Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 10:04

Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 14 – La mère d’Isabelle par Maud-Anne Amaro

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Epilogue

 

Rentrés en région parisienne, Martinov et Béatrice ne se précipitèrent pas pour la mise en place des protections des fausses peintures murales. Les cotes ayant été prises, il laissèrent le soin à Justin Verrier de sous-traiter l’affaire.

 

– Ce serait des vrais peintures, j’aurais été superviser ! Déclara Béatrice, mais on ne va pas se prendre le chou pour des faux machins.

– Nous voilà presque complice d’une escroquerie ! Fit remarquer le professeur.

– Complice de quoi ? Ils voulaient des caches, on leur a fait des caches, on n’était pas censé se demander si les dessins étaient authentiques ou pas… Au fait, on est invité à l’inauguration, c’est mardi prochain.

– Tu y vas, toi ? Moi ça ne me dit rien !

– T’as pas envie de revoir Isabelle ? Et puis Solène est invitée aussi.

– Dans ce cas, je vais me faire violence.

– Il y aura aussi la mère d’Isabelle.

– La mère d’Isabelle ? Qu’est-ce qu’elle vient faire là-dedans ?

– Ah, si tu savais…

 

Sur place, une table d’honneur avait été dressée au pied de l’ascenseur végétalisé, il y avait quelque beau monde : Monsieur le maire et ses adjoints, le représentant de la chambre de commerce et quelques notables locaux. Le champagne attendait qu’on le débouche, Justin Verrier prononça un discours qui n’excéda pas trois minutes.

 

Et Béatrice, Martinov et Solène purent apercevoir trois jeunes femmes revêtues d’un tee-shirt vert sur lesquels étaient imprimé une tête d’ours surmonté d »un casque romain.

 

– Ce sont nos billettistes qui travailleront en alternance !

 

Alors ils embrassèrent Dorothée, Vicky et Mariette.

 

C’est à ce moment que Béatrice sentit qu’on lui mettait la main aux fesses. Elle se retourne courroucée et prête à tancer l’insolent quand elle réalise que cette main importune n’est autre que celle d’Isabelle.

 

– Ah tu es là, toi, je me demandais… Lui dit Béa.

– Ces cérémonies m’énervent, heureusement Justin a fait court… T’as un peu de temps, là ?

– Oui !

– Tu es notre invitée ce soir avec le professeur, mais en attendant je vais te présenter quelqu’un, viens ma voiture est à côté.

 

Et c’est ainsi que Béatrice se retrouva devant la propriété que monsieur le maire avait prêté à Justin.

 

– Eh, oui, il nous a dit que si on avait besoin… on n’a pas voulu abuser, on est pour un bout de temps ici et on a loué un petit truc un peu plus loin… Mais comme j’avais suggéré à Maman de prendre quelques vacances dans le coin… et que le maire ne peut rien nous refuser…

 

On entre !

 

– Je présente ma Maman !

 

Pas mal la maman, la cinquantaine passée, cheveux blond décoloré dans le vent, elle est en maillot deux pièces violet, elle a belle allure.

 

– Bonjour Madame !

– Non pas madame, tu m’appelle Delphine et on se tutoie ! Dit-elle en l’embrassant chastement.

– Eh bien, bonjour Delphine !

– Ma fille m’a parlé de toi ! Elle ne m’avait pas menti, tu es une belle femme !

– Bof !

– Et toi, tu me trouves comment ?

– Belle, désirable !

– Eh bien, on va pouvoir s’amuser un peu, tu veux bien ?

 

Béatrice fit un petit signe de tête accompagné d’un sourire. Bien sûr qu’elle voulait bien !

 

– Enlève moi mon haut, on sera tout de suite dans l’ambiance ! Propose Delphine.

 

Béa accède de bonne grâce à cette demande et libère la jolie poitrine laiteuse de la mère d’Isabelle.

 

– Allez mes chéries, chacune son téton, léchez-moi !

 

Situation très excitante, c’est la première fois que Béatrice voit une femme accomplir des actes sexuels avec sa propre mère.

 

– Oh là là , qu’est-ce que vous me faites toutes les deux ? Vous êtes des vraies salopes. ! Attendez on va toutes se mettre à l’aise !

 

Isabelle et Béatrice se déshabillent en toute hâte, tandis que Delphine retire son bas de bikini, dévoilant son sexe glabre.

 

Puis cette dernière s’allonge sur la canapé.

 

– Viens Béatrice, viens continuer à me lécher les seins, ma fille va s’occuper de ma chatte.

 

Le trio se met en place, Isabelle prodigue de grandes léchouilles sur la chatte maternelle, tandis que Béa se régale de ce téton qui est maintenant tout dur.

 

Et soudain la mâture se met à haleter, son corps se tétanise, elle crie, souffle un coup puis demande aux filles d’intervertir leurs places.

 

Voilà donc notre Béatrice entre les cuisses de Delphine.

 

– Occupe-toi un peu de mon petit trou ! Lui suggère cette dernière.

 

Voilà qui n’est pas un problème pour la jeune chimiste qui s’en va butiner de sa langue l’œillet fripé.

 

– Tu aimes le goût de mon cul ?

– Bien sûr !

– Il sent fort ?

– Il sent le cul !

– Alors régale toi ma bibiche, et tu as la permission d’enfoncer un doigt ! Même deux !

 

Béatrice obtempère et pilonne à qui mieux mieux le trou du cul de la mature qui ne tarde pas à se taper un deuxième orgasme.

 

– Whah, quel pied ! Asseyez-vous mes chéries, l’une à côté de l’autre, voilà, embrassez-vous maintenant comme des gouines en chaleur, plotez-vous les nichons, je vais m’occuper de vos chattes.

 

La main gauche dans le con de Béatrice, la main droite dans celui de sa fille, la Delphine branlotte les deux femmes avec une énergie qui fait plaisir à voir.

 

Quand elle sent sa fille près de l’orgasme, elle remplace sa main par sa langue et vient lui titiller le clitoris. Résultat garanti, Isabelle prend son pied, Delphine peut alors se consacrer pleinement à Béatrice jusqu’à ce qu’elle jouisse à son tour.

 

Moment calme, enfin relativement calme parce que ces dames se roulent des galoches, se caressent, se plotent.

 

Et maintenant, la surprise ! Dit soudain Delphine.

 

Béatrice se demande ce que ça peut bien être ? Un gros gâteau glacé ? Un vibro masseur à douze vitesses ? Une entrée gratuite dans une boite coquine ?

 

Eh bien non ! La surprise est un gros chien, un Bobtail noir et blanc plein de poils qui entre dans la pièce avec un air débonnaire.

 

– C’est Fuji ! Nous précise Delphine ! Vous voulez jouer avec ? Lui il veut bien jouer avec nous ! N’est-ce pas Fuji ? Viens lécher la moule de ta maîtresse ! Lui demande-t-elle en écartant les jambes et en se tripotant la foufoune.

 

Le chien déboule et se met à lécher

 

– Mettez-vous à côté de moi les filles, Béa à gauche, Isabelle à droite.

 

Delphine après s’être fait copieusement lécher, dirige le chien de façon à ce qu’il prodigue ses services à ses voisines. Puis elle passe sa main sous son poitrail dévoilant la bite bandée sortie de son fourreau, elle la tripote un moment avant d’inviter Béatrice à prendre le relais.

 

Isabelle fait coucher le chien afin que l’accès soit facilité, le visage de Béatrice, irrésistiblement attirée, s’approche de la bite du chien et ne peut s’empêcher de la porter en bouche.

Ours14

 

Le chien excité émet en continu des filets de liquide préspermatique et la jeune femme s’en régale.

 

– Je crois que j’aimerais bien me faire prendre ! Dit Béatrice.

– Vas-y, nous on connait ! Répond la mère.

 

Béatrice se met à quatre pattes, Delphine lui enduit le croupion de sa propre moulle et fait venir le chien lequel pris d’une véritable frénésie sexuelle couvre Béa en un ballet infernal la faisant jouir plusieurs fois de suite.

 

Elle sent le nœud gonfler dans son intimité et se dégage de crainte de rester collée plusieurs minutes. Mais elle n’abandonne pas le chien pour autant et finit de le sucer.

 

– Alors elle était belle ma surprise ?

– Super !

– Mais j’en ai une autre ?

 

Béatrice se demande ce que ça peut bien être, et manifestement Isabelle aussi, qui ne semble pas être au courant.

 

Les femmes se rhabillent et sortent dans le village, Delphine qui tient le chien en laisse les conduit jusqu’à une petite fermette un peu en retrait.

 

– Père Gauthier, vous êtes là ?

– J’arrive !

– On vous a ramené votre chien, on a fait une grosse balade avec lui, il en a bien profité.

– C’est une brave bête ! Commente l’homme. Ça lui fait du bien, moi je suis trop vieux pour le faire courir.

– Cadichon est là ? Je voudrais le montrer à ma fille et ma copine.

– Il est dans la remise là-bas, vous pouvez aller le voir, moi je vous laisse faut que j’aille chercher des œufs… Fermez bien derrière vous en repartant.

 

Comme le lecteur l’aura deviné, Cadichon est un âne. Il est tout gris, tout mignon.

 

Delphine le caresse, Cadichon réagit bien en pointant ses oreilles en avant. Alors la mère d’isabelle passe sa main sous le flanc de la bête et lui caresse le sexe.

 

L’animal se met à bander et offre à la vue des trois cochonnes le spectacle d’une bite d’environ 30 centimètres de long !

 

– Je n’y crois pas ! S’étonne Béatrice !

– Tu n’en n’avais jamais vu ?

– Tu sais les ânes à Paris, ça ne court pas les rues !

 

Delphine caresse à présent l’insolent phallus.

 

– Allez-y mes chéries, faites-vous plaisir.

 

Isabelle y met la main, Béatrice l’imite aussitôt.

 

– Lèche maintenant ! Dit alors Delphine à sa fille.

 

Celle-ci après avoir léché un peu la hampe attrape le sexe par l’extrémité et se met à le suçailler. Béatrice à la tête qui tourne, ne réalise pas vraiment ce qui se passe mais rejoint sa complice dans cette fellation insolite.

 

Delphine les rejoint, baisse son pantalon sous lequel elle n’a mise aucune culotte et frotte son pubis avec la bout de la bite du chien.

 

Et soudain l’âne éjacule dans un déluge de foutre, les femmes ont le temps de se reculer, mais Delphine en a avalé un peu et arbore une mine hautement satisfaite. Elle ne remonte pas son pantalon.

 

– Ça m’a trop excité, viens me lécher la moule, ma fille !

– Bien sûr Maman !

 

Et tandis qu’Isabelle se régale entre les cuisses de Delphine, Béatrice lui suce les tétons.

 

– Qu’est-ce qu’elle est bonne la chatte de ma mère ! S’exclame Isabelle, on va permuter…

 

Et c’est au tour de Béa de lécher l’abricot de cette jolie mature incestueuse.

 

– Attends, il faut que je pisse ! Dit soudain cette dernière.

– Vas-y je vais te boire !

 

Le jet doré fuse dans la bouche de la jeune chimiste qui s’en régale, qui en avale mais qui en fait aussi dégouliner sur son corps.

 

– Elle en garde un peu en bouche et quémande un baiser à sa partenaire qui accepte volontiers ce baiser doré. Isabelle, jalouse vient quémander sa part.

 

– T’es presque aussi salope que moi, Béatrice ! Lui dit Delphine.

– Y’a pas de mal à se faire du bien !

 

Et le soir, le professeur Martinov et Béatrice étaient invités chez Justin Verrier et Isabelle dans la location qu’ils avaient dégoté à la sortie de Glandville.. Delphine et Solène étaient aussi de la partie.

 

– Je suis contente de te revoir ! Déclare cette dernière à l’attention de Béatrice

– Et moi donc ! T’as retrouvé du travail ?

– Oui, je suis hôtesse d’accueil dans une multinationale.

– Et ça consiste en quoi ?

– On me demande d’être gentille avec certains visiteurs, en fait je fais la pute mais ça ne me dérange pas, ces gens-là sont parfois généreux.

– Je vois…

– Ça m’emmerde un peu cette invitation, j’aurais préféré qu’on se retrouve toutes les deux dans une chambrette pour se lécher la minette.

– On pourra toujours s’éclipser si besoin est, mais vu la composition de l’assistance ça devrait tourner en partouze.

– Mais la dame, là ?

– Delphine, c’est une coquine, pas de soucis de ce côté-là.

– Mais elle est là à quel titre ?

– Je ne sais pas trop, mais qu’importe !

 

Béatrice rechignait à lui dire qu’il s’agissait de la mère d’Isabelle, de peur que cette révélation puisse la choquer.

 

Justin avait commandé chez un traiteur de Briançon un colossal plateau de fruits de mer.

 

Celui-ci eut un beau succès et fut copieusement arrosé, on dégusta au dessert une excellente tarte aux myrtilles, il n’y avait plus qu’à attendre le déclic.

 

Et c’est Delphine qui le déclencha

 

– Savez-vous cher professeur que votre réputation est venue jusqu’à moi ?

– C’est Isabelle qui vous a raconté des choses ?

– Les démentez-vous ?

– Comme je ne sais pas ce qu’elle vous a raconté, ça va m’être difficile.

– Embrasez-moi Professeur.

 

Martinov se lève.

 

– Non, restez assis, c’est moi qui vais venir.

 

Et les voilà qui s’embrassent sur la bouche comme deux collégiens consommant leur premier flirt.

 

La main de Delphine vient tâter la braguette de notre vert professeur. Justin qui a compris ce qui se passait joue les grand seigneurs.

 

– Vous avez le canapé à votre disposition, mais si voulez vous isoler, Isabelle peut vous montrer les chambres.

– On va se mettre là un moment ! Suggère Delphine en conduisant son partenaire jusqu’au grand canapé.

– Le professeur est un gros coquin, il aime sucer des bites ! Indique Isabelle à sa mère.

– Non ?

– Si ! Tu veux voir ?

– Il va sucer qui ? Julien ?

 

Ce dernier qui a entendu la conversation se pointe après avoir retiré son pantalon et offre sa bite demi-molle à la bouche gourmande de Martinov qui a tôt fait de le faire bander correctement.

 

Eh, c’est que c’est un artiste de la pipe, notre vert professeur, titille le gland, lèche la hampe et bien sûr effectue de long va-et-vient entre ses lèvres.

 

– Eh bien dis donc, t’es un sacré suceur de bites ! commente Delphine tout excitée.

– Je te la fous dans le cul ! Propose Julien.

 

Pour toute réponse, Martinov se redresse, se retourne et offre ses fesses à son complice qui après s’être protégé comme il se doit, l’encule bien profondément.

 

Toutefois, Julien ne fit pas durer sa sodomie, la soirée pouvait être longue et il n’allait pas jouir déjà !

 

– Je vous le rend, il est à vous ! Dit-il à Delphine.

 

Voyant l’ambiance chauffer, Solène s’est jetée au cou de Béatrice et les deux femmes s’embrassent et s’enlacent.

 

Justin Verrier et Isabelle se regardent, amusés, le couple qu’il forme à la ville se retrouve ici sans mélangisme

 

– Après tout, pourquoi pas ? dit Justin en prenant sa compagne dans ses bras. Et ils s’installent sur la partie gauche du canapé, la partie droite étant occupé par Martinov et Delphine.

 

Et justement qu’est-ce qu’ils nous font ces deux-là ? Delphine a pris la direction des opérations. Elle eut tôt fait de baisser le pantalon du professeur et de mettre son vit en bouche afin qu’il bande correctement, et pour que la chose soit encore plus parfaite, deux doigts viennent farfouiller le troufignon du sexagénaire.

 

Martinov essaie de ploter, d’atteindre un bout de chair, mais n’y parvient pas, il décide donc de laisser passer l’orage, un orage bien sympathique, vous en conviendrez.

 

Delphine finit par fatiguer de la mâchoire, délaisse momentanément sa pipe, retire nerveusement sa robe sous laquelle il n’y a aucune culotte, en revanche elle a un soutien-gorge ! Va-t-elle le garder comme dans le cinéma hollywoodien ? vous pensez bien que non. Elle grimpe sur les genoux de Martinov en position de lap-dance, et demande à son partenaire de dégrafer le soutif.

 

Delphine se débrouille ensuite pour mettre son téton dans la bouche du professeur, lequel ne saurait refuser une telle offrande et se met à sucer avec gourmandise, et quand le téton droit fut suffisamment léché, ce fut au tour de l’autre. Elle n’est pas belle la vie ?

 

La belle mature ouvre la chemise du professeur et se met à lui tordre les tétons. Une caresse que l’homme adore et qui offre l’avantage de maintenir l’érection. Elle sort d’on ne sait trop où une capote lubrifiée et en recouvre la bite de son partenaire, puis s’empale dessus quelques minutes avant de ressortir. Mais c’est pour changer de trou ! La voilà qui s’encule sur la bite raide comme un bout bois de ce bon vieux Martinov.

 

Celui-ci tente de retarder la montée de sa jouissance.

 

– Je vais venir… Prévient-il

– Moi aussi ! Aaahhh ! Tu m’as bien enculé mon salaud !

 

Exténué et repus, le professeur s’endort, alors Delphine se blottit dans ses bras et le rejoint dans le sommeil.

 

– Mais c’est qu’ils ronflent ! Se gausse Justin.

– Et alors, ils sont mignons, non ? Répond Isabelle Libère ta queue, je vais faire comme ma mère, ça m’a donné des idées.

 

Alors Isabelle après avoir usé de son talent pour sucer le bite de son compagnon procéda comme sa maman, lap dance, déshabillage, empalement et jouissance.

 

Quant à Béatrice et Solène…

 

Mais où sont-elles passées ces deux-là ?

 

Chut ! Elles sont montées dans une chambre, elle savent qu’elles ne se verront sans doute plus de si tôt, alors elles en profitent, se lèchent, se caressent, se donnent du plaisir… Mais ne les dérangeons pas… et c’est d’ailleurs la fin de cette histoire !

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 10:00

Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 13 – Méga partouze par Maud-Anne Amaro

StampFFH

Jeudi 23 avril

 

Tout est prêt pour le départ, Justin et Isabelle vont encore rester quelques jours pour surveiller la mise en place de l’ascenseur, mais le professeur Martinov et Béatrice vont rentrer à Paris. Justin les accompagnera à la gare de Briançon en début d’après-midi.

 

– Et toi Solène ? Lui demande Martinov

– Je vais monter à Paris aussi, je n’ai pas pris de décision, de toute façon si je veux rejoindre Corentin, il ne va pas rester là.

– Tu vas voyager avec nous, alors !

– Oui.

 

Mais voilà que devant la grille du gite rural apparaissent trois jeunes femmes. Tout le monde reconnait Dorothée, mais seule Béatrice sait qui sont les deux autres.

 

– Bonjour ! On passait par là ! Commence Dorothée, je vous présente Vicky et Mariette, des copines de la ferme. En fait on a un service à vous demander, on peut entrer cinq minutes ?

– Entrez, vous voulez boire quelque chose ? Demande Isabelle jouant les maitresses de maison. Coca ? Bière ? Perrier ?

– Il y a une éternité que je n’ai pas bu de Coca ! En fait voilà explique Vicky, on a de l’argent pour s’acheter une chèvre, mais on a pensé qu’une deuxième chèvre se serait pas mal, mais on n’a pas d’argent pour la seconde chèvre.

– Fichtre ! S’étonne Isabelle. Et ça coute combien une chèvre ?

– 100 balles !

– Ah ben…

– En mettant 20 balles chacun, ça peut le faire ! Propose Béatrice.

– On a rien à vous donner en échange, on a que nos charmes, mais vous n’allez pas nous demandez ça, vous êtes des gens bien élevés. Reprend Vicky.

– Remarquez, on est pas farouche non plus, mais disons qu’il ne faut pas tout mélanger ! Ajoute Mariette.

– Bon tout le monde est d’accord ? Demande Béatrice.

 

Du coup, elle fait la quête, tandis qu’Isabelle va chercher des boissons.

 

Un qui a des idées salaces, c’est Justin.

 

« Pas farouches, les belettes, mais comment déclencher quelque chose sans passer pour le roi des goujats. »

 

Alors il demanda carrément :

 

– Quand vous nous dites que vous n’êtes pas farouches, nous devons prendre ça comment ?

 

Mariette embêtée finit par répondre une grosse bêtise :

 

– En fait je me suis mal exprimée, en fait je voulais dire on est très farouches.

– D’ailleurs ça se voit ! Renchérit Vicky.

 

Et tout le monde de rigoler de bon cœur.

 

– On a cru comprendre, reprend Vicky que côté sexe vous étiez plutôt libérés, non ?

– On peut dire ça comme ça ! Répond Justin

– Ben nous aussi, voilà. ! Dit Mariette

– Mais ce n’est pas parce que des gens libérés rencontrent des gens libérés que ça doit se transformer systématiquement en partouze ! Ajoute Vicky.

– Non, c’est pas systématique mais ça reste une éventualité ! Tient à préciser Mariette.

– Vous jouez à quoi en ce moment ? Demande Isabelle avec amusement.

– On se demandait… Commence Mariette

 

Mais elle s’arrête, elle ne sait plus quoi dire.

 

– Vous vous demandiez quoi ? Insiste Isabelle.

– Ben on se demandait si éventuellement on pourrait faire quelques trucs ensemble… Précise Vicky.

– Mais on n’insistera pas, ce n’est pas notre genre, on va vous laisser… Ajoute Mariette.

– Et si je vous disais que ça peut m’intéresser, ce serait à quelles conditions ! Demande Justin.

– Tout dépend du nombre de personnes intéressées, on peut faire selon… Evidemment ce serait contre un petit dédommagement.. Précise Vicky.

– Vous allez croire qu’on fait les putes, mais en fait ce n’est pas dans nos habitudes… mais parfois c’est l’occasion qui fait le larron. Ajoute Mariette.

– Et ce serait combien ? Demande Justin.

– On n’est pas trop au courant des tarifs… vous nous donnerez ce que vous voudrez.

 

Justin sort deux billets de son portefeuille et les tends à Vicky.

 

– Ça ne me regarde pas, mais ça fait peut-être un peu juste ! Intervient Solène qu’on avait pas encore entendu jusqu’ici.

– J’ai plus de liquide, Martinov, tu en as aussi.

– Je ne vais quand même pas te laisser tout seul ! Dit-il en sortant deux billets à son tour.

– Comment on fait ? Tout le monde veut participer ? Demande Vicky.

– Moi je ne participe pas, mais je veux bien regarder. Déclare Solène.

– Je suppose que vous n’avez rien contre les femmes ? Se renseigne Isabelle.

– Béatrice ne t’as pas raconté ?

– Si justement, alors pour moi c’est d’accord.

– Et moi aussi ! Ajoute Béatrice.

 

Vicky, toujours très directive, propose à tout le monde de se mettre à poil, ce que tout le monde fait à l’exception de Solène.

 

– Ah ! Intervient Mariette, on voudrait vous demander un petit plus : On s’est laissé dire que vous, les deux messieurs, vous faisiez aussi des trucs ensemble. On pourra voir ?

– Pas de problème ! T’es d’accord Martinov ?

– Bien sûr.

 

Le professeur se demande qui va s’occuper de lui, difficile, certes Mariette à la plus belle poitrine, mais Vicky dégage un charme sauvage…

 

Mais c’est vers Justin que Vicky se dirige, elle l’enlace, l’embrasse, et lui tripote les tétons. Bien sûr il se laisse faire et lui rend la pareille.

 

Dorothée est allée trouver Béatrice et Isabelle sur l’air de « coucou me revoilà ! ». Et en instant les corps se mélangent, les mains tripotent et les bouches embrassent, lèchent et sucent.

 

Prise de vitesse, Mariette n’a pas d’autre choix que de venir solliciter le professeur Martinov qui l’accueille en lui soupesant les nénés.

 

– Ben dis donc tu bandes bien, toi ? Lui dit-elle

– Faut pas se plaindre !

– C’est la première fois que je vais sucer une bite de vieux !

– Ça ne t’embête pas, j’espère ?

– Mais pas du tout ! D’ailleurs t’as pas une bite de vieux ! Attention, je vais la mettre dans la bouche !

– Hum tu suces bien ! Tu peux me pincer un peu mes tétons en même temps ?

– Mais bien sûr Milord !

 

Un peu plus loin, Vicky s’activait sur la bite de Justin, la suçant en de long va-et-vient dans sa grande bouche gourmande, tandis que son doigt lui pénétrait l’anus.

 

– Ne jouis pas, je veux te voir faire des choses avec le petit vieux.

– Ne t’inquiètes pas, on va te faire ça comme des chefs tu vas t’en foutre plein les mirettes .

 

Toutes ces petites saynètes finissent par exciter la belle Solène qui se dit que décidemment rester spectatrice n’est peut-être pas une excellente idée.

 

Alors elle se déshabille complètement et s’approche des partouzeurs et c’est sans doute inconsciemment qu’elle s’approche du couple formé par Justin et Vicky.

 

– W?h ! T’es super bien gaulée, toi ? La félicite cette dernière.

– J’ai été mannequin, ma chère !

– Tu t’es mis à poil pour mieux regarder ou tu veux participer un peu ?

– Devine !

– Approche toi de nous. Tu sais je n’ai jamais caressé une black

– Il parait qu’on a la peau douce !

– Voyons voir ! Ne t’inquiète pas, Justin, je ne t’abonne pas, je fais seulement un petit câlin a cette charmante personne.

 

Vicky commence par caresser les doux bras de la jolie métisse, parce qu’il faut bien commencer par quelque chose, puis s’attaque de suite à sa magnifique poitrine dont elle lèche les bouts avec délectation

 

– C’est fou ça ! Dit soudain Solène.

– C’est quoi qu’est fou ?

– Tu ne vas pas me croire, mais jusqu’à ces quinze derniers jours, aucune femme ne m’avait caressé, je veux dire caressée comme tu me le fais.

– Et qu’est ce qui t’as fait changer d’avis ?

– Un concours de circonstances, c’était dans la grotte, j’étais avec Béa, elle m’a aguiché, moi j’étais stressée, l’esprit ailleurs, elle m’a proposé un massage, elle m’a tripoté le cul et les choses se sont enchaînées. Je le regrette pas, j’ai découvert quelque chose, même si je préfère les bites.

– On le suce à deux ?

– Bien sûr, mais il ne faudrait pas qu’il jouisse

 

Et c’est donc deux langues qui s’occupent maintenant de la bite de Justin. Il se demande s’il va être capable de se maîtriser. Sinon il faudra attendre un petit délai, le temps qu’il recharge les batteries, mais ces demoiselles l’attendront-ils ?

 

Mais voilà que Mariette arrive tenant pas la main le professeur Martinov.

 

– Les garçons vous nous aviez promis une petite démonstration…

 

Solène et Vicky ont lâché leur proie, laissant la place disponible pour Martinov.

 

– Non, non, il faut que je fasse reposer Popaul un petit peu, c’est moi qui vais te sucer. Propose Justin

 

Qu’à cela ne tienne ! Les deux hommes permutent et Justin vient sucer le professeur pour le grand plaisir des yeux de Mariette et Vicky qui n’ont jamais eu l’occasion d’assister à ce genre de spectacle en live.

 

– Alors qui c’est qui encule l’autre ? demande Vicky.

– Euh, les capotes ! Quelqu’un sait où sont les capotes.

– Sur le buffet ! Lui répond Isabelle, interrompant un moment le cunnilingus qu’elle était en train de pratiquer sur la chatte de Dorothée.

 

Les deux hommes se demande qui va baiser l’autre. Mariette intervient pour les départager.

 

– J’aimerais bien que ce soit Martinov qui encule Justin.

 

Comme c’est demandé fort gentiment, le professeur qui aurait tout de même préféré le contraire, vient lécher l’anus de son complice puis s’encapote et le sodomise en cadence sous les encouragements des petites rebelles.

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Il ne va pas jusqu’au bout, souhaitant conclure avec Mariette, à moins que les filles décident de permuter…

 

Effectivement !

 

– Tu me le laisses ! Demande Mariette à sa petite camarade qui accepte.

– Tu viens sur moi ? Propose alors Martinov à Vicky en se couchant sur le dos affalé sur le canapé après avoir changé de préservatif.

 

Vicky s’empale alors sur le vit bien bandé du professeur et commence une série de « montée-descente » aux termes desquels l’homme finit par éjaculer en suant comme un bœuf

 

A côté Mariette s’est placé en levrette et subit les coups de boutoir de Justin qui après quelques mouvements dans son vagin a choisi de terminer dans son cul.

 

Dorothée, Béatrice et Isabelle se sont retrouvées sur le sol complètement emmêlées à ce pont que Béa est un moment incapable de savoir à qui appartient le doigt qui lui trifouille l’anus

 

Mariette a pris son plaisir, mais ce n’est pas le cas de Vicky qui agrippe Solène par la main en lui disant :

 

– Fais-moi jouir !

 

Alors la belle métisse plaque son visage sur la jolie chatte de Vicky, lui lape la mouille qui coule d’abondance et l’emmène au paradis

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 09:55

Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 12 – Solène, Martinov, Caribou… par Maud-Anne Amaro

Solene

 

– Alors t’as pris une décision ? S’amusa à lui demander Béatrice.

– Non toujours pas, Répond Solène, Donc pour l’instant je reste là et puis j’ai fait une promesse à Martinov, je tiens toujours mes promesses.

– Je ne te demande pas quelle promesse ?

– J’ai toujours eu un faible pour les petits vieux…J’ai envie d’être salope, je l’ai toujours été un peu, mais avec toi, ça ne s’est pas arrangé.

– Alors bonne bourre !

– Au fait il est comment Martinov au plumard ?

– Doux comme un agneau !

– Super !

 

Rémy dans un accès de colère envisagea d’abord de traîner le corps de Caribou jusqu’au bord du précipice et de l’y balancer au fond, .mais se dit ensuite qu’il culpabilisait déjà avec la mort de Louison et qu’il était inutile d’en rajouter.

 

– Et puis je voudrais quand même savoir pourquoi il venait m’agresser au chant du coq .

 

Rémy allongea donc Caribou dans un coin de sa baraque, il n’eut pas l’idée de l’attacher et s’en alla vaquer à ses occupations matinales.

 

Caribou finit par se réveiller avec un affreux mal de tête, il s’étonna d’être toujours en vie, constata l’absence temporaire de Rémy et remarqua que celui-ci avait posé son gourdin pas trop loin.

 

– C’est peut-être ma dernière chance !

 

Et quand Rémy revint, celui-ci ne se montrant pas méfiant pas reçu un coup de gourdin en plein visage et tomba sans connaissance. Juste retour des choses !

 

Caribou commença par se chercher à boire, trouva une bouteille de mauvais vin et s’en envoya un rasade. Un vieux saucisson lui calma un peu sa faim. Il chercha du tabac mais Rémy ne fumait pas.

 

Caribou s’empressa de lui emprunter des vêtements, mais quand il voulut enfiler ses chaussures, ce fût la catastrophe, Rémy faisait deux pointures de moins que Caribou et ses chaussures étaient impossibles à enfiler.

 

– Putain, mais c’est pas vrai, se faire emmerder comme ça par une paire de pompes, il ne peut pas avoir des pieds comme tout le monde, cet abruti !

 

De rage, il balança les chaussures dehors et se mit à fouiller dans l’incroyable fouillis de la cabane de Rémy, il trouva une paire de basquets en très mauvais état et évidemment trop petites.

 

« Je suis trop con, comme si j’allais trouver des godasses à ma taille dans son merdier ! »

 

L’idée lui vint cinq minutes après, il récupéra la paire jetée dehors, trouva des ciseaux avec lesquelles il ouvrit l’extrémité puis retira le contrefort du talon.

 

– Ce n’était pas terrible mais en attendant mieux… Et maintenant que faire ?

 

Il envisagea d’abord d’aller tout de même à la ferme, Louison y avait laissé ses affaires et peut-être possédait-il des chaussures de rechange ? Mais cela supposait toute un procédure, attendre que ces demoiselles s’en aille faire un tour … non l’interminable attente devant la cabane de Rémy l’avait vacciné.

 

– Je vais me barrer d’ici, j’en ai trop marre…

 

Il décida malgré tout d’aller voir du côté de la grotte si parfois il lui venait une idée .

 

Il a du mal à s’approcher, le site étant encombré par l’échafaudage renversé. Il parvint néanmoins au pied de la paroi, il découvre un piton à moins de deux mètres, puis d’autres espacés d’environ 80 centimètres.

 

– Si j’essayais de grimper ?

 

Il essaie. A force de volonté et de ténacité, il parvient à la hauteur de la grotte et n’en est pas peu fier.

 

Sauf qu’arrivé presque en haut, sa chaussure droite se met à chasser, impossible de la redresser dans sa position, il tente de bouger son pied avec le minimum de mouvements.

 

Peine perdue, la chaussure dégringole.

 

– Il y a des jours où tout va mal !

 

Il n’a pas pris de torche et ne peut apercevoir les fausses peintures de Verrier qui de toute façon ne sont pas dans la première salle.

 

– Mais c’est quoi ce bordel ? Il n’y a rien dans cette grotte !

 

Il décide de se reposer un peu avant de redescendre

 

Il lui faut d’abord essayer de régler le problème de son pied droit. Il a l’idée de déchirer le tee-shirt piqué chez Rémy et d’en faire des bandelettes mais le résultat le déçoit :

 

– Ça va glisser ce truc-là, autant laisser le pied nu.

 

Et le moment venu, il cherche du pied son appui sur le premier piton.

 

– Je fais .comment après ?

 

En fait, Caribou est saisi du syndrome du chat perché, celui qui peut monter mais s’avère être dans l’incapacité de redescendre.

 

Il se fait violence pour essayer, mais la phobie du vide l’envahit et le fait renoncer.

 

Il panique, ne sait que faire, finit par gueuler des appels au secours que seul l’écho de la montagne daigne lui répondre.

 

Alors il attend, il ne sait pas ce qu’il attend mais il attend. Il a soif et se rend compte que cela va poser un sacré problème. Il ne voit pas comment signaler sa présence et se met à effectuer des moulinets stupides avec les bras tout en braillant comme un veau qu’on égorge.

 

Pas moyen non plus d’explorer la grotte dont le fond est noir comme du charbon.

 

– Si seulement j’avais un briquet, mais je n’ai rien du tout.

 

Il resta ainsi jusqu’à la tombée de la nuit, sans que rien ne se passe et finit par s’endormir.

 

Solène

 

Solène ne s’est pas douchée après sa petite sauterie avec Béatrice ! Non elle veut garder l’odeur de leurs ébats.

 

Elle cherche Martinov qui prend le soleil sur une chaise pliante devant l’entrée du gîte en lisant un bouquin..

 

Elle a envie d’être salope, aussi c’est sans préambule qu’elle s’approche du professeur en lui mettant carrément la main à la braguette.

 

– Alors papy, je t’avais fait une promesse, je tiens toujours mes promesses. On y va ?

– Là comme ça, tout de suite ?

– Ben oui ! Allez debout, tu ne vas pas le regretter ! Je vais mettre toute ta bite dans ma bouche !

– J’en frémis d’avance !

 

En chambre, Solène ne s’embarrassa pas de procédure et se retrouva à poil en deux temps et trois mouvements.

 

– Alors Je te plais ?

– Vous êtes très belle ! Superbe, même !

– Tu peux me dire « tu » !

– Alors, t’es superbe !

– Tu vas pouvoir me caresser et me baiser, mais t’attends quoi, t’es pas encore à poil ?

 

Il se dépêcha donc de se déshabiller, conscient que son corps fatigué faisait pâle figure en compagnie de ce canon. Il se demanda ce qu’elle pouvait bien lui trouver.

 

Solène s’est assisse sur le bord du lit, Martinov s’approche doucement pendant qu’elle l’attend pour le sucer.

 

– Assis-toi à côté de moi, mon pépère. Tu te demandes pourquoi je t’ai embarqué avec moi ? C’est ça ?

– Un peu, oui !

– Je vais te dire ! Tu sais quand je t’ai vu sucer la bite de Justin, je ne sais pas ce que ça m’a fait, j’ai ça trouvé tellement érotique, pervers, je ne trouve pas les mots, mais ça m’a excité un max. Tu fais ça souvent ?

– En fait, non je ne cherche pas, mais quand j’ai l’occasion…

– Et tu aimes ça sucer des bites !

– Oui j’aime bien.

– Et tu fais ça depuis longtemps.

– Non, j’ai eu quelques expériences au collège, j’ai sucé quelques bites avec plaisir, mais ça ne m’empêchait pas de mater les filles. Un jour j’ai emmené à la maison un camarade de classe qui était aussi obsédé que moi, mes parents n’étaient pas encore rentrés. On s’est sucé et un moment le gars m’a proposé qu’on fasse « une bite au cul », c’était ses paroles exactes. Mais je me suis dégonflé, après je l’ai regretté et j’ai longtemps fantasmé là-dessus.

– Tu n’as pas concrétisé ?

– Non pas à l’époque, en fait je culpabilisais un peu, je ne trouvais pas ça « normal », alors j’ai eu quelques copines, un gros chagrin d’amour… mais je ne vais pas te raconter ma vie.

– Mais la sodo t’a concrétisé quand ?

– Un jour nous étions avec Béatrice à démêler une histoire très compliqué, un curé qui faisait pleurer des larmes de sang à une statuette de la Vierge Marie…

– Non ?

– Si, si je t’assure ! Le curé était en fait un espèce d’escroc, mais l’affaire s’est bien terminée, on s’est retrouvé à quatre dans une chambre d’hôtel, on venait de vivre des moments difficiles, très pénibles, on avait tous envie de déstresser, et puis ça a été un concours de circonstances. Toujours est-il que j’ai sucé le curé et que je me suis laissé sodomiser. Je ne l’ai pas regretté (voir Professeur Martinov et la vierge de Cardillac)

– Tu sais j’ai adoré vous regarder, Justin et toi quand vous vous êtes enculés.

– T’es une coquine, toi !

– Reste assis comme tu es, je vais te chauffer un peu et après je veux que tu m’encules, j’ai apporté des capotes.

 

Solène se mit à genoux entre les jambes du professeur et englouti sa bite tandis que ses mains lui attrapaient les tétons afin de bien les tortiller.

 

C’est qu’il bandait fort notre vert professeur !

 

– Hum, j’adore ça sucer des bites ! Commenta Solène. On est tous les deux des suceurs de bites.

– Hi Hi !

Dis-le que tu es un suceur de bites !

 

« Si ça peut lui faire plaisir… »

 

– Je suis un suceur de bites.

– Couche-toi sur le lit, je vais te faire un truc… non, non laisse tes jambes comme ça, voilà.

 

Solène mouille deux doigts et les introduit directement dans l’anus du professeur qui pousse un « Oh » de surprise mais apprécie la chose.

 

– Tu aimes mon doigt dans ton cul !

– Oui, oui, continue !

– C’est normal que tu aimes ça, tu es un petit enculé, non ?

– Si tu veux !

– Au moins t’es pas contrariant, toi ! Allez maintenant c’est à toi de jouer, je veux que tu m’encule aussi bien que tu as enculé Justin.

 

La belle se mit en levrette et attendis l’assaut, mais Martinov est subjugué par la beauté de son fessier dans cette position obscène.

 

– T’attend quoi ? La chute des feuilles ?

– Non j’admirais tes fesses, elles sont superbes ! Je peux lécher un peu !

– Mais bien sûr mon pépère !

Ours12

 

Alors le professeur se régale en humectant l’anus de la blackette de sa langue. Puis ne pouvant pas faire ça éternellement il s’encapota et la sodomisa.

 

L’affaire ne traîna pas, Solène était excitée à la fois par la situation et par les coups de boutoir que lui portait Martinov. Elle jouit dans un râle, il en profita pour accélérer et terminer sa petite affaire.

 

– Enlève ta capote, je vais te nettoyer la bite, j’adore lécher du sperme.

 

Un beau trip, mais ce qui rendit le professeur tout chose c’est quand Solène avant de quitter la chambre le gratifia d’un long baiser baveux.

 

Lundi 20 avril

 

Rémy reprit conscience avec la haine au cœur. Que signifiait cet acharnement avec lequel Caribou le harcelait ? Il avait fait ce qu’on lui avait demandé, alors il était où le problème ? Au fait que quand l’échafaudage était tombé, il y avait du monde dans la grotte. Une faute peut être mais pas de nature à justifier cette hargne contre lui.

 

Il ne comprenait pas, mais il lui semblait qu’il devait y avoir un autre rapport avec la grotte. Quel rapport ? Il lui faudrait le découvrir.

 

Alors il se dirigea en sa direction, ne vit rien mais ne s’avoua pas vaincu. Il s’assit en pleine nature à la façon des moines bouddhistes et attendit. Au bout d’une heure, peut-être davantage, il aperçut une silhouette s’agiter à la sortie de la grotte.

 

– Caribou ! Je ne sais pas comment il est arrivé là-dedans mais on dirait bien qu’il est coincé. Qu’il crève !

 

Au petit matin, souffrant de froid, de faim et de soif, Caribou commence à désespérer. Il ne voit aucune issue sinon la mort.

 

« J’attends encore un peu et j’essaierai de descendre, crever pour crever je préfère tomber dans le vide que de crever ici. »

 

Mais il n’arrive pas à se décider et passe une deuxième nuit comme la première.

 

Mardi 21 avril

 

Caribou comate. Il n’a aucune notion de l’heure mais perçoit d’étranges cliquetis métalliques, il se précipite au bord de la grotte, et aperçoit deux ouvriers casqués en jaune. Des types venant récupérer les éléments de l’échafaudage. Il crie, il gesticule et on finit par le voir.

 

– Venez me chercher, je suis coincé, je suis malade.

– Vous avez fait comment pour monter ?

– Peu importe, je ne peux pas redescendre, prévenez les secours.

 

Remy vit l’hélicoptère se diriger vers la grotte il s’approcha et pu voir les secours tracter le corps de Caribou.

 

– On est pas près de le revoir dans le coin, ce connard !

 

Il se rendit à la ferme, rencontra très brièvement Vicky et Mariette, les informant que si elles avaient besoin de ses services, il était toujours disponible.

 

Elle lui répondirent froidement que pour l’instant elles n’avaient pas besoin de lui et qu’il n’était vraiment pas souhaitable qu’il revienne trainer par là.

 

– Les femmes sont méchantes… ronchonna-t-il en s’en allant, dépité

 

L’hélicoptère emmena Caribou à l’hôpital de Briançon. On diagnostiqua une déshydratation et un état de choc. Quand les gendarmes tentèrent de l’interroger, ils renoncèrent assez rapidement.

 

– Vous n’avez pas de papiers ?

– Elles m’ont tout pris, les salopes

– Qui ça ?

– Vicky et Mariette elles se sont alliées avec la bourgeoise pour détruire la montagne.

– Hum, et comment vous êtes arrivé dans cette grotte ?

– J’ai grimpé.

– Mais pourquoi ?

– Pour protéger la montagne… On ne doit pas toucher à la montagne, la montagne c’est sacré, vous entendez ça : sacrée ! SACREE !

– On se calme !

 

On lui administra un sédatif, les interrogatoires suivants ne donnèrent rien, on l’identifia à l’aide de ses empreintes digitales, le type était connu des services de police pour des délits mineurs tous commis en région parisienne, mais n’était pas recherché. et au bout de quelques jours les médecins décidèrent son transfert en établissement psychiatrique.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 09:51

Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 11 – Au bonheur des brouteuses par Maud-Anne Amaro

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– On a un projet, on va t’expliquer, parce que maintenant que tu es là, tu vas nous aider.

– C’est quoi ? Demanda Dorothée avec appréhension

– On va acheter une chèvre et faire des fromages, on verra bien ce que ça donne. Donc on voulait l’acheter à deux, mais maintenant qu’on est trois…

– J’ai peut-être une autre idée ! La chèvre elle va s’emmerder, ce serait bien qu’elle ait une copine.

– Pas assez de sous.

– Je vais demander à mes bourges ! C’est combien une chèvre ?

– Dans les 100 balles

– Ils sont cinq, ils peuvent bien me filer 20 balles chacun.

– Pourquoi pas, tu t’occupes de ça ?

– Bien sûr !

– Alors viens nous embrasser.

 

Mais c’est que les bisous de Vicky ne sont jamais innocents… Parce que pendant l’étreinte les mains deviennent baladeuses, très baladeuses même !

 

– T’as baisé avec les bourges ?

– Oui et vous deux vous avez fait quoi avec Béatrice ?

– Elle ne t’as pas raconté ?

– Juste un peu.

– Si on allait sur le grand lit, on sera mieux pour se raconter des trucs ! Propose Vicky.

 

Mariette et Dorothée ne sont pas folles, elles savent très bien que sur le lit, elles ne vont pas se contenter de faire de la parlotte.

 

Ce sont les garçons qui ont encouragé les filles à développer leur tendances homosexuelles, mais le scénario était souvent le même, quand ces demoiselles se gouinaient, pas moyen de les laisser tranquilles, il fallait toujours qu’un mâle en rut se jette sur elles, la bite en avant. Elles étaient donc obligées de se planquer ou d’attendre que l’homme ait joui pour bénéficier d’un peu d’intimité féminine. Autant dire que dans ce contexte, faire du trio lesbien s’apparentait à une gageure.

 

Une fois sur le lit, les trois filles ne s’y couchèrent pas, et restèrent à genoux. Vicky et Dorothée se dégagèrent mutuellement un sein. Mariette derrière elles attendait son tour. Vicky lécha furtivement le téton de sa vis-à-vis, avant de la dépoitrailler complètement, tandis que Mariette cherchait les lèvres de la petite rousse.

 

Ces demoiselles n’arrêtent pas de se léchouiller les tétons et de se rouler des galoches et se débarrassent de leurs derniers vêtements.

 

Dorothée est vraiment le centre d’attraction du trio, et elle en ressent une grande fierté.

 

« C’est moi la vedette ! »

 

Vicky et Mariette font allonger Dorothée sur le dos et lui écarte les cuisses. Vicky vient alors lui doigter la chatte, tandis que Mariette l’embrasse et lui plote et lèche les seins. La main de Dorothée part à la rencontre de la chatte de Mariette et la tripote avec énergie.

 

Vicky retire ses doigts dégoulinant de mouille et les offre à lécher à Dorothée. La place devient libre pour Mariette qui se jette à son tour sur la chatte offerte, langue en avant.

 

Le ballet infernal se poursuit, Dorothée a soulevé son bassin rendant ainsi son anus bien visible. La vue de ce petit trésor attire irrésistiblement Vicky qui vient le butiner de sa langue agile, puis après les avoir mouillés, lui introduit deux doigts.

Ours11b

 

 

– Oh, oui, c’est bon ! Ramone-moi bien le cul, mon cul de salope !

– Comme ça ?

– Oui, encore !

– Conserve la position, je vais chercher le gode.

 

Il n’était pas bien loi et Vicky eut tôt fait de l’introduire dans le trou du cul de la jolie Dorothée, elle la pilonne ainsi pendant plusieurs minutes tandis que Mariette passée devant elle lui pelote les seins et l’embrasse. A ce régime la petite sauvageonne ne tarde pas à jouir bruyamment, laissant s’échapper un flot de mouille de son intimité.

 

Vicky retire le gode

 

– Regarde-moi cette salope, elle a tout dégueulassé le gode avec le jus de son cul.

– Fais voir ! Demande Mariette qui s’emparant du gode se met à le lécher avec gourmandise.

 

Vicky fait se retourner sa partenaire et se déchaine ensuite à grands coups de langue sur sa chatte.

 

En agissant ainsi, Dorothée ne tarde pas à jouir de nouveau. Les files s’embrassent encore une fois.

 

Vicky se met en levrette offrant sa chatte à ses deux amies. Mariette vient la branler tandis que Dorothée se place en dessous et recueille la mouille qui dégouline de sa chatte.

 

Après avoir joui, Vicky ne change pas de position, Dorothée comprend qu’elle va pisser, et c’est avec gourmandise qu’elle recueille ce nectar dans sa bouche, pendant que Mariette se termine toute seule comme une grande.

 

Dimanche 19 avril

 

Intéressons-nous un peu à Caribou toujours planté à quelques mètres de la cabane de Remy….

 

Les premières lueurs de l’aube apparurent rapidement, la visibilité s’améliorait, du coup le coq y alla de son cocorico matinal.

 

– Connard de volaille ! Pourvu que ça ne réveille pas l’autre débile !

 

Il avança prudemment à quatre pattes, trouva en chemin une grosse pierre qui irait bien et se retrouva devant la porte. Il la poussa, elle grinçât, mais elle ne s’ouvrit pas.

 

– Merde, il s’est barricadé !

– Y’a quelqu’un ? Gueula Rémy à travers la porte.

 

Caribou modifia son plan en conséquence, il ferait en sorte que Rémy ouvre sa porte et l’assommerait à ce moment-là. Il tambourina nerveusement.

 

– C’est qui, c’est quoi ?

– Police ! Répondit Caribou en prenant un accent vaguement bourguignon.

 

Rémy décadenasse la porte et sort muni d’un gros gourdin. Les deux hommes se font face, Rémy tient son bout de bois devant son visage, empêchant Caribou de lui jeter la pierre. Moment d’hésitation fatal, Rémy frappe violement son adversaire qui tombe dans les pommes.

 

– Qu’est-ce que je vais en faire ?

 

A Briançon, Corentin se morfond, il a conscience d’avoir été mauvais dans cette aventure, il ne pense pourtant pas être quelqu’un de méchant, mais ne dit-on pas que des situations particulières peuvent générer des comportements inhabituels ?

 

– Cette bande d’abrutis pourrait tout de même le comprendre, non ?

 

Ce n’est pas tellement la perte du contrat avec Justin Verrier qui l’attriste, des contrats, il en trouvera d’autres, mais la rupture avec Solène pour laquelle il s’était réellement entiché. Il se dit alors sans trop y croire qu’il pouvait toujours essayer d’arranger les choses.

 

Il commença par contacter la gendarmerie et leur annonça qu’il retirait sa plainte, ça tombait bien, les gendarmes n’ayant plus l’intention d’y donner suite.

 

Il envoya ensuite un message à Solène sur son téléphone :

 

« J’ai été complètement nul pendant l’épisode de la grotte, j’ai pété les plombs et je le regrette sincèrement, je te demande d’accepter mes excuses. J’envoie aussi un message en ce sens à Verrier en lui demandant de le faire suivre à Martinov et sa collaboratrice. Peut-être pourrions-nous oublier cet épisode malheureux et se rencontrer autour d’un verre ? ‘Je suis encore à Briançon. Je t’embrasse.

 

– Regardez ce que je viens de recevoir ! Lance Solène à la cantonade, attendez je vais vous le lire….

– Et tu vas faire quoi ? Demande ensuite Isabelle.

– Je ne sais pas trop. Ce mec se dit amoureux de moi, mais ce n’est pas réciproque. D’un autre côté il me paye bien…

– Je viens aussi de recevoir un message. Intervint Verrier. Je suppose qu’il veut récupérer son contrat, qu’il aille se faire foutre, je n’ai plus besoin de lui… et puis s’il croit que je vais oublier qu’il m’a pété la gueule !

– Il dit qu’il a pété les plombs… dit Solène

– J’m’en fous, je ne veux plus entendre parler de cet abruti ! Et toi Solène, tu vas faire quoi ?

– Solène elle réfléchit ! Beatrice je peux te causer cinq minutes ?

– Mais bien sûr ma biche !

 

Et les deux femmes gagnèrent le couloir..

 

– Je n’arrive pas à me décider.

– Et tu voudrais un conseil… tu sais les conseils c’est toujours délicat, c’est difficile de se mettre à la place des gens.

– Non c’est pas ça, ce qu’on a vécu m’a changé, l’épisode de la grotte, on s’en souviendra toute notre vie, mais c’est surtout tes coquineries qui m’ont changé.

– N’exagérons rien…

– Je ne suis pas née de la dernière pluie, je devais avoir des prédispositions, mais j’avais surtout des réticences, et hier j’en avais encore. Seulement cette nuit, je n’arrivais pas à dormir, alors j’ai fantasmé et dans mon fantasme, j’étais en train de te lécher la chatte.

– Alors ?

– Alors j’aimerais le faire pour de vrai.

– Et ça va t’aider à prendre une décision ?

– Qui sait ?

– Je ne voudrais pas te prendre en traitre il faut que tu saches une chose, on peut faire comme tu as dit, mais n’espère pas une liaison, Je ne m’attache pas.

– J’ai envie de te lécher, Béatrice ! Très envie !

– Une envie comme ça ?

– Oui je ne sais pas ce qui m’arrive…

– Ben on va arranger ça…

 

Il y avait pas mal de chambres dans ce gite, Béatrice s’en était choisi une pour elle toute seule et y emmena Solène.

 

Sitôt entrée dans la pièce, cette dernière se jeta dans les bras de sa nouvelle amie et l’embrassa avec passion.

 

– Eh bien, tu pètes la forme, on dirait ! Lui fit remarquer Béatrice.

– Ben oui ! On fait comment ?

– Ben on va commencer par se mettre à poil, mais attends, je vais te donner un coup de main.

 

Béatrice entreprend de lui défaire un par un les boutons de son chemisier.

 

– T’aurais pu te mettre quelque chose de plus décontracté pour venir à la campagne, S’amuse-t-elle.

– C’est Corentin, quand je l’accompagne il veut toujours que ce je dois BCBG, il parait que ça impressionne les interlocuteurs.

– Ah bon ! Oh le joli soutien-gorge !

 

Rouge et noir en fine dentelles.

 

– Tu ne l’avais pas encore vu ?

– Euh, j’ai pas dû faire attention, bon je dégrafe.

 

Elle le fait, puis tout en restant derrière Solène elle lui pelote les seins à pleines mains

 

– Hum, quelle belle poitrine ! Regarde-moi-ça ces petites tétons qui ne demande qu’à pointer ! Dit-elle en les serrant entre les doigts.

– Plus fort ! Pince-les, tortille-les.

– Tu ne vas me dire que tu es maso ?

– Juste un peu, Aie !

– Je t’ai fait mal ?

– Oui, mais je ne t’ai pas dit d’arrêter.

– Ah moi de t’enlever le haut ! Décida Solène après une petit moment.

 

Mais elle se contenta de retirer le tee-shirt de la belle chimiste, laissant à celle-ci le soin d’enlever son pantalon.

 

Le déshabillage mutuel continua ainsi jusqu’à ce que les deux femmes fussent nues.

 

– Allez, Béatrice, allonge-toi sur le lit, j’ai envie de m’occuper de toi.

– D’accord, mais je vais aller d’abord chercher une serviette…

– Une serviette ?

– Ben oui, la mouille ça tache !

 

Béatrice étant revenue et installée, Solène commença par la caresser partout, puis par lui téter ses bouts de seins. Ça tombait bien l’assistante de Martinov adorait que l’on lui tripote les tétons et cela lui provoquait des frissons de plaisir.

 

Au bout d’un moment Solène lui demanda de se retourner, tout simplement parce qu’elle avait envie de lui ploter les fesses. Elle les caresse, elle les embrasse, puis les écarte, veut jouer avec l’anus, mais y renonce. Elle n’est pas prête pour ça, pas aujourd’hui.

 

– Allez, remets-toi sur le dos, je vais te bouffer la chatte.

– Bon appétit !

 

Avant de s’installer dans la position adéquate, Solène regarde les doigts de pieds de sa partenaire manucurés en bleu gris fluo.

 

– Il est joli ton vernis ! T’a trouvé ça où ?

– A Paris un magasin qui fait du discount pour les produits de beauté, je sais y aller mais je ne n’ai pas mémorisé le nom…

– Tu crois que ça le ferais avec ma peau ?

– Y’a pas de raison.

– En tous cas ça te fait des jolis pieds !

– Embrasse les !

– Que je t’embrasse les pieds !

– Ben oui !

– T’as plein d’idées bizarres, toi ?

– On t’as jamais léché les pieds ?

– Non ! Un mec m’avait demandé, mais je ne l’ai pas fait.

– Juste un bisou !

 

Solène se penche et embrasse le dessus du pied droit.

 

– Comme ça ?

– Oui ! Essai de mettre le gros orteil dans ta bouche, et tu le suces comme si c’était une petite bite.

– N’importe quoi ?

– Ben quoi, tu peux bien essayer !

 

Elle le fait, prend tout l’orteil dans sa bouche et l’imbibe de sa salive…

 

– Tu me fais faire de ces trucs…

– Allez je ne dis plus rien, fais-moi ce que tu veux.

 

Elle vint alors entre les cuisses, de Béatrice, écarta ses lèvres et vint butiner se chatte. Evidemment Solène manquait cruellement d’expérience, mais une femme n’est-elle pas la mieux à même de guider une autre femme vers son plaisir ?

 

Et quand Béatrice commença à gémir sous la langue diabolique de sa partenaire, elle quémanda :

 

– Le clito, le clito !

 

Trente seconde après elle jouissait, dans une torrent de mouille.

 

– Finalement c’est délicieux de sucer de la chatte, ça ne vaut pas une bonne bite, c’est différent, mais tu m’as vraiment fait découvrir quelque chose !

 

Evidemment La moindre des choses que pouvait faire Béatrice était de lui rendre la pareille, et après un moment calme, quelques caresses, pas mal de bisous et une cigarette, elles se mirent à bavarder comme des pies.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 09:46

Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 10 – Les sauvageonnes par Maud-Anna Amaro

stamp lesbos douche

Les cinq minutes en durèrent bien vingt et c’est un peu fourbues qu’elles arrivèrent à la ferme de Closets où Vicky s’empressa de distribuer des grands verres d’eau fraiche

 

– Dis donc toi la bourgeoise, t’as pas un peu fini de me reluquer mes nichons. T’es gouine ? Commença Vicky.

– Oh ! Vous m’avez emmené ici pour me faire des réflexions ou pour m’expliquer votre cirque ?

– Calmez-vous toutes les deux, on n’est pas là pour s’engueuler ! Vicky, si tu veux pas qu’elle te mate tes seins, enfile-toi un truc.

– Je suis très bien comme ça !

– Faudrait savoir ? Bon alors j’explique : l’abruti qu’on a ligoté c’est Caribou, c’est lui qui a eu l’idée de foutre en l’air l’échafaudage de la grotte.

– Ah ?

– Nous, on était pas contre, on était même vachement pour. Seulement il a déconné, il a fait faire le travail par un abruti en oubliant de lui demander de vérifier si la grotte était occupée ou pas. Je passe les détails mais son attitude a fait éclater le groupe, on était six au départ deux sont partis chez vous, si on a tout compris et il y a eu un mort…

– Un mort ?

– Oui, sans doute par la faute de Caribou. Nous deux on s’est barré et puis on a changé d’idée on s’est dit que puisque Caribou devait être parti on serait aussi bien à la ferme. Seulement voilà Caribou est revenu, ça va, tu suis ?

– J’essaie ! Quelle salade !

– Il a pété les plombs, on a voulu le virer, mais il nous a menacé avec son flingue ! Tu te rends compte, nous menacer avec un flingue, faut être malade !

– On dirait bien. Répondit Beatrice qui s’en serait voulu de les contrarier.

– Donc on est entré dans son jeu et il nous a exposé son plan.

– Son plan ?

– Ben oui il voulait absolument faire quelque chose pour empêcher l’exploitation de la grotte, son plan c’était de prendre un otage qui serait libéré d’une part contre la restitution de Dorothée et d’autre part après que votre bande ait dynamité la grotte.

– Eh bien ! Cela dit on n’est pas une bande.

– Vous êtes quoi alors ?

– On a tous des fonctions différentes. La grotte est ornée de peinture sans doute gallo-romaine, je suis là pour voir comment les protéger…

– Et il voulait dynamiter ça, l’autre con ! Mais vous allez faire quoi maintenant ?

– J’en sais rien, répondit prudemment Beatrice, ce n’est pas moi qui a eu l’idée d’exploiter cette grotte.

– Et l’échafaudage il va être remplacé ?

– Je ne sais pas, le mec y réfléchi.

– Parce que tu crois que c’est beau d’abimer la montagne ?

– Non, c’est pas beau mais en fait je ne crois pas que ça l’abime, et en tous cas ça l’abime moins que ce que font les promoteurs dans les stations de sport d’hiver.

– On ne justifie jamais rien par le pire ! Déclara Vicky d’un ton péremptoire.

– Certes ! Bon, je peux y aller maintenant ?

– Bien sûr, c’est comme tu veux.

– Je ne risque pas de me perdre ?

– On va t’accompagner, on va faire un détour, inutile de repasser là où on a laissé Caribou. Précise Mariette

– Regarde encore une fois mes nénés puisque tu ne peux pas t’en empêcher, tu n’es pas près de les revoir. S’amuse Vicky.

– C’est dommage ! Répondit malicieusement Beatrice.

– Tu peux peut-être me répondre, maintenant. T’es gouine ou pas ? Et le prend pas mal je demande juste ça comme ça.

– Et toi ?

– Moi, ça m’arrive !

– Et bien moi aussi.

– T’aimerais me caresser les seins ?

– Ça ne me déplairait pas !

– Ben, fais-le !

– T’es sûre !

– Oui j’ai besoin d’une petite détente après toutes ces émotions…

– Tu veux juste une caresse ou une détente ?

– Caresse-moi, on verra bien.

 

Béatrice tend une main vers le sein ainsi offert et le pelote négligemment.

 

– Vas-y carrément, pince-moi le téton !

– Comme ça ?

 

Et comme Béatrice dispose de deux mains et que Vicky possède deux seins, ce n’est pas un téton qu’elle pinça mais deux ! Logique, non ?

 

– Mariette a une plus belle poitrine que moi, mais elle est timide et elle est moins gouine !

– N’importe quoi ! Répond l’intéressée.

– Ben alors montre tes nichons à… comment tu t’appelles d’abord ?

– Béatrice.

– Je les montrerais quand je voudrais !

– T’as tort, elle a les mains douces, et dis donc Béatrice, moi aussi j’aimerais bien voir les tiens.

– Ce n’est pas un problème ! Répond l’intéressée en se dépoitraillant.

– Hum ! Pas mal du tout, tu préfères lesquels, Mariette ?

– Les miens !

– Ben, montre-les !

– Quand je voudrais ! Je ne les montre pas à tout le monde !

– Béatrice n’est pas tout le monde ! C’est une otage que nous avons courageusement sauvé d’un sort funeste ! Au fait Béatrice tu aurais pu nous faire un petit bisous…

– Je peux même t’en faire un gros ! Répond-elle en approchant ses lèvres de celles de Vicky.

 

Comme le lecteur s’en doute, le baiser en question fut profond et baveux, les mains ne restèrent pas inactives, et quand Béatrice se dégagea ce fut pour aller de nouveau lécher les tétons de sa partenaire.

 

– Vous n’avez qu’à vous gouiner devant moi, faut pas vous gêner ! Persifle Mariette.

– Tu sais pas ? Soit tu nous rejoins, soit tu vas faire un tour !

– Mais non, je rigolais, j’arrive ! Roule-moi un patin, la bourgeoise, si tu veux voir mes nichons.

 

Voilà une proposition que Béatrice ne saurait refuser.

 

Les deux bouches se collent, la jolie chimiste en profite pour passer ses mains sous le débardeur, elle peut ainsi peloter les seins de Mariette qu’aucun soutien-gorge n’emprisonne.

 

Un étrange ballet s’organise entre les trois femmes, on s’embrasse à qui mieux-mieux, on se caresse et on se plote les nichons. Et ce jusque Vicky propose de continuer ces petites fantaisies sur un lit.

 

Les trois coquines enlèvent leurs derniers vêtements, Béatrice après toutes ces émotions a envie de rester passive du moins pour le moment et désire qu’on s’occupe d’elle. Elle s’affale donc sur le lit et attend l’assaut.

 

Il ne tarde pas, Vicky vient l’embrasser tandis que Mariette en attendant mieux lui caresse les épaules. Puis de façon quasi spontanée les deux petites rebelles se jettent sur les seins de Béatrice, le gauche pour Vicky, le droit pour Mariette. A ce jeu Vicky semble plus délicate que sa camarade, question d’appétence probablement.

 

Mais Vicky qui veut varier les plaisirs quitte le joli téton pourtant si agréable de notre belle chimiste pour descendre un peu plus bas, entre les cuisses et se régaler de l’humidité de sa chatte.

 

Béatrice ainsi doublement sollicité apprécie grandement, mais elle en veut plus, et soulève son bassin espérant que sa partenaire comprendra le signal.

 

Eh bien, oui, elle le comprend, tout en continuant à lui lécher la moule, sa main passe en dessous des fesses et quand le doigt atteint l’anus, elle le force.

 

Ah ! Elle aurait le mouiller avant ! Qu’à cela ne tienne, elle le met dans sa bouche, l’humecte de sa salive et recommence. Et cette fois le doigt entre bien dans le trou du cul de Béa.

 

– J’ai un gode si tu veux ?

– Oui, oui, va le chercher.

– Fais gaffe lui dit Mariette, elle va te le foutre dans le cul !

– Justement, j’adore ça !

– T’es vraiment une bourgeoise dépravée.

 

La réflexion n’était pas prononcée sur le ton de la méchanceté, mais elle agaça néanmoins Béatrice.

 

– Ecoute moi bien, je n’ai rien contre les bourgeoises, mais en ce qui concerne je me contente d’être ingénieur chimiste.

– Oh lala te fâches pas, je disais ça pour taquiner !

– Et puis dépravée, ça ne veut rien dire, j’aime le cul mais je ne fais de mal à personne.

– Tu sais que t’es belle quand tu te mets en colère !

 

Et sur ce Vicky revient avec le gode dans la main.

 

– J’ai eu du mal à le retrouver, qu’est qu’il foutait dans l’égouttoir à vaisselle ?

– Ben fallait bien le laver, non ?

 

Vicky se livre alors un petit jeu, portant le gode devant sa bouche, elle mime une fellation, avec jeu de langue et de lèvres.

 

– Hum ! T’aime ça sucer des bites, on dirait ?

– J’adore ! Mais on va être en manque, tous les mecs sont partis. Avant on partouzait comme des lapins, on s’éclatait bien…

 

Et soudain elle s’arrête de parler et se met à sangloter !

 

Béatrice interroge Mariette du regard.

 

– Elle repense à Louison, c’était son mec, il est tombé dans un précipice. Mais il n’est peut-être pas tombé tout seul.

– C’est cette ordure de Remy, il faudra qu’on lui fasse sa fête ! S’exclame Vicky en séchant ses larmes.

– Remy n’y est pour rien, il s’est défendu, Caribou voulait sa mort.

– J’espère qu’il est en train de bien en chier avec ce qu’on lui a fait.

– Bon tu veux aller te reposer !

– Non on va reprendre là où on était. Caribou nous a fait assez de mal comme ça, il va pas en plus nous empêcher de baiser, non ? Il est où le gode ?

 

Il avait roulé par terre, Vicky le ramassa, le revêtit d’un préservatif.

 

– Elle le veut dans le cul ! Lui souffla Mariette.

– Tourne toi, la bourgeoise !

 

Elle renonça à lui expliquer à elle aussi, qu’elle n’avait rien d’une bourgeoise. Après tout si ça les amusait de l’appeler ainsi…

 

– Oh, le beau cul ! S’exclama Vicky.

– Il te plait ?

– Je vais être obligé de le lécher !

– Je t’en prie, ne te gênes pas !

 

La langue de Vicky est diabolique, sa pointe furète tant et si bien l’entrée de l’anus que celui-ci finit par s’ouvrir.

 

– Hum, quelle odeur ! J’adore !

– Régale-toi ma grande.

– Tu veux gouter, Mariette ?

– Moi je ne lèche pas le cul des bourgeoises !

– T’as bien tort, c’est délicieux.

– Bon, puisque t’insistes !

 

Pas facile de faire un anulingus à deux langues, Elle essayent, en profitent pour se faire un petit langue contre langue, mais finalement opte pour le léchage alterné, bien plus pratique.

 

Et tout d’un coup, Vicky introduisit le gode et le fit aller et venir dans le conduit anal de la belle chimiste qui ne tarda pas à être envahie par des frissons de plaisir

 

Mariette qui ne savait pas trop où se placer et qui ayant complètement dépassée ses hésitations de tout à l’heure vint offrir sa chatte à Béatrice qui put ainsi de régaler de son jus.

 

La tension montait, Béatrice fut bientôt atteinte de spasmes et explosa sa jouissance, Vicky lui retira prestement le gode, la fit se retourner et vint lécher le jus qui dégoulinait de son entre jambe.

 

Mariette dépitée qu’on l’abandonna, commença à vouloir se finir à la main, mais Béatrice, bonne fille vint terminer ce travail un moment interrompu.

 

Et après que celle-ci eu jouit à son tour c’est spontanément qu’elle se précipitèrent toutes deux sur Vicky, la langue de Béatrice sur son téton, celle de Mariette plus bas.

 

Béatrice aurait bien fumé une clope mais elle n’en avait pas ayant été kidnappée avant de pouvoir en acheter.

 

– Nous on se les roule ! Lui dit Vicky

– Tu m’en roule une, je ne sais pas faire !

– Mais bien sûr ma chérie !

– C’est bien les bourgeoises ça, ne pas savoir rouler ses clopes ! Persifla Mariette.

– Oh toi ça va !

– Mais te fâche pas, on peut bien rigoler.

– Et sinon on pisse ou ici ?

– Dans la cour il y a une chiotte, mais c’est pas très ragoutant. Nous on fait dans une cuvette et après on jette.

– C’est très romantique ! Je peux avoir une cuvette ?

– Sinon tu peux me pisser dans la bouche, si c’est dans tes pratiques.

– Pourquoi pas ?

– Hé, mais c’est donnant donnant, après c’est moi qui te donnerais à boire.

– No problem ! Répondit Béatrice.

 

Elle sortirent afin de faire ça dans la cour. Vicky qui au passage s’était emparer d’une serviette, la déposa par terre avant de se coucher dessus, bouche ouverte.

 

Béatrice s’accroupit de façon à ce que sa chatte soit à quelques petits centimètres de sa bouche.

 

– Arrose-là bien, elle adore ça, cette trainée ! Commente Mariette de nouveau excitée.

Ours10

Béa avait une grosse envie et Vicky ne pouvant tout boire, en met un peu partout à côté. Quand la miction semble terminée Mariette vient embrasser son amie alors qu’elle a encore de la pisse dans la bouche.

 

– Si Madame veut bien prendre ma place sur cette serviette pleine de pisse… Se moque Vicky.

 

C’est donc au tour de Béatrice d’ingurgiter ce qu’elle peut de l’urine de la rebelle blonde.

 

– Je ferais bien un petit caca, maintenant. Ça t’intéresse ?

– Un petit peu !

– C’est vrai ? Tu aimerais que je te chie dessus ?

– Tu me le proposes, alors je te réponds « juste un peu ! »

– O.K. T’es vraiment une bourgeoise perverse !

– Je vous ai déjà dit que… et puis tant pis, si ça vous excite de m’appeler comme ça, tant mieux pour vous ! Alors Oui, je suis une bourgeoise perverse, je suis à moitié gouine, je bois de la pisse. Alors maintenant chie-moi dessus.

 

Vicky est de nouveau accroupie à califourchon au-dessus de Béatrice, mais cette fois elle est tournée visage vers les pieds et le cul au-dessus de la poitrine.

 

Spectacle extrême mais fascinant pendant lequel l’anus s’ouvre et commence par laisser passer un petit étron qui va rapidement grossir pour atteindre la taille d’un joli boudin, puis va se détacher et s’aplatir sur le corps de la receveuse.

 

– Bravo, c’était un joli boudin ! Commente Béatrice en se relevant après s’être débarrassée de ce cadeau insolite. Je voudrais me passer un peu d’eau, je peux faire ça où.

 

Il faut aller au puit qui est là tout près, tracter un seau d’eau et s’en asperger.

 

Et c’est ce qu’elles font toutes les trois, s’aspergeant d’eau en rigolant comme des gamines.

 

Une rencontre qui avait commencé de façon dramatique et qui s’est terminé dans une joyeuse bonne humeur…

 

– Tu reviendras nous voir ? Demande Mariette

– Je croyais que tu n’aimais pas les bourgeoises ?

– Justement, c’est ça qui est très pervers et excitant !

 

Quand Beatrice fit devant ses compagnons le récit de son kidnapping et de ce qui s’en suivit Dorothée réagit :

 

– Tu as eu de la chance. Il a vraiment fallu que Caribou soit dégueulasse pour que les deux nanas retournent leur veste ! Mais moi je suis contente, j’ai eu ma vengeance, le Caribou il a dû se taper la trouille et la honte de sa vie, j’espère que ça va bien le traumatiser. Dis-moi ça s’est passé comment ensuite avec les filles ?

– Elles ont été adorables !

– Bon, je vais aller les rejoindre, j’espère qu’elles voudront de moi, sinon j’irais voir ailleurs. Je vais me préparer, je vous remercie tous de votre accueil vous avez été vraiment sympas.

– C’est nous qui te remercions ! Lui répond Isabelle, sans ton intervention on serait en train de pourrir dans la grotte.

– Ce n’est rien, je compte sur vous pour ne pas défigurer la montagne.

– Ne t’inquiètes pas l’ascenseur, on ne le verra même pas. Répond Justin.

– Vous ne m’en voulez pas pour la boulette que j’ai fait à propos de Georges ?

– On ne t’en a jamais voulu !

 

Alors Dorothée fit une grosse bise à tout le monde et s’en alla vers son destin .

 

– Quand même pour l’ascenseur, tu lui as répondu n’importe quoi ? Dit alors Isabelle à son compagnon

– Mais pas du tout, l’ascenseur je vais le végétaliser, quelques branches d’arbres tout autour, et ce sera très coquet !

 

Caribou se demande comment il va s’en sortir, il tente de se défaire ses liens en effectuant des mouvements de poignets, mais la chose s’avère compliquée. Il réussit à se mettre debout et à recracher le mouchoir en papier qu’il a dans la bouche. Mais marcher dans la nature sans chaussures devient très rapidement un insupportable supplice, d’autant que ses bras liés ne peuvent éviter les branches basses d’attaquer son corps. Mais le pire c’est le sexe, une branche passe encore, mais plusieurs… il comprend alors pourquoi les peuplades primitives se baladent avec un pagne, ce n’est pas par pudeur, mais pour se protéger la bite.

 

Il s’arrête rapidement, les nerf à vifs et les pieds en feu.

 

Il se dit que la première chose à faire est d’essayer de se débarrasser de ses liens, il s’assoit maladroitement et commence une série de torsions destinées à les distendre, les nœuds n’étant pas compliqués l’opération reste possible mais fastidieuse, ce n’est même pas du millimètre par millimètre, c’est moins que ça.

 

Au bout de deux heures, peut-être plus puisqu’il n’a aucune notion du temps, le lien se lâche. Un problème est donc résolu, reste les autres, il lui faut se protéger la bite et les pieds. Avec les lambeaux de son tee-shirt il se confectionne des bandelettes qu’il enroule autour de ses pieds. Peu satisfait du résultat, il recommence en y incorporant des morceaux de fougères.

 

« Ça ne va pas tenir longtemps cette affaire-là ! »

 

Reste son zizi. Il tente de se confectionner un pagne, mais n’y parvient pas.

 

– Tant pis, je me protégerai avec mes mains.

 

Pendant qu’il s’escrimait à se libérer de ses liens, il en a profité pour réfléchir, il pensait d’abord revenir à la ferme et affronter les filles, mais il trouva la chose par trop hasardeuse, non, il irait surprendre Rémy, mais sans le défier, il attendrait qu’il dorme et là il lui donnerait un grand coup de pierre sur la tête puis lui piquerait fringues et chaussures.

 

Le problème c’est qu’il lui faudrait attendre longtemps, la nuit n’étant pas près de tomber. Parvenu sur place, il examina d’un peu loin la porte de la cabane, il ne lui semblait pas qu’elle soit dotée d’une quelconque serrure. C’était déjà ça !

 

En attendant, ben en attendant, il était bloqué. Pas question d’aller faire un tour en attendant, ces ersatz de chaussures finiraient par le lâcher.

 

Fourbu et choqué, les images de son agression par les filles lui revenant sans cesse en boucle, il finit par s’endormir d’un sommeil agité de cauchemars.

 

L’un deux le réveilla, il faisait nuit noire. Il attendit en vain que ses yeux s’habituent à l’obscurité.

 

– Merde je fais comment ?

 

Il tenta d’avancer mais la chose s’avéra trop hasardeuse.

 

Alors il eut l’idée d’attendre l’aube en espérant qu’à ce moment, Rémy dormirait encore. En attendant, il lui faudrait supporter le froid nocturne de la montagne, ainsi que la soif et la faim qui le tenaillaient. Il s’assit, les genoux contre le torse maintenus par les mains.

 

– Je ne vais pas m’en sortir, je vais attraper la mort… et je ne peux rien faire.

 

Dorothée atteint la Ferme des Closets avec appréhension, elle se demande si Mariette et Vicky ne vont pas la jeter. Si c’est le cas, elle a « plan B », mais il n’a rien de reluisant, ce sera de demander aux occupants du gite de l’accompagner à la gare de Briançon, alors là elle prendrait le train sans payer… la galère en perspective quoi !

 

– Hello ! Y’a quelqu’un crie-t-elle une fois dans la cour.

– Tiens, t’es là, toi ? Répond Mariette en ouvrant la porte.

– Ben oui et je suis là !

– Et tu veux quoi ? lui demande Vicky qui vient de sortir à son tour.

– Reprendre ma place.

 

Mariette et Vicky échange un regard, en fait elles ne comprennent pas bien.

 

– Il s’est passé quoi ? T’étais pas bien chez les bourges ?

– J’étais très bien, mais la question n’est pas là, je veux pas être à leur charge, et puis nous ne sommes pas du même monde même s’ils ont été super sympas.

– Ecoute, on ne va pas t’empêcher de retrouver ta place, mais tu es sûre que ça va marcher nous trois ensemble ? Lui répond Vicky.

– On verra bien, et puis je voulais aussi vous remercier

– Nous remercier de quoi ?

– Je voulais que les bourges m’aident à me venger de Caribou, j’estimais qu’ils me devaient bien ça puisque c’est grâce à moi qu’ils sont encore en vie.

– Ah bon ?

– Je vous expliquerais… Je leur ai demandé de m’aider à me venger de Caribou, ils n’étaient pas contre l’idée mais ils ne savaient pas trop comment opérer. Et puis Béatrice m’a tout raconté, c’est vous qui m’avez vengé, Merci ! Merci !.

– Ce n’est pas toi qu’on a vengé, c’est nous !

– Mais encore !

– On s’est rendu compte que Caribou pétait complètement les plombs, déjà l’histoire de la grotte, c’était limite, mais il a voulu tuer Remy.

– Quoi ! Béatrice m’a dit qu’il y avait eu un mort mais…

– C’est Louison qui est mort ! Sanglote Vicky

 

On lui raconte, l’émotion du moment fait s’étreindre Vicky et Dorothée.

 

– Bon allez, rentre. Il reste un peu de vodka tu en veux ?

 

Bref tout ça se passait dans une bonne ambiance.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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