Mercredi 3 novembre 2021 3 03 /11 /Nov /2021 08:55

Une soirée pas si tranquille... par Mathilda Stenberg

Ninotchka

L'autre soir, j'étais seule chez moi. J'avais passé une petite soirée tranquille, en pyjama devant la télé, vous savez, l'une de ces soirées où il fait si bon de simplement paresser et perdre son temps. Le film que j'avais regardé venait de s'achever.

 

J'entamais donc la grande tournée des chaînes, histoire de voir s'il y avait encore quelque chose d'intéressant à cette heure tardive. Au hasard de mon jeu de télécommande, je tombai sur un de ces films dit érotiques. Je ne sais pas pourquoi mais contrairement à mon habitude, je n'avais pas envie de changer de chaîne. À l'écran, un jeune voyeur espionnait sa voisine très peu pudique... et en était visiblement excité. Mes pensées vagabondèrent un peu et je me figurais être cette fille, que l'on observait avec désir et envie. Cette idée provoqua une sensation de chaleur jusque dans mon sexe, comme un courant électrique parcourant mon corps fébrile.

 

Alors que mes pensées évoluaient, le film s'enchaîna sur une pause publicitaire. Un peu déçue, j'entrepris d'explorer les canaux brouillés d'où nous proviennent chaque soir des longs métrages beaucoup plus qu'érotiques. Chanceuse, je tombai sur un poste où l'image était presque parfaitement claire. À la vue de ces scènes explicites, mon excitation décupla. Sans que je m'en rende compte, ma main s'était égarée sous ma culotte et agaçait ma chatte déjà humide. Je tentais alors de modérer mon excitation. Rapidement, j'éteignis le téléviseur et me dirigeai vers la salle de bain. Là, je mouillai un gant de toilette que je pressai sur mon sexe. D'ordinaire ce petit manège tempérait mes ardeurs, mais cette fois, rien n'y fit.

 

D'un geste rageur je lançai le gant de toilette sur le comptoir et arrachais mes vêtements. L'image de mon corps dans le miroir, mes seins aux pointes dressées et mes fesses semblant appeler une caresse m'excita davantage. Je me dirigeai vers ma chambre et m'étendit, nue, sur mon lit.

 

Je m'imaginai être épiée. Au fur et à mesure que mes mains parcouraient mon corps, mon excitation grandissait. 

 

ChandelleJe me levais, me précipitais vers la salle de bain et m'emparais de la boite où je range mes pinces à linges, j'en choisi deux que je m'accrochais de suite sur la pointe de mes seins. La morsure du plastique me provoquait une douleur étrange, j'adore cette sensation. Dans ma tête je m'imaginais d'être à la merci d'un dominateur imaginaire. Il me demandait de boire ma pisse. Pourquoi pas ? Je pissais dans mon verre à dents, puis portais le verre rempli à mes lèvres, c'était de l'urine du soir, elle n'était pas trop forte, je bus tout cela cul sec.

 

Mais j'avais envie d'être encore plus cochonne, je retournais sur le lit et m'emparais du godemichet qui est dans le tiroir de la table de chevet, je le suçais un petit peu, m'imaginant qu'il s'agissait d'une bonne bite ! Mon dominateur imaginaire m'imposait maintenant de me l'enfoncer dans l'anus. Je le fit aller et venir, retardant le moment où je devrais le sortir et en constater l'état.

 

Je ressortis le gode, il était un peu sale, juste ce qu'il fallait de petites taches de merde. Je le reniflais, ça sentais un peu la merde. Alors d'un coup je me mis à le nettoyer de la langue m'imaginant là encore que je suçais une bite merdeuse qui sortait de mon trou du cul.

 

Je n'en pouvais plus, l'excitation était trop forte.

 

Je glissais deux doigts dans ma fente humide. De ces doigts, j'entrepris de titiller mon clitoris, ce petit bouton de plaisir saillant qui n'en demandait pas mieux.

 

Mon autre main continuait de parcourir les courbes de mes seins et de mes hanches, torturant au passage mes mamelons en agissant sur les pinces.

 

Tout en poursuivant mes caresses, je continuais de m'imaginer qu'un homme m'observait, excité par mes jeux si peu enfantins. Me croire ainsi observée venait combler mon petit côté exhibitionniste et poussa mon excitation à son comble. J'accélérais mes caresses et m'accordai une jouissance d'une puissance surprenante, étant donné que je m'étais débrouillée seule, comme une grande...

 

La force de ce plaisir me fit m'écraser sur mon lit, sans énergie. Je retirais les pinces et m'endormis presque aussitôt, tandis que je savourais les bons moments que je venais de me procurer...

 

Rewriting d'un texte de "Chandelle" déposé sur le site de Sophiexxx en 2000

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Mardi 2 novembre 2021 2 02 /11 /Nov /2021 15:13

La descente aux enfers de Madame Grenet par Irénée Vardin

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Je m'appelle Julien, j'ai 25 ans et travaille dans un cabinet d'assurance depuis quelques mois. Je suis tout à fait ordinaire, mon physique est quelconque, mais je suis très doué en l'informatique. Je suis au service comptabilité et directement sous les ordres de madame Grenet, la directrice financière. Cette femme d'une quarantaine d'année, plutôt belle, toujours habillée strictement est un cauchemar pour tous les employés du service qu'elle se plait à humilier. Hautaine et fière, méprisante, personne n'ose la contredire et ses désirs sont des ordres. 

 

Mais dans le comportement de madame Grenet, il y a une faille. Et je l'ai trouvée. J'ai remarqué que chaque vendredi, une rubrique comptable était débitée de petites sommes ne dépassant jamais quelques centaines d'euros. Quelqu'un préparait-t-il ses week-ends ?

 

Après de longues recherches, J'ai découvert grâce aux références du compte crédité que c'était la directrice financière elle-même qui se servait ! Ah l'informatique ! Après avoir réfléchi, je décide de ne pas laisser passer une si bonne occasion.

 

Je rédige un rapport détaillé à l'attention de la direction parisienne de la société en me donnant le beau rôle évidemment, J'espère ainsi obtenir une promotion substantielle. Mais avant je veux avoir le plaisir d'en informer ma directrice afin de l'humilier à son tour.

 

Le jour venu, je demande à la secrétaire de madame Grenet un rendez-vous en précisant que c'est important et urgent. En entrant dans le bureau, je ressens un moment de grande jubilation. Madame Grenet est assise derrière son bureau et sans lever la tête me dit :

 

- J'espère que c'est important ? 

- En effet, j'aimerai vous montrer ces documents, puis-je me servir de votre PC ?

- Oui, mais dépêcherez-vous je n'ai pas que ça à faire…

 

J'introduis une clé USB dans le lecteur.

 

- Depuis quelque temps, j'ai remarqué des irrégularités comptables qui je crois vont vous intéresser

- Ah ?

 

Madame Grenet regarde l'écran, son visage blêmit…

 

- Comment avez-vous ? … 

- Par hasard !

 

Je commence à savourer son triomphe.

 

- Au siège de Paris, ils ne vont pas apprécier les fraudes de leur directrice financière. 

- Nous pouvons nous arranger, dit-elle d'une voie plus douce, je vous donne la moitié des sommes. 

- L'argent ne m'intéresse pas… Répondis-je jouant les grand seigneurs.

- Alors, vous comptez faire quoi ? 

- Prévenir Paris ! Mais avant je voulais m'amuser à vous l'annoncer, rien que pour voir votre bobine ! Vous faites moins la fière maintenant !

- Connard !

- N'aggravez pas votre cas !

- Bon foutez le camp de mon bureau ! 

- Bonne continuation, Madame Grenet !

 

Je vais pour sortir, savourant ma vengeance.

 

- Attendez ! Ne me dites pas qu'il est impossible de s'arranger !

- Si, c'est impossible ! 

- Vous vous prenez pour quoi, pour le chevalier blanc ? Vous êtes sans doute un saint, vous ?

 

Et c'est à ce moment là que j'ai eu l'idée de lui faire une réplique salace.

 

- Il y aurait bien une solution…

- Je savais bien…

- Ce serait que tu deviennes mon esclave sexuelle.

- Hein ? S'esclaffe-t-elle en rougissant comme une pucelle

- On pourrait commencer, ce soir, je te fouetterais ton gros cul de salope avant de t'enculer comme une chienne.

 

La tronche qu'elle tire ! Madame Grenet reste stupéfaite et hébétée durant quelques minutes. Jamais elle n'aura imaginer une telle issue. Que faire ? Si au siège, cela se sait, sa carrière est fichue, sans oublier les éventuelles suites judiciaires.

 

Je me dirige à nouveau vers la porte

 

- Attendez, je suis d'accord !

- Sans blague ?

- Puisque je vous le dit ! On ferait comment ?

- Je vais te donner mon adresse, à 19 heures, tu sonneras chez moi, je te veux habillée en pute, décolleté, escarpins, porte-jarretelle… 

 

A 19 heures précises elle sonnait à l'interphone de mon immeuble, je lui ouvris et lui précisait l'étage et la porte.

 

-  Entre, grosse pute et donne-moi ton manteau ! 

 

Elle est superbe moulée dans un tailleur pied de poule, ses cheveux en chignon lui donnent un air encore plus sévère.

 

- Pose ton gros cul sur la chaise ! Tu devines ce qui va t'arriver ?

- Oui, je vous demande simplement de ne pas abuser de la situation.

- T'es pas en position de discuter, ma vieille ! Si tu n'as pas confiance, tu te casses et demain j'envoie mon rapport à Paris.

- Bien, je suis à votre merci !

- Tu portes quoi sous ta jupe ?

- Des bas 

- Fais voir ! !

 

Madame Grenet remonte sa jupe jusqu'à la lisière des bas.

 

- Maintenant je te veux à poil !

- Complètement ?

- Evidemment abrutie !

 

GranetPutain, elle a une de ses paires de doudounes, la directrice, Je m'empresse de les malaxer et d'en sucer et d'en mordiller le bout. Bizarrement ça n'a pas l'ai de lui déplaire. Je lui accroche des pnces à linges au bout des tétons. Oh, la vilaine grimace qu'elle me fait. Alors par pur sadisme je les retire… pour les remettre aussitôt.

 

- Aïe !

- Supporte connasse ! On t'as déjà dit que tu avais une bouche à tailler des pipes ?

- Euh, non ?

- Ben maintenant tu le sauras ! Tu va fouiller dans ma braguette et me sortir la bite, ensuite tu la mettras dans ta bouche.

- Maintenant ?

- Bien sûr que c'est maintenant, pas dans 8 jours, conasse ! A genoux et au boulot !

 

Madame Grenet s'agenouille entre mes jambes de Julien. Elle défait la ceinture et ouvre la braguette du pantalon. Elle sort du slip ma verge gonflée de désir.

 

- Allez, salope, en avant et commence par me donner des petits coups de langue, comme une bonne bourgeoise. 

 

Morte de honte, elle s'exécute. Le gland devient tout mouillé, je suis fou d'excitation.

 

- Suce-moi à fond !

 

La bouche enroule la verge et commence un long va-et-vient.

 

- C'est bien, continue, et surtout avale tout. Comme c'est bon de se faire sucer par sa directrice ! Aaaah, madame Grenet est une suceuse, Aaaah ! Aaaah ! Avale tout !

 

Ça a été trop vite, mais la soirée est à peine commencée.  Et j'ai quelques idées.

 

- Bon, ça m'a creusé tout ça ! Tu vas aller dans le frigo, il y a des œufs et du gruyère râpé , tu vas me faire une bonne omelette.

- Une omelette pour une personne ?

- Non pour deux, je ne voudrais pas que tu meures de faim.

- Je me rhabille ?

- Non !

- A quelle heure je vais pouvoir partir ?

- J'en sais rien !

 

Je regarde nonchalamment la télé pendant qu'elle est en cuisine.

 

- On mange où ? Demande- t-elle quelque minutes plus tard !

- Moi ici ! Et toi par terre !

- Par terre ?

- Ben oui les chiennes, ça bouffe par terre !

 

Quelle humiliation pour cette femme hautaine de devoir manger par terre, complètement nue. Me voilà de nouveau en train de bander.

 

J'attends qu'elle ait terminé son assiette, je n'aime gâcher la nourriture, puis je m'empare de ma ceinture et sans prévenir commence à lui cingler le cul en l'insultant !

 

- Tiens grosse pouffe, tiens morue !

- Aïe !

- Ta gueule !

 

Quand elle eut le cul bien rouge, je lui ai demandé de se mettre en levrette et je l'ai enculé. Elle a grogné au début, disant que ça lui faisait mal, mais je n'ai rien voulu entendre, et à ma grande surprise quelque minutes plus tard, elle en redemandait presque et c'est mise à joui du cul ! La salope !

 

Après m'être retiré, j'avais comme une envie de pisser. Idée !

 

- A genoux ! Chiennasse ! je vais te pisser dans la bouche !

- Non…

- Comment ça "non" ?

 

Elle a ouvert la bouche, manifestement elle n'avait jamais pratiqué ce genre de choses. Mais elle fit contre mauvaise fortune, bon cœur !

 

- Maintenant rhabille-toi et rentre chez toi ! Désormais chaque fois que j'aurais envie de m'amuser avec toi tu devras venir ! D'accord ?

- Puisque je ne peux pas faire autrement !

 

Voilà comment à commencer la déchéance de madame Grenet. Elle y a pris goût. Nos rapports sont toujours basés sur la domination mais une certaine complicité s'est installée entre nous à ce point que parfois c'est moi qui fait l'esclave !

 

Et l'argent détourné demanderez-vous ? Eh bien on se le partage. Et grâce à mes connaissances informatiques le détournement est maintenant bien sécurisé.

 

Un jour une mission d'audit a été annoncée, Pas grave, un vilain virus informatique a détruit tout l'historique des opérations comptables. La direction parisienne nous a infligé un blâme pour ne pas avoir installé un antivirus efficace. Ça nous a bien fait rigoler !

 

Fin

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Irenée Vardin
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Lundi 1 novembre 2021 1 01 /11 /Nov /2021 18:01

En revenant de Paris par Belle-Cour

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Je revenais de Paris après un week-end plutôt ennuyeux chez ma tante dont je venais de faire connaissance après 19 ans de vie.

 

Je montais dans le TGV et m'apprêtais un voyage plutôt ennuyeux à écouter ma musique et à faire des mots fléchés quand une belle blonde mature pris place juste devant moi.

 

Le train démarra et discrètement je commençais à loucher sur ma voisine. Elle avait les cheveux longs (fausse blonde), des yeux verts magnifiques, portait un tailleur vert amande et un décolleté à faire bander un monastère. Elle devait avoir une quarantaine d'années peut-être plus et était fort bien conservée. Rien qu'à la regarder mon sexe commença à grossir et à former une bosse sur mon pantalon. 

 

Elle avait sorti la plaquette et avait commencé à travailler sur son pc portable lorsqu'elle fit tomber un tas de feuille devant elle. Elle se pencha sur moi et essaya de les attraper mais n'y arrivait pas. Quelle vue, elle ne portait pas de soutif et j'eus tout le loisir d'admirer sa poitrine très ferme et d'une rondeur exceptionnelle. Je me suis pressé de lui ramasser les feuilles juste devant moi en admirant ces jambes et en lui redonnant. Pendant ce temps j'aperçus des notes juste au bas de ces pieds et m'excusai pour aller les ramassés. (il est bien évident que j'espérais pouvoir entre apercevoir sa petite culotte) mais qu'elle ne fut pas ma surprise de voir qu'au lieu de serrer ces jambes afin de ne me rien laisser entrevoir, elle écarta les jambes afin de me laisser voir sa chatte épilée. 

 

Je n'en revenais pas, mon sexe dans mon jean me faisait mal tellement je bandais fort. Quand je me rassis, elle me remercia et passa sa langue sur ces lèvres. Je devenais franc fou. Ensuite je vis que son regard se dirigeait sur ma bosse et elle avait vraiment l'air de vouloir voir ce qu'il se cachait là-dessous. Elle commença à caresser mon sexe avec douceur tout en se penchant vers moi pour me laisser voir sa poitrine. J'essayai de passer ma main sous sa jupe, mais celle-ci les referma en me disant que pour le moment je ne devais pas toucher et me contenter de savourer ses caresses.

 

Ensuite au bout de dix minutes de ces savoureuses caresses, elle me fit signe du doigt de la suivre et nous dirigeâmes vers les toilettes. A peine j'eus fini de fermer la porte qu'elle me plaqua contre la porte, défit ma ceinture et délivra mon sexe de mon jeans. Elle commença par le lécher délicatement tout en massant mes boules de l'autre main. Puis elle le happa d'un coup et l'entra entièrement dans sa bouche et on aurait dit qu'elle le tétait. C'était divinement bon. Puis au bout de dix minutes de ce traitement je luis fis signe que j'allais exploser, alors elle intensifia son va-et-vient avec sa bouche et avala toute ma liqueur de plaisir, laissant juste quelques gouttes déborder sur son menton qu'elle balaya de sa langue d'un geste infiniment troublant.

 

Ensuite elle me branla un petit moment juste histoire que je reprenne vigueur et enleva sa mini et monta sur la cuvette des WC, se mit dos à moi et en retournant sa tête, elle mit un doigt dans sa bouche puis se le mit dans son cul en me disant :

 

- C''est par là que j'ai envie que tu me prennes !

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J'étais éberlué, et je me mis à lui lécher son petit trou tout en lui titillant son clitoris. Quand elle fut prête, je mis mon sexe en face de son anus et je commençai à rentrer tout doucement centimètres après centimètres. Je voyais bien qu'elle aurait voulu que j'aille plus vite mais il n'en était pas question. Elle prenait son pied. Une fois parvenu bien au fond je commençais à faire du va-et-vient toujours aussi doucement et toujours en jouant avec son clitoris. Elle eut un premier orgasme et à ce moment j'ai commencé à la pilonner très fort et très vite et à chaque fois que je sentais qu'elle allait venir je ralentissais au point de presque m'arrêter. Après une petite demi-heure de ce traitement je lui rentrais dedans avec force et nous partîmes tous les deux dans un plaisir immense. Après avoir repris nos esprits, elle retira ma capote et pour me remercier me refit une pipe dont je n'ai pu trouver de comparaison jusqu'à aujourd'hui.

 

Elle s'assit ensuite sur la cuvette, pour soulager sa vessie ! Je cru un moment qu'elle me proposerai de l'essuyer avec ma langue, mais non ! Il ne faut pas être trop gourmand non plus et je garderais ce dernier acte pour mes fantasmes nocturnes.

 

Je conserve un souvenir immense de cette belle mature dont je ne connais point le nom et depuis ce jour j'adore les femmes plus âgées que moi.

Rewriting d'un teste paru sur le site de Sophiexxx en 200 intitulé Retour de Paris et signé David

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Lundi 1 novembre 2021 1 01 /11 /Nov /2021 16:37

On oublie toujours quelque chose ! par Mathilda Stenberg

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La dernière fois que le nouveau facteur avait frappé à ma porte, il m'avait carrément déshabillé du regard

 

Un beau mec d'origine antillaise, souriant et jovial

 

Je ne sais pas ce qui m'a prise, mais j'ai eu envie de me l'envoyer 

 

Le facteur avait l'habitude de passer vers 8 heures du matin, et j'avais enfilé une robe de chambre légère que j'avais laissée entr'ouverte. Je ne savais pas vraiment si mon plan allait marcher, mais si je n'essayais pas, je ne saurais jamais. 

 

8 h 10, on sonne à la porte. Je vais ouvrir et je peux constater son air plus ou moins surpris de me voir ainsi vêtue. 

 

J'espérais pouvoir lui faire prendre un café malgré son travail. A mon grand étonnement (et plaisir surtout !), il accepta en souriant ! Son regard restait fixé sur ma poitrine dévoilée légèrement par l'habit de soie rose. Je l'ai alors invité à prendre place au salon et je suis allée préparer les cafés.

 

Je suis arrivée avec les tasses et je me suis assise de manière à laisser glisser un côté de ma robe de chambre sur ma cuisse, dévoilant alors ma jambe. J'ai aussitôt remarqué qu'il ne la quittait pas du regard. Finalement, j'ai écarté les cuisses, afin qu'il comprenne ce que je voulais précisément. 

 

Il lui fallut peu de temps pour m'enlever le vêtement de soie. J'étais alors assise sur le divan, à sa merci. Il l'avait bien compris d'ailleurs. Il glissa une main experte entre mes cuisses et introduit un premier doigt dans mon sexe humide et chaud. Il commença un va-et-vient agile qui m'arrachait des gémissements. Il me leva alors, me demanda où se situait ma chambre et m'y entraina, son doigt toujours en action. J'étais excitée comme une chatte en chaleur. (c'est le cas de le dire) Il me demanda si j'aimais être prise en levrette, je lui ai crié un oui à la limite de l'orgasme. Il compris alors que j'allais jouir alors il stoppa son va-et-vient me poussa sur le lit. Il disait aimer cette technique chinoise qui consiste à pousser le plaisir jusqu'à la limite de l'orgasme et d'arrêter juste avant pour mieux jouir ensuite !!!

 

Il saisit deux foulards qui avaient eu la bonne idée de trainer ici et m'attacha les mains au barreaux du lit, mais sur le ventre, afin que je puisse être à quatre pattes. Je n'en pouvais plus, il fallait qu'il vienne en moi. Il se déshabilla et me doigta encore un peu, jusqu'à ce que mon sexe coule de délice ! Il prit alors mes seins dans ses mains et me pénétra. Il commença alors un va-et-vient lent puis accéléra. Il me bourrait alors par saccades qui m'arrachaient des cris de plaisir. Je me déhanchais pour le sentir encore mieux. 

 

J'ai alors eu un orgasme terrible j'ai hurlé de plaisir comme jamais. Il éjaculait maintenant. Et c'était tellement bon... Il me dit ensuite qu'il allait m'enculer. Mais j'ai refusé, non pas par principe, mais je craignais que sa grosse bite me fasse mal. Il m'a alors proposé de l'argent, j'hésitais encore mais il m'a assuré qu'il savait ce qu'il faisait et qu'il me ferait ça en douceur. Je lui ai donné mon accord mais j'ai réclamé l'argent,.

 

Il a sorti un billet, je lui ai dit qu'il pouvait encore faire un effort, il a sorti un second billet en me traitant de pute. Evidemment qu'en ce moment j'étais une pute puisque pour la première fois de ma vie je me faisais payer pour me faire enculer.

 

Il me doigta encore pour mouiller mon petit trou. Ji eu une appréhension quand il a commencé à s'enfoncer, du coup il m'envoya une claque sur les fesses, pas grave, j'adore les petites fessées, puis il m'a pénétré, d'un coup sec. 

16Mathilda

Il m'a traité de salope, de putain et m'a dit que je devais alors assumer lorsque j'allumais. Il avait raison. Mais j'avais mal. Mais petit à petit, mon trou se détendit et cela me procurait du plaisir. Oui, un plaisir certain. J'atteins rapidement un orgasme. Il sortit de mon cul, me détacha et me coucha sur le dos, puis il se masturba en m'envoyant son foutre sur mon visage et sur mes lunettes que je n'avais pas retirées. 

 

Il resta un moment immobile sans que je comprenne de suite pourquoi, puis il me dit qu'il aimerait me pisser dessus.

 

J'ai failli lui demander un supplément pour cette fantaisie, mais je ne voulais pas être trop gourmande, si je veux qu'il revienne et me baise il faut rester raisonnable, alors j'ai ouvert la bouche et j'ai avalé une bonne rasade de cette bonne pisse.

 

Quand je pense que je ne l'ai pas sucé ! On oublie toujours quelque chose !

 

Mathilda

 

Rewriting d'une nouvelle parue sur le site de Sophiexxx en 200 intitulé "le facteur" et signée Bea

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Samedi 23 octobre 2021 6 23 /10 /Oct /2021 10:40

Plaisir à trois par Belle-cour

 

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Voici un récit sans prétention aucune que j’ai retrouvé au fond de mon disque dur. Les temps on bien changé et maintenant personne n’a besoin de formation pour aller sur internet…

 

Bonjour, moi, c’est Daniel, je ne sais pas si je vous ai raconté la fois où j’ai pu goûter le plaisir à trois.

 

C’était il y a quatre ou cinq ans Je suis informaticien, et comme tous ces gens, lors de réunion de famille, il y a toujours un cousin, un oncle, un copain du cousin … qui vous demande comment faire tout un tas de choses sur son ordi.

 

Un couple d’une cinquantaine d’années, Pierre et Annie, que je ne connaissais pas vraiment, me demanda de lui donner des cours d’informatique, ce que je fis avec plaisir.

 

Pierre est presque chauve et un peu bedonnant, mais il a comme on dit une bonne bouille et sourit tout le temps.. Annie est une belle brune peu marquée par les outrages du temps, le visage est agréable, jolie bouche, joli nez et les ridelles au coin de ses yeux noirs trahissent une certain plaisir de la vie.

 

Le premier soir, tout se passa normalement, lui était très attentif, elle peut-être un peu moins, à peine avait-elle tendance à se frotter contre moi, mais je n’y prêtais pas attention.

 

La semaine suivante, la leçon d’informatique se passa sans problème particulier, excepté le fait qu’elle ne portait pas de soutient gorge sous son tee-shirt, et j’ai pu avec plaisir constater que ses seins étaient encore bien fermes.

 

La troisième : mise en place d’Internet et explication sur la façon de s’en servir. Nous passâmes deux bonnes heures là-dessus (petit détail qui a son importance : toujours pas de soutient gorge, mais qui plus est, le tee-shirt était plus évasé et je pouvais apercevoir sa petite culotte lorsqu’elle se penchait)

 

De façon très décontractée, ils me questionnèrent sur les sites à caractère pornographique, nous visitons un, regardons les photos, je les observe discrètement afin d’épier leur réactions, cela a l’air de les émoustiller.

 

– Comment faire pour envoyer nous aussi des photos sur Internet ?! me demande-t-elle

– L’idéal est de prendre des photos numériques, de les transférer sur votre P.C, et de les envoyer !

– Chéri, demain tu achètes un appareil, on prendra des photos !.

 

La semaine suivante, je retourne chez eux

 

Annie me dit d’entrée de jeu que Pierre ne sait pas se servir de son appareil, il a bien pris des photos, mais ne sait pas transférer.

 

Petite formation sur son appareil, je peux apercevoir Madame dans certaines positions assez soft, lui par contre a posé nu et en érection.

 

– Bel engin ! lui dis-je

– Merci du compliment, vous appréciez ? ! me dit-il

– Disons que je sais reconnaître ! Vos photos sont pas mal, mais manque de piment !

– Bien sûr, l’idéal, ce serait d’avoir un photographe ! me dit Annie.

– Si vous le voulez bien, je peux être celui-ci ? !

 

Me rincer l’œil n’était pas pour me déplaire)

 

Aussitôt dit, aussitôt fait ! Pierre et Annie se déshabillent entièrement ! Quelle jolie poitrine elle a !

 

Je pris cinq photos d’Annie (peut-être pas très artistiques mais suffisamment subjectives pour nous titiller le bas du ventre, j’étais d’ailleurs très serré dans mon « Couilles croisées de chez… ».

 

Quand je pris Annie en train de sucer Pierre, j’ai été obligé de mettre la main dans le pantalon pour mettre mon sexe à la verticale, Pierre m’interpella :

 

– Ça t’ excite, Hein ? !

 

Annie rétorqua

 

– Enlève ton pantalon, tu seras plus à l’aise !

 

Ce que je fis, Annie me regarda et dit à son homme :

 

– J’en lécherais bien une autre, et même les deux en même temps !

– Approche ! me dit Pierre, ajoutant « si tu n’y vois pas d’inconvénients, moi non plus ! »

 

Tu parles Charles, je tendis ma bite à Annie qui se l’enfila d’abord délicatement, puis me branla plus vigoureusement, et passa d’une bite à l’autre.

 

Pierre s’assit sur le canapé, Annie s’enfourcha sur son pieu bien gonflé, mais face à moi.

 

Je me mis à quatre pattes et lui léchais le clito pendant que Pierre la fourrait.

 

Soudain, pendant que ma langue tournait autour de son bouton d’amour, la bite de Pierre sorti du fourreau et je la reçu involontairement dans ma bouche, mouvement de recul de ma part, j’attrape le sexe de Pierre prêt à le remettre dans le trou qu’il n’aurait pas dû quitter, et puis peut-être machinalement, l’ayant toujours dans la main, je passe ma langue dessus ;

 

– Ma foi , c’est pas dégeu, çà ! lui dis-je

– Continue alors ! me lance Pierre, et me voilà en train de tailler une pipe à un mec pour la première fois de ma vie.

 

En fait ce n’était pas vraiment la première fois, j’avais déjà gouté à ce genre de choses pendant mes années collèges, je n’avais jamais cherché à recommencer, et n’en avait d’ailleurs jamais eu l’occasion, mais parfois dans mes fantasmes…

 

Elle était délicieuse cette bite tout imprégnée des humidités d’Annie.

 

– T’aimes ça, sucer des bites ! M’interpella Annie.

– Ma foi ! Elle est tellement bonne !

– Continuez, continuez, ça m’excite de trop ! Ajouta-t-elle tout en se frottant le bouton.

 

Je m’appliquais, copiant les gestes que j’avais visionné sur Internet, titillant le gland, léchant la hampe gobant les couilles.

 

– Lèche lui le trou ! Suggéra Annie.

 

Là j’hésitais un court instant, la chose ne me disait pas grand-chose, mais ces gens étaient tellement charmants que je m’en serais voulu de faire le rabat-joie.

 

Je passais derrière Pierre, lui écartait ses globes fessiers et avançait ma langue vers son anus tout brun. J’aurais bien sûr préféré mille fois gratifier cette privauté sur le joli derrière d’Annie, mais après tout la journée n’était pas terminée.

 

Finalement un trou du cul masculin n’a pas un gout bien différent de celui de ces dames, la texture en est aussi délicieuse, et je me surpris à m’exciter en accomplissant cet acte pervers.

 

– Continuez, continuez, que ça m’excite de vous voir jouer les pédés. Commenta Annie qui le visage congestionné continuait à se branler comme une malade. Aaaah, je viens, je jouiiiii !

 

Une jouissance spectaculaire avec geyser de mouille assorti.

 

– Oh, que c’était bon, j’ai envie de pisser maintenant, venez me boire !

 

Pierre qui manifestement était habitué à cette fantaisie vint placer sa bouche devant la chatte de sa compagne et en attendant l’émergence du jet m’invita à venir à ses côtés.

 

Je n’ai rien contre l’uro, mais c’est une pratique à laquelle je n’ai pas souvent l’occasion de m’adonner, j’ai dû y jouer quelques rares fois avec ma moitié, mais ce n’est pas son truc, faut dire que les fantaisies et elle… Quant aux filles de rencontres, ce n’est pas si évident d’évoquer ce fantasme sans prendre le risque de se faire taxer de « pervers ». Pourtant quelques-unes… mais ne nous égarons pas…

 

La source jaillit, Annie se débrouille pour nous distribuer son pipi de façon alternative, un bon pipi, ma foi ! Et alors que la chose était terminée, Pierre eut ce geste fou de m’enlacer et de coller sa bouche contre la mienne pour me rouler une galoche alors que l’urine de sa compagne imprégnait encore son palais. Cette acte insensé m’excita tellement que j’en attrapais mal à la bite.

 

Mais je n’étais pas au bout de mes surprises !

 

– Tu aimerais que Pierre t’encule ? Me proposa Annie.

– C’est-à-dire, c’est pas trop mon truc… tergiversais-je.

– T’aimes pas ça ?

 

Bizarrement, je n’osais lui avouer que je n’avais jamais fait et peinais à trouver la bonne réplique.

 

– Pierre est très doux, il va te faire ça comme un chef.

– Ben…

– Allez fais-moi plaisir, on ne vit qu’une fois !

– Bon on essaie, mais si j’aime pas on arrête !

– Ne t’inquiète pas.

 

Pierre s’enfila une capote, je me mis en levrette,

 

– Attend je vais te préparer, j’adore préparer un petit cul ! Me confia Annie.

 

Sa langue se mit à virevolter autour de mon anus comme on ne me l’avait sans doute jamais fait à tel point que j’en jappais de plaisir, puis un doigt inquisiteur s’en vint violer mon intimité en une série d’aller-retour appliquée avec maîtrise.

 

Bellecour1021– A toi Pierre, encule-moi ce pédé !

– Je ne suis pas un pédé !

– En ce moment si ! Et puis ça m’excite de t’appeler comme ça !

 

Je sentis le gland de Pierre quémander l’entrée je m’ouvre.

 

– Ouvre toi mieux, t’es serré !

– Comme ça ?

– Attention…

 

C’est entré, encore une poussée, ça entre davantage, encore une, ça entre complètement, drôle d’impression d’avoir ce corps étranger dans le cul, Pierre commence à pilonner doucement, quelque chose me rend mal à l’aise.

 

– Bon, ça va aller, retire-toi ! lui demandais-je

– Encore une minute, juste une minute.

 

Il en a de bonnes, lui, je n’en veux pas de sa bite, il continue à gigoter, ça me fait des choses, finalement c’est pas si mal, c’est même pas mal du tout..

 

– Tu veux que j’arrête !

– Non, c’est bon, encule-moi bien !

 

Je transpire, je suis dans un état second, il continue, il accélére, et brusquement il se retire. Dommage ! Il enlève sa capote à toute vitesse et décharge sur les nichons d’Annie. Laquelle tout heureuse de ce présent se badigeonne et se lèche les doigts. Elle met tend l’un de ses doigts gluant de foutre, je le suce. Qui aurait pu imaginer que je fisse une chose pareille ?

 

– Tu bandes trop bien, viens me prendre !

 

Il y a des choses qu’il ne me faut pas dire deux fois. Hélas j’étais tellement excité que je n’ai pas tenu la distance, mais voulant satisfaire malgré tout mon hôtesse, je m’appliquais à lui lécher le clito, lui provoquant sa seconde jouissance de la soirée.

 

On a fait un break, bières et petits gâteaux

 

Un peu plus tard, nous avons repris nos galipettes, en changeant un peu les rôles : c’est Pierre qui me suça, puis nous avons décidé de prendre à deux la charmante Annie, comme j’étais l’invité, Pierre me dit :

 

– A toi le cul, moi je prends la chatte !

 

Moment grandiose, d’autant qu’Annie nous a suggéré de faire ça devant le miroir de la chambre.

 

Nous nous nous somme promis de nous revoir… Mais cela est une autre histoire

 

Rewriting d’une histoire intitulée « X à trois » par Daniel G. publiée sur le net il y a très très longtemps…

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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