Mercredi 4 août 2021 3 04 /08 /Août /2021 17:50

Sylvie, l’amie de ma mère par Lucette

 

Stamp MD

Moi, c’est Léa ! Hier soir j’ai eu une expérience extraordinaire; Sylvie l’amie de maman me fait des avances depuis quelques temps, avances non déguisées et même devant maman qui faisait semblant de ne pas s’en apercevoir. Je sais que Maman couche avec Sylvie, mais, moi les femmes c’est pas mon truc, à 20 ans, je plais aux mecs et puis j’ai un petit copain qui me fais bien jouir…

 

Bref donc, hier soir, Sylvie est venue partager le dîner avec nous. J’avoue que c’est une belle femme, la quarantaine épanouie, très brune et bien faite.

 

Comme d’habitude, c’est des allusions en permanence sur le plaisir du sexe, et que les hommes ne savent pas y faire; que je suis belle, que mes fesses sont bien faites, que ma poitrine est juste comme il faut etc etc…

 

Et tout d’un coup vient la proposition :

 

– Je coucherais bien avec toi ! Me dit Sylvie.

– Même pas en rêve ! Répondis-je sèchement.

– Et si je te donnais un petit billet ?

– Me prendrais tu pour une pute, Sylvie ?

– On l’est tous plus ou moins, tu veux combien ?

– 100 euros ! Répondis-je espérant avoir la paix avec cette réponse.

 

Vers 10 h je les laisse toute les deux et je vais me coucher. je mets mon tee-shirt pour la nuit comme d’habitude et me couche nue dessous. je devais être au lit depuis une heure, lorsque la porte de ma chambre s’est ouverte, Sylvie est entrée et est venue s’assoir sur le bord de mon lit.

 

Elle a retiré le drap qui me couvrais. Je me suis réveillée en sentant sa main qui me caressait les fesses (je dors sur le côté)

 

Le temps de réaliser ce qui se passait, j’avais un doigt entre mes jambes qui allait et venait sur mon minou. J’ai réagi violemment et me suis levée pour me dégager de cette caresse intime et j’ai criée. Maman est alors entrée dans la chambre et me dis :

 

– Allons calme-toi, Sylvie ne te veux pas de mal, au contraire.

– Enfin, maman elle me caressait les fesses et même la chatte, c’est dégoutant!

– Mais non, ma fille, Sylvie est très gentille et surement pas dégoutante, aller, recouche-toi et laisse-la faire. Je te signale qu’elle t’as déposé 100 euros sur ta table de nuit.

– Autrement dit, je suis piégée !

– Si vraiment, ça t’insupporte, je reprend mes sous et je te laisse dormir. Me dit Sylvie.

 

Et là je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai répondu

 

– Vas-y, je me laisse faire, faut pas mourir idiote

 

Sylvie me regarde souriante et commence à me caresser les seins doucement

 

Maman me sourit aussi et me dit :

 

– Tu vois bien, c’est pas méchant de faire plaisir à Sylvie et puis si tu te laisses aller un peu tu vas voir que c’est très agréable.

 

Une main de Sylvie a abandonné un sein et descend sur mon ventre, caresse mon pubis. je serre les jambes et sens un doigt qui essaye de passer entre mes cuisses.

 

J’ai un mouvement instinctif de défense et je serre les cuisses

 

Maman se penche sur moi et m’écarte les cuisses, elle met sa main sur ma chatte et me dit :

 

– Allons, laisse-toi faire.

– Oui maman, mais me faites pas de mal.

– On te veux que du bien, dit Sylvie

– Pour commencer, on vas la raser correctement, ces jeunes filles ne savent pas s’entretenir comme il faut.

 

Avec des ciseaux Sylvie entreprend de me couper les poils du pubis puis elle me met de la mousse à raser sur la motte et entre les jambes et me met le minou à nu, elle me fait mettre les genoux relevés, cuisses ouverte pour aller sur mes lèvres, elle dit que c’est plus pratique pour elle . elle met alors de la mousse dans la raie de mes fesses, et continue ma toilette intime autour de mon anus. elle est très délicate, frôle mon clitoris, le caresse, tire sur les lèvres de mon sexe, les tend avec douceur, au passage je sens son doigt presser mes petites lèvres et légèrement pénétrer mon vagin. Lorsqu’elle me rase autour de mon anus, elle tire sur le lobe des fesses, m’écarte, me caresse le petit trou, je sens son doigt le presser, il me pénètre un peu.

 

Tout cela fini par me donner chaud au ventre et je me laisse aller, je mouille même un peu. Essuyée, talquée, toutes les deux contemplent leur œuvre . Maman me caresse le front, le cou, les seins et Sylvie me caresse l’entrecuisse. On reste comme cela un moment, et malgré moi j’ondule légèrement le bassin.

Sylvie

Sylvie me prend la main et la pose sur son genoux, elle porte une jupe très courte, et assise en face de moi, une jambe repliée sous elle, je vois sa culotte et même la tache qui s’élargit sur son entrecuisse. Instinctivement et sans réfléchir, ma main remonte vers sa culotte. Elle, de son côté suis la même progression, et lorsque j’atteins sa motte, que je passe un doigt sous l’élastique et touche sa vulve, que je commence à caresser, je sens qu’elle m’investit aussi et me masturbe dans les règles. Je me retourne et vois maman, jupe relevée qui se pénètre avec deux doigts et s’astique comme une folle. Nous jouissons toutes les trois les unes après les autres.

 

Les deux amies se déshabillent tout en me caressant et se caressant, s’embrassant au-dessus de moi. Moi je les observe et au passage les caresse aussi. Je caresse même maman et la pénètre de mes doigts et elle se laisse faire et m’encourage en me demandant de lui lécher la chatte.

 

Sylvie reprend l’initiative et me demande de me mettre sur le ventre. elle commence à me caresser les fesses, me les ouvrir et lécher mon anus. Maman qui s’est absentée quelques instants est revenue, elle tient un godemichet, elle commence par se le mettre et se masturbe ostensiblement devant moi; puis l’enfile dans la chatte de Sylvie, par derrière. Je sens Sylvie excitée, car elle redouble sa caresse sur mon petit trou, elle passe une main sous moi et me pénètre le vagin. Instinctivement, je me cambre et alors je sens un doigt me pénétrer l’anus et rejoindre l’autre en moi Les deux doigts se touchent en moi et se retrouvent séparés par la paroi vaginal, je deviens comme folle et m’offre, me cambre et écarte mes fesses. Sylvie retire son doigt de mon anus, le lèche puis continue à m’astiquer le vagin, elle a mis maintenant deux doigts; Moi cambrée offerte comme une chienne, je sens le gode sur mon petit trou.

 

C’est maman qui le pousse doucement, je crie ça fait mal, elle continue et puis, je le sens rentrer doucement, loin très loin en moi. Les deux amies me font mettre à quatre pattes et me masturbent chacune de leur côté jusqu’à ce qu’un orgasme monte en moi et me fasse hurler de bonheur ou de douleur, je ne sais plus.

 

Maman sors le gode de mon anus, il me parait légèrement pollué, Sylvie l’aide à le nettoyer avec la langue.

 

Ma mère me roule un patin, je suis épuisée, j’ai envie de pisser, j’ai sommeil.

 

Pantelante je me dirige vers les toilettes et m’assois sur la cuvette, Sylvie me suit et me regarde pisser avec un air ravi.

 

– On te laisse dormir, me dit Maman !

– Oui, bonne nuit, je vous aime toutes les deux.

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Lucette
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Mardi 3 août 2021 2 03 /08 /Août /2021 08:21

Une bien belle paire par Jean-Sébastien Tiroir

Stamp sodo

Une bien belle paire

 

J'ai avec mes lèvres, goutté ta peau nacrée.

Sucé les mamelons de tes seins généreux.

J'ai caressé ta croupe, aux rondeurs dorées !

Voulu ce corps offert, pour le plaisir de ma queue.

 

J'ai senti mes envies durcir mon désir.

Mes doigts sont venus te faire gémir.

Ton cul qui est pour moi jardin inexploré.

Quel plaisir ce matin de pouvoir t'enculer !

 

Le ballet de l'amour a commencé enfin !

J'ai pénétré ton cul de toute ma puissance.

J'étais cet amoureux parvenant à ses fins,

En t'écoutant gémir dans la demi-conscience.

 

Mais après, je me suis retourné d'un seul coup

C'est à ton tour de titiller mon petit trou

D'un coup sec, ton gode-ceinture m'a pénétré

Nous sommes une bien belle paire d'enculés.

poeme148

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
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Mardi 3 août 2021 2 03 /08 /Août /2021 08:09

Tequila par Dumigron

StampCravate

Bonjour je suis Florence, 45 ans, brune et frisée, large de fesses et de poitrine Je travaille dans un magasin de fringues où je suis la seule employée. Ma patronne, Herma en a 28, c’est une grande blonde, grande et bien faite, légèrement autoritaire. A force de faire des essayages en commun et de se retrouver à poil on a fini par se tripoter. Les tripotages sont devenus au fil des semaines de plus en plus pervers, et c’est maintenant de façon régulière que nous nous livrons à des séances de broute minou.

Nous faisions ça pendant les heures creuses du magasin. Cela était fort agréable mais nous manquions d’aise. On a décidé de prendre une soirée de liberté par semaine. Racontant à mon époux qu’on allait taire de la gymnastique dans un club privé, on allait taire l’amour dans un petit studio appartenant à ma patronne.

Malgré sa relative jeunesse Herma était bien plus expérimentée que moi. Elle m’a presque tout appris sur les pratiques lesbiennes, du broutage de minette à la pénétration par godemichet. Grâce à elle, j’ai découvert des orgasmes fous et le plaisir d’aller toujours plus loin dans ces découvertes.

Ma patronne avait de l’imagination et un sens prononcé de la domination. Quand cela la toquait, elle n’hésitait pas à me donner des coups de badines ou de martinets sur mes fesses ou de m’accrocher des pinces sur mes tétons et sur les lèvres de ma chatte en me traitant de salope et de traînée. Parfois elle me pissait dans la bouche ou me faisait nettoyer son cul alors qu’elle venait juste d’accomplir ses besoins. Moi, j’aimais bien tout cela. J’étais sa chose, son jouet.

Un jour, elle a décidé de mêler son mari à nos expériences. J’étais légèrement déçue mais je n’ai pas voulu le lui avouer par peur de la perdre. Son mari est venu avec un ami. Très vite, elle m’a présenté et très vite aussi j’ai eu la sensation de devenir une marchandise.

Devant les deux hommes, elle m’a fait me déshabiller en faisant valoir mon corps généreux, ma grosse poitrine et mon postérieur rebondi. J’étais gênée et honteuse. Après m’avoir bien observée sous toutes les coutures, le mari s’est approché de moi et m’a palpée en « connaisseur ».

Ma patronne est allée sur le lit. Elle a relevé sa jupe et s’est enfilé son gode dans le vagin. Elle avait un regard tellement lumineux qu’il me faisait presque peur.

Le mari m’a forcée à me mettre à quatre pattes. Il a demandé à son ami de me vérifier la chatte et le trou du cul. Après avoir eu l’impression d’être un animal, j’ai eu l’impression d’être une voiture. Je me suis sentie humiliée. Mais l’ami, contrairement à ce que je m’attendais, était doux, délicat. En fait de vérification, il a commencé à me branler, enlisant ses doigts dans ma fente et l’approfondissant.

Mon aventure avec ma patronne m’avait rendue hypersensible de ce côté-là. Je n’ai pas résisté à un assaut de frissons qui se sont engouffrés dans mon ventre en vagues chaudes. Malgré moi, je me suis mise à tortiller du croupion pour que les doigts atteignent mon clitoris. L’ami a déclaré d’une voix de docteur.

– Mon cher Paul, ta femme a raison… c’est une sacrée salope ! Elle part au quart de tour et elle mouille déjà.

C’est vrai que je mouillais et j’en avais même un peu honte. J’ai regardé ma patronne qui m’a renvoyé un regard dur et qui m’a dit de continuer à remuer du cul et à balancer mes grosses mamelles dans le vide. Puis, en grande maîtresse de cérémonie, restant dos appuyé au montant du lit, jambes écartées sur son gode fiché dans son vagin, elle a demandé aux hommes de se dévêtir. Je les sentais très liés tous les trois, un peu comme un couple qui aurait des habitudes. Moi, j’étais toujours à quatre pattes, bougeant bêtement mes fesses et mes seins, n’osant m’arrêter pour ne pas la fâcher.

Elle a exigé que son mari s’allonge entre mes bras et me suce le bout des seins. Elle a obligé leur ami à m’astiquer la minette. Et elle m’a ordonné de ne jouir sous aucun prétexte, de crier grâce dès que je sentirais monter l’orgasme. Je peux paraître forte mais au fond je suis une faible nature.

Je n’ai pas besoin de beaucoup de caresses pour m’envoyer au ciel. Alors là, avec ce traitement de choc, j’ai pas pu résister longtemps. J’ai senti ma jouissance au bord de mon vagin, j’ai failli lâcher la sauce, mais au dernier moment, je me suis retenue. J’en ai eu si mal que je me suis mise à pleurer. Ma patronne s’est déchaînée en se branlant de plus en plus vite avec son godemichet et en demandant à leur ami de m’enculer. Un jour, je lui avais dit que j’adorais ça et que je regrettais que mon mari ne le tasse pas plus souvent.

J’ai compris que la petite garce allait mettre toutes mes confidences à profit. Elle savait aussi que j’aimais sucer des queues. Elle s’est levée pour m’introduire celle de son mari dans ma bouche. Pendant ce temps, l’autre me pénétrait doucement, dilatant mon conduit qui s’en régalait déjà. Je m’étais trop retenue. J’ai commencé à jouir. Par la bouche et par le cul, j’ai avalé les deux queues. Le plaisir, un plaisir fabuleux a explosé dans tout mon corps. Ma patronne s’est mise entre mes bras, prenant la place de son mari, pour me sucer la pointe des seins. J’ai senti qu’elle voulait me faire dérailler à force de jouir.

J’aurais bien voulu résister à cette manigance, mais ce n’était pas juste, ils étaient trois contre moi, et moi je n’avais qu’une envie m’éclater dans un orgasme sans fin. Les deux hommes m’ont présenté leur trou du cul, ma patronne m’a demandé de les lécher, puis d’y introduire mes doigts.

Curieuse sensation de voir ces deux mâles virils se pâmer du cul sous l’effet de mes petits doigts agiles. Mais je n’étais pas au bout de mes surprises quand je vis Paul se redresser, se diriger vers son ami le contourner et lui sucer la queue. Quelle bande de pervers… mais je serais mal placée pour critiquer…

Quand l’ami du mari voulu satisfaire un petit besoin naturel, ma patronne lui indiqua que je pourrais très bien remplir le rôle d’un urinoir. J’ai dû ouvrir la bouche et avaler son urine tiède. Paul excitée par cette scène ne voulant pas être en reste et m’offrit à son tour son champagne intime.

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La séance a duré une bonne partie de la nuit, car j’étais tombée sur des baiseurs infatigables qu’une bonne pipe remettait vite d’aplomb.

Pendant presque tout ce temps, ma patronne jouissant dans son rôle de voyeuse, n’intervenant que pour augmenter les doses de mes orgasmes. J’ai alors compris que j’étais devenue le jouet de ce couple à trois. Ma patronne était moins lesbienne que moi, ce qu’elle aimait c’était me voir enfiler par ses deux amants.

Je l’ai compris et je me suis dit tant mieux. A mon âge, il faut savoir en profiter. Je suis devenue une femme objet, mais j’assume complétement et n’autorise personne à me juger !

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Mardi 3 août 2021 2 03 /08 /Août /2021 07:23

Drôle de jeu par Dumigron

Voy

Après avoir tourné les clés dans la serrure, j'ouvris la porte toute grande pour pénétrer dans mon appartement. Je n'avais qu'une seule idée en tête : prendre une bonne douche pour effacer les tourments d'une nouvelle journée de travail que je venais de terminer, et ensuite une bière devant la télé me ferait le plus grand bien. C'est en déposant les clés sur la table de l'entrée, que je crus entendre un bruit provenant de fond de l'appartement. À cette heure-ci ma nouvelle colocataire ne devait pas être rentrée, elle avait l'habitude de travailler tard le soir. Je tendis l'oreille de nouveau et perçus une fois de plus des gémissements sourds. Je déposai mon manteau dans la garde-robe de l'entrée et me rendis vers le fond de l'appartement d'où provenaient les sons. Silencieusement je me dirigeai vers une porte ouverte, d'où semblaient sortir ces murmures.

 

Puis je la vis. Elle était rentrée plus tôt manifestement. Elle était étendue de son long sur son lit, de côté et lui faisait dos. Selon toute apparence, elle ne m'avait pas entendu rentrer. Une main était glissée entre ses jambes et je pouvais facilement en conclure que ces gémissements étaient le fruit de son plaisir. Je l'observai un instant. Sous ses vêtements féminins je l'avais toujours trouvé attirante, et supposais qu'elle devait avoir de belles formes. Mes yeux s'illuminaient de plaisir à la regarder ainsi se caresser l'entre jambe. Elle était nue, ne pouvant que dévoiler ce que mon imagination avait si souvent rêvé.

 

Je murmurai d'une voix rauque : " besoin d'aide ? ". Ça m'avait échappé, sans doute parce qu'inconsciemment, j'espérais qu'après avoir constaté ma présence, elle m'inviterait à la rejoindre.

 

Elle arrêta brusquement ses caresses et se retourna subitement dans ma direction. Elle était vraisemblablement surprise de trouver quelqu'un dans l'entrebâillement de sa porte. Ne me faisant ainsi plus dos, elle offrait son corps nu entièrement à ma vue et j'eus envie de prolonger ce plaisir. Je demandai une deuxième fois : " besoin d'aide ? ".

 

La femme, surélevée sur son lit par son coude, me pria de prendre place sur la chaise face au lit.

 

- " Ne bougez pas, ne bougez surtout pas ! "

 

Je m'exécutai et retournai la chaise avant de m'asseoir face au lit, et par là même, à la femme. Elle s'approcha du bout du lit le plus proche de moi et s'assit à son tour, jambes pendantes sur le côté. Elle me fixa des yeux et arqua légèrement le bassin vers le haut, écartant les jambes, laissant entrevoir ses lèvres gonflées. Elle écarta ses jambes davantage et ses lèvres s'entrouvrirent d'elles-mêmes. Je regardai et un début d'érection se fit ressentir. La femme dirigea le majeur de sa main droite vers sa bouche et l'humecta abondamment. Fixant toujours mon regard, elle dirigea son doigt mouillé vers sa chatte, qui réclamait ses caresses. La femme entama un léger frottement contre son clitoris dressé et durci. Je n'en croyais tout simplement pas mes yeux : en plus de voir la femme nue, j'étais en train de l'observer se masturber. Je tentai un mouvement subtil pour me rapprocher du lit, mais la femme me l'interdit du regard. J'étais donc condamner à observer. Elle me regarda un instant directement dans les yeux, puis ramena son doigt imbibé de sécrétion vaginale vers sa bouche. Son regard se faisait de plus en plus provocant. Lentement, elle vint rouler sa langue autour de son doigt, pour l'introduire dans sa bouche imitant une fellation. Sa main gauche vint caresser l'intérieur de la jambe et l'écarta progressivement. Je pouvais voir les lèvres s'écarter légèrement l'une de l'autre et les apercevoir perler d'excitation. Une mince couche de sécrétion c'était accumulée et une odeur d'extase s'en dégageait.

 

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Ramenant sa main droite vers sa chatte, elle y fit glisser son index jusqu'à l'entrée de ses lèvres. D'un clin d'œil, le doigt s'engouffra à l'intérieur et elle pencha son torse vers l'avant pour faire pénétrer celui-ci le plus profondément possible. Un léger mouvement du bassin d'avant arrière permit à la femme de laisser pénétrer son doigt jusqu'aux jointures de sa main. À chacun de ses gestes sa paume frottait sur son clitoris. Ses respirations se faisaient de plus en plus profondes et saccadées, sa tête commençait à valser de tous les côtés. Soudain la femme s'arrêta, me fixa de nouveau dans les yeux. Je dirigeai donc mon regard vers la chatte de la femme et la vit introduire un deuxième doigt. Une fois de plus la femme gémit. Ce fut ensuite le tour d'un troisième doigt. Je pus voir la femme surélever son bassin et tout simplement enfourcher ses trois doigts.

 

Elle glissait sur ceux-ci qui l'entrouvraient et étiraient les lèvres de sa chatte. Elle se déchaîna subitement je pouvais la voir effectuer des va-et-vient, de haut en bas, férocement. Le bout de ses doigts allait caresser l'intérieur et lui procurait un plaisir visible à son expression. La femme ne se retenait plus pour gémir et chaque fois que sa paume heurtait son clitoris, elle expirait en gémissant de plus belle. Elle avait de plus en plus de difficultés à garder le rythme de ses mouvements. Sa chatte commençait à se contracter chaque fois que ses doigts heurtaient le fond de celle-ci. Ses soubresauts finirent par la clouer sur place. Elle figea l'instant où les muscles de son corps lui donnèrent le plaisir tant convoité.

 

J'étais toujours assis sur la chaise. Je l'observais et ressentais un besoin intense de la toucher. La regarder faire ainsi m'avait plutôt excité. Je n'osais même pas regarder vers mon pantalon pour constater mon état… C'est alors que je me décidai à approcher. Je me levai de ma chaise d'où j'avais eu cette vision, et avançai vers le lit.

 

A ce moment l'inconnu sorti de derrière les rideaux où il était dissimulé. Il était nu, il bandait magnifiquement.

 

- On vous a demandé de ne pas bouger ! Retournez à votre place, s'il vous plait !

 

J'étais donc l'acteur inconscient d'un jeu érotique, dont les arcanes me dépassaient, mais qui prenait une tournure qui me déplaisait… je me dirigeais donc vers la porte.

 

- Ne partez pas, le jeu n'est pas fini ! me dit la femme.

 

J'hésitai une seconde…

 

- Ne trouvez-vous pas que mon ami a une très jolie bite ?

 

Par reflexe je regarde le membre de cet homme. Il est beau, il est bien tendu, le gland est fier sans être trop épais, la peau est d'une jolie couleur.

 

- Pourquoi cette question ?

- Parce que je vous propose un marché !

- Dites ?

- Aimeriez-vous me baiser, me prendre comme une chienne… devant lui !

- Ma fois…

- Cela a un prix !

 

Ainsi ma nouvelle colocataire se prostituait. Bien que n'ayant rien contre le principe, il se trouve que je n'ai jamais eu l'opportunité d'avoir affaire à ces dames… mais mon état d'excitation m'empêche de raisonner convenablement et je m'informe de ce prix.

 

- Non, il n'est pas question d'argent, le prix est en nature : suce la bonne queue de mon ami et tu pourras me baiser.

 

La femme ne pouvait savoir que bisexuel à mes heures, cette fantaisie ne pouvait pour moi être synonyme de corvée. Par jeu, et parce que sans doute était-ce là ce qu'ils souhaitaient tous les deux, je fis semblant d'hésiter, mais finis par approcher mes lèvres de cette bonne queue, que je m'empressai de savourer des lèvres et de la langue. Je me régalai tellement et m'appliquai si consciencieusement que l'homme ne put s'empêcher de dire :

 

- Ce n'est pas sa première queue !

 

Je continuai

 

- Dites-moi, cher Monsieur, ce n'est pas votre première queue ? Insista-t-il

- Non ! Confirmai-je, délaissant à regret ce membre magnifique !

- Vous aimez ça ?

- J'avoue !

- Dans ce cas, puisque nous sommes entre initiés, mon amie serait sans doute ravie de me voir vous baiser. Serait-ce trop vous demander que vous me présentiez vos fesses afin que je vous encule ?

- Mais faites-donc, cher monsieur !

- Je vous prends, vous prenez madame et ensuite nous irons tous les trois au restaurant, ce programme vous sied-il ?

- A merveille !

 

Dumigron de Séville

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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Mardi 3 août 2021 2 03 /08 /Août /2021 06:50

Une fille qui mène du train par Dumigron

sperm stamp

 

Je me demandais comment et quand je pourrais bien raconter cette histoire folle qui m'est arrivée, et bien voilà que vous, chers internautes, vous allez goûter un peu aux plaisirs et aux passions qui m'ont traversé lors de cette expérience.

 

Vous savez, quand votre ex petite amie vous appelle, c'est ou bien pour avoir des nouvelles, ou bien pour baiser car elle est en manque. Quel hasard, j'en avais besoin aussi. Pour mettre un peu de folie dans notre rencontre - nous nous sommes lassés il y a quelques années - il nous fallait trouver quelque chose d'exceptionnel. Pourquoi pas un voyage ? Ok ! Après quelques hésitations, nous avons décidé de prendre le train en direction de Barcelone afin d'aller manger dans un chic restaurant, voir une zarzuela et peut être se rafraichir les sens.

 

Elle portait une robe fleurie jusqu'aux genoux et des sandales aux pieds. Sa robe était franchement entrouverte au-devant, il faisait vraiment chaud. En effet, en cette belle journée de fin de printemps, les tenues légères étaient de mise. Lorsqu'elle marchait, son buste vaguait au rythme de ses pas… ce qui me subjuguait. Je l'ai observé pendant un bon moment pendant qu'elle achetait des magazines au kiosque de la gare. Sa chevelure blonde attachée, son sourire, sa joie de vivre… voici comment le romantique en moi voyait les choses. Son cul ferme, ses petits seins ballotant, ses cuisses fraîches et ses mains agiles… voici comment le baiseur en moi voulait ces choses.

 

Vu que nous étions un peu gênés, et surtout que ni l'un ni l'autre ne voulait faire le premier pas, nous nous sommes presque dévorés des yeux pendant toute la durée du voyage. Assise devant moi, en train de lire son magazine sur la mode, je devinais que, sous la tablette du train, ses jambes étaient complètement entrouvertes. Peut-être inconsciente de son désir de me recevoir ou peut-être une invitation à une chaude passion… en tous les cas, elle me faisait un effet d'enfer. Ça me faisait mal tant mon engin poussait le tissu de mon pantalon de coton. Il fallait que j'aille décharger mon fusil, sinon j'aurais tout envoyé dès les premières secondes lors de la baise future.

 

Je la laisse lire pendant que je me dirige vers la toilette la plus proche. Evidemment, le train bouge beaucoup et les couloirs sont étroits. La marche est assez compliquée si l'on ne veut pas bousculer personne. Une file d'attente pour traverser au prochain wagon… la porte est coincée ! Inutile de me retourner, déjà plusieurs personnes se sont placées derrière moi. Malheureux ? Non ! Une jolie rousse aux longues jambes galbées s'est placée derrière moi en file. Nous sommes un peu trop serrés mais juste assez pour sentir ses seins moelleux sur mon dos. Je frissonne et elle s'en aperçoit. Le train bascule un peu… elle se place de façon à presque m'envelopper tout l'arrière. Ses hanches se frottent tranquillement et ses mains se mettent sur mes hanches. Pendant qu'elle respire un peu plus fort et un peu plus près de mon oreille, elle met ses mains dans mes poches. Qui est cette personne qui me fait ça ? Pourquoi maintenant ? Un fantasme qu'un dieu paillard et libidineux veut me voir réaliser ? Sans que je sache pourquoi, elle enlève ses mains… et me dis : pour 50 $ je peux te faire plaisir comme et comment tu veux. Je lui réponds que j'aimerais beaucoup, mais que je ne suis pas seul et que j'aime bien cette personne et que… elle comprend !

 

" Je suis désolé pour toi… si tu savais ! ", qu'elle dit.

 

La file se met à avancer, la porte est enfin ouverte. Je reviens à ma table quelques instants plus tard sans avoir rien fait de ce que je voulais faire. Cette jolie putain m'a complètement troublé et j'ai toujours le désir au plafond.

 

Ma femme était là, une main sur sa poitrine, les yeux dans le magazine… surement un article intitulé : " Comment faire crouler votre homme sous le plaisir ? " Vous savez, ces magazines…

 

Nous mangeons notre dernier repas de la journée dans une ambiance plutôt chaude et légère. On se regarde dans les yeux avec la sensation très forte qu'il va se passer quelque chose d'assez passionné ce soir…

 

Nous avons bien mangé. Il est temps de se retirer dans notre chambre.

 

La chambre est assez bien aménagée. Petite mais confortable.

 

- " Retourne toi, je me change ! "

 

Ah bon…

 

À son " OK ", je me retourne. Elle avait une de ses chemises de nuits… oh là là ! Cette chemise, décolletée à souhait, me laissa complètement baba. Ses seins étaient en évidence comme jamais. On pouvait voir ses courbes, on pouvait voir la forme de son entre jambes, c'était si évident. C'était magnifique !

 

Dumigron4Elle me fit signe d'approcher. Tranquillement, elle défit le premier bouton de ma chemise. Ses mains douces et habiles… lorsqu'elle ma chemise laissa place à mon torse nu, elle y mit ses mains… me caressa et me pinça fortement le bout de mes tétons, ma caresse secrète, celle qui me fait toujours bander… et elle m'embrasse langoureusement. Nos lèvres entrèrent en un commun accord. La chaleur de sa langue autour la mienne, les doigts torturaient mes bouts, ses hanches collées sur les miennes… c'était une sensation de chaleur intense. Tout se passa si rapidement mais avec une intensité si profonde que…

 

Elle mit ses jambes autour des miennes en un petit saut. Je fis quelques pas afin de la mettre sur le lit. La bosse de mon pantalon caressait tranquillement sa fourche. Elle se rassit sur le lit, j'étais debout. Elle défit mon pantalon, mon boxer, j'enlevais mes chaussures et mes chaussettes. En un sourire béat, elle prit ma verge à deux mains. Ses mains chaudes et douces commencèrent à me caresser tranquillement de haut en bas. Elle m'apprivoisa… lorsque, yeux fermés, je sentis une chaleur qui enveloppa ma verge. Une succion… le plaisir monta. Les mains dans sa chevelure, elle s'y donna à cœur joie. Un doigt se faufila derrière mes fesses, par réflexe je m'ouvris pour lui permettre l'accès à mon intime trou. Elle me goutait avec tant de désir. Elle ne pouvait tout m'avaler, mais elle essaya tant elle me voulait entièrement. Ses lèvres mouillées… le plaisir monta tellement tranquillement. Je sentais la sensation monter si lentement, si longuement… ce plaisir était si intense… tout sortit d'un coup dans un cri de joie. Elle prit tout dans sa bouche. Elle ne laissait rien passer, elle gobait tout, il en avait ! La tête en arrière, le cri diminua pour n'être plus que lourd grondement au fonds de ma gorge.

 

- " C'est mon tour… et fais-moi jouir ! Je te veux… juste ici ! Lèche-moi jusqu'à plus soif ! "

 

À genoux, ses jambes sur mes épaules, je lui caressais les cuisses avec mes deux mains. Sa chatte m'était offerte tout entière. Je lui chatouillais doucement le contour de son vagin. Je la faisais souffrir, je la faisais languir de plaisir. Elle n'aimait pas ça mais elle en redemandait.

 

- " Caresse-moi, aime-moi, mange-moi ! "

 

Pourquoi pas : la cerise sur le sundae, le miel sucré en abondance, je la mangeais gloutonnement. J'aimais lui procurer ce plaisir. Elle flottait ! Elle ne laissa qu'une jambe sur mon épaule. Cela me permit de lui caresser d'une main son ventre. Elle se cambre, elle vibre, elle souffre le martyr. Elle aime tellement ça et moi qui la déguste de toute la qualité que je me connais. Son ventre frissonne, son corps m'est offert à la caresse. La langue sur son poing sans bouger, je la sens qui se mouille à une vitesse car elle gémit très fort… elle me donne l'envie comme jamais.

 

Je la glisse plus profondément dans le lit en me préparant à la pénétrer tranquillement. Ce brusque changement l'étourdit, mais je n'en peux plus. Tranquillement, le gland pénètre ce château de plaisir. Millimètre par millimètre il entre et moi je m'allonge en même temps sur son corps. Des goûtes de sueur perlent sur son corps. Ses cheveux mouillés font ressortir l'odeur charnelle si propre à une femme. Le va-et-vient se fait très doucement. Je sors presque complément et je la pénètre de nouveau aussi tendrement afin de vivre en détails ce que cela peut m'offrir. Je la prends de tout son corps. Pendant ce qui me semble des heures, tout en s'embrassant de petits baisers sur tout le visage, je me glisse entre elle de ma longue et chaude verge. On s'emballe un peu, on rougit de se voir se donner tout ce plaisir avec une harmonie si grandiose. La musique de nos gémissements pénètre tous nos sens. Elle pousse de petites cris de palisir… et je continue, j'en veux toujours plus. Je ne freine pas mes pulsions… je poursuis ce voyage entre ses jambes.

 

- " Allez, viens finir dans mon cul ! "

 

 

Je m'enfonce facilement dans ce trou charmant, je bouge et je bouge encore, elle est en nage, elle gémit, la tension est trop forte. Je jouis ! Je jouis si longuement, j'ai l'impression d'avoir une rivière qui sort. Je suis étourdi. Je me rends compte que je respire si fort !

 

Elle est radieuse, me sourit, elle regarde ma bite, maculée de sperme et de merde. Sa bouche pulpeuse à tout nettoyé.

 

Il fait un peu froid, en fait, on grelote. Le sourire au visage, on s'embrasse. Face à face, on s'endort..

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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