Lundi 29 novembre 2021 1 29 /11 /Nov /2021 17:05

Porteuse d'eau par Pasteque

 stamp lesbos douche

 

 

 

Laissant nos mecs transpirer devant la télé, Cathy et moi sommes parties prendre le frais à vélo dans les sous-bois.

 

Elle roulait devant et j'en bavais, mais j'admirais son corps mince et musclé, ses petits seins pointant sous le léger tee-shirt blanc et le balancement de son string que je voyais au travers de son cuissard moulant … Sous ma jupe de tennis, le vent fouettait mes cuisses, et dans mon débardeur, il entrait dans le profond sillon de mes seins, comme le regard des hommes que nous croisions.

 

- Je suis vannée et j'ai soif me dit Cathy au bout d'une heure en descendant de vélo dans un petit bois à l'écart de la route.

 

- Moi aussi, et j'ai mal aux fesses, lui dis-je.

- C'est vrai que la selle, ça chauffe sous une mini-jupe ! répondit-elle en s'adossant à un grand chêne. Viens me montrer ça, j'ai un don pour ce genre de choses dit-elle dans un sourire mi-figue mi-raisin.

Puis, elle but en laissant abondamment couler sur elle l'eau de sa gourde. Les pointes roses de ses mamelons tendant le coton jaune du tee-shirt me fixaient droit dans les yeux.

- Tu en veux ? demanda-t-elle en s'approchant.

- Oui...

 

En riant un peu trop fort, en respirant un peu trop vite, elle tendit sa gourde au dessus de moi. Je renversai la tête en arrière pour boire à la régalade cette eau qui me coulait sur les seins, sur le ventre et rejoignait plus bas la source qui me rendait molle.

 

Cathy releva mon débardeur au dessus de mes seins et vint se coller à son ventre.

 

- Ça fait du bien dit-elle. Suis-moi.

 

Elle s'enfonça dans les fourrés pour gagner une petite clairière ombragée et couverte de mousse.

 

- Toi, tu es déjà venue ici... dis-je en riant.

- Oui, et j'y ai déjà fait des choses agréables dit-elle en soulevant ma jupe. Tu es toute rouge. Retire ta culotte. De toute façon elle est trempée...

 

Je m'exécutai docilement. Elle dit :

 

- Je sais ce qu'il faut faire. Mets-toi à genoux.

 

Elle ôta son cuissard, et son string, libérant les lèvres charnues de son sexe lisse juste. D'un doigt, elle les sépara comme un fruit juteux puis vint si près que j'en sentis la puissante odeur.

 

- Voilà le médicament ! Tourne-toi, lève ton cul.

 

J'obéis, posai la tête sur mes bras et ouvris mes fesses à son plaisir. Je sentis un jet brûlant m'asperger les reins, les fesses, s'immiscer dans ma vulve, dans mon anus. Je me retournai pour téter à la source les dernières gouttes odorantes en aspirant la chair fondante. Haletante, elle se dégagea puis s'allongea sur le dos écartant ses genoux de ses mains en disant :

 

- À toi ...

 

Piss St128Je l'enjambai et tout debout, pliant juste ce qu'il faut mes jambes, je pissai abondamment sur son ventre, ses seins, en pinçant mon sexe je dirigeai le jet dans sa vulve qui se remplit en glougloutant, puis j'aspergeai tout alentour en me branlant comme une guenon en criant comme une possédée.

Frénétique, je me jetai sur Cathy. Nous léchâmes jusqu'à plus soif nos sueurs sueur et nos urines jusque dans les recoins les plus odorants avant de nous allonger sur la mousse, nymphes puantes comme deux satyres, terrassées pas le plaisir.

 

De retour à la maison, sous la douche où nous sommes montées tout de suite, Cathy m' a demandé :

 

- Tu le connaissais ?

- Qui ça ?

- Le gars qui nous a regardées et qui a pris des photos en se tripotant ?

- Quoi ?

 

Depuis, je sursaute quand le téléphone sonne et je tremble quand j'ouvre ma boite mail. Et si c'était quelqu'un qui me connaissait ?

 

Fin

 

Mis en ligne en août 2012

 

Note du Webmaster : Il y avait une suite que n'avons pas publié, celle-ci ne collait pas vraiment avec notre charte...

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Vendredi 12 novembre 2021 5 12 /11 /Nov /2021 16:27

Le château maléfique par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne

Batgirl

La route défile comme un long ruban monotone…. Juliette d’un geste machinal caresse ses longs cheveux de jais encadrant l’ovale d’un visage très pâle…

 

Il fait froid, mais d’un froid sans comparaison aucune avec l’hiver qui s’annonce. Un froid laissé par l’angoisse et dont Juliette se dit qu’il ressemble à ses feuilles délaissées par l’automne qu’un vent maladroit jette à la figure des étoiles… qui s’en foutent. La voiture dans laquelle, presque contre son gré elle s’était tout à l’heure assise, pensant à défaut de s’y plaire au moins de s’y trouver à l’aise, se dirige maintenant à vive allure vers une destination que seul l’ordonnancier de leur vie semble connaître. Ne sachant conduire elle a pris place comme à l’accoutumée à l’arrière et partage son temps entre le paysage qui défile et le cuir mou du siège. Elle demeure blottie, prisonnière d’elle-même, comme confinée dans un tourment assassin, pour ne pas dire autiste.

 

Juste devant elle, il y a Sylvie, cheveux châtain et gros nichons, qu’elle considérait comme une amie et à ses côtés, assise au volant, Isabelle qui parfois détourne son regard de la route pour se moquer de son air contrit. Isabelle, c’est cette femme blonde dont le profil évoque tout à la fois le requin ou le rapace, ce qui ne l’empêche nullement d’être très belle.

 

Sylvie la lui a présentée un soir de débauche.

 

– Regarde ma copine comme elle se fait bien enculer par cette bonne bite !

 

Effectivement un grand gaillard coiffé à la Bob Marley, lui faisait gouter les joies de la sodomie en commentant ses assauts d’un langage abscons.

 

– Mets-toi devant elle, elle va te sucer la moule…

 

Les trois filles devinrent inséparables… pendant une semaine.

 

C’est alors que les ennuis ont commencé. Il leur fallait de l’argent à ces deux connes, un petit braquage sans histoire avaient-elles dit. Le bruit des balles siffle encore autour de Juliette qui semble de loin la plus perturbée, et puis ce policier mort pour quoi ? Une question qui n’a trouvé de réponse que dans la fuite. Juliette voudrait dire à Sylvie qu’elle arrête de fumer ces putains de cigarillos qui puent, mais elle pense qu’en fait c’est son esprit tout entier qui pue. Elle ne dit rien et Sylvie semble la toiser du haut de son indifférence, laissant à sa froide beauté le soin de couper toute envie de conversation. On a connu des statues plus expressives.

 

De son futur elle ne ressent plus que la crainte et la faillite. La route devient difficile. Sylvie prétend qu’elle est déjà venue dans la région à une époque où le tourisme y était prospère et qu’elle se souvient vaguement d’un raccourci, une route peuplée de légendes macabres dont elle a oublié de se rappeler. Elles en rient tandis que Juliette ne les écoute pas ou peu. Il paraît que personne n’en est jamais revenu et que l’on ignore où elle mène et surtout si elle mène quelque part. Sylvie trouve que c’est justement l’endroit idéal pour une retraite, pour s’y faire oublier. Juliette, elle, elle sait où elle va, elle va à ce néant qui est aujourd’hui sa vie : elle n’aura plus jamais chaud.

 

La voiture s’avance, emprunte le raccourci, le destin parfois aussi emprunte d’étonnants raccourcis. Le décor souffre d’un manque de rigueur, les ravins succèdent aux précipices, les montagnes s’alignent en cohorte montante et le soleil quant à lui s’il ne s’appuie pas encore nettement sur l’une d’elle est néanmoins déjà mourant.

 

« Le jour décline la nuit augmente, Le gouffre a toujours soif »

 

Juliette se récite Baudelaire à voix lente. Puis elle le regarde, ce soleil, le premier qui lui échappe d’un jour maudit, elle le regarde délaisser un peu de son sang sur les bords frangés des collines. Tout lui rappelle son malheur : la route caillouteuse, la profondeur des précipices, la pénombre étouffante, et le soleil qui pose son agonie… Soudain Isabelle s’agite et la tire de son soliloque.

 

– Vous voyez ce que je vois ! s’écrie-t-elle excitée comme à son habitude, quand elle n’est pas de mauvaise humeur.

– On dirait un château, répond Sylvie tandis qu’elle passe une main dans ses longs cheveux châtains.

 

En effet une grande bâtisse à l’allure baroque s’élève maintenant devant les trois femmes. Les fenêtres sont à ce point imposantes qu’on dirait des yeux et la porte d’entrée à tout d’une bouche béante aux commissures sournoises. Ce château est un visage à lui tout seul. Il porte cependant en lui quelque chose de démesuré qui fait peur à Juliette qui croit y reconnaître les traits d’un homme jadis connu rapporté de loin par dieu seul sait quel souvenir antique. Une tour secouée par le vent et habitée par son murmure semble battre la mesure du temps, un doux vol d’hirondelles lui octroie un peu de vie et néanmoins s’échappe très vite de ses coteaux avant de se jeter à l’arrière du château dans le précipice qui le jouxte de très près.

 

– Alors tu viens Juliette ou il faut que l’on vienne chercher ! crie alors Isabelle qui déjà s’approche de la porte. J’ai attendu d’avoir 29 ans pour voir ça s’écrie-t-elle, à nouveau excitée.

– Moi j’ai cinq ans de moins et je m’en serais bien passée, s’exclame Sylvie désappointée.

 

Juliette n’a pas d’autre choix que de les suivre… Isabelle en tête, les trois femmes s’approchent de l’imposante porte d’entrée. Le heurtoir de bronze les fixe d’un regard mauvais, Juliette frémit tout en essayant de se convaincre que ce n’est que son imagination qui lui joue des tours. Isabelle hésite à frapper : si le château est abandonné, cela n’aura pas d’importance. Mais s’il ne l’est pas, que diront les propriétaires ? Ils risqueraient de les reconnaître et d’appeler la police, leur signalement doit avoir été diffusé partout ! Comme si elle avait lu dans son esprit, Sylvie suggère :

 

– On n’a qu’à entrer en douce et traquer les habitants s’il y en a. On avisera une fois qu’ils seront hors d’état de nuire…

 

Juliette a un hoquet involontaire

 

– Vous voulez les tuer ?!

– Qui parle de les tuer, idiote ! On peut se contenter de les assommer un peu…

 

Et le regard complice qu’elle échange avec Isabelle clôt le débat.

 

Juliette n’aura pas son mot à dire cette fois-ci non plus. Sylvie et son amie entrouvrent alors la porte en évitant autant qu’elles peuvent de la faire grincer. La porte est lourde et le long cri que poussent les gonds rouillés trahit l’inutilité de leur effort. Elles tirent alors le battant, se moquant désormais du bruit qu’elles feront avec cette porte, tant pis pour la discrétion.

 

Isabelle sort son arme et chuchote :

 

– Sylvie, prend cette idiote avec toi et va explorer l’aile droite. Je pars vers la gauche. Rendez-vous ici dans une heure.

 

Sylvie acquiesce, s’arme de son couteau et attrape Juliette par le bras.

 

– Tu n’as pas intérêt à faire un seul bruit, toi !

 

Juliette se dégage et jette un regard noir à cette fille qu’elle ne reconnaît plus comme son amie. Puis son regard s’étend vers l’immense hall dans lequel elles se trouvent. La décoration est grandiose, riche et pleine de goût, mais tout semble poussiéreux, comme si le château avait été abandonné depuis des années. L’antiquité des lustres et la patine du bois des escaliers ajoutent à l’atmosphère fantastique qui emplit ces lieux. Cependant, une torche enflammée accrochée au mur trahit une présence… Quelqu’un est passé ici il y a peu de temps.

 

– On se croirait dans un film… Mieux, dans un conte ! Pense la jeune fille qui involontairement repense à la Belle et la Bête de Cocteau. Tout à fait cette atmosphère obscure et poussiéreuse…

– Et bien alors ? Il n’y a pas l’électricité ici ? S’exclame Sylvie, visiblement mal à l’aise. Cet endroit me donne le frisson !

 

Mais Juliette ne l’écoute pas. Elle est subjuguée par la grandeur de l’endroit, par le velouté des tentures, le rouge et l’or des tapis et des cadres, par cette lumière dansante et tamisée que projettent les chandelles des lustres et les torches aux murs. Elle se sent curieusement bien, pour la première fois depuis longtemps… Comme si elle connaissait cet endroit, comme si elle était ici chez elle.

 

– Sans doute parce que j’ai toujours aimé la littérature fantastique… Je dois sûrement associer ce château à l’une ou l’autre de ces aventures imaginaires. Pensa-t-elle à la recherche d’une explication.

 

Sans qu’elle s’en rende compte, elle a pris les devants et explore, pleine d’enthousiasme, les nombreuses pièces du château, Sylvie anxieuse sur ses talons.

 

L’heure écoulée, les trois femmes se retrouvent devant la grande porte.

 

– Je n’ai trouvé personne, commença Isabelle. C’est étrange, car le château ne peut pas être abandonné, il y a des torches partout et j’ai entendu le mouvement d’une horloge.

– Et pas d’électricité ! Ajouta Sylvie.

– Quoi qu’il en soit, j’ai trouvé des chambres, à l’étage. On va pouvoir dormir ici. Rien d’intéressant chez vous ?

– Non. Une salle à manger, une salle commune, des toilettes à la turque,….

 

Les yeux d’Isabelle s’illuminent :

 

– Une cuisine aussi ?

– Oui, mais vide.

– Dommage. On ne mangera pas ce soir.

 

Juliette se risque à placer un mot.

 

– Vous ne trouvez pas ça bizarre vous ? De la poussière comme si le château était abandonné, des lumières comme s’il était habité, mais une cuisine vide et pas d’électricité ni d’eau courante ! On se croirait revenu en arrière dans le temps ou quelque chose dans le genre.

 

Les deux complices se taisent un instant, mais Sylvie brise le silence :

 

– Arrête avec tes conneries, tu me donnes la chair de poule !

 

Puis après un autre instant de silence :

 

– Je propose qu’on monte à l’étage se trouver des lits. Plus vite la nuit sera passée, mieux je me sentirais !

 

Acquiesçant sans mot dire, Isabelle monte à l’étage, suivie de près par Sylvie. Juliette en arrière de quelques marches à un sourire émerveillé. Celui-ci cependant se fige quand elle voit au milieu des nombreux portraits qui semblent saluer leur ascension se dessiner le visage plaisant d’un jeune homme vêtu du plus bel habillage. Contrairement aux autres aucune date ne stipule sa naissance et moins encore sa mort. Le cadre est légèrement de travers, l’empêchant de mieux en apprécier les détails, mais elle parvient néanmoins à déceler quelque chose d’attendrissant qui s’enfuit du regard, lequel ne paraît avoir d’éclat que pour elle et semble habité de cette lueur surannée des gens pour qui l’avenir n’est qu’un passé recomposé. Un nom émerge un temps de la poussière : Desmond.

 

– Tu te dépêches, geins soudain Sylvie tirant Juliette de sa torpeur, Isabelle nous a trouvé une chambre !

 

Juliette ne peut contenir un regard à nouveau haineux à l’encontre de Sylvie ! Et la considérant des pieds à la tête elle se demande une fois de plus où elle a bien pu apprendre à s’habiller ! Son débardeur à bretelles fait office de soutien-gorge et surplombe un jeans qui semble avoir trop pris le moule de ses fesses.

 

« Elle va bien avec l’autre ! », pense-t-elle,

 

L’autre c’est à dire cette Isabelle qu’elle voudrait n’avoir jamais connue et qui est toujours à se mettre des mini-jupes en cuir pour appuyer l’aimable richesse de son postérieur. Juliette s’enquière alors d’une autre chambre, ne désirant pas partager plus longtemps son espace avec les deux pétasses qui ont maintenant au moins mérité son antipathie. Au vu du nombre de pièces qu’abrite le château le choix se pose en embarras et pourtant elle arrête très vite ce dernier sur la chambre voisine, non sans en avoir visité quelques autres au préalable qui lui ont laissé de la poussière aux lèvres. Celle-ci l’intrigue. D’abord à cause de la porte surmontée par une sorte de pentacle et aussi en ce qu’elle lui parait la plus courtoise en comparaison de l’austérité du reste. Ses dimensions sont immenses et elle semble avoir été pensée en fonction du grand lit à baldaquins qui à lui seul remplit tout un côté de la pièce. L’atmosphère y est chaude et l’air moins humide que partout ailleurs dans le château. Une énorme commode fait face au lit tandis qu’au centre se trouve un boudoir lui-même surmonté de trois bougies séparées sur une égale distance et entourant un livre mis de biais et portant le titre énigmatique de « Ma Mémoire Morte ».

 

Juliette qui a oublié d’être indifférente, s’empresse de le feuilleter, l’écriture est vive et nerveuse, rendant la lecture délicate, et les ratures sont nombreuses qui portent sur des mots comme amour, aimée, douleur, cercueil, joie. Cela ressemble à un livre de bord sans pour autant en être un. Des dates ponctuent les pages et donnent le rythme des siècles : 1590, 1614, 1780, 1850, 1910. A chacune d’elles semble correspondre un événement enfanté dans le supplice et succédant à un grand vide de mots. Un nom revient sur à peu près chaque page, un nom de femme : Luciana. Il est bien impossible à Juliette de tirer un récit de ses brides, elle n’en demeure pas moins interloquée et merveilleusement captivée. Une page semble avoir été déchirée et Juliette s’amuse à imaginer le chemin qui l’a conduite à émigrer en toute fin de volume. Celle-ci est demeurée lisible malgré quelques taches et pose une généalogie bizarre faisant état de plusieurs noms s’embrassant au sein d’une histoire quelque peu morbide, calquée semble-t-il sur la mort elle-même.

 

On y parle essentiellement de la comtesse Elisabeth Bathory, épouse du compte Ferenz Nasdady le héros noir de la Hongrie connu surtout pour ses hauts faits de guerre. De sang royal, elle se devait d’avoir sa place dans l’Histoire non pour la noblesse de son cœur mais pour l’étendue de ses crimes perpétrés en son château de Csejthe. Un croquis rapidement esquissé montre un bâtiment fort semblable à celui qui les héberge aujourd’hui. Mélangeant rituels ésotériques et scènes de tortures la comtesse Bathory se lavait du sang de ses victimes pour protéger sa jeunesse. Elle eut quatre enfants dont un fils qui, écœuré, la dénonça et dont elle devait se venger de la plus terrible des façons en faisant de Luciana, sa fiancée, sa dernière victime. Il s’appelait Desmond, Juliette pensa tout de suite au portrait dont elle regrettait qu’il n’ait eu de voix pour parler, mais certains silences sont plus évocateurs qu’aucun mot.

 

Tout en continuant la lecture, qui maintenant la captive autant qu’elle l’effraye, elle apprend ainsi que la comtesse a été emmurée dans cette chambre même où elle se trouve aujourd’hui, avant d’y mourir quatre années plus tard à l’âge de cinquante-quatre ans, en 1614. Le compte rendu s’arrête ainsi net sur la mort de la comtesse, ne disant rien sur le devenir de ce pauvre Desmond. Juliette frissonne et pense que cette page plutôt que déchirée a dû être rajoutée bien des années plus tard par elle ne quel trublion qui avait rêvé de joindre la parole au mythe. Il lui reste maintenant à visiter la commode qui semble désespérément déserte, cependant en ouvrant le dernier tiroir, elle découvre une robe magnifique, entre turquoise et bleu mât. En fait de robe il s’agit plutôt d’une chemise de nuit parfaitement conservée à ce point qu’on la croirait pour neuve. Juliette se déshabille jusqu’à être nue, puis passe le délicieux vêtement qui étonnamment lui tombe comme un gant. Le grand miroir qui garni la commode lui renvoie à ce moment l’image d’une femme resplendissante, cintrée de bleu comme s’il s’agissait d’un songe, sertie de son rêve comme portant un bijou.

 

Elle ne peut résister à la tentation d’aller se montrer à Isabelle et à Sylvie, histoire d’attiser leur jalousie. Alors qu’elle s’approche de leur chambre dont la porte est demeurée entr’ouverte, elle risque, utile préliminaire, un regard en éclaireur par l’entrebâillement de cette dernière. Quelle n’est pas sa surprise de découvrir Isabelle, la jupe relevée, le slip à terre et se faisant photographier le postérieur par Sylvie. Sylvie adore les fesses d’Isabelle et Isabelle aime à les lui montrer. L’instant est propice à la luxure, les chairs appellent la pellicule et le cul d’Isabelle frissonne de toute sa peau à se savoir sur le chemin de la postérité. Bravant la fraîcheur, les deux femmes se déshabillent très vite.

 

Sylvie s’est saisie d’une cravache…

 

« Ou a-telle trouvé ça ? »

 

Elle frappe durement le derrière d’Isabelle qui donne l’air de se satisfaire pleinement de ce traitement sadique. De temps à autres Sylvie stoppe sa flagellation pour prendre une photographie du postérieur rougissant. Et le manège reprend : cravache, photo, cravache photo et ce jusqu’à ce que le postérieur de la victime consentante soit devenu cramoisi.

 

Sylvie lâche la cravache puis fait part à sa complice de son envie d’uriner. Spontanément Isabelle s’allonge de tout son long sur les tommettes froides de la chambre, la bouche ouvert et la respiration saccadée, L’urine tiède de Sylvie s’coule en un jet impertinent qui vine terminer sa course dans le palais d’Isabelle qui le reçoit telle le plus précieux des grands crus

 Chateau

Ce spectacle a mis les sens de Juliette sans-dessus-dessous, ses cuisses se mouillent et ce n’est pas de l’urine. Elle décide de quitter les lieux

 

– Mieux vaut ne pas insister !

 

Elle suspend néanmoins son pas le temps de prêter oreille à la conversation qui s’ouvre entre les deux femmes et dont elle semble la cible, Isabelle a du venin dans la voix :

 

– Dis, ta copine Juliette c’est un vrai boulet cette fille ! « , ricane-t-elle un doigt posé sur la bouche.

– Elle n’a jamais été ma copine, tu sais, répond Sylvie,…enfin pas vraiment… J’aime à le lui laisser croire. Elle sort avec mon ancien petit ami et je suis certaine qu’elle est encore jalouse de notre relation. Où elle n’a pas tort c’est que je ne me gênerais pas pour foutre le bordel dans sa vie si tel est mon plaisir.

 

Sylvie appuie cette dernière phrase d’un rictus qui déplait plus encore à Juliette que le propos lui-même.

 

– A te voir si belle on en oublierait que tu es une garce ! S’amuse Isabelle

 

Sylvie se déchausse alors de ses escarpins et commence à masser les petit seins pointus d’Isabelle avec ses pieds nus avant de porter un orteil masturbatoire vers son clitoris. Isabelle reprend, la voix rauque de plaisir et toute tremblante.

 

– Moi je crois qu’elle va nous attirer des ennuis, elle est trop fragile ta copine ! Il faut nous en débarrasser au plus tôt !

 

Elle s’agite tout en lui demandant de continuer d’une de plus en plus voix chevrotante

 

– Tu veux dire la tuer… S’étonne Sylvie, très peu surprise en fait tandis qu’elle continue à triturer le clitoris d’Isabelle dont les seins se durcissent à l’envie.

– Quoi d’autre, l’endroit est idéal. En plus, réfléchis, c’est une part en plus du butin qui trouve à s’installer dans notre poche.

– Je suis d’accord à la seule condition que tu me laisses m’en occuper.

– Que comptes-tu faire ? s’interloque soudain Isabelle dont le visage se marque maintenant de légers spasmes qui sont autant de stigmates signalant l’approche du plaisir.

– J’ai mon idée : imaginons que demain sous le couvert d’une visite du château un événement malheureux survienne…

– Toi, je sais ce que tu vas me dire…

– Il y a une tour qui donne tout entière sur un précipice : une chute est si vite arrivée…

 

Juliette enrage d’entendre ça. Elle d’habitude si gentille et dont on a toujours eu à vanter la courtoisie et la richesse du cœur se voit maintenant assaillie d’idées de meurtre corrélatives à sa colère. Les images lui viennent, burlesques pour la plupart. Ainsi, imagine-t-elle Isabelle et Sylvie liées à leur lit et proposant leur postérieur à diverses tortures et plus encore à sa vengeance…

 

Dehors le jour vacille, la pénombre déborde. Des pans entiers de nuit s’épandent sur le petit cimetière bordant le château. L’air semble immobile. Le froid culmine au portique des bois, un froid si proche du sépulcre qu’on le dirait de pierre. Bientôt, un bruit de carriole se mêle au vent mais Juliette ni Sylvie et encore moins Isabelle qui n’en peut plus de jouir ne peuvent l’entendre. Un vertige s’empare de la nuit qu’éclairent juste quelques bougies et le silence est un invité bavard que l’on entend que trop.

 

Quand Juliette regagne sa chambre, son regard est éteint et son esprit empli des brumes hivernales de la dépression. Elle s’affale sur le grand lit prise de fatigue et laisse aux heures le soin de rythmer ses rêves. Le noir, bientôt, envahit tout, du salon à l’étage en passant bien évidemment par la cage d’escalier où se tient le portrait de Desmond. Une horloge ponctue la nuit d’un martèlement obscène. Juliette, de temps à autre, s’éveille parcourue d’un frisson. Soudainement alors qu’elle se retourne pour interroger le cadran des heures une surprise et non des moindres l’attend : les bougies se sont allumées sans y avoir été invitée et derrière elles se dessine la forme oblongue d’un visage qui ressemble à s’y méprendre à Desmond Nasdady. Il est blafard certes mais gracieux et ses fins sourcils s’ajoutent à ses traits pour donner à son visage raffinement et noblesse.

 

Bien vite une bourrasque fait claquer la fenêtre, soufflant les bougies ainsi que chacun des traits de ce visage qu’elles avaient sorti pour un temps de l’ombre. En même temps des jappements de jouissance lui parviennent à l’oreille, qui émanent de la chambre voisine.

 

– Elle n’arrêterons donc jamais de baiser ? Se dit Juliette excédée.

 

Ce qu’elle ignore c’est que Sylvie et Isabelle ont été surprises dans leur sommeil par deux ombres qui maintenant honorent leur nudité agissant telles des vagues et parcourant leur corps du lent friselis du plaisir… A peine Juliette s’est-elle réinstallée dans la torpeur qu’elle sent un vent caressant lui courir sur la peau sans se douter qu’il s’agit d’une main dont la douceur n’a d’égale que la blancheur. Son corps lui échappe bientôt à petites doses, le plaisir se plaît au murmure, Juliette n’ose cependant pas ouvrir les yeux tant sa crainte est grande de ce qu’elle pourrait découvrir. Elle se transforme bientôt en un brasier que seul vient éteindre une petite morsure qui lui marque soudainement le coup et la transforme en une autre :

 

– Luciana enfin je te retrouve… lance Desmond d’une voix plus proche du chuchotement que de la parole.

 

Ces mots suffisent à Juliette pour retrouver la mémoire, celle-là même qu’elle avait enfouie et qui était demeurée après tant de siècles si vivace en elle… La comtesse Bathory, Desmond ce doux jeune homme trop sensible qu’elle avait rencontré aux champs et puis sa mort en une lente agonie un jour néfaste de février… Deux ombres, entre-temps, sont venues se loger près de Desmond et Juliette n’a nul besoin d’explication pour comprendre qu’il s’agit d’âmes errantes qui n’ont pu se départir de l’endroit de leur mort. Juliette ou Luciana, une personne est de trop. Aussi Desmond n’a-t-il besoin que d’un baiser pour convaincre la jeune femme de son identité : Juliette est morte, longue vie à Luciana !

 

Isabelle entre à cet instant accompagné de Sylvie. Les deux femmes ne se sont pas donné la peine de se rhabiller : elles sont nues. Isabelle tient un revolver à la main qu’elle fait voyager sur toute l’étendue de son corps.

 

– Juliette viens avec nous, on a une vue imprenable à te faire admirer ! Dit-elle d’un air menaçant et péremptoire.

 

Sylvie à cet instant s’aperçoit de la présence de l’oblongue silhouette de Desmond qu’Isabelle avait ignoré encore trop en proie à son plaisir.

 

– Qui est-ce ? demande-t-elle à Isabelle qui lui répond d’un haussement d’épaule et de ces quelques mots :

– Je ne sais pas mais on ne va pas tarder à le savoir.

– Qui êtes-vous ?

 

Desmond n’attendait que cela pour se retourner et offrir la vision de ses deux canines.

 

– Mon Dieu qu’est-ce que c’est que ça ? hurle Sylvie qui dans l’instant prend la fuite.

 

Isabelle, elle, est demeurée un rien en retrait. Sa voix s’est enrayée tout comme son pistolet dont le tir est demeuré muet. Rasant les murs, elle décide d’une fuite intelligente.

 

Sylvie monte dans la tour poursuivie par celle que l’on ne doit plus nommer Juliette mais bien maintenant Luciana. Une fois au sommet Sylvie verte de peur avance à reculons.

 

– Non ne me fait pas de mal ! crie-t-elle à la jeune femme en laquelle elle a bien du mal de reconnaître son ancienne « amie ».

 

Un pas plus loin et ce sera la chute.

 

Pendant ce temps Isabelle a rejoint sa voiture. Elle n’a pas hésité à abandonner sa complice d’autant plus qu’elle sait que l’argent est dans le coffre. La jeune blonde s’y installe complètement nue, elle est excitée comme jamais et quand la peur se mélange à l’excitation l’orgasme n’est jamais très loin. Une fois encore le plaisir la prend d’assaut dans un de ces moments où s’imposerait la sagesse. Mais cette fois Isabelle n’y est pour rien. N’étaient ces deux ombres, jamais elle n’aurait pensé à jouir en cet instant voué à la fuite. Toute nue dans sa voiture qui semble foncer vers l’enfer Isabelle à la surprise de se faire baiser par d’invisibles revenants. Elle frissonne de voir ses larges seins malaxés comme du simple pouding et semblant s’animer d’eux-mêmes. Une des deux ombres entre-temps s’est attachée à son clitoris. Isabelle jouit bientôt comme rarement auparavant.

 

Soudainement les protagonistes de son plaisir disparaissent comme n’ayant jamais existés et quand Isabelle porte son regard sur ce qu’il est difficile d’appeler une route c’est pour en constater bientôt l’absence. Le vide se pose sous ses roues tel un gigantesque vertige et elle ne peut éviter de chuter avec sa voiture dans le précipice. La jeune femme se crispe à son volant et tandis que son visage prend des allures de grimaces, elle habille une dernière fois sa bouche d’un horrible cri qui pour une fois n’en est pas un de jouissance :

 

Une centaine de mètres plus bas Isabelle explose avec sa voiture, quelques billets virevoltent au vent…

 

Les mois ont passé. Un peu comme le vin qui devient vinaigre et enfin se bonifie, la région a retrouvé une certaine prospérité touristique. Un nouveau mystère s’est investi du paysage et attire les curieux en quête de sensations douteuses. La voiture écrabouillée en contrebas de la falaise n’a pas encore finit de déchaîner les contradictions et l’appareil photo retrouvé au château maudit de Csejthe, d’où semblait venir la voiture, à l’autopsie n’a donné à voir qu’un superbe cul nu.

 

Si l’on interroge les gens du pays ils vous diront que parfois l’on voit passer, là-haut dans la montagne, un homme assez grand tenant par la taille une douce personne. Tout juste derrière, à deux pas, les suivent deux autres femmes qui semblent n’être là que pour l’usage. Il paraît que celui qui embrase leur chemin s’expose à la morsure du vampire mais que bien souvent tous quatre se transforment en chauve-souris – et cela le croit qui veut.

 

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Jeudi 11 novembre 2021 4 11 /11 /Nov /2021 18:16

La fille du bus par Firmin Dumigron

 

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Depuis quelque temps, la jeune femme qui prenait l’autobus avec moi tous les soirs me regardait avec un drôle d’air. Au tout début, je ne comprenais pas pourquoi, mais plus les jours se suivaient, plus je me rendais compte de plusieurs petites choses. Au tout début, ce n’était que des détails : prendre l’autobus en même temps que moi, porter des jupes un peu plus courte tous les jours, me regarder dans les yeux, etc.

Mais plus les jours avançaient, moins je pouvais me tromper: elle voulait effectivement quelque chose. Je décidais donc de descendre un soir, vers 18 heures, à son arrêt, par la même porte qu’elle. Au tout début, elle sembla surprise et mal à l’aise. Mais lorsque l’autobus tourna au coin, elle se retourna vers moi et me dit :

– Bonjour ! Sans doute faut-il que je me présente, je suis Consuela

Elle avait les cheveux longs et droits, châtain, une poitrine bien fournie sans être trop grosse, des jambes à faire rougir un coureur de fonds et de beaux yeux verts… Nous engagions ainsi la conversation pour nous retrouver devant son appartement. Elle m’invita donc à monter prendre un verre. Comme vous le devinez bien, j’acceptai volontiers.

Une fois entrée dans son appartement, elle me servit un cocktail dont j’ai oublié le nom, mais c’était délicieux et un peu fort. Nous parlions de nous et vint cette question :

– Tu as l’air en plein forme ! Tu pratiques une activité ?
– Tout à fait, j’excelle au cunnilingus et à la course à pied !
– Les deux en même temps ?
– Pas encore essayé.
– Ça ne me déplairait pas d’avoir une petite démonstration.
– De course à pied ?
– Je préférais l’autre activité !

Je cherchais une réplique mais je restais bouche bée quand elle se leva, ôta son haut puis son soutien-gorge, puis sa jupe et sa culotte et me laissa admirer son superbe corps.

Elle était magnifique. Des seins ronds avec des mamelons foncés, de jolies cuisses, une toute petite boucle d’oreille prise sur son nombril et une chatte et un mont de vénus compétemment glabre. Aucun poil. Ne sachant pas trop quoi faire et quoi ne pas faire devant cette déesse, je tentai le tout pour le tout. J’approchai donc ma bouche de ce superbe vagin sans rencontrer de résistance, et je le léchai consciencieusement avec ma langue pour ensuite le sucer avidement. Consuela aimait beaucoup ce que je lui faisais et se coucha sur le tapis du salon. Je descendis donc et continuai à la manger goulument. J’approchai ensuite un doigt et la pénétrai de mon majeur tout en continuant de sucer son clitoris.

Pendant que je la mangeais, la porte de l’appartement s’ouvrit et une autre femme, entra. Je notais la ressemblance avec Consuela.

– C’est ma mère ! Me précise cette dernière.

Nous étions sur le tapis du salon, Consuela, nue comme un vers, tout en sueur, et moi, rouge comme une tomate, ne sachant pas trop quoi faire.

– Salut les coquins, je m’appelle Dolores ! Et toi ?
– Euh, Fernando.
– Je peux me joindre à vous ?
– Pourquoi pas…

Elle se déshabilla donc et je commençai à sucer Dolores pendant que Consuela me déshabillait. Sa mère, beaucoup trop excitée, était déjà mouillée. Consuela pris alors goulument la relève et suça l’entrejambe de sa mère. Elle la léchait, la suçait alors que je caressai son vagin. Dolores s’excita de plus en plus et je ne pu m’empêcher d’approcher mon doigt de son anus. Ruisselant de sueur et d’excitation, j’enfonçais mon index dans cet anus accueillant pendant que Consuela suçait et pénétrait sa mère avec le sien. Dolores cria et jouit avec beaucoup de force.

dummigron busConsuela et moi étions maintenant extrêmement excités. Elle se tourna vers moi et me donna en offrande son vagin tandis qu’elle prenait mon membre dans sa bouche. Nous nous sucions ainsi au gré de l’excitation de l’autre. Je margeais son vagin, son clitoris, la pénétrai avec un puis deux doigts. Excitée au plus haut point, elle demanda alors à sa mère de faire la même chose que ce qui lui était arrivée quelque instants plus tôt. Sa mère prit donc la relève et la mangea avec appétit. Je me levais donc et décidai de faire à ma nouvelle amie une belle surprise. Je lui demandais de se mettre à quatre pattes et, pendant que sa sœur mère son vagin, j’introduisis dans son petit anus mon pénis ruisselant. Tout doucement, je l’enculais. Au tout début, elle gémit, puis elle commença à apprécier cela de plus en plus. Après trois minutes, le mouvement de va-et-vient était si intense que la mère de Consuela avait peine à suivre. Dolores profita donc de la situation et se retourna pour faire un 69 avec sa mère. La mère et la fille se mangeaient donc mutuellement pendant que j’enculais la maman. Nous jouîmes tous les trois après plusieurs minutes de plaisir et de bonheur intense…

Le lendemain Consuela n’était pas dans le bus, le surlendemain non plus et la semaine suivante pas davantage. J’essayais de prendre un bus avant, un bus après, Consuela semblait avoir disparue.

Je n’avais été qu’un coup d’un soir, mais je ne regrette rien, je me suis bien amusé.

 

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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Mercredi 10 novembre 2021 3 10 /11 /Nov /2021 18:05

7 rêves pour une femme par Cepaderefus – 6- Partie carrée

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Le silence se fait tandis que Philippe commence son récit.

 

– J’étais au lycée, en pleine période de révision des examens de fin d’année. Un copain m’avait proposé de venir étudier les maths chez lui. Comme il était meilleur en maths que moi, j’avais immédiatement accepté. Ses parents possédaient une belle maison, avec une grande cour et une piscine. Ils n’étaient pas souvent à la maison et on était donc seuls dans la maison. On avait étudié pendant deux heures au bord de la piscine quand il m’a proposé de faire une pause. Évidemment, j’ai accepté. Il m’a proposé alors de faire quelques longueurs dans la piscine pour nous détendre. J’étais embêté, je n’avais pas prévu de maillot de bain. Je lui explique ça en espérant qu’il allait me prêter un des siens. Pas du tout.

– Qu’est-ce qu’il a fait ?

– Il a retiré son t-shirt et son short devant moi et s’est donc retrouvé à poil. Il m’a dit alors que je n’avais qu’à en faire autant. En voyant Simon à poil l’histoire m’est revenue à l’esprit.

 

Marie est impatiente.

 

– Et la suite ?

– Sans plus attendre, il a plongé dans l’eau. Je ne sais pas s’il l’a fait exprès, mais ça m’a pas mal éclaboussé, mes vêtements étaient tout mouillés. Je me suis retrouvé comme un épais au bord de la piscine, et lui était en train de faire la planche, à me dire de le rejoindre. Alors j’ai retiré moi aussi mes vêtements. En même temps, je fixais des yeux son sexe que l’on ne pouvait pas éviter de voir puisqu’il faisait la planche. Ça commençait à m’obséder, mais aussi à m’inquiéter. J’ai quand même fini par me retrouver nu à mon tour et j’ai vite sauté à l’eau.

– C’est tout ?

– Non. On a niaisé comme ça pendant un bon quart d’heure, peut-être plus. On s’est amusé dans l’eau à jouer à la balle. Mais il ne manquait pas une occasion de me frôler, j’ai eu l’impression de sentir le contact de son sexe à plusieurs reprises, je pense qu’il était en érection. Il s’est aussi amusé à passer sous moi dans l’eau et à me renverser en me soulevant par-dessous.

 

Philippe raconte son histoire au fur et à mesure qu’il s’en souvient. C’est ainsi qu’il se rend compte qu’il aurait mieux fait de ne pas la commencer. Tant pis, maintenant autant aller jusqu’au bout.

 

– Quand on est sortis de la piscine, j’ai remarqué que son sexe était encore assez gros, c’est pour ça que je pense qu’il était en érection dans l’eau. Il m’a dit qu’il allait chercher des serviettes, et qu’en attendant je n’avais qu’à m’allonger sur un des chaises longues qui étaient au bord de la piscine. C’est ce que j’ai fait et je me suis mis sur le ventre pour cacher mon sexe. Il est revenu peu de temps après avec les serviettes et m’a essuyé le dos et les jambes. Je n’ai pas osé bouger de peur qu’il m’essuie aussi le ventre. J’ai alors ressenti un truc frais dans le dos et ses mains ont commencé à me masser. Il était en train de m’étaler de la crème solaire sous le prétexte que je risquais un coup de soleil en restant allongé ainsi. En fait, il en profitait pour me tripoter. Il m’a aussi étalé de la crème sur les jambes et pour finir sur les fesses.

 

Marie commence à trouver de plus en plus d’intérêt au récit de son mari.

 

– Et ensuite, il t’a mis aussi de la crème de l’autre côté ?

– Non. J’ai préféré rester sur le ventre. Plus il me massait, plus son sexe grossissait. Quelquefois il se retrouvait assez près de moi, je ne pouvais pas m’empêcher de regarder du coin de l’œil sa queue qui ne cessait de grossir. J’angoissais, j’avais peur qu’il me la foute dans la bouche ou dans le cul, j’ai préféré ne pas bouger.

– Et ça s’est terminé comment ?

– Il s’était installé sur la chaise longue à côté de moi après s’être enduit de crème solaire sur tout le corps, n’hésitant pas à se caresser le sexe au passage. Il était allongé sur le dos ce qui faisait que je voyais parfaitement sa queue. Je n’arrêtais pas de le regarder, par curiosité. Au bout d’une demi-heure, j’ai voulu me retourner, c’est alors que je me suis rendu compte que j’avais le sexe presque en érection. J’ai préféré me mettre la serviette autour de la taille.

 

Le récit de Philippe

 

Puis, comme pour rigoler, on s’est mis à se raconter des histoires de cul. A cet âge-là, on bande avec n’importe quoi, et en un rien de temps, on était bandé tous les deux ! On s’est regardé et il m’a alors demandé.

 

– Es-tu aussi excité que moi ?

– Oui, je le suis

– Tu es sérieux!!? Aimerais-tu qu’on se masturbe tous les deux!

– Habituellement quand je suis excité, je me retiens pas

– Je suis sérieux, j’aimerais te masturber

– Hein? Tu veux me masturber? Non, je ne veux pas !

 

Il n’a alors plus posé de question, mais après 5 minutes de silence, je lui ai dit :

 

– Je suis encore bandé

– Insiste pas je t’ai dit

– Regarde !

 

Et j’ai enlevé la serviette pour lui montrer ma queue qui était encore toute dure

 

– Si tu en as envie, que tu es sérieux, je vais faire une chose. Je m’en vais dans le salon juste là, et si tu as vraiment envie que je te branle, tu viens me rejoindre, sinon, tu restes ici, et on se rhabille

 

Il s’est alors levé et je l’ai vu marcher la queue dure pour rentrer chez lui par la porte-patio donnant sur sa cour. Je suis resté immobile une minute, puis je me suis levé, attiré, excité par l’idée de me faire branler. En entrant dans le salon il m’a dit

 

– Tu sais ce que tu fais, je suis sérieux!!

 

– Oui, je le sais, mais je ne veux pas qu’on s’embrasse

 

– Ok

 

– Je me suis alors assis à côté de lui, la queue en extension et lui, il s’est mis à genoux sur le plancher devant moi. Il a écarté les jambes et avec une main, il a pris ma queue et il a commencé à me masturber. Avec son autre main, il s’est mis à me caresser les couilles !! Après une ou deux minutes de ce petit manège, où il était bandé bien dure lui aussi juste à me masturber, il s’est assis à côté de moi, et ma dit de croiser ma jambe avec la sienne, et de prendre ma queue avec ma main tandis qu’il prenait ma bite avec sa main ! Et on s’est branlé mutuellement comme ça jusqu’à ce que j’éjacule. Après avoir éjaculé, j’ai augmenté le rythme de mon mouvement sur sa queue et je l’ai fait éjaculer à mon tour ! Il s’est alors levé pour aller à la salle de bain, et est revenu avec une boite de kleenex sans s’être essuyé. Il a pris quelques kleenex et ma tendu la boite et il a commencé à s’essuyer debout devant moi ! J’ai fait de même en restant assis.

 

Après cela, je suis allé reprendre mes vêtements qui étaient secs. On a continué à faire des maths pendant encore deux heures. Mais disons que notre concentration n’était pas au beau fixe. Je ne voulais surtout pas qu’il en parle à nos amis. Et il se mit à me raconter tout plein d’histoires concernant des aventures semblables entre camarades de classe. J’insistais à chaque fois pour qu’il ne dise rien et à chaque fois, il me racontait une anecdote sexuelle sur untel ou unetelle. De temps en temps, c’était plus fort que moi, je souriais de gêne. Je suis ensuite rentré à la maison, il avait insisté pour que je reste à manger, mais j’avais peur de me faire violer avant la fin de la soirée.

 

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– Dis plutôt que tu avais peur de craquer et de lui sucer la bite.

– J’ai préféré partir avant d’avoir à me poser la question. L’examen était le lendemain. La question n’arrêtait pas de me hanter l’esprit. Heureusement, je t’ai rencontré par la suite dans une fête qu’on avait organisée avec des copains pour fêter Halloween et je n’ai plus repensé à ce garçon jusqu’à maintenant.

 

– En quelque sorte, je t’ai sauvé de l’homosexualité ?

– Peut-être.

– Tu n’as jamais regretté de ne pas avoir poussé plus loin ?

– Je ne sais pas.

 

Simon a suivi ce récit avec étonnement.

 

– Après tout, il voulait peut-être juste te sucer.

– Et alors ? Tu te serais fait sucer, toi ?

– Peut-être. Pourquoi pas ?

– Tu t’es déjà fait sucer par un mec ?

– Ben…

 

Nicole réagit immédiatement.

 

– Hein quo i!!? C’est intéressant ça. Raconte !!!

 

– J’étais en camping à Old Orchard avec ma famille et la famille de ma tante, cousins, cousines. On avait sympathisé avec des Américains qui étaient nos voisins. Il y avait deux filles et un garçon. Un soir, je me suis retrouvé sur la plage avec l’une des deux filles. Elle me dit qu’elle voulait me faire un petit plaisir, mais qu’elle préfèrerait me bander les yeux. Évidemment, j’accepte. Elle a ouvert mon zip sortis ma queue déjà bandée de mon pantalon. Elle a commencé à me masturber, puis s’est mise à me sucer. Une magnifique fellation. Au bout de quelques minutes elle me demande si j’aime, je lui dis que j’adore, tellement c’est bon. Elle me retire mon bandeau. Ce n’était pas elle, mais le mec qui était en train de me sucer ! Le choc. En plus, il m’a demandé s’il pouvait continuer.

– Et qu’est-ce que tu as fait ?

– J’ai dit  » yes, yes, continue !!! « . Il m’a sucé jusqu’au bout. J’ai prévenu que j’allais jouir en disant,  » wait, i will jouisss  » mais il est resté en position et je lui ai tout giclé dans la bouche. C’était trop bon. Ces deux pervers se sont alors embrassés devant moi pour partager le sperme, et elle m’a embrassé ensuite, ce qui fait que je me suis retrouvé à goûter à mon propre sperme.

– C’est tout ?

– Oui.

 

Philippe intervient.

 

– C’est déjà pas mal. Je ne suis pas allé aussi loin.

 

Sa femme se fait curieuse.

 

– Et si tu avais été dans cette situation, tu te serais laissé sucer jusqu’au bout?

– Peut-être. Je ne sais pas.

 

Nicole reprend la parole.

 

– Ça m’a bien excité vos histoires, les gars. Maintenant, je voudrais bien qu’on s’occupe un peu de moi.

 

Marie répond la première.

 

– Je peux te lécher, si tu veux.

– Pourquoi pas ? Je te rendrai la pareille. Allons dans la chambre.

 

Les deux femmes quittent la salle de bains, suivies de près par leurs hommes, elles traversent le couloir en se tenant la main et retirent le peu de vêtements qu’elles portent. Elles se placent à genoux l’une en face de l’autre sur le lit. Marie commence doucement par caresser Nicole sur les bras, les épaules et elle descend très lentement, avec une main sur les seins de sa partenaire et les caresses du bout des doigts ! Puis, avec son autre main, elle refait la même chose et lui caresse l’autre sein ! Tout ça dans le but de s’entendre gémir un peu, car tous savent maintenant que Marie fantasme sur les seins d’une femme.

 

Après quelques minutes de caresse, Nicole rend la pareille à Marie. Toujours dans la douceur, les deux filles augmente la cadence et se caressent le ventre, les hanches, les fesses, le dos, les épaules, le cou et le visage.

 

Marie s’approche alors de Nicole et remplit sa promesse faîte à son mari en commençant à embrasser dans le cou son amie. Puis, en léchant tranquillement chaque partie du visage de la fille, elle se dirige ainsi sur la bouche de Marie, et elles se frenchent toutes les deux, la langue sortie de leurs bouches. Pendant ce temps, les deux gars regardent leur conjointe et se retrouve en moins quelques secondes avec une de leur plus grosse érection de leur vie.

 

Les filles s’allonge alors sur le lit de la chambre à coucher. Sans plus attendre, elles se mettent en position de 69 et commencent à se lécher la fente avec application et délectation. Les deux hommes les regardent faire, excités mais ne sachant pas trop quoi faire. Marie s’adresse alors à eux.

 

– Ne restez pas plantés comme ça, faites comme nous.

 

Son mari se refuse à comprendre.

 

– Comment ça ?

– Faites un 69.

– Entre gars ?

– Ben oui.

 

Les deux hommes se regardent. Que faire ? Les histoires qu’ils ont racontées les ont passablement excités et leurs deux femmes en train de se manger leur font également énormément d’effet. Après tout, cette soirée un peu folle est tellement flyée que ce serait dommage de ne pas s’amuser encore plus. Ils se regardent alors le sexe, ils sont tous les deux en pleine érection, en train de se caresser le sexe. Ils se rapprochent, leurs bras se croisent, chacun caresse alors le sexe de l’autre, découvrant pour l’un, redécouvrant pour l’autre, le plaisir de caresser un sexe masculin, imberbe en plus. Une minute s’est écoulée. Les deux femmes prennent visiblement beaucoup de plaisir à se lécher, elles ne cessent de crier et de gémir. Quant à leurs maris, ils ont maintenant le sexe de l’autre bien raide dans leur main et les caresses se sont muées en masturbations bien franches. Ils se regardent, regardent leurs sexes, s’interrogent du regard. Pourquoi ne pas aller plus loin ? Philippe et Simon s’approchent du lit et s’allongent l’un à côté de l’autre en position inversé. Philippe reprend alors la masturbation de son ami, dont la bite tendue au max n’est plus qu’à quelques centimètres de sa bouche. Simon a fait de même. Les deux hommes se regardent. Presque simultanément, chacun se rapproche du sexe de l’autre, ouvre la bouche et y laisse glisser le membre de chair.

 

Après les premiers instants de surprise, le plaisir devient le plus fort, et les deux hommes commencent à gémir tout en se suçant. Marie et Nicole s’en rendent compte et cela augmente encore plus leur excitation. Tout en étant par-dessus Nicole, Marie ne peut s’empêcher de regarder les deux hommes se sucer ensemble! Son excitation est à son plus haut point! Quant à Philippe, il commence à s’inquiéter, car lui aussi ressent la même chose que sa blonde!

 

– On va jusqu’où comme ça ? Je ne vais pas tarder à jouir. Et toi, tu n’oserais quand même pas m’éjaculer dans la bouche ?

– C’est ton problème. Pas le mien.

 

Marie leur répond.

 

– Hé, pas si vite. Moi aussi, je voudrais y goûter à vos bites. Nicole, tu me prêtes ton mari ?

– Bien sûr, et je t’emprunterai le tien.

 

Les deux femmes se mettent alors chacune à sucer le mari de l’autre. Au bout de quelques minutes Nicole sent qu’elle veut passer à autre chose.

 

– J’ai comme un manque. Je voudrais bien sentir une queue dans ma chatte. Je sais, je suis vulgaire quand je suis en manque !

 

Elle s’adresse alors à Philippe.

 

– Avez-vous apporté des capotes ?

– Ben non. On n’en a pas besoin.

– C’est embêtant ça. Je me méfie quand même des MST. Tant pis, je me contenterai de Simon cette fois-ci.

– Je peux en acheter pour la prochaine fois.

 

Simon intervient alors.

 

– Personnellement, je ne suis pas trop capote. On ne pourrait pas plutôt faire des tests de MTS pour être tranquilles une bonne fois pour toutes ?

 

Marie acquiesce.

 

– C’est vrai ça. Il n’y a rien de meilleur que de sentir le sperme chaud gicler au plus profond de soi.

 

Nicole se contente de confirmer.

 

– C’est vrai.

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En attendant ce moment, les deux couples se reforment pour une pénétration côte à côte. À défaut de pouvoir pénétrer la femme de l’autre, les deux hommes se permettent quand même de prodiguer des caresses à leur voisine. Cela dure quelques minutes, les deux femmes ne cessent de gémir tandis que tout le monde se caresse mutuellement. Philippe est le premier à jouir, après plusieurs cris rauques, il ressort sa bite de la chatte de sa femme et termine de lui éjaculer sur ses magnifiques seins. Épuisé, il va l’embrasser puis redescend le long de son corps, la léchouillant de partout jusqu’à arriver au contact de son propre sperme qui s’est répandu sur les seins de Marie. Il se met alors à lécher avec application sa semence, sous le regard hébété de Simon. Philippe le sait, c’est pour ça qu’il l’a fait, et il en fait part à son ami.

 

– Et ça tu le fais ?

 

Simon était sur le point de jouir. Il sort alors son sexe à temps et laisse gicler son sperme en direction du visage de son copain sans le ménager.

 

– Tiens. Voilà une dose supplémentaire.

 

Philippe se redresse, mécontent. Il a du sperme sur la joue.

 

Pour équilibrer le tout, il prend son ami par la nuque et le fait basculer en avant vers le ventre de Marie. Simon atterrit le visage en plein dans le sperme, ce qui satisfait Philippe.

 

– C’est moins drôle, hein ?

– Bah ! T’es dégueulasse ! Et tu goûtes à ton sperme, toi ?

– Comme toi. Tu y as bien goûté quand tu t’es fait sucer par un mec.

 

Simon se relève et dirige son sexe encore couvert de sperme vers son ami.

 

– C’est vrai. Goûte aussi le mien, tu pourras comparer.

 

Philippe s’approche de son ami, puis se ravise en regardant sa bite, elle aussi couverte de sperme.

 

– Alors, toi aussi, il faut que tu essayes.

 

Marie est ravie.

 

– Oh oui. Quelle bonne idée. Sucez-vous donc mutuellement !

 

Les deux hommes se replacent l’un en face de l’autre, comme ils l’ont fait précédemment pour leur 69. Chacun se retrouve à nouveau face à la bite de l’autre, mais cette fois-ci elle est recouverte de sperme. Et de plus, Marie se place pour aider Philippe à sucer Simon, et Nicole aussi aide Simon à sucer Philippe. Les gars s’avancent simultanément, comme ils l’ont déjà fait, chacun observant l’autre. Chacun s’avance encore un peu, ouvre la bouche et lèche la queue devant eux. C’est gluant, légèrement salé mais sans avoir réellement de goût. Sous l’effet de la succion, chacun a repris de l’ardeur dans la bouche de l’autre, leurs sexes sont à nouveau en érection et ils continuent leurs fellations. Ils ne peuvent plus se retenir et se laisse jouir à nouveau et les 4 bouches sont en train de se remplir de sperme. Quelques instants plus tard, les gars s’approchent de leur femme en partageant la semence de leur copain avec leur femme respective.

 

Puis les femmes prennent la position de leur homme et on refait le même manège mais à l’inverse, les hommes léchant la chatte de l’une et l’autre avec leur femme respective.

 

Marie jouit à nouveau, grâce aux langues de son couple d’ami, tout en continuant de partager la chatte de Nicole avec Philippe pour la faire jouir à son tour! Elle est particulièrement excitée à voir son mari manger une chatte devant elle ! Encore étourdis pas des émotions aussi intenses, elle demande alors à Nicole quelque chose de surprenant.

 

– Tu peux me pincer ?

– Encore un nouveau fantasme ?

– Non, je veux juste vérifier que je ne rêve pas.

– Comme tu veux.

 

Nicole pince Marie qui sursaute. Non, elle ne rêve pas. Tout ceci est bien réel. Quelle joie, elle en rigole même, ce qui ne manque pas de surprendre ses amis. Elle se charge de les rassurer.

 

– Tout va bien. Je me sens guérie. Je vais beaucoup mieux. Je vais maintenant pouvoir profiter des plaisirs de la vie.

 

Nicole conclut alors :

 

– C’est vrai. Je te sens beaucoup mieux. En plus, cette petite thérapie aura profité à tout le monde, y compris à nos maris. N’est-ce pas, messieurs ?

 

Les deux hommes acquiescent de la tête, les yeux ébahis, couchés sur le lit sans rien dire, sauf de respirer très fort !!!!

 

Tous sont épuisés, vivement la prochaine fois !

 

Fin

 

Conforme au texte original, nous avons simplement découpé ce long récit en 6 parties, effectués quelques corrections mineures et remplacé, quelques québécismes

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Mercredi 10 novembre 2021 3 10 /11 /Nov /2021 18:00

 rêves pour une femme par Cepaderefus – 5 – Souvenirs, souvenirs

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Les deux hommes commencent à s’intéresser vivement à la conversation, en particulier Simon.

 

– Et vous vous étiez léchées aussi ?

 

Sa femme lui répond.

 

– Eh que t’es con ! Non !!! T’es déçu ? D’ailleurs on ne s’est pas léchées cet après-midi.

 

Marie complète ce qu’a dit son amie.

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- Mais on s’était quand même senti le doigt par curiosité. D’ailleurs, le lendemain matin au réveil, j’avais la main près de la figure, et je sentais toujours l’odeur sur mon doigt.

– Ça t’a drôlement marquée. Tu t’en souviens encore ?

– Je me souviens bien des odeurs. C’est l’effet  » Madeleine de Proust « .

– Et cet après-midi ? Ça ne t’a rien rappelé ?

– Je n’ai pas pensé à sentir mon doigt.

 

Philippe a alors une idée saugrenue.

 

– Essaye maintenant. Tu nous diras si ça t’évoque des souvenirs.

 

Marie ne peut cacher sa surprise.

 

– Drôle d’idée !

– Mais si ! Vas-y. Essaye.

– Pourquoi pas, après tout ? Tu veux bien, Nicole ?

– Pas de problème.

 

Marie se lève, fait le tour de la table et s’approche de Nicole. Elle se penche, approche sa main de l’entrejambe de son amie, la passe sous la jupe à la recherche de sa fente. Quand elle l’a trouvée, elle y introduit un doigt, puis deux, puis trois. Nicole ne peut s’empêcher de réagir.

 

– À l’époque, un doigt avait suffi.

– A l’époque, tu étais vierge.

– Plus pour très longtemps

– Et depuis ? Tu ne préfères pas en avoir plus ?

– Ouiiiiii.

 

Marie retire alors la main, la porte à son visage, à la hauteur de son nez et en hume le fumet comme on goûte un bon vin.

 

– Hum… C’est incroyable, tous ces souvenirs qui me remontent à l’esprit. Tu sais qu’après cette expérience j’avais souvent rêvé que nous nous masturbions mutuellement.

– Déjà des rêves érotiques à cette époque…

– Oui, c’est à croire que mes rêves ont commencé depuis longtemps.

 

Philippe ne comprend plus.

 

– Je croyais que c’était nouveau, ces rêves érotiques ?

– C’est la première fois que c’était aussi intense. Et c’est aussi, je pense, la première fois depuis que nous vivons ensemble.

 

Nicole reprend la conversation avec son amie.

 

– Tu te souviens d’autre chose ?

– Pendant nos vacances ?

– Oui.

 

Nicole, qui s’est rassise entre-temps, se flatte la chatte et porte machinalement ses doigts à son nez, comme si cela pouvait l’aider à se remémorer d’autres souvenirs.

 

– On allait à la plage tous les après-midi. Elle n’était qu’à quelques centaines de mètres, on prenait nos vélos ou on y allait à pied.

– C’est vrai. À cette époque, on ne parlait pas encore d’agressions sexuelles à la télé, alors grand-maman nous laissait y aller seules. Elle préférait y aller plus tard dans l’après-midi, quand le soleil commence à taper moins fort.

– C’était cool. On se faisait de grandes marches à pied sur le sable, le long de l’eau. Une fois on a été assez loin et on a remarqué qu’il y avait des gens tout nus sur la plage.

– Oui. Exact. Il y avait une plage naturiste un peu plus loin. Elle existe toujours d’ailleurs, elle est même indiquée depuis la route maintenant.

– On avait continué à marcher tout en essayant de regarder discrètement les quéquettes des hommes qui étaient allongés, ou celles de ceux qui se baladaient sur la plage.

– C’était la première fois qu’on en voyait. Certains en avaient des toutes petites, d’autres des très longues. C’était rigolo car, quand ils marchaient, elles se balançaient de droite à gauche. Ça m’avait marquée.

– Moi aussi.

– Tout ça nous avait excitées. Alors on était allées se cacher dans les buissons.

 

Philippe est impatient.

 

– Et ensuite ?

– Ben on s’était masturbées en repensant à ce que l’on avait vu sur la plage. C’est à ce moment-là que deux hommes sont arrivés. Ils étaient nus, comme les autres, mais en plus ils avaient le sexe rasé. Je pense qu’ils nous avaient vu nous masturber, mais on ne le saura jamais

 

Nicole se souvient à son tour de tout cela.

 

– Ouais, connaissant les hommes maintenant comme je les connais, ils ont dû nous voir, et ils sont venus se montrer pour qu’on leur voit leur sexe rasé. C’était rare à l’époque.

 

– Ça devait être les seuls de toute la plage. Maintenant c’est beaucoup plus fréquent.

– Comment tu sais ça, toi ? demande Simon

– Je suis retournée voir ma grand-mère de temps en temps.

– Et tu en profites pour aller épier les hommes tout nus sur la plage ?

– Ben, oui.

– C’est du voyeurisme. Tu n’as pas honte ?

– C’est-à-dire que…

 

Marie réalise qu’elle a trop parlé. Elle regarde son mari qui se charge de terminer la phrase.

 

– La dernière fois qu’on y a été, Marie voulait retourner sur la plage naturiste pour voir si elle existait toujours. C’est comme ça qu’on sait qu’il y a une indication sur la route. Une fois qu’on y était, on s’est sentis un peu idiotes de rester habillées. Alors on s’est foutus à poil tous les deux ! On ne l’aurait pas fait si les enfants avaient été avec nous par contre.

 

– Je comprends. Bien que ce n’est pas cela qui risque de les marquer le plus à leur âge

– Bien, si je me fie au psy que j’ai vu, l’attitude et le comportement des parents à une grande influence sur les fantasmes sexuels une fois adultes

– Oui, mais il vaut mieux des parents avec une ouverture d’esprit et une sexualité saine et respectueuse comme exemple pour leur enfant que des parents strictes et inconscients qui bousillent l’épanouissement de leur enfant !!! S’cusez, défaut professionnel…

 

Marie reprend alors son récit.

 

– Donc, les deux gars avaient le sexe rasé. Ça m’a paru bizarre. J’avais l’impression qu’il y avait quelque chose de pas normal. C’est quand ils ont déroulé leur serviette, qu’ils se sont assis dessus et ont commencé à se masturber mutuellement, que je me suis dit qu’en effet, ce que je regardais était inhabituel.

 

Nicole confirme.

 

– Surtout à l’âge qu’on avait. Mais moi j’étais mal placée, je n’arrivais pas à tout voir.

– C’est vrai que j’étais du bon côté, à même pas deux mètres d’eux. Quand ils ont été en érection, ils se sont sucés chacun leur tour en se mettant à genoux devant l’autre. Ça a duré un certain temps. On ne comprenait pas trop ce qui se passait, mais on n’osait pas bouger de peur d’être repérées. Ensuite, ils se sont relevés, ont repris leur serviette et sont repartis comme ils étaient arrivés, sauf qu’ils avaient encore le sexe à moitié en érection. Je suppose qu’ils se sont éjaculés dans la bouche et ont avalé.

– C’est bien possible. Maintenant que j’y pense, je me demande si ceci n’est pas à l’origine d’une bonne partie de tes rêves.

– Tu parles de ceux de cette nuit ?

– Oui.

– C’est bien possible. Déjà, à l’époque, j’en avais rêvé durant les jours qui avaient suivi. Je m’étais masturbée en repensant à ces deux hommes mais sans bien comprendre ce qu’ils avaient fait ensemble.

– En fait, ces quelques jours de vacances expliquent presque tous tes rêves. Pourquoi n’as-tu pas raconté ça à mon patron ce matin ?

– Je n’y ai pas pensé. D’ailleurs, ça m’est revenu tout à l’heure quand j’ai senti ton odeur. Ce matin, le psy m’a dit qu’il avait retiré des blocages dans mon subconscient. Peut-être que, sans cela, je ne m’en serais pas souvenue.

– C’est possible.

– En tout cas, ça m’a fait du bien d’en parler.

 

Simon s’est levé et est parti à la cuisine chercher le dessert tandis que Marie terminait son récit. C’est alors que l’on entend un grand plouf suivi de quelques jurons bien placés. Nicole tourne la tête en direction de la cuisine.

 

– Qu’est-ce qui t’est arrivé, chéri ?

– Rien ! Enfin si. Le pot de moutarde que j’avais posé sur le bord de la fenêtre est tombé dans le bol de salade de fruits. J’en ai plein sur moi. Heureusement, il n’y a rien de cassé.

 

Il fait alors le tour du comptoir pour montrer dans quel état il est. Sa chemise est à moitié trempée et lui colle à la peau, elle en est devenue transparente. Le pantalon est à peine en meilleur état.

 

– Je vais aller me changer.

 

Nicole est consternée.

 

– C’est terrible. On ne peut pas lui laisser faire la cuisine sans qu’il s’en mette partout. Ah, ces hommes !

 

Marie confirme.

 

– Le mien n’est pas mieux. Il faut toujours qu’il se salisse. Dès fois, je me demande s’il ne vaudrait pas mieux qu’il fasse la cuisine tout nu.

– C’est une idée ça. Mon chéri, pas la peine de te changer. Enlève juste ta chemise et ton pantalon.

– Que je garde juste mon string!!?

– En plein ça

– Quand même ! C’est gênant…

 

Marie intervient.

 

– Mais non. J’ai déjà vu des hommes.

– C’est vrai.

– Si ça te gêne d’être le seul à te déshabiller, Philippe va faire pareil. Philippe…

 

Philippe s’inquiète.

 

– Hein ? Pourquoi moi ? Je n’ai rien fait !

– C’est comme ça. Tu ne vas quand même pas contrarier ma psychothérapie.

 

Philippe se lève à contrecœur tandis que Simon a déjà retiré sa chemise.

 

– Elle a le dos large la psychothérapie. Si je me déshabille, Simon enlève aussi son string alors.

– Non, ça lui fait bien un string !! Il a le cul pour en porter !!!

– C’est correct, je vais l’enlever

 

Rapidement, les deux hommes se retrouvent nus. Ce qui surprend le plus quand on les regarde tous les deux, c’est que Philippe s’est rasé le sexe tandis que Simon a conservé tous ses poils pubiens. Ça frappe immédiatement Nicole.

 

– Tiens, ton mari se rase le sexe ? Comme dans tes rêves ? Tu m’avais pourtant dit qu’il ne le faisait pas.

– C’est tout nouveau. Il l’a fait tout à l’heure. Pour me faire plaisir.

– C’est gentil ça. Et qu’est-ce que tu en penses ?

– Très agréable. Tellement que je l’ai même sucé avant de partir.

 

Simon revient à table avec la salade de fruits et la pose au centre de la table. Son sexe se retrouve alors posé sur le bord ; les deux femmes le regardent faire avec un vif intérêt jusqu’à ce qu’il se rasseye.

 

– En tout cas, pour la salade de fruits, j’espère que tu n’as pas une recette secrète comme pour les crêpes ? Nicole et Marie rigole, mais pas les gars, car cette partie des rêves ne leur fut pas conté.

 

Nicole change le sujet de la conversation en s’adressant à Philippe et Simon pour les provoquer un peu.

 

– Et vous, les hommes ? Vous avez eu des expériences comme ça lorsque vous étiez plus jeunes ?

 

Son mari lui répond.

 

– Pas du tout. Tout d’abord, je te fais remarquer que je ne connais Philippe que depuis peu. C’est vous qui êtes des copines d’enfance, pas nous.

– Oui, mais séparément ? Vous avez eu des expériences étant plus jeunes ?

– Non.

 

Réponse également fournie par Philippe. Décidément, les deux hommes ne sont pas loquaces quant à leurs premiers émois. Marie n’en croit rien.

 

– Je n’arrive pas à le croire. Vous n’étiez quand même pas vierges quand on vous a connus ?

 

C’est Philippe qui lui répond.

 

– Quand même pas. J’avais eu plusieurs expériences, mais plus classiques. Dans un lit, avec une seule fille à la fois.

 

Ce que confirme Simon.

 

– Pareil pour moi.

 

Marie reprend.

 

– C’est dingue ça, d’être aussi conventionnel. Moi, c’était avec le fils du fermier, pendant les vacances. C’était notre voisin. On avait été faire un tour à vélo et ça s’était terminé en plein champ. Il était un peu maladroit, mais ça reste un bon souvenir pour une première fois.

 

Sa copine la regarde médusée.

 

– C’est comme dans tes rêves… L’inconnu au milieu des champs…

– C’est vrai qu’il y a des points communs. C’est incroyable que je raconte des trucs pareils.

– Je pense que ta séance d’hypnose de ce matin y est pour quelque chose.

– Peut-être… Ça me fait du bien d’en parler.

 

Le repas est terminé. Nicole se tourne vers son amie.

 

– Et maintenant, qu’est-ce que tu voudrais faire ?

– Pourquoi tu me demandes ça ?

– Parce que c’est toi qui choisis, puisque tu dois laisser libre cours à tes désirs. Exprime-toi.

– Ben… Il y a bien un truc, mais je n’ose pas.

– Si. Vas-y. Dis-le.

– Ça me ferait très plaisir que Simon se rase le sexe.

– Je m’y attendais un peu.

 

Simon est stupéfait.

 

– Ah, mais je ne suis pas d’accord !

 

Sa femme lui répond.

 

– Philippe l’a fait et moi aussi, alors pourquoi pas toi ?

– J’y tiens moi, à mes poils. Ils sont drus, ils sont frisés, et ils sont là depuis si longtemps !!!

– Tu ne vas quand même pas refuser les volontés d’une personne malade ?

– Mais…

– Même Philippe s’est rasé le sexe pour faire plaisir à sa femme ! Et elle n’a même pas eu à insister…

– Bon.

 

Simon se lève à contrecœur et quitte la salle à manger. Nicole et Marie le suivent. Philippe, qui se retrouve seul à table, leur emboîte le pas. C’est quand il est arrivé en haut de l’escalier que Simon réalise qu’il est suivi.

 

– Mais où est-ce que vous allez tous ?

– On te suit.

– J’aurais préféré faire ça tranquillement.

– Et si on préfère profiter du spectacle ?

 

Simon, dépité, se rend à la salle de bains, suivi de sa femme et de ses amis. Il s’adresse alors à Philippe.

 

– Toi aussi tu es là ? Ça t’excite de me regarder en train de me raser les couilles ?

– Je ne vais quand même pas rester en bas à attendre tout seul comme un cruche.

 

Une nouvelle idée germe alors dans le cerveau de Marie.

 

– Et si tu participais aussi ?

– Comment ça ?

– En aidant Simon à se raser. Après tout, j’ai bien aidé Nicole à le faire.

– Mais c’est dégueulasse !

– C’est pour mon bien !

– En plus, je n’étais même pas là quand vous l’avez fait. J’aurais bien voulu profiter du spectacle.

– Si tu es gentil, on se lèchera les seins et on s’embrassera devant toi tout à l’heure.

– Évidemment, dans ces conditions-là…

 

Pendant ce temps, Simon a sorti la mousse à raser et un rasoir, puis il s’est assis au bord de la baignoire. Sa femme se permet de le conseiller.

 

– Il vaudrait mieux enlever le plus gros avec ton rasoir électrique.

– C’est ce que tu as fait ?

– Oui. Sinon, ça tire assez fort sur les poils.

 

Philippe confirme.

 

– C’est vrai. Tout à l’heure, je l’ai fait directement au rasoir, j’aurais dû commencer à la tondeuse.

 

Du coup, Simon sort son rasoir électrique, le branche sur le courant et s’assied à nouveau au bord de la baignoire. Il est prêt, pour se faire raser le sexe par son ami. Philippe s’approche, prend le rasoir en main et le met en route. Il est quand même un peu gêné, Marie s’en rend compte.

 

– Qu’est-ce qui t’arrive, chéri ? Tu as un problème ?

– Je ne sais pas comment m’y prendre.

– Ben, c’est facile, tu passes la tondeuse tout autour du sexe de Simon pour retirer les poils les plus longs. L’idéal, c’est de bien tout dégager de façon qu’il ne reste plus que des poils courts.

– Ce n’est pas simple. Vous, les femmes, vous n’avez pas un gugusse qui dépasse au milieu.

– Tu n’as qu’à le tenir en main, le gugusse qui dépasse. Ce sera plus facile.

 

Philippe ne sait pas trop comment s’y prendre pour prendre en main la queue de son copain. Après avoir essayé plusieurs méthodes sous les yeux amusés des deux femmes, il choisit finalement de la saisir du bout des doigts comme s’il s’agissait d’une grosse bestiole repoussante.

 

– Une bé… bite, c’est le cas de le dire, rigolent les deux femmes!

 

De cette façon, il parvient quand même à passer maladroitement la tondeuse presque partout. Reste maintenant l’épreuve du rasoir. Il prend la bombe de mousse, la secoue et en fait couler sur le pubis de Simon sans l’étaler. Il prend alors le rasoir maintenant et commence à le passer sur la peau de son ami qui se plaint immédiatement.

 

– Eh, attention ! Tu fais mal !

 

Marie sait très bien où est le problème.

 

– C’est normal. Il faut étaler la mousse à raser avant de passer le rasoir. Tu le fais bien d’habitude, mon chéri ?

– Oui. Mais là, ce n’est pas pareil.

– Mais si c’est pareil. Allez, étale bien la mousse.

– Simon pourrait peut-être le faire à ma place.

– Non. Ça serait trop facile.

 

Philippe, encore plus gêné, se retrouve contraint d’étaler la mousse à raser sur le pubis de son ami. Il commence alors le rasage qu’il parvient à faire assez facilement. En finale, il n’est pas mécontent de lui.

 

– Ça y est. C’est fait.

 

Sa femme n’est pas d’accord.

 

– Ce n’est pas fini. Il faut encore faire les testicules et le pénis.

– Aussi ?

– Tu as bien rasé les tiens, toi !

– C’est vrai. Bon, d’accord.

 

Philippe reprend la mousse à raser, mais cette fois-ci il la fait couler sur ses doigts. Il s’efforce de l’étaler le mieux possible sur les parties intimes de son ami, même s’il n’ose pas utiliser son autre main pour soulever la bite de Simon et passer dessous. Il prend alors le rasoir et continue son travail. Au début ce n’est pas bien facile, mais Philippe se détend peu à peu et commence enfin à prendre la bite de son ami dans sa main pour la soulever chaque fois que nécessaire. C’est un nouveau défi pour lui, car il lui faut bien tirer sur la peau pour que le rasage soit réussi. Au bout de dix minutes d’efforts intenses, Philippe est enfin parvenu à terminer le rasage du sexe de son ami. Il se relève tandis que Simon s’asperge d’eau avec la pomme de douche pour se débarrasser des restes de mousse à raser.

 

Sans qu’il ne s’en aperçoive, Philippe constate que les deux femmes se sont caressées les seins et l’entrejambe pendant la séance de rasage! Simon, qui voyait bien l’excitation des deux femmes a pu savourer le spectacle tout le temps que Philippe s’occupait de le raser

 

– Je comprends pourquoi tu disais rien, tu as eu tout le show pour toi!

 

Simon sourit à Philippe et une fois bien séché, il peut enfin découvrir cette incroyable sensation, celle que l’on a quand on se caresse le sexe après se l’être rasé.

 

– C’est doux. C’est agréable, très agréable. Je ressens plein de sensations nouvelles.

 

Tandis que les deux hommes se font face et s’observent mutuellement, Philippe le confirme tout en allant plus loin.

 

– C’est vrai. Et ces sensations me rappellent des souvenirs.

 

Ce qui ne manque pas d’intéresser sa femme.

 

– Toi aussi, chéri ? C’est intéressant. Raconte-nous.

– Je ne sais pas. Je n’aurais rien dû dire.

– Si. Raconte. Ce n’est pas grave. Tout le monde a déjà raconté ses petits souvenirs.

– Non. Pas Simon.

– Pas encore, mais il trouvera bien quelque chose. Alors, c’est quoi ton histoire ?

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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