Mercredi 10 novembre 2021 3 10 /11 /Nov /2021 17:49

7 rêves pour une femme par Cepaderefus – 2 – Le docteur Paradis

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Initiation

 

Une fois de plus, Marie est en pleine campagne. Comme d’habitude, l’inconnu est également présent, mais accompagné d’un jeune homme. Il s’adresse immédiatement à Marie.

 

– Je me doutais bien que vous passeriez à nouveau. Permettez-moi de vous présenter mon jeune frère.

 

Marie est inquiète, mais elle préfère jouer le jeu.

 

– Bonjour.

 

Le jeune homme lui répond timidement, n’osant la regarder en face.

 

– Bonjour, madame.

 

L’inconnu reprend la conversation.

 

– Mon frère est plutôt inexpérimenté en matière de sexe. Grâce à vous, je vais pouvoir lui montrer comment l’on fait. Déshabillez-vous.

– Êtes-vous fou!! ? Vous n’imaginez pas que je vais me laisser faire !

 

Pendant ce temps, le jeune frère a déjà commencé à se déshabiller. Avec ses cheveux blonds et sa peau pâle, on ne distingue pratiquement aucun poil sur son corps. C’est quand il retire son boxer-short que Marie constate qu’il n’a pas plus de poils sur le sexe que sur le reste du corps. Elle en fait part à l’inconnu.

 

– Mais ce n’est qu’un adolescent.

– Pas du tout, il est majeur. Mais la tradition familiale veut que l’on soit intégralement épilé le jour de son dépucelage.

– De toute façon, il est hors de question que je couche avec lui. Je ne me déshabillerai pas.

– Mais si, d’ailleurs vous êtes déjà à demi-nue.

 

En effet, Marie n’a plus ses vêtements. Elle ne porte plus qu’une culotte, un soutien-gorge, un porte-jarretelles et une paire de bas. Toute cette lingerie est de couleur noire, parfaitement assortie à la couleur de ses cheveux.

 

Surprise, elle ne sait que faire. Son regard se porte aux alentours, à la recherche d’une solution, mais tout ce qu’elle remarque c’est un lit qui est placé au bord du chemin. L’inconnu continue à donner des ordres.

 

– Maintenant, allez-vous allonger sur le lit.

 

Subjuguée et ne sachant que faire pour échapper à cela, Marie se résigne à se diriger vers le lit, accompagnée par le jeune homme. Elle est à peine allongée qu’il commence à la caresser. Très timide, il commence par les épaules, mais son grand frère lui prend les mains pour les placer sur les seins de Marie. Il se met alors à palper cette poitrine, première grande découverte pour lui. Il prend rapidement du plaisir à tripoter cette chair ferme et douce, son sexe en est la preuve, il grossit rapidement. Pendant ce temps, le bout des seins de Marie s’est également durci, ce qui ne manque pas de surprendre le jeune homme.

 

L’inconnu continue à diriger les opérations.

 

– Maintenant, vous allez le sucer pour le mettre en érection.

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Obéissante, Marie s’avance vers le jeune homme et se met à lécher ce sexe déjà bien raide et qui continue à se redresser sous l’effet de ses coups de langue. Elle le prend alors entièrement dans sa bouche et le suce sur toute sa longueur. L’effet est immédiat, le sexe imberbe du jeune homme finit de se raidir entre les lèvres de Marie. C’est ensuite à lui de se pencher vers elle, de retirer la culotte de Marie et de découvrir de sa langue le plaisir de lécher un sexe de femme. Marie a le pubis rasé, quelle douceur ! Les lèvres entrouvertes, quel délice ! Toujours en érection, il semble réellement apprécier ce qu’il fait. Il titille le clitoris et insinue sa langue au plus profond de son intimité. Visiblement aussi excités l’un que l’autre, ils optent rapidement pour une position de 69 afin de se donner mutuellement du plaisir, Marie se retrouvant au-dessus.

 

Le jeune homme n’est pas expérimenté et son grand frère le sait bien. Il est grand temps qu’il passe à autre chose avant d’être victime d’une éjaculation précoce. L’inconnu sort de sa poche un préservatif qu’il donne à Marie.

 

– Vous savez comment faire???

 

Ne discutant pas les ordres qu’elle reçoit, elle sort la capote de son emballage et la déroule consciencieusement sur le sexe en érection du jeune homme. L’inconnu continue de donner ses directives mais, cette fois-ci, il s’adresse à son frère.

 

– Maintenant tu te places sur la dame et tu rentres ton sexe dans le sien. Ensuite, tu fais des allers et retours, comme tu as vu sur la vidéo que je t’ai prêtée.

 

Marie s’allonge sur le dos, prête à recevoir en elle le sexe du jeune homme, tandis que celui-ci vient se placer sur elle en position du missionnaire. Après quelques essais infructueux, il parvient enfin à s’insérer en elle. Il commence alors des mouvements de va-et-vient, d’abord timidement, sans doute par peur d’une sortie inopinée, mais l’assurance le gagne rapidement et il augmente alors l’amplitude de ses mouvements, la pénétrant de plus en plus profond. Marie commence même à ressentir du plaisir et à gémir sous l’effet de ces coups de bite, mais pas longtemps… Le jeune homme inexpérimenté jouit rapidement. Il se retire alors, ôte la capote et la confie à son frère. Ce dernier observe le contenu du préservatif avec intérêt, admiratif.

 

– Fort bien.

 

Puis il s’adresse à Marie.

 

– Voulez-vous goûter ?

– Non merci, sans façon.

– Alors, je vous remercie de votre collaboration. Vous pouvez disposer.

 

Sans plus attendre, Marie les quitte, espérant arriver au plus vite chez son amie. Quand elle arrive devant la maison, elle est à nouveau habillée. C’est Nicole qui lui ouvre et elle l’invite sans plus d’explications à la suivre jusqu’au salon. La stupéfaction de plein fouet lorsqu’elle découvre ce qui est en train de se passer sur le divan. Son… son mari est en train de sucer le mari de son amie.

 

– Mais, chéri, qu’est-ce que tu fais ?

 

Philippe lui répond comme il peut, le sexe de Simon dans sa bouche le gênant quelque peu pour parler.

 

– Commmm uh ois, ze uce Imon. (Comme tu vois, je suce Simon)

 

Sortant la queue de Simon de sa bouche, il ajoute;

 

– Tu n’as pas voulu le faire, alors je suis pris pour le faire à ta place.

– Mais enfin, ce n’était pas la peine !

– Si, c’est une question d’honneur.

– Ça pas de bon sens!

– Pas du tout, c’est très important.

 

On sonne alors à la porte et Nicole s’absente pour aller ouvrir. Quand elle revient, elle est accompagnée du jeune homme qui a fourré Marie au beau milieu des champs.

 

– Je vous présente mon neveu.

 

Marie en est surprise et le jeune homme s’en rend compte.

 

– Mon frère vient de m’expliquer comment effectuer une sodomie.

– Et alors ?

– Il m’a dit que vous pourriez à nouveau être ma partenaire.

 

Marie est outrée.

 

– Et puis quoi encore ? Une fessée ? Et devant mon mari en plus !

 

C’est alors ce dernier qui prend la parole.

 

– Justement, il faut bien qu’il apprenne. J’aimerais bien voir comment il y s’y prend, ce petit jeune. Tu es tellement serrée du cul que ce n’est pas toujours facile.

 

Puis, se tournant vers le neveu.

 

– Mais si tu en as une moins grosse que moi, ce sera plus facile.

 

Nicole se lève pour faire de la place à son amie.

 

– Vas-y, installe-toi là, tu seras mieux.

 

Sans trop savoir ce qu’elle fait, Marie se met à quatre pattes sur un des sièges qui fait face au divan. Nicole soulève la jupe de son amie, qui ne porte pas de culotte.

 

– Tu es toujours aussi salope, toi. Toujours prête à recevoir un coup.

– Mais non. Ce n’est pas vrai. Ne l’écoute pas, mon chéri. Je ne t’ai jamais trompé.

 

Il lui répond nonchalamment, la bite au coin de la bouche.

 

– Ce n’est pas grave, du moment que je suis au courant et que je connais ceux avec qui tu es.

 

Marie n’a pas le temps de lui répondre. Le neveu est déjà derrière elle et il lui introduit un doigt dans le cul sans plus attendre. Surprise, elle ne peut réfréner un cri. À peine a-t-elle le temps de s’habituer qu’il lui introduit un second doigt. Pendant ce temps-là, Nicole le suce pour le mettre en érection puis lui déroule un préservatif sur le sexe. Dès qu’il a atteint la raideur nécessaire, le neveu présente sa bite à l’entrée d’un trou arrière de Marie et s’introduit progressivement. Le troublant mélange de plaisir et de douleur qu’elle ressent la fait gémir malgré elle.

 

Simon regarde cette scène avec envie.

 

– Quel petit veinard, ton neveu, ma chérie.

 

Philippe lève les yeux vers son ami.

 

– Pourquoi ? Tu veux m’enculer ?

 

– Je dois avouer que ça me plairait bien.

 

Aussitôt, Philippe se retourne et se met en position pour recevoir la bite de son ami dans son cul. Sans plus attendre, Simon présente son sexe en érection face à l’anus de son partenaire et commence à appuyer pour en ouvrir le passage. La dilatation se fait progressivement, et au bout d’une minute Simon peut enfin faire pénétrer sa bite dans le fondement de son ami. Encore quelques efforts pour y pénétrer le plus profondément possible. Simon commence ses mouvements de va-et-vient, pénétrant son ami à grands coups de bite.

 

Restée seule, Nicole se masturbe tout en regardant ses amis en train de se faire enculer. Cela ne dure pas très longtemps, Simon a déjà été sucé pendant pas mal de temps et le jeune homme encore inexpérimenté n’arrive pas à se contenir longtemps. Les deux hommes jouissent donc presque en même temps, remplissant de foutre les entrailles de leurs partenaires.

 

Emportée par son plaisir, Marie ressent une jouissance qui la réveille. Le réveil affiche 6 h 30, le jour est en train de se lever. Elle porte la main à son sexe, il est encore trempé. Encore tout excitée par son rêve pervers, elle s’introduit deux doigts et commence à se masturber. Il ne lui faut pas dix secondes pour jouir encore une fois, une jouissance forte et intense qui lui arrache un grand cri qui semble résonner dans toute la maison.

 

– Eh bien… heureusement que les enfants sont en vacances chez les beaux-parents.

 

Ne souhaitant plus se rendormir, elle préfère se lever et va à la salle de bains prendre une douche fraîche qui achève de la réveiller pour de bon. La nuit aura été agitée, Marie espère bien que la journée sera plus calme.

 

Une heure a passé, mais Marie n’a toujours pas fini de se réveiller, ce qui devrait pourtant être le cas après une douche et le petit déjeuner. Juste vêtue d’une robe de chambre, elle quitte la cuisine et se dirige vers le salon tout en emportant le téléphone sans fil. Elle s’affale sur le canapé et compose un numéro de téléphone. Avec un pied sur le canapé et l’autre au sol, ses cuisses sont largement écartées. Sa robe de chambre s’ouvre et ne cache ainsi rien de ses seins et de son sexe intégralement épilé.

 

Son correspondant décroche enfin, il s’agit de son amie Nicole.

 

– C’est Marie, je ne te dérange pas ?

– Non, comment vas-tu ?

– J’ai passé une nuit atroce à faire des rêves bizarres.

– De quel genre ?

– C’est un peu spécial comme rêve. Très sexy. En plus tu étais dedans et ton mari aussi.

– Raconte, ça m’intéresse.

– Ok, si ça ne te gêne pas.

 

Marie lui raconte alors tous les rêves qu’elle a faits durant la nuit. Ce faisant, elle se masturbe machinalement tout en les racontant. La sensation de douceur de sa chatte rasée la porte a laissé sa main entre ses cuisses. De temps en temps, elle se rend compte qu’elle est en train de se caresser le sexe et s’interrompt alors, honteuse. Malgré tout, ses doigts retournent peu après explorer son intimité, presque malgré elle.

 

À la fin, Nicole reprend la parole

 

– Très excitants, tes rêves. Tu n’en aurais pas encore d’autres à me raconter ? Je me suis même caressée en t’écoutant.

– Toi aussi ? Heureusement que l’on était au téléphone.

– En effet…

– Bon. Eh bien, qu’est-ce que tu en penses ?

– Tu devrais aller voir un psy. Ça tombe bien, tu sais où je bosse. Je t’aurais bien pris un rendez-vous avec mon patron, mais je suis en vacances. Tu n’as qu’à appeler de ma part, ma remplaçante saura bien te trouver une case de libre dans la matinée.

– D’accord. Et je peux passer te voir cet après-midi ?

– Bien sûr, passe quand tu veux.

 

Après avoir raccroché, Marie s’arme de courage et compose le numéro de téléphone du cabinet du psychiatre. Elle parvient à obtenir un rendez-vous pour dix heures.

 

Le psy

 

Dix heures moins cinq. Marie sonne chez le psy. Une jolie fille aux longs cheveux blonds bouclés, vêtue d’une blouse blanche, avec de belle courbe au niveau de la poitrine, vient lui ouvrir la porte. Certainement la remplaçante de son amie Nicole. Elle fait entrer Marie et l’installe dans la salle d’attente.

 

Quelques minutes plus tard, la porte du cabinet s’ouvre. Un homme assez grand, un peu rond, l’air d’un bon bonhomme, apparaît et invite Marie à entrer. Ses cheveux complètement rasés le font ressembler à Kojak, une paire de petites lunettes fines lui couvre ses yeux. Il a la face ronde, la bouche souriante et les murs de son bureau sont couverts de livres. Il se présente;

 

– Bonjour, je suis le docteur Paradis, si vous le permettez, je vais vous parler un peu de moi et de mon approche et si cela vous convient on poursuivra la séance avec ce pourquoi vous êtes ici aujourd’hui.

 

Le médecin psychiatre fait alors une courte présentation de son vécu et de ses connaissances! Une fois que Marie lui eut donné son accord pour poursuivre, il lui demande de se mettre à l’aise et de s’asseoir sur le divan tandis qu’il engage la conversation en s’asseyant dans un fauteuil à côté d’elle.

 

– Vous êtes une amie de mon assistante, c’est bien cela ?

– Oui. Comment le savez-vous ?

– Elle m’a appelé pour que je prenne bien soin de vous.

– C’est gentil à elle.

– En effet… Alors, si vous me racontiez ce qui vous amène ?

 

Marie recommence son récit. Le même qu’elle a raconté il y a peu de temps à son amie.

 

Quand elle a terminé son récit, le psy se lève, marche vers elle et reprend la parole.

 

– Ce que vous avez n’est pas bien grave. Juste des fantasmes refoulés. Il faut faire quelque chose, sinon ils vont se transformer en obsessions et il sera encore plus difficile de les traiter.

– Et que faut-il faire ?

– Laisser libre cours à vos pulsions.

– Mais je n’oserai jamais.

– Vous en avez déjà parlé à deux personnes, c’est mieux que rien. Votre mari est-il également au courant ?

– Pas du tout. Vous pensez bien que je n’oserais jamais lui confesser de telles choses. Je n’imagine pas qu’il accepterait d’avoir des rapports avec un autre homme.

– Qu’en savez-vous ?

 

Marie marque un temps d’arrêt, pensive.

 

– En effet, je n’en sais rien.

– Il ne faut jamais juger les gens sans bien les connaître. Comment va votre vie de couple ?

– Nous nous entendons très bien.

– Je parle sexuellement.

– Rien de spécial.

– Vous vivez ensemble depuis combien de temps ?

– 10 ans.

 

Le ton du psy se fait alors plus grave.

– Vous êtes en train de passer un cap. Si vous ne savez pas le négocier, vous allez au-devant d’une crise grave.

– Et qu’est-ce que je dois faire ?

– Anticiper sur les problèmes. Aller de l’avant. Prendre l’initiative.

– C’est-à-dire ?

– Vous devez parler de ce rêve à votre mari. Vous avez besoin de vous épanouir sexuellement.

– Jamais je n’oserai.

– Je vais vous y aider.

 

Le psy vient se placer derrière elle, il pose la main sur les yeux de Marie tout en continuant à parler.

 

– Respirez calmement… Laissez vos yeux fermés…

 

Il retire sa main et se met à lui masser délicatement les tempes, puis la nuque.

 

– Ça va mieux ?

– Oui. Je me sens plus calme.

– C’est très bien. Vous pouvez rouvrir les yeux. Comment vous sentez-vous ?

– Bien.

 

Le psy fait à nouveau le tour du canapé et s’assied dans un autre fauteuil, face à Marie.

 

– Nous allons maintenant revenir sur divers points qui semblent jalonner vos rêves avec une telle régularité qu’ils pourraient bien finir par être obsessionnels. Tout d’abord votre tenue. Vous vous retrouvez régulièrement sein nue ou sinon vous ne portez pas haut, et si vous en avez un ce sont vos sous-vêtements qui font défaut. Est-ce quelque chose de fréquent chez vous ?

– Absolument pas.

– Vous n’avez jamais essayé ?

– Non.

 

Tout en continuant à parler, le psy penche la tête pour mieux observer les seins de Marie.

 

– Pourtant vous n’en portez pas aujourd’hui.

– Ce n’est pas possible.

– Puisque je vous le dis.

 

Marie se penche la tête pour vérifier. En effet, elle ne porte rien sur le haut. Ses seins sont complètement à l’air et entièrement dévoilé aux yeux du psy.

 

– Je ne comprends pas. Je suis confuse.

– Ce n’est pas grave. Dites-moi plutôt ce que vous ressentez en ce moment.

– Je suis troublée, je me sens bizarre.

 

Il s’approche alors très près d’elle, au plus près de son intimité.

 

– Et si je regarde vos seins avec insistance comme je le fais ?

– J’ai honte de le dire, mais j’en ressens du plaisir.

– Écartez les bras derrière la tête.

 

Sans se poser de question, Marie obéit. Le psy peut maintenant voir en détail toutes les formes des seins de la jeune femme, ses mamelons et les rondeurs de ses boules. Le bout de ses seins durs dévoile son excitation. Le psy se relève et reprend.

 

– Vous êtes tellement excitée que je suis certain que vous commenceriez à mouiller si je continuais à vous regarder.

– Peut-être bien.

– Vous pouvez vous masturber si vous voulez et vous caresser les seins aussi.

 

Sans plus attendre Marie s’introduit un doigt dans la chatte et caresse un de ses seins avec son autre main, et portant le bout de son sein à sa bouche. Il ne lui faut que quelques caresses sur sa chatte et quelques coups de langue sur son sein pour jouir bruyamment devant le praticien.

 

Le psy se relève, passe derrière elle et recommence à lui masser le cou tout en continuant la conversation.

 

– Le sexe rasé, c’est aussi une constante dans vos rêves. Êtes-vous épilée au niveau du sexe?

– Oui

– C’est par désir personnel ?

– À l’origine, c’est mon mari qui me l’a demandé. Mais je dois avouer que j’ai vite apprécié le confort que cela procure.

– Et votre mari, il s’épile aussi ?

– Pas du tout.

– Et vous trouvez cela normal ?

– Je ne me suis jamais posé la question.

– Vous êtes plutôt du genre soumise.

– Vous croyez ?

– Tout à l’heure, quand je vous ai dit d’écarter les bras, vous avez obéi sans discuter.

– Oui, mais j’étais très excitée, j’en avais envie mais je n’osais pas le faire.

– Vous venez à l’instant d’expliquer l’origine de vos rêves : des envies que vous n’osez pas faire aboutir.

– Vous croyez ?

– J’en suis certain.

 

Le psy commence à élargir le cercle de ses massages. Ce n’est plus seulement le cou, mais aussi les épaules dont il s’occupe. Les mains de l’homme se font plus précises, elles commencent à descendre vers la poitrine. Il finit enfin par atteindre le bout des seins. Il lui pétrie les seins. Marie, qui ne porte pas de culotte sens sa chatte devenir de plus en plus mouillée, et lorsqu’elle s’en rend compte, elle esquisse une plainte.

 

– Mais enfin, que faites-vous ?

– Je vous caresse.

– Je vois bien, qu’est-ce qui vous prends ?

– C’est pour votre thérapie. Si vous ne vous débattez pas, c’est que vous êtes consentante ou soumise. Vous appréciez ?

– Oui.

– Bien. Retirez donc votre jupe .

– Mais je vais me retrouver toute nue !

– Si vous ne voulez pas le faire, ne le faites pas.

 

Marie obéit malgré tout et retire les vêtements qui barraient encore la vue sur son corps dénudé. Elle se retrouve complètement nue, allongée sur le divan. Le psy se penche sur son bureau et décroche le téléphone pour faire venir son assistante. La jeune fille entre dans la pièce et, à la demande de son patron, va se placer de l’autre côté du divan. Ensuite, il reprend sa conversation avec Marie.

 

– D’après-vous, comment serait habillée mon assistante dans vos rêves ?

– Vu mes obsessions, je suppose qu’elle ne porterait pas de sous-vêtements et qu’elle aurait de beaux seins ferme et rond et qu’elle aurait le sexe épilé.

 

Le psy se tourne vers son assistante.

 

– Mademoiselle. Si vous voulez bien retirer votre blouse…

 

La jeune fille s’exécute et défait les quelques boutons qui maintiennent sa blouse fermée. Dès que celle-ci s’entrouvre, Marie entrevoit les gros seins ronds de la femme et le sexe de l’assistante. Celui-ci est épilé comme elle s’y attendait et, s’il est visible, c’est évidemment qu’elle ne porte pas de sous-vêtements. Elle ouvre ensuite entièrement sa blouse et la laisse tomber à ses pieds. En fait, l’assistante n’est pas intégralement nue sous sa blouse. Elle porte un porte-jarretelles assorti et une paire de bas blancs.

 

Tandis que son assistante reste debout les mains dans le dos à les regarder, le psy s’approche à nouveau de Marie et reprend ses caresses. Il lui parcourt le corps entier, de la tête aux pieds, n’hésitant pas à lui caresser les seins et même le pubis, mais n’allant jamais jusqu’à lui toucher le sexe. Tout en continuant ses caresses, il demande son avis à Marie.

 

– Vous aimez ?

– Oui, beaucoup.

– Vous voulez que je continue ?

– Oui.

– Vous en voulez plus ?

 

En guise de réponse, Marie laisse retomber chacune de ses jambes d’un côté du divan. Cela a pour effet d’ouvrir généreusement ses cuisses et de dévoiler ainsi complètement son sexe entrouvert. Le psy s’agenouille au pied du divan pour se rapprocher au plus près du pubis de Marie. Il lui lèche alors consciencieusement le sexe, parcourant toute la fente, les lèvres, le clitoris et allant même jusqu’à introduire sa langue au plus profond de l’intimité de la jeune femme.

 

– Visiblement vous aimez, vous êtes trempée tellement vous mouillez.

– Oui, c’est vrai. Continuez donc.

– Non, c’est mon assistante qui va me remplacer.

 

La jeune femme enjambe le divan et se place sur Marie en position de 69. Les deux femmes se mettent aussitôt à se lécher le sexe avec application. Pendant ce temps-là, le psy ouvre sa braguette et en sort son sexe, déjà à moitié en érection. Il commence à se masturber tout en regardant les deux femmes se manger. Marie regarde le psy se masturber, et le fait de sentir que le docteur est excité par ce qu’elle fait avec l’assistante lui fait augmenter son plaisir encore plus!

 

Elles ne tardent pas à jouir tandis que le psy continue à s’astiquer le manche. Dès que les deux femmes ont émergé de leur plaisir, l’assistante se relève et retourne se mettre debout à côté du divan. Marie reste les jambes écartées devant le psy qui se branle toujours en la regardant. Quelques instants plus tard il jouit à son tour, son sperme gicle sur elle, lui recouvrant le ventre et la poitrine de grands traits d’un épais jus blanc. Il se tourne vers son assistante et en quelques mots lui fait comprendre ce qu’il attend d’elle, son regard désignant clairement sa braguette.

 

– Mademoiselle, s’il vous plaît, dit-il en pointant du doigt sa queue.

 

La jeune femme s’avance aussitôt, s’accroupit et embouche le sexe de son patron pour le nettoyer. Ceci fait, elle se tourne vers Marie, se penche sur son ventre et lèche également tout le sperme disséminé sur son corps.

 

Marie s’insurge alors.

 

– Vous n’avez pas honte ? Traiter ainsi votre assistante !

– Je n’en suis pas responsable, c’est elle qui insiste pour tout avaler, elle aime cela!

– Et sinon, comment feriez-vous ?

– Comme cela.

 

Le psy s’avance vers sa patiente, se penche sur sa poitrine et commence à son tour à lécher le sperme qui y a coulé, son propre sperme. En se partageant chacun la moitié du travail, le psy et son assistante finissent rapidement leur tâche de nettoyage en léchant longuement les seins de Marie.

 

L’assistante quitte alors le bureau tandis que le psy repasse derrière Marie pour lui masser la nuque.

 

– Voilà, c’est terminé. Comment allez-vous ?

– Vous osez me demander cela ? Espèce d’obsédé !

– Calmez-vous et regardez, vous êtes habillée.

 

En effet. Marie n’est plus nue.

 

– Qu’est-ce qui s’est passé ?

– Vous venez de subir une séance d’hypnose.

– Il ne s’est donc rien passé ?

– Rien du tout. Enfin presque rien : vous m’avez tout raconté et vous n’avez pas arrêté de vous caresser.

– Je me suis caressée ?

– Oui. Et tout particulièrement les seins et le sexe.

 

Entendant cela, Marie se met à rougir. Le psy s’en rend compte et la rassure.

 

– Ne vous mettez pas dans un tel état. Votre comportement sous hypnose est tout à fait normal, enfin disons qu’il est désinhibé. Votre éducation, probablement assez stricte, vous a inculqué des valeurs qui ne sont pas compatibles avec une vie sexuelle parfaitement épanouie. Par exemple, l’influence de vos parents, qui poussent souvent les filles à être de parfaite petite fille tranquille ou à s’habiller comme une belle petite poupée gentille, sont des choses qui influencent le comportement. Ou encore en vous donnant le bain, la façon dont votre mère a pu vous regarder ou vous dire de laver votre vulve, peut venir influencer votre vie et vos relations sexuelles. Ceci a pour effet que par le biais de vos rêves, vous laissez échapper ce trop-plein de sensualité. C’est la première fois que vous avez ce genre de rêves ?

 

– Je ne sais pas trop. Certainement pas depuis des années, mais cette fois-ci, c’était tellement intense et réaliste.

– Vos fantasmes ont évolué avec le temps. Ils se sont exprimés cette nuit suite à un changement de situation.

– Mon mari était à l’extérieur cette semaine, il rentre ce soir. Les enfants sont chez leurs grands-parents depuis hier. J’étais donc seule à la maison cette nuit.

 

– Et cela fait longtemps que ça n’est pas arrivé ?

– C’est la première fois depuis la naissance du plus grand. Il a six ans.

– Vous imaginez donc tous les fantasmes qui ont dû s’accumuler en vous sans jamais pouvoir s’exprimer ni en rêve, ni dans la réalité. Cette nuit, le retard a été rattrapé, d’où l’intensité de ces rêves.

– Donc cela ne risque pas de se reproduire tant que je ne dormirai pas seule à la maison.

– Probablement. Mais ce n’est pas sans danger, vos fantasmes vont recommencer à s’accumuler. Vous allez ressentir une sensation de frustration intérieure grandissante. Tout cela peut mener à une rupture violente.

 

Marie commence à s’inquiéter.

 

– Et qu’est-ce que vous me conseillez ?

– Laissez libre cours à vos fantasmes.

– Mais je ne peux pas. C’est inconvenant.

– C’est votre éducation qui vous l’a présenté ainsi. Vos premiers fantasmes seront toujours anodins, puis ils deviendront de plus en plus pervers si vous les refoulez. Si vous ne vous laissez pas aller tout de suite, vous pouvez fort bien ressentir dans quelques mois des pulsions sado-masochistes. Comme celles-ci sont assez faciles à concrétiser, par exemple lors d’une scène de ménage, vous risquez de dévier vers ce genre de penchant.

– Vous me faites peur.

– Je m’en doute bien, mais c’est le but. Je préfère prévenir que guérir, il n’est pas trop tard pour prendre les devants et adopter une attitude volontaire.

– C’est-à-dire ?

– Laissez libre cours à vos fantasmes. Commencez par les plus anodins. Si cela suffit, tant mieux, mais je pense que vous serez tentée d’aller plus loin. Le tout c’est de trouver le juste milieu. Si vous allez trop loin, vous risquez aussi la rupture, mais cette fois-ci cela viendra de votre mari. Le mieux est de tout lui raconter.

– Je n’oserai jamais.

– Vous l’avez bien raconté à Nicole.

– C’est ma meilleure amie. On se dit tout.

– Vous n’aurez qu’à faire de même avec votre mari. De toute façon, j’ai profité de votre hypnose pour vous retirer plusieurs blocages qui empêchaient toute solution.

– Vous voulez dire que vous m’avez désinhibée ?

– Je n’irai pas jusque-là, c’est à vous de faire le chemin qui libèrera votre moi émotionnel. Ce que j’ai fait, c’est retirer les barrières qui s’étaient dressées en travers de ce chemin.

– Bien. Et maintenant ?

– La séance est terminée. Rentrez chez vous. Reposez-vous. Le cas échéant, passez voir Nicole et discutez-en avec elle. Le plus important est que vous vous prépariez pour ce soir, votre mari doit être mis au courant et accepter vos fantasmes.

– Merci, docteur. Au revoir.

– Au revoir.

 

Marie, inquiète et dubitative, quitte le cabinet. Que faire ? Comment le faire ? En repassant devant le bureau de l’assistante, elle ne peut s’empêcher d’observer la tenue de la jeune femme. On distingue aisément un chemisier sous sa blouse, elle n’est donc pas aux trois-quarts nue comme dans son rêve. Cela la rassure, mais en même temps une sensation curieuse l’envahit, probablement parce qu’elle a essayé de voir les dessous d’une autre femme. Encore un de ses fantasmes ? Si maintenant ceux-ci l’envahissent également en pleine journée, cela va rapidement tourner à l’obsession. Finalement, la thérapie proposée par le psy serait peut-être bien la moins mauvaise des alternatives.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Mercredi 10 novembre 2021 3 10 /11 /Nov /2021 17:44

7 rêves pour une femme par Cepaderefus – 1 – Les trois premiers rêves

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Un premier rêve

 

Dans une rue déserte de la banlieue de Montréal, une jeune femme marche sans but précis. Elle ne sait pas où elle est mais, ce qui est pire, c’est qu’elle ne sait pas non plus où elle va. Malgré tout, elle continue à marcher, espérant peut-être finir par arriver à un endroit qu’elle connaît. Ses cheveux bruns ondulés bougent au rythme de ses pas, elle est habillée d’un chemisier clair, d’une jupe noire et de chaussures à talons. Son errance l’amène à un carrefour, elle tourne au coin, c’est une voie sans issue mais une barrière permet d’entrer dans un grand parc arboré. Elle marche encore, traverse le parc et se retrouve soudainement à la campagne. C’est surprenant, car plus aucune trace de la ville n’est visible. L’endroit est calme et silencieux, totalement désert. Il n’y a autour d’elle que de grands champs plats et déserts. Elle continue à avancer droit devant elle sans but précis, sur un chemin de terre.

 

Soudain, quelqu’un l’aborde. D’où est-il venu ? Elle n’a pas le temps de se poser la question car cet inconnu engage immédiatement la conversation.

 

– Vous cherchez quelque chose, madame ?

– Je ne sais pas, je crois que je me suis perdue.

– Ça ne m’étonne pas, tout le monde se perd par ici… Avancez tout droit jusqu’à la fontaine et vous retrouverez votre chemin.

– Mais je suis où, là ?

– Le nom ne vous dirait rien. Mais je peux vous le situer par rapport à un village que vous connaissez.

– Je ne sais même pas d’où je viens.

– Allez à la fontaine, vous saurez alors où aller.

– Merci.

 

Marie reprend sa marche à travers champs. Heureusement pour elle, le sol est sec, car ses chaussures à talons ne sont pas très pratiques sur ce genre de chemin. Rapidement, des habitations réapparaissent, elle arrive alors sur une petite place au milieu de laquelle il y a bel et bien une fontaine, ce qui la rassure.

 

– Ça y est, j’y suis arrivée. Mais je ne sais toujours pas où je voulais aller.

 

Elle prend une rue au hasard. Et c’est alors qu’elle réalise où elle est.

 

– Voilà, je reconnais, je vais arriver chez Nicole.

 

Continuant sa marche dans la rue, elle finit par arriver une centaine de mètres plus loin devant le pavillon de son amie. Elle ouvre le portillon, traverse le jardin et va frapper à la porte d’entrée.

 

Quelques instants plus tard, une autre jeune femme entrouvre la porte. Ses cheveux bruns en désordre et ses yeux mi-clos donnent l’impression qu’elle vient de se réveiller. C’est bien son amie Nicole, ce qui ne manque pas de la rassurer. Par contre, ce qui la surprend, une fois la porte grande ouverte, c’est que son amie n’est vêtue que d’un pantalon. Celui-ci lui arrive au nombril, le haut de son corps est nu. Marie, bien que surprise, voire même choquée, ne peut s’empêcher de porter son regard sur les seins de son amie. Ceux-ci sont nus, bien fermes et ronds, avec des petits mamelons mais des gros bouts.

 

Nicole l’accueille ainsi, sans la moindre gêne.

 

– Bonjour, Marie. J’ai cru que tu avais un empêchement, je me suis même assoupie en t’attendant.

– Je suis venue à pied et me suis perdue.

– Tu ne sais plus venir ici ? Tu n’habites pourtant qu’à deux coins de rue.

– Oui, mais j’ai fait un détour.

 

Pensive, Nicole regarde son amie.

 

– Qu’est-ce qui t’arrive ? Tu as l’air troublée.

– Je ne sais pas si tu t’en rends compte, mais tu es toute nue.

– Pas du tout, je porte un pantalon.

– Mais tu ne portes rien en haut.

– Toi non plus.

– Quoi ?

 

Marie ne comprend pas mais, tout en répondant, elle penche la tête vers ses seins et se rend alors compte qu’elle n’a plus ni chemisier, ni soutien-gorge, mais qu’elle a cependant conservé sa jupe et sa culotte et ses bas auto-fixants. Ses seins sont gros, doux, à faire baver tous les hommes.

 

Sans réellement comprendre ce qui s’est passé, Marie commence à s’inquiéter tout en essayant pudiquement d’abriter ses seins derrière ses mains.

 

– J’ai dû perdre mes vêtements dans la rue, je vais aller les rechercher.

– Laisse tomber, je vais te prêter quelque chose. Entre donc.

 

Nicole s’absente pour aller chercher un vêtement. Pendant ce temps, Marie se balade à moitié nue dans le hall d’entrée, attendant un peu gênée le retour son amie. Quelques instants plus tard, Nicole redescend du premier étage, toujours les nénés à l’air. Elle rapporte un t-shirt qu’elle donne à Marie.

 

– Tiens, essaye cela. Ça devrait t’aller.

 

Marie enfile le t-shirt tout en restant debout. Elle lève les bras en l’air pour l’enfiler et une fois mis, le t-shirt fait ressortir encore plus ses seins. Pendant ce temps, son amie en profite pour observer chacun des mouvements que font ses seins. Marie sent bien où le regard de son amie se porte, elle pourrait se retourner pour se cacher d’elle, mais elle n’ose le faire de peur de la vexer. C’est pour cela qu’elle préfère rester face à Nicole pendant qu’elle se rhabille.

 

Après quelques ajustements, Marie semble presque satisfaite.

 

– Ça me va bien. Tu n’aurais pas un soutien-gorge à me passer aussi ?

– Je n’en mets jamais, tu le sais bien.

– Ah bon ? Je ne me souviens pas que tu me l’aies dit.

 

Tout en discutant, les deux femmes se dirigent vers le salon.

 

– Ce n’est pas grave. Assieds-toi et raconte-moi ce qui t’amène ici.

 

Marie s’assied sur le sofa, à côté de son amie. Ce faisant, le t-shirt lui fait montrer la fente de ses seins. La forme de ses seins se retrouve alors largement dévoilé. Marie ne semble pas y prêter attention, peut-être a-t-elle déjà oublié qu’elle n’a plus de soutien-gorge. En fait, elle est surtout concentrée pour tenter de répondre à la question de son amie, mais sans succès.

 

– Je ne sais pas. Je crois que je suis venue ici par hasard.

 

Nicole s’avance au bord du divan pour admirer la tenue de son amie. En penchant un peu la tête, cela lui permet d’admirer également le haut des seins de Marie. Elle le fait sans grande discrétion mais Marie ne semble toujours pas s’en rendre compte.

 

– Tu sais que tu es excitante quand tu t’habilles comme ça ? Où l’as-tu achetée ?

– Quoi donc ?

– Mais ton t-shirt, voyons !

– Enfin, c’est toi qui viens de me le passer.

– Ce n’est pas possible, je n’en porte jamais.

– Pourtant, tu viens de me le donner.

– Ah bon ?

– Et tu t’habilles comment, alors ?

– Comme ça.

– Mais tu es à moitié nue !

– Et alors ?

 

Marie n’a pas le temps de réfléchir plus longtemps à cette situation absurde. La porte d’entrée vient de s’ouvrir. C’est Simon, le mari de Nicole qui rentre de son travail. Après avoir déposé sa veste dans la garde-robe de l’entrée, il se rend au salon et y découvre les deux femmes assises côte à côte. Simon s’avance et embrasse sa femme sur la bouche, puis fait la bise à Marie.

 

– Bonjour, chérie. Bonjour, Marie.

 

Il s’installe alors sur le divan à côté de sa femme.

 

– Bon sang, je suis crevé.

 

Machinalement, il place sa main sur l’épaule de sa femme, le bout des doigts arrivant tout juste au niveau de la clavicule de Nicole. Tout en la caressant, il commence à discuter avec Marie.

 

– C’est sympa de passer nous voir.

– Oui. Enfin, le problème c’est que je ne sais toujours pas pourquoi je suis venue.

– Ce n’est pas grave. Tu as dû avoir un trou de mémoire.

– Peut-être.

– Tu restes avec nous pour manger ?

– Je ne pense pas. Philippe ne va pas tarder à rentrer et il ne sait pas où je suis.

 

Pendant cette discussion, Nicole a bombé un peu le torse au fur et à mesure que son mari lui caressait l’épaule. Simon se penche alors vers la poitrine de sa femme et se met à lui lécher les seins sous les yeux ébahis de Marie qui se sent monstrueusement gênée. Nicole se rend alors compte que le visage de son amie est devenu rouge.

 

– Qu’est-ce t’arrive ? Ça ne va pas ?

– Ben…

– J’ai compris. Nous sommes égoïstes. Mon chéri, occupe-toi donc de Marie.

 

Simon quitte alors la poitrine de sa femme, relève la tête et se déplace à genoux en direction de Marie. Celle-ci n’arrive pas à resserrer ses cuisses, elles sont grandes ouvertes, et elle ne peut placer ses mains sur ses seins. Arrivé à sa hauteur, Simon retire le t-shirt à Marie et avance la tête en direction des deux magnifiques seins de Marie. Marie ne veut pas, mais elle ne peut rien faire pour l’empêcher, elle n’arrive même pas à parler. Il n’est plus qu’à quelques centimètres, sa langue est sortie, prête à jouer avec les deux boules de la jeune femme.

 

Marie pousse un cri.

 

Soudain, elle se réveille en sueur. Ouf ! Ce n’était qu’un rêve !

 

– Qu’est-ce qui m’arrive ?… Quel rêve débile…

 

Endormie, elle sort de son lit, elle est vêtue d’un pyjama. Elle ouvre la porte de la chambre et va jusqu’à la cuisine où elle se sert un verre d’eau qu’elle boit lentement pour se remettre de ses émotions. De là, elle va aux toilettes satisfaire un petit besoin. Tout en retournant vers sa chambre, à moitié éveillée, elle repense encore à ce rêve troublant.

 

– Bizarre… C’est peut-être parce que Philippe n’est pas là depuis le début de la semaine.

 

De retour dans la chambre, elle remet rapidement les draps en ordre, se recouche et éteint la lumière, espérant retrouver un sommeil apaisé.

 

Sursaut

 

Marie se retrouve à nouveau au milieu des champs, toujours habillée d’un chemisier et d’une jupe. Elle aperçoit au loin le même inconnu que la fois précédente. Continuant sa marche, elle se rapproche de lui. Elle le distingue mieux et sa tenue lui semble bizarre. Encore quelques dizaines de mètres et elle se rend compte qu’il est complètement nu. Son physique est quelconque, ni sportif, ni gros. L’homme est légèrement poilu sur le torse, son sexe est caché en partie par les poils abondants de son pubis. Il ne semble pas se rendre compte qu’il est nu, à moins que cela ne lui importe pas. En fait, il se comporte exactement comme s’il était habillé.

 

Lorsque Marie arrive à sa hauteur, l’inconnu lui adresse immédiatement la parole.

 

– Vous vous êtes encore perdue ?

– Non, ça va mieux. Mais vous par contre…

– Qu’est-ce qu’il y a ?

– Vous êtes tout nu.

– Ne vous inquiétez pas, je n’ai pas froid.

– Je ne m’inquiète pas, mais vous êtes obscène.

– Dites donc, soyez polie, vous ne vous êtes pas vue.

 

Une appréhension la gagne alors qu’elle baisse le regard vers ses pieds. A-t-elle encore perdu son chemisier ? Non, c’est pire ! Elle se rend compte avec stupéfaction qu’elle ne porte plus qu’une nuisette blanche transparente en coton et dentelle, ainsi que des bas et un porte-jarretelles assortis.

 

– Qu’est-ce qui m’arrive ? J’étais habillée il y a un instant.

– Moi, tout ce que je sais, c’est que vous m’excitez, comme ça.

 

Tout en disant cela, l’inconnu commence à s’approcher d’elle, le sexe en érection et les mains tendues vers ses seins. Marie voudrait fuir, courir loin, mais elle est pétrifiée, incapable du moindre mouvement.

 

– Ne m’approchez pas !

– Qu’est-ce qui vous arrivez ?

– Ne me touchez pas !

– D’accord. Je ne vais pas vous toucher. Mais tout à l’heure, chez votre copine, vous devrez faire comme elle.

– Comment ça ?

– Si elle fait quelque chose, vous devrez faire la même chose.

 

Marie repense à l’expérience précédente. Si elle doit rester chez sa copine les nénés à l’air, ce n’est pas bien grave. Si Simon veut lui lécher les seins, après tout pourquoi pas ? Ce sera toujours un moment agréable.

 

– Bon, d’accord.

– Mais attention ! Si vous ne respectez cet engagement, vous me reverrez bientôt.

 

Délivrée de l’emprise de cet inconnu, Marie reprend son chemin à travers champs, soulagée mais néanmoins pensive. Ce qu’il vient de dire l’angoisse quand même un peu. Jusqu’où va-t-il falloir aller ? De toute façon, c’était ça ou se faire violer par cet inconnu.

 

– Après tout, ce sera peut-être agréable.

 

Quelques minutes plus tard, Marie arrive devant la maison de Nicole. Elle est à nouveau habillée, même qu’elle porte le t-shirt que son amie lui a précédemment prêtée. Arrivée sur le seuil de la porte, elle frappe, attendant qu’on lui ouvre.

 

Quand Nicole apparaît derrière la porte, Marie est presque surprise qu’elle ne soit pas nue. En effet, son amie porte un pantalon moulant en cuir noir, un bustier noir et elle a attaché ses cheveux en arrière. Tout ce noir et ses cheveux bruns, cela lui donne comme un air sévère.

 

– Salut, Marie, tu tombes bien, as-tu déjeuné ? Simon allait faire des crêpes. Je crois que tu adores ça ?

– Oui. C’est vrai.

– Alors entre et suis-moi.

 

Les deux femmes vont à la salle à manger. Simon est en effet derrière la séparation, dans la cuisine, en train de préparer des crêpes. On ne le voit qu’en partie mais, ce qui surprend Marie, c’est qu’il fasse la cuisine torse nu. Mais, après tout, étant donné la température actuelle… pourquoi pas ? Les deux femmes vont s’asseoir côte à côte sur le divan du salon. La table basse face à elles semble idéalement placée pour déguster de bonnes crêpes bien chaudes. Des assiettes sont déjà disposées, ainsi qu’un sucrier et plusieurs pots de confiture.

 

Lorsque Marie s’assied, sa minijupe remonte le long de ses cuisses. Du coup, son sexe se dévoile, mais ni elle ni personne d’autre ne semble s’en rendre compte. D’ailleurs son amie est occupée à regarder son mari préparer les crêpes. Quant à Marie, si elle n’a pas remarqué l’indécence de sa propre tenue, c’est qu’elle profite du fait que son amie regarde ailleurs pour observer sa tenue de façon plus approfondie. Le bustier noir de Nicole est en dentelle, il est légèrement transparent et l’on parvient à deviner sa poitrine dont les contours se dessinent à travers le tissu. Découvrir les courbes de Nicole derrière ce bustier est encore plus agréable pour Marie que lorsque qu’elle ne portait rien.

 

Simon vient de terminer les crêpes. Il prend alors la grande assiette sur laquelle elles sont empilées et sort du coin cuisine pour les amener sur la table basse du salon. Marie peut alors le voir en entier, elle se rend compte ainsi qu’il ne porte pour tout vêtement qu’un petit tablier blanc de soubrette. Une fois les crêpes posées sur la table, il reste debout tandis que les deux femmes et lui-même commencent la dégustation de ce déjeuner improvisé.

 

Nicole ne peut s’empêcher d’admirer la tenue sexy de son mari et de faire partager son point de vue à son amie.

 

– J’adore quand il s’habille comme ça. Il est excitant, n’est-ce pas ?

 

Marie est à nouveau gênée, elle essaye alors de changer de conversation.

 

– Oui. Tout à fait. Dis donc, elles sont drôlement bonnes ces crêpes.

 

Simon lui répond tandis qu’il termine gloutonnement la sienne.

 

– C’est normal, j’ai un petit secret de fabrication. Je mets du sperme dans la pâte.

 

Marie, qui ne s’attendait pas à une telle réponse, manque, sous l’effet de la surprise, de recracher ce qu’elle a dans la bouche. Elle réussit à l’éviter mais il s’en faut de peu qu’elle ne s’étouffe. Après quelques quintes de toux, elle réussit à reprendre son souffle tandis que ses amis s’inquiètent pour elle.

 

– Ça va mieux ?

– Oui. J’ai juste été un peu surprise.

– Bon.

 

Tandis que Simon se sert une seconde crêpe au sperme, Nicole ne peut empêcher sa curiosité de s’exprimer.

 

– Et tu fais comment pour préparer la pâte ?

– De la farine, du lait, des œufs…

 

Nicole l’interrompt :

 

– Non, je veux dire : pour le sperme, comment tu fais ?

– Facile : je me masturbe au-dessus du bol de pâte et je fais tout gicler à l’intérieur.

– Et… tu en manges aussi ?

– Pourquoi pas ? Elles sont bonnes !

 

Et tout en disant cela, Simon termine sa seconde crêpe. Marie se tourne alors vers son amie.

 

– Ça ne va pas ? Tu ne termines pas ta crêpe ?

 

Nicole regarde la crêpe au sperme qu’elle a dans la main. Après tout elle en a déjà mangé la moitié et ça n’a pas vraiment le goût de sperme. Elle la reprend donc dans sa bouche, un peu comme une bite, et termine de l’avaler.

 

Simon s’approche un peu plus de sa femme. Celle-ci pose sa main sur le tablier de son mari et se tourne à nouveau vers son amie.

 

– J’adore lui caresser le sexe à travers le tissu du tablier.

 

En même temps, elle prend dans sa main le sexe de son mari à travers le tissu et commence à le masturber. Le sexe, qui prend rapidement de l’ampleur, commence à soulever le tablier. Nicole semble épatée par l’effet que cela fait à son mari.

 

– Tu as vu comme il aime ça ? Moi aussi j’adore. Ça me fait mouiller. Et toi, tu as déjà essayé ?

 

Marie s’inquiète d’une telle question, elle se dit que les ennuis vont bientôt commencer.

 

– Non.

– Alors, essaye. Tu vas voir, c’est génial.

 

Il faut bien qu’elle fasse comme son amie si elle veut éviter de se faire violer par l’inconnu en pleine campagne. Après tout, ce n’est qu’une petite masturbation de rien du tout. Elle prend donc le sexe de Simon entre ses mains. La gêne l’envahit, elle se met à trembler légèrement. Prenant son courage à deux mains, elle commence à le masturber timidement. Elle sent alors que la bite de Simon est en train de grossir encore plus dans sa paume. Marie s’enhardit et se met à le masturber de plus en plus généreusement. Son amie, toujours à côté d’elle, la regarde faire avec un vif intérêt.

 

– Alors c’est bien ?

 

Marie essaye de lui répondre le plus naturellement du monde même si elle a du mal à articuler plus de deux mots.

 

– C’est super.

– Il bande ?

– De plus en plus.

 

Pour confirmer ce qu’elle vient de dire, Marie lâche la bite du mari de son amie. Le sexe de Simon est tellement redressé que son tablier ne cache plus ses testicules. Marie constate alors avec surprise qu’elles ne semblent pas avoir de poils. Pendant qu’elle est perdue dans ses pensées, Nicole pousse son amie vers l’avant.

 

– C’est encore mieux de le sucer. Allez, vas-y.

 

Ce qui ne manque pas de surprendre Marie.

 

– Quoi ?

– Tu as l’air surprise. Tu n’as jamais sucé un homme ?

– Si, mais…

– Je ne te crois pas, sinon tu n’hésiterais pas à le prendre dans ta bouche. Il a une bite très agréable à sucer.

 

Nicole soulève le tablier. Marie a alors la confirmation de ce qu’elle pensait. Simon s’épile le sexe, pas un poil sur les testicules ni sur le pénis. Même les alentours sont proprement rasés. Cette belle verge bien lisse ne manque pas de la captiver, mais quand même pas au point de la sucer. Ce n’est pas son mari, elle a la sensation désagréable de commettre un adultère. Cependant, son amie continue à la pousser en avant.

 

– Vas-y, qu’est-ce que tu attends pour sucer mon mari ? Il a une si belle queue. Je ne comprends vraiment pas pourquoi tu hésites?

 

Comme Marie n’esquisse pas le moindre mouvement, Nicole pousse avec force la tête de son amie vers le sexe redressé de son mari.

 

– Tu le vas sucer, salope ? Elle ne te plaît pas assez, la bite de mon mari ? Elle n’est pas assez bien pour toi ?

 

Marie se réveille en sursaut.

 

Sa peau est à nouveau couverte de sueur. Son pyjama lui colle au corps. Les draps sont en vrac au pied du lit, elle a dû énormément bouger durant son rêve.

 

– Encore ce rêve, mais qu’est-ce qui m’arrive ?

 

Elle essaye de respirer un peu d’air pour se rafraîchir l’esprit, mais c’est peine perdue, il fait trop chaud dans la chambre. Tant pis, elle tapote son oreiller, tire le drap sur elle et se retourne dans l’espoir de se rendormir plus sereinement.

 

Glissade

 

Marie est encore au beau milieu des champs. Mais cette fois-ci complètement nue. L’inconnu est toujours là, quelques dizaines de mètres plus loin. Cette fois-ci, c’est lui qui est habillé. Il se rapproche lentement de Marie tandis qu’elle entame la conversation.

– Vous êtes encore là ?

– Évidemment, vous devriez vous y attendre.

– Cette fois-ci, vous êtes habillé.

– Ne détournez pas la conversation, vous n’avez pas respecté votre engagement.

– Quoi donc ?

– Vous n’avez pas fait tout ce que faisait votre amie.

– Mais si, j’ai masturbé son mari.

– Mais vous n’avez pas voulu le sucer.

– C’est dégueulasse ! Je ne vais quand même pas sucer le mari de mon amie.

– Si ! Il le fallait. Vous allez donc être punie.

– Je ne suis pas d’accord. D’ailleurs, elle ne l’a pas sucé. Je devais faire ce qu’elle faisait.

– Elle vous a dit qu’elle aimait le faire, ça revient au même. Vous n’avez pas respecté ce que j’avais dit. Je vais donc pouvoir profiter de votre corps.

– Quoi ! ? Pas question !

 

Tout en disant cela, elle se met à courir pour tenter de lui échapper mais l’homme la poursuit.

 

– Toute fuite est inutile, je vous rattraperai.

 

Le chemin de terre est irrégulier, dans de telles conditions une paire de chaussures à talons n’est pas l’idéal pour courir. Marie finit par trébucher au bout d’une dizaine de mètres et chute dans une grande flaque de boue. Elle essaye de se relever mais ça glisse. Tout ce qu’elle parvient à faire, c’est se retourner dans la flaque. Elle se retrouve couverte de boue de la tête aux pieds. Angoissée, elle sait que l’inconnu s’approche d’elle tranquillement, inexorablement. Il a la ferme intention de la violer, mais elle ne peut plus rien faire pour lui échapper.

 

– Qu’est-ce qui se passe ? Je n’arrive plus à bouger.

– C’est normal, je vous avais prévenue, toute fuite est inutile.

 

Arrivé à sa hauteur, il se penche sans se presser et commence à palper ce corps couvert de boue.

 

– Vous savez, vous avez de la chance d’être pleine de boue, je ne ferai que vous caresser.

 

Ce massage de l’ensemble de son corps finit par la décontracter. Les mains de l’inconnu se font alors plus précises et convergent vers le sexe de la jeune femme. Il commence par lui effleurer la fente, puis il introduit un doigt, puis deux. Ses doigts, pleins de boue, s’insinuent entre les lèvres de Marie, viennent lui exciter le clitoris puis s’introduisent dans son sexe. Quand il les ressort, ses doigts sont propres, complètement nettoyés.

 

– Je vois que vous appréciez. Vous mouillez tellement que cela a enlevé toute la boue que j’avais sur les doigts.

 

Et, disant cela, il porte les doigts à son nez pour les sentir, puis il les introduit dans sa bouche et les lèche. Le murmure admiratif qu’il laisse échapper permet de deviner qu’il apprécie le goût du sexe de Marie.

 

Bien décidé à aller plus loin, il retire ses vêtements sans se presser. Une fois nu, il s’allonge au sol à côté de Marie et se roule à son tour dans la boue pour s’en recouvrir le corps tout en se masturbant. Son sexe grossit rapidement jusqu’à l’érection tandis qu’il continue de caresser la jeune femme d’une main et de se masturber de l’autre. Au bout de quelques minutes, il sent qu’il va bientôt jouir. Il se redresse alors sur les genoux en continuant de braquer son sexe en érection vers le corps maculé de la jeune femme. Quelques allers et retours de la main serrée sur sa bite sont encore nécessaires pour qu’il arrive à la jouissance finale. Son éjaculation est abondante, le ventre, les seins, le cou et même le visage de Marie sont recouverts du jus tiède et visqueux qui gicle par saccades au rythme de ses gémissements.

 

L’inconnu lui caresse encore le corps une dernière fois, ce qui a pour effet de mélanger son sperme et la boue en un mélange marron et gluant. Il se lève alors et s’en va, laissant Marie dans sa flaque de boue. Progressivement, elle peut à nouveau bouger ses membres et finit par se relever et reprendre son chemin.

 

Une fois revenue en ville, personne ne semble prêter attention à sa tenue. Pourtant, nue et couverte de boue, elle ne devrait pas passer inaperçue. Quand elle arrive enfin chez Nicole, cette dernière remarque immédiatement l’état dans lequel est son amie.

 

– Mais qu’est-ce qui t’es arrivé ?

– C’est toute une histoire. Mais je peux prendre une douche d’abord ?

– Oui, bien sûr, suis-moi.

 

Les deux femmes montent au premier étage jusqu’à la salle de bains. Alors qu’elle ouvre un placard pour en sortir une serviette de bain, Nicole se rend compte qu’elle a également de la boue sur elle.

 

– Je ne sais pas comment j’ai pu m’en mettre.

 

Tout en disant cela, elle sort une serviette pour elle aussi. Pendant ce temps-là, Marie est déjà passée sous la douche, en train de faire couler l’eau chaude. Elle dirige la pomme de douche sur son corps tout en frottant. Nicole, qui a fini de retirer ses vêtements, rejoint son amie sous la douche. Les quelques taches qu’elle a sur les bras ne semblent pas vouloir se décoller si facilement que cela.

 

– Dis donc, elle colle cette boue, il faut sacrément frotter.

 

Impression confirmée par Marie qui peine à se nettoyer le dos.

 

– En effet, ça ne part pas facilement.

– Attends, je vais t’aider, ce sera plus facile.

 

les288

Nicole se met alors à frotter consciencieusement le cou et le dos de son amie. La boue part progressivement, il ne faut pas être pressé. Elle s’occupe ensuite de la taille et des fesses de son amie, qu’elle se met à frictionner énergiquement. La boue enfin évacuée, ses frottements se muent progressivement en caresses. Elle remonte ses mains le long du corps de son amie. Arrivée aux épaules, elle les fait passer de l’autre côté et redescend lentement, sensuellement. Puis elle lui caresse les seins et le ventre. Agréablement troublée, Marie se laisse faire tandis que Nicole continue de lui caresser la poitrine d’une main et que l’autre main s’approche progressivement de son sexe. N’y tenant plus, gagnée par le désir, Marie se retourne et lui rend ses caresses de face. Elle porte alors sa bouche sur les seins de sa partenaire et lèche, mordille, suce et embrasse chacun des deux seins de Nicole! Nicole finit par parcourir le sexe de son amie de ses doigts, caressant cette fente ruisselant de l’eau de la douche. Portée par son désir, excitée par le ruissellement de l’eau sur leur corps respectifs, Marie se laisse aller et rend la pareille à son amie.

 

Soudain, Simon entre dans la pièce, juste au moment où Marie vient d’écarter les cuisses pour que son amie puisse s’insinuer plus profondément dans son intimité. Déjà nu et en érection, il pénètre sans un mot dans la cabine de douche et referme la porte derrière lui. Sans plus attendre, il écarte les fesses de sa femme et s’introduit en elle par-derrière sous les yeux ébahis de Marie. À chacun de ses coups de bite, Nicole est projetée contre son amie qui subit donc indirectement les assauts de Simon. Nicole se retourne alors vers son mari qui lui soulève une jambe pour la pénétrer par-devant. Simon maintient un rythme soutenu, sa verge ne cesse d’entrer et de ressortir de la chatte de sa femme qui, à chaque coup de queue, laisse échapper des cris de jouissance. Nicole part alors à la recherche des mains de son amie, les saisit et les porte sur sa poitrine. Marie comprend que son amie souhaite qu’elle lui caresse les seins, ce qu’elle se met à faire, ce qui a pour effet de décupler les cris de Nicole. Simon ne tarde pas à jouir, il ressort sa bite à temps pour que tout son sperme gicle sur le ventre et la poitrine de sa femme, et bien sûr sur les mains de Marie. Ceci fait, Nicole se penche vers sa bite et la suce pour la nettoyer. Simon sort alors de la douche, s’essuie rapidement et repart aussi vite qu’il était arrivé.

 

Marie est surprise de ce comportement.

 

– Ben, dis donc, il n’est pas bavard, ton mari.

– Oh, tu sais, c’est un grand timide.

– Ah bon ? Il n’en a pas l’air pourtant.

 

Nicole se retourne vers son amie et se colle contre elle. Le sperme de Simon s’étale sur les corps des deux femmes tandis qu’elles se caressent mutuellement le dos et les fesses. Marie étend sur le dos de son amie le sperme qu’elle a reçu sur les doigts. Nicole, toujours excitée, s’écarte de son amie et se met à lui lécher le corps pour y collecter tout le sperme qui y est étalé. Pour finir, elle introduit ses doigts pleins de sperme dans le sexe de Marie, qui jouit immédiatement, inondant de mouille la main de son amie. Nicole porte alors sa main à sa bouche pour goûter au jus de son amie. C’est à ce moment-là que Marie se réveille en sursaut.

 

– J’ai encore rêvé. Et cette fois-ci, je crois même que j’ai joui.

 

Mue par la curiosité, elle porte une main vers son entrejambe, son pantalon de pyjama est trempé au niveau de son sexe.

 

– Et il n’y a pas que dans mon rêve que j’ai joui.

 

Marie retire son pantalon, dévoilant ainsi son sexe intégralement épilé, comme dans ses rêves. Puis elle se retourne, recherchant en vain un sommeil plus calme.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Mercredi 10 novembre 2021 3 10 /11 /Nov /2021 16:44

Annonce insolite par Mathilde Stenberg

scat

 

Attention texte scato explicite

 

Chloé (c'est moi) finissait son café en rêvassant à la terrasse de ce bistrot. Situé devant la gare, il était fréquenté par une clientèle de passage, où se mélangeait allégrement familles nombreuses encombrées de bagages, voyageurs de commerce, le nez dans leurs journaux économiques et babas-cool prenant leurs quartiers d'été.

 

La sonnerie du portable d'un type placé à un mètre de moi retentit. Il gueule comme un putois, il se croit tout seul, j'en ai rien à foutre de ses affaires. Je crois comprendre qu'il y a eu confusion sur l'heure d'un rendez-vous. Le type sort un billet de son portefeuille, et décampe, son portable à l'oreille. Il a oublié deux journaux sur la table, je les attrape pour y jeter un coup d'œil ! L'un est un journal sportif à grand tirage, en revanche je ne connais pas l'autre, de format plus petit, la couverture montrant une femme à la poitrine généreuse et dévoilée m'apprend qu'il ne s'agit cependant pas d'un manuel de jardinage. Je feuillette amusée, ce sont des petites annonces. Des petites annonces bien coquines...

 

Qui l'eu cru ! Toutes ces annonces m'excitent, il y a de tout, des sados, des masos, des homos, des lesbiennes, des travelos, des partouzeurs, des apprentis cocus, des voyeurs, des exhibos. Je voudrais foutre ce canard en l'air, mais non ça m'excite, ça m'excite et je continue à lire 

 

Et puis je tombe sur ça :

 

"Tina, 26 ans aimerait rencontrer une jeune femme qui accepterait de faire ses besoins devant moi. Réciprocité bienvenue."

 

N'importe quoi ! N'importe quoi ! Il y a des tarées graves quand même ! Allez regarder quelqu'un chier ? Non mais ça ne va pas ! Pisser encore, ce peut être rigolo ! Mais la merde, ça pue, c'est moche ! Berck Berck Berck et re berck !

 

Et puis ce flash, ce souvenir ! La campagne, ma cousine, la forêt.... 

 

- Faut que je fasse caca ! M'avait-elle annoncée.

- Ben vas-y ! Planque-toi derrière un tronc d'arbre !

- Non, reste avec moi, j'ai peur des serpents.

- Bon, ben vas-y, je me tourne !

 

Je le fais ! Mais ma cousine m'interpelle !

 

- Il n'y a rien derrière moi ?

 

Je suis bien obligée de me retourner ! Malgré moi je suis fascinée, ma cousine est accroupie, en train de déféquer et je la regarde, je n'arrive pas à détourner mes yeux de ce gros boudin qui pendouille et qui finit par dégringoler mollement au sol ! Je suis tout d'un coup terriblement excitée !

 

- Hum, ça fait du bien de faire un gros caca ! Commente-t-elle ? Tu n'as pas envie toi ?

 

Je lui ai répondue que non, je l'ai regardé s'essuyer et je suis restée avec mon excitation ! Le soir dans mon lit, je me suis rejoué la scène dans ma tête et j'ai regretté de ne pas avoir répondu à cette étrange demande de réciprocité. Allez donc savoir pourquoi ? Le goût de l'interdit sans doute... L'excitation retombée, j'ai refoulé ce plaisir pervers qui m'avait envahi. Et puis quelques jours plus tard quand ma cousine m'a demandé si elle pouvait faire caca devant moi "comme l'autre jour", au lieu de partager son délire, j'y ai mis des limites : "Pipi, oui, mais pas caca !" L'affaire en est restée là. Les jeux uros ont ensuite intégré petit à petit mon univers érotique mais jamais je n'ai accepté de franchir la frontière que je m'étais fixée. Et pourtant régulièrement des esquisses de fantasmes scatos m'assaillent, ça ne dure jamais longtemps d'habitude.

 

Pourquoi suis-je si excitée alors ? Je relis encore l'annonce. Rejouer cette scène une fois, juste une fois, après on verrait bien ! Après tout qu'est-ce que je risque ? Et puis cette impression si troublante de tenter le diable... Un numéro de téléphone est indiqué, je le compose. Evidement c'est un répondeur ! C'est vrai qu'il doit falloir gérer ce genre d'annonce. On me demande mes coordonnées, je les donne, je pourrais toujours dire que c'est une blague si ça me prend trop la tête.

 

J'ai passé la journée comme d'habitude à vendre des pantalons, des petits hauts et autres fanfreluches à quelques minettes et le soir en rentrant dans mon studio de "célibataire et fière de l'être" je ne pensais plus du tout à cette affaire quand mon portable sonna vers 19 h 30

 

- Je suis bien au 06 xx....

- Oui !

- Vous avez appelé suite à mon annonce….

- Ah ! Oui, c'est vrai ! 

 

L'excitation étant retombée, je n'avais plus trop envie de donner suite.

 

- Vous avez quel âge ? Demande la douce voix

- 28 !

- Et vous êtes quel genre ?

- Quelconque, brune à lunettes. Pas trop moche.

- Vous êtes sur Montpellier même ?

- Oui, mais...

- On peut se voir, pour discuter un peu ?

- Oui, mais...

 

Ça y est, les images de ma cousine qui reviennent. Il faut que je me calme, je ne vais quand même pas m'embarquer avec n'importe qui pour faire n'importe quoi...

 

- Je peux vous retrouvez où ? Insiste-t-elle

- Au "café des amis" devant la gare, à la terrasse, dans vingt minutes.

- Donnez-moi un signe de reconnaissance, c'est moi qui vous aborderais, je prends mes précautions, vous comprenez ?

- Je sais pas, moi, j'aurais un gilet noir et un cahier bleu à la main.

- Dans combien de temps ?

- 20 minutes, ça va ?

 

Ravagée, je suis ravagée, mais j'ai un plan, le cahier bleu je ne vais pas le sortir tout de suite, comme ça si je vois une fée carabosse en train de chercher quelqu'un et bien elle continuera à attendre. 

 

Je m'installe à la terrasse, le gilet sur les genoux et le cahier dans le sac. Personne n'a l'air ni d'attendre ni de chercher qui que ce soit sinon cette jolie blonde un peu plus loin, qui attend probablement son mec...

 

Donc récapitulons : j'ai rendez-vous avec une nana qui a passé une petite annonce pour qu'on chie devant elle et vice versa ! Il faudra que je consulte !

 

La blonde passe et repasse devant la terrasse ! Ce n'est pas elle tout de même ? J'enfile le gilet, elle regarde dans ma direction, semble hésiter. Je sors le cahier bleu et fais le geste de m'éventer avec. Elle s'approche, c'est elle !

 

- Bonjour, je suis Gwen !

- Chloé, enchantée ! Je ne vous voyais pas comme ça, vous êtes charmante.

- Merci ! On se tutoie !

- Oui !

- Toi aussi, tu aimes les grosses cochonneries alors ? Me dit-elle en guise d'entrée en matière.

 

Alors, je lui explique qu'il ne faut peut-être pas aborder le problème de cette façon. Et je lui explique : le bouquin d'annonces, la sienne d'annonce, le flash avec la cousine, tout sur la cousine, mon excitation, mon incomprehensible excitation.

 

- Et sinon sexuellement tu te classes comment ? Me demande-t-elle.

- Je ne me classe pas, j'aime tout un tas de chose, les mecs, les filles, les partouses, l'uro, un peu le SM... En fait j'aime beaucoup de choses mais je ne pratique pas souvent. Je suis trop indépendante pour supporter la vie de couple, alors le sexe c'est souvent en solo... et toi ?

- J'avais une copine, une fille plus vieille que moi, mais elle a été mutée dans le Nord, elle m'a initié à un tas de trucs, alors ça me manque, c'est pour ça que j'ai passé une annonce un peu extrême, mais faut pas croire, il n'y a pas que ça dans la vie ! Sinon, je te plais ?

- Oui, t'es mignonne !

- Bon, alors je t'emmène chez moi ?

 

Ben voyons !

 

L'impression d'être prise dans un engrenage... Et mon cœur qui fait des gros toc-toc dans cet interminable escalier. On rentre, la porte se referme. Je jette un coup d'œil sur le studio. C'est gentiment décoré, peut-être un peu chargé à mon goût, des poufs, des coussins, des tableaux genre pop'art. On se croirait à Greenwich Village dans les années hippies 

 

- T'es pas pressée, j'espère ?

- Non ! (je n'allais pas lui dire oui) 

- T'as mangé ?

- Non.

- T'as peut-être faim, il est 21 heures passés ? 

 

Elle farfouille dans le frigo.

 

- Jambon, pâtes, ça va ? J'ai du fromage, des fruits, tu bois quoi, du vin ?

 

Nous voilà à parler de nous, de nos vies, de nos boulots respectifs, elle travaille dans une boîte d'assurance. On se trouve quelques affinités. Elle est gentille, douce, je m'étonne de ne l'avoir jamais rencontrée, mais c'est vrai qu'elle n'a rien de particulier qui ferait qu'on la remarque.

 

On a mangé un dessert, elle me propose un café, je décline. Je l'aide à débarrasser la table et à faire la vaisselle. 

 

Et puis sans transition :

 

- Je vais pisser, tu veux regarder, je suppose ?

- Bien sûr !

- J'aimerais bien un petit bisou avant.

 

Pas de problème, on se rapproche on se serre dans nos bras, on se roule un patin d'enfer. J'en suis toute chose. 

 

- Viens !

 

Elle quitte son pantalon, puis sa culotte, elle m'exhibe carrément sa chatte poilue. 

 

- Elle te plaît ?

- Bien sûr qu'elle me plaît.

- Tu aimerai que je te pisse dessus ?

- Oui, pourquoi pas ?

- Dans la bouche ?

- Un peu dans la bouche, oui !

- Déshabille-toi, sinon on va en foutre partout !

 

Me voilà en train de me foutre à poil devant une inconnue rencontrée il y a un peu plus d'une heure. 

 

- Hum, c'est mignon tout ça ! Commente-t-elle.

- N'est-ce-pas ?

 

Elle m'embrasse les tétons, me caresse, me malaxe les fesses. Je lui fais comprendre qu'elle pourrait elle aussi retirer le haut. Pas de problème, le petit haut valse, le sous-tif, également. C'est trop mignon tout ça !

 

On s'embrasse, on se pelote, on roule sur le tapis, mais Gwen se libère.

 

- Viens, j'ai trop envie !

 

Je la suis dans la salle de bain, elle me fait allonger par terre, puis approche son pubis de mon visage. C'est vrai qu'elle avait une grosse envie, j'en avale pas mal mais rapidement, je ne peux plus suivre; j'en laisse plein à côté, on rigole comme des bossues.

 

- Alors,  il est comment mon pipi ?

- Hum ! Un délice !

- T'as pas envie, toi ?

- Si je peux t'en faire un peu, c'est quand tu veux !

 

Elle m'embrasse à nouveau, je suis bien, elle me susurre alors à l'oreille :

 

- Alors tu voudrais qu'on fasse des grosses cochonneries maintenant ?

 

Je lui fais signe de la tête que oui, le moment fatidique est donc arrivé.

 

- T'as envie de faire un petit caca ? Demande-t-elle.

- Je ne sais pas, je ne crois pas, pas tout de suite !

- Pousse pour voir !

 

Je le fais, mais sans résultat !

 

- La meilleure façon est d'aller voir sur place ! Répond-elle alors. 

 

Elle mouille alors son doigt et me le pénètre dans l'anus qu'elle me trifouille avec énergie.

 

- Pousse en même temps... C'est pas très loin, je sens ta merde, mais il faut peut-être attendre un petit peu... c'est pas un problème... On attendra.

 

Elle sort son index en vérifie l'état ! Il n'est pas très net, c'est le moins que l'on puise dire, recouvert qu'il est de choses marrons. Elle le regarde, amusée et sans hésiter un seul instant elle se le fourre dans la bouche et le nettoie de sa langue.

 

- Deuxième tentative ! Dit-elle en m'enfonçant cette fois deux doigts ! Allez pousse, pousse ma petite salope !

 

Elle retire ses doigts, me les fout sous le nez !

 

- Lèche !

- Non !

- Sois pas bête, ça n'a pas beaucoup de goût !

- Si ça n'a pas de goût, pourquoi veux-tu que je le fasse ?

- Parce que c'est pervers, parce qu'on est deux belles cochonnes et parce que ça me fait plaisir ! Ouvre ta bouche, ma mignonne !

 

Elle me dit ça tellement gentiment que je n'ose pas refuser. Je lèche ses doigts, c'est acre, et effectivement ça n'a pas beaucoup de goût.

 

- C'est bien, on fera quelque chose de toi, commente Gwen en plaisantant. On va attendre que ça vienne... Mmmm moi par contre, je crois que je vais faire un joli petit étron !

 

Elle me fait un peu peur, je ne sais pas trop où je m'embarque. Peur mais fascinée aussi !

 

- Tu veux vérifier ? Demande-t-elle

- Tu veux que je te mette un doigt ? Osais-je.

 

A mon tour je me mouille l'index et lui introduit dans l'anus, je sens effectivement une masse un peu molle. Je réalise que je suis en train de lui toucher sa merde, et que non seulement ça ne me gêne pas plus que ça, mais que ça m'excite ! 

 

- Je crois qu'il y a un gros caca en préparation ! Lui-dis je !

- Ok ! Retire ton doigt ! 

 

Bien sûr mon index est sale, je lui offre à sucer ! Je pensais qu'elle refuserait, me demandant de le faire, mais non elle me lèche le doigt, et une fois que c'est fini, elle approche son visage de mes lèvres, nous nous embrassons, un vague goût acre reste alors sur sa langue ajoutant à mon trouble.

 

Gwen s'en va chercher une assiette dans sa cuisine, elle se met ensuite à genoux sur la table, me tourne le dos au dessus du plat qui est prêt à recevoir ce qu'elle va chier.

 

- Tu veux me sucer l'anus avant ! 

- Oui, mais ne pousse pas, alors ?

- Tu as tort, mais OK, autant y aller progressivement.

 

J'approche mon visage de son trou du cul ! Bigre, ça ne sent pas la rose par là ! Ça sent nettement plus fort que ce qu'il y avait sur nos doigts à l'instant !

 

- Dis donc, tu sens un peu fort !

- C'est normal, c'est un trou du cul, c'est une odeur naturelle. Tu vas t'habituer, lèche !

 

Je lèche quelques instants son petit anus, mais j'ai l'impression que celui-ci à tendance à se dilater, je n'ai quand même pas envie de recevoir sa crotte dans la bouche. Je me recule.

 

- Ne pousse pas !

- Je ne pousse pas, c'est toi qui appréhendes. Bon j'y vais ! Regarde bien et tu vas me commenter tout ça !

Chloe

Commenter ? Il faut faire des commentaires ?

 

- Tu vas me dire ce que tu vois !

- Pour l'instant je ne vois pas grand chose, si... ton trou du cul se dilate !

- Je vais essayer de faire ça tout doucement !

- Ça y est, ton caca commence à sortir !

- Ça te plait de me regarder chier ?

- Je ne sais pas si ça me plait mais ça m'excite.

- C'est de quelle couleur ?

- Ben, marron, c'est toujours marron, non ?

- Oui mais marron comment ?

- Marron foncé !

- T'as de la chance se sont les plus belles merdes.

 

Un long étron merdeux se fraye un chemin hors de l'étroit conduit, sa taille augmente dans des proportions que je n'aurais pas cru possible, puis la merde se casse et tombe dans l'assiette. Gwen défèque toujours, une nouvelle merde sort de son anus et vient rejoindre l'autre, une troisième arrive; mais avant qu'elle ne tombe, elle y met la main, en récupère un peu et se l'étale entre ses fesses. 

 

Je crois que j'ai fini, viens me nettoyer avec ta langue !

 

Je jette un coup d'œil sur le cul merdeux de ma complice de ce soir, non trop c'est trop, je ne me vois pas lécher tout ça et je le lui dis.

 

- Juste un peu, je ne te demande pas de tout enlever... mais juste un peu pour faire plaisir à ta copine !

- Je ne sais pas...

- Ce n'est pas pire que de lécher les doigts, c'est la même chose...

- Bon je vais essayer, mais tu ne seras pas fâchée si j'arrête ?

 

J'y vais. Je choisis une zone pas trop encombrée et je commence à lécher, effectivement à part ce petit côté acre, le goût est plutôt neutre. Il y a l'odeur, mais ça reste supportable, je lèche, je lèche.

 

- Ça va ? demande-t-elle ?

- Ouais ! 

- Lèche-moi le trou !

 

Au point où j'en suis, je n'ai plus aucune réticence, je lance ma langue sur l'anus merdeux, je l'embrasse puis je le suce de petits coups de langues répétées. Je m'enivre de ce que je fais, je suis maintenant complètement dans le trip. Le goût n'est pas à proprement (?) parler désagréable, avec un arrière-goût un peu amer comme certains fromages. En fait le premier pas franchi, c'est même pas mauvais du tout, un peu particulier mais pas mauvais. 

 

- Hummm, elle est bonne ta merde !

- Ben tu vois !

 

Je suis dans un état second, ma chatte est mouillée comme une soupe, je continue à lui lécher le cul comme si je dégustais le meilleur plat d'un grand restaurant.

 

Et puis les jeux scatos ont aussi leur limites, alors excitées comme des puces nous nous sommes retrouvées spontanément en soixante-neuf à nous lécher la moule jusqu'à l'orgasme…

 

On a pris une douche, pas ensemble, l'une après l'autre…

 

Je craignais un peu la suite, mais Gwen m'a rassuré.

 

- C'était un fantasme, je suis contente de l'avoir réalisé ! Me dit-elle. Mais on ne recommencera pas… Si on se croise un jour dans Montpellier on se fera un bisou, on pourra même prendre un café vite fait, mais on en resteras là.

 

Voilà qui me convenait très bien.

 

Environ un mois après cette rencontre, je croisais Gwen en rentrant du boulot. Nous somme allées boire un verre, en fait on était contente de se retrouver, nous avons bavardé comme des pies, je l'ai suivi chez elle, on s'est bien amusé, on s'est trouvé tellement bien ensemble que cela va bientôt faire 10 ans que nous vivons ensemble.

 

Fin

 

 

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Mercredi 10 novembre 2021 3 10 /11 /Nov /2021 16:29

Diane, ma prof de piano par Mathilda Stenberg

scat

Texte scato explicite

 

Je m'appelle Claire, j'ai 35 ans et je m'emmerde ! Mariée avec un cadre supérieur, celui-ci est toujours en vadrouille aux quatre coins du globe. Son niveau de rémunération est impressionnant. Ah, ça, je ne risque pas de manquer de quelque chose ! Mais enfin, on se demande à quoi je sers ? Prendre un amant, bof, je n'aime pas assez les hommes, me lancer dans des activités, j'en ai essayé plein, des solitaires comme l'aquarelle ou la sculpture. Des collectives comme la gymnastique, la randonnée, le chant choral, mais au bout de quelques mois tout cela ne me passionne plus, je laisse tout tomber. Je voudrais en fait changer de vie, avoir l'occasion de le faire, mais je ne sais tout simplement pas comment procéder. Et puis tout ce fric m'a habitué à un certain confort, suis-je vraiment prête à l'abandonner... On a beau se dire qu'il n'y a pas que ça dans la vie, mais bon...

 

J'ai le cafard cet après-midi : je me passe un disque, je ne choisis même pas, c'est une anthologie de morceaux pour le piano. Je connais tous ces airs par cœur. Tiens, la "Romance sans parole" de Mendelssohn ! Je savais la jouer avant ! Est-ce que je saurais encore ? Il y a des mois que je n'ai pas ouvert ce magnifique piano hérité de la tante de mon mari. Je m'y installe ! Et allons-y ! Le désastre ! Nouvel essai ! Nouveau désastre ! Je m'énerve, j'ai envie de casser quelque chose, je vais casser quelque chose, et je choisi cette ridicule sculpture "spéciale touriste naïf" ramenée par mon mari de Birmanie ! Patatras ! En miette l'œuvre d'art ! Au moins je ne la verrai plus !

 

- Oh madame !

 

Quoi "Oh madame !" ? La bonne qui joue les éplorées à présent. Elle est mignonne, mais elle m'énerve, tout le temps dans mes pattes, si au moins elle possédait un peu de tendresse, mais la seule fois où je me suis amusée à lui demander de me frotter le dos alors que je prenais mon bain, elle s'est enfuie en courant !

 

- Ecoute Anna ! Je te fais cadeau de huit jours de vacances, je ne veux pas te voir avant la semaine prochaine... 

- Mais pourquoi, madame ?

- Parce que c'est comme ça, allez file !

 

Je dois être timbrée, pendant huit jours je vais me farcir la cuisine les courses, le ménage, non pas le ménage, je vais lui laisser...

 

Je cours faire pipi, il faut que vous explique, je suis une pisseuse, j'ai souvent envie, le docteur m'a dit que je devais avoir une toute petite vessie, pas si facile à gérer, j'évite de boire trop de liquide ainsi que tout ce qui est diurétique si je dois sortir.

 

Je pisse, je me mets la main devant la chatte afin de l'imbiber de mon urine, puis je lèche, j'adore faire ça. J'aurais dû profiter de l'absence de la bonne pour me faire pipi dans ma culotte et rester comme ça un moment, pas grave, ce sera pour plus tard, de toute façon comme je vous l'ai, dit, je pisse tout le temps. Je me fous un doigt dans le cul, je le fais aller et venir, puis le ressors, il est un peu merdeux. Je le lèche ! Hum, c'est bon et c'est surtout délicieusement pervers, je recommence. Cet autre jeu est plus rare, mais j'adore le faire quand je sens l'excitation monter. Je crois qu'en poussant je peux faire un petit caca. Je pousse tout en mettant mes mains en corolle sous mon anus. La merde sort et tombe dans le creux de mes mains. J'approche ma main de mon visage, je contemple l'étron, le hume et m'enhardit jusqu'à le lécher un peu. Je me sens salope et j'aime ça !

 

Je quitte les chiottes sans me torcher le cul ni me laver les mains et vais me branler sur le lit.

 

Bon, si je n'arrive plus à jouer correctement au piano, quelques cours devraient me faire du bien. Je recherche un prof de piano, décide que je préférerais que ce soit une femme.

 

- D'accord ! Me dit la dame, on peut commencer jeudi, c'est à quelle adresse ?

 

Le problème c'est que jeudi, la maison sera pleine de poussière…

 

- Je préfère que ça se passe chez vous.

- Non, je ne donne pas de cours chez moi. Me précise la dame.

- Même si je double le prix ?

- Ce sera donc à titre exceptionnel.

 

Diane est blonde, la quarantaine, habillée très bourgeoise, le chignon ridicule prêt à chanceler, des lunettes… En s'arrangeant elle pourrait être pas trop mal, elle a des belles lèvres et un beau sourire… et bien sûr de très belles mains.

 

Nous sommes en pleine leçon quand j'ai soudain envie de faire pipi. Pour bousiller la concentration quand on est au piano c'est pas mal ! Je lui demande donc où sont les toilettes.

 

- Les toilettes ?

 

Ben quoi ? On dirait que je lui demande la lune, il y a bien des toilettes dans son appart, non ? Elle devient toute blanche.

 

- Heuh... c'est dans le couloir la deuxième porte, mais, euh, c'est un peu délicat, la chasse d'eau ne fonctionne pas très bien, le plombier devait passer hier, mais il faut que je le rappelle.

 

OK, pas la peine de se mettre dans des états pareils, je me rends donc à l'endroit indiqué ! Ça ne sent vraiment pas la rose, elle ne sait pas qu'il existe des déodorants pour chiottes, la prof de piano ? Un coup d'œil instinctif dans la cuvette. Il y a un magnifique colombin marron qui flotte dans de l'eau brunâtre. Bon, je n'effarouche pas pour si peu, elle m'avait prévenue, et puis comme ça par réflexe, je tire la chasse ! Miracle tout s'en va ! Elle fonctionne très bien sa chasse d'eau ! C'est quoi ce délire. ?

 

Je ne me suis ce jour-là pas attardée sur cette bizarrerie, j'ai fait ce que j'avais à faire, j'ai tiré la chasse qui pour la seconde fois de suite a fonctionné parfaitement, et je me suis remise à la musique.

 

C'est quelques jours après que la bizarrerie se renouvela. Pressée d'aller faire pipi, je remarquais encore une fois que la chasse n'avait pas été tirée ! Tout cela n'avait aucun sens ! Ou alors elle oubliait régulièrement de l'actionner ? Oui ça devait être ça, et c'est ce qui expliquait son trouble de l'autre jour ! Elle devait être incapable de se souvenir si elle avait tiré la chasse ou pas, d'où son explication vaseuse... Le syndrome du poisson rouge ! Quand on y réfléchit, les choses deviennent parfois bien simples... Et puis soudain un éclair dans mon esprit, la chose se compliquait. Où était donc passé le papier avec lequel elle s'était torchée et qui aurait dû être dans la cuvette ? On peut oublier de tirer la chasse mais pas de se torcher le cul quand même ! 

 

A moins d'être aussi cochonne que moi !

 

J'appuyais sur le mécanisme actionnant la chasse d'eau éliminant définitivement l'hypothèse d'un dysfonctionnement. Elle le faisait donc exprès. En voilà une perversion qui est bizarre ! Bizarre ? Mais pourquoi bizarre, puisque moi aussi, il m'arrive de faire des cochoncetés avec mon caca… 

 

Une réminiscence de mon adolescence me vint à l'esprit. Une sortie en forêt avec des copines, je m'étais isolée avec Julie pour faire caca. Et cette dernière m'avait proposé de jouer à qui ferait le plus gros boudin. On avait poussé, accroupies l'une devant l'autre en rigolant comme des malades.

 

- Celle qui a perdu à un gage ! Me dit-elle

- D'accord.

 

J'avais perdu.

 

- Le gage, c'est que tu ramasses mon caca et que tu le lèches !

- T'es malade. T'as qu'à le faire toi !

- C'est pas moi qui a perdu.

- Oui, mais si tu avais perdu, tu l'aurais fait ?

- Bien sûr !

- Mon œil !

- Regarde !

 

Et devant mes yeux effarés, Julie, ramasse un morceau de son boudin, le porte devant ses lèvres et le lèche en me narguant.

 

Alors tout c'est passé très vite, comme dans un rêve, sans doute n'ais-je pas voulu perdre la face, j'ai fait pareil. La surprise c'est que je pensais trouver quelque chose d'abominable, mais qui ne durerait que quelques secondes, une épreuve, quoi ! Au lieu de ça je rencontrais un gout plutôt neutre et loin d'être désagréable, 

 

L'affaire n'eut pas de suite immédiate, mais me troubla profondément. 

 

Quelques mots là-dessus quand même, étant gosse, le caca ne me dérangeait pas, et je me moquais de mes petites camarades que la chose révulsait. En grandissant, je me suis rendu compte que j'étais bien seule sur ce sujet, je me suis dit alors que je n'étais peut-être pas très normale et j'ai refoulé tout ça.. Jusqu'au jour ou en surfant sur Internet j'ai découvert des petites vidéos où l'on voyait de jolies femmes s'amuser comme des folles en faisant de la scato. Ce jour-là j'ai dû rester l'après-midi sur Internet, la main dans la culotte.

 

C'est à partir de ce moment là que j'ai commencé à me doigter le cul, et quand le doigt sortait il allait directement dans ma bouche.

 

Quand j'étais très excité, j'allais plus loin, parfois je chiais dans le creux de ma main et portait mon étron à mes lèvres et je le léchais vicieusement.

 

J'ai ensuite voulu chercher une complice C'était il y a trois mois, j'avais passé une annonce sous pseudo en ouvrant une boite mail anonyme. Une nana m'a répondu, elle voulait savoir si j'étais une vraie femme, un travelo… Bref elle se faisait payer, je m'en fous j'ai du fric. On a pris rendez-vous, et j'avais quelques idées sur ce que je lui demanderais de faire. Sur place, j'ai un peu déchanté, la nana n'était pas conviviale pour un rond, pas un sourire, pas une once d'humour, une moue dédaigneuse et suffisante. Je lui ai juste demandé de chier devant moi : elle m'a fait un joli boudin bien moulé, mais quand elle m'a demandé si je désirais autre chose, j'ai préféré en rester là. 

 

Alors parfois dans mes fantasmes, quand je suis réellement trop excitée, je me rejoue la scène avec Julie, et parfois j'y incorpore des variantes. 

 

Se pourrait-il que Diane...

 

Je décidais de la provoquer... Dommage, je n'avais envie que de faire pipi...

 

- Je crois que votre chasse d'eau est de nouveau bloquée, je n'ai pas tirée la chasse, on ne sait jamais, je ne voudrais pas que vous soyez inondée...

 

Sa tête ! L'autre jour, elle était blanche, mais aujourd'hui elle est rouge. Elle cherche quelque chose à dire ! Mais rien ne sort, elle me regarde, elle a les larmes aux yeux. Je suis sans doute allé trop loin. Soudain elle se lève, se dirige vers la patère où j'ai accroché mon manteau, me le lance !

 

- Foutez-moi le camp ! Trouvez une autre prof ! Je n'ai pas de compte à vous rendre. C'est si facile de juger les gens !

- Mais je ne vous juge pas !

- Si ! Vous me prenez pour une folle ! Comme si les choses étaient si simples que ça ! Disparaissez, j'ai besoin d'être seule !

 

Moi qui pensais créer un déclic positif, j'ai raté mon coup, lamentablement ! Diane est manifestement au bord de la crise de nerf ! Il faut que je trouve quelque chose pour la désamorcer.

 

- Je peux vous aider ! Vous n'êtes pas folle, ce sont les autres qui ne vous comprennent pas !

- Qu'est-ce que vous en savez, vous êtes psychiatre ? De toute façon, je le sais que je ne suis pas normale ! Maintenant laissez-moi, s'il vous plait, laissez-moi !

- Diane, vous êtes parfaitement normale !

 

Elle ne répond pas, elle sanglote, je lui mets la main sur les épaules, mais elle se dégage. 

 

J'aurais pu la planter là, et la laisser avec ses étranges pratiques, mais que voulez-vous, ce doit être mon côté protectrice, je n'aime pas que les gens soient malheureux. Et puis elle est mignonne avec son petit bout de nez en l'air... Je comprends que la seule façon de s'en sortir ça va être l'ultra choc, mais ça va être à mes risques et périls car après il faudra gérer la suite :

 

- Diane, j'ai les mêmes fantasmes que vous ! C'est pour cela qu'il faut arrêter de vous mettre dans de tels états.

 

Elle continue d'abord de se rebiffer !

 

- Quels fantasmes ? Qu'est-ce que vous en savez qu'on a les mêmes fantasmes ?

- Si vous le souhaitez, la prochaine fois que j'aurais envie, vous pourrez regarder, ça ne me dérange pas du tout....

 

Elle fait des yeux tout ronds, incrédules.

 

- Vous aussi vous aimez ces trucs-là, alors ?

- Puisque je vous le dis !

 

Elle n'a plus envie de me foutre à la porte. Je raccroche mon manteau. Elle a l'air un peu paumée. 

 

- Ecoutez, je ne suis plus très motivée aujourd'hui pour faire une leçon de piano, revenez demain, nous aurons pris du recul, et nous verrons bien si nous pouvons comment dire… rester en contact.

 

J'étais dans un état d'esprit assez partagé, d'une part je regrettais qu'elle ait mis fin à notre rencontre alors que les conditions étaient réunies pour que l'on tente d'aller plus loin. Mais je me disais aussi que demain je pourrais caresser son corps et lui offrir le mien… à moins qu'elle ne se dégonfle… à moins que ce soit moi qui me dégonfle !

 

Le lendemain, je me suis retenue d'aller faire caca. Diane m'accueille, tout sourire, elle s'est passé une petite robe beige, sans manches, et légèrement décolletée, je lui tends la main.

 

- Il faut d'abord que je vous dise une chose ! Commence-t-elle

 

Qu'est-ce qu'elle va me sortir ?

 

- Pour les toilettes, faut que je vous explique, j'aime bien l'odeur de mon caca…

 

En me disant ça elle devient rouge comme une pivoine

 

- Donc je ne tire pas toujours la chasse et je ne m'essuie pas systématiquement. Comme je ne reçois personne depuis mon divorce, ça ne gêne personne. Alors quand vous avez insisté pour prendre les cours chez moi, je n'aurais jamais imaginé que vous auriez besoin d'aller aux toilettes. Si ça vous choque, on en reste là.

- Mais non, ça ne me choque pas du tout.

- Alors, on s'embrasse ? Me propose-t-elle ?

 

Je lui fais un chaste bisou, mais elle me reprend :

 

- Si nos relations prennent un tour un peu particulier, autant nous embrasser mieux.

 

Je n'ai rien contre, et on se roule un patin. Mais alors le patin de chez patin, celui qui bave jusqu'au menton.

 

- Et la deuxième fois, vous aviez oublié… Demandais-je, poussé par la curiosité.

- Non, j'ai été naïve, je me suis dit :"elle ne va quand même pas aller pisser à chaque fois qu'elle va venir !"

 

On rigole de bon cœur, Et toujours est-il que la prof à l'air enchantée, ravie de ma réaction.

 

- Je peux vous caresser ?

- Bien sûr

 

En fait, elle se contente de me caresser les bras par-dessus mon chemisier, comme érotisme on fait mieux, mais elle s'enhardit rapidement et me pose les mains sur les seins.

 

Je lui fais un sourire d'encouragement, elle continue un peu puis elle se recule, manifestement elle a envie de me dire quelque chose, mais ça a du mal à sortir.

 

- Claire !

- Oui

- Je me suis un peu retenue en vous attendant, mais maintenant il faut je le fasse… Euh, cela vous plairait vraiment de me voir chier ?

- Mais assurément !

- Vous n'imaginez pas quel plaisir je vais avoir à chier devant vous !

- Je crois que le plaisir sera partagé !

- Vous préférez que je sois nue !

- Oui bien sûr !

 

Elle se déshabille vite fait et se plante devant moi. Je réalise alors que la situation est incongrue dans la mesure où je suis restée habillée... je me déshabille à mon tour, elle ne bouge pas, elle m'attend.

 

Ses jolis seins m'attirent irrésistiblement, je les pelote, je suce un peu les tétons, elle me caresse aussi, on se roule un nouveau patin aussi baveux que le précédent.

 

- Euh, on fait comment ? Dans les toilettes, nous risquons d'y être un peu à l'étroit ! La salle de bain ?

 

Allons-y pour la salle de bain, où elle s'y accroupit.

 

- Je vais faire par terre, me prévient-elle. 

 

Elle cherche une serviette.

 

- A moins que je fasse sur vous ? Ce n'est peut-être pas dans vos pratiques ?

- Dans mes pratiques, non, mais dans mes fantasmes, oui ! Alors faisons comme ça ! Chez moi dessus, Diane ! 

 

Je m'allonge sur le sol, elle s'accroupit de nouveau mais cette fois au-dessus de ma poitrine. Elle commence à pousser, mais abandonne au bout d'un moment.

 

- Ça ne vient pas, on va attendre un peu. Je vais faire pipi d'abord.

- Pissez-moi dessus, Diane ! Dans la bouche, je veux vous boire !

- Hum, et si je vous crachais dans la bouche, un tout petit peu !

- Allez-y Diane.

 

J'ouvre la bouche, elle me crache une première fois.

 

- Je peux vous insulter, je veux dire en le prenant comme un jeu ?

- Mais bien sûr !

- N'hésitez pas à me rendre la pareille, ça n'en sera que plus excitant.

- Crache-moi dessus, salope !

 

Elle le fait et ça m'émoustille, elle rectifie la position.

 

- Ouvre la bouche, grognasse !

 

La "grognasse" ouvre la bouche, et je reçois son urine dans la bouche, c'est délicieux, je me régale, il y avait une éternité que je n'avais pas goûté une autre pisse que la mienne.

 

Quand elle s'arrête c'est pour m'informer que cette fois "ça vient" et qu'elle va pouvoir me chier dessus.

 

- Vas-y ! 

- On y va !

Diane

L'anus s'ouvre, un petit étron marron quémande la sortie, il grossit, c'est maintenant un magnifique boudin qui sort du cul de la prof de piano, il se détache et me tombe sur la tronche.

 

Je n'ouvre pas la bouche, je n'ose pas, pas encore. L'odeur de merde m'envahit, pas grave, c'est de la fraiche, je m'habitue.

 

Diane se recule, un autre étron descend de son cul, il est magnifique. Terriblement excitée je me délecte du spectacle. Que c'est beau une belle merde qui sort d'un joli cul !

 

J'ose ouvrir la bouche, ma langue touche un peu de la merde de Diane, C'est surprenant, c'est même plutôt bon. Du coup, je m'enhardis et je lèche davantage.

 

Diane m'enlève le plus gros de ce que j'ai sur le visage et me badigeonne le torse avec, me voila avec les seins tout merdeux. Elle en prend un peu dans sa bouche, le garde et viens m'embrasser.

 

Son petit étron passe de sa bouche dans la mienne, puis de la mienne dans la sienne, je deviens folle d'excitation, mes cuisses dégoulinent de mouille.

 

Elle aussi s'est badigeonné, on est dans un drôle d'état, excitées comme des puces.

 

Et c'est quasi spontanément qu'on s'est retrouvé en soixante-neuf. J'ai sa belle chatte devant ma bouche, je lèche, je suce son jus, mais je sens mon ventre qui gargouille.

 

- Je crois que j'ai vais chier à mon tour !

- Chic ! Je veux ta merde dans ma bouche !

 

Je chie une grosse merde, Diane en a plein la tronche.

 

Ensuite ce fut la douche, le rhabillage, la cigarette, une bière.

 

- Je vais y aller…

- On se reverra ? Demande-t-elle avec une pointe d'angoisse dans la voix.

- Evidemment, j'ai vraiment besoin de vraies leçons de piano !

 

FIN

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Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Lundi 8 novembre 2021 1 08 /11 /Nov /2021 17:43

Florence, femme soumise par Firmin Dumigron 

stamp slave

 

Lorsque je suis entré dans la chambre, Florence s'y trouvait déjà…

 

Nous avons tous les deux la quarantaine, j'ai rencontré Florence un peu par hasard il y a environ un an. Elle était attablée au bistrot et chialait comme une madeleine. Je n'aime pas voir les femmes pleurer. Je suis allé la consoler, elle a mis un certain temps à m'expliquer que son jules venait de la quitter pour une autre et qu'elle ne savait même pas où dormir.

 

Je l'ai donc invité à venir chez moi. Nous n'avons pas baisé de soir-là, mais le lendemain on s'en est donné à cœur joie. Et tout de suite elle s'est révélée soumise et maso. Voilà qui tombait bien puisque je suis un tantinet dominateur.

 

Elle est brune, les cheveux longs, un beau visage avec un nez mutin, elle a une jolie poitrine dont les tétons s'ornent de piercing en anneaux.

 

Je suis cadre dans une grosse boite d'édition, et comme elle était sans travail, je lui ai obtenu un poste de traductrice qu'elle exerce à la maison.

 

Ce jour-là je suis rentré du boulot à 18 heures, un mot m'attendait :

 

"J'ai envie que tu me corriges, viens me rejoindre !"

 

Je criais : "j'arrive dans cinq minutes" 

 

Le temps de retirer ma veste et mes chaussures et d'aller faire pipi, non pas pipi, le pipi ce sera pour elle !

 

Elle était vêtue d'une simple chemise de nuit qui laissait découverts ses seins et ses épaules et lui descendait aux mollets, elle était debout au pied de son lit. Elle s'était attaché les mains à l'aide d'une corde fixée à la barre du lit. 

 

Je viens m'asseoir tranquillement dans un fauteuil.

 

- Quelle correction ce soir ? Demandais-je

- Je veux que tu me fouettes les épaules et les seins avec le petit bouquet d'orties fraîches que je t'ai cueilli ce matin ! Ensuite je voudrais douze coups de martinet sur les fesses !

- A nu ? 

- Evidemment !

 

J'ouvre une boite en carton dans laquelle se trouvaient rangée une dizaine de tiges d'orties bien garnies de feuilles. Florence avait entouré l'extrémité des tiges avec du papier d'aluminium afin d'éviter que je me pique. Délicate attention ! Je dénoue les rubans qui retenaient la chemise de Florence aux épaules. Elle tombe par terre, se retrouvant toute nue. Les épaules, le dos gracieusement incurvé, la poitrine bombée, les seins droits et blancs m'apparurent. 

 

- Baisse ta tête, poufiasse, pendant la correction… Et je ne veux pas t'entendre !

 

Je brandis le bouquet d'orties, commence à flageller mollement les épaules les seins, le dos et les flancs de Florence. Elle se met à gémir tout doucement tandis qu'elle remue son buste en tous sens sous l'action cuisante des plantes urticantes. 

 

- Je te défends de bouger ! Morue ! Baisse la tête sinon je te donne vingt-quatre coups de martinet sur le cul au lieu de douze ! T'as compris, trainée ?

 

Florence ne bouge plus. Maintenant la peau tout entière est rouge. Je décide d'arrêter la flagellation aux orties mais j'exige que ses fesses soient bien tendues. 

 

- Tu vas être une bonne fille, n'est-ce pas? Une bonne et sage fille, bien soumise, bien obéissante ? Penche-toi encore un peu, je vais te donner tes douze coups de martinet sur tes fesses de salope. 

 

DumigronFlorence se penche en avant. Je lui passe la main gauche sous l'estomac, au creux, pour la soutenir et armée du martinet, je lui demande de compter les coups qu'elle désirait recevoir. Sur ses fesses tendues, le premier coup, donné en travers des fesses, je l'applique très bas, presque sur les cuisses, Florence sur ce coup rebondit en tressaillant tout entière en même temps que l'on entend le bruit de grêle des six lanières du martinet s'abattant presque simultanément et d'une voix étouffé Florence compte "un". 

 

Le second coup suit presque aussitôt, puis le mouvement se précipite. Florence est fouettée avec force et rage, sans que je donne une seconde de répit au pauvre derrière corrigé. Un dernier coup donné sur ses fesses rouges et boursouflées et Florence prononce avec soulagement le dernier chiffre. Je pose le martinet sur le lit. Je palpe un instant la partie fouettée, vérifiant si elle était suffisamment échauffée par le fouet. 

 

Je détache les mains de Florence, qui se frictionne sans pudeur aucune, puis s'agenouille et vient vers moi… sur les genoux

 

- J'ai soif !

 

Alors je sors ma bite bandée de ma braguette, attend un petit moment et me met à pisser d'abondance dans son adorable petite bouche.

 

Ma miction terminée, je suis branlé un petit peu pour redonner vigueur à mon membre. Elle l'a pris entre ses lèvres et m'a sucé jusqu'à la jouissance. Vicieusement elle ouvre sa bouche remplie de sperme, puis se relève et me demande de l'embrasser.

 

Drôle de fille !

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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