Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 09:42

Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 9 – L’enlèvement de Béatrice par Maud-Anne Amaro

double stamp

Un peu plus tard, dès qu’elle en eut l’occasion Dorothée entreprit Justin.

 

– Je voulais te remercier…

– Me remercier de quoi ?

– De m’avoir soutenu quand j’ai dit que j’allais partir.

– Laisse tomber !

– Non, t’es gentil, vous êtes tous gentils… des gentils coquins.

– Crois-tu ?

– Tu sais, j’ai bien aimé quand tu as fait des trucs avec ce Monsieur Martinov. C’était marrant.

– Je dois être un peu obsédé, en fait j’aime bien le sexe, surtout quand ça se passe dans la bonne humeur.

– Et moi, comment tu me trouves ? Je veux dire si tu avais l’occasion de baiser avec moi tu le ferais ?

– C’est une proposition ou quoi ?

– Non, c’est juste une question !

– Eh bien ma foi, pourquoi pas ? Je veux dire, ce serait avec plaisir.

– On le fait ?

– Quand tu veux !

– Maintenant !

– Euh, je vais faire pipi d’abord…

– Je peux t’accompagner, j’adore voir un mec en train de pisser !

 

Justin est un peu surpris, mais ça ne le dérange pas, il se débraguette et sort une bite rendue à moitié bandée par la situation..

 

– Ah ! Je suis contente de la voir de près !

– T’es marrante toi !

 

Dorothée approche sa main et caresse un peu la chose.

 

– Si tu me fais bander, je ne vais pouvoir pisser !

– Mais si ! Dégage donc tes couilles, se sera plus esthétique.!

– Tout ce que tu veux, mais faut que je pisse.

– Vas-y je regarde !

 

Justin du se concentrer et fermer les yeux pour débloquer son sphincter vésical. Et pourtant il avait une grosse envie…

 

Quand le jet fusa enfin, il ouvrit les yeux. Manifestement Dorothée se régalait de la vision de la scène, à tel point qu’un moment elle introduit un doigt dans la trajectoire du pipi et le suça avec gourmandise.

 

– Petite cochonne ! Lui dit-il sans méchanceté aucune.

– T’as fini ?

– Ben oui !

 

La bouche de Dorothée se précipita alors sur la bite de Justin, se délectant des dernières gouttes d’urine imprégnant le gland.

 

– On a va où ? Demanda-t-elle

– Dans ma chambre, Isabelle ne doit pas y être…

 

Sur place ils se déshabillèrent prestement. Manifestement Dorothée avait l’intention de mener la barque, et elle se jeta sur la queue de Justin.

 

– Hum ! Elle est bonne ta bite ! J’adore sucer des bites, c’est tellement bon…

 

« Si elle me suçait au lieu de me raconter sa vie… »

 

Mais elle le fit, et fort bien, elle savait fort bien se servir de ses lèvres et de sa langue. Et pendant ce temps Justin lui pelotait sa jolie poitrine.

 

– Ne jouis pas comme ça, j’aimerais bien qu’on baise !

– Euh, c’est que je ne sais plus où j’ai foutu les capotes !

– C’est moi qu’est la boite ! Répondit Dorothée en chantonnant.

– T’avais tout prévu !

– Hé, hé ! Tu sais il y a un truc qui me plairait bien, c’est d’être prise en sandwich…

– T’aimerais que j’aille chercher Martinov ?

– Tu crois qu’il voudra bien ?

– Je vais lui demander ! Proposa Justin

 

Comme on s’en doute le professeur n’eut pas le cœur à refuser une telle invitation.

 

– Coucou professeur, c’est gentil de venir nous rejoindre ! C’est comment ton petit nom ?

– André !

– Je peux t’appeler Dédé ?

– Et moi je peux t’appeler Dodo ?

– Si tu veux, met toi à poil.

– On y va !

– Bon je vais te sucer un peu ta bonne bite, assis toi, tu seras mieux, euh Justin on peut peut-être le sucer à deux.

– Mais certainement !

 

Pensez que notre vert professeur est aux anges, il préfère sucer qu’être sucé, mais il faudrait être un vrai pisse-vinaigre pour ne pas apprécier le ballet infernal de ses deux langues coquines. Et puis il a les nénés de la belle à portée de main, pensez bien qu’il en profite et qu’il lèche avec avidité ses jolis tétons durcis par le désir..

 

– Bon on se met en position ! Propose Dorothée au bout d’un petit moment en expliquant au professeur de qu’elle souhaite.

– Oui mais on fait comment.

– Toi Dédé tu te couches sur le dos, je viens m’empaler sur toi en me penchant, et de cette façon Justin peut m’enculer.

– Alors on y va !

Ours09

Evidement tout est question de coordination, mais après quelques ratés, le trio trouva le bon rythme, à ce point que Dorothée se mit à jouir avec fracas.

 

Du coup Justin se retira sans avoir joui ,et la petite rousse se dégagea de l’étreinte de Martinov.

 

Allez venez les mecs, retires vos capotes, je vais vous sucer tous les deux en même temps.

 

Dorothée demande aux deux hommes se placer face à face de façon à leurs bites se touchent par le bout en position horizontale (tout le monde suit ?) La fille peut ainsi en prendre une dans chaque main, la branler, puis faire venir sa langue en simultanée sur les glands.

 

Justin part le premier, une partie de son sperme reste dans la bouche de la suceuse, l’autre a dégringolé sur ses seins. Elle étale un peu tout ça comme s’il s’agissait d’une crème de beauté, puis entreprend de terminer le professeur en y allant de vigoureux va-et-vient entre ses lèvres et en agrémentant la prestation d’un doigt dans le troufignon.

 

Elle en avale un peu, recrache le reste, prend ses affaires sous le bras et quitte la chambre.

 

– Merci les garçons, vous avez été très bien !

 

Martinov et Justin se regardent.

 

– Quel numéro ! Dit le premier.

– Elle est adorable ! Ajoute le second. C’était juste un peu rapide, j’aurais bien continué.

– Si veux m’enculer, je me laisse faire !

– Ça me parait une excellente idée, met toi en levrette, je vais m’occuper de ton cul !

 

Le professeur se met en position, Justin vient alors lui lécher la rondelle avant d’introduire un doigt qu’il fait aller et venir en cadence. , puis après avoir recouvert son sexe de la petite protection obligatoire il s’enfonce jusqu’à la garde dans l’anus du sexagénaire.

 

– Humpf !

– Pardon ?

– Oh ! Tu m’encules bien, c’est trop bon !

 

Justin lima son partenaire pendant de longues minutes, mais ne parvint pas à jouir, il continua néanmoins prodiguant des spasmes de plaisir chez notre vert professeur.

 

– Il finit par déculer, retira la capote et offrit sa bite à la bouche de Martinov, qui vous le pensez bien, ne la refusa pas ! Et il suça tant et si bien que bientôt son palais se remplit se sperme.

 

Les deux hommes s’embrassèrent sur la bouche.

 

– On est braiment deux gros cochons ! Commenta Justin.

– Mais on n’a même pas honte.

 

Caribou voit Georges sortir du gîte. Celui-ci se dirige prestement vers la sortie du bourg.

 

« Je vais essayer de faire du stop, maintenant que j’ai des habits propres, ça devrait le faire sinon j’irais à pied jusqu’à Briançon, ça mettra le temps que ça prendra. »

 

Caribou hésite puis décide de le rattraper

 

– Salut !

– Qu’est-ce que tu fous là, toi ?

– On peut causer ?

– Non ! Grogne Georges

– Juste une seconde.

– Merde !

– Pourquoi cette agressivité, je ne t’ai rien fait.

– Fous-moi la paix.

– C’est qui les bourges qui ont recueilli Dorothée ?

– Si on te demande…

– Dis-moi juste ça et après je ne te calcule plus.

– Merde !

– Tu t’acoquines avec les bourges, maintenant ! Bravo !

– Je n’m’accoquine pas, il m’ont pris pour un clodo, ils ont fait leur acte de charité, mais c’est des putains de bourges.

– Mais c’est qui ?

– Comme si tu l’savais pas, c’est les mecs de la grotte de l’Ours, ceux que t’as failli tuer avec tes conneries.

 

Et sur ces brèves paroles Georges tourne le dos à son ancien camarade et file sa route.

 

Caribou resta un moment interdit.

 

– Mais alors que fait Dorothée avec ces connards ?

 

Il ne trouva pas de réponse mais en savait néanmoins assez pour tenter d’envisager quelque chose. Fatigué, il reprit le chemin de la ferme des Closets.

 

– Tiens, les gendarmes ont retiré le ruban, une bonne nouvelle ! Se dit-il.

 

Et en entrant il tombe nez à nez sur Vicky et Mariette.

 

– Tu n’es pas le bienvenu ! Lui dit Mariette, ouvrant ainsi les hostilités.

– C’est quoi cette agressivité, je suis chez moi ici !

– Ça n’a jamais été chez toi, c’est un squat.

– Je reprends ma place c’est tout. Et d’abord qu’est-ce que vous foutez la ? Vous avez des remords ou quoi ?

– Tu dégages, on veut plus de toi ici.

 

Enervé, Caribou posa son sac à dos à terre, fouilla à l’intérieur et en sortit un pistolet avec lequel il menaça les deux jeunes femmes.

 

– T’as un flingue maintenant ? Tu ne vas tout de même pas nous tirer dessus ? S’affole Mariette.

– J’en ai marre que tout le monde me rejette, maintenant vous allez vous asseoir et m’écouter gentiment.

 

Vicky se demanda si elle était capable de le désarmer, elle y renonça, l’homme était pour l’instant trop loin d’elles rendant l’action périlleuse. Elle se dit qu’elles auraient d’autres occasions…

 

– Je vous informe que les gens de la grotte sont à Glandville, ils n’ont donc pas renoncé à leur projet débile. De plus ils ont récupéré Dorothée et Georges. Georges s’est enfui, mais apparemment Dorothée est toujours avec eux…

– Et qu’est-ce que tu veux que ça nous foute ? Rétorqua Vicky.

– Ça veut dire qu’il faut reprendre notre projet.

– Quel projet ?

– Empêcher les bourges d’exploiter la grotte.

– C’était pas notre projet, c’était une idée à toi.

– Vous étiez d’accord, non ?

– Disons qu’on n’était pas contre, sauf que t’as trop déconné.

– Mais merde, qu’est-ce que vous avez tous avec ça ? Y’avait du monde dans la grotte, et alors, c’était pas prévu et de toute façon ils n’en sont pas morts.

– Et Louison, il est mort comment ? Hurle Vicky

– Il a glissé.

– Ben voyons !

– Bon, vous allez la fermer un petit peu, soit vous collaborez gentiment, soit je vais vous faire collaborer avec mon flingue.

– Va chier ! Répond Vicky avec un sens aigu de la poésie.

 

A ce moment Mariette balance un coup de pied discret à sa camarade, avant de déclarer :

 

– O.K. On collabore. Explique-nous ce que tu comptes faire.

– On attend que quelqu’un sorte du gite des bourgeois, on le kidnappe, on le prend en otage, et on le rend à deux conditions. D’abord ils nous restituent Dorothée, ensuite, on leur demande dynamiter la grotte.

– Et sinon ?

– Sinon on commence par couper un doigt à l’otage.

– Mais t’es complètement malade ! Ne peut s’empêcher d’hurler Vicky.

 

Du coup, elle reçoit un nouveau coup de pied de la part de Mariette

 

– Je crois que c’est un bon plan ! Commente simplement cette dernière.

– O.K. on n’a plus qu’à mettre en application, en attendant je vais pisser, ne faites pas de bêtises.

– Tu joues à quoi ? Demande Vicky à sa camarade .

– Je rentre dans son jeu, son plan est débile, mais l’important, c’est qu’il finisse par baisser sa garde. Au pire il finira par dormir, à ce moment-là on lui piquera son flingue et on le vire.

 

Caribou revient un large sourire aux lèvres.

 

– Ah, ça fait du bien de pisser un coup. Bon, on ne va pas perdre de temps, on va y aller.

– On va aller où ?

– Ben faire ce qu’on a dit, on va kidnapper un bourgeois.

– Ça peut pas attendre demain ?

– Non, il faut battre le fer quand il est chaud.

 

Les deux femmes se regardent furtivement, leur plan s’accommodant mal avec cette précipitation imprévue, mais Mariette a de la ressource.

 

– T’inquiètes pas, je viens d’avoir une idée, on obéit à Caribou et à mon signal on renverse la situation ! Parvient-elle à souffler à sa camarade.

 

Le trio redescend sur Glandville, se met en place au poste d’observation utilisé par Caribou dans la matinée puis attend.

 

Au bout d’une heure Beatrice s’aperçoit que Dorothée s’est trompée de marque en achetant les cigarettes, elle sort donc pour en acheter d’autres.

 

Le trio se précipite à toutes jambes.

 

– On l’empêche ? Demande Vicky

– Mais non, elle va nous aider, à trois contre un, il est foutu… chuchote Mariette.

 

Beatrice chemine tranquillement profitant du beau soleil et du ciel bleu. Quand soudain, elle est entourée par trois individus. Elle pense au coup classique des détrousseurs de passants tout en s’étonnant de les voir agir en ce lieu, quand elle sent le canon d’une arme à feu lui chatouiller l’estomac.

 

– C’est un enlèvement, bouge pas, ne crie pas et tout se passera bien.

– Mais arrêtez, vous vous trompez de personne ! Je n’ai pas d’argent.

– Ta gueule poufiasse. Répond Mariette en lui balançant une gifle. Et maintenant tu avances !

 

Beatrice est alors entraînée sous la menace vers un petit chemin passant derrière le bourg. Puis le petit groupe prend la direction de la ferme des Closets.

 

Mariette et Vicky lui tiennent chacune un poignet, Caribou suit derrière avec son flingue à la main.

 

Vicky regarde sans cesse sa camarade guettant une initiative qui se fait attendre.

 

« Il suffirait qu’il passe devant ! » Se dit Mariette.

 

Elle a alors l’idée de piler.

 

– Oh, on avance ! Rouspète Caribou.

– Une seconde, j’ai une crampe.

– Souffle un coup, ça va passer.

– Tiens l’otage, juste une seconde.

 

Caribou n’a pas vu venir le piège, une manchette sur le poignet lui fait lâcher son arme. Beatrice par réflexe cherche à s’enfuir et tente de se dégager de l’étreinte de Vicky.

 

– Aide-nous à le maîtriser, on est avec toi.

 

Un coup de pied de Mariette a envoyé l’arme dans les fourrés. Perdant tout sens des priorités, Caribou se jette sur la jeune femme. Vicky qui a lâché le poignet de Beatrice vient à la rescousse. L’homme est immobilisé.

 

– Il faut lui ligoter les poignets, dit cette dernière.

– Avec quoi ? Il n’a même pas emporté de cordes, ce connard.

– Ton débardeur !

– Ça va pas le faire. Objecte Mariette

– Du moment que ça tient un petit moment, ça fera l’affaire.

– Pourquoi tu ne prends pas le tien de tee-shirt. ? Il est plus solide.

– J’ai rien en dessous !

– Et alors, qu’est-ce qu’on en a à foutre ?

– T’as raison.

 

Du coup Vicky enlève son haut dévoilant sa jolie poitrine. Puis tente de ligoter les poignets de Caribou.

 

– Il aurait fallu mouiller, ce serai plus efficace. Commente Mariette.

– Je mouille avec quoi ?

– Je ne sais pas, moi ? Pisse dessus !

– C’est pas idiot, je vais pisser ! précise-t-elle à Beatrice, tu te tournes ou tu tournes pas, c’est comme tu veux !

 

Beatrice est hébétée, ne réalisant pas ce qui se passe et a d’autres pensées en ce moment que de se demander si elle doit ou non se retourner.

 

Ainsi imbibé d’urine, le tee-shirt de Vicky constituait un lien tout à fait acceptable.

 

– On en fait quoi, maintenant, ? Demande Vicky.

– Attends, je vais essayer de récupérer le flingue

 

Le pistolet fût retrouvé assez facilement

 

– Qu’est-ce qu’on va en faire ? Demande Vicky.

– On va le jeter là où il ne pourra pas le récupérer.

– Bande de salopes ! S’écrie Caribou qui retrouve un peu de sa superbe.

 

Mariette lui pince le nez, l’obligeant à ouvrir la bouche, puis lui fourre un mouchoir en papier afin de l’empêcher de parler.

 

– J’ai une idée. Dit Vicky en commençant par enlever les chaussures de l’homme, puis en lui retirant pantalon et calfouette.

 

Pour le tee-shirt impossible à retirer par les bras en raison de ses poignets attachés, elle se contente donc de le déchirer.

 

– On va jeter tout ça, à poil, sans godasse et les mains attachées, il va ramer pour s’en sortir.

– Bien fait pour sa gueule !

– Et inutile de revenir à la ferme pour récupérer ton sac à dos, on va se faire un plaisir de foutre tout ça dans un précipice.

– Fouffff

 

Beatrice est toujours dans son coin, se demandant si elle n’est pas en train de vivre un cauchemar.

 

– Bon, on va rentrer, toi la belle bourgeoise, on te doit une explication.

– Je peux récupérer mon sac à main ?

– Ben il est là .

– Alors, c’est quoi ce cirque ?

– On va t’expliquer mais on ne va pas rester ici, on ne sait jamais… accompagne nous à la ferme c’est pas très loin.

– Euh, je ne sais pas, vous m’expliquerez en marchant ?

– On va essayer.

 

Oui mais essayez, vous, d’entreprendre une explication quand il faut emprunter un chemin caillouteux où on est obligé d’avancer en file indienne ?

 

– C’est Caribou… tente Vicky

– Caribou ?

– Oui, on ne va pas y arriver, on arrive à la ferme dans cinq minutes.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 09:34

Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 8 – Vicky et Mariette par Maud-Anne Amaro

 

stamp lesbos douche

A Briançon, Vicky et Mariette ont fait les poches d’un bonhomme et après s’être acheté des petits hauts, un tee-shirt pour Vicky et un débardeur à fines bretelles pour Mariette, ceci afin d’être un peu présentables, ont pu se payer un bon déjeuner.

 

– Tu vas faire quoi à Paris ? Demande Mariette.

– Ché pas et toi ?

– Ché pas non plus.

– C’est cool d’avoir des projets ! Se gausse Vicky.

– Je connais bien un squat, mais j’en ai un peu marre de ces mecs, entre ceux qui sont camés du matin au soir, des musiciens qui se croient géniaux et qui nous font chier, les plans foireux…

– Faudrait se trouver des mecs qu’ont du fric.

– En se relookant, ça pourrait le faire. Consent Mariette

– Finalement on n’était pas si mal à la ferme… si Caribou n’avait pas déconné…

– Si on y retournait ? Caribou a dû se barrer je ne sais pas où. On serait bien toutes les deux ?

– Et on va faire quoi ?

– Comme avant et puis je pense à un truc, avec l’argent qu’on a tiré au mec, on pourrait s’acheter une chèvre, on vendrait des fromages !

– Oh oui ! Une belle petite biquette ! Allez on repart dans l’autre sens !

 

Les gendarmes avaient posé un ruban « entrée interdite » devant la ferme et avaient oublié de le retirer. Les deux filles s’en chargèrent et se réinstallèrent.

 

– Demain, j’irais acheter la chèvre

– Et aujourd’hui on fait quoi ?

– Un câlin ?

 

Ah ! On a oublié de vous décrire ces deux coquines.

 

Parcours semblables, études ratées après le bac, rencontres d’après manifs avec des marginaux, squats, fumette, puis Vicky s’acoquina avec Louison, et Mariette avec Georges avant que ces deux-là finissent par ne plus se supporter

 

Alors Vicky est une grande bringue aux longs cheveux frisotants avec un joli nez un peu pointu, Elle se teint en blonde mais elle aurait présentement besoin de se refaire les racines, Mariette possède une bonne épaisseur de cheveux châtains qui lui tombent sur les épaules, de bonne joues et rigole souvent. Ce ne sont pas des canons, mais néanmoins de jolies filles.

 

– Tu veux me lécher les nénés ? Lui demande Mariette.

– C’est une idée ! Répond-elle en lui caressant les bras. Comment tu fais pour avoir la peau aussi douce, moi j’aimerais bien avoir la peau douce comme ça.

– J’en sais rien, mais je veux bien un bisou !

 

Les deux filles s’embrassent plus coquinement que passionnément, puis les mains de Vicky se font baladeuses, elle n’a aucun mal à sortir les seins du débardeur trop ample de Mariette.

 

Vicky les plote juste un peu avant de quémander un autre baiser sur la bouche, puis décide de dépoitrailler complètement sa camarade. Elle fait durer le plaisir et passe derrière elle afin de lui faire un faux massage des épaules pendant quelques instants.

 

Puis elle revient devant et cette fois attaque le téton droit avec sa langue

 

– Ah, tes bouts de sein, je les adore ! Ils sont déjà tout dur !

 

Mariette se pâme et rigole de bon cœur.

 

Vicky bien excitée se met torse nue à son tour, puis revenant vers Mariette recommence à lui exciter les seins, tandis que sa main descend furtivement vers son pantalon dont elle a défait l’ouverture.

 

Finalement elle lui retire complètement son pantalon. L’autre s’amuse en se laissant complètement dominer par sa camarade, elle se met sur le dos et lève une jambe en l’air, Vicky lui attrape et vient lui lécher le mollet, puis la cuisse avant de lui tripoter la chatte à travers sa culotte rouge.

 

Elle finit par écarter la culotte et dévoile le petit minou dont elle libère les lèvres avant de faire travailler ses doigts. Elle lui enlève ce bout de tissus qui la gêne et c’est cette fois ses lèvres et sa langue qui entrent en action. Mariette s’abandonne, se caresse, se pince les bouts de seins tandis que sa camarade lèche et lèche encore. Mariette commence à haleter, son plaisir s’approche, elle braille, se redresse un peu et accepte évidemment le baiser que Vicky lui propose.

 

Puis maintenant qu’elles sont toutes deux entièrement nues, c’est Vicky qui invite son amie à venir butiner entre ses cuisses. Malgré que Mariette soit moins pratiquante des plaisir saphiques, elle s’acquitte de cette tâche avec fantaisie écartant les grandes lèvres de ses doigts pour mieux lécher.

 

Coquinement, alors que ses doigts se sont recouverts de mouille, elle les fait lécher à sa camarade. Voilà qui tombe bien, elle adore le jus de chatte !

 

Vicky jouit à son tour et ce sont de nouveau des caresses et des embrassades.

 

– Je reviens, dit-elle à sa camarade.

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Elle avait laissé dans son « coin » une petite collection de godes. Elle en tend un, un rouge un peu fluo, à sa camarade et le lui fait sucer, avant de faire de même, puis de l’introduire dans la chatte ouverte de sa partenaire.

 

Le petit jeu dure jusqu’à ce que Mariette jouisse pour la deuxième fois.

 

– Tu vas m’épuiser ! Dit cette dernière.

– Mais non, tiens on va essayer un truc…

 

Elle se « mélangent » alors les jambes de façon à ce que leur chattes puissent se frotter l’une contre l’autre.

 

Après cette petite fantaisie Mariette se met en levrette en relevant sa croupe.

 

– Humm tu voudrais quoi ?

– Je le laisse deviner !

 

Vicky vient alors lui butiner l’anus, s’efforçant de faire entrer sa langue.

 

– Il sent trop bon, ton trou du cul !

– Tu parles, il aurais fallu que je prenne une douche.

– Moi je l’aime bien comme ça, j’aime bien les odeurs naturelles.

– Et bien régale toi ! T’as qu’à m’enfoncer le gode si tu veux, comme ça tu pourras le lécher après !

– Oh, mais, c’est une excellente idée ça !

 

Et sitôt dit, sitôt fait, le gode lui pilonne le cul à une folle cadence et Mariette qui ne compte plus ses orgasmes vient d’en avoir encore un.

 

Vicky sort le gode et le lèche.

 

– Cochonne !

– J’ai pas regardé !

– Embrasse-moi encore !

 

Le baiser est si baveux que de la salive dégouline sur les mentons des deux coquines.

 

– A ton tour de t’occuper de mon petit cul ! Propose Vicky en adoptant une pose obscène, croupion relevé, jambes écartées, tous ses trésors visibles et accessibles.

– C’est le paradis que tu me montres là !

– Non c’est l’enfer ! C’est tout chaud !

 

Vicky mouille son doigt et l’enfonce dans l’anus de sa partenaire.

 

– Oh, la salope, elle m’encule avec le doigt… Oh, oui, bouge-le bien, encore, encore…

 

Vicky ressort son doigt, le lèche ainsi que celui d’à côté et c’est maintenant deux doigts qui s’agitent dans le fondement de la petite sauvageonne. Celle-ci en même temps se frotte le clito avec frénésie et ne tarde pas à gémir son plaisir.

 

– Putain ça fait du bien ! Faut que je pisse maintenant. J’ai bien envie de te pisser dans la bouche. Indique Mariette avec un œil coquin.

– T’es vraiment complètement dépravée !

– Y’a un problème ?

– Non, ma salope, vas-y remplis-moi la bouche de ta bonne pisse. Répondit Vicky en se mettant en position de réceptrice.

 

Le liquide dorée ne tarda pas à envahir son palais, elle en avala une bonne rasade avec gourmandise, le reste dégoulinant sur sa jolie poitrine.

 

De nouveau les deux coquines s’étreignirent, mélangeant leurs corps et leurs langues.

 

Caribou se réveille au pied d’un arbre avec un gros mal de tête. On dit que la nuit porte conseil, mais ce sont de curieux conseils que cette nuit-là lui a prodigué, deux obsessions l’habite : d’abord se venger de cette pétasse de Dorothée, ensuite voir si l’écroulement de l’échafaudage de la grotte a suffi à décourager ceux qui voulait l’exploiter.

 

– Mais comment faire tout ça ?

 

Revenu brièvement en direction de la ferme, il a aperçu d’assez loin le ruban de sécurité de la gendarmerie.

 

– Donc ils sont venus, mais ils n’ont pas insisté, normalement ils auraient dû faire une battue ils ne l’ont pas fait, pourquoi ? Mystère ! Comment me renseigner ? Rémy peut-être ?.

 

Rémy l’a vu arriver de loin et l’attend avec un gourdin à la .main. Caribou hésite à avancer, il sait qu’en cas de bagarre il n’aura pas le dessus.

 

– Je veux juste causer !

– Ben moi je cause pas.

– Je cherche Dorothée.

 

Rémy ramasse une grosse pierre et vise les jambes de Caribou qui a juste le temps de s’écarter.

 

– Arrête tes conneries, je veux juste discuter

 

Une seconde pierre lui fit comprendre que le dialogue sera impossible. Il n’insista pas.

 

Ne sachant trop que faire, il décida d’aller traîner à Glandville, il ne risquait rien, en principe personne ne possédait son signalement.

 

Il chemina donc dans le bourg sous un soleil de plomb en évitant de se faire remarquer.

 

Quelle ne fût pas sa surprise de voir, sur la terrasse d’une propriété, assise sur un transat en train de fumer une cigarette, Dorothée entourée de deux jeunes femmes dont une blackette très BCBG.

 

– Qu’est-ce qu’elle fout là ? Et c’est qui ces pétasses ? Je ne les ai jamais vues nulle part.

 

Et puis l’explication devient toute simple, la plaque d’immatriculation de la voiture stationnée devant indique Paris.

 

– Des touristes, mais ce n’est pas vraiment la saison, et ça n’explique pas ce que fout Dorothée avec eux ?

 

Caribou craint de se faire repérer dans ce bourg où tout le monde connait tout le monde. Se souvenant qu’il avait dans son sac à dos, une paire de jumelles, il s’éloigne et choisit un poste d’observation discret.

 

– Je vais attendre que quelqu’un sorte, et j’irais aux renseignements.

 

Au bout d’un certain temps il aperçoit deux silhouettes se dirigeant vers le gîte, il chausse ses jumelles :

 

– Georges ? Mais qu’est-ce qu’il fout là lui aussi ? Et qui c’est le vieux con qui est avec lui ? Je me demande si ce n’est pas un coup monté ? Dorothée et Georges doivent être de mèche ! Les salopards !

 

Il décide de rester en planque pour le moment, et si ça ne donne rien, il se dit qu’il utilisera la force sans d’ailleurs savoir trop comment.

 

Le professeur Martinov épuisé par sa balade et ce qui s’en suivit, s’en va prendre une douche.

 

– J’irais après ! Indique Georges

 

A l’intérieur tout le monde somnole : Beatrice, Solène, Dorothée, Isabelle et Justin.

 

Pour Georges l’occasion est trop belle, il fouille les sacs et les gilets qui sont à sa portée et se retrouve très vite avec une belle collection de portefeuilles, il n’a plus qu’à prendre la poudre d’escampette.

 

Il se dirige à pas de loup vers la sortie sans remarquer la jambe de Dorothée qui lui crochète le pied, il tente en vain de se rattraper et dégringole de tout son long.

 

– Tu rends les portefeuilles et tu te casses, connard !

– Tu défends les bourges, maintenant ?

– T’as bien été content qu’ils te donnent à bouffer, non ? C’est comme ça que tu les remercie ?

– J’en ai rien à foutre de leur charité, un bourge reste toujours un bourge.

– C’est ça, tous les pauvres sont gentils, tous les autres sont des méchants, faut arrêter de lire Brecht et Picsou-Magasine.

 

Le bruit de leur dispute a réveillé tout le monde, ils comprennent de suite ce qui se passe.

 

– Toi le petit con, si t’es pas dehors dans trente secondes, t’as mon poing dans la gueule ! Le menace Justin

– Essaie un peu, bourgeois dégénéré.

 

Mais sitôt ces paroles prononcées il se précipite vers la porte.

 

– Pas si vite ! Hurle Beatrice en lui barrant le passage. Vide tes poches,

 

Il restait un portefeuille qu’il envoie valser par terre.

 

– Maintenant, dehors et qu’on te croise plus dans le secteur !

– Un jour vous n’exploiterez plus personne, le prolétariat vaincra.

– C’est ça, on lui dira !

 

Georges parti, Dorothée tombe en larmes. On lui demande ce qu’elle a mais elle ne répond pas. Ces braves gens attendent donc que la crise se termine.

 

Et sur ce le professeur Martinov sort de sa douche ceint d’une serviette de bain.

 

– J’ai comme entendu du bruit…

– C’est Georges qui a essayé de nous faire les poches, on l’a viré.

– Ça alors ! il m’avait pourtant semblé fort correct, ce jeune homme. Un peu bourrin, mais correct.

 

Tout le monde le regarde sans comprendre.

 

– Ouin ! Gémit Dorothée tout ça c’est de ma faute, je vais partir, je vais vous laisser.

– Comment ça c’est de ta faute ? Demande Solène.

– C’est moi qui ait insisté pour le recueillir je ne pensais pas qu’il oserait faire une chose pareille !

– Personne ne te demande de partir. Dit Justin jouant les grands seigneurs.

– Vaudrait quand même mieux que je parte non ?

– Quelqu’un veut qu’elle parte ? Demande Justin à la cantonade

 

Personne n’exprima un tel souhait.

 

– Alors tu restes !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 09:31

Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 7 – Balade montagnarde par Maud-Anne Amaro

cochon

Samedi 18 avril

 

Le lendemain matin Dorothée s’en alla chercher de quoi faire un bon petit-déjeuner pour ces messieurs-dames. C’est alors qu’elle tomba nez à nez sur Georges.

 

– Qu’est-ce que tu fous là, toi ?

– Je galère, j’ai passé la nuit dans une grange. je suis parti de la Ferme après m’être engueulé avec les filles, je les ai croisés ici l’autre jour, elles partaient pour Paris. Ah, tu savais que Louison était mort ?

– Mort comment ?

– Tombé dans un précipice !

– Comment il a pu faire ça ?

– Je sais pas, il était peut-être bourré.

– Et Caribou ? Et Rémy ?

– J’en sais rien. Et toi, tu fais quoi ? Tu t’es relookée ? T’as trouvé du boulot ?

– Je suis avec les gens qui étaient dans la grotte, ce sont des gros bourges mais ils sont sympas.

– Y’a pas de bourges sympas ! Anonna Georges d’un ton péremptoire

– Ben si !

– Et tu fais la boniche ?

– Et alors ?

– Alors, c’est pas vraiment tes idées.

– J’ai pas de comptes à te rendre.

– Te fâches pas !

– Je ne me fâche pas ! Tu sais ce que c’est mon idée en ce moment ? C’est de me venger de Caribou et de Rémy. Avec leurs conneries ils ont failli laisser mourir six personnes et on aurait été complices, je trouve ça dégueulasse.

– Je suis un peu d’accord avec toi, c’est pour ça que t’es partie ? Demande Georges

– Même pas ! Cet enfoir? de Caribou m’a fait une crise parce que j’ai refusé de sucer la bite de Rémy…

 

Petit arrangement avec la vérité, puisque l’état du sexe de Rémy n’avait été que la goutte d’eau qui avait fait déborder le vase, mais est-ce si important ?

 

– T’étais d’accord…

– D’ accord pour sucer une bite propre mais pas une bite qui pue le chacal ! Ce mec, Caribou, a une mentalité de maquereau. A la limite, je veux bien faire la pute pour la cause, mais faut que ce soit moi qui décide

– Tu me donnes un bout de pain ?

– Non, je vais faire mieux que ça, je vais te présenter aux bourges, tu vas pouvoir bouffer, et en échange tu vas m’aider à retrouver les deux salopards.

– Mais je ne veux pas avoir affaire avec ces gens-là.

– Tu veux bouffer ou pas ? Alors suis-moi et fais-moi confiance !

 

Rentrée au gite, Dorothée présente Georges au petit groupe :

 

– Lui c’est Georges il est parti de la ferme parce qu’il n’était pas d’accord avec ce qui vous est arrivé…

 

Isabelle est horrifiée de voir apparaître ce jeune homme, sale, puant, hirsute et en haillons

 

– Oui, bon, mais on n’est pas l’Armée du Salut. On ne va pas accueillir tout le monde, non plus, prenez de quoi déjeuner et laissez-nous, on peut même pousser la bonté jusqu’à vous permettre de prendre une douche vous en avez sacrement besoin.

– Eh bien merci de cet accueil chaleureux, moi je me casse ! Répondit Georges, se drapant dans sa dignité

– Juste une minute. Reprend Dorothée. Soyez humaine, Isabelle. Georges est en galère, vous pourriez l’héberger juste pour la journée, ensuite il partira. En échange, il peut vous faire découvrir les beautés de la région, il connait tous les coins comme sa poche…

 

– Bon, bon, consent Isabelle, mais d’abord : à la douche !

 

Après avoir pris son petit déjeuner, le professeur Martinov exprima son désir d’aller faire un tour, Georges, maintenant tout propre et revêtu de fringues prêtes par Justin se proposa de l’accompagner.

 

– Euh, personne d’autre ? demanda le professeur.

 

Ben non, toutes des dames étaient soit occupées soit fatiguées, Martinov en fut dépité, cheminer avec cet individu ne lui disait rien que vaille. Et puis il a beau avoir des penchants bisexuels, c’est quand même avec les femmes qu’il est le plus à l’aise.

 

– Si vous pouviez en profiter pour passer à la ferme regarder s’il y a encore du monde, et par la même occasion voir si Rémy est toujours dans sa cabane… Suggéra Dorothée

– Je préférerais voir du paysage !.Rétorqua le professeur

– Tu vas en voir pépère, tu vas en voir ! Répondit Georges

 

Martinov ne s’offusqua pas de ce brusque accès de familiarité, il en avait vu d’autres !

 

La ferme était vide et tous les sacs à dos avaient disparus. Quant à Rémy, ils l’aperçurent en train de nourrir ses poules, mais ne l’approchèrent pas. Ils pénétrèrent ensuite dans une côte boisée où les arbustes laissèrent bientôt la place aux fougères et à la bruyère

 

– Je vais pisser ! Déclara soudain Georges en plein milieu du chemin.

 

Il se met sur le côté, mais ne se cache pas quand il sort son attirail. Martinov se demande si c’est de la fanfaronnade ou quoi ?

 

N’empêche qu’il est fasciné par cette belle bite.

 

« Elle doit être superbe quand il bande ! »

 

– Tu regardes ma bite ?

– Tu ne te caches pas, alors je regarde.

– Elle te plait ?

– Elle est belle !

– T’aimes bien les bites ?

– J’aime bien ce qui est beau !

– T’es pédé ?

– Non et toi ? Répond Martinov du tac au tac.

– Moi j’aime bien tout le monde !

 

Et tout en parlant, le Georges qui a terminé de faire pipi, se branle doucement avec provocation, faisant ainsi grossir son engin.

 

– Tu veux toucher ?

 

Un moment le professeur se demande si le jeune homme n’est pas en train de lui tendre il ne sait quel piège. Que se passerait-il en cas d’affrontement ? Certes Georges n’a rien d’un athlète, mais il a l’avantage de la jeunesse. Pourtant son attitude semble dénuée de toute agressivité…

 

Alors il touche, juste une petite caresse qui devient vite une esquisse de masturbation. La bite est désormais en taille optimale, bien droite, le gland arrogant.

 

– Tu veux me sucer ?

 

« Position idéale s’il veut ne foutre un coup sur la tête ! » Se dit le professeur avant de rectifier : « Non il ne peut pas me faire ça si j’ai sa bite dans la bouche ! »

 

Alors Martinov exerce ses talents de fellateur de la langue et des lèvres. C’est que depuis le temps qu’il en suce, il est devenu expert.

Ours07

Il se régale et il bande.

 

– Tu suces trop bien, pépère ! Tu dois être un sacré pervers !

 

Le professeur ne répond pas, ne se considérant nullement comme pervers et continue sa turlutte. Un goutte de préjouissance salée vient perler sur le méat.

 

– Tu veux que je t’encule ?

– Pourquoi pas !

 

Martinov a toujours une capote de prête dans son portefeuille, il la tend au jeune homme qui semble embarrassé.

 

– Mets-la-moi, je n’ai pas l’habitude !

 

Et la chose étant faite, Le professeur n’a plus qu’à baisser le pantalon et le caleçon, se retourner et laisser Georges lui pénétrer le trou de balle.

 

« Ce gars-là m’encule beaucoup moins bien que Justin

Ses manières sont dignes d’un vil bourrin

Se dit-il en lui-même et en alexandrin »

 

Georges avait joui en grognant, il se reculotta après avoir jeté sa capote dans la nature (en voilà un geste peu écolo !) sans s’essuyer et sans demander à Martinov si la prestation l’avais satisfait.

 

Ils cheminèrent encore un peu avant de prendre le chemin du retour.

 

– Rémy est dans sa cabane, mais à la ferme, il n’y a plus personne, résuma simplement Georges en rentrant au gite.

– Bon on va voir ce qu’on peut faire, j’ai envie d’aller voir. Dit Dorothée.

– Allez voir quoi ? T’as pas de plan !.

– On improvisera.

– T’as le droit d’essayer mais j’y crois pas. Moi j’y vais pas !

 

C’est donc Solène et Beatrice qui accompagnèrent Dorothée jusqu’à la cabane de Rémy.

 

L’accueil fut hostile.

 

– Tu veux quoi, toi la pute ?

– Je sais pas, te cracher à la gueule par exemple ! Répondit Dorothée

– Et pourquoi ? C’est pas moi qui a tué Louison !

– Mais de quoi tu parles ?

– Il a voulu me faire tomber, je me suis défendu et c’est Louison qu’est tombé.

 

Dorothée a vraiment l’air de tomber du placard.

 

– T’es en train de me dire que Louison a essayé de te balancer dans le vide ?

– Ben oui, il m’a dit qu’un mec de la grotte était arrivé à descendre et qu’il était tombé dans le vide, j’ai voulu aller voir. J’ai pas vu de mort, mais Louison a essayé de me balancer, on s’est un peu bousculé et il est parti dans le précipice.

– Mais pourquoi, il aurait essayé de te tuer ?

– Y voulait pas que je parle de Caribou aux gendarmes, mais moi j’m’en fous, j’ai tout dit aux gendarmes, que Caribou m’avait baisé et que toi tu étais la reine des salopes.

– Connard ! Ne put s’empêcher de lui lancer Dorothée .

– Mais ils t’ont laissé en liberté ? Demande Solène.

– Ben oui,

– Tu leur a dit quoi pour Louison ?

– On n’en a même pas parlé.

– ?

 

Dorothée demande alors à ses compagnes de s’éloigner de la cabane..

 

– Ça change tout ! Dit-elle. Rémy est un pauvre petit con, à la limite ce n’est pas de sa faute, on s’en occupera plus tard. Mais pour Caribou, c’est terrible, Louison n’aurait jamais essayé de tuer Rémy sans l’accord de Caribou. C’est pire que ce que je croyais, ce mec devient fou, il a carrément commandité un meurtre.

– C’est le travail de la police, maintenant, intervint Solène.

– Et on va leur dire quoi ? On a juste le témoignage de Rémy, et ils ont l’air de le prendre pour un simple d’esprit, c’est pas tout à fait faux d’ailleurs.

– Bon admettons reprit Béatrice, ton Caribou on le cherche, déjà ça ne va pas être de la tarte, mais si on le trouve on fait quoi ?

– Au minimum, on le force à signer des aveux et on le balance aux gendarmes, mais on peut sans doute trouver mieux.

– Bon ben on va rentrer réfléchir.

 

Elles demandèrent néanmoins à Rémy si ce dernier avait une idée à propos de l’endroit où Caribou pouvait se trouver, mais évidemment il n’en savait rien.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 09:28

Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 6 – Orgie au gîte rural par Maud-Anne Amaro

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– Avons-nous rempli notre part de contrat ? Demande Justin au maire qui se rhabille en oubliant de se rincer la zigounette.

– Mais parfaitement, je vais faire cesser toutes les poursuites liées à cette histoire d’échafaudage, je vous renouvelle mon accord pour l’exploitation de la grotte, vous m’apporterez un projet détaillé au plus tôt, je devrais le faire approuver par le conseil municipal, mais comme il n’y a pas d’opposition… Et vous pouvez rester ici le temps qu’il vous plaira. N’ayez crainte je ne suis pas un enquiquineur et ne solliciterai aucune autre comment dire… fantaisie, mais celle-ci était très bien, je vous remercie tous les deux.

 

Justin et Isabelle reviennent tout contents auprès de leurs compagnons.

 

– J’ai la promesse du maire de me laisser installer l’ascenseur. Annonce Justin.

– Il ne risque pas de se rétracter ?

– Non, j’ai fait ce qu’il fallait pour qu’il ne se rétracte pas !

– Ou alors ce serait vraiment le roi des salauds ! Ajoute Isabelle.

– Donc on pourrait rentrer et on reviendra quand l’ascenseur sera installé. Suggère Martinov.

– C’est comme vous le sentez, mais vous pourriez profiter de la région, restez donc quelques jours, le maire me loue un gîte rural à Glandville. On va tous y aller.

– Je crois que je vais accepter, dit Beatrice.

– Moi, je ne sais pas. Dit le professeur.

– Toi, tu ne vas pas faire ton vieux ronchon, l’air de la montagne, ça ne peut que te faire du bien.

– Bon, bon.

– Moi je vais vous laisser… commence Solène

– Pourquoi ? Tu n’es pas bien avec nous ? Lui demande Bea.

– Si, si, mais…

– Alors tu restes !

 

Dorothée allait dire quelque chose, elle n’eut pas besoin de le faire.

 

– Toi aussi tu restes ! Dit simplement la jeune chimiste.

– Faudra qu’on s’organise intervint Isabelle, un gîte c’est pas l’hôtel, faudra faire les courses, la cuisine…

– Je peux m’occuper de tout ça, je peux faire tout ce que vous voudrez, je suis très docile, en fait j’adore jouer à l’esclave.

 

Une déclaration qui provoque la stupéfaction du petit groupe à l’exception de Béatrice et de Solène qui ont eu l’occasion de découvrir les dispositions de la jeune rebelle.

 

La joyeuse compagnie s’est donc installée. En maîtresse de maison improvisée, Isabelle procède à l’organisation de tout ce petit monde.

 

– Vous voulez manger quoi ce soir ? Une paella, ça vous dit ? Dorothée, je vais te faire une liste de courses et tu vas aller chercher tout ça. Voilà des sous, n’en profite pas pour t’acheter des trucs pour toi.

– Euh … juste des cigarettes ?

– Si tu veux.

– Et des chewing-gum.

– C’est tout oui ?

 

Beatrice explique alors aux autres ce qui s’est passé sous la douche avec Dorothée en ne se privant pas d’y apporter des détails bien croustillants.

 

– Arrête, Beatrice, tu me fais bander ! S’exclame Justin en rigolant

– Et alors, c’est grave ?

– Vous croyez qu’on peut s’amuser avec cette Dorothée, lui faire des petites misères, tout ça ? Demande Isabelle.

– Ça me paraît un bon plan. Mais ne lui faites pas de mal, elle est gentille.

– Mais non !

 

Le professeur Martinov jubilait en son for intérieur, la méga partouze que lui avait promis Justin dans la grotte allait donc se concrétiser, même si le rapport hommes femmes, deux contre quatre ne semblait spécialement pas propice à des ébats masculins, il y aurait de quoi contenter sa libido.

 

La petite assemblée pris place dans le grand salon du gite et attendit sagement que Dorothée revienne des courses et les dépose. Béatrice et Isabelle étaient en sous-vêtements, Justin avait juste conservé son caleçon.

 

– Vous restez habillée ! Demande Justin à Solène.

– Oui pourquoi, faut pas ?

– Je demandais juste ça comme ça !

– Et si j’enlève mon caleçon, ça vous choque ?

– Pas du tout !

 

Il l’enleva donc.

 

Martinov lui aussi était resté habillé, non pas par pudeur, mais parce qu’il ne se trouvait pas beau quand il était nu, il attendait donc que la situation évolue pour se mettre à l’aise.

 

La porte s’ouvre.

 

– Dorothée, laisse les courses dans la cuisine, on les rangera tout à l’heure, et viens nous rejoindre.

 

Elle est étonnée de voir tout le monde assis là et surtout surprise de constater que Justin est complètement à poil.

 

– On a envie de jouer à un petit jeu… Lui dit Isabelle. Tu nous a dit que tu adorais jouer à l’esclave.

– Je suis obligée ?

– Non, si tu ne veux pas on jouera sans toi.

– Et les règles c’est quoi ?

– On te donnes des ordres, on te fait des petites misères, et si tu veux arrêter, tu dis stop. De toute façon on n’a pas l’intention de te brutaliser.

– Des trucs sexuels, je suppose ?

– Oui !

– Vous me prenez pour un jouet ou quoi ?

– Pas du tout !

– Je ne veux pas qu’on m’attache, et s’il y a pénétration c’est avec capote.

– O.K, on y va !

– Non on y va pas, on essaie !

 

Isabelle demanda à Dorothée de se déshabiller entièrement, ce qu’elle effectua sans rechigner, puis de mettre à quatre pattes, le croupion relevé.

 

– Allez-y les bourges, rincez-vous l’œil et on fait quoi maintenant ?

– On ne fait rien, rhabille-toi, on croyait que tu serais d’accord, on s’est trompé on en parle plus. Intervient Isabelle passablement énervée. Fais ce que tu veux, reste avec nous ou va ranger les courses, c’est pas grave.

 

C’est ce qui s’appelle un fiasco, Dorothée, des larmes dans les yeux attrape ses vêtements et se dirige vers la cuisine, Solène après un moment d’hésitation lui emboite le pas. Béatrice hésite à faire de même, mais reste à sa place, Justin remet son caleçon.

 

– On est plus que quatre, on pourrait faire une belotte ! Lance-t-il à la cantonade.

– Qu’est-ce qui lui a pris ! Demande Isabelle.

– Rien elle s’est piégée toute seule, quand elle a dit qu’elle aimait jouer à l’esclave, elle ne pensait pas qu’on la prendrait au mot, du moins pas de cette façon. Répond Béatrice.

– Tu pourrais arranger ça ?

– Solène doit être en train d’essayer… si elle n’y arrive pas j’irais la voir.

 

Dans la cuisine c’est la crise nerveuse, Dorothée pleure tout son soûl.

 

– Pleure pas ma bibiche !

– Je suis la reine des connes, vous m’accueillez, vous vous dites prêts à m’aider et moi je fais ma mijaurée…

– C’est un malentendu, personne ne t’en veux.

– Isabelle, je ne la sens pas !

– Tu lui fera un gros bisous et on n’en parlera plus.

– Tu parles !

– Tu reviens, tu verras bien comment ça se passe, si ça se passe mal, je verrais avec toi, de toute façon je te soutiendrai.

– T’es gentille toi !

– On est tous gentils. Allez viens !

– Je me sèche les yeux. Et j’arrive.

 

Le deux femmes reviennent dans le salon où les quatre personnes présentes ont quitté canapé et fauteuil pour s’assoir autour d’une table.

 

– On voulait faire une belotte mais on n’a pas de cartes, alors on joue aux devinettes, vous voulez jouer ? Demande Justin.

– Oui on veut bien ! Répond Solène

 

Elle a donc répondu également pour Dorothée, voilà qui devrait restaurer l’ambiance.

 

– Comment on appelle un lapin sourd ?

 

Personne ne sait

 

– LAAAAPIN ! Gueule Justin.

 

Voilà qui fait rigoler Isabelle et Béatrice qui ne la connaissaient pas et comme le rire est communicatif tout le monde se marre y compris Dorothée et Martinov.

 

– Quand on parle de lapin, ça me fait penser à mon invention…

 

Et le voilà parti à raconter la découverte du « lapin dur » puisant stimulant sexuel, découvert par hasard en cherchant un produit pour augmenter la fertilité des lapins et qu’il a expérimenté avec Béatrice. (voir l’épisode Martinov et le lapin dur)

 

L’auditoire est passionné par ce récit.

 

– Mais Béatrice, t’as accepté d’expérimenter ce produit comme ça de façon naturelle, c’est dingue, ça ! Lui fait remarquer Isabelle

– Les circonstances étaient particulières, il y a eu l’excitation de la découverte, et après ça a été de l’excitation tout court. Et puis ça n’a pas été une corvée, le professeur est tellement sympathique.

– Tu vas me faire rougir ! Répondit l’intéressé.

– Mais non.

– Et ensuite, vous n’avez pas continué ? Demande Isabelle.

 

La jeune chimiste trouva qu’Isabelle devenait décidemment trop curieuse et décida de lui répondre crument.

 

– Bien sûr que nous avons continué, on est parti en vacances ensemble et je lui ai fait une pipe, (voir Martinov et le Mont de Vénus) quelques mois plus tard, nous étions à Besançon et je lui ai demandé de m’enculer. (voir Martinov et la maison de Cendrillon).

– T’es vraiment coquine, toi Répond Isabelle.

 

L’ambiance s’est légèrement chauffée, mais sans qu’il ne se passe quoi que ce soit. Dorothée profite d’un temps mort pour s’approcher d’Isabelle.

 

– J’ai été un peu con, tout à l’heure, je le regrette, j’espère que tu ne m’en veux pas !

– Mais non ! Fais-moi un bisous.

 

Dorothée esquisse une embrassade sur la joue.

 

– J’aurais préféré un vrai bisou, un peu coquin !

 

La petite rousse accepte et les deux femmes se roule une pelle magistrale, les mains d’Isabelle en profitant pour devenir très baladeuses.

 

– Et si je te flanquais une fessée ? Pour te punir !

– Vas-y, je me laisse faire !

– Mets-toi les fesses à l’air et couche-toi sur mes genoux.

 

L’instant d’après Isabelle tapait de grandes caques sur le joli popotin de Dorothée. Elle stoppa quand sa couleur tourna au cramoisi.

 

– Et voilà, tu peux te relever, non ne remet pas ta culotte…

 

Isabelle porta la main à la chatte de la rousse et la trouva mouillée.

 

– Elle t’a excité ma fessée, on dirait ?

– Ben…

– Ça tombe bien, moi aussi, ça m’a excité, ça te dirait de me lécher. Oh mais qu’est-ce que tu regardes ?

 

Effectivement, un peu plus loin, il y a du spectacle, Justin a de nouveau retiré son caleçon et le professeur Martinov qui est venu près de lui, lui masturbe doucement la bite.

 

– Ils sont homos ? Demande Dorothée.

– Eh, non, en ce qui concerne Martinov il est hétéro, mais il adore de temps en temps jouer avec une jolie bite ! Intervient Béatrice.

– Ils vont aller plus loin ?

– C’est probable en effet !

– Hum, ça m’excite de voir ça ! Commente Dorothée

– Dis voir mon petit professeur, Reprend Béa, si tu prenais cette jolie bite dans ta bouche, je crois que ça intéresserait la petite Dorothée.

 

Vous pensez bien que notre coquin de Martinov en avait justement l’intention, il se baisse donc pour mettre ce joli cylindre de chair dans sa bouche.

 

– Si vous vous mettiez à poil, ce serait tout de même plus sexy ! Lui lança Solène qu’on n’avait pas entendu depuis le jeu des devinettes.

 

Et pendant que le professeur se déshabille, Isabelle présente sa chatte à Dorothée.

 

– Allez lèche-moi, t’inquiètes pas pour le spectacle, il n’est pas fini, ils vont probablement s’enculer !

– Ah ! Je veux voir ça !

– Oui, ben pour l’instant tu me lèches, Béatrice m’a dit que tu faisais ça très bien. Et d’ailleurs elle fait quoi Béatrice ? Viens donc nous rejoindre !

 

Elle retire prestement soutif et culotte et arrive :

 

– Vous avez besoin de moi mes chéries ?

– Occupe-toi de mes nichons pendant qu’elle me lèche…

 

Quant à Solène, elle se sent un peu seule dans tout ce déchainement de sexe. Et si le trio lesbien pourtant déchaîné ne la passionne guère, voir le professeur Martinov gober la belle bite de Justin Verrier avec une telle fougue ne la laisse pas indifférente.

 

Alors elle se déshabille à la barbare, et s’approche. Elle se demande si Martinov va consentir à partager sa friandise du moment.

 

Elle s’accroupit, approche sa main flatte un peu les couilles de l’homme, puis à l’idée de lui enfoncer un doigt dans le cul. On lui avait appris ce geste quand elle faisait des pipes dans l’arrière-salle d’un bar à putes.

 

– Tous les hommes adorent ça, mais peu s’en vantent ! Lui avait expliqué une bonne collègue.

 

Martinov se rend bien compte que la jolie métisse voudrait sucer, alors l’homme galant qu’il est lui laisse la place. Mais il a envie de s’amuser, il va se placer en levrette sur le fauteuil en écartant les jambes et en redressant les fesses.

 

Justin ne sait que faire, d’un côté le joli corps chocolaté et magnifiquement proportionné de Solène, de l’autre les fesses du vieux professeur. N’importe qui aurait fait le premier choix, mais n’a-t-il pas fait une promesse à Martinov dans l’obscurité de la grotte.

 

Alors Justin après avoir flatté le fessier de Solène lui dit simplement.

 

– J’ai envie de toi, mais j’ai fait une promesse au professeur…

– Tu vas l’enculer ! Lui demande-t-elle, le voyant s’habiller la zigounette d’une capote.

– Je crois bien !

– Tu veux que je te doigte le cul en même temps.

– Bien sûr, ma toute belle !

 

Et pendant que Justin sodomise en cadence Martinov, Solène remet son doigtage à plus tard et se met à lui lécher l’anus avec passion.

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De l’autre côté de la pièce, les trois nanas s’en donnent à cœur joie, se retrouvant dans tous les sens, caressant, tripotant, léchant tout ce qui est à leur portée, les seins, les chattes, les fesses, les trous du cul, mais c’est aussi des roulages de patins et des caresses sensuelles. Un charmant spectacle.

 

Le professeur est tellement excité par l’ambiance et par ce que lui fait subir son enculeur qu’il se masturbe à toute berzingue et ne tarde pas à éjaculer d’un jet puissant.

 

Encore une fois, Justin est partagé parce que d’une part, il a Solène pratiquement à sa disposition mais que d’un autre côté (c’est le cas de le dire) il aurait bien voulu profiter de la bite de Martinov.

 

Ce dernier s’éloigne et va fouiller dans ses affaires, il a souvent sur lui quelques pilules de « Lapin dur », il lui suffit d’en prendre une et il sera de nouveau opérationnel dans une vingtaine de minutes. Elle n’est pas belle la vie ?

 

– Dis donc, tu encules bien, toi ! Le félicite Solène.

– Quand on aime bien quelque chose on essaie de le faire bien !

– Alors tu me fais pareil !

– Mais avec plaisir, chère amie.

 

Les trois gouinettes ont joui, certaines d’entre elles plusieurs fois, et après un petit temps calme avec bisous, caresses et cigarettes, Isabelle laisse Dorothée dans les bras de Béatrice et s’en va trouver Solène laquelle est en train de se faire défoncer le dargeot par un Justin en superforme.

 

Isabelle n’a pas encore eu l’occasion de « pratiquer » Solène.

 

« Ses penchants bisexuels semblent un peu faibles, mais il n’est pas interdit d’essayer. »

 

Elle se place devant elle et tente une main vers ses seins puis vers ses tétons sans percevoir d’objection, alors elle lui offre sa chatte à lécher, mais Solène ne répond que par un baiser très chaste sur le pubis.

 

– Tu ne veux pas me lécher ?

– Tout à l’heure peut-être !

 

Dépitée, Isabelle s’en va s’assoir tandis que Solène finit par jouir sous les coup de butoir de la bite de Justin. Les deux amants se désemboitent. Justin se débarrasse de sa capote et la belle métisse le « termine » avec ses lèvres pulpeuses.

 

Elle garde le sperme en bouche mais le recrache dans ses mains avant de se l’étaler sur les seins avec un air de défi.

 

– Tu ne veux pas venir me voir ! Lui demande Isabelle sans trop y croire.

– Mais ma chérie, je ne suis pas gouine !

– Mais moi non plus !

– Alors ça va ! Répond-elle en s’asseyant à ses côtés, Tu voulais me faire quoi ?

– Te goûter !

– Tu l’as jamais fait avec une black ?

– Si ! Et justement j’aime bien !

– On a quelque chose de spécial ?

– La peau !

– Pace qu’elle est noire !

– Non, parce qu’elle est douce ! On s’embrasse.

– T’es quand même un peu gouine sur les bords, non ?

– Je ne sais pas ce que je suis, mais j’aimerais bien qu’on s’embrasse.

– Je n’ai embrassé que deux filles dans ma vie, Béatrice et Dorothée.

– Alors jamais deux sans trois !

 

Finalement Solène consent à se laisser faire et se prend au jeu, le baiser est profond et sincère, mais comme vous le pensez bien Isabelle en profite pour ploter tous ce qui est à portée de mains.

 

– Tu caresses bien ! Tu me donnes des frissons ! Lui dit la métisse.

– Ben tu vois, l’amour entre femmes, ça change, ça ne vaut pas une bonne bite, mais ça change !

– Je veux bien que tu me lèches !

 

Le genre de propos qu’il est inutile de répéter deux fois à Isabelle, qui se jette littéralement sur sa jolie chatoune et lui écarte les lèvres

 

– Mais tu mouilles !

– Ben oui, je mouille !

 

Isabelle se régale, laisse longtemps sa langue balayer son intimité, c’est Solène qui en nage, et la respiration haletante, sentant sa jouissance prochaine, la pressera d’en finir

 

Son clitoris est énorme, une vrai bite miniature et quelques coups de langues bien ciblés suffirent à la faire éclater de plaisir.

 

Le professeur s’en va sans la salle de bain satisfaire un petit besoin urgent. Dorothée lui emboite le pas.

 

– Moi d’abord ! Lui dit-elle, j’ai trop envie !

– Mais faites donc, chère amie !

– Si tu veux regarder, ça ne me dérange pas !

– Justement, j’adore ça !

– Tu adores le pipi ?

– Je voulais dire, j’aime bien regarder, mais j’aime bien le pipi aussi.

– Oh, là, tu t’embrouilles, toi !

– Tu voudrais gouter à mon pipi ?

– C’est proposé si gentiment…

– Allez, viens entre mes cuisses, papy, je vais te donner à boire.

 

Notre coquin de Martinov met sa bouche en corole sur la chatte de la petite rousse, se régalant au passage de son odeur poivrée. C’est que la donzelle a joui plusieurs fois, mouillée comme une éponge et pas mal transpiré… Il avance la langue.

 

– Me lèche pas, ça me déconcentre.

 

Et le jet fuse ! Le professeur ne peut tout boire mais il en avale une bonne rasade, le reste coule un peu partout.

 

– Cochon, tu en fous partout !

– Je vais nettoyer…

– Il était bon mon pipi ?

– Délicieux !

– Alors à toi, arrose-moi mes nénés, j’adore ça !

 

Il ne s’attendait pas à cette proposition, mais se met en position pour le faire, du coup il boque quelques instants et est obligé de se concentrer pour libérer son sphincter vésical. Et puis tout d’un coup, ça part, Il l’arrose d’abondance, elle en boit même un tout petit peu.

 

Il lui aurait volontiers lécher les seins, qui maintenant tout mouillés le narguait, il lui aurait bien aussi nettoyé la chatte, mais elle ne lui proposa plus rien, s’essuya avec du papier et rejoignit le salon en sifflotant.

 

Martinov fait comprendre à Justin qu’il est prêt à repartir, celui-ci s’empresse alors de lui sucer la queue avant d’offrir son anus à la sodomie.

 

Le temps passe vite quand on baise, Béatrice et Dorothée ont fini par s’endormir dans les bras l’une de l’autre.

 

Conclusion ? Pas tout à fait ! Solène qui s’est amusée du spectacle, s’approche du professeur et sans préambule lui roule un patin.

 

– Toi, tu me plais bien, t’es un gentil petit vieux, si t’as envie de me baiser, c’est quand tu veux ?

 

Il en est tout chose, notre bon professeur et il faillit lui répondre « Pourquoi pas tout de suite ? » mais il était un peu fatigué… Et puis n’y a-t-il pas de meilleur plaisir qu’un plaisir retardé ?

 

– Bon là-bas on se réveille, on va préparer la bouffe. Clame Isabelle en tapant dans ses mains

 

Dorothée sort de sa torpeur et s’étire :

 

– Maintenant que vous vous êtes bien amusés, je peux vous demander si vous avez réfléchi à ma vengeance ? Demande la rouquine qui avait oublié de perdre le Nord.

– Ben non on n’a pas encore trouvé, mais on y réfléchi ! Répond Béatrice assez embêté quand même.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 09:24

Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 5 – Les gendarmes et monsieur le maire – par Maud-Anne Amaro

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– Qu’est ce qui te fait dire que Rémy et Caribou savaient qu’on était à l’intérieur ? Demande Béatrice

– Il n’y a qu’un seul chemin pour arriver en bas de la grotte, Remy a fortement vu vos voitures…

– En admettant… et Caribou ?

– Caribou aurait dû lui dire de vérifier si la grotte était vide, il ne l’a pas fait, en fait il s’en fout de vos vies.

– Oui, évidemment… balbutia Béa en fait peu convaincue

– Tu nous as parlé d’une photo, on peut la voir ? Intervint Solène.

 

La fille sortit son smartphone et leur montra la photo en question. Solène et Béatrice ne se souciaient pas de l’échafaudage et regardèrent la grotte.

 

– Tu peux zoomer ? Mieux que ça ! Oh, c’est Isabelle avec son machin vert, à côté on dirait Rimaillon, le troisième on ne distingue pas bien. T’avais raison, il savait qu’il avait du monde et il était parti pour nous laisser crever.

 

– Alors d’accord on va t’aider, Lui promit Béatrice, je ne sais pas trop comment mais on va t’aider.

 

Jeudi 16 avril

 

A la ferme des Closets, dans la bâtisse où s’abrite la petite communauté de marginaux, l’ambiance est devenue bizarre.

 

Caribou s’est un peu remis de ses émotions mais reste bien amoché, il a refusé le concours d’un médecin au titre que ce dernier pourrait prévenir la gendarmerie et que ces derniers ne sont jamais les bienvenus dans sa vision du monde.

 

– Il s’est passé quoi au juste ? Demande Georges en présence de la petite bande.

– C’est cette salope de Dorothée qui m’a flanqué un coup de pelle !

– Dorothée ? Mais elle nous a dit que c’était Rémy.

– Rémy il n’a rien fait, c’est Dorothée, je vous dis, et d’ailleurs elle est où cette salope ?

– J’en sais rien, elle est partie soi-disant faire des courses, mais je ne l’ai pas vu revenir..

– C’est bien parce qu’elle a quelque chose à se reprocher !

– Mais quoi ?

– Dorothée était d’accord pour payer Rémy en nature, elle l’a même bien allumé, et quand il lui a fallu passer à l’acte, elle s’est dégonflée.

– Ça n’explique pas le coup de pelle…

– Rémy s’est mis à gueuler comme un putois, j’ai été voir, Dorothée était en train de sortir, par reflexe je lui ai barré la route, et c’est là qu’elle m’a flanqué un coup de pelle. Vous vous rendez compte, elle aurait pu me tuer, cette cinglée ! Si on la retrouve on va lui faire passer un sale quart d’heure.

– Attends, on ne va pas la tuer, non plus !

– La tuer, non, mais tu sais ce qu’on leur fait aux allumeuses ?

– C’est peut-être pas la peine d’être vache, non ?

– Et me foutre un coup de pelle dans la gueule, c’est pas un peu vache, non ?

– Elle a pété les plombs, ça arrive !

– Non elle a trahi la cause, et dans tous les mouvements de résistance, les traitres à la cause sont toujours châtiés, c’est la règle ! Quelqu’un a quelque chose à dire ?

 

Personne ne broncha.

 

– Je voudrais te parler d’autre chose ! Reprit Georges après un moment de lourd silence.

– Ç’est ça, parle-nous d’autre chose !

– Un hélicoptère s’est approché de la caverne de l’ours et il a embarqué le groupe qui se trouvait à l’intérieur.

– Quoi ? Hein ? Quel groupe ?

– J’en sais rien, mais ça veut dire que quand Rémy a dégringolé l’échafaudage, il n’a pas vérifié si la grotte était vide.

– Comment il aurait pu faire ? Demande une fille.

– Il suffisait de regarder en bas pour voir s’il y avait des voitures, c’était pas si compliqué…

– Quel con, mais quel con, ce Rémy, mais bon, c’est pas grave, puisqu’ils ont été secourus, cela dit j’m’en bats les couilles de ces connards mais il n’aurait pas fallu qu’on viennent nous chercher des poux dans la tête.

– Sur la photo que t’a prise, on les voit, les gens ? Demande Georges.

– Bien sûr que non !

 

Mais saisi d’un doute, Caribou sort son smartphone, dévoile la photo, la zoome.

 

– Merde, faut bien zoomer, mais on voit bien deux silhouettes, même une troisième, j’ai pas fait attention, ce qui m’intéressait c’est de photographier l’échafaudage écroulé, et puis comment je pouvais deviner qu’il pouvait y avoir des gens à l’intérieur ? Putain, j’aurais jamais dû poster cette photo. S’il y a une enquête on va être accusé de complicité.

– Il n’y aura pas d’enquête ! Dit Louison se voulant rassurant.

– T’en sais rien, le Rémy, il est tellement con qu’il est capable de parler à tort et à travers. Faut absolument l’empêcher de parler… par tous les moyens, Louison tu t’en occupes ?

– Pas de soucis.

– Tu devrais aller te coucher, Caribou, lui dit Georges, tu ne tiens plus debout !

– T’as raison, je vais me reposer.

 

Georges attend que son camarade soit hors de vue pour déclarer.

 

– C’est pas clair son histoire ?

– Quelle histoire ? La grotte ?

– Non pas la grotte, le coup de pelle.

– Pourquoi ce ne serait pas clair ?

– Parce que Dorothée m’a donné une tout autre version.

– Et pourquoi tu ne croirais pas Caribou, il ne nous a jamais menti !

– Tu préfères croire l’autre salope ?

– Pourquoi tu la traites de salope, alors que tu n’as aucune preuve…

– Parce que je crois Caribou !

– Ecoutez-moi au lieu de brailler, quand deux personnes ont des versions différentes, la moindre des choses c’est de ne pas en préférer d’office l’une à l’autre.

– Exactement la définition de la démocratie petite bourgeoise ! Intervient Louison, rouge de colère. Comme si la parole des exploiteurs étaient aussi valable que celles des exploités.

– Quel argument !

– Ça vaut largement les tiens

– N’importe quoi ! Je crois que je ne vais pas faire de vieux os ici !

– C’est ça casse toi, tu pues !

– Toi, tu me parles autrement !

– Je te parle comme j’ai envie, t’es en train de foutre la merde.

– Evidemment persifle Vicky, il est amoureux de Dorothée, C’est normal qu’il la défende.

– Non mais ça va pas, espèce de cinglée !

– Tiens, ça c’est de la part de la cinglée !

 

Georges n’avait pas vu venir la gifle, Vicky n’avait pas frappé fort mais le garçon se sentit humilié comme jamais. Une bouffée de haine l’envahit, Louison le toisait avec un rictus de mépris. Perdant tout contrôle, il s’avança vers lui, mais un coup de poing dans l’estomac l’empêcha d’agir plus avant.

 

Le groupe s’éloigna laissant Georges désemparé, humilié et une barre dans le ventre. Après quelques instants d’hébétude, il monta rassembler ses quelques affaires, puis pris le chemin de Glandville.

 

– Marre de ces connards, je m’en vais aller voir ailleurs !

 

A la gendarmerie, le brigadier-chef se demande s’il doit donner suite à la plainte de Corentin Rimaillon, mais c’est un homme consciencieux et il joint par téléphone l’entreprise d’échafaudages.

 

– Mais, c’est impossible, voyons : En près de 10 ans d’activités, nous n’avons jamais eu à déplorer un accident de ce genre, on connait notre métier.

– Je vous envoie la photo du désastre sur votre téléphone et je vous rappelle aussitôt après.

– C’est du sabotage ! Dit l’homme après avoir reçu la photo, on voit que les pieds ont été dévissés.

 

Le gendarme se fit préciser à quel endroit aurait eu lieu le dévissage, et envoya deux hommes contrôler la chose.

 

– C’est bien du sabotage ! Chef !

– Qui a bien pu faire ça ?

– Y’a une bande de hippies à la ferme des Closets, on devrait aller y faire un tour…

 

Louison est d’autant plus satisfait de la mission que lui a confié Caribou, qu’il ne peut pas souffrir Rémy. Pour lui il est l’image type du montagnard borné, ne comprenant rien aux enjeux de la civilisation et ne fonctionnant qu’à coups de dictons vaseux, de certitudes péremptoires et d’a priori en vrac. Et puis il n’aime pas sa dégaine, son rictus baveux et ses verrues disgracieuses. L’amour fou en quelque sorte.

 

Rémy n’est pas dans sa baraque, alors Louison attend, s’accroupit… et s’endort…

 

– Qu’est ce tu fais là, toi ?

– Hein, quoi ? Je me suis endormi. Bafouille Louison. Il est quelle heure ?

– Ché pas.

– On a un problème…

– M’en fous vas-t-en !

– Tu ne veux pas m’écouter ?

– Vas-t-en !

– Juste cinq minutes

 

Louison ne s’attendait pas à avoir affaire à une telle tête de lard .

 

– Quand t’as foutu l’échafaudage en l’air, il y avait du monde dans la grotte !

– Et alors ? Va-t’en, je t’ai dit !

– Alors si les gendarmes viennent te voir, il s’agirait de ne pas raconter n’importe quoi !

– Je ne suis pas débile.

 

Louison se retint de lui répondre : « mais si, t’es complètement débile »

 

– Tu vas leur dire quoi aux gendarmes ?

– Vas-t-en, je ne veux plus discuter avec la bande à Caribou, se sont trop foutus de ma gueule.

– Comment ça ?

 

Et cette fois Rémy perdit son calme et se mit à éructer :

 

– On m’avait promis que je ferais l’amour avec Dorothée, elle n’a même pas voulu me sucer ! C’est pas des manières de faire.

– Caribou n’y est pour rien !

– S’il n’était pas sûr de la fille, il n’avait pas à me faire cette promesse.

– On a deux autres filles à la ferme, on peut peut-être s’arranger.

– Non, c’est pas correct, et puis une promesse, c’est une promesse, c’est avec Dorothée que je veux faire l’amour !

– Bon, on va essayer d’arranger ça, mais dis-moi ce que tu vas dire aux gendarmes.

– Je dirais ce que j’ai envie de dire.

– Ça t’amuserai d’aller en prison ?

– J’irais pas en prison !

– Moi, je crois que si.

– Non parce que c’est Caribou qui a tout manigancé, il s’est foutu de ma gueule, je ne trinquerais pas pour lui, c’est un salaud !

 

Et voilà, Louison savait désormais ce que dirait Rémy en cas d’enquête. Il ne pouvait laisser faire ça… mais comment faire ?

 

– Je te propose un deal : aux gendarmes tu leur dis que tu ne sais rien, que ce n’est pas toi. Tu ne dis rien d’autre et surtout tu ne parles pas de Caribou. Si on fait comme ça, dis-moi ce que tu veux en échange !

– Vas-t-en !

 

C’est alors que Louison eut une idée machiavélique.

 

– Tu sais au moins qu’il y a eu un mort ? Bluffa-t-il.

– Non !

– L’un des mecs a descendu la grotte en s’aidant des pitons d’alpinistes il a fait une chute et s’est blessé, mais il a continué à marcher et il est tombé dans une pente à pic.

– Où ça ?

– Je t’emmène voir si tu veux.

 

Ils n’eurent pas à aller bien loin, les deux hommes s’approchent du gouffre.

 

– C’est là!

– Je vois rien !

– Approche toi mieux.

 

Louison attendait que Rémy soit proche du bord pour le balancer dans le vide, mais ce dernier, habitué aux pièges de la montagne se mit à plat ventre pour s’approcher.

 

« Je vais attendre qu’il se relève, et bababoum… »

 

– Je ne vois rien, répéta Rémy.

– C’est peut-être une bête qui a déplacé le corps.

– Quelle bête ? Demande-t-il en se relevant.

 

Pensant le moment opportun, Louison pousse Rémy, mais ce dernier est peut-être simplet, mais cela ne l’empêche pas d’être un solide gaillard. La montagne, ça vous forge un homme. Déstabilisé légèrement, il pivote sur le côté opposé au gouffre. Perdant le contrôle de la situation, Louison lui fonce dessus, Rémy esquive, le fait se déplacer sur sa gauche… trop près du bord. Louison perd l’équilibre, tombe et s’écrase dans le vide en hurlant..

 

– C’est pas de ma faute ! Se dit Rémy, il n’avait qu’à pas être méchant.

 

Et il repart, tranquillou rejoindre sa baraque

 

Caribou finit par s’inquiéter de l’absence prolongée de Louison, Vicky sa copine le presse d’aller se renseigner.

 

– Bon on y va tous les deux ! Consent-il sans enthousiasme.

– Eh, vous n’allez pas me laisser toute seule ! Protesta Mariette

– Eh bien, viens avec nous.

 

Ils se dirigèrent tous les trois vers la cabane de Rémy, le trouvèrent endormis, le réveillèrent.

 

– Oh ! On ne peut pas roupiller tranquille. Foutez-moi le camp !

– On veut juste savoir si tu as vu Louison ?

– J’ai vu personne, foutez-moi la paix !

– Y’a longtemps que t’es rentré ?

– Mais qu’est-ce que ça peut bien vous foutre ?

– Réponds-nous et on te laisse dormir.

– Mais j’en sais rien, moi, j’ai été cueillir des champignons et je suis rentré me coucher.

 

Les trois personnages n’insistèrent pas et laissèrent Rémy tranquille, tout surpris de s’en tirer à si bon compte.

 

– Louison est venu voir Rémy, il ne l’a pas trouvé et en attendant qu’il rentre, il est parti faire un tour, et là il lui est arrivé quelque chose, mais quoi ?

 

Vicky propose d’explorer les environs, Caribou ne peut refuser. Ils tournent en rond élargissant à chaque fois le cercle de leur recherche.

 

Fatalement ils parviennent au bord du précipice, ils regardent en bas avec de multiples précautions.

 

– Non mais c’est pas vrai ! Hurle Vicky en reconnaissant le corps sans vie de son petit copain grâce à son t-shirt vert.

 

Vicky en larmes se réfugie dans les bras de Mariette, la crise dure plusieurs minutes.

 

– On va prévenir la gendarmerie… commence Vicky.

– Pourquoi faire ? Demande Caribou

– Comment ça pourquoi faire ? On ne va pas le laisser là !

– Quand on est mort on est mort !

– Non, mais t’es con ou quoi ?

 

Mariette sort son portable.

 

– Tu sais bien que ça ne passe pas ici !

– J’essaie.

– Je t’interdis d’appeler !

– De quoi ?

– Il faut qu’on discute d’abord !

– Merde !

 

Furieux ! Caribou s’empare du téléphone et le jette dans le vide.

 

– Sale connard ! Lui balance Mariette en le giflant.

 

Il ne s’y attendait pas, il ne réplique pas, se rendant maintenant compte de son isolement et ne sachant que faire ni dire.

 

– Viens Vicky, on se casse d’ici.

 

Caribou les regarde s’éloigner, il sait que quand il reviendra à la Ferme des Closets, il n’y aura plus personne. Son rêve et ses ambitions s’écroulent, il lui faudra tout recommencer à zéro, retourner à Paris, reformer un groupe.

 

L’autre problème ce sont les gendarmes. Que vont-elles leur raconter exactement ? Et puis il est probable qu’on leur demandera de rester sur place quelques jours. Caribou en profiterait donc pour prendre la poudre d’escampette.

 

Et c’est exactement ce qu’il fit.

 

– L’accident est arrivé dans quelles circonstances ? Demande le brigadier Chavier, responsable du poste de Glandville

– On en sait rien, Caribou lui avait demandé…

– Qui ça ?

– Caribou, on ne connait pas son identité…

– C’est pratique.

– Donc Caribou lui a demandé d’aller voir un mec qui habite dans la montagne, comme il ne revenait pas, on s’est inquiété et on a découvert le corps.

– Il est où ce Caribou ?

– A la ferme de Closets…

– Ah, c’est vous les hippies ?

– On n’est pas des hippies.

– Reprenons, c’est qui ce type que la victime devait voir ?

– Il s’appelle Rémy, il vit dans une baraque.

– L’échafaudage, c’est vous ? Demanda le brigadier.

– Pourquoi ça serait nous ? Répliqua Mariette.

– Et pourquoi ça ne serait pas vous ?

– Parce que c’est pas nous, pourquoi on aurait fait ça ?

– Parce que les gens comme vous sont capables de tout.

– Écoutez on est pas vraiment venu pour ça.

– Bon, vous allez me donner vos numéros de portable. Interdiction de quitter le secteur jusqu’à nouvel ordre.

– Mais enfin, on n’a rien fait !

– L’entretien est terminé.

 

Les deux femmes sortirent du poste complètement déboussolées .

 

– On fait quoi ?

– J’en sais rien, si ce con de gendarme ne nous rappelle pas aujourd’hui, on couche où ?

– A la belle étoile,

– Et s’il pleut ?

– Il pleuvra peut-être pas.

 

Le brigadier se concerta avec son adjoint.

 

– On va demander l’hélico pour treuiller le macchabé, mais le plus urgent c’est d’aller faire un tour à la Ferme des Closets, l’échafaudage, il n’est pas tombé tout seul.

 

La ferme était vide et montrait les traces d’une activité récente : vaisselle et serviettes encore humides, cendriers non vidés. Les gendarmes fouillent un peu partout.

 

– Ça y va le cannabis, chef !

– On est pas là pour ça !

– Un sac à dos, là !

 

Ils le vident et constatent qu’il s’agit des affaires de Louis Berthier dit Louison.

 

– Y’a son téléphone portable, chef !

– Super ! Mais pourquoi il ne l’avait pas sur lui ?

– Y’a pas de réseau, ici chef !

 

Il consulte la liste des contacts :

 

– Super ! On a le numéro de portable du dénommé Caribou, on va pouvoir le localiser.

 

En se servant des indications fournies par Mariette, ils se rendirent ensuite à la cabane de Rémy.

 

Ce dernier est blanc comme un linge. Il pense cette visite liée à la chute mortelle de Louison aussi est-il étonné de la question des gendarmes :

 

– L’écroulement de l’échafaudage, tu peux nous en dire quoi ?

– Rien.

– Il n’est pas tombé par accident, il a été saboté.

– Ah ?

– T’es sûr que t’as rien à voir là-dedans.

– Puisque je vous le dis.

– Tu vas nous donner tes empreintes, juste pour vérifier.

 

Affolé, Rémy change de discours :

 

– D’accord l’échafaudage c’est moi, mais Louison c’est pas moi, il a glissé tout seul.

 

Le gendarme néglige la deuxième partie de la phrase, obnubilé qu’il est par l’affaire de l’échafaudage.

 

– Pourquoi t’as fait ça ?.

– C’est Caribou qui m’a demandé de le faire.

– Et t’as accepté, comme ça sans problème ?

– Il m’avait promis que je pourrais faire l’amour avec Dorothée.

– C’est qui Dorothée ?

– La pute de Caribou, et elle n’a pas tenue sa promesse, cette salope !

– Bon, on t’emmène avec nous, tu vas nous raconter tout ça en long et en large.

– Non, moi je reste là.

– Nous oblige pas à être méchants, tout va bien se passer.

 

Georges n’a pas eu de chance, posté à la sortie de Glanville, il n’a trouvé personne pour le prendre en stop. Faut dire que fringué comme il est : tee-shirt déchiré et crasseux, cheveux jusqu’au milieu du dos, barbe hirsute…

 

Il revient dans le bourg, cherche une terrasse et tombe sur Mariette et Vicky. Il hésite à les aborder, n’ayant toujours pas digéré l’attitude de Vicky et sa gifle humiliante, mais la curiosité est la plus forte, il veut savoir ce qu’elles font ici avec leur sacs à dos.

 

– Vous faites quoi ici ? Leur demande-t-il.

– Louison est mort ! Répond simplement Mariette.

– Quoi ?

 

Les filles lui expliquent .

 

– Putain, j’y crois pas ! Et vous allez faire quoi ?

– Les gendarmes nous ont demandé de rester. Ce n’est pas pour Louison, c’est pour l’échafaudage.

– Ah ?

 

Les filles ne l’invitent pas à s’assoir à leur table, il s’en va ailleurs.

 

Quelques heures plus tard les gendarmes appelaient les deux filles en leur demandant de passer

 

– Voilà, le dénommé Rémy Marshall a avoué. Il est au chaud à côté.

– Il a avoué quoi ?

– Avoir saboté l’échafaudage en échange d’une promesse de service sexuel par une dénommée Dorothée. Que pouvez-vous nous dire à ce sujet ?

 

Les deux filles s’échangent un regard, surprises que Rémy se soit mis à table.

 

– Attendez, reprend le brigadier, nous allons vous interroger séparément, je suis désolé mais c’est la procédure.

 

On invite donc Vicky à sortir et à patienter dans le couloir.

 

Le soucis, c’est que les deux filles n’ayant pas prévu ça, ne se sont pas concertées et qu’en mentant ou en cachant des trucs, elles risquent de se contredire. Alors Mariette décide de faire front et de retrouver son ton de militante.

 

– Cet échafaudage défigurait la montagne, on a donc décidé de le saboter, on a demandé à Caribou de faire le boulot.

– Et en ce qui concerne le service sexuel ?

– Dorothée s’est portée volontaire

– Et puis…

– Et puis j’en sais rien, il y a eu une embrouille .

– Vous saviez qu’il y avait du monde dans la grotte.

– Non.

– Quelqu’un le savait ?

 

Mariette se sent piégé.

 

– Il y avait une chance sur cent pour qu’il y ait quelqu’un, on ne s’est pas posé la question.

– Quand l’avez-vous l’avez su ?

– Quand on a vu l’hélicoptère.

– Pas avant ?

– On aurait dû le voir, on ne l’a pas vu !

– C’est de l’inconscience !

– Non c’est un concours de circonstances, mais c’est pour ça que le groupe a éclaté, on aurait dû s’assurer que la grotte était vide, ça n’a pas été fait.

– C’est qui « on » ?

– Je ne vous en ai pas assez dit, peut-être ?

– Répondez !

– Vous me fatiguez !

– Caribou ? Rémy ? Les deux ?

– Concluez ce que vous voulez.

– Tu veux pas nous le dire, ta copine nous le dira.

– Laissez la tranquille, oui, c’est Caribou et Rémy !

– Bon, on veut la .liste de tous les occupants de la Ferme et vous nous dites où ils sont passés

– Georges et Dorothée sont partis dans la nature, Caribou, j’en sais rien.

– Vous ne connaissez que les prénoms, vous n’avez pas les identités.

– Non !

 

Pas grave, se dit le brigadier, avec le téléphone de Louison, on trouvera tout.

 

Le brigadier Chavier n’interrogea pas Vicky, ayant appris tout ce qu’il avait besoin de savoir et il ne jugea pas nécessaire de placer les deux jeunes filles en garde à vue.

 

– Foutez le camp ! Et qu’on ne vous revoie plus dans le coin.

 

Vendredi 17 avril

 

Les gendarmes de Briançon ont relâché Justin Verrier la veille, sans le mettre en examen pour quoi que ce soit. Il veut téléphoner aussitôt à Isabelle mais n’a plus de batterie, ni de quoi recharger, le temps de s’occuper de tout ça puis de récupérer sa voiture, il se dit qu’il a besoin de se reposer… et ce n’est que ce matin qu’il retrouve toute la petite compagnie à la terrasse d’un café de Briançon. On lui présente Dorothée, il la trouve charmante .

 

– Est-ce que vous pouvez rester ici encore un peu ? Demande-t-il à Martinov et Béatrice, je vais aller trouver le maire de Glandville. Si vraiment il me met des bâtons dans les roues, je laisserai tomber l’affaire, sinon on verra comment on peut s’organiser. Isabelle je t’emmène, une présence sexy, ça peut servir.

– Je suis une présence sexy, moi ?

– Mais bien sûr mon amour ! Habille-toi en conséquence.

– Mais je n’ai rien apporté de sexy.

– Va t’acheter un petit truc, tiens prend ma carte bleue…. Et tu achèteras des capotes par la même occasion.

 

Le maire est un petit bonhomme jovial et sanguin, d’abord indifférent aux propos de Verrier, il change rapidement d’attitude, d’une part parce que le décolleté d’Isabelle l’interpelle mais aussi parce qu’on lui explique que cette affaire est propre à faite venir du touriste en nombre et par conséquent de valoriser la zone et de faire marcher le commerce

 

– Mais vous allez réinstaller un échafaudage ?

– Non, je pensais à un ascenseur…

– Un ascenseur ?

– Oui, quelque chose de très léger qui s’intègre au paysage, un truc en verre discret…

– Mais ça m’a l’air parfait tout ça, revenez me voir avec le projet d’ascenseur et je vous signerais la paperasse.

– Euh sinon, la gendarmerie est en train de s’exciter là-dessus…

– Je sais, je suis au courant, une bande de beatniks a saboté votre échafaudage, il semblerait qu’ils aient quitté le secteur, sauf un mec un peu fada qu’ils ont manipulé.

– On ne peut pas calmer le jeu ?

– Je peux m’en occuper, le capitaine de gendarmerie ne peut rien me refuser, mais un petit geste de votre part faciliterait les choses .

– Mais bien entendu, monsieur le maire, dites-moi votre prix.

 

La démarche de Justin n’avait rien d’altruiste, il souhaitais simplement que la plainte de Rimaillon finisse aux oubliettes.

 

– Hum vous m’embarrassez, on va croire que je suis corruptible… Répondit fort hypocritement l’édile

– Dans ce cas ne parlons pas d’argent, ma compagne n’est pas farouche et si elle vous intéresse, pour elle ce ne sera pas une corvée, n’est-ce pas Isabelle ?

– Mais non, je trouve Monsieur le Maire très sympathique.

– Je suppose que vous allez rester dans le coin, le temps de faire les démarches…

 

Justin ne compris pas ce brusque changement de conversation.

 

– Oui, nous sommes descendus à Briançon… En même temps on pourra profiter de la région…

– J’ai un gîte rural de libre en ce moment, si ça vous intéresse, je vous le loue à un prix avantageux.

– Ma foi, pourquoi pas.

– Venez, on va le visiter, c’est tout près d’ici. Cela me permettra de profiter de votre proposition en toute discrétion.

 

Sur place, Monsieur le Maire proposa de remette la visite des lieux après la gâterie promise.

 

– Je vais vous laisser, je vous retrouve dans une demi-heure ! Proposa Justin.

– Remarquez, si vous voulez assister, ça ne me dérange pas, assister ou participer, ce serait encore mieux.

– Alors faisons comme ça !

– On se déshabille alors ? Demande benoitement le maire

– Ce sera plus cool en effet.

 

Les deux hommes se déshabillent, Isabelle ne le fait pas complètement et reste en soutien-gorge et culotte de dentelle.

 

– Vous ne retirez pas….

– Non, je vous laisse le plaisir de le faire, monsieur le maire !

 

Ce dernier devient rouge de confusion, passe derrière la jolie brune et s’escrime après les agrafes qu’il n’arrive pas à défaire.

 

Tout content d’y être parvenu après plusieurs essais infructueux, il peut maintenant contempler ces jolis seins un peu lourds qui semble le narguer.

 

– Ils sont beaux ! Commente-t-il bêtement.

– Ils sont à vous pour le moment, vous pouvez les caresser, les embrasser, mais avec douceur.

– N’ayez crainte je suis doux comme un agneau

– Voilà qui tombe bien, j’adore les agneaux.

 

La permission lui étant accordé l’édile se jette sur la poitrine de la belle mature, la tripote, la malaxe, la lèche, lui gobe les tétons mais pas trop fort de peur de se faire engueuler.

 

– Vous allez me laisser en slip ?

– Mais non, mais non ! Dit-il en baissant la petite culotte et du coup il lui fait un gros bisous sur les fesses.

– Je vous fais bander, on dirait !

– Hé !

– Voyons voir cette chose ? Reprend-elle en la prenant en main (la chose)

 

Quelques mouvements de masturbation, puis une petite flexion des genoux, et hop voilà la bite du maire dans la bouche d’Isabelle.

 

Et pendant qu’il se fait sucer, l’élu du peuple, lorgne avec insistance la bite de Justin qui se contente de se masturber mollement.

 

Le maire regarde, regarde, et puis il ne peut s’empêcher de dire :

 

– Vous avez une bien belle bite, cher monsieur !

– Ah, vous trouvez ? Vous appréciez les bites ?

– C’est juste une remarque esthétique, n’allez pas croire autre chose.

– Je ne crois rien du tout mais si voulez la voir de plus près, je veux bien m’approcher.

– Ne vous donnez pas cette peine ! Sauf si vous en avez envie, évidemment.

– Alors dans ce cas …

 

Justin s’approche très près, il a compris que le maire était probablement bisexuel.

 

– Si voulez toucher, je me laisserai faire.

 

Le maire ne répond pas, mais il le fait. Isabelle qui a suivi la scène a compris elle aussi, et son doigt s’en va fureter du côté de l’anus de l’élu.

 

– Vous aimez ce que je fais avec mon doigt ?

– Je, je… bafouille-t-il

– Vous aimeriez me sucer ? Lui demande Justin.

– Ça ne vous choque pas ?

– Pas du tout, il a beaucoup plus d’hommes bisexuels que ce que vous pouvez imaginer, et je trouve que c’est très bien comme ça !

 

Du coup le maire n’a plus aucun scrupule et englouti la bite de Justin.

 

« Putain, il suce comme un cochon, il a les dents qui râpent ! »

 

– Le plaisir anal vous aimez aussi ? Demande Justin afin de chercher la diversion.

– Ma foi quand c’est bien fait !

– Je pourrais par exemple vous sodomiser pendant que vous baisez ma femme.

– L’idée me plait bien.

– Alors mettons la en pratique !

 

Ours05

 

Les hommes s’encapotent. Tout le monde se déplace vers le canapé, Isabelle y prend place et écarte les cuisses. Le maire vient la pénétrer, Justin passe derrière ce dernier, lui écarte ses grosses fesses et l’encule.

 

L’enfilade ne dure pas bien longtemps, le maire excité comme une puce par la situation et par le mouvement de la bite de Justin dans son anus, ne tarde pas à jouir.

 

Isabelle a fait semblant de jouir, Justin ne s’est même pas donné cette peine.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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