Lundi 1 novembre 2021 1 01 /11 /Nov /2021 18:01

En revenant de Paris par Belle-Cour

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Je revenais de Paris après un week-end plutôt ennuyeux chez ma tante dont je venais de faire connaissance après 19 ans de vie.

 

Je montais dans le TGV et m'apprêtais un voyage plutôt ennuyeux à écouter ma musique et à faire des mots fléchés quand une belle blonde mature pris place juste devant moi.

 

Le train démarra et discrètement je commençais à loucher sur ma voisine. Elle avait les cheveux longs (fausse blonde), des yeux verts magnifiques, portait un tailleur vert amande et un décolleté à faire bander un monastère. Elle devait avoir une quarantaine d'années peut-être plus et était fort bien conservée. Rien qu'à la regarder mon sexe commença à grossir et à former une bosse sur mon pantalon. 

 

Elle avait sorti la plaquette et avait commencé à travailler sur son pc portable lorsqu'elle fit tomber un tas de feuille devant elle. Elle se pencha sur moi et essaya de les attraper mais n'y arrivait pas. Quelle vue, elle ne portait pas de soutif et j'eus tout le loisir d'admirer sa poitrine très ferme et d'une rondeur exceptionnelle. Je me suis pressé de lui ramasser les feuilles juste devant moi en admirant ces jambes et en lui redonnant. Pendant ce temps j'aperçus des notes juste au bas de ces pieds et m'excusai pour aller les ramassés. (il est bien évident que j'espérais pouvoir entre apercevoir sa petite culotte) mais qu'elle ne fut pas ma surprise de voir qu'au lieu de serrer ces jambes afin de ne me rien laisser entrevoir, elle écarta les jambes afin de me laisser voir sa chatte épilée. 

 

Je n'en revenais pas, mon sexe dans mon jean me faisait mal tellement je bandais fort. Quand je me rassis, elle me remercia et passa sa langue sur ces lèvres. Je devenais franc fou. Ensuite je vis que son regard se dirigeait sur ma bosse et elle avait vraiment l'air de vouloir voir ce qu'il se cachait là-dessous. Elle commença à caresser mon sexe avec douceur tout en se penchant vers moi pour me laisser voir sa poitrine. J'essayai de passer ma main sous sa jupe, mais celle-ci les referma en me disant que pour le moment je ne devais pas toucher et me contenter de savourer ses caresses.

 

Ensuite au bout de dix minutes de ces savoureuses caresses, elle me fit signe du doigt de la suivre et nous dirigeâmes vers les toilettes. A peine j'eus fini de fermer la porte qu'elle me plaqua contre la porte, défit ma ceinture et délivra mon sexe de mon jeans. Elle commença par le lécher délicatement tout en massant mes boules de l'autre main. Puis elle le happa d'un coup et l'entra entièrement dans sa bouche et on aurait dit qu'elle le tétait. C'était divinement bon. Puis au bout de dix minutes de ce traitement je luis fis signe que j'allais exploser, alors elle intensifia son va-et-vient avec sa bouche et avala toute ma liqueur de plaisir, laissant juste quelques gouttes déborder sur son menton qu'elle balaya de sa langue d'un geste infiniment troublant.

 

Ensuite elle me branla un petit moment juste histoire que je reprenne vigueur et enleva sa mini et monta sur la cuvette des WC, se mit dos à moi et en retournant sa tête, elle mit un doigt dans sa bouche puis se le mit dans son cul en me disant :

 

- C''est par là que j'ai envie que tu me prennes !

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J'étais éberlué, et je me mis à lui lécher son petit trou tout en lui titillant son clitoris. Quand elle fut prête, je mis mon sexe en face de son anus et je commençai à rentrer tout doucement centimètres après centimètres. Je voyais bien qu'elle aurait voulu que j'aille plus vite mais il n'en était pas question. Elle prenait son pied. Une fois parvenu bien au fond je commençais à faire du va-et-vient toujours aussi doucement et toujours en jouant avec son clitoris. Elle eut un premier orgasme et à ce moment j'ai commencé à la pilonner très fort et très vite et à chaque fois que je sentais qu'elle allait venir je ralentissais au point de presque m'arrêter. Après une petite demi-heure de ce traitement je lui rentrais dedans avec force et nous partîmes tous les deux dans un plaisir immense. Après avoir repris nos esprits, elle retira ma capote et pour me remercier me refit une pipe dont je n'ai pu trouver de comparaison jusqu'à aujourd'hui.

 

Elle s'assit ensuite sur la cuvette, pour soulager sa vessie ! Je cru un moment qu'elle me proposerai de l'essuyer avec ma langue, mais non ! Il ne faut pas être trop gourmand non plus et je garderais ce dernier acte pour mes fantasmes nocturnes.

 

Je conserve un souvenir immense de cette belle mature dont je ne connais point le nom et depuis ce jour j'adore les femmes plus âgées que moi.

Rewriting d'un teste paru sur le site de Sophiexxx en 200 intitulé Retour de Paris et signé David

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Lundi 1 novembre 2021 1 01 /11 /Nov /2021 16:37

On oublie toujours quelque chose ! par Mathilda Stenberg

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La dernière fois que le nouveau facteur avait frappé à ma porte, il m'avait carrément déshabillé du regard

 

Un beau mec d'origine antillaise, souriant et jovial

 

Je ne sais pas ce qui m'a prise, mais j'ai eu envie de me l'envoyer 

 

Le facteur avait l'habitude de passer vers 8 heures du matin, et j'avais enfilé une robe de chambre légère que j'avais laissée entr'ouverte. Je ne savais pas vraiment si mon plan allait marcher, mais si je n'essayais pas, je ne saurais jamais. 

 

8 h 10, on sonne à la porte. Je vais ouvrir et je peux constater son air plus ou moins surpris de me voir ainsi vêtue. 

 

J'espérais pouvoir lui faire prendre un café malgré son travail. A mon grand étonnement (et plaisir surtout !), il accepta en souriant ! Son regard restait fixé sur ma poitrine dévoilée légèrement par l'habit de soie rose. Je l'ai alors invité à prendre place au salon et je suis allée préparer les cafés.

 

Je suis arrivée avec les tasses et je me suis assise de manière à laisser glisser un côté de ma robe de chambre sur ma cuisse, dévoilant alors ma jambe. J'ai aussitôt remarqué qu'il ne la quittait pas du regard. Finalement, j'ai écarté les cuisses, afin qu'il comprenne ce que je voulais précisément. 

 

Il lui fallut peu de temps pour m'enlever le vêtement de soie. J'étais alors assise sur le divan, à sa merci. Il l'avait bien compris d'ailleurs. Il glissa une main experte entre mes cuisses et introduit un premier doigt dans mon sexe humide et chaud. Il commença un va-et-vient agile qui m'arrachait des gémissements. Il me leva alors, me demanda où se situait ma chambre et m'y entraina, son doigt toujours en action. J'étais excitée comme une chatte en chaleur. (c'est le cas de le dire) Il me demanda si j'aimais être prise en levrette, je lui ai crié un oui à la limite de l'orgasme. Il compris alors que j'allais jouir alors il stoppa son va-et-vient me poussa sur le lit. Il disait aimer cette technique chinoise qui consiste à pousser le plaisir jusqu'à la limite de l'orgasme et d'arrêter juste avant pour mieux jouir ensuite !!!

 

Il saisit deux foulards qui avaient eu la bonne idée de trainer ici et m'attacha les mains au barreaux du lit, mais sur le ventre, afin que je puisse être à quatre pattes. Je n'en pouvais plus, il fallait qu'il vienne en moi. Il se déshabilla et me doigta encore un peu, jusqu'à ce que mon sexe coule de délice ! Il prit alors mes seins dans ses mains et me pénétra. Il commença alors un va-et-vient lent puis accéléra. Il me bourrait alors par saccades qui m'arrachaient des cris de plaisir. Je me déhanchais pour le sentir encore mieux. 

 

J'ai alors eu un orgasme terrible j'ai hurlé de plaisir comme jamais. Il éjaculait maintenant. Et c'était tellement bon... Il me dit ensuite qu'il allait m'enculer. Mais j'ai refusé, non pas par principe, mais je craignais que sa grosse bite me fasse mal. Il m'a alors proposé de l'argent, j'hésitais encore mais il m'a assuré qu'il savait ce qu'il faisait et qu'il me ferait ça en douceur. Je lui ai donné mon accord mais j'ai réclamé l'argent,.

 

Il a sorti un billet, je lui ai dit qu'il pouvait encore faire un effort, il a sorti un second billet en me traitant de pute. Evidemment qu'en ce moment j'étais une pute puisque pour la première fois de ma vie je me faisais payer pour me faire enculer.

 

Il me doigta encore pour mouiller mon petit trou. Ji eu une appréhension quand il a commencé à s'enfoncer, du coup il m'envoya une claque sur les fesses, pas grave, j'adore les petites fessées, puis il m'a pénétré, d'un coup sec. 

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Il m'a traité de salope, de putain et m'a dit que je devais alors assumer lorsque j'allumais. Il avait raison. Mais j'avais mal. Mais petit à petit, mon trou se détendit et cela me procurait du plaisir. Oui, un plaisir certain. J'atteins rapidement un orgasme. Il sortit de mon cul, me détacha et me coucha sur le dos, puis il se masturba en m'envoyant son foutre sur mon visage et sur mes lunettes que je n'avais pas retirées. 

 

Il resta un moment immobile sans que je comprenne de suite pourquoi, puis il me dit qu'il aimerait me pisser dessus.

 

J'ai failli lui demander un supplément pour cette fantaisie, mais je ne voulais pas être trop gourmande, si je veux qu'il revienne et me baise il faut rester raisonnable, alors j'ai ouvert la bouche et j'ai avalé une bonne rasade de cette bonne pisse.

 

Quand je pense que je ne l'ai pas sucé ! On oublie toujours quelque chose !

 

Mathilda

 

Rewriting d'une nouvelle parue sur le site de Sophiexxx en 200 intitulé "le facteur" et signée Bea

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Samedi 23 octobre 2021 6 23 /10 /Oct /2021 10:40

Plaisir à trois par Belle-cour

 

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Voici un récit sans prétention aucune que j’ai retrouvé au fond de mon disque dur. Les temps on bien changé et maintenant personne n’a besoin de formation pour aller sur internet…

 

Bonjour, moi, c’est Daniel, je ne sais pas si je vous ai raconté la fois où j’ai pu goûter le plaisir à trois.

 

C’était il y a quatre ou cinq ans Je suis informaticien, et comme tous ces gens, lors de réunion de famille, il y a toujours un cousin, un oncle, un copain du cousin … qui vous demande comment faire tout un tas de choses sur son ordi.

 

Un couple d’une cinquantaine d’années, Pierre et Annie, que je ne connaissais pas vraiment, me demanda de lui donner des cours d’informatique, ce que je fis avec plaisir.

 

Pierre est presque chauve et un peu bedonnant, mais il a comme on dit une bonne bouille et sourit tout le temps.. Annie est une belle brune peu marquée par les outrages du temps, le visage est agréable, jolie bouche, joli nez et les ridelles au coin de ses yeux noirs trahissent une certain plaisir de la vie.

 

Le premier soir, tout se passa normalement, lui était très attentif, elle peut-être un peu moins, à peine avait-elle tendance à se frotter contre moi, mais je n’y prêtais pas attention.

 

La semaine suivante, la leçon d’informatique se passa sans problème particulier, excepté le fait qu’elle ne portait pas de soutient gorge sous son tee-shirt, et j’ai pu avec plaisir constater que ses seins étaient encore bien fermes.

 

La troisième : mise en place d’Internet et explication sur la façon de s’en servir. Nous passâmes deux bonnes heures là-dessus (petit détail qui a son importance : toujours pas de soutient gorge, mais qui plus est, le tee-shirt était plus évasé et je pouvais apercevoir sa petite culotte lorsqu’elle se penchait)

 

De façon très décontractée, ils me questionnèrent sur les sites à caractère pornographique, nous visitons un, regardons les photos, je les observe discrètement afin d’épier leur réactions, cela a l’air de les émoustiller.

 

– Comment faire pour envoyer nous aussi des photos sur Internet ?! me demande-t-elle

– L’idéal est de prendre des photos numériques, de les transférer sur votre P.C, et de les envoyer !

– Chéri, demain tu achètes un appareil, on prendra des photos !.

 

La semaine suivante, je retourne chez eux

 

Annie me dit d’entrée de jeu que Pierre ne sait pas se servir de son appareil, il a bien pris des photos, mais ne sait pas transférer.

 

Petite formation sur son appareil, je peux apercevoir Madame dans certaines positions assez soft, lui par contre a posé nu et en érection.

 

– Bel engin ! lui dis-je

– Merci du compliment, vous appréciez ? ! me dit-il

– Disons que je sais reconnaître ! Vos photos sont pas mal, mais manque de piment !

– Bien sûr, l’idéal, ce serait d’avoir un photographe ! me dit Annie.

– Si vous le voulez bien, je peux être celui-ci ? !

 

Me rincer l’œil n’était pas pour me déplaire)

 

Aussitôt dit, aussitôt fait ! Pierre et Annie se déshabillent entièrement ! Quelle jolie poitrine elle a !

 

Je pris cinq photos d’Annie (peut-être pas très artistiques mais suffisamment subjectives pour nous titiller le bas du ventre, j’étais d’ailleurs très serré dans mon « Couilles croisées de chez… ».

 

Quand je pris Annie en train de sucer Pierre, j’ai été obligé de mettre la main dans le pantalon pour mettre mon sexe à la verticale, Pierre m’interpella :

 

– Ça t’ excite, Hein ? !

 

Annie rétorqua

 

– Enlève ton pantalon, tu seras plus à l’aise !

 

Ce que je fis, Annie me regarda et dit à son homme :

 

– J’en lécherais bien une autre, et même les deux en même temps !

– Approche ! me dit Pierre, ajoutant « si tu n’y vois pas d’inconvénients, moi non plus ! »

 

Tu parles Charles, je tendis ma bite à Annie qui se l’enfila d’abord délicatement, puis me branla plus vigoureusement, et passa d’une bite à l’autre.

 

Pierre s’assit sur le canapé, Annie s’enfourcha sur son pieu bien gonflé, mais face à moi.

 

Je me mis à quatre pattes et lui léchais le clito pendant que Pierre la fourrait.

 

Soudain, pendant que ma langue tournait autour de son bouton d’amour, la bite de Pierre sorti du fourreau et je la reçu involontairement dans ma bouche, mouvement de recul de ma part, j’attrape le sexe de Pierre prêt à le remettre dans le trou qu’il n’aurait pas dû quitter, et puis peut-être machinalement, l’ayant toujours dans la main, je passe ma langue dessus ;

 

– Ma foi , c’est pas dégeu, çà ! lui dis-je

– Continue alors ! me lance Pierre, et me voilà en train de tailler une pipe à un mec pour la première fois de ma vie.

 

En fait ce n’était pas vraiment la première fois, j’avais déjà gouté à ce genre de choses pendant mes années collèges, je n’avais jamais cherché à recommencer, et n’en avait d’ailleurs jamais eu l’occasion, mais parfois dans mes fantasmes…

 

Elle était délicieuse cette bite tout imprégnée des humidités d’Annie.

 

– T’aimes ça, sucer des bites ! M’interpella Annie.

– Ma foi ! Elle est tellement bonne !

– Continuez, continuez, ça m’excite de trop ! Ajouta-t-elle tout en se frottant le bouton.

 

Je m’appliquais, copiant les gestes que j’avais visionné sur Internet, titillant le gland, léchant la hampe gobant les couilles.

 

– Lèche lui le trou ! Suggéra Annie.

 

Là j’hésitais un court instant, la chose ne me disait pas grand-chose, mais ces gens étaient tellement charmants que je m’en serais voulu de faire le rabat-joie.

 

Je passais derrière Pierre, lui écartait ses globes fessiers et avançait ma langue vers son anus tout brun. J’aurais bien sûr préféré mille fois gratifier cette privauté sur le joli derrière d’Annie, mais après tout la journée n’était pas terminée.

 

Finalement un trou du cul masculin n’a pas un gout bien différent de celui de ces dames, la texture en est aussi délicieuse, et je me surpris à m’exciter en accomplissant cet acte pervers.

 

– Continuez, continuez, que ça m’excite de vous voir jouer les pédés. Commenta Annie qui le visage congestionné continuait à se branler comme une malade. Aaaah, je viens, je jouiiiii !

 

Une jouissance spectaculaire avec geyser de mouille assorti.

 

– Oh, que c’était bon, j’ai envie de pisser maintenant, venez me boire !

 

Pierre qui manifestement était habitué à cette fantaisie vint placer sa bouche devant la chatte de sa compagne et en attendant l’émergence du jet m’invita à venir à ses côtés.

 

Je n’ai rien contre l’uro, mais c’est une pratique à laquelle je n’ai pas souvent l’occasion de m’adonner, j’ai dû y jouer quelques rares fois avec ma moitié, mais ce n’est pas son truc, faut dire que les fantaisies et elle… Quant aux filles de rencontres, ce n’est pas si évident d’évoquer ce fantasme sans prendre le risque de se faire taxer de « pervers ». Pourtant quelques-unes… mais ne nous égarons pas…

 

La source jaillit, Annie se débrouille pour nous distribuer son pipi de façon alternative, un bon pipi, ma foi ! Et alors que la chose était terminée, Pierre eut ce geste fou de m’enlacer et de coller sa bouche contre la mienne pour me rouler une galoche alors que l’urine de sa compagne imprégnait encore son palais. Cette acte insensé m’excita tellement que j’en attrapais mal à la bite.

 

Mais je n’étais pas au bout de mes surprises !

 

– Tu aimerais que Pierre t’encule ? Me proposa Annie.

– C’est-à-dire, c’est pas trop mon truc… tergiversais-je.

– T’aimes pas ça ?

 

Bizarrement, je n’osais lui avouer que je n’avais jamais fait et peinais à trouver la bonne réplique.

 

– Pierre est très doux, il va te faire ça comme un chef.

– Ben…

– Allez fais-moi plaisir, on ne vit qu’une fois !

– Bon on essaie, mais si j’aime pas on arrête !

– Ne t’inquiète pas.

 

Pierre s’enfila une capote, je me mis en levrette,

 

– Attend je vais te préparer, j’adore préparer un petit cul ! Me confia Annie.

 

Sa langue se mit à virevolter autour de mon anus comme on ne me l’avait sans doute jamais fait à tel point que j’en jappais de plaisir, puis un doigt inquisiteur s’en vint violer mon intimité en une série d’aller-retour appliquée avec maîtrise.

 

Bellecour1021– A toi Pierre, encule-moi ce pédé !

– Je ne suis pas un pédé !

– En ce moment si ! Et puis ça m’excite de t’appeler comme ça !

 

Je sentis le gland de Pierre quémander l’entrée je m’ouvre.

 

– Ouvre toi mieux, t’es serré !

– Comme ça ?

– Attention…

 

C’est entré, encore une poussée, ça entre davantage, encore une, ça entre complètement, drôle d’impression d’avoir ce corps étranger dans le cul, Pierre commence à pilonner doucement, quelque chose me rend mal à l’aise.

 

– Bon, ça va aller, retire-toi ! lui demandais-je

– Encore une minute, juste une minute.

 

Il en a de bonnes, lui, je n’en veux pas de sa bite, il continue à gigoter, ça me fait des choses, finalement c’est pas si mal, c’est même pas mal du tout..

 

– Tu veux que j’arrête !

– Non, c’est bon, encule-moi bien !

 

Je transpire, je suis dans un état second, il continue, il accélére, et brusquement il se retire. Dommage ! Il enlève sa capote à toute vitesse et décharge sur les nichons d’Annie. Laquelle tout heureuse de ce présent se badigeonne et se lèche les doigts. Elle met tend l’un de ses doigts gluant de foutre, je le suce. Qui aurait pu imaginer que je fisse une chose pareille ?

 

– Tu bandes trop bien, viens me prendre !

 

Il y a des choses qu’il ne me faut pas dire deux fois. Hélas j’étais tellement excité que je n’ai pas tenu la distance, mais voulant satisfaire malgré tout mon hôtesse, je m’appliquais à lui lécher le clito, lui provoquant sa seconde jouissance de la soirée.

 

On a fait un break, bières et petits gâteaux

 

Un peu plus tard, nous avons repris nos galipettes, en changeant un peu les rôles : c’est Pierre qui me suça, puis nous avons décidé de prendre à deux la charmante Annie, comme j’étais l’invité, Pierre me dit :

 

– A toi le cul, moi je prends la chatte !

 

Moment grandiose, d’autant qu’Annie nous a suggéré de faire ça devant le miroir de la chambre.

 

Nous nous nous somme promis de nous revoir… Mais cela est une autre histoire

 

Rewriting d’une histoire intitulée « X à trois » par Daniel G. publiée sur le net il y a très très longtemps…

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Samedi 16 octobre 2021 6 16 /10 /Oct /2021 09:59

Abigaelle par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 3 – La punition

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Les deux jeunes filles sont poussées sans ménagement dans la grande salle et forcée de s’agenouiller.

 

L’homme à la perruque s’approcha d’elles et les gifla.

 

– Sœur Jeanne nous a rapporté que vous devriez être punies…

– Nous n’avons rien fait, balbutia Abigaelle, nous avons juste surpris Sœur Jeanne faisant commerce charnel avec un baudet.

– Que la peste bubonique emporte ces sales menteuses ! S’écria Sœur Jeanne à qui on n’avait rien demandé.

– Nous pourrions les torturer et elles nous raconteraient n’importe quoi; j’ai mieux à vous proposer. Venez mesdames que je vous fasse part de mes intentions.

 

Les deux belles dames s’approchèrent du nobliau, s’en suivit grands chuchotements, ricanements et hilarité car tout en parlant le perruqué ne pouvait empêcher ses mains de tâter les joufflues des nobles dames.

 

On fit détacher la jeune femme qui avait durement gouté de la cravache et dont le corps était zébré d’écarlate. Elle alla s’assoir dans un coin. Quant à Sœur Jeanne, après tant d’émotions ce sont les bras de Morphée qui vinrent l’achever et elle se mit à ronfler de façon disgracieuse.

 

– Quoique vous ayez fait, stupides catins ! Déclara le nobliau, vous serez punies, mais ensuite il nous faudra vous empêcher de nuire de nouveau.

– Mais nous n’avons nui à personne ! Proteste Mina.

 

Une nouvelle gifle la fit taire.

 

– Donc après la punition que nous vous infligerons ici même, il vous faudra choisir votre destin. Soit vous serez cloitrées à jamais dans vos cellules…

 

Il laissa volontairement la suite de sa phrase en suspens, se réjouissant des mines terrorisées des deux jeunes filles.

 

– Soit, vous serez vendues comme putain dans un bordel…

– On préfère ! Intervint Mina.

– Moi aussi, je veux être putain ! Ajouta Abigaelle.

– Mais pour cela, il va falloir nous montrer comme vous êtes vicieuses…

– Oui, oui, nous sommes très vicieuses ! S’empressa de confirmer Mina.

– Nous allons bien voir de quelle façon vous allez supporter votre punition…

 

Les deux jeunes femmes se regardent peu rassurées.

 

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– Ouvrez la bouche, morues ! Vous allez me servir de pissotière !.

 

Les filles obtempèrent, elles connaissent le goût de l’urine, souvent quand elles se gamahuchent, leur vulve en restait imbibée.

 

Le nobliau pince cruellement le téton d’Abigaelle et se soulage dans son gosier avant de venir remplir celui de la brune Mina.

 

L’homme se retourne ensuite et crie à la cantonade que si d’autres veulent se soulager, ils peuvent volontiers le faire.

 

Louise, l’une des deux belles dames s’approche et demande aux deux prisonnières de s’allonger sur le sol. Puis elle enjambe Mina au niveau de sa bouche et déclenche un torrent de pisse.

 

Suzanne, l’autre belle dame ne veut pas être en reste et vient chevaucher puis asperger Abigaelle. Mais sa miction terminée, elle ne se retire pas.

 

– N’auriez-vous point terminé ? Demande le perruqué.

– Je crois que j’ai envie de chier ! Répond la noble dame.

– Eh bien, chiez, qu’attendez-vous, je veux voir votre noble étron choir sur le visage de cette catin.

 

Suzanne pousse et ouvre son anus, mais l’étron rechigne à sortir de son terrier.

 

– C’est terrible, je ne vais pas supporter une telle chose… chuchote Abigaelle à sa camarade d’infortune.

– Il le faut pourtant si tu veux devenir putain.

– Mais je ne peux point.

– Ce n’est pas si terrible… essaie de supporter…

 

Mais ce doux dialogue est interrompu par la chute d’une longue saucisse merdeuse qui vient s’affaler sur le visage de la blonde Abigaelle.

 

Suzanne qui n’a rien pris pour s’essuyer le joufflu, se sert de sa main et s’y étale le reste de ses excréments.

 

– Comment est votre merde, aujourd’hui ? Demande Louise.

– Eh bien goutez-y, ma chère !

– Mais bien sûr !

 

Et Louise ramène un bout de matière avec son index et le porte en bouche.

 

– Humm, elle est exquise ! Venez donc chercher cette impertinente petite crotte dans ma bouche de trainée

 

Les deux nobles dames s’embrassent à pleine bouche, faisant se balader l’étron d’une bouche à l’autre.

 

– Quand je pense qu’il y en a qui n’aime pas ça ! Se désole Louise.

– Quelle faute de goût !

– Qu’attendez-vous pour faire gouter votre merde à ces deux grues ? Intervient le perruqué.

– Je pensais justement me faire rincer le trou du cul par ces deux ribaudes. Intervient Suzanne.

 

On fait s’agenouiller Mina, et Suzanne lui présente son joufflu merdeux.

 

Timidement, la jolie brunette approche sa petite langue et vient tester ce gout très particulier. Elle ferme les yeux et nettoie la première trace. Elle s’habitue et continue, plutôt fière de s’être tirée de cette épreuve avec brio.

 

– Je suis vraiment une salope, j’ai léché toute la merde sur le cul de cette belle dame ! Dit-elle à son amie.

– Je ne pourrais pas… proteste Abigaelle.

– Mais si !

– C’est toi qui va lui faire goûter ! Lui dit Louise.

– Volontiers.

 

Abigaelle se débarrasse de l’étron qu’elle a sur le visage, tente de se relever et vocifère !

 

– Salope… tu ne vas pas me faire ça !

– Mais si, et même que ça va m’exciter !

– Gifle-la, ça va la calmer ! Intervient le perruqué

 

Mina, se prend au jeu et gifle son amie de toujours, qui surprise ne réagit pas. La brune réitère et lui crache au visage, cette fois la blonde, excédée se jette sur sa camarade, et c’est parti pour le corps à corps.

 

Les deux femmes se battent telles des chiffonnières après la foire, n’étant guère expertes dans l’art de la lutte, elles griffent, elles mordent, elles se tirent les cheveux, elle roulent au sol maculant leur corps de la merde que personne n’a ramassé.

 

Voilà une situation qui amuse fortement l’assistance qui joue les badauds, les hommes vits en pogne ne perdent rien du spectacle. tandis que les femmes rient et gloussent.

 

Ce jeu brutal excite terriblement Mina qui sent la mouille envahir son entrejambe. Elle veut jouir, mais admettez que la situation ne s’y prête guère.

 

Mais comme l’a très bien expliqué Denis Papin, les situations c’est comme la vapeur, ça peut toujours se renverser.

 

Alors Mina se débrouille pour immobiliser son amie en position de soixante-neuf. Elle a donc accès à sa chatte et y plonge sa langue sans attendre, mais en espérant une réciprocité.

 

Celle-ci tarde à venir, mais Mina est pugnace, et sa langue à force de ténacité parvient à faire gémir sa partenaire. Laquelle par politesse, par réflexe ou par obédience, allez donc savoir, se met à son tour à butiner la chatte qui est devant sa bouche gourmande.

 

Les deux femmes se gouinent maintenant à qui mieux mieux, ne se rendant pas même compte que quasiment tous les participants sont toujours agglutinés autour d’elles. Et ils ne restent pas inactifs Le mignon accroupi se régale du vit du mousquetaire et lui flatte les couilles, la fille des cuisines se fait lécher le trou du cul par sa propre fille, celle-là même qui avait été sévèrement fouettée auparavant.

 

Quant aux deux belles dames elles suçaient alternativement le perruqué tout en s’efforçant de ne rien perdre du charmant spectacle qui se déroulait sous leurs yeux.

 

Mina sent sa partenaire se raidir, elle concentre ses attaques linguales sur le clitoris de la blonde qui finit par crier sa jouissance, Abigaelle respire un grand coup et reprend son léchage faisant venir à son tour sa complice au paradis des amours saphiques.

 

Les deux femmes changent de position et s’embrassent. Mina a trempé son doigt dans le caca de Suzanne et l’approche des lèvres de Abigaelle.

 

– Je vais essayer ! Dit cette dernière.

– Ben voilà !

 

Et tout ce petit monde se met à applaudir.

 

Les deux femmes se relèvent, toutes souillées, et saluent le public comme on le ferait sur la scène d’un théâtre.

 

Du coup Sœur Jeanne se réveille !

 

– Mais que se passe-t-il ici, pourquoi applaudissez-vous ces deux trainées ?

– Ma sœur, vous êtes énervante, rejoignez votre cellule, foutez vous donc un crucifix dans le cul pour vous calmer et laissez nous nous amuser. Lui dit Louise en ponctuant ses paroles d’une belle paire gifle.

– Oh !

 

Suzanne est donc restée seule avec le perruqué, et après l’avoir bien sucé lui tend son joufflu afin qu’il l’enculasse comme une chienne.

 

Le drôle ne tarda pas à jouir dans l’anus de la belle et ressorti une bite gluante de sperme et de merde, Suzanne se fit un devoir de nettoyer ce chibre.

 

– Faut-il vraiment continuer ? demanda le nobliau. Ces catins me semblent parfaites pour le bordel ! Et je crois que vu leur beauté…

– Elles ne sont pas si belles que ça ! Intervint Louise. Et puis cela m’amuserait de les prendre à mon service personnel quelques semaines avant de les envoyer au bordel.

– Vous savez bien, chère Louise que je ne peux rien vous refuser.

– J’aurais bien aimer les fouetter un peu !

– Vous aurez l’occasion de le faire quand elles seront à votre service. Si vous voulez fouetter quelqu’un maintenant choisissez dans l’assistance, vous n’avez que l’embarras du choix.

– Pourquoi pas ? Toi la fille des cuisines, viens me voir, comment tu t’appelles ?

– Rosalie, Madame !

– Rosalie nous t’avons vu tout à l’heure te faire lécher le trou du cul par ta propre fille, sais-tu que cela est interdit par la religion ?

– Ce n’est point si grave, j’irais me confesser !

– Et tu crois que le curé va t’absoudre.

– Il m’absous toujours quand je lui lèche le derrière.

– Mais dans quel monde vivons-nous ! Se gausse Louise. Et dis-moi, que fais-tu d’autres avec ta fille !

– On se lèche l’abricot ! On se donne maints plaisirs et c’est bon !

 

Louise passa un collier autour du cou de Rosalie et la fit marcher à quatre pattes en lui assenant de bons coups de badine qui lui strièrent son gros cul de jolies marques.

 

Mais voici qu’Azor l’un des deux gros chiens attiré par l’odeur du cul de Rosalie se redressa et vint humer, puis lécher l’endroit.

 

Du coup Daran, l’autre chien s’empressa d’imiter son congénère.

 

– Couché les chiens ! S’énerve Louise, Rosalie ne vous mérite pas, si vous voulez lécher un cul léchez plutôt le mien !

 

Suzanne prend la laisse de Rosalie et l’installe dans un coin, puis elle revient et constate qu’Azor a déjà changé de partenaire balayant de sa large langue le joufflu de Louise.

 

Elle appelle Daran et le couche sur le côté, sa main enserrant son sexe,

 

– Soyez partageuses, mes jolies, invitez nos catins à vous rejoindre, on va voir comment elles se débrouillent.

 

Mina rejoint Suzanne, la bite du chien est déjà sortie de son fourreau et la noble dame le lèche à qui mieux-mieux se mouillant le menton de bave dégoulinante.

 

– Eh bien qu’attends-tu ?

– Rien, je vais le faire, mais. ce sera la première fois…

– Suce au lieu de me raconter ta vie !

 

Mina fascinée par ce cylindre de chair écarlate respire un bon coup, puis darde sa langue sur l’organe, en appréciant la texture particulière, sa langue balaye la tige et remonte vers l’extrémité, Dame Suzanne lui laisse sa place de façon à ce qu’elle puisse prendre le bout en bouche, la bite du chien secréte un liquide préspermatique qui envahit les bouches des deux dévergondées qui vont encore plus loin dans le stupre en s’embrassant à pleine bouche.

 

Abigaelle ne perd pas une miette du spectacle, partagée entre fascination et répulsion, et tandis que son amie se partage le vit de Daran, Louise à complètement retourné Azor et lui prodigue une fellation en règle, Elle fait signe à Abigaelle mais celle-ci, tétanisée ne bouge pas d’un poil.

 

Le perruqué vient derrière elle et lui administre une grande claque sur les fesses.

 

– Il serait singulier que ton amie rejoigne un bordel et que toi, tu restes enfermée à jamais dans une cellule de ce couvent.

– Je dois donc sucer ce chien ?

– Oui, mais ça ne suffira pas, il faut te guérir de tes atermoiements, je veux que tu te fasses prendre par le chien.

– Humm.

 

Quand Suzanne demanda à Mina de se mettre en chienne pour se faire couvrir par le chien, elle savait cet acte inéluctable et y consentit de bonne grâce. Mais quelle ne fut pas sa surprise de découvrir la scène sur sa droite, Abigaelle en train de faire sauter par Azor en poussant des jappement de plaisir.

 

Après ces émotions, tous ces débauchés se firent apporter quelques pâtés, tourtes et vin de Bourgogne, on mangeât et on but en chantant des refrains obscènes.

 

Assise l’une à côté de l’autre Abigaelle et Mina s’échangeaient de tendres baisers.

 

Le lendemain, Abigaelle entrait au service de Dame Suzanne et Mina à celui de Dame Louise

 

Au bout d’un mois, le perruqué les accompagna à Versailles et elle furent confiées aux bon soins de Madame Ducru, maquerelle de son état.

 

Les deux filles firent bonne impression et eurent comme clients quelques célèbres musiciens, jardiniers, et cuisiniers de la cour royale.

 

Elles accueillirent la Révolution avec enthousiasme, mais déchantèrent quand vint la Terreur, grâce à leurs relations elles purent s’enfuir à l’étranger. On perdit ensuite leur trace mais il se chuchota que les deux femmes firent ce qui est convenu d’appeler des « mariages avantageux ».

 

On sait aussi, qu’après être sortie du couvent, Abigaelle continua à remplir ses carnets de ses chauds souvenirs, on ne sait ce qu’ils sont devenus… Mais on cherche !

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Samedi 16 octobre 2021 6 16 /10 /Oct /2021 09:56

Abigaelle par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 2 – Capturées

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Sur le chemin du couvent, Sœur Jeanne avait arraché une poignée de fines branches qu’elle utilisait pour cingler les postérieurs de Mina et d’Abigaelle, tout en les traitant de tous les noms d’oiseaux que la nonne pouvait connaître… et elle en connaissait beaucoup. Les filles avaient bien tenté de faire du chantage en disant qu’elle dirait à tout le monde ce que faisait Sœur Jeanne dans la grange. Mais la nonne avait une réponse toute faite… C’était les filles qui étaient sous l’emprise du démon, c’était elles qui imaginaient des choses, peut être étaient-elles possédées… peut-être qu’il faudrait les brûler… Même si de nos jours cela ne se faisait plus guère que dans les coins reculés des pays les moins éclairés. Mais en l’an de grâce 1782 c’était quand même du passé. C’est donc les fesses rougies par les badines de la sœur que le duo arriva à la porte du couvent.

 

La bâtisse était immense, ceinte de hauts murs. Sur la droite se dressait la chapelle qui jouxtait le bâtiment où se tenaient les cellules des nonnes et le dispensaire. De l’autre côté les communs, le réfectoire et de grandes salles qui étaient utilisées pour stocker ce que les nonnes récoltaient dans les jardins qui se tenaient derrière le bâtiment.

 

A l’entrée la petite maison du concierge, qui faisait office de gardien et de protecteur du couvent. Augustin avait été dans sa jeunesse au service du roi. Malgré son âge il ne fallait pas lui chercher noise car il avait la cane aussi leste qu’une rapière. Il avait lancé un regard noir à la sœur qui menait les filles à la baguette. Augustin s’était pris d’amitié pour les deux filles depuis leur enfance, et ils ne manquait pas une occasion d’en faire des garçons manqués en leur initiant moult pratiques réservées aux hommes.

 

Les sœurs travaillaient et priaient le plus clair de leur temps. Mais la chair est faible et beaucoup n’avaient pas la vocation mais avaient été expédiée au couvent pour arranger les affaires de la famille. Nos chères sœurs avaient une vision de l’abstinence assez particulière. Du moins certaines sœurs concevaient le célibat et le mariage avec dieu comme une idée bien fumeuse. N’oublions pas le chapelain qui était un fieffé coquin, porté sur la bouteille et la chair aussi bien avec les nonnes qu’avec quelques gitons de passage.

 

Sœur Jeanne, poussait sans ménagement les deux mignonnes, elle devait déjà les isoler le temps qu’elle puisse compter sur le soutien d’autres nonnes aussi dévergondées qu’elle et cacher tout ça à la mère supérieure qui n’entendait rien à rien, croyant à l’intégrité de ses condisciples. Cette pauvre femme dévote, sénile mais sincère aurait fait une crise d’apoplexie si elle avait appris les agissements de tout le couvent, qui était plus considéré comme un lieu de débauche et de plaisir par une partie des nobliaux et bourgeois de la région, que comme un lieu dédié au seigneur.

 

– Ouste ! Allez descendez à la cave !

 

La porte voûtée, basse et vermoulue, donnait sur un escalier étroit et glissant aux marches usées et creusées par des années de montées et de descente. Une odeur d’humidité montait de ce boyau chichement éclairé, mais elle était atténuée par la senteur des fut de chêne et l’odeur du vin qui se languissait dans la cave. Abigaelle et Mina étaient inquiètes, jamais elles n’avaient eu le droit de descendre dans ce lieu. Il se murmurait des choses, qu’il y avait des visites à la nuit tombée. Les deux filles avaient bien aperçu parfois des lueurs furtives qui disparaissaient dans l’ombre. Elles n’avaient jamais été assez effrontées et hardies pour aller mettre leur jolis minois dans cette noirceur. Marches et dalles étaient froides à leurs pieds nus, même leur corps était glacé par le froid qui montait des dalles, les filles n’ayant que leurs chemises pour unique vêtement.

 

En bas, le couloir de pierre ouvrait sur deux grandes salles où dormaient les fûts. Après un coude, il s’ouvrait sur une porte cadenassée. Sœur Jeanne tira une clef de sous sa robe, ouvrit le cadenas.

 

Là, plus de pierres nues, des tapis au sol, des candélabres dorés. Le couloir ouvrait sur six portes aux serrures et aux ferrures luisantes dans la pénombre. La sœur les poussa vers la deuxième porte à droite, extirpa une autre clef et ouvrit la porte. Sans ménagement elle poussa Abi et Mina dans la pièce sombre.

 

– Restez là sales catins ! On s’occupera de vous demain soir !

– Mais ma sœur… tenta Abigaelle

– Silence, effrontée ! cria Sœur Jeanne en giflant la jeune fille.

 

Puis tournant les talons elle sortit et verrouilla la lourde porte, laissant les filles dans le noir. Elles restèrent un moment immobiles, haletantes, apeurées, se demandant ce qui allait leur arriver maintenant.

 

Il n’y avait aucun bruit, leurs yeux s’accoutumèrent à l’ombre et elles commencèrent à explorer le lieu se cognant dans tous les meubles de la pièce. Mina trouva une cheminée sur l’un des murs, et à tâtons finit par trouver un briquet et une chandelle. Elle battit le briquet, la mèche rougeoya et enfin la chandelle diffusa une lueur jaune et tremblotante. Mina alluma ensuite les candélabres qui étaient fixés aux murs de la pièce.

 

La pièce était confortable, de bons sièges tendus de velours rouge offrait le repos, divans et fauteuils faisaient assaut de moelleux pour accueillir les séants des visiteurs. Maintenant que la lumière brillait, la pièce était moins inquiétante, enfin moins sombre certes mais peut-être pas si inoffensive que cela. Le long d’un mur des cages d’acier, mimant la forme humaine, étaient suspendues. Mina et Abi se jetaient des regard interrogateurs. Cédant à la curiosité, Abi ouvrit les portes d’un haut meuble, elle poussa un cri de surprise.

 

– Mina ! Mon dieu ! Viens voir vite ! s’exclama Abi.

 

Mina mit son doigt sur ses lèvres pour inviter son amie à plus de modération dans ses exclamations. Mais quand elle vit le contenu de l’armoire elle frissonna et poussa un petit cri. Rangées sagement dans le meuble, pendus comme les outils d’un artisan, il y avait moult fouets, badines, cravaches, chaînes diverses des pinces, bracelets et colliers, quelques pots de chambre et un nombre faramineux d’olisbos de toutes matières, en bois, en os, en verre…

 

Les deux filles étaient serrées l’une contre l’autre… La vision de ces instruments leur provoquant un mélange de crainte et d’excitation.

 

Elles virent alors que derrière une tenture murale se trouvait une autre porte dans cette salle. Avec précaution elles tentèrent d’écouter, mais ne perçurent aucun bruit… un œil à la serrure ne leur fit découvrir que de l’ombre… Mina posa la man sur la poignée de la porte qui céda dans un léger grincement. Elle ouvrait sur une sorte de couloir assez large, silencieux et désert.

 

Elles allumèrent les chandelles dans cet endroit. Une fois la lumière suffisante, elles examinèrent les lieux. Sur un mur une longue tenture ou plutôt un rideau… Sur le mur lui faisant face un long sofa moelleux. Abi tira sur le cordon qui pendait et le rideau s’ouvrit sur une surface lisse brillante… Un miroir ? Une vitre ? C’était un peu étrange. Soudain Mina remarqua qu’on apercevait comme un rai de lumière dans cette immense miroir.

 

C’était sans doute une vitre, et la lumière filtrait sous la porte de la pièce de l’autre côté. Elles refermèrent le rideau bien vite.

 

Les deux amies se réfugièrent dans l’autre pièce. Elles s’installèrent le plus confortablement possible en attendant. Quoi ? Elles n’en savaient rien. Les deux amies s’assoupirent. Soudain elle furent tirées de leur torpeur par des bruits.de voix. Mina toujours vive fut sur pied la première. Elle ouvrit le fameux corridor au sofa. La lumière filtrait de derrière le grand rideau. Abi moins prudente tira le cordon et le rideau coulissa. Mina se cacha rapidement tandis qu’Abigaelle restait subjuguée par le spectacle. La pièce était brillamment éclairée par des douzaines de chandelles. Elles étaient derrière une vitre… mais de l’autre pièce on ne les voyait pas sinon l’alarme aurait été donnée.

 

Abigaelle2BLe spectacle que donnait l’autre pièce était incroyable. Cette pièce elle aussi tendue de lourds rideaux rouges était encombrée de chaînes… de râteliers ou pendaient moult instruments de sévices. Des sofas entouraient la salle sur trois cotés, sur le velours rouge des corps nus ou demis nus étaient enchevêtrés. Une jeune fille nue, était comme écartelée par des chaînes venant du plafond et du sol, pieds et poignets liés… elle était suspendue au milieu de la pièce. Deux grands chiens étaient également dans la salle. Sœur Jeanne était là… nue… ses gros seins pendant, elle était penchée en avant tandis que deux hommes nus, la flamberge dressée. l’enfilaient hardiment avec un cierge d’au moins quatre pieds de long, un de ces gros cierges qui encadre l’autel. Comme Sœur Jeanne était de dos, nos deux amies voyaient le con béant de la religieuse qui baillait alors que les servants le retiraient avant le replonger dans la caverne spongieuse avec un grand « han » de bûcherons.

 

Sur le sofa près du miroir sans tain qui les masquait à la vue des orgiaques, un homme… la perruque de guingois, lutinait un mignon aux fesses joufflues, page ou petit écuyer dont la queue dressée crachait des gouttelettes de foutre, tandis que l’homme lui prenait le fondement avec son énorme vit noueux. De l’autre côté, la fille des cuisines, une grosse rougeaude s’empalait le cul sur le chibre d’un moustachu, mousquetaire ou garde d’un noble quelconque.

 

La porte de la salle s’ouvrit sur deux dames en manteau, capuche rabattue sur le visage. Une fois la porte fermée elles laissent leur manteau tomber. Belles robes, décolleté provocant, perruque et mouches au coin des lèvres, éventail à la main, les dames font le tour de la salle, saluant, touchant parfois les corps nus qui s’enchevêtrent. Elles s’arrêtent, se regardent et se donnent un baiser lascif… tout en se dégrafant mutuellement. Les robes tombent, les deux femmes sont nues, l’une d’elle porte une chaîne dorée autour de la taille. Toutes deux n’ont plus que leur bas. Leurs mains parcourent leurs corps, puis se tenant par la taille elles approchent de la jeune fille enchaînée…

 

Abi et Mina ne perdent pas une miette du spectacle malgré leur situation de prisonnières leurs sens s’échauffent. Mina qui a le plus de tempérament a glissé sa main sous la chemise d’Abi et doucement lui caresse les fesses. Abi tente mollement de repousser les avances de Mina, mais elle aussi a le feu au sang, ses joues sont rouges, ses lèvres humides, ses yeux subjugués par cette orgie qui se déroule sous son nez.

 

Mina s’est débarrassée de sa chemise. Nue debout derrière son amie, elle fait glisser la chemise qui l’empêche de profiter du corps d’Abi.

 

Mina se presse contre son amie… frottant ses seins contre son dos, sa motte contre les fesses douces d’Abi.

 

– Abi, regarde comme c’est excitant de les voir… regarde la sœur comment elle est grande ouverte, on n’entend mal mais elle doit crier !

 

Les mains de Mina parcourait le corps d’Abi,. remontant vers les seins généreux et leur pointes sensibles. Abigaelle commençait à être aussi brûlante que Mina et elle frottait sa croupe sans vergogne contre le sexe de son amie…

 

– Ah ! Si tu étais un homme… Mina… je brûle… de voir ce spectacle… Je brûle d’être prise ! dit Abi essoufflée.

– Oh… ma douce amie, je suis si excitée, dit Mina

 

Elle quitta un instant Abi plongée dans la contemplation de ce spectacle. Elle passa dans la pièce à côté de leur réduit et fouillant les armoires fini par mettre la main sur un olisbos d’ivoire monté sur un harnachement de cuir. Mina ajusta prestement ce substitut de verge et rejoignit Abi…

 

Elle posa l’olisbos sur les fesses d’Abi… qui frissonna mais se cambrait s’appuyant sur le rebord de la vitre. Mina promenait la tête de ce sexe inerte contre la fente de son amie, fente rose et déjà brillante de rosée. Humidifiant l’engin dans la crevasse rose, Mina le promena plus haut, vers l’étroit pertuis, le mouillant au passage, puis revint à la blessure d’amour, posant l’extrémité arrondie prête à pourfendre son amie…

 

– Non… pas là… il faut me préserver… dit Abi plus haut… oui… remonte… là… passe la petite porte !

– C’est vrai tu es une catin… comme moi… mais pure avec une fleur… se gaussa Mina.

 

Abigaelle était capable de toutes les turpides mais refusait obstinément de donner sa fleur, la préservant sans doute pour un prince charmant. Mina elle, dont le sang chaud l’avait toujours entraîné à des joutes d’amour avait pris sa fleur elle-même en se découvrant et ne rechignait pas à se faire prendre au cul, au con et à la bouche…

 

Abigaelle se tendait, attendant la pénétration avec impatientante. Mina d’un coup de rein fit entrer l’olisbos par l’étroite porte. Mina avait passé ses bras autour de la taille d’Abi. Et ses doigts avaient investi la fente humide de son amie.

 

– Oh… c’est bon je te sens bien mon amie… bouge en moi… ouvre-moi le ventre ! Gémissait Abi

– Méchante fille… petite catin… ton con pleure sur mes doigts… ton cul est à moi. Dit Mina très excitée.

 

De l’autre côté de la vitre le giton semblait crier sous les coups de boutoir de son amant. Il avait une verge énorme qu’il poussait loin dans le cul du jeune homme.

 

– Oui, oui. va mon amie ! Oh tu me brises, tu me remplis. Oh, tes doigts dans ma chatte c’est bon ! gémissait Abi

 

Mina donnait des coups de reins enfonçant l’engin au plus profond du cul de son amie pour le ressortir et recommencer. Mina avait placé les lanières de telle façon qu’elle s’enfonçait dons son con, et ses mouvements lui sciait le baveux. Elle était ainsi à l’unisson de son amie, le con de Mina ruisselait, un fourmillement intense lui mangeait le ventre. Mina sentait des explosions de plaisir lui tordre tout son être. En un mot Mina jouissait en continu, tandis qu’Abi le cul béant, lui mouillait les doigts.

 

De l’autre côté du miroir, les deux femmes tournaient autour de la jeune fille écartelée… Elles la fouettaient alternativement, et on commençait à voir les trainées rosâtres que les deux belles laissaient derrière le ballet de leur cravaches…

 

Sœur Jeanne couchée sur le dos, continuait à se faire défoncer le con avec le cierge. Les hommes le sortait totalement avant de pousser pour l’enfouir dans la crevasse ruisselante de la nonne qui se donnait de grands coups sur les mamelles, se prenait les bouts les étirant avant de les lâcher et de redonner des coups…

 

Abigaelle poussa un cri tandis qu’elle jouissait sur les doigts de Mina… qui suivit dans le plaisir sa meilleure amie…

 

Elle se laissèrent tomber sur le sofa…

 

C’est à ce moment que s’ouvrit violemment la porte

 

– Ah ! catins ! venez avec nous ! vous êtes chaudes !

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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