Samedi 12 février 2022 6 12 /02 /Fév /2022 15:09

Soubrette soumise par Marie-France Vivier
soubrette stamp

 

Ce texte n’est pas ma plume, il s’agit d’une traduction-adaptation d’un texte anglais.

Etre exhibée dans un menu costume aux tissus transparents… Aux coupes trop courtes… Et aux côtés échancrés… Revêtir la peau d’une vraie soubrette et tout faire pour répondre aux moindres désirs de Monsieur, à ses moindres caprices, ainsi vêtue, le cul exposé aux regards, pendant qu’il reçoit des amis… Devoir faire le service, nécessairement être très polie et courtoise à l’égard des invités de Monsieur… être humiliée de la situation, rougir de gêne et sentir ma chatte qui coule… Avoir honte d’être excitée de la sorte… Tout faire pour éviter qu’il s’en aperçoive… Et qu’il me qualifie de salope avant de me traiter comme telle…

J’imagine facilement l’amusement qu’il prendrait à échapper un quelconque objet par terre et à me demander de le ramasser, m’obligeant ainsi à me pencher vers l’avant et à montrer mon cul dans sa totalité. J’imagine son plaisir au moment où je viendrais pour me relever et, que d’une main robuste, il me contraindrait à rester penchée, poussant sur ma tête pour m’obliger à rester pliée en deux. J’entends déjà les rires de ses invités qui se rinceraient l’œil, leurs commentaires à mon égard. Je sens même la mouille qui coule entre mes cuisses mais ça c’est vraiment réel et présent au moment où j’écris ces mots !

Et puis la voix d’un invité qui dit son envie pressante d’aller uriner, le regard de Monsieur qui s’illumine et ses mots qui tombent et qui me nouent la gorge…

– T’es ici pour servir… Alors va avec lui… Détache son pantalon… Et tiens sa bite pendant qu’il pisse !

La peur mélangée à la honte qui m’envahit… Me retrouver ainsi seule dans une pièce fermée avec un inconnu… L’humiliation de la position dans laquelle je vais me commettre. Je me vois agenouillée dans la salle de bain en train de sortir ce sexe mou de sa prison… Maladroite et tremblotante, je vois la silhouette derrière lui et je l’entends me dire de faire attention et de bien diriger le jet dans la cuvette, ce qui ne fait qu’accentuer ma nervosité… Le jet fuse et, par maladresse de ma part, vient atterrir sur le sol… Je lis la colère dans ses yeux et j’entends dans le trop calme de sa voix son mécontentement… Il empoigne mes cheveux fermement, me tire vers l’arrière et me dit que je devrai tout nettoyer. Il m’oblige à me mettre à quatre pattes et à lécher l’urine sur le carrelage…

– Lèche ! Nettoie comme il faut et totalement ! Salope… Cochonne… Souillon.. Traînée !

Une pluie d’insultes vient couronner la mauvaise posture dans laquelle je me trouve. L’humiliation qui me remplit, la honte et la peur… être ainsi invectivée en public et pourtant être excitée comme ce n’est pas permis !

Je lèche le carrelage, m’appliquant pour faire disparaître la moindre trace… Monsieur m’abandonne à mon sort, allant rejoindre ses invités… Je n’ose pas revenir… Morte de gêne et de honte… Craignant d’accentuer sa colère par ma simple présence… Je l’entends rire… Je reste seule dans les toilettes pendant une durée de temps qui semble s’éterniser, ne sachant plus quoi faire… Et n’osant surtout pas attirer son attention ou faire quelque bruit que ce soit.

Quand je lève les yeux, Monsieur est devant moi, imposant par sa stature, imposant par son regard… Regard de glace ! Visage déserté de sourire…

– A genoux salope ! J’ai envie de pisser mais cette fois, je ne risquerai pas de salir la céramique ! Ouvre la bouche et bois ! Si tu perds ne serait-ce qu’une seule goutte, tu serviras d’urinoir à tous ceux qui auront envie ce soir, je te le jure !

C’est le cœur battant la chamaille que je m’agenouille, que j’ouvre la bouche et tends la langue pour recevoir son urine… Urine que je bois, urine que je suce pour ne rien perdre, de peur d’être contrainte à en boire toute la soirée… Enfin un sourire sur son visage me rassure un peu… Puis il me dit de le rejoindre au salon, m’abandonnant encore une fois…

C’est la tête baissée et le regard fuyant que je les rejoins, me faisant la plus petite possible pour ne pas être remarquée, pour être inaperçue… Mais sa voix plus forte que la musique retentit !

– Ça mérite une correction salope ! Tu as manqué à ton devoir envers un invité ! A plat ventre sur mes cuisses et cul relevé !

J’hésite, osant espérer qu’il n’est pas sérieux, qu’il blague… Mais non !

– Tu préfères que je me lève et que j’aille chercher le fouet peut-être ?

J’obéis immédiatement, me retrouvant à plat ventre sur ses jambes…

– Relève ton cul !

Aussitôt une main vient se glisser entre mes cuisses… Ses doigts découvrent instantanément ma chatte… Diluvienne… Monsieur me présente ses doigts enduits de ma mouille…

– Qu’est-ce que c’est ça ?

Je bredouille, ne sachant que répondre…

Monsieur me fesse sans ménagement… Je sens les claques pleuvoir sur mon cul… Je sens mon fessier en feu… Je me confonds en excuses, l’implorant d’arrêter… Puis il m’ordonne de servir le souper… Ce que je m’applique à faire minutieusement… Après avoir déposé la dernière assiette sur la table, Monsieur me regarde, sourire aux lèvres… Je connais ce sourire en coin, signe qu’il n’a pas terminé avec moi ! Je baisse les yeux, cherchant un peu d’indulgence et j’entends…

– Prends la bougie dans le tiroir !

Je vais chercher la bougie… M’en voulant amèrement de n’avoir pas pensé à la mettre sur la table pour le souper… Au moment où je m’apprête à l’allumer et à la glisser dans le chandelier…

– Non ! Tu vas nous servir de chandelier ! Allez ! A quatre pattes, à côté de la table, le cul bien cambré… Tu t’insères la bougie dans le cul et je vais me faire un plaisir de t’allumer !

Tous s’esclaffent de rire… Tout le monde sauf moi bien entendu… Néanmoins, j’obéis redoutant de ternir la bonne humeur qui semble habiter Monsieur… Accroupie, le cul bien relevé, j’introduis la bougie…

– Plus profond ! Allez, pousse un peu !

Puis il vient allumer la mèche… Je sens les regards amusés qui me fixent… La cire qui dégouline jusqu’à mon anus… Je reste silencieuse et immobile… Le souper semble s’éterniser… Je sens mes genoux engourdis… Mes bras s’affaiblissent… La chaleur de la flamme se rapproche dangereusement de mon cul… Et pourtant, une seule envie obsède mes pensées : l’envie de me masturber encore et encore !

L’attente, j’entends des propos de plus en plus grivois… Monsieur éteint la mèche… On me fait me relever. Les invités sont debout les uns à côté des autres… les bites sortent de leur braguette… Je sais qu’il me va falloir les sucer…

Soubrette MFV
Je commence par la première, la plus proche de moi… je la masturbe un peu, puis la porte en bouche… mes lèvres et ma langue s’activent.

– Sois une vraie salope, fous-lui un doigt dans le cul ! Me dit Monsieur.

Très vite, il décharge… j’avale un peu et laisse couler le reste sur mon menton.

– Nettoie, il a la queue pleine de sperme.

Je m’acquitte de cette tâche… l’homme range son sexe, puis sort un billet de son portefeuille qu’il jette à mes pieds.

– Tiens, putain !

Je suis morte de honte… mais ma chatte est en feu…

– Ne t’essuie pas, reste comme ça, et suce son voisin.

Je suce, il veut aussi que je lui suce les couilles, puis le trou du cul, il m’énerve ce type ! Mais j’obtempère en bonne soubrette obéissante.

Son cul sens la merde mais peu me chaut, ce soir je ne suis que la salope de service.

Il veut ensuite m’enculer, je redoute ce moment, certains s’y prennent tellement mal. Je me demande dans quelle position il veut faire ça… Il me fait mettre en levrette ! Tant mieux, je ne verrais pas sa gueule !

Il m’écarte les fesses et entre en force. J’ai mal, je serre les dents. Heureusement l’homme est tellement excité que l’épreuve ne dure pas longtemps. Je pensais en avoir terminé, mais un autre prend sa place et contrairement au précédent semble vouloir prendre son temps.

Celui qui vient de jouir dans mon fondement me présente sa bite afin. que je la nettoie. Il a conservé sa capote polluée par ma propre merde. J’ai un instinctif mouvement de recul, il me gifle. Je suce en lui lançant un regard de haine. Il en retire sa capote et je lèche son sperme

C’est tout ? Oui ?

L’autre décule, se débarrasse de sa capote et se branle en m’aspergeant le visage de son sperme visqueux.

Ils ont tous joui, ils n’ont plus besoin de moi, je suis invité à débarrasser le plancher.

Je ramasse les billets gisants au sol et l’enveloppe que m’a réservée le maître des lieux.

J’ai bien gagné ma soirée, mais quels connards ! Ils ne sont pas près de me revoir. Heureusement que la plupart de mes clients ne sont pas comme ça.

Mais je n’ai qu’à m’en prendra qu’à moi-même, j »avais accepté ce scénario… et n’empêche qu’ils m’ont fait mouiller !

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-France V
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Samedi 29 janvier 2022 6 29 /01 /Jan /2022 07:42

Partouze chez nos voisins par James01
zoo

Pierre et Sylvie sont nos nouveaux voisins depuis quelques mois. Pierre est un petit gros binoclard mais très sympathique, Sylvie une belle brune très souriante, dotée d'une poitrine généreuse. Ils ont un chien, un imposant labrador beige prénommé Pitch.

Et un jour ces voisins nous ont invité pour l'apéro ! Comme ça sans raisons particulières, disons qu'ils nous ont trouvés sympas.

L'apéro s'est déroulé normalement, à ceci près que Pitch venait régulièrement poser son museau entres les cuisses de Dorothée, ma tendre épouse, une fausse blonde bien conservée malgré ses presque soixante ans.

- Il est gentil, mais parfois il est un peu collant ! Nous confie Sylvie.
- Ça ne me dérange pas, j'adore les chiens, ! Répond mon épouse.
- Vous n'en n'avez pas ?
- On en prendra un quand nous serons en retraite. Pitch veux-tu laisser Dorothée tranquille. Répondis-je
- Ne le laissez pas faire n'importe quoi, il est un peu vicieux ! Reprend Sylvie
- Mais non, que voulez-vous qu'il me fasse ? Répond naïvement ma chère et tendre.
- Certes, vous êtes en pantalon ! Moi parfois quand je sors de la douche et que suis toute nue, il vient me renifler… Nous confie Sylvie.
- Et vous faites quoi ? Demandais-je
- Si je vous disais que je le laisse faire, je vais passer pour quelqu'un de pervers.
- Pensez-vous, nous avons les idées larges !

Moment de flottement parce que on se rend tous compte que la conversation prend un tour bien particulier.

Donc deux scénarios possibles, soit on parle d'autre chose, soit ça dégénère.

Et justement Sylvie en remet une couche en interpellant mon épouse.

- Vous feriez quoi, vous dans une telle situation ?
- On ne peut jamais savoir, mais disons qu'éventuellement je pourrais me laisser faire.
- Ben voilà ! Vous savez ce n'est pas désagréable une langue de chien !
- Je ne demande qu'à vous croire !
- Vous ne voulez pas essayer ?
- Un jour, si les circonstances s'y prêtent...
- Vous le feriez, maintenant, tout de suite !
- Non quand même pas !

Cette conversation commence à m'exciter et je me surprends à bander comme un âne

- Mais si, ne te dégonfle pas ! Lançais-je à mon épouse.
- Oh doucement ! Espèce de vicelard
- Tu en meures d'envie !
- Sylvie, si vous le faites devant moi, je veux bien le faire aussi, consentit mon épouse.

La situation est surréaliste, prenant la balle au bond, Sylvie retire son pantalon et fait venir le chien qui se met à la lécher à grand coups de langue.

- Oh ! Qu'est-ce que c'est bon ce qu'il me fait ! S'écrie t'elle

Devant ce spectacle, je me touche la braguette.

- Si vous voulez vous masturber, ne vous gênez pas me dit Pierre. Je crois d'ailleurs que je vais faire la même chose.

Et nous voici tous les deux la bite à l'air.

Sylvie a joui comme un dingue, et c'est au tour de mon épouse d'accueillir la langue du toutou dans ses replis intimes.

Je mate aussi la bite de Pierre, une bien belle chose bien raide, avec un très joli gland ! Evidemment il a vu mon regard.

- Elle te plait ? Me demande-t-il
- Elle est belle !
- Si ça t'intéresse, je suis un peu bi, à mes heures

Ça tombe bien, moi aussi, et je n'ai pas si souvent l'occasion de sucer une bonne bite. Je l'ai donc pris en bouche et lui a prodigué une fellation avec éjac pendant de son côté ma femme hurlait sa jouissance.

J'aurais bien joui à mon tour, mais cette partie improvisée semblait terminée, Sylvie remet son pantalon, mon épouse aussi tandis que Pierre s'en va se laver la bite dans la salle de bain.

On se ressert l'apéro.

- On part 10 jours en province, vous pourriez nous garder le chien ? Demande Sylvie
- Avec grand plaisir ! Répond Dorothée.

Je ne vous décris pas les moments de folie que mon épouse a vécu avec le chien. Pendant ces dix jours, elle ne s'est pas contentée de se faire lécher, elle lui a sucé la bite et s'est fait sauter comme une chienne, c'est le cas de le dire !

Nos voisins Pierre et Sylvie sont revenus, et pour nous remercier, ils nous ont invités à déjeuner. Ils nous ont présenté leur fille, Cécile, un petit canon de 25 ans assez grande et bien mamelue, vêtue d'une mini-jupe très sexy !

Comme on pouvait le prévoir, en arrivant, le chien fait la fête à mon épouse en tournant autour d'elle, et en poussant de petits cris, il se rappelle qu'à plusieurs reprises, elle a été sa femelle. Son maître lui dit d'aller se coucher d'un ton autoritaire, ce qu'il fait en baissant la tête.

Le repas a été sage, sans doute, cela était-il dû à la présence de leur fille qui n'avait pourtant pas du tout l'air d'une sainte nitouche ?

Du coup nous ne nous attendions pas à ce qu'après le café, le repas glisse en orgie complètement débridée.

C'est Cécile, qui a fait démarrer la partouze. Elle se lève de table et va s'asseoir sur le canapé tout proche. Aussitôt, Pitch se lève, et va mettre son museau entre les jambes de sa jeune maîtresse, qui au lieu de le repousser, ouvre un peu plus ses cuisses, le labrador lèche la culotte de la fille, qui écarte ce dernier rempart pour donner libre accès à sa langue, ses doigts écartent ses lèvres pour permettre au mâle d'aller plus en elle.

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Tout le monde a les yeux fixés sur le spectacle, la petite cochonne pousse des petits cris, en encourageant son compagnon à quatre pattes, à aller plus loin dans son intimité. Sylvie, sa mère, la rejoint sur le canapé, elle écarte ses belles cuisses, retrousse sa robe, enlève son string, dévoilant son sexe intégralement épilé, elle se masturbe en appelant Pitch à venir la rejoindre. Le mâle, va d'une femme à l'autre, je suggère alors à mon épouse de les rejoindre, elle parait un peu gênée (pourquoi ?), mais l'envie est trop forte, et elle va s'asseoir sur le canapé, en retroussant sa jupe, sa culotte est ôtée, la langue râpeuse lui donne à elle aussi bien du plaisir. Les trois cochonnes s'excitent avec leurs doigts quand le quadrupède les délaisse pour une autre, elles couinent, transpirent, elles ont la bouche grande ouverte, et encouragent Pitch qui a bien de la peine à suivre les désirs de ce trio de femelles en chaleur.

C'est alors que Pierre se lève, baisse son pantalon et son slip, et m'exhibe sa bite à quelques centimètres de mon visage. J'ouvre la bouche et me régale de ce joli membre.

Après quelques moments de douce fellation Pierre me propose d'aller rejoindre Cécile.

Pitch, lui est en train de s'occuper de mon épouse qui est tout excitée, elle semble prendre énormément de plaisir de retrouver son amant à pattes.

Cécile me fait signe de m'approcher avec un grand sourire, mon sexe est à hauteur de sa bouche. Je suis un peu gêné, mais Pierre me fait signe qu'il n'y a pas de problème.

Elle prend ma bite dans sa main, me branle vigoureusement quelques instants, puis me lèche, elle fait pénétrer ma bite dans sa bouche pendant que je lui ôte ses vêtements, elle n'a pas de soutien-gorge, et je découvre ses gros nichons laiteux. Je triture ses tétons en les pinçant légèrement, je les mordille doucement, arrachant quelques plaintes. Elle a des jambes assez longues, et fines qui se terminent par un petit cul qui parait assez nerveux et qui me donne bien envie de me la faire. Je la positionne en levrette, passe un doigt sur sa chatte toute gluante, je le fais coulisser à l'intérieur de sa moulette que je trouve assez étroite. Elle transpire, gesticule sous mes caresses et me demande de la baiser, elle veut sentir ma queue bien au fond de son minou. Je positionne alors mon pénis à l'entrée de sa grotte, je le passe sur ses lèvres pour l'enduire de mouille, j'avance lentement dans ce conduit très humide, Cécile est impatiente et très excitée, elle vient au-devant de ma pine qui va aller se planter au plus profond de son intimité. Elle me regarde en souriant et me demande de bien la faire jouir.

Pendant ce temps, mon épouse s'est déshabillée, et positionnée à quatre pattes, les fesses bien cambrées, les cuisses bien ouvertes, son amant canin est en train de la monter vigoureusement, sous les cris d'encouragement de Sylvie. Pierre s'approche de moi et me propose de m'enculer. J'accepte avec grand plaisir et adopte la positon adéquate. Il y avait longtemps que mon cul n'avait pas accueilli une bonne bite. C'est si bon une sodo quand c'est bien fait !.

Sylvie s'est rapprochée de sa fille pour l'embrasser à pleine bouche avant que les deux femmes de mettent en soixante-neuf en entamant un broute-minou à deux dos. Cécile transpire, souffle et couine, tant son plaisir est intense.

Après m'avoir sodomisé pendant une dizaine de minutes, Pierre s'apercevant que le chien s'est éloigné de mon épouse s'en va enculer cette dernière à son tour.

Sylvie s'est positionnée de façon à caresser la poitrine de Dorothée tout en lui prenant la bouche par de profonds baisers, leurs langues s'enlacent, de la bave coule de leurs visages.

De la façon dont est positionnée Sylvie, j'ai bien envie de me sauter cette belle femme à la poitrine bien généreuse et aux cuisses bien pleines, je lui enfile un puis deux doigts dans la minette, je passe ma bite sur son entrecuisse, je la prends par les hanches et fais pénétrer ma queue au plus profond de son intimité. Je la lime pendant un bon moment sous ses encouragements, ne pouvant plus me retenir, je me bloque, et me vide par plusieurs jets, dans ses profondeurs vaginales, tout en regardant ma femme dans les yeux, elle a aussi bien du plaisir sous les coups de boutoir qu'elle prend au plus profond de son anus. Nous nous désaltérons et reprenons des forces.

Pierre pisse sur ma femme qui ouvre une bouche gourmande. Encouragé, je fais de même dans la bouche de Sylvie et n'oublie pas Cécile qui vient quémander les dernières gouttes.

Pierre se couche sur le dos, sa bite bien verticale, il fait signe à sa fille de venir s'y empaler, Cécile enjambe son père, descend lentement, ses doigts écartent son abricot qui vient s'enfiler sur ce pieu violacé, il la couche sur lui, faisant se cambrer son derrière, il me fait signe de lui prendre l'anus.

Je présente ma bite à l'entrée, je pousse légèrement, mon sexe est comme aspiré dans ce conduit bien serré où il fait bon être. La fille jouit de cette double pénétration en poussant des jappements de plaisir.

Pendant ce temps Sylvie et Dorothée se mettent en soixante-neuf afin de se gouiner la chatte, pendant que Pitch se débrouille pour saillir par l'anus, une nouvelle fois mon épouse.

On a continué à forniquer comme des bêtes pendant pas mal de temps avant que la fatigue nous gagne et que l'alcool nous achève…

Ben oui, nous avons fait quelques pauses, il faut bien récupérer de temps en temps, et ces pauses furent arrosées au Champagne (et du bon !)

 

Tout va bien, merci de m'avoir lu ! Un petit mot pour me dire si ce récit vous a excité me ferait plaisir !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : James
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Jeudi 27 janvier 2022 4 27 /01 /Jan /2022 23:03

Confessions SM – 3
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Que c’est bon d’être soumise par Erika

Un jour je me suis décidé à m’inscrire sur un site internet de rencontre car, divorcée, j’étais en manque de tendresse et de sexe. Après avoir éliminé pas mal de mecs bizarres, je suis tombée sur un homme qui sortait du lot. Nous avons longuement échangé sur nos envies et il m’a précisé qu’il aimait particulièrement diriger et dominer en douceur, sans aucune violence. Il aimait les jeux de soumission. Et puis un jour, nous nous sommes rencontrés, nous nous sommes plus et nous avons passé un moment tendre. Très en douceur, il a commencé à me faire découvrir ce monde étrange pour lequel je devais avoir des prédispositions. Des menottes, un bandeau sur les yeux, des caresses différentes avec les mains ou des objets que je ne voyais jamais.

Un après-midi, il m’a bandé les yeux, posé un rosebud dans mon petit trou et emmenée en voiture je ne savais où. Nous avons roulé 15 ou 20 minutes, puis il m’a fait descendre. Où étions-nous ? Je l’ignorais, j’avais toujours les yeux bandés. Il m’a enlevé mon chemisier, mon soutien-gorge puis il a remonté ma jupe sous laquelle je n’avais que des bas, selon sa demande. Il m’a caressée. Je mouillais. Soudain, j’ai senti sur mes seins une seconde paire de mains. Il m’offrait à un autre. Une première pour moi. Tout s’emballait dans ma tête. En même temps, avec amour, il me tenait par la main. Je la serrais très fort. C’était bizarre, mais si agréable de lui faire plaisir. Ensuite, il m’a fait pencher sur une table ou un bureau (allez savoir ?) et donné une douce fessée sur mon cul qu’il aime tant. J’ai dû les prendre tous les deux en même temps en bouche. Nous sommes partis sans que je sache où nous étions allés. Une fois le bandeau enlevé, il était évident qu’à ses yeux je lui appartenais et que je l’avais rendu heureux.

Nous nous voyons régulièrement et je l’aime de plus en plus, je suis accro, complètement folle de lui. Une autre fois, après m’avoir bondagé les seins, il a posé une pince à linge sur chacun de mes tétons. C’était trop beau, je caressais sans arrêt mes grosses mamelles tellement elles étaient belles ainsi. J’étais fière. J’aimerais, un jour, aller à mon travail les seins ainsi attachés sous un chemisier.

Trop impatiente de le revoir, je l’ai invité chez moi la semaine suivante. Je n’en pouvais plus; il fallait qu’il s’occupe à nouveau de mon corps, de mes seins surtout. Une fois nue, il les a bondagé avec une cordelette fine et serrée. J’ai complètement kiffé. Mais d’un coup, j’ai eu très peur. Il a sorti des tapettes à souris en m’interdisant de mettre mes mains. Il les a posées en douceur sur mes tétons. Moi qui étais devenue maso des seins, j’allais être servie. Quelles sensations merveilleuses ! Je coulais littéralement, tellement c’était bon. Je suis restée ainsi plus d’une heure, je l’ai sucé, il m’a pissé dans la bouche et j’ai adoré boire son urine, il m’a baisé en levrette, puis enculé. J’ai dû nettoyer sa bite gluante de sperme et tachée de matière, mais je l’ai fait volontiers. Ensuite, il a dilaté mon cul en douceur avec un gode avant de m’en mettre un plus gros dans la chatte. Hummmm… Que c’est bon d’être soumise.

Erika

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La cave par Alice

J’étais au travail lorsque je reçu sur mon portable un sms venant de mon Maître. Il était sans équivoque et me laissa sans voix…

« Sois disponible à 17 heures, je viendrai te chercher au travail pour que tu sois mon jouet »

Il n’était que 13 heures et déjà je sentais la pression monter, savoir que mon Maître aller m’imposer un nouveau jeu me rendait toute moite … Qu’allait-il encore m’arriver ? J’avoue que j’ai vraiment eu du mal à terminer ma journée de travail, j’étais toute tremblante et mon esprit était accaparé par mon futur rendez-vous.

A cette époque, j’avais 49 ans, et j’étais déjà une femme mature que l’on peut qualifier de soumise et de cougar, car oui, je ne vivais que pour les délires de mon Maître, et oui je préférais les hommes plus jeunes que moi. Mon Maître avait deux ans de plus que moi, et il prenait un malin plaisir à me faire baiser par des hommes ayant l’âge de mes fils… L’heure arriva, péniblement, et je sortis de travail. Il était déjà là, m’attendant dans sa grosse bagnole. J’entrai dans la voiture, et le saluai d’un. « Bonjour Maître ». Il ne répondit pas, et me regarda d’un air salace. Il me tendit une microrobe et des talons de 15 cm.

– Tiens enfile ça petite pute ! me dit-il.
– Oui maître !
– C’est bien, tu es une bonne salope ! me répondit-il

Je m’exécutai sans broncher. Nous arrivâmes dans les quartiers périphériques, là où les tours HLM se suivent et se ressemblent. Il trouva une place et se gara. Il m’ouvrit la porte, et m’ordonna de sortir. Là il me mit un bandeau sur les yeux, et me guida. D’après ce que je ressentais, nous étions en direction d’un immeuble. Il ne parlait pas, ne disait rien, ce qui me faisait frémir de désir … Je ne savais vraiment pas ce qui allait arriver. Nous avons descendu un escalier. Soudain il me dit :

– Voilà petite pute, on est dans une cave, et il va falloir que tu suces ce jeune mec qui est venu se faire vider.

Je ne voyais rien … Je me mis à genoux, difficilement, et j’ouvris la bouche… Et là, la queue arriva. Je n’avais d’autre choix que de sucer, mon Maître me tenait par les cheveux et me lançait des insultes, j’entendais également le jeune mec me qualifiant de « bonne salope », de « bonne pute cougar », de « bonne vide couille soumise » .de « vieille morue » et j’en passe.

Je ne sais pas combien de temps cela a duré, mais ma bouche était pleine de sperme au bout de quelques instants. Je me sentais humiliée, comme à chaque fois lors des jeux de mon Maître. Il m’a ordonné de conserver la bouche ouverte, l’inconnue me pissait dessus, je m’efforçais d’avaler mais j’eu un haut de cœur, non pas parce que c’était mauvais mais parce qu’il y en avait de trop. Soudain, il n’y eut plus aucun bruit. Il me releva, et nous partîmes enfin de ce lieu glauque. Arrivés dans la voiture il m’enleva mon bandeau, et me tendit une lingette pour essuyer le sperme et l’urine qui coulaient encore sur mon visage
.
– C’est bien, tu es vraiment une bonne salope ! Me dit-il.

Et il me tendit un billet

– C’est quoi ?
– Ben tu as fait la pute, c’est normal .qu’il te paie, non ?

Et il m’a ramené chez moi

Alice

Le club par Pozzi

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J'ai pendant plusieurs mois fréquenté un espèce de club qui organisait des soirées avec humiliation d'esclave. On était une vingtaine de spectateurs, des hommes seuls mais aussi des couples, y compris des couples de lesbiennes. c'était assez cher, un ticket bleu permettait uniquement d'assister, un tiquet rouge permettait de participer mais c'était plus cher. L'humiliation concernait de 1 à 3 filles suivant les séances. Ça commençait de façon classique (si j'ose dire) insultes crachats, pinces, et cravaches et humiliations en tout genre (faire le chien, ramener la balle) puis les filles se faisaient pisser dessus (il n'y avait pas de scato, réservé à des séances spéciales où je n'ai pas eu l'occasion de me rendre) puis après c'était sexe à gogo avec les gens qui avaient un ticket rouge. moi je n'en ai jamais pris, mais une fois un mec m'a gentiment prêté sa femme en me disant que je pouvais lui faire tout ce que je voulais (authentique),Le gars m'a tout de même demandé de le remercier en lui suçant la bite, je ne pouvais pas lui refuser ça. A la fin d'une des dernières séances à laquelle j'ai participé, on a "obligé" les filles à sucer les bites de deux gros chiens. Quel spectacle, je n'avais jamais vu ça, ensuite les deux filles se sont mises en levrette et une assistante est venue les aider à se faire pénétrer par les chiens. Inutile de dire que je me suis branlé comme un sauvage. A la fin de la séance les deux soumises sont venues remercier le public comme au théâtre !.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Lundi 24 janvier 2022 1 24 /01 /Jan /2022 13:23

Un jeu de rôle par Marine et Thibault

Avec Marine on joue parfois à des petits jeux de rôles. Je vais vous raconter celui-là
J’ai demandé à Marine de s’habiller en pute, et moi je fais le vilain maquereau

– Tu me rapportes combien aujourd’hui ?
– Aujourd’hui, je n’ai pas fait grand-chose.
– Salope ! Tu vas être punie !

Thibault Catherine01

Je fais mettre Marine à quatre pattes, puis je lui place un collier de chien autour du cou et je la promène un peu en laisse dans l’appartement, comme elle ne va pas assez vite, je la tire par son épaisse tignasse brune. Elle m’excite dans ces moment-là avec son grand nez et son air de chien battu.

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Je lui enlève son haut et sa jupe, et je lui administre une bonne fouettée sur son gros cul, faut dire qu’elle adore ça !



Thibault Catherine03

Puis sans ménagement je la tire à nouveau par les cheveux, et je l’installe sur la chaise, j’ai dû lui faire mal, je m’en veux un peu alors je la console en lui plaçant son visage contre mon ventre, et en lui faisant sentir la promesse de ce que j’ai, maintenant bien raide, dans ma culotte

.Thibault Catherine04
Thibault Catherine05

Je la ficelle sur la chaise et je lui demande de me sucer pendant que je lui pince le bout des seins, au bout d’un moment je la libère de ses liens mais cette fois ci je l’attache derrière le dossier.Thibault Catherine06

Thibault Catherine07

Finalement je m’assois et je lui demande de me sucer, les mains attachées derrières le dos… mais finalement j’aime bien quand elle se sert de ses doigts alors je lui défais ses liens , me laisse sucer, « normalement » et lui offre un première récompense en lui suçant avec application sa belle chatte bien grasse. Puis je l’encule !Thibault Catherine12

Je souffle un peu, je m’amuse à l’attacher sur la table à l’aide d’une paire de menottes, après lui avoir excite l’anus avec un petit vibro masseur, et je lui demande de me nettoyer mon trou du cul merdeux avec sa petite langue. Toujours bien excité je lui demande encore de me sucer et j’en profite pour lui peloter ses gros nichons que j’adore, et je ne finis par jouir dans sa bouche…Thibault Catherine13

Thibault Catherine14

Marine n’a pas joui et se paluche comme une malade
Quel trip ! Après on est allée au restau comme deux amoureux et encore après on a fait les fous mais de façon un peu plus classique….

(juin 2003)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marine et Thibault
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Lundi 17 janvier 2022 1 17 /01 /Jan /2022 14:49

Pourquoi se marier ? par Honoré Letellier
marquise stamp

Pourquoi se marier
Quand les femmes des autres,
Pour être aussi les nôtres,
Se font si peu prier ? 

Letellier2022

Honoré Letellier dit Telius (1733-1793)
Cet horloger et astrologue fut un précurseur puisque 237 ans avant l’affaire du calendrier maya, il associait déjà l’alignement des planètes à la fin du monde. Réalisant ses démonstrations à l’aide d’un automate truqué, il tenait baraque sur le Pont Neuf à Paris et vendait fort chers des réservations d’abris qu’il était impossible de visiter puisque prétendument situés dans le domaine royal de Satory. Il fut aussi chansonnier et auteur de quelques poésies grivoises

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Honoré Letellier
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