ai plus aucune raison de me retenir, je pilonne comme un malade tout en ayant le museau plongé dans la chatoune parfumée de Zina.

Je jouis, je me retire.

– Tu m’as bien enculé ! Me dit Zina.

J’espère que c’est sincère, en tous cas, la réflexion a plu à Zina qui lui fait un joli sourire complice.

Salut les filles !

Bon j’ai compris ! Les tueurs de la mafia avaient ordre de tuer le type dont la photo avait été extraite du fichier de télésurveillance. Ils l’ont trouvé, l’ont étranglé sans chercher à creuser davantage les ordres. La mafia est sans doute puissante et dangereuse mais parfois, elle ferait mieux de réfléchir un petit peu plus.

Ce n’est pas parce qu’un mec a demandé un renseignement à son gérant, à savoir la provenance du fameux message « Trébussy », que c’est lui qui a assassiné Dernoul. En fait ce Conrad ne devait être qu’un comparse occasionnel et peut-être même inconscient, l’hypothèse selon laquelle on l’aurait mis sous hypnose pour aller aux renseignements restant hautement probable.

Donc, je commence par me rendre au Carrie’s bar. Dès mon arrivé, Marcia, l’ex-copine de Dernoul m’apostrophe et m’emmène dans un coin discret:

– Je suis au courant, c’est vous où ce sont des amis cachés ?
– Ni l’un ni l’autre, c’est la Mafia, et c’est juste une exécution de principe, elle veut montrer que c’est elle qui commande ici et qu’elle n’admet pas des règlements de compte auxquels elle ne participe pas !
– Seul le résultat compte, mais si je comprends bien vous n’y êtes pour rien.
– Sauf que le gars qui vient de faire tuer n’est probablement pas l’assassin de Dernoul, ce n’est qu’un sous-fifre. L’assassin il court toujours, et ma promesse de vous en débarrasser tient toujours.

Elle m’a demandé comment je pouvais parvenir à de telles conclusions, je lui ai donc raconté une partie de ce que j’avais appris.

– D’accord, mais vous allez faire comment pour trouver le véritable assassin ? Me demande-t-elle.
– J’en sais rien, mais comme vous ne m’avez tout dit l’autre jour…
– Dernoul avait peur… pas une grosse peur, non, mais quelque part il n’était pas trop rassuré, il m’a filé une copie de son livre de bord et il a voulu me confier un espèce de caillou qui avait ramassé là-bas. Je lui ai fait remarquer que s’il y avait un risque avec cet objet, ce n’était sans doute pas prudent que ce soit moi qui le garde.
– Et il est où ce machin ?
– Quelle importance, vous croyez que ça va faire avancer votre enquête ?
– Pourquoi pas ? Vous ne voyez rien d »autres à me raconter ?
– Non !
– Est-ce que je peux visiter sa chambre !
– Je n’ai pas le code et je ne pense pas que Carrie vous autorisera..
– Marcia, si vous voulez que je vous aide, il faut m’aider à vous aider.
– Je vous ai tout dit !
– Marcia, juste une question ? Quelqu’un est-il venu fouiller dans la chambre de Dernoul ?
– Je n’en sais rien.

Elle ment ! Je le vois bien. Et si elle ment c’est qu’elle a peur d’éventuelles représailles. J’ai été bête j’aurais dû attendre avant de lui dire que l’assassin n’était pas Conrad !

– Bon servez-moi un double watchibole, je vais attendre Carrie pour lui faire un bisou.

Et puis l’idée : il y a peut-être une caméra dans la chambre de Dernoul. En principe, elles sont interdites dans les chambres d’hôtel, mais ici c’est différent les chambres sont des chambres de passe et un enregistrement peut être utile en cas de problème avec un client. Reste à savoir si celle de la chambre de Dernoul est resté en fonction ou pas.

J’explique mon problème à Carrie, après qu’elle m’ait signifié un refus systématique, je parviens à lui expliquer que je n’ai même pas besoin d’entrer dans la chambre…

– Les caméras entrent en fonction dès que quelqu’un entre en chambre. J’ignore si celle de Dernoul était resté branchée, je ne me suis jamais posé la question. Et puis si : je me souviens maintenant, il avait demandé à ce qu’on la lui débranche.
– Ecoute, je comprends parfaitement que tu n’as pas envie de prendre des risques, mais des risques il y en a plus. La seule personne qui était au courant de mon enquête c’est le capitaine Jiker. Je vais lui faire croire que pour moi l’affaire s’est terminée avec l’exécution de Conrad. O.K.
– Non ! On ne parle plus de ça.

Marcia s’approche de notre table.

– Carrie, s’il te plaît, il essaie de m’aider… Lui dit-elle en sanglotant.
– Et si on vient cramer ma boite, c’est toi qui va me rembourser ? Répond-elle
– Par contre moi je peux le faire ! Interviens-je. Je peux même mettre une somme équivalente à la valeur de ton bouiboui sur un compte bloqué, jusqu’à la fin de l’enquête.
– Pourquoi prendre un tel risque ?
– D’abord parce que j’ai l’argent pour le faire, mais en fait je ne prends aucun risque, il ne vous arrivera rien.
– Bon tu veux quoi ?
– Je suppose que quand tu m’as dit que Dernoul avait demandé le débranchement des caméras, c’était du baratin ?
– Oui mais je ne peux pas t’assurer… Je me connecte. Alors quelle date ?
– Tu le sais bien !
– Oui bien sûr ! Donc chambre 8… Pas de bol, regarde, y’a bien du son mais y’a pas d’image, c’est Dernoul qui a dû l’obturer.
– Et dans la salle où on est, y’a une caméra ?
– Oui mais… Mais comment tu sais que quelqu’un est venu ?
– Parce que l’assassin de Dernoul cherchait quelque chose et que je pense qu’il ne l’avait pas sur lui, et puis je suppose aussi que ce mec t’a foutu une trouille bleue…
– J’espère que tu sais ce que tu fais… Alors le fichier de la salle, toujours la même date. Vas-y regarde.

Ben oui je regarde : pas grand monde dans la salle, juste Carrie, Marcia et le garde du corps. Entre un mec, petit, masqué, vêtu d’un long manteau, il boitille un tout petit peu. Pour les masques il existe des applications qui savent dire ce qu’il y a en dessous, mais il y a aussi des masques qui peuvent tromper l’application. On verra bien. Il menace tout le monde avec une arme automatique qu’il dissimulait sous son manteau. Le garde du corps esquisse un pas vers l’intrus mais se reçoit un rayon paralysant qui le cloue au sol. Nouvelles menaces… Bizarre, cette voix qu’il essaie de masquer en prenant un accent impossible me dit quelque chose… Pas une voix de jeune en tout cas. Il demande où est la chambre de Dernoul et le code d’accès. Il monte, et redescend moins de cinq minutes après. Ça veut dire qu’il a rapidement trouvé ce qu’il cherchait… probablement le fameux cailloux extrait de la ruine des précurseurs. En redescendant il renouvelle ses menaces « il ne s’est rien passé, si quelqu’un ici se mets à baver, je le saurais, je crame le rade et je vous jette de l’acide dans vos gueules de putes »

C’est un poète, ce mec !

– Je suppose que tu veux voir la chambre ?

J’ai dit oui, parce qu’on ne sait jamais. Quelques traces de fouilles, mais apparemment le visiteur a trouvé ce qu’il cherchait dans un tiroir de commode qu’il n’a pas refermé, les autres sont restés fermés.

J’ai donc appris quoi ? Pas grand-chose ! Mais la bonne question est maintenant de savoir si le visiteur est l’assassin, un comparse ou encore une fois un type zombifié par hypnose ?

Mais dans ce cas précis je crois qu’on peut éliminer l’hypothèse zombi, l’homme masqué savait ce qu’il cherchait mais ignorait tout du contexte, nombre de personnes,, disposition de lieux… difficile de programmer quelqu’un avec un tel éventail de situations.

Bon il me faut faire le point, et le moins que l’on puisse dire, c’est que ça se complique. Me voilà à la recherche d’un homme dont je sais seulement qu’il n’est pas jeune, qu’il n’est pas très grand et qu’il boite. De nos jours, il n’y a plus de boiteux permanents, la chirurgie étant au top pour ce genre de problème, sauf dans le cas d’un accident récent, autrement dit : il ne doit pas y en voir beaucoup dans le voisinage ! J’aurais bien examiné sa silhouette plus en détail, afin de rechercher d’autres éventuels indices, mais Carrie a refusé de me transférer le fichier sur mon spacephone.

L’assassin fréquentait le Lupercus, peut-être qu’en m’y rendant, à la même heure que celle de la diffusion du message, je trouverais quelqu’un qui ressemble à ce bonhomme ?

C’est donc ce que je fais. Zina est toute contente de me voir.

– Ben alors t’y prends goût ?
– Ma fois le koujnik aux olives était tellement bon, la dernière fois que j’ai envie d’en reprendre.
– Ah, c’est pour le koujnik que tu reviens, ce n’est pas pour moi ?
– L’un n’empêche pas l’autre…

Bon, elle est mignonne comme tout mais je ne viens pas pour la bagatelle. Je scrute autour de moi, je ne vois personne répondant au signalement de l’homme masqué. Je rappelle la serveuse.

– Tu veux quoi mon choux ?
– Je peux changer de place, ces deux-là parlent fort, je voudrais manger tranquille.
– Tu veux que je leur dise de baisser d’un ton ?
– Non laisse les tranquilles, je peux me mettre là-bas ?
– Mais bien sûr mon chou, mais ce n’est pas mon rang, tu auras une autre serveuse, mais si tu as besoin de moi tu m’appelles, pas de problème !

J’ai choisi une table stratégique située sur le chemin des toilettes, si un boiteux passe par là, je le verrais !

Je prends mon temps pour manger et j’observe, et même temps, je réfléchis et je me rends compte qu’en ce moment je fais des promesses à tout le monde. En ce qui concerne Hofjom, c’est très embêtant, je l’ai bluffé volontairement et sans aucun scrupule en pensant qu’il s’agissait d’un type dangereux et peu recommençable, alors qu’il s’agit très probablement d’un pauvre type qui s’est fait manipuler par hypnose… et moi je lui ai fait miroiter une place de mécanicien au sein de mon équipage ! Comment je vais pouvoir tenir cette promesse ? Et puis il y a Gundula, l’assistante du docteur Levkovich à qui j’ai promis un recasement… Levkovich … bon dieu, la voix… la voix de l’homme masqué ça ressemblait trop à celle de Levkovich. Coïncidence bien sûr !

– Le koujnik était à votre goût, capitaine ! Me demande cette jolie serveuse dont j’ignore le nom.
– Délicieux ! Absolument délicieux.
– Monsieur prendra-t-il un dessert, nous avons une excellente tarte aux pommes de Foga.
– D’accord pour la tarte, mais ne vous pressez pas pour me la servir, je voudrais souffler un peu..

Un quart d’heure de gagné, après je ferais durer le café, et le pousse café…

Je commence à désespérer. Me faudra-t-il revenir demain, et après-demain ? Après tout l’homme au masque n’est pas forcément un client régulier de l’établissement.

Et tout d’un coup… je vois un type de dos qui se dirige vers les toilettes, un type qui boite ! Il ne peut pas se retourner, ce con ? Ben non, il ne se retourne pas ! J’attends donc qu’il ressorte des chiottes ce qu’il fit relativement vite.

Putain ! Levkovich ! Je n’y crois pas ! Et comment j’ai fait pour ne pas le voir ? Parce qu’il vient d’arriver, tout simplement !

Evidemment, cela peut-être une coïncidence, mais ça fait quand même beaucoup, le mec boite, à la même voix que sur la vidéo et une taille analogue.

Comment être vraiment sûr ?

Le lendemain, je suis retourné au Carrie’s bar et je me suis fait repasser l’enregistrement en essayant de mémoriser le maximum de détails, il claudique de la jambe gauche, il des chaussures de toile et un pantalon bleu marine. Une vieille astuce policière consiste dans le fait de savoir que des mecs masqués n’ont pas toujours l’idée de changer de pantalon ou de godasses…

Puis, prétextant une visite de courtoisie auprès d’Hofjom, je me rendais à la clinique du docteur Levkovich.

Ça tombe bien, il est dans son bureau en grande conversation avec Gundula.

Je toque à la porte vitrée, le toubib me dit d’entrer, mais manifestement je dérange.

– C’est pour quoi ?
– Pour avoir des nouvelles de monsieur Hofjom.
– Je vous ai, semble-t-il déjà dit que je respectais le secret médical.
– Je veux juste savoir s’il est apte à sortir ?
– Non, c’est trop tôt !
– Je peux aller le voir ?
– Allez lui dire bonjour si vous voulez, mais si vous revenez m’importunez je vous fais foutre dehors par la sécurité !
– Bon, non, ne vous énervez pas, je monte le voir.

Je ne suis plus sûr de rien, je n’ai pas vu le toubib debout et ne peux rien comparer avec ce que j’ai vue au Carrie’s bar. Quant à la voix, il est possible que je me fasse des idées.

Je pourrais éventuellement attendre qu’il quitte la clinique et le suivre… Et là si les preuves sont négatives, ça ne prouvera rien du tout, si elle sont positives, je vais me retrouver devant un sacré problème : comment l’éliminer sans provoquer une réaction de la Mafia. Ici sur Vargala, seule la Mafia s’arroge le doit de tuer, et par voie de conséquences les assassins non encartés se font dégommer !

– Comment ça va ? Demandais-je à Hofjom.
– Je me sens bien, j’ignore pourquoi on me garde ? Sans doute pour payer des nuits supplémentaires.
– Il faut que vous exigiez de pouvoir sortir. Vous sauriez où aller ? Vous avez de l’argent ?
– Oui, j’ai eu ma solde, d’habitude je descends au « Foyer bleu » ! Mais vous êtes toujours d’accord pour me prendre dans votre équipage.
– Une promesse est une promesse, mais je ne sais pas quand je vais repartir, mais je peux vous pistonner auprès d’un confrère.

Bon, je vais rentrer, pas envie de filocher le docteur Levkovich aujourd’hui, je ferais ça demain si je n’ai pas d’autres idées.

J’ai quand même envie de discuter de tout ça avec Dyane, ma lieutenant de vaisseau préférée, en espérant qu’elle n’ait pas prévu une soirée « jambes en l’air » avec je ne sais qui.

Ça va, elle est libre et me rejoindra à 19 heures (heure locale évidemment).

Il n’est pas tout à fait 19 heures ! Ce n’est pas dans les habitudes de Dyane de se pointer en avance. J’active l’ouverture sans rien vérifier, je suis un peu inconscient parfois. Et qui c’est que je vois entrer, je vous le donne en mille ! Gundula !

– Bonjour ma belle, j’attends quelqu’un mais tu es la bienvenue, qu’est-ce qui t’amène ?
– J’ai une information qui pourra t’intéresser.
– Dis voir !
– T’es toujours d’accord pour me prendre dans ton équipage.
– Oui, mais j’ai dû te dire que je ne savais pas encore quand j’allais repartir…
– Ecoute j’en ai marre de Levkovich, en attendant ton poste administratif dans ton cabaret, ce serait possible.?

Me voilà embarrassé !

– Il faut que je voie avec mon régisseur.
– Eh bien vas-y, vois !

Elle m’énerve ! Je téléphone à Riquita en espérant qu’elle soit occupée et qu’elle ne me répondra pas. Pas de bol, elle décroche, je lui explique

– Ben je ne vois pas trop. Me répond-elle
– Réfléchis et rappelle-moi.
– Bon ben pas de boulot, pas de renseignement ! Me dit Gundula. Tu me rappelleras si t’as du nouveau.

Et elle allait partir, quand Dyane sonna.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 2 avril 2022 6 02 /04 /Avr /2022 17:02

Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 5 – Shapie Rô, la domina par Nicolas Solovionni
Chanette

 

Au point où j’en suis-je peux faire deux choses : aller cuisiner Hofjom, mais ça peut être dangereux, mon enquête doit rester discrète. L’autre idée c’est de retourner rendre visite à la mère Jiker, la responsable de la sécurité de Vargala, une chance sur deux pour qu’elle m’envoie paître, on verra bien.

– Tiens, comment va mon capitaine préféré ?
– Je passais dire bonjour !
– Mais encore ?
– Trébussy, ça te parles ?
– Je suis obligée de te répondre ?
– Non, mais ça me ferait tellement plaisir !
– Je vais te dire autre chose qui ne va pas te faire plaisir !
– Méchante !
– L’exécution de Dernoul a énervé la mafia.
– Et alors ?
– Alors ils enquêtent de leur côté, et ils trouveront, ils trouvent toujours. Donc de ton côté ce n’est plus la peine de t’agiter.

Je sens confusément que Jiker a envie de savoir quelque chose, normal elle est curieuse comme une vieille chatte (c’est le cas de le dire) et en plus elle est flic, même si elle ne se remue pas des masses.

– Comment tu peux être au courant pour Trébussy ? Finit-elle par lâcher.

Vite un gros mensonge :

– J’étais dans une boite et tout d’un coup, on a entendu Trébussy dans l’hautparleur, ça n’a inquiété personne mais le lendemain je discutais avec un ami qui me disait qu’il avait entendu la même chose ailleurs…
– Et comment tu as fait le lien avec l’affaire ?
– Je n’ai pas fait de lien, c’est juste une intuition et c’est pour ça que je venais te voir.
– Personne ne s’appelle Trébussy sur Vargala, mais c’est peut-être un pseudo.
– Tu ne les a pas en fichier les pseudos ?
– Pas tous, voyons !
– Et elle en pense quoi, la mafia ?
– Le « Trébussy » au haut-parleur a été effectivement entendu dans une quinzaine de boites, c’est probablement un appel codé, il a été diffusé la veille de l’assassinat de Dernoul. Ils pensent donc qu’il s’agissait d’un appel à un tueur et que ce tueur se trouve parmi les clients des boites en question.
– Ça en fait des suspects !
– Ils savent pendre leur temps, ils trouveront, ils trouvent toujours. Bon maintenant tu me laisses ou tu me paies le restau ?

Je lui ai payé le restau mais pour que dalle car je n’ai rien appris de plus.

– Je peux avoir la liste des boites où a été diffusé le message ? Lui demandais-je d’un air innocent.
– Pourquoi faire ?
– Parce que ça m’amuse !
– Gamin ! Tu crois vraiment que tu vas trouver avant la Mafia
– J’ai peut-être des éléments qu’ils n’ont pas…

Bref elle m’a communiqué cette fameuse liste.

Reste à savoir comment je vais procéder. Réfléchissons : Hofjom téléphone à un certain nombre de boites, des restaurants, des cabarets… le numéro appelé est celui figurant sur l’annuaire électronique, donc en principe celui du régisseur ou du gérant, et le numéro d’appel n’est pas camouflé sinon personne ne pourrait lui répondre.

Cela suppose aussi que le fameux contact que cherchais à joindre Hofjom passait son temps dans les boites et les restaurants. Certes les appels ont été passés aux heures propices, mais ça reste étrange.

Il faut ensuite que dans l’établissement où se trouve le contact, celui-ci se débrouille pour savoir d’où vient l’appel. Pas évident, mais admettons. Dans ce cas il suffit de retrouver l’endroit où le régisseur a été sollicité pour lui demander d’où provenait l’appel.

Pas évident, à part deux ou trois établissements où on me connait, dans les autres, j’ai toutes les chances de me faire envoyer paître. La mafia n’a pas ces scrupules, elle est toujours en position de force. Cela veut dire qu’elle a probablement déjà le renseignement.

Bloqué à nouveau ? Peut-être pas. Parfois ce qu’il n’est pas possible de faire directement on peut le faire indirectement. Il se trouve que je connais assez bien Shapie Rô, la gracieuse tenancière du « Vagin d’or ».

– Tiens, te voilà, toi, je croyais que tu me boudais.! M’accueille la belle dame.
– Mais non, mais non, je suis un peu débordé en ce moment et puis maintenant j’ai ma propre boite…
– J’ai appris ça. Ça marche bien ?
– Faut pas se plaindre.
– Tu veux une petite domination, un petit truc comme tu les aimes.
– Je suis pas vraiment venu pour ça, mais pourquoi pas ?
– T’es venu pourquoi alors ?
– Te demander un service…

Je lui explique, c’est dans ses cordes…

– Je vais m’occuper de ça, je t’enverrai la réponse.
– T’es trop mignonne !
– Seulement maintenant tu vas passer à la casserole, tu voudrais une fille en particulier ?
– Pourquoi pas toi ?
– Pourquoi pas en effet ! Envoie-moi un peu de sous et on y va !

Shapie Rô est une grande brune typée, elle est restée canon même si elle n’est plus dans sa première jeunesse. Elle fait surtout de la domination et en arbore le look. Chignon sévère, ensemble haut décolleté et pantalon en latex noir

Les meilleures prostituées, c’est un peu comme les meilleures serveuses, ce sont celles qui se souviennent parfaitement ce qu’apprécie le client y compris les petits détails. Et Shapie Rô ne fait pas démentir cette assertion.

Je ne me considère pas comme maso, où alors juste un tout petit peu, mais j’apprécie parfois ce petit jeu de rôle qui fait de moi un esclave aux mains d’une jolie femme.

Elle me conduit dans son salon privé, il y a déjà une fille à l’intérieur. Après un bref et inaudible échange entre celle-ci et Shapie Rô, la fille quitte les lieux.

Le salon est constitué de deux pièces, l’une est une chambre meublée d’un grand lit douillet, ce ne sera pas pour moi. La seconde pièce est ce qu’elle nomme son donjon, j’ai déjà eu l’avantage de le pratiquer, il y a là-dedans de quoi immobiliser un soumis, croix de Saint-André, cheval d’arçon, pilori, cage, chaînes et bien d’autres choses encore.

Elle me demande de me déshabiller avant de m’y faire entrer, puis elle m’accroche un collier de chien muni d’une laisse autour de mon cou.

– Tu veux une cagoule ?
– Pourquoi ? Il y a déjà quelqu’un ?
– Peut-être !

D’ordinaire, je refuse la cagoule, me fichant complètement d’être reconnu. Sauf qu’en ce moment je mène une enquête et que ça peut être gênant… Me voilà donc avec une cagoule sur la tête. Ça donne un genre !

Me voilà à poil.

– A genoux, chien ! Me dit-elle en me conduisant dans le donjon.

Un citoyen est attaché contre la croix de Saint-André, il est cagoulé, les tétons pris dans des pinces et les couilles bondagées.

– Tu regardes la bite de l’esclave ! T’aimerais la sucer, hein ?
– Pourquoi pas ?
– Tu n’as pas honte ? Pédé !
– Pas le moins du monde.
– Quel cochon ! Relève-toi et regarde-moi en ouvrant bien la bouche. Tu sais ce que je vais faire ?
– Ben oui, je ne suis pas complètement idiot !
– Oui, mais je veux l’entendre !
– Crachez-moi dessus, maîtresse !

Pourquoi, ça m’excite, ce truc-là ?

Elle m’a ensuite pincé les seins avec une certaine poigne, les étirant, les tordant. J’adore !

– Ça te fais bien bander, hein, ma salope !
– Complètement ! Continue !
– Je continue si je veux, tu n’as pas à me dire ce que je dois faire. J’ai un nouveau gode ceinture, je vais t’enculer avec !

Elle enfile le machin, c’est un joli gode-ceinture très réaliste, mais je ne vois pas ce qu’il a de particulier.

– Lèche-le un peu, pédé !

Elle m’énerve à me traiter de pédé, d’abord parce que le terme est péjoratif, ensuite parce que je ne le suis pas. Je tente de lui expliquer.

– T’es pas tout le temps pédé, mais quand tu suces des bites t’es un pédé. Et d’abord tu n’as pas à discuter, si j’ai décidé que tu étais un pédé, c’est que tu es un pédé. Dis-le-moi que tu es un pédé ! Allez je veux te l’entendre dire.
– Mais enfin…
– Si tu ne le dis pas, tu ne suceras pas l’esclave, par contre si tu le dis, je lui demanderais te t’enculer.
– C’est du chantage !
– Absolument !
– Alors d’accord, je suis un pédé !
– Ben voilà !

Ce petit jeu de rôle m’a amusé comme un fou, je suis gamin parfois !

– Allez lèche-moi ma fausse bite, je veux que tu mette tout dans ta bouche !

Elle est amusante, elle, je n’ai pas suivi des cours d’avaleur du sabre, alors je triche, j’envoie la bite au fond de mes joues. Shapie Rô éclate de rire :

Stoffer305a– Tu verrais ta tronche ! Allez suce encore, montre-moi comment tu suces des bites ! Voilà comme ça, super ! Et après tu me diras que tu n’es pas pédé !
– Grrr !
– Va t’installer sur le cheval d’arçon, les jambes bien pendantes et j’arrive.

On y va ! Shapie Rô a l’extrême obligeance de m’enfoncer préalablement un doigt dans mon cul et de le faire aller et venir quelques minutes, ce qui, vous vous en doutez bien, me procure d’intéressants frissons…

Et après cet agréable entrée en matière (si j’ose dire) la belle dame m’introduit le gode et le fait aller et venir, non sans avoir activité le diabolique vibrateur intégré à la chose. Quelle sensation !

– T’aime ça, hein, enculé ! Me dit la poétesse.
– C’est bon !
– Dis le que tu es un enculé !

J’aurais vraiment du mal en de telles circonstances à affirmer le contraire.

– Oui, oui, je suis un enculé.

Les meilleures choses ont une fin, mais si la séance de gode-ceinture est terminée, la domination est loin de l’être. Elle me demande de m’allonger sur une espèce de table basse.

Qu’est-ce qu’il va m’arriver, encore ?

Shapie Rô s’en va fouiller dans son coffre et revient avec deux grosses bougies dont elle allume les mèches.

J’ai compris ce qui va m’arriver. Elle attend quelques instants qu’il y ait suffisamment de cire pour la faire couler, puis elle y va : la main droite pour mes tétons, la main gauche pour mes couilles. Ça chauffe mais c’est très supportable et même excitant. En revanche quand elle retire le croutes de cire la sensation n’a rien de bien agréable.

– Tu dois avoir soif, mon biquet ! Me nargue-t-elle.

Comme si je n’avais pas compris ce qu’elle allait me faire subir ? Mais en l’occurrence cela n’a rien d’une punition, j’adore ça.

La domina retire son pantalon de latex et s’accroupit de façon à ce que sa jolie chatte ne soit qu’à quelques centimètres de ma bouche que j’ouvre en grand.

Je bois sa pisse avec gourmandise en arborant un air ravi qui ne lui échappe pas.

– La suite va peut-être te plaire un peu moins.
– Ah, non pas ça !
– Pourquoi, on l’a déjà fait, non ? Et tu ne t’en n’est pas plaint.

La salope !

– Et puis, ajoute-t-elle, dans une domination, la dominatrice doit pouvoir imposer ses choix, alors tu fermes ta gueule ou plutôt non, tu vas gentiment me demander de le faire.

J’hésite, parce que si je refuse, je n’aurais pas doit à ma récompense. C’est un peu con comme raisonnement parce que sa récompense n’a finalement rien d’exceptionnelle, des bites à sucer je peux en trouver autant que je veux, ne serait-ce que dans ma propre boite. Mais que voulez-vous un jeu est un jeu ! Ma décision est prise, mais je ne lui dis pas encore, je vous dis je suis très joueur.

– Et puis, reprend-elle, c’est un cadeau que je te fais ! Serait tu assez mufle pour refuser un cadeau de ta maîtresse ?
– Chie-moi dessus, maîtresse !
– Ben voilà !

Je ne vais pas en mourir. Shapie Rô s’est retournée, j’ai maintenant la vue magnifique de son joli fessier devant moi. Son anus s’ouvre, un étron vient y faire son timide avant de se transformer en un long boudin qui pendouille un moment avant de venir s’écrase sur ma poitrine. Le tandem répulsion/fascination fonctionne à fond, je bande comme un cerf.

Evidemment après ce petit amusement, elle m’a demandé de lui nettoyer l’anus, on va dire que ça fait partie du programme. Alors j’ai léché, et pour avoir déjà accompli ce genre de chose, je peux vous dire qu’il n’y a pas de quoi s’enfuir en courant. On peut même y prendre un petit plaisir pervers.

Elle me débarrasse de son encombrant cadeau et me demande de quitter ma position. Et c’est à quatre pattes et en laisse qu’elle me conduit devant l’autre soumis.

Je n’attends même pas qu’on me le demande, ma bouche s’empare de cette bite bien vivante et la suce avec délectation. Pas assez longtemps à mon gout puisque Shapie Rô me demande de retourner sur le cheval d’arçon et d’offrir mon cul aux coup de boutoir du soumis inconnu.

Il a commencé par m’enculer convenablement avant de s’énerver et de décharger dans mon fondement. Voilà qui n’était pas prévu ! La maîtresse l’a envoyé au coin en le menaçant des pires sévices !

Mais c’est ensuite que Shapie Rô m’a offert la plus belle des récompenses, elle s’est débarrassée de son haut m’offrant la vision de sa jolie poitrine.

– Tu peux lécher ! Je te les offre !

Vous imaginez que je ne me le suis pas fait dire deux fois et j’ai sucé comme il se doit ses jolis tétons. Puis elle m’a retiré mon collier de chien et nous sommes allés sur la grand lit. Elle s’est mise en levrette et m’a demandé de l’enculer.

C’est bien connu les dominatrices ne font jamais l’amour… sauf que toute règle possède forcément ses exceptions.

Le lendemain je recevais un message de Shapie Rô : .

« J’ai pu joindre tout le monde, dans la liste il avait deux boites où je ne suis pas très bien vue, mais je me suis débrouillée autrement. Résultat négatif, personne n’est venu demander à qui que ce soit d’où provenait cet appel. Désolée, mais reviens me voir quand tu veux. »

Allons bon ! Ça ne tient pas debout ! Il a fait comment le dénommé Trébussy pour rappeler Hofjom ?

Je me perds en conjonctures. Je demande à Dyane de me rejoindre, puisqu’à deux on est moins con que tout seul ! Je lui raconte où j’en suis.

– Hofjom et Trébussy font peut-être partie d’une même secte. Me dit-elle. Une secte où il n’y aurait pas grand monde, et à ce moment-là Trébussy quand il a entendu le message n’a pas eu grand mal à le localiser.
– Qui lui aurait dit qu’il était en clinique ?
– Va savoir ?
– Humm.

On décide de relire chacun de son côté la copie du carnet de bord de Dernoul.

– Non, ton hypothèse ne tient pas, pourquoi cette disparition de Hofjom sur la planète ? S’il faisait partie d’une secte liée aux précurseurs, ça n’a aucun sens. Fis-je remarquer
– Ils lui ont donné des instructions…
– Tu te rends compte toutes les coïncidences, c’est justement le mec qui serait lié au précurseurs qui monte au premier étage et qui reçoit des instructions ! Et puis je pense que si c’était le cas, il aurait agi intelligemment au lieu de faire le zombi.
– Ils l’ont enlevé et ils l’ont hypnotisé ! Son appel à Trébussy a été programmé dans sa mémoire !

Je sens qu’on touche au but, mais il y a quelque chose qui cloche.

– Et comment le mec, perdu à des années-lumière, il fait pour savoir que le port d’attache du vaisseau était Vargala ?
– Hofjom leur a dit pendant l’hypnose !
– Admettons et le mec connaitrait le nom de tous les tueurs liés aux précurseurs sur toutes les planètes…
– Parce que Trébussy c’est le nom de personne, c’est un nom de code qui doit être utilisé partout !
– Putain t’as raison !

Du coup je lui roule un patin, c’est ma façon à moi d’exprimer ma joie.

– On a peut-être trouvé, mais ça ne résout pas ton problème. Objecte Dyane en s’essuyant les lèvres.
– Ça ne le résout pas, mais ça l’explique, ces gars-là pratique l’hypnose. Donc quand le « Trébussy » est allé voir le gérant de la boite, il l’a hypnotisé avant de lui demander d’où venait la communication. Donc pas de traces !
– Et donc on ne peut pas remonter la piste !

Et là on s’est creusé la tête, je me suis d’abord dit que j’avais un point d’avance sur la mafia, puisqu’ils ne peuvent être au courant de cette histoire d’hypnose. Je pourrais leur proposer ma collaboration, mais ça n’a rien d’évident, la mafia est une force invisible, on ignore qui en fait partie et qui n’en fait pas partie. On ne connait que les petites mains, ceux qui font le sale boulot et ceux-là ne sont jamais inutilement bavards.

– Tu sais ce qu’ils vont faire les maffieux ? M’interpelle Dyane.
– Parce que tu le sais toi ?
– Il vont écumer les boites où le message a été diffusé et ils vont se faire passer les fichiers de télésurveillance jusqu’à ce qu’ils trouvent un mec en train de poser la bonne question au gérant !
– Tu te rends compte le temps qu’ils vont mettre.
– Ils ne sont pas pressés.

Et le pire c’est qu’elle a raison.

Encore une fois je ne sais que faire. Dyane a décliné mon invitation au restaurant, tant pis je mangerais tout seul…

J’ai ensuite été faire un tour au « Diable rose » voir si tout allait bien.

Riquita m’informe qu’elle a embauché à l’essai une nouvelle transsexuelle pour remplacer je ne sais plus qui…

– Tu veux la voir ?
– Pas la peine , je te fais confiance !
– Juste une seconde tu le regrettera pas !

Alors allons-y !

Stoffer305b
– Voilà, c’est Kimberly, elle est belle, non ?
– Ravissante !
– Enchanté de vous rencontrer, capitaine Stoffer !
– Tu veux peut-être la voir à poil ! Me suggère Riquita.

Non, je n’ai pas envie, je suis crevé… bien que quand même cette beauté est fort troublante. Je lui fias signe qu’elle peut y aller.

Putain quel corps de déesse, déesse androgyne mais déesse quand même ! Et cette bite, demi-molle qui me regarde et qui m’hypnotise. Elle est trop belle cette bite ! Du coup je band tandis que ma main s’approche de ce magnifique organe que je palpe. La Kimberly me laisse faire et arbore un sourire craquant.

L’instant d’après j’avis sa bite dans la bouche. Riquita passe derrière moi et me palpe le paquet, de quoi elle se mêle celle-ci, je ne l’ai pas autorisé à faire une telle chose ! Mai bon, mon pantalon me fène tellement je bande, je m’en débarrasse, me voilà à quatre pattes avec de nouveau la bite de Kimberly dans la bouche. A tous les coups Riquita va profiter de la nudité de mon fessier pour me faire des choses inavouable. Je l’encourage.

– Si tu as envie de m’enculer, ne te gêne pas

Quelques courte minutes plus tard, j’avais le sperme de Kimberly dans la bouche et celui de Riquita dans l’anus. Les gens vont finir par penser que je suis complètement dépravé… Je m’en fous j’assume !

Après ces petites plaisanteries, je suis rentré me coucher, parfois la nuit porte conseil.

Au petit matin, la nuit ne m’avait fourni aucun conseil, je commandais un café à mon robot-perco, puis j’ouvrais mon spacephone qui m’indiquait que Shapie Rô aimerait beaucoup qu’on la rappelle.

– Je ne sais pas, si c’est en liaison avec ce que tu cherches mais Sigéa s’est fait massacrer cette nuit…
– Sigéa ?
– Le patron du Lupercus, on l’a passé à tabac et on lui a coupé deux doigts. Il est à l’hosto ! Ce sont les méthodes de la mafia !

O.K. plus besoin de chercher l’établissement où se tenait « Trébussy », c’est donc le Lupercus. Quand la mafia est venue le voir, il a juré ses grand dieux que personne ne lui avait posé de question sur l’appel mystérieux. Ensuite ils sont revenus et ont demandé à voir les fichiers de télésurveillance, et ils sont tombé sur le pot aux roses sans comprendre que le gars avait été hypnotisé et ils l’ont massacré !

Si je pouvais voir l’enregistrement ! La mafia a dû l’embarquer… Mais il y a toujours une sauvegarde. Mais comment y accéder ?

– Tu étais comment avec ce Sigéa ? Demandais-je à cette charmante maquerelle.
– En très bons termes, je vais d’ailleurs aller le voir à l’hosto pour lui faire un bisou !
– Je vais peut-être te demander un service ?
– Dis toujours…

Et le lendemain, j’avais la copie du fichier avec la tronche de « Trébussy » !

Comment le retrouver ? Il doit être bien planqué, si la Mafia l’avait retrouvé, elle l’aurait fait savoir.

Où peut-il bien être ? Dans la ville au fond d’une cave ? La mafia a probablement mis le paquet en postant des espions dans tous les coins. Quelqu’un ne peut rester planqué qu’avec des complicités solides. Je me trompe peut-être mais je ne vois pas un tueur membre d’une secte d’illuminé avoir des complicités solides et discrètes.

Parti dans l’espace ? J’ai envoyé une fois de plus Dyane à la capitainerie du port, ils n’ont pas forcément les bonnes identités des gens qui partent mais ils ont leurs trombines, mais rien qui ressemble au Trébussy, même masqué !

Reste donc les fermes et la presqu’île des exclus. Les fermes, je n’y crois pas, les fermiers ne sont pas du genre à s’encombrer d’inconnus potentiellement source de problèmes. La presqu’ile c’est une autre paire de manche.

Vivait là-dedans toute une communauté de reclus, des gens ayant eu des problèmes en ville et ne pouvant plus y revenir de peur de représailles. La Mafia les laissait tranquilles en échange de divers produits, notamment du poisson, des baies issues de la cueillette, et même des objets artisanaux, mais cette tranquillité était à géométrie variable. Si la Mafia épargnait ce qu’elle considérait comme du menu frottin, certains n’échappaient pas à son bras vengeur.(voir Vargala station 3 la maison parme)

Je ne me vois vraiment pas aller barouder dans cette zone sauvage, d’autant que je suis persuadé que la Mafia a dû y envoyer une délégation bien musclée.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 2 avril 2022 6 02 /04 /Avr /2022 17:00

Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 4 – Gundula n’a pas froid aux yeux par Nicolas Solovionni
Anna

 

Dingue ! C’est dingue ! On a donc deux mystères. Celui des lumières baladeuses, et celui de la volatilisation de Hofjom ! Si on y ajoute les crabes fouineurs, ça commence à faire beaucoup. Mais maintenant qu’Hofjom est revenu ce n’est plus la peine de s’éterniser sur cette planète finalement bien décevante nonobstant les magnifiques photos de la bâtisse rouge que nous rapporterons.

– Je propose que l’on reparte maintenant. Commençais-je.
– Le morceau de mur ? Intervient Hofjom.
– Quoi, le morceau de mur ?
– Il ne faut pas l’emporter !
– Mais qu’est-ce que tu racontes ? Et d’abord de quoi je me mêle ?
– Ce n’est pas à nous.
– Bon on se calme !
– Vous n’avez pas le droit de piller les ruines des précurseurs.
– Bon écoute mon gars, je te pardonne parce que tu as dû recevoir un choc, mais ici c’est moi le patron alors tu ne vas pas nous emmerder pour un bout de caillou.
– Vous ne vous rendez pas compte à qui vous avez à faire ! Les précurseurs ne sont pas morts, et ils ne veulent pas que l’on touche à ce qui leur appartient.
– Tu vas la fermer, oui !
– Vous serez tous châtiés…
– Ta gueule !

Je cru alors qu’il était définitivement vexé, car il quitta la pièce.

– Putain c’est quoi ce bruit ?
– Ça vient du poste de pilotage.
– Allons-y, attention, pas d’initiative malheureuse !

Sur place le spectacle est insensé, Hofjom a retiré une de ses chaussures et s’en sert pour dézinguer tous les tableaux de bord. On le maîtrise.

– Mettez-le aux fers et injectez-lui un bon calmant, il est devenu fou !

J’interroge Fram, l’ingénieur du bord.

– Combien de temps pour réparer tout ça ?
– Il n’y a rien d’irrémédiable. Disons une journée si on veut faire une réparation complète, mais je peux peut-être faire plus vite en dégradé.
– Non, tu répares complètement et correctement, et ensuite on fout le camp d’ici !

Incident terminé mais énigmes non résolues.

C’est une heure plus tard qu’une nouvelle surprise nous attendait.

– Capitaine, venez voir vite !

Le choc ! Mais d’où sort cet épouvantail ?

Devant le sas, se tient un vieillard barbu, il est vêtu de ce qui ressemble à un pyjama qui aurait besoin d’un petit passage au pressing. Il tient à la main un grand bâton qui ressemble à une crosse d’évêque.

– Allo, y’a quelqu’un ! S’égosille-t-il en unilangue, la langue universelle que tout le monde apprend mais que personne ne parle.
– Qui êtes-vous ?
– Maître Calloch, je voudrais parler à votre capitaine.
– C’est moi ! je vous écoute.
– Faites-moi entrer.
– Alors que vous vous baladez dehors sans scaphandre ! Il n’en est pas question. Mais que faites-vous ici, vous êtes naufragé ou quoi ? On veut bien vous recueillir, mais nous devons prendre des précautions sanitaires et…
– Faites-moi entrer, c’est un ordre.
– Vous prétendez me donner des ordres, mais ça va pas bien, mon vieux.
– Rendez-nous la pierre que vous avez volé sur le temple de la Paix.

Nous y voilà ! Je crois comprendre, un vaisseau a dû faire naufrage ici et ses occupants ont perdu la raison et se sont crus investis d’une mission de protection du trapézoïdal, qu’ils ont nommé le temple de la Paix. Le coup des crabes c’est donc eux, la disparition et la réapparition de Hofjom c’est certainement eux aussi.

J’ai très envie d’en savoir plus, mais n’ai nulle envie de négocier avec ce citoyen.

– Si vous me racontez toute votre histoire, je vous rendrais peut-être votre caillou !
– Rendez-nous la pierre et quittez cette planète, vous n’avez rien à y faire !.
– On peut discuter, non ?
– Non ! Sachez que les témoins des Précurseurs sont partout, si vous essayez de négocier ce que vous avez volé, ils le sauront et vous mourrez dans des conditions atroces avec tous ceux qui vous ont aidé à accomplir ce sacrilège.
– C’est tout, vous avez fini ?
– Impies ! Mécréants !
– Je vais vous faire une proposition, je vais sortir et on va discuter tous les deux calmement comme deux personnes intelligentes, et je suis sûr que nous parviendrons à un accord !
– Rendez-nous la pierre et quittez cette planète, vous n’avez rien à y faire.

Il se répète ! Plus psychorigide, tu meurs !

Et le voilà qui se retourne et s’éloigne d’un pas lent en direction des montagnes. Logique, il n’y a que là qu’ils peuvent se planquer. Je branche les jumelles à longue portée, Deux types attendent Calloch derrière un gros rocher, il les rejoint et ils l’aident à marcher.

Evidement la moitié de l’équipage a entendu l’échange que j’ai eu avec ce zombi, et ira le répéter à l’autre moitié. Mais personne ne prend les menaces du type au sérieux, son bavardage aurait même tendance à amuser la galerie.

Que faire désormais, comment en savoir plus ? On ne va tout de même pas faire une opération militaire et faire parler de force ces pauvres cinglés !

– Enclenchez le compte à rebours, on se casse !

On est parti, je suis content de rentrer sur Vargala et de revoir Marcia ! Quant au morceau de caillou, je vais le négocier à un bon prix auprès des autorités.

Ingmar Hofjom ne va pas mieux, par moment il paraît normal, mais il a des crises d’angoisse et son trou de mémoire ne se résorbe pas. Sur Vargala je le ferais hospitaliser dans la clinique du docteur Levkovich que je connais un peu.

Ici s’arrête la transmission romancée du journal de bord de Kamil Dernoul, capitaine du Mitacq.

En voilà une drôle d’histoire !

J’ai donc la semi-certitude qu’une expédition sur Dernoula 7 ne servira à rien, puisqu’il n’y a rien à glaner. Sinon la responsabilité du dénommé Hofjom me paraît évidente. Ça demande confirmation, mais si c’est le cas je peux accomplir la promesse que j’ai faite à Marcia sans retourner dans l’espace.

Je suis donc allé voir cette fameuse clinique. Pas de sécurité particulière, j’ai demandé à voir Monsieur Hofjom, on m’a répondu « chambre 8 ».

J’y suis allé au bluff :

– Je suis Ajas Stoffer, capitaine du Rosa Munda.
– On se connait ?
– Non, c’est le capitaine Dernoul qui m’a parlé de vous..
– Ah ? Fichez-moi la paix !
– Mais je vous veux aucun mal, Dernoul ne souhaite pas vous reprendre pour des raisons qui le regarde, mais il vous a pistonné auprès de moi. Il m’a dit que vous étiez un excellent mécanicien.
– Quand ?
– Quand quoi ?
– Vous l’avez vu quand, Dernoul ?
– Il y a quelques jours dans mon cabaret. Pourquoi cette question ?
– Il aurait pu venir me voir.
– Il n’a pas été vache avec vous, il aurait pu vous abandonner comme une vieille chaussette, au lieu de ça, il vous a placé entre les mains d’un excellent praticien.
– Hum… Vous me prendriez sur votre vaisseau, alors ?
– Pas de soucis et comme vous avez été pistonné par Dernoul, je n’aurais même pas besoin de vous faire passer des tests.
– C’est une promesse ?
– Tout à fait !
– Bon, je peux vous contacter dès que je serais sorti de cette clinique.
– Volontiers.

Je lui a fait une promesse pour essayer de le mettre en confiance si je dois être amené à le revoir. Mais cette promesse je ne la tiendrais pas, ce mec est forcément complice de l’assassinat de Dernoul, je ne vais pas me mettre à avoir des scrupules !

Je le laisse, n’ayant rien appris, mais j’ai alors l’idée d’aller voir ce bon docteur Levkovich.

Je frappe à la porte de son bureau vitré. Le toubib m’invite à rentrer. Il parait assez âgé, cheveux blancs en désordre et barbichette de diablotin, une vraie caricature, il n’est pas seul dans le bureau, une sémillante jeune femme légèrement grassouillette dotée d’une poitrine avantageuse, blonde platinée, en blouse blanche peu boutonnée, est debout à ses côtés et ils sont en train d’examiner un papelard.

– C’est pourquoi ? Me demande le docteur d’une voix agacé.
– Je peux me permettre de vous poser une ou deux questions à propos d’un de vos patients ?
– Quel patient ?
– Ingmar Hofjom
– Z’êtes de la famille ?
– Non, c’est un ami…
– Z’êtes qui, vous d’abord ?
– Capitaine Ajas Stoffer.

L’énoncé de mon nom ne lui fait ni chaud ni froid, en revanche il semble interpeller la petite infirmière qui me regarde désormais avec des yeux doux.

– Ne posez pas de questions, je n’y répondrais pas ! Le secret médical vous avez déjà entendu parler ?
– Ce n’était pas des questions d’ordre médicales.
– C’est quoi alors ?
– Je voulais savoir s’il avait eu l’autorisation de sortir…
– Vous faites le boulot de la police ?
– J’essaie d’aider ce monsieur.
– Bon ça suffit comme ça, vous me faite perdre mon temps, Gundula, raccompagnez-moi ce monsieur jusqu’à la sortie !

Je n’ai pas insisté, il faut toujours rester courtois.

En fait, je ne dois pas être doué pour faire des enquêtes. La Gundula me précède jusqu’à la sortie en ondulant du popotin, c’est absolument charmant. Et en m’ouvrant la porte la voilà qu’elle me fait un de ces sourires enjôleurs tout me disant :

– Vous savez, Capitaine, si je peux vous aider en quoi que ce soit, ce sera avec grand plaisir !
– En voilà une idée qu’elle est bonne !
– A 18 heures, au café de la Couronne.

Putain, la chance ! J’ai la certitude d’avoir un ticket ! Pourtant je n’ai rien d’un play-boy. Ce qui est important c’est qu’elle va peut-être me permettre de lever des zones d’ombres sur l’hospitalisation de Hofjom.

A 18 heures tapantes (en heure locale, bien entendu) je me pointe au bistrot indiqué. Elle n’est pas là. Je m’assoie et au bout d’un quart d’heure je me demande si elle ne m’a pas posé un lapin, auquel cas je pourrais toujours la retrouver…

Mais la voilà, toute pimpante. Oh ! Ce n’est pas un canon, elle est sans doute un peu potelée, son visage est plutôt atypique, mais elle possède un petit je ne sais quoi qui m’attire irrésistiblement

– Désolé, on a eu une urgence, j’ai dû rester un petit peu…

Possible, mais elle aurait pu me prévenir ! Cela dit elle n’avait peut-être pas mon numéro de spacephone. Elle me raconte un truc dont je me fous complètement, une vraie pie.

– Alors voilà, voilà ! Dit-elle en guise de conclusion à sa logorrhée verbale.

On va peut-être alors parler de ce qui m’intéresse ? Eh bien, non !

– Vous devez vous demandez ce que je fous sur cette planète pourrie ? Reprend-elle
– Oh, vous savez, ça ne me regarde pas !
– Ça ne vous regarde pas mais vous aimeriez bien savoir ?
– Ben…
– Une histoire de cul. J’étais à bord d’un gros vaisseau en tant qu’infirmière. Une bagarre a éclaté à cause de moi, un mec jaloux qui ne voulait pas partager… Ça été très violent, j’ai voulu les séparer, j’en ai reçu plein la gueule, deux côtes cassées, des contusions multiples… Arrivé ici le capitaine m’a révoqué pour faute grave ! Vous vous rendez compte faute grave ? Ce n’est quand même pas de ma faute s’il y a des mecs jaloux ! On m’a indiqué une clinique, j’y suis allé, et le docteur Levkovich m’a tout de suite pris sous sa protection. Vous savez il est gentil cet homme-là malgré son aspect bourru. Donc il m’a soigné et comme il avait besoin d’une infirmière…. Voilà, voilà !
– Bien, bien, je comprends mieux, mais vous m’aviez dit…
– Je sais, on va y venir. Alors je vais être claire, je n’ai pas envie de m’éterniser dans ce trou, vous comprenez ?

Bien sûr que j’ai compris, je me disais aussi, que ce ne devait pas être pour mes beaux yeux que mademoiselle sollicitait une rencontre. Elle veut se faire embaucher, manque de bol, je n’ai pas trop envie de reprendre les chemins de l’espace et même si je le faisais, mon équipage est complet, mais ça je ne vais pas lui dire…

– Admettons, et vous pensez que je vais vous embaucher comme ça, sans contrepartie ?
– Justement parlons-en !

Enfin !

– Je voulais poser des questions à Levkovich, mais il m’a envoyé promener… Précisais-je.
– Je sais, mais demandez moi ? J’aurais peut-être les réponses.
– J’aimerais savoir si Hofjom s’est absenté de la clinique depuis son entrée
– La nuit c’est impossible, tout est fermé, la journée, c’est compliqué mais ça reste possible, il n’y qu’une seule sortie, tout est enregistré au cas où. Je peux vous copier les fichiers.
– Super, j’aimerais aussi savoir s’il a reçu de la visite.
– Ah ! C’est possible aussi, ce qui se passe dans les chambres est enregistré… vous pourrez faire d’une pierre deux coups, s’il s’est absenté de sa chambre vous le saurez aussi.
– Mais c’est super ça, vous pouvez me les envoyez quand ?
– Je ne vous les envoie pas, je vous les apporte et je vous les transmettrais si la contrepartie m’intéresse. Demain même heure ? Bisou ?

Elle m’a embrassé sur le bord des lèvres et elle est partie. Me voilà chamboulé, cette nana me trouble trop. Mais côté sexe, je ne suis pas inquiet, elle a tellement envie de se faire embaucher sur mon vaisseau que coucher ensemble ne sera probablement qu’une formalité.

Mais j’ai peut-être des défauts, mais je ne suis pas un salaud, je ne vais pas embaucher quelqu’un contre une simple parie de jambes en l’air. Cette Gundula est tout à fait désirable, mais je saurais me retenir !

L’autre aspect du problème, ce sont les enregistrements. S’ils me fournissent une piste, je serais dans l’obligation morale de satisfaire à sa demande, et ça risque d’être très compliqué. Et si je ne trouve rien, je fais quoi ?

Quelle idée j’ai eu d’aller me foutre dans un pétrin pareil.

Remarquez, je peux tout arrêter, il me suffit quand je la reverrais demain, de lui dire que je n’ai plus besoin de ses enregistrements, que j’ai trouvé ce que je cherchais d’une autre façon, bref un petit baratin. Elle va être déçue mais au moins je ne risquerais pas de passer pour un salaud.

Voilà, je vais faire comme ça et passer à d’autres activités.

Et soudain l’image de Marcia s’imprime dans mon esprit. Je lui ai fait une promesse à sexy-mamie, et là je suis en train de me parjurer.

Alors que faire ? Ben, j’improviserai, on verra bien !

Le lendemain, Gundula était là et à l’heure

– J’ai tout ce qu’il faut sur mon spacephone me dit-elle. Qu’avez-vous à m’offrir ?

J’ai l’impression d’être à une table de poker, je ne sais pas ce qu’il y a dans son fichier, mais je suis obligé de jouer.

– Une place sur mon vaisseau, je ne repartirais peut-être pas de suite, mais le vaisseau repartira avec mes lieutenants… sinon j’ai une boite de nuit…
– Une boite de nuit ?
– Oui ça s’appelle « Le diable rose », il y a surtout des transsexuelles, mais aussi quelques filles.
– Me prendriez-vous pour une pute ?
– Je ne vous prends pour rien du tout, et j’ai énormément de respect pour les putes, mais en l’occurrence je ne pensais pas à ça, plutôt à un travail administratif.

C’est ce qui s’appelé se raccrocher aux branches !

– Un travail administratif ?
– Oui la compta par exemple…
– Elle ne se fait pas automatiquement.
– Disons que c’est un peu particulier donc un peu compliqué.

J’ai vraiment l’impression de dire n’importe quoi.

– Je vous pose la question autrement, reprend-elle. Est-ce que vous pouvez m’assurez, oui ou non, un poste dans votre équipage ?
– Oui !
– Vous me le garantissez ?
– Ça vous oblige à me croire sur parole !
– J’en prends le risque, je suis bien obligée. Bon je vous transfère les deux fichiers, la vidéosurveillance de la porte d’entrée et celle de la chambre de Monsieur Hofjom, ça risque d’être un peu long à consulter.
– Pas grave, ça occupera ma soirée.
– Si vous le désirez, je peux venir avec vous, si vous trouvez quelque chose, vous aurez peut-être d’autres questions à me poser, en étant avec vous, vous gagnerez du temps.
– O.K on va chez moi !

J’envoie le fichier sur mon grand écran mural et c’est parti. Ça a beau être en vitesse accélérée, ça devient vite lancinant, Hofjom qui dort, Hofjom qui reçoit des soins, Hofjom qui se lève pour pisser et quand c’est fini ça recommence…

Il ne se passe rien de notable le premier jour, quand je vois quelqu’un pénétrer dans la chambre, femme de ménage ou infirmière, je demande à chaque fois à Gundula si elle connait la personne. Pas d’intrus déguisé, donc mais j’écoute consciencieusement le échanges verbaux, rien de folichon : du banal et du médical.

Allons-y pour la dixième journée d’hospitalisation, Hofjom parait mieux en forme que la veille. Un moment il s’empare de son spacephone, je remets la vidéo en vitesse normale. Il semble rechercher quelque chose puis passe un appel. J’écoute :

– Branchez moi sur le haut-parleur c’est très important. Dit-il à son interlocuteur

Un blanc puis ce simple mot « Trébussy », et après, apparemment il raccroche.

C’est quoi ce cirque ?

Mais ce n’est pas fini, son petit manège il le fait une quinzaine de fois de suite, le même scénario se répète à chaque fois à ceci près que certains correspondants rechignent à brancher leur hautparleur, mais Hofjom se fait insistant et obtient ce qu’il veut, à deux exceptions près.

Et à chaque fois le même mot revient : « Trébussy ».

Un code ?

Plus rien pendant une heure, puis il reprend son spacephone, cette fois c’est un appel entrant. Et ça devient super intéressant, incompréhensible mais intéressant : J’écoute plusieurs fois ce que raconte Hofjom :

– Calloch mówi: Rytua? zabi? Kamil Dernoul, kapitan Mitacq i jego za?ogi, odzyska? skradzione artefakty.

J’ignore dans quel langue il parle mais je reconnais le nom de Dernoul, j’isole la séquence et le passe au traducteur universel qui m’informe gentiment que c’est du néo-polonais et m’en donne la traduction qui fait froid dans le dos :

 » Calloch dit : Le rituel de tuer Kamil Dernoul, le capitaine Mitacq et son équipage, et de récupérer des objets volés »

Bon ça n’a rien d’une traduction littéraire mais le sens est clair : Hofjom demande à son correspondant de faire un massacre en commençant pas Dernoul et de récupérer l’artefact. Quant au Calloch qui donne l’ordre si j’ai bonne mémoire ce doit être l’espèce de prophète que Dernoul a rencontré sur la fameuse planète.

Youppie ! La piste est bonne, j’embrasse Gundula qui ne s’y attendait pas. Envie de fêter ça mais avant je me passe la vidéo entière… pour rien, plus de communication et pas de visite.

On avance, mais j’ai du pain sur la planche.

– Mais c’est quoi que tu cherches ? Me demande Gundula, ce type à commandité un meurtre, c’est ça ?
– C’est quelque chose dans le genre !
– J’aime bien la façon dont tu me regardes, tu n’aurais pas des pensées coquines, toi ?
– Rassure-toi, je en vais pas te sauter dessus.
– Je vois bien que tu en meurs d’envie ! Je ne suis pas farouche, tu sais !
– Ça tombe bien, moi non plus !
– Et si je mets ma main là ? Embraya-t-elle en la plaçant à l’endroit stratégique.
– Canaille !
– Tu me demande pas de l’enlever ?
– Certainement pas !
– Alors je vais ouvrir la petite fermeture… voilà et je glisse ma petite main… je continue ?

Je n’ai pas répondu mais elle n’en a cure et sort ma bite de sa cachette et la branlotte, toute contente d’elle.

– Humm, ça bande bien tout ça ! Ça fait toujours plaisir de découvrir une nouvelle bite !
– Ah ?
– Ben, oui, j’ai bien un copain, mais ce n’est plus vraiment la passion dévorante, en plus il est jaloux, tout ça parce que je lui ai raconté que je faisais des pipes à Levkovich.

Si elle me suçait au lieu de me raconter sa vie ! Ben non elle continue…

– C’est pas que ça m’amuse, c’est un vieux dégoutant, je n’ai rien contre les vieux mais lui, il est visqueux, toujours à me foutre ses doigts partout… Mais bon, il y a des avantages, il me verse des primes et il me fout la paix… Bon je cause, je cause, c’est pas forcément intéressant, je vais m’occuper de ta bite.

Enfin !

Elle suce bien, même si elle est loin d’avoir la technique de Marcia, ou de plein d’autres.

– Et si tu me montrais tes jolis seins ? Demandais-je.
– Ils sont trop gros !
– Tu ne veux pas me les montrer ?
– Si tu veux, mais tu ne préfères pas voir mes pieds.
– Tes pieds ?
– Ben, oui les pieds ! Ça existe les pieds, même que c’est super pratique pour marcher.

Et voilà que je ne sais pas trop comment, je me retrouve avec son panard devant mon visage.

Stoffer304
Bon, ce n’est pas trop mon truc, mais je dois avouer que ce pied est bien joli, sans défaut les ongles superbement manucurés en vieux rose. Je me fais un devoir d’y porter mes lèvres.

– Tu peux l’embrasser mieux que ça ?
– C’est ton truc ?
– Oui, j’aime bien ! Mon copain ne me le fait plus et je ne me vois pas demander ça à Levkovich.

Alors allons-y ! Je prends le gros orteil dans ma bouche et l’humecte de ma salive relevant le goût légèrement épicé, ce qui est normal à cette heure de la journée. la sensation est troublante.

– Hum c’est bon ce que tu me fais, je me ferais bien faire ça pendant des heures, t’es un bon suceur.

Je croyais en avoir fini, mais non, je lui ai sucé que l’orteil droit, maintenant elle veut le gauche. Je le fais un peu puis me viens l’envie de la provoquer, afin de savoir jusqu’où va son ouverture d’esprit.

– Y’avait longtemps que j’avais pas sucé un orteil, j’ai un peu l’impression de sucer une bite.
– Parce que tu fais ça aussi ?
– Oui, j’aime bien !
– Cochon !
– Ça te choque ?
– Pas du tout, quand j’étais étudiante une fois dans une party, j’ai vue deux mecs se sucer la bite, je te dis pas comme ça m’a excité… Et après ils se sont enculés. Tu fais ça aussi ?
– Eh, oui ! Faut bien varier les plaisirs. Et toi tu vas avec les femmes de temps en temps ?
– Oh, lala , il y a longtemps que je n’ai pas fait ça, mais j’en garde un bon souvenir.
– Bon alors ces nichons, tu me les montres ?

Oui, elle me les montre en ronchonnant.

– C’est gros, c’est lourd !
– Non c’est beau et ça me fait bander ! Je peux te sucer les bouts ?
– Vas-y suce moi les bouts.

Elle a les tétons rentrés mais sous l’effet de ma langue, ils ne tardent pas à sortir de leur coquille. J’adore sucer les tétons de ces dames, en fait j’adore sucer un tas de choses.

Cette belle poitrine me donne irrésistiblement l’envie de lui faire une cravate de notaire, j’ai failli lui demander mais elle coup ma pensée :

– Je veux bien que tu m’encules !

Comment refuser une telle proposition. ? Mais Gundula ne se met pas en levrette.

– J’aime bien voir mon partenaire quand on m’encule ! Se croit-elle obligé de me préciser.

Elle enlève sa culotte, s’alonge sur le dos dans mon canapé et lève les jambes au ciel, attendant l’assaut de ma bite bandée comme un arc.

Je la pilonne en cadence. Si seulement elle pouvait jouir avant moi, cela me permettrait de juter entre ses seins !

J’essaie de me contrôler, pas facile et en plus c’est contre-productif, moins je m’agite, moins elle est réceptive.. Alors tant pis pour la cravate de notaire, ce sera pour une autre fois, je l’encule maintenant de façon bien cadencée, Elle commence à haleter et à transpirer. Putain que c’est beau ses seins mouillés de sueur. Voilà qui fait encore monter mon excitation, qui n’avait pas besoin de ça. J’accélère, Gundula hurle sa jouissance en projetant un geyser de mouille. C’est un miracle, je vais pouvoir assouvir mon fantasme, je me dégage.

Elle ne comprend pas ce que je veux faire.

– Tes seins, tes seins…

Ça y est, elle a compris, je coince ma bite entre ses deux mamelles, je fais un peu bouger tout ça et j’arrose. Ma bouche cherche la sienne, on s’embrasse comme deux ados qui viennent de faire leur première partie de jambes en l’air. Elle ramasse le sperme qui lui envahit ses jolis seins, puis se lèche les doigts avec un regard de défi.

Gundula est resté coucher à la maison et est partie au petit matin rejoindre son poste à l’hôpital..

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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