Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 09:46

Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 10 – Les sauvageonnes par Maud-Anna Amaro

stamp lesbos douche

Les cinq minutes en durèrent bien vingt et c’est un peu fourbues qu’elles arrivèrent à la ferme de Closets où Vicky s’empressa de distribuer des grands verres d’eau fraiche

 

– Dis donc toi la bourgeoise, t’as pas un peu fini de me reluquer mes nichons. T’es gouine ? Commença Vicky.

– Oh ! Vous m’avez emmené ici pour me faire des réflexions ou pour m’expliquer votre cirque ?

– Calmez-vous toutes les deux, on n’est pas là pour s’engueuler ! Vicky, si tu veux pas qu’elle te mate tes seins, enfile-toi un truc.

– Je suis très bien comme ça !

– Faudrait savoir ? Bon alors j’explique : l’abruti qu’on a ligoté c’est Caribou, c’est lui qui a eu l’idée de foutre en l’air l’échafaudage de la grotte.

– Ah ?

– Nous, on était pas contre, on était même vachement pour. Seulement il a déconné, il a fait faire le travail par un abruti en oubliant de lui demander de vérifier si la grotte était occupée ou pas. Je passe les détails mais son attitude a fait éclater le groupe, on était six au départ deux sont partis chez vous, si on a tout compris et il y a eu un mort…

– Un mort ?

– Oui, sans doute par la faute de Caribou. Nous deux on s’est barré et puis on a changé d’idée on s’est dit que puisque Caribou devait être parti on serait aussi bien à la ferme. Seulement voilà Caribou est revenu, ça va, tu suis ?

– J’essaie ! Quelle salade !

– Il a pété les plombs, on a voulu le virer, mais il nous a menacé avec son flingue ! Tu te rends compte, nous menacer avec un flingue, faut être malade !

– On dirait bien. Répondit Beatrice qui s’en serait voulu de les contrarier.

– Donc on est entré dans son jeu et il nous a exposé son plan.

– Son plan ?

– Ben oui il voulait absolument faire quelque chose pour empêcher l’exploitation de la grotte, son plan c’était de prendre un otage qui serait libéré d’une part contre la restitution de Dorothée et d’autre part après que votre bande ait dynamité la grotte.

– Eh bien ! Cela dit on n’est pas une bande.

– Vous êtes quoi alors ?

– On a tous des fonctions différentes. La grotte est ornée de peinture sans doute gallo-romaine, je suis là pour voir comment les protéger…

– Et il voulait dynamiter ça, l’autre con ! Mais vous allez faire quoi maintenant ?

– J’en sais rien, répondit prudemment Beatrice, ce n’est pas moi qui a eu l’idée d’exploiter cette grotte.

– Et l’échafaudage il va être remplacé ?

– Je ne sais pas, le mec y réfléchi.

– Parce que tu crois que c’est beau d’abimer la montagne ?

– Non, c’est pas beau mais en fait je ne crois pas que ça l’abime, et en tous cas ça l’abime moins que ce que font les promoteurs dans les stations de sport d’hiver.

– On ne justifie jamais rien par le pire ! Déclara Vicky d’un ton péremptoire.

– Certes ! Bon, je peux y aller maintenant ?

– Bien sûr, c’est comme tu veux.

– Je ne risque pas de me perdre ?

– On va t’accompagner, on va faire un détour, inutile de repasser là où on a laissé Caribou. Précise Mariette

– Regarde encore une fois mes nénés puisque tu ne peux pas t’en empêcher, tu n’es pas près de les revoir. S’amuse Vicky.

– C’est dommage ! Répondit malicieusement Beatrice.

– Tu peux peut-être me répondre, maintenant. T’es gouine ou pas ? Et le prend pas mal je demande juste ça comme ça.

– Et toi ?

– Moi, ça m’arrive !

– Et bien moi aussi.

– T’aimerais me caresser les seins ?

– Ça ne me déplairait pas !

– Ben, fais-le !

– T’es sûre !

– Oui j’ai besoin d’une petite détente après toutes ces émotions…

– Tu veux juste une caresse ou une détente ?

– Caresse-moi, on verra bien.

 

Béatrice tend une main vers le sein ainsi offert et le pelote négligemment.

 

– Vas-y carrément, pince-moi le téton !

– Comme ça ?

 

Et comme Béatrice dispose de deux mains et que Vicky possède deux seins, ce n’est pas un téton qu’elle pinça mais deux ! Logique, non ?

 

– Mariette a une plus belle poitrine que moi, mais elle est timide et elle est moins gouine !

– N’importe quoi ! Répond l’intéressée.

– Ben alors montre tes nichons à… comment tu t’appelles d’abord ?

– Béatrice.

– Je les montrerais quand je voudrais !

– T’as tort, elle a les mains douces, et dis donc Béatrice, moi aussi j’aimerais bien voir les tiens.

– Ce n’est pas un problème ! Répond l’intéressée en se dépoitraillant.

– Hum ! Pas mal du tout, tu préfères lesquels, Mariette ?

– Les miens !

– Ben, montre-les !

– Quand je voudrais ! Je ne les montre pas à tout le monde !

– Béatrice n’est pas tout le monde ! C’est une otage que nous avons courageusement sauvé d’un sort funeste ! Au fait Béatrice tu aurais pu nous faire un petit bisous…

– Je peux même t’en faire un gros ! Répond-elle en approchant ses lèvres de celles de Vicky.

 

Comme le lecteur s’en doute, le baiser en question fut profond et baveux, les mains ne restèrent pas inactives, et quand Béatrice se dégagea ce fut pour aller de nouveau lécher les tétons de sa partenaire.

 

– Vous n’avez qu’à vous gouiner devant moi, faut pas vous gêner ! Persifle Mariette.

– Tu sais pas ? Soit tu nous rejoins, soit tu vas faire un tour !

– Mais non, je rigolais, j’arrive ! Roule-moi un patin, la bourgeoise, si tu veux voir mes nichons.

 

Voilà une proposition que Béatrice ne saurait refuser.

 

Les deux bouches se collent, la jolie chimiste en profite pour passer ses mains sous le débardeur, elle peut ainsi peloter les seins de Mariette qu’aucun soutien-gorge n’emprisonne.

 

Un étrange ballet s’organise entre les trois femmes, on s’embrasse à qui mieux-mieux, on se caresse et on se plote les nichons. Et ce jusque Vicky propose de continuer ces petites fantaisies sur un lit.

 

Les trois coquines enlèvent leurs derniers vêtements, Béatrice après toutes ces émotions a envie de rester passive du moins pour le moment et désire qu’on s’occupe d’elle. Elle s’affale donc sur le lit et attend l’assaut.

 

Il ne tarde pas, Vicky vient l’embrasser tandis que Mariette en attendant mieux lui caresse les épaules. Puis de façon quasi spontanée les deux petites rebelles se jettent sur les seins de Béatrice, le gauche pour Vicky, le droit pour Mariette. A ce jeu Vicky semble plus délicate que sa camarade, question d’appétence probablement.

 

Mais Vicky qui veut varier les plaisirs quitte le joli téton pourtant si agréable de notre belle chimiste pour descendre un peu plus bas, entre les cuisses et se régaler de l’humidité de sa chatte.

 

Béatrice ainsi doublement sollicité apprécie grandement, mais elle en veut plus, et soulève son bassin espérant que sa partenaire comprendra le signal.

 

Eh bien, oui, elle le comprend, tout en continuant à lui lécher la moule, sa main passe en dessous des fesses et quand le doigt atteint l’anus, elle le force.

 

Ah ! Elle aurait le mouiller avant ! Qu’à cela ne tienne, elle le met dans sa bouche, l’humecte de sa salive et recommence. Et cette fois le doigt entre bien dans le trou du cul de Béa.

 

– J’ai un gode si tu veux ?

– Oui, oui, va le chercher.

– Fais gaffe lui dit Mariette, elle va te le foutre dans le cul !

– Justement, j’adore ça !

– T’es vraiment une bourgeoise dépravée.

 

La réflexion n’était pas prononcée sur le ton de la méchanceté, mais elle agaça néanmoins Béatrice.

 

– Ecoute moi bien, je n’ai rien contre les bourgeoises, mais en ce qui concerne je me contente d’être ingénieur chimiste.

– Oh lala te fâches pas, je disais ça pour taquiner !

– Et puis dépravée, ça ne veut rien dire, j’aime le cul mais je ne fais de mal à personne.

– Tu sais que t’es belle quand tu te mets en colère !

 

Et sur ce Vicky revient avec le gode dans la main.

 

– J’ai eu du mal à le retrouver, qu’est qu’il foutait dans l’égouttoir à vaisselle ?

– Ben fallait bien le laver, non ?

 

Vicky se livre alors un petit jeu, portant le gode devant sa bouche, elle mime une fellation, avec jeu de langue et de lèvres.

 

– Hum ! T’aime ça sucer des bites, on dirait ?

– J’adore ! Mais on va être en manque, tous les mecs sont partis. Avant on partouzait comme des lapins, on s’éclatait bien…

 

Et soudain elle s’arrête de parler et se met à sangloter !

 

Béatrice interroge Mariette du regard.

 

– Elle repense à Louison, c’était son mec, il est tombé dans un précipice. Mais il n’est peut-être pas tombé tout seul.

– C’est cette ordure de Remy, il faudra qu’on lui fasse sa fête ! S’exclame Vicky en séchant ses larmes.

– Remy n’y est pour rien, il s’est défendu, Caribou voulait sa mort.

– J’espère qu’il est en train de bien en chier avec ce qu’on lui a fait.

– Bon tu veux aller te reposer !

– Non on va reprendre là où on était. Caribou nous a fait assez de mal comme ça, il va pas en plus nous empêcher de baiser, non ? Il est où le gode ?

 

Il avait roulé par terre, Vicky le ramassa, le revêtit d’un préservatif.

 

– Elle le veut dans le cul ! Lui souffla Mariette.

– Tourne toi, la bourgeoise !

 

Elle renonça à lui expliquer à elle aussi, qu’elle n’avait rien d’une bourgeoise. Après tout si ça les amusait de l’appeler ainsi…

 

– Oh, le beau cul ! S’exclama Vicky.

– Il te plait ?

– Je vais être obligé de le lécher !

– Je t’en prie, ne te gênes pas !

 

La langue de Vicky est diabolique, sa pointe furète tant et si bien l’entrée de l’anus que celui-ci finit par s’ouvrir.

 

– Hum, quelle odeur ! J’adore !

– Régale-toi ma grande.

– Tu veux gouter, Mariette ?

– Moi je ne lèche pas le cul des bourgeoises !

– T’as bien tort, c’est délicieux.

– Bon, puisque t’insistes !

 

Pas facile de faire un anulingus à deux langues, Elle essayent, en profitent pour se faire un petit langue contre langue, mais finalement opte pour le léchage alterné, bien plus pratique.

 

Et tout d’un coup, Vicky introduisit le gode et le fit aller et venir dans le conduit anal de la belle chimiste qui ne tarda pas à être envahie par des frissons de plaisir

 

Mariette qui ne savait pas trop où se placer et qui ayant complètement dépassée ses hésitations de tout à l’heure vint offrir sa chatte à Béatrice qui put ainsi de régaler de son jus.

 

La tension montait, Béatrice fut bientôt atteinte de spasmes et explosa sa jouissance, Vicky lui retira prestement le gode, la fit se retourner et vint lécher le jus qui dégoulinait de son entre jambe.

 

Mariette dépitée qu’on l’abandonna, commença à vouloir se finir à la main, mais Béatrice, bonne fille vint terminer ce travail un moment interrompu.

 

Et après que celle-ci eu jouit à son tour c’est spontanément qu’elle se précipitèrent toutes deux sur Vicky, la langue de Béatrice sur son téton, celle de Mariette plus bas.

 

Béatrice aurait bien fumé une clope mais elle n’en avait pas ayant été kidnappée avant de pouvoir en acheter.

 

– Nous on se les roule ! Lui dit Vicky

– Tu m’en roule une, je ne sais pas faire !

– Mais bien sûr ma chérie !

– C’est bien les bourgeoises ça, ne pas savoir rouler ses clopes ! Persifla Mariette.

– Oh toi ça va !

– Mais te fâche pas, on peut bien rigoler.

– Et sinon on pisse ou ici ?

– Dans la cour il y a une chiotte, mais c’est pas très ragoutant. Nous on fait dans une cuvette et après on jette.

– C’est très romantique ! Je peux avoir une cuvette ?

– Sinon tu peux me pisser dans la bouche, si c’est dans tes pratiques.

– Pourquoi pas ?

– Hé, mais c’est donnant donnant, après c’est moi qui te donnerais à boire.

– No problem ! Répondit Béatrice.

 

Elle sortirent afin de faire ça dans la cour. Vicky qui au passage s’était emparer d’une serviette, la déposa par terre avant de se coucher dessus, bouche ouverte.

 

Béatrice s’accroupit de façon à ce que sa chatte soit à quelques petits centimètres de sa bouche.

 

– Arrose-là bien, elle adore ça, cette trainée ! Commente Mariette de nouveau excitée.

Ours10

Béa avait une grosse envie et Vicky ne pouvant tout boire, en met un peu partout à côté. Quand la miction semble terminée Mariette vient embrasser son amie alors qu’elle a encore de la pisse dans la bouche.

 

– Si Madame veut bien prendre ma place sur cette serviette pleine de pisse… Se moque Vicky.

 

C’est donc au tour de Béatrice d’ingurgiter ce qu’elle peut de l’urine de la rebelle blonde.

 

– Je ferais bien un petit caca, maintenant. Ça t’intéresse ?

– Un petit peu !

– C’est vrai ? Tu aimerais que je te chie dessus ?

– Tu me le proposes, alors je te réponds « juste un peu ! »

– O.K. T’es vraiment une bourgeoise perverse !

– Je vous ai déjà dit que… et puis tant pis, si ça vous excite de m’appeler comme ça, tant mieux pour vous ! Alors Oui, je suis une bourgeoise perverse, je suis à moitié gouine, je bois de la pisse. Alors maintenant chie-moi dessus.

 

Vicky est de nouveau accroupie à califourchon au-dessus de Béatrice, mais cette fois elle est tournée visage vers les pieds et le cul au-dessus de la poitrine.

 

Spectacle extrême mais fascinant pendant lequel l’anus s’ouvre et commence par laisser passer un petit étron qui va rapidement grossir pour atteindre la taille d’un joli boudin, puis va se détacher et s’aplatir sur le corps de la receveuse.

 

– Bravo, c’était un joli boudin ! Commente Béatrice en se relevant après s’être débarrassée de ce cadeau insolite. Je voudrais me passer un peu d’eau, je peux faire ça où.

 

Il faut aller au puit qui est là tout près, tracter un seau d’eau et s’en asperger.

 

Et c’est ce qu’elles font toutes les trois, s’aspergeant d’eau en rigolant comme des gamines.

 

Une rencontre qui avait commencé de façon dramatique et qui s’est terminé dans une joyeuse bonne humeur…

 

– Tu reviendras nous voir ? Demande Mariette

– Je croyais que tu n’aimais pas les bourgeoises ?

– Justement, c’est ça qui est très pervers et excitant !

 

Quand Beatrice fit devant ses compagnons le récit de son kidnapping et de ce qui s’en suivit Dorothée réagit :

 

– Tu as eu de la chance. Il a vraiment fallu que Caribou soit dégueulasse pour que les deux nanas retournent leur veste ! Mais moi je suis contente, j’ai eu ma vengeance, le Caribou il a dû se taper la trouille et la honte de sa vie, j’espère que ça va bien le traumatiser. Dis-moi ça s’est passé comment ensuite avec les filles ?

– Elles ont été adorables !

– Bon, je vais aller les rejoindre, j’espère qu’elles voudront de moi, sinon j’irais voir ailleurs. Je vais me préparer, je vous remercie tous de votre accueil vous avez été vraiment sympas.

– C’est nous qui te remercions ! Lui répond Isabelle, sans ton intervention on serait en train de pourrir dans la grotte.

– Ce n’est rien, je compte sur vous pour ne pas défigurer la montagne.

– Ne t’inquiètes pas l’ascenseur, on ne le verra même pas. Répond Justin.

– Vous ne m’en voulez pas pour la boulette que j’ai fait à propos de Georges ?

– On ne t’en a jamais voulu !

 

Alors Dorothée fit une grosse bise à tout le monde et s’en alla vers son destin .

 

– Quand même pour l’ascenseur, tu lui as répondu n’importe quoi ? Dit alors Isabelle à son compagnon

– Mais pas du tout, l’ascenseur je vais le végétaliser, quelques branches d’arbres tout autour, et ce sera très coquet !

 

Caribou se demande comment il va s’en sortir, il tente de se défaire ses liens en effectuant des mouvements de poignets, mais la chose s’avère compliquée. Il réussit à se mettre debout et à recracher le mouchoir en papier qu’il a dans la bouche. Mais marcher dans la nature sans chaussures devient très rapidement un insupportable supplice, d’autant que ses bras liés ne peuvent éviter les branches basses d’attaquer son corps. Mais le pire c’est le sexe, une branche passe encore, mais plusieurs… il comprend alors pourquoi les peuplades primitives se baladent avec un pagne, ce n’est pas par pudeur, mais pour se protéger la bite.

 

Il s’arrête rapidement, les nerf à vifs et les pieds en feu.

 

Il se dit que la première chose à faire est d’essayer de se débarrasser de ses liens, il s’assoit maladroitement et commence une série de torsions destinées à les distendre, les nœuds n’étant pas compliqués l’opération reste possible mais fastidieuse, ce n’est même pas du millimètre par millimètre, c’est moins que ça.

 

Au bout de deux heures, peut-être plus puisqu’il n’a aucune notion du temps, le lien se lâche. Un problème est donc résolu, reste les autres, il lui faut se protéger la bite et les pieds. Avec les lambeaux de son tee-shirt il se confectionne des bandelettes qu’il enroule autour de ses pieds. Peu satisfait du résultat, il recommence en y incorporant des morceaux de fougères.

 

« Ça ne va pas tenir longtemps cette affaire-là ! »

 

Reste son zizi. Il tente de se confectionner un pagne, mais n’y parvient pas.

 

– Tant pis, je me protégerai avec mes mains.

 

Pendant qu’il s’escrimait à se libérer de ses liens, il en a profité pour réfléchir, il pensait d’abord revenir à la ferme et affronter les filles, mais il trouva la chose par trop hasardeuse, non, il irait surprendre Rémy, mais sans le défier, il attendrait qu’il dorme et là il lui donnerait un grand coup de pierre sur la tête puis lui piquerait fringues et chaussures.

 

Le problème c’est qu’il lui faudrait attendre longtemps, la nuit n’étant pas près de tomber. Parvenu sur place, il examina d’un peu loin la porte de la cabane, il ne lui semblait pas qu’elle soit dotée d’une quelconque serrure. C’était déjà ça !

 

En attendant, ben en attendant, il était bloqué. Pas question d’aller faire un tour en attendant, ces ersatz de chaussures finiraient par le lâcher.

 

Fourbu et choqué, les images de son agression par les filles lui revenant sans cesse en boucle, il finit par s’endormir d’un sommeil agité de cauchemars.

 

L’un deux le réveilla, il faisait nuit noire. Il attendit en vain que ses yeux s’habituent à l’obscurité.

 

– Merde je fais comment ?

 

Il tenta d’avancer mais la chose s’avéra trop hasardeuse.

 

Alors il eut l’idée d’attendre l’aube en espérant qu’à ce moment, Rémy dormirait encore. En attendant, il lui faudrait supporter le froid nocturne de la montagne, ainsi que la soif et la faim qui le tenaillaient. Il s’assit, les genoux contre le torse maintenus par les mains.

 

– Je ne vais pas m’en sortir, je vais attraper la mort… et je ne peux rien faire.

 

Dorothée atteint la Ferme des Closets avec appréhension, elle se demande si Mariette et Vicky ne vont pas la jeter. Si c’est le cas, elle a « plan B », mais il n’a rien de reluisant, ce sera de demander aux occupants du gite de l’accompagner à la gare de Briançon, alors là elle prendrait le train sans payer… la galère en perspective quoi !

 

– Hello ! Y’a quelqu’un crie-t-elle une fois dans la cour.

– Tiens, t’es là, toi ? Répond Mariette en ouvrant la porte.

– Ben oui et je suis là !

– Et tu veux quoi ? lui demande Vicky qui vient de sortir à son tour.

– Reprendre ma place.

 

Mariette et Vicky échange un regard, en fait elles ne comprennent pas bien.

 

– Il s’est passé quoi ? T’étais pas bien chez les bourges ?

– J’étais très bien, mais la question n’est pas là, je veux pas être à leur charge, et puis nous ne sommes pas du même monde même s’ils ont été super sympas.

– Ecoute, on ne va pas t’empêcher de retrouver ta place, mais tu es sûre que ça va marcher nous trois ensemble ? Lui répond Vicky.

– On verra bien, et puis je voulais aussi vous remercier

– Nous remercier de quoi ?

– Je voulais que les bourges m’aident à me venger de Caribou, j’estimais qu’ils me devaient bien ça puisque c’est grâce à moi qu’ils sont encore en vie.

– Ah bon ?

– Je vous expliquerais… Je leur ai demandé de m’aider à me venger de Caribou, ils n’étaient pas contre l’idée mais ils ne savaient pas trop comment opérer. Et puis Béatrice m’a tout raconté, c’est vous qui m’avez vengé, Merci ! Merci !.

– Ce n’est pas toi qu’on a vengé, c’est nous !

– Mais encore !

– On s’est rendu compte que Caribou pétait complètement les plombs, déjà l’histoire de la grotte, c’était limite, mais il a voulu tuer Remy.

– Quoi ! Béatrice m’a dit qu’il y avait eu un mort mais…

– C’est Louison qui est mort ! Sanglote Vicky

 

On lui raconte, l’émotion du moment fait s’étreindre Vicky et Dorothée.

 

– Bon allez, rentre. Il reste un peu de vodka tu en veux ?

 

Bref tout ça se passait dans une bonne ambiance.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 09:42

Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 9 – L’enlèvement de Béatrice par Maud-Anne Amaro

double stamp

Un peu plus tard, dès qu’elle en eut l’occasion Dorothée entreprit Justin.

 

– Je voulais te remercier…

– Me remercier de quoi ?

– De m’avoir soutenu quand j’ai dit que j’allais partir.

– Laisse tomber !

– Non, t’es gentil, vous êtes tous gentils… des gentils coquins.

– Crois-tu ?

– Tu sais, j’ai bien aimé quand tu as fait des trucs avec ce Monsieur Martinov. C’était marrant.

– Je dois être un peu obsédé, en fait j’aime bien le sexe, surtout quand ça se passe dans la bonne humeur.

– Et moi, comment tu me trouves ? Je veux dire si tu avais l’occasion de baiser avec moi tu le ferais ?

– C’est une proposition ou quoi ?

– Non, c’est juste une question !

– Eh bien ma foi, pourquoi pas ? Je veux dire, ce serait avec plaisir.

– On le fait ?

– Quand tu veux !

– Maintenant !

– Euh, je vais faire pipi d’abord…

– Je peux t’accompagner, j’adore voir un mec en train de pisser !

 

Justin est un peu surpris, mais ça ne le dérange pas, il se débraguette et sort une bite rendue à moitié bandée par la situation..

 

– Ah ! Je suis contente de la voir de près !

– T’es marrante toi !

 

Dorothée approche sa main et caresse un peu la chose.

 

– Si tu me fais bander, je ne vais pouvoir pisser !

– Mais si ! Dégage donc tes couilles, se sera plus esthétique.!

– Tout ce que tu veux, mais faut que je pisse.

– Vas-y je regarde !

 

Justin du se concentrer et fermer les yeux pour débloquer son sphincter vésical. Et pourtant il avait une grosse envie…

 

Quand le jet fusa enfin, il ouvrit les yeux. Manifestement Dorothée se régalait de la vision de la scène, à tel point qu’un moment elle introduit un doigt dans la trajectoire du pipi et le suça avec gourmandise.

 

– Petite cochonne ! Lui dit-il sans méchanceté aucune.

– T’as fini ?

– Ben oui !

 

La bouche de Dorothée se précipita alors sur la bite de Justin, se délectant des dernières gouttes d’urine imprégnant le gland.

 

– On a va où ? Demanda-t-elle

– Dans ma chambre, Isabelle ne doit pas y être…

 

Sur place ils se déshabillèrent prestement. Manifestement Dorothée avait l’intention de mener la barque, et elle se jeta sur la queue de Justin.

 

– Hum ! Elle est bonne ta bite ! J’adore sucer des bites, c’est tellement bon…

 

« Si elle me suçait au lieu de me raconter sa vie… »

 

Mais elle le fit, et fort bien, elle savait fort bien se servir de ses lèvres et de sa langue. Et pendant ce temps Justin lui pelotait sa jolie poitrine.

 

– Ne jouis pas comme ça, j’aimerais bien qu’on baise !

– Euh, c’est que je ne sais plus où j’ai foutu les capotes !

– C’est moi qu’est la boite ! Répondit Dorothée en chantonnant.

– T’avais tout prévu !

– Hé, hé ! Tu sais il y a un truc qui me plairait bien, c’est d’être prise en sandwich…

– T’aimerais que j’aille chercher Martinov ?

– Tu crois qu’il voudra bien ?

– Je vais lui demander ! Proposa Justin

 

Comme on s’en doute le professeur n’eut pas le cœur à refuser une telle invitation.

 

– Coucou professeur, c’est gentil de venir nous rejoindre ! C’est comment ton petit nom ?

– André !

– Je peux t’appeler Dédé ?

– Et moi je peux t’appeler Dodo ?

– Si tu veux, met toi à poil.

– On y va !

– Bon je vais te sucer un peu ta bonne bite, assis toi, tu seras mieux, euh Justin on peut peut-être le sucer à deux.

– Mais certainement !

 

Pensez que notre vert professeur est aux anges, il préfère sucer qu’être sucé, mais il faudrait être un vrai pisse-vinaigre pour ne pas apprécier le ballet infernal de ses deux langues coquines. Et puis il a les nénés de la belle à portée de main, pensez bien qu’il en profite et qu’il lèche avec avidité ses jolis tétons durcis par le désir..

 

– Bon on se met en position ! Propose Dorothée au bout d’un petit moment en expliquant au professeur de qu’elle souhaite.

– Oui mais on fait comment.

– Toi Dédé tu te couches sur le dos, je viens m’empaler sur toi en me penchant, et de cette façon Justin peut m’enculer.

– Alors on y va !

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Evidement tout est question de coordination, mais après quelques ratés, le trio trouva le bon rythme, à ce point que Dorothée se mit à jouir avec fracas.

 

Du coup Justin se retira sans avoir joui ,et la petite rousse se dégagea de l’étreinte de Martinov.

 

Allez venez les mecs, retires vos capotes, je vais vous sucer tous les deux en même temps.

 

Dorothée demande aux deux hommes se placer face à face de façon à leurs bites se touchent par le bout en position horizontale (tout le monde suit ?) La fille peut ainsi en prendre une dans chaque main, la branler, puis faire venir sa langue en simultanée sur les glands.

 

Justin part le premier, une partie de son sperme reste dans la bouche de la suceuse, l’autre a dégringolé sur ses seins. Elle étale un peu tout ça comme s’il s’agissait d’une crème de beauté, puis entreprend de terminer le professeur en y allant de vigoureux va-et-vient entre ses lèvres et en agrémentant la prestation d’un doigt dans le troufignon.

 

Elle en avale un peu, recrache le reste, prend ses affaires sous le bras et quitte la chambre.

 

– Merci les garçons, vous avez été très bien !

 

Martinov et Justin se regardent.

 

– Quel numéro ! Dit le premier.

– Elle est adorable ! Ajoute le second. C’était juste un peu rapide, j’aurais bien continué.

– Si veux m’enculer, je me laisse faire !

– Ça me parait une excellente idée, met toi en levrette, je vais m’occuper de ton cul !

 

Le professeur se met en position, Justin vient alors lui lécher la rondelle avant d’introduire un doigt qu’il fait aller et venir en cadence. , puis après avoir recouvert son sexe de la petite protection obligatoire il s’enfonce jusqu’à la garde dans l’anus du sexagénaire.

 

– Humpf !

– Pardon ?

– Oh ! Tu m’encules bien, c’est trop bon !

 

Justin lima son partenaire pendant de longues minutes, mais ne parvint pas à jouir, il continua néanmoins prodiguant des spasmes de plaisir chez notre vert professeur.

 

– Il finit par déculer, retira la capote et offrit sa bite à la bouche de Martinov, qui vous le pensez bien, ne la refusa pas ! Et il suça tant et si bien que bientôt son palais se remplit se sperme.

 

Les deux hommes s’embrassèrent sur la bouche.

 

– On est braiment deux gros cochons ! Commenta Justin.

– Mais on n’a même pas honte.

 

Caribou voit Georges sortir du gîte. Celui-ci se dirige prestement vers la sortie du bourg.

 

« Je vais essayer de faire du stop, maintenant que j’ai des habits propres, ça devrait le faire sinon j’irais à pied jusqu’à Briançon, ça mettra le temps que ça prendra. »

 

Caribou hésite puis décide de le rattraper

 

– Salut !

– Qu’est-ce que tu fous là, toi ?

– On peut causer ?

– Non ! Grogne Georges

– Juste une seconde.

– Merde !

– Pourquoi cette agressivité, je ne t’ai rien fait.

– Fous-moi la paix.

– C’est qui les bourges qui ont recueilli Dorothée ?

– Si on te demande…

– Dis-moi juste ça et après je ne te calcule plus.

– Merde !

– Tu t’acoquines avec les bourges, maintenant ! Bravo !

– Je n’m’accoquine pas, il m’ont pris pour un clodo, ils ont fait leur acte de charité, mais c’est des putains de bourges.

– Mais c’est qui ?

– Comme si tu l’savais pas, c’est les mecs de la grotte de l’Ours, ceux que t’as failli tuer avec tes conneries.

 

Et sur ces brèves paroles Georges tourne le dos à son ancien camarade et file sa route.

 

Caribou resta un moment interdit.

 

– Mais alors que fait Dorothée avec ces connards ?

 

Il ne trouva pas de réponse mais en savait néanmoins assez pour tenter d’envisager quelque chose. Fatigué, il reprit le chemin de la ferme des Closets.

 

– Tiens, les gendarmes ont retiré le ruban, une bonne nouvelle ! Se dit-il.

 

Et en entrant il tombe nez à nez sur Vicky et Mariette.

 

– Tu n’es pas le bienvenu ! Lui dit Mariette, ouvrant ainsi les hostilités.

– C’est quoi cette agressivité, je suis chez moi ici !

– Ça n’a jamais été chez toi, c’est un squat.

– Je reprends ma place c’est tout. Et d’abord qu’est-ce que vous foutez la ? Vous avez des remords ou quoi ?

– Tu dégages, on veut plus de toi ici.

 

Enervé, Caribou posa son sac à dos à terre, fouilla à l’intérieur et en sortit un pistolet avec lequel il menaça les deux jeunes femmes.

 

– T’as un flingue maintenant ? Tu ne vas tout de même pas nous tirer dessus ? S’affole Mariette.

– J’en ai marre que tout le monde me rejette, maintenant vous allez vous asseoir et m’écouter gentiment.

 

Vicky se demanda si elle était capable de le désarmer, elle y renonça, l’homme était pour l’instant trop loin d’elles rendant l’action périlleuse. Elle se dit qu’elles auraient d’autres occasions…

 

– Je vous informe que les gens de la grotte sont à Glandville, ils n’ont donc pas renoncé à leur projet débile. De plus ils ont récupéré Dorothée et Georges. Georges s’est enfui, mais apparemment Dorothée est toujours avec eux…

– Et qu’est-ce que tu veux que ça nous foute ? Rétorqua Vicky.

– Ça veut dire qu’il faut reprendre notre projet.

– Quel projet ?

– Empêcher les bourges d’exploiter la grotte.

– C’était pas notre projet, c’était une idée à toi.

– Vous étiez d’accord, non ?

– Disons qu’on n’était pas contre, sauf que t’as trop déconné.

– Mais merde, qu’est-ce que vous avez tous avec ça ? Y’avait du monde dans la grotte, et alors, c’était pas prévu et de toute façon ils n’en sont pas morts.

– Et Louison, il est mort comment ? Hurle Vicky

– Il a glissé.

– Ben voyons !

– Bon, vous allez la fermer un petit peu, soit vous collaborez gentiment, soit je vais vous faire collaborer avec mon flingue.

– Va chier ! Répond Vicky avec un sens aigu de la poésie.

 

A ce moment Mariette balance un coup de pied discret à sa camarade, avant de déclarer :

 

– O.K. On collabore. Explique-nous ce que tu comptes faire.

– On attend que quelqu’un sorte du gite des bourgeois, on le kidnappe, on le prend en otage, et on le rend à deux conditions. D’abord ils nous restituent Dorothée, ensuite, on leur demande dynamiter la grotte.

– Et sinon ?

– Sinon on commence par couper un doigt à l’otage.

– Mais t’es complètement malade ! Ne peut s’empêcher d’hurler Vicky.

 

Du coup, elle reçoit un nouveau coup de pied de la part de Mariette

 

– Je crois que c’est un bon plan ! Commente simplement cette dernière.

– O.K. on n’a plus qu’à mettre en application, en attendant je vais pisser, ne faites pas de bêtises.

– Tu joues à quoi ? Demande Vicky à sa camarade .

– Je rentre dans son jeu, son plan est débile, mais l’important, c’est qu’il finisse par baisser sa garde. Au pire il finira par dormir, à ce moment-là on lui piquera son flingue et on le vire.

 

Caribou revient un large sourire aux lèvres.

 

– Ah, ça fait du bien de pisser un coup. Bon, on ne va pas perdre de temps, on va y aller.

– On va aller où ?

– Ben faire ce qu’on a dit, on va kidnapper un bourgeois.

– Ça peut pas attendre demain ?

– Non, il faut battre le fer quand il est chaud.

 

Les deux femmes se regardent furtivement, leur plan s’accommodant mal avec cette précipitation imprévue, mais Mariette a de la ressource.

 

– T’inquiètes pas, je viens d’avoir une idée, on obéit à Caribou et à mon signal on renverse la situation ! Parvient-elle à souffler à sa camarade.

 

Le trio redescend sur Glandville, se met en place au poste d’observation utilisé par Caribou dans la matinée puis attend.

 

Au bout d’une heure Beatrice s’aperçoit que Dorothée s’est trompée de marque en achetant les cigarettes, elle sort donc pour en acheter d’autres.

 

Le trio se précipite à toutes jambes.

 

– On l’empêche ? Demande Vicky

– Mais non, elle va nous aider, à trois contre un, il est foutu… chuchote Mariette.

 

Beatrice chemine tranquillement profitant du beau soleil et du ciel bleu. Quand soudain, elle est entourée par trois individus. Elle pense au coup classique des détrousseurs de passants tout en s’étonnant de les voir agir en ce lieu, quand elle sent le canon d’une arme à feu lui chatouiller l’estomac.

 

– C’est un enlèvement, bouge pas, ne crie pas et tout se passera bien.

– Mais arrêtez, vous vous trompez de personne ! Je n’ai pas d’argent.

– Ta gueule poufiasse. Répond Mariette en lui balançant une gifle. Et maintenant tu avances !

 

Beatrice est alors entraînée sous la menace vers un petit chemin passant derrière le bourg. Puis le petit groupe prend la direction de la ferme des Closets.

 

Mariette et Vicky lui tiennent chacune un poignet, Caribou suit derrière avec son flingue à la main.

 

Vicky regarde sans cesse sa camarade guettant une initiative qui se fait attendre.

 

« Il suffirait qu’il passe devant ! » Se dit Mariette.

 

Elle a alors l’idée de piler.

 

– Oh, on avance ! Rouspète Caribou.

– Une seconde, j’ai une crampe.

– Souffle un coup, ça va passer.

– Tiens l’otage, juste une seconde.

 

Caribou n’a pas vu venir le piège, une manchette sur le poignet lui fait lâcher son arme. Beatrice par réflexe cherche à s’enfuir et tente de se dégager de l’étreinte de Vicky.

 

– Aide-nous à le maîtriser, on est avec toi.

 

Un coup de pied de Mariette a envoyé l’arme dans les fourrés. Perdant tout sens des priorités, Caribou se jette sur la jeune femme. Vicky qui a lâché le poignet de Beatrice vient à la rescousse. L’homme est immobilisé.

 

– Il faut lui ligoter les poignets, dit cette dernière.

– Avec quoi ? Il n’a même pas emporté de cordes, ce connard.

– Ton débardeur !

– Ça va pas le faire. Objecte Mariette

– Du moment que ça tient un petit moment, ça fera l’affaire.

– Pourquoi tu ne prends pas le tien de tee-shirt. ? Il est plus solide.

– J’ai rien en dessous !

– Et alors, qu’est-ce qu’on en a à foutre ?

– T’as raison.

 

Du coup Vicky enlève son haut dévoilant sa jolie poitrine. Puis tente de ligoter les poignets de Caribou.

 

– Il aurait fallu mouiller, ce serai plus efficace. Commente Mariette.

– Je mouille avec quoi ?

– Je ne sais pas, moi ? Pisse dessus !

– C’est pas idiot, je vais pisser ! précise-t-elle à Beatrice, tu te tournes ou tu tournes pas, c’est comme tu veux !

 

Beatrice est hébétée, ne réalisant pas ce qui se passe et a d’autres pensées en ce moment que de se demander si elle doit ou non se retourner.

 

Ainsi imbibé d’urine, le tee-shirt de Vicky constituait un lien tout à fait acceptable.

 

– On en fait quoi, maintenant, ? Demande Vicky.

– Attends, je vais essayer de récupérer le flingue

 

Le pistolet fût retrouvé assez facilement

 

– Qu’est-ce qu’on va en faire ? Demande Vicky.

– On va le jeter là où il ne pourra pas le récupérer.

– Bande de salopes ! S’écrie Caribou qui retrouve un peu de sa superbe.

 

Mariette lui pince le nez, l’obligeant à ouvrir la bouche, puis lui fourre un mouchoir en papier afin de l’empêcher de parler.

 

– J’ai une idée. Dit Vicky en commençant par enlever les chaussures de l’homme, puis en lui retirant pantalon et calfouette.

 

Pour le tee-shirt impossible à retirer par les bras en raison de ses poignets attachés, elle se contente donc de le déchirer.

 

– On va jeter tout ça, à poil, sans godasse et les mains attachées, il va ramer pour s’en sortir.

– Bien fait pour sa gueule !

– Et inutile de revenir à la ferme pour récupérer ton sac à dos, on va se faire un plaisir de foutre tout ça dans un précipice.

– Fouffff

 

Beatrice est toujours dans son coin, se demandant si elle n’est pas en train de vivre un cauchemar.

 

– Bon, on va rentrer, toi la belle bourgeoise, on te doit une explication.

– Je peux récupérer mon sac à main ?

– Ben il est là .

– Alors, c’est quoi ce cirque ?

– On va t’expliquer mais on ne va pas rester ici, on ne sait jamais… accompagne nous à la ferme c’est pas très loin.

– Euh, je ne sais pas, vous m’expliquerez en marchant ?

– On va essayer.

 

Oui mais essayez, vous, d’entreprendre une explication quand il faut emprunter un chemin caillouteux où on est obligé d’avancer en file indienne ?

 

– C’est Caribou… tente Vicky

– Caribou ?

– Oui, on ne va pas y arriver, on arrive à la ferme dans cinq minutes.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 09:34

Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 8 – Vicky et Mariette par Maud-Anne Amaro

 

stamp lesbos douche

A Briançon, Vicky et Mariette ont fait les poches d’un bonhomme et après s’être acheté des petits hauts, un tee-shirt pour Vicky et un débardeur à fines bretelles pour Mariette, ceci afin d’être un peu présentables, ont pu se payer un bon déjeuner.

 

– Tu vas faire quoi à Paris ? Demande Mariette.

– Ché pas et toi ?

– Ché pas non plus.

– C’est cool d’avoir des projets ! Se gausse Vicky.

– Je connais bien un squat, mais j’en ai un peu marre de ces mecs, entre ceux qui sont camés du matin au soir, des musiciens qui se croient géniaux et qui nous font chier, les plans foireux…

– Faudrait se trouver des mecs qu’ont du fric.

– En se relookant, ça pourrait le faire. Consent Mariette

– Finalement on n’était pas si mal à la ferme… si Caribou n’avait pas déconné…

– Si on y retournait ? Caribou a dû se barrer je ne sais pas où. On serait bien toutes les deux ?

– Et on va faire quoi ?

– Comme avant et puis je pense à un truc, avec l’argent qu’on a tiré au mec, on pourrait s’acheter une chèvre, on vendrait des fromages !

– Oh oui ! Une belle petite biquette ! Allez on repart dans l’autre sens !

 

Les gendarmes avaient posé un ruban « entrée interdite » devant la ferme et avaient oublié de le retirer. Les deux filles s’en chargèrent et se réinstallèrent.

 

– Demain, j’irais acheter la chèvre

– Et aujourd’hui on fait quoi ?

– Un câlin ?

 

Ah ! On a oublié de vous décrire ces deux coquines.

 

Parcours semblables, études ratées après le bac, rencontres d’après manifs avec des marginaux, squats, fumette, puis Vicky s’acoquina avec Louison, et Mariette avec Georges avant que ces deux-là finissent par ne plus se supporter

 

Alors Vicky est une grande bringue aux longs cheveux frisotants avec un joli nez un peu pointu, Elle se teint en blonde mais elle aurait présentement besoin de se refaire les racines, Mariette possède une bonne épaisseur de cheveux châtains qui lui tombent sur les épaules, de bonne joues et rigole souvent. Ce ne sont pas des canons, mais néanmoins de jolies filles.

 

– Tu veux me lécher les nénés ? Lui demande Mariette.

– C’est une idée ! Répond-elle en lui caressant les bras. Comment tu fais pour avoir la peau aussi douce, moi j’aimerais bien avoir la peau douce comme ça.

– J’en sais rien, mais je veux bien un bisou !

 

Les deux filles s’embrassent plus coquinement que passionnément, puis les mains de Vicky se font baladeuses, elle n’a aucun mal à sortir les seins du débardeur trop ample de Mariette.

 

Vicky les plote juste un peu avant de quémander un autre baiser sur la bouche, puis décide de dépoitrailler complètement sa camarade. Elle fait durer le plaisir et passe derrière elle afin de lui faire un faux massage des épaules pendant quelques instants.

 

Puis elle revient devant et cette fois attaque le téton droit avec sa langue

 

– Ah, tes bouts de sein, je les adore ! Ils sont déjà tout dur !

 

Mariette se pâme et rigole de bon cœur.

 

Vicky bien excitée se met torse nue à son tour, puis revenant vers Mariette recommence à lui exciter les seins, tandis que sa main descend furtivement vers son pantalon dont elle a défait l’ouverture.

 

Finalement elle lui retire complètement son pantalon. L’autre s’amuse en se laissant complètement dominer par sa camarade, elle se met sur le dos et lève une jambe en l’air, Vicky lui attrape et vient lui lécher le mollet, puis la cuisse avant de lui tripoter la chatte à travers sa culotte rouge.

 

Elle finit par écarter la culotte et dévoile le petit minou dont elle libère les lèvres avant de faire travailler ses doigts. Elle lui enlève ce bout de tissus qui la gêne et c’est cette fois ses lèvres et sa langue qui entrent en action. Mariette s’abandonne, se caresse, se pince les bouts de seins tandis que sa camarade lèche et lèche encore. Mariette commence à haleter, son plaisir s’approche, elle braille, se redresse un peu et accepte évidemment le baiser que Vicky lui propose.

 

Puis maintenant qu’elles sont toutes deux entièrement nues, c’est Vicky qui invite son amie à venir butiner entre ses cuisses. Malgré que Mariette soit moins pratiquante des plaisir saphiques, elle s’acquitte de cette tâche avec fantaisie écartant les grandes lèvres de ses doigts pour mieux lécher.

 

Coquinement, alors que ses doigts se sont recouverts de mouille, elle les fait lécher à sa camarade. Voilà qui tombe bien, elle adore le jus de chatte !

 

Vicky jouit à son tour et ce sont de nouveau des caresses et des embrassades.

 

– Je reviens, dit-elle à sa camarade.

Ours08

 

Elle avait laissé dans son « coin » une petite collection de godes. Elle en tend un, un rouge un peu fluo, à sa camarade et le lui fait sucer, avant de faire de même, puis de l’introduire dans la chatte ouverte de sa partenaire.

 

Le petit jeu dure jusqu’à ce que Mariette jouisse pour la deuxième fois.

 

– Tu vas m’épuiser ! Dit cette dernière.

– Mais non, tiens on va essayer un truc…

 

Elle se « mélangent » alors les jambes de façon à ce que leur chattes puissent se frotter l’une contre l’autre.

 

Après cette petite fantaisie Mariette se met en levrette en relevant sa croupe.

 

– Humm tu voudrais quoi ?

– Je le laisse deviner !

 

Vicky vient alors lui butiner l’anus, s’efforçant de faire entrer sa langue.

 

– Il sent trop bon, ton trou du cul !

– Tu parles, il aurais fallu que je prenne une douche.

– Moi je l’aime bien comme ça, j’aime bien les odeurs naturelles.

– Et bien régale toi ! T’as qu’à m’enfoncer le gode si tu veux, comme ça tu pourras le lécher après !

– Oh, mais, c’est une excellente idée ça !

 

Et sitôt dit, sitôt fait, le gode lui pilonne le cul à une folle cadence et Mariette qui ne compte plus ses orgasmes vient d’en avoir encore un.

 

Vicky sort le gode et le lèche.

 

– Cochonne !

– J’ai pas regardé !

– Embrasse-moi encore !

 

Le baiser est si baveux que de la salive dégouline sur les mentons des deux coquines.

 

– A ton tour de t’occuper de mon petit cul ! Propose Vicky en adoptant une pose obscène, croupion relevé, jambes écartées, tous ses trésors visibles et accessibles.

– C’est le paradis que tu me montres là !

– Non c’est l’enfer ! C’est tout chaud !

 

Vicky mouille son doigt et l’enfonce dans l’anus de sa partenaire.

 

– Oh, la salope, elle m’encule avec le doigt… Oh, oui, bouge-le bien, encore, encore…

 

Vicky ressort son doigt, le lèche ainsi que celui d’à côté et c’est maintenant deux doigts qui s’agitent dans le fondement de la petite sauvageonne. Celle-ci en même temps se frotte le clito avec frénésie et ne tarde pas à gémir son plaisir.

 

– Putain ça fait du bien ! Faut que je pisse maintenant. J’ai bien envie de te pisser dans la bouche. Indique Mariette avec un œil coquin.

– T’es vraiment complètement dépravée !

– Y’a un problème ?

– Non, ma salope, vas-y remplis-moi la bouche de ta bonne pisse. Répondit Vicky en se mettant en position de réceptrice.

 

Le liquide dorée ne tarda pas à envahir son palais, elle en avala une bonne rasade avec gourmandise, le reste dégoulinant sur sa jolie poitrine.

 

De nouveau les deux coquines s’étreignirent, mélangeant leurs corps et leurs langues.

 

Caribou se réveille au pied d’un arbre avec un gros mal de tête. On dit que la nuit porte conseil, mais ce sont de curieux conseils que cette nuit-là lui a prodigué, deux obsessions l’habite : d’abord se venger de cette pétasse de Dorothée, ensuite voir si l’écroulement de l’échafaudage de la grotte a suffi à décourager ceux qui voulait l’exploiter.

 

– Mais comment faire tout ça ?

 

Revenu brièvement en direction de la ferme, il a aperçu d’assez loin le ruban de sécurité de la gendarmerie.

 

– Donc ils sont venus, mais ils n’ont pas insisté, normalement ils auraient dû faire une battue ils ne l’ont pas fait, pourquoi ? Mystère ! Comment me renseigner ? Rémy peut-être ?.

 

Rémy l’a vu arriver de loin et l’attend avec un gourdin à la .main. Caribou hésite à avancer, il sait qu’en cas de bagarre il n’aura pas le dessus.

 

– Je veux juste causer !

– Ben moi je cause pas.

– Je cherche Dorothée.

 

Rémy ramasse une grosse pierre et vise les jambes de Caribou qui a juste le temps de s’écarter.

 

– Arrête tes conneries, je veux juste discuter

 

Une seconde pierre lui fit comprendre que le dialogue sera impossible. Il n’insista pas.

 

Ne sachant trop que faire, il décida d’aller traîner à Glandville, il ne risquait rien, en principe personne ne possédait son signalement.

 

Il chemina donc dans le bourg sous un soleil de plomb en évitant de se faire remarquer.

 

Quelle ne fût pas sa surprise de voir, sur la terrasse d’une propriété, assise sur un transat en train de fumer une cigarette, Dorothée entourée de deux jeunes femmes dont une blackette très BCBG.

 

– Qu’est-ce qu’elle fout là ? Et c’est qui ces pétasses ? Je ne les ai jamais vues nulle part.

 

Et puis l’explication devient toute simple, la plaque d’immatriculation de la voiture stationnée devant indique Paris.

 

– Des touristes, mais ce n’est pas vraiment la saison, et ça n’explique pas ce que fout Dorothée avec eux ?

 

Caribou craint de se faire repérer dans ce bourg où tout le monde connait tout le monde. Se souvenant qu’il avait dans son sac à dos, une paire de jumelles, il s’éloigne et choisit un poste d’observation discret.

 

– Je vais attendre que quelqu’un sorte, et j’irais aux renseignements.

 

Au bout d’un certain temps il aperçoit deux silhouettes se dirigeant vers le gîte, il chausse ses jumelles :

 

– Georges ? Mais qu’est-ce qu’il fout là lui aussi ? Et qui c’est le vieux con qui est avec lui ? Je me demande si ce n’est pas un coup monté ? Dorothée et Georges doivent être de mèche ! Les salopards !

 

Il décide de rester en planque pour le moment, et si ça ne donne rien, il se dit qu’il utilisera la force sans d’ailleurs savoir trop comment.

 

Le professeur Martinov épuisé par sa balade et ce qui s’en suivit, s’en va prendre une douche.

 

– J’irais après ! Indique Georges

 

A l’intérieur tout le monde somnole : Beatrice, Solène, Dorothée, Isabelle et Justin.

 

Pour Georges l’occasion est trop belle, il fouille les sacs et les gilets qui sont à sa portée et se retrouve très vite avec une belle collection de portefeuilles, il n’a plus qu’à prendre la poudre d’escampette.

 

Il se dirige à pas de loup vers la sortie sans remarquer la jambe de Dorothée qui lui crochète le pied, il tente en vain de se rattraper et dégringole de tout son long.

 

– Tu rends les portefeuilles et tu te casses, connard !

– Tu défends les bourges, maintenant ?

– T’as bien été content qu’ils te donnent à bouffer, non ? C’est comme ça que tu les remercie ?

– J’en ai rien à foutre de leur charité, un bourge reste toujours un bourge.

– C’est ça, tous les pauvres sont gentils, tous les autres sont des méchants, faut arrêter de lire Brecht et Picsou-Magasine.

 

Le bruit de leur dispute a réveillé tout le monde, ils comprennent de suite ce qui se passe.

 

– Toi le petit con, si t’es pas dehors dans trente secondes, t’as mon poing dans la gueule ! Le menace Justin

– Essaie un peu, bourgeois dégénéré.

 

Mais sitôt ces paroles prononcées il se précipite vers la porte.

 

– Pas si vite ! Hurle Beatrice en lui barrant le passage. Vide tes poches,

 

Il restait un portefeuille qu’il envoie valser par terre.

 

– Maintenant, dehors et qu’on te croise plus dans le secteur !

– Un jour vous n’exploiterez plus personne, le prolétariat vaincra.

– C’est ça, on lui dira !

 

Georges parti, Dorothée tombe en larmes. On lui demande ce qu’elle a mais elle ne répond pas. Ces braves gens attendent donc que la crise se termine.

 

Et sur ce le professeur Martinov sort de sa douche ceint d’une serviette de bain.

 

– J’ai comme entendu du bruit…

– C’est Georges qui a essayé de nous faire les poches, on l’a viré.

– Ça alors ! il m’avait pourtant semblé fort correct, ce jeune homme. Un peu bourrin, mais correct.

 

Tout le monde le regarde sans comprendre.

 

– Ouin ! Gémit Dorothée tout ça c’est de ma faute, je vais partir, je vais vous laisser.

– Comment ça c’est de ta faute ? Demande Solène.

– C’est moi qui ait insisté pour le recueillir je ne pensais pas qu’il oserait faire une chose pareille !

– Personne ne te demande de partir. Dit Justin jouant les grands seigneurs.

– Vaudrait quand même mieux que je parte non ?

– Quelqu’un veut qu’elle parte ? Demande Justin à la cantonade

 

Personne n’exprima un tel souhait.

 

– Alors tu restes !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 09:31

Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 7 – Balade montagnarde par Maud-Anne Amaro

cochon

Samedi 18 avril

 

Le lendemain matin Dorothée s’en alla chercher de quoi faire un bon petit-déjeuner pour ces messieurs-dames. C’est alors qu’elle tomba nez à nez sur Georges.

 

– Qu’est-ce que tu fous là, toi ?

– Je galère, j’ai passé la nuit dans une grange. je suis parti de la Ferme après m’être engueulé avec les filles, je les ai croisés ici l’autre jour, elles partaient pour Paris. Ah, tu savais que Louison était mort ?

– Mort comment ?

– Tombé dans un précipice !

– Comment il a pu faire ça ?

– Je sais pas, il était peut-être bourré.

– Et Caribou ? Et Rémy ?

– J’en sais rien. Et toi, tu fais quoi ? Tu t’es relookée ? T’as trouvé du boulot ?

– Je suis avec les gens qui étaient dans la grotte, ce sont des gros bourges mais ils sont sympas.

– Y’a pas de bourges sympas ! Anonna Georges d’un ton péremptoire

– Ben si !

– Et tu fais la boniche ?

– Et alors ?

– Alors, c’est pas vraiment tes idées.

– J’ai pas de comptes à te rendre.

– Te fâches pas !

– Je ne me fâche pas ! Tu sais ce que c’est mon idée en ce moment ? C’est de me venger de Caribou et de Rémy. Avec leurs conneries ils ont failli laisser mourir six personnes et on aurait été complices, je trouve ça dégueulasse.

– Je suis un peu d’accord avec toi, c’est pour ça que t’es partie ? Demande Georges

– Même pas ! Cet enfoir? de Caribou m’a fait une crise parce que j’ai refusé de sucer la bite de Rémy…

 

Petit arrangement avec la vérité, puisque l’état du sexe de Rémy n’avait été que la goutte d’eau qui avait fait déborder le vase, mais est-ce si important ?

 

– T’étais d’accord…

– D’ accord pour sucer une bite propre mais pas une bite qui pue le chacal ! Ce mec, Caribou, a une mentalité de maquereau. A la limite, je veux bien faire la pute pour la cause, mais faut que ce soit moi qui décide

– Tu me donnes un bout de pain ?

– Non, je vais faire mieux que ça, je vais te présenter aux bourges, tu vas pouvoir bouffer, et en échange tu vas m’aider à retrouver les deux salopards.

– Mais je ne veux pas avoir affaire avec ces gens-là.

– Tu veux bouffer ou pas ? Alors suis-moi et fais-moi confiance !

 

Rentrée au gite, Dorothée présente Georges au petit groupe :

 

– Lui c’est Georges il est parti de la ferme parce qu’il n’était pas d’accord avec ce qui vous est arrivé…

 

Isabelle est horrifiée de voir apparaître ce jeune homme, sale, puant, hirsute et en haillons

 

– Oui, bon, mais on n’est pas l’Armée du Salut. On ne va pas accueillir tout le monde, non plus, prenez de quoi déjeuner et laissez-nous, on peut même pousser la bonté jusqu’à vous permettre de prendre une douche vous en avez sacrement besoin.

– Eh bien merci de cet accueil chaleureux, moi je me casse ! Répondit Georges, se drapant dans sa dignité

– Juste une minute. Reprend Dorothée. Soyez humaine, Isabelle. Georges est en galère, vous pourriez l’héberger juste pour la journée, ensuite il partira. En échange, il peut vous faire découvrir les beautés de la région, il connait tous les coins comme sa poche…

 

– Bon, bon, consent Isabelle, mais d’abord : à la douche !

 

Après avoir pris son petit déjeuner, le professeur Martinov exprima son désir d’aller faire un tour, Georges, maintenant tout propre et revêtu de fringues prêtes par Justin se proposa de l’accompagner.

 

– Euh, personne d’autre ? demanda le professeur.

 

Ben non, toutes des dames étaient soit occupées soit fatiguées, Martinov en fut dépité, cheminer avec cet individu ne lui disait rien que vaille. Et puis il a beau avoir des penchants bisexuels, c’est quand même avec les femmes qu’il est le plus à l’aise.

 

– Si vous pouviez en profiter pour passer à la ferme regarder s’il y a encore du monde, et par la même occasion voir si Rémy est toujours dans sa cabane… Suggéra Dorothée

– Je préférerais voir du paysage !.Rétorqua le professeur

– Tu vas en voir pépère, tu vas en voir ! Répondit Georges

 

Martinov ne s’offusqua pas de ce brusque accès de familiarité, il en avait vu d’autres !

 

La ferme était vide et tous les sacs à dos avaient disparus. Quant à Rémy, ils l’aperçurent en train de nourrir ses poules, mais ne l’approchèrent pas. Ils pénétrèrent ensuite dans une côte boisée où les arbustes laissèrent bientôt la place aux fougères et à la bruyère

 

– Je vais pisser ! Déclara soudain Georges en plein milieu du chemin.

 

Il se met sur le côté, mais ne se cache pas quand il sort son attirail. Martinov se demande si c’est de la fanfaronnade ou quoi ?

 

N’empêche qu’il est fasciné par cette belle bite.

 

« Elle doit être superbe quand il bande ! »

 

– Tu regardes ma bite ?

– Tu ne te caches pas, alors je regarde.

– Elle te plait ?

– Elle est belle !

– T’aimes bien les bites ?

– J’aime bien ce qui est beau !

– T’es pédé ?

– Non et toi ? Répond Martinov du tac au tac.

– Moi j’aime bien tout le monde !

 

Et tout en parlant, le Georges qui a terminé de faire pipi, se branle doucement avec provocation, faisant ainsi grossir son engin.

 

– Tu veux toucher ?

 

Un moment le professeur se demande si le jeune homme n’est pas en train de lui tendre il ne sait quel piège. Que se passerait-il en cas d’affrontement ? Certes Georges n’a rien d’un athlète, mais il a l’avantage de la jeunesse. Pourtant son attitude semble dénuée de toute agressivité…

 

Alors il touche, juste une petite caresse qui devient vite une esquisse de masturbation. La bite est désormais en taille optimale, bien droite, le gland arrogant.

 

– Tu veux me sucer ?

 

« Position idéale s’il veut ne foutre un coup sur la tête ! » Se dit le professeur avant de rectifier : « Non il ne peut pas me faire ça si j’ai sa bite dans la bouche ! »

 

Alors Martinov exerce ses talents de fellateur de la langue et des lèvres. C’est que depuis le temps qu’il en suce, il est devenu expert.

Ours07

Il se régale et il bande.

 

– Tu suces trop bien, pépère ! Tu dois être un sacré pervers !

 

Le professeur ne répond pas, ne se considérant nullement comme pervers et continue sa turlutte. Un goutte de préjouissance salée vient perler sur le méat.

 

– Tu veux que je t’encule ?

– Pourquoi pas !

 

Martinov a toujours une capote de prête dans son portefeuille, il la tend au jeune homme qui semble embarrassé.

 

– Mets-la-moi, je n’ai pas l’habitude !

 

Et la chose étant faite, Le professeur n’a plus qu’à baisser le pantalon et le caleçon, se retourner et laisser Georges lui pénétrer le trou de balle.

 

« Ce gars-là m’encule beaucoup moins bien que Justin

Ses manières sont dignes d’un vil bourrin

Se dit-il en lui-même et en alexandrin »

 

Georges avait joui en grognant, il se reculotta après avoir jeté sa capote dans la nature (en voilà un geste peu écolo !) sans s’essuyer et sans demander à Martinov si la prestation l’avais satisfait.

 

Ils cheminèrent encore un peu avant de prendre le chemin du retour.

 

– Rémy est dans sa cabane, mais à la ferme, il n’y a plus personne, résuma simplement Georges en rentrant au gite.

– Bon on va voir ce qu’on peut faire, j’ai envie d’aller voir. Dit Dorothée.

– Allez voir quoi ? T’as pas de plan !.

– On improvisera.

– T’as le droit d’essayer mais j’y crois pas. Moi j’y vais pas !

 

C’est donc Solène et Beatrice qui accompagnèrent Dorothée jusqu’à la cabane de Rémy.

 

L’accueil fut hostile.

 

– Tu veux quoi, toi la pute ?

– Je sais pas, te cracher à la gueule par exemple ! Répondit Dorothée

– Et pourquoi ? C’est pas moi qui a tué Louison !

– Mais de quoi tu parles ?

– Il a voulu me faire tomber, je me suis défendu et c’est Louison qu’est tombé.

 

Dorothée a vraiment l’air de tomber du placard.

 

– T’es en train de me dire que Louison a essayé de te balancer dans le vide ?

– Ben oui, il m’a dit qu’un mec de la grotte était arrivé à descendre et qu’il était tombé dans le vide, j’ai voulu aller voir. J’ai pas vu de mort, mais Louison a essayé de me balancer, on s’est un peu bousculé et il est parti dans le précipice.

– Mais pourquoi, il aurait essayé de te tuer ?

– Y voulait pas que je parle de Caribou aux gendarmes, mais moi j’m’en fous, j’ai tout dit aux gendarmes, que Caribou m’avait baisé et que toi tu étais la reine des salopes.

– Connard ! Ne put s’empêcher de lui lancer Dorothée .

– Mais ils t’ont laissé en liberté ? Demande Solène.

– Ben oui,

– Tu leur a dit quoi pour Louison ?

– On n’en a même pas parlé.

– ?

 

Dorothée demande alors à ses compagnes de s’éloigner de la cabane..

 

– Ça change tout ! Dit-elle. Rémy est un pauvre petit con, à la limite ce n’est pas de sa faute, on s’en occupera plus tard. Mais pour Caribou, c’est terrible, Louison n’aurait jamais essayé de tuer Rémy sans l’accord de Caribou. C’est pire que ce que je croyais, ce mec devient fou, il a carrément commandité un meurtre.

– C’est le travail de la police, maintenant, intervint Solène.

– Et on va leur dire quoi ? On a juste le témoignage de Rémy, et ils ont l’air de le prendre pour un simple d’esprit, c’est pas tout à fait faux d’ailleurs.

– Bon admettons reprit Béatrice, ton Caribou on le cherche, déjà ça ne va pas être de la tarte, mais si on le trouve on fait quoi ?

– Au minimum, on le force à signer des aveux et on le balance aux gendarmes, mais on peut sans doute trouver mieux.

– Bon ben on va rentrer réfléchir.

 

Elles demandèrent néanmoins à Rémy si ce dernier avait une idée à propos de l’endroit où Caribou pouvait se trouver, mais évidemment il n’en savait rien.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 09:28

Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 6 – Orgie au gîte rural par Maud-Anne Amaro

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– Avons-nous rempli notre part de contrat ? Demande Justin au maire qui se rhabille en oubliant de se rincer la zigounette.

– Mais parfaitement, je vais faire cesser toutes les poursuites liées à cette histoire d’échafaudage, je vous renouvelle mon accord pour l’exploitation de la grotte, vous m’apporterez un projet détaillé au plus tôt, je devrais le faire approuver par le conseil municipal, mais comme il n’y a pas d’opposition… Et vous pouvez rester ici le temps qu’il vous plaira. N’ayez crainte je ne suis pas un enquiquineur et ne solliciterai aucune autre comment dire… fantaisie, mais celle-ci était très bien, je vous remercie tous les deux.

 

Justin et Isabelle reviennent tout contents auprès de leurs compagnons.

 

– J’ai la promesse du maire de me laisser installer l’ascenseur. Annonce Justin.

– Il ne risque pas de se rétracter ?

– Non, j’ai fait ce qu’il fallait pour qu’il ne se rétracte pas !

– Ou alors ce serait vraiment le roi des salauds ! Ajoute Isabelle.

– Donc on pourrait rentrer et on reviendra quand l’ascenseur sera installé. Suggère Martinov.

– C’est comme vous le sentez, mais vous pourriez profiter de la région, restez donc quelques jours, le maire me loue un gîte rural à Glandville. On va tous y aller.

– Je crois que je vais accepter, dit Beatrice.

– Moi, je ne sais pas. Dit le professeur.

– Toi, tu ne vas pas faire ton vieux ronchon, l’air de la montagne, ça ne peut que te faire du bien.

– Bon, bon.

– Moi je vais vous laisser… commence Solène

– Pourquoi ? Tu n’es pas bien avec nous ? Lui demande Bea.

– Si, si, mais…

– Alors tu restes !

 

Dorothée allait dire quelque chose, elle n’eut pas besoin de le faire.

 

– Toi aussi tu restes ! Dit simplement la jeune chimiste.

– Faudra qu’on s’organise intervint Isabelle, un gîte c’est pas l’hôtel, faudra faire les courses, la cuisine…

– Je peux m’occuper de tout ça, je peux faire tout ce que vous voudrez, je suis très docile, en fait j’adore jouer à l’esclave.

 

Une déclaration qui provoque la stupéfaction du petit groupe à l’exception de Béatrice et de Solène qui ont eu l’occasion de découvrir les dispositions de la jeune rebelle.

 

La joyeuse compagnie s’est donc installée. En maîtresse de maison improvisée, Isabelle procède à l’organisation de tout ce petit monde.

 

– Vous voulez manger quoi ce soir ? Une paella, ça vous dit ? Dorothée, je vais te faire une liste de courses et tu vas aller chercher tout ça. Voilà des sous, n’en profite pas pour t’acheter des trucs pour toi.

– Euh … juste des cigarettes ?

– Si tu veux.

– Et des chewing-gum.

– C’est tout oui ?

 

Beatrice explique alors aux autres ce qui s’est passé sous la douche avec Dorothée en ne se privant pas d’y apporter des détails bien croustillants.

 

– Arrête, Beatrice, tu me fais bander ! S’exclame Justin en rigolant

– Et alors, c’est grave ?

– Vous croyez qu’on peut s’amuser avec cette Dorothée, lui faire des petites misères, tout ça ? Demande Isabelle.

– Ça me paraît un bon plan. Mais ne lui faites pas de mal, elle est gentille.

– Mais non !

 

Le professeur Martinov jubilait en son for intérieur, la méga partouze que lui avait promis Justin dans la grotte allait donc se concrétiser, même si le rapport hommes femmes, deux contre quatre ne semblait spécialement pas propice à des ébats masculins, il y aurait de quoi contenter sa libido.

 

La petite assemblée pris place dans le grand salon du gite et attendit sagement que Dorothée revienne des courses et les dépose. Béatrice et Isabelle étaient en sous-vêtements, Justin avait juste conservé son caleçon.

 

– Vous restez habillée ! Demande Justin à Solène.

– Oui pourquoi, faut pas ?

– Je demandais juste ça comme ça !

– Et si j’enlève mon caleçon, ça vous choque ?

– Pas du tout !

 

Il l’enleva donc.

 

Martinov lui aussi était resté habillé, non pas par pudeur, mais parce qu’il ne se trouvait pas beau quand il était nu, il attendait donc que la situation évolue pour se mettre à l’aise.

 

La porte s’ouvre.

 

– Dorothée, laisse les courses dans la cuisine, on les rangera tout à l’heure, et viens nous rejoindre.

 

Elle est étonnée de voir tout le monde assis là et surtout surprise de constater que Justin est complètement à poil.

 

– On a envie de jouer à un petit jeu… Lui dit Isabelle. Tu nous a dit que tu adorais jouer à l’esclave.

– Je suis obligée ?

– Non, si tu ne veux pas on jouera sans toi.

– Et les règles c’est quoi ?

– On te donnes des ordres, on te fait des petites misères, et si tu veux arrêter, tu dis stop. De toute façon on n’a pas l’intention de te brutaliser.

– Des trucs sexuels, je suppose ?

– Oui !

– Vous me prenez pour un jouet ou quoi ?

– Pas du tout !

– Je ne veux pas qu’on m’attache, et s’il y a pénétration c’est avec capote.

– O.K, on y va !

– Non on y va pas, on essaie !

 

Isabelle demanda à Dorothée de se déshabiller entièrement, ce qu’elle effectua sans rechigner, puis de mettre à quatre pattes, le croupion relevé.

 

– Allez-y les bourges, rincez-vous l’œil et on fait quoi maintenant ?

– On ne fait rien, rhabille-toi, on croyait que tu serais d’accord, on s’est trompé on en parle plus. Intervient Isabelle passablement énervée. Fais ce que tu veux, reste avec nous ou va ranger les courses, c’est pas grave.

 

C’est ce qui s’appelle un fiasco, Dorothée, des larmes dans les yeux attrape ses vêtements et se dirige vers la cuisine, Solène après un moment d’hésitation lui emboite le pas. Béatrice hésite à faire de même, mais reste à sa place, Justin remet son caleçon.

 

– On est plus que quatre, on pourrait faire une belotte ! Lance-t-il à la cantonade.

– Qu’est-ce qui lui a pris ! Demande Isabelle.

– Rien elle s’est piégée toute seule, quand elle a dit qu’elle aimait jouer à l’esclave, elle ne pensait pas qu’on la prendrait au mot, du moins pas de cette façon. Répond Béatrice.

– Tu pourrais arranger ça ?

– Solène doit être en train d’essayer… si elle n’y arrive pas j’irais la voir.

 

Dans la cuisine c’est la crise nerveuse, Dorothée pleure tout son soûl.

 

– Pleure pas ma bibiche !

– Je suis la reine des connes, vous m’accueillez, vous vous dites prêts à m’aider et moi je fais ma mijaurée…

– C’est un malentendu, personne ne t’en veux.

– Isabelle, je ne la sens pas !

– Tu lui fera un gros bisous et on n’en parlera plus.

– Tu parles !

– Tu reviens, tu verras bien comment ça se passe, si ça se passe mal, je verrais avec toi, de toute façon je te soutiendrai.

– T’es gentille toi !

– On est tous gentils. Allez viens !

– Je me sèche les yeux. Et j’arrive.

 

Le deux femmes reviennent dans le salon où les quatre personnes présentes ont quitté canapé et fauteuil pour s’assoir autour d’une table.

 

– On voulait faire une belotte mais on n’a pas de cartes, alors on joue aux devinettes, vous voulez jouer ? Demande Justin.

– Oui on veut bien ! Répond Solène

 

Elle a donc répondu également pour Dorothée, voilà qui devrait restaurer l’ambiance.

 

– Comment on appelle un lapin sourd ?

 

Personne ne sait

 

– LAAAAPIN ! Gueule Justin.

 

Voilà qui fait rigoler Isabelle et Béatrice qui ne la connaissaient pas et comme le rire est communicatif tout le monde se marre y compris Dorothée et Martinov.

 

– Quand on parle de lapin, ça me fait penser à mon invention…

 

Et le voilà parti à raconter la découverte du « lapin dur » puisant stimulant sexuel, découvert par hasard en cherchant un produit pour augmenter la fertilité des lapins et qu’il a expérimenté avec Béatrice. (voir l’épisode Martinov et le lapin dur)

 

L’auditoire est passionné par ce récit.

 

– Mais Béatrice, t’as accepté d’expérimenter ce produit comme ça de façon naturelle, c’est dingue, ça ! Lui fait remarquer Isabelle

– Les circonstances étaient particulières, il y a eu l’excitation de la découverte, et après ça a été de l’excitation tout court. Et puis ça n’a pas été une corvée, le professeur est tellement sympathique.

– Tu vas me faire rougir ! Répondit l’intéressé.

– Mais non.

– Et ensuite, vous n’avez pas continué ? Demande Isabelle.

 

La jeune chimiste trouva qu’Isabelle devenait décidemment trop curieuse et décida de lui répondre crument.

 

– Bien sûr que nous avons continué, on est parti en vacances ensemble et je lui ai fait une pipe, (voir Martinov et le Mont de Vénus) quelques mois plus tard, nous étions à Besançon et je lui ai demandé de m’enculer. (voir Martinov et la maison de Cendrillon).

– T’es vraiment coquine, toi Répond Isabelle.

 

L’ambiance s’est légèrement chauffée, mais sans qu’il ne se passe quoi que ce soit. Dorothée profite d’un temps mort pour s’approcher d’Isabelle.

 

– J’ai été un peu con, tout à l’heure, je le regrette, j’espère que tu ne m’en veux pas !

– Mais non ! Fais-moi un bisous.

 

Dorothée esquisse une embrassade sur la joue.

 

– J’aurais préféré un vrai bisou, un peu coquin !

 

La petite rousse accepte et les deux femmes se roule une pelle magistrale, les mains d’Isabelle en profitant pour devenir très baladeuses.

 

– Et si je te flanquais une fessée ? Pour te punir !

– Vas-y, je me laisse faire !

– Mets-toi les fesses à l’air et couche-toi sur mes genoux.

 

L’instant d’après Isabelle tapait de grandes caques sur le joli popotin de Dorothée. Elle stoppa quand sa couleur tourna au cramoisi.

 

– Et voilà, tu peux te relever, non ne remet pas ta culotte…

 

Isabelle porta la main à la chatte de la rousse et la trouva mouillée.

 

– Elle t’a excité ma fessée, on dirait ?

– Ben…

– Ça tombe bien, moi aussi, ça m’a excité, ça te dirait de me lécher. Oh mais qu’est-ce que tu regardes ?

 

Effectivement, un peu plus loin, il y a du spectacle, Justin a de nouveau retiré son caleçon et le professeur Martinov qui est venu près de lui, lui masturbe doucement la bite.

 

– Ils sont homos ? Demande Dorothée.

– Eh, non, en ce qui concerne Martinov il est hétéro, mais il adore de temps en temps jouer avec une jolie bite ! Intervient Béatrice.

– Ils vont aller plus loin ?

– C’est probable en effet !

– Hum, ça m’excite de voir ça ! Commente Dorothée

– Dis voir mon petit professeur, Reprend Béa, si tu prenais cette jolie bite dans ta bouche, je crois que ça intéresserait la petite Dorothée.

 

Vous pensez bien que notre coquin de Martinov en avait justement l’intention, il se baisse donc pour mettre ce joli cylindre de chair dans sa bouche.

 

– Si vous vous mettiez à poil, ce serait tout de même plus sexy ! Lui lança Solène qu’on n’avait pas entendu depuis le jeu des devinettes.

 

Et pendant que le professeur se déshabille, Isabelle présente sa chatte à Dorothée.

 

– Allez lèche-moi, t’inquiètes pas pour le spectacle, il n’est pas fini, ils vont probablement s’enculer !

– Ah ! Je veux voir ça !

– Oui, ben pour l’instant tu me lèches, Béatrice m’a dit que tu faisais ça très bien. Et d’ailleurs elle fait quoi Béatrice ? Viens donc nous rejoindre !

 

Elle retire prestement soutif et culotte et arrive :

 

– Vous avez besoin de moi mes chéries ?

– Occupe-toi de mes nichons pendant qu’elle me lèche…

 

Quant à Solène, elle se sent un peu seule dans tout ce déchainement de sexe. Et si le trio lesbien pourtant déchaîné ne la passionne guère, voir le professeur Martinov gober la belle bite de Justin Verrier avec une telle fougue ne la laisse pas indifférente.

 

Alors elle se déshabille à la barbare, et s’approche. Elle se demande si Martinov va consentir à partager sa friandise du moment.

 

Elle s’accroupit, approche sa main flatte un peu les couilles de l’homme, puis à l’idée de lui enfoncer un doigt dans le cul. On lui avait appris ce geste quand elle faisait des pipes dans l’arrière-salle d’un bar à putes.

 

– Tous les hommes adorent ça, mais peu s’en vantent ! Lui avait expliqué une bonne collègue.

 

Martinov se rend bien compte que la jolie métisse voudrait sucer, alors l’homme galant qu’il est lui laisse la place. Mais il a envie de s’amuser, il va se placer en levrette sur le fauteuil en écartant les jambes et en redressant les fesses.

 

Justin ne sait que faire, d’un côté le joli corps chocolaté et magnifiquement proportionné de Solène, de l’autre les fesses du vieux professeur. N’importe qui aurait fait le premier choix, mais n’a-t-il pas fait une promesse à Martinov dans l’obscurité de la grotte.

 

Alors Justin après avoir flatté le fessier de Solène lui dit simplement.

 

– J’ai envie de toi, mais j’ai fait une promesse au professeur…

– Tu vas l’enculer ! Lui demande-t-elle, le voyant s’habiller la zigounette d’une capote.

– Je crois bien !

– Tu veux que je te doigte le cul en même temps.

– Bien sûr, ma toute belle !

 

Et pendant que Justin sodomise en cadence Martinov, Solène remet son doigtage à plus tard et se met à lui lécher l’anus avec passion.

Ours06

 

De l’autre côté de la pièce, les trois nanas s’en donnent à cœur joie, se retrouvant dans tous les sens, caressant, tripotant, léchant tout ce qui est à leur portée, les seins, les chattes, les fesses, les trous du cul, mais c’est aussi des roulages de patins et des caresses sensuelles. Un charmant spectacle.

 

Le professeur est tellement excité par l’ambiance et par ce que lui fait subir son enculeur qu’il se masturbe à toute berzingue et ne tarde pas à éjaculer d’un jet puissant.

 

Encore une fois, Justin est partagé parce que d’une part, il a Solène pratiquement à sa disposition mais que d’un autre côté (c’est le cas de le dire) il aurait bien voulu profiter de la bite de Martinov.

 

Ce dernier s’éloigne et va fouiller dans ses affaires, il a souvent sur lui quelques pilules de « Lapin dur », il lui suffit d’en prendre une et il sera de nouveau opérationnel dans une vingtaine de minutes. Elle n’est pas belle la vie ?

 

– Dis donc, tu encules bien, toi ! Le félicite Solène.

– Quand on aime bien quelque chose on essaie de le faire bien !

– Alors tu me fais pareil !

– Mais avec plaisir, chère amie.

 

Les trois gouinettes ont joui, certaines d’entre elles plusieurs fois, et après un petit temps calme avec bisous, caresses et cigarettes, Isabelle laisse Dorothée dans les bras de Béatrice et s’en va trouver Solène laquelle est en train de se faire défoncer le dargeot par un Justin en superforme.

 

Isabelle n’a pas encore eu l’occasion de « pratiquer » Solène.

 

« Ses penchants bisexuels semblent un peu faibles, mais il n’est pas interdit d’essayer. »

 

Elle se place devant elle et tente une main vers ses seins puis vers ses tétons sans percevoir d’objection, alors elle lui offre sa chatte à lécher, mais Solène ne répond que par un baiser très chaste sur le pubis.

 

– Tu ne veux pas me lécher ?

– Tout à l’heure peut-être !

 

Dépitée, Isabelle s’en va s’assoir tandis que Solène finit par jouir sous les coup de butoir de la bite de Justin. Les deux amants se désemboitent. Justin se débarrasse de sa capote et la belle métisse le « termine » avec ses lèvres pulpeuses.

 

Elle garde le sperme en bouche mais le recrache dans ses mains avant de se l’étaler sur les seins avec un air de défi.

 

– Tu ne veux pas venir me voir ! Lui demande Isabelle sans trop y croire.

– Mais ma chérie, je ne suis pas gouine !

– Mais moi non plus !

– Alors ça va ! Répond-elle en s’asseyant à ses côtés, Tu voulais me faire quoi ?

– Te goûter !

– Tu l’as jamais fait avec une black ?

– Si ! Et justement j’aime bien !

– On a quelque chose de spécial ?

– La peau !

– Pace qu’elle est noire !

– Non, parce qu’elle est douce ! On s’embrasse.

– T’es quand même un peu gouine sur les bords, non ?

– Je ne sais pas ce que je suis, mais j’aimerais bien qu’on s’embrasse.

– Je n’ai embrassé que deux filles dans ma vie, Béatrice et Dorothée.

– Alors jamais deux sans trois !

 

Finalement Solène consent à se laisser faire et se prend au jeu, le baiser est profond et sincère, mais comme vous le pensez bien Isabelle en profite pour ploter tous ce qui est à portée de mains.

 

– Tu caresses bien ! Tu me donnes des frissons ! Lui dit la métisse.

– Ben tu vois, l’amour entre femmes, ça change, ça ne vaut pas une bonne bite, mais ça change !

– Je veux bien que tu me lèches !

 

Le genre de propos qu’il est inutile de répéter deux fois à Isabelle, qui se jette littéralement sur sa jolie chatoune et lui écarte les lèvres

 

– Mais tu mouilles !

– Ben oui, je mouille !

 

Isabelle se régale, laisse longtemps sa langue balayer son intimité, c’est Solène qui en nage, et la respiration haletante, sentant sa jouissance prochaine, la pressera d’en finir

 

Son clitoris est énorme, une vrai bite miniature et quelques coups de langues bien ciblés suffirent à la faire éclater de plaisir.

 

Le professeur s’en va sans la salle de bain satisfaire un petit besoin urgent. Dorothée lui emboite le pas.

 

– Moi d’abord ! Lui dit-elle, j’ai trop envie !

– Mais faites donc, chère amie !

– Si tu veux regarder, ça ne me dérange pas !

– Justement, j’adore ça !

– Tu adores le pipi ?

– Je voulais dire, j’aime bien regarder, mais j’aime bien le pipi aussi.

– Oh, là, tu t’embrouilles, toi !

– Tu voudrais gouter à mon pipi ?

– C’est proposé si gentiment…

– Allez, viens entre mes cuisses, papy, je vais te donner à boire.

 

Notre coquin de Martinov met sa bouche en corole sur la chatte de la petite rousse, se régalant au passage de son odeur poivrée. C’est que la donzelle a joui plusieurs fois, mouillée comme une éponge et pas mal transpiré… Il avance la langue.

 

– Me lèche pas, ça me déconcentre.

 

Et le jet fuse ! Le professeur ne peut tout boire mais il en avale une bonne rasade, le reste coule un peu partout.

 

– Cochon, tu en fous partout !

– Je vais nettoyer…

– Il était bon mon pipi ?

– Délicieux !

– Alors à toi, arrose-moi mes nénés, j’adore ça !

 

Il ne s’attendait pas à cette proposition, mais se met en position pour le faire, du coup il boque quelques instants et est obligé de se concentrer pour libérer son sphincter vésical. Et puis tout d’un coup, ça part, Il l’arrose d’abondance, elle en boit même un tout petit peu.

 

Il lui aurait volontiers lécher les seins, qui maintenant tout mouillés le narguait, il lui aurait bien aussi nettoyé la chatte, mais elle ne lui proposa plus rien, s’essuya avec du papier et rejoignit le salon en sifflotant.

 

Martinov fait comprendre à Justin qu’il est prêt à repartir, celui-ci s’empresse alors de lui sucer la queue avant d’offrir son anus à la sodomie.

 

Le temps passe vite quand on baise, Béatrice et Dorothée ont fini par s’endormir dans les bras l’une de l’autre.

 

Conclusion ? Pas tout à fait ! Solène qui s’est amusée du spectacle, s’approche du professeur et sans préambule lui roule un patin.

 

– Toi, tu me plais bien, t’es un gentil petit vieux, si t’as envie de me baiser, c’est quand tu veux ?

 

Il en est tout chose, notre bon professeur et il faillit lui répondre « Pourquoi pas tout de suite ? » mais il était un peu fatigué… Et puis n’y a-t-il pas de meilleur plaisir qu’un plaisir retardé ?

 

– Bon là-bas on se réveille, on va préparer la bouffe. Clame Isabelle en tapant dans ses mains

 

Dorothée sort de sa torpeur et s’étire :

 

– Maintenant que vous vous êtes bien amusés, je peux vous demander si vous avez réfléchi à ma vengeance ? Demande la rouquine qui avait oublié de perdre le Nord.

– Ben non on n’a pas encore trouvé, mais on y réfléchi ! Répond Béatrice assez embêté quand même.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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