Dimanche 26 septembre 2021 7 26 /09 /Sep /2021 09:20

Maîtresse Cécile par Sylvain Zerberg – 1 – Esclave débutant

Domina

Je me prénomme Olivier. Durant mes études supérieures, j’habitais une chambre que je louais chez Cécile, qui était une amie de mes parents et professeur de math. Cela m’évitait d’avoir à parcourir tous les jours les 50 kilomètres séparant le domicile de mes parents de l’université.

 

Cécile avait 42 ans, 23 de plus que moi, était une grande rousse au physique passe-partout, qui s’habillait de façon très classique.

 

Un jour où elle n’était pas à la maison, je ne trouvais plus mon peignoir qu’elle avait dû mettre au lavage, j’ouvris son dressing dans laquelle un tiroir était mal refermé. Une culotte en fine dentelle en dépassait. Poussé par la curiosité, je regardais et découvrais plusieurs pièces de lingerie assez osées. Du coup je me lançais dans une exploration systématique et fus très surpris de trouver dans son placard de nombreuses paires de chaussures à talon aiguille, des perruques blondes et brunes, toute une collection d’accessoires en cuir, sous-vêtement, combinaison, cravache, fouet, godemichés ainsi qu’une pile de DVD uniquement marqués d’un numéro. Curieux, j’en glissais un dans le lecteur, pour découvrir une suite de scène où on la voyait en guêpière noire, sodomisant à l’aide d’un gode ceinture un homme attaché sur son lit et cagoulé. Sur une autre elle en fouettait sévèrement un autre attaché sur une croix.

 

Sans même m’en rendre compte, j’avais sorti mon sexe et je m’étais masturbé dans sa chambre. Tous les jours, quand Cécile était absente, je visionnais un nouveau DVD en me caressant.

 

Tout allait bien, mais un soir alors que je regardais la télé sans trop m’y intéresser, Cécile m’apostropha.

 

– C’est trop nul ce que tu regardes, j’ai quelques DVD qui devraient t’intéresser !

– Pourquoi pas ?

 

Mais quand je la vis revenir avec l’un de ses DVD numérotés, je fus pétrifié de honte.

 

– Pourquoi tu rougis ? J’ai bien vu que tu avais fouillé dans mes affaires, et hier tu avais oublié un DVD dans le lecteur.

– Je, je… bredouillais-je

– Je me demande ce que tes parents penseront de ton comportement ! Déclara-t-elle d’un air mauvais.

– Je vous en prie, ne faites pas cela. Je vais chercher une autre chambre, et vous n’entendrez plus parler de moi, mais n’en parlez pas à mes parents.

– Je plaisantais, voyons, je n’ai rien d’une maitre chanteuse, après tout c’est de ton âge…

– Je vais quand même partir…

– Ça ne plairait pas d’essayer d’être mon petit esclave ? Comme dans mes vidéos ?

– Je ne sais pas !

– Mais si tu le sais et tu en meurs d’envie, sinon tu ne te branlerais pas devant mes films ! Parce que tu t’es branlé, n’est-ce -pas ?

– Euh…

– Commence donc par te mettre à poil, on va voir ce qu’on peut faire ensemble.

 

Je devais être dans un état second pour lui obéir, comme ça sans rechigner.

 

Lorsque je fus nu, debout devant elle, elle fit une moue déçu en regardant mon sexe mou

 

– Ben alors on ne bande pas devant sa maîtresse ? Agenouille-toi devant moi !

 

Lorsque j’eus obéi, elle posa le pied sur mon bas ventre et s’amusa avec mon sexe, ce qui ne tarda pas à le faire durcir.

 

– Voilà qui est mieux. Chaque fois que je voudrais me servir de toi et que tu ne banderas pas, chaque fois que tu désobéiras ou que tu discuteras mes ordres, tu seras puni. Lève-toi, suis-moi,

 

Elle me guida jusqu’à la cave, où je découvris la pièce que j’avais déjà vue sur les vidéos, ou elle s’amusait avec ses soumis. Je fus rapidement suspendu par les chevilles et les poignets, écartelé sur une croix de métal froid.

 

– Ta bite n’a rien d’extraordinaire, mais elle est quand même jolie, je l’aime bien ! Je la sucerais bien, mais je n’ai pas envie que tu jouisses de suite !

 

Elle se laissa tomber sur un fauteuil, retroussa sa jupe en me révélant son porte-jarretelle rouge, ses bas noirs et sa toison rousse. Ma queue était douloureuse à force de désir, quand elle m’ordonna :

 

– Viens lécher ta maîtresse, esclave.

 

Je tombais à genoux entre ses cuisses et enfoui ma tête sous sa jupe. Sa fente était trempée de désir lorsque ma langue s’y enfonça, et je fis de mon mieux pour titiller son bouton gonflé, alternant les caresses avec de profondes pénétrations de ma langue dans son vagin. Elle avait empoigné mes cheveux et guidait mes mouvements, jusqu’au moment où elle cria en me repoussant violemment du pied.

 

– Quelle surprise ! Tu suces divinement, esclave. Tu as des dispositions, pour un puceau, car tu es encore puceau, non ?

– Oui, maîtresse ! Répondit je, très excité par les événements.

 

C’était faux, mais puisque tout cela était un jeu…

 

Du bout du pied, elle me poussa sur le dos, enleva sa jupe et son chemisier et vint s’accroupir au-dessus de moi.

 

– L’avantage de l’esclave sur le godemiché, c’est qu’il te caresse les seins en même temps qu’il te baise, vois-tu ?

.

Et elle s’empala sur ma bite avec un grand cri. Elle me chevaucha ainsi pendant une éternité, tandis que mes mains fébriles exploraient son corps, faisant durcir les pointes de ses seins, courant le long de son dos, caressant ses cuisses, ses hanches et ses fesses. Un moment elle se retira, je compris alors qu’elle désirait changer d’orifice et c’est maintenant par l’anus qu’elle s’empalait. Elle finit par jouir en gigotant et en criant comme une damnée de l’enfer. Encouragée par ses cris j’augmentais la cadence et jouissais à mon tour.

 

Cécile s’empara de ma bite gluante de sperme et me la nettoya de ma bouche.

 

– Hum, j’adore ! Tu gagnes à être connu, gamin. C’était très bon. A présent, il faut que je fasse pipi, tu vas me servir de chiotte.

– Euh, peut-être pas…

 

Je n’avais rien contre l’uro qui était une pratique sur laquelle je fantasmais sans concrétiser, mais je craignais néanmoins qu’elle ne m’entraîne trop loin.

 

Je ne vis pas arriver la gifle.

 

– Ouvre la bouche !

 

J’eu juste le temps d’éviter que le crachat atterrisse dans ma bouche.

 

– Qu’est-ce qui se passe ? On arrête tout, c’est ça que tu veux ? Me demande-t-elle.

– Il y a des choses que je ne veux pas faire.

– Alors va te faire enculer ailleurs, connard !

 

Complètement dépité, je cherchais mes vêtements et les enfilais.

 

– Tu passeras le bonjour à ta mère, elle aussi c’est une bonne pute, la dernière fois je lui ai fait sucer un black avec une queue énorme pendant qu’un autre lui fouettait le cul avec une branche de céleri.

– Quoi ?

– Ben oui ! Si tu savais le nombre de gens qui ont une vie cachée… Bon nous n’allons pas nous quitter fâchés, viens boire une bière dans la cuisine.

– Ma mère vient se faire fouetter et tout ça ! Je n’y crois pas ?

 

En fait j’étais davantage troublé que choqué, allez donc savoir pourquoi ?

 

– Dommage je n’ai pas de vidéo, elle n’était pas d’accord pour ça, sinon je te l’aurais montré. Une fois il y a une copine qui est venue avec son chien, j’ai demandé à ta mère de sucer le chien, elle a eu l’air d’apprécier.

– Les bras m’en tombent !

– Ramasse-les, ça peut servir.

 

J’avais quelque mal à assimiler les propos de Cécile sur ma mère… Mais elle en ajouta une couche.

 

– Tu as déjà fantasmé sur ta mère ?

– Non, enfin si, un petit peu… bredouillais-je, mais enfin c’est ma mère…

– Parce que, elle, elle fantasme sur toi, mais elle n’ose pas te demander…

– Je rêve !

– Si ça t’intéresse, je peux organiser une petite rencontre…

– Non, non…

– Réfléchis-y quand même, allez suis-moi !

 

Comme un zombi, je suivais Cécile dans la cuisine. Je regrettais déjà mon mouvement de révolte, mais que faire, je ne souhaitais pas me laisser entrainer dans des voies qui ne me disaient rien. Mais aussi pourquoi était-elle adepte du « tout ou rien » ?

 

– Il y a une chose qu’il te faut savoir, avant de partir, la domination est un jeu. L’esclave est libre de s’en retirer quand bon lui simple, mais ce n’est pas lui qui mène la barque, ce serait trop facile. Si je propose une pratique à un esclave et que ça ne lui dit trop rien, il y a une attitude que je ne supporte pas, c’est le refus. On ne refuse jamais sans avoir essayé. Ensuite c’est à moi, suivant les réactions de l’esclave de gérer la situation. C’est moi qui gère, pas lui !

 

Elle était en train de me tendre une perche et j’en étais heureux.

 

Maintenant, tu as le choix, soit tu t’en vas et nous ne reparlerons plus jamais de ces petites fantaisies, soit tu retournes à la cave, tu te déshabilles et on reprend là où nous en étions restés !

 

– Je retourne à la cave ! Lui indiquais-je et cette fois sans hésitation..

 

Elle me fit attendre dix minutes, jouant ainsi avec mes nerfs.

 

Quand elle revint, elle me toisa et empoigna mes tétons qu’elle tordit fortement. Cette action eut pour résultat immédiat de me faire bander très fort.

 

– Ouvre ta bouche, chien !

 

J’ai faillir dire non, mais me rappelait ses propos et reçu son jet de salive en pleine bouche.

 

– Très bien et maintenant, la douche….

 

Elle me fit coucher sur la partie carrelée de son donjon, s’accroupit légèrement et se mit à pisser d’abondance.

 

– Ouvre la bouche, esclave, goute à ma bonne pisse.

 

J’essayais, découvrant un goût assez bizarre, pas trop génial mais pas désagréable non plus. Voulant montrer à ma maîtresse que j’étais un bon esclave et que j’avais compris sa façon de fonctionner, j’en avalais une bonne rasade.

 

– Ben voilà quand tu veux ! Dommage que je n’aie pas envie de chier, on verra ça demain matin.

 

Oh, non ! me dis-je, mais je me rassurais aussitôt : »quand elle verra que ça ne me plait pas, elle n’insistera pas  »

 

– Tu me réveilleras demain à 8 heures précises, tu m’apporteras mon petit déjeuner au lit, complétement à poil, je veux du café, du jus d’orange et des tartines grillées avec de la confiture. Maintenant tu as quartier libre, si tu veux aller faire un tour dehors, ne t’en prive pas.

 

Le lendemain je la réveillai comme prévu. Elle s’assit dans le lit et je pu ainsi contempler de nouveau sa belle et opulente poitrine. Du coup je mis à bander.

 

– Hier j’ai oublié de mettre ma petite culotte au sale, elle est là-bas sur la chaise, prend-là !

 

Je le fis, elle me demanda de la sentir, puis de la lécher, je me surpris à bander en le faisant

 

– Ah, j’ai oublié de te dire, à 9 heures la femme de ménage va arriver, je vais la punir, tu assistera à la punition.

– La punir pourquoi ? Demandais-je

– Est-ce que je t’en pose des questions, je n’ai pas besoin de motif pour punir qui je veux ! Reste là et mets-toi à genoux pendant que je déjeune.

 

Quand elle eut fini son petit déjeuner, elle se leva, je la voyais donc pour la première fois complètement nue.

 

On se dirigea vers les toilettes, elle s’assit sur la cuvette et se mit à uriner, elle s’amusa à se pisser sur les mains et à me les faire lécher. Je commençais à bien apprécier ce gout particulier.

 

– Et maintenant caca ! Dit-elle.

 

Moment fatidique, comprendra-t-elle que la chose ne me plaira pas ?

 

Elle pousse, j’entends la merde tomber dans l’eau dormante avec un grand floc.

 

– Je n’ai pas chié à fond, je me réserve pour la femme de ménage. Mais ne t’inquiète pas, on va faire ça progressivement ! Dit-elle en se relevant, essuie-moi le cul.

– Avec le papier ?

– Non, avec ta langue.

 

Si je refuse, me dis-je, elle va me jeter, il me faut donc procéder autrement. »

 

Il faut tout simplement qu’elle constate que la pratique ne me plait pas. Et là se pose un problème idiot : Comment pourra-t-elle juger de ma réaction puisqu’elle me tourne le dos ?

 

Ne sachant comment gérer la situation, je me dit qu’il me fallait faire confiance à mes qualités d’improvisation.

 

Cécile écarte ses globes fessiers afin que ma langue puisse accéder facilement à son trou du cul. J’approche mon visage, ça sent la merde, mais ça n’a rien de pestilentiel. Il n’y a pas grand-chose à essuyer, juste quelques taches marrons et ça me rassure.

 

Je respire un bon coup et j’approche le bout de ma langue de la première tache en fermant les yeux. Je lèche et surprise, là où je pensais trouver de l’abominable, je ne trouve qu’une saveur assez âcre mais qui n’a rien de repoussante, du coup je lèche mieux et je réouvre les yeux.

 

J’ai tout nettoyé, Cécile a maintenant le cul propre comme un sou neuf… et même que je suis fier de moi !

 

– Ça t’as plu, esclave de lécher la merde de ta maîtresse ?

– C’était délicieux ! Répondis-je.

 

J’en rajoutais, délicieux n’était sans doute pas le mot approprié mais j’étais tellement content de m’être acquitté de cette épreuve que je redoutais.

 

– Demain nous essaierons d’aller plus loin !

 

J’ignorais ce qu’elle entendait précisément par-là et n’était pas vraiment certain de pouvoir la suivre.

 

Cecile (1)– Viens, tu as droit à une petite récompense.

 

Elle se leva, fouillant un long moment dans un placard, dans mon dos. Quand elle se retourna, je l’aperçu dans la glace, nue, la taille ceinte d’un gros godemiché noir, une cravache à la main.

 

– Tends-moi ton cul, morue ! Ordonna-elle en me cinglant de sa cravache.

 

Elle me cravacha les fesses plusieurs fois me laissant échapper des cris de douleur puis elle me fit me mettre à quatre pattes. Elle s’agenouilla derrière moi, posa les mains sur mes fesses, et je sentis son doigt me pénétrer l’anus et s’y agiter frénétiquement. Mon dieu que c’était bon, mais ce n’était rien à côté de qui suivit : le doigt fut remplacé par le gland de plastique du gode qui força doucement mon petit cul. Elle enfonça par petits coups, et je criais de douleur et de surprise. Lorsque le gode fut complètement entré dans mon cul, elle resta un moment sans bouger, et commença à donner de petits coups de reins. Je constatai avec surprise que la douleur avais disparu rapidement pour faire place à un plaisir trouble. Après quelques minutes de ce traitement, je me mis à haleter, puis à gémir, de plus en plus fort à mesure qu’elle accélérait son mouvement. Et sans me toucher, je sentis mon sexe exploser et je m’effondrais en répandant mon sperme sur la moquette.

 

– Cochon, nettoie tout ça avec ta langue !

 

Je m’exécutais tant bien que mal.

 

– Dis-moi, ça t’as plus, mon gode dans ton cul de pédé ?.

– Oh oui, maîtresse ! Vous pourrez me le refaire quand vous voudrez.

– Tu es un enculé maintenant !

 

A quoi joue-t-elle ?

 

– Je n’ai pas entendu ta réponse !

– Oui, maîtresse

– Quoi « oui, maîtresse », je veux t’entendre dire que tu es un enculé.

 

Si ça lui fait plaisir…

 

– Je suis un enculé, maîtresse.

– Et encore, ce n’était qu’un gode, imagine, quand je te ferais prendre par une vraie bite, une bonne bite que tu aurais bien sucée avant. Dis-moi que ça te plairait ?

 

Horrifié par cette perspective, je me souvenais néanmoins de sa façon de procéder « On ne refuse jamais sans avoir essayé. Ensuite c’est à moi, suivant les réactions de l’esclave de gérer sas réactions. »

 

– Je ne sais pas, mais je suis prêt à essayer !

– Tu ne sais pas ce qu’on va faire, je vais te prendre en photo avec une bonne bite dans la bouche, et je la montrerais à ta mère. Ça va bien l’exciter et ensuite tu pourras la baiser.

 

Elle est folle !

 

– Penses-y en t’endormant mais si tu te branles évite de tacher les draps !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Mercredi 15 septembre 2021 3 15 /09 /Sep /2021 11:05

Les gros seins de ma prof par Belle-Cour

BigsTits

A la fin de mes études, j'avais une prof d'anglais sur laquelle j'ai toujours fantasmé. 

 

C'est une de ces vieilles filles de 45 ans, du genre qui vit avec sa sœur ou sa mère. On la disait lesbienne, le gens disent toujours des choses. Elle n'est pas vraiment belle mais je lui trouvais quelque chose de très excitant. Petite, brune bien en chair avec de très gros seins et de grosses fesses. Elle portait souvent des jupes et pour son poids, elle avait des jambes superbes. Toute la graisse était dans les seins et dans les fesses. J'adore ça. 

 

Cela faisait deux ans maintenant que j'avais terminé mes études, mais je pensais toujours à elle lors de mes masturbations et autres branlettes. Je décidais donc de reprendre contact avec elle. Je lui ai alors envoyé une lettre de rendez-vous en spécifiant que j'étais un ancien élève qui l'avait toujours aimée et que je rêvais de la revoir et de lui parler. Je l'attendais donc au bar dudit rendez-vous et, accablé par la chaleur de ce brûlant été, je sirotais nerveusement un coca bien frais.

 

Et enfin, contre tout espoir elle arriva et observa chaque client quand son regard tomba sur moi. Elle portait une jupe bleue qui descendait au-dessus des genoux et un chemisier qui ne mettait pas assez ses seins en valeur à mon goût. J'étais très gêné et ne savais où me mettre. Elle s'assit à ma table et me demanda si c'était bien moi qui avait écrit : 

 

- Hum... Oui, c'est moi qui vous ai donné ce... rendez-vous.

- Je ne pensais pas du tout à vous... je dois dire que... c'est bien la première que l'on me fait ce genre de choses. 

- J'espère que ça ne vous pas choqué ou quelque chose du genre parce que, sachez que je regrette un peu... je me sens un peu ridicule. 

- Mais non, au contraire, c'est très flatteur, je suis heureuse. Je craignais que ce ne soit une blague. 

 

La discussion s'égara un peu, nous parlions de choses et d'autres de manière très décontractée, à ce point que nous décidions de nous tutoyer. Puis elle prononça enfin ces mots tant attendus : 

 

- Tu voudrais venir chez moi, nous serons plus à l'aise.

 

Quelques minutes plus tard, nous entrions chez elle. Je m'assit sur le canapé et après m'avoir servi une boisson, elle s'installa à côté de moi. Sa jupe remonte un peu et je ne peux m'empêcher de regarder . Elle me dit ;

 

000Chubby- C'est vrai alors, je te plais ?

 

Je mets alors ma main sur sa cuisse et l'embrasse fougueusement, nos langues se tournant autour. Je fais remonter ma main jusqu'à ses fesses si désirées et les caresse. Elle s'écarte alors et commence à déboutonner son chemisier. Oh mon dieu, quels beaux seins ! Le soutien-gorge trop petit les fait déborder. Je me relance alors dans un baiser et en profite pour lui enlever. Ses seins sont mieux que dans mes rêves, les mamelons foncés et larges avec les tétons courts. Ils sont si lourds qu'ils tombent au-dessus du nombril. Je commence à en sucer un, comme un bébé qui tète et je masse en même temps l'autre. Mon sexe est énorme. Elle le libère donc, d'abord le jean puis le slip et elle peut lors constater l'effet qu'elle me fait. Elle passe sa large langue sur mon membre dressé et je suis déjà au bord de l'explosion. Elle s'enlève alors sa jupe et sa culotte et frotte son gros derrière contre mon visage en disant 

 

- Tu l'aimes hein mon gros cul ?

- Oh ! Oui !

- Tu peux employer des mots vulgaires, ça m'excite !

 

Je réponds donc par l'affirmative en la traitant en prime de salope et de morue et l'agrippe par les fesses pour ramener sa chatte poilue contre ma bouche. Elle est debout, je suis à ses pieds en train de passer ma langue sur ses petites lèvres, les faisant rentrer légèrement de temps en temps. Elle, elle gémit, quelques " han ", quelques " oui.. ". 

 

Je sens le chaud liquide couler sur mes lèvres, il a un goût fort légèrement teinté de celui de l'urine. 

- C'est bon tu aimes ?

- Pisse-moi dans la bouche, ma salope.

- Mais bien sûr, son salaud !

 

Elle était délicieuse sa pisse, j'ignore ce qu'elle avait bu, mais j'étais au anges.

 

Je reprends mon travail de lèche qui m'excite au plus haut et je ralentis au maximum le moment de sa jouissance, titillant son clitoris bien bandé. Enfin, elle et secouée de spasmes, hurlant de plaisir, elle tombe à genoux faisant remuer ainsi ses deux énormes seins. Je suis plutôt fier du résultat et je m'assied sur le tapis, écartant les jambes pour l'inviter à me faire jouir à mon tour (à me tailler une pipe quoi). Reprenant enfin ses esprits, elle s'approche à quatre pattes, ses deux seins pendants touchant presque le sol et commence à enfourner mon sexe dans sa bouche. Elle commence alors un va et vient, enroulant sa large langue autour de mon membre. Je ne mets pas longtemps à jouir, au moment où elle me titille le bout du gland du bout de sa langue, je lui explose au visage et me laisse tomber sur le sol.

 

- T'es pas déjà à bout de force ? 

- Non, non, je reviens à l'assaut !

 

Elle profite de ce cours répit pour avaler le sperme de son visage et lécher mon sexe. Quelle salope ! Ce geste me redonne du tonus et juste au moment où j'allais me relever pour remettre ça, elle enserre mon sexe de son énorme poitrine et commence à me masturber de la sorte. Je la laisse faire quelques instants puis, je lui agrippe les seins et les malaxe un moment avant de la mettre sur le dos. Je lui lèche et lui mordille longuement ses gros tétons et je commence à la pénétrer avec violence. Mes mouvements rapides font vibrer tout son corps, de ses jolis petits pieds à ses magnifiques seins en passant par ses grosses fesses. Approchant de l'orgasme et voulant faire durer le plaisir, je ralentis mes pénétrations jusqu'à stopper carrément laissant mon membre dans son vagin. Elle en profite pour se caresser l'anus d'un doigt. 

 

- T'aimes ça, petit pédé ?

- Je ne suis pas pédé !

- N'empêche que tu aimes bien mon doigt ! 

- Tu peux même en mette deux !

 

Après l'avoir traité de grosse dégueulasse, je reprends le pilonnage de sa chatte, puis à sa demande je l'encule jusqu'à ce que je déverse ma semence en elle. Elle jouit en même temps que moi et nous restons quelques instants ainsi. Je me retire enfin et commence à me rhabiller. Je l'embrasse et je pars lui promettant de la rappeler... 

 

…ce que je fis, bien sûr.

 

Fin

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Mardi 14 septembre 2021 2 14 /09 /Sep /2021 15:30

Le bain par Claire

Stamp MD

Je me touchais dans mon bain à quatre pattes et par l'arrière pour faire durer mes envies. 

 

La porte s'ouvre !

 

- Eh bien si tu aimes ça, vas-y ne te gênes pas ! Me dit ma mère d'un ton de reproche assez feint

 

Je m'arrête mais elle me prie de continuer.

 

- Tu aurais pu m'appeler quand même…

- Oui bien sûr, mais toute seule ce n'est pas mal non plus !

 

Ma mère déboutonne et baisse son pantalon me présentant son sexe. 

 

- Avance ta langue, petite pute !

 

Je m'applique à la servir, elle est encore sèche. Alors je remonte ma salive dans ma bouche pour l'étaler sur sa surface intime. Son fruit devenant plus juteux, je pose mes mains sur ses cuisses pour presser son sexe tout entier dans ma bouche. Je la titille doucement, frôle le dessus de son clito en faisant des ronds pour le rendre fragile et électrique. Je vais de plus en plus vite de cette manière et je sens bientôt ses jambes se raidir et parfois son ventre trembler. Mais elle ne dit un mot. Alors je continu. Je ne presse pas trop fort ma langue pour agacer son corps. Sa main se pose sur ma tête pour l'appuyer, mais je résiste. 

 

Alors elle s'ouvre et pose un pied sur le rebord de la baignoire. Sa chatte est toute dépliée, rouge et gonflée. Je pose mon doigt sur son vagin et y entre un doigt. Mon mouvement de va-et-vient lent lui plait. Je la regarde, elle me fait le signe de deux. Alors je mets un second doigt, le fait glisser de haut en bas doucement pour bien la détendre. Puis j'avance de nouveau mon visage sur son sexe ouvert et le titille de ma langue. Mes doigts entrent et sortent, mais de façon plus profonde. Je remonte mes doigts en elle de façon droite et redescends en crochet pour trouver un éventuel point g. le mouvement en elle la fait bouger. Ses hanches dansent à peine, mais je le vois. Alors je vais plus fort et surtout plus vite. Ma langue se détache et frôle très rapidement. Je la sens faiblir et me tirer les cheveux. Elle joui. Je sens un liquide chaud entourer mes doigts. Elle me regarde satisfaite 

 

- Sors de là ! 

 

Et m'assied au sol, adossée à la baignoire, ouvre mes cuisses et s'agenouille face à moi. 

 

- A moi de jouer !

 

Elle regarde mon sexe, passe son doigt le long. Sa caresse me vient au ventre. Alors elle se couche en avant et boit mon sexe. Elle boit et boit jusqu'à ce que mes jambes s'ouvrent entièrement. Sa langue chaude et douce passe partout doucement et longuement avant de s'arrenter sur mon clito qu'elle aspire en avant puis arrière, comme si elle me pipait.. Le chaud me monte au corps et des images crues de sexe me montent dans l'esprit. Je l'ai oubliée et suis ailleurs, au milieu de mes fantasmes déchaînés.

 

Elle me tire alors les jambes et me couche, s'agenouille au-dessus de moi et m'offre encore son sexe. Elle bouge au-dessus de mes lèvres et contrôle parfaitement ses mouvements pour gérer son plaisir. Mon sexe est gonflé et redemande. Sans hésiter je passe ma main sur mon ventre et descend me toucher. Elle est en vue plongeante sur mes actes et je sais que ça va l'exciter de me voir me toucher. J'écarte mes lèvres exprès exagérément avec une main pour qu'elle voit bien et me caresse de l'autre. Ses hanches remuent plus vite et il me semble presque l'entendre gémir. Je joui sans un mot, mais me touche encore pour elle.

 

Lorsque ses tremblements convulsifs se sont terminés, elle se relève et me tend la main. Je la prend pour me lever.

 

- Je vais prendre mon bain avec toi on en a grand besoin"

 

Et elle entre dans l'eau .

 

Je la suis. La baignoire est grande, on peut y être à deux sans problème. L'une face à l'autre, les jambes relevées, chattes offertes, encore rouges de plaisir. On parle un moment, je ne sais plus de quoi. Elle se lève soudain et s'écarte les lèvres, je comprends qu'elle va uriner, j'ouvre la bouche et me régale de ce délicieux breuvage tiède au goût particulier. Elle me caresse les seins, me demande de lui pincer les siens, nous rions de bon cœur envahies par le plaisir, nos bouches se rapprochent et nous nous embrassons profondément.

00Claire bain

Mais le bain se refroidit et elle prend le soin de faire couler de l'eau chaude par le tuyau de la douche. Je lui passe du savon sur le corps et la rince. Elle se retourne et lui frotte le dos. A mon tour je me retourne et je sens ses mains glissantes de savon s'étaler sur moi. Elle passe ses mains sous mes bras, savonne mes seins en les pressant un peu, puis plus fort. Sur mon ventre, elle descend enfin sur mon sexe encore fragile et sensible. Elle prend entre son pouce et l'index mon clito et le titille comme un téton, doucement. Je me cambre, je ressens une petite douleur mais agréable. Elle se recule de l'eau et avec son autre main tire sur mes fesses en arrière, alors je me mets accroupie, mains contre le mur pour sentir sa main caresser mon anus 

 

Elle prend le jet d'eau et ôte la pomme de douche. Le jet assez puissant est sur mon anus serré. je me demande ce qu'elle veut. Elle déplace le jet sur mon sexe, et le pose sur mon clito. 

 

- Tiens-le

 

 Alors je l'applique sur moi, jusqu'à trouver un angle délicieux. Je commence à sentir l'intérêt de la chose et à oublier ses doigts se promenant sur mon cul dépassant de l'eau tant je suis cambrée. Je mouille et ressens une excitation démesurée à sentir son regard derrière moi me trémousser de plaisir. je me retient pour faire durer mon plaisir .... 

 

Je sens alors son doigt entrer en moi. Elle me sodomise de l'index doucement. Je la sens délicate et m'ouvre un peu. Au bout d'un moment je suis si à l'aise que je fais le mouvement avec elle. Elle entre alors deux doigts furtivement et me sodomise carrément. Le jet m'affole le sexe et je me sens ouverte et dilatée à tout. Je joui dans un cri de plaisir qui résonne sur le carrelage de la salle de bain.

 

Une fois mon souffle repris, je me retourne et la regarde me sourire. Elle s'agenouille à son tour face à moi en entrouvrant les lèvres de son sexe avec ses mains. Alors je dirige le jet sur son sexe et la regarde se cambrer et se trémousser dessus, les yeux fermés se mordillant la lèvre. très vite, son corps perd toute tenue et je la vois jeter son visage en arrière pour jouir dans un oui discret.

 

De nouveau la porte s'ouvre.

 

- Ben alors, les salopes on se donne du bon temps ? Dit mon père en sortant son sexe bandé de sa braguette.

- On le suce à deux ? Me propose ma mère !

- Bien sûr !

 

fin

 

D'après un texte signé paillette75 datant du siècle dernier

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Claire N
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Lundi 13 septembre 2021 1 13 /09 /Sep /2021 15:38

Fantasme inavouable par Mathilda Stenberg

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Bonjour, moi, c'est Catherine. Aujourd'hui c'est mon anniversaire. Mon fils est parti en vacances chez sa grand-mère. Nous sommes seuls à la maison mon époux et moi. Seuls et plein d'idées coquines. Pour commencer, ce matin je me suis habillée sexy : moulée dans une petite robe de jersey qui souligne mes formes pleines. Mes seins sont prêts à jaillir du profond décolleté. Sous ma robe courte, je ne porte pas de culotte. C'est dans cette tenue que je prépare le brunch. En jouant à la soubrette sexy qui ondule du popotin. Dans le fauteuil en face de moi, Olivier me regarde et me fait des compliments un peu grossiers. 

 

- T'as vraiment l'air d'un pute, habillée comme ça !

- Tu crois mon chéri ?

- Oui, une morue, une poufiasse, un garage à bites.

 

C'est fou ce que j'aime la grossièreté dans certaines situations. Il relève ma robe et embrasse mes fesses.

 

- Je t'enculerais bien comme la traînée que tu es !

- Oh, oui,, mon chérie.

 

Un coup de sonnette nous tire de nos jeux érotiques.

 

- Va donc ouvrir, ma salope ! Mme dit Olivier

- Quoi ? Moi.. dans cette tenue !

- Bien sûr, quand on veut jouer les putes, il faut assumer !

 

La sonnette continue à tinter, avec insistance et je me décide à ouvrir, un peu gênée de me montrer aussi peu habillée à un inconnu.

 

Mais l'homme sur le palier n'est pas un inconnu. C'est François, un collègue de mon mari, un beau garçon pour lequel j'ai d'ailleurs un faible avoué. Un sourire aux lèvres, il me détaille. Moi je m'éclipse vite à la cuisine, sous prétexte de leur préparer des boissons. J'entends les deux hommes et je sursaute en écoutant leurs propos :.

 

- J'ai besoin de fric ces temps, alors si tu veux baiser ma femme, c'est 400 balles.

 

L'autre tente de marchander.

 

- Ecoute, c'est à prendre ou à laisser. Pour ce prix, je te la cède pendant trois heures… Tu verras, tu en auras pour ton argent !

 

Quand je les rejoins au salon, l'affaire semble conclue. Je ne sais si je vaux deux chameaux ou trois vaches laitières, mais les deux compères semblent satisfaits de leur affaire.

 

Le collègue d'Olivier soulève ma jupe et caresse ma toison. Il aurait pu demander quand même ! Je ne suis pas un objet.

 

Du coup je m'éclipse dans la cuisine, mais Olivier me rappelle trois minutes après. Je reviens donc.

 

- Je suis désolée, me dit François, je me suis laisser aller…

- C'est bon, on ne va pas en faire un plat.

- Faut dire que ton mari m'a fait une proposition farfelue et moi comme un con, j'ai prix ça au pied de la lettre.

- La proposition était sérieuse, mais j'aime bien qu'on me demande mon avis !

 

Il ne sait plus quoi dire le François ! Alors j'ajoute, très chatte.

 

- Mais si tu m'avais demandé mon avis, avant de me tripoter, j'aurais sans doute dit "oui".

- Ah ! Et maintenant tu dis quoi ?

- Je dis "oui"

- Et pour ce prix-là, elle te fera tout ce que tu veux ! surenchérit Olivier.

- Sauf ce que je ne veux pas ! Nuançais-je

 

Et pour mieux tenter son client, il relève ma jupe pour lui dévoiler mon derrière.

 

Les deux hommes se lèvent et François commence à caresser mes seins. 

 

- Top là, dit-il en tendant la main à mon mari.

- Affaire conclue.

 

Cette situation étonnante me met dans tous mes états. Mon fantasme enfin se concrétise, je suis une putain.

 

L'homme me saisit par la main et je reprends mes esprits. Je le guide dans ma chambre, jusque vers l'armoire remplie d'accessoires érotiques.

 

Je retire mes escarpins et ma robe. Nue et tremblante, je me présente devant lui. D'une main il caresse mes jolis seins, tandis que de l'autre il titille mon clitoris. Je mouille déjà et mon petit bouton durcit.

 

Il me fait monter sur le lit où je m'installe à quatre pattes. Il caresse ma croupe, il écarte mes fesses, me lèche le trou et y glisse un doigt mouillé de salive. Je frémis de plaisir. Alors doucement il y enfile un petit godemiché qu'il fait aller et venir. Puis il me demande de m'installer sur sa bonne bite en érection. L'opération est difficile. Je dois tenir le petit olisbos à l'intérieur de mon anus et en même temps m'accroupir sur son pieu. J'ai de la peine à maintenir toutes ces queues à l'intérieur, mais après quelques tâtonnements, je trouve enfin la position adéquate. L'anus rempli par le gode et la chatte travaillée par la grosse queue de François, je jouis comme une folle. Il ne tarde pas à faire de même et me tends sans un mot sa queue maculée de sperme. Je m'empresse de la nettoyer, j'adore avaler du foutre !

 

On souffle quelques minutes. Mon mari nous rejoint. Il nous apporte quelques rafraîchissements. Je suis toujours sur le lit, avec mon gode profondément planté dans le derrière. Mon mari me regarde à peine, il s'adresse à son collègue :

 

- Qu'est-ce que tu attends pour l'enculer cette chienne ?

- J'y pensais mais j'aimerais bien qu'elle me lèche le cul avant !

- T'as entendu, la pute ? Mon collègue veut que tu lui lèche le cul.

 

Il se met en levrette pour me faciliter l'accès et je lui lèche la rondelle.

 

- Quelle salope ! Quand même commente mon mari ! Elle me fait bander cette morue !

 

Du coup le voilà qui se déshabille et qui se met à se branler.

 

- Tu en as une belle queue ! Lui fait remarquer François.

- Pourquoi ? Elle t'intéresse, T'aimerais la sucer ?

- Pourquoi pas, juste un peu comme ça !

 

Je pensais qu'ils plaisantaient mais non, François prend dans sa bouche la bonne bite d'Olivier et finit par la faire cracher ! Je rêve ou quoi ?

00Catherine 

C'est mon tour de me mettre en levrette, je cambre bien mon popotin, François m'encule, il en a une plus grosse que celle de mon mari et l'introduction est légèrement douloureuse, après ça va, il me fait jouir plusieurs fois et il explose dans un spasme. 

 

Une nouvelle fois il me donne sa bite à sucer. Elle sort de mon cul, ais au point où j'en suis…

 

Mais ce n'était pas fini !

 

- Viens, on va la rafraichir ! Dit mon mari à son collègue. Non toi la pute te ne re relève pas tu nous suis à quatre pattes dans la salle de bain.

 

Et c'est en cœur qu'ils m'arrosèrent tous les deux de leur bonne pisse. Je trouve que celle de mon mari à meilleur goût que celle de François

 

Je me sens humiliée et, en même temps, je suis très ravi de ce qui vient de se passer. Depuis le temps que je voulais réaliser mon fantasme de faire la pute, mon mari me l'a fait réaliser, c'est un chou !.

 

Nous nous sommes douchés et nous sommes allé tous les trois au restaurant continuer de fêter mon anniversaire. Merci les garçons !.

 

Fin 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Samedi 11 septembre 2021 6 11 /09 /Sep /2021 17:50

Clara, la vampire par Léna Van Eyck – 17 – La reine des vampires

Clara v

– Si vous disparaissez de la circulation, quelqu’un va s’inquiéter ? Demande Sidonie aux filles.

– Moi, je suis partie de mes chez mes parents il y a un an, alors… Répondit Cynthia

– Tu ne leur donnes pas de nouvelles ?

– Non !

– Et toi, Na Ying ?

– Je suis orpheline, j’ai quitté ma famille d’accueil, dès fois je passe leur faire un petit bonjour, mais c’est tout.

– Ils savent que tu habitais avec Aurélien ?

– Non, je ne leur parle pas de ça !

 

Donc de ce côté tout va bien. Cynthia est un vraie vampire qui a appris à se transformer, on va donc l’emmener avec nous.

 

Pour Na Ying c’est plus compliqué, elle est incapable de voler, elle finira par devenir vampire, mais pas de suite, ça peut prendre des mois, voire des années, mais elle le deviendra c’est inexorable. De plus si personne ne lui pompe le sang, elle va finir par avoir des troubles… Lui donner l’adresse du Clos Pinette et lui demander de nous rejoindre ? Voilà qui n’est pas sans risque…

 

– Je vais prendre le train avec elle ! Me propose Sidonie.

– C’est quoi « le train » ?

– Oh, là là, t’as encore besoin de pas mal de cours de rattrapage, toi !

 

Comment elle me parle !

 

– J’espère qu’il y a des trains de nuit, sinon on fera du stop. Ajoute-t-elle.

– C’est quoi « du stop » ?

– Mais attendez, j’ai une moto ! Nous confie Na Ying

– C’est quoi « une moto » ?

 

Ben voilà il y a toujours une solution à tout ! reste Aurélien. Pas du tout envie de vampiriser ce mec. Na Ying intervient.

 

– Laissons le tranquille, il n’est pas dangereux, que veux-tu qu’il aille raconter aux flics : qu’il a rencontré des vampires alors qu’il s’amusait à des jeux salaces au Père Lachaise à une heure du matin et que suite à cette rencontre sa copine s’est transformée en chauve-souris. Ils vont le prendre pour un dingue.

– O.K, on le laisse tranquille.

– Euh et Sylvana ?

– Qui c’est Sylvana ?

– Ma copine, elle voulait devenir vampire…

– Eh bien, tu reviendras la chercher dans un mois ou deux, mais pour l’instant on s’en va !

 

On est allé se calfeutrer en attendant le nuit suivante, puis n’ayant aucune raison de s’éterniser, on est parti, Na Ying et Sidonie en moto, Cynthia et moi en chiroptères.

 

Jeudi 23 avril

 

A la DCPJ, c’est la confusion, car si le soulagement d’en avoir fini avec les deux dangereux récidivistes provoque une certaine euphorie, celle-ci reste teintée d’interrogation et de dépit.

 

– On a été super mauvais dans cette affaire, la police n’a rien fait du tout, il faut qu’on sorte quelque chose à la presse qui nous valorise un peu. Quelqu’un a une idée ? Demande le chef de cabinet du ministre.

 

Non, personne !

 

– La vidéo-surveillance ?

– L’angle est mauvais, on voit deux personnes, sans doute des femmes, balancer les têtes dans la benne, On a pu les pister jusqu’à leur véhicule, une Audi noire; la plaque est illisible.

– On peut pister l’Audi sur les vidéos ?

– On a essayé, ça ne donne rien, il y a pas mal de caméra en panne…

– Et en remontant le temps ?

– Pareil.

– Bon je suppose que le travail a été fait par des professionnels et qu’on ne trouvera pas d’empreintes. Et le mobile, c’est quoi le mobile ?

– Peut-être que ces deux types finissaient par donner une mauvais image de toute la sphère gothique…

– Arrêtez de dire des conneries, la mouvance gothique a entièrement été passée au peigne fin, ce sont des doux dingues à moitié camés, incapables d’aller couper la tête de quelqu’un.

 

Ce en quoi il se gourrait complétement, mais ceci n’est qu’une parenthèse.

 

– Bon, conférence de presse à midi, je vais préparer un mémo pour le ministre, ceux qui ont des idées géniales peuvent m’envoyer des messages.

 

Et c’est sans grande conviction que le ministre lu ce que lui avait préparé l’un de ses proches conseillers :

 

– Cette nuit, François-René Couillard et Bertrand Piquette, ont été formellement identifiés par deux gardiens de la paix différents dans le secteur Beaumarchais-Amelot-Bastille, ceux-ci avaient instruction de ne rien tenter, mais de nous prévenir d’urgence. Aussitôt un dispositif policier s’est mis en place, sans que l’on parvienne à repérer ces individus. Une fausse information nous a malheureusement fait ensuite déplacer le dispositif vers Richard-Lenoir. Une demi-heure plus tard un appel anonyme au commissariat local nous informait que les têtes découpées des deux individus avait été jeté dans une benne en haut de rue Amelot. Dans l’état actuel des choses nous pouvons dire trois choses : D’abord un grand soulagement devant cette fin de cavale, ensuite je remercie les services de police qui grâce à leur vigilance et à un travail de terrain acharné ont réussi à les localiser. Quant à leur exécution cela reste pour l’instant un mystère mais la police travaille afin de tenter de reconstituer ce qui s’est passé. Non, non pas de question, quand nous en sauront davantage, vous en serez informé.

 

Et le ministre quitta la salle de presse. S’en suivit une brève réunion avec les hauts responsable de la police.

 

– On en va pas continuer à mobiliser tout ce monde maintenant que l’affaire est terminée, on va attendre une semaine pour être sûr que personne ne va prendre le relais de ces deux crétins, et pour enregistrer une éventuelle revendication. Et ensuite on boucle le dossier, on s’est assez ridiculisé comme ça.

– Ces découpeurs de têtes représentent peut-être un danger potentiel ! Osa quelqu’un.

– C’est bien pour ça qu’on attend une semaine, mais pas plus !

– Concrètement on fait quoi ?

– Mettez une équipe restreinte sur le coup… pendant une semaine.

– Et si à ce terme si on a rien trouvé, il faudra bien qu’on dise quelque chose.

– On trouvera bien, et si on ne trouve pas on n’en mourras pas.

 

On est arrivé au clos Pinette avec Cynthia vers 10 heures et demie du soir. Je leur présente la nouvelle recrue et les avertis de l’arrivée imminente de Sidonie et d’une autre nouvelle venue. J’explique ensuite en deux mots ce que nous avons fait à Paris sans trop m’attarder sur les détails.

 

Mais justement, ces messieurs dames, les détails ils en veulent. Sont bien gentils mais ils sont fatigants parfois !

 

Marie-France suggère alors que l’on fasse une petite fête pour arroser tout ça et souhaiter la bienvenue aux nouvelles… et puis ajoute-t-elle :

 

– Tu pourras mieux nous raconter tout ça.

 

Sur ces entrefaites, Sidonie et Na Ying arrivent. Bisous, bisous, présentations. On débouche le champagne, on remplit les verres, on trinque, on boit… Une bouteille ne suffit pas, on est quand même neuf, sept femmes et deux hommes, on en débouche une autre…

 

– Elles sont trop mignonnes, ces petites nouvelles ! S’exclame Marie-France l’œil salace.

 

Je la vois venir, la nympho ! Mais après tout pourquoi pas ?

 

– Mettez-vous donc à poil, je crois que cela va intéresser la petite dame ! Proposais-je.

 

Elle obtempèrent sans broncher !

 

– Oh, mais, elles ont le cul tout rouge ! Remarque Marie-France qui est très observatrice.

– Et alors t’es jalouse ! Rétorquais-je.

 

Tout le monde a tendance à s’approcher, je crains un peu que ça tourne au grand n’importe quoi. A moi donc de cadrer tout, ça. Après tout n’est-ce pas moi la reine des vampires ?

 

– Ecoutez tous, je crois que tout le monde a envie de s’amuser ici ce soir, alors d’accord nous allons nous amuser. Mais en ce qui concerne ces gentilles demoiselles, tout le monde aura l’occasion de flirter avec elles si toutefois elles le désirent. Mais pas de précipitation, on a le temps, nous sommes des vampires, nous avons l’éternité devant nous Je propose donc que Marie-France commence par s’occupe un petit peu d’elles, ensuite on verra.

 

Les deux filles s’approchent de Marie-France. Celle-ci les caresse, fous ses mains partout, pince les tétons…

 

– Alors les filles, est-ce que vous avez déjà baisé avec une vieille salope ?

– Non, mais on très envie de le faire, vous êtes une belle femme ! Répond Cynthia.

– Alors vous allez me déshabiller, toutes les deux, sans vous pressez et profitez-en pour me caresser.

 

Evidemment c’est l’attraction, tout le monde mate.

 

Les deux filles enlèvent toutes les fringues de la belle mature la laissant en sous-vêtements. Et tandis que Na Ying lui fait glisser sa culotte et lui embrasse le pubis, Cynthia en profite pour lui rouler une pelle.

 

Quentin n’en peux plus et a sorti sa bite qu’il se branle négligemment, du coup Thomas qui était près de lui vient lui donner assistance. Une situation qui ne reste pas longtemps à sens unique puisque Thomas fait chuter pantalon et caleçon délivrant ainsi un popaul bien tendu. Les deux hommes peuvent ainsi se branler mutuellement.

 

Helga attirée par ce joli spectacle s’approche de plus près, hésite entre les deux bites, mais choisit finalement celle de Thomas qu’elle a beaucoup moins pratiqué et se la met en bouche. Du coup Quentin vient l’aider dans sa fellation.

 

Amina a jeté son dévolu sur Sidonie, les deux femmes se pelotent, se caressent et s’embrasse à qui mieux mieux. Cérébralement ce contact n’est pas anodin, les deux femmes se connaissaient avant, étant respectivement la bonne et la fille de Marie-France, sans que chacune ne puisse soupçonner leur fringale sexuelle.

 

Quant à moi, je ne fais rien, je savoure ma position, je suis la reine des vampires, je n’ai qu’un mot à dire pour que n’importe lequel des participants viennent me lécher la moule.

 

Marie-France a désormais les nichons à l’air et les deux vampirettes s’acharnent à en suçailler les tétons.

 

Elle chuchote quelque chose à Cynthia qui se déplace pour aller chercher une coupe. Marie-France l’engloutit cul-sec, puis se place le verre sous la chatte afin de pisser dedans. Elle le porte à ses lèvres, le trouve gouteux et le propose aux filles qui s’en régalent à ce point qu’elle doit remplir une seconde fois le verre

 

– Vous aimez ça la pisse, hein mes chéries ?

– Oh, oui, Marie France, elle est trop bonne ! Répond Na Ying.

 

Un bruit de porte ! Elle devait être mal fermée, toujours est-il que le chien Calife fait une entrée théâtrale en remuant frénétiquement la queue.

 

Et spontanément il se dirige vers sa maîtresse.

 

– C’est mon chien ! Tient à préciser Marie-France.

 

Oui mais voilà, le chien a senti la présence d’un nouveau vampire, et il n’aime pas ça, alors il s’en va comme il est venu. Déception pour les lecteurs qui espéraient une autre séquence zoophile ? Non, mon petit doigt me dit qu’il va revenir.

 

– Il est fâché ? demande Cynthia.

– Ça lui passera, en attendant, vous allez me lécher le cul ! Répond la Mature se mettant en levrette.

 

Echange de politesse entre les deux vampirettes qui se demandent qui va officier en premier.

 

C’est Na Ying qui s’y colle, elle commence à humer l’endroit en apprécie le fumet, puis vient darder sa langue contre le bel anus brun.

 

– Le goût te convient, petite cochonne ?

– Il est délicieux, Marie-France !

– Est-ce qu’il sent un peu la merde ?

– Un petit peu mais ça ne me dérange pas !

– Brave fille ! Laisse la place à ta copine maintenant, elle va me mettre un doigt.

 

Cynthia ne se fait pas prier et vient ramoner le trou de balle de la bourgeoise. Quand le doigt ressortit, on va dire qu’il aurait pu être plus net. Aussi lui demanda-t-elle de le sucer, tâche à laquelle la fille s’acquitta avec gourmandise.

 

– Il me faudrait une bite ou un gode ! Déclare Marie-France excitée comme une puce.

 

Elle regarde autour d’elle. Pour ce qui est de la bite, c’est compromis, Thomas est en train d’enculer Quentin lequel se fait sucer la bite par Helga. Elle s’en voudrait de déranger ce joyeux trio de pervers, d’autant qu’elle risque de se faire rembarrer.

 

Reste donc le gode, celui qu’elle a rapporté d’un de ses voyages à Castelrouston. Elle cherche sa domestique, mais la voit occupée, très occupée même avec Sidonie.

 

– Les domestiques, ce n’est plus ce que c’était, il n’y a donc personne pour aller chercher mon gode ? Dit-elle sur un ton faussement désabusé.

 

Je résiste à la tentation de lui répondre que son gode, elle est assez grande pour aller le chercher toute seule, et me « sacrifie ».

 

– Dans le tiroir de droite de mon chevet ! Me précise-t-elle.

 

Elle est gentille mais je savais déjà où elle le rangeait.

 

Marie-France s’est introduit le gode dans le cul et le fait aller et venir pendant que Cynthia lui prodigue minette et que Na Ying lui suce les tétons.

 

Et voilà Calife qui revient, il tourne, semble hésiter et se met à tourner autour d’Helga, c’est vrai qu’elle est moins vampire que d’autres. Celle-ci a le réflexe de se reculer. Le chien pas contrariaient s’approche de Na Ying en frétillant de la queue.

 

Je crois que je vais m’amuser !

 

– Helga !

– Oui ?

– Pourquoi tu as reculé quand le chien est venu te voir ?

– Je ne n’ai pas envie de faire des cochonneries avec un chien !

– Et pourquoi donc ?

– C’est dégoutant !

– Tu n’en sais rien, tu n’as jamais essayé. Regarde un peu Na Ying comme elle se régale avec la bite du chien dans sa bouche.

– C’est une vicieuse !

– On ne dit pas vicieuse, on dit coquine ou salope !

 

Et par un geste de pur sadisme je gifle Helga.

 

– Pourquoi ?

– Parce que j’ai envie de te punir ! Mets-toi à quatre pattes, tu vas être fouettée !

– Non !

– Et tu as intérêt à te laisser faire, de toute façon tu vas y avoir droit.

 

Helga se met en position !

 

– Un volontaire pour fouetter cette morue ?

– Moi, moi ! S’écrie Marie-France, excitée comme une puce. Avec quoi je la fouette ?

– Prend la ceinture de l’un des messieurs.

– Combien de coups ?

– 25 !

– Non ! Proteste Helga

– Et 10 de plus pour avoir rouspété !

 

C’est un vrai plaisir de voir cette belle bourgeoise frapper à la volée les jolies fesses dodues d’Helga.

 

Quand quelqu’un ira en ville je lui demanderais d’acheter un martinet et une cravache… Tiens il va falloir que je dresse une liste de course.

 

Helga piaille, pleurniche, gémit, mais encaisse, son fessier est devenu rouge comme une tomate.

 

– 34, 35 ! Voilà c’est fini ! J’aimerais bien qu’on me fouette à mon tour ! Me dit Marie-France

 

Qu’à cela ne tienne !

 

– Sidonie, viens fouetter ta mère !

 

Je fais se relever Helga, je la prend dans mes bras pour la consoler, on se roule un patin… Mais elle n’est pas folle, et sait très bien ce que je vais maintenant lui demander. Aussi prend-elle les devants :

 

– Je vais essayer de sucer le chien ! Dit-elle en en rejoignant Na Ying qui n’en finit pas de le lécher.

– Tu vas voir, c’est bon ! Lui dit cette dernière, approche-toi mieux, sors ta langue.

 

Quelque chose la retient encore, pas grand-chose en fait. Alors elle ferme les yeux et sa langue va à la rencontre de la bite du chien. Elle rouvre ses paupières, réalise ce qu’elle est en train de faire, roule une pelle à la petite eurasienne, puis se met à lécher de bon cœur.

 

Amina, pour l’instant privée de partenaire, vient les rejoindre.

 

– Je peux essayer aussi ?

 

J’espère qu’elles vont m’en laisser ! C’est que je veux ma part moi aussi !

 

Sidonie a rendu le cul de sa mère écarlate. A la fin des 25 coups réglementaires, Marie-France se relève, prend sa fille par la main.

 

– Mais où m’emmènes-tu, Maman ?

– On va se faire enculer !

– Ah bon !

 

Et elle sollicite pour se faire Thomas et Quentin. Les deux femmes se mettent l’une à côté de l’autre en position de levrette et se font sodomiser de conserve.

 

– C’est bon de se faire enculer, comme ça toutes les deux, n’est-ce pas ma fille ?

– Oh, oui maman ! Ooooh !

Vampirez17

Les deux hommes liment à tout va, s’efforçant de bien faire et c’est grand plaisir de les voir pilonner ainsi ces deux jolis culs. Ils y mettent tant d’ardeurs que les deux femmes jouissent du cul plusieurs fois de suite.

 

Quentin jouit le premier, il décule et donne sa bite à nettoyer à Marie-France.

 

– Cochon ! Tu as de la merde sur la bite !

– Ah, Zut, je vais allez m’essuyer !

– Mais non, cornichon ! Ça n’en sera que meilleur.

 

Quand ce fut le tour de Thomas, Sidonie ne put faire moins que sa mère. Et quand ce petit nettoyage fut terminé, les deux femmes s’échangèrent un long baiser au parfum original.

 

– Je crois que j’ai encore du sperme dans le cul ! Dit alors Marie-France.

– Je m’en occupe ! répondit Sidonie.

 

La fille se positionna derrière sa mère qui poussa, libérant un peu de sperme et d’autres choses aussi ! Les deux femmes se sont ensuite mises en soixante-neuf se broutant la chatte jusqu’à la jouissance.

 

– Que c’est bon de lécher la chatte de sa fille ! Tient à dire Marie-France.

– Tu es la reine de la soirée, maman et ta chatte est délicieuse !

 

Helga, Na Ying et Amina sont toujours affairées sur la bite du chien. D’un doigt autoritaire je les fais dégager. Je récupère Sidonie et prends leur place.

 

Sans hésiter une seconde… pourquoi hésiterais-je, d’abord ? Je prends en bouche la bite du chien. Sidonie me regarde, l’œil lubrique :

 

– Je suis obligée ? demande-t-elle

– Non !

– Alors si je ne suis pas obligée, je vais le faire !

 

Quelle petite peste, mais je l’adore !

 

Alors on a sucé le chien et pour parachever cette orgie, je me suis fait couvrir comme une chienne.

 

Ces messieurs dames ont donc pris tous leur plaisir les uns après les autres, Quentin est allé rechercher du champagne et des petits gâteaux, on boit, on grignote, les fumeurs fument. Tout va bien.

 

Je n’ai pas trop aimé la réflexion de Sidonie qualifiant sa mère de reine de la soirée. S’il y a une reine ici, c’est moi et personne d’autres.

 

– Bon, je suis heureuse que cette petite fête se soit bien passée, il va nous falloir nous organiser et apprendre à vivre ensemble, mais n’oubliez pas que je suis votre reine !

 

L’assistance se demande ce que je vais leur dire.

 

– Vous allez me faire allégeance, tous ! Mettez-vous à genoux, prosternez-vous devant moi, voilà comme ça et maintenant les uns après les autres vous allez venir me lécher le cul.

 

Qu’est-ce qu’il ne faut pas faire parfois…

 

Je m’approche de Sidonie.

 

– Je n’ai pas encore eu l’occasion de te le dire, mais tu as été formidable hier.

– J’ai essayé de faire pour le mieux, ce n’était pas forcément amusant, mais il fallait le faire, alors je l’ai fait.

– Sidonie…

– Quoi ?

 

J’ai du mal à parler, il faut pourtant que ça sorte.

 

– Sidonie… Je t’aime !

– Ah ! S’écrie-t-elle en se jetant dans mes bras, moi aussi je t’aime !

 

Ainsi se termine le récit de Clara. On ignore comment vécu ensuite cette petite communauté de vampires, mais on suppose que tout se passa bien puisqu’on n’en entendit jamais parler, et qu’on ne déplora plus de morts par morsure.

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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