Samedi 11 septembre 2021 6 11 /09 /Sep /2021 16:08

Clara, la vampire par Léna Van Eyck – 1 – Résurrection

Clara v

 

Prologue

 

Le début de l’action se passe à Castelrouston, petite localité du Poitou.

 

Depuis longtemps la chapelle de Notre-Dame de Sainte-Trazibulle était abandonnée et partiellement en ruine. L’Etat, propriétaire des murs depuis la loi de séparation de l’église et de l’état, avait d’autres chats à fouetter que de la restaurer, au grand dam du clergé local qui s’opposa néanmoins à sa démolition définitive.

 

L’accès était muré et des écriteaux prévenaient le chaland par ses mots dissuasifs : « Défense d’entrer, risque d’éboulements »

 

Samedi 1er mars

 

François-René Couillard, jeune geek boutonneux à lunettes et amateur de vieilles pierres a réussi à convaincre Sidonie Grandvoisin de la Clitoune, sa petite amie de faire une expédition en ce lieux.

 

Sidonie est une jeune femme de vingt ans, étudiante en droit à Poitiers, elle habite toujours chez ses parents, Ses cheveux sont châtains roux coupées au carré, ses yeux sont bleus. Elle n’a rien d’un canon, mais comme on dit, elle est mignonne.

 

– Tu verras, on va s’éclater, et si ça se trouve on va même dénicher un trésor !

– C’est pas dangereux ?

– Non, mais on va quand même prendre des casques de chantier.

 

François-René s’était procuré un pain de plastic et un détonateur grâce à un cousin militaire et contre rétribution.

 

L’affaire fut rondement menée, le bruit de l’explosion ne sembla étonner personne dans le voisinage, la quantité de plastic était insuffisante mais le trou formé dans le pan muré d’une porte annexe pouvait néanmoins laisser passer un être humain. Ils n’en demandaient pas davantage et pénétrèrent les lieux avec leur barda, torche électrique, détecteur de métaux, pinces coupantes, jeu de tournevis, pied de biche et tutti quanti.

 

La poussière accumulée depuis des lustres les fit tousser, ils auraient dû apporter des serviettes et de quoi les mouiller, on ne peut pas penser à tout.

 

Après avoir tourné en rond dans la nef ils avisèrent une porte en bois que la serrure ne protégea pas bien longtemps.

 

La pièce dans laquelle ils pénétrèrent était vide et petite. Une tenture dans un bel état de délabrement pendait au mur du côté opposé à l’entrée. François-René tira sur le tissu qui s’écroula en se désagrégeant comme une chiffe molle. Et derrière la tenture, il y avait une autre porte, Celle-ci était en ferraille et fut compliqué à ouvrir, François-René s’acharnait mais n’y parvenait pas.

 

– On y arrivera pas, il n’y a rien là-dedans ! S’impatienta Sidonie.

– J’essaie encore cinq minutes !

 

Il eut alors l’idée de s’attaquer non pas à la porte, mais à son chambranle… et miracle après quelques coups de pied de biche bien placés, la porte commença à bouger puis à s’écrouler.

 

Elle était tombée dans un petit escalier, et du coup en empêchait la pratique. Ils durent donc la tirer vers eux ce qui ne se fit pas sans mal et d’ailleurs François-René se coupa légèrement à la main et aux doigts.

 

– Merde, je saigne !

– On n’a pas apporté de trousse de secours ! Constate naïvement Sidonie.

– C’est pas grave !

– Ça saigne beaucoup !

– Normal, le bout des doigts, ça saigne toujours beaucoup.

– Bon, on va rentrer !

– Attends, on va voir ce qu’il y a en bas de l’escalier !

– Je vais te faire un petit pansement avec un kleenex.

– Si tu veux !

 

Ils descendirent enfin, se retrouvèrent dans une minuscule piécette aussi vide que les autres, mais il y avait comme un passage protégé par une simple grille.

 

– C’est comme les poupées russes, ici, ça ne finira jamais !

 

La serrure de la grille était rouillée et ne résista pas longtemps, et les voici dans une nouvelle pièce.

 

Mais celle-ci n’est pas vide, et renferme un cercueil en son milieu.

 

– Wha ! Ça doit faire un bout de temps qu’il mijote là-dedans, le macchabé !

– Bon, on s’en va ?

– Et si c’était un faux cercueil ? Il y a peut-être un trésor là-dedans.

– Mais non, laisse les morts tranquilles !

– Si on le fait pas, on le regrettera toute notre vie !

– Pfff.

 

Cédric prend son pied de biche et soulève le couvercle du cercueil

 

– Wha, un squelette !

– Ben oui, tu t’attendais quoi ? Au trésor des Templiers ? Bon, on se casse ou pas ?

– On y va,…

 

Le sang s’écoulant de la blessure à la main de Cédric a coulé sur le squelette…

 

Et c’est comme ça que j’ai ressuscité !

 

Clara

 

Rapide description afin de savoir à qui vous allez avoir à faire :J’ai un âge canonique, mais mon corps est celui d’une femme de trente ans, on me dit bien faite, je suis brune aux yeux bleus, mes longs cheveux lisses descendent jusqu’u milieu de mon dos.

 

Revenons à notre histoire.

 

Qui donc est venu me délivrer de ce sommeil de mort dont je ne peux même pas estimer la durée ? J’ai soif, et puis je suis un peu engourdie quand même.

 

J’entends des gens parler :

 

– T’as remis le couvercle ?

– Pourquoi faire, il ne va pas s’échapper ! Attends, je n’ai pas bien regardé, il y a peut-être des trucs de valeur dans le fond ?

– Vite fait alors !

 

François-René revient près du cercueil :

 

– Aaaah ! Hurle-t-il, complétement paniqué

– Qu’est-ce qu’il y a ?

 

Clara V01J’ignore qui est cet individu bizarrement accoutré mais je m’en fous, je lui saute au cou, le mord profondément ! Humm, c’est trop bon, le sang frais !

 

Je me lève pour de bon, toujours un peu étourdie, une femme, elle aussi dans un accoutrement ridicule et fort peu féminin est prostrée dans un coin de la pièce. Normal les vampires, ça a toujours fait peur aux gens, est-ce de ma faute à moi ?

 

Je fais quoi, je ne vais pas la mordre, le type que j’ai mordu a encore du bon sang sur lui, non, je vais la garder en réserve. Mais il faut que je l’immobilise.

 

Je cherche de quoi constituer des bandelettes de tissu, j’essaie avec ses vêtements, mais c’est quoi cette étoffe ? Je lui ouvre son espèce de gilet, en dessous c’est moins solide, j’arrache ça et avec les lambeaux de tissu, j’immobilise les poignets et les chevilles de cette étrange personne qui me regarde avec des yeux apeurés, incapable de prononcer une parole ou de faire un geste. Je ne suis pourtant pas méchante, ce n’est quand même pas de ma faute si je suis une vampire !

 

– Bon tu arrêtes de chialer sinon je te bâillonne !

– Qui êtes-vous ? Qu’avez-vous fait à mon ami ?

– Ton ami, je l’ai juste un peu mordu, j’avais soif, il est où le problème ?

– Vous l’avez tué ?

– Non, pas encore !

– Mais vous êtes un monstre !

– Les monstres c’est toujours les autres. Et maintenant ferme ta gueule. Tu m’énerves !

 

Bon un peu d’organisation. Il me faut des fringues pour sortir. Les miennes partent en loques et je m’en débarrasse.

 

– Bon, toi tu vas répondre à mes questions…

– Il faut appeler du secours, on ne peut pas laisser mon ami comme ça ! Et vous êtes qui d’abord à vous balader comme ça à poil dans ces ruines ?

– Moi je suis une vampire, pourquoi ?

– Vous vous êtes échappé d’un asile, vous êtes complètement malade, aller mordre les gens ! Et qu’est-ce que vous allez me faire ?

– Dis donc toi, tu ne crois pas que tu poses trop de questions.?

 

Sidonie se mit à sangloter.

 

– Je vous en supplie, appelez les secours, mon portable est dans ma poche.

– Ton quoi ?

– Mon téléphone portable, vite !

– Ton quoi ?

– Mais vous êtes bouchée ou quoi, dans ma poche !

 

Je fouille dans sa poche, j’en extrais un objet que je n’identifie pas.

 

– C’est quoi ce machin ?

– Mais vous sortez d’où ? Vous n’avez jamais vu de téléphone portable ?

 

Mais qu’est-ce qu’elle raconte ?

 

– Détachez-moi, je vais appeler.

– Ici, personne ne t’entendra.

– Avec le téléphone.

 

Elle m’énerve, elle m’énerve !

 

– Bon maintenant c’est moi qui pose les questions, dehors en ce moment, il fait jour ou il fait nuit ?

– Il fait jour, mais….

– Silence !

 

Donc il faut mieux que j’attende la nuit pour sortir. Qu’est-ce que je vais faire en attendant avec cette tar?e ? Des habits, je ne peux pas prendre les siens, je les ai massacrés, ceux du type ? Ridicules, mais je n’ai pas d’autre choix.

 

– On est en quelle année ?

– Vous êtes complètement larguée, vous !

– Réponds-moi !

– 2019.

– Z’êtes sûre ?

– Oui.

– J’aurais roupillé plus de 200 ans ?

– Vous êtes la belle au bois dormant ?

– Non, je m’appelle Clara et je suis un vampire.

– Bon, vous me détachez ? Si vous voulez je vous donnerais un peu de sous.

– Qui est le roi de France en ce moment ?

– Y’a pas de roi, on a un président…

– Il va falloir que quelqu’un m’aide à me réadapter, je sens que ça va être toi.

– O.k. mais pour ça faut me détacher !

– Me prendrais-tu pour une idiote ?

– Non, non pas du tout.

 

Bon, réfléchissons. J’ai dormi trop longtemps et je risque de me faire repérer rapidement dans ce monde qui a dû changer en 200 ans. Il faut donc que cette nana m’aide, seulement elle ne croit pas un mot de ce que je raconte, donc il faut que je la vampirise. Il ne faudrait pas qu’elle se rebelle non plus. Vas-y en douceur Clara, tact et diplomatie.

 

– Je vais avoir besoin de toi. Mais pour ça, il faut que tu arrêtes de me prendre pour une évadée de Charenton. Je suis vraiment une vampire, regarde mes dents !

– Des belles prothèses !

 

Indécrottable !

 

– En 1816, le roi Louis XVIII à fait pourchasser tout ce qui ressemblait à un révolutionnaire ou à un bonapartiste. Moi je n’étais rien de tout ça. Nous les vampires on s’en fout des rois et des empereurs, mais on ne les aime pas, quant aux révolutionnaires à part couper des têtes pour faire le bonheur des gens, ils sont pathétiques. Mais bon, il a bien fallu que je me cache, les hommes du roi étaient souvent des sadiques qui ne s’embarrassaient pas de procès quand ils tombaient sur un suspect.

– J’ai déjà rencontré des schizophrènes, mais vous vous tenez le pompon !

– N’emploie pas des termes que je ne connais pas, comment veux-tu que je m’y retrouve ? Donc je me suis cachée ici, j’ai découvert cette salle, il y avait le cercueil d’un évêque, je l’ai viré, j’ai pris sa place et suis entrée en léthargie.

– Tu devrais écrire un roman !

– Dis-moi : à part toi et l’autre benêt, qui habite ici ?

– Personne, c’est une ruine, voyons.

– Et qu’est-ce que vous faites ici, alors ?

– C’est mon ami, il adore les vieilles pierres…

– N’importe quoi ! Bon, tu ne me crois pas quand je t’explique que je suis un vampire et que je viens de me réveiller après un gros dodo de 200 ans, je renonce à te convaincre, j’ai besoin de toi, je vais donc te vampiriser, donc je vais te mordre bien comme il faut…

– Ne me touchez pas ! Au secours !

– Silence, tu vas tomber dans les pommes et à ton réveil tu auras soif de sang, mais je t’expliquerai la suite à ce moment-là.

 

Sidonie eut beau se débattre et hurler comme une damnée, je la mordais consciencieusement. Il fallait bien compter une heure avant qu’elle se réveille de sa torpeur. En attendant je décide de m’habiller, les fringues du grand benêt sont trop grandes pour moi, mais en attendant mieux, ils feront l’affaire.

 

Ce que je ne comprends pas, c’est pourquoi je suis restée endormie pendant deux siècles ! Je regarde dans le fond du cercueil à la recherche d’un indice, je trouve un petit pieu pointu. D’accord, j’ai compris : un salopard est descendu jusqu’à ici, a dû s’étonner de la présence sur le sol du squelette de l’évêque, a ouvert le cercueil a découvert une belle jeune fille pas décomposée du tout et avec des drôles de dents, il a dû se renseigner sur la façon de tuer les vampires et m’a planté un pieu dans le cœur ! Franchement est-ce des choses à faire ?

 

Et le réveil ? Il suffit d’une goutte de sang, l’un de ces deux abrutis devait s’être écorché…

 

Un petit moment s’écoule…

 

Un bâillement. La donzelle émerge :

 

– Ou suis-je ?

– Tu ne te rappelles pas ?

– Ah, si ! Mais vous m’avez fait quoi ? Je me sens toute bizarre j’ai envie de mordre, j’ai soif.

– Normal pour un vampire !

– Je ne suis pas un vampire !

– Si, touche tes dents.

 

Elle le fait, pousse un cri.

 

– C’est quoi ce délire ?

– Hi, hi ! Si tu as soif, la réserve de sang est la ! Lui dis-je en lui montrant son copain toujours dans les vapes.

– Ça ne va pas, non ?

– Alors garde ta soif mais ça va être dur.

– Bon tu me détaches maintenant ?

– Et tu vas faire quoi ?

– Appeler les secours pour mon camarade.

– Quels secours ? On ne va pas abandonner notre réserve de sang.

 

Et soudain c’est la crise nerveuse, la nana se met à chialer comme une madeleine, il va falloir la jouer fine. Le gros problème est son grand benêt de copain. Il va m’être compliqué de faire à la fois ami-ami avec la jeune fille et de laisser mourir le gars !

 

Je laisse pleurer la fille, sachant qu’à un moment sa soif de sang va devenir ingérable.

 

– Je me sens mal ! Finit-elle par avouer.

– Bois son sang!

– N’importe quoi !

– Écoute-moi bien, ce garçon va mourir de toute façon, ce n’est pas le sang que tu lui prendras qui changera quelque chose. Si tu ne te nourris pas, tu vas tomber d’inanition, or j’ai besoin de toi et en forme. Si tu ne fais pas je vais t’obliger à le faire.

 

Et après les menaces, je change de registre :

 

– Il y a une seule façon de sauver ton ami mais ça va poser un petit problème.

– Vous n’allez pas le laisser mourir !

– Non, mais pour ça, il faut que je le vampirise…

– On est chez les fous !

– Il faudrait peut-être que tu te décides à accepter la réalité, les vampires, ça existe j’en suis une et maintenant toi aussi.

– Je ne crois pas aux vampires !

– Tu vas arrêter, oui ? Je te propose ceci : tu vas mordre ton ami afin de reprendre des forces après je le vampirise, seulement en faisant ça on perd notre réserve de sang et on sera obligé de s’abreuver à l’extérieur

– Oui, ben sauvez mon ami, le reste on verra après.

– D’accord mais mords-le, t’es toute blanche.

 

Assoiffée et décontenancée Sidonie approcha ses dents du cou déjà abîmé de François-René, elle se surprit à le mordre. Sans répulsion, elle avala une grande quantité de sang dans un quasi-orgasme, elle termina son action, les yeux exorbités, le sang lui dégoulinant sur le menton.

 

– Ça va mieux ! S’entend-elle dire.

– Bon maintenant je le vampirise.

– Mais il a déjà été mordu je ne comprends pas.

– Ce n’est pas la même morsure !

 

J’ai donc mordu le grand benêt, dans une heure il aura soif et on n’aura rien à lui proposer, il nous faudra sortir. Pas évident ! Mais j’ai toujours beaucoup de cordes à mon arc. Je m’approche de la fille.

 

– Il est sauvé, alors ? S’inquiète-t-elle.

– S’il ne fait pas de conneries, oui !

 

Je défais ses liens, elle ne sait trop quoi faire.

 

– On attend qu’il se réveille, après s’il fait nuit on pourra sortir.

– Il ne va pas comprendre.

– Justement, je compte sur toi pour lui expliquer.

 

Et tout en parlant je lui caresse ses doux bras. La fille se laisse faire.

 

– T’es mignonne, toi.

– Je ne sais pas.

– Moi je sais, j’aime bien les femmes.

 

Je quitte les vêtements du gars que j’ai sur moi, je les remettrais tout à l’heure. J’exhibe ma nudité, un peu devant, un peu derrière.

 

– Je te plais ?

– Comment ça ? Vous êtes une belle femme, mais je ne suis pas gouine.

– Ça ne t’empêche pas de me caresser.

– Pour quoi faire ?

– Parce que j’ai envie ! Tu n’as jamais couché avec une femme ?

– Ça ne vous regarde pas !

 

J’ai le pouvoir d’entrer dans l’esprit des gens, je pourrais donc l’obliger à être gentille avec moi, mais l’amour c’est tellement mieux quand c’est consenti…

 

– Tu as déjà léché les seins d’une femme ?

– Ça ne vous regarde pas !

– Tu me dis juste oui ou non.

– Oui ! Une fois.

– Et ça t’a plus !

– Oui mais je ne suis pas gouine.

– C’est pas grave, ça viendra !

 

Je lui fous mes seins sous le nez.

 

– Lèche, lèche mes tétons !

– Pas envie… juste un peu alors.

 

Et la voilà avec mes bouts de seins dans sa bouche, je n’en reviens pas que cela a été si facile, je n’ai pourtant pas usée de mes pouvoirs, mais j’ai peut-être une sorte d’ascendant naturel sur les mortels.

 

– Si tu te déshabillais ? Lui demandais-je

– On pourrait s’arrêter là, non ?

– On pourrait, mais moi j’ai envie de continuer.

– Il faut que je fasse pipi.

– Et bien déshabille-toi et fait pipi.

– Tu ne vas pas me regarder pisser quand même ?

– Si j’adore ça !

– T’es vraiment frapadingue !

– Où est le mal ?

 

Je n’aurais sans doute pas insisté, mais Sidonie avait sans doute dû se dire qu’elle aurait tout avantage à se montrer conciliante avec moi. Du coup elle se déshabilla, sans grand enthousiasme mais elle le fit.

 

Puis elle se mit au coin de la pièce, se baissa, ferma les yeux et urina, créant ainsi une joli flaque jaunâtre sur le sol carrelé.

 

– Je n’ai rien pour m’essuyer ! Rouspète-t-elle

– Je vais te le faire !

– Avec quoi ?

– Ma langue !

– T’es malade !

– T’as jamais fait ça ?

– Surement pas !

– Ça ne te fera aucun mal !

– C’est quoi ton plan ? T’a juré de me pervertir, c’est ça ?

– Ce ne sont pas des perversions, ce sont des fantaisies, Laisse-moi faire juste un peu et si tu me dis d’arrêter, j’arrêterais.

– Alors arrête !

– Non, là ce n’est pas le jeu, j’ai même pas commencé.

 

De guerre lasse, Sidonie me laissa faire. Sa chatte était à moitié rasée, quelle drôle d’idée de faire ça, pareil pour les poils de ses aisselles. En voilà une drôle d’époque !

 

Je me régalais des gouttes d’urine qui perlaient sur sa chatte en donnant de larges coups de langue. Mon doigt vint rejoindre ma langue. Sidonie ne protesta pas et commença à haleter, puis à pousser des petits cris.

 

– Qu’est-ce que tu me fais, c’est bon ! T’es en train de me gouiner, je ne voulais pas.

 

Je la laissais causer, de toute façon, elle ne me demandais pas d’arrêter. Elle gémissait de plus en plus, sa chatte redevenait humide et cette fois ce n’était pas de l’urine. Son clitoris érigé quémandait le coup de grâce. Je le lui donnais et son cri de jouissance envahit les souterrains de la chapelle de Sainte Trazibulle.

 

Je ne la laissais pas reprendre ses esprit et ma bouche vint se coller à la sienne. Elle eut peut-être un instant d’hésitation mais guère plus et accepta mon baiser, j’en profitais pour la peloter et caresser sa douce peau.

 

– Ça t’as plu ?

– Oui mais…

– Mais quoi ?

– Où suis-je tombée ?

– Il est où le problème, je ne suis pas méchante avec toi., et je viens de te donner du plaisir.

– J’étais une jeune fille convenable, maintenant t’as fait de moi une trainée !T’es contente ?

– Je suis contente de t’avoir donné du plaisir !

– T’es quoi exactement ? Tu m’as fait quoi au cou et ces dents à la con, c’est de la magie ?

– Si tu veux ! Tu sais ce que j’aimerais bien, c’est que tu me lèches comme tu m’as léché.

 

Et là, au lieu de refuser catégoriquement, elle me sort un prétexte pour ne pas le faire. Il ne faut jamais faire ça.

 

– Je ne sais pas faire, je ne suis pas gouine !

– Mais ça s’apprend, je vais te guider, viens mettre ta langue entre mes cuisses.

– Je ne peux pas faire ça !

– Non, mais tu peux essayer, si vraiment ça te bloque, on aura d’autres occasions.

 

Je lui écarte ma chatte pour qu’elle en ait plein la vue.

 

– Quel fouillis, jamais tu te rases ? Me demande-t-elle.

– Ben non, quelle idée, et toi pourquoi tu te rases.

– Toutes les filles le font.

– Approche toi mieux !

 

Elle se rapproche doucement, puis se recule.

 

– Non, je ne peux pas !

– Mais si ! Respire un bon coup, sors ta langue et lèche.

 

Elle le fait, deux trois coups de langues, elle recule son visage mais reste en position.

 

– Ça un goût de… je ne sais pas.

– Un goût de quoi ?

– De sexe !

– Ce soit être normal ! Rigolais-je

– C’est la première fois que je te vois rire !

– On aura d’autres occasions de rire ensemble, reprend tes léchouilles.

 

J’ai connu de meilleures lécheuses, mais je la guide et ça finit par le faire, le plaisir monte, il me faut jouir.

 

– Le bouton, suce mon bouton de rose !

– Le bouton de rose ?

 

Je lui montre.

 

– Ah ! Le clito ?

– Suce, suce ma chérie, suce, oh que c’est bon !

 

Et j’éclatais mon plaisir à mon tour.

 

Après un petit moment de tendresse. Elle m’offre une cigarette, je ne sais pas ce que c’est que ce truc là mais l’odeur du tabac me parle et il y a deux cents ans il m’arrivait de fumer la pipe.

 

Je me suis rhabillée avec les fringues du gars qui finit par se réveiller.

 

– Explique-lui rapidement la situation et déconne pas !

– François-René, tu es vivant. Embrasse-moi !

– Bien sûr que je suis vivant, mais qu’est-ce que je fous à moitié à poil, et c’est qui elle ? Pourquoi elle m’a piqué mes fringues.

– Je voudrais que tu te taises cinq minutes et que tu me laisse parler, il nous arrive un truc de dingue ! Mademoiselle, je ne connais même pas son nom…

– Clara ! Précisais-je.

– Donc Clara est comme une sorte de mutante, un peu contagieuse mais apparemment pas dangereuse sauf que quand on attrape son truc, on a besoin de sang et on a envie de mordre.

– Sidonie, tu es sûre que ça va ?

– Ça va si on veut, je n’arrive pas à tout réaliser. C’est un peu nouveau et un peu confus tout ça !

– Bon, tu me raconteras tout ça en route, on se barre d’ici, j’ai les crocs. Vous pouvez me rendre mes fringues ?

– Je suppose qu’il m’en faudra pour sortir. Demandais-je. A moins que votre époque tolère la nudité ?

– On sort et on vous ramène des fringues. Propose Sidonie.

– Non, tu sors toute seule et tu nous les apportes. Et dépêche-toi, bientôt tu ne pourras plus supporter la lumière du jour, c’est l’affaire de quelques heures

– Bon, toi la greluche, tu ne vas pas nous donner des ordres. S’énerve le boutonneux

 

Il va pour forcer le passage, je prends brièvement possession de son esprit.

 

– Bon faisons comme ça, je vais attendre ici, j’ai un peu la tête qui me tourne. Corrige-t-il

 

La fille partie, le garçon s’agace :

 

– Mais enfin, c’est quoi ce cirque ? Vous êtes qui ?

– Clara, une vampire.

– Sérieusement…

– Je suis sérieuse. T’as jamais entendu parler des vampires ?

– Si, au cinéma…

– Au quoi ?

– Au cinéma, vous ne savez pas ce que c’est que le cinéma ?

– Pas du tout.

– Vous êtes en traitement psychiatrique ou quoi ?

 

Mais qu’est-ce qu’il raconte ?

 

– C’est fou, ça, j’ai roupillé deux cents ans et je me réveille dans un monde qui ne croit même pas aux vampires !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Mercredi 8 septembre 2021 3 08 /09 /Sep /2021 16:40

Confessions bisexuelles - 1 

 

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Tu parles d'un apéritif ! Par David.

Attention c'est un peu scato !

Bonjour je m'appelle David, j'ai 30 ans, légèrement bisexuel, j'aime sucer et lécher : les seins, les chattes, les bites, les culs… mais n'anticipons pas.

Je sonne chez mes amis vers 8 heures du soir. Mark vient me répondre, Michèle est occupée à arranger les derniers détails afin d'être sûre que nous passerons une bonne soirée !

- On a préparé un repas froid ! On peut s'amuser un peu en guise apéritif !

Ils sont tous les deux vêtus de leurs peignoirs de bain, on voit qu'ils reviennent de la piscine et d'après leurs yeux brillants, j'en conclus qu'ils ne m'ont pas attendu pour se donner du plaisir... Je peux entrevoir les jolis seins de Michèle et la queue durcie de Mark qui fait une bosse sur son peignoir... A cet instant Michèle nous dit :

- Allons tous à la piscine ! tout en détachant son peignoir

Je retire mon short et mon t-shirt, tout excité et la suis en commençant à bander... Mark me regarde mater Michèle et semble très excité aussi !

Nous sommes maintenant arrivés à la piscine et Mark tire une table basse à lui et pose des boissons fraîches dessus. Je viens de m'approcher de Michèle, complètement nue et ma queue se balance de droite à gauche, ce qui commence à l'exciter ! Elle me fait assoir, vient entre mes jambes, prend ma queue durcie de désir dans sa bouche et commence par lui donner de petits coups de langue... A ce moment, Mark s'approche de moi et me présente son membre épais et dur, que je commence à sucer avec passion... il se balance d'avant en arrière et fait entrer sa longue et bonne queue que je continue de sucer avec délectation.
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Michèle s'éloigne à cet instant car elle aime voir le spectacle de deux hommes se donnant du plaisir... et commence à se caresser la chatte qui devient vite trempée... Cela m'excite tellement que je dis à Mark d'arrêter pour que je ne vienne pas tout de suite car j'ai envie de baiser Michèle maintenant ! Je ne tarde pas à m'enfoncer profondément dans la chatte de Michèle et lui donne de bons coups de queue... Mark vient alors derrière moi et commence à me caresser le trou du cul avec un de ses doigts, qu'il a lubrifié d'un peu de salive... je lui dis :

- Oui, vas-y, encule-moi, fous-moi ta bite dans le cul pendant que je baise ta femme !

Mark ne ménage pas sa peine et chaque coup de bite qu'il me donne dans le cul est répercuté dans la chatte de Michèle avec la même force... Puis Michèle me dit qu'elle veut me sucer la bite pendant que Mark me bourre le cul.

Au bout de quelques instants, Mark se retire, sa bite est maculée de merde, je la nettoie avec ma bouche. J'aime bien faire ça !

Michèle veut maintenant que Mark la baise. Je suis derrière eux maintenant et je vois les fesses de Mark (très belles d'ailleurs) aller et venir alors qu'il bourre la chatte de Michèle. Je me dis que c'est mon tour de lui mettre un doigt dans le cul, après l'avoir lubrifié d'un peu de salive... J'entends un :

- Oh ! nique -moi, oui, vas-y, mets-la-moi bien profond !

Et pendant ce temps-là je m'enfonce dans le cul de Mark....

Michèle ne peut retenir sa jouissance plus longtemps et crie de plaisir, ce qui a pour effet de faire venir Mark puissamment dans sa chatte. A cet instant, j'envoie de bonnes giclées de sperme dans son cul et nous tombons ensemble sur l'herbe du gazon...

Michelle se relève, nous demande de ne pas bouger et nous pisse dessus. J'adore ce genre de jeux et j'avale de grandes lampées de sa bonne pisse. Elle se recule ensuite de quelques mètres et sans aucune pudeur se met à chier un gros boudin marron devant nous. Me revoilà en train de bander.

- Je n'ai pas pris de papier, David tu veux venir me lécher le cul !
- J'arrive !

Tu parles d'un apéritif !


A quatre, c’est bien ! par Henri


Laure, ma femme, a 25 ans, j’en ai 28. Nous nous aimons avec passion depuis 10 ans. Je me rappelle nos premières caresses malhabiles sur un matelas dans la cave pour ne pas que ses parents nous découvrent.


Rassurez-vous, rapidement ces caresses sont devenues plus habiles. Quel plaisir de caresser le corps parfait de Laure, de descendre de sa bouche charnue vers ses seins volumineux, de les prendre dans ma bouche tout en continuant de descendre vers sa chatte trempée de désir.


Laure adore que je promène ma langue sur ses lèvres, celles de sa chatte bien sûr ! J’aime ce goût indéfinissable et je ne me fais jamais prier. Je la pénètre ensuite en arrière à quatre pattes comme une bête. Nous aimons beaucoup… Mais au bout de dix ans nous commencions à trouver ces gestes biens répétitifs, quoique toujours très agréables.


Ce soir-là, nous avions un couple d’amis plus libérés que nous à dîner et je ne sais comment nous en sommes venus à parler de l’entente sexuelle dans le couple. Laurent, notre invité, nous dit l’air de rien que l’amour à quatre et la sodomie ont sauvé son couple de l’ennui.


Je regarde Laure d’un air gêné, et à mon grand étonnement celle-ci, très intéressée prend la balle au bond et demande à Catherine, la femme de Laurent si la sodomie n’est pas douloureuse. Celle-ci la rassure et lui garantit au contraire que cela procure une satisfaction vraiment intense.


Je m’enhardis à mon tour et fait remarquer à Laurent que l’échangisme n’a rien d’original. Celui-ci me répond que lorsqu’il disait amour à quatre il entendait également des caresses entre hommes et entre femmes.


Enfin Laure, visiblement très intéressée par le sujet et libérée par le vin, demande naïvement à Catherine comment elle s’y prend pour se faire sodomiser.


À ces mots Laurent se lève brusquement et commence à se déshabiller. Toute excitée, Catherine en fait autant et comme elle portait juste une fine robe de soie, se retrouve nue en quelques secondes. En voyant son pubis épilé, je suis pris d’une érection impressionnante et ne peux m’empêcher de caresser mon sexe.


Mais déjà Laurent commence à prendre Catherine offerte par derrière, le plaisir se lit sur leurs deux visages. Le sexe de Laurent va et vient dans le petit derrière de Catherine qui hurle de plaisir. N’y tenant plus, je lui avance mon sexe qu’elle engouffre dans sa bouche. À son tour Laure, vient caresser Catherine dont le corps de porcelaine se tord de plaisir dans tous les sens.


Laurent se retire alors et me regarde avec un doigt sur la bouche. Je me retire à mon tour et nous laissons nos deux femmes se caresser mutuellement, langoureusement, lentement en gémissant de plaisir. Pendant ce temps, Laurent prend mon sexe dans sa bouche et je découvre ce qu’il entendait par amour à quatre.


Ensuite il me propose de sodomiser Catherine et je découvre cette sensation délicieuse tandis que lui même bourre Laure par derrière et la salope apprécie. Je me retire pour éjaculer et ce sont Laure et Catherine qui viennent se battre pour mon foutre qu’elles avalent goulument.

Voyant que Laurent n’y tient plus non plus, totalement excité, je lui prends son sexe dans ma bouche et il éjacule en moi avec un râle de satisfaction.


Épuisés, nous éclatons tous de rires et sur proposition de Laure décidons de faire l’amour toute la nuit…


Dans les yeux de Laure je lis une satisfaction que je n’avais plus vue depuis longtemps et j’ai une petite idée de nos nuits pour ces dix prochaines années.


Rentrée plus tôt par Gisèle


A l'époque, j'avais 24 ans, en couple depuis 18 mois avec Paul un gentil garçon de deux ans mon aînée, dont j'étais follement amoureuse. nous avions une sexualité intense pimenté parfois par des fantaisies insolites. Ainsi un jour après qu'il m'eut acheté un gode, il me proposa de lui enfoncer dans le trou du cul. J'acceptais avec amusement, c'est là qu'il me dit :


- C'est super bon, mais ça ne vaut certainement pas une vrai bite.!


Je me gardais de répondre à cette réflexion insolite, mais du coup, le fantasme de voir mon chéri de faire enculer par une bonne bite me taraudait.


Notre vie sexuelle bascula un après-midi. J'avais rendez-vous avec une amie dans un café, mais alors que je l'attendais sirotant une menthe à l'eau, mon portable sonna. C'était Sonia, qui s'excusait de ne pouvoir venir, car sa voiture était en panne. En fait cela m'arrangeait, car c'était vraiment pour lui faire plaisir que je lui avais promis de l'accompagner faire les boutiques. Aussi sans plus attendre, je rentrais chez moi. 


Arrivée à la maison, des gloussements de plaisir me parvinrent de la chambre, je n'avais pas fait de bruit pour rentrer. Et quelle fut ma surprise en regardant par la porte entrebâillée de voir mon homme avec un jeune blondinet au lit. Cela me choqua un instant, puis la curiosité prit le dessus. Je me résonnais, c'est vrai j'aurais pu être jalouse d'une autre femme, mais d'un garçon, c'était différent… et puis il y avait mon fantasme… La scène commençait à m'exciter. Paul était allongé sur le dos, les yeux clos, savourant la fellation qu'était en train de lui pratiquer le jeune homme. Accroupi, les reins cambrés, offrant à mes yeux de belles fesses musclées. 


Ouvrir la porte en hurlant ? M'en aller discrètement ou participer avec l'homme de ma vie à ses plaisirs interdits. 


Je choisis la troisième solution. Je me déshabillais complètement derrière la porte, le plus silencieusement possible, puis, je pénétrais dans la chambre. Je m'approchais doucement du jeune garçon. Lorsqu'il me vit, il fut bien sûr surpris, mais sans doute rassuré par ma nudité, il continua son travail, sa bouche quitta le gland gonflé de plaisir puis sa langue descendit le long de la verge jusqu'au couilles qu'elle lécha délictueusement quelques instants puis s'enfonça dans l'anus de Paul. Il m'invitait à le rejoindre. Lorsque mes lèvres enveloppèrent le magnifique membre, Paul ouvrit les yeux, puis me voyant moi sa femme participer heureuse et amoureuse à ce qu'il me cachait depuis toujours, il s'écriât simplement  :


- Ben toi alors !


Je me sentis pour la première fois libre, totalement épanoui. Je venais d'enterrer définitivement tous les tabous ancestraux qui font de notre vie un enfer de culpabilité. Je pompais goulûment la berge bandée de mon homme. Le blondinet me regardait et m'encourageait d'une voix douce :


- Suce le bien, mets tout dans ta bouche


Ma chatte dégoulinait de plaisir et je n'en revenant pas moi-même l'énorme bite s'engouffra entièrement dans ma bouche. Son gland était au fond de ma gorge et je jouissais. 


- C'est bon ma chérie me dit-il, regarde maintenant ton homme comme il suce bien lui aussi. 


Paul était toujours allongé sur le dos, le sexe dur comme du béton. Et le blondinet baisait sa bouche. Ma chatte était en feu, je me mis à califourchon sur Paul, son membre pénétra en moi, ma bouche vint rejoindre la sienne. Le blondinet baisa tout à tour nos deux bouches puis, il jouit entre nos langues entremêlées autour de son énorme gland. Paul ne pouvant plus se retenir, éjacula dans mon ventre ce qui me provoqua un merveilleux orgasme. Nous étions exténués de plaisir, tous les trois


Paul m'expliqua que depuis quelques mois, il avait des désirs de garçon, et que de temps en temps il s'offrait une fantaisie gay. N'osant pas me l'avouer de peur de me perdre, il était maintenant soulagé que la fatalité qui me fit rentrer cet après-midi à la maison, ne brise pas notre couple mais bien au contraire le renforce. Et je lui avouais que j'avais toujours eut le fantasme de faire l'amour avec deux gays. 


Nous étions bien tous les trois nus sur le lit. Les deux membres vidés de leur semence était au repos. Mais je n'étais pas encore rassasiée, je voulais jouir, jouir et jouir encore. Paul s'était levé pour boire une mousse et se griller une cigarette. Lorsqu'il revint au bout de quelques minutes de la cuisine. Il me trouva entrain de caresser les belles fesses musclées du blondinet. Il ouvrit le tiroir de la commode et en sortit le godemiché qu'il me tendit sans dire mot. Puis il s'assit sur une chaise et s'alluma une nouvelle cigarette. Paul voulait me voir m'éclater avec son ami. Il n'allait pas être déçu, car j'étais devenu une vraie salope. Je me mis à lécher le cul du blondinet qui s'ouvrait comme une chatte en chaleur. Lorsque son anus fut bien dilaté, je me saisis du gode et lui introduisis au plus profond de son plaisir. J'entrepris de le sucer tout en continuant à le baiser. D'abord d'un rythme lent, très lent, j'avalais sa queue tout en enfonçant le gode au plus profond de ses entrailles puis j'accélérais le mouvement. Quand je sentis qu'il était prêt à jouir, je proposais à Paul de se mettre en position de levrette afin que le blondinet puisse l'enculer.! 


Ce fut bref mais géant 


- Je t'aime ma salope ! Me dit-il

 

- Moi aussi mon enculé !

 

 

 

 

  

Par inconnu - Publié dans : Confessions
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Mercredi 8 septembre 2021 3 08 /09 /Sep /2021 15:27

La maman d'Angélique par Alexis Defond-Rossignol
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Stamp MD

 

L'été 1992, sur une plage du Midi, j'ai vingt-trois ans. Que voulez-vous que l'on fasse, à cet âge, en cet endroit et en cette saison ? En ce qui me concerne, je suis doublement occupé. Angélique et moi nous connaissons depuis deux ans, et nous nous considérons comme fiancés même si, séparés par plusieurs centaines de kilomètres en raison de nos études, nous ne nous voyons guère qu'aux vacances. Cet été, elle est accompagnée de sa mère qui a loué une maison pas loin de chez moi. C'est une petite blonde pulpeuse (Angélique, pas sa mère) avec des seins auxquels on pourrait accrocher sa veste et un de ces culs qui me font dire "plus il y en a, mieux c'est". Elle est d'un tempérament plutôt réservé, sauf au lit où elle est toujours en quête d'expériences nouvelles. Je ne m'attendais tout de même pas à la surprendre, il y a quelques jours, enlacée avec Béatrice, ni à ce que les deux filles se montrent d'humeur partageuse. Toujours est-il que depuis, j'ai fort à faire pour leur tenir compagnie à toutes les deux. Elles se complètent admirablement : Béatrice est aussi brune qu'Angélique est blonde, plutôt filiforme avec des seins fuselés et presque pas de hanches, légèrement plus âgée (elle a 25 ans, Angélique 22) et plus riche d'une expérience qu'elle est toujours prête à partager. Vous trouverez peut-être que je glisse un peu rapidement (si j'ose dire) sur Angélique et Béatrice, mais en fait ce n'est pas d'elles que je voulais vous parler.

 

L'histoire commence un jour où les deux filles et moi sommes attablés devant un verre à discuter (oui, j'apprécie AUSSI leur conversation) et où Angélique nous confie ses inquiétudes quant à sa famille. Ses parents ont divorcé voici quelques mois, et sa mère, Marie-Cécile, s'en remet très mal. Je m'en serais douté, à voir la tête qu'elle faisait les quelques fois où je l'ai vue depuis le début des vacances. C'est une femme d'une quarantaine d'années, aux cheveux auburn, au teint plus mat que celui de sa fille, qui serait plutôt belle sans son air d'accusé venant de s'entendre condamner à perpétuité.

 

-"Elle est en pleine dépression, dit Angélique. Elle n'a que 42 ans, et elle a l'impression que sa vie est finie. J'ai peur qu'elle ne finisse par se flinguer !

- En fait, dit Béatrice, elle a besoin d'un homme."

 

Ni elles ni moi n'en reparlerons. Il n'empêche que le lendemain soir, nous sommes tous trois de sortie et parvenons à traîner Marie-Cécile avec nous. Au bout de deux heures, Angélique vient néanmoins me dire que sa mère se sent fatiguée. Nous décidons que je laisserai là les deux filles le temps de la ramener en voiture. Le long du chemin, Marie-Cécile et moi parlons quelque peu de nos familles respectives. De son côté, c'est aussi classique que pas brillant : trompée pendant des années sans le savoir, puis en le sachant, et finalement plantée là pour une plus jeune... Nous venons d'arriver devant chez elle quand elle finit par éclater en sanglots. Après avoir arrêté le moteur, je la prends par les épaules pour la réconforter. Elle pleure un peu contre moi, ce qui me laisse le temps de me rendre compte que la peau de son épaule est aussi douce que celle de sa fille, et que sous sa robe d'été, elle a le corps aussi bien dessiné que celui d'Angélique... Ces réflexions me mettent dans un état dont je crève de peur qu'elle s'aperçoive, dans la posture où nous sommes. J'ai moins peur à mesure que ses sanglots s'apaisent, sans qu'elle songe à se dégager de mon bras. Je l'embrasse sur la joue, puis sèche ce qu'il lui reste de larmes avec mes lèvres, puis trouve sa bouche. Elle se laisse faire, et cette fois notre posture ne lui permet plus d'ignorer mon état. Ceci m'encourage à faire glisser ma main le long de son bras, vers son sein. Sa robe est boutonnée sur le devant ; j'en défais le haut, remonte le soutien-gorge, dénude des seins lourds mais encore fermes, plus ronds que ceux d'Angélique, aux pointes couleur de caramel. Je les caresse tout en lui embrassant et en lui mordillant le cou, puis me penche sur eux, arrondis ma bouche autour d'un mamelon, le tète longuement avant de passer à l'autre. Si Angélique a été nourrie à de telles sources, pas étonnant qu'elle soit si belle aujourd'hui ! En même temps, ma main redevenue libre retrousse le bas de sa robe, glisse sur sa cuisse. Marie-Cécile a les deux mains crispées dans mes cheveux, ses gémissements m'encouragent, puis elle parvient à articuler :

 

- Pas ici, pensez aux voisins !

 

Nous sortons de la voiture après qu'elle ait reboutonné sa robe, et ne faisons qu'un saut jusqu'à la maison. Marie-Cécile ne prend pas le temps d'aller jusqu'à la chambre : à peine entrée, elle tombe avec moi sur le premier tapis venu. Je déboutonne complètement sa robe. Dessous, elle n'a pas rajusté son soutien-gorge. Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activent sur ses tétons, puis ma bouche descend. Le ventre qui a porté Angélique mérite tous mes respects : je l'embrasse et le lèche longuement, puis descends encore plus bas, fais glisser le slip. Elle a une touffe bouclée, de la couleur de ses cheveux, des hanches généreuses mais dépourvues de graisse, des cuisses parfaites à mon goût. Et je les goûte longuement, avant d'embrasser l'endroit d'où Angélique est sortie. Marie-Cécile a dû sacrément souffrir ce jour-là, pour donner une fiancée à un bébé (moi) qui ne s'en souciait guère à l'époque, et elle mérite bien que je la récompense. Ma langue s'active, tandis que je prends en mains des fesses dignes de celles d'Angélique. Les gémissements de Marie-Cécile augmentent en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachent presque les cheveux. Elle a un gémissement de protestation lorsque je me redresse, mais je me déshabille aussitôt, ne lui laissant aucun doute sur mes nouvelles intentions. Je sors un préservatif de mon blouson : j'en ai toujours sur moi, pour Angélique ou Béatrice. J'ai peur que Marie-Cécile ne soit choquée de me voir le mettre (après tout, elle est d'une autre génération), mais son absence de réaction me fait penser que pour elle aussi, la capote est entrée dans les mœurs.

 

Et j'entre doucement dans ses mœurs, couché sur elle. Au bout de quelques mouvements, elle a une réflexion plutôt tardive :

 

- Vous êtes le fiancé de ma fille !

 

Je réponds en comparant sa beauté et celle d'Angélique, d'une façon qui n'est vexante pour aucune des deux. Elle se tait puis, quelques instants après, semble être frappée par la découverte d'une vérité :

 

- Elle sait ce que nous faisons, n'est-ce pas ?

 

Je marmonne un "oui", et après tout je commence moi aussi à penser qu'effectivement, Angélique devait avoir quelque chose derrière la tête en me demandant de raccompagner sa mère. Puis Marie-Cécile n'ouvre plus la bouche que pour m'implorer de continuer plus loin, plus profond, et m'approuver de plus en plus vite, de plus en plus fort, jusqu'à hurler tandis que nous jouissons dans les bras l'un de l'autre.

 

Alors que nous restons étendus, enlacés, sur le tapis, elle m'avoue :

 gendre

- C'est la première fois qu'un homme me fait ça.

- Quoi ?

- Ce que vous m'avez fait entre les jambes, avec la langue.!

 

Nous refaisons deux fois l'amour (pas plus : non qu'elle ne me donne pas envie de continuer, mais j'ai laissé Angélique et Béatrice à la boîte et elles doivent commencer à s'impatienter) : elle ne prend guère d'initiatives, me laissant jouer avec son corps, et, entre deux, me fait quelques confidences à demi-mot sur son passé. Je crois comprendre que son mari était du genre à, une fois tous les quinze jours, la faire mettre sur le dos et se coucher à plat ventre sur elle pendant environ quarante-cinq secondes. Je me dis qu'il aurait dû en faire un peu plus avec sa femme au lieu d'aller chercher des satisfactions ailleurs, mais j'aurais tort de le blâmer : après tout, le divorce de Marie-Cécile est tout bénéfice pour moi. C'est la situation la plus délicieusement tordue que j'aie jamais rencontrée : Avoir (car nous nous sommes bien promis de recommencer) une femme de 19 ans plus âgée que moi à laquelle il faut tout apprendre, tout en continuant à coucher avec sa fille qui est bien plus délurée qu'elle !

 

La pensée d'Angélique me cause d'ailleurs quelque inquiétude : nous nous sommes promis de toujours nous raconter nos aventures l'un sans l'autre, et une promesse est une promesse. Je vais devoir lui dire, pour Marie-Cécile et moi. Je crois de plus en plus qu'en laissant sa mère seule avec un chaud lapin comme son fiancé, elle savait ce qu'elle faisait. Mais je me demande quand même comment elle va prendre la chose. Eh bien, sa réaction m'a mis sur le cul…

 

- Elle est douce la chatte de ma mère n'est-ce pas ?

- Pourquoi, tu y as goûté ? Répondis-je sur le ton de la plaisanterie.

- Eh, oui et je n'ai même pas honte !

- Tu nr me l'avais jamais dit..

- Ce ne sont pas de choses faciles à dire. Après son divorce elle avait besoin de consolation, alors on s'est retrouvée couchées l'une contre l'autre, au début ce n'était que de tendres câlins, puis la situation nous a excité, Je l'ai léché, elle 'a léché, J'ai beaucoup aimé coucher avec ma mère. On a recommencé plusieurs fois, mais j'ai compris qu'en fait elle avait surtout besoin d'un homme.

- Eh bien, qu'est ce j'entends !

- Il est où le problème, tu ne va pas me faire la morale, tout de même !

- Non, mais n'empêche que tu es une belle salope

- Tu sais ce qu'on pourrait faire demain ou après-demain ? Devine ?

- Non, dis !

- Un petit trio avec ma mère et toi.

 

Et à cette évocation je me mis à bander fort…mais fort ! Non vous ne pouvez pas imaginez…

Le lendemain, Béatrice et moi venons manger chez ma future belle-mère. à mon arrivée, j’ai la surprise de la trouver dans une robe d’été très décolletée, sous laquelle il est évident qu’elle n’a pas de soutien-gorge. Marie-Cécile part à la cuisine pour préparer la salade, et je la suis, sous prétexte de l’aider. En fait, à peine est-elle occupée à secouer sa salade dans l’évier que je la saisis par derrière et remonte sa jupe sur ses cuisses. Je m’en doutais un peu en la voyant marcher : elle ne porte pas de culotte non plus. Et je commence, tout en l’embrassant dans le cou, à lui caresser les fesses, les hanches, à écraser ma braguette – bien tendue, comme vous l’imaginez – contre sa raie, à passer ma main droite par-devant et à introduire mon index dans sa chatte déjà trempée… Vous trouvez peut-être cette conduite abominablement phallocrate, envers une femme qui est face à un évier, avec les mains embarrassées d’un panier à salade ?

– Arrête, petit cochon, les filles pourraient nous voir.

Si elle savait que je suis là avec leur bénédiction, et qu’elles doivent être en train de chercher à imaginer ce que nous faisons dans la cuisine ! Et comme mon index s’agite de plus en plus autour de son petit bouton, elle ne dit plus rien et commence à gémir doucement. Ses tétons doivent être durs à lui faire mal, car elle se glisse une main dans le décolleté et commence à les malaxer. Je l’y aide activement de ma main restée libre, et bientôt elle doit se fourrer un torchon entre les dents pour s’empêcher de crier.

Une fois retrouvés ses esprits, elle se retourne vers moi, semble se rendre compte que je n’ai pas eu les mêmes satisfactions qu’elle, et soudain, sans que je ne lui demande rien, me débraguette, sort ma bite et la branle jusqu’à ce que je gicle sur le parquet – ce qui, dans l’état où je suis, ne prend que quelques secondes.

Pendant que je nettoie le sol, Marie-Cécile essuie ses cuisses trempées de mouille. Elle remet de l’ordre dans sa tenue, essaie de la défroisser avant que nous ne rejoignions les filles. Lorsque j’arrive à table, Angélique m’attrape la main droite et dépose un baiser sur mon index. Ce serait un geste banal entre amoureux dans toute autre circonstance, mais là, Béatrice est prise d’un fou rire qu’elle étouffe dans sa serviette. Visiblement, les filles ne se sont pas contentées d’imaginer ce que nous faisions ! Heureusement que Marie-Cécile ne s’est aperçue de rien.

Après le repas, les filles vont dans la chambre d’Angélique en annonçant qu’elles vont faire la sieste. Je l’ai assez faite avec elle pour savoir ce que cela veut dire, et de mon côté j’accompagne Marie-Cécile jusqu’à son lit. Elle accepte puis provoque des caresses nouvelles, me les rend… Après plusieurs orgasmes successifs nous sommes tous les deux étendus dans le lit, elle sur le dos, les yeux clos, à moitié endormis, moi lui caressant le ventre et la chatte, lui préparant un nouveau départ au septième ciel.

Et voilà que sa fille Angélique ouvre silencieusement la porte. Entièrement nue, elle me fait signe de me taire et se glisse au pied du lit sans que Marie-Cécile ne s’en aperçoive. Je lui laisse l’endroit que j’étais en train de caresser, portant ma main un peu plus haut. Dans son demi-sommeil, ma future belle-mère met un moment à comprendre que la langue qui lui enflamme le clito ne doit pas être la mienne. Elle a un sursaut, mais Angélique se couche déjà sur elle, l’embrasse, presse ses seins, son ventre, son bouton contre les siens. De mon côté je redouble mes caresses, et il ne faut qu’un instant à Marie-Cécile pour jouir de nouveau.

C’est au tour de Béatrice d’entrer dans la chambre. Elle se penche sur ma bite, la prend dans sa bouche, ondule timidement de la langue et des lèvres, puis se fait de moins en moins timide… son doigt venant me titiller le trou cul. J’ai joui en déchargeant de longues giclées qui ont atterrit sur la poitrine de Marie-Cécile qui a éclaté de rire, tandis qu’Angélique et Béatrice virent nettoyer tout cela de leurs petites langues vicieuses.

 

PS : Ce texte sans mention d’auteur trainait sur mon disque dur depuis 2003. Je l’ai un peu arrangé à la sauce Vassilia. Une première version existe sur le site de Revebebe (signé Gérard) reprise sur Xstory (signé Hanjin) Dans ces deux cas le vol d’histoire est manifeste. (il suffit de comparer avec les autres récits de ces auteurs, les différences de style sont flagrantes). Il est bien évident que si le l’auteur de l’histoire originale désire se manifester et faire valoir ses droits, je ferais ce qu’il convient de faire en pareil cas.

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Alexis
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Mardi 7 septembre 2021 2 07 /09 /Sep /2021 11:51

Confessions bitophiles - 4

BiteFlag

Les rencontres de Norbert

J'ai découvert votre site il y a peu de temps et je l'ai trouvé très ouvert et très diversifié.

Je voudrais apporter mon témoignage sur la 'bitophilie' car elle existe bien et j'en suis un exemple.

 

En effet je suis avant tout attiré par les femmes qui m'excitent et que je respecte. Je les aime et je suis marié et heureux dans ma vie hétérosexuelle.

Toutefois, je dois l'avouer, j'ai une attirance illimitée pour les bites et uniquement cet attribut masculin que j'adore. 

La vue d'une sexe d'homme peut me provoquer une érection ce qui ne sera pas le cas avec une femme. Ceci dit, si je suis attiré par toutes les bites, la personne qui en ai le propriétaire ne m'intéresse absolument pas.

 

J'ai 39 ans et mes aventures avec des bites ont été rares et ont eu lieu durant les quelques années après ma majorité ce qui remonte à loin.

 

Ma première aventure je l'ai eu au lycée dans le vestiaire du gymnase. J'étais rentré en premier dans le vestiaire pour me changer alors que le reste de la classe était resté en salle pour regarder la fin d'une partie de Hand.

J'étais assis sur le banc en train de défaire mes lacets quand Antoine, un camarade de classe m'a rejoint.

De nature surexcité, Antoine gesticulait et chantait "on a gagné, on a gagné, il va me sucer.."' etc.

Je le connaissais et n'étais pas étonné de ses propos mais je n'envisageais pas qu'il vienne se poster devant moi et baisser le devant de son short libérant son sexe épais, mou et décalotté.

La vue de cette masse de chair pendante au bout cramoisi eut sur moi un effet qui me mit dans un état second.

Je pense qu'Antoine s'en était aperçu, et c'est pour cela qu'il est allé plus loin en collant son gland contre ma joue cherchant la bouche. 

Allez savoir pourquoi, mais ce jour-là je n'ai pu le repousser et j'ai englouti son membre.

Je ne l'ai sucé que quelques secondes , juste assez pour sentir son sexe grossir et le goûter car nous avons entendu du bruit et nous nous sommes arrêtés.

 

Ma seconde aventure je l'ai eu dans un cinéma porno vers l'âge de 20 ans.

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Je suis arrivé dans la salle sombre car le film avait déjà commencé et je me suis assis à côté d'un homme que je ne voyais pas.

Après quelques instants, avec les lueurs du film, j'ai compris qu'il se branlait ce qui m'excita en un quart de tour et je crois même m'être caressé au travers de mon jeans. Je n'avais pas l'intention d'aller plus loin, j'étais bien trop poltron pour cela, mais au bout de quelques minutes j'ai senti le genou de mon voisin toucher le mien et sa main s'en rapprocher. Paralysé je n'ai pas bougé, ce qui, je crois, à tout déclenché.

Il a alors placé lentement sa main sur ma jambe puis est remonté lentement sur ma cuisse.

Je pensais qu'il allait chercher ma braguette sous laquelle mon sexe était tendu, brulant et au bord de l'éclatement. Mais non, il prit ma main et la mit sur son sexe.

C'était la première fois que je prenais la queue d'un autre homme. Je me souviens vaguement de cette chaleur que j'ai ressentie dans ma paume au contact de ce membre pas très long mais épais.

Il m'a incité à le branler ce que j'ai fait jusqu'à sentir quelque chose de brulant couler le long de ma main. J'ai compris qu'il avait joui et , pour la première fois depuis mes pollutions nocturnes, j'ai éjaculé dans mon slip presque instantanément sans même me toucher.

Je me suis alors levé et je me suis empressé de sortir. Je suis rentré chez moi, pas fier, le slip collant de sperme et dégageant, dans le bus, une odeur caractéristique de foutre.

 

Ma troisième aventure s'est déroulée dans les urinoirs d'une grande galerie marchande.

Je suis entré dans ce lieu que je ne connaissais pas et je suis allé chercher une place au fond.

Au fond c'était dans un recoin, une sorte de petite pièce annexe où il y avait 4 urinoirs dont 2 occupés.

Je me suis installé face au mon urinoir et j'ai sorti ma queue pour uriner.

Là un des gars est parti et je suis resté avec mon voisin. A nouveau, comme au cinéma, j'ai constaté qu'il se masturbait et qu'il tournait son visage vers ma bite.

Excité je me suis retrouvé bloqué à ne plus pouvoir uriner et j'ai commencé à sentir mon sexe grossir.

Mon voisin s'en est vite aperçu je crois car il passa, sans gêne, sa main devant moi et attrapa ma queue sans ménagement. 

Il me dit d'un ton sec de prendre la sienne et de le branler. Soumis je me suis mis à le masturber.

Cela a duré quelques minutes qui furent une éternité. Il m'a branlé violemment jusqu'à me faire jouir. 

Hélas il ne fut pas satisfait de ma prestation car je n'avais pas atteint le même résultat avec lui.

Il me demanda alors de le rejoindre dans une cabine.

J'ai attendu qu'il y rentre et je me suis sauvé.

Après je me suis repassé le film et me suis dit qu'il était dommage que ce type n'était pas trop sympa parce que j'aurais bien aimé sucer.

Merci et continuez, votre site est génial et innovant.

 

Norbert

Rencontres nocturnes par Loïc

Bravo pour ce site que je consulte depuis que je l'ai découvert au début de l'année. Le concept de bitophile me plait bien puisqu'il correspond bien à mes errances. De plus la philosophie du lieu qui est à la fois une ode au respect de l'autre et à la liberté individuelle me plait bien tout comme vos piques contre quelques féministes déphasées.

J'ai tenté plusieurs fois de coucher sur le " papier " quelques-unes unes de mes plus intéressantes rencontres nocturnes, voici un exercice qui me plait bien, mais pour l'instant je garde ça pour moi, il n'y a rien de vraiment original là-dedans. Alors faut-il parler du reste ? Je pense qu'effectivement que ceux qui se lancent dans certaines quêtes doivent savoir que parfois ça ne le fait pas toujours. Ainsi ce dernier mardi, je me rendis comme souvent dans un des clubs parisiens on l'on peut faire des rencontres bitophiles. Il faut savoir que ces visites sont un pari, parfois on ne trouve personne. Je rentre, il y a deux hommes dans la grande salle en train de se masturber mutuellement, ils ne m'inspirent pas trop, je descends dans la petite salle gay, deux hommes se contentent de regarder la vidéo. Je pense donc ne pas m'éterniser dans le lieu, je remonte, un nouveau vient d'arriver, il entre dans une cabine, mais ne la ferme pas.

J'ouvre, le type a sorti son engin et se le masturbe, pas trop joli l'engin, assez long mais pourvu d'un prépuce envahissant. Mais bon faute de mieux. Je sors donc mon propre sexe et le masturbe à mon tour afin que mes intentions soit claires. L'homme enlève sa chemise, baisse son pantalon. J'aime pas trop son corps, il est rare que je flashe sur le corps d'un homme, Il ne lâche pas sa queue, je lui tripote donc les couilles, lui fait les seins et lui donne même des petites tapes sur les fesses. Il a l'air d'apprécier, mais au niveau interactivité c'est nul. Ce petit jeu ne m'apportant pas grand chose, je décide au bout de cinq bonnes minutes de mettre les voiles, et je me reculotte. Voyant cela notre homme se met alors à genoux devant moi, commence par dégrafer ma ceinture, ouvre la fermeture de ma braguette, mais semble avoir des problèmes avec les deux boutons du haut, du coup il tire comme un malade et les fait craquer tous les deux. Je n'ai rien à faire avec un mec capable de tels actes de violence, je prends ma sacoche tandis que l'autre qui parle pour la première fois (et en anglais) me dit qu'il est sorry, sorry . Il ira jusqu'à me proposer 10 euros, je ne saurais jamais si cette proposition visait à louer mon corps ou à couvrir les frais de réparation de mon pantalon, mais je l'ai planté là, allant plus loin dans la rue m'offrir d'autres plaisirs qui n'ont rien ceux là de bitophiles. Pourquoi raconte-je ça : Comme ça ! Je crois qu'il ne faut pas se décourager, certaines rencontres dans ces lieux sont nulles, mais d'autres sont tellement merveilleuses. Je vous remercie de votre attention

Découverte pas Henri

 

Avant de lire les histoires vécues de certains auteurs, je me croyais bisexuel. A présent, je sais que je suis hétéro, et bitophile.

Voici comment je me suis rendu compte de la " chose ".

 

J'ai aujourd'hui 38 ans, divorcé. A l'époque, j'étais encore marié, je travaillais dans une petite commune située à peu près au centre de la France.  Souvent, après le déjeuner, il m'arrivait de partir une petite demi-heure avant le début de mon travail de bureau, histoire de marcher un peu. Un jour, en promenade, j'ai été pris d'une envie d'uriner. Cette envie était suffisamment forte pour ne pas pouvoir attendre d'aller aux toilettes de mon lieu de travail. Aussi, je décide donc de me rendre dans les toilettes publiques, situées sous un kiosque au centre d'une place. Là, je rejoins une pissotière et me soulage de cette grosse envie. Je croyais au début être seul dans ces toilettes. Pourtant, au bout de quelques secondes, j'entends du bruit dans la cabine fermée située juste à côté de la pissotière que j'occupais. Et en écoutant attentivement ce bruit, il n'y avait pas de doute possible : une personne était à l'intérieur en train de se masturber.

Ayant terminé d'uriner mais un peu curieux, j'attendais de voir qui allait bien sortir de la cabine. Occupant ce petit laps de temps à me laver les mains au lavabo situé près des cabines, je vois alors un homme sortir assez rapidement. Je me rends alors dans le lieu qu'il occupait et voit au sol ce qui ne pouvait être que des petites flaques de sperme. J'avais donc parfaitement bien interprété le bruit que j'avais entendu. Je me rends compte alors que le mur séparant cette cabine de celle d'à côté, était percé d'un trou, à hauteur de la ceinture, et d'un diamètre d'environ 7 ou 8 centimètres.

Je suis ressorti des toilettes, un peu troublé par ce que je venais de voir et entendre.

 

Quelques jours plus tard, à l'occasion d'une promenade telle que je les pratiquais comme expliqué plus haut, instinctivement mes pas m'ont dirigé vers les toilettes publiques, alors que je n'éprouvais aucune envie d'uriner, cette fois. En entrant, je me suis aperçu que l'une des cabines, la première, était verrouillée. Quelqu'un était donc à l'intérieur. Je suis entré dans la deuxième et ai refermé le verrou derrière moi. J'ai glissé un œil par le trou dans le mur, et j'ai vu ce spectacle : un homme était en train de se masturber, pantalon et slip complètement baissés. Son sexe était de belle taille, mais son érection n'était pas encore complète. J'ai alors senti mon pénis prendre du volume, à ma plus grande surprise. Si je ne regardais jamais les mecs dans la rue (je préfère de loin mater les filles), en revanche j'aimais contempler leur sexe. Quelle révélation !

Au bout de quelques minutes, le type s'est rapproché du mur et a passé son sexe par le trou. J'étais un peu surpris, et me sentais un peu idiot dans cette situation. Je n'avais jamais touché d'autre pénis que le mien ! Et pourtant celui-la se présentait à moi. Je l'ai pris dans ma main et ai commencé à lui donner un mouvement de masturbation. Le sexe s'est alors immédiatement redressé fièrement. Et j'ai senti le mien devenir tout raide dans mon pantalon. J'ai masturbé le sexe de cette homme pendant quelques minutes, jusqu'à entendre de sa part une sorte de gémissement. J'ai compris qu'il allait jouir et me suis reculé un peu pour ne pas avoir de sperme sur mes vêtements. Et j'ai bien fait : il a éjaculé, par longues saccades qui se sont écrasées sur le sol. Une fois terminé, il a retiré son sexe. Je l'ai entendu se rhabiller et sortir de la cabine.

Je me suis donc retrouvé tout seul, mon pénis dur comme un roc dans mon pantalon, devant de belles traînées de sperme par terre. J'ai alors sorti mon sexe et me suis masturbé à mon tour, en me remémorant les instants que je venais de vivre. Ma jouissance n'a pas tardé : j'ai éjaculé longuement, avec un plaisir d'une rare intensité.

 

Quand je suis ressorti de la cabine, je me suis dit que le prochain qui s'y rendra ne sera pas déçu : il y trouvera une bonne partie du sol maculée de sperme !

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Dimanche 5 septembre 2021 7 05 /09 /Sep /2021 08:15

 

Valentina et son fils par James01

0Valentina

Valentina et son fils

 

Valentina01

Bonjour, je suis Valentina ! Je vous plais, il paraît que j'ai encore de beaux restes !

J'aime le sexe, je suis très coquine, et je n'ai pas de tabou.

 

Valentina02

 

Lui c'est Tomas, c'est mon fils, le voilà qui fouille dans mon décolleté, je crois qu'il a des intentions salaces, ce petit vicieux.

 

Valentina03

 

Oh, mais c'est que ça bande bien là-dedans !

Valentina04

 

 

Tiens tu veux les voir mes gros nichons de salope ! Régale-toi.

Valentina05

 

Oh, oui suce-les moi c'est si bon !

Valentina06

A mon tour de te sucer, tu sais que j'adore te sucer ta bonne bite !

 

Valentina07

 

Je suis vraiment une salope, mais j'aime trop sucer mon fils !

 

Valentina08

 

Et maintenant il me baise ! Et alors ? On ne fait de mal à personne !

 

Oh, oui bourre-moi bien, c'est trop bon !

 

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : James
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