Lundi 2 août 2021 1 02 /08 /Août /2021 19:13

Une séance de sauna particulière par Dumigron

Stamp sodo

Là où je travaille, il y a, au sous-sol, une salle de sports, avec tous les appareils de musculation possibles, ainsi qu'un sauna pour 2 à 3 personnes maxi. Les murs, très hauts sont couverts de miroirs et de barres de danse.

 

La semaine dernière, je descends dans cette salle, comme je le fais quelquefois l'après-midi vers 15 heures. Ce n'est pas vraiment autorisé, même pas du tout, mais il est juste interdit de se faire prendre. J'arrive donc dans la salle, et je m'aperçois que la lumière est allumée. Bizarre à cette heure. Je ne fais pas de bruit, je me dirige vers les vestiaires hommes, et en passant devant les vestiaires femmes, j'entends une douche couler. Je pousse doucement la porte et je m'approche de la douche du fond. Je me penche un peu et je jette un coup d'œil sous les portes style western. Je vois d'abord deux pieds et mon regard remonte vers l'intimité de cette inconnue. Je peux admirer une toison pleine de mousse et une main qui s'affaire dessus. Dessus et dedans d'après ce que je vois aux doigts qui entrent et qui sortent. Je suis super excité, mais pas assez gonflé pour oser me faire voir. Je ressors donc du vestiaire femmes et vais me déshabiller dans mon vestiaire pour aller au sauna. Ma queue est tendue à son maximum tant je suis encore excité par cette vision de rêve.

 

J'entre donc dans le sauna et je m'allonge sur la banquette supérieure. Les bancs sont, comme dans beaucoup de sauna, faits avec des lattes de pin. Je m'allonge sur le ventre, à même le bois brûlant et je laisse ma queue encore raide se glisser entre deux lattes. Humm quelle agréable sensation. Je suis en train de repenser au corps superbe de cette femme sous sa douche quand la porte s'ouvre. La même femme se présente dans l'entrebâillement, nue, la serviette à la main. Elle vient en fait de prendre une douche fraîche entre deux séances de sauna, et se croit encore seule. Quand elle me voit, elle pousse un petit cri de surprise et se cache avec sa serviette rose. Je lui souris, surpris moi aussi, et la salue. Je suis toujours nu, et ma position avec ma queue coincée entre deux lattes m'empêche de me recouvrir avec ma serviette.

 

Tant pis, je reste ainsi sans oser bouger. Elle répond à mon salut et s'allonge sur la banquette inférieure, sur le dos. Nous échangeons quelques banalités, " le sauna n'est pas trop chaud aujourd'hui " etc. pourtant il est quand même à 85°.

 

Le silence retombe et nous commençons à suer. Tout à coup, je sens une chaleur différente du bois sur ma queue qui a ramolli depuis tout à l'heure. C'est une main, " sa main ", qui glisse doucement dessus. Je n'en crois pas mes sens. Cette femme, qui avait l'air gênée tout à l'heure est en train de me caresser la queue. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, je rebande de plus belle et la main me branle carrément. Je laisse tomber mon bras vers le banc inférieur et je passe ma main sur le corps de ma branleuse. Je fais glisser sa serviette et je peux admirer de près ce corps superbe. Elle est blonde, mais une fausse blonde, car son pubis est bien noir et bien taillé. A peine un petit triangle qui s'arrête avant les lèvres. Ses seins sont petits, comme je les aime, et assez fermes pour son âge. Elle doit avoir environ 45 ans, soit peut-être 5-6 ans de plus que moi.

 

Ma main passe de ses seins à son sexe avec douceur, et mes doigts commencent à s'activer dans son intimité. Elle pousse de petits gémissements de plaisir et écarte bien les cuisses. De mon côté, je suis au bord de l'extase. Elle lâche mon sexe, et se relève. Je m'assois sur le banc face à elle, la queue violacée, prête à exploser. Nos corps sont trempés de sueur. Elle se penche un peu et commence à me sucer. C'est un délice, elle prend ma queue jusqu'au fond de sa gorge, me masse les couilles et avec son autre main, m'enfonce un doigt puis deux dans l'anus. Je n'en peux plus, je me vide dans sa bouche, et quand elle sent mon liquide chaud, elle se retire vite. Elle n'a pas l'air d'apprécier le gout du sperme. Elle s'essuie sur mes cuisses et me pousse pour prendre ma place. Elle écarte la cuisse et je n'ai pas besoin d'explications pour fourrer ma tête et surtout ma langue au fond de sa chatte. Ses lèvres sont couvertes d'un mélange de sueur et de jouissance et c'est délicieux. Je fais comme elle et lui enfonce deux doigts dans le cul. Elle jouit très vite en se cambrant.

 

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Elle descend de son perchoir, et me présente ses fesses. Heureusement le fait de lui sucer le minou m'a redonné de la vigueur, et je la pénètre tout doucement. Ma queue entre très facilement tant elle est mouillée. Nous faisons l'amour de longues minutes et elle jouit encore. Je sors de ce trou douillet et me présente vers son autre petit trou. Elle a l'air d'en avoir très envie car elle s'appuie contre ma queue, qui entre presque aussi facilement que dans sa chatte. Humm, quel plaisir de sentir ma queue serrée dans son petit cul. Nous baisons comme des bêtes, je lui caresse les seins et elle me caresse les couilles. J'explose en elle et nous ne bougeons plus pendant 1 ou 2 minutes, sans dire un mot. Je me retire, et nous nous frottons l'un contre l'autre. Nous sortons de cette atmosphère étouffante et brûlante pour aller prendre une douche.

 

Je lui ai proposé de nous revoir, elle a refusé m'indiquant que c'était l'occasion qui faisait le larron !

 

Tant pis ! Quel pied c'était en tous les cas !

 

Dumigron

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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Lundi 2 août 2021 1 02 /08 /Août /2021 10:37

Confessions peu catholiques

 

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Le goût du blasphème par Escarbec

 

 

Rendez-vous coquins dans une église déserte ?

 

Cela dit, que l’église (et notamment son décor) soit souvent associée au plaisir sexuel, personne ne le niera, ne serait-ce qu’à cause des dimensions de sacrilège, de profanation, qui prend alors tout acte de chair, ne serait-ce que le plus véniel, tâter une fesse, palper un sein devant la statue de la Vierge....

 

SacrilegeSans oublier que sur le plan pratique, c’est un lieu très commode pour les rencontres clandestines. Une adolescente qui fréquente les cafés, en province, est tout de suite cataloguée. Qu’elle soit toujours fourrée à l’église, la voilà à l’abri des racontars.

 

Elevée de façon très stricte, une lectrice en son jeune âge, déjouait la surveillance de sa famille et des voisins en se déguisant en bigote pour retrouver son galant à l’église du village.

 

Elle y était fourrée quasiment tous les jours. Le lieu s’y prêtait d’autant mieux que son jeune amant habitant la maison voisine, pouvait passer de son jardin dans celui du presbytère sans attirer l’attention du voisinage. L’église était le seul endroit du village ou elle ne risquait rien.

 

Ancien enfant de chœur, le garçon qui l’avait dépucelée connaissait bien l’endroit, il avait repéré une sorte de remise, un capharnaüm ou s’empilaient les vieux bancs, les statues au rencard ; ils y faisaient leur petite affaire en silence, dans l’odeur de la cire fondue et de l’encens, à guetter le glissement furtif des grenouilles du bénitier.

 

« C’est là que j’ai tout appris ; à sucer, à me faire lécher, et même le péché de Sodome.

 

Après m’avoir enculée, il rentrait chez lui par le jardin et moi, la rondelle en feu, je sortais par la grande porte.

 

C’en était venu au point qu’on craignait, dans ma famille, que je ne traverse une crise de mysticisme comme une de mes tantes qui était devenue carmélite. En fait de religieuse, je suis devenue une vraie salope. Et c’est à l’église que je le dois. «

 

Ce texte anonyme publié en 2010, portait la signature d'Esparbec, j'ai quand même des doutes sur le fait que ce grand auteur libertin m'a envoyé un texte par mail sans y ajouter un mot d'explication. Mais tel quel il m'a plus, il est évident que si un ayant droit fait valoir… ses droits je me rangerais à ses desiderata

 

Séance expiatoire par René

 

Je m'appelle René, je suis magasinier, il y a encore un an j'étais prêtre dans le 18ème à Paris. De temps en temps ne me satisfaisant plus de me masturber j'allais rendre visite à Gisèle, une charmante prostituée mature que je payais avec le denier du culte (personne n'est parfait). Un jour une paroissienne m'a vu, m'a prise ne photo alors que je suivais Gisèle dans son escalier Mon évêque m'a alors proposé soit de me rendre à la vie civile soit d'accepter une mutation en campagne profonde. Je me suis donc défroqué

 

Mais je voulais savoir le nom de cette corneille qui m'avait dénoncé. Un heure entière j'ai palabré avec l'évêque jouant les repentis, et invoquant le pardon, le rachat, le dialogue, la rédemption, l'écoute de l'autre et toutes ces choses. J'avais péché mais la corneille aussi, on ne dénonce pas son prochain, ce n'est pas bien. Deux pécheurs en discutant ne pourraient que retrouver la voie du Seigneur. Toujours est-il que l'évêque finit par me lâcher le nom de la bonne-femme

 

Je me rendis à son domicile avec un plan simple, flanquer une correction sévère à cette corneille et éventuellement faire semblant de vouloir la violer ! Sur le pallier je me masquais, mais quand je vis le laideron acariâtre, je ne pu mettre mon plan à exécution tellement elle me dégoutait. Je lui envoyais une paire de gifles qui fit valser ses lunettes et repartais.

 

J'étais un peu frustré de ne pas m'être vengé comme je l'aurais souhaité, j'eu alors une idée, j'allais voir Gisèle et lui proposais un jeu de rôle où elle prendrait la place de la corneille.

 

- Je veux bien, mais tu ne m'attaches pas, et je ne veux pas de traces de coups.

- Juste un peu… en payant davantage

- Alors viens le vendredi à 18 heures, tu seras mon dernier client, tu me fouetteras avec un martinet qui ne laissera pas de traces au-delà de 48 heures.

 

C'est parti !

 

- Alors ma salope, qu'est-ce que tu foutais dans un quartier à putes en train de m'espionner ,

- Eh bien justement je vous ai suivi.

- Je vais te punir !

- Oh oui puissiez moi !

- Déshabille-toi, morue !

 

Je lui ai tortillé ses bouts de seins, je l'ai giflé et lui ai craché au visage, puis elle est allée elle-même chercher son martinet, je l'ai fouetté à la volé sur les fesses, le dos les cuisses et les seins. Des larmes coulaient sur son beau visage et cela m'excitait encore plus. Je l'ai fait se tourner et l'ai enculé. Après avoir joui je lui ai intimé l'ordre de se coucher par terre, et je lui ai pissé dessus.

 

- Ça va, t'as fini ?

- Oui, ça m'a fait du bien !

- Ça t'arrive souvent de te conduire comme ça ?

- Jamais, c'était juste une cérémonie expiatoire, je te paie le restau ?

- Volontiers

Le bedeau et le sacristain

Monsieur le Curé, obligé d’aller à la ville pour ses affaires, est très ennuyé, car c’est justement son jour de confession. Il lui est impossible de ne pas partir, pourtant.

Après avoir bien réfléchi, il convoque son bedeau, un fidèle en qui il a toute confiance, et lui dit:

– Je suis obligé d’aller à la ville, Philippe, tu vas confesser à ma place. Depuis le temps que tu es avec moi, tu sais comment t’y prendre… Du plus, tu as à peu près ma voix. Tu mets ma soutane et comme il fera presque nuit à l’heure où tu me remplaceras, il n’y a aucun danger qu’on te reconnaisse. Pour ce qui est des pénitences, je vais te donner un barème…

Et le curé part pour la ville.

Tout se passe bien. Le bedeau, après avoir confessé quelques vieilles dévotes, auxquelles il a généreusement attribué Pater et Avé, se prépare à fermer le confessionnal, lorsqu’il voit arriver le sacristain. Quelle belle occasion pour lui de connaître les petits secrets du sacristain !

Le sacristain prend place dans le confessionnal et après avoir avoué quelques péchés, déclare :

– Et puis, Mon Père… j’ai couché avec la femme du bedeau !

Le sang du malheureux ne fait qu’un tour.

– Vous avez couché avec la femme du bedeau… Ah, nom de Dieu ! Enfin, je veux dire : C’est pas bien, pas très bien du tout, ça, mon fils !
– Et ce n’est pas tout, mon père, poursuit alors l’autre, j’ai fait quelque chose d’encore moins bien… J’ai couché avec la fille du bedeau…

Le bedeau blêmit. Sa fille, maintenant ! Et puis quoi, encore?

– C’est abominable ce que vous avez fait là, espèce de voyou! Je…

Pour ne pas se trahir, il s’efforce de retrouver son sang-froid. Hélas, l’autre poursuit:

– Je suis indigne, mon père, je le sais… J’ai fait encore pire…
– Non
– Si. L’été dernier. Il faisait une chaleur… Bref, j’avais un peu bu… J’ai honte, si vous saviez, mon père… Enfin, je vous dis tout. J’ai croisé la mère du bedeau et je..
– Ah, nom de Dieu de nom de Dieu, vampire, sadique, malade, crapule ! hurle alors le bedeau qui ne peut plus se contenir, attends un peu…

Il sort du confessionnal, déboucle la ceinture qui retient son pantalon et, se retournant, présente son derrière au sacristain, hébété.

 

– Tiens, salaud, lui lance-t-il en baissant son slip, vas-y ! Comme ça, t’auras eu toute la famille !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Lundi 2 août 2021 1 02 /08 /Août /2021 09:46

Action, délire par Ursulin Neveway

Domina

" Ah, ah, ah me revoilà, moi Perversita, ta Divine Reine !

Perversita, ça t'inspires mon nom ? Hein boniche Karla ?

Réponds-moi lorsque je te parle ? T'as la tête dure, connasse !

Et ton cul de travelo ? Il est comment ? Allez à genoux, espèce de merde !

Tu vois ce gros gode, ça te plait ? Hein salope !

Ecarte tes fesses et écarte les bien, pétasse !

Mieux que çà, chiennasse ! T'as intérêt à m'obéir ?

Espèce de raclure ! Donc tes mains sur tes fesses et ouvres ton p'tit trou ?

Ah, ah, avec ou sans vaseline ? Sale pute, on va dire, sans !

Allez ça te plait gros con ? T'aimes ça être enculé par une grosse queue de caoutchouc !

Hein, sale trainée ? Pédé, t'aimerais bien une vraie bite, hein ?

Une grosse bite que tu aurais bien sucé avant ?

Je vais te défoncer le trou ; mais tu te branles ? Tu crois que ça va te faire moins mal !

Ah, ah, ah, t'es vraiment qu'un gros con !

 

PerversitaEt je veux t'entendre gueuler ? Grosse merde ! Et peux être que cela ne te fait pas assez mal ?

Ok, tu l'auras voulu ! Et si je te pince les couilles comme çà ?

Ah, ah, ah, t'aimes çà salope de chienne ? Raclure, pétasse, ça te fait du bien !

Sale larve ! Et continue à t'astiquer !

Je veux que t'éjacules pendant que je te défonce le fion !

Ahhhhhhhhh, tu gueules maintenant ;

Allez gueule, chiennasse, pétasse de Karla, et je veux que tu jouisses maintenant, craches ton foutre salope, et n'oublies pas de tout nettoyer ton foutre avec ta langue de sale pute ".

 

- Coupez !

- Alors j'ai été bon, Monsieur Robert ?

- Non, on est trop loin de l'original, foutez-moi le camp.

Et pendant que l’actrice s'en allait ravalant sa déception , Robert se tourna vers moi.

- Je vais te dire ce casting pour l'adaptation des Malheurs de Sophie par la Comtesse de Ségur, ÇA ME SAOULE !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Ursulin
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Lundi 2 août 2021 1 02 /08 /Août /2021 09:27

Crème solaire par Elian Lvekman

 blob

 

 

C'était l'été dernier, l'été de mes 20 ans, je m'étais fort mal remis de ma rupture avec Suzy et j'étais parti rejoindre ma mère dans sa location de vacances près de Nîmes.

 

Il faisait très chaud sous un ciel sans nuages et nous étions allongés, ma mère et moi sur de grandes serviettes de bain sur la terrasse de la location. Le calme de l'endroit n'est troublé par instant que par le passage de quelques mouettes rieuses.

 

Ma mère bronzait en maillot de bain. A cinquante ans, elle est restée une très belle femme, fausse blonde, corps désirable. Combien de fois ais-je fantasmée sur elle ?

 

Elle me demanda au bout d'un moment de lui passer de la crème solaire dans le dos... je ne lui répondis pas non et commença à étaler le produit... Quand j'eu fini de la tartiner, elle me demanda de lui en appliquer de l'autre côté... ce que je fis... j'étalais de nouveau la crème mais en évitant de lui toucher les seins... de tout façon elle avait son maillot. Mais soudain elle défit son haut et me demanda de lui en mettre sur la poitrine. Je devins alors tout rouge de confusion.

 

- C'est gênant…

- Ça ne va pas te tuer à ce que je sache !

- Non mais tu es ma mère !

- Sans blague ! Je ne te demande pas de faire quelque chose d'illégal ! Je n'ai pas vu de panneau "Interdiction de passer de la crème sur les seins de sa mère."

 

Elle rigola de sa plaisanterie, finalement elle dédramatisait la situation et du coup de me lançais et sans rien dire je commençai à caresser ses seins... des seins magnifiques... Le soucis c'est que je me tapais une érection du tonnerre de Dieu et que ma mère ne pouvait que s'en apercevoir

 

Au bout d'un petit moment, elle me dit que c'était son tour de m'étaler de la crème... après m'avoir recouvert le dos de crème, elle me fis me retourner, m'en mit sur le torse et en profita pour me pincer les tétons, un traitement auquel je suis loin d'être insensible. Excité comme un moustique, je perdais le sens des réalités et me décidais à accepter la situation quoiqu'il arrive.

 

- Mais tu bandes mon chéri !

- Euh…

- Ce sont mes caresses qui e font bander ,

- Peut-être bien, je ne sais pas trop…

- J'ai bien envie de voir ça de plus près.

 

Ma mère commença à descendre vers ma queue... je bandais comme un malade... elle mit sa main dans mon slip et commença à caresser mes burnes je ne pouvais dire un mot... elle me pris alors la main et nous nous dirigeâmes vers sa chambre... Sans que j'eu le temps de dire quoi que ce soit elle s'assit sur son lit enleva mon slip et commença à me sucer la queue, tout en m'introduisant un doigt dans le cul... je bandais tellement que j'éjaculais comme un taureau dans sa bouche... je cru qu'elle allait m'engueuler mais pas du tout elle avala tout... elle m'allongea ensuite sur le lit; je bandais encore et elle s'empala le trou du cul sur mon pieu. Après quelques mouvements de haut en bas et de bas en haut, je jouissais de nouveau tandis que ma mère prenait son pied. Ma bite ressortit maculée de sperme et de merde, elle me nettoya tout ça sans aucune réticence.

creme

Elle quitta la chambre me laissant abasourdi en me disant simplement  

 

- Il ne s'est rien passé, ce n'étais qu'un coup de folie, nous sommes bien d'accord 

- Pas de problème !

 

Le lendemain matin nous prenions notre petit déjeuner ensemble, ma mère était revêtue d'un peignoir de bain qu'elle avait oublié de refermer. Voilà qui sentait la provocation.

 

- Si on remontait cinq minutes dans la chambre  ? Me dit-elle en se passant vicieusement la main sur son téton gauche.

- Je croyais que…

- Il ne s'est rien passé hier, il ne se passera rien aujourd'hui.

- Dans ce cas…

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Lundi 2 août 2021 1 02 /08 /Août /2021 09:10

Mes envies par Claire_N

 

pisse stamp

Bonjour, je m’appelle Anne-Marie, j’ai 29 ans, je suis secrétaire, brune, grosses lunettes et gros nichons

 

Après une dure journée de boulot, la course pour avoir mon bus, pas le temps de faire pipi. L’attente puis , le trajet, debout, ça saute, ça remue, bref une grosse envie de faire pipi.

Je sors du bus prête à battre le record du monde en courant jusqu’à chez moi, mais trop mal au ventre, je marche, pas droit, cuisses serrées.

 

Ça vient, c’est horrible, je vais me faire dessus. La rue est piétonnière, à cette heure-ci, bondée.

 

Merde je suis en train de mouiller ma culotte gouttes après gouttes.

 

J’ai mal au ventre, je me suis arrêtée sous un porche d’une entrée de garage. Mon ventre me brule, je sens ma culotte humide de plus en plus malgré mes cuisses serrées qui n’empêche plus grand chose.

 

J’ai juste dix minutes pour arriver chez moi mais si je décroise mes jambes je me fast dessus c’est sûr ! Je ne me rappelle pas avoir eu autant envie, j’ai si mal au ventre, je dois faire !

 

Je blanchie, je sens que sa ruisselle sur ma cuisse, je me fais dessus. Plus la force de résister, je me plaque contre le mur, le plus dans l’ombre possible et …. Je me laisse aller. Ça coule le long de mes cuisses, j’écarte ma jupe et mon esprit chavire.

 

Envie

La douleur fait place à la délivrance et à un plaisir qui me surprend. Je ne peux pas retenir cette jouissance qui sort en même temps que je me soulage. Je jouis là dans la rue, je ne vois même plus les gens qui passe à un mètre de moi.

 

Quand je reprends mes esprits, il y a une grosse flaque à mes pieds, j’ai ma jupe pratiquement relevée, la culotte mouillée et pourtant j’ai joui comme rarement.

 

J’ai rapidement enlevé ma culotte et j’ai couru chez moi. Je me sentais honteuse, souillée.

 

Mais pourtant depuis ce jour j’ai une folle envie de recommencer.

 

J’ai déjà essayé à la maison de me retenir jusqu’à me laisser aller dans ma culotte, j’arrive à avoir du plaisir mais pas autant de jouissance.

 

Ok c ‘est pas naturel comme truc mais ne me prenez pas pour une folle, s’il vous plaît !

 

Et puis pendant que j’y suis-je vais vous dire autre chose : J’adore quand je fais caca après m’être retenu très longtemps…

 

Franchement quand je suis sur le trône et que je pose ma crotte c’est une vraie délivrance…

 

voilà, voilà !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Claire N
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