Mercredi 8 septembre 2021 3 08 /09 /Sep /2021 16:40

Confessions bisexuelles - 1 

 

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Tu parles d'un apéritif ! Par David.

Attention c'est un peu scato !

Bonjour je m'appelle David, j'ai 30 ans, légèrement bisexuel, j'aime sucer et lécher : les seins, les chattes, les bites, les culs… mais n'anticipons pas.

Je sonne chez mes amis vers 8 heures du soir. Mark vient me répondre, Michèle est occupée à arranger les derniers détails afin d'être sûre que nous passerons une bonne soirée !

- On a préparé un repas froid ! On peut s'amuser un peu en guise apéritif !

Ils sont tous les deux vêtus de leurs peignoirs de bain, on voit qu'ils reviennent de la piscine et d'après leurs yeux brillants, j'en conclus qu'ils ne m'ont pas attendu pour se donner du plaisir... Je peux entrevoir les jolis seins de Michèle et la queue durcie de Mark qui fait une bosse sur son peignoir... A cet instant Michèle nous dit :

- Allons tous à la piscine ! tout en détachant son peignoir

Je retire mon short et mon t-shirt, tout excité et la suis en commençant à bander... Mark me regarde mater Michèle et semble très excité aussi !

Nous sommes maintenant arrivés à la piscine et Mark tire une table basse à lui et pose des boissons fraîches dessus. Je viens de m'approcher de Michèle, complètement nue et ma queue se balance de droite à gauche, ce qui commence à l'exciter ! Elle me fait assoir, vient entre mes jambes, prend ma queue durcie de désir dans sa bouche et commence par lui donner de petits coups de langue... A ce moment, Mark s'approche de moi et me présente son membre épais et dur, que je commence à sucer avec passion... il se balance d'avant en arrière et fait entrer sa longue et bonne queue que je continue de sucer avec délectation.
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Michèle s'éloigne à cet instant car elle aime voir le spectacle de deux hommes se donnant du plaisir... et commence à se caresser la chatte qui devient vite trempée... Cela m'excite tellement que je dis à Mark d'arrêter pour que je ne vienne pas tout de suite car j'ai envie de baiser Michèle maintenant ! Je ne tarde pas à m'enfoncer profondément dans la chatte de Michèle et lui donne de bons coups de queue... Mark vient alors derrière moi et commence à me caresser le trou du cul avec un de ses doigts, qu'il a lubrifié d'un peu de salive... je lui dis :

- Oui, vas-y, encule-moi, fous-moi ta bite dans le cul pendant que je baise ta femme !

Mark ne ménage pas sa peine et chaque coup de bite qu'il me donne dans le cul est répercuté dans la chatte de Michèle avec la même force... Puis Michèle me dit qu'elle veut me sucer la bite pendant que Mark me bourre le cul.

Au bout de quelques instants, Mark se retire, sa bite est maculée de merde, je la nettoie avec ma bouche. J'aime bien faire ça !

Michèle veut maintenant que Mark la baise. Je suis derrière eux maintenant et je vois les fesses de Mark (très belles d'ailleurs) aller et venir alors qu'il bourre la chatte de Michèle. Je me dis que c'est mon tour de lui mettre un doigt dans le cul, après l'avoir lubrifié d'un peu de salive... J'entends un :

- Oh ! nique -moi, oui, vas-y, mets-la-moi bien profond !

Et pendant ce temps-là je m'enfonce dans le cul de Mark....

Michèle ne peut retenir sa jouissance plus longtemps et crie de plaisir, ce qui a pour effet de faire venir Mark puissamment dans sa chatte. A cet instant, j'envoie de bonnes giclées de sperme dans son cul et nous tombons ensemble sur l'herbe du gazon...

Michelle se relève, nous demande de ne pas bouger et nous pisse dessus. J'adore ce genre de jeux et j'avale de grandes lampées de sa bonne pisse. Elle se recule ensuite de quelques mètres et sans aucune pudeur se met à chier un gros boudin marron devant nous. Me revoilà en train de bander.

- Je n'ai pas pris de papier, David tu veux venir me lécher le cul !
- J'arrive !

Tu parles d'un apéritif !


A quatre, c’est bien ! par Henri


Laure, ma femme, a 25 ans, j’en ai 28. Nous nous aimons avec passion depuis 10 ans. Je me rappelle nos premières caresses malhabiles sur un matelas dans la cave pour ne pas que ses parents nous découvrent.


Rassurez-vous, rapidement ces caresses sont devenues plus habiles. Quel plaisir de caresser le corps parfait de Laure, de descendre de sa bouche charnue vers ses seins volumineux, de les prendre dans ma bouche tout en continuant de descendre vers sa chatte trempée de désir.


Laure adore que je promène ma langue sur ses lèvres, celles de sa chatte bien sûr ! J’aime ce goût indéfinissable et je ne me fais jamais prier. Je la pénètre ensuite en arrière à quatre pattes comme une bête. Nous aimons beaucoup… Mais au bout de dix ans nous commencions à trouver ces gestes biens répétitifs, quoique toujours très agréables.


Ce soir-là, nous avions un couple d’amis plus libérés que nous à dîner et je ne sais comment nous en sommes venus à parler de l’entente sexuelle dans le couple. Laurent, notre invité, nous dit l’air de rien que l’amour à quatre et la sodomie ont sauvé son couple de l’ennui.


Je regarde Laure d’un air gêné, et à mon grand étonnement celle-ci, très intéressée prend la balle au bond et demande à Catherine, la femme de Laurent si la sodomie n’est pas douloureuse. Celle-ci la rassure et lui garantit au contraire que cela procure une satisfaction vraiment intense.


Je m’enhardis à mon tour et fait remarquer à Laurent que l’échangisme n’a rien d’original. Celui-ci me répond que lorsqu’il disait amour à quatre il entendait également des caresses entre hommes et entre femmes.


Enfin Laure, visiblement très intéressée par le sujet et libérée par le vin, demande naïvement à Catherine comment elle s’y prend pour se faire sodomiser.


À ces mots Laurent se lève brusquement et commence à se déshabiller. Toute excitée, Catherine en fait autant et comme elle portait juste une fine robe de soie, se retrouve nue en quelques secondes. En voyant son pubis épilé, je suis pris d’une érection impressionnante et ne peux m’empêcher de caresser mon sexe.


Mais déjà Laurent commence à prendre Catherine offerte par derrière, le plaisir se lit sur leurs deux visages. Le sexe de Laurent va et vient dans le petit derrière de Catherine qui hurle de plaisir. N’y tenant plus, je lui avance mon sexe qu’elle engouffre dans sa bouche. À son tour Laure, vient caresser Catherine dont le corps de porcelaine se tord de plaisir dans tous les sens.


Laurent se retire alors et me regarde avec un doigt sur la bouche. Je me retire à mon tour et nous laissons nos deux femmes se caresser mutuellement, langoureusement, lentement en gémissant de plaisir. Pendant ce temps, Laurent prend mon sexe dans sa bouche et je découvre ce qu’il entendait par amour à quatre.


Ensuite il me propose de sodomiser Catherine et je découvre cette sensation délicieuse tandis que lui même bourre Laure par derrière et la salope apprécie. Je me retire pour éjaculer et ce sont Laure et Catherine qui viennent se battre pour mon foutre qu’elles avalent goulument.

Voyant que Laurent n’y tient plus non plus, totalement excité, je lui prends son sexe dans ma bouche et il éjacule en moi avec un râle de satisfaction.


Épuisés, nous éclatons tous de rires et sur proposition de Laure décidons de faire l’amour toute la nuit…


Dans les yeux de Laure je lis une satisfaction que je n’avais plus vue depuis longtemps et j’ai une petite idée de nos nuits pour ces dix prochaines années.


Rentrée plus tôt par Gisèle


A l'époque, j'avais 24 ans, en couple depuis 18 mois avec Paul un gentil garçon de deux ans mon aînée, dont j'étais follement amoureuse. nous avions une sexualité intense pimenté parfois par des fantaisies insolites. Ainsi un jour après qu'il m'eut acheté un gode, il me proposa de lui enfoncer dans le trou du cul. J'acceptais avec amusement, c'est là qu'il me dit :


- C'est super bon, mais ça ne vaut certainement pas une vrai bite.!


Je me gardais de répondre à cette réflexion insolite, mais du coup, le fantasme de voir mon chéri de faire enculer par une bonne bite me taraudait.


Notre vie sexuelle bascula un après-midi. J'avais rendez-vous avec une amie dans un café, mais alors que je l'attendais sirotant une menthe à l'eau, mon portable sonna. C'était Sonia, qui s'excusait de ne pouvoir venir, car sa voiture était en panne. En fait cela m'arrangeait, car c'était vraiment pour lui faire plaisir que je lui avais promis de l'accompagner faire les boutiques. Aussi sans plus attendre, je rentrais chez moi. 


Arrivée à la maison, des gloussements de plaisir me parvinrent de la chambre, je n'avais pas fait de bruit pour rentrer. Et quelle fut ma surprise en regardant par la porte entrebâillée de voir mon homme avec un jeune blondinet au lit. Cela me choqua un instant, puis la curiosité prit le dessus. Je me résonnais, c'est vrai j'aurais pu être jalouse d'une autre femme, mais d'un garçon, c'était différent… et puis il y avait mon fantasme… La scène commençait à m'exciter. Paul était allongé sur le dos, les yeux clos, savourant la fellation qu'était en train de lui pratiquer le jeune homme. Accroupi, les reins cambrés, offrant à mes yeux de belles fesses musclées. 


Ouvrir la porte en hurlant ? M'en aller discrètement ou participer avec l'homme de ma vie à ses plaisirs interdits. 


Je choisis la troisième solution. Je me déshabillais complètement derrière la porte, le plus silencieusement possible, puis, je pénétrais dans la chambre. Je m'approchais doucement du jeune garçon. Lorsqu'il me vit, il fut bien sûr surpris, mais sans doute rassuré par ma nudité, il continua son travail, sa bouche quitta le gland gonflé de plaisir puis sa langue descendit le long de la verge jusqu'au couilles qu'elle lécha délictueusement quelques instants puis s'enfonça dans l'anus de Paul. Il m'invitait à le rejoindre. Lorsque mes lèvres enveloppèrent le magnifique membre, Paul ouvrit les yeux, puis me voyant moi sa femme participer heureuse et amoureuse à ce qu'il me cachait depuis toujours, il s'écriât simplement  :


- Ben toi alors !


Je me sentis pour la première fois libre, totalement épanoui. Je venais d'enterrer définitivement tous les tabous ancestraux qui font de notre vie un enfer de culpabilité. Je pompais goulûment la berge bandée de mon homme. Le blondinet me regardait et m'encourageait d'une voix douce :


- Suce le bien, mets tout dans ta bouche


Ma chatte dégoulinait de plaisir et je n'en revenant pas moi-même l'énorme bite s'engouffra entièrement dans ma bouche. Son gland était au fond de ma gorge et je jouissais. 


- C'est bon ma chérie me dit-il, regarde maintenant ton homme comme il suce bien lui aussi. 


Paul était toujours allongé sur le dos, le sexe dur comme du béton. Et le blondinet baisait sa bouche. Ma chatte était en feu, je me mis à califourchon sur Paul, son membre pénétra en moi, ma bouche vint rejoindre la sienne. Le blondinet baisa tout à tour nos deux bouches puis, il jouit entre nos langues entremêlées autour de son énorme gland. Paul ne pouvant plus se retenir, éjacula dans mon ventre ce qui me provoqua un merveilleux orgasme. Nous étions exténués de plaisir, tous les trois


Paul m'expliqua que depuis quelques mois, il avait des désirs de garçon, et que de temps en temps il s'offrait une fantaisie gay. N'osant pas me l'avouer de peur de me perdre, il était maintenant soulagé que la fatalité qui me fit rentrer cet après-midi à la maison, ne brise pas notre couple mais bien au contraire le renforce. Et je lui avouais que j'avais toujours eut le fantasme de faire l'amour avec deux gays. 


Nous étions bien tous les trois nus sur le lit. Les deux membres vidés de leur semence était au repos. Mais je n'étais pas encore rassasiée, je voulais jouir, jouir et jouir encore. Paul s'était levé pour boire une mousse et se griller une cigarette. Lorsqu'il revint au bout de quelques minutes de la cuisine. Il me trouva entrain de caresser les belles fesses musclées du blondinet. Il ouvrit le tiroir de la commode et en sortit le godemiché qu'il me tendit sans dire mot. Puis il s'assit sur une chaise et s'alluma une nouvelle cigarette. Paul voulait me voir m'éclater avec son ami. Il n'allait pas être déçu, car j'étais devenu une vraie salope. Je me mis à lécher le cul du blondinet qui s'ouvrait comme une chatte en chaleur. Lorsque son anus fut bien dilaté, je me saisis du gode et lui introduisis au plus profond de son plaisir. J'entrepris de le sucer tout en continuant à le baiser. D'abord d'un rythme lent, très lent, j'avalais sa queue tout en enfonçant le gode au plus profond de ses entrailles puis j'accélérais le mouvement. Quand je sentis qu'il était prêt à jouir, je proposais à Paul de se mettre en position de levrette afin que le blondinet puisse l'enculer.! 


Ce fut bref mais géant 


- Je t'aime ma salope ! Me dit-il

 

- Moi aussi mon enculé !

 

 

 

 

  

Par inconnu - Publié dans : Confessions
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Mercredi 8 septembre 2021 3 08 /09 /Sep /2021 15:27

La maman d'Angélique par Alexis Defond-Rossignol
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L'été 1992, sur une plage du Midi, j'ai vingt-trois ans. Que voulez-vous que l'on fasse, à cet âge, en cet endroit et en cette saison ? En ce qui me concerne, je suis doublement occupé. Angélique et moi nous connaissons depuis deux ans, et nous nous considérons comme fiancés même si, séparés par plusieurs centaines de kilomètres en raison de nos études, nous ne nous voyons guère qu'aux vacances. Cet été, elle est accompagnée de sa mère qui a loué une maison pas loin de chez moi. C'est une petite blonde pulpeuse (Angélique, pas sa mère) avec des seins auxquels on pourrait accrocher sa veste et un de ces culs qui me font dire "plus il y en a, mieux c'est". Elle est d'un tempérament plutôt réservé, sauf au lit où elle est toujours en quête d'expériences nouvelles. Je ne m'attendais tout de même pas à la surprendre, il y a quelques jours, enlacée avec Béatrice, ni à ce que les deux filles se montrent d'humeur partageuse. Toujours est-il que depuis, j'ai fort à faire pour leur tenir compagnie à toutes les deux. Elles se complètent admirablement : Béatrice est aussi brune qu'Angélique est blonde, plutôt filiforme avec des seins fuselés et presque pas de hanches, légèrement plus âgée (elle a 25 ans, Angélique 22) et plus riche d'une expérience qu'elle est toujours prête à partager. Vous trouverez peut-être que je glisse un peu rapidement (si j'ose dire) sur Angélique et Béatrice, mais en fait ce n'est pas d'elles que je voulais vous parler.

 

L'histoire commence un jour où les deux filles et moi sommes attablés devant un verre à discuter (oui, j'apprécie AUSSI leur conversation) et où Angélique nous confie ses inquiétudes quant à sa famille. Ses parents ont divorcé voici quelques mois, et sa mère, Marie-Cécile, s'en remet très mal. Je m'en serais douté, à voir la tête qu'elle faisait les quelques fois où je l'ai vue depuis le début des vacances. C'est une femme d'une quarantaine d'années, aux cheveux auburn, au teint plus mat que celui de sa fille, qui serait plutôt belle sans son air d'accusé venant de s'entendre condamner à perpétuité.

 

-"Elle est en pleine dépression, dit Angélique. Elle n'a que 42 ans, et elle a l'impression que sa vie est finie. J'ai peur qu'elle ne finisse par se flinguer !

- En fait, dit Béatrice, elle a besoin d'un homme."

 

Ni elles ni moi n'en reparlerons. Il n'empêche que le lendemain soir, nous sommes tous trois de sortie et parvenons à traîner Marie-Cécile avec nous. Au bout de deux heures, Angélique vient néanmoins me dire que sa mère se sent fatiguée. Nous décidons que je laisserai là les deux filles le temps de la ramener en voiture. Le long du chemin, Marie-Cécile et moi parlons quelque peu de nos familles respectives. De son côté, c'est aussi classique que pas brillant : trompée pendant des années sans le savoir, puis en le sachant, et finalement plantée là pour une plus jeune... Nous venons d'arriver devant chez elle quand elle finit par éclater en sanglots. Après avoir arrêté le moteur, je la prends par les épaules pour la réconforter. Elle pleure un peu contre moi, ce qui me laisse le temps de me rendre compte que la peau de son épaule est aussi douce que celle de sa fille, et que sous sa robe d'été, elle a le corps aussi bien dessiné que celui d'Angélique... Ces réflexions me mettent dans un état dont je crève de peur qu'elle s'aperçoive, dans la posture où nous sommes. J'ai moins peur à mesure que ses sanglots s'apaisent, sans qu'elle songe à se dégager de mon bras. Je l'embrasse sur la joue, puis sèche ce qu'il lui reste de larmes avec mes lèvres, puis trouve sa bouche. Elle se laisse faire, et cette fois notre posture ne lui permet plus d'ignorer mon état. Ceci m'encourage à faire glisser ma main le long de son bras, vers son sein. Sa robe est boutonnée sur le devant ; j'en défais le haut, remonte le soutien-gorge, dénude des seins lourds mais encore fermes, plus ronds que ceux d'Angélique, aux pointes couleur de caramel. Je les caresse tout en lui embrassant et en lui mordillant le cou, puis me penche sur eux, arrondis ma bouche autour d'un mamelon, le tète longuement avant de passer à l'autre. Si Angélique a été nourrie à de telles sources, pas étonnant qu'elle soit si belle aujourd'hui ! En même temps, ma main redevenue libre retrousse le bas de sa robe, glisse sur sa cuisse. Marie-Cécile a les deux mains crispées dans mes cheveux, ses gémissements m'encouragent, puis elle parvient à articuler :

 

- Pas ici, pensez aux voisins !

 

Nous sortons de la voiture après qu'elle ait reboutonné sa robe, et ne faisons qu'un saut jusqu'à la maison. Marie-Cécile ne prend pas le temps d'aller jusqu'à la chambre : à peine entrée, elle tombe avec moi sur le premier tapis venu. Je déboutonne complètement sa robe. Dessous, elle n'a pas rajusté son soutien-gorge. Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activent sur ses tétons, puis ma bouche descend. Le ventre qui a porté Angélique mérite tous mes respects : je l'embrasse et le lèche longuement, puis descends encore plus bas, fais glisser le slip. Elle a une touffe bouclée, de la couleur de ses cheveux, des hanches généreuses mais dépourvues de graisse, des cuisses parfaites à mon goût. Et je les goûte longuement, avant d'embrasser l'endroit d'où Angélique est sortie. Marie-Cécile a dû sacrément souffrir ce jour-là, pour donner une fiancée à un bébé (moi) qui ne s'en souciait guère à l'époque, et elle mérite bien que je la récompense. Ma langue s'active, tandis que je prends en mains des fesses dignes de celles d'Angélique. Les gémissements de Marie-Cécile augmentent en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachent presque les cheveux. Elle a un gémissement de protestation lorsque je me redresse, mais je me déshabille aussitôt, ne lui laissant aucun doute sur mes nouvelles intentions. Je sors un préservatif de mon blouson : j'en ai toujours sur moi, pour Angélique ou Béatrice. J'ai peur que Marie-Cécile ne soit choquée de me voir le mettre (après tout, elle est d'une autre génération), mais son absence de réaction me fait penser que pour elle aussi, la capote est entrée dans les mœurs.

 

Et j'entre doucement dans ses mœurs, couché sur elle. Au bout de quelques mouvements, elle a une réflexion plutôt tardive :

 

- Vous êtes le fiancé de ma fille !

 

Je réponds en comparant sa beauté et celle d'Angélique, d'une façon qui n'est vexante pour aucune des deux. Elle se tait puis, quelques instants après, semble être frappée par la découverte d'une vérité :

 

- Elle sait ce que nous faisons, n'est-ce pas ?

 

Je marmonne un "oui", et après tout je commence moi aussi à penser qu'effectivement, Angélique devait avoir quelque chose derrière la tête en me demandant de raccompagner sa mère. Puis Marie-Cécile n'ouvre plus la bouche que pour m'implorer de continuer plus loin, plus profond, et m'approuver de plus en plus vite, de plus en plus fort, jusqu'à hurler tandis que nous jouissons dans les bras l'un de l'autre.

 

Alors que nous restons étendus, enlacés, sur le tapis, elle m'avoue :

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- C'est la première fois qu'un homme me fait ça.

- Quoi ?

- Ce que vous m'avez fait entre les jambes, avec la langue.!

 

Nous refaisons deux fois l'amour (pas plus : non qu'elle ne me donne pas envie de continuer, mais j'ai laissé Angélique et Béatrice à la boîte et elles doivent commencer à s'impatienter) : elle ne prend guère d'initiatives, me laissant jouer avec son corps, et, entre deux, me fait quelques confidences à demi-mot sur son passé. Je crois comprendre que son mari était du genre à, une fois tous les quinze jours, la faire mettre sur le dos et se coucher à plat ventre sur elle pendant environ quarante-cinq secondes. Je me dis qu'il aurait dû en faire un peu plus avec sa femme au lieu d'aller chercher des satisfactions ailleurs, mais j'aurais tort de le blâmer : après tout, le divorce de Marie-Cécile est tout bénéfice pour moi. C'est la situation la plus délicieusement tordue que j'aie jamais rencontrée : Avoir (car nous nous sommes bien promis de recommencer) une femme de 19 ans plus âgée que moi à laquelle il faut tout apprendre, tout en continuant à coucher avec sa fille qui est bien plus délurée qu'elle !

 

La pensée d'Angélique me cause d'ailleurs quelque inquiétude : nous nous sommes promis de toujours nous raconter nos aventures l'un sans l'autre, et une promesse est une promesse. Je vais devoir lui dire, pour Marie-Cécile et moi. Je crois de plus en plus qu'en laissant sa mère seule avec un chaud lapin comme son fiancé, elle savait ce qu'elle faisait. Mais je me demande quand même comment elle va prendre la chose. Eh bien, sa réaction m'a mis sur le cul…

 

- Elle est douce la chatte de ma mère n'est-ce pas ?

- Pourquoi, tu y as goûté ? Répondis-je sur le ton de la plaisanterie.

- Eh, oui et je n'ai même pas honte !

- Tu nr me l'avais jamais dit..

- Ce ne sont pas de choses faciles à dire. Après son divorce elle avait besoin de consolation, alors on s'est retrouvée couchées l'une contre l'autre, au début ce n'était que de tendres câlins, puis la situation nous a excité, Je l'ai léché, elle 'a léché, J'ai beaucoup aimé coucher avec ma mère. On a recommencé plusieurs fois, mais j'ai compris qu'en fait elle avait surtout besoin d'un homme.

- Eh bien, qu'est ce j'entends !

- Il est où le problème, tu ne va pas me faire la morale, tout de même !

- Non, mais n'empêche que tu es une belle salope

- Tu sais ce qu'on pourrait faire demain ou après-demain ? Devine ?

- Non, dis !

- Un petit trio avec ma mère et toi.

 

Et à cette évocation je me mis à bander fort…mais fort ! Non vous ne pouvez pas imaginez…

Le lendemain, Béatrice et moi venons manger chez ma future belle-mère. à mon arrivée, j’ai la surprise de la trouver dans une robe d’été très décolletée, sous laquelle il est évident qu’elle n’a pas de soutien-gorge. Marie-Cécile part à la cuisine pour préparer la salade, et je la suis, sous prétexte de l’aider. En fait, à peine est-elle occupée à secouer sa salade dans l’évier que je la saisis par derrière et remonte sa jupe sur ses cuisses. Je m’en doutais un peu en la voyant marcher : elle ne porte pas de culotte non plus. Et je commence, tout en l’embrassant dans le cou, à lui caresser les fesses, les hanches, à écraser ma braguette – bien tendue, comme vous l’imaginez – contre sa raie, à passer ma main droite par-devant et à introduire mon index dans sa chatte déjà trempée… Vous trouvez peut-être cette conduite abominablement phallocrate, envers une femme qui est face à un évier, avec les mains embarrassées d’un panier à salade ?

– Arrête, petit cochon, les filles pourraient nous voir.

Si elle savait que je suis là avec leur bénédiction, et qu’elles doivent être en train de chercher à imaginer ce que nous faisons dans la cuisine ! Et comme mon index s’agite de plus en plus autour de son petit bouton, elle ne dit plus rien et commence à gémir doucement. Ses tétons doivent être durs à lui faire mal, car elle se glisse une main dans le décolleté et commence à les malaxer. Je l’y aide activement de ma main restée libre, et bientôt elle doit se fourrer un torchon entre les dents pour s’empêcher de crier.

Une fois retrouvés ses esprits, elle se retourne vers moi, semble se rendre compte que je n’ai pas eu les mêmes satisfactions qu’elle, et soudain, sans que je ne lui demande rien, me débraguette, sort ma bite et la branle jusqu’à ce que je gicle sur le parquet – ce qui, dans l’état où je suis, ne prend que quelques secondes.

Pendant que je nettoie le sol, Marie-Cécile essuie ses cuisses trempées de mouille. Elle remet de l’ordre dans sa tenue, essaie de la défroisser avant que nous ne rejoignions les filles. Lorsque j’arrive à table, Angélique m’attrape la main droite et dépose un baiser sur mon index. Ce serait un geste banal entre amoureux dans toute autre circonstance, mais là, Béatrice est prise d’un fou rire qu’elle étouffe dans sa serviette. Visiblement, les filles ne se sont pas contentées d’imaginer ce que nous faisions ! Heureusement que Marie-Cécile ne s’est aperçue de rien.

Après le repas, les filles vont dans la chambre d’Angélique en annonçant qu’elles vont faire la sieste. Je l’ai assez faite avec elle pour savoir ce que cela veut dire, et de mon côté j’accompagne Marie-Cécile jusqu’à son lit. Elle accepte puis provoque des caresses nouvelles, me les rend… Après plusieurs orgasmes successifs nous sommes tous les deux étendus dans le lit, elle sur le dos, les yeux clos, à moitié endormis, moi lui caressant le ventre et la chatte, lui préparant un nouveau départ au septième ciel.

Et voilà que sa fille Angélique ouvre silencieusement la porte. Entièrement nue, elle me fait signe de me taire et se glisse au pied du lit sans que Marie-Cécile ne s’en aperçoive. Je lui laisse l’endroit que j’étais en train de caresser, portant ma main un peu plus haut. Dans son demi-sommeil, ma future belle-mère met un moment à comprendre que la langue qui lui enflamme le clito ne doit pas être la mienne. Elle a un sursaut, mais Angélique se couche déjà sur elle, l’embrasse, presse ses seins, son ventre, son bouton contre les siens. De mon côté je redouble mes caresses, et il ne faut qu’un instant à Marie-Cécile pour jouir de nouveau.

C’est au tour de Béatrice d’entrer dans la chambre. Elle se penche sur ma bite, la prend dans sa bouche, ondule timidement de la langue et des lèvres, puis se fait de moins en moins timide… son doigt venant me titiller le trou cul. J’ai joui en déchargeant de longues giclées qui ont atterrit sur la poitrine de Marie-Cécile qui a éclaté de rire, tandis qu’Angélique et Béatrice virent nettoyer tout cela de leurs petites langues vicieuses.

 

PS : Ce texte sans mention d’auteur trainait sur mon disque dur depuis 2003. Je l’ai un peu arrangé à la sauce Vassilia. Une première version existe sur le site de Revebebe (signé Gérard) reprise sur Xstory (signé Hanjin) Dans ces deux cas le vol d’histoire est manifeste. (il suffit de comparer avec les autres récits de ces auteurs, les différences de style sont flagrantes). Il est bien évident que si le l’auteur de l’histoire originale désire se manifester et faire valoir ses droits, je ferais ce qu’il convient de faire en pareil cas.

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Alexis
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Mardi 7 septembre 2021 2 07 /09 /Sep /2021 11:51

Confessions bitophiles - 4

BiteFlag

Les rencontres de Norbert

J'ai découvert votre site il y a peu de temps et je l'ai trouvé très ouvert et très diversifié.

Je voudrais apporter mon témoignage sur la 'bitophilie' car elle existe bien et j'en suis un exemple.

 

En effet je suis avant tout attiré par les femmes qui m'excitent et que je respecte. Je les aime et je suis marié et heureux dans ma vie hétérosexuelle.

Toutefois, je dois l'avouer, j'ai une attirance illimitée pour les bites et uniquement cet attribut masculin que j'adore. 

La vue d'une sexe d'homme peut me provoquer une érection ce qui ne sera pas le cas avec une femme. Ceci dit, si je suis attiré par toutes les bites, la personne qui en ai le propriétaire ne m'intéresse absolument pas.

 

J'ai 39 ans et mes aventures avec des bites ont été rares et ont eu lieu durant les quelques années après ma majorité ce qui remonte à loin.

 

Ma première aventure je l'ai eu au lycée dans le vestiaire du gymnase. J'étais rentré en premier dans le vestiaire pour me changer alors que le reste de la classe était resté en salle pour regarder la fin d'une partie de Hand.

J'étais assis sur le banc en train de défaire mes lacets quand Antoine, un camarade de classe m'a rejoint.

De nature surexcité, Antoine gesticulait et chantait "on a gagné, on a gagné, il va me sucer.."' etc.

Je le connaissais et n'étais pas étonné de ses propos mais je n'envisageais pas qu'il vienne se poster devant moi et baisser le devant de son short libérant son sexe épais, mou et décalotté.

La vue de cette masse de chair pendante au bout cramoisi eut sur moi un effet qui me mit dans un état second.

Je pense qu'Antoine s'en était aperçu, et c'est pour cela qu'il est allé plus loin en collant son gland contre ma joue cherchant la bouche. 

Allez savoir pourquoi, mais ce jour-là je n'ai pu le repousser et j'ai englouti son membre.

Je ne l'ai sucé que quelques secondes , juste assez pour sentir son sexe grossir et le goûter car nous avons entendu du bruit et nous nous sommes arrêtés.

 

Ma seconde aventure je l'ai eu dans un cinéma porno vers l'âge de 20 ans.

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Je suis arrivé dans la salle sombre car le film avait déjà commencé et je me suis assis à côté d'un homme que je ne voyais pas.

Après quelques instants, avec les lueurs du film, j'ai compris qu'il se branlait ce qui m'excita en un quart de tour et je crois même m'être caressé au travers de mon jeans. Je n'avais pas l'intention d'aller plus loin, j'étais bien trop poltron pour cela, mais au bout de quelques minutes j'ai senti le genou de mon voisin toucher le mien et sa main s'en rapprocher. Paralysé je n'ai pas bougé, ce qui, je crois, à tout déclenché.

Il a alors placé lentement sa main sur ma jambe puis est remonté lentement sur ma cuisse.

Je pensais qu'il allait chercher ma braguette sous laquelle mon sexe était tendu, brulant et au bord de l'éclatement. Mais non, il prit ma main et la mit sur son sexe.

C'était la première fois que je prenais la queue d'un autre homme. Je me souviens vaguement de cette chaleur que j'ai ressentie dans ma paume au contact de ce membre pas très long mais épais.

Il m'a incité à le branler ce que j'ai fait jusqu'à sentir quelque chose de brulant couler le long de ma main. J'ai compris qu'il avait joui et , pour la première fois depuis mes pollutions nocturnes, j'ai éjaculé dans mon slip presque instantanément sans même me toucher.

Je me suis alors levé et je me suis empressé de sortir. Je suis rentré chez moi, pas fier, le slip collant de sperme et dégageant, dans le bus, une odeur caractéristique de foutre.

 

Ma troisième aventure s'est déroulée dans les urinoirs d'une grande galerie marchande.

Je suis entré dans ce lieu que je ne connaissais pas et je suis allé chercher une place au fond.

Au fond c'était dans un recoin, une sorte de petite pièce annexe où il y avait 4 urinoirs dont 2 occupés.

Je me suis installé face au mon urinoir et j'ai sorti ma queue pour uriner.

Là un des gars est parti et je suis resté avec mon voisin. A nouveau, comme au cinéma, j'ai constaté qu'il se masturbait et qu'il tournait son visage vers ma bite.

Excité je me suis retrouvé bloqué à ne plus pouvoir uriner et j'ai commencé à sentir mon sexe grossir.

Mon voisin s'en est vite aperçu je crois car il passa, sans gêne, sa main devant moi et attrapa ma queue sans ménagement. 

Il me dit d'un ton sec de prendre la sienne et de le branler. Soumis je me suis mis à le masturber.

Cela a duré quelques minutes qui furent une éternité. Il m'a branlé violemment jusqu'à me faire jouir. 

Hélas il ne fut pas satisfait de ma prestation car je n'avais pas atteint le même résultat avec lui.

Il me demanda alors de le rejoindre dans une cabine.

J'ai attendu qu'il y rentre et je me suis sauvé.

Après je me suis repassé le film et me suis dit qu'il était dommage que ce type n'était pas trop sympa parce que j'aurais bien aimé sucer.

Merci et continuez, votre site est génial et innovant.

 

Norbert

Rencontres nocturnes par Loïc

Bravo pour ce site que je consulte depuis que je l'ai découvert au début de l'année. Le concept de bitophile me plait bien puisqu'il correspond bien à mes errances. De plus la philosophie du lieu qui est à la fois une ode au respect de l'autre et à la liberté individuelle me plait bien tout comme vos piques contre quelques féministes déphasées.

J'ai tenté plusieurs fois de coucher sur le " papier " quelques-unes unes de mes plus intéressantes rencontres nocturnes, voici un exercice qui me plait bien, mais pour l'instant je garde ça pour moi, il n'y a rien de vraiment original là-dedans. Alors faut-il parler du reste ? Je pense qu'effectivement que ceux qui se lancent dans certaines quêtes doivent savoir que parfois ça ne le fait pas toujours. Ainsi ce dernier mardi, je me rendis comme souvent dans un des clubs parisiens on l'on peut faire des rencontres bitophiles. Il faut savoir que ces visites sont un pari, parfois on ne trouve personne. Je rentre, il y a deux hommes dans la grande salle en train de se masturber mutuellement, ils ne m'inspirent pas trop, je descends dans la petite salle gay, deux hommes se contentent de regarder la vidéo. Je pense donc ne pas m'éterniser dans le lieu, je remonte, un nouveau vient d'arriver, il entre dans une cabine, mais ne la ferme pas.

J'ouvre, le type a sorti son engin et se le masturbe, pas trop joli l'engin, assez long mais pourvu d'un prépuce envahissant. Mais bon faute de mieux. Je sors donc mon propre sexe et le masturbe à mon tour afin que mes intentions soit claires. L'homme enlève sa chemise, baisse son pantalon. J'aime pas trop son corps, il est rare que je flashe sur le corps d'un homme, Il ne lâche pas sa queue, je lui tripote donc les couilles, lui fait les seins et lui donne même des petites tapes sur les fesses. Il a l'air d'apprécier, mais au niveau interactivité c'est nul. Ce petit jeu ne m'apportant pas grand chose, je décide au bout de cinq bonnes minutes de mettre les voiles, et je me reculotte. Voyant cela notre homme se met alors à genoux devant moi, commence par dégrafer ma ceinture, ouvre la fermeture de ma braguette, mais semble avoir des problèmes avec les deux boutons du haut, du coup il tire comme un malade et les fait craquer tous les deux. Je n'ai rien à faire avec un mec capable de tels actes de violence, je prends ma sacoche tandis que l'autre qui parle pour la première fois (et en anglais) me dit qu'il est sorry, sorry . Il ira jusqu'à me proposer 10 euros, je ne saurais jamais si cette proposition visait à louer mon corps ou à couvrir les frais de réparation de mon pantalon, mais je l'ai planté là, allant plus loin dans la rue m'offrir d'autres plaisirs qui n'ont rien ceux là de bitophiles. Pourquoi raconte-je ça : Comme ça ! Je crois qu'il ne faut pas se décourager, certaines rencontres dans ces lieux sont nulles, mais d'autres sont tellement merveilleuses. Je vous remercie de votre attention

Découverte pas Henri

 

Avant de lire les histoires vécues de certains auteurs, je me croyais bisexuel. A présent, je sais que je suis hétéro, et bitophile.

Voici comment je me suis rendu compte de la " chose ".

 

J'ai aujourd'hui 38 ans, divorcé. A l'époque, j'étais encore marié, je travaillais dans une petite commune située à peu près au centre de la France.  Souvent, après le déjeuner, il m'arrivait de partir une petite demi-heure avant le début de mon travail de bureau, histoire de marcher un peu. Un jour, en promenade, j'ai été pris d'une envie d'uriner. Cette envie était suffisamment forte pour ne pas pouvoir attendre d'aller aux toilettes de mon lieu de travail. Aussi, je décide donc de me rendre dans les toilettes publiques, situées sous un kiosque au centre d'une place. Là, je rejoins une pissotière et me soulage de cette grosse envie. Je croyais au début être seul dans ces toilettes. Pourtant, au bout de quelques secondes, j'entends du bruit dans la cabine fermée située juste à côté de la pissotière que j'occupais. Et en écoutant attentivement ce bruit, il n'y avait pas de doute possible : une personne était à l'intérieur en train de se masturber.

Ayant terminé d'uriner mais un peu curieux, j'attendais de voir qui allait bien sortir de la cabine. Occupant ce petit laps de temps à me laver les mains au lavabo situé près des cabines, je vois alors un homme sortir assez rapidement. Je me rends alors dans le lieu qu'il occupait et voit au sol ce qui ne pouvait être que des petites flaques de sperme. J'avais donc parfaitement bien interprété le bruit que j'avais entendu. Je me rends compte alors que le mur séparant cette cabine de celle d'à côté, était percé d'un trou, à hauteur de la ceinture, et d'un diamètre d'environ 7 ou 8 centimètres.

Je suis ressorti des toilettes, un peu troublé par ce que je venais de voir et entendre.

 

Quelques jours plus tard, à l'occasion d'une promenade telle que je les pratiquais comme expliqué plus haut, instinctivement mes pas m'ont dirigé vers les toilettes publiques, alors que je n'éprouvais aucune envie d'uriner, cette fois. En entrant, je me suis aperçu que l'une des cabines, la première, était verrouillée. Quelqu'un était donc à l'intérieur. Je suis entré dans la deuxième et ai refermé le verrou derrière moi. J'ai glissé un œil par le trou dans le mur, et j'ai vu ce spectacle : un homme était en train de se masturber, pantalon et slip complètement baissés. Son sexe était de belle taille, mais son érection n'était pas encore complète. J'ai alors senti mon pénis prendre du volume, à ma plus grande surprise. Si je ne regardais jamais les mecs dans la rue (je préfère de loin mater les filles), en revanche j'aimais contempler leur sexe. Quelle révélation !

Au bout de quelques minutes, le type s'est rapproché du mur et a passé son sexe par le trou. J'étais un peu surpris, et me sentais un peu idiot dans cette situation. Je n'avais jamais touché d'autre pénis que le mien ! Et pourtant celui-la se présentait à moi. Je l'ai pris dans ma main et ai commencé à lui donner un mouvement de masturbation. Le sexe s'est alors immédiatement redressé fièrement. Et j'ai senti le mien devenir tout raide dans mon pantalon. J'ai masturbé le sexe de cette homme pendant quelques minutes, jusqu'à entendre de sa part une sorte de gémissement. J'ai compris qu'il allait jouir et me suis reculé un peu pour ne pas avoir de sperme sur mes vêtements. Et j'ai bien fait : il a éjaculé, par longues saccades qui se sont écrasées sur le sol. Une fois terminé, il a retiré son sexe. Je l'ai entendu se rhabiller et sortir de la cabine.

Je me suis donc retrouvé tout seul, mon pénis dur comme un roc dans mon pantalon, devant de belles traînées de sperme par terre. J'ai alors sorti mon sexe et me suis masturbé à mon tour, en me remémorant les instants que je venais de vivre. Ma jouissance n'a pas tardé : j'ai éjaculé longuement, avec un plaisir d'une rare intensité.

 

Quand je suis ressorti de la cabine, je me suis dit que le prochain qui s'y rendra ne sera pas déçu : il y trouvera une bonne partie du sol maculée de sperme !

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Dimanche 5 septembre 2021 7 05 /09 /Sep /2021 08:15

 

Valentina et son fils par James01

0Valentina

Valentina et son fils

 

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Bonjour, je suis Valentina ! Je vous plais, il paraît que j'ai encore de beaux restes !

J'aime le sexe, je suis très coquine, et je n'ai pas de tabou.

 

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Lui c'est Tomas, c'est mon fils, le voilà qui fouille dans mon décolleté, je crois qu'il a des intentions salaces, ce petit vicieux.

 

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Oh, mais c'est que ça bande bien là-dedans !

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Tiens tu veux les voir mes gros nichons de salope ! Régale-toi.

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Oh, oui suce-les moi c'est si bon !

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A mon tour de te sucer, tu sais que j'adore te sucer ta bonne bite !

 

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Je suis vraiment une salope, mais j'aime trop sucer mon fils !

 

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Et maintenant il me baise ! Et alors ? On ne fait de mal à personne !

 

Oh, oui bourre-moi bien, c'est trop bon !

 

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : James
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Samedi 4 septembre 2021 6 04 /09 /Sep /2021 18:13

Anne-Marie, dresseuse de vilaines filles par Marie-France Vivier
Domina

 

Bonjour, je me prénomme Isabelle et puisqu’il est de tradition dans une nouvelle érotique de se présenter, je vous propose ma description, Je viens de passer le cap de la trentaine, je suis blonde, (fausse) assez fine, un visage qu’on dit « intéressant’ avec un grand nez un peu pointu, j’ai des seins en forme de poires avec de grosse aréoles marron, et je fais du bonnet D. Je mesure 1,66 m et j’ai de très jolies fesses bien cambrées. Ma profession, on va dire qu’on s’en fiche, je suis divorcée et vis avec un garçon charmant très porté sur le sexe et très pervers. Nous sommes un couple se voulant libéré et j’ai ainsi appris des tas de choses avec dix ans de retard, je n’ai, je crois, pas beaucoup de tabou, mais il y a des choses que j’aime moins que d’autres. Ce qui me plait le plus, c’est de jouer à des jeux un peu maso.

J’ai lu sur Vassilia (j’adore !) leur conception du sadomasochisme ! Un simple jeu érotique qui peut aller très loin, mais disent-ils, quand c’est fini, c’est fini, on passe à autre chose… Cette façon de voir les choses s’oppose donc à l’esclavage permanent. Bon je serais assez d’accord à cette nuance près que j’aime faire durer dans le temps ma condition de masochiste, mais je concède que pour moi cela reste tout de même un jeu et qu’il n’y a pas que cela dans la vie ! Quand Eric veut me dominer, il commence toujours par les mêmes mots : « tu veux jouer ? ». Si je réponds non, il n’insiste pas.

Après tous ces prolégomènes le récit peut commencer

Ce soir-là après le dîner, je zappe sur le téléviseur qui ne nous offre comme d’habitude que des conneries. Eric me demande simplement :

– Tu veux jouer ?

Oui j’ai envie de jouer, je ne réponds pas, me lève du canapé et m’agenouille devant lui !

– Vas-y joue !
– Il y aura un gage si tu n’es pas assez obéissante, le gage ce sera de passer la soirée chez Anne-Marie.

J’ignore qui est cette Anne-Marie, mais je sais déjà que quoiqu’il arrive, j’aurais droit à ce gage. Pas grave, ça aurait même tendance à m’exciter.

Quelques jours plus tard, pomponnée et maquillée, je me suis donc présentée chez cette mystérieuse Anne-Marie à 19 h comme prévu.

Une belle femme mature aux cheveux auburn m’a ouvert, habillée avec une veste croisée qui lui couvrait juste les fesses et cachait une mini culotte blanche qu’elle avait d’ailleurs du mal à dissimuler. Mais ce qui m’a frappé de suite c’est l’inscription « bonniche » marquée au rouge à lèvres sur son front.

– Je suis Magda, la bonniche de Madame Anne-Marie ! Se croit-elle obligée de préciser.

Elle portait un soutien-gorge blanc à balconnets lui aussi à peine caché par sa veste, elle m’a fait un grand sourire de bienvenue, et m’a introduit dans le salon où se trônait Anne-Marie dans un fauteuil entourée de quatre autres femmes complétement nues et agenouillées.

Anne-Marie est une grande brune à lunettes coiffée d’un chignon strict. Elle était habillée d’un bustier noir en vinyle, d’une mini culotte de même couleur, des bas résilles et des escarpins de compétition. Elle est harnachée d’un gode ceinture très réaliste. Elle doit avoir une quarantaine d’années, peut-être plus. Une très belle femme. !

Elle me toise comme si j’étais une marchandise puis demande à Magda de me préparer.

On passe dans une pièce contiguë, Magda me fait me déshabiller complètement, dépose toutes mes affaires sur une même chaise, me passe un collier de chien autour du cou puis avec un tube de rouge à lèvres m’inscrit le mot « salope » sur mon petit front. Puis sans aucun ménagement elle m’accroche des pinces sur mes tétons, ça fait un peu mal, mais je supporte. On rejoint les autres,

– A genoux !

Je m’y met (comme les autres)..

– Bon, les filles, déclare Anne-Marie, vous êtes ici toutes sur l’ordre de vos compagnons ou de vos compagnes de jeux. Vous êtes majeures et consentantes et vous êtes ici pour mon seul plaisir, j’aime dominer les femmes et les humilier. Vous n’êtes pas dans un club féministe mais dans un club de femmes soumises. Vous n’êtes que des merdes et ici je vais m’amuser à vous rabaisser et à vous avilir, si ça ne vous plaît pas, autant partir tout de suite.! Vous allez être fouettées, livrées à des mâles en rut, il y aura de la pisse et peut-être de la merde. Encore une fois, les chochottes peuvent s’en aller, je ne retiens personne. Si pendant la séance la situation vous parait vraiment invivable, il y a un mot de sécurité, à prononcer trois fois ce sera « Chapelure ». Sinon on ne vous laissera pas sortir.

On se regarde toutes, personne ne souhaite s’en aller.

Elle nous passe en revue, nous demande qui nous a envoyé et ce que nous avons fait comme bêtises…

– A toi ! Dit-elle en désignant Sylvie, une petite brune aux cheveux courts et à la mine délurée.
– C’est mon père qui m’envoie, il m’a dit que je l’avais mal sucé !
– Et tu aimes ça sucer la bite de ton père ?
– Oh, oui, j’adore ! Il a une belle queue.
– Tu fais quoi d’autre avec ton père ?
– Il m’encule !
– T’es vraiment une morue !

Et dans la foulée la Sylvie se ramasse deux baffes.

– Toi, viens là ! M’ordonne Anne-Marie.

Je m’exécute.

– Tu es arrivée en retard ! Me dit-elle.
– Non, non ! Me défendis-je.
– Si je dis que tu es arrivé en retard c’est que tu es arrivée en retard, Tu n’es pas autorisée à me contredire .

Et elle accompagne ses propos d’une double paire de gifles complètement inattendue.

– Ouvre ta bouche.

Elle me crache dedans, plusieurs fois de suite.

– C’est une faute très grave que d’arriver la dernière ! Me dit-elle.

C’est complètement idiot, il faut bien qu’il y ait une dernière, mais puisque c’est un jeu…

– Fabienne, tu vas venir la corriger.

Fabienne est une jolie blackette aux très jolies formes.

– Commence par lui tordre les tétons ! Indique-t-elle à Fabienne.

Elle commence à le faire et sans ménagement, mais Anne-Marie l’interrompt.

– Non, t’es trop nulle, quand tu t’occupes d’une esclave, tu dois d’abord l’humilier, en lui crachant dessus, une esclave c’est de la merde, ça doit être traitée comme de la merde, tu dois la gifler, l’insulter.

Et c’est que la Fabienne, elle se prend au jeu, je reçois plein de baffes, elle me crache dessus, me traite de tous les noms, puis sur ordre d’Anne-Marie, me cingle de dix coups de badines qui me font très mal.

Ça commence fort , ce truc !

– Voilà, c’est mieux comme ça ! Commente Anne-Marie. Maintenant on peut prendre un petit apéritif avant de passer à autre chose. Sylvie prend des verres ! C’est là-bas ! Apporte aussi la bouteille de Porto.

Nous avons ensuite reçu l’ordre de nous assoir sur des tabourets de bar.

– Magda, sers-nous l’apéro ! Dit-elle en claquant des mains.

Magda, la bonniche, était à présent complètement nue, plutôt bien faite, avec seulement un petit tablier de soubrette, comme unique vêtement.

La soubrette pris la bouteille de Porto et servit Anne-Marie, elle reposa la bouteille, laissant les autres verres vides. Elle s’approcha d’Anne-Marie puis délicatement fit glisser le string dévoilant un pubis assez poilu. Elle se baisse, donne un petit coup de langue, puis va chercher un verre qu’elle pose devant sa chatte.

Anne-Marie pisse alors dans le verre devant nos yeux subjugués. Je comprends alors quel sera notre apéritif. L’opération est répétée pour chaque verre et à la fin Magda ouvre sa bouche pour absorber le « surplus » à la source.

– Allez chacune prend son verre ! A votre santé les filles ! Vous ne pensiez quand même pas que j’allais vous laisser boire mon Porto. Allez régalez-vous avec ma pisse, bande de petites salopes !

Je m’amuse un peu, pour moi l’uro n’a jamais été une corvée, mais ce sera la première fois que j’en bois dans un verre, je porte le verre à ma bouche, c’est de l’urine du soir, elle n’est pas trop forte, j’en bois une lampée.

Si Dorothée, une blondinette à la peau très claire, Sylvie et Fabienne, la jolie blackette semblent passer l’épreuve sans trop de mal, Géraldine, une grande perche au longs cheveux châtain en boucle, fait la gueule, avale avec difficulté les premières goulées, après ça va mieux.

Je m’aperçois que j’ai commis l’erreur de boire avec une complète décontraction, Anne-Marie m’interpelle :

– Si je comprends bien ce n’était pas vraiment une punition pour toi !
– Ben non ! Avouais-je.
– Alors tout à l’heure je te ferais lécher ma merde ! Mais maintenant séance de gode.

Magda, la boniche, s’est à son tour harnachée d’un gode ceinture. Dorothée et Fabienne sont désignées pour sucer ces bites factices recouvertes à présent d’une capote.

– Et maintenant, en levrette, les salopes, l’une face à l’autre, le gode vous allez l’avoir dans le cul !

Joli spectacle des deux nanas qui se font pilonner le cul en cadence.

– Embrassez-vous pendant qu’on vous encule, et ne faites pas semblant, je veux voir la salive dégouliner sur vos gueules de gouines.

Charmant…

Les deux filles se prennent au jeu, s’embrassent à qui mieux-mieux et jappent de plaisir.

Je repensais à la menace d’Anne-Marie, j’ignorais si elle bluffait. Cette perspective aurait pu me faire récupérer mes affaires et m’enfuir de chez cette bande de folles. Mais en fait j’espérai secrètement qu’elle ne bluffait pas, me disant que moi qui adore les humiliations, je serais servie, de toute façon la scato ne me révulse pas, ayant régulièrement nettoyé la bite d’Eric alors qu’elle sortait maculée de merde de mon trou du cul.

Les deux godeuses se retirent et obligent les filles à lécher les fausses bites encapotées. Il ne sont pas vraiment pollués mais le jus du cul, ça a tout de même un goût, les deux filles s’exécutent sans grand enthousiasme.

C’est maintenant au tour de Géraldine et de moi-même de passer à la casserole. C’est Magda qui se charge de me pistonner le cul. Géraldine paraît peu motivée pour me rouler une pelle, dommage, j’aime bien sa jolie frimousse. Sinon l’engodage ne me déplait pas et je me surprend même à jouir.

Viens le moment du nettoyage, le gode que j’avais dans le cul est ressorti pollué. Moi qui voulait être humiliée, je vais être servie, je fais emblant de refuser en espérant recevoir une baffe, ça ne rate pas. Je lèche le truc, j’ai maintenant un drôle de goût dans la bouche.

Sylvie attend son tour.

– Non pas toi, ça te ferait trop plaisir, on va tout de même pas foutre un gode dans le cul d’une pouffasse qui se fait enculer par son père.

Anne-Marie restait toujours très maitresse d’elle-même, même si son regard trahissait son excitation.

– Maintenant nous allons appeler les experts, Tom et Jerry, vous pouvez venir !

Tom et Jerry ? Je rêve !

Et voici que s’amènent deux grands blacks complément nus et montés comme des mulets.

– Allez, les gars, tâtez-moi la marchandise. Et vous les filles, vous vous laissez faire, vous n’avez aucun droit, vous n’êtes que des merdes.

On va finir par le savoir…

Ces types nous pelotent sans ménagement, et que je te malaxe un sein, une fesse et le reste. Les doigts s’aventurent dans les chattes et dans les trous du cul. On nous tire sur les pinces accrochées à nos tétons, on nous tape sur les fesses. Ils bandent joliment les « experts », si seulement je pouvais les sucer.

Au bout d’un moment Anne-Marie siffle la fin de la récréation.

Tom et Jerry se dirigent vers le fond de la pièce, et là notre hôtesse ordonne au premier de sucer la bite du deuxième. Tâche dont celui-ci s’acquitte sans problème et même avec une certaine gourmandise.

– Regardez bien les filles, regardez ces deux pédés, ils se sucent la bite, ils adorent ça et ils aiment bien se faire enculer aussi. Humm que c’est excitant de voir ça, ça me change de vos tronches d’esclaves.

Je vous dis, elle est charmante.

Faut dire que le spectacle a de quoi étonner, moi je trouve ça très troublant, très excitant.

– Maintenant on va faire un petit break, Fabienne et Sylvie vous allez sucer la bite de Tom. Isabelle et Dorothée vous sucerez Jerry. Et quand je dis sucer, c’est à fond, je veux voir le sperme dégouliner de vos bouches de putes. Quant à toi, Géraldine, tu te mets à genoux, tu attends que ça se passe, on s’occupera de toi après.

AM2

Un vrai régal que de sucer cette bonne bite que je partage avec Dorothée. Malheureusement le bonhomme ne tient pas la distance et trois minutes après il décharge dans ma bouche, Dorothée lui nettoie le sperme resté sur sa bite.

– Ne restez pas comme ça, avalez-moi tout ça, grosses putes ! Viens nous dire Magda en en profitant pour nous cravacher nos jolies fesses. Et maintenant que vous avez sucé sa bite, vous allez lui lécher son trou du cul, Allez, on ne fait pas la chochotte et s’il pue, tant mieux. Jerry t’as le droit de leur péter dans la gueule.

Manquait plus que ça, et c’est qu’il le fait, le salaud, je suis un moment envahi par une odeur pestilentielle, Ça ne dure pas heureusement. Mais quelle humiliation !

Magda nous demande d’embrasser Jerry afin de le remercier de nous avoir pété à la gueule. C’est en effet la moindre des choses !

Fabienne et Sylvie sont elles aussi venues à bout de la bite qu’elles suçaient de conserve..

Jerry a pour l’instant la bite demi-molle, Magda pisse alors dans un verre et demande à l’homme d’y tremper sa bite. Et c’est ainsi imbibée d’urine qu’il vient la proposer à la bouche de Géraldine.

Celle-ci souffle un bon coup, lève les yeux au ciel, semble hésiter. Anne Marie passe derrière elle et la cravache plusieurs fois.

– Alors tu la suces cette bite ou tu attends le printemps ?

Elle hésite encore.

– Et ne te plains pas, ce n’est que de la pisse ! ça pourrait être de la merde.! Qu’est-ce que vous en pensez les filles ?

On ne sait pas trop quoi répondre.

– Ben oui ce pourrait être de la merde ! Commente néanmoins Sylvie.
– Et tu ferais quoi ?
– Je lécherais.
– Bon, alors tu vois !

Géraldine ferme les yeux, ouvre la bouche et se gobe la bite du black. Passés les premiers instants, elle ne s’en sort pas si mal et l’homme rebande presque. Anne-Marie fait cesser l’opération.

– Passons à table, mes chéries ! dit-elle.

Magda apporte une grande tarte aux pommes, la dispose au milieu de la table mais ne nous sert pas.

– Occupe-toi de notre cette chaudasse d’Isabelle ! Lui ordonne Anne-Marie

La bonne est venue à mon côté, m’a invitée à me lever, puis, placée derrière moi, m’a caressé le dos, en suivant ma colonne vertébrale jusqu’aux fesses et m’a fait pencher sur la table. Puis elle a commencée à me les caresser, passant un doigt dans le sillon, son doigt s’arrêtait sur mon petit trou, le caressait, le pénétrait, le ressortait, puis continuait vers mon entre-jambes, s’arrêtant juste sous ma culotte, à l’entrée de ma vulve.

Anne-Marie a demandé à Sylvie de venir lui bouffer la chatte pendant qu’elle se régalait du spectacle dont j’étais pour le moment la vedette.

Chacune des filles fut invitée à venir m’embrasser les fesses et à me caresser. Toutes sont venues suivant les ordres donnés. Géraldine m’a juste embrassé furtivement une fesse, ce qui a provoqué la colère d’Anne-Marie qui lui a demandé d’aller au coin, lui disant qu’elle serait punie pour manifester si peu d’ardeur. Dorothée m’a longuement léchée les parties charnues et j’ai senti sa langue dans mon sillon et sur mon petit trou, pendant que Sylvie se régalait de mes tétons érigés, je crois que j’ai gémi un peu. Fabienne, la jolie blackette, après m’avoir embrassée les lobes, me les a écartés et sa langue est venue le long de mon sillon, j’ai senti un doigt sur ma vulve qui cherchait mon clito qu’elle a caressée, m’obligeant à ouvrir mes jambes. Sa langue allait entre mon anus et ma vulve et je devais être prête à jouir quand la bonne l’a arrêtée. Elle m’a relevée et après m’avoir fait assoir sur un siège en m’obligeant à tenir mes jambes ouvertes, elle m’a doigté jusqu’à ce que je jouisse.

En voilà une étrange façon d’alterner la soumission et la douceur !

Sur un signal d’Anne-Marie nous avons regagné nos places.

Magda découpe la tarte. Elle fait six parts, donne la sienne à Anne-Marie mais avant de distribuer les autres, crache dessus.

Fallait voir la tronche des filles, qui n’osent pas toucher à leur part de tarte, quant à moi on a visiblement « oublié » de me servir

Géraldine se lève courroucée !

– Je ne reste pas, je me barre ! Dit-elle dans une posture très théâtrale et en se dirigeant vers la sortie de l’appartement.
– Stop ! Les filles, rattrapez-moi cette pute et amenez-là moi.

Chic, on va rigoler !

On se jette à quatre dessus on l’immobilise malgré qu’elle se débatte avec rage..

On l’amène devant Anne-Marie qui commence par lui foutre trois baffes.

– Lâche-moi !
– On va faire la paix, lui dit Anne-Marie, nous allons nous embrasser et tu pourras partir.

Géraldine se demande s’il y a un piège ou pas ! Bien sûr qu’il y en un, elle a oublié de se servir du mot de sécurité, donc Anne-Marie ne la laissera pas sortir. J’ai hâte de savoir ce que notre hôtesse lui prépare comme vacherie.

Les deux femmes s’embrassent, puis Anne-Marie la gifle à nouveau.

– Maintenant je vais t’expliquer quelque chose : en s’embrassant on s’échange de la salive, et apparemment ça ne te gêne pas trop. Quand Magda crache sur le gâteau c’est aussi de la salive, il n’y a pas de différence… Alors maintenant ton gâteau, tu vas le bouffer, et par terre comme une chienne.

Et elle lui tire les cheveux pour la mettre en position.

– Magda, cravache-moi cette salope jusqu’à ce qu’elle ait terminé son gâteau.

Quelle humiliation ! J’envie sa place, mais je me dis que mon tour devrait venir, il n’y a pas de raison !

– Salopes ! Vous n’avez pas le droit ! S’égosille Géraldine en pleurnichant.
– On t’a envoyé ici pour te punir, alors ferme ta gueule, morue !
– Ça devait être juste un jeu !
– Fallait te renseigner mieux, alors tu la bouffes, ta tarte ?

Vaincue, humiliée, domptée, le visage en larmes, elle la termina, elle était plus forte que je ne l’aurais imaginé.

Magda ouvrit une tenture derrière laquelle était disposé deux croix de Saint André, Géraldine fut attachée à l’une d’elle.

Magda s’empare de sa cravache et se met à fouetter durement les fesses et le dos de la pauvrette qui s’ornent bientôt de trainées rougeâtres. La Géraldine crie et pleure, mais supporte. Après une vingtaine de coups, on la détache mais c’est pour l’attacher de face.

– Allez-y les filles, maltraitez là, giflez-là insultez-là, défoulez-vous.

On ne s’en prive pas, on la gifle, on lui crache dessus, on lui tourne les tétons avec les pinces, on la traite de tous les noms. Quelle humiliation ! Comme j’aurais aimé être à sa place.

– Vous vous rendez compte de ce que vous avez fait à cette pauvre fille, à votre tour d’être punies. Sylvie et Fabienne couchez-vous par terre sur le ventre, Isabelle et Dorothée fouettez les jusqu’à ce qu’on vous dise d’arrêter.

Je me suis acquittée de cette tâche avec grand plaisir, la Sylvie elle va se rappeler de moi ! Après cinq minutes de coups de cravache, on fait retourner les filles et on continue en ciblant les seins et le ventre, les filles sont en pleurs.

– Inversion des rôles !

Je l’aurais parié ! Me voilà par terre, ma victime est devenue bourreau, Mais c’est qu’elle me fait mal, la Sylvie, mes fesses se mettent à chauffer, je crie, je hurle, je piaille. Et quand on me fait retourner, c’est encore pire.

– Maintenant on va pouvoir retourner à table et déguster cette délicieuse tarte. Et on ne triche pas.

Sylvie, Dorothée et Fabienne prennent leur part et commence à grignoter.

Je vais pour attraper ma part qui est restée au milieu de la table.

– Non toi tu vas avoir droit à une garniture spéciale.

Anne-Marie monte alors sur la table s’accroupit au-dessus de ma part de tarte. Elle ne va quand même pas…

Ben si !

Un gros boudin marron sort de son anus et viens s’écrouler sur ma part de tarte.

Alors là, trop c’est trop, si elle m’oblige à bouffer tout ça, je me barre en utilisant le mot de sécurité.

J’ai maintenant l’assiette devant mes yeux.

– Je dois faire quoi ?
– Pour l’instant tu regardes ! Et tu me dis ce que tu en penses !
– C’est une jolie merde !
– Sens là !

Je me penche. Anne-Marie m’appuie sur le crâne, mon visage vient s’écraser sur la tarte. J’ai maintenant plein de caca sur le visage. C’est malin ! Cette salope pousse le vice jusqu’à prendre un peu de matière dans ses mains pour me l’étaler sur les seins.

– Regardez-moi cette salope d’Isabelle ! Se gausse Anne-Marie, elle est dégueulasse avec toute cette merde sur sa tronche et ses nichons de pute. Allez, vous autres approchez-vous venez la voir, ça vaut le coup d’œil !

Les filles arrivent, elles sont là devant moi, et j’ai l’air d’une conne.

– On ne va pas la laisser comme ça, il faudrait au moins lui nettoyer les tétons, Il y a une volontaire ?
– Je veux bien essayer ! Dit Sylvie

Tiens, tiens, mademoiselle a donc bien des penchants scatos ?

– Vas-y ! Lui dit Anne-Marie

La petite langue de Sylvie vient courir sur mon téton et en lécher la matière qui y était déposée. Sa tâche accomplie elle se recule très fière.

– Tu es une bonne petite pute, viens m’embrasser ! Lui dit Anne-Marie

Les deux femmes se roulent un patin, elles sont dégueulasses

– La suivante ! Ordonne Anne-Marie.

Dorothée et Fabienne se regardent, pas trop motivées, finalement c’est la blackette qui s’y colle

– Il reste un téton à nettoyer, Lui précise Anne-Marie

Fabienne donne un premier petit coup de langue très timide, puis de façon assez inattendue se prend au jeu et se met à me lécher avec avidité Elle devait avoir des prédispositions cachées

– Alors c’est bon ? Lui demande Anne-Marie
– Spécial, mais pas mauvais.
– Embrasse Isabelle !

Fabienne me roule un patin, avec le goût de la merde d’Anne-Marie dans la bouche Je suis honteuse de devoir subir une telle chose, mais ça me fait mouiller…

C’est au tour de Dorothée qui vient me lécher rapidement quelques traces sur mes seins, mais on sent bien que ce n’est pas son truc

Sur un signe d’Anne-Marie, Magda vient détacher Géraldine et la fait s’approcher de moi.

On se regarde toutes, il paraît évident alors que l’on va aller au clash, la Géraldine n’acceptera jamais de faire ce qu’on va lui ordonner. Reste à savoir comme ça va se passer.

– Tu sais ce que je vais te demander ! Lui dit Anne-Marie
– Oui ! De lécher ta merde !
– Très perspicace ! Et tu vas le faire ?
– Oui, madame, je vais essayer

On est sur le cul, on s’attendait pas à une telle réaction de sa part . Il me reste du caca sur le nez et sur les seins, elle se met à lécher tout ça en fermant les yeux, on voit bien qu’elle se force, mais elle ne lâche pas le morceau (c’est le cas de le dire).

Elle se recule toute contente !

– J’y suis arrivée, j’y suis arrivée. Clame-t-elle.
– Tu n’as pas encore léché ton gâteau ! Me fait remarquer Anne-Marie.
– Je vais le faire…

Je ne vais quand même pas être la seule à me dégonfler.

– Non, finalement on va faire mieux que ça, Magda va s’occuper de toi, couche-toi par terre et garde la bouche ouverte.
– Ah non pas ça !
– Si, si !

Je me couche ! Magda viens s’accroupir au-dessus de mon visage, un magnifique étron sort de son charmant trou du cul.

Il me tombe sur le visage, on vient de me chier sur la tronche, jamais je n’avais été autant humiliée. c’était bien la peine de me faire nettoyer le nez, le voilà de nouveau tout cacateux.

– Un grand nez comme ça ! C’est fait pour être enduit de merder ! Des moque Anne-Marie

Magda et Anne-Marie viennent ensuite prélever l’étron et s’amusent à en badigeonner le visage des quatre filles, nous avons ensuite été invitées à nous embrasser goulument les unes les autres.

Mais ce n’était pas fini.

Anne-Marie nous a fait nous mettre en rang d’oignons puis elle a rappelé Tom et Jerry.

– Bon, vous deux, pour vous remercier de votre collaboration vous allez pouvoir enculer deux de ces putes, mais comme ce sont des putes, il faut payer. Choisissez!

Tom me choisit, Jerry choisit Géraldine. Il sont allés chercher des sous qu’ils ont donné à Géraldine, puis nous avons été invitées à nous mettre en levrette. Et les deux blacks nous ont enculés, pendant ce temps Anne-Marie se faisait bouffer la chatte par Fabienne, tandis que Magda harnachée d’un gode ceinture sodomisait Sylvie, laquelle en profitait pour faire minette à Dorothée.

Quelle orgie mes amis.!

J’ai joui comme une malade, Tom est sorti de mon cul, il a enlevé la capote et m’a fait lécher sa bite pleine de sperme.

Je me sens bien, mais bien !

Mais ce n’était toujours pas fini !

– Et maintenant , la vedette de la soirée ! Dit alors Anne-Marie. Tom va chercher Droopy.

Ah ? Qui c’est celui-là.

Et revoilà le black qui se ramène en tenant en laisse un grand labrador noir. A tous les coups Anne-Marie va nous obliger à sucer la bite du chien. Non seulement je me sens capable de le faire, mais j’ai envie de le faire..

Anne-Marie nous fait assoir les unes à côté des autres et nous demande de bien écarter les cuisses. Je suis au milieu entre Géraldine et Sylvie, Fabienne est complètement à gauche et Dorothée en première position.

Anne-Marie emmène le chien entre les cuisses de cette dernière qui se laisse faire en fermant les yeux. Ce dure peut-être deux minutes, Anne-Marie décale le chien, ça va être le tour de Géraldine.

– Non, pas moi !
– Tais-toi, morue !

Elle fait le geste de se lever.

Isabelle, Dorothée, maintenez-la et empêchez là de gigoter !

Vaincue, mais renonçant à l’usage du mot de sécurité, Géraldine se laisse lécher la moule par le chien. Elle ne tarde pas à pousser des jappement de plaisirs.

– Alors ? lui demande Anne-Marie
– C’est trop bon, mais j’ai honte, honte !
– Ben faut pas !

En suite ce fut mon tour, puis celui de Sylvie et de Dorothée.

Anne-Marie couche le chien devant nous et lui tripote la bite jusqu’à ce qu’elle émerge de son fourreau. Elle le suce un moment semblant se régaler de ce cylindre de chair rouge.

– Une volontaire pour sucer, où faut-il que ce soit moi qui désigne l’une d’entre vous ?

On se regarde toutes, j’ai envie d’y aller, mais Sylvie aussi.

On a donc sucé la bite du chien toutes les deux ensemble.

images (1)Géraldine a pris le relais après avoir respiré un grand coup mais n’a pas fait trop durer, Fabienne l’a imité, Quant à Dorothée, après avoir pointé une langue timide, elle s’est prise au jeu et la sucé pendant quelques longues minutes.

– Vous êtes vraiment des chiennes. Attention pour le bouquet final.

Anne-Marie tire un petit papier dans une soucoupe et le déplie.

– Isabelle, en levrette, Droopy va te couvrir !

Ben oui, au point où j’en suis… Mais je n’imaginais pas que le clébard me procurerai une série d’orgasme à répétions.

On frappe !

C’est quoi encore ?.

Magda va ouvrir, un bonhomme fit son apparition.

– Bonjour la compagnie, je viens récupérer ma fille.
– Elle a été parfaite, souhaitez-vous qu’elle vous suce la bite, maintenant ? Devant tout le monde ?
– Avec plaisir !

L’homme sortit sa bite de sa braguette et Sylvie vint alors sucer la bite de son père devant la petite assistance..

Voici donc une histoire qui au lieu de se terminer par un mariage se termine par une bonne pipe ! C’est mieux, non ?

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-France V
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