Jeudi 5 août 2021 4 05 /08 /Août /2021 16:38

Laticia, ma mère et moi par Irénée Vardin

Stamp mature

Je m’appelle Robin, j’ai 23 ans et suis étudiant en médecine. J’ai couché avec ma mère pour la première fois il y a 6 mois, nous revenions d’une réception ennuyeuse et nous avions pas mal picolé. Ce fut un concours de circonstances, ma mère portait une robe dont le décolleté m’avait profondément troublé et elle était troublée par mon trouble. A la maison que nous habitions seuls tous les deux, on était assis l’un contre l’autre, quelques caresses… elles devirent osés, par jeu je plongeais dans le décolleté, ma mère ne protesta pas, j’attrapais un téton, elle me toucha la braguette, quelques minutes pus tard nous étions tous les deux nus sur le lit et après quelques préliminaires buccaux, je l’ai baisé.

 

Il ne s’en est suivi aucune honte, nous étions des adultes consentants et nous avons recommencé.

 

Mais depuis la rentrée, je n’ai eu que deux soirées torrides avec ma mère. Ça ne me suffit plus. Rien qu’à regarder son cul quand elle marche ou à voir ses tétons qui pointent à travers sa chemise de nuit le soir, ça me rend dingue.

 

Mon attirance pour son corps tourne à l’obsession. Je ne peux quand même pas lui sauter dessus tout le temps. Surtout que nous arrivons encore à être réservés malgré tout ce qui s’est déjà passé.

 

Plus on avance, et plus j’ai l’impression que ma mère change, elle est plus souriante, elle rigole de mes blagues sans arrêt, elle laisse la porte de la salle de bain ouverte quand elle se douche, bref que de bonnes choses. Quant à moi, comme ma mère travaille, je ne la vois principalement que le soir et les weekends.

 

Pendant la journée, je potasse ma médecine, et surtout j’attends impatiemment son retour.

 

La voilà, elle rentre épuisée de sa journée et de sa semaine, ma mère travaille d’arrache-pied dans un cabinet d’assurances, elle gagne très bien sa vie. Evidemment quand on suce le patron, ça facilité l’avancement !

 

Bref. La voilà, je lui sers un verre d’eau et nous discutons un peu, de son travail, de ce que j’ai fait de la journée. Elle est fatiguée, ce n’est pas la soirée idéale pour tenter quelque chose avec elle, zut. Après sa douche, elle se couche au premier dans sa chambre. Quant à moi, je regarde la télé en bas. J’avais tellement envie d’elle ce soir, je ne vais quand même pas la forcer, c’est pas mon genre ni celui de ma mère.

 

Il fallait quand même faire passer mon envie. Je décide donc de me masturber, je monte à pas feutrés chercher une revue d’histoires érotiques avec plein de bon récits y compris d’inceste, je jette un coup d’œil dans la chambre de ma mère, elle a l’air de dormir, je redescend donc, direction le canapé pour une bonne masturbation. Je trouve mon bonheur avec un bon récit d’inceste qui met en scène un fils, sa mère et sa tante. Ils font des parties à trois, l’histoire est assez cochonne, avec des fessées et du pipi. J’agite donc ma main autour de mon membre quand j’entends ma mère me parler:

 

– Tu n’en a jamais assez, tu es un vrai cochon !

 

Je suis honteux, ma mère est en face de moi, elle a l’air si fâchée. Elle reste là, à me regarder, le visage tiré. Tout d’un coup elle se met à rire et me dit :

 

– Tu lis quoi ? C’est quoi ce magazine ?

 

Elle plaisantait donc. Alors, débandant, je lui montre, elle vient s’assoir près de moi.

 

– Tu lisais quelle histoire ?

 

Je lui montre, elle se met à la lire.

 

– Ça te plairait ces choses ?

– Fessées, pipi, on a déjà fait, mais un trio ce serait bien.

– Sans doute ? Mais désolé je n’ai pas de sœur pour réaliser ton scénario

– Pourquoi, tu serais d’accord pour faire des choses avec une femme et tous les trois on ferait des trucs ?

– Pourquoi pas ? me répondit-elle

 

Sa réponse me surpris. Ma mère deviendrait-elle une véritable obsédée ?

 

– Sur cette bonne parole, je vais me coucher, je suis crevée, bonne nuit

 

Une fois ma mère repartie, j’achevais enfin cette masturbation. Le lendemain, c’était samedi. Il fallait que je sache jusqu’où ma mère était prête à aller.

 

– Dis maman, tu sais ce dont on parlait hier soir, tu es toujours d’accord ?

– Oui, pourquoi ?

– Je me demandais juste avec qui, on pourrait faire ça ? A qui demander ?

– Personne autour de nous en tous cas, la relation que nous avons doit rester cachée.

– On ne fait pourtant de mal à personne..

– Je sais bien, mais va expliquer ça aux gens, toi !

 

Et puis vint l’idée géniale de ma mère, le journal gratuit que l’on ramassait chez le boulanger était rempli de petites annonces de dames dans la rubrique masseuses. Ma mère voulait choisir une prostituée ! Fallait en choisir une dans ces deux pages remplies. Il y en avait pour tous les goûts, les textes en disaient long… âge, propositions implicites, couleur de cheveux, tour de poitrine, téléphone…

 

Après une première sélection de ma mère, je me suis mis à téléphoner, une dizaine de femmes ne faisaient que les hommes, c’est à la deuxième page que j’ai eu une réponse positive. Cette annonce plaisait assez à ma mère, il était écrit Laticia, la quarantaine TP95 reçoit ou se déplace… Au téléphone, cette charmante dame m’a même donné ses tarifs. Je lui ai donné notre adresse, lui demandant expressément de ne pas garer sa voiture en face de chez nous et de ne pas être habillée tapageuse pour ne pas éveiller les soupçons des voisins. Alors elle me dit que c’était plus cher pour tout ça. Nous étions d’accord pour le prix, elle venait ce soir à 20 heures. La seul chose que je ne lui ai pas dite, c’est que nous étions mère et fils.

 

Tout au long de la journée, ma mère n’arrêtait pas de me dire:

 

– Je sais pas si on a bien fait…

 

La soirée approchait. Toute la journée, je n’ai pensé qu’à ça. Je pense que ma mère aussi. 19 h 30, Nous sommes tous les deux au salon, l’attente est interminable ! 20 heures. Toujours personne 20 h 15. On sonne à la porte, je vais ouvrir. Laticia est assez grande, elle porte un tailleur qui met ses formes en valeur, elle est brune, cheveux courts, de larges hanches un peu comme ma mère. Je la fait entrer au salon. Elle s’assied sur le canapé. Embarrassée, ma mère lui dit:

 

– Excusez-nous, c’est la première fois que nous faisons appel à quelqu’un, vous faites souvent ce genre de choses ?

– Pas souvent à trois mais ça arrive, je peux vous expliquer comment je travaille… Mais avant toute chose, nous avons une tradition dans notre profession, le client doit payer d’avance.

– L’enveloppe est sur la cheminée.

 

Je sers un verre ensuite elle commence son discours sur le préservatif obligatoire. J’accepte, je n’ai pas trop le choix ! Et puis arrive la grosse question histoire de faire connaissance :

 

– Vous êtes ensemble dans la vie ?

– Nous sommes amants depuis quelques temps mais il y a quelque chose qu’il vous faut savoir. Robin est mon fils et ce n’est pas facile de trouver quelqu’un qui n’en parlerait à personne. Répond ma mère.

– A vrai dire, je m’en doutais, vous vous ressemblez, vous pouvez compter sur ma discrétion, c’est compris dans le prix. Répondit Laticia:

 

Ouf, elle acceptait donc !. Une fois au premier, les choses sérieuses ont commencé. Encore habillés, nous l’écoutions attentivement. Nous devions d’abord tous passer à la salle de bain se laver les parties intimes. Laticia nous demanda où se trouvait la salle de bain, elle y alla d’abord seule. Nous attendions et puis elle appela ma mère. Ma mère alla la rejoindre, Laticia était déjà nue, ma mère se déshabilla et c’est Laticia qui lava le sexe de ma mère avec un gant puis l’essuya délicatement.

 

Puis est venu mon tour, même scénario, elle me lava le sexe. Je pensais que j’allais défaillir tellement ses seins étaient gros et pendaient. Ses auréoles étaient plus larges que ceux de ma mère et ses tétons plus petits. Sa chatte était bien rasée, je ne voyais qu’une fine ligne de poils.

 

Nous voilà tous les trois debout à côté du lit dans la chambre de ma mère. Laticia:

 

– Bon, mon grand, voilà comment ça va se passer, je vais commencer par m’occuper de ta maman, regarde-nous pour te mettre en forme !

– Ecoutez, c’est la première fois que je fais ça, alors … répond maman

– Ne vous en faites pas !

 

Elle avait l’air cool, c’était rassurant. Ma mère se couche et Laticia vient la rejoindre et commence par l’embrasser, je n’en crois pas mes yeux. Elles se lèchent et se sucent la langue, puis Laticia descend lui sucer les gros bouts, c’est excitant à mort ! Ensuite elle descend doucement lui lécher sa grosse touffe.

 

– Ta maman a très envie on dirait, elle est toute mouillée, viens me donner un coup de main mon grand.

 

J’arrive donc, Laticia était remontée aux seins de maman. j’entrepris donc seul cette minette. Je léchais ma mère et je regardais le spectacle en même temps. Elle suçait les seins de ma mère. Ma mère gémissait à mort !. Puis Laticia me dit:

 

-Regarde ta maman mon grand, je crois qu’elle a très envie que tu lui fasses l’amour.

00 Laticia

Alors, elle me mit un préservatif et me suça un peu le sexe, elle était très douée. C’est Laticia qui a guidé ma bite dans la fente de maman. Je commençais donc à lui faire l’amour. Pendant ce temps, Laticia mettait ses gros seins au-dessus de la bouche de ma mère. Ma mère suçait les tétons d’une femme, quel bonheur de voir ça ! Puis elle mit sa chatte sur le visage de maman. Juste en face de moi, je voyais clairement la langue de ma mère qui donnait des coups de langue sur le clito de Laticia.

 

J’ai dû me retirer tout de suite sinon j’allais jouir tellement le spectacle était intense. Je suis même sorti de la pièce, je n’osais plus les regarder tellement je pensais jouir rien qu’en les voyant toutes les deux. J’étais maintenant dans ma chambre, j’entendais encore ma mère gémir. J’ai réalisé à ce moment-là que nous avions été beaucoup trop loin et que ma gentille maman était prête à tout pour réaliser mes fantasmes.

 

Quelques minutes passèrent, mon érection s’était calmée un peu et j’avais toujours cette foutue capote sur mon sexe. Bon, j’y retourne. Arrivé dans la chambre, il y a avait une forte odeur de mouille. Laticia était couchée jambes écartées et ma mère lui broutait le minou tout en lui doigtant le trou du cul

 

– Ah, te voilà enfin me dit Laticia. Viens près de nous, on va s’occuper de toi mon grand.

 

Je me couche à côté d’elles, mon sexe est hyper tendu. Voilà Laticia qui me change de capote. Les voilà toutes les deux en train de me sucer la bite à tour de rôle. J’essayais de penser à autre chose pour faire durer le plaisir mais en vain, j’ai dû leur demander d’arrêter sinon j’allais jouir.

 

Elles se sont donc remises l’une sur l’autre à côté de moi. Ma mère était sur Laticia, elle lui léchait, lui suçait les seins. Je ne participais plus, j’étais devenu spectateur de cette scène de gouines. Voir ma mère comme ça, c’était géant ! Je les ai regardé se manger pendant au moins 5 minutes avant de revenir à l’action. Ma mère était couchée, Laticia était sur elle et me dit :

 

-Tu sais ce qui serait bien mon grand, c’est que tu fasses l’amour à ta maman et que tu jouisses en elle.

 

Maman m’enleva ma capote et se mit à quatre pattes au-dessus de Laticia. Elle suçait les gros bouts de maman pendant que je la pénétrais, c’était torride!

 

– Peut-être que tu aimerais qu’il t’encule ? Demande Laticia à ma mère

– Oui, oui !

 

J’ai changé de trou et j’ai joui comme un fou dans son cul, et quand j’en suis sorti ma mère m’a nettoyé la bite avec délectation..

 

Crevés, nous avons fini par une embrassade à trois langues. Maman a remercié Laticia qui s’en est allée à minuit avec notre secret. Je me demande maintenant ce qu’elle est devenue et si elle fait encore ce métier.

 

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Irenée Vardin
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Jeudi 5 août 2021 4 05 /08 /Août /2021 16:34

Ma mère est un peu pute par Irenée Vardin

Stamp Mature Sodo

Salut ! Je suis Marc, j’ai 25 ans et j’habite encore chez maman, Nous ne sommes que tous les deux à la maison.

 

Par une belle journée d’été, la clarté du soleil causa mon réveil prématuré. Le cadran indiquait qu’il était à peine sept heures du matin. Je m’aperçus que ma mère avait remarqué que je dormais tout nu, car quand j’ai regardé vers ma porte et je l’ai vu s’enfuir. Comme j’étais excité, je décidais de rester nu un bout de temps. Je me promenais dans ma chambre, je suis allé vers ma commode pour commencer à m’habiller. Ma mère est rentrée dans ma chambre, elle est restée un peu surprise de me voir tout nu. Je voyais ses yeux qui regardaient mon pénis, ses yeux s’illuminaient et je savais que je l’excitais.

 

Elle me dit :

 

– Marc, tu sais que je ne suis pas faite en bois, toi tu es jeune et beau et je suis ta mère.

– Oui mais maman j’ai le droit d’être nu, je n’ai pas honte de mon corps.

– Justement tu es mon fils et en ce moment tu as sûrement remarqué que j’étais excitée.

– Oui, mais j’aime être nu.

– Je sais, moi aussi j’aimais être nue, mais ça fait tellement longtemps de ça. Et ça fait longtemps que je n’ai pas baisé.

– Ok, je vais essayer de faire attention à l’avenir.

– Merci chéri.

– Bon je vais aller prendre mon bain.

 

J’étais dans le bain, je pensais à ma mère qui m’avait surpris tout nu et puis là j’ai commencé à me masturber lentement. Je pensais à elle comme si elle était à côté de moi à me regarder me masturber. Je l’imaginais, assise sur la cuvette des toilettes qui me disait : vas-y, touche-la ta queue, n’es pas peur de te branler, caresse-toi les testicules tout en te branlant. Comme j’allais venir, je l’entendais me dire : éjacule pour maman, éjacule pour ta mère. Puis là j’ai eu un gros orgasme intense, par la suite je me suis relaxé dans le bain, c’était tellement bon. Pendant le reste de la journée j’y pensais encore. Le soir venu, je me suis dévêtu et je suis allé me coucher.

 

Le lendemain sans même y penser, je me suis levé pour aller m’habiller et puis tout à coup ma mère m’a encore surpris mais cette fois-là j’étais tellement bandé, l’érection matinale, la queue gonflée au maximum. Elle m’a dit :

 

– Ah non, Marc, cette fois j’ai trop de mal à résister. Une queue bien bandée, jeune et en plus celle de mon fils. Hé ! En plus de cette belle flèche t’as des belles testicules.

– Maman ce n’est pas de ma faute si j’ai une érection, tu n’as qu’à pas regarder.

– Facile à dire mais difficile à faire pour une femme de mon âge.

– Même si tu es dans la quarantaine, tu es encore belle et tu attires sûrement les garçons de mon âge.

– Comment peut tu en être si sûr?

– Est-ce que je peux te parler en toute franchise?

– Mais oui fiston vas-y.

– Je ne les ai pas vraiment vu mais je peux constater que tu as de jolis seins, de belles fesses pas trop grosses et sûrement une belle grosse chatte juteuse.

– Oh, j’aime comment tu me décris, merci.

– Il y a une chose que j’aimerais beaucoup te demander, tu vas peut-être trouver ça stupide.

– Vas-y chéri, n’ai pas peur.

– OK. Je voudrais que ce soit toi qui me rase les poils pubiens et les testicules, j’ai confiance en toi et c’est toi qui est ici en ce moment.

– Je pensais pas que tu me demanderais ça à moi, je veux dire à ta mère, mais si ça peut te faire plaisir en une quelconque manière, je suis d’accord.

– Merci maman. Est tu sûre que tu pourras résister ?

– Non, je suis pas sûre mais je vais essayer.

– Est-ce qu’on peut le faire avant que je prenne mon bain?

– Oui, va te préparer j’irais te rejoindre.

 

Je suis allé dans la salle de bain, je me suis dévêtu et je me suis assis sur la cuvette des toilettes. J’étais excité à l’idée que ma mère allait me raser la queue. Après deux ou trois minutes ma mère est arrivée dans la salle de bain avec le rasoir électrique. Elle s’est mise devant moi à genoux et ma dit de m’écarter les jambes. Elle a commencé à me raser, je voyais qu’elle allait un peu vite car elle avait du mal à résister. Pour me raser les testicules, elle a dû prendre mon pénis dans sa main et le soulever. Là je sentais que j’allais bander mais j’essayais de me retenir. J’ai commencé à bander, ma mère avait presque terminé, et elle a pu sentir ma queue en érection entre ses doigts. Elle m’a dit que je pouvais prendre mon bain et elle est vite partie.

 

Je me suis fait couler un bon bain chaud, pendant ce temps je me suis regardé dans le miroir. J’examinais ma queue fraîchement rasé, je la trouvais différente mais elle me donnait envie de me branler . Alors je suis entré dans la baignoire, j’ai commencé à me masser les testicules lentement. J’ai fermé les yeux et j’ai commencé à me masturber en pensant à mère. J’imaginais que je la voyais dormir nue, alors je me suis approché d’elle, j’ai poussé un peu la couverture pour apercevoir une belle grosse chatte. J’ai approché le visage tout près pour pouvoir la sentir, elle sentait si bon et cela m’excitait au maximum. Quand j’ai frotté mon doigt contre ses lèvres, je sais pas pourquoi mais j’ai ouvert les yeux, j’ai eu une belle surprise. Ma mère était juste là, en train de me regarder me masturber, j’avais les jambes écartées, la main autour de mon pénis en érection, l’autre main qui me tenait une fesse et un peu de sperme sur le bout de mon gland. J’étais tellement gêné, puis ma mère a dit que c’était pas grave , que je pouvais continuer à me donner du plaisir et qu’elle aimerait me regarder faire. Sans même y réfléchir j’ai répondu oui, ma mère est venue s’asseoir sur la cuvette des toilettes et s’et mise à pisser. Le bruit de son pipi m’a rendu fou et j’ai continué tout en regardant ma mère. Elle m’a dit :

 

– Vas-y chéri, fais-le pour maman !

– Oh maman, c’est bon, hum !

– T’aime ça te masturber en pensant à moi?

– Oh oui maman. T’aimes me voir me branler ?

– Oui fiston, tu m’excites tellement… Regarde les seins de maman.

– Oh maman ils sont superbes, caresse-toi les seins pour moi. Pince-toi les bouts…

– T’aime ça hein?

– Ah, j’en peux plus, je vais décharger.

– Attends, je veux goûter à ton foutre.

 

Elle colla ses lèvres sur mon gland et avala tout mon sperme. J’étais tellement content que ma mère ait voulu me regarder, je voulais rester avec ma mère aujourd’hui car je savais qu’elle serait tellement excitée, mais je devais partir travailler.

 

Le lendemain matin, je me suis réveillé, il était à peine huit heures du matin, on était le jour de la Saint-Valentin. Je me suis aperçu que quelqu’un avait enlevé les couvertures et que j’avais dormi tout nu aux yeux de tous. Ma mère était dans le bain, alors je me suis habillé pour aller au tabac acheter des cigarettes. Quand je suis revenu, je suis allé dans ma chambre regarder la télé. À neuf heures ma mère est rentrée dans ma chambre et elle m’a dit que je méritais d’avoir mon cadeau de la Saint-Valentin. Je lui ai demandé ce que j’allais avoir, elle m’a dit de lui faire confiance. J’étais étendu sur mon lit, elle s’est approchée de moi, elle m’a enlevé mon tee-shirt. Elle m’a déboutonné mon pantalon pour me le retirer. Elle a baissé mon boxer pour dévoiler mon pénis, j’étais encore tout nu devant elle. Elle me dit :

 

– Enlève mon soutien-gorge, Marc !

– OK maman. T’as de beaux seins.

– Merci, enlève mon jeans maintenant et mon string.

– Ta chatte est tellement belle et elle sent bon.

– Bon, maintenant laisse-moi faire.

 

Ma mère prit ma queue entre ses doigts, elle bandait dur, elle me masturbait lentement. Je ne pouvais pas y croire, ma mère était en train de me branler. Elle ouvrit la bouche et me confia :

 

– Cela fait tellement longtemps que je souhaitais avoir cette belle queue entre mes doigts.

– Je sais maman, mais maintenant tu peux quand tu veux.

– Est-ce que t’aime que maman te masturbe?

– Oh oui, continue, frotte-moi le gland.

 

Sa min passa derrière moi et je sentis un doigt me pénétrer l’anus.

 

– Tu aimes ça ?

– Oui, maman, c’est très bon !

 

Après quelques minutes.

 

– Ho maman, je crois que je vais venir.

– Vas-y mon fils, décharge pour moi.

– Hum! Hum! c’était bon, j’adore quand tu me masturbes.

– Je sais que t’as aimé ça. Maintenant c’est à mon tour d’avoir du plaisir. Tu vas me doigter la chatte.

– Avec plaisir maman.

 

Je me suis mis à genoux devant elle, je lui ai dit de s’écarter les jambes. J’ai levé ses jambes en l’air et j’ai mouillé mon doigt, je l’ai approché près de ses lèvres inférieures et je l’ai enfoncé dans sa chatte lentement jusqu’au fond. Par la suite j’y ai introduit une deuxième et même un troisième doigt avant qu’elle me dise :

 

– Ah, mets ta langue dans ma chatte, pénètre-moi avec.

– Est-ce que c’est bon comme ça ?

– Ah oui chéri, continue.

– Ta chatte est toute juteuse.

– C’est normal, je vais venir. Ah, je jouis…

 

On a repris de nos esprits, on s’est détendu. Quand je me suis réveillé, il était temps d’aller travailler. Il était onze heure du soir quand je suis revenu à la maison.

 

J’ouvre la porte, je vais vers le salon, je n’ai vu personne dans la maison. Je suis allé dans ma chambre pour regarder la télé, comme il y avait rien de bon, j’ai décidé de mettre un film porno. Le film était commencé depuis dix minutes, à l’écran on voyait une femme dans la cinquantaine qui suçait un jeune homme. Tout à coup, ma mère était à la porte de ma chambre, elle m’avait surpris en train de regarder ce film de cul. Elle est rentrée, elle est venue s’asseoir à côté de moi sur le lit. Elle m’a dit que ce soir, elle voulait que ce soit spécial car elle savait que j’allais devoir partir demain pour un mois à cause du travail. Je lui ai dit :

 

– C’est une très bonne idée, moi aussi j’ai envie de passer la soirée avec toi.

– O .K. mais tu vas nous laisser ce film, car cela fait longtemps que j’en ai pas vu un.

– Maman, est-ce que t’aimerais qu’on commence par fumer un joint?

– Ouais, c’est une bonne idée, ça fait longtemps ça aussi.

– Bon ben ok je vais le rouler.

– Pendant que tu fais ça, je vais aller nous chercher deux grands verres de bière.

– Oui, c’est parfait.

 

J’ai eu le temps de rouler le joint avant qu’elle arrive et même un deuxième. J’ai vu ma mère arriver devant ma porte, elle s’était changée pour mettre sa robe de chambre. Elle tenait deux verres à la main et une grosse bière dans l’autre. Elle déposa le tout sur la table et retourna dans l’autre pièce. Quand elle est revenue, elle avait les main derrière le dos et me dit:

 

– Marc, enlève le film parce que j’ai une surprise pour toi que j’ai acheté hier.

– Ha oui, c’est quoi?

– Regarde, c’est un film porno. J’ai pensé que ça te plairait parce que c’est l’histoire d’une mère et de son fils. Alors on le met ce film ?

– Bien sûr . On fumera le joint en le regardant.

– Ouais, allume-le , moi je vais remplir nos verres.

 

Ma mère a mis le film dans le lecteur, moi j’ai allumé le joint et elle est revenue s’asseoir à côté de moi sur le lit. On fumait le joint et tout à coup le film à commencer c’était une mère dans le bain avec son fils qui pour l’instant se lavent mutuellement. Au bout d’un moment la mère se lève et se met à uriner dans la bouche de son fils.

 

– Oh, regarde ce qu’ils font ! Dit ma mère.

– Il a l’air d’apprécier !

– T’aimerais qu’on fasse pareil ?

– Je veux bien essayer.

 

Après quelques minutes le joint était terminé, on a alors commencé à boire la bière tout en finissant de regarder le film. Tout cela a commencé à vraiment nous exciter au maximum. Ma mère a commencé à détacher le cordon de sa robe de chambre et alors elle m’a dit :

 

– Regarde Marc, je porte pas de soutif,

– Maman , t’as les plus beaux seins que j’ai vu.

– Enlève moi mon string et je vais te déshabiller.

– T’est déjà toute mouillée.

– Regarde t’est pas mieux il y a des taches de sperme sur ton boxer.

– J’avoue tout ça m’a excité.

– Écarte toi les jambes je vais te sucer ce gros gland.

– Ah maman tu suces vraiment bien.

– J’aime avoir ta queue dans ma bouche, elle goûte bon.

 

Après dix minutes de suçage intense, je sentais que j’allais décharger alors je lui ai dit :

 

– Je vais décharger. Je peux plus me retenir.

– Vas-y je suis prête à tout avaler.

– Ça y est…

– Hum. J’adore avaler du sperme tout chaud, surtout quand il y en a autant.

– C’est à mon tour je vais te manger la chatte.

 

Elle s’est écarté les jambes, les a levés en l’air air et puis moi je me suis mis la tête entre ses jambes pour commencer à la manger. Là elle m’a dit :

 

– Attends, je vais faire une goutte de pipi.

 

Je me suis reculé, ai attendu un instant et elle m’a fait pipi dans la bouche, j’ai trouvé ça très gouteux, puis j’ai recommencé à la lécher

 

– Ha ! c’est tellement bon, met-moi ton doigt dans l’anus. Lèche-le un peu avant

 

J’ai léché le petit trou de ma mère, il goutait bon, puis, j’ai fait entrer mon doigt dans son anus, elle a gémit de plaisir tout en se faisant aller le bassin de plus en plus vite. Elle m’a demandé de lui en mettre deux de plus dans le cul. Elle aimait tellement ça, et en voulait de plus en plus. Après vingt minutes, elle m’a dit qu’elle allait couler à flot.

 

Puis elle a eu plusieurs orgasmes. On s’est dit qu’on reprendrait nos esprits en regardant la fin du film. Après un vingtaine de minutes, on était toujours tout nu, j’ai proposé qu’on fume l’autre joint qui restait. Elle m’a dit que cela nous remettrais d’aplomb. Dès que le joint a été terminé, elle a sortie de sa poche de robe de chambre, une capote. Elle me l’a enfilé sur la queue, puis elle s’est mise à quatre pattes sur le lit et ma dit :

 

– Marc met ta queue dans ma chatte, jusqu’au fond.

– Ah, ça faisait longtemps que je rêvais de ça.

– Va un peu plus vite.

– Comme ça, est-ce que c’est bon ?

– Ho oui c’est parfait, continue.

 

Pendant plusieurs minutes je l’ai pénétré, jusqu’à elle sorte un vibrateur de la poche de sa robe de chambre. Elle m’a demandé de lui mettre dans le cul. Après je l’ai enlevé pour y insérer ma queue.

01 RENATE MILADA BERNA

– Oh, oui, mon chéri, tu m’encules, c’est si bon !

 

La partie de jambes en l’air a continué une bonne partie de la nuit.

 

Le lendemain, le téléphone a sonné, c’est ce qui m’a réveillé. C’était mon ami Frank qui voulait que je passe cher lui pour l’aider à réparer son auto. Je lui dit que je serais là dans une heure. Je me suis retourné et j’ai aperçu ma mère qui dormait encore. Elle était la toute nue, je pouvais voir sa belle chatte poilue. Je l’ai réveillé pour savoir si elle voulait qu’on prenne une douche ensemble. Elle m’a dit qu’elle voulait encore dormir un peu mais qu’à mon retour se serait encore mieux que la douche. Je suis donc parti chez mon ami.

 

Presque toute la journée on a réparé son auto et on a discuté de nos baises les plus récentes. C’est ce qu’on a souvent comme discussion. Et sans faire attention j’ai parlé de la baise que je venais d’avoir. Il arrêtait pas de me demander avec qui c’était alors je lui ai dit :

 

– C’est ma mère. Mais t’en parles à personne.

– Ouais, ouais, je te crois pas.

– Tu veux parier ?

– Ouais mais comment tu vas me le prouver?

– Tu verras bien et si je dis vrai tu me devras 100 balles

– Pari accepté.

 

On s’est vite dépêché de tout ranger et puis on est parti cher moi. Sur le chemin, il arrêtait pas de me questionner sur ce que j’allais faire pour pouvoir lui prouver. Je lui ai dit de me faire confiance. Rendu cher moi, ma mère était assise dans le salon alors on est allé la rejoindre.

 

On s’est assis et ma mère nous a servi chacun un verre de bière. On a commencé à discuter de tout et de rien, après une trentaine de minutes, j’ai parlé à ma mère dans le creux de l’oreille, lui ai expliqué ma gaffe et mon pari.

 

Ma mère m’a dit tout bas qu’elle allait arranger ça. Elle dit tout haut :

 

– Comme ça, t’aimerais me voir sucer mon fils ?

– Oui j’aimerais bien voir ça.

– Donne-nous chacun cinquante euros et je vais commencer.

 

Mon ami n’en revenait pas encore, il était pas tout à fait convaincu, jusqu’à ce que ma mère m’enlevé mon pantalon, puis mon boxer, pour dévoiler mon pénis. Elle le frotta un peu jusqu’à ce que j’aie une érection, puis là elle a commencé à me sucer, que c’était bon. Pendant environ dix minutes elle ma sucé, je ne pouvais plus me retenir et elle a tout avalé. Puis elle a dit à mon ami.

 

– On dirait que ça t’as fait bander, Frank ?

– Oui madame !

– Alors redonne-moi 50 euros et je vais te sucer aussi.

 

Il donna 50 euros à ma mère et elle commença à le sucer, puis il dit :

 

– J’aimerais vous voir toute nue !

– C’est un peu plus cher.

 

Elle se mit toute nue et continua à le sucer, un moment elle s’arrêta et me dit :

 

– Elle très bonne la bite de ton ami, tu veux goûter ?

– Maman , je ne suis pas pédé !

– Je sais, mais c’est juste une fantaisie, goute.

 

Je pris le pénis de mon ami dans la bouche et je le suçais un peu. Puis nous l’avons sucé alternativement jusqu’à ce qu’il décharge et que Maman lui avale son foutre.

 

Une fois Frank parti ma mère regarda les billets qu’il lui avait donné d’un air contente.

 

– J’ai sucé pour de l’argent, j’ai fais la pute, ça ne te choque pas ?

– Non, maman, t’es une gentille pute.

– Et toi t’a aimé lui sucer la bite ?

– Oh oui !

– Tu recommenceras !

– Oui !

 

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Irenée Vardin
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Jeudi 5 août 2021 4 05 /08 /Août /2021 13:13

Senteur de cannelle

par Christelle Baxter

 

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En février de cette année j’ai accueilli avec joie l’idée d’aller une semaine au Sénégal pour un travail bien précis. Ça consistait, avec d’autres ingénieurs à recenser les besoins en matériels du pays. C’était pour moi l’occasion de partir, de quitter le trantran quotidien. A Dakar j’ai été déçue ; la plupart des Français se comportent comme d’anciens colons, barbotant dans l’eau tiède des piscines d’hôtels luxueux en parlant à tort et à travers des africains. Dans cette ambiance j’étais complètement perdue. J’étais seule aux milieux de sept hommes délivrés de leurs « bonnes femmes » et bien décidés à en profiter un maximum. Comme je suis plutôt pas mal, vous comprenez sans peine que ces messieurs étaient empressés autour de moi. Cependant je ne suis pas une fille qui aime « tirer son coup » ou « se faire mettre ». Il me faut un certain romantisme et de plus je ne mélange jamais le travail et le plaisir. Par contre les bosses des jeans ou des pantalons de toile, elles, me renseignaient assez sur les désirs de leurs propriétaires ! Pas question de céder. A tout prendre, je préférais me caresser dans la moiteur de ma chambre plutôt que de céder à ces  » mâles triomphants « .

 

A la piscine de l’hôtel il y avait beaucoup de blanches d’un certain âge pour ne pas dire d’un âge certain, et quelques noires assez belles, certaines manifestement employées par le personnel masculin soucieux de les exploiter, d’autres visiblement prostituées. Elles avaient ce balancement des hanches que seules peuvent avoir les Africaines. Quand un petit cul chaloupait devant mes collèges, ils en avaient le souffle court la langue pendante et le slip prêt à craquer. J’ai rapidement remarqué une jeune fille. Elle avait un visage très fin, avec des lèvres un peu grosses, mais qui parlent aux mecs. Elle était très effrontée et ne cachait pas son métier. Un soir, ce devaient être le mardi, j’en ai eu assez des regards vicieux de mes confrères. Je suis montée dans ma chambre pour respirer une autre odeur. Dans l’escalier j’ai rencontré la jeune fille. Assise sur les marches elle pleurait toutes les larmes de son corps. Cela m’a attendrie, et je lui ai demandé

 

– Je peux faire quelque chose pour vous ?

 

Elle a essayé de me cacher ses yeux tuméfiés en fouillant son sac pour y pécher une paire de lunettes de soleil, mais j’avais tout vu.

 

– C’est l’autre salaud ! Me dit-elle. Je sais bien que je suis une pute, mais je ne fais de mal à personne, alors pourquoi m’humilier ?

– Allez venez ! Ai-je commandé. Je vais vous passer de l’eau fraîche sur le visage.

 

Elle s’est laissé faire docilement. Elle sentait la cannelle, ce qui me donnait envie de la manger, ou de la sucer longuement, comme un bonbon. Son aspect fragile était encore accentué par sa tenue : petite jupe ultra légère, corsage moulant ses seins fermes et appétissants et de longues jambes fines. J’aimerais avoir les mêmes ! Je l’ai d’abord rafraîchie avec de l’eau glacée sortie du mini-bar, puis j’ai passé de l’onguent d’Arménie….

 

CanelleEt quelque chose a dérapé. Je ne sais pas encore l’expliquer. Je ne suis pas habituellement attirée sexuellement par les gens de couleur. Peut-être était-ce dû à son aspect fragile. J’ai doucement massé sa nuque, j’avais envie de mettre mes lèvres sur cette peau et de ne plus bouger. Ses cheveux frisés m’attiraient. Elle a relevé la tête et son regard a plongé dans le miens. Nous nous sommes comprises. Elle a tourné la tête et nous nous sommes embrassées avec passion. J’avais l’impression de vivre un rêve. Sa bouche était douce et sa langue agile s’est nouée autour de la mienne.

 

Spontanément nous nous sommes retrouvées nues toutes les deux, puis ma bouche est venue sur sa chatte tandis que la sienne venait sur la mienne

 

Le plaisir est venu presque immédiatement. C’était si bon de se laisser enfin aller.

 

Sur le lit, plus tard bien plus tard, alors que nous prenions un peu de repos et que je suçotais gentiment un de ses seins, je me sentais pleine d’amour pour cette fille alors que je savais cette rencontre probablement sans lendemain. L’odeur de son sexe, si forte, si tendre, je l’avais sur tout le visage car je m’en étais goinfré. Je me sentais comme ivre d’amour, le corps moulu et extraordinairement détendue. Elle m’avait longuement léchée, sa langue cherchant à faire jaillir milles étincelles de mon clitoris. Elle s’était nouée autour de moi comme une liane agile, et je ne voyais plus que ses pieds menus et son ventre qui enflait et désenflait au rythme de sa respiration oppressée. Le plaisir nous de nouveau rapidement inondées. Nous étions collées l’une à l’autre par notre cyprine également abondante. Nos chairs étaient salées et nous nous effleurions du bout des doigts pour le seul plaisir de nous sentir frémir de désir.

 

– Tu veux rester dormir avec moi ?

– Non faut que je rentre, j’ai mes gosses…

– T’en as combien ?

 

Elle en avait deux, elle m’a montré leur photo, je l’ai complimenté un peu hypocritement, mais j’avais envie d’être gentille avec elle.

 

Je l’ai payé.

 

– C’est beaucoup trop !

– Mais non, ça me fait plaisir.

 

Elle a rangé l’argent et avant de s’habiller, elle est partie faire pipi, elle ne s’est pas cachée et j’ai pris plaisir à la regarder uriner pendant qu’elle me gratifiait du plus beau des sourires.

 

Récit issu du site des archives de SophieXXX et rewrité

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Christelle Baxter
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Jeudi 5 août 2021 4 05 /08 /Août /2021 12:55

La bonne de Saigon par Fred

 

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POUR LECTEURS AVERTIS : PASSAGE SCATO EXPLICITE

 

Vietnam, Saigon, 112 Thàn Long Street, pas loin de l’aéroport International.

 

Expat comme beaucoup de mes collègues je suis résidant au Vietnam depuis près de cinq années. Nous avions ma femme et moi loué une villa qui me servait à la fois de bureau et de logement. Deux étages plus terrasse pour le logement et un étage pour mes besoins professionnels.

 

Dans les pays asiatiques il est de bon ton de prendre une bonne (ou un boy) J’avais réussi à convaincre ma femme de prendre une bonne mais elle s’est gardé le droit de choisir son âge.

 

Irrationnellement mon choix aurait d’abord favorisé le tour de hanche et de poitrine de la postulante plutôt que ses qualités à dénicher l’ultime trace de poussière ou à concocter le plus succulent des plats avec deux grains de riz et un morceau de blanc de poulet. Mais bon, je me connaissais, et je ne voulais pas de prise de tête avec mon épouse. Je lui laissais donc le choix.

 

Quelle ne fut pas ma surprise de voir un matin une appétissante petite asiatique aux formes suggestives qui était en discussion avec ma femme. Mon regard n’arrivait pas à se détacher de ses poumons. Elle avait au moins deux kilos de chaque côté, accrochés bien haut. Je m’apprêtais à demander à mon épouse qui était cette charmante Viet, quand elle me devança en me présentant miss Ying, la nouvelle bonne, à l’essai pour une semaine.

 

Je fus agréablement surpris du choix tout en souhaitant qu’elle réussisse son examen de passage. Pour moi elle était embauchée, inutile de lui faire passer une semaine d’essai. Mais cessons de rêver. Pas question d’y toucher.

 

Les choses allèrent leur chemin, Ying réussit son test et resta. Et je me concentrais sur mon travail. La direction de mon département me laissait le soin de gérer mon temps à condition de leur faire parvenir régulièrement un état d’avancement de mes travaux.

 

Les vacances de fin d’année approchaient à grands pas. Mon épouse souhaitait passer le mois de décembre en France car elle n’avait pas revu sa famille depuis plus de deux années. Pour des raisons professionnelles je ne pus pas l’accompagner. Je restais à Saigon en lui promettant de rentrer pile poil pour les fêtes de fin d’année.

 

– Surveille la bonne me lança-t-elle le jour du départ. Tu sais que je ne lui fais pas totalement confiance.

– Ne t’en fais pas, je m’en occupe lui répondis-je tout en étant à cent lieues de m’imaginer la suite.

 

Cette matinée là j’essayais de faire avancer mon projet de simulation vidéo radar. Un programme servant à dépouiller des données enregistrées en temps réel sur un radar militaire type OTAN.

 

Du coup je fus surpris lorsque Ying fit son apparition pour la première fois dans la pièce qui me servait de bureau et de chambre à coucher de secours. Ma femme lui avait interdit de faire le ménage dans cette pièce pendant ma présence. Elle minauda un timide « Xin Chao Mister » en évitant mon regard. J’avais tous mes synapses occupées à résoudre ce putain de « overflow error » que me lançait le compilateur de mon programme que je ne pris pas vraiment garde au fait qu’elle était là dans ma pièce en train de s’affairer comme une petite fourmi. Elle promenait son balai de poils sur le sol en évitant soigneusement mon fauteuil. Le lit se trouvant dans la pièce ne servait pour ainsi dire pas si ce n’est pour entreposer des livres ou des cartons. Mais Ying décida de rendre au lit sa fonction première en le délestant de tout le fatras que j’y avais entreposé. Ce faisant elle se penchait sur le lit pour rassembler les magazines et enlever les deux ou trois cartons qui y traînaient. En s’activant ainsi elle me tournait le dos et chaque mouvement pour aller chercher les dossiers et livres qui étaient éparpillés sur le lit avait pour effet de dévoiler le haut de ses cuisses jusqu’à la lisière de sa petite culotte blanche. C’est à ce moment que mon cerveau englué réussi à sortir totalement de mes problèmes métaphysiques et accorda plus d’attention à mon environnement immédiat : Ying !

 

Tandis qu’elle s’acharnait à redonner un aspect normal aux draps et couvertures, je ne pus m’empêcher de regarder rouler ses fesses sous sa courte jupe tout en espérant qu’un mouvement un peu plus balancé qu’un autre me dévoilerait encore un peu plus de ce charmant spectacle. Inconsciemment je m’étais affaissé dans mon fauteuil afin d’en rater le moins possible. Je me suis toujours demandé comment une fille avec sa charpente pouvait se pencher sans perdre l’équilibre. Sa poitrine était affolante et j’avais dans mes égarements lubriques essayé d’imaginer plus d’une fois qu’elle pouvait bien être la sensation que je pouvais éprouver si j’avais l’occasion de tenir dans la paume de mes mains ces deux seins magnifiques. Elle n’avait pas d’enfant, elle devait donc les avoir bien ronds, durs et fermement accrochés.

 

Elle avait des cuisses longues et brunes. Le contraste de sa culotte blanche n’en faisait que ressortir davantage le galbe et la finesse. Je me voyais remonter ses cuisses avec mes mains jusqu’à la lisière… Je devais penser tout haut car c’est là qu’elle se retourna et me vit en train de la lorgner comme une bête. Son regard croisa le mien une fraction de seconde et je senti le sang affluer à ma tête. Je n’eus que le temps de bredouiller d’inintelligibles et vagues excuses en me replongeant devant mon écran dans un faux air de concentration mental. Mais elle avait déjà franchi le seuil de la pièce pour s’éclipser sans un mot.

 

A peine cinq minutes s’étaient écoulées qu’elle fit de nouveau irruption dans le bureau sans un mot cette fois en tenant un coussin. Son visage était indéchiffrable. Elle se dirigea vers le lit afin d’y placer le coussin sans me jeter un regard. Je voulais me défaire d’un commentaire quelconque mais la vue qui se présentait devant mes yeux me coupa la parole.

 

De la même façon que tout à l’heure, elle s’était penchée et tapotait ce coussin d’une manière visiblement exagérée en faisant traîner en longueur. Mais à la différence de la première fois, elle n’avait plus de culotte !

 

C’était sans aucun doute un appel à aller plus loin. Je me levais en repoussant le fauteuil dans un crissement sonore. Ying fit comme si elle n’avait pas entendu le bruit du fauteuil racler sur le parquet. Ce qui me confirma qu’elle attendait que quelque chose se produise. Arrivé près de son postérieur, je levais mes mains à la hauteur de ses fesses, puis les posaient doucement sur son cul tout en retenant ma respiration. Elle eut un imperceptible soubresaut et s’arrêta de tapoter le coussin. Nos deux souffles s’étaient arrêtes. L’atmosphère était devenue électrique.

 

La sensation était divine. Ses fesses étaient douces, chaudes et agréablement charnues. Finalement j’entendis sa respiration devenir de plus en plus forte, mais elle ne bougeait toujours pas, les bras appuyés sur le coussin et sa croupe me faisant face. Je continuais de caresser ses deux merveilleuses excroissances en les prenant à pleines mains. Je fini par m’agenouiller derrière elle pour jouir un maximum de ce spectacle magnifique qu’était la vue de son cul rebondi et nu, offert à toutes les caresses imaginables. Mes mains descendirent sur la partie externe de ses cuisses alors que je me laissais aller à poser un baiser sur sa fesse droite. Je l’entendis émettre un petit gémissement tandis qu’elle s’arc-boutait davantage.

 

– Lèche mes fesses, fït-elle d’une voix altérée, embrasse mon cul, fais-en ce que tu veux…

 

Je n’avais pas besoin d’invitation supplémentaire pour aller de l’avant. Tout en léchant ses fesses lisses, je fis glisser mes mains vers l’intérieur de ses cuisses en remontant doucement. Ying se cabra un peu plus en écartant légèrement ses jambes afin de me permettre d’atteindre plus facilement son intimité. L’intérieur de ses cuisses était brûlant. Je glissais ma main gauche petit à petit vers son vagin. Elle ne bougeait plus, retenant sa respiration. Lorsque ma main atteignit son intimité elle émit un petit râle en resserrant ses cuisses musclées sur ma main. Je la massais doucement tout en continuant de lécher ses fesses. Ying grognait et se cabrait au maximum pour me permettre d’atteindre toute sa profondeur.

 

Je retroussais sa jupe complètement au-dessus de sa taille pour jouir au maximum du spectacle. Elle avait une croupe fabuleuse qui attirait les caresses. A deux mains je me mis à pétrir ses fesses rondes et fermes lorsqu’elle m’arrêta d’un geste.

 

– Attend, ce sera mieux comme ça souffla-t-elle. Et elle monta ses genoux sur le bord du lit ce qui lui permit de reposer sa tête et sa poitrine sur le coussin tout en me présentant un cul ouvert à toutes les débauches.

– Tu aimes que je te lèche le cul ? Fis-je d’un ton altéré par le désir et surtout par la pensée de ce qui allait suivre.

– Oui, embrasse-le, met ta langue partout, tripote-moi, fait moi mal.

 

Je me remis à l’œuvre en enfouissant mon visage entre ses fesses. Ma langue passa sur ses lèvres intimes qui laissaient déjà s’échapper une humidité révélatrice de l’état dans lequel elle se trouvait. Je m’enhardi à laisser glisser ma langue de son vagin vers son anus en long va et vient. Ying ne fit aucun geste de refus, au contraire je la sentis qui poussait son cul vers mon visage à chaque fois que ma langue passait sur son petit trou.

 

– Oh, ooooh vas-y, c’est bon. N’arrête pas surtout lâcha-t-elle d’une voie saccadée.

 

Elle avait une odeur qui rendait fou. Ying était constamment en chaleur et prête à tout comme pratiquement toutes les Asiatiques. Mais j’étais loin de m’attendre à ce qui allait suivre.

 

J’introduisis un doigt de ma main gauche dans son vagin tout en lui pétrissant la fesse droite de l’autre main. Ma langue n’arrêtait pas de passer et repasser sur son anus. J’étais comme fou avec le feu dans le bas ventre.

 

– Ta langue, ta langue gémis-t-elle.

– Quoi ma langue ? demandais-je.

– Mets la dans mon cul s’il te plait, vite.

– Tout ce que tu veux ma petite pute, je te fais tout ce que tu veux.

 

J’écartais ses fesses à deux mains et plongeais ma langue en direction de son anus. Il était déjà tellement lubrifié par ma salive que je n’eus aucun mal à y introduire le bout de ma langue. J’entendis Ying gémir en marmonnant des paroles où il était question de jouir du cul. J’essayais des mouvements de va-et-vient avec ma langue mais son anus était tellement serré que c’en devenait douloureux. Je m’humidifiais un doigt avec lequel je commençais à jouer autour de sa petite fleur flétrie.

 

– Rentre-le, rentre-le donc ! grogna-t-elle d’une voix devenue rauque.

 

Ce que j’entrepris de faire en appuyant doucement pour éviter de la blesser, mais elle n’en eu cure. Elle recula son cul en gigotant pour l’empaler sur mon doigt.

 

– Encore, plus loin demanda-t-elle.

 

Et au fur et à mesure que je voyais mon doigt disparaître dans son cul chaud et étroit je sentis venir le moment où j’allais jouir dans mon froc tellement la situation était devenue explosive. Mon doigt avait complètement disparu dans son anus. Ma main butait contre ses fesses et empêchait mon doigt de pénétrer plus avant. Je sentais l’intérieur de son cul chaud et serré. Alors que je ne bougeais plus son sphincter se décontracta doucement.

 

– Oh que c’est bon fit-elle dans un souffle si seulement je pouvais avoir ta main dans le cul toute la journée. (bin voyons, personnellement j’étais partant)

 

Elle ne bougeait plus jouissant de cette sensation d’avoir un objet étranger dans son cul et sachant qu’au moindre mouvement le plaisir allait la rendre folle. Je retirais doucement mon doigt millimètre par millimètre, pour le replonger rapidement jusqu’au maximum.

 

– Oh que c’est bon, mais doucement, doucement dit-elle, sinon ça me donne envie de faire, heu, tu sais quoi…

 

Ces mots me firent encore plus d’effet, surtout que je sentais bien au fond de son cul une matière chaude et molle à chaque fois que je renfonçais mon doigt. Mon doigt rentrait et sortait de son cul plus rapidement et plus facilement tout en ayant quelque peu changé de couleur. La salope, elle avait le cul plein de merde. Et elle le savait en venant ici.

 

– Aaah ! Je sens que ça vient, si tu continues je ne réponds plus de rien, cria-t-elle. Fais quelque chose.

 

Avant même que l’idée ne me vienne elle me précisa :

 

– Encule-moi vite, sinon ça va sortir…

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Ça me fit l’effet d’une bombe. C’était donc ça qu’elle voulait. Ce n’était qu’une délicieuse petite salope qui adorait se faire remplir le trou du cul lorsque ses intestins étaient pleins de merde. Dieu que c’était excitant. Ni une ni deux je baissais mon pantalon et sans avoir besoin de lubrifiant (la merde de Ying allait s’en charger) je lui posais mon sexe sur son cul en poussant tout en retirant mon doigt avec précaution de peur de laisser s’échapper le contenu.

 

Elle écarta un peu plus ses genoux sur le lit afin de faciliter l’ouverture de son sphincter.

 

– Ooooh fit-elle, lorsqu’elle sentit ma queue rentrer centimètre par centimètre dans son cul, vas-y pousse. Repousse mon caca au fond. Ah que c’est bon. Je vais jouir du cul, je vais jouir du cul ! répéta-t-elle comme une droguée.

 

J’étais arrivé au bout, toute ma bite était rentrée dans son sale petit cul. Les poils de mon pubis étaient colles contre ses fesses.

 

– Vas-y maintenant. Ramone. Ramone ma merde je t’en supplie.

 

Je sentis que j’allais éjaculer d’une seconde à l’autre tellement mon membre était tendu et dur. Son sphincter serrait la base de ma queue comme un anneau d’acier. Le reste de ma queue semblait baigner dans un gouffre rempli de matière spongieuse tiède et douce.

 

– C’est merveilleux là-dedans ! lui dis-je.

 

Elle se mit à se trémousser et à serrer desserrer son sphincter. Je sentais que j’allais lui éjaculer dans le cul là tout de suite.

 

– Arrête, arrête ! criai-je, sinon je vais jouir. Ne bouge plus s’il te plait.

 

Ying arrêta de bouger ne voulant pas non plus que toutes ses sensations divines s’arrêtent soudainement. Pas encore, pas maintenant. J’étais dans les vaps. Entre ciel et terre. Nous ne bougions plus de peur d’interrompre cet instant magique. Après un temps que je suis incapable de définir, mon envie d’éjaculer m’ayant momentanément quitté, je me remis tout doucement à sortir puis à rentrer à fond ma bite chocolaté dans son anus.

 

– Mmmmmh gémi-t-elle, j’adore cette sensation. Je ne me retiens plus chéri.

 

En fait je ne sentais plus la contraction de son sphincter et à chaque retrait de ma queue, de la matière fécale accompagnait mon mouvement. En renfonçant mon membre sa merde s’amassait au pourtour de son orifice, tachant son joli cul d’une auréole brune de plus en plus large.

 

– Aaaah. Je ne peux pas me retenir, à chaque fois que tu sors, mon cul a envie de pousser mon caca dehors. Ne te retire pas trop chéri.

– Je vais jouir, je vais jouir dans ton cul, dans ta merde Ying. Quel bonheur…

 

Je limais son anus comme un fou, ma queue avait totalement changé de couleur. A chaque coup sa merde se frayait un peu plus un chemin vers l’extérieur. Je sentis venir les premiers à-coups de mon sperme, puis l’explosion finale dans son cul rempli de merde. Je plaquais brutalement Ying contre mon bas ventre en la tenant fermement par les hanches pour éviter que ses excréments ne continuent de sortir par à coup. De longues giclées de sperme se déversaient dans le cul de Ying. Je m’affalais sur son dos. La bite plantée dans son cul. Son corps était agité de soubresauts. Elle marmonnait je ne sais quoi en Viet je crois. J’ai juste saisi les mots caca, xin chao, xin chao…

 

Plus personne ne bougeait. Au bout d’un temps indéfinissable elle dit en riant :

 

– Si tu sors maintenant tout va venir, tu veux ça ? Je te nettoierai rassure-toi minauda-t-elle.

– On a pas le choix je crois hein ma petite salope répliquai-je. On y va ?

 

Je n’attendis pas sa réponse et me retirais d’un coup de son cul. Ying à plat ventre sur le lit les jambes écartés grogna en cabrant ses fesses.

 

– Mmh, je me vide, je me vide…

 

Je suis sûr qu’elle n’attendait que ça. Elle se laissa aller complètement relâchant son sphincter et sa vessie en même temps. Je n’eus que le temps de placer mes deux mains en coupe sous son cul pour limiter les dégâts, sa merde fumante sortait en saccade de son cul alors que le lit se tachait d’une auréole sombre de son pipi. C’était toujours aussi excitant. Je sentis mon membre retrouver une nouvelle jeunesse. J’ignorais que je pouvais prendre mon pied dans ce genre de déviation sexuelle. Comme quoi on en apprend tous les jours.

 

Oui c’est sûr, nous allions recommencer le plus vite possible. Dans tous les endroits possibles. J’avais déjà une idée pour la prochaine séance. Ying se leva enfin en tenant sa courte jupe loin au-dessus de sa taille afin de ne pas la salir, et me regarda dans les yeux.

 

– Regarde fit-elle en riant.

 

Tout en tenant sa jupe d’une main, elle souleva son tee-shirt par le devant avec son autre main pour me présenter ses deux globes radieux qu’aucun artifice n’avait besoin de sustenter. Pas de sous-tif, je le savais. J’hésitais à pétrir ses seins car mes mains n’étaient pas vraiment propres.

 

– Vas-y prend les qu’attends-tu ? lança-t-elle en se rapprochant de moi.

 

Ces mots me décidèrent. Je pris ses deux seins dans mes paumes et malaxais ces magnifiques excroissances naturelles. Quelle douceur, quelle sensation divine, je me penchais pour donner un suçon rapide sur chaque téton. Le désir me repris immédiatement. Je lui ôtais son tee-shirt, ainsi que sa jupe. Elle était divine dans cet état. A poils, maculée de merde.

 

– On va aller dans la salle de bain vient, lui dis-je. Passe devant ma petite Tonkinoise.

– Pourquoi faire ? je me sens bien comme ça dit-elle en se jetant à mon cou. Pas toi ?

 

Ce faisant ses deux seins se plaquèrent contre moi, je sentais une nouvelle vigueur monter le long de ma queue.

 

– J’adore me faire prendre par derrière avec une envie d’aller aux toilettes. C’est trop cool. Et toi, j’ai bien senti que tu adorais ça aussi hein ? me susurra-t-elle dans l’oreille en me la mordillant.

 

Au moins maintenant c’est confirmé. Elle avait un penchant un peu crade pour faire l’amour. Mais ça me convenait tout à fait. Je sentais ses deux flotteurs collés contre ma poitrine. Son odeur de femelle en chaleur était mélangée aux odeurs diverses venant de mon sperme, de son cul, du lit. Je la serrais dans mes bras en descendant le long de son dos avec mes mains chocolatés. Lorsque j’atteignis son cul elle se tortilla.

 

– OK, on se lave et on recommence là-bas murmura-t-elle.

 

Elle passa devant moi. La salle de bain était à l’étage. J’avais donc la plus délicieuse vue que l’on pouvait rêver. Ma bonne montant les escaliers avec une taille de guêpe, des fesses chocolatés se balançant dans un rythme de rêve.

 

FIN

 

Publié initialement sur le site d’HDS en janvier 2005

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Jeudi 5 août 2021 4 05 /08 /Août /2021 10:51

Le zébu zoophile par Rakoto

cochon

Le zébu zoophile…

 

Mon chien m’a fait cocu

Ma femme est zoophile

Quand on m’a prévenu

J’en suis resté débile…

 

Ah si ça s’était tu

J’aurais été tranquille

Mais ça s’est répandu

Parmi toute la ville…

 

Je passe dans les rues

De manière servile…

Car je suis très connu

Je me fais de la bile…

 

Au zoo un zébu

Aime une crocodile…

Chaque jour sous sa vue

Dans les eaux elle file

 

Il va être déçu

On a mis un vigile

Car il est très mal vu

D’être un bœuf zoophile

 

 

1078165550

Quel rapport direz-vous ?

C’est que le vigile c’est moi

Le bon cocu à genoux

Que tout ça met en émoi

 

Rakoto

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Rakoto
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