Sylvie, l’amie de ma mère par Lucette
Moi, c’est Léa ! Hier soir j’ai eu une expérience extraordinaire; Sylvie l’amie de maman me fait des avances depuis quelques temps, avances non déguisées et même devant maman qui faisait semblant de ne pas s’en apercevoir. Je sais que Maman couche avec Sylvie, mais, moi les femmes c’est pas mon truc, à 20 ans, je plais aux mecs et puis j’ai un petit copain qui me fais bien jouir…
Bref donc, hier soir, Sylvie est venue partager le dîner avec nous. J’avoue que c’est une belle femme, la quarantaine épanouie, très brune et bien faite.
Comme d’habitude, c’est des allusions en permanence sur le plaisir du sexe, et que les hommes ne savent pas y faire; que je suis belle, que mes fesses sont bien faites, que ma poitrine est juste comme il faut etc etc…
Et tout d’un coup vient la proposition :
– Je coucherais bien avec toi ! Me dit Sylvie.
– Même pas en rêve ! Répondis-je sèchement.
– Et si je te donnais un petit billet ?
– Me prendrais tu pour une pute, Sylvie ?
– On l’est tous plus ou moins, tu veux combien ?
– 100 euros ! Répondis-je espérant avoir la paix avec cette réponse.
Vers 10 h je les laisse toute les deux et je vais me coucher. je mets mon tee-shirt pour la nuit comme d’habitude et me couche nue dessous. je devais être au lit depuis une heure, lorsque la porte de ma chambre s’est ouverte, Sylvie est entrée et est venue s’assoir sur le bord de mon lit.
Elle a retiré le drap qui me couvrais. Je me suis réveillée en sentant sa main qui me caressait les fesses (je dors sur le côté)
Le temps de réaliser ce qui se passait, j’avais un doigt entre mes jambes qui allait et venait sur mon minou. J’ai réagi violemment et me suis levée pour me dégager de cette caresse intime et j’ai criée. Maman est alors entrée dans la chambre et me dis :
– Allons calme-toi, Sylvie ne te veux pas de mal, au contraire.
– Enfin, maman elle me caressait les fesses et même la chatte, c’est dégoutant!
– Mais non, ma fille, Sylvie est très gentille et surement pas dégoutante, aller, recouche-toi et laisse-la faire. Je te signale qu’elle t’as déposé 100 euros sur ta table de nuit.
– Autrement dit, je suis piégée !
– Si vraiment, ça t’insupporte, je reprend mes sous et je te laisse dormir. Me dit Sylvie.
Et là je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai répondu
– Vas-y, je me laisse faire, faut pas mourir idiote
Sylvie me regarde souriante et commence à me caresser les seins doucement
Maman me sourit aussi et me dit :
– Tu vois bien, c’est pas méchant de faire plaisir à Sylvie et puis si tu te laisses aller un peu tu vas voir que c’est très agréable.
Une main de Sylvie a abandonné un sein et descend sur mon ventre, caresse mon pubis. je serre les jambes et sens un doigt qui essaye de passer entre mes cuisses.
J’ai un mouvement instinctif de défense et je serre les cuisses
Maman se penche sur moi et m’écarte les cuisses, elle met sa main sur ma chatte et me dit :
– Allons, laisse-toi faire.
– Oui maman, mais me faites pas de mal.
– On te veux que du bien, dit Sylvie
– Pour commencer, on vas la raser correctement, ces jeunes filles ne savent pas s’entretenir comme il faut.
Avec des ciseaux Sylvie entreprend de me couper les poils du pubis puis elle me met de la mousse à raser sur la motte et entre les jambes et me met le minou à nu, elle me fait mettre les genoux relevés, cuisses ouverte pour aller sur mes lèvres, elle dit que c’est plus pratique pour elle . elle met alors de la mousse dans la raie de mes fesses, et continue ma toilette intime autour de mon anus. elle est très délicate, frôle mon clitoris, le caresse, tire sur les lèvres de mon sexe, les tend avec douceur, au passage je sens son doigt presser mes petites lèvres et légèrement pénétrer mon vagin. Lorsqu’elle me rase autour de mon anus, elle tire sur le lobe des fesses, m’écarte, me caresse le petit trou, je sens son doigt le presser, il me pénètre un peu.
Tout cela fini par me donner chaud au ventre et je me laisse aller, je mouille même un peu. Essuyée, talquée, toutes les deux contemplent leur œuvre . Maman me caresse le front, le cou, les seins et Sylvie me caresse l’entrecuisse. On reste comme cela un moment, et malgré moi j’ondule légèrement le bassin.
Sylvie me prend la main et la pose sur son genoux, elle porte une jupe très courte, et assise en face de moi, une jambe repliée sous elle, je vois sa culotte et même la tache qui s’élargit sur son entrecuisse. Instinctivement et sans réfléchir, ma main remonte vers sa culotte. Elle, de son côté suis la même progression, et lorsque j’atteins sa motte, que je passe un doigt sous l’élastique et touche sa vulve, que je commence à caresser, je sens qu’elle m’investit aussi et me masturbe dans les règles. Je me retourne et vois maman, jupe relevée qui se pénètre avec deux doigts et s’astique comme une folle. Nous jouissons toutes les trois les unes après les autres.
Les deux amies se déshabillent tout en me caressant et se caressant, s’embrassant au-dessus de moi. Moi je les observe et au passage les caresse aussi. Je caresse même maman et la pénètre de mes doigts et elle se laisse faire et m’encourage en me demandant de lui lécher la chatte.
Sylvie reprend l’initiative et me demande de me mettre sur le ventre. elle commence à me caresser les fesses, me les ouvrir et lécher mon anus. Maman qui s’est absentée quelques instants est revenue, elle tient un godemichet, elle commence par se le mettre et se masturbe ostensiblement devant moi; puis l’enfile dans la chatte de Sylvie, par derrière. Je sens Sylvie excitée, car elle redouble sa caresse sur mon petit trou, elle passe une main sous moi et me pénètre le vagin. Instinctivement, je me cambre et alors je sens un doigt me pénétrer l’anus et rejoindre l’autre en moi Les deux doigts se touchent en moi et se retrouvent séparés par la paroi vaginal, je deviens comme folle et m’offre, me cambre et écarte mes fesses. Sylvie retire son doigt de mon anus, le lèche puis continue à m’astiquer le vagin, elle a mis maintenant deux doigts; Moi cambrée offerte comme une chienne, je sens le gode sur mon petit trou.
C’est maman qui le pousse doucement, je crie ça fait mal, elle continue et puis, je le sens rentrer doucement, loin très loin en moi. Les deux amies me font mettre à quatre pattes et me masturbent chacune de leur côté jusqu’à ce qu’un orgasme monte en moi et me fasse hurler de bonheur ou de douleur, je ne sais plus.
Maman sors le gode de mon anus, il me parait légèrement pollué, Sylvie l’aide à le nettoyer avec la langue.
Ma mère me roule un patin, je suis épuisée, j’ai envie de pisser, j’ai sommeil.
Pantelante je me dirige vers les toilettes et m’assois sur la cuvette, Sylvie me suit et me regarde pisser avec un air ravi.
– On te laisse dormir, me dit Maman !
– Oui, bonne nuit, je vous aime toutes les deux.
Fin
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