Dimanche 26 septembre 2021 7 26 /09 /Sep /2021 09:24

Maîtresse Cécile par Sylvain Zerberg – 2 – La partouze

 

Chanette2

Cécile me demanda de rester à poil. Ça ne me dérangeait pas… Et sur ces entrefaites, la femme de ménage arriva.

 

Elle se prénomme Lucie, c’est une jolie petite femme brune et mûre, un peu boulotte et dotée d’une forte poitrine.

 

Elle n’est pas sitôt entrée que Cécile la gifle. Et lui crache au visage.

 

– Qu’est-ce que tu as encore fait comme bêtise ?

– Je ne sais pas Madame, des bêtises, j’en fais souvent !

– A poil, chienne !

– Bien sûr, Madame !

– Qu’est-ce que tu regardes ? La bite d’Olivier, c’est le fils d’Elsa, la salope que tu as léché l’autre fois. Lui c’est un petit soumis que je dresse, pour l’instant ça se passe bien. Ce matin il m’a nettoyé mon cul plein de merde et ensuite je l’ai enculé avec un gode-ceinture.

 

Que l’on parle de moi ainsi me fit rougir de honte.

 

La soubrette se déshabilla, puis nous sommes descendus tous les trois à la cave où Cécile attacha Lucie de dos sur une croix de St André.

 

Ma maîtresse lui cingla fortement le dos et les fesses laissant de larges trainées rougeâtres à l’aide d’une cravache. La soubrette encaissait sans protester. Elle gémissait, criait, pleurait mais semblait se complaire de cette sévère fouettée.

 

Quand son verso fut assez cinglé, Cécile l’attacha de face et cette fois ce sont ses seins et son ventre qui furent martyrisé.

 

Cécile finit par lâcher sa cravache et vint rouler une pelle magistrale à sa soubrette.

 

– Tu as bien supporté, ça m’a terriblement excité, tu as droit à une récompense.

 

Apparemment, la soubrette savait ce qu’allait être cette récompense, aussi se coucha-t-elle su le dos, la bouche ouverte. Cécile s’accroupit à quelques centimètres de son visage.

 

– Regarde Olivier, le spectacle devrait te plaire.

 

Pour l’instant ce qui était fascinant, c’était l’attitude de Lucie, bouche ouverte dans une position quasi extatique attendant le cadeau de sa maîtresse.

 

C’était la première fois que j’allais voir une femme chier. J’ignorais si j’en supporterais la vue, mais je pourrais toujours fermer les yeux !

 

L’anus s’ouvre, un petit étron se fraye un chemin, il grossit, l’étron devient boudin et je garde les yeux ouverts, la fascination l’emportant sur la répulsion.

 

La merde tombe dans la bouche ouverte de Lucie, elle la dégage mais non sans en avoir léché un peu. Les deux femmes se relèvent se roulent de nouveau un patin ! Quelles salopes !

 

Je n’étais pas esclave à plein temps, cela aurait été lassant aussi bien pour moi que pour elle, elle me laissa donc le champ libre en me demandant de lui apporter le lendemain matin son petit déjeuner au lit comme la veille.

 

Je redoutais l’épreuve du caca, tout en étant quelque part fasciné. Je me demandais ce qu’elle allait encore aller inventer.

 

Quand elle eut finit de pisser et que je me fus régalé de son urine que j’apprécias de plus en plus, Cécile se mit à pousser sans que je voie quoi que ce soit mais en glissant sa main sous son anus afin de recueillir l’étron qu’elle chiait.

 

Ensuite, elle me le présenta avec un étrange sourire, le tenant dans ses mains tel un trophée sans dire un mot.

 

Je suis troublé, ce qu’elle tient dans sa main ne me dégoute pas mais ce n’est pas non plus une œuvre d’art et en plus l’odeur est loin d’être neutre.

 

– C’est beau, hein ? finit-elle par dire.

– Euh, oui ! Balbutias-je

– Quelle conviction ! Regarde ce qu’elle fait ta cochonne de maîtresse.

 

Elle approche l’étron de sa bouche, sort sa langue et le lèche en me narguant. Je sais quelle va me demander de l’imiter. Je suis tétanisé.

 

Sans un mot elle approche l’étron de ma bouche. Je ne bouge pas.

 

– Tu attends peut-être un ordre ?

– Oui maîtresse !

– Parce que tu n’es pas capable de prendre une initiative ? T’es vraiment nul comme esclave.

 

De sa main gauche, elle me gifle et me crache au visage.

 

– Et maintenant fait ton boulot d’esclave.

 

Alors j’ai léché la merde de ma maitresse, m’étonnant que l’épreuve soit bien moins difficile que je ne l’imaginais. Après tout j’avais bien léché son cul hier, pourquoi voudriez-vous que le gout soit différent aujourd’hui ?

 

– Votre merde est délicieuse, maîtresse !

– Je sais, ta mère l’apprécie beaucoup.

 

J’imagine le tableau, ma mère en train de lécher la merde de Cécile… et ça me fait bander.

 

Elle se retourna et me demanda de lui nettoyer le cul, je m’acquittais de cette tâche avec dévotion.

 

Et maintenant je vais te transformer en soubrette !

 

Une perruque blonde, un collier et des bracelets de cuirs pourvus d’un anneau, des bas résilles noir, un porte jarretelle de dentelle noire, des escarpins à talons aiguilles rouge et un petit tablier blanc de soubrette. Il me fallut plusieurs jours pour marcher ainsi accoutré sans me tordre les chevilles.

 

Un soir, je reçu l’ordre de mettre le couvert pour quatre, sans oublier deux autres au pied de leur table. En préparant, j’étais terrifié à l’idée que d’autres personnes soient témoins de nos petits jeux. Quand elle revint, sans même me laisser l’honorer de la langue, elle me fit descendre dans la cave pour me préparer. Elle me fit revêtir ma tenue de service, en remplaçant le porte jarretelle par une guêpière de cuir noir, qui laissait nues mes fesses et mes testicules. A peine eut elle finit de m’apprêter qu’on sonna à la porte.

 

– Va ouvrir, et fait les patienter pendant que je me prépare. Tous leurs désirs seront des ordres, tu as bien compris, esclave de merde ?

 

Les joues en feu et le sexe tendu qui faisait une bosse sur le devant de mon tablier, je fis entrer un couple d’une cinquantaine d’année, qui se présentèrent comme Odile et Robert. Une très belle femme cette Odile, belle brune à lunettes bien conservée ! Tandis qu’ils me suivaient au salon, Robert demanda à sa compagne :

 

– Il te plaît, ma chérie? Il a un beau cul, non?

– Oui. Et j’ai hâte de voir sa pine. Elle a l’air grosse.

 

Quand je leur eu servi un apéritif, Robert me fit mettre debout devant eux, et souleva mon tablier, et me soupesa les bourses de la main.

 

– Il a une belle queue, ma chérie, et un vrai fion de gonzesse…

 

Il fut interrompu par la sonnette, et j’allais ouvrir à un autre couple; une jeune femme blonde et souriante qui se prénommait Jessica, tenant en laisse un black, David, lui aussi travesti en femme avec escarpin, porte jarretelle, et un sexe énorme et dressé à l’horizontale, qui rejoignirent les autres au salon.

 

Odile et Jessica lancèrent l’idée d’un petit concours. Elles écartèrent les cuisses en retroussant leur jupe. Cécile fit agenouiller David devant Odile, et moi devant Jessica.

 

– Vous allez lécher ! Le premier qui fera jouir sa partenaire aura gagné. Quant au perdant, il sera puni sévèrement.

 

Je fis de mon mieux pour satisfaire la jeune femme, qui rapidement se mis à haleter, et jouit avec un cri, tandis qu’il fallut encore plusieurs minutes à David pour faire jouir Odile. Furieuse d’avoir perdu, elle insulta l’esclave, le gifla, lui cracha dessus.

 

Cécile intervint :

 

– Tu es nul. Puisque tu ne sais pas sucer, tu vas te faire enculer par ton vainqueur. Lopette. Olivier, défonce-lui le cul, à cet incapable.

 

Je n’avais encore jamais eu de rapport avec un homme, et j’hésitais à lui obéir. David s’était mis à quatre pattes sans un mot, et écartait ses fesses à deux mains.

 

– Ben alors qu’est-ce tu attends ! M’invectiva Cécile.

– Euh…

– Tu préfères peut-être qu’on inverse les rôles, tapette ? Ne t’inquiète pas ton tour viendra..

 

Je me mis à genoux derrière David, en enfonçant mon sexe entre ses fesses et commençais à aller et venir dans son cul en douceur. Mais quelque chose ne fonctionnait pas, je bandais mou et avait beau évoquer mes fantasmes les plus secrets, ma bite ne voulait plus rien savoir.

 

– Je t’ai dit de le défoncer. Si tu en es incapable, tu prends sa place ! Cria Jessica.

 

C’est Odile qui me sauva la mise, se plaquant tout contre moi par derrière de façon à ce que sente les pointes de ses seins dans mon dos, elle s’empara de mes propres tétons et les tortilla avec vigueur. Miracle, cela me fit rebander !

 

Cécile, Jessica et Robert s’étaient installés dans le canapé et nous regardaient baiser. David gémissait de plaisir sous mes coups de reins. Emoustillé par le spectacle, Robert se leva, sorti son sexe, et debout devant David se fit sucer. Il ne tarda pas à jouir dans sa bouche, tandis que je continuais à le pistonner, cela, jusqu’à ce qu’il s’effondre sous moi en éjaculant sur la moquette.

 

Cécile demanda à David de me nettoyer la bite, je n’avais pas joui mais elle était imprégnée du jus de son cul ! Il s’acquitta fort bien de cette tâche, il devait avoir l’habitude.

 

Ensuite ces braves gens passèrent à table, David et loi mangions par terre dans des écuelles à chien entre deux services.

 

Les conversations allaient bon train, et les voilà qui parlaient de cinéma, de voyages et d’autres choses encore. Comme dirait ma grand-mère, il n’y a pas que le sexe dans la vie.

 

Pendant le repas, Odile fut saisie d’une envie pressante de faire pipi, alors qu’elle se levait pour se diriger vers les toilettes, Cécile lui proposa de se soulager sur ma personne. J’ouvris la bouche pour accueillir ce curieux breuvage. Sa pisse était délicieuse.

 

Ils décidèrent de faire une pause avant le dessert, pour prendre un peu de bon temps. Cécile alla s’empaler l’anus sur la grosse queue de David, tandis que Jessica me fit allonger sur le dos sur la table du séjour, pour me chevaucher à son aise. Comme ma tête tombait en arrière sur le bord de la table, Odile s’approcha et me présenta sa chatte trempée dans laquelle j’enfonçais ma langue, tandis que son mari la sodomisait sans ménagement. Le séjour était rempli de gémissements lascifs et de halètements, jusqu’à ce que David ait le malheur de jouir dans ma maîtresse. Elle se releva, furieuse.

 

– Mais c’est quoi cet esclave de merde incapable de tenir la distance ?

– Pardon maîtresse !

– Il n’y a pas de pardon qui tienne, tu vas voir ce qu’il va t’arriver !

 

Quand Jessica eut joui, elles descendirent à la cave avec lui pour le punir, tandis qu’Odile prenait la place de Jessica sur mon sexe et me chevauchait en me griffant la poitrine et en me traitant de tous les noms orduriers de son répertoire. Elle était très endurante, et elle s’activa encore longtemps après que les autres soit remontés de la cave, où elles avaient laissé David écartelé sur une croix, un godemichet vibrant allumé entre les fesses, un autre maintenu par un bâillon dans la bouche. Je leur servi le dessert.

 

Odile se leva et la bouche encore remplie de sa crème caramel vint rouler un patin à Jessica. Les deux femmes se caressèrent et se plotèrent à qui mieux mieux et finirent par rouler sur la moquette où elle se retrouvèrent en position de soixante-neuf. Cécile s’empressa d’aller quérir deux godemichet qu’elle enfonça dans le trou du cul des deux femelles déchainées.

 

Nous redescendîmes à la cave. Cécile avec l’aide de Jessica m’attacha à une table basse, sur le ventre, par les chevilles et les poignées. Puis elles entreprirent de me fouetter chacune leur tour, le dos, les fesses, et le sexe qui était toujours dressé, au bord de la table. Robert s’approcha et voulu enfoncer son dard dans ma bouche. Comme je gardais les lèvres serrées, Cécile m’ordonna de le sucer.

 

– Je vous en supplie, maîtresse. Faites de moi ce que vous voudrez. Je suis votre esclave, mais pas un pédé.

– Tu es un esclave ! Un esclave c’est fait pour obéir, et si je t’ordonne de sucer une bite, tu vas le faire sans rouspéter.

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Je la vis avec appréhension libérer David. D’un rapide va-et-vient de la main, elle lui rendit sa vigueur, et lui ordonna de me prendre par-derrière. Je la suppliais en vain

– Tu vas fermer ta gueule, on n’entend que toi ! Tu veux peut-être que je te vire ?

– Pardon, maîtresse, je dirais plus rien, je vais me faire enculer pour vous puisque vous me le demandez !

– D’ailleurs, ne me dit pas que ça ne te plaît pas, tu bandes comme un cheval.

 

On m’enduisit le trou du cul de gel, puis d’une seule poussée, David me pénétra, m’arrachant un cri, j’avais réellement mal, et m’apprêtais à demander à ce que l’on stoppe cette pratique, quand je senti que la douleur s’estompait et laissait progressivement place à un plaisir trouble. Qui l’aurait cru, je me faisais enculer et me mettais à aimer ça !

 

Robert s’approche, Cécile me demanda de l’accueillir dans ma bouche ce que je fis. Je fus alors surpris de la texture agréable de cette bite.

 

Les deux hommes, encouragés par leur compagne, prirent le rythme en cadence. Le premier, Robert explosa, m’inondant de sperme que j’avalais à moitié tandis que David continuait de me pistonner vigoureusement, ce qui, à ma grande surprise, continua à me faire gémir de bonheur. Cécile lui ordonna de s’arrêter un instant.

 

– Alors, tu n’es pas un pédé? Donc si David arrête, tu seras content, n’est-ce pas ? Répond, esclave. Dis-nous que tu es un pédé et que tu veux qu’il continue !

– Je suis un pédé. Maîtresse. Je veux qu’il continue à m’enculer.

 

Quand David jouit avec grand bruit, il se retira et me donna sa bite à nettoyer, tâche dont je m’acquittais comme un bon esclave que je suis.

 

– C’est bon la bite ? Hein esclave ? Me nargua Cécile.

– Délicieux, maîtresse !

 

Cécile consulta son agenda devant moi

 

– Demain tu as quartier libre, je serais occupé à l’extérieur, mais après-demain, j’ai rendez-vous avec ta mère. Je veux que tu l’encules devant moi !

 

Bof, ce ne sera pas une corvée, j’étais vraiment devenu l’esclave de Cécile et j’aimais ça !

 

Fin (à moins que j’écrive la suite que vous devinez…)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Dimanche 26 septembre 2021 7 26 /09 /Sep /2021 09:20

Maîtresse Cécile par Sylvain Zerberg – 1 – Esclave débutant

Domina

Je me prénomme Olivier. Durant mes études supérieures, j’habitais une chambre que je louais chez Cécile, qui était une amie de mes parents et professeur de math. Cela m’évitait d’avoir à parcourir tous les jours les 50 kilomètres séparant le domicile de mes parents de l’université.

 

Cécile avait 42 ans, 23 de plus que moi, était une grande rousse au physique passe-partout, qui s’habillait de façon très classique.

 

Un jour où elle n’était pas à la maison, je ne trouvais plus mon peignoir qu’elle avait dû mettre au lavage, j’ouvris son dressing dans laquelle un tiroir était mal refermé. Une culotte en fine dentelle en dépassait. Poussé par la curiosité, je regardais et découvrais plusieurs pièces de lingerie assez osées. Du coup je me lançais dans une exploration systématique et fus très surpris de trouver dans son placard de nombreuses paires de chaussures à talon aiguille, des perruques blondes et brunes, toute une collection d’accessoires en cuir, sous-vêtement, combinaison, cravache, fouet, godemichés ainsi qu’une pile de DVD uniquement marqués d’un numéro. Curieux, j’en glissais un dans le lecteur, pour découvrir une suite de scène où on la voyait en guêpière noire, sodomisant à l’aide d’un gode ceinture un homme attaché sur son lit et cagoulé. Sur une autre elle en fouettait sévèrement un autre attaché sur une croix.

 

Sans même m’en rendre compte, j’avais sorti mon sexe et je m’étais masturbé dans sa chambre. Tous les jours, quand Cécile était absente, je visionnais un nouveau DVD en me caressant.

 

Tout allait bien, mais un soir alors que je regardais la télé sans trop m’y intéresser, Cécile m’apostropha.

 

– C’est trop nul ce que tu regardes, j’ai quelques DVD qui devraient t’intéresser !

– Pourquoi pas ?

 

Mais quand je la vis revenir avec l’un de ses DVD numérotés, je fus pétrifié de honte.

 

– Pourquoi tu rougis ? J’ai bien vu que tu avais fouillé dans mes affaires, et hier tu avais oublié un DVD dans le lecteur.

– Je, je… bredouillais-je

– Je me demande ce que tes parents penseront de ton comportement ! Déclara-t-elle d’un air mauvais.

– Je vous en prie, ne faites pas cela. Je vais chercher une autre chambre, et vous n’entendrez plus parler de moi, mais n’en parlez pas à mes parents.

– Je plaisantais, voyons, je n’ai rien d’une maitre chanteuse, après tout c’est de ton âge…

– Je vais quand même partir…

– Ça ne plairait pas d’essayer d’être mon petit esclave ? Comme dans mes vidéos ?

– Je ne sais pas !

– Mais si tu le sais et tu en meurs d’envie, sinon tu ne te branlerais pas devant mes films ! Parce que tu t’es branlé, n’est-ce -pas ?

– Euh…

– Commence donc par te mettre à poil, on va voir ce qu’on peut faire ensemble.

 

Je devais être dans un état second pour lui obéir, comme ça sans rechigner.

 

Lorsque je fus nu, debout devant elle, elle fit une moue déçu en regardant mon sexe mou

 

– Ben alors on ne bande pas devant sa maîtresse ? Agenouille-toi devant moi !

 

Lorsque j’eus obéi, elle posa le pied sur mon bas ventre et s’amusa avec mon sexe, ce qui ne tarda pas à le faire durcir.

 

– Voilà qui est mieux. Chaque fois que je voudrais me servir de toi et que tu ne banderas pas, chaque fois que tu désobéiras ou que tu discuteras mes ordres, tu seras puni. Lève-toi, suis-moi,

 

Elle me guida jusqu’à la cave, où je découvris la pièce que j’avais déjà vue sur les vidéos, ou elle s’amusait avec ses soumis. Je fus rapidement suspendu par les chevilles et les poignets, écartelé sur une croix de métal froid.

 

– Ta bite n’a rien d’extraordinaire, mais elle est quand même jolie, je l’aime bien ! Je la sucerais bien, mais je n’ai pas envie que tu jouisses de suite !

 

Elle se laissa tomber sur un fauteuil, retroussa sa jupe en me révélant son porte-jarretelle rouge, ses bas noirs et sa toison rousse. Ma queue était douloureuse à force de désir, quand elle m’ordonna :

 

– Viens lécher ta maîtresse, esclave.

 

Je tombais à genoux entre ses cuisses et enfoui ma tête sous sa jupe. Sa fente était trempée de désir lorsque ma langue s’y enfonça, et je fis de mon mieux pour titiller son bouton gonflé, alternant les caresses avec de profondes pénétrations de ma langue dans son vagin. Elle avait empoigné mes cheveux et guidait mes mouvements, jusqu’au moment où elle cria en me repoussant violemment du pied.

 

– Quelle surprise ! Tu suces divinement, esclave. Tu as des dispositions, pour un puceau, car tu es encore puceau, non ?

– Oui, maîtresse ! Répondit je, très excité par les événements.

 

C’était faux, mais puisque tout cela était un jeu…

 

Du bout du pied, elle me poussa sur le dos, enleva sa jupe et son chemisier et vint s’accroupir au-dessus de moi.

 

– L’avantage de l’esclave sur le godemiché, c’est qu’il te caresse les seins en même temps qu’il te baise, vois-tu ?

.

Et elle s’empala sur ma bite avec un grand cri. Elle me chevaucha ainsi pendant une éternité, tandis que mes mains fébriles exploraient son corps, faisant durcir les pointes de ses seins, courant le long de son dos, caressant ses cuisses, ses hanches et ses fesses. Un moment elle se retira, je compris alors qu’elle désirait changer d’orifice et c’est maintenant par l’anus qu’elle s’empalait. Elle finit par jouir en gigotant et en criant comme une damnée de l’enfer. Encouragée par ses cris j’augmentais la cadence et jouissais à mon tour.

 

Cécile s’empara de ma bite gluante de sperme et me la nettoya de ma bouche.

 

– Hum, j’adore ! Tu gagnes à être connu, gamin. C’était très bon. A présent, il faut que je fasse pipi, tu vas me servir de chiotte.

– Euh, peut-être pas…

 

Je n’avais rien contre l’uro qui était une pratique sur laquelle je fantasmais sans concrétiser, mais je craignais néanmoins qu’elle ne m’entraîne trop loin.

 

Je ne vis pas arriver la gifle.

 

– Ouvre la bouche !

 

J’eu juste le temps d’éviter que le crachat atterrisse dans ma bouche.

 

– Qu’est-ce qui se passe ? On arrête tout, c’est ça que tu veux ? Me demande-t-elle.

– Il y a des choses que je ne veux pas faire.

– Alors va te faire enculer ailleurs, connard !

 

Complètement dépité, je cherchais mes vêtements et les enfilais.

 

– Tu passeras le bonjour à ta mère, elle aussi c’est une bonne pute, la dernière fois je lui ai fait sucer un black avec une queue énorme pendant qu’un autre lui fouettait le cul avec une branche de céleri.

– Quoi ?

– Ben oui ! Si tu savais le nombre de gens qui ont une vie cachée… Bon nous n’allons pas nous quitter fâchés, viens boire une bière dans la cuisine.

– Ma mère vient se faire fouetter et tout ça ! Je n’y crois pas ?

 

En fait j’étais davantage troublé que choqué, allez donc savoir pourquoi ?

 

– Dommage je n’ai pas de vidéo, elle n’était pas d’accord pour ça, sinon je te l’aurais montré. Une fois il y a une copine qui est venue avec son chien, j’ai demandé à ta mère de sucer le chien, elle a eu l’air d’apprécier.

– Les bras m’en tombent !

– Ramasse-les, ça peut servir.

 

J’avais quelque mal à assimiler les propos de Cécile sur ma mère… Mais elle en ajouta une couche.

 

– Tu as déjà fantasmé sur ta mère ?

– Non, enfin si, un petit peu… bredouillais-je, mais enfin c’est ma mère…

– Parce que, elle, elle fantasme sur toi, mais elle n’ose pas te demander…

– Je rêve !

– Si ça t’intéresse, je peux organiser une petite rencontre…

– Non, non…

– Réfléchis-y quand même, allez suis-moi !

 

Comme un zombi, je suivais Cécile dans la cuisine. Je regrettais déjà mon mouvement de révolte, mais que faire, je ne souhaitais pas me laisser entrainer dans des voies qui ne me disaient rien. Mais aussi pourquoi était-elle adepte du « tout ou rien » ?

 

– Il y a une chose qu’il te faut savoir, avant de partir, la domination est un jeu. L’esclave est libre de s’en retirer quand bon lui simple, mais ce n’est pas lui qui mène la barque, ce serait trop facile. Si je propose une pratique à un esclave et que ça ne lui dit trop rien, il y a une attitude que je ne supporte pas, c’est le refus. On ne refuse jamais sans avoir essayé. Ensuite c’est à moi, suivant les réactions de l’esclave de gérer la situation. C’est moi qui gère, pas lui !

 

Elle était en train de me tendre une perche et j’en étais heureux.

 

Maintenant, tu as le choix, soit tu t’en vas et nous ne reparlerons plus jamais de ces petites fantaisies, soit tu retournes à la cave, tu te déshabilles et on reprend là où nous en étions restés !

 

– Je retourne à la cave ! Lui indiquais-je et cette fois sans hésitation..

 

Elle me fit attendre dix minutes, jouant ainsi avec mes nerfs.

 

Quand elle revint, elle me toisa et empoigna mes tétons qu’elle tordit fortement. Cette action eut pour résultat immédiat de me faire bander très fort.

 

– Ouvre ta bouche, chien !

 

J’ai faillir dire non, mais me rappelait ses propos et reçu son jet de salive en pleine bouche.

 

– Très bien et maintenant, la douche….

 

Elle me fit coucher sur la partie carrelée de son donjon, s’accroupit légèrement et se mit à pisser d’abondance.

 

– Ouvre la bouche, esclave, goute à ma bonne pisse.

 

J’essayais, découvrant un goût assez bizarre, pas trop génial mais pas désagréable non plus. Voulant montrer à ma maîtresse que j’étais un bon esclave et que j’avais compris sa façon de fonctionner, j’en avalais une bonne rasade.

 

– Ben voilà quand tu veux ! Dommage que je n’aie pas envie de chier, on verra ça demain matin.

 

Oh, non ! me dis-je, mais je me rassurais aussitôt : »quand elle verra que ça ne me plait pas, elle n’insistera pas  »

 

– Tu me réveilleras demain à 8 heures précises, tu m’apporteras mon petit déjeuner au lit, complétement à poil, je veux du café, du jus d’orange et des tartines grillées avec de la confiture. Maintenant tu as quartier libre, si tu veux aller faire un tour dehors, ne t’en prive pas.

 

Le lendemain je la réveillai comme prévu. Elle s’assit dans le lit et je pu ainsi contempler de nouveau sa belle et opulente poitrine. Du coup je mis à bander.

 

– Hier j’ai oublié de mettre ma petite culotte au sale, elle est là-bas sur la chaise, prend-là !

 

Je le fis, elle me demanda de la sentir, puis de la lécher, je me surpris à bander en le faisant

 

– Ah, j’ai oublié de te dire, à 9 heures la femme de ménage va arriver, je vais la punir, tu assistera à la punition.

– La punir pourquoi ? Demandais-je

– Est-ce que je t’en pose des questions, je n’ai pas besoin de motif pour punir qui je veux ! Reste là et mets-toi à genoux pendant que je déjeune.

 

Quand elle eut fini son petit déjeuner, elle se leva, je la voyais donc pour la première fois complètement nue.

 

On se dirigea vers les toilettes, elle s’assit sur la cuvette et se mit à uriner, elle s’amusa à se pisser sur les mains et à me les faire lécher. Je commençais à bien apprécier ce gout particulier.

 

– Et maintenant caca ! Dit-elle.

 

Moment fatidique, comprendra-t-elle que la chose ne me plaira pas ?

 

Elle pousse, j’entends la merde tomber dans l’eau dormante avec un grand floc.

 

– Je n’ai pas chié à fond, je me réserve pour la femme de ménage. Mais ne t’inquiète pas, on va faire ça progressivement ! Dit-elle en se relevant, essuie-moi le cul.

– Avec le papier ?

– Non, avec ta langue.

 

Si je refuse, me dis-je, elle va me jeter, il me faut donc procéder autrement. »

 

Il faut tout simplement qu’elle constate que la pratique ne me plait pas. Et là se pose un problème idiot : Comment pourra-t-elle juger de ma réaction puisqu’elle me tourne le dos ?

 

Ne sachant comment gérer la situation, je me dit qu’il me fallait faire confiance à mes qualités d’improvisation.

 

Cécile écarte ses globes fessiers afin que ma langue puisse accéder facilement à son trou du cul. J’approche mon visage, ça sent la merde, mais ça n’a rien de pestilentiel. Il n’y a pas grand-chose à essuyer, juste quelques taches marrons et ça me rassure.

 

Je respire un bon coup et j’approche le bout de ma langue de la première tache en fermant les yeux. Je lèche et surprise, là où je pensais trouver de l’abominable, je ne trouve qu’une saveur assez âcre mais qui n’a rien de repoussante, du coup je lèche mieux et je réouvre les yeux.

 

J’ai tout nettoyé, Cécile a maintenant le cul propre comme un sou neuf… et même que je suis fier de moi !

 

– Ça t’as plu, esclave de lécher la merde de ta maîtresse ?

– C’était délicieux ! Répondis-je.

 

J’en rajoutais, délicieux n’était sans doute pas le mot approprié mais j’étais tellement content de m’être acquitté de cette épreuve que je redoutais.

 

– Demain nous essaierons d’aller plus loin !

 

J’ignorais ce qu’elle entendait précisément par-là et n’était pas vraiment certain de pouvoir la suivre.

 

Cecile (1)– Viens, tu as droit à une petite récompense.

 

Elle se leva, fouillant un long moment dans un placard, dans mon dos. Quand elle se retourna, je l’aperçu dans la glace, nue, la taille ceinte d’un gros godemiché noir, une cravache à la main.

 

– Tends-moi ton cul, morue ! Ordonna-elle en me cinglant de sa cravache.

 

Elle me cravacha les fesses plusieurs fois me laissant échapper des cris de douleur puis elle me fit me mettre à quatre pattes. Elle s’agenouilla derrière moi, posa les mains sur mes fesses, et je sentis son doigt me pénétrer l’anus et s’y agiter frénétiquement. Mon dieu que c’était bon, mais ce n’était rien à côté de qui suivit : le doigt fut remplacé par le gland de plastique du gode qui força doucement mon petit cul. Elle enfonça par petits coups, et je criais de douleur et de surprise. Lorsque le gode fut complètement entré dans mon cul, elle resta un moment sans bouger, et commença à donner de petits coups de reins. Je constatai avec surprise que la douleur avais disparu rapidement pour faire place à un plaisir trouble. Après quelques minutes de ce traitement, je me mis à haleter, puis à gémir, de plus en plus fort à mesure qu’elle accélérait son mouvement. Et sans me toucher, je sentis mon sexe exploser et je m’effondrais en répandant mon sperme sur la moquette.

 

– Cochon, nettoie tout ça avec ta langue !

 

Je m’exécutais tant bien que mal.

 

– Dis-moi, ça t’as plus, mon gode dans ton cul de pédé ?.

– Oh oui, maîtresse ! Vous pourrez me le refaire quand vous voudrez.

– Tu es un enculé maintenant !

 

A quoi joue-t-elle ?

 

– Je n’ai pas entendu ta réponse !

– Oui, maîtresse

– Quoi « oui, maîtresse », je veux t’entendre dire que tu es un enculé.

 

Si ça lui fait plaisir…

 

– Je suis un enculé, maîtresse.

– Et encore, ce n’était qu’un gode, imagine, quand je te ferais prendre par une vraie bite, une bonne bite que tu aurais bien sucée avant. Dis-moi que ça te plairait ?

 

Horrifié par cette perspective, je me souvenais néanmoins de sa façon de procéder « On ne refuse jamais sans avoir essayé. Ensuite c’est à moi, suivant les réactions de l’esclave de gérer sas réactions. »

 

– Je ne sais pas, mais je suis prêt à essayer !

– Tu ne sais pas ce qu’on va faire, je vais te prendre en photo avec une bonne bite dans la bouche, et je la montrerais à ta mère. Ça va bien l’exciter et ensuite tu pourras la baiser.

 

Elle est folle !

 

– Penses-y en t’endormant mais si tu te branles évite de tacher les draps !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Mercredi 15 septembre 2021 3 15 /09 /Sep /2021 11:05

Les gros seins de ma prof par Belle-Cour

BigsTits

A la fin de mes études, j'avais une prof d'anglais sur laquelle j'ai toujours fantasmé. 

 

C'est une de ces vieilles filles de 45 ans, du genre qui vit avec sa sœur ou sa mère. On la disait lesbienne, le gens disent toujours des choses. Elle n'est pas vraiment belle mais je lui trouvais quelque chose de très excitant. Petite, brune bien en chair avec de très gros seins et de grosses fesses. Elle portait souvent des jupes et pour son poids, elle avait des jambes superbes. Toute la graisse était dans les seins et dans les fesses. J'adore ça. 

 

Cela faisait deux ans maintenant que j'avais terminé mes études, mais je pensais toujours à elle lors de mes masturbations et autres branlettes. Je décidais donc de reprendre contact avec elle. Je lui ai alors envoyé une lettre de rendez-vous en spécifiant que j'étais un ancien élève qui l'avait toujours aimée et que je rêvais de la revoir et de lui parler. Je l'attendais donc au bar dudit rendez-vous et, accablé par la chaleur de ce brûlant été, je sirotais nerveusement un coca bien frais.

 

Et enfin, contre tout espoir elle arriva et observa chaque client quand son regard tomba sur moi. Elle portait une jupe bleue qui descendait au-dessus des genoux et un chemisier qui ne mettait pas assez ses seins en valeur à mon goût. J'étais très gêné et ne savais où me mettre. Elle s'assit à ma table et me demanda si c'était bien moi qui avait écrit : 

 

- Hum... Oui, c'est moi qui vous ai donné ce... rendez-vous.

- Je ne pensais pas du tout à vous... je dois dire que... c'est bien la première que l'on me fait ce genre de choses. 

- J'espère que ça ne vous pas choqué ou quelque chose du genre parce que, sachez que je regrette un peu... je me sens un peu ridicule. 

- Mais non, au contraire, c'est très flatteur, je suis heureuse. Je craignais que ce ne soit une blague. 

 

La discussion s'égara un peu, nous parlions de choses et d'autres de manière très décontractée, à ce point que nous décidions de nous tutoyer. Puis elle prononça enfin ces mots tant attendus : 

 

- Tu voudrais venir chez moi, nous serons plus à l'aise.

 

Quelques minutes plus tard, nous entrions chez elle. Je m'assit sur le canapé et après m'avoir servi une boisson, elle s'installa à côté de moi. Sa jupe remonte un peu et je ne peux m'empêcher de regarder . Elle me dit ;

 

000Chubby- C'est vrai alors, je te plais ?

 

Je mets alors ma main sur sa cuisse et l'embrasse fougueusement, nos langues se tournant autour. Je fais remonter ma main jusqu'à ses fesses si désirées et les caresse. Elle s'écarte alors et commence à déboutonner son chemisier. Oh mon dieu, quels beaux seins ! Le soutien-gorge trop petit les fait déborder. Je me relance alors dans un baiser et en profite pour lui enlever. Ses seins sont mieux que dans mes rêves, les mamelons foncés et larges avec les tétons courts. Ils sont si lourds qu'ils tombent au-dessus du nombril. Je commence à en sucer un, comme un bébé qui tète et je masse en même temps l'autre. Mon sexe est énorme. Elle le libère donc, d'abord le jean puis le slip et elle peut lors constater l'effet qu'elle me fait. Elle passe sa large langue sur mon membre dressé et je suis déjà au bord de l'explosion. Elle s'enlève alors sa jupe et sa culotte et frotte son gros derrière contre mon visage en disant 

 

- Tu l'aimes hein mon gros cul ?

- Oh ! Oui !

- Tu peux employer des mots vulgaires, ça m'excite !

 

Je réponds donc par l'affirmative en la traitant en prime de salope et de morue et l'agrippe par les fesses pour ramener sa chatte poilue contre ma bouche. Elle est debout, je suis à ses pieds en train de passer ma langue sur ses petites lèvres, les faisant rentrer légèrement de temps en temps. Elle, elle gémit, quelques " han ", quelques " oui.. ". 

 

Je sens le chaud liquide couler sur mes lèvres, il a un goût fort légèrement teinté de celui de l'urine. 

- C'est bon tu aimes ?

- Pisse-moi dans la bouche, ma salope.

- Mais bien sûr, son salaud !

 

Elle était délicieuse sa pisse, j'ignore ce qu'elle avait bu, mais j'étais au anges.

 

Je reprends mon travail de lèche qui m'excite au plus haut et je ralentis au maximum le moment de sa jouissance, titillant son clitoris bien bandé. Enfin, elle et secouée de spasmes, hurlant de plaisir, elle tombe à genoux faisant remuer ainsi ses deux énormes seins. Je suis plutôt fier du résultat et je m'assied sur le tapis, écartant les jambes pour l'inviter à me faire jouir à mon tour (à me tailler une pipe quoi). Reprenant enfin ses esprits, elle s'approche à quatre pattes, ses deux seins pendants touchant presque le sol et commence à enfourner mon sexe dans sa bouche. Elle commence alors un va et vient, enroulant sa large langue autour de mon membre. Je ne mets pas longtemps à jouir, au moment où elle me titille le bout du gland du bout de sa langue, je lui explose au visage et me laisse tomber sur le sol.

 

- T'es pas déjà à bout de force ? 

- Non, non, je reviens à l'assaut !

 

Elle profite de ce cours répit pour avaler le sperme de son visage et lécher mon sexe. Quelle salope ! Ce geste me redonne du tonus et juste au moment où j'allais me relever pour remettre ça, elle enserre mon sexe de son énorme poitrine et commence à me masturber de la sorte. Je la laisse faire quelques instants puis, je lui agrippe les seins et les malaxe un moment avant de la mettre sur le dos. Je lui lèche et lui mordille longuement ses gros tétons et je commence à la pénétrer avec violence. Mes mouvements rapides font vibrer tout son corps, de ses jolis petits pieds à ses magnifiques seins en passant par ses grosses fesses. Approchant de l'orgasme et voulant faire durer le plaisir, je ralentis mes pénétrations jusqu'à stopper carrément laissant mon membre dans son vagin. Elle en profite pour se caresser l'anus d'un doigt. 

 

- T'aimes ça, petit pédé ?

- Je ne suis pas pédé !

- N'empêche que tu aimes bien mon doigt ! 

- Tu peux même en mette deux !

 

Après l'avoir traité de grosse dégueulasse, je reprends le pilonnage de sa chatte, puis à sa demande je l'encule jusqu'à ce que je déverse ma semence en elle. Elle jouit en même temps que moi et nous restons quelques instants ainsi. Je me retire enfin et commence à me rhabiller. Je l'embrasse et je pars lui promettant de la rappeler... 

 

…ce que je fis, bien sûr.

 

Fin

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Mardi 14 septembre 2021 2 14 /09 /Sep /2021 15:30

Le bain par Claire

Stamp MD

Je me touchais dans mon bain à quatre pattes et par l'arrière pour faire durer mes envies. 

 

La porte s'ouvre !

 

- Eh bien si tu aimes ça, vas-y ne te gênes pas ! Me dit ma mère d'un ton de reproche assez feint

 

Je m'arrête mais elle me prie de continuer.

 

- Tu aurais pu m'appeler quand même…

- Oui bien sûr, mais toute seule ce n'est pas mal non plus !

 

Ma mère déboutonne et baisse son pantalon me présentant son sexe. 

 

- Avance ta langue, petite pute !

 

Je m'applique à la servir, elle est encore sèche. Alors je remonte ma salive dans ma bouche pour l'étaler sur sa surface intime. Son fruit devenant plus juteux, je pose mes mains sur ses cuisses pour presser son sexe tout entier dans ma bouche. Je la titille doucement, frôle le dessus de son clito en faisant des ronds pour le rendre fragile et électrique. Je vais de plus en plus vite de cette manière et je sens bientôt ses jambes se raidir et parfois son ventre trembler. Mais elle ne dit un mot. Alors je continu. Je ne presse pas trop fort ma langue pour agacer son corps. Sa main se pose sur ma tête pour l'appuyer, mais je résiste. 

 

Alors elle s'ouvre et pose un pied sur le rebord de la baignoire. Sa chatte est toute dépliée, rouge et gonflée. Je pose mon doigt sur son vagin et y entre un doigt. Mon mouvement de va-et-vient lent lui plait. Je la regarde, elle me fait le signe de deux. Alors je mets un second doigt, le fait glisser de haut en bas doucement pour bien la détendre. Puis j'avance de nouveau mon visage sur son sexe ouvert et le titille de ma langue. Mes doigts entrent et sortent, mais de façon plus profonde. Je remonte mes doigts en elle de façon droite et redescends en crochet pour trouver un éventuel point g. le mouvement en elle la fait bouger. Ses hanches dansent à peine, mais je le vois. Alors je vais plus fort et surtout plus vite. Ma langue se détache et frôle très rapidement. Je la sens faiblir et me tirer les cheveux. Elle joui. Je sens un liquide chaud entourer mes doigts. Elle me regarde satisfaite 

 

- Sors de là ! 

 

Et m'assied au sol, adossée à la baignoire, ouvre mes cuisses et s'agenouille face à moi. 

 

- A moi de jouer !

 

Elle regarde mon sexe, passe son doigt le long. Sa caresse me vient au ventre. Alors elle se couche en avant et boit mon sexe. Elle boit et boit jusqu'à ce que mes jambes s'ouvrent entièrement. Sa langue chaude et douce passe partout doucement et longuement avant de s'arrenter sur mon clito qu'elle aspire en avant puis arrière, comme si elle me pipait.. Le chaud me monte au corps et des images crues de sexe me montent dans l'esprit. Je l'ai oubliée et suis ailleurs, au milieu de mes fantasmes déchaînés.

 

Elle me tire alors les jambes et me couche, s'agenouille au-dessus de moi et m'offre encore son sexe. Elle bouge au-dessus de mes lèvres et contrôle parfaitement ses mouvements pour gérer son plaisir. Mon sexe est gonflé et redemande. Sans hésiter je passe ma main sur mon ventre et descend me toucher. Elle est en vue plongeante sur mes actes et je sais que ça va l'exciter de me voir me toucher. J'écarte mes lèvres exprès exagérément avec une main pour qu'elle voit bien et me caresse de l'autre. Ses hanches remuent plus vite et il me semble presque l'entendre gémir. Je joui sans un mot, mais me touche encore pour elle.

 

Lorsque ses tremblements convulsifs se sont terminés, elle se relève et me tend la main. Je la prend pour me lever.

 

- Je vais prendre mon bain avec toi on en a grand besoin"

 

Et elle entre dans l'eau .

 

Je la suis. La baignoire est grande, on peut y être à deux sans problème. L'une face à l'autre, les jambes relevées, chattes offertes, encore rouges de plaisir. On parle un moment, je ne sais plus de quoi. Elle se lève soudain et s'écarte les lèvres, je comprends qu'elle va uriner, j'ouvre la bouche et me régale de ce délicieux breuvage tiède au goût particulier. Elle me caresse les seins, me demande de lui pincer les siens, nous rions de bon cœur envahies par le plaisir, nos bouches se rapprochent et nous nous embrassons profondément.

00Claire bain

Mais le bain se refroidit et elle prend le soin de faire couler de l'eau chaude par le tuyau de la douche. Je lui passe du savon sur le corps et la rince. Elle se retourne et lui frotte le dos. A mon tour je me retourne et je sens ses mains glissantes de savon s'étaler sur moi. Elle passe ses mains sous mes bras, savonne mes seins en les pressant un peu, puis plus fort. Sur mon ventre, elle descend enfin sur mon sexe encore fragile et sensible. Elle prend entre son pouce et l'index mon clito et le titille comme un téton, doucement. Je me cambre, je ressens une petite douleur mais agréable. Elle se recule de l'eau et avec son autre main tire sur mes fesses en arrière, alors je me mets accroupie, mains contre le mur pour sentir sa main caresser mon anus 

 

Elle prend le jet d'eau et ôte la pomme de douche. Le jet assez puissant est sur mon anus serré. je me demande ce qu'elle veut. Elle déplace le jet sur mon sexe, et le pose sur mon clito. 

 

- Tiens-le

 

 Alors je l'applique sur moi, jusqu'à trouver un angle délicieux. Je commence à sentir l'intérêt de la chose et à oublier ses doigts se promenant sur mon cul dépassant de l'eau tant je suis cambrée. Je mouille et ressens une excitation démesurée à sentir son regard derrière moi me trémousser de plaisir. je me retient pour faire durer mon plaisir .... 

 

Je sens alors son doigt entrer en moi. Elle me sodomise de l'index doucement. Je la sens délicate et m'ouvre un peu. Au bout d'un moment je suis si à l'aise que je fais le mouvement avec elle. Elle entre alors deux doigts furtivement et me sodomise carrément. Le jet m'affole le sexe et je me sens ouverte et dilatée à tout. Je joui dans un cri de plaisir qui résonne sur le carrelage de la salle de bain.

 

Une fois mon souffle repris, je me retourne et la regarde me sourire. Elle s'agenouille à son tour face à moi en entrouvrant les lèvres de son sexe avec ses mains. Alors je dirige le jet sur son sexe et la regarde se cambrer et se trémousser dessus, les yeux fermés se mordillant la lèvre. très vite, son corps perd toute tenue et je la vois jeter son visage en arrière pour jouir dans un oui discret.

 

De nouveau la porte s'ouvre.

 

- Ben alors, les salopes on se donne du bon temps ? Dit mon père en sortant son sexe bandé de sa braguette.

- On le suce à deux ? Me propose ma mère !

- Bien sûr !

 

fin

 

D'après un texte signé paillette75 datant du siècle dernier

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Claire N
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Lundi 13 septembre 2021 1 13 /09 /Sep /2021 15:38

Fantasme inavouable par Mathilda Stenberg

coin102

Bonjour, moi, c'est Catherine. Aujourd'hui c'est mon anniversaire. Mon fils est parti en vacances chez sa grand-mère. Nous sommes seuls à la maison mon époux et moi. Seuls et plein d'idées coquines. Pour commencer, ce matin je me suis habillée sexy : moulée dans une petite robe de jersey qui souligne mes formes pleines. Mes seins sont prêts à jaillir du profond décolleté. Sous ma robe courte, je ne porte pas de culotte. C'est dans cette tenue que je prépare le brunch. En jouant à la soubrette sexy qui ondule du popotin. Dans le fauteuil en face de moi, Olivier me regarde et me fait des compliments un peu grossiers. 

 

- T'as vraiment l'air d'un pute, habillée comme ça !

- Tu crois mon chéri ?

- Oui, une morue, une poufiasse, un garage à bites.

 

C'est fou ce que j'aime la grossièreté dans certaines situations. Il relève ma robe et embrasse mes fesses.

 

- Je t'enculerais bien comme la traînée que tu es !

- Oh, oui,, mon chérie.

 

Un coup de sonnette nous tire de nos jeux érotiques.

 

- Va donc ouvrir, ma salope ! Mme dit Olivier

- Quoi ? Moi.. dans cette tenue !

- Bien sûr, quand on veut jouer les putes, il faut assumer !

 

La sonnette continue à tinter, avec insistance et je me décide à ouvrir, un peu gênée de me montrer aussi peu habillée à un inconnu.

 

Mais l'homme sur le palier n'est pas un inconnu. C'est François, un collègue de mon mari, un beau garçon pour lequel j'ai d'ailleurs un faible avoué. Un sourire aux lèvres, il me détaille. Moi je m'éclipse vite à la cuisine, sous prétexte de leur préparer des boissons. J'entends les deux hommes et je sursaute en écoutant leurs propos :.

 

- J'ai besoin de fric ces temps, alors si tu veux baiser ma femme, c'est 400 balles.

 

L'autre tente de marchander.

 

- Ecoute, c'est à prendre ou à laisser. Pour ce prix, je te la cède pendant trois heures… Tu verras, tu en auras pour ton argent !

 

Quand je les rejoins au salon, l'affaire semble conclue. Je ne sais si je vaux deux chameaux ou trois vaches laitières, mais les deux compères semblent satisfaits de leur affaire.

 

Le collègue d'Olivier soulève ma jupe et caresse ma toison. Il aurait pu demander quand même ! Je ne suis pas un objet.

 

Du coup je m'éclipse dans la cuisine, mais Olivier me rappelle trois minutes après. Je reviens donc.

 

- Je suis désolée, me dit François, je me suis laisser aller…

- C'est bon, on ne va pas en faire un plat.

- Faut dire que ton mari m'a fait une proposition farfelue et moi comme un con, j'ai prix ça au pied de la lettre.

- La proposition était sérieuse, mais j'aime bien qu'on me demande mon avis !

 

Il ne sait plus quoi dire le François ! Alors j'ajoute, très chatte.

 

- Mais si tu m'avais demandé mon avis, avant de me tripoter, j'aurais sans doute dit "oui".

- Ah ! Et maintenant tu dis quoi ?

- Je dis "oui"

- Et pour ce prix-là, elle te fera tout ce que tu veux ! surenchérit Olivier.

- Sauf ce que je ne veux pas ! Nuançais-je

 

Et pour mieux tenter son client, il relève ma jupe pour lui dévoiler mon derrière.

 

Les deux hommes se lèvent et François commence à caresser mes seins. 

 

- Top là, dit-il en tendant la main à mon mari.

- Affaire conclue.

 

Cette situation étonnante me met dans tous mes états. Mon fantasme enfin se concrétise, je suis une putain.

 

L'homme me saisit par la main et je reprends mes esprits. Je le guide dans ma chambre, jusque vers l'armoire remplie d'accessoires érotiques.

 

Je retire mes escarpins et ma robe. Nue et tremblante, je me présente devant lui. D'une main il caresse mes jolis seins, tandis que de l'autre il titille mon clitoris. Je mouille déjà et mon petit bouton durcit.

 

Il me fait monter sur le lit où je m'installe à quatre pattes. Il caresse ma croupe, il écarte mes fesses, me lèche le trou et y glisse un doigt mouillé de salive. Je frémis de plaisir. Alors doucement il y enfile un petit godemiché qu'il fait aller et venir. Puis il me demande de m'installer sur sa bonne bite en érection. L'opération est difficile. Je dois tenir le petit olisbos à l'intérieur de mon anus et en même temps m'accroupir sur son pieu. J'ai de la peine à maintenir toutes ces queues à l'intérieur, mais après quelques tâtonnements, je trouve enfin la position adéquate. L'anus rempli par le gode et la chatte travaillée par la grosse queue de François, je jouis comme une folle. Il ne tarde pas à faire de même et me tends sans un mot sa queue maculée de sperme. Je m'empresse de la nettoyer, j'adore avaler du foutre !

 

On souffle quelques minutes. Mon mari nous rejoint. Il nous apporte quelques rafraîchissements. Je suis toujours sur le lit, avec mon gode profondément planté dans le derrière. Mon mari me regarde à peine, il s'adresse à son collègue :

 

- Qu'est-ce que tu attends pour l'enculer cette chienne ?

- J'y pensais mais j'aimerais bien qu'elle me lèche le cul avant !

- T'as entendu, la pute ? Mon collègue veut que tu lui lèche le cul.

 

Il se met en levrette pour me faciliter l'accès et je lui lèche la rondelle.

 

- Quelle salope ! Quand même commente mon mari ! Elle me fait bander cette morue !

 

Du coup le voilà qui se déshabille et qui se met à se branler.

 

- Tu en as une belle queue ! Lui fait remarquer François.

- Pourquoi ? Elle t'intéresse, T'aimerais la sucer ?

- Pourquoi pas, juste un peu comme ça !

 

Je pensais qu'ils plaisantaient mais non, François prend dans sa bouche la bonne bite d'Olivier et finit par la faire cracher ! Je rêve ou quoi ?

00Catherine 

C'est mon tour de me mettre en levrette, je cambre bien mon popotin, François m'encule, il en a une plus grosse que celle de mon mari et l'introduction est légèrement douloureuse, après ça va, il me fait jouir plusieurs fois et il explose dans un spasme. 

 

Une nouvelle fois il me donne sa bite à sucer. Elle sort de mon cul, ais au point où j'en suis…

 

Mais ce n'était pas fini !

 

- Viens, on va la rafraichir ! Dit mon mari à son collègue. Non toi la pute te ne re relève pas tu nous suis à quatre pattes dans la salle de bain.

 

Et c'est en cœur qu'ils m'arrosèrent tous les deux de leur bonne pisse. Je trouve que celle de mon mari à meilleur goût que celle de François

 

Je me sens humiliée et, en même temps, je suis très ravi de ce qui vient de se passer. Depuis le temps que je voulais réaliser mon fantasme de faire la pute, mon mari me l'a fait réaliser, c'est un chou !.

 

Nous nous sommes douchés et nous sommes allé tous les trois au restaurant continuer de fêter mon anniversaire. Merci les garçons !.

 

Fin 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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