Lundi 30 août 2021 1 30 /08 /Août /2021 14:34

 

Un string bien rempli par Firmin Dumigron

stamp trans

Alors voilà, après une journée de travail, de réunion, nous décidons de nous détendre dans une boite dans Barcelone. 

 

Nous sommes invités par nos fournisseurs pour passer la soirée. Nous nous laissons guider par ces derniers qui nous emmènent dans un restaurant très branché de la ville. Nous passons une excellente soirée très alcoolisée.

 

Vers une heure du matin, nous sommes plus que deux à danser et faire la fête, les autres sont parti se coucher !

 

Nous sommes invités à aller dans une boite pour finir la soirée. Nous nous installons dans la boite qui parait très chaude, l’ambiance est top !

 

Nous sommes installés sur des coussins entourés de filles et de champagne à écouter de la musique trop forte !

 

Je suis super bien et lors de la soirée, je fais la connaissance d’une fille en tailleur avec des bas noirs, qui ne me laisse pas de glace !

 

Nous engageons la conversation. Nous nous trouvons des affinités, des points communs etc…

 

Afin de parfaire notre connaissance, nous nous mettons un peu à l’écart afin de rechercher un peu d’intimité.

 

L’alcool aidant, je me sens pousser des ailes et je commence à glisser ma main le long de sa cuisse.

 

Elle me laisse faire et je continue à la caresser jusqu’à monter aux porte-jarretelles. Je suis super excité, je bande très fort, ma queue est enfermée dans mon pantalon et ne demande qu’une main charitable pour sortir comme un diable de sa boite !

 

Cette salope comprend mon état et me caresse la queue à travers mon jeans.

 

Je bande très fort et je lui demande à l’oreille qu’elle me fasse une pipe !

 

J’en peux plus !

 

Elle me prend la main et m’entraine dans un coin discret.

 

A l’abri des regards, elle m’offre son intimité. Elle m’appuie sur les épaules, je me mets à genoux et j’attends de lécher sa chatte bien chaude et bien ouverte ! Elle me tient la tête et me demande de me calmer !

 

Alors elle glisse sa main dans son string et sort une belle queue pendante ! Après un moment de surprise, je comprends vite la situation….

 

RakotoCette queue au lieu de me rebuter m’excite au plus haut point. Je la prends dans ma bouche et la suce comme un bâton de réglisse !

 

J’adore son odeur, sa texture, sa forme, je joue avec dans ma bouche et avec ma langue. Je me surprends moi-même et me découvre un talent de pipeuse !

 

Je sens sa queue gonfler de plaisir dans ma bouche, mes doigts griffent ses bas ! Mes mains montent de ses cuisses, jusqu’à ses fesses !

 

Je bave, j’en peux plus. Il m’a pris la tête avec ses mains et il me baise la bouche en imprimant un rythme de plus en plus rapide !

 

Ça y est, ses mouvements ralentissent et je sens le jus s’écouler de sa queue. J’avale tous ce nectar, et engloutit sa queue ce qui lui procure encore deux ou trois spasmes de plaisir intense.

 

Il se recule, me présente sa queue à moitié débandée le long de mon visage afin de bien me faire comprendre que c’est elle qui mène la barque !

 

– Tiens si tu veux me revoir, voici ma carte, mais la prochaine fois, ma bite, je te la fous dans le cul !

 

Chic alors !

 

fin

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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Lundi 9 août 2021 1 09 /08 /Août /2021 08:38

Une cliente très particulière par Claire_N

Flag culote

Je m'appelle Martine, j'ai vingt et un ans, je suis célibataire, et depuis peu, j'ai réussi à trouver un emploi comme représentante en lingerie sexy féminine chez un grossiste.

 

Dans ce milieu, j'ai du mal à cacher que je suis bisexuelle, et que mes tendances penchent plus vers les femmes que vers les hommes.

 

Mon petit plaisir à moi c'est l'uro sous toutes ses formes, que j'ai découvert assez jeune. J'adore cela. J'adore me mouiller dans les lieux publics en pensant que peut-être on me remarquera. J'ai toujours pensé que j'allais finir par provoquer involontairement un scandale. J'ai aussi découvert la scato, ça me fascine mais je ne suis pas accro.

 

Un jour ma directrice m'appela :

 

- Martine ! Vous vous souvenez d'avoir fait votre première vente à Madame Moulenfeu ? Eh bien, cette dame est prête à passer un gros contrat avec nous. Et c'est avec vous qu'elle veut signer, uniquement avec vous. Je pense que vous réalisez bien l'importance de la mission que je vous confie ? Vous devrez déployer tous vos talents de commerciale pour nous ramener ce contrat. Vous me comprenez n'est-ce pas ? 

- Oui !

- Il le faut. Vous avez rendez-vous avec elle demain à 11 h 30 au "Restaurant de la chatte". Je compte sur vous.

 

Je rassurais ma directrice, et lui confirmais que j'étais prête à déployer tous mes talents pour décrocher ce contrat. Ça pourrait peut-être même être une porte vers une belle promotion. 

 

Je me souvenais…

 

Alors que j'avais installé devant elle toute la lingerie susceptible de l'intéresser pour son commerce, je sentais son regard davantage intéressé par ma modeste personne que par les dessous affriolants que je lui proposais. Ses mains réussissaient régulièrement à frôler les miennes. Puis ce fut une de ses jambes qui vint résolument se glisser entre mes genoux. Elle s'en excusa mais recommença quelques minutes plus tard. Ses avances ne me déplaisaient nullement. Mais je craignais de mal interpréter ses gestes. Débutante, j'étais là pour vendre, rien de plus. J'étais sûre qu'elle ressentait mon trouble. C'était une belle femme. Plus âgée que moi certes, mais je la trouvais attirante. Fausse blonde avec des cheveux mi courts, poitrine généreuse, elle en imposait.

 

Le lendemain…

 

J'avais enfilé un joli string rose pour ne pas avoir de démarcation de culotte sur mon jeans taille basse qui mettait en valeur mes fesses et ma taille mince. Je mis ensuite un cache-cœur et un soutien-gorge qui compensait un peu mes seins que je trouvais trop petits pour mon décolleté. Un passage devant le miroir, un coup de maquillage, des talons hauts et me voilà prête. L'appréhension me rendait la bouche pâteuse et je bus deux grands verres d'eau avant de partir en voiture, puis direction le rendez-vous.

 

J'étais un peu en avance. Je comptais là-dessus pour me rendre aux toilettes avant l'arrivée de ma cliente, mes deux verres d'eau m'y incitaient. Je n'aurais pas à m'en excuser pendant l'entretien pour disparaître deux minutes. Cela aurait été du plus mauvais effet. Pas de chance. En arrivant à la terrasse, je reconnus Madame Moulenfeu…

 

- Ah… Bonjour ! Vous êtes Martine je crois ?

- Oui… Bonjour Madame Moulenfeu.

- Je vous en prie… Appelez-moi Marie. Installez-vous là près de moi. Tout va bien pour vous ? Pas de problèmes ?

 

Je n'osais pas lui avouer que j'avais une terrible envie de pisser. J'attendais donc un moment plus propice.

 

- Bon… Tant mieux. Mettons-nous au travail avant de déjeuner. Je n'aime pas être interrompue quand je suis en affaire. Mais en attendant de nous mettre à table, nous allons prendre une coupe de Champagne… 

 

Je protestais mollement disant que je n'étais pas habituée au Champagne. En fait, je craignais fort que son pouvoir diurétique ajouté à celui des deux verres d'eau, me mette dans une situation plus qu'embarrassante.

 

- Allons, allons ! Nous n'abuserons pas, nous allons simplement trinquer !

 

Difficile de refuser…

 

Une accorte serveuse flanquée d'un décolleté impossible nous servit les coupes et je dû évidemment en boire une gorgée. Gorgée qui fut la plus petite possible.

 

Marie, au contraire de moi, avait une forte poitrine et son décolleté la découvrait largement. Elle portait une minijupe rouge qui, lorsqu'elle était assise découvrait assez haut ses cuisses blanches, pour le plus grand plaisir de la serveuse qui avait apporté le Champagne et qui devait elle aussi avoir des tendances goudou. .Je déployais des ressources inouïes pour, à la fois, retenir mon envie et présenter sous le meilleur angle, tous nos produits à notre acheteuse. Comment lui vanter la beauté et l'érotisme d'un string sans penser au mien que je devais éviter de mouiller ? Comment discuter un contrat annuel avec une telle envie de pisser ? Ah ! Quelle idée elle avait eue de commander du Champagne ! Toutefois, nous semblions d'accord et la liste de commande s'allongeait. Nous en arrivions à la fin de notre catalogue et j'allais enfin pouvoir présenter le bon de commande à la signature quand elle s'écria :

 

- Mon Dieu ! Déjà midi ! Je vous invite à déjeuner. Entrons dans la salle.

 

Elle me désigna une table et s'installa en face de moi. D'un regard circulaire, je cherchai un panneau indiquant les toilettes. Mais rien de bien évident de là où nous étions. Il aurait fallu que quelqu'un me renseigne. Et puis l'autre là qui n'en finissait pas de me poser des questions… Toujours en affaire… même en mangeant ses tomates à la mozzarella !

 

Et moi… Comme ce n'est pas possible… Si à l'aise en uro… Habituellement… Qui n'osais pas lui dire que j'avais une foutue envie… de crainte de l'indisposer et qu'elle ne signe pas le bon de commande.

 

En ramassant sa serviette tombée entre nous deux, sa main caressa intentionnellement la jambe de mon jeans. Je sursautai et je sentis nettement quelques gouttes passer dans mon string. J'en étais sûre maintenant. Son insistance pour m'avoir comme interlocutrice… ses jambes découvertes… sa serviette tombée entre nous deux… sa détermination de ne pas vouloir être interrompue… sa coupe de Champagne… oui, j'en étais sûre, Marie me cherchait et je devrais la suivre en échange de sa signature.

 

Bordel !… Elle finira bien par avoir envie de pisser elle aussi ! D'autant plus qu'elle avait bu deux verres d'eau en mangeant après le Champagne.

 

Soudain, elle me donna espoir :

 

- Et bien… Tout cela est très bien… C'est OK. Je vous accorde l'exclusivité pour un an. Je vais signer.

 

Je poussais un soupir de soulagement à l'idée que j'allais pouvoir me lever et demander au premier serveur rencontré où se trouvent les toilettes. Mais Marie enchaîna :

 

- Une autre coupe de Champagne pour sceller notre accord.

 

J'avais envie de hurler : "Nooooooon !"

 

Mais je pensais juste tremper mes lèvres dans le verre.

 

- Vous n'aimez pas le Champagne ? Demanda-t-elle.

- Si mais… J'ai encore à conduire cet après-midi… et je ne bois pas d'alcool en général.

- Pas d'inquiétude… Dans ce cas, nous prendrons le café chez moi et je signerai..

- Chez vous ?

- J'habite à deux pas d'ici. Rue Jean Labite… Attendez-moi ici. Je passe régler au comptoir et nous y allons. 

 

Je récupérais mon porte-documents. J'avais trente secondes pour m'informer auprès du serveur. Mais c'est elle qui l'occupait. J'étais vraiment devenue sa chose, car je ne devais surtout pas la bousculer ou la contrarier. Oui… C'était cela… Une dominatrice… Elle signera si…

 

J'eus soudain une impression que je m'empressai de vérifier. Mon entrejambe côté gauche était mouillé sur au moins vingt centimètres. J'espérais que cela ne se remarquerait pas. Elle me rejoignit pour sortir du restaurant. Tout en marchant je serrais les jambes, en priant pour que je tienne. Seule, c'est sûr, je me serais installée derrière un buisson du parc que nous longions. Quelle tentation !

 

Un digicode. La porte s'ouvre, et bientôt… des toilettes ?

 

Elle se mit à me tutoyer ;

 

- Entre… Mets-toi à l'aise. Installe-toi dans le divan.

 

J'avais une peur bleue de le mouiller. Quelle ne fut pas ma surprise lorsqu'elle passa devant moi de constater que l'arrière de sa jupe portait une tache d'humidité ? Cette surprise se lisait sans doute sur mon visage car elle me dit :

 

- Ah oui ! Tu as remarqué ma jupe ? Tu sais ton jeans, je l'ai remarqué aussi avec la tache entre les jambes. J'aime voir une fille qui mouille son jeans ! Ça ne te gêne pas, j'espère ? Et puis tutoie-moi toi aussi.

- Oui….si tu veux… Répondis-je timidement en pensant à mon contrat d'exclusivité.

- Tu vois, moi aussi j'adore pisser….Mais avant j'aime me sentir un peu mouillée. Tu es sympa Martine. On pourrait être amies….Non ?… 

- Oui bien sûr !

- Tu as déjà une relation intime avec une autre femme ?

- Ça m'est arrivé, oui !

- Et tu aimes ?

- Oui !

- Et avec une femme plus âgée que toi ?

 

N'étant pas complètement folle je voyais très bien où elle voulait en venir.

 

- Non, mais ça ne me dérangerais pas du tout !

- Alors allons-y, prenons un peu de bon temps !

 

Bien en face de moi, elle releva sa jupe, descendit son string découvrant son sexe fraîchement épilé. Avec un petit rire, elle me l'envoya à la figure.

 

- Pourquoi ? Ddemandais-je ;

- Pour te faire sentir l'odeur. Tu n'aimes pas cela ?

- Si… Mais j'ai été surprise.

- Ne le sois plus. Je suis comme toi. J'aime pisser. J'aime les femmes. Alors elle sent bon ma culotte ?

 

Elle était souillée, une belle tache de pisse devant, mais aussi quelques trainées marrons derrière. Je humais et me régalait de cette fragrance 

 

- Humm ! J'adore !

- Lèche si tu veux !

 

J'avançais ma langue et vint lécher légèrement la tache d'urine, puis m'enhardissant, je fis de même avec la tache de merde

 

Après cette petite fantaisie, elle vint me rejoindre sur le divan et passa ses jambes au-dessus des miennes. Elle se mit à me caresser les cheveux et le visage, palpa ma modeste poitrine. Certes des relations avec des filles j'en ai eu plusieurs, mais là, la situation était différente, C'était une cliente…. Je me suis laissé faire, nos langues s'enroulaient, nos salives se mélangeaient.

 

J'allais me faire gouiner par une vraie salope, mais ça ne me posait pas vraiment de problèmes.

 

Puis soudain, je sentis mon jeans se mouiller abondamment. Je glissais ma main entre les cuisses de Marie pour constater qu'elle était en train d'uriner abondamment sur moi.

 

C'est malin ! Je vais repartir comment, maintenant ?

 

Nous étions trempées toutes les deux. Elle se leva, enleva son chemisier et sa jupe ne gardant que son soutien-gorge. A mon tour, je retirai mon jeans trempé, mon soutien-gorge et mon string pour me retrouver complètement nue. On s'observa ainsi toutes les deux, on se plaisait mutuellement, on était bien.

 

Je lui enlevai son soutien-gorge pour libérer ses beaux seins dont je caressais les aréoles puis j'entrepris de les lécher et de les sucer.

 

Elle me fit coucher sur le sofa et elle se mit entre mes cuisses. Je reçus quelques baisers et quelques coups de langue sur ma petite chatte juste un peu dégarnie. Sa langue osa atteindre mon clitoris. J'étais au septième ciel, tout le plaisir était en moi. Mais je craignais que sous le plaisir ma vessie se libère brutalement à mon insu.

 

Puis nous avons changé de place, je vins sur elle pour nous manger mutuellement la chatte. Sa mouille remplissait ma bouche, je ruisselais dans la sienne. J'adorais ce goût.

 

- Attends… dit Marie. Ma fille a un accessoire, un double gode qu'on peut s'introduire à deux. Je vais le chercher et on va se donner du plaisir ensemble.

 

Et elle partit dans la chambre de sa fille, remua des tiroirs et revint vers moi.

 

- Tu sais Marie, lui dis-je. Toi tu as fait ton pipi. Moi le mien est toujours prêt à partir et tu as failli l'avoir à la figure sans que je le fasse exprès, je t'assure. Dis-moi où sont les toilettes ou la salle de bain.

- Attends ! Répondit-elle, on va gérer ça !.

 

Elle se coucha sur le plancher et me demanda de me placer debout au-dessus d'elle.

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- Allez ! Vas-y, pisse-moi dessus.

 

Je ne sais pas ce qu'il y avait de plus agréable : arroser ma cliente qui m'obligeait à me retenir depuis si longtemps ou de me sentir enfin soulagée. Mon jet ne s'arrêtait plus. Je l'arrosais de son visage à son entrejambe en poussant plus ou moins fort et en dirigeant le jet avec mes doigts. 

 

- Un vrai régal ton pipi, me dit-elle

 

Puis, Marie entra un bout du gode dans sa chatte et se mit à genoux. Je m'installai derrière elle en lui tournant le dos et je rentrai l'autre bout dans la mienne. Je me tortillais et finis par jouir bientôt rejointe par Marie.

 

Epuisées de plaisir, nous avions oublié que nous étions là pour boire un café.

 

Mais Marie préféra une troisième coupe de Champagne. Les deux précédentes ayant été éliminées, cette dernière fut la bienvenue. Nous l'avons dégusté assises dans le canapé, toutes mouillées, dans les bras l'une de l'autre.

 

Nous en étions là quand sa fille fit irruption en disant que sa mère n'était pas autorisée à lui emprunter son jouet, ce qui nous fit rire toutes les trois. La fille s'empara du gode et me claqua nonchalamment mes petites fesses.

 

- Tu ne vas pas me dire que tu as besoin du gode maintenant, laisse-le-nous encore un peu ! Protesta Marie

- Vous avez fini de jouer avec, je vous ai vu, espèces de cochonnes !

- Non on a pas fini, on ne se l'est pas mis dans le cul !

- Oh là là, qu'est-ce que j'entends ?

- Reste donc avec nous, Katia, tu ne nous déranges pas !

- Bon, bon !

 

J'avais remarqué la mezzanine, Marie me proposa de nous nous y rendre

 

Mais sur place je découvrais un voisin assis en terrasse en train de bouquiner, j'allais rebrousser chemin mais Marie m'expliqua.

 

- C'est monsieur Philippe, un retraité, il n'est pas méchant, juste un peu voyeur, il ne me gêne pas du tout… et puis c'est excitant de savoir qu'on nous regarde.

- Je préférerais qu'on reste à l'intérieur.

- C'est une expérience, tu vas voir c'est amusant. Vas-y caresse-toi, il va se branler en nous regardant

 

J'ai donc commençai à me caresser pour attirer son attention. Marie me rejoignit dans mes caresses. Pour lui prouver que je pouvais être aussi perverse qu'elle, je lui proposais de me pisser dessus à son tour. Elle ne se le fit pas dire deux fois et accroupie elle m'inonda le corps et la bouche de sa délicieuse urine.

 

Le voisin s'était déshabillé et s'astiquait frénétiquement sa bite en nous regardant.

 

- Regarde moi ce vieux cochon ! Tu sais, dés fois il lui prend l'envie de vouloir me baiser, il me téléphone, si je dis non, il n'insiste pas, il est très correct… et si je dis oui je lui demande de l'argent en échange, de temps en temps j'aime bien jouer à la pute. La semaine dernière on l'a sucé à deux, moi et ma fille.

 

Non mais ce n'est pas possible, où est-ce que je suis tombée ?

 

- Si ça t'intéresse je peux t'arranger un rendez-vous avec lui ! Reprit-elle. Il paie bien.

 

Elle me proposait carrément de faire la pute ! J'aurais pu me rebeller, mais je ne l'ai pas fait pour deux raisons, la première c'est que j'étais ici en mission et que le contrat n'était pas encore signé, la deuxième c'est que quelque part l'évocation de cette situation me faisait fantasmer.

 

Katia vint ensuite nettoyer avec sa langue la chatte de sa mère en se régalant des dernières gouttes de pipi.. Quand elle eu fini elle reprit le double gode et nous demanda à sa mère et à moi de nous mettre en levrette cul contre cul, elle nous lubrifia bien nos anus avec sa délicieuse petite langue avant de nous introduire ce joujou diabolique qui nous fit jouir au bout de quelques minutes.

 

- Hum, ça m'a donné envie de faire caca, tu veux regarder Martine ?

- Avec plaisir !

- Je suis sûr que tu aimerais me lécher le cul après ?

- Bien sûr !

Marie alla chercher une feuille de papier journal et s'accroupit dessus, me tournant le dos et m'offrant le magnifique spectacle de ses jolies fesses bien rebondies. Son anus s'ouvrit, je le sentis pousser et soudain un bel étron en sortit et vint s'écraser sur la journal.


- Alors ça t'as plu ?

- Oui ! Tu as fait une jolie merde.!


Elle prélève un petit morceau de l'étron, le porte à sa bouche et le léché légèrement en me regardant finement dans les yeux..


- Humm, tu veux goûter ?

- Peut-être pas, mais je vais te lécher le cul !

- Ce sera la même chose !

- Oui bien sûr ! Allez, donne je vais le faire !


 

J'ai donné un bref coup de langue, puis j'ai nettoyé son anus, j'ai trouvé ça très bon et très excitant.

 

Rassasiées, il nous fallait une douche, et c'est ensemble que nous sommes allées dans la salle de bain, Marie et moi. Sa fille vint nous rejoindre et après m'avoir embrassée sur la bouche, en fit de même avec sa mère tout en lui pelotant et lui embrasant la poitrine.

 

La dernière coupe de Champagne faisait son effet. Je pris la main de Marie et la glissai entre mes jambes pour la gratifier d'un dernier pipi en conclusion.

 

Katia avait la même taille que moi. Elle me prêta un de ses jeans et aussi un string en soie, rouge et blanc.

 

Une fois séchée et rhabillée, je ressortis mon bon de commande et mon contrat d'exclusivité.

 

- Ah ! C'est vrai s'excusa Marie… On allait l'oublier.

 

Et elle signa les deux exemplaires sans même les relire.

 

On s'embrassa d'un tendre baiser complice et je pris le chemin du retour.  :

 

- Alors Martine ?… Comment ça s'est passé ? S'enquit la directrice

- Mais très bien Madame… Elle a signé !

- Super on va arroser ça, je vous invite chez moi on va déboucher une bonne bouteille Champagne.

 

Encore du champagne ! Qu'est-ce qu'il va encore m'arriver ?.

 

Martine-secrétaire (Québec)

 

Postface :  le texte original écrit par Martine a disparu de la circulation. J'ai essayé de le reconstituer à l'aide d'un brouillon de publication. Martine peut évidemment nous joindre pour toutes remarques, corrections ou rectifications.

Claire_N

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Claire N
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Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 10:47

Je suis majeure, j’aime la danse par Julia Raison


VitkaJe suis majeure, j’aime la danse

Et j’emmerde la bien-pensance,

Hier, j’ai ouvert le frigo

J’ai mangé deux eskimos.

J’ai ouvert le petit bar

Et me suis servie un vieux marc.

J’ai ouvert le tiroir de maman

Il y avait un gros gode dedans.

Je l’ai entré dans mon abricot

Et ça m’a bien donné chaud.

J’ai ouvert la salle de bain

Papa s’y branlait comme un sagouin.

« – Enlève tes mains, mon père !

Ma bouche fera mieux l’affaire. »

Dans ma peau je suis bien

J’emmerde les paroissiens

De toutes les confessions

Et vive l’inceste et la fellation !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Poèmes divers
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Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 10:38

Les Vilaines Cousines par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne

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Bonjour, je m’appelle Anne-Abigail et ce récit est basé sur des faits réels. J’ai aujourd’hui 33 ans, je suis un peu maso, un peu sapho, un peu dingo

 

C’était il y a 13 ans… l’année de mes 20 ans !

 

Pendants mes vacances, j’avais décidé de rendre visite à ma tante Sylviane et à mon oncle Georges que je n’avais pas vu depuis quelques années. Ils vivent près de Cahors dans un joli corps de ferme. En compagnie de leurs deux filles. Caroline, 21 ans et Manon 19 ans.

 

Cet après-midi, après nous être promenées dans les bois avec mes cousines, nous sommes arrivées près d’une cabane abandonnée.

 

– Entrons nous reposer quelque temps ! Dit Manon l’air visiblement très fatiguée.

– C’est une bonne idée ! Renchérit Caroline.

 

Toutes les trois nous nous dirigeons vers cette cabane faite de rondins de bois et couverte d’une mousse indiquant que peu de personne viennent par ici. Je pousse la porte qui me résiste un peu et entre la première. La pénombre qui règne dans la pièce me permet à peine de distinguer les meubles. Devant moi une table mal équarrie avec une chaise sur le côté, dans le fond une commode et face à l’entrée un canapé fort usé. Entièrement à ma contemplation, je suis surprise lorsque Manon se colle contre mon dos, me saisit les poignets et les tend à Caroline, qui en un tour de mains les attachent avec une fine corde.

 

– Mais… qu’est-ce que vous faites… ?

 

A peine ai-je terminé ma phrase qu’une traction sur mes poignets m’oblige à lever les bras. Je vois Manon tirer sur la corde qui entrave mes poignets, en jeter l’extrémité par-dessus une poutre du plafond et de toutes ses forces elle me soulève. Si bien que rapidement je suis obligée de me mettre sur la pointe des pieds si je ne veux pas que mes épaules me fassent trop souffrir.

 

– Vous êtes folles… ! Détachez-moi immédiatement… !.

 

Une boule d’angoisse monte dans ma gorge lorsque je vois Caroline, terminant de nouer la corde sur un anneau fixé dans le mur, me regarder avec des yeux de feux.

 

– Qu’est-ce que je vous ai fait… ? Pourquoi… ? Détachez-moi… Je vous en prie… !

– J’en ai marre que tu nous prennes de haut avec tes grands airs de fille de la ville, toujours à nous narguer et à nous snober, aussi nous allons te montrer comment nous traitons les petites prétentieuses de ton genre par ici ! Dit Caroline pleine de colère.

– Je le ferais plus… détache-moi, j’ai mal aux poignets… Pardon Caro Pardon !

– Trop tard Anne, fallait y penser avant !

 

Je vois Caroline se diriger vers la commode, ouvrir un tiroir et prendre un objet, lorsqu’elle se retourne vers moi elle me montre une baguette en bois.

 

– Je vais te chauffer un peu les fesses peut être que cela t’apprendra la modestie ?

– Nooonn… ! Tu ne vas pas oser faire ça… ! Nooonn… ! Je veux pas… !

 

Cousine

 

Comme Caroline passe devant moi je tente de lui décocher un coup de pied mais je perds l’équilibre et une violente douleur monte de mes poignets. J’essaie de d’arrêter le balancement de mon corps en me mettant sur la pointe des pieds mais je n’y arrive pas.

 

– Salope… ! J’ai mal aux mains, détache-moi… !

– Quoi ? Tu oses me traiter de salope… ! Tu ne perds rien pour attendre… ! Je me suis toujours demandé quelle sorte de culotte peut bien porter une fille de la ville.

 

Joignant le geste à la parole, elle passe dans mon dos, remonte doucement ma jupe, découvrant petits à petit mes cuisses, lorsqu’elle commence à apercevoir ma petite culotte, elle s’exclame :

 

– Tu portes une culotte de pute ma chère Anne. Regarde Manon elle porte une culotte de dentelle presque transparente, on lui voit les poils et pour un peu on lui discernerait le minou.

 

Morte de honte en entendant les commentaires de Caroline je me mets à pleurer.

 

– Ar rêtes, tu as gagn (snif) ées, je ser rai sage à l’ave (snif) nir !

 

Les larmes inondent mon visage, mais, lorsque j’entends Manon, je n’en crois pas mes oreilles.

 

– Dit Caro, tu crois qu’on la fait mouiller ?

– Je ne sais pas il suffit de vérifier… !

 

Caroline termine de remonter ma jupe jusqu’à ma taille, découvrant mes cuisses fermes et fuselées, la roule et la coince dans ma ceinture. Puis elle fait glisser ses mains le long de mes hanches et s’arrête en atteignant l’élastique de ma culotte.

 

– Noonn ! Caro ne fait pas ça ! Baisse pas ma culotte… Noonn… !

 

J’ai beau me débattre, mais attachée comme je le suis, je ne peux rien faire. Je sens les mains de Manon faisant descendre ma culotte avec une lenteur extrême, laissant apparaître le duvet roux de ma toison puis la fente de mon sexe. Arrivée à mi-cuisses elle la laisse tomber. Je perçois le frottement du tissu glissant sur mes jambes et découvre sur le sol ma petite culotte faisant une tache blanche. De rage je lance un coup de pied à Caroline.

 

– Aiiii… !

 

Au glapissement que j’entends, je sais que mon talon l’a atteint à l’estomac. Je vois Caroline se tenir les mains sur l’estomac, pliée en deux de douleur.

 

– Vache j’ai mal… ! Tu vas me payer çà !

– Attends Caro ont va l’attacher autrement intervient Manon.

– Comment ? Demande Caroline se redressant avec peine et me jetant un regard noir.

– On va lui ligoter les jambes, comme ça elle ne pourra plus bouger.

 

Manon et Caroline s’approchent de moi.

 

– Pardon Caro Pardon ! Je ferai tout ce que tu veux. Excuse-moi

 

Arrivée à ma hauteur Caroline s’abaisse et attrape une de mes chevilles.

 

– Anne, si tu bouges je te promets que tu le regretteras

 

Le ton de la voix de Caro est si dur que je n’ose pas faire un mouvement. Manon détend la corde de mes poignets ce qui me fait un bien fou car je peux enfin reposer les pieds sur le sol. Très vite un fourmillement parcourt mes bras et mes mains, puis des picotements de plus en plus douloureux au fur et à mesure que le sang se remet à circuler. Manon et Caroline en profitent pour lier une corde à chacune de mes chevilles, puis elle en passe l’extrémité dans des anneaux fixés dans le sol et, elles tirent sur les cordes m’obligeant à écarter les jambes. Lorsqu’elles sont satisfaites, elles nouent les cordes aux anneaux. Je suis immobilisée entièrement à leur merci.

 

– Qu’est-ce que-vous allez faire de moi ?

 

Manon s’approche de moi et me dit en me regardant dans les yeux.

 

Tu n’aurais pas dû faire ça Anne…

 

Elle se laisse tomber à genoux et son visage arrive à hauteur de mon sexe. Elle place ses mains sur mes fesses me faisant sursauter.

 

– Que vas tu me faire ?

– Juste vérifier si tu mouilles. Me répond-elle en riant.

 

Le souffle du rire de Manon sur ma chatte, les caresses de ses mains sur mes fesses et la situation dans laquelle je me trouve commencent à provoquer des troubles au creux de mes reins. Une chaleur que je connais bien irradie mon minou. Je lutte de toutes mes forces pour ne pas laisser paraître mon trouble. Mais lorsque Manon écarte les lèvres de ma chatte, je suis bien obligée d’admettre l’évidence.

 

– Regarde-moi çà Caro, elle mouille comme une fontaine. Elle aime ça, une vraie petite salope.

 

Les mots de Manon me blessent mais je préfère ne rien dire.

 

– Si elle aime se faire tripoter, je lui réserve une bonne surprise dit Caroline en se dirigeant vers la porte. Avant de sortir, elle me regarde

 

– Je crois que tu vas aimer Anne tu n’aurais pas dû me frapper, je t’aurais pardonné ta morgue mais maintenant j’ai un compte avec toi.

 

Et elle referme la porte sur elle.

 

– Qu’est-ce qu’elle va me faire ?

– Je ne sais pas me répond Manon Mais depuis le temps que j’ai envie de toi je vais en profiter…

 

Je regarde Manon, son visage ovale encadré de cheveux blonds est tourné vers moi, de ses yeux bleus un torrent sensuel s’échappe. Elle approche sa bouche de ma vulve, écarte à nouveau les lèvres de mon minou, attrape avec délicatesse mon clitoris et commence à le sucer comme un bonbon. Une violente décharge secoue mon bas ventre, mon bassin ondule au rythme des caresses de Manon. Le plaisir d’abord insidieux devient de plus en plus fort. En femme experte Manon contrôle la montée de mon orgasme, reculant le plus possible les limites de l’explosion.

 

-Manon.. . Je… Oui… en peu plus… Oui… Oui… Ouuiii !! Je veux jouir Hooo ! Ouuii… Haaa… Ouuuiiii… !!

 

Un orgasme fulgurant me parcourt le corps me laissant sans force, au bord de l’évanouissement. Lorsque que je reprends conscience je vois Caroline devant moi.

 

– Alors petite pute, je vois que tu ne t’es pas ennuyée pendant mon absence. Depuis le temps que Manon voulait te faire une minette. Maintenant à mon tour de jouer avec toi. Regarde, je t’ai cueilli des fleurs…

 

Dans ses mains Caroline tient délicatement un bouquet de fleurs. Elle les dépose une à une sur la table. Six en tout. C’est alors que je me rends compte que ce ne sont pas des fleurs mais des orties. Un cri jaillit de ma bouche.

 

– Que vas-tu faire avec ça !

– Te nettoyer la chatte. Regarde-toi, tu as de la mouille partout. Ce n’est pas très propre cela. Toi qui passe des heures dans la salle de bain à te pomponner, tu dois bien le comprendre. Me dit-elle un sourire aux lèvres.

– Non…Noonn…Nooonnn…!! pas çà Caro, tout ce que tu veux mais pas çà

 

Comme une hystérique je me débats dans mes liens. Je tente de resserrer mes jambes. Chose impossible car je suis trop bien attachée.

 

– Caro je tends prie, ne fais pas ça…!

 

Caroline contemple mes efforts infructueux. Elle tire un mouchoir de l’une des poches de son jeans, l’enroule autour de la tige de la première ortie, la soulève et se dirige vers moi. Une peur panique me saisit.

 

– Nooonnn…!!

 

Soudain Manon et Caroline éclatent de rire.

 

– Regarde elle pisse… elle a tellement la trouille qu’elle fait pipi dit Manon entre deux hoquets.

– La cochonne faire cela devant nous… elle n’a pas honte ? Renchérit Caroline.

 

Rien n’y fait, je ne peux pas m’arrêter, je regarde cette fontaine d’or jaillir de ma chatte et imprégner le sol sablonneux de la cabane. Petit à petit le flot se tari pour ne laisser place qu’a quelques gouttes. Je suis rouge de confusion et je n’ose pas regarder devant moi, je garde la tête baissée sentant monter un flot de larmes.

 

Manon se mouille le doigt avec un peu de l’urine qui a coulé sur mes cuisses et me le fait sucer.

 

– Suce, suce ta bonne pisse !

– Non pas ça !

– Tu as tort, elle est délicieuse ! dit-elle en se léchant le doigt.

 

Je pensais avoir échappé à cette épreuve, mais voilà qu’elle recommence. Je ferme ostensiblement la bouche, alors elle me pince fortement le téton à travers mon tee-shirt et profite du fait que j’ouvre la bouche pour crier, pour y fourrer son doigt

 

– Tu es vraiment une sale fille. Reconnaît qu’il faut bien t’essuyer la foufounette maintenant. Me dit Manon

 

Je ne réponds pas. Mais lorsque je vois les feuilles d’ortie entre mes jambes je ne peux m’empêcher de supplier Caroline.

 

– Tu m’as assez humiliée comme çà…arrête Caro…!

 

Je vois les doigts de Caroline séparer les lèvres de mon sexe. Je retiens mon souffle car les feuilles d’ortie montent vers ma chatte. Saisie par l’appréhension je ne bouge plus. Lentement Caroline fait glisser les feuilles d’ortie entre les lèvres de mon minou, entre mes jambes et pour finir dans le sillon de mes fesses jusqu’à mon anus. Dans un réflexe je crispe mes fessiers ce qui a pour effet de ralentir encore plus le mouvement des orties. Une fois entièrement passée Caroline jette la tige sur le sol.

 

– Et d’une…!

 

Ces mots sont comme un déclic, jusqu’à présent je ne sentais rien. Brusquement un picotement se propage à l’intérieur de ma vulve, bientôt remplacé par une véritable démangeaison, puis des élancements semblables à des piqûres se répandent le long du trajet suivi par les feuilles d’orties se transformant en une unique brûlure.

 

– Aiiii…! Je suis en feu…! J’ai mal !

 

A travers le brouillard de larmes qui obstrue mon regard j’aperçois Caroline qui revient vers moi avec une autre tige d’ortie.

 

– Noonn…! Plus ça…Trop mal…!

 

Malgré mes suppliques et les déhanchements de mon corps pour échapper aux orties de Caroline, une deuxième tige suit le même chemin le long de ma vulve et dans la raie de mes fesses. La douleur est encore plus vive que précédemment.

 

– Plus… Noonn… ! … plus Caro… trop mal… ! … arrête … !

– J’espère que tu as compris maintenant !

– Ouuii…! …Ouuii ! …je serai sage je ferai tout ce que tu voudras…!

 

Caroline profite quelques temps du spectacle de mon corps se contorsionnant en tous sens pour échapper à la souffrance qui le ronge. Elle semble se délecter de mes cris et de mes suppliques.

 

Manon s’approche de Caroline

 

– Tu m’excite quand tu fais la méchante !

 

Les deux sœurs s’embrassent sensuellement sur la bouche, se pelotent et se débraillent avant de rouler sur le sol, où elle se gamahuchent l’une, l’autre.

 

J’ignorais que mes cousines avaient des rapports incestueux, les voir se donner du plaisir ainsi m’excita énormément.

 

– Bien. Manon, détache-la.

 

Manon s’approche de moi, me délie les chevilles et lorsqu’elle détache la corde qui maintenait mes bras levés je m’effondre sur le sol. Je me tords comme un ver, une main frottant ma chatte l’autre mes fesses pour tenter d’apaiser la souffrance. Au bout de quelques temps la douleur s’estompe. Comme je tente de me relever Manon me dit :

 

– Reste à genoux et approche à quatre pattes esclave…

 

C’est la première fois que j’entends ce mot dans sa bouche mais à partir de cet instant je sais qu’il va rythmer toute ma vie. Je m’approche de mes cousines, déjà prête à me soumettre à leurs nouveaux caprices.

 

– C’est exprès que tu as laissé trainer ça sur ta table de nuit ? Me demande Manon en m’exhibant une feuille de carnet rempli de mon écriture.

 

« Elles sont trop belles mes cousines ! Que j’aimerais être leur esclave ! »

 

– Vous fouillez dans ma chambre alors ?

– Ben quoi ? Faut bien aérer, non ? Et puis ne te plains pas, nous avons exaucé ton fantasme ! Maintenant habille-toi correctement, nous devons rentrer à la maison. Dit Caroline.

 

J’abaisse ma jupe. Je cherche ma petite culotte du regard mais Manon me dit :

 

– A partir de maintenant tu ne portes plus sous-vêtement.

– Oui…maî…maîtr…maîtresse Manon.

 

Nous sommes sorties de la cabane. Arrivée sur le chemin, je me suis tournée vers la cabane pour figer à jamais l’image de cet endroit qui me fit découvrir ma vocation d’esclave.

 

En entrant dans la maison, une autre surprise et de taille m’attendais.

 

– Alors, demande l’oncle Georges, ça s’est bien passé ?

– Super ! Répond Caroline, on l’a soigné aux orties.

 

Je rêve, l’oncle Georges était donc au courant !

 

– Et elle a réagi comment ? Demande la tante Sylvianne.

– Elle a mouillé comme une salope !

– Bien on va se faire cinq minutes détente, on se mets tous à poil.

 

L’instant d’après je découvrais la bite de mon oncle Georges fièrement bandée.

 

J’étais tétanisée, ma tante Sylvianne et mes cousines me retirèrent mes vêtements, je me laissais faire.

 

– Venez mes chéries, venez sucer la bite de votre papa ! Dit ensuite tonton Georges.

 

Et là devant mes yeux subjugués, je vis Caroline et Manon s’agenouiller près de leur père et entamer une fellation incestueuse à deux bouches.

 

Il les fit stopper au bout de quelques minutes. Et pointa sa main vers moi !

 

– En levrette, esclave, je vais t’enculer !

 

Je ne protestai pas, cela procédait pour moi de la logique des choses, je me mis en position et offrait mon anus aux assauts virils de mon oncle, tandis que les deux cousines faisait minette à leur mère.

 

13 ans plus tard je me remémore encore cette folle journée ! Le lendemain je quittais oncle, tante et cousines, les adieux furent chaleureux sans arrière-pensées, comme s’il ne s’était rien passé !

 

J’ai ainsi découvert ma nature profonde : je suis profondément maso, mais libre ! Paradoxal ! Non ! Car maintenant mes Maîtresses, c’est moi qui les choisis !

 

Bisous.

Anne-Abigail

 

© 2000 annvoneichmuller@hotmail.com

 

Publié initialement sur le site de Revebebe le 23/02/2001 sous le numéro 1869 et qui ne l’a pas conservé

Rétabli ci dans une version non censurée et rewritée.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 10:09

Sept de pique par Hélèna Sevigsky

Domina

Mais comment elle a fait ?

 

J’avais pourtant bien truqué le paquet de cartes !

 

– Si c’est pique ou trèfle, c’est toi qui commande et j’ai un gage, si c’est cœur ou carreau, c’est le contraire !

– O.K. !

– Tire une carte !

 

Elle le fait et tire un sept de pique.! Voilà une situation que je n’avais pas prévue. Que faire maintenant ? Je me dois d’être bon joueur à défaut d’être un mauvais tricheur.

 

– Bon, prends une douche, je donne un coup de fil et on y va. Me dit-elle.

– On va où ?

– Tu le verras bien.

 

Rapide description de Margot, ma compagne, fausse blonde, lunettes, quelques rondeurs, trente ans, joli minois, faut pas que je me plaigne. Elle travaille tout comme moi dans les assurances, mais pas au même endroit. Une belle coquine !

 

Je la laisse téléphoner, je n’essaie pas d’écouter.

 

Et à 15 heures, nous sommes descendus, on a pris un taxi, Margot a indiqué une adresse qui ne me parlait pas.

 

Arrivés sur place, on entre dans un immeuble, un peu d’hésitation, manifestement ma femme n’est jamais venue à cet endroit.

 

– C’est Margot et Gilles ! Annonce-t-elle dans l’interphone.

 

Mais chez qui m’emmène-t-elle, bon sang ?

 

Ascenseur, une porte sans indication avec juste un numéro, c’est entrouvert. Un chien aboie, une voix féminine autoritaire le fait taire.

 

Une femme nous fait entrer, une belle brune à la peau mate, entre quarante et cinquante ans, elle est revêtue d’une robe de chambre blanche. Depuis quand reçoit-on les gens en robe de chambre en plein après-midi ?

 

Nous voilà dans une petite salle où il n’y a pas grand-chose. Elle nous toise.

 

– Je suis maîtresse Florida. Toi l’esclave, tu te mets à poil et à genoux et tu nous attends. Toi Margot tu viens avec moi qu’on règle deux ou trois détails pratiques.

 

Mais où suis-je bordel ? C’est qui cette nana dont je n’ai jamais entendu parler. Bref comme je l’ai déjà dit je suis là pour jouer le jeu, je me fous donc à poil et attend le retour de ces dames.

 

Et les voilà qui reviennent, Florida enlève sa robe de chambre. Elle est superbe avec son bustier en vinyle noir.

 

– Toi tu ne bouges pas ! Me dit-elle. Et toi la morue, tu te fous à poil et plus vite que ça, espèce de chiennasse.

 

Quel langage !

 

Margot s’exécute, mais j’avoue ne pas comprendre. Ayant perdu au tirage de carte, cet après-midi, le soumis c’est moi, pas elle, c’est quoi ce délire ?

 

– Viens devant moi, grosse merde ! Lui dit-elle.

 

On est en pleine poésie !

 

Les deux femmes sont face à face, Florida dégage son bustier dévoilant une paire de seins de toute beauté, du coup, je bande comme un âne, mais les deux nanas m’ignorent complètement.

 

Florida se crache alors sur ses nichons, plusieurs fois de suite, jusqu’à ce qu’ils deviennent visqueux.

 

– Nettoie maintenant à grands coups de langues. Allez dépêche-toi, on n’a pas toute la journée !

 

Je sens Margot hésiter, puis elle y va, sa langue balaie les seins de la belle brune en insistant sur ses gros tétons durcis.

 

– Tu lèches bien, tu as une vraie langue de pute, Elle est bonne ma salive ? Elle te plait ?

– Oui !

– Oui qui ? Conasse !

– Oui, maitresse.

– Si tu as aimé ma salive, je vais t’en donner encore un peu, ouvre ta bouche de trainée !

 

Elle lui crache plusieurs fois dans la bouche, puis la gifle. Margot complètement passive ne bronche pas.

7pique

– Maintenant tourne toi que je vois ton gros cul… Oh, c’est pas mal du tout ça, t’as vraiment un cul à te faire de l’or.

– Hi ! Hi !

– Ecarte-moi tout ça que je goutte à ta rondelle… mais t’as fait quoi ? T’as pris une douche avant de venir ?

– Oui !

– Ben fallait pas, espèce de conne ! J’ai horreur des trous du cul qui sentent la savonnette.

 

Puis sans crier gare Florida lui introduit un, puis deux doigts dans le cul, et les fait bouger à fond les manettes. Elle les ressort et lui met sous le nez.

 

– Tu m’as sali les doigts, grosse truie dégueulasse, lèche-moi ça !

 

Je n’ai pas pu d’où j’étais me rendre compte de l’état exact de ses doigts, mais mon épouse s’est acquittée de cette tâche sans problème. Faut dire qu’on avait déjà joué à ce genre de petit jeu à la maison.

 

– Je reviens ! Nous dit Florida.

 

Je peux enfin parler à ma femme :

 

– C’est quoi ce délire ?

-Tais-toi, pédale, ne cherche pas à comprendre.

 

Florida revient avec un bonhomme cagoulé qu’elle tient en laisse… Le mec est gros et pas tout jeune.

 

– Tiens, je t’ai trouvé un client. Ça tombe bien, il aime changer de pute de temps en temps. Tu la trouves comment cette pute, Robert ?

– Elle me plait bien !

– Bon, toi la pute, je te pose les sous du client sur la cheminée ! Précise Florida, Comme ça se passe chez moi, tu n’as droit qu’à la moitié du prix de la passe. Allez, commence par lui sucer la bite et que ce soit bien fait !

 

Le mec a une jolie bite, Margot l’embouche. Ce n’est pas la première fois que je vois ma femme sucer une autre bite que la mienne, on a fait un peu d’échangisme, mais dans ce cas, on pouvait choisir. Là elle est en train de sucer un gros porc adipeux. Et c’est qu’elle s’applique, suçant le gland, léchant la hampe et gobant les couilles, procédant par de vifs allers et retours dans sa mignonne petite bouche.

 

– Alors gros cocu ! Me dit Florida qui m’adresse enfin la parole, ça te fait quel effet de voir ta femme faire la pute ?

 

Qu’est-ce que vous voulez que je réponde ? Et d’ailleurs elle n’attend pas de réponse.

 

– Alors elle est comment cette bite ? Demande Florida à ma femme.

– Délicieuse !

– Ça te plaît de faire la pute ?

– Oui, maîtresse.

– Ça te plait comment ?

– Ça me plait beaucoup, maîtresse !

– Tant mieux, lèche-lui le trou du cul, maintenant !

 

Le type se retourne, écarte ses fesses et offre son trou à ma femme qui y pointe sa petite langue vicieuse ! Elle a l’air ravie ! Quel spectacle !

 

– Il est comment son cul ?

– Délicieux !

– J’espère qu’il sent un peu la merde !

– Oui, un petit peu !

– Bon, change de position, il va t’enculer maintenant, non pas comme ça, mets-toi ici que ton cocu de mari puisse bien te voir.

 

Le gros patapouf se revêt d’une capote (encore heureux !) tandis que Florida tartine le troufignon de ma femme avec du gel. Et c’est parti, le gros pépère est vaillant et ne néglige pas sa peine, la pilonnant comme un piston de locomotive.

 

Margot commence à pousser des petits cris, elle va jouir la salope, elle va jouir sous les coups de boutoir d’un gros dégueulasse qui l’encule !

 

Effectivement elle jouit, Florida fait signe au bonhomme de se retirer, ce qu’il fait et il sort de la pièce. Ma femme est toute mouillée en bas, c’en est spectaculaire.

 

– Viens ici ma petite pute ! Tu m’as trop excitée.

 

Les deux femmes se rapprochent et se roulent un patin, mais pas n’importe quel patin, j’ai déjà vu des femmes s’embraser avec fougue, mais là c’est incroyable, ça bave, ça dégouline, elles sont déchaînées.

 

Florida se cale dans un fauteuil en relevant les jambes

 

– Viens me faire jouir ! Viens me foutre ta langue de pute dans ma moule de vieille salope !

 

Quel romantisme !

 

– Et toi tu te tournes, t’as pas besoin de voir ça !

 

Je ne vois rien mais j’entends, la Florida a joui avec une rapidité fulgurante.

 

Elle se relève, prend une cigarette, en offre une ma femme, moi je n’y a pas droit !

 

– J’ai envie de pisser ! Lui dit Florida, assis-toi par terre et ouvre ta bouche.

 

On a déjà, Margot et moi, joué à des jeux uro et même très légèrement scatos, mais je ne crois pas qu’elle ait déjà fait ce genre de choses avec une femme… mais bon comme c’est le jour des grandes découvertes…

 

L’air de rien, je me retourne, Margot à l’air toute contente de boire de la pisse, elle avale ce qu’elle peut, recrache le trop plein qui lui coule sur les seins qu’elle badigeonne.

 

– Ça t’a plu ?

– Délicieux !

– C’est bien, tout à l’heure je te chierais dessus.

 

La gueule que fait Margot, mais elle ne proteste pas.

 

– On dit, « oui maîtresse « !

– Oui maitresse ! Chuchote-t-elle.

– Ben dis donc ce n’est pas le grand enthousiasme, allez mets-toi en levrette, je vais te faire gouter ma badine ça va te motiver.

 

Et Florida se met à taper le joli cul de mon épouse.

 

– Je n’arrêterais que quand tu auras le cul tout rouge, tu as compris, grosse pouffe !

– Oui, tapez-moi, je le mérite !

– Absolument, ton pédé de mari ne va pas pouvoir te toucher les fesses pendant une semaine.

– Aie !

– Ça fait mal ?

– Oui, mais vous pouvez continuer.

– Relève-toi, et face à moi, je n’ai pas fini de te torturer.

 

Florida attrape les tétons de Margot, elle les tord, les tire, les pince..

 

– Regarde-moi ta pute, je la maltraite et elle mouille comme une éponge !

 

Florida reprend sa badine et lui tape sur les seins. Ça fait mal et ça fait des marques. Margot crie et des larmes coulent de ses yeux. Mais bon sang, pourquoi n’arrête-t-elle pas ce cirque ?

 

La dominatrice repose sa badine, balance une paire de gifles à mon épouse puis lui fait ouvrir la bouche pour lui cracher dans le gosier.

 

Et puis soudain les deux femmes s’embrassent goulument, tellement goulument qu’elles en bavent de nouveau.

 

– Sanka viens ici ! Ordonne Florida.

 

Sanka c’est le chien qui quitte son panier et viens rejoindre sa maîtresse en agitant la queue.

 

Florida demande à ma femme de caresser le chien. Je sens que l’affaire risque de virer zoophilie. Margot m’a confié un jour qu’elle essaierai bien avec un chien… Mais elle n’a jamais eu l’occasion de concrétiser ce fantasme.

 

– Maintenant caresse-le sous le ventre.

 

Ravi le chien se me met sur le dos, les pattes en l’air.

 

– Touche lui la bite !

 

Elle le fait et au bout de quelques instant la bite sort de son fourreau, rouge, raide, un peu visqueuse.

 

– Et maintenant tu lèches !

– Que je lui lèche la bite ?

– Je veux bien, mais je n’ai jamais fait ça.

– Il y a un début à tout, je vais te montrer.

 

Florida se penche vers la bite du chien et conne des petits coups de langue sur la verge, puis embouche carrément tout ça.

 

– Allez à toi de jouer !

 

Margot refait les même gestes que Florida. C’est dingue, ça de voir sa compagne sucer la bite d’un chien.

 

Au bout d’u moment, Florida fait stopper la fellation, puis enfile des grosses moufles sur la pattes de devant du quadrupède.

 

– En levrette, Margot, le chien va te couvrir !

– Je suis obligée ?

– Ce n’est pas comme cela qu’il faut raisonner ! T’es une grosse salope, n’est-ce pas ?

– Oui, je crois bien !

– Eh bien les grosses salopes, elles n’ont pas peur de se faire sauter par les chiens, au contraire, elles en redemandent. Alors maintenant assez de discussion, et en levrette !

 

Ma femme opte pour la position demandée, Florida en traine le chien qui ne tarde pas à comprendre que les trésors de ma femme sont à sa disposition, il se rue littéralement sur elle (je comprends alors le pourquoi des moufles) et il se met à la pilonner à une cadence infernale.

 

L’affaire a duré plusieurs minutes, jusqu’à ce que le chien regagne son panier après s’être vidé de son sperme.

 

– Et maintenant on va s’occuper de ce connard ! Dit Florida.

 

Je suppose que le conard, c’est moi ?

 

Elle me passe un collier de chien auquel est attaché une laisse et me fait avancer à quatre pattes jusqu’à la pièce d’à côté.

 

Me voilà dans un espèce de donjon, les murs sont peints en rouge et il a ici tout un tas de trucs pour immobiliser les esclaves qui s’aventurent dans ce lieu de débauche : une croix de Saint-André, des chaines, un chevalet, une chaise en fer dont le siège est percé…

 

Mais la vrai surprise c’est la présence de trois bonhommes nus et masqués à genoux, le cul relevé, l’un d’eux étant le grassouillet qui a enculé ma femme tout à l’heure. Quel salaud, celui-ci !

 

Sur un geste de Florida les trois pervers se relèvent et se positionnent en rang d’oignon face à nous. Elle me tire vers le premier à gauche.

 

Pas difficile de deviner ce qu’elle va me demander de faire. J’ai déjà en de rares occasions et sous l’effet d’excitations particulières sucé quelques bites. Mais bon, ce n’est quand même pas trop mon truc et là il en a trois.

 

– Tu vas leur lécher la bite ! Allez, grouille, je n’ai pas que ça à foutre, pédale !

 

Je cherche à croiser le regard de ma femme, elle est là, toujours à poil, avec ses marques de coups bien apparentes et son rimmel qui a dégouliné de ses yeux, je l’ai connu plus sexy.

 

– Fais ce qu’on te dit ! Enculé !

 

Je suis piégé, elle ne viendra pas à mon secours. Bien sûr dans l’absolu, personne ne me retient prisonnier, je pourrais prendre mes cliques et mes claques et quitter ce rassemblement de dépravés. Mais j’ai comme l’impression que Margot le prendrait très mal, et puis après tout je n’ai qu’a m’en prendre à moi-même, ça m’apprendra à tricher de travers.

 

J’ai la première bite devant moi, elle ne bande pas du tout. Pas bien grave, mes lèvres et ma langue devraient résoudre le problème. Finalement comme la bisexualité n’est pas vraiment taboue chez moi, je prends un certain plaisir coupable à faire grossir le machin dans ma bouche, je me recule légèrement pour voir le résultat, le type bande bien désormais, je suis un bon suceur de bite. Non mais dès fois !

 

On passe au deuxième, je commence à y prendre goût, puis me voilà devant le troisième, à ce régime-là, je vais devenir un vrai spécialiste.

 

Il se trouve que le troisième en question est l’infâme salopard qui a enculé ma femme. Et moi je suis là en train de lui faire une pipe. C’est quand même très humiliant comme situation !

 

Florida demande ensuite à ses trois esclaves de se retourner, de se pencher légèrement et d’écarter les fesses.

 

J’ai compris, mais je ne veux pas faire ça !

 

– Lèche, pédale, lèche-leur le trou du cul !

 

Ce n’est pas Florida qui me donne cet ordre, c’est Margot ! La salope ! L’immonde salope ! Elle exagère !

 

Et la voilà derrière-moi qui me frappe avec la badine de Florida.

 

– On t’as dit de lécher les culs, alors tu lèches ! Quand tu lèches le mien tu ne fais pas ta jeune fille, alors tu fais ce qu’on t’as dit, un cul de mec ou un cul de femme, ça a le même gout !

 

Oui mais la différence, elle est psychologique comme dirait le docteur Freud.

 

Je me demande un moment si Margot ne cherche pas la crise ? Non c’est idiot, si elle voulait me quitter, il y avait tellement plus simple. Alors je me lance… en fermant les yeux.

 

Je lèche le pourtour de l’anus sans enfoncer la langue.

 

– Mieux que ça ! Me crie Margot en y allant de sa badine.

 

J’essaie de m’appliquer mais j’ai hâte que ça finisse.

 

Ça y est j’ai léché mes trois trous du cul, je me sens salope, mais salope…

 

Nouveau coup de badine !

 

– En levrette, pédale !

 

Cette fois, c’est la phase sodo, je me marre parce que seul l’un des trois gus bande correctement, les autres vont être incapables de me pénétrer. Sinon ben, curieusement j’appréhende moins la chose que ce que je viens de faire avant. Ma chère et tendre épouse m’a plusieurs fois enfoncé des godes dans le cul et j’ai eu la faiblesse d’adorer ça, alors une vraie bite ce sera une première mais je suis prêt à assumer, d’autant que c’est un de mes fantasmes.

 

Sur les conseils de Florida, Margot vient branler celui qui a des meilleures dispositions. Elle le suce même un peu, je vous dis c’est une vraie poufiasse.

 

Le mec passe derrière moi, je sens qu’on me tartine mon cul de gel, je suppose qu’il s’encapote (je supposais bien). Et vas-y Léon, le voilà qui m’encule. Ça rentre bien, ça rentre même profond, et ça lime. Putain, c’est bon ce qu’il me fait cet enculé, non pardon l’enculé c’est moi !

 

L’esclave numéro deux vient devant moi, j’ai compris, il faut que je le refasse bander de ma bouche afin qu’il m’encule à son tour. Il y est arrivé, mais juste un peu, j’ai presque trouvé ça dommage. Par contre le troisième a été incapable de maintenir son érection. On n’a pas insisté.

 

Bon c’est fini ce cirque ?

 

Ben non, il a fallu que les deux pétasses avec un plaisir évident m’attachent sur chevalet et me rougisse le dos et le cul à coups de badine et de martinet après m’avoir torturé les tétons avec des pinces de sex-shop.

 

On me détache, Florida nous raccompagne dans la petite pièce, il y a un petit frigo que je n’avais pas remarqué, elle en sort une dizaine de saucisses de Strasbourg, puis prend deux verres à pied dans un petit placard. Elle pisse dans les verres.et nous invite à boire. Jusque-là ça va, mais que va-t-elle faire des saucisses ? Suspense !

 

Elle en prend une, se l’introduit dans le trou du cul puis l’expulse. Elle n’est pas ressortie très nette la saucisse, elle la donne à Margot, ma femme m’a déjà sucé la bite après une sodo un peu sale, donc ça ne la dérange pas trop, mais moi je n’ai jamais fait ça. La deuxième saucisse sort de son trou du cul, elle est pour moi.

 

Alors je ferme les yeux et je croque, je mâche et j’avale, en fait je n’ai rien senti de particulier.

 

Florida demande à mon épouse de se coucher sur le sol. Elle la chevauche.

 

– Tu sais ce que je vais faire ? demande-t-elle à Margot.

– Oui, maîtresse, vous allez me chier dessus.

– Tu te rends compte de l’honneur que je te fais ?

– J’y suis sensible !

 

Je rêve !

 

Un long boudin sort de l’anus de Florida et vient choir sur la poitrine de mon épouse. C’est fou de voir ça !

 

La domina détache un bout de l’étron, le lèche avec un regard vicieux avant de demander à Margot d’en faire autant.

 

Elle ne va quand même pas faire ça ? Si, elle le fait ! Et le pire c’est que ça me fait bander à ce point que ma bite en est douloureuse.

 

Elle me regarde, avec sa bouche entrouverte remplie de merde, elle me nargue.

 

– Je peux vous lécher le cul ! Demande Margot à Florida.

 

C’est pas vrai qu’elle en redemande ! Mais quelle salope ! Elle lui lèche le cul avec gourmandise. Elle me tire la langue, elle est dégueulasse.

 

– Alors elle t’a plus, ma merde ? Lui demande Florida.

– C’était un régal.

 

Florida s’amuse de voir ma bite bandée.

 

– Tu ne vas pas partir comme ça ! Robert, reviens par ici, l’esclave va t’enculer.

– Euh…

– C’est moi qui commande, encule-le et ne discute pas.

 

Ma bite est entrée comme dans du beurre dans le trou du cul de cet enfant de salaud.et excité comme un poux j’ai joui en moins de cinq minutes.

 

– Tu m’as bien enculé ! Me remercie le type.

– Je vous en prie, c’était un plaisir !

 

Faut toujours rester poli.

 

– Allez rhabillez-vous, la séance est terminée.

 

C’est ce qu’on fait, Florida a donné à ma femme des lingettes démaquillantes pour qu’elle s’arrange le visage.

 

Les deux femmes se roulent un nouveau patin avant que l’on prenne congé, moi j’ai juste droit à une poigné de main.

 

– C’est fini où il y a une suite ? Demandais-je à ma moitié .

– Non c’est fini, tu veux qu’on aille au restau parce que juste une saucisse ça fait peut-être un peu juste ?

– O.K. pour le restau, mais en fait je n’ai rien compris, pourquoi tu t’es fait dominer comme ça ? Tu la connaissais, la nana ?

– Oh, que de questions ! Tiens une brasserie alsacienne on y va, et je vais te raconter.

 

Dans la brasserie, Margot a demandé au maître d’hôtel un coin discret.

 

Flashback

 

Le récit de Margot.

 

Ça fait trois fois qu’on joue à son jeu idiot, les premières fois c’était drôle mais je crois qu’on a fait le tour de la question, il m’a exhibé dans des sous-sol de sex-shop, fait sucer des bites à la chaine, des doubles pénétrations, du pipi à gogo et des attachements pénibles. Alors je veux bien jouer une dernière fois, mais cette fois c’est moi qui vais gagner.

 

J’ai pensé l’accompagner chez une domina, mais je voulais un gros truc, qu’on l’oblige à sucer des bites et des culs, qu’il se fasse enculer, fouetter et toutes ces sortes de choses.

 

Je dégote quelques coordonnées de ces dames sur le net, et après quelques essais infructueux, je suis tombée sur cette Florida.

 

– Oui, on peut faire ça, mais ça va vous couter bombons ! me dit-elle au téléphone

– C’est combien « bombons » ?

 

Elle me l’annonce ! Je n’ai pas ce budget.

 

– Bon tant pis, c’était juste une idée comme ça, je vais essayer de trouver autre chose

– Attendez on peut peut-être s’arranger, vous avez quel âge ?

– 30 !

– Vous êtes quel genre ?

– Moi ? Fausse blonde, lunettes, normale quoi ? pourquoi vous me demandez ça ?

– Vous plaisez aux hommes ?

– Ben oui, je ne suis pas si mal…

– Et aux femmes !

– Non mais, c’est quoi ces questions ?

– Je vais vous proposer de passer me voir, juste pour voir comment vous êtes, si je vous me convenez je vous proposerais un arrangement.

– Quel arrangement ? Même à 50 % ce serait trop cher pour ma bourse.

– Non, je peux faire mieux que ça, mais répondez à deux questions. Avez-vous quelque chose contre le fait de faire l’amour avec une femme ?

– Non !

– Aimez-vous être dominée ?

– Si c’est un jeu et si on respecte mes limites…

– Oui, je connais le refrain, je vous donne mon adresse, vous pouvez passer quand ? J’habite dans le Marais.

– Tout à l’heure en sortant du boulot….

 

Elle m’a donné l’adresse d’un bistrot, le contact a été bon. Elle m’a demandé de la suivre aux toilettes, Nous sommes entrées toutes les deux dans une cabine et elle m’a demandé de me déshabiller, mais j’ai gardé mes sous-vêtements.

 

– Voilà ce qu’on va faire, vous venez avec votre mari, je commence par vous dominer devant lui, et après on exécutera votre programme. Vous ne me devrez rien, le prix ce sera votre domination, ça vous va ?

– Ça me convient très bien !

 

Fin du flash-back

 

– Mais pour les cartes ?

– J’ai acheté un bouquin sur les tours de cartes, j’ai compris comment tu faisais pour gagner, il suffisait que je fasse pareil…

 

J’en reviens pas, le serveur arrive.

 

– Ces messieurs dames ?

– La choucroute palette, il y a des saucisses ? Demande Margot.

– Non si vous voulez des saucisses, il faut prendre la choucroute saucisse ou la choucroute royale.

– Alors ce sera deux choucroutes saucisses, nous adorons les saucisses voyez-vous !

– Bien sûr, vous verrez elles sont excellentes.

– Dis donc tu aurais pu me laisser choisir ! Protestais-je.

– Tu sais bien qu’aujourd’hui c’est moi la chef !

– Je croyais que le jeu était terminé.

– Ah oui, c’est vrai ! Tu veux qu’on change ta commande ?

– Mais non !

 

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Helena Sevigsky
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