Lundi 2 août 2021 1 02 /08 /Août /2021 08:55

Le Pervers par Marie-Paule Perez

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Qui n’a pas un jour ou l’autre flirter dans un bar pour quitter à la fin de la soirée avec une connaissance ou un parfait inconnu même?? Cette nuit-là, à la fermeture du bar. c’est en pleine nature que je me suis retrouvée avec Le Pervers. C’est à Fort-Chambly que nous nous sommes arrêtés. Avec pour seul tapis l’herbe fraiche et humide, pour musique de fond le ruissellement de l’eau coulant à proximité.

 

Ses yeux me regardent m’examinent, me transpercent. Et ses paroles parfois crues et vulgaires m’excitent. Le Pervers possède ce côté brute que j’aime et qui me fait mouiller la chatte :

 

– Déshabille-toi, salope ! Qu’est-ce que t’attends?? C’est pour te faire fourrer que tu es venue ici? !?

 

Mal à l’aise. Je m’exécute. Ne portant volontairement pas de sous-vêtements ce soir-là. il me suffit de laisser glisser ma robe sur le sol pour me retrouver en toute nudité. Le Pervers m’observe et sourit.

 

Je m’agenouille devant lui et défait son pantalon. Son sexe est dur et gonflé. je le caresse doucement, je le regarde sourire en coin et j’approche mes lèvres tranquillement. ma langue s’attarde sur son gland puis se promène sur son sexe en entier. Je lèche un moment ses testicules poilues avant d’enfoncer son sexe totalement dans ma bouche, mes lèvres montent et descendent sur sa jolie queue toute raide. Je le pompe avec ardeur et d’une main je caresse mon entre cuisses qui ruisselle déjà.

 

Je le suce pendant un long moment. Je lèche sa raie aussi, ma langue curieuse fouille son trou merdeux. puis ma bouche affamée revient engloutir son sexe dans sa totalité.??

 

– T’es vraiment cochonne?! J’ai envie de te pisser dans le visage, salope??

 

Je me suis retirée, j’ai pris son sexe dans ma main et l’ai porté à mes lèvres. J’ai attendu quelques secondes, puis le chaud liquide est venu se déverser dans ma bouche, liquide amer que j’avalais, que je buvais. Et puis le jet est devenu plus fort, j’avais peine à avaler sans m’étouffer. Un mouvement de recul. et voilà le jet qui m’éclabousse en pleine figure, qui dégouline sur mon menton, mes seins.

 

Pervers

Le Pervers me saute littéralement dessus, me renversant par terre. et me fourrant à grands coups sans trop de minutie. J’aime être prise violemment. Je sens mes fesses qui glissent sur l’herbe humide. Je sens ses mains qui empoignent mes seins fermement, presque douloureusement. je sens surtout sa queue gonflée et prête à exploser qui me lime l’intérieur. L’odeur de l’urine mélangée à celle du sperme me rend chienne de par son parfum aphrodisiaque, je jouis et je crie, ici aucun voisin. aucune oreille pour entendre, alors je crie mon plaisir, avant d’entendre le grognement qu’émet Le Pervers.

 

Le silence prend place, je profite de l’immobilité du Pervers pour venir lécher son sexe doucement. Ma langue voyage lentement sur ses parties. ma bouche embrasse cette queue mi tendue, mes doigts explorent son entre fesses. puis tranquillement glissent vers son trou. J’insère un doigt avec d’infinies précautions, ma bouche se fait plus insistante sur sa queue, je le fouille et je le suce, je sens son sexe durcir dans ma bouche.

 

Je m’installe à quatre pattes et je lui dit :

 

– Viens fouiller mon cul toi aussi??

 

Le Pervers s’approche et d’un coup de reins m’enfonce sa queue dans le cul. Je laisse échapper un cri.??

 

– Ta gueule p’tite enculée?!??

 

Je me mords les lèvres. Le seul bruit qu’on entend est celui du bas-ventre du Pervers qui vient frapper contre mes fesses. Je me fais enculer et j’aime me faire remplir le cul. Je jouis encore une fois, tandis qu’il me fait nettoyer sa bite maculée de merde et sperme.

 

C’est le lever du soleil et quelques promeneurs matinaux qui ont mis terme à nos jeux. Prenant le chemin du retour au volant de ma voiture. j’ai le sentiment d’être sale. l’odeur de l’urine, l’odeur de cul. les brins d’herbes collés sur ma peau et la terre sous mes ongles en témoignent. je suis vraiment sale?! Et je souris à cette pensée?!

 

Arrivées avenue Bourgogne, Le Pervers demande à descendre. Pas d’aurevoir, pas de bisou, mais il me jette deux billets.

 

– Tu les as bien mérités, jolie pute !

– Merci m’sieur !

 

Je reprends la route, celui-là, je sais déjà que je le reverrai la semaine prochaine.

 

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-Paule Perez
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Lundi 2 août 2021 1 02 /08 /Août /2021 08:43

Mais… quel était donc le titre de ce film ? par Irénée Vardin

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Mais… quel était donc le titre de ce film ?

 

C’était il y a quinze ans.

 

Ce soir-là, le temps était tellement maussade que nous n’avions absolument pas envie de faire quoique ce soit lorsque le téléphone résonna dans le salon. Nicole répondit d’une voix morne se demandant probablement qui pouvait bien appeler par une soirée semblable. La pluie tambourinait sur les vitres du salon tandis que le vent sifflait dans les arbres devant la maison.

 

C’était François, un de mes collègues de travail avec qui je m’entends bien. Nicole le trouve très séduisant, comme à peu près toutes les femmes, et j’en suis entièrement conscient. Je sais très bien que les deux se sentent sexuellement attirés l’un vers l’autre. Il s’était récemment séparé de son épouse et il trouvait les soirées longues à l’occasion. François, tout comme Nicole d’ailleurs, est un amateur de cinéma et la raison de son appel était de nous inviter à voir un nouveau film présenté au centre-ville.

 

Nous avons alors accepté son invitation. Je décidai alors de prendre une douche avant de partir et Nicole vint bientôt me rejoindre. Je ne me lasse jamais d’admirer son corps superbe. Ses seins, quoique modestes sont fermes et auréolés de mamelons roses très pâles. Ses jambes sont longues et effilées et ses fesses sont probablement les plus belles qu’il m’a été donné de caresser dans ma vie. Lorsque je tentais de la caresser sous la douche, c’est avec un sourire en coin et un petit éclair dans les yeux qu’elle me pria de garder mes énergies.

 

Dans la chambre à coucher, alors que je me préparais à m’habiller, je tentais encore une fois de la toucher mais c’est avec un baiser rapide qu’elle me congédia sous prétexte que nous serions en retard à la représentation. Elle ferma même la porte de la chambre afin de s’habiller en toute quiétude.

 

Lorsqu’elle sortit enfin de la chambre, c’est avec émerveillement que je constatais à quelle vitesse elle était capable de changer complètement d’apparence. En effet, une demi-heure auparavant, je n’aurais jamais pensé la voir aussi ravissante.

 

Elle avait revêtu une jupe portefeuille verte ainsi qu’un haut un peu transparent que j’appréciais particulièrement. Nicole ne porte pratiquement jamais de soutien-gorge et il était possible de déceler les mamelons en érection caressés par le tissu soyeux. Elle partait les cheveux sur les épaules et ceux-ci, d’un blond foncé, reflétaient la lumière. Son maquillage discret ne faisait que souligner ses traits. Ses yeux brillaient d’une façon un peu spéciale mais je ne pouvais expliquer pourquoi. Sa beauté classique ne cessait de me séduire.

 

En route pour le cinéma, alors que je conduisais, elle me dit qu’elle me réservait une petite surprise pour la soirée et qu’elle espérait ne pas me décevoir. C’est un peu intrigué que je rejoignis donc François qui nous attendait dans le hall. Il embrassa Nicole sur les joues et nous échangeâmes une franche poignée de main. Il nous dit que le film était un peu érotique et qu’il espérait que cela nous plairait. La salle était presque vide et nous nous sommes dirigés vers l’allée de droite. Nous prenons place vers le centre de la salle et Nicole est assise entre François et moi. Peu après, les lumières s’éteignent et l’écran prend vie. Après les bandes annonces traditionnelles et souvent agaçantes, le film débuta.

 

Très rapidement, les scènes érotiques commencèrent à se répéter et je me sentais un peu excité.

 

Tout à coup, Nicole me souffla à l’oreille qu’elle se sentait bien entre deux hommes qu’elle trouvait à son goût et elle me prit la main ainsi que celle de François. Celui-ci nous regarda avec un certain étonnement qui se changea rapidement en sourire. Il approcha la main de Nicole de ses lèvres et y déposa un baiser à la fois chaste et sensuel. Nous échangeâmes alors tous les deux, un sourire complice.

 

Il y a longtemps que je savais que François excitait Nicole et je trouvais que le temps était peut-être venu de permettre à la femme que j’aime plus que tout au monde de vivre un certain fantasme. En croisant les jambes, Nicole permit alors à sa jupe de s’ouvrir et c’est alors que je constatais, en raison de la lumière dansante de l’écran, qu’elle portait des bas avec des jarretelles. Celle-ci sait combien je trouve ça excitant et je pus constater que François aussi appréciait. Nous pouvions en effet voir les cuisses gainées de noir et le début de cette chair au-dessus du bas. Nicole se tourna vers moi et m’embrassa. Je pus constater, à sa respiration légèrement saccadée, qu’elle se sentait excitée. Son baiser était sensuel et sa langue jouait avec la mienne. Sa main serrait la mienne et lorsque nos bouches se séparèrent, elle me souffla qu’elle se sentait très femme. François ne pouvait quitter les cuisses de Nicole des yeux. Cela m’excitait beaucoup de voir mon meilleur copain désirer ainsi ma femme. Je libérais alors ma main et la plaçais derrière Nicole et de ma main gauche, je commençai à lui caresser les cuisses, m’attardant surtout sur cette partie de peau si tendre et si soyeuse de l’intérieur de la cuisse.

 

Elle me regarda et je lui souris. Elle comprit alors que tout était permis.

 

Ma main remonta sur ses cuisses les dénudant jusqu’à la culotte noire de dentelle. Ce genre de culotte ne serre pas à l’aine et permet donc plus de liberté. Pendant que je la caressais ainsi, elle se pencha vers notre ami et l’embrassa farouchement. Celui-ci en profita donc pour approcher sa main de ses seins et, avec une certaine gêne, commença à les caresser. Très rapidement, il les avait dénudés afin de mieux les contempler, Il se pencha ensuite sur la poitrine offerte et embrassa ces seins arrogants tout en mordillant gentiment les mamelons. Nicole se cabra sous la caresse et commença à geindre. J’insérais les doigts dans sa culotte et constatais à quel point elle désirait faire l’amour. Sa chatte était déjà toute humide et je n’eus aucun problème pour trouver son clitoris que je caressais avec délicatesse.

 

Elle se tourna vers moi et murmura qu’elle nous désirait tous les deux. J’étais très excité. Elle put le constater alors qu’elle me prit le pénis à travers mon pantalon. Mon érection était très ferme et je fus encore plus excité lorsque je constatais qu’elle caressait également François de la même façon. Je l’embrassais goulûment et commençai à caresser ses seins. Je dirigeai alors la main de François vers sa chatte et celui-ci ne se fit pas prier. Je sentis Nicole soulever le bassin afin de mieux s’abandonner à la caresse et très rapidement, elle fut prise de soubresauts que je connaissais tellement bien. La jouissance la parcourait par vagues incessantes et elle ne put retenir certains gémissements. Les doigts de François ne cessaient de lui parcourir la chatte et c’est toute pantelante que Nicole le suppliait de ne pas cesser.

 

Avec une certaine dextérité, elle était parvenue à extraire nos pénis respectifs de nos pantalons.

 

Elle n’avait d’yeux que pour la bite de François qui est beaucoup plus grosse que la mienne. Je sentais monter en elle un désir qui m’était jusqu’alors inconnu. Son corps obéissait maintenant à toutes nos caresses et ses gémissements devenaient de plus en plus audibles. Je me rendis compte que la culotte de Nicole avait maintenant disparue et que la main de François et la mienne s’affairaient à tour de rôle sur son sexe offert. Elle tenait les jambes bien écartées afin de nous permettre de bien la caresser.

 

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Alors que mon copain la caressait en introduisant trois doigts dans sa chatte et que je dégustais ses seins, elle eut un autre orgasme aussi long que le premier tout en continuant, tant bien que mal, à nous masturber, François et moi. Peu de temps après, elle nous supplia de cesser de la caresser pour quelques instants, Elle désirait reprendre ses sens pendant qu’elle continuait à nous caresser tous les deux à la fois.

 

Tout à coup, elle m’embrassa et me dit :

 

« Je suis très heureuse et je t’aime. François est en train d’éjaculer dans ma main et cela est formidable. Retournons à la maison. Je t’en prie. »

 

C’est en essayant de retrouver une certaine contenance que nous quittâmes précipitamment le cinéma. La guichetière nous regarda avec un certain sourire en voyant Nicole nous tenir par le bras tous les deux. Se doutait-elle de quelque chose ? François nous avait rejoint dans notre voiture et il en profitait pour caresser les seins de Nicole et l’embrassant passionnément durant tout le trajet. C’est donc encore tous excités que nous sommes revenus à notre appartement. Dès notre arrivée, par contre, Nicole prit le contrôle de la situation. Alors que nous désirions la déshabiller complètement afin de lui faire l’amour, elle nous repoussa gentiment en disant que c’était son tour de s’amuser un peu.

 

Elle commença par nous faire tenir debout tous les deux et nous enleva nos chemises tout en nous embrassant partout sur la bouche et sur la poitrine. C’était la première fois que je pouvais voir à ce point combien elle était belle lorsqu’elle avait le goût de faire l’amour. J’aimais la voir embrasser mon ami et le provoquer. Bientôt, elle nous enleva nos pantalons et peu après, elle entreprit de nous enlever nos caleçons. François et moi étions en érection depuis longtemps et elle se plaisait à se faire désirer. Lorsqu’elle m’enleva mon caleçon, elle prit ma bite dans sa bouche pendant qu’elle me caressait avec ses mains. La douceur de sa langue ainsi que la chaleur de sa bouche m’amenèrent rapidement à une excitation maximale. Je dû me retenir pour ne pas laisser aller ce jet de sperme immédiatement dans sa gorge et je lui retirais ma pine afin de profiter encore plus longtemps de cette folie érotique.

 

Elle se retourna donc vers mon ami et je pus constater le désir de Nicole lorsque le pénis de François fut enfin libre. Elle commença par le caresser lentement et délicatement avant de le lécher. Elle semblait sucer un bonbon longtemps désiré. Elle mangea ainsi mon copain durant plusieurs minutes. Elle nous fit enfin asseoir sur le divan du salon et commença à nous faire un strip-tease. Jamais je ne l’avais vue aussi sensuelle. Elle caressait ses seins en nous les offrant, mais ne pouvions toujours pas la toucher. Lorsqu’elle se défit enfin de sa jupe, elle ne garda que ses bas ainsi que ses jarretières.

 

Ses yeux pétillaient de désir en regardant nos pénis en érection et nous pouvions voir quelques gouttes de jus perler sur les poils de sa chatte.

 

Elle nous prit alors par la main tous les deux afin de nous conduire dans notre chambre. Nous ne nous sommes pas fait prier et nous voici donc tous les trois dans le lit. Nicole se retrouve rapidement entre nous deux et nous embrassons ses seins pendant que François lui caresse l’entrejambe. Tout à coup, mon copain descend le long du ventre de ma compagne et se retrouve rapidement la figure entre ses cuisses. Nicole se cabre lorsque la langue de François commence à lui lécher les lèvres. Celui-ci est très doux avec elle et je l’apprécie beaucoup. Je regarde le sexe de mon ami avec un certain trouble, à ce point que Nicole finit par s’en apercevoir, alors elle se débrouille pour approcher ce pénis bandé avec fierté de ma propre bouche. Elle demande à François

 

 » Tu veux bien qu’il te suce ? »

 

Il répond par un sourire, Nicole ne m’a rien demandé à moi, sans doute lut-elle dans mon inconscient, et me voici en train de faire une fellation à un homme et d’en ressentir une excitation incroyable. Nicole ne voulant être en reste s’empare alors de mon pénis qu’elle dévore avec appétit. Très rapidement, alors qu’elle me suce avidement, son corps est traversé de soubresauts typiques et je ne peux plus me retenir. Je jouis dans sa bouche en même temps qu’elle. Nous formons alors un curieux triangle, Nicole me suce, je suce François qui n’a pas pour autant cessé de la déguster et lorsque je me retire afin de prendre un certain repos, elle lui demande de venir sur elle et de la pénétrer. Je ne croyais jamais voir autant de plaisir sur son visage et rapidement, elle fut secouée de plusieurs orgasmes. François la pénétrait à la fois avec douceur mais aussi avec toute l’ardeur du mâle.

 

Tous les deux avaient longtemps retenu cette attirance sexuelle qui créait quelques fois une certaine gêne entre nous trois. C’était très beau de les voir et je ne fus aucunement jaloux. Au contraire, j’étais heureux de voir Nicole combler un fantasme et de voir mon meilleur copain être aussi doux avec la femme que j’aime. Et puis j’avais aussi réalisé un de mes propres fantasmes, un fantasme que je croyais enfouis dans mon inconscient mais qui ne demandait qu’à ressurgir à la première occasion

 

Nous avons ainsi fait l’amour toute la nuit sans jamais sentir notre désir s’atténuer et ce n’est qu’au petit matin que nous réussîmes à nous endormir. Le lendemain matin, Nicole vint me rejoindre alors que je prenais ma douche. Elle m’embrassa amoureusement en me remerciant pour la nuit la plus formidable de son existence et me dit :

 

– « C’était formidable de faire l’amour avec François mais tu es l’homme que j’aime ; ne l’oublie jamais. »

 

Peu après, notre ami nous rejoignait dans la douche. Fatalement nos corps se frôlèrent, et François et moi ne tardions pas à bander de nouveau. Irrésistiblement attiré par le sexe de mon ami, je le pris de nouveau en bouche, pendant que Nicole m’introduisait un doigt fureteur dans l’anus.

 

« J’aimerais bien que François t’encule ! »

 

Je ne sais ce qui m’excita le plus, cette proposition inattendue ou la crudité du propos, toujours est-il que je fis à mon ami l’offrande de mes fesses et que celui-ci me pénétra avec tact et douceur, tandis que Nicole les yeux exorbités se régalait du spectacle.

 

Voilà, j’ai voulu coucher sur le papier cette histoire inoubliable, il y en eu d’autres, mais le charme de la première fois a rendu ce souvenir tenace. Mais… quel était donc le titre de ce film ?

 

fin

 

Cette histoire publiée jadis sur le site de sophiexxx a été remaniée pour publication sur le présent site

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Irenée Vardin
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Lundi 2 août 2021 1 02 /08 /Août /2021 08:30

Matinée incestueuse imprévue par Irenée Vardin

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Je suis Tom, étudiant en langues orientales et après avoir passé un an au Japon, je rentrais en France passer quelques jours chez mes parents.

 

Tout commença le lendemain de mon arrivée alors que nous venions de nous lever; ma mère, mon père et moi. Ma mère était vêtue d'une chemise de nuit en coton blanc, mon père et moi étions déjà habillés. Après avoir déjeuné, mon père se leva et alla s'asseoir dans le salon. En se levant, il fit tomber un stylo, mais il ne s'en rendit pas compte. Ma mère, qui avait vu le stylo tomber, se leva et se baissa pour le ramasser. La chemise de nuit lui remonta sur les fesses et je me trouvai nez à nez avec son envoutante chatte, délicieusement et largement entrouverte. J'en restai paralysé, elle se rendit compte de la situation et se releva brusquement et se rassit, en me souriant. 

 

Après avoir terminé mon café, je montai travailler dans le bureau, quelques minutes après, j'entendis ma mère monter, elle allait probablement s'habiller dans sa chambre. En effet, elle y entra et après quelques temps redescendit au rez-de-chaussée, c'est ainsi que la matinée se déroula, moi devant mon ordinateur, mon père derrière son journal et ma mère derrière ses fourneaux. 

 

Au moment où je descendis pour déjeuner, ma mère me demanda d'aller chercher un médicament contre les maux d'estomac dans sa table de nuit. Je m'exécutai, je gravis les escaliers, arrivé dans sa chambre, je m'assis sur le lit et ouvris la table de nuit de ma mère. 

 

Je me trouvai en face d'un joli godemiché encore humide, je ne pus m'empêcher de le humer, et puis de le lécher pour en absorber le jus, ce nectar délicieux me rendait fou. Ensuite je cherchai le médicament mai j'avais beau m'appliquer, je ne le trouvais pas. 

 

J'allai sur le palier et j'appelai ma mère, elle me dit qu'il était peut-être sur une des planches de sa garde-robe, celle du haut, j'enlevai quelques objets, je trifouillais, quand je tombais sur une série de magazines porno. Je m'assis une nouvelle fois sur le lit, pour les feuilleter, ils étaient vraiment hard, il y avait même des revues gays on l'on voyait des jeunes hommes se sucer la bite et s'enculer. Cette vision me fit bander très fort car j'aime bien regarder des belles bites bien raides.

 

A un moment, en tournant une page, une enveloppe tomba d'un des magazine, Je la ramassai, l'ouvris et regardai ce qu'elle contenait : il s'agissait de photos de ma mère, entièrement nue avec ses gros nichons qui, se masturbait avec le godemiché et s'enfonçait un doigt dans l'anus . 

 

Cette découverte me provoqua une érection du tonner de dieu.

 

Ma mère rentra dans la chambre à ce moment- là, surpris, je fis tomber tous les magazines sur le sol, la plupart d'entre eux glissèrent sous le lit à cause du parquet.

 

-  Qu'est-ce que tu faisais ? me demanda-t-elle. 

 

Je la regardai dans les yeux, et lui dit en rougissant :

 

- Je regardais des photos !

 

Elle ramassa la photo tombée à mes pieds et s'assit à côté de moi. Elle me demanda ce que j'en pensais, je lui répondis, un peu gêné, qu'elle était belle. Je me levai et me dirigeai vers la porte. Elle me retint par les bras et me dit : 

 

- Attends, aide-moi à ramasser les magazines sous le lit !

 

Elle s'accroupit, en se frottant à moi. Je bandais encore à cause des magazines, du gode et surtout des photos, elle me fit remarquer que mon entrejambe était tout dur, elle me demanda si c'était à cause des photos, je lui répondis oui. Elle me dit qu'elle avait encore le gode et qu'elle l'utilisait très souvent, elle le sortit de la table de nuit et me le donna, elle me disait qu'il était doux, elle commença à se branler devant mon nez, ensuite elle me dit qu'il avait deux défauts : 

 

- Il est froid et il crache jamais rien, pas comme ça :

 

Elle m'empoigna l'entrejambe, elle s'accroupit par terre, tout en défaisant mes boutons. J'étais assis, jambes écartées au bord du lit, pendant que ma mère me suçait la bite ! Elle me demanda de lui enfoncer le gode dans la chatte, elle me dit qu'il était trop sec et avant qu'elle n'ait pu finir sa phrase je donnais de grands coups de langue sur l'objet. Ma mère me dit alors.

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- Tu suces bien le gode, je parie que tu as déjà sucer des bites.

- Ça m'est arrivé deux ou trois fois, balbutias-je

- Tu as raison, c'est si bon la bite !

- Oui, maman !

 

Elle enleva son tee-shirt et dégrafa son soutien-gorge libérant ses gros nichons que je tétais avec bonheur.

 

Puis, j'approchai le gode de son cul pour le lui enfoncer mais elle me dit de le lui mettre dans la chatte, je lui demandai pourquoi, elle me répondit 

 

- Parce que ce trou là; c'est pour toi :

 

Elle se mit à quatre pattes sur le lit, se lécha le doigt et se mouilla l'anus avec. Je ne tenais plus, j'enlevai mon pantalon complètement et je montai sur le lit, j'enfonça mon membre bien profond dans son cul, mes va-et-vient se firent de plus en plus rapides, elle se mit progressivement à hurler ! J'étais en train de faire jouir ma mère ! J'étais submergé par un sentiment de culpabilité et en même temps je ressentais une jouissance extrême.

 

J'enlevai ma bite de son cul qui ressortit avec un peu de merde, je me baissai et commençai à la lécher, l'anus d'abord ou j'enlevais les petites taches de merde, et j'y donnais des petits coups de langue à l'intérieur, ensuite la chatte, j'en mordillais les bords, tout doucement, puis je commençai à aller plus vite, je léchai complètement sa belle petite chatte de haut en bas et bien profond, à un point tel que je devais en sortir pour prendre ma respiration ! 

 

Elle se retourna, se coucha sur le dos et écarta les jambes. Je déposa mes mains sur ses reins et je la pénétrai d'un coup sec, elle mit ses jambes sur mes épaules et c'était parti, je sentais que j'allais jouir, je lui dis et elle vint me sucer la bite malgré la merde qu'il y avait, elle ouvrit bien grand la bouche et je lui envoyai de grandes rasades de sperme au fond de la gorge ? Elle se lécha les lèvres avec gourmandise.

 

C'est à ce moment-là que j'aperçu mon père dans le coin de la porte, il avait tout vu et se branlait la bite. 

 

J'étais subjugué, sa bite était magnifiquement bandée, me narguait…

 

Il me demanda si je voulais le sucer.

 

Je me suis dit qu'au point où j'en étais autant accepter. Sa bite était délicieuse à sucer et ensuite quand il m'a proposé de m'enculer, je n'ai pas répondu, mais me suis tourné offrant mon anus à ses assauts incestueux.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Irenée Vardin
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Lundi 2 août 2021 1 02 /08 /Août /2021 07:04

Orgie de bureau par Alexis Defond-Rossignol

 

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Voici l'histoire d'une partie à trois qui s'est déroulée sur mon lieu de travail, un week-end. Je devais finir un travail au bureau et j'annonçai à mes deux collègues, un homme et une femme, que j'allais venir bosser le samedi matin. Carole, ma collègue féminine, jolie blonde d'environ 1 m 65, corps menu, annonça à son tour qu'elle risquait de venir aussi. Petits regards complices, ce qui m'enchanta plutôt, car je la trouve bien mignonne. Notre autre collègue, Boris, grande bringue très macho, y va d'une réflexion graveleuse pour la forme.

 

En venant le samedi matin, je pensais à Carole et à son sourire mais je n'espérais rien, croyant plutôt à un petit jeu de séduction platonique. J'étais sur mon ordi depuis un quart d'heure quand la belle fit son apparition, toute guillerette. Elle portait une jupe noire très courte et un chemisier de couleur sombre assez décolleté. Appétissante !

 

- Salut, déjà là ? Tu es plus matinal que moi !

 

Et elle vint me taper la bise alors que d'habitude nous nous disions juste bonjour comme ça, pour garder une bonne ambiance de travail. Elle en profita pour poser une de ses mains sur ma poitrine et l'autre se balada gentiment vers mon entrejambe. Ses intentions étaient claires.

 

- Tu es venue travailler ou me déconcentrer, Carole ?

- Ben voilà ! J'ai justement plus grand chose à faire.

 

Elle s'éloigna et fit le tour de son bureau.

 

- En fait j'aime bien venir ici quand il n'y a personne car c'est très calme pour mon activité préférée.

 

Et voilà qu'elle sort un gode de son sac à main. Ma tête a dû en dire long sur mon étonnement, car Carole se mit à rire tout en faisant de la place sur son bureau, juste face de moi. Et elle continua sans broncher sa petite explication :

 

- Il y a trop de bruit chez moi, des gamins au-dessus et des gamins dessous qui font le boxon... Pas génial pour penser à des choses cochonnes. Elle s'installa sur le devant du bureau, bien face à moi, écarta les jambes et découvrit sa chatte bien épilée, elle ne portait pas de culotte, bien sûr.

 

- Ne te gêne pas pour moi ! Lui dis-je, j'ai plein de choses à faire moi aussi.

 

Je reculai mon siège à roulettes et me mis en position plus décontractée, pas collé à mon bureau, les jambes écartées. Une érection certaine commença à comprimer mon pénis dans mon pantalon.

 

- Oui, mets-toi à l'aise, mon chéri, et admire le spectacle.

 

Elle enfourna sans plus de préambule son godemiché dans son sexe. Il n'était pas très gros, assez épais mais pas très long (moins de 15 cm). Elle s'imprimait un va-et-vient énergique, sa tête renversée, les yeux mi-clos, plus qu'impudique. Je remarquai alors que ses petits seins étaient libres sous son chemisier, je pouvais les voir ballotter alors qu'elle balançait quelque peu son corps. Devant ce spectacle enchanteur, je sortis ma bite de mon pantalon et commençai à me branler.

 

- On va pas rester là à se mater, chère collègue, je suis sûr que nous avons mieux à faire.

 

Elle releva la tête, fixa mon pénis en érection dans ma main et retira son gode.

 

- Bien sûr que je vais m'occuper de toi, mon chéri.

 

Elle fit le tour de mon bureau et, après un baiser profond, se mit à genoux et goba mon sexe. Malgré une bouche qui ne m'avait jamais paru très grande, elle n'eut aucun mal à avaler tout mon sexe, bien plus long que son gode préféré et un peu plus large aussi. Elle suçait lentement, enfonçant bien mon membre jusqu'au fond à chaque fois. Son autre main était en train de frotter son clitoris avec frénésie. Elle gémissait à chaque fois que ma bite laissait la place aux sons, pour qu'ils puissent sortir de sa bouche.

 

- Tu suces bien, je connaissais beaucoup de tes compétences, mais pas celle-ci.

 

Elle était très habile, je grossissais dans sa bouche qui semblait se dilater comme un vagin. Je stoppai son va-et-vient, me retirai de sa bouche et me levai. Je l'aidai à se relever elle aussi et la plaçai contre le bureau. J'ouvris son chemisier, déboutonnai les premiers boutons. Tout en fourrant mes doigts dans sa chatte, je lui léchai ses délicieux petits seins bien fermes.

 

- Oui, prends-moi mon chéri, ta bite va faire merveille.

 

Je ne me fis pas prier. Je me relevai et présentai ma verge bien droite devant le vagin de la belle. Elle le prit de ses deux mains et la guida en elle. Je pris tout mon temps, ressortant plusieurs fois, ses mains m'y remettant aussitôt.

 

- Viens, me dit-elle.

 

Je poussai très fort d'un coup, elle lâcha un cri de surprise, j'étais bien au fond d'elle ! Je commençai à la limer bien profond et pas trop vite. Elle couinait à chaque fois que je touchais le fond et m'encouragea à continuer dans le même souffle.

 

Alors que tout allait pour le mieux, elle m'arrêta d'un seul coup.

 

- Attends mon chéri, j'aimerais bien avoir mes deux trous pleins en même temps.

 

Elle me fit me retirer, alla chercher son gode sur son bureau et revint se mettre très vite près de moi. Elle posa le gode sur le bureau qui tenait bien droit. Elle me demanda de l'aider à monter sur le bureau et je la tins alors qu'elle s'enfilait le gode dans le vagin pour bien le lubrifier. Puis elle se l'enfila lentement dans le cul, je la retins pour ne pas que ce soit trop rapide. Elle s'assit finalement littéralement sur le bureau, le godemiché avalé par le cul.

 

- Ça va être très très bon mon chéri ! Lâcha-t-elle.

 

Je pris ses jambes bien écartées sur mes bras, la tenant par les hanches. Je réintroduis ma bite dans son sexe comme dans du beurre et recommençai à la pilonner avec délice. Ses gémissements reprirent, plus langoureux.

 

- Deux bites, c'est vraiment le pied, mon chéri.

 

J'étais amusé qu'elle m'appelle mon chéri, et surtout très excité par son regard dans le mien, par cette double pénétration, par nous deux aussi. Je l'embrassai à pleine bouche. C'est à cet instant que la porte s'ouvrit en grand : le troisième occupant du bureau, Boris, débarqua, le sourire aux lèvres.

 

- J'en étais sûr, mes cochons, ça baise derrière mon dos !

 

Un peu incrédules d'abord, Carole et moi rîmes de bon cœur avec lui. Au bout de quelques secondes de silence, nous nous regardâmes l'un après l'autre, moi toujours planté dans Carole, elle toujours sur son gode. Puis elle annonça :

 

- On va pas arrêter là mon chéri, je suis super excitée !

 

L'ordre était trop tentant, donc je me remis à limer. Sans se sentir exclu, Boris se débarrassa de ses vêtements du haut (blouson et chemise) et déboutonna son pantalon pour sortir un pénis épais et pas trop long (comme le gode) qui fut rapidement en érection. Il se masturbait debout et se rapprocha de nous. Carole le prit dans la main et le branla alors qu'elle avait toujours un gode dans le cul et subissait mes coups de boutoir. Nous commençâmes tous à gémir en cadence. Boris titillait du bout le clito de Carole, introduisant parfois un doigt dans son vagin, accompagnant ma queue. Lorsqu'il voulut mettre un doigt dans son cul, il se rendit compte qu'elle avait déjà le gode.

 

- Eh mais carrément, vous y allez fort. T'es une vraie vicieuse ma petite !

- Et j'adore ça petit malin ! Ça te dirait d'y mettre ta bite ?

- À ton avis, coquine ?

 

Carole ne supportait pas trop les sarcasmes macho de Boris au bureau mais semblait apprécier ce langage crû dans cette situation. Carole se mit à genoux pour sucer la queue de Boris, le gode toujours dans le cul, pour qu'elle atteigne sa grosseur optimale. Moi je suis resté contre le bureau à les regarder, à quelques centimètres d'eux. Je ne me branlais pas, ma bite était suffisamment dardée. Je retirai mon polo et je me retrouvai avec la main de Boris autour de la bite.

 

- Et, je suis pas pédé, hein ! Me dit Boris le macho. Mais t'as une belle grosse queue. Tu dois aimer ça, toi, ma petite garce ?

 

Carole se foutait pas mal de ce que disait Boris et ne se formalisait pas que sa bite soit moins longue que la mienne. Elle devait avoir bon goût car Carole était goulue. Boris continua à me branler.

 

- Tu sais Boris, lui dis-je, je ne suis pas à proprement parler un pédé, mais j'ai déjà fait des trucs avec des mecs. Tu serais surpris du plaisir que tu aurais.

 

Carole se releva, visiblement étonné de ma déclaration. Elle sembla médusée de voir que Boris me branlait.

 

- Tu vas remonter dans mon estime Boris si tu continues comme ça.

 

Carole se remit à sa place sur le bureau, le gode toujours bien enfoncé, les jambes écartées.

 

- Boris, c'est ici que ça se passe mon petit.

 

Boris ne se fit pas prier et s'approcha pour s'empaler jusqu'à la garde dans le vagin de cette sacrée petite cochonne. Alors que les va-et-vient étaient rapides, je restai tout près d'eux, me laissant branler par Carole et Boris en même temps et léchant les seins de la belle. À un moment, je me mis derrière Boris, descendant son pantalon puis son caleçon et lui caressai l'anus. Il ne dit rien, Carole me sourit. Elle m'attrapa une main et lécha tous les doigts :

 

- Mets lui donc ça dans le cul !

- Euh là je ne suis pas sûr de...

 

J'avais déjà introduit un doigt dans le cul de Boris qui voulut se débattre. Je le poussai en avant, il pilonna un peu plus profondément Carole et accepta finalement plusieurs de mes doigts.

 

- Il va falloir dilater tout ça, dis-je, si tu veux accepter autre chose.

 

C'est le moment où Carole décida de se faire prendre par deux queues à la fois. Boris s'installa assis contre le bureau, la verge en avant. Carole retira le gode et je l'aidai à s'empaler par le cul sur la bite offerte, sans aucun mal. Boris tenait Carole par les bras tandis que je m'introduis dans son con tout mouillé. Nous nous mîmes à bouger ensemble, les bites butant l'une contre l'autre, Carole gémissant à chaque mouvement. Boris aussi semblait bien plus excité dans ce trou plus étroit. Il ne mit pas trop longtemps à venir alors que Carole en était déjà à deux ou trois orgasmes. Moi, je me retenais tant bien que mal. Boris jouit assez bruyamment, le corps de Carole fut parcouru de spasmes. Je continuai à limer alors que Boris et Carole ne bougeaient plus.

 

- Ok les gars, c'était vraiment parfait. Laissez- moi me reposer un instant, annonça la belle qui avait bien payée de sa personne.

 

Je me retirai. Carole se libéra de Boris et s'agenouilla devant moi, voulant que je jouisse sur elle. Elle m'astiqua sévère et mon sperme gicla sur sa bouche, ses cheveux, ses seins et son chemisier. Elle me nettoya bien la bite. Boris était resté comme il était, les bras en arrière en soutien, la bite en avant, souillée des secrétions de Carole et de son sperme. Je me mis alors à genoux et pris la bite de mon collègue de bureau dans ma bouche. Il fut surpris, mais me laissa faire. Je lui nettoyai la queue tout en le pompant pour lui rendre sa virilité maximale.

 

bureaubi

- Oh génial, s'écria Carole, mon chéri tu es un génie, tu sais tout faire.

 

Elle s'allongea par terre derrière moi, passa sa tête entre mes jambes et se mit à sucer ma queue qui avait dégonflé (j'aime bien sucer un mec pour l'incongruité de la chose, et le goût, mais ça m'excite peu). La bite de Boris était très bonne, le foutre de la belle et son sperme se mélangeaient à merveille. Les deux pénis reprirent ensemble de la vigueur. Carole ne cessait de faire des "hum" en me suçant. Je cessai ma séance homo et annonçai la couleur :

 

- Boris, tu as bien enculé Carole, je viens de te sucer, pour parfaire ta culture je te propose de te faire enculer à ton tour.

 

À ces mots, Carole se releva et dit qu'elle était d'accord, qu'elle allait lui foutre son gode dans le cul bien profond. Boris, finalement, ne se fit pas trop prier, excité qu'il était, et il se retrouva à moitié allongé sur le bureau, pointant ses fesses vers Carole. Elle lubrifia de nouveau le gode dans son vagin tout en titillant l'anus de Boris avec ses doigts et avec sa langue. Puis elle commença à enfoncer le godemiché assez lentement et sans grande difficulté. Boris dandina du cul pour l'aider. Carole, agenouillée derrière le cul de Boris, était en train de l'enculer avec son gode. Du délire ! Elle me fit signe de lui apporter son sac. Elle en sortit un préservatif et du lubrifiant. Avec quelques signes, elle me dit qu'elle voulait que j'encule Boris. Je compris vite l'intérêt de la capote, finalement plus facile à lubrifier, car mon calibre était imposant pour un cul novice. J'enfilai le préservatif large size et m'apprêtai à me mettre du lubrifiant.

 

- Non, prends-moi en levrette ! Annonça Carole.

 

Ce que je fis pendant quelques instants, avant que Carole ne dise à un Boris amorphe, soumis, que le gode n'était pas assez gros et qu'il lui fallait du sérieux. Il tourna la tête et me vit approcher la bite en main. Il manifesta un peu, mais Carole se mit sur le bureau, lui présentant sa chatte épilée sous le nez.

 

- Ça va aller, bouffe-moi en même temps et tu vas adorer !

 

Je mis ma queue à l'orée de l'anus masculin et commençai à pousser lentement. Ma bite était bien lubrifiée et le cul de Boris plutôt souple. Je ne mis pas très longtemps, petit coup par petit coup, à entrer en entier. Puis je me mis à limer et là Boris se mit à gémir grave. Il ne pouvait plus se concentrer pour lécher Carole. Elle reprit son gode et se le mit énergiquement dans le vagin. Ce trou étroit me comprimait la bite qui ne cessait de vouloir grossir. Les gémissements de Boris devenaient de plus en plus plaintifs. Je ne savais si je devais continuer car je ne me sentais pas venir alors que je grossissais toujours. C'est à ce moment que notre maîtresse de cérémonie décida d'en finir avec elle et moi. Elle sauta à terre, se mit à quatre pattes sur la moquette et m'invita dans son cul, ouvrant son anus à deux mains. Je me retirai sans prévenir de Boris, le macho enculé, et je me plaçai derrière elle. Je m'enfonçai avec difficulté, son cul devant être habitué à son petit gode, son anus étant finalement moins dilaté que celui de Boris. Mais j'y allai sans ménagement, bien décidé à lui mettre le paquet. À ce régime de va-et-vient profonds, pendant plusieurs minutes, le cul de Carole se dilata bien et elle se mit à gémir de plaisir. Elle eut plusieurs orgasmes. Moi j'étais long à venir car j'avais déjà juté peu avant. Boris s'assis devant elle pour se faire sucer. Au moment où je lâchai mon sperme dans ses entrailles, elle gueula littéralement. Mes longs jets la remplirent et son corps se raidit. Boris se termina à la main, il jouit une nouvelle fois lui aussi.

 

Cette petite séance terminée, nous fûmes heureux. Chacun se rhabilla (nous ne nous étions pas trop déshabillés de toute façon) et sans trop de mots prononcés, Boris et Carole partirent le sourire aux lèvres en disant à lundi ! Je restai, espérant travailler enfin, mais au bout d'une demi-heure, comme j'avais toujours la main sur la bite, je décidai de rentrer.

 

Fin

 

Ce texte a été publié sur le site de Story X en 2010

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Alexis
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Dimanche 1 août 2021 7 01 /08 /Août /2021 22:30

Licenciement

cochon

Monsieur, est-ce que j’ose vous dire ?
Je n’entends plus vos mots ! Je vous respire…
Votre douce odeur me grise et m’attire,
Et votre chemise entrouverte m’invite à tous les délires.
J’imagine mes mains lentement vous dévêtir,
Oh ! Poser sur votre peau mes lèvres brûlantes de désirs…
Hélas ! Je vois bien que vous n’êtes pas prêt à consentir,
Puisque vous me montrez la porte et me priez de sortir !

Amanda

Angela

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Poèmes divers
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