Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 10:09

Sept de pique par Hélèna Sevigsky

Domina

Mais comment elle a fait ?

 

J’avais pourtant bien truqué le paquet de cartes !

 

– Si c’est pique ou trèfle, c’est toi qui commande et j’ai un gage, si c’est cœur ou carreau, c’est le contraire !

– O.K. !

– Tire une carte !

 

Elle le fait et tire un sept de pique.! Voilà une situation que je n’avais pas prévue. Que faire maintenant ? Je me dois d’être bon joueur à défaut d’être un mauvais tricheur.

 

– Bon, prends une douche, je donne un coup de fil et on y va. Me dit-elle.

– On va où ?

– Tu le verras bien.

 

Rapide description de Margot, ma compagne, fausse blonde, lunettes, quelques rondeurs, trente ans, joli minois, faut pas que je me plaigne. Elle travaille tout comme moi dans les assurances, mais pas au même endroit. Une belle coquine !

 

Je la laisse téléphoner, je n’essaie pas d’écouter.

 

Et à 15 heures, nous sommes descendus, on a pris un taxi, Margot a indiqué une adresse qui ne me parlait pas.

 

Arrivés sur place, on entre dans un immeuble, un peu d’hésitation, manifestement ma femme n’est jamais venue à cet endroit.

 

– C’est Margot et Gilles ! Annonce-t-elle dans l’interphone.

 

Mais chez qui m’emmène-t-elle, bon sang ?

 

Ascenseur, une porte sans indication avec juste un numéro, c’est entrouvert. Un chien aboie, une voix féminine autoritaire le fait taire.

 

Une femme nous fait entrer, une belle brune à la peau mate, entre quarante et cinquante ans, elle est revêtue d’une robe de chambre blanche. Depuis quand reçoit-on les gens en robe de chambre en plein après-midi ?

 

Nous voilà dans une petite salle où il n’y a pas grand-chose. Elle nous toise.

 

– Je suis maîtresse Florida. Toi l’esclave, tu te mets à poil et à genoux et tu nous attends. Toi Margot tu viens avec moi qu’on règle deux ou trois détails pratiques.

 

Mais où suis-je bordel ? C’est qui cette nana dont je n’ai jamais entendu parler. Bref comme je l’ai déjà dit je suis là pour jouer le jeu, je me fous donc à poil et attend le retour de ces dames.

 

Et les voilà qui reviennent, Florida enlève sa robe de chambre. Elle est superbe avec son bustier en vinyle noir.

 

– Toi tu ne bouges pas ! Me dit-elle. Et toi la morue, tu te fous à poil et plus vite que ça, espèce de chiennasse.

 

Quel langage !

 

Margot s’exécute, mais j’avoue ne pas comprendre. Ayant perdu au tirage de carte, cet après-midi, le soumis c’est moi, pas elle, c’est quoi ce délire ?

 

– Viens devant moi, grosse merde ! Lui dit-elle.

 

On est en pleine poésie !

 

Les deux femmes sont face à face, Florida dégage son bustier dévoilant une paire de seins de toute beauté, du coup, je bande comme un âne, mais les deux nanas m’ignorent complètement.

 

Florida se crache alors sur ses nichons, plusieurs fois de suite, jusqu’à ce qu’ils deviennent visqueux.

 

– Nettoie maintenant à grands coups de langues. Allez dépêche-toi, on n’a pas toute la journée !

 

Je sens Margot hésiter, puis elle y va, sa langue balaie les seins de la belle brune en insistant sur ses gros tétons durcis.

 

– Tu lèches bien, tu as une vraie langue de pute, Elle est bonne ma salive ? Elle te plait ?

– Oui !

– Oui qui ? Conasse !

– Oui, maitresse.

– Si tu as aimé ma salive, je vais t’en donner encore un peu, ouvre ta bouche de trainée !

 

Elle lui crache plusieurs fois dans la bouche, puis la gifle. Margot complètement passive ne bronche pas.

7pique

– Maintenant tourne toi que je vois ton gros cul… Oh, c’est pas mal du tout ça, t’as vraiment un cul à te faire de l’or.

– Hi ! Hi !

– Ecarte-moi tout ça que je goutte à ta rondelle… mais t’as fait quoi ? T’as pris une douche avant de venir ?

– Oui !

– Ben fallait pas, espèce de conne ! J’ai horreur des trous du cul qui sentent la savonnette.

 

Puis sans crier gare Florida lui introduit un, puis deux doigts dans le cul, et les fait bouger à fond les manettes. Elle les ressort et lui met sous le nez.

 

– Tu m’as sali les doigts, grosse truie dégueulasse, lèche-moi ça !

 

Je n’ai pas pu d’où j’étais me rendre compte de l’état exact de ses doigts, mais mon épouse s’est acquittée de cette tâche sans problème. Faut dire qu’on avait déjà joué à ce genre de petit jeu à la maison.

 

– Je reviens ! Nous dit Florida.

 

Je peux enfin parler à ma femme :

 

– C’est quoi ce délire ?

-Tais-toi, pédale, ne cherche pas à comprendre.

 

Florida revient avec un bonhomme cagoulé qu’elle tient en laisse… Le mec est gros et pas tout jeune.

 

– Tiens, je t’ai trouvé un client. Ça tombe bien, il aime changer de pute de temps en temps. Tu la trouves comment cette pute, Robert ?

– Elle me plait bien !

– Bon, toi la pute, je te pose les sous du client sur la cheminée ! Précise Florida, Comme ça se passe chez moi, tu n’as droit qu’à la moitié du prix de la passe. Allez, commence par lui sucer la bite et que ce soit bien fait !

 

Le mec a une jolie bite, Margot l’embouche. Ce n’est pas la première fois que je vois ma femme sucer une autre bite que la mienne, on a fait un peu d’échangisme, mais dans ce cas, on pouvait choisir. Là elle est en train de sucer un gros porc adipeux. Et c’est qu’elle s’applique, suçant le gland, léchant la hampe et gobant les couilles, procédant par de vifs allers et retours dans sa mignonne petite bouche.

 

– Alors gros cocu ! Me dit Florida qui m’adresse enfin la parole, ça te fait quel effet de voir ta femme faire la pute ?

 

Qu’est-ce que vous voulez que je réponde ? Et d’ailleurs elle n’attend pas de réponse.

 

– Alors elle est comment cette bite ? Demande Florida à ma femme.

– Délicieuse !

– Ça te plaît de faire la pute ?

– Oui, maîtresse.

– Ça te plait comment ?

– Ça me plait beaucoup, maîtresse !

– Tant mieux, lèche-lui le trou du cul, maintenant !

 

Le type se retourne, écarte ses fesses et offre son trou à ma femme qui y pointe sa petite langue vicieuse ! Elle a l’air ravie ! Quel spectacle !

 

– Il est comment son cul ?

– Délicieux !

– J’espère qu’il sent un peu la merde !

– Oui, un petit peu !

– Bon, change de position, il va t’enculer maintenant, non pas comme ça, mets-toi ici que ton cocu de mari puisse bien te voir.

 

Le gros patapouf se revêt d’une capote (encore heureux !) tandis que Florida tartine le troufignon de ma femme avec du gel. Et c’est parti, le gros pépère est vaillant et ne néglige pas sa peine, la pilonnant comme un piston de locomotive.

 

Margot commence à pousser des petits cris, elle va jouir la salope, elle va jouir sous les coups de boutoir d’un gros dégueulasse qui l’encule !

 

Effectivement elle jouit, Florida fait signe au bonhomme de se retirer, ce qu’il fait et il sort de la pièce. Ma femme est toute mouillée en bas, c’en est spectaculaire.

 

– Viens ici ma petite pute ! Tu m’as trop excitée.

 

Les deux femmes se rapprochent et se roulent un patin, mais pas n’importe quel patin, j’ai déjà vu des femmes s’embraser avec fougue, mais là c’est incroyable, ça bave, ça dégouline, elles sont déchaînées.

 

Florida se cale dans un fauteuil en relevant les jambes

 

– Viens me faire jouir ! Viens me foutre ta langue de pute dans ma moule de vieille salope !

 

Quel romantisme !

 

– Et toi tu te tournes, t’as pas besoin de voir ça !

 

Je ne vois rien mais j’entends, la Florida a joui avec une rapidité fulgurante.

 

Elle se relève, prend une cigarette, en offre une ma femme, moi je n’y a pas droit !

 

– J’ai envie de pisser ! Lui dit Florida, assis-toi par terre et ouvre ta bouche.

 

On a déjà, Margot et moi, joué à des jeux uro et même très légèrement scatos, mais je ne crois pas qu’elle ait déjà fait ce genre de choses avec une femme… mais bon comme c’est le jour des grandes découvertes…

 

L’air de rien, je me retourne, Margot à l’air toute contente de boire de la pisse, elle avale ce qu’elle peut, recrache le trop plein qui lui coule sur les seins qu’elle badigeonne.

 

– Ça t’a plu ?

– Délicieux !

– C’est bien, tout à l’heure je te chierais dessus.

 

La gueule que fait Margot, mais elle ne proteste pas.

 

– On dit, « oui maîtresse « !

– Oui maitresse ! Chuchote-t-elle.

– Ben dis donc ce n’est pas le grand enthousiasme, allez mets-toi en levrette, je vais te faire gouter ma badine ça va te motiver.

 

Et Florida se met à taper le joli cul de mon épouse.

 

– Je n’arrêterais que quand tu auras le cul tout rouge, tu as compris, grosse pouffe !

– Oui, tapez-moi, je le mérite !

– Absolument, ton pédé de mari ne va pas pouvoir te toucher les fesses pendant une semaine.

– Aie !

– Ça fait mal ?

– Oui, mais vous pouvez continuer.

– Relève-toi, et face à moi, je n’ai pas fini de te torturer.

 

Florida attrape les tétons de Margot, elle les tord, les tire, les pince..

 

– Regarde-moi ta pute, je la maltraite et elle mouille comme une éponge !

 

Florida reprend sa badine et lui tape sur les seins. Ça fait mal et ça fait des marques. Margot crie et des larmes coulent de ses yeux. Mais bon sang, pourquoi n’arrête-t-elle pas ce cirque ?

 

La dominatrice repose sa badine, balance une paire de gifles à mon épouse puis lui fait ouvrir la bouche pour lui cracher dans le gosier.

 

Et puis soudain les deux femmes s’embrassent goulument, tellement goulument qu’elles en bavent de nouveau.

 

– Sanka viens ici ! Ordonne Florida.

 

Sanka c’est le chien qui quitte son panier et viens rejoindre sa maîtresse en agitant la queue.

 

Florida demande à ma femme de caresser le chien. Je sens que l’affaire risque de virer zoophilie. Margot m’a confié un jour qu’elle essaierai bien avec un chien… Mais elle n’a jamais eu l’occasion de concrétiser ce fantasme.

 

– Maintenant caresse-le sous le ventre.

 

Ravi le chien se me met sur le dos, les pattes en l’air.

 

– Touche lui la bite !

 

Elle le fait et au bout de quelques instant la bite sort de son fourreau, rouge, raide, un peu visqueuse.

 

– Et maintenant tu lèches !

– Que je lui lèche la bite ?

– Je veux bien, mais je n’ai jamais fait ça.

– Il y a un début à tout, je vais te montrer.

 

Florida se penche vers la bite du chien et conne des petits coups de langue sur la verge, puis embouche carrément tout ça.

 

– Allez à toi de jouer !

 

Margot refait les même gestes que Florida. C’est dingue, ça de voir sa compagne sucer la bite d’un chien.

 

Au bout d’u moment, Florida fait stopper la fellation, puis enfile des grosses moufles sur la pattes de devant du quadrupède.

 

– En levrette, Margot, le chien va te couvrir !

– Je suis obligée ?

– Ce n’est pas comme cela qu’il faut raisonner ! T’es une grosse salope, n’est-ce pas ?

– Oui, je crois bien !

– Eh bien les grosses salopes, elles n’ont pas peur de se faire sauter par les chiens, au contraire, elles en redemandent. Alors maintenant assez de discussion, et en levrette !

 

Ma femme opte pour la position demandée, Florida en traine le chien qui ne tarde pas à comprendre que les trésors de ma femme sont à sa disposition, il se rue littéralement sur elle (je comprends alors le pourquoi des moufles) et il se met à la pilonner à une cadence infernale.

 

L’affaire a duré plusieurs minutes, jusqu’à ce que le chien regagne son panier après s’être vidé de son sperme.

 

– Et maintenant on va s’occuper de ce connard ! Dit Florida.

 

Je suppose que le conard, c’est moi ?

 

Elle me passe un collier de chien auquel est attaché une laisse et me fait avancer à quatre pattes jusqu’à la pièce d’à côté.

 

Me voilà dans un espèce de donjon, les murs sont peints en rouge et il a ici tout un tas de trucs pour immobiliser les esclaves qui s’aventurent dans ce lieu de débauche : une croix de Saint-André, des chaines, un chevalet, une chaise en fer dont le siège est percé…

 

Mais la vrai surprise c’est la présence de trois bonhommes nus et masqués à genoux, le cul relevé, l’un d’eux étant le grassouillet qui a enculé ma femme tout à l’heure. Quel salaud, celui-ci !

 

Sur un geste de Florida les trois pervers se relèvent et se positionnent en rang d’oignon face à nous. Elle me tire vers le premier à gauche.

 

Pas difficile de deviner ce qu’elle va me demander de faire. J’ai déjà en de rares occasions et sous l’effet d’excitations particulières sucé quelques bites. Mais bon, ce n’est quand même pas trop mon truc et là il en a trois.

 

– Tu vas leur lécher la bite ! Allez, grouille, je n’ai pas que ça à foutre, pédale !

 

Je cherche à croiser le regard de ma femme, elle est là, toujours à poil, avec ses marques de coups bien apparentes et son rimmel qui a dégouliné de ses yeux, je l’ai connu plus sexy.

 

– Fais ce qu’on te dit ! Enculé !

 

Je suis piégé, elle ne viendra pas à mon secours. Bien sûr dans l’absolu, personne ne me retient prisonnier, je pourrais prendre mes cliques et mes claques et quitter ce rassemblement de dépravés. Mais j’ai comme l’impression que Margot le prendrait très mal, et puis après tout je n’ai qu’a m’en prendre à moi-même, ça m’apprendra à tricher de travers.

 

J’ai la première bite devant moi, elle ne bande pas du tout. Pas bien grave, mes lèvres et ma langue devraient résoudre le problème. Finalement comme la bisexualité n’est pas vraiment taboue chez moi, je prends un certain plaisir coupable à faire grossir le machin dans ma bouche, je me recule légèrement pour voir le résultat, le type bande bien désormais, je suis un bon suceur de bite. Non mais dès fois !

 

On passe au deuxième, je commence à y prendre goût, puis me voilà devant le troisième, à ce régime-là, je vais devenir un vrai spécialiste.

 

Il se trouve que le troisième en question est l’infâme salopard qui a enculé ma femme. Et moi je suis là en train de lui faire une pipe. C’est quand même très humiliant comme situation !

 

Florida demande ensuite à ses trois esclaves de se retourner, de se pencher légèrement et d’écarter les fesses.

 

J’ai compris, mais je ne veux pas faire ça !

 

– Lèche, pédale, lèche-leur le trou du cul !

 

Ce n’est pas Florida qui me donne cet ordre, c’est Margot ! La salope ! L’immonde salope ! Elle exagère !

 

Et la voilà derrière-moi qui me frappe avec la badine de Florida.

 

– On t’as dit de lécher les culs, alors tu lèches ! Quand tu lèches le mien tu ne fais pas ta jeune fille, alors tu fais ce qu’on t’as dit, un cul de mec ou un cul de femme, ça a le même gout !

 

Oui mais la différence, elle est psychologique comme dirait le docteur Freud.

 

Je me demande un moment si Margot ne cherche pas la crise ? Non c’est idiot, si elle voulait me quitter, il y avait tellement plus simple. Alors je me lance… en fermant les yeux.

 

Je lèche le pourtour de l’anus sans enfoncer la langue.

 

– Mieux que ça ! Me crie Margot en y allant de sa badine.

 

J’essaie de m’appliquer mais j’ai hâte que ça finisse.

 

Ça y est j’ai léché mes trois trous du cul, je me sens salope, mais salope…

 

Nouveau coup de badine !

 

– En levrette, pédale !

 

Cette fois, c’est la phase sodo, je me marre parce que seul l’un des trois gus bande correctement, les autres vont être incapables de me pénétrer. Sinon ben, curieusement j’appréhende moins la chose que ce que je viens de faire avant. Ma chère et tendre épouse m’a plusieurs fois enfoncé des godes dans le cul et j’ai eu la faiblesse d’adorer ça, alors une vraie bite ce sera une première mais je suis prêt à assumer, d’autant que c’est un de mes fantasmes.

 

Sur les conseils de Florida, Margot vient branler celui qui a des meilleures dispositions. Elle le suce même un peu, je vous dis c’est une vraie poufiasse.

 

Le mec passe derrière moi, je sens qu’on me tartine mon cul de gel, je suppose qu’il s’encapote (je supposais bien). Et vas-y Léon, le voilà qui m’encule. Ça rentre bien, ça rentre même profond, et ça lime. Putain, c’est bon ce qu’il me fait cet enculé, non pardon l’enculé c’est moi !

 

L’esclave numéro deux vient devant moi, j’ai compris, il faut que je le refasse bander de ma bouche afin qu’il m’encule à son tour. Il y est arrivé, mais juste un peu, j’ai presque trouvé ça dommage. Par contre le troisième a été incapable de maintenir son érection. On n’a pas insisté.

 

Bon c’est fini ce cirque ?

 

Ben non, il a fallu que les deux pétasses avec un plaisir évident m’attachent sur chevalet et me rougisse le dos et le cul à coups de badine et de martinet après m’avoir torturé les tétons avec des pinces de sex-shop.

 

On me détache, Florida nous raccompagne dans la petite pièce, il y a un petit frigo que je n’avais pas remarqué, elle en sort une dizaine de saucisses de Strasbourg, puis prend deux verres à pied dans un petit placard. Elle pisse dans les verres.et nous invite à boire. Jusque-là ça va, mais que va-t-elle faire des saucisses ? Suspense !

 

Elle en prend une, se l’introduit dans le trou du cul puis l’expulse. Elle n’est pas ressortie très nette la saucisse, elle la donne à Margot, ma femme m’a déjà sucé la bite après une sodo un peu sale, donc ça ne la dérange pas trop, mais moi je n’ai jamais fait ça. La deuxième saucisse sort de son trou du cul, elle est pour moi.

 

Alors je ferme les yeux et je croque, je mâche et j’avale, en fait je n’ai rien senti de particulier.

 

Florida demande à mon épouse de se coucher sur le sol. Elle la chevauche.

 

– Tu sais ce que je vais faire ? demande-t-elle à Margot.

– Oui, maîtresse, vous allez me chier dessus.

– Tu te rends compte de l’honneur que je te fais ?

– J’y suis sensible !

 

Je rêve !

 

Un long boudin sort de l’anus de Florida et vient choir sur la poitrine de mon épouse. C’est fou de voir ça !

 

La domina détache un bout de l’étron, le lèche avec un regard vicieux avant de demander à Margot d’en faire autant.

 

Elle ne va quand même pas faire ça ? Si, elle le fait ! Et le pire c’est que ça me fait bander à ce point que ma bite en est douloureuse.

 

Elle me regarde, avec sa bouche entrouverte remplie de merde, elle me nargue.

 

– Je peux vous lécher le cul ! Demande Margot à Florida.

 

C’est pas vrai qu’elle en redemande ! Mais quelle salope ! Elle lui lèche le cul avec gourmandise. Elle me tire la langue, elle est dégueulasse.

 

– Alors elle t’a plus, ma merde ? Lui demande Florida.

– C’était un régal.

 

Florida s’amuse de voir ma bite bandée.

 

– Tu ne vas pas partir comme ça ! Robert, reviens par ici, l’esclave va t’enculer.

– Euh…

– C’est moi qui commande, encule-le et ne discute pas.

 

Ma bite est entrée comme dans du beurre dans le trou du cul de cet enfant de salaud.et excité comme un poux j’ai joui en moins de cinq minutes.

 

– Tu m’as bien enculé ! Me remercie le type.

– Je vous en prie, c’était un plaisir !

 

Faut toujours rester poli.

 

– Allez rhabillez-vous, la séance est terminée.

 

C’est ce qu’on fait, Florida a donné à ma femme des lingettes démaquillantes pour qu’elle s’arrange le visage.

 

Les deux femmes se roulent un nouveau patin avant que l’on prenne congé, moi j’ai juste droit à une poigné de main.

 

– C’est fini où il y a une suite ? Demandais-je à ma moitié .

– Non c’est fini, tu veux qu’on aille au restau parce que juste une saucisse ça fait peut-être un peu juste ?

– O.K. pour le restau, mais en fait je n’ai rien compris, pourquoi tu t’es fait dominer comme ça ? Tu la connaissais, la nana ?

– Oh, que de questions ! Tiens une brasserie alsacienne on y va, et je vais te raconter.

 

Dans la brasserie, Margot a demandé au maître d’hôtel un coin discret.

 

Flashback

 

Le récit de Margot.

 

Ça fait trois fois qu’on joue à son jeu idiot, les premières fois c’était drôle mais je crois qu’on a fait le tour de la question, il m’a exhibé dans des sous-sol de sex-shop, fait sucer des bites à la chaine, des doubles pénétrations, du pipi à gogo et des attachements pénibles. Alors je veux bien jouer une dernière fois, mais cette fois c’est moi qui vais gagner.

 

J’ai pensé l’accompagner chez une domina, mais je voulais un gros truc, qu’on l’oblige à sucer des bites et des culs, qu’il se fasse enculer, fouetter et toutes ces sortes de choses.

 

Je dégote quelques coordonnées de ces dames sur le net, et après quelques essais infructueux, je suis tombée sur cette Florida.

 

– Oui, on peut faire ça, mais ça va vous couter bombons ! me dit-elle au téléphone

– C’est combien « bombons » ?

 

Elle me l’annonce ! Je n’ai pas ce budget.

 

– Bon tant pis, c’était juste une idée comme ça, je vais essayer de trouver autre chose

– Attendez on peut peut-être s’arranger, vous avez quel âge ?

– 30 !

– Vous êtes quel genre ?

– Moi ? Fausse blonde, lunettes, normale quoi ? pourquoi vous me demandez ça ?

– Vous plaisez aux hommes ?

– Ben oui, je ne suis pas si mal…

– Et aux femmes !

– Non mais, c’est quoi ces questions ?

– Je vais vous proposer de passer me voir, juste pour voir comment vous êtes, si je vous me convenez je vous proposerais un arrangement.

– Quel arrangement ? Même à 50 % ce serait trop cher pour ma bourse.

– Non, je peux faire mieux que ça, mais répondez à deux questions. Avez-vous quelque chose contre le fait de faire l’amour avec une femme ?

– Non !

– Aimez-vous être dominée ?

– Si c’est un jeu et si on respecte mes limites…

– Oui, je connais le refrain, je vous donne mon adresse, vous pouvez passer quand ? J’habite dans le Marais.

– Tout à l’heure en sortant du boulot….

 

Elle m’a donné l’adresse d’un bistrot, le contact a été bon. Elle m’a demandé de la suivre aux toilettes, Nous sommes entrées toutes les deux dans une cabine et elle m’a demandé de me déshabiller, mais j’ai gardé mes sous-vêtements.

 

– Voilà ce qu’on va faire, vous venez avec votre mari, je commence par vous dominer devant lui, et après on exécutera votre programme. Vous ne me devrez rien, le prix ce sera votre domination, ça vous va ?

– Ça me convient très bien !

 

Fin du flash-back

 

– Mais pour les cartes ?

– J’ai acheté un bouquin sur les tours de cartes, j’ai compris comment tu faisais pour gagner, il suffisait que je fasse pareil…

 

J’en reviens pas, le serveur arrive.

 

– Ces messieurs dames ?

– La choucroute palette, il y a des saucisses ? Demande Margot.

– Non si vous voulez des saucisses, il faut prendre la choucroute saucisse ou la choucroute royale.

– Alors ce sera deux choucroutes saucisses, nous adorons les saucisses voyez-vous !

– Bien sûr, vous verrez elles sont excellentes.

– Dis donc tu aurais pu me laisser choisir ! Protestais-je.

– Tu sais bien qu’aujourd’hui c’est moi la chef !

– Je croyais que le jeu était terminé.

– Ah oui, c’est vrai ! Tu veux qu’on change ta commande ?

– Mais non !

 

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Helena Sevigsky
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Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 10:04

Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 14 – La mère d’Isabelle par Maud-Anne Amaro

zoo

Epilogue

 

Rentrés en région parisienne, Martinov et Béatrice ne se précipitèrent pas pour la mise en place des protections des fausses peintures murales. Les cotes ayant été prises, il laissèrent le soin à Justin Verrier de sous-traiter l’affaire.

 

– Ce serait des vrais peintures, j’aurais été superviser ! Déclara Béatrice, mais on ne va pas se prendre le chou pour des faux machins.

– Nous voilà presque complice d’une escroquerie ! Fit remarquer le professeur.

– Complice de quoi ? Ils voulaient des caches, on leur a fait des caches, on n’était pas censé se demander si les dessins étaient authentiques ou pas… Au fait, on est invité à l’inauguration, c’est mardi prochain.

– Tu y vas, toi ? Moi ça ne me dit rien !

– T’as pas envie de revoir Isabelle ? Et puis Solène est invitée aussi.

– Dans ce cas, je vais me faire violence.

– Il y aura aussi la mère d’Isabelle.

– La mère d’Isabelle ? Qu’est-ce qu’elle vient faire là-dedans ?

– Ah, si tu savais…

 

Sur place, une table d’honneur avait été dressée au pied de l’ascenseur végétalisé, il y avait quelque beau monde : Monsieur le maire et ses adjoints, le représentant de la chambre de commerce et quelques notables locaux. Le champagne attendait qu’on le débouche, Justin Verrier prononça un discours qui n’excéda pas trois minutes.

 

Et Béatrice, Martinov et Solène purent apercevoir trois jeunes femmes revêtues d’un tee-shirt vert sur lesquels étaient imprimé une tête d’ours surmonté d »un casque romain.

 

– Ce sont nos billettistes qui travailleront en alternance !

 

Alors ils embrassèrent Dorothée, Vicky et Mariette.

 

C’est à ce moment que Béatrice sentit qu’on lui mettait la main aux fesses. Elle se retourne courroucée et prête à tancer l’insolent quand elle réalise que cette main importune n’est autre que celle d’Isabelle.

 

– Ah tu es là, toi, je me demandais… Lui dit Béa.

– Ces cérémonies m’énervent, heureusement Justin a fait court… T’as un peu de temps, là ?

– Oui !

– Tu es notre invitée ce soir avec le professeur, mais en attendant je vais te présenter quelqu’un, viens ma voiture est à côté.

 

Et c’est ainsi que Béatrice se retrouva devant la propriété que monsieur le maire avait prêté à Justin.

 

– Eh, oui, il nous a dit que si on avait besoin… on n’a pas voulu abuser, on est pour un bout de temps ici et on a loué un petit truc un peu plus loin… Mais comme j’avais suggéré à Maman de prendre quelques vacances dans le coin… et que le maire ne peut rien nous refuser…

 

On entre !

 

– Je présente ma Maman !

 

Pas mal la maman, la cinquantaine passée, cheveux blond décoloré dans le vent, elle est en maillot deux pièces violet, elle a belle allure.

 

– Bonjour Madame !

– Non pas madame, tu m’appelle Delphine et on se tutoie ! Dit-elle en l’embrassant chastement.

– Eh bien, bonjour Delphine !

– Ma fille m’a parlé de toi ! Elle ne m’avait pas menti, tu es une belle femme !

– Bof !

– Et toi, tu me trouves comment ?

– Belle, désirable !

– Eh bien, on va pouvoir s’amuser un peu, tu veux bien ?

 

Béatrice fit un petit signe de tête accompagné d’un sourire. Bien sûr qu’elle voulait bien !

 

– Enlève moi mon haut, on sera tout de suite dans l’ambiance ! Propose Delphine.

 

Béa accède de bonne grâce à cette demande et libère la jolie poitrine laiteuse de la mère d’Isabelle.

 

– Allez mes chéries, chacune son téton, léchez-moi !

 

Situation très excitante, c’est la première fois que Béatrice voit une femme accomplir des actes sexuels avec sa propre mère.

 

– Oh là là , qu’est-ce que vous me faites toutes les deux ? Vous êtes des vraies salopes. ! Attendez on va toutes se mettre à l’aise !

 

Isabelle et Béatrice se déshabillent en toute hâte, tandis que Delphine retire son bas de bikini, dévoilant son sexe glabre.

 

Puis cette dernière s’allonge sur la canapé.

 

– Viens Béatrice, viens continuer à me lécher les seins, ma fille va s’occuper de ma chatte.

 

Le trio se met en place, Isabelle prodigue de grandes léchouilles sur la chatte maternelle, tandis que Béa se régale de ce téton qui est maintenant tout dur.

 

Et soudain la mâture se met à haleter, son corps se tétanise, elle crie, souffle un coup puis demande aux filles d’intervertir leurs places.

 

Voilà donc notre Béatrice entre les cuisses de Delphine.

 

– Occupe-toi un peu de mon petit trou ! Lui suggère cette dernière.

 

Voilà qui n’est pas un problème pour la jeune chimiste qui s’en va butiner de sa langue l’œillet fripé.

 

– Tu aimes le goût de mon cul ?

– Bien sûr !

– Il sent fort ?

– Il sent le cul !

– Alors régale toi ma bibiche, et tu as la permission d’enfoncer un doigt ! Même deux !

 

Béatrice obtempère et pilonne à qui mieux mieux le trou du cul de la mature qui ne tarde pas à se taper un deuxième orgasme.

 

– Whah, quel pied ! Asseyez-vous mes chéries, l’une à côté de l’autre, voilà, embrassez-vous maintenant comme des gouines en chaleur, plotez-vous les nichons, je vais m’occuper de vos chattes.

 

La main gauche dans le con de Béatrice, la main droite dans celui de sa fille, la Delphine branlotte les deux femmes avec une énergie qui fait plaisir à voir.

 

Quand elle sent sa fille près de l’orgasme, elle remplace sa main par sa langue et vient lui titiller le clitoris. Résultat garanti, Isabelle prend son pied, Delphine peut alors se consacrer pleinement à Béatrice jusqu’à ce qu’elle jouisse à son tour.

 

Moment calme, enfin relativement calme parce que ces dames se roulent des galoches, se caressent, se plotent.

 

Et maintenant, la surprise ! Dit soudain Delphine.

 

Béatrice se demande ce que ça peut bien être ? Un gros gâteau glacé ? Un vibro masseur à douze vitesses ? Une entrée gratuite dans une boite coquine ?

 

Eh bien non ! La surprise est un gros chien, un Bobtail noir et blanc plein de poils qui entre dans la pièce avec un air débonnaire.

 

– C’est Fuji ! Nous précise Delphine ! Vous voulez jouer avec ? Lui il veut bien jouer avec nous ! N’est-ce pas Fuji ? Viens lécher la moule de ta maîtresse ! Lui demande-t-elle en écartant les jambes et en se tripotant la foufoune.

 

Le chien déboule et se met à lécher

 

– Mettez-vous à côté de moi les filles, Béa à gauche, Isabelle à droite.

 

Delphine après s’être fait copieusement lécher, dirige le chien de façon à ce qu’il prodigue ses services à ses voisines. Puis elle passe sa main sous son poitrail dévoilant la bite bandée sortie de son fourreau, elle la tripote un moment avant d’inviter Béatrice à prendre le relais.

 

Isabelle fait coucher le chien afin que l’accès soit facilité, le visage de Béatrice, irrésistiblement attirée, s’approche de la bite du chien et ne peut s’empêcher de la porter en bouche.

Ours14

 

Le chien excité émet en continu des filets de liquide préspermatique et la jeune femme s’en régale.

 

– Je crois que j’aimerais bien me faire prendre ! Dit Béatrice.

– Vas-y, nous on connait ! Répond la mère.

 

Béatrice se met à quatre pattes, Delphine lui enduit le croupion de sa propre moulle et fait venir le chien lequel pris d’une véritable frénésie sexuelle couvre Béa en un ballet infernal la faisant jouir plusieurs fois de suite.

 

Elle sent le nœud gonfler dans son intimité et se dégage de crainte de rester collée plusieurs minutes. Mais elle n’abandonne pas le chien pour autant et finit de le sucer.

 

– Alors elle était belle ma surprise ?

– Super !

– Mais j’en ai une autre ?

 

Béatrice se demande ce que ça peut bien être, et manifestement Isabelle aussi, qui ne semble pas être au courant.

 

Les femmes se rhabillent et sortent dans le village, Delphine qui tient le chien en laisse les conduit jusqu’à une petite fermette un peu en retrait.

 

– Père Gauthier, vous êtes là ?

– J’arrive !

– On vous a ramené votre chien, on a fait une grosse balade avec lui, il en a bien profité.

– C’est une brave bête ! Commente l’homme. Ça lui fait du bien, moi je suis trop vieux pour le faire courir.

– Cadichon est là ? Je voudrais le montrer à ma fille et ma copine.

– Il est dans la remise là-bas, vous pouvez aller le voir, moi je vous laisse faut que j’aille chercher des œufs… Fermez bien derrière vous en repartant.

 

Comme le lecteur l’aura deviné, Cadichon est un âne. Il est tout gris, tout mignon.

 

Delphine le caresse, Cadichon réagit bien en pointant ses oreilles en avant. Alors la mère d’isabelle passe sa main sous le flanc de la bête et lui caresse le sexe.

 

L’animal se met à bander et offre à la vue des trois cochonnes le spectacle d’une bite d’environ 30 centimètres de long !

 

– Je n’y crois pas ! S’étonne Béatrice !

– Tu n’en n’avais jamais vu ?

– Tu sais les ânes à Paris, ça ne court pas les rues !

 

Delphine caresse à présent l’insolent phallus.

 

– Allez-y mes chéries, faites-vous plaisir.

 

Isabelle y met la main, Béatrice l’imite aussitôt.

 

– Lèche maintenant ! Dit alors Delphine à sa fille.

 

Celle-ci après avoir léché un peu la hampe attrape le sexe par l’extrémité et se met à le suçailler. Béatrice à la tête qui tourne, ne réalise pas vraiment ce qui se passe mais rejoint sa complice dans cette fellation insolite.

 

Delphine les rejoint, baisse son pantalon sous lequel elle n’a mise aucune culotte et frotte son pubis avec la bout de la bite du chien.

 

Et soudain l’âne éjacule dans un déluge de foutre, les femmes ont le temps de se reculer, mais Delphine en a avalé un peu et arbore une mine hautement satisfaite. Elle ne remonte pas son pantalon.

 

– Ça m’a trop excité, viens me lécher la moule, ma fille !

– Bien sûr Maman !

 

Et tandis qu’Isabelle se régale entre les cuisses de Delphine, Béatrice lui suce les tétons.

 

– Qu’est-ce qu’elle est bonne la chatte de ma mère ! S’exclame Isabelle, on va permuter…

 

Et c’est au tour de Béa de lécher l’abricot de cette jolie mature incestueuse.

 

– Attends, il faut que je pisse ! Dit soudain cette dernière.

– Vas-y je vais te boire !

 

Le jet doré fuse dans la bouche de la jeune chimiste qui s’en régale, qui en avale mais qui en fait aussi dégouliner sur son corps.

 

– Elle en garde un peu en bouche et quémande un baiser à sa partenaire qui accepte volontiers ce baiser doré. Isabelle, jalouse vient quémander sa part.

 

– T’es presque aussi salope que moi, Béatrice ! Lui dit Delphine.

– Y’a pas de mal à se faire du bien !

 

Et le soir, le professeur Martinov et Béatrice étaient invités chez Justin Verrier et Isabelle dans la location qu’ils avaient dégoté à la sortie de Glandville.. Delphine et Solène étaient aussi de la partie.

 

– Je suis contente de te revoir ! Déclare cette dernière à l’attention de Béatrice

– Et moi donc ! T’as retrouvé du travail ?

– Oui, je suis hôtesse d’accueil dans une multinationale.

– Et ça consiste en quoi ?

– On me demande d’être gentille avec certains visiteurs, en fait je fais la pute mais ça ne me dérange pas, ces gens-là sont parfois généreux.

– Je vois…

– Ça m’emmerde un peu cette invitation, j’aurais préféré qu’on se retrouve toutes les deux dans une chambrette pour se lécher la minette.

– On pourra toujours s’éclipser si besoin est, mais vu la composition de l’assistance ça devrait tourner en partouze.

– Mais la dame, là ?

– Delphine, c’est une coquine, pas de soucis de ce côté-là.

– Mais elle est là à quel titre ?

– Je ne sais pas trop, mais qu’importe !

 

Béatrice rechignait à lui dire qu’il s’agissait de la mère d’Isabelle, de peur que cette révélation puisse la choquer.

 

Justin avait commandé chez un traiteur de Briançon un colossal plateau de fruits de mer.

 

Celui-ci eut un beau succès et fut copieusement arrosé, on dégusta au dessert une excellente tarte aux myrtilles, il n’y avait plus qu’à attendre le déclic.

 

Et c’est Delphine qui le déclencha

 

– Savez-vous cher professeur que votre réputation est venue jusqu’à moi ?

– C’est Isabelle qui vous a raconté des choses ?

– Les démentez-vous ?

– Comme je ne sais pas ce qu’elle vous a raconté, ça va m’être difficile.

– Embrasez-moi Professeur.

 

Martinov se lève.

 

– Non, restez assis, c’est moi qui vais venir.

 

Et les voilà qui s’embrassent sur la bouche comme deux collégiens consommant leur premier flirt.

 

La main de Delphine vient tâter la braguette de notre vert professeur. Justin qui a compris ce qui se passait joue les grand seigneurs.

 

– Vous avez le canapé à votre disposition, mais si voulez vous isoler, Isabelle peut vous montrer les chambres.

– On va se mettre là un moment ! Suggère Delphine en conduisant son partenaire jusqu’au grand canapé.

– Le professeur est un gros coquin, il aime sucer des bites ! Indique Isabelle à sa mère.

– Non ?

– Si ! Tu veux voir ?

– Il va sucer qui ? Julien ?

 

Ce dernier qui a entendu la conversation se pointe après avoir retiré son pantalon et offre sa bite demi-molle à la bouche gourmande de Martinov qui a tôt fait de le faire bander correctement.

 

Eh, c’est que c’est un artiste de la pipe, notre vert professeur, titille le gland, lèche la hampe et bien sûr effectue de long va-et-vient entre ses lèvres.

 

– Eh bien dis donc, t’es un sacré suceur de bites ! commente Delphine tout excitée.

– Je te la fous dans le cul ! Propose Julien.

 

Pour toute réponse, Martinov se redresse, se retourne et offre ses fesses à son complice qui après s’être protégé comme il se doit, l’encule bien profondément.

 

Toutefois, Julien ne fit pas durer sa sodomie, la soirée pouvait être longue et il n’allait pas jouir déjà !

 

– Je vous le rend, il est à vous ! Dit-il à Delphine.

 

Voyant l’ambiance chauffer, Solène s’est jetée au cou de Béatrice et les deux femmes s’embrassent et s’enlacent.

 

Justin Verrier et Isabelle se regardent, amusés, le couple qu’il forme à la ville se retrouve ici sans mélangisme

 

– Après tout, pourquoi pas ? dit Justin en prenant sa compagne dans ses bras. Et ils s’installent sur la partie gauche du canapé, la partie droite étant occupé par Martinov et Delphine.

 

Et justement qu’est-ce qu’ils nous font ces deux-là ? Delphine a pris la direction des opérations. Elle eut tôt fait de baisser le pantalon du professeur et de mettre son vit en bouche afin qu’il bande correctement, et pour que la chose soit encore plus parfaite, deux doigts viennent farfouiller le troufignon du sexagénaire.

 

Martinov essaie de ploter, d’atteindre un bout de chair, mais n’y parvient pas, il décide donc de laisser passer l’orage, un orage bien sympathique, vous en conviendrez.

 

Delphine finit par fatiguer de la mâchoire, délaisse momentanément sa pipe, retire nerveusement sa robe sous laquelle il n’y a aucune culotte, en revanche elle a un soutien-gorge ! Va-t-elle le garder comme dans le cinéma hollywoodien ? vous pensez bien que non. Elle grimpe sur les genoux de Martinov en position de lap-dance, et demande à son partenaire de dégrafer le soutif.

 

Delphine se débrouille ensuite pour mettre son téton dans la bouche du professeur, lequel ne saurait refuser une telle offrande et se met à sucer avec gourmandise, et quand le téton droit fut suffisamment léché, ce fut au tour de l’autre. Elle n’est pas belle la vie ?

 

La belle mature ouvre la chemise du professeur et se met à lui tordre les tétons. Une caresse que l’homme adore et qui offre l’avantage de maintenir l’érection. Elle sort d’on ne sait trop où une capote lubrifiée et en recouvre la bite de son partenaire, puis s’empale dessus quelques minutes avant de ressortir. Mais c’est pour changer de trou ! La voilà qui s’encule sur la bite raide comme un bout bois de ce bon vieux Martinov.

 

Celui-ci tente de retarder la montée de sa jouissance.

 

– Je vais venir… Prévient-il

– Moi aussi ! Aaahhh ! Tu m’as bien enculé mon salaud !

 

Exténué et repus, le professeur s’endort, alors Delphine se blottit dans ses bras et le rejoint dans le sommeil.

 

– Mais c’est qu’ils ronflent ! Se gausse Justin.

– Et alors, ils sont mignons, non ? Répond Isabelle Libère ta queue, je vais faire comme ma mère, ça m’a donné des idées.

 

Alors Isabelle après avoir usé de son talent pour sucer le bite de son compagnon procéda comme sa maman, lap dance, déshabillage, empalement et jouissance.

 

Quant à Béatrice et Solène…

 

Mais où sont-elles passées ces deux-là ?

 

Chut ! Elles sont montées dans une chambre, elle savent qu’elles ne se verront sans doute plus de si tôt, alors elles en profitent, se lèchent, se caressent, se donnent du plaisir… Mais ne les dérangeons pas… et c’est d’ailleurs la fin de cette histoire !

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 10:00

Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 13 – Méga partouze par Maud-Anne Amaro

StampFFH

Jeudi 23 avril

 

Tout est prêt pour le départ, Justin et Isabelle vont encore rester quelques jours pour surveiller la mise en place de l’ascenseur, mais le professeur Martinov et Béatrice vont rentrer à Paris. Justin les accompagnera à la gare de Briançon en début d’après-midi.

 

– Et toi Solène ? Lui demande Martinov

– Je vais monter à Paris aussi, je n’ai pas pris de décision, de toute façon si je veux rejoindre Corentin, il ne va pas rester là.

– Tu vas voyager avec nous, alors !

– Oui.

 

Mais voilà que devant la grille du gite rural apparaissent trois jeunes femmes. Tout le monde reconnait Dorothée, mais seule Béatrice sait qui sont les deux autres.

 

– Bonjour ! On passait par là ! Commence Dorothée, je vous présente Vicky et Mariette, des copines de la ferme. En fait on a un service à vous demander, on peut entrer cinq minutes ?

– Entrez, vous voulez boire quelque chose ? Demande Isabelle jouant les maitresses de maison. Coca ? Bière ? Perrier ?

– Il y a une éternité que je n’ai pas bu de Coca ! En fait voilà explique Vicky, on a de l’argent pour s’acheter une chèvre, mais on a pensé qu’une deuxième chèvre se serait pas mal, mais on n’a pas d’argent pour la seconde chèvre.

– Fichtre ! S’étonne Isabelle. Et ça coute combien une chèvre ?

– 100 balles !

– Ah ben…

– En mettant 20 balles chacun, ça peut le faire ! Propose Béatrice.

– On a rien à vous donner en échange, on a que nos charmes, mais vous n’allez pas nous demandez ça, vous êtes des gens bien élevés. Reprend Vicky.

– Remarquez, on est pas farouche non plus, mais disons qu’il ne faut pas tout mélanger ! Ajoute Mariette.

– Bon tout le monde est d’accord ? Demande Béatrice.

 

Du coup, elle fait la quête, tandis qu’Isabelle va chercher des boissons.

 

Un qui a des idées salaces, c’est Justin.

 

« Pas farouches, les belettes, mais comment déclencher quelque chose sans passer pour le roi des goujats. »

 

Alors il demanda carrément :

 

– Quand vous nous dites que vous n’êtes pas farouches, nous devons prendre ça comment ?

 

Mariette embêtée finit par répondre une grosse bêtise :

 

– En fait je me suis mal exprimée, en fait je voulais dire on est très farouches.

– D’ailleurs ça se voit ! Renchérit Vicky.

 

Et tout le monde de rigoler de bon cœur.

 

– On a cru comprendre, reprend Vicky que côté sexe vous étiez plutôt libérés, non ?

– On peut dire ça comme ça ! Répond Justin

– Ben nous aussi, voilà. ! Dit Mariette

– Mais ce n’est pas parce que des gens libérés rencontrent des gens libérés que ça doit se transformer systématiquement en partouze ! Ajoute Vicky.

– Non, c’est pas systématique mais ça reste une éventualité ! Tient à préciser Mariette.

– Vous jouez à quoi en ce moment ? Demande Isabelle avec amusement.

– On se demandait… Commence Mariette

 

Mais elle s’arrête, elle ne sait plus quoi dire.

 

– Vous vous demandiez quoi ? Insiste Isabelle.

– Ben on se demandait si éventuellement on pourrait faire quelques trucs ensemble… Précise Vicky.

– Mais on n’insistera pas, ce n’est pas notre genre, on va vous laisser… Ajoute Mariette.

– Et si je vous disais que ça peut m’intéresser, ce serait à quelles conditions ! Demande Justin.

– Tout dépend du nombre de personnes intéressées, on peut faire selon… Evidemment ce serait contre un petit dédommagement.. Précise Vicky.

– Vous allez croire qu’on fait les putes, mais en fait ce n’est pas dans nos habitudes… mais parfois c’est l’occasion qui fait le larron. Ajoute Mariette.

– Et ce serait combien ? Demande Justin.

– On n’est pas trop au courant des tarifs… vous nous donnerez ce que vous voudrez.

 

Justin sort deux billets de son portefeuille et les tends à Vicky.

 

– Ça ne me regarde pas, mais ça fait peut-être un peu juste ! Intervient Solène qu’on avait pas encore entendu jusqu’ici.

– J’ai plus de liquide, Martinov, tu en as aussi.

– Je ne vais quand même pas te laisser tout seul ! Dit-il en sortant deux billets à son tour.

– Comment on fait ? Tout le monde veut participer ? Demande Vicky.

– Moi je ne participe pas, mais je veux bien regarder. Déclare Solène.

– Je suppose que vous n’avez rien contre les femmes ? Se renseigne Isabelle.

– Béatrice ne t’as pas raconté ?

– Si justement, alors pour moi c’est d’accord.

– Et moi aussi ! Ajoute Béatrice.

 

Vicky, toujours très directive, propose à tout le monde de se mettre à poil, ce que tout le monde fait à l’exception de Solène.

 

– Ah ! Intervient Mariette, on voudrait vous demander un petit plus : On s’est laissé dire que vous, les deux messieurs, vous faisiez aussi des trucs ensemble. On pourra voir ?

– Pas de problème ! T’es d’accord Martinov ?

– Bien sûr.

 

Le professeur se demande qui va s’occuper de lui, difficile, certes Mariette à la plus belle poitrine, mais Vicky dégage un charme sauvage…

 

Mais c’est vers Justin que Vicky se dirige, elle l’enlace, l’embrasse, et lui tripote les tétons. Bien sûr il se laisse faire et lui rend la pareille.

 

Dorothée est allée trouver Béatrice et Isabelle sur l’air de « coucou me revoilà ! ». Et en instant les corps se mélangent, les mains tripotent et les bouches embrassent, lèchent et sucent.

 

Prise de vitesse, Mariette n’a pas d’autre choix que de venir solliciter le professeur Martinov qui l’accueille en lui soupesant les nénés.

 

– Ben dis donc tu bandes bien, toi ? Lui dit-elle

– Faut pas se plaindre !

– C’est la première fois que je vais sucer une bite de vieux !

– Ça ne t’embête pas, j’espère ?

– Mais pas du tout ! D’ailleurs t’as pas une bite de vieux ! Attention, je vais la mettre dans la bouche !

– Hum tu suces bien ! Tu peux me pincer un peu mes tétons en même temps ?

– Mais bien sûr Milord !

 

Un peu plus loin, Vicky s’activait sur la bite de Justin, la suçant en de long va-et-vient dans sa grande bouche gourmande, tandis que son doigt lui pénétrait l’anus.

 

– Ne jouis pas, je veux te voir faire des choses avec le petit vieux.

– Ne t’inquiètes pas, on va te faire ça comme des chefs tu vas t’en foutre plein les mirettes .

 

Toutes ces petites saynètes finissent par exciter la belle Solène qui se dit que décidemment rester spectatrice n’est peut-être pas une excellente idée.

 

Alors elle se déshabille complètement et s’approche des partouzeurs et c’est sans doute inconsciemment qu’elle s’approche du couple formé par Justin et Vicky.

 

– W?h ! T’es super bien gaulée, toi ? La félicite cette dernière.

– J’ai été mannequin, ma chère !

– Tu t’es mis à poil pour mieux regarder ou tu veux participer un peu ?

– Devine !

– Approche toi de nous. Tu sais je n’ai jamais caressé une black

– Il parait qu’on a la peau douce !

– Voyons voir ! Ne t’inquiète pas, Justin, je ne t’abonne pas, je fais seulement un petit câlin a cette charmante personne.

 

Vicky commence par caresser les doux bras de la jolie métisse, parce qu’il faut bien commencer par quelque chose, puis s’attaque de suite à sa magnifique poitrine dont elle lèche les bouts avec délectation

 

– C’est fou ça ! Dit soudain Solène.

– C’est quoi qu’est fou ?

– Tu ne vas pas me croire, mais jusqu’à ces quinze derniers jours, aucune femme ne m’avait caressé, je veux dire caressée comme tu me le fais.

– Et qu’est ce qui t’as fait changer d’avis ?

– Un concours de circonstances, c’était dans la grotte, j’étais avec Béa, elle m’a aguiché, moi j’étais stressée, l’esprit ailleurs, elle m’a proposé un massage, elle m’a tripoté le cul et les choses se sont enchaînées. Je le regrette pas, j’ai découvert quelque chose, même si je préfère les bites.

– On le suce à deux ?

– Bien sûr, mais il ne faudrait pas qu’il jouisse

 

Et c’est donc deux langues qui s’occupent maintenant de la bite de Justin. Il se demande s’il va être capable de se maîtriser. Sinon il faudra attendre un petit délai, le temps qu’il recharge les batteries, mais ces demoiselles l’attendront-ils ?

 

Mais voilà que Mariette arrive tenant pas la main le professeur Martinov.

 

– Les garçons vous nous aviez promis une petite démonstration…

 

Solène et Vicky ont lâché leur proie, laissant la place disponible pour Martinov.

 

– Non, non, il faut que je fasse reposer Popaul un petit peu, c’est moi qui vais te sucer. Propose Justin

 

Qu’à cela ne tienne ! Les deux hommes permutent et Justin vient sucer le professeur pour le grand plaisir des yeux de Mariette et Vicky qui n’ont jamais eu l’occasion d’assister à ce genre de spectacle en live.

 

– Alors qui c’est qui encule l’autre ? demande Vicky.

– Euh, les capotes ! Quelqu’un sait où sont les capotes.

– Sur le buffet ! Lui répond Isabelle, interrompant un moment le cunnilingus qu’elle était en train de pratiquer sur la chatte de Dorothée.

 

Les deux hommes se demande qui va baiser l’autre. Mariette intervient pour les départager.

 

– J’aimerais bien que ce soit Martinov qui encule Justin.

 

Comme c’est demandé fort gentiment, le professeur qui aurait tout de même préféré le contraire, vient lécher l’anus de son complice puis s’encapote et le sodomise en cadence sous les encouragements des petites rebelles.

Ours13

Il ne va pas jusqu’au bout, souhaitant conclure avec Mariette, à moins que les filles décident de permuter…

 

Effectivement !

 

– Tu me le laisses ! Demande Mariette à sa petite camarade qui accepte.

– Tu viens sur moi ? Propose alors Martinov à Vicky en se couchant sur le dos affalé sur le canapé après avoir changé de préservatif.

 

Vicky s’empale alors sur le vit bien bandé du professeur et commence une série de « montée-descente » aux termes desquels l’homme finit par éjaculer en suant comme un bœuf

 

A côté Mariette s’est placé en levrette et subit les coups de boutoir de Justin qui après quelques mouvements dans son vagin a choisi de terminer dans son cul.

 

Dorothée, Béatrice et Isabelle se sont retrouvées sur le sol complètement emmêlées à ce pont que Béa est un moment incapable de savoir à qui appartient le doigt qui lui trifouille l’anus

 

Mariette a pris son plaisir, mais ce n’est pas le cas de Vicky qui agrippe Solène par la main en lui disant :

 

– Fais-moi jouir !

 

Alors la belle métisse plaque son visage sur la jolie chatte de Vicky, lui lape la mouille qui coule d’abondance et l’emmène au paradis

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 09:55

Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 12 – Solène, Martinov, Caribou… par Maud-Anne Amaro

Solene

 

– Alors t’as pris une décision ? S’amusa à lui demander Béatrice.

– Non toujours pas, Répond Solène, Donc pour l’instant je reste là et puis j’ai fait une promesse à Martinov, je tiens toujours mes promesses.

– Je ne te demande pas quelle promesse ?

– J’ai toujours eu un faible pour les petits vieux…J’ai envie d’être salope, je l’ai toujours été un peu, mais avec toi, ça ne s’est pas arrangé.

– Alors bonne bourre !

– Au fait il est comment Martinov au plumard ?

– Doux comme un agneau !

– Super !

 

Rémy dans un accès de colère envisagea d’abord de traîner le corps de Caribou jusqu’au bord du précipice et de l’y balancer au fond, .mais se dit ensuite qu’il culpabilisait déjà avec la mort de Louison et qu’il était inutile d’en rajouter.

 

– Et puis je voudrais quand même savoir pourquoi il venait m’agresser au chant du coq .

 

Rémy allongea donc Caribou dans un coin de sa baraque, il n’eut pas l’idée de l’attacher et s’en alla vaquer à ses occupations matinales.

 

Caribou finit par se réveiller avec un affreux mal de tête, il s’étonna d’être toujours en vie, constata l’absence temporaire de Rémy et remarqua que celui-ci avait posé son gourdin pas trop loin.

 

– C’est peut-être ma dernière chance !

 

Et quand Rémy revint, celui-ci ne se montrant pas méfiant pas reçu un coup de gourdin en plein visage et tomba sans connaissance. Juste retour des choses !

 

Caribou commença par se chercher à boire, trouva une bouteille de mauvais vin et s’en envoya un rasade. Un vieux saucisson lui calma un peu sa faim. Il chercha du tabac mais Rémy ne fumait pas.

 

Caribou s’empressa de lui emprunter des vêtements, mais quand il voulut enfiler ses chaussures, ce fût la catastrophe, Rémy faisait deux pointures de moins que Caribou et ses chaussures étaient impossibles à enfiler.

 

– Putain, mais c’est pas vrai, se faire emmerder comme ça par une paire de pompes, il ne peut pas avoir des pieds comme tout le monde, cet abruti !

 

De rage, il balança les chaussures dehors et se mit à fouiller dans l’incroyable fouillis de la cabane de Rémy, il trouva une paire de basquets en très mauvais état et évidemment trop petites.

 

« Je suis trop con, comme si j’allais trouver des godasses à ma taille dans son merdier ! »

 

L’idée lui vint cinq minutes après, il récupéra la paire jetée dehors, trouva des ciseaux avec lesquelles il ouvrit l’extrémité puis retira le contrefort du talon.

 

– Ce n’était pas terrible mais en attendant mieux… Et maintenant que faire ?

 

Il envisagea d’abord d’aller tout de même à la ferme, Louison y avait laissé ses affaires et peut-être possédait-il des chaussures de rechange ? Mais cela supposait toute un procédure, attendre que ces demoiselles s’en aille faire un tour … non l’interminable attente devant la cabane de Rémy l’avait vacciné.

 

– Je vais me barrer d’ici, j’en ai trop marre…

 

Il décida malgré tout d’aller voir du côté de la grotte si parfois il lui venait une idée .

 

Il a du mal à s’approcher, le site étant encombré par l’échafaudage renversé. Il parvint néanmoins au pied de la paroi, il découvre un piton à moins de deux mètres, puis d’autres espacés d’environ 80 centimètres.

 

– Si j’essayais de grimper ?

 

Il essaie. A force de volonté et de ténacité, il parvient à la hauteur de la grotte et n’en est pas peu fier.

 

Sauf qu’arrivé presque en haut, sa chaussure droite se met à chasser, impossible de la redresser dans sa position, il tente de bouger son pied avec le minimum de mouvements.

 

Peine perdue, la chaussure dégringole.

 

– Il y a des jours où tout va mal !

 

Il n’a pas pris de torche et ne peut apercevoir les fausses peintures de Verrier qui de toute façon ne sont pas dans la première salle.

 

– Mais c’est quoi ce bordel ? Il n’y a rien dans cette grotte !

 

Il décide de se reposer un peu avant de redescendre

 

Il lui faut d’abord essayer de régler le problème de son pied droit. Il a l’idée de déchirer le tee-shirt piqué chez Rémy et d’en faire des bandelettes mais le résultat le déçoit :

 

– Ça va glisser ce truc-là, autant laisser le pied nu.

 

Et le moment venu, il cherche du pied son appui sur le premier piton.

 

– Je fais .comment après ?

 

En fait, Caribou est saisi du syndrome du chat perché, celui qui peut monter mais s’avère être dans l’incapacité de redescendre.

 

Il se fait violence pour essayer, mais la phobie du vide l’envahit et le fait renoncer.

 

Il panique, ne sait que faire, finit par gueuler des appels au secours que seul l’écho de la montagne daigne lui répondre.

 

Alors il attend, il ne sait pas ce qu’il attend mais il attend. Il a soif et se rend compte que cela va poser un sacré problème. Il ne voit pas comment signaler sa présence et se met à effectuer des moulinets stupides avec les bras tout en braillant comme un veau qu’on égorge.

 

Pas moyen non plus d’explorer la grotte dont le fond est noir comme du charbon.

 

– Si seulement j’avais un briquet, mais je n’ai rien du tout.

 

Il resta ainsi jusqu’à la tombée de la nuit, sans que rien ne se passe et finit par s’endormir.

 

Solène

 

Solène ne s’est pas douchée après sa petite sauterie avec Béatrice ! Non elle veut garder l’odeur de leurs ébats.

 

Elle cherche Martinov qui prend le soleil sur une chaise pliante devant l’entrée du gîte en lisant un bouquin..

 

Elle a envie d’être salope, aussi c’est sans préambule qu’elle s’approche du professeur en lui mettant carrément la main à la braguette.

 

– Alors papy, je t’avais fait une promesse, je tiens toujours mes promesses. On y va ?

– Là comme ça, tout de suite ?

– Ben oui ! Allez debout, tu ne vas pas le regretter ! Je vais mettre toute ta bite dans ma bouche !

– J’en frémis d’avance !

 

En chambre, Solène ne s’embarrassa pas de procédure et se retrouva à poil en deux temps et trois mouvements.

 

– Alors Je te plais ?

– Vous êtes très belle ! Superbe, même !

– Tu peux me dire « tu » !

– Alors, t’es superbe !

– Tu vas pouvoir me caresser et me baiser, mais t’attends quoi, t’es pas encore à poil ?

 

Il se dépêcha donc de se déshabiller, conscient que son corps fatigué faisait pâle figure en compagnie de ce canon. Il se demanda ce qu’elle pouvait bien lui trouver.

 

Solène s’est assisse sur le bord du lit, Martinov s’approche doucement pendant qu’elle l’attend pour le sucer.

 

– Assis-toi à côté de moi, mon pépère. Tu te demandes pourquoi je t’ai embarqué avec moi ? C’est ça ?

– Un peu, oui !

– Je vais te dire ! Tu sais quand je t’ai vu sucer la bite de Justin, je ne sais pas ce que ça m’a fait, j’ai ça trouvé tellement érotique, pervers, je ne trouve pas les mots, mais ça m’a excité un max. Tu fais ça souvent ?

– En fait, non je ne cherche pas, mais quand j’ai l’occasion…

– Et tu aimes ça sucer des bites !

– Oui j’aime bien.

– Et tu fais ça depuis longtemps.

– Non, j’ai eu quelques expériences au collège, j’ai sucé quelques bites avec plaisir, mais ça ne m’empêchait pas de mater les filles. Un jour j’ai emmené à la maison un camarade de classe qui était aussi obsédé que moi, mes parents n’étaient pas encore rentrés. On s’est sucé et un moment le gars m’a proposé qu’on fasse « une bite au cul », c’était ses paroles exactes. Mais je me suis dégonflé, après je l’ai regretté et j’ai longtemps fantasmé là-dessus.

– Tu n’as pas concrétisé ?

– Non pas à l’époque, en fait je culpabilisais un peu, je ne trouvais pas ça « normal », alors j’ai eu quelques copines, un gros chagrin d’amour… mais je ne vais pas te raconter ma vie.

– Mais la sodo t’a concrétisé quand ?

– Un jour nous étions avec Béatrice à démêler une histoire très compliqué, un curé qui faisait pleurer des larmes de sang à une statuette de la Vierge Marie…

– Non ?

– Si, si je t’assure ! Le curé était en fait un espèce d’escroc, mais l’affaire s’est bien terminée, on s’est retrouvé à quatre dans une chambre d’hôtel, on venait de vivre des moments difficiles, très pénibles, on avait tous envie de déstresser, et puis ça a été un concours de circonstances. Toujours est-il que j’ai sucé le curé et que je me suis laissé sodomiser. Je ne l’ai pas regretté (voir Professeur Martinov et la vierge de Cardillac)

– Tu sais j’ai adoré vous regarder, Justin et toi quand vous vous êtes enculés.

– T’es une coquine, toi !

– Reste assis comme tu es, je vais te chauffer un peu et après je veux que tu m’encules, j’ai apporté des capotes.

 

Solène se mit à genoux entre les jambes du professeur et englouti sa bite tandis que ses mains lui attrapaient les tétons afin de bien les tortiller.

 

C’est qu’il bandait fort notre vert professeur !

 

– Hum, j’adore ça sucer des bites ! Commenta Solène. On est tous les deux des suceurs de bites.

– Hi Hi !

Dis-le que tu es un suceur de bites !

 

« Si ça peut lui faire plaisir… »

 

– Je suis un suceur de bites.

– Couche-toi sur le lit, je vais te faire un truc… non, non laisse tes jambes comme ça, voilà.

 

Solène mouille deux doigts et les introduit directement dans l’anus du professeur qui pousse un « Oh » de surprise mais apprécie la chose.

 

– Tu aimes mon doigt dans ton cul !

– Oui, oui, continue !

– C’est normal que tu aimes ça, tu es un petit enculé, non ?

– Si tu veux !

– Au moins t’es pas contrariant, toi ! Allez maintenant c’est à toi de jouer, je veux que tu m’encule aussi bien que tu as enculé Justin.

 

La belle se mit en levrette et attendis l’assaut, mais Martinov est subjugué par la beauté de son fessier dans cette position obscène.

 

– T’attend quoi ? La chute des feuilles ?

– Non j’admirais tes fesses, elles sont superbes ! Je peux lécher un peu !

– Mais bien sûr mon pépère !

Ours12

 

Alors le professeur se régale en humectant l’anus de la blackette de sa langue. Puis ne pouvant pas faire ça éternellement il s’encapota et la sodomisa.

 

L’affaire ne traîna pas, Solène était excitée à la fois par la situation et par les coups de boutoir que lui portait Martinov. Elle jouit dans un râle, il en profita pour accélérer et terminer sa petite affaire.

 

– Enlève ta capote, je vais te nettoyer la bite, j’adore lécher du sperme.

 

Un beau trip, mais ce qui rendit le professeur tout chose c’est quand Solène avant de quitter la chambre le gratifia d’un long baiser baveux.

 

Lundi 20 avril

 

Rémy reprit conscience avec la haine au cœur. Que signifiait cet acharnement avec lequel Caribou le harcelait ? Il avait fait ce qu’on lui avait demandé, alors il était où le problème ? Au fait que quand l’échafaudage était tombé, il y avait du monde dans la grotte. Une faute peut être mais pas de nature à justifier cette hargne contre lui.

 

Il ne comprenait pas, mais il lui semblait qu’il devait y avoir un autre rapport avec la grotte. Quel rapport ? Il lui faudrait le découvrir.

 

Alors il se dirigea en sa direction, ne vit rien mais ne s’avoua pas vaincu. Il s’assit en pleine nature à la façon des moines bouddhistes et attendit. Au bout d’une heure, peut-être davantage, il aperçut une silhouette s’agiter à la sortie de la grotte.

 

– Caribou ! Je ne sais pas comment il est arrivé là-dedans mais on dirait bien qu’il est coincé. Qu’il crève !

 

Au petit matin, souffrant de froid, de faim et de soif, Caribou commence à désespérer. Il ne voit aucune issue sinon la mort.

 

« J’attends encore un peu et j’essaierai de descendre, crever pour crever je préfère tomber dans le vide que de crever ici. »

 

Mais il n’arrive pas à se décider et passe une deuxième nuit comme la première.

 

Mardi 21 avril

 

Caribou comate. Il n’a aucune notion de l’heure mais perçoit d’étranges cliquetis métalliques, il se précipite au bord de la grotte, et aperçoit deux ouvriers casqués en jaune. Des types venant récupérer les éléments de l’échafaudage. Il crie, il gesticule et on finit par le voir.

 

– Venez me chercher, je suis coincé, je suis malade.

– Vous avez fait comment pour monter ?

– Peu importe, je ne peux pas redescendre, prévenez les secours.

 

Remy vit l’hélicoptère se diriger vers la grotte il s’approcha et pu voir les secours tracter le corps de Caribou.

 

– On est pas près de le revoir dans le coin, ce connard !

 

Il se rendit à la ferme, rencontra très brièvement Vicky et Mariette, les informant que si elles avaient besoin de ses services, il était toujours disponible.

 

Elle lui répondirent froidement que pour l’instant elles n’avaient pas besoin de lui et qu’il n’était vraiment pas souhaitable qu’il revienne trainer par là.

 

– Les femmes sont méchantes… ronchonna-t-il en s’en allant, dépité

 

L’hélicoptère emmena Caribou à l’hôpital de Briançon. On diagnostiqua une déshydratation et un état de choc. Quand les gendarmes tentèrent de l’interroger, ils renoncèrent assez rapidement.

 

– Vous n’avez pas de papiers ?

– Elles m’ont tout pris, les salopes

– Qui ça ?

– Vicky et Mariette elles se sont alliées avec la bourgeoise pour détruire la montagne.

– Hum, et comment vous êtes arrivé dans cette grotte ?

– J’ai grimpé.

– Mais pourquoi ?

– Pour protéger la montagne… On ne doit pas toucher à la montagne, la montagne c’est sacré, vous entendez ça : sacrée ! SACREE !

– On se calme !

 

On lui administra un sédatif, les interrogatoires suivants ne donnèrent rien, on l’identifia à l’aide de ses empreintes digitales, le type était connu des services de police pour des délits mineurs tous commis en région parisienne, mais n’était pas recherché. et au bout de quelques jours les médecins décidèrent son transfert en établissement psychiatrique.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 09:51

Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 11 – Au bonheur des brouteuses par Maud-Anne Amaro

bisou1719

– On a un projet, on va t’expliquer, parce que maintenant que tu es là, tu vas nous aider.

– C’est quoi ? Demanda Dorothée avec appréhension

– On va acheter une chèvre et faire des fromages, on verra bien ce que ça donne. Donc on voulait l’acheter à deux, mais maintenant qu’on est trois…

– J’ai peut-être une autre idée ! La chèvre elle va s’emmerder, ce serait bien qu’elle ait une copine.

– Pas assez de sous.

– Je vais demander à mes bourges ! C’est combien une chèvre ?

– Dans les 100 balles

– Ils sont cinq, ils peuvent bien me filer 20 balles chacun.

– Pourquoi pas, tu t’occupes de ça ?

– Bien sûr !

– Alors viens nous embrasser.

 

Mais c’est que les bisous de Vicky ne sont jamais innocents… Parce que pendant l’étreinte les mains deviennent baladeuses, très baladeuses même !

 

– T’as baisé avec les bourges ?

– Oui et vous deux vous avez fait quoi avec Béatrice ?

– Elle ne t’as pas raconté ?

– Juste un peu.

– Si on allait sur le grand lit, on sera mieux pour se raconter des trucs ! Propose Vicky.

 

Mariette et Dorothée ne sont pas folles, elles savent très bien que sur le lit, elles ne vont pas se contenter de faire de la parlotte.

 

Ce sont les garçons qui ont encouragé les filles à développer leur tendances homosexuelles, mais le scénario était souvent le même, quand ces demoiselles se gouinaient, pas moyen de les laisser tranquilles, il fallait toujours qu’un mâle en rut se jette sur elles, la bite en avant. Elles étaient donc obligées de se planquer ou d’attendre que l’homme ait joui pour bénéficier d’un peu d’intimité féminine. Autant dire que dans ce contexte, faire du trio lesbien s’apparentait à une gageure.

 

Une fois sur le lit, les trois filles ne s’y couchèrent pas, et restèrent à genoux. Vicky et Dorothée se dégagèrent mutuellement un sein. Mariette derrière elles attendait son tour. Vicky lécha furtivement le téton de sa vis-à-vis, avant de la dépoitrailler complètement, tandis que Mariette cherchait les lèvres de la petite rousse.

 

Ces demoiselles n’arrêtent pas de se léchouiller les tétons et de se rouler des galoches et se débarrassent de leurs derniers vêtements.

 

Dorothée est vraiment le centre d’attraction du trio, et elle en ressent une grande fierté.

 

« C’est moi la vedette ! »

 

Vicky et Mariette font allonger Dorothée sur le dos et lui écarte les cuisses. Vicky vient alors lui doigter la chatte, tandis que Mariette l’embrasse et lui plote et lèche les seins. La main de Dorothée part à la rencontre de la chatte de Mariette et la tripote avec énergie.

 

Vicky retire ses doigts dégoulinant de mouille et les offre à lécher à Dorothée. La place devient libre pour Mariette qui se jette à son tour sur la chatte offerte, langue en avant.

 

Le ballet infernal se poursuit, Dorothée a soulevé son bassin rendant ainsi son anus bien visible. La vue de ce petit trésor attire irrésistiblement Vicky qui vient le butiner de sa langue agile, puis après les avoir mouillés, lui introduit deux doigts.

Ours11b

 

 

– Oh, oui, c’est bon ! Ramone-moi bien le cul, mon cul de salope !

– Comme ça ?

– Oui, encore !

– Conserve la position, je vais chercher le gode.

 

Il n’était pas bien loi et Vicky eut tôt fait de l’introduire dans le trou du cul de la jolie Dorothée, elle la pilonne ainsi pendant plusieurs minutes tandis que Mariette passée devant elle lui pelote les seins et l’embrasse. A ce régime la petite sauvageonne ne tarde pas à jouir bruyamment, laissant s’échapper un flot de mouille de son intimité.

 

Vicky retire le gode

 

– Regarde-moi cette salope, elle a tout dégueulassé le gode avec le jus de son cul.

– Fais voir ! Demande Mariette qui s’emparant du gode se met à le lécher avec gourmandise.

 

Vicky fait se retourner sa partenaire et se déchaine ensuite à grands coups de langue sur sa chatte.

 

En agissant ainsi, Dorothée ne tarde pas à jouir de nouveau. Les files s’embrassent encore une fois.

 

Vicky se met en levrette offrant sa chatte à ses deux amies. Mariette vient la branler tandis que Dorothée se place en dessous et recueille la mouille qui dégouline de sa chatte.

 

Après avoir joui, Vicky ne change pas de position, Dorothée comprend qu’elle va pisser, et c’est avec gourmandise qu’elle recueille ce nectar dans sa bouche, pendant que Mariette se termine toute seule comme une grande.

 

Dimanche 19 avril

 

Intéressons-nous un peu à Caribou toujours planté à quelques mètres de la cabane de Remy….

 

Les premières lueurs de l’aube apparurent rapidement, la visibilité s’améliorait, du coup le coq y alla de son cocorico matinal.

 

– Connard de volaille ! Pourvu que ça ne réveille pas l’autre débile !

 

Il avança prudemment à quatre pattes, trouva en chemin une grosse pierre qui irait bien et se retrouva devant la porte. Il la poussa, elle grinçât, mais elle ne s’ouvrit pas.

 

– Merde, il s’est barricadé !

– Y’a quelqu’un ? Gueula Rémy à travers la porte.

 

Caribou modifia son plan en conséquence, il ferait en sorte que Rémy ouvre sa porte et l’assommerait à ce moment-là. Il tambourina nerveusement.

 

– C’est qui, c’est quoi ?

– Police ! Répondit Caribou en prenant un accent vaguement bourguignon.

 

Rémy décadenasse la porte et sort muni d’un gros gourdin. Les deux hommes se font face, Rémy tient son bout de bois devant son visage, empêchant Caribou de lui jeter la pierre. Moment d’hésitation fatal, Rémy frappe violement son adversaire qui tombe dans les pommes.

 

– Qu’est-ce que je vais en faire ?

 

A Briançon, Corentin se morfond, il a conscience d’avoir été mauvais dans cette aventure, il ne pense pourtant pas être quelqu’un de méchant, mais ne dit-on pas que des situations particulières peuvent générer des comportements inhabituels ?

 

– Cette bande d’abrutis pourrait tout de même le comprendre, non ?

 

Ce n’est pas tellement la perte du contrat avec Justin Verrier qui l’attriste, des contrats, il en trouvera d’autres, mais la rupture avec Solène pour laquelle il s’était réellement entiché. Il se dit alors sans trop y croire qu’il pouvait toujours essayer d’arranger les choses.

 

Il commença par contacter la gendarmerie et leur annonça qu’il retirait sa plainte, ça tombait bien, les gendarmes n’ayant plus l’intention d’y donner suite.

 

Il envoya ensuite un message à Solène sur son téléphone :

 

« J’ai été complètement nul pendant l’épisode de la grotte, j’ai pété les plombs et je le regrette sincèrement, je te demande d’accepter mes excuses. J’envoie aussi un message en ce sens à Verrier en lui demandant de le faire suivre à Martinov et sa collaboratrice. Peut-être pourrions-nous oublier cet épisode malheureux et se rencontrer autour d’un verre ? ‘Je suis encore à Briançon. Je t’embrasse.

 

– Regardez ce que je viens de recevoir ! Lance Solène à la cantonade, attendez je vais vous le lire….

– Et tu vas faire quoi ? Demande ensuite Isabelle.

– Je ne sais pas trop. Ce mec se dit amoureux de moi, mais ce n’est pas réciproque. D’un autre côté il me paye bien…

– Je viens aussi de recevoir un message. Intervint Verrier. Je suppose qu’il veut récupérer son contrat, qu’il aille se faire foutre, je n’ai plus besoin de lui… et puis s’il croit que je vais oublier qu’il m’a pété la gueule !

– Il dit qu’il a pété les plombs… dit Solène

– J’m’en fous, je ne veux plus entendre parler de cet abruti ! Et toi Solène, tu vas faire quoi ?

– Solène elle réfléchit ! Beatrice je peux te causer cinq minutes ?

– Mais bien sûr ma biche !

 

Et les deux femmes gagnèrent le couloir..

 

– Je n’arrive pas à me décider.

– Et tu voudrais un conseil… tu sais les conseils c’est toujours délicat, c’est difficile de se mettre à la place des gens.

– Non c’est pas ça, ce qu’on a vécu m’a changé, l’épisode de la grotte, on s’en souviendra toute notre vie, mais c’est surtout tes coquineries qui m’ont changé.

– N’exagérons rien…

– Je ne suis pas née de la dernière pluie, je devais avoir des prédispositions, mais j’avais surtout des réticences, et hier j’en avais encore. Seulement cette nuit, je n’arrivais pas à dormir, alors j’ai fantasmé et dans mon fantasme, j’étais en train de te lécher la chatte.

– Alors ?

– Alors j’aimerais le faire pour de vrai.

– Et ça va t’aider à prendre une décision ?

– Qui sait ?

– Je ne voudrais pas te prendre en traitre il faut que tu saches une chose, on peut faire comme tu as dit, mais n’espère pas une liaison, Je ne m’attache pas.

– J’ai envie de te lécher, Béatrice ! Très envie !

– Une envie comme ça ?

– Oui je ne sais pas ce qui m’arrive…

– Ben on va arranger ça…

 

Il y avait pas mal de chambres dans ce gite, Béatrice s’en était choisi une pour elle toute seule et y emmena Solène.

 

Sitôt entrée dans la pièce, cette dernière se jeta dans les bras de sa nouvelle amie et l’embrassa avec passion.

 

– Eh bien, tu pètes la forme, on dirait ! Lui fit remarquer Béatrice.

– Ben oui ! On fait comment ?

– Ben on va commencer par se mettre à poil, mais attends, je vais te donner un coup de main.

 

Béatrice entreprend de lui défaire un par un les boutons de son chemisier.

 

– T’aurais pu te mettre quelque chose de plus décontracté pour venir à la campagne, S’amuse-t-elle.

– C’est Corentin, quand je l’accompagne il veut toujours que ce je dois BCBG, il parait que ça impressionne les interlocuteurs.

– Ah bon ! Oh le joli soutien-gorge !

 

Rouge et noir en fine dentelles.

 

– Tu ne l’avais pas encore vu ?

– Euh, j’ai pas dû faire attention, bon je dégrafe.

 

Elle le fait, puis tout en restant derrière Solène elle lui pelote les seins à pleines mains

 

– Hum, quelle belle poitrine ! Regarde-moi-ça ces petites tétons qui ne demande qu’à pointer ! Dit-elle en les serrant entre les doigts.

– Plus fort ! Pince-les, tortille-les.

– Tu ne vas me dire que tu es maso ?

– Juste un peu, Aie !

– Je t’ai fait mal ?

– Oui, mais je ne t’ai pas dit d’arrêter.

– Ah moi de t’enlever le haut ! Décida Solène après une petit moment.

 

Mais elle se contenta de retirer le tee-shirt de la belle chimiste, laissant à celle-ci le soin d’enlever son pantalon.

 

Le déshabillage mutuel continua ainsi jusqu’à ce que les deux femmes fussent nues.

 

– Allez, Béatrice, allonge-toi sur le lit, j’ai envie de m’occuper de toi.

– D’accord, mais je vais aller d’abord chercher une serviette…

– Une serviette ?

– Ben oui, la mouille ça tache !

 

Béatrice étant revenue et installée, Solène commença par la caresser partout, puis par lui téter ses bouts de seins. Ça tombait bien l’assistante de Martinov adorait que l’on lui tripote les tétons et cela lui provoquait des frissons de plaisir.

 

Au bout d’un moment Solène lui demanda de se retourner, tout simplement parce qu’elle avait envie de lui ploter les fesses. Elle les caresse, elle les embrasse, puis les écarte, veut jouer avec l’anus, mais y renonce. Elle n’est pas prête pour ça, pas aujourd’hui.

 

– Allez, remets-toi sur le dos, je vais te bouffer la chatte.

– Bon appétit !

 

Avant de s’installer dans la position adéquate, Solène regarde les doigts de pieds de sa partenaire manucurés en bleu gris fluo.

 

– Il est joli ton vernis ! T’a trouvé ça où ?

– A Paris un magasin qui fait du discount pour les produits de beauté, je sais y aller mais je ne n’ai pas mémorisé le nom…

– Tu crois que ça le ferais avec ma peau ?

– Y’a pas de raison.

– En tous cas ça te fait des jolis pieds !

– Embrasse les !

– Que je t’embrasse les pieds !

– Ben oui !

– T’as plein d’idées bizarres, toi ?

– On t’as jamais léché les pieds ?

– Non ! Un mec m’avait demandé, mais je ne l’ai pas fait.

– Juste un bisou !

 

Solène se penche et embrasse le dessus du pied droit.

 

– Comme ça ?

– Oui ! Essai de mettre le gros orteil dans ta bouche, et tu le suces comme si c’était une petite bite.

– N’importe quoi ?

– Ben quoi, tu peux bien essayer !

 

Elle le fait, prend tout l’orteil dans sa bouche et l’imbibe de sa salive…

 

– Tu me fais faire de ces trucs…

– Allez je ne dis plus rien, fais-moi ce que tu veux.

 

Elle vint alors entre les cuisses, de Béatrice, écarta ses lèvres et vint butiner se chatte. Evidemment Solène manquait cruellement d’expérience, mais une femme n’est-elle pas la mieux à même de guider une autre femme vers son plaisir ?

 

Et quand Béatrice commença à gémir sous la langue diabolique de sa partenaire, elle quémanda :

 

– Le clito, le clito !

 

Trente seconde après elle jouissait, dans une torrent de mouille.

 

– Finalement c’est délicieux de sucer de la chatte, ça ne vaut pas une bonne bite, c’est différent, mais tu m’as vraiment fait découvrir quelque chose !

 

Evidemment La moindre des choses que pouvait faire Béatrice était de lui rendre la pareille, et après un moment calme, quelques caresses, pas mal de bisous et une cigarette, elles se mirent à bavarder comme des pies.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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