Maîtresse Cécile par Sylvain Zerberg – 1 – Esclave débutant
Je me prénomme Olivier. Durant mes études supérieures, j’habitais une chambre que je louais chez Cécile, qui était une amie de mes parents et professeur de math. Cela m’évitait d’avoir à parcourir tous les jours les 50 kilomètres séparant le domicile de mes parents de l’université.
Cécile avait 42 ans, 23 de plus que moi, était une grande rousse au physique passe-partout, qui s’habillait de façon très classique.
Un jour où elle n’était pas à la maison, je ne trouvais plus mon peignoir qu’elle avait dû mettre au lavage, j’ouvris son dressing dans laquelle un tiroir était mal refermé. Une culotte en fine dentelle en dépassait. Poussé par la curiosité, je regardais et découvrais plusieurs pièces de lingerie assez osées. Du coup je me lançais dans une exploration systématique et fus très surpris de trouver dans son placard de nombreuses paires de chaussures à talon aiguille, des perruques blondes et brunes, toute une collection d’accessoires en cuir, sous-vêtement, combinaison, cravache, fouet, godemichés ainsi qu’une pile de DVD uniquement marqués d’un numéro. Curieux, j’en glissais un dans le lecteur, pour découvrir une suite de scène où on la voyait en guêpière noire, sodomisant à l’aide d’un gode ceinture un homme attaché sur son lit et cagoulé. Sur une autre elle en fouettait sévèrement un autre attaché sur une croix.
Sans même m’en rendre compte, j’avais sorti mon sexe et je m’étais masturbé dans sa chambre. Tous les jours, quand Cécile était absente, je visionnais un nouveau DVD en me caressant.
Tout allait bien, mais un soir alors que je regardais la télé sans trop m’y intéresser, Cécile m’apostropha.
– C’est trop nul ce que tu regardes, j’ai quelques DVD qui devraient t’intéresser !
– Pourquoi pas ?
Mais quand je la vis revenir avec l’un de ses DVD numérotés, je fus pétrifié de honte.
– Pourquoi tu rougis ? J’ai bien vu que tu avais fouillé dans mes affaires, et hier tu avais oublié un DVD dans le lecteur.
– Je, je… bredouillais-je
– Je me demande ce que tes parents penseront de ton comportement ! Déclara-t-elle d’un air mauvais.
– Je vous en prie, ne faites pas cela. Je vais chercher une autre chambre, et vous n’entendrez plus parler de moi, mais n’en parlez pas à mes parents.
– Je plaisantais, voyons, je n’ai rien d’une maitre chanteuse, après tout c’est de ton âge…
– Je vais quand même partir…
– Ça ne plairait pas d’essayer d’être mon petit esclave ? Comme dans mes vidéos ?
– Je ne sais pas !
– Mais si tu le sais et tu en meurs d’envie, sinon tu ne te branlerais pas devant mes films ! Parce que tu t’es branlé, n’est-ce -pas ?
– Euh…
– Commence donc par te mettre à poil, on va voir ce qu’on peut faire ensemble.
Je devais être dans un état second pour lui obéir, comme ça sans rechigner.
Lorsque je fus nu, debout devant elle, elle fit une moue déçu en regardant mon sexe mou
– Ben alors on ne bande pas devant sa maîtresse ? Agenouille-toi devant moi !
Lorsque j’eus obéi, elle posa le pied sur mon bas ventre et s’amusa avec mon sexe, ce qui ne tarda pas à le faire durcir.
– Voilà qui est mieux. Chaque fois que je voudrais me servir de toi et que tu ne banderas pas, chaque fois que tu désobéiras ou que tu discuteras mes ordres, tu seras puni. Lève-toi, suis-moi,
Elle me guida jusqu’à la cave, où je découvris la pièce que j’avais déjà vue sur les vidéos, ou elle s’amusait avec ses soumis. Je fus rapidement suspendu par les chevilles et les poignets, écartelé sur une croix de métal froid.
– Ta bite n’a rien d’extraordinaire, mais elle est quand même jolie, je l’aime bien ! Je la sucerais bien, mais je n’ai pas envie que tu jouisses de suite !
Elle se laissa tomber sur un fauteuil, retroussa sa jupe en me révélant son porte-jarretelle rouge, ses bas noirs et sa toison rousse. Ma queue était douloureuse à force de désir, quand elle m’ordonna :
– Viens lécher ta maîtresse, esclave.
Je tombais à genoux entre ses cuisses et enfoui ma tête sous sa jupe. Sa fente était trempée de désir lorsque ma langue s’y enfonça, et je fis de mon mieux pour titiller son bouton gonflé, alternant les caresses avec de profondes pénétrations de ma langue dans son vagin. Elle avait empoigné mes cheveux et guidait mes mouvements, jusqu’au moment où elle cria en me repoussant violemment du pied.
– Quelle surprise ! Tu suces divinement, esclave. Tu as des dispositions, pour un puceau, car tu es encore puceau, non ?
– Oui, maîtresse ! Répondit je, très excité par les événements.
C’était faux, mais puisque tout cela était un jeu…
Du bout du pied, elle me poussa sur le dos, enleva sa jupe et son chemisier et vint s’accroupir au-dessus de moi.
– L’avantage de l’esclave sur le godemiché, c’est qu’il te caresse les seins en même temps qu’il te baise, vois-tu ?
.
Et elle s’empala sur ma bite avec un grand cri. Elle me chevaucha ainsi pendant une éternité, tandis que mes mains fébriles exploraient son corps, faisant durcir les pointes de ses seins, courant le long de son dos, caressant ses cuisses, ses hanches et ses fesses. Un moment elle se retira, je compris alors qu’elle désirait changer d’orifice et c’est maintenant par l’anus qu’elle s’empalait. Elle finit par jouir en gigotant et en criant comme une damnée de l’enfer. Encouragée par ses cris j’augmentais la cadence et jouissais à mon tour.
Cécile s’empara de ma bite gluante de sperme et me la nettoya de ma bouche.
– Hum, j’adore ! Tu gagnes à être connu, gamin. C’était très bon. A présent, il faut que je fasse pipi, tu vas me servir de chiotte.
– Euh, peut-être pas…
Je n’avais rien contre l’uro qui était une pratique sur laquelle je fantasmais sans concrétiser, mais je craignais néanmoins qu’elle ne m’entraîne trop loin.
Je ne vis pas arriver la gifle.
– Ouvre la bouche !
J’eu juste le temps d’éviter que le crachat atterrisse dans ma bouche.
– Qu’est-ce qui se passe ? On arrête tout, c’est ça que tu veux ? Me demande-t-elle.
– Il y a des choses que je ne veux pas faire.
– Alors va te faire enculer ailleurs, connard !
Complètement dépité, je cherchais mes vêtements et les enfilais.
– Tu passeras le bonjour à ta mère, elle aussi c’est une bonne pute, la dernière fois je lui ai fait sucer un black avec une queue énorme pendant qu’un autre lui fouettait le cul avec une branche de céleri.
– Quoi ?
– Ben oui ! Si tu savais le nombre de gens qui ont une vie cachée… Bon nous n’allons pas nous quitter fâchés, viens boire une bière dans la cuisine.
– Ma mère vient se faire fouetter et tout ça ! Je n’y crois pas ?
En fait j’étais davantage troublé que choqué, allez donc savoir pourquoi ?
– Dommage je n’ai pas de vidéo, elle n’était pas d’accord pour ça, sinon je te l’aurais montré. Une fois il y a une copine qui est venue avec son chien, j’ai demandé à ta mère de sucer le chien, elle a eu l’air d’apprécier.
– Les bras m’en tombent !
– Ramasse-les, ça peut servir.
J’avais quelque mal à assimiler les propos de Cécile sur ma mère… Mais elle en ajouta une couche.
– Tu as déjà fantasmé sur ta mère ?
– Non, enfin si, un petit peu… bredouillais-je, mais enfin c’est ma mère…
– Parce que, elle, elle fantasme sur toi, mais elle n’ose pas te demander…
– Je rêve !
– Si ça t’intéresse, je peux organiser une petite rencontre…
– Non, non…
– Réfléchis-y quand même, allez suis-moi !
Comme un zombi, je suivais Cécile dans la cuisine. Je regrettais déjà mon mouvement de révolte, mais que faire, je ne souhaitais pas me laisser entrainer dans des voies qui ne me disaient rien. Mais aussi pourquoi était-elle adepte du « tout ou rien » ?
– Il y a une chose qu’il te faut savoir, avant de partir, la domination est un jeu. L’esclave est libre de s’en retirer quand bon lui simple, mais ce n’est pas lui qui mène la barque, ce serait trop facile. Si je propose une pratique à un esclave et que ça ne lui dit trop rien, il y a une attitude que je ne supporte pas, c’est le refus. On ne refuse jamais sans avoir essayé. Ensuite c’est à moi, suivant les réactions de l’esclave de gérer la situation. C’est moi qui gère, pas lui !
Elle était en train de me tendre une perche et j’en étais heureux.
Maintenant, tu as le choix, soit tu t’en vas et nous ne reparlerons plus jamais de ces petites fantaisies, soit tu retournes à la cave, tu te déshabilles et on reprend là où nous en étions restés !
– Je retourne à la cave ! Lui indiquais-je et cette fois sans hésitation..
Elle me fit attendre dix minutes, jouant ainsi avec mes nerfs.
Quand elle revint, elle me toisa et empoigna mes tétons qu’elle tordit fortement. Cette action eut pour résultat immédiat de me faire bander très fort.
– Ouvre ta bouche, chien !
J’ai faillir dire non, mais me rappelait ses propos et reçu son jet de salive en pleine bouche.
– Très bien et maintenant, la douche….
Elle me fit coucher sur la partie carrelée de son donjon, s’accroupit légèrement et se mit à pisser d’abondance.
– Ouvre la bouche, esclave, goute à ma bonne pisse.
J’essayais, découvrant un goût assez bizarre, pas trop génial mais pas désagréable non plus. Voulant montrer à ma maîtresse que j’étais un bon esclave et que j’avais compris sa façon de fonctionner, j’en avalais une bonne rasade.
– Ben voilà quand tu veux ! Dommage que je n’aie pas envie de chier, on verra ça demain matin.
Oh, non ! me dis-je, mais je me rassurais aussitôt : »quand elle verra que ça ne me plait pas, elle n’insistera pas »
– Tu me réveilleras demain à 8 heures précises, tu m’apporteras mon petit déjeuner au lit, complétement à poil, je veux du café, du jus d’orange et des tartines grillées avec de la confiture. Maintenant tu as quartier libre, si tu veux aller faire un tour dehors, ne t’en prive pas.
Le lendemain je la réveillai comme prévu. Elle s’assit dans le lit et je pu ainsi contempler de nouveau sa belle et opulente poitrine. Du coup je mis à bander.
– Hier j’ai oublié de mettre ma petite culotte au sale, elle est là-bas sur la chaise, prend-là !
Je le fis, elle me demanda de la sentir, puis de la lécher, je me surpris à bander en le faisant
– Ah, j’ai oublié de te dire, à 9 heures la femme de ménage va arriver, je vais la punir, tu assistera à la punition.
– La punir pourquoi ? Demandais-je
– Est-ce que je t’en pose des questions, je n’ai pas besoin de motif pour punir qui je veux ! Reste là et mets-toi à genoux pendant que je déjeune.
Quand elle eut fini son petit déjeuner, elle se leva, je la voyais donc pour la première fois complètement nue.
On se dirigea vers les toilettes, elle s’assit sur la cuvette et se mit à uriner, elle s’amusa à se pisser sur les mains et à me les faire lécher. Je commençais à bien apprécier ce gout particulier.
– Et maintenant caca ! Dit-elle.
Moment fatidique, comprendra-t-elle que la chose ne me plaira pas ?
Elle pousse, j’entends la merde tomber dans l’eau dormante avec un grand floc.
– Je n’ai pas chié à fond, je me réserve pour la femme de ménage. Mais ne t’inquiète pas, on va faire ça progressivement ! Dit-elle en se relevant, essuie-moi le cul.
– Avec le papier ?
– Non, avec ta langue.
Si je refuse, me dis-je, elle va me jeter, il me faut donc procéder autrement. »
Il faut tout simplement qu’elle constate que la pratique ne me plait pas. Et là se pose un problème idiot : Comment pourra-t-elle juger de ma réaction puisqu’elle me tourne le dos ?
Ne sachant comment gérer la situation, je me dit qu’il me fallait faire confiance à mes qualités d’improvisation.
Cécile écarte ses globes fessiers afin que ma langue puisse accéder facilement à son trou du cul. J’approche mon visage, ça sent la merde, mais ça n’a rien de pestilentiel. Il n’y a pas grand-chose à essuyer, juste quelques taches marrons et ça me rassure.
Je respire un bon coup et j’approche le bout de ma langue de la première tache en fermant les yeux. Je lèche et surprise, là où je pensais trouver de l’abominable, je ne trouve qu’une saveur assez âcre mais qui n’a rien de repoussante, du coup je lèche mieux et je réouvre les yeux.
J’ai tout nettoyé, Cécile a maintenant le cul propre comme un sou neuf… et même que je suis fier de moi !
– Ça t’as plu, esclave de lécher la merde de ta maîtresse ?
– C’était délicieux ! Répondis-je.
J’en rajoutais, délicieux n’était sans doute pas le mot approprié mais j’étais tellement content de m’être acquitté de cette épreuve que je redoutais.
– Demain nous essaierons d’aller plus loin !
J’ignorais ce qu’elle entendait précisément par-là et n’était pas vraiment certain de pouvoir la suivre.
– Viens, tu as droit à une petite récompense.
Elle se leva, fouillant un long moment dans un placard, dans mon dos. Quand elle se retourna, je l’aperçu dans la glace, nue, la taille ceinte d’un gros godemiché noir, une cravache à la main.
– Tends-moi ton cul, morue ! Ordonna-elle en me cinglant de sa cravache.
Elle me cravacha les fesses plusieurs fois me laissant échapper des cris de douleur puis elle me fit me mettre à quatre pattes. Elle s’agenouilla derrière moi, posa les mains sur mes fesses, et je sentis son doigt me pénétrer l’anus et s’y agiter frénétiquement. Mon dieu que c’était bon, mais ce n’était rien à côté de qui suivit : le doigt fut remplacé par le gland de plastique du gode qui força doucement mon petit cul. Elle enfonça par petits coups, et je criais de douleur et de surprise. Lorsque le gode fut complètement entré dans mon cul, elle resta un moment sans bouger, et commença à donner de petits coups de reins. Je constatai avec surprise que la douleur avais disparu rapidement pour faire place à un plaisir trouble. Après quelques minutes de ce traitement, je me mis à haleter, puis à gémir, de plus en plus fort à mesure qu’elle accélérait son mouvement. Et sans me toucher, je sentis mon sexe exploser et je m’effondrais en répandant mon sperme sur la moquette.
– Cochon, nettoie tout ça avec ta langue !
Je m’exécutais tant bien que mal.
– Dis-moi, ça t’as plus, mon gode dans ton cul de pédé ?.
– Oh oui, maîtresse ! Vous pourrez me le refaire quand vous voudrez.
– Tu es un enculé maintenant !
A quoi joue-t-elle ?
– Je n’ai pas entendu ta réponse !
– Oui, maîtresse
– Quoi « oui, maîtresse », je veux t’entendre dire que tu es un enculé.
Si ça lui fait plaisir…
– Je suis un enculé, maîtresse.
– Et encore, ce n’était qu’un gode, imagine, quand je te ferais prendre par une vraie bite, une bonne bite que tu aurais bien sucée avant. Dis-moi que ça te plairait ?
Horrifié par cette perspective, je me souvenais néanmoins de sa façon de procéder « On ne refuse jamais sans avoir essayé. Ensuite c’est à moi, suivant les réactions de l’esclave de gérer sas réactions. »
– Je ne sais pas, mais je suis prêt à essayer !
– Tu ne sais pas ce qu’on va faire, je vais te prendre en photo avec une bonne bite dans la bouche, et je la montrerais à ta mère. Ça va bien l’exciter et ensuite tu pourras la baiser.
Elle est folle !
– Penses-y en t’endormant mais si tu te branles évite de tacher les draps !
A suivre
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Derniers Commentaires