Samedi 4 septembre 2021 6 04 /09 /Sep /2021 18:13

Anne-Marie, dresseuse de vilaines filles par Marie-France Vivier
Domina

 

Bonjour, je me prénomme Isabelle et puisqu’il est de tradition dans une nouvelle érotique de se présenter, je vous propose ma description, Je viens de passer le cap de la trentaine, je suis blonde, (fausse) assez fine, un visage qu’on dit « intéressant’ avec un grand nez un peu pointu, j’ai des seins en forme de poires avec de grosse aréoles marron, et je fais du bonnet D. Je mesure 1,66 m et j’ai de très jolies fesses bien cambrées. Ma profession, on va dire qu’on s’en fiche, je suis divorcée et vis avec un garçon charmant très porté sur le sexe et très pervers. Nous sommes un couple se voulant libéré et j’ai ainsi appris des tas de choses avec dix ans de retard, je n’ai, je crois, pas beaucoup de tabou, mais il y a des choses que j’aime moins que d’autres. Ce qui me plait le plus, c’est de jouer à des jeux un peu maso.

J’ai lu sur Vassilia (j’adore !) leur conception du sadomasochisme ! Un simple jeu érotique qui peut aller très loin, mais disent-ils, quand c’est fini, c’est fini, on passe à autre chose… Cette façon de voir les choses s’oppose donc à l’esclavage permanent. Bon je serais assez d’accord à cette nuance près que j’aime faire durer dans le temps ma condition de masochiste, mais je concède que pour moi cela reste tout de même un jeu et qu’il n’y a pas que cela dans la vie ! Quand Eric veut me dominer, il commence toujours par les mêmes mots : « tu veux jouer ? ». Si je réponds non, il n’insiste pas.

Après tous ces prolégomènes le récit peut commencer

Ce soir-là après le dîner, je zappe sur le téléviseur qui ne nous offre comme d’habitude que des conneries. Eric me demande simplement :

– Tu veux jouer ?

Oui j’ai envie de jouer, je ne réponds pas, me lève du canapé et m’agenouille devant lui !

– Vas-y joue !
– Il y aura un gage si tu n’es pas assez obéissante, le gage ce sera de passer la soirée chez Anne-Marie.

J’ignore qui est cette Anne-Marie, mais je sais déjà que quoiqu’il arrive, j’aurais droit à ce gage. Pas grave, ça aurait même tendance à m’exciter.

Quelques jours plus tard, pomponnée et maquillée, je me suis donc présentée chez cette mystérieuse Anne-Marie à 19 h comme prévu.

Une belle femme mature aux cheveux auburn m’a ouvert, habillée avec une veste croisée qui lui couvrait juste les fesses et cachait une mini culotte blanche qu’elle avait d’ailleurs du mal à dissimuler. Mais ce qui m’a frappé de suite c’est l’inscription « bonniche » marquée au rouge à lèvres sur son front.

– Je suis Magda, la bonniche de Madame Anne-Marie ! Se croit-elle obligée de préciser.

Elle portait un soutien-gorge blanc à balconnets lui aussi à peine caché par sa veste, elle m’a fait un grand sourire de bienvenue, et m’a introduit dans le salon où se trônait Anne-Marie dans un fauteuil entourée de quatre autres femmes complétement nues et agenouillées.

Anne-Marie est une grande brune à lunettes coiffée d’un chignon strict. Elle était habillée d’un bustier noir en vinyle, d’une mini culotte de même couleur, des bas résilles et des escarpins de compétition. Elle est harnachée d’un gode ceinture très réaliste. Elle doit avoir une quarantaine d’années, peut-être plus. Une très belle femme. !

Elle me toise comme si j’étais une marchandise puis demande à Magda de me préparer.

On passe dans une pièce contiguë, Magda me fait me déshabiller complètement, dépose toutes mes affaires sur une même chaise, me passe un collier de chien autour du cou puis avec un tube de rouge à lèvres m’inscrit le mot « salope » sur mon petit front. Puis sans aucun ménagement elle m’accroche des pinces sur mes tétons, ça fait un peu mal, mais je supporte. On rejoint les autres,

– A genoux !

Je m’y met (comme les autres)..

– Bon, les filles, déclare Anne-Marie, vous êtes ici toutes sur l’ordre de vos compagnons ou de vos compagnes de jeux. Vous êtes majeures et consentantes et vous êtes ici pour mon seul plaisir, j’aime dominer les femmes et les humilier. Vous n’êtes pas dans un club féministe mais dans un club de femmes soumises. Vous n’êtes que des merdes et ici je vais m’amuser à vous rabaisser et à vous avilir, si ça ne vous plaît pas, autant partir tout de suite.! Vous allez être fouettées, livrées à des mâles en rut, il y aura de la pisse et peut-être de la merde. Encore une fois, les chochottes peuvent s’en aller, je ne retiens personne. Si pendant la séance la situation vous parait vraiment invivable, il y a un mot de sécurité, à prononcer trois fois ce sera « Chapelure ». Sinon on ne vous laissera pas sortir.

On se regarde toutes, personne ne souhaite s’en aller.

Elle nous passe en revue, nous demande qui nous a envoyé et ce que nous avons fait comme bêtises…

– A toi ! Dit-elle en désignant Sylvie, une petite brune aux cheveux courts et à la mine délurée.
– C’est mon père qui m’envoie, il m’a dit que je l’avais mal sucé !
– Et tu aimes ça sucer la bite de ton père ?
– Oh, oui, j’adore ! Il a une belle queue.
– Tu fais quoi d’autre avec ton père ?
– Il m’encule !
– T’es vraiment une morue !

Et dans la foulée la Sylvie se ramasse deux baffes.

– Toi, viens là ! M’ordonne Anne-Marie.

Je m’exécute.

– Tu es arrivée en retard ! Me dit-elle.
– Non, non ! Me défendis-je.
– Si je dis que tu es arrivé en retard c’est que tu es arrivée en retard, Tu n’es pas autorisée à me contredire .

Et elle accompagne ses propos d’une double paire de gifles complètement inattendue.

– Ouvre ta bouche.

Elle me crache dedans, plusieurs fois de suite.

– C’est une faute très grave que d’arriver la dernière ! Me dit-elle.

C’est complètement idiot, il faut bien qu’il y ait une dernière, mais puisque c’est un jeu…

– Fabienne, tu vas venir la corriger.

Fabienne est une jolie blackette aux très jolies formes.

– Commence par lui tordre les tétons ! Indique-t-elle à Fabienne.

Elle commence à le faire et sans ménagement, mais Anne-Marie l’interrompt.

– Non, t’es trop nulle, quand tu t’occupes d’une esclave, tu dois d’abord l’humilier, en lui crachant dessus, une esclave c’est de la merde, ça doit être traitée comme de la merde, tu dois la gifler, l’insulter.

Et c’est que la Fabienne, elle se prend au jeu, je reçois plein de baffes, elle me crache dessus, me traite de tous les noms, puis sur ordre d’Anne-Marie, me cingle de dix coups de badines qui me font très mal.

Ça commence fort , ce truc !

– Voilà, c’est mieux comme ça ! Commente Anne-Marie. Maintenant on peut prendre un petit apéritif avant de passer à autre chose. Sylvie prend des verres ! C’est là-bas ! Apporte aussi la bouteille de Porto.

Nous avons ensuite reçu l’ordre de nous assoir sur des tabourets de bar.

– Magda, sers-nous l’apéro ! Dit-elle en claquant des mains.

Magda, la bonniche, était à présent complètement nue, plutôt bien faite, avec seulement un petit tablier de soubrette, comme unique vêtement.

La soubrette pris la bouteille de Porto et servit Anne-Marie, elle reposa la bouteille, laissant les autres verres vides. Elle s’approcha d’Anne-Marie puis délicatement fit glisser le string dévoilant un pubis assez poilu. Elle se baisse, donne un petit coup de langue, puis va chercher un verre qu’elle pose devant sa chatte.

Anne-Marie pisse alors dans le verre devant nos yeux subjugués. Je comprends alors quel sera notre apéritif. L’opération est répétée pour chaque verre et à la fin Magda ouvre sa bouche pour absorber le « surplus » à la source.

– Allez chacune prend son verre ! A votre santé les filles ! Vous ne pensiez quand même pas que j’allais vous laisser boire mon Porto. Allez régalez-vous avec ma pisse, bande de petites salopes !

Je m’amuse un peu, pour moi l’uro n’a jamais été une corvée, mais ce sera la première fois que j’en bois dans un verre, je porte le verre à ma bouche, c’est de l’urine du soir, elle n’est pas trop forte, j’en bois une lampée.

Si Dorothée, une blondinette à la peau très claire, Sylvie et Fabienne, la jolie blackette semblent passer l’épreuve sans trop de mal, Géraldine, une grande perche au longs cheveux châtain en boucle, fait la gueule, avale avec difficulté les premières goulées, après ça va mieux.

Je m’aperçois que j’ai commis l’erreur de boire avec une complète décontraction, Anne-Marie m’interpelle :

– Si je comprends bien ce n’était pas vraiment une punition pour toi !
– Ben non ! Avouais-je.
– Alors tout à l’heure je te ferais lécher ma merde ! Mais maintenant séance de gode.

Magda, la boniche, s’est à son tour harnachée d’un gode ceinture. Dorothée et Fabienne sont désignées pour sucer ces bites factices recouvertes à présent d’une capote.

– Et maintenant, en levrette, les salopes, l’une face à l’autre, le gode vous allez l’avoir dans le cul !

Joli spectacle des deux nanas qui se font pilonner le cul en cadence.

– Embrassez-vous pendant qu’on vous encule, et ne faites pas semblant, je veux voir la salive dégouliner sur vos gueules de gouines.

Charmant…

Les deux filles se prennent au jeu, s’embrassent à qui mieux-mieux et jappent de plaisir.

Je repensais à la menace d’Anne-Marie, j’ignorais si elle bluffait. Cette perspective aurait pu me faire récupérer mes affaires et m’enfuir de chez cette bande de folles. Mais en fait j’espérai secrètement qu’elle ne bluffait pas, me disant que moi qui adore les humiliations, je serais servie, de toute façon la scato ne me révulse pas, ayant régulièrement nettoyé la bite d’Eric alors qu’elle sortait maculée de merde de mon trou du cul.

Les deux godeuses se retirent et obligent les filles à lécher les fausses bites encapotées. Il ne sont pas vraiment pollués mais le jus du cul, ça a tout de même un goût, les deux filles s’exécutent sans grand enthousiasme.

C’est maintenant au tour de Géraldine et de moi-même de passer à la casserole. C’est Magda qui se charge de me pistonner le cul. Géraldine paraît peu motivée pour me rouler une pelle, dommage, j’aime bien sa jolie frimousse. Sinon l’engodage ne me déplait pas et je me surprend même à jouir.

Viens le moment du nettoyage, le gode que j’avais dans le cul est ressorti pollué. Moi qui voulait être humiliée, je vais être servie, je fais emblant de refuser en espérant recevoir une baffe, ça ne rate pas. Je lèche le truc, j’ai maintenant un drôle de goût dans la bouche.

Sylvie attend son tour.

– Non pas toi, ça te ferait trop plaisir, on va tout de même pas foutre un gode dans le cul d’une pouffasse qui se fait enculer par son père.

Anne-Marie restait toujours très maitresse d’elle-même, même si son regard trahissait son excitation.

– Maintenant nous allons appeler les experts, Tom et Jerry, vous pouvez venir !

Tom et Jerry ? Je rêve !

Et voici que s’amènent deux grands blacks complément nus et montés comme des mulets.

– Allez, les gars, tâtez-moi la marchandise. Et vous les filles, vous vous laissez faire, vous n’avez aucun droit, vous n’êtes que des merdes.

On va finir par le savoir…

Ces types nous pelotent sans ménagement, et que je te malaxe un sein, une fesse et le reste. Les doigts s’aventurent dans les chattes et dans les trous du cul. On nous tire sur les pinces accrochées à nos tétons, on nous tape sur les fesses. Ils bandent joliment les « experts », si seulement je pouvais les sucer.

Au bout d’un moment Anne-Marie siffle la fin de la récréation.

Tom et Jerry se dirigent vers le fond de la pièce, et là notre hôtesse ordonne au premier de sucer la bite du deuxième. Tâche dont celui-ci s’acquitte sans problème et même avec une certaine gourmandise.

– Regardez bien les filles, regardez ces deux pédés, ils se sucent la bite, ils adorent ça et ils aiment bien se faire enculer aussi. Humm que c’est excitant de voir ça, ça me change de vos tronches d’esclaves.

Je vous dis, elle est charmante.

Faut dire que le spectacle a de quoi étonner, moi je trouve ça très troublant, très excitant.

– Maintenant on va faire un petit break, Fabienne et Sylvie vous allez sucer la bite de Tom. Isabelle et Dorothée vous sucerez Jerry. Et quand je dis sucer, c’est à fond, je veux voir le sperme dégouliner de vos bouches de putes. Quant à toi, Géraldine, tu te mets à genoux, tu attends que ça se passe, on s’occupera de toi après.

AM2

Un vrai régal que de sucer cette bonne bite que je partage avec Dorothée. Malheureusement le bonhomme ne tient pas la distance et trois minutes après il décharge dans ma bouche, Dorothée lui nettoie le sperme resté sur sa bite.

– Ne restez pas comme ça, avalez-moi tout ça, grosses putes ! Viens nous dire Magda en en profitant pour nous cravacher nos jolies fesses. Et maintenant que vous avez sucé sa bite, vous allez lui lécher son trou du cul, Allez, on ne fait pas la chochotte et s’il pue, tant mieux. Jerry t’as le droit de leur péter dans la gueule.

Manquait plus que ça, et c’est qu’il le fait, le salaud, je suis un moment envahi par une odeur pestilentielle, Ça ne dure pas heureusement. Mais quelle humiliation !

Magda nous demande d’embrasser Jerry afin de le remercier de nous avoir pété à la gueule. C’est en effet la moindre des choses !

Fabienne et Sylvie sont elles aussi venues à bout de la bite qu’elles suçaient de conserve..

Jerry a pour l’instant la bite demi-molle, Magda pisse alors dans un verre et demande à l’homme d’y tremper sa bite. Et c’est ainsi imbibée d’urine qu’il vient la proposer à la bouche de Géraldine.

Celle-ci souffle un bon coup, lève les yeux au ciel, semble hésiter. Anne Marie passe derrière elle et la cravache plusieurs fois.

– Alors tu la suces cette bite ou tu attends le printemps ?

Elle hésite encore.

– Et ne te plains pas, ce n’est que de la pisse ! ça pourrait être de la merde.! Qu’est-ce que vous en pensez les filles ?

On ne sait pas trop quoi répondre.

– Ben oui ce pourrait être de la merde ! Commente néanmoins Sylvie.
– Et tu ferais quoi ?
– Je lécherais.
– Bon, alors tu vois !

Géraldine ferme les yeux, ouvre la bouche et se gobe la bite du black. Passés les premiers instants, elle ne s’en sort pas si mal et l’homme rebande presque. Anne-Marie fait cesser l’opération.

– Passons à table, mes chéries ! dit-elle.

Magda apporte une grande tarte aux pommes, la dispose au milieu de la table mais ne nous sert pas.

– Occupe-toi de notre cette chaudasse d’Isabelle ! Lui ordonne Anne-Marie

La bonne est venue à mon côté, m’a invitée à me lever, puis, placée derrière moi, m’a caressé le dos, en suivant ma colonne vertébrale jusqu’aux fesses et m’a fait pencher sur la table. Puis elle a commencée à me les caresser, passant un doigt dans le sillon, son doigt s’arrêtait sur mon petit trou, le caressait, le pénétrait, le ressortait, puis continuait vers mon entre-jambes, s’arrêtant juste sous ma culotte, à l’entrée de ma vulve.

Anne-Marie a demandé à Sylvie de venir lui bouffer la chatte pendant qu’elle se régalait du spectacle dont j’étais pour le moment la vedette.

Chacune des filles fut invitée à venir m’embrasser les fesses et à me caresser. Toutes sont venues suivant les ordres donnés. Géraldine m’a juste embrassé furtivement une fesse, ce qui a provoqué la colère d’Anne-Marie qui lui a demandé d’aller au coin, lui disant qu’elle serait punie pour manifester si peu d’ardeur. Dorothée m’a longuement léchée les parties charnues et j’ai senti sa langue dans mon sillon et sur mon petit trou, pendant que Sylvie se régalait de mes tétons érigés, je crois que j’ai gémi un peu. Fabienne, la jolie blackette, après m’avoir embrassée les lobes, me les a écartés et sa langue est venue le long de mon sillon, j’ai senti un doigt sur ma vulve qui cherchait mon clito qu’elle a caressée, m’obligeant à ouvrir mes jambes. Sa langue allait entre mon anus et ma vulve et je devais être prête à jouir quand la bonne l’a arrêtée. Elle m’a relevée et après m’avoir fait assoir sur un siège en m’obligeant à tenir mes jambes ouvertes, elle m’a doigté jusqu’à ce que je jouisse.

En voilà une étrange façon d’alterner la soumission et la douceur !

Sur un signal d’Anne-Marie nous avons regagné nos places.

Magda découpe la tarte. Elle fait six parts, donne la sienne à Anne-Marie mais avant de distribuer les autres, crache dessus.

Fallait voir la tronche des filles, qui n’osent pas toucher à leur part de tarte, quant à moi on a visiblement « oublié » de me servir

Géraldine se lève courroucée !

– Je ne reste pas, je me barre ! Dit-elle dans une posture très théâtrale et en se dirigeant vers la sortie de l’appartement.
– Stop ! Les filles, rattrapez-moi cette pute et amenez-là moi.

Chic, on va rigoler !

On se jette à quatre dessus on l’immobilise malgré qu’elle se débatte avec rage..

On l’amène devant Anne-Marie qui commence par lui foutre trois baffes.

– Lâche-moi !
– On va faire la paix, lui dit Anne-Marie, nous allons nous embrasser et tu pourras partir.

Géraldine se demande s’il y a un piège ou pas ! Bien sûr qu’il y en un, elle a oublié de se servir du mot de sécurité, donc Anne-Marie ne la laissera pas sortir. J’ai hâte de savoir ce que notre hôtesse lui prépare comme vacherie.

Les deux femmes s’embrassent, puis Anne-Marie la gifle à nouveau.

– Maintenant je vais t’expliquer quelque chose : en s’embrassant on s’échange de la salive, et apparemment ça ne te gêne pas trop. Quand Magda crache sur le gâteau c’est aussi de la salive, il n’y a pas de différence… Alors maintenant ton gâteau, tu vas le bouffer, et par terre comme une chienne.

Et elle lui tire les cheveux pour la mettre en position.

– Magda, cravache-moi cette salope jusqu’à ce qu’elle ait terminé son gâteau.

Quelle humiliation ! J’envie sa place, mais je me dis que mon tour devrait venir, il n’y a pas de raison !

– Salopes ! Vous n’avez pas le droit ! S’égosille Géraldine en pleurnichant.
– On t’a envoyé ici pour te punir, alors ferme ta gueule, morue !
– Ça devait être juste un jeu !
– Fallait te renseigner mieux, alors tu la bouffes, ta tarte ?

Vaincue, humiliée, domptée, le visage en larmes, elle la termina, elle était plus forte que je ne l’aurais imaginé.

Magda ouvrit une tenture derrière laquelle était disposé deux croix de Saint André, Géraldine fut attachée à l’une d’elle.

Magda s’empare de sa cravache et se met à fouetter durement les fesses et le dos de la pauvrette qui s’ornent bientôt de trainées rougeâtres. La Géraldine crie et pleure, mais supporte. Après une vingtaine de coups, on la détache mais c’est pour l’attacher de face.

– Allez-y les filles, maltraitez là, giflez-là insultez-là, défoulez-vous.

On ne s’en prive pas, on la gifle, on lui crache dessus, on lui tourne les tétons avec les pinces, on la traite de tous les noms. Quelle humiliation ! Comme j’aurais aimé être à sa place.

– Vous vous rendez compte de ce que vous avez fait à cette pauvre fille, à votre tour d’être punies. Sylvie et Fabienne couchez-vous par terre sur le ventre, Isabelle et Dorothée fouettez les jusqu’à ce qu’on vous dise d’arrêter.

Je me suis acquittée de cette tâche avec grand plaisir, la Sylvie elle va se rappeler de moi ! Après cinq minutes de coups de cravache, on fait retourner les filles et on continue en ciblant les seins et le ventre, les filles sont en pleurs.

– Inversion des rôles !

Je l’aurais parié ! Me voilà par terre, ma victime est devenue bourreau, Mais c’est qu’elle me fait mal, la Sylvie, mes fesses se mettent à chauffer, je crie, je hurle, je piaille. Et quand on me fait retourner, c’est encore pire.

– Maintenant on va pouvoir retourner à table et déguster cette délicieuse tarte. Et on ne triche pas.

Sylvie, Dorothée et Fabienne prennent leur part et commence à grignoter.

Je vais pour attraper ma part qui est restée au milieu de la table.

– Non toi tu vas avoir droit à une garniture spéciale.

Anne-Marie monte alors sur la table s’accroupit au-dessus de ma part de tarte. Elle ne va quand même pas…

Ben si !

Un gros boudin marron sort de son anus et viens s’écrouler sur ma part de tarte.

Alors là, trop c’est trop, si elle m’oblige à bouffer tout ça, je me barre en utilisant le mot de sécurité.

J’ai maintenant l’assiette devant mes yeux.

– Je dois faire quoi ?
– Pour l’instant tu regardes ! Et tu me dis ce que tu en penses !
– C’est une jolie merde !
– Sens là !

Je me penche. Anne-Marie m’appuie sur le crâne, mon visage vient s’écraser sur la tarte. J’ai maintenant plein de caca sur le visage. C’est malin ! Cette salope pousse le vice jusqu’à prendre un peu de matière dans ses mains pour me l’étaler sur les seins.

– Regardez-moi cette salope d’Isabelle ! Se gausse Anne-Marie, elle est dégueulasse avec toute cette merde sur sa tronche et ses nichons de pute. Allez, vous autres approchez-vous venez la voir, ça vaut le coup d’œil !

Les filles arrivent, elles sont là devant moi, et j’ai l’air d’une conne.

– On ne va pas la laisser comme ça, il faudrait au moins lui nettoyer les tétons, Il y a une volontaire ?
– Je veux bien essayer ! Dit Sylvie

Tiens, tiens, mademoiselle a donc bien des penchants scatos ?

– Vas-y ! Lui dit Anne-Marie

La petite langue de Sylvie vient courir sur mon téton et en lécher la matière qui y était déposée. Sa tâche accomplie elle se recule très fière.

– Tu es une bonne petite pute, viens m’embrasser ! Lui dit Anne-Marie

Les deux femmes se roulent un patin, elles sont dégueulasses

– La suivante ! Ordonne Anne-Marie.

Dorothée et Fabienne se regardent, pas trop motivées, finalement c’est la blackette qui s’y colle

– Il reste un téton à nettoyer, Lui précise Anne-Marie

Fabienne donne un premier petit coup de langue très timide, puis de façon assez inattendue se prend au jeu et se met à me lécher avec avidité Elle devait avoir des prédispositions cachées

– Alors c’est bon ? Lui demande Anne-Marie
– Spécial, mais pas mauvais.
– Embrasse Isabelle !

Fabienne me roule un patin, avec le goût de la merde d’Anne-Marie dans la bouche Je suis honteuse de devoir subir une telle chose, mais ça me fait mouiller…

C’est au tour de Dorothée qui vient me lécher rapidement quelques traces sur mes seins, mais on sent bien que ce n’est pas son truc

Sur un signe d’Anne-Marie, Magda vient détacher Géraldine et la fait s’approcher de moi.

On se regarde toutes, il paraît évident alors que l’on va aller au clash, la Géraldine n’acceptera jamais de faire ce qu’on va lui ordonner. Reste à savoir comme ça va se passer.

– Tu sais ce que je vais te demander ! Lui dit Anne-Marie
– Oui ! De lécher ta merde !
– Très perspicace ! Et tu vas le faire ?
– Oui, madame, je vais essayer

On est sur le cul, on s’attendait pas à une telle réaction de sa part . Il me reste du caca sur le nez et sur les seins, elle se met à lécher tout ça en fermant les yeux, on voit bien qu’elle se force, mais elle ne lâche pas le morceau (c’est le cas de le dire).

Elle se recule toute contente !

– J’y suis arrivée, j’y suis arrivée. Clame-t-elle.
– Tu n’as pas encore léché ton gâteau ! Me fait remarquer Anne-Marie.
– Je vais le faire…

Je ne vais quand même pas être la seule à me dégonfler.

– Non, finalement on va faire mieux que ça, Magda va s’occuper de toi, couche-toi par terre et garde la bouche ouverte.
– Ah non pas ça !
– Si, si !

Je me couche ! Magda viens s’accroupir au-dessus de mon visage, un magnifique étron sort de son charmant trou du cul.

Il me tombe sur le visage, on vient de me chier sur la tronche, jamais je n’avais été autant humiliée. c’était bien la peine de me faire nettoyer le nez, le voilà de nouveau tout cacateux.

– Un grand nez comme ça ! C’est fait pour être enduit de merder ! Des moque Anne-Marie

Magda et Anne-Marie viennent ensuite prélever l’étron et s’amusent à en badigeonner le visage des quatre filles, nous avons ensuite été invitées à nous embrasser goulument les unes les autres.

Mais ce n’était pas fini.

Anne-Marie nous a fait nous mettre en rang d’oignons puis elle a rappelé Tom et Jerry.

– Bon, vous deux, pour vous remercier de votre collaboration vous allez pouvoir enculer deux de ces putes, mais comme ce sont des putes, il faut payer. Choisissez!

Tom me choisit, Jerry choisit Géraldine. Il sont allés chercher des sous qu’ils ont donné à Géraldine, puis nous avons été invitées à nous mettre en levrette. Et les deux blacks nous ont enculés, pendant ce temps Anne-Marie se faisait bouffer la chatte par Fabienne, tandis que Magda harnachée d’un gode ceinture sodomisait Sylvie, laquelle en profitait pour faire minette à Dorothée.

Quelle orgie mes amis.!

J’ai joui comme une malade, Tom est sorti de mon cul, il a enlevé la capote et m’a fait lécher sa bite pleine de sperme.

Je me sens bien, mais bien !

Mais ce n’était toujours pas fini !

– Et maintenant , la vedette de la soirée ! Dit alors Anne-Marie. Tom va chercher Droopy.

Ah ? Qui c’est celui-là.

Et revoilà le black qui se ramène en tenant en laisse un grand labrador noir. A tous les coups Anne-Marie va nous obliger à sucer la bite du chien. Non seulement je me sens capable de le faire, mais j’ai envie de le faire..

Anne-Marie nous fait assoir les unes à côté des autres et nous demande de bien écarter les cuisses. Je suis au milieu entre Géraldine et Sylvie, Fabienne est complètement à gauche et Dorothée en première position.

Anne-Marie emmène le chien entre les cuisses de cette dernière qui se laisse faire en fermant les yeux. Ce dure peut-être deux minutes, Anne-Marie décale le chien, ça va être le tour de Géraldine.

– Non, pas moi !
– Tais-toi, morue !

Elle fait le geste de se lever.

Isabelle, Dorothée, maintenez-la et empêchez là de gigoter !

Vaincue, mais renonçant à l’usage du mot de sécurité, Géraldine se laisse lécher la moule par le chien. Elle ne tarde pas à pousser des jappement de plaisirs.

– Alors ? lui demande Anne-Marie
– C’est trop bon, mais j’ai honte, honte !
– Ben faut pas !

En suite ce fut mon tour, puis celui de Sylvie et de Dorothée.

Anne-Marie couche le chien devant nous et lui tripote la bite jusqu’à ce qu’elle émerge de son fourreau. Elle le suce un moment semblant se régaler de ce cylindre de chair rouge.

– Une volontaire pour sucer, où faut-il que ce soit moi qui désigne l’une d’entre vous ?

On se regarde toutes, j’ai envie d’y aller, mais Sylvie aussi.

On a donc sucé la bite du chien toutes les deux ensemble.

images (1)Géraldine a pris le relais après avoir respiré un grand coup mais n’a pas fait trop durer, Fabienne l’a imité, Quant à Dorothée, après avoir pointé une langue timide, elle s’est prise au jeu et la sucé pendant quelques longues minutes.

– Vous êtes vraiment des chiennes. Attention pour le bouquet final.

Anne-Marie tire un petit papier dans une soucoupe et le déplie.

– Isabelle, en levrette, Droopy va te couvrir !

Ben oui, au point où j’en suis… Mais je n’imaginais pas que le clébard me procurerai une série d’orgasme à répétions.

On frappe !

C’est quoi encore ?.

Magda va ouvrir, un bonhomme fit son apparition.

– Bonjour la compagnie, je viens récupérer ma fille.
– Elle a été parfaite, souhaitez-vous qu’elle vous suce la bite, maintenant ? Devant tout le monde ?
– Avec plaisir !

L’homme sortit sa bite de sa braguette et Sylvie vint alors sucer la bite de son père devant la petite assistance..

Voici donc une histoire qui au lieu de se terminer par un mariage se termine par une bonne pipe ! C’est mieux, non ?

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-France V
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Lundi 30 août 2021 1 30 /08 /Août /2021 14:34

 

Un string bien rempli par Firmin Dumigron

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Alors voilà, après une journée de travail, de réunion, nous décidons de nous détendre dans une boite dans Barcelone. 

 

Nous sommes invités par nos fournisseurs pour passer la soirée. Nous nous laissons guider par ces derniers qui nous emmènent dans un restaurant très branché de la ville. Nous passons une excellente soirée très alcoolisée.

 

Vers une heure du matin, nous sommes plus que deux à danser et faire la fête, les autres sont parti se coucher !

 

Nous sommes invités à aller dans une boite pour finir la soirée. Nous nous installons dans la boite qui parait très chaude, l’ambiance est top !

 

Nous sommes installés sur des coussins entourés de filles et de champagne à écouter de la musique trop forte !

 

Je suis super bien et lors de la soirée, je fais la connaissance d’une fille en tailleur avec des bas noirs, qui ne me laisse pas de glace !

 

Nous engageons la conversation. Nous nous trouvons des affinités, des points communs etc…

 

Afin de parfaire notre connaissance, nous nous mettons un peu à l’écart afin de rechercher un peu d’intimité.

 

L’alcool aidant, je me sens pousser des ailes et je commence à glisser ma main le long de sa cuisse.

 

Elle me laisse faire et je continue à la caresser jusqu’à monter aux porte-jarretelles. Je suis super excité, je bande très fort, ma queue est enfermée dans mon pantalon et ne demande qu’une main charitable pour sortir comme un diable de sa boite !

 

Cette salope comprend mon état et me caresse la queue à travers mon jeans.

 

Je bande très fort et je lui demande à l’oreille qu’elle me fasse une pipe !

 

J’en peux plus !

 

Elle me prend la main et m’entraine dans un coin discret.

 

A l’abri des regards, elle m’offre son intimité. Elle m’appuie sur les épaules, je me mets à genoux et j’attends de lécher sa chatte bien chaude et bien ouverte ! Elle me tient la tête et me demande de me calmer !

 

Alors elle glisse sa main dans son string et sort une belle queue pendante ! Après un moment de surprise, je comprends vite la situation….

 

RakotoCette queue au lieu de me rebuter m’excite au plus haut point. Je la prends dans ma bouche et la suce comme un bâton de réglisse !

 

J’adore son odeur, sa texture, sa forme, je joue avec dans ma bouche et avec ma langue. Je me surprends moi-même et me découvre un talent de pipeuse !

 

Je sens sa queue gonfler de plaisir dans ma bouche, mes doigts griffent ses bas ! Mes mains montent de ses cuisses, jusqu’à ses fesses !

 

Je bave, j’en peux plus. Il m’a pris la tête avec ses mains et il me baise la bouche en imprimant un rythme de plus en plus rapide !

 

Ça y est, ses mouvements ralentissent et je sens le jus s’écouler de sa queue. J’avale tous ce nectar, et engloutit sa queue ce qui lui procure encore deux ou trois spasmes de plaisir intense.

 

Il se recule, me présente sa queue à moitié débandée le long de mon visage afin de bien me faire comprendre que c’est elle qui mène la barque !

 

– Tiens si tu veux me revoir, voici ma carte, mais la prochaine fois, ma bite, je te la fous dans le cul !

 

Chic alors !

 

fin

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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Lundi 9 août 2021 1 09 /08 /Août /2021 08:38

Une cliente très particulière par Claire_N

Flag culote

Je m'appelle Martine, j'ai vingt et un ans, je suis célibataire, et depuis peu, j'ai réussi à trouver un emploi comme représentante en lingerie sexy féminine chez un grossiste.

 

Dans ce milieu, j'ai du mal à cacher que je suis bisexuelle, et que mes tendances penchent plus vers les femmes que vers les hommes.

 

Mon petit plaisir à moi c'est l'uro sous toutes ses formes, que j'ai découvert assez jeune. J'adore cela. J'adore me mouiller dans les lieux publics en pensant que peut-être on me remarquera. J'ai toujours pensé que j'allais finir par provoquer involontairement un scandale. J'ai aussi découvert la scato, ça me fascine mais je ne suis pas accro.

 

Un jour ma directrice m'appela :

 

- Martine ! Vous vous souvenez d'avoir fait votre première vente à Madame Moulenfeu ? Eh bien, cette dame est prête à passer un gros contrat avec nous. Et c'est avec vous qu'elle veut signer, uniquement avec vous. Je pense que vous réalisez bien l'importance de la mission que je vous confie ? Vous devrez déployer tous vos talents de commerciale pour nous ramener ce contrat. Vous me comprenez n'est-ce pas ? 

- Oui !

- Il le faut. Vous avez rendez-vous avec elle demain à 11 h 30 au "Restaurant de la chatte". Je compte sur vous.

 

Je rassurais ma directrice, et lui confirmais que j'étais prête à déployer tous mes talents pour décrocher ce contrat. Ça pourrait peut-être même être une porte vers une belle promotion. 

 

Je me souvenais…

 

Alors que j'avais installé devant elle toute la lingerie susceptible de l'intéresser pour son commerce, je sentais son regard davantage intéressé par ma modeste personne que par les dessous affriolants que je lui proposais. Ses mains réussissaient régulièrement à frôler les miennes. Puis ce fut une de ses jambes qui vint résolument se glisser entre mes genoux. Elle s'en excusa mais recommença quelques minutes plus tard. Ses avances ne me déplaisaient nullement. Mais je craignais de mal interpréter ses gestes. Débutante, j'étais là pour vendre, rien de plus. J'étais sûre qu'elle ressentait mon trouble. C'était une belle femme. Plus âgée que moi certes, mais je la trouvais attirante. Fausse blonde avec des cheveux mi courts, poitrine généreuse, elle en imposait.

 

Le lendemain…

 

J'avais enfilé un joli string rose pour ne pas avoir de démarcation de culotte sur mon jeans taille basse qui mettait en valeur mes fesses et ma taille mince. Je mis ensuite un cache-cœur et un soutien-gorge qui compensait un peu mes seins que je trouvais trop petits pour mon décolleté. Un passage devant le miroir, un coup de maquillage, des talons hauts et me voilà prête. L'appréhension me rendait la bouche pâteuse et je bus deux grands verres d'eau avant de partir en voiture, puis direction le rendez-vous.

 

J'étais un peu en avance. Je comptais là-dessus pour me rendre aux toilettes avant l'arrivée de ma cliente, mes deux verres d'eau m'y incitaient. Je n'aurais pas à m'en excuser pendant l'entretien pour disparaître deux minutes. Cela aurait été du plus mauvais effet. Pas de chance. En arrivant à la terrasse, je reconnus Madame Moulenfeu…

 

- Ah… Bonjour ! Vous êtes Martine je crois ?

- Oui… Bonjour Madame Moulenfeu.

- Je vous en prie… Appelez-moi Marie. Installez-vous là près de moi. Tout va bien pour vous ? Pas de problèmes ?

 

Je n'osais pas lui avouer que j'avais une terrible envie de pisser. J'attendais donc un moment plus propice.

 

- Bon… Tant mieux. Mettons-nous au travail avant de déjeuner. Je n'aime pas être interrompue quand je suis en affaire. Mais en attendant de nous mettre à table, nous allons prendre une coupe de Champagne… 

 

Je protestais mollement disant que je n'étais pas habituée au Champagne. En fait, je craignais fort que son pouvoir diurétique ajouté à celui des deux verres d'eau, me mette dans une situation plus qu'embarrassante.

 

- Allons, allons ! Nous n'abuserons pas, nous allons simplement trinquer !

 

Difficile de refuser…

 

Une accorte serveuse flanquée d'un décolleté impossible nous servit les coupes et je dû évidemment en boire une gorgée. Gorgée qui fut la plus petite possible.

 

Marie, au contraire de moi, avait une forte poitrine et son décolleté la découvrait largement. Elle portait une minijupe rouge qui, lorsqu'elle était assise découvrait assez haut ses cuisses blanches, pour le plus grand plaisir de la serveuse qui avait apporté le Champagne et qui devait elle aussi avoir des tendances goudou. .Je déployais des ressources inouïes pour, à la fois, retenir mon envie et présenter sous le meilleur angle, tous nos produits à notre acheteuse. Comment lui vanter la beauté et l'érotisme d'un string sans penser au mien que je devais éviter de mouiller ? Comment discuter un contrat annuel avec une telle envie de pisser ? Ah ! Quelle idée elle avait eue de commander du Champagne ! Toutefois, nous semblions d'accord et la liste de commande s'allongeait. Nous en arrivions à la fin de notre catalogue et j'allais enfin pouvoir présenter le bon de commande à la signature quand elle s'écria :

 

- Mon Dieu ! Déjà midi ! Je vous invite à déjeuner. Entrons dans la salle.

 

Elle me désigna une table et s'installa en face de moi. D'un regard circulaire, je cherchai un panneau indiquant les toilettes. Mais rien de bien évident de là où nous étions. Il aurait fallu que quelqu'un me renseigne. Et puis l'autre là qui n'en finissait pas de me poser des questions… Toujours en affaire… même en mangeant ses tomates à la mozzarella !

 

Et moi… Comme ce n'est pas possible… Si à l'aise en uro… Habituellement… Qui n'osais pas lui dire que j'avais une foutue envie… de crainte de l'indisposer et qu'elle ne signe pas le bon de commande.

 

En ramassant sa serviette tombée entre nous deux, sa main caressa intentionnellement la jambe de mon jeans. Je sursautai et je sentis nettement quelques gouttes passer dans mon string. J'en étais sûre maintenant. Son insistance pour m'avoir comme interlocutrice… ses jambes découvertes… sa serviette tombée entre nous deux… sa détermination de ne pas vouloir être interrompue… sa coupe de Champagne… oui, j'en étais sûre, Marie me cherchait et je devrais la suivre en échange de sa signature.

 

Bordel !… Elle finira bien par avoir envie de pisser elle aussi ! D'autant plus qu'elle avait bu deux verres d'eau en mangeant après le Champagne.

 

Soudain, elle me donna espoir :

 

- Et bien… Tout cela est très bien… C'est OK. Je vous accorde l'exclusivité pour un an. Je vais signer.

 

Je poussais un soupir de soulagement à l'idée que j'allais pouvoir me lever et demander au premier serveur rencontré où se trouvent les toilettes. Mais Marie enchaîna :

 

- Une autre coupe de Champagne pour sceller notre accord.

 

J'avais envie de hurler : "Nooooooon !"

 

Mais je pensais juste tremper mes lèvres dans le verre.

 

- Vous n'aimez pas le Champagne ? Demanda-t-elle.

- Si mais… J'ai encore à conduire cet après-midi… et je ne bois pas d'alcool en général.

- Pas d'inquiétude… Dans ce cas, nous prendrons le café chez moi et je signerai..

- Chez vous ?

- J'habite à deux pas d'ici. Rue Jean Labite… Attendez-moi ici. Je passe régler au comptoir et nous y allons. 

 

Je récupérais mon porte-documents. J'avais trente secondes pour m'informer auprès du serveur. Mais c'est elle qui l'occupait. J'étais vraiment devenue sa chose, car je ne devais surtout pas la bousculer ou la contrarier. Oui… C'était cela… Une dominatrice… Elle signera si…

 

J'eus soudain une impression que je m'empressai de vérifier. Mon entrejambe côté gauche était mouillé sur au moins vingt centimètres. J'espérais que cela ne se remarquerait pas. Elle me rejoignit pour sortir du restaurant. Tout en marchant je serrais les jambes, en priant pour que je tienne. Seule, c'est sûr, je me serais installée derrière un buisson du parc que nous longions. Quelle tentation !

 

Un digicode. La porte s'ouvre, et bientôt… des toilettes ?

 

Elle se mit à me tutoyer ;

 

- Entre… Mets-toi à l'aise. Installe-toi dans le divan.

 

J'avais une peur bleue de le mouiller. Quelle ne fut pas ma surprise lorsqu'elle passa devant moi de constater que l'arrière de sa jupe portait une tache d'humidité ? Cette surprise se lisait sans doute sur mon visage car elle me dit :

 

- Ah oui ! Tu as remarqué ma jupe ? Tu sais ton jeans, je l'ai remarqué aussi avec la tache entre les jambes. J'aime voir une fille qui mouille son jeans ! Ça ne te gêne pas, j'espère ? Et puis tutoie-moi toi aussi.

- Oui….si tu veux… Répondis-je timidement en pensant à mon contrat d'exclusivité.

- Tu vois, moi aussi j'adore pisser….Mais avant j'aime me sentir un peu mouillée. Tu es sympa Martine. On pourrait être amies….Non ?… 

- Oui bien sûr !

- Tu as déjà une relation intime avec une autre femme ?

- Ça m'est arrivé, oui !

- Et tu aimes ?

- Oui !

- Et avec une femme plus âgée que toi ?

 

N'étant pas complètement folle je voyais très bien où elle voulait en venir.

 

- Non, mais ça ne me dérangerais pas du tout !

- Alors allons-y, prenons un peu de bon temps !

 

Bien en face de moi, elle releva sa jupe, descendit son string découvrant son sexe fraîchement épilé. Avec un petit rire, elle me l'envoya à la figure.

 

- Pourquoi ? Ddemandais-je ;

- Pour te faire sentir l'odeur. Tu n'aimes pas cela ?

- Si… Mais j'ai été surprise.

- Ne le sois plus. Je suis comme toi. J'aime pisser. J'aime les femmes. Alors elle sent bon ma culotte ?

 

Elle était souillée, une belle tache de pisse devant, mais aussi quelques trainées marrons derrière. Je humais et me régalait de cette fragrance 

 

- Humm ! J'adore !

- Lèche si tu veux !

 

J'avançais ma langue et vint lécher légèrement la tache d'urine, puis m'enhardissant, je fis de même avec la tache de merde

 

Après cette petite fantaisie, elle vint me rejoindre sur le divan et passa ses jambes au-dessus des miennes. Elle se mit à me caresser les cheveux et le visage, palpa ma modeste poitrine. Certes des relations avec des filles j'en ai eu plusieurs, mais là, la situation était différente, C'était une cliente…. Je me suis laissé faire, nos langues s'enroulaient, nos salives se mélangeaient.

 

J'allais me faire gouiner par une vraie salope, mais ça ne me posait pas vraiment de problèmes.

 

Puis soudain, je sentis mon jeans se mouiller abondamment. Je glissais ma main entre les cuisses de Marie pour constater qu'elle était en train d'uriner abondamment sur moi.

 

C'est malin ! Je vais repartir comment, maintenant ?

 

Nous étions trempées toutes les deux. Elle se leva, enleva son chemisier et sa jupe ne gardant que son soutien-gorge. A mon tour, je retirai mon jeans trempé, mon soutien-gorge et mon string pour me retrouver complètement nue. On s'observa ainsi toutes les deux, on se plaisait mutuellement, on était bien.

 

Je lui enlevai son soutien-gorge pour libérer ses beaux seins dont je caressais les aréoles puis j'entrepris de les lécher et de les sucer.

 

Elle me fit coucher sur le sofa et elle se mit entre mes cuisses. Je reçus quelques baisers et quelques coups de langue sur ma petite chatte juste un peu dégarnie. Sa langue osa atteindre mon clitoris. J'étais au septième ciel, tout le plaisir était en moi. Mais je craignais que sous le plaisir ma vessie se libère brutalement à mon insu.

 

Puis nous avons changé de place, je vins sur elle pour nous manger mutuellement la chatte. Sa mouille remplissait ma bouche, je ruisselais dans la sienne. J'adorais ce goût.

 

- Attends… dit Marie. Ma fille a un accessoire, un double gode qu'on peut s'introduire à deux. Je vais le chercher et on va se donner du plaisir ensemble.

 

Et elle partit dans la chambre de sa fille, remua des tiroirs et revint vers moi.

 

- Tu sais Marie, lui dis-je. Toi tu as fait ton pipi. Moi le mien est toujours prêt à partir et tu as failli l'avoir à la figure sans que je le fasse exprès, je t'assure. Dis-moi où sont les toilettes ou la salle de bain.

- Attends ! Répondit-elle, on va gérer ça !.

 

Elle se coucha sur le plancher et me demanda de me placer debout au-dessus d'elle.

douche les47

- Allez ! Vas-y, pisse-moi dessus.

 

Je ne sais pas ce qu'il y avait de plus agréable : arroser ma cliente qui m'obligeait à me retenir depuis si longtemps ou de me sentir enfin soulagée. Mon jet ne s'arrêtait plus. Je l'arrosais de son visage à son entrejambe en poussant plus ou moins fort et en dirigeant le jet avec mes doigts. 

 

- Un vrai régal ton pipi, me dit-elle

 

Puis, Marie entra un bout du gode dans sa chatte et se mit à genoux. Je m'installai derrière elle en lui tournant le dos et je rentrai l'autre bout dans la mienne. Je me tortillais et finis par jouir bientôt rejointe par Marie.

 

Epuisées de plaisir, nous avions oublié que nous étions là pour boire un café.

 

Mais Marie préféra une troisième coupe de Champagne. Les deux précédentes ayant été éliminées, cette dernière fut la bienvenue. Nous l'avons dégusté assises dans le canapé, toutes mouillées, dans les bras l'une de l'autre.

 

Nous en étions là quand sa fille fit irruption en disant que sa mère n'était pas autorisée à lui emprunter son jouet, ce qui nous fit rire toutes les trois. La fille s'empara du gode et me claqua nonchalamment mes petites fesses.

 

- Tu ne vas pas me dire que tu as besoin du gode maintenant, laisse-le-nous encore un peu ! Protesta Marie

- Vous avez fini de jouer avec, je vous ai vu, espèces de cochonnes !

- Non on a pas fini, on ne se l'est pas mis dans le cul !

- Oh là là, qu'est-ce que j'entends ?

- Reste donc avec nous, Katia, tu ne nous déranges pas !

- Bon, bon !

 

J'avais remarqué la mezzanine, Marie me proposa de nous nous y rendre

 

Mais sur place je découvrais un voisin assis en terrasse en train de bouquiner, j'allais rebrousser chemin mais Marie m'expliqua.

 

- C'est monsieur Philippe, un retraité, il n'est pas méchant, juste un peu voyeur, il ne me gêne pas du tout… et puis c'est excitant de savoir qu'on nous regarde.

- Je préférerais qu'on reste à l'intérieur.

- C'est une expérience, tu vas voir c'est amusant. Vas-y caresse-toi, il va se branler en nous regardant

 

J'ai donc commençai à me caresser pour attirer son attention. Marie me rejoignit dans mes caresses. Pour lui prouver que je pouvais être aussi perverse qu'elle, je lui proposais de me pisser dessus à son tour. Elle ne se le fit pas dire deux fois et accroupie elle m'inonda le corps et la bouche de sa délicieuse urine.

 

Le voisin s'était déshabillé et s'astiquait frénétiquement sa bite en nous regardant.

 

- Regarde moi ce vieux cochon ! Tu sais, dés fois il lui prend l'envie de vouloir me baiser, il me téléphone, si je dis non, il n'insiste pas, il est très correct… et si je dis oui je lui demande de l'argent en échange, de temps en temps j'aime bien jouer à la pute. La semaine dernière on l'a sucé à deux, moi et ma fille.

 

Non mais ce n'est pas possible, où est-ce que je suis tombée ?

 

- Si ça t'intéresse je peux t'arranger un rendez-vous avec lui ! Reprit-elle. Il paie bien.

 

Elle me proposait carrément de faire la pute ! J'aurais pu me rebeller, mais je ne l'ai pas fait pour deux raisons, la première c'est que j'étais ici en mission et que le contrat n'était pas encore signé, la deuxième c'est que quelque part l'évocation de cette situation me faisait fantasmer.

 

Katia vint ensuite nettoyer avec sa langue la chatte de sa mère en se régalant des dernières gouttes de pipi.. Quand elle eu fini elle reprit le double gode et nous demanda à sa mère et à moi de nous mettre en levrette cul contre cul, elle nous lubrifia bien nos anus avec sa délicieuse petite langue avant de nous introduire ce joujou diabolique qui nous fit jouir au bout de quelques minutes.

 

- Hum, ça m'a donné envie de faire caca, tu veux regarder Martine ?

- Avec plaisir !

- Je suis sûr que tu aimerais me lécher le cul après ?

- Bien sûr !

Marie alla chercher une feuille de papier journal et s'accroupit dessus, me tournant le dos et m'offrant le magnifique spectacle de ses jolies fesses bien rebondies. Son anus s'ouvrit, je le sentis pousser et soudain un bel étron en sortit et vint s'écraser sur la journal.


- Alors ça t'as plu ?

- Oui ! Tu as fait une jolie merde.!


Elle prélève un petit morceau de l'étron, le porte à sa bouche et le léché légèrement en me regardant finement dans les yeux..


- Humm, tu veux goûter ?

- Peut-être pas, mais je vais te lécher le cul !

- Ce sera la même chose !

- Oui bien sûr ! Allez, donne je vais le faire !


 

J'ai donné un bref coup de langue, puis j'ai nettoyé son anus, j'ai trouvé ça très bon et très excitant.

 

Rassasiées, il nous fallait une douche, et c'est ensemble que nous sommes allées dans la salle de bain, Marie et moi. Sa fille vint nous rejoindre et après m'avoir embrassée sur la bouche, en fit de même avec sa mère tout en lui pelotant et lui embrasant la poitrine.

 

La dernière coupe de Champagne faisait son effet. Je pris la main de Marie et la glissai entre mes jambes pour la gratifier d'un dernier pipi en conclusion.

 

Katia avait la même taille que moi. Elle me prêta un de ses jeans et aussi un string en soie, rouge et blanc.

 

Une fois séchée et rhabillée, je ressortis mon bon de commande et mon contrat d'exclusivité.

 

- Ah ! C'est vrai s'excusa Marie… On allait l'oublier.

 

Et elle signa les deux exemplaires sans même les relire.

 

On s'embrassa d'un tendre baiser complice et je pris le chemin du retour.  :

 

- Alors Martine ?… Comment ça s'est passé ? S'enquit la directrice

- Mais très bien Madame… Elle a signé !

- Super on va arroser ça, je vous invite chez moi on va déboucher une bonne bouteille Champagne.

 

Encore du champagne ! Qu'est-ce qu'il va encore m'arriver ?.

 

Martine-secrétaire (Québec)

 

Postface :  le texte original écrit par Martine a disparu de la circulation. J'ai essayé de le reconstituer à l'aide d'un brouillon de publication. Martine peut évidemment nous joindre pour toutes remarques, corrections ou rectifications.

Claire_N

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Claire N
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Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 10:47

Je suis majeure, j’aime la danse par Julia Raison


VitkaJe suis majeure, j’aime la danse

Et j’emmerde la bien-pensance,

Hier, j’ai ouvert le frigo

J’ai mangé deux eskimos.

J’ai ouvert le petit bar

Et me suis servie un vieux marc.

J’ai ouvert le tiroir de maman

Il y avait un gros gode dedans.

Je l’ai entré dans mon abricot

Et ça m’a bien donné chaud.

J’ai ouvert la salle de bain

Papa s’y branlait comme un sagouin.

« – Enlève tes mains, mon père !

Ma bouche fera mieux l’affaire. »

Dans ma peau je suis bien

J’emmerde les paroissiens

De toutes les confessions

Et vive l’inceste et la fellation !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Poèmes divers
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Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 10:38

Les Vilaines Cousines par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne

stamp slave

Bonjour, je m’appelle Anne-Abigail et ce récit est basé sur des faits réels. J’ai aujourd’hui 33 ans, je suis un peu maso, un peu sapho, un peu dingo

 

C’était il y a 13 ans… l’année de mes 20 ans !

 

Pendants mes vacances, j’avais décidé de rendre visite à ma tante Sylviane et à mon oncle Georges que je n’avais pas vu depuis quelques années. Ils vivent près de Cahors dans un joli corps de ferme. En compagnie de leurs deux filles. Caroline, 21 ans et Manon 19 ans.

 

Cet après-midi, après nous être promenées dans les bois avec mes cousines, nous sommes arrivées près d’une cabane abandonnée.

 

– Entrons nous reposer quelque temps ! Dit Manon l’air visiblement très fatiguée.

– C’est une bonne idée ! Renchérit Caroline.

 

Toutes les trois nous nous dirigeons vers cette cabane faite de rondins de bois et couverte d’une mousse indiquant que peu de personne viennent par ici. Je pousse la porte qui me résiste un peu et entre la première. La pénombre qui règne dans la pièce me permet à peine de distinguer les meubles. Devant moi une table mal équarrie avec une chaise sur le côté, dans le fond une commode et face à l’entrée un canapé fort usé. Entièrement à ma contemplation, je suis surprise lorsque Manon se colle contre mon dos, me saisit les poignets et les tend à Caroline, qui en un tour de mains les attachent avec une fine corde.

 

– Mais… qu’est-ce que vous faites… ?

 

A peine ai-je terminé ma phrase qu’une traction sur mes poignets m’oblige à lever les bras. Je vois Manon tirer sur la corde qui entrave mes poignets, en jeter l’extrémité par-dessus une poutre du plafond et de toutes ses forces elle me soulève. Si bien que rapidement je suis obligée de me mettre sur la pointe des pieds si je ne veux pas que mes épaules me fassent trop souffrir.

 

– Vous êtes folles… ! Détachez-moi immédiatement… !.

 

Une boule d’angoisse monte dans ma gorge lorsque je vois Caroline, terminant de nouer la corde sur un anneau fixé dans le mur, me regarder avec des yeux de feux.

 

– Qu’est-ce que je vous ai fait… ? Pourquoi… ? Détachez-moi… Je vous en prie… !

– J’en ai marre que tu nous prennes de haut avec tes grands airs de fille de la ville, toujours à nous narguer et à nous snober, aussi nous allons te montrer comment nous traitons les petites prétentieuses de ton genre par ici ! Dit Caroline pleine de colère.

– Je le ferais plus… détache-moi, j’ai mal aux poignets… Pardon Caro Pardon !

– Trop tard Anne, fallait y penser avant !

 

Je vois Caroline se diriger vers la commode, ouvrir un tiroir et prendre un objet, lorsqu’elle se retourne vers moi elle me montre une baguette en bois.

 

– Je vais te chauffer un peu les fesses peut être que cela t’apprendra la modestie ?

– Nooonn… ! Tu ne vas pas oser faire ça… ! Nooonn… ! Je veux pas… !

 

Cousine

 

Comme Caroline passe devant moi je tente de lui décocher un coup de pied mais je perds l’équilibre et une violente douleur monte de mes poignets. J’essaie de d’arrêter le balancement de mon corps en me mettant sur la pointe des pieds mais je n’y arrive pas.

 

– Salope… ! J’ai mal aux mains, détache-moi… !

– Quoi ? Tu oses me traiter de salope… ! Tu ne perds rien pour attendre… ! Je me suis toujours demandé quelle sorte de culotte peut bien porter une fille de la ville.

 

Joignant le geste à la parole, elle passe dans mon dos, remonte doucement ma jupe, découvrant petits à petit mes cuisses, lorsqu’elle commence à apercevoir ma petite culotte, elle s’exclame :

 

– Tu portes une culotte de pute ma chère Anne. Regarde Manon elle porte une culotte de dentelle presque transparente, on lui voit les poils et pour un peu on lui discernerait le minou.

 

Morte de honte en entendant les commentaires de Caroline je me mets à pleurer.

 

– Ar rêtes, tu as gagn (snif) ées, je ser rai sage à l’ave (snif) nir !

 

Les larmes inondent mon visage, mais, lorsque j’entends Manon, je n’en crois pas mes oreilles.

 

– Dit Caro, tu crois qu’on la fait mouiller ?

– Je ne sais pas il suffit de vérifier… !

 

Caroline termine de remonter ma jupe jusqu’à ma taille, découvrant mes cuisses fermes et fuselées, la roule et la coince dans ma ceinture. Puis elle fait glisser ses mains le long de mes hanches et s’arrête en atteignant l’élastique de ma culotte.

 

– Noonn ! Caro ne fait pas ça ! Baisse pas ma culotte… Noonn… !

 

J’ai beau me débattre, mais attachée comme je le suis, je ne peux rien faire. Je sens les mains de Manon faisant descendre ma culotte avec une lenteur extrême, laissant apparaître le duvet roux de ma toison puis la fente de mon sexe. Arrivée à mi-cuisses elle la laisse tomber. Je perçois le frottement du tissu glissant sur mes jambes et découvre sur le sol ma petite culotte faisant une tache blanche. De rage je lance un coup de pied à Caroline.

 

– Aiiii… !

 

Au glapissement que j’entends, je sais que mon talon l’a atteint à l’estomac. Je vois Caroline se tenir les mains sur l’estomac, pliée en deux de douleur.

 

– Vache j’ai mal… ! Tu vas me payer çà !

– Attends Caro ont va l’attacher autrement intervient Manon.

– Comment ? Demande Caroline se redressant avec peine et me jetant un regard noir.

– On va lui ligoter les jambes, comme ça elle ne pourra plus bouger.

 

Manon et Caroline s’approchent de moi.

 

– Pardon Caro Pardon ! Je ferai tout ce que tu veux. Excuse-moi

 

Arrivée à ma hauteur Caroline s’abaisse et attrape une de mes chevilles.

 

– Anne, si tu bouges je te promets que tu le regretteras

 

Le ton de la voix de Caro est si dur que je n’ose pas faire un mouvement. Manon détend la corde de mes poignets ce qui me fait un bien fou car je peux enfin reposer les pieds sur le sol. Très vite un fourmillement parcourt mes bras et mes mains, puis des picotements de plus en plus douloureux au fur et à mesure que le sang se remet à circuler. Manon et Caroline en profitent pour lier une corde à chacune de mes chevilles, puis elle en passe l’extrémité dans des anneaux fixés dans le sol et, elles tirent sur les cordes m’obligeant à écarter les jambes. Lorsqu’elles sont satisfaites, elles nouent les cordes aux anneaux. Je suis immobilisée entièrement à leur merci.

 

– Qu’est-ce que-vous allez faire de moi ?

 

Manon s’approche de moi et me dit en me regardant dans les yeux.

 

Tu n’aurais pas dû faire ça Anne…

 

Elle se laisse tomber à genoux et son visage arrive à hauteur de mon sexe. Elle place ses mains sur mes fesses me faisant sursauter.

 

– Que vas tu me faire ?

– Juste vérifier si tu mouilles. Me répond-elle en riant.

 

Le souffle du rire de Manon sur ma chatte, les caresses de ses mains sur mes fesses et la situation dans laquelle je me trouve commencent à provoquer des troubles au creux de mes reins. Une chaleur que je connais bien irradie mon minou. Je lutte de toutes mes forces pour ne pas laisser paraître mon trouble. Mais lorsque Manon écarte les lèvres de ma chatte, je suis bien obligée d’admettre l’évidence.

 

– Regarde-moi çà Caro, elle mouille comme une fontaine. Elle aime ça, une vraie petite salope.

 

Les mots de Manon me blessent mais je préfère ne rien dire.

 

– Si elle aime se faire tripoter, je lui réserve une bonne surprise dit Caroline en se dirigeant vers la porte. Avant de sortir, elle me regarde

 

– Je crois que tu vas aimer Anne tu n’aurais pas dû me frapper, je t’aurais pardonné ta morgue mais maintenant j’ai un compte avec toi.

 

Et elle referme la porte sur elle.

 

– Qu’est-ce qu’elle va me faire ?

– Je ne sais pas me répond Manon Mais depuis le temps que j’ai envie de toi je vais en profiter…

 

Je regarde Manon, son visage ovale encadré de cheveux blonds est tourné vers moi, de ses yeux bleus un torrent sensuel s’échappe. Elle approche sa bouche de ma vulve, écarte à nouveau les lèvres de mon minou, attrape avec délicatesse mon clitoris et commence à le sucer comme un bonbon. Une violente décharge secoue mon bas ventre, mon bassin ondule au rythme des caresses de Manon. Le plaisir d’abord insidieux devient de plus en plus fort. En femme experte Manon contrôle la montée de mon orgasme, reculant le plus possible les limites de l’explosion.

 

-Manon.. . Je… Oui… en peu plus… Oui… Oui… Ouuiii !! Je veux jouir Hooo ! Ouuii… Haaa… Ouuuiiii… !!

 

Un orgasme fulgurant me parcourt le corps me laissant sans force, au bord de l’évanouissement. Lorsque que je reprends conscience je vois Caroline devant moi.

 

– Alors petite pute, je vois que tu ne t’es pas ennuyée pendant mon absence. Depuis le temps que Manon voulait te faire une minette. Maintenant à mon tour de jouer avec toi. Regarde, je t’ai cueilli des fleurs…

 

Dans ses mains Caroline tient délicatement un bouquet de fleurs. Elle les dépose une à une sur la table. Six en tout. C’est alors que je me rends compte que ce ne sont pas des fleurs mais des orties. Un cri jaillit de ma bouche.

 

– Que vas-tu faire avec ça !

– Te nettoyer la chatte. Regarde-toi, tu as de la mouille partout. Ce n’est pas très propre cela. Toi qui passe des heures dans la salle de bain à te pomponner, tu dois bien le comprendre. Me dit-elle un sourire aux lèvres.

– Non…Noonn…Nooonnn…!! pas çà Caro, tout ce que tu veux mais pas çà

 

Comme une hystérique je me débats dans mes liens. Je tente de resserrer mes jambes. Chose impossible car je suis trop bien attachée.

 

– Caro je tends prie, ne fais pas ça…!

 

Caroline contemple mes efforts infructueux. Elle tire un mouchoir de l’une des poches de son jeans, l’enroule autour de la tige de la première ortie, la soulève et se dirige vers moi. Une peur panique me saisit.

 

– Nooonnn…!!

 

Soudain Manon et Caroline éclatent de rire.

 

– Regarde elle pisse… elle a tellement la trouille qu’elle fait pipi dit Manon entre deux hoquets.

– La cochonne faire cela devant nous… elle n’a pas honte ? Renchérit Caroline.

 

Rien n’y fait, je ne peux pas m’arrêter, je regarde cette fontaine d’or jaillir de ma chatte et imprégner le sol sablonneux de la cabane. Petit à petit le flot se tari pour ne laisser place qu’a quelques gouttes. Je suis rouge de confusion et je n’ose pas regarder devant moi, je garde la tête baissée sentant monter un flot de larmes.

 

Manon se mouille le doigt avec un peu de l’urine qui a coulé sur mes cuisses et me le fait sucer.

 

– Suce, suce ta bonne pisse !

– Non pas ça !

– Tu as tort, elle est délicieuse ! dit-elle en se léchant le doigt.

 

Je pensais avoir échappé à cette épreuve, mais voilà qu’elle recommence. Je ferme ostensiblement la bouche, alors elle me pince fortement le téton à travers mon tee-shirt et profite du fait que j’ouvre la bouche pour crier, pour y fourrer son doigt

 

– Tu es vraiment une sale fille. Reconnaît qu’il faut bien t’essuyer la foufounette maintenant. Me dit Manon

 

Je ne réponds pas. Mais lorsque je vois les feuilles d’ortie entre mes jambes je ne peux m’empêcher de supplier Caroline.

 

– Tu m’as assez humiliée comme çà…arrête Caro…!

 

Je vois les doigts de Caroline séparer les lèvres de mon sexe. Je retiens mon souffle car les feuilles d’ortie montent vers ma chatte. Saisie par l’appréhension je ne bouge plus. Lentement Caroline fait glisser les feuilles d’ortie entre les lèvres de mon minou, entre mes jambes et pour finir dans le sillon de mes fesses jusqu’à mon anus. Dans un réflexe je crispe mes fessiers ce qui a pour effet de ralentir encore plus le mouvement des orties. Une fois entièrement passée Caroline jette la tige sur le sol.

 

– Et d’une…!

 

Ces mots sont comme un déclic, jusqu’à présent je ne sentais rien. Brusquement un picotement se propage à l’intérieur de ma vulve, bientôt remplacé par une véritable démangeaison, puis des élancements semblables à des piqûres se répandent le long du trajet suivi par les feuilles d’orties se transformant en une unique brûlure.

 

– Aiiii…! Je suis en feu…! J’ai mal !

 

A travers le brouillard de larmes qui obstrue mon regard j’aperçois Caroline qui revient vers moi avec une autre tige d’ortie.

 

– Noonn…! Plus ça…Trop mal…!

 

Malgré mes suppliques et les déhanchements de mon corps pour échapper aux orties de Caroline, une deuxième tige suit le même chemin le long de ma vulve et dans la raie de mes fesses. La douleur est encore plus vive que précédemment.

 

– Plus… Noonn… ! … plus Caro… trop mal… ! … arrête … !

– J’espère que tu as compris maintenant !

– Ouuii…! …Ouuii ! …je serai sage je ferai tout ce que tu voudras…!

 

Caroline profite quelques temps du spectacle de mon corps se contorsionnant en tous sens pour échapper à la souffrance qui le ronge. Elle semble se délecter de mes cris et de mes suppliques.

 

Manon s’approche de Caroline

 

– Tu m’excite quand tu fais la méchante !

 

Les deux sœurs s’embrassent sensuellement sur la bouche, se pelotent et se débraillent avant de rouler sur le sol, où elle se gamahuchent l’une, l’autre.

 

J’ignorais que mes cousines avaient des rapports incestueux, les voir se donner du plaisir ainsi m’excita énormément.

 

– Bien. Manon, détache-la.

 

Manon s’approche de moi, me délie les chevilles et lorsqu’elle détache la corde qui maintenait mes bras levés je m’effondre sur le sol. Je me tords comme un ver, une main frottant ma chatte l’autre mes fesses pour tenter d’apaiser la souffrance. Au bout de quelques temps la douleur s’estompe. Comme je tente de me relever Manon me dit :

 

– Reste à genoux et approche à quatre pattes esclave…

 

C’est la première fois que j’entends ce mot dans sa bouche mais à partir de cet instant je sais qu’il va rythmer toute ma vie. Je m’approche de mes cousines, déjà prête à me soumettre à leurs nouveaux caprices.

 

– C’est exprès que tu as laissé trainer ça sur ta table de nuit ? Me demande Manon en m’exhibant une feuille de carnet rempli de mon écriture.

 

« Elles sont trop belles mes cousines ! Que j’aimerais être leur esclave ! »

 

– Vous fouillez dans ma chambre alors ?

– Ben quoi ? Faut bien aérer, non ? Et puis ne te plains pas, nous avons exaucé ton fantasme ! Maintenant habille-toi correctement, nous devons rentrer à la maison. Dit Caroline.

 

J’abaisse ma jupe. Je cherche ma petite culotte du regard mais Manon me dit :

 

– A partir de maintenant tu ne portes plus sous-vêtement.

– Oui…maî…maîtr…maîtresse Manon.

 

Nous sommes sorties de la cabane. Arrivée sur le chemin, je me suis tournée vers la cabane pour figer à jamais l’image de cet endroit qui me fit découvrir ma vocation d’esclave.

 

En entrant dans la maison, une autre surprise et de taille m’attendais.

 

– Alors, demande l’oncle Georges, ça s’est bien passé ?

– Super ! Répond Caroline, on l’a soigné aux orties.

 

Je rêve, l’oncle Georges était donc au courant !

 

– Et elle a réagi comment ? Demande la tante Sylvianne.

– Elle a mouillé comme une salope !

– Bien on va se faire cinq minutes détente, on se mets tous à poil.

 

L’instant d’après je découvrais la bite de mon oncle Georges fièrement bandée.

 

J’étais tétanisée, ma tante Sylvianne et mes cousines me retirèrent mes vêtements, je me laissais faire.

 

– Venez mes chéries, venez sucer la bite de votre papa ! Dit ensuite tonton Georges.

 

Et là devant mes yeux subjugués, je vis Caroline et Manon s’agenouiller près de leur père et entamer une fellation incestueuse à deux bouches.

 

Il les fit stopper au bout de quelques minutes. Et pointa sa main vers moi !

 

– En levrette, esclave, je vais t’enculer !

 

Je ne protestai pas, cela procédait pour moi de la logique des choses, je me mis en position et offrait mon anus aux assauts virils de mon oncle, tandis que les deux cousines faisait minette à leur mère.

 

13 ans plus tard je me remémore encore cette folle journée ! Le lendemain je quittais oncle, tante et cousines, les adieux furent chaleureux sans arrière-pensées, comme s’il ne s’était rien passé !

 

J’ai ainsi découvert ma nature profonde : je suis profondément maso, mais libre ! Paradoxal ! Non ! Car maintenant mes Maîtresses, c’est moi qui les choisis !

 

Bisous.

Anne-Abigail

 

© 2000 annvoneichmuller@hotmail.com

 

Publié initialement sur le site de Revebebe le 23/02/2001 sous le numéro 1869 et qui ne l’a pas conservé

Rétabli ci dans une version non censurée et rewritée.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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