Mercredi 10 novembre 2021 3 10 /11 /Nov /2021 16:44

Annonce insolite par Mathilde Stenberg

scat

 

Attention texte scato explicite

 

Chloé (c'est moi) finissait son café en rêvassant à la terrasse de ce bistrot. Situé devant la gare, il était fréquenté par une clientèle de passage, où se mélangeait allégrement familles nombreuses encombrées de bagages, voyageurs de commerce, le nez dans leurs journaux économiques et babas-cool prenant leurs quartiers d'été.

 

La sonnerie du portable d'un type placé à un mètre de moi retentit. Il gueule comme un putois, il se croit tout seul, j'en ai rien à foutre de ses affaires. Je crois comprendre qu'il y a eu confusion sur l'heure d'un rendez-vous. Le type sort un billet de son portefeuille, et décampe, son portable à l'oreille. Il a oublié deux journaux sur la table, je les attrape pour y jeter un coup d'œil ! L'un est un journal sportif à grand tirage, en revanche je ne connais pas l'autre, de format plus petit, la couverture montrant une femme à la poitrine généreuse et dévoilée m'apprend qu'il ne s'agit cependant pas d'un manuel de jardinage. Je feuillette amusée, ce sont des petites annonces. Des petites annonces bien coquines...

 

Qui l'eu cru ! Toutes ces annonces m'excitent, il y a de tout, des sados, des masos, des homos, des lesbiennes, des travelos, des partouzeurs, des apprentis cocus, des voyeurs, des exhibos. Je voudrais foutre ce canard en l'air, mais non ça m'excite, ça m'excite et je continue à lire 

 

Et puis je tombe sur ça :

 

"Tina, 26 ans aimerait rencontrer une jeune femme qui accepterait de faire ses besoins devant moi. Réciprocité bienvenue."

 

N'importe quoi ! N'importe quoi ! Il y a des tarées graves quand même ! Allez regarder quelqu'un chier ? Non mais ça ne va pas ! Pisser encore, ce peut être rigolo ! Mais la merde, ça pue, c'est moche ! Berck Berck Berck et re berck !

 

Et puis ce flash, ce souvenir ! La campagne, ma cousine, la forêt.... 

 

- Faut que je fasse caca ! M'avait-elle annoncée.

- Ben vas-y ! Planque-toi derrière un tronc d'arbre !

- Non, reste avec moi, j'ai peur des serpents.

- Bon, ben vas-y, je me tourne !

 

Je le fais ! Mais ma cousine m'interpelle !

 

- Il n'y a rien derrière moi ?

 

Je suis bien obligée de me retourner ! Malgré moi je suis fascinée, ma cousine est accroupie, en train de déféquer et je la regarde, je n'arrive pas à détourner mes yeux de ce gros boudin qui pendouille et qui finit par dégringoler mollement au sol ! Je suis tout d'un coup terriblement excitée !

 

- Hum, ça fait du bien de faire un gros caca ! Commente-t-elle ? Tu n'as pas envie toi ?

 

Je lui ai répondue que non, je l'ai regardé s'essuyer et je suis restée avec mon excitation ! Le soir dans mon lit, je me suis rejoué la scène dans ma tête et j'ai regretté de ne pas avoir répondu à cette étrange demande de réciprocité. Allez donc savoir pourquoi ? Le goût de l'interdit sans doute... L'excitation retombée, j'ai refoulé ce plaisir pervers qui m'avait envahi. Et puis quelques jours plus tard quand ma cousine m'a demandé si elle pouvait faire caca devant moi "comme l'autre jour", au lieu de partager son délire, j'y ai mis des limites : "Pipi, oui, mais pas caca !" L'affaire en est restée là. Les jeux uros ont ensuite intégré petit à petit mon univers érotique mais jamais je n'ai accepté de franchir la frontière que je m'étais fixée. Et pourtant régulièrement des esquisses de fantasmes scatos m'assaillent, ça ne dure jamais longtemps d'habitude.

 

Pourquoi suis-je si excitée alors ? Je relis encore l'annonce. Rejouer cette scène une fois, juste une fois, après on verrait bien ! Après tout qu'est-ce que je risque ? Et puis cette impression si troublante de tenter le diable... Un numéro de téléphone est indiqué, je le compose. Evidement c'est un répondeur ! C'est vrai qu'il doit falloir gérer ce genre d'annonce. On me demande mes coordonnées, je les donne, je pourrais toujours dire que c'est une blague si ça me prend trop la tête.

 

J'ai passé la journée comme d'habitude à vendre des pantalons, des petits hauts et autres fanfreluches à quelques minettes et le soir en rentrant dans mon studio de "célibataire et fière de l'être" je ne pensais plus du tout à cette affaire quand mon portable sonna vers 19 h 30

 

- Je suis bien au 06 xx....

- Oui !

- Vous avez appelé suite à mon annonce….

- Ah ! Oui, c'est vrai ! 

 

L'excitation étant retombée, je n'avais plus trop envie de donner suite.

 

- Vous avez quel âge ? Demande la douce voix

- 28 !

- Et vous êtes quel genre ?

- Quelconque, brune à lunettes. Pas trop moche.

- Vous êtes sur Montpellier même ?

- Oui, mais...

- On peut se voir, pour discuter un peu ?

- Oui, mais...

 

Ça y est, les images de ma cousine qui reviennent. Il faut que je me calme, je ne vais quand même pas m'embarquer avec n'importe qui pour faire n'importe quoi...

 

- Je peux vous retrouvez où ? Insiste-t-elle

- Au "café des amis" devant la gare, à la terrasse, dans vingt minutes.

- Donnez-moi un signe de reconnaissance, c'est moi qui vous aborderais, je prends mes précautions, vous comprenez ?

- Je sais pas, moi, j'aurais un gilet noir et un cahier bleu à la main.

- Dans combien de temps ?

- 20 minutes, ça va ?

 

Ravagée, je suis ravagée, mais j'ai un plan, le cahier bleu je ne vais pas le sortir tout de suite, comme ça si je vois une fée carabosse en train de chercher quelqu'un et bien elle continuera à attendre. 

 

Je m'installe à la terrasse, le gilet sur les genoux et le cahier dans le sac. Personne n'a l'air ni d'attendre ni de chercher qui que ce soit sinon cette jolie blonde un peu plus loin, qui attend probablement son mec...

 

Donc récapitulons : j'ai rendez-vous avec une nana qui a passé une petite annonce pour qu'on chie devant elle et vice versa ! Il faudra que je consulte !

 

La blonde passe et repasse devant la terrasse ! Ce n'est pas elle tout de même ? J'enfile le gilet, elle regarde dans ma direction, semble hésiter. Je sors le cahier bleu et fais le geste de m'éventer avec. Elle s'approche, c'est elle !

 

- Bonjour, je suis Gwen !

- Chloé, enchantée ! Je ne vous voyais pas comme ça, vous êtes charmante.

- Merci ! On se tutoie !

- Oui !

- Toi aussi, tu aimes les grosses cochonneries alors ? Me dit-elle en guise d'entrée en matière.

 

Alors, je lui explique qu'il ne faut peut-être pas aborder le problème de cette façon. Et je lui explique : le bouquin d'annonces, la sienne d'annonce, le flash avec la cousine, tout sur la cousine, mon excitation, mon incomprehensible excitation.

 

- Et sinon sexuellement tu te classes comment ? Me demande-t-elle.

- Je ne me classe pas, j'aime tout un tas de chose, les mecs, les filles, les partouses, l'uro, un peu le SM... En fait j'aime beaucoup de choses mais je ne pratique pas souvent. Je suis trop indépendante pour supporter la vie de couple, alors le sexe c'est souvent en solo... et toi ?

- J'avais une copine, une fille plus vieille que moi, mais elle a été mutée dans le Nord, elle m'a initié à un tas de trucs, alors ça me manque, c'est pour ça que j'ai passé une annonce un peu extrême, mais faut pas croire, il n'y a pas que ça dans la vie ! Sinon, je te plais ?

- Oui, t'es mignonne !

- Bon, alors je t'emmène chez moi ?

 

Ben voyons !

 

L'impression d'être prise dans un engrenage... Et mon cœur qui fait des gros toc-toc dans cet interminable escalier. On rentre, la porte se referme. Je jette un coup d'œil sur le studio. C'est gentiment décoré, peut-être un peu chargé à mon goût, des poufs, des coussins, des tableaux genre pop'art. On se croirait à Greenwich Village dans les années hippies 

 

- T'es pas pressée, j'espère ?

- Non ! (je n'allais pas lui dire oui) 

- T'as mangé ?

- Non.

- T'as peut-être faim, il est 21 heures passés ? 

 

Elle farfouille dans le frigo.

 

- Jambon, pâtes, ça va ? J'ai du fromage, des fruits, tu bois quoi, du vin ?

 

Nous voilà à parler de nous, de nos vies, de nos boulots respectifs, elle travaille dans une boîte d'assurance. On se trouve quelques affinités. Elle est gentille, douce, je m'étonne de ne l'avoir jamais rencontrée, mais c'est vrai qu'elle n'a rien de particulier qui ferait qu'on la remarque.

 

On a mangé un dessert, elle me propose un café, je décline. Je l'aide à débarrasser la table et à faire la vaisselle. 

 

Et puis sans transition :

 

- Je vais pisser, tu veux regarder, je suppose ?

- Bien sûr !

- J'aimerais bien un petit bisou avant.

 

Pas de problème, on se rapproche on se serre dans nos bras, on se roule un patin d'enfer. J'en suis toute chose. 

 

- Viens !

 

Elle quitte son pantalon, puis sa culotte, elle m'exhibe carrément sa chatte poilue. 

 

- Elle te plaît ?

- Bien sûr qu'elle me plaît.

- Tu aimerai que je te pisse dessus ?

- Oui, pourquoi pas ?

- Dans la bouche ?

- Un peu dans la bouche, oui !

- Déshabille-toi, sinon on va en foutre partout !

 

Me voilà en train de me foutre à poil devant une inconnue rencontrée il y a un peu plus d'une heure. 

 

- Hum, c'est mignon tout ça ! Commente-t-elle.

- N'est-ce-pas ?

 

Elle m'embrasse les tétons, me caresse, me malaxe les fesses. Je lui fais comprendre qu'elle pourrait elle aussi retirer le haut. Pas de problème, le petit haut valse, le sous-tif, également. C'est trop mignon tout ça !

 

On s'embrasse, on se pelote, on roule sur le tapis, mais Gwen se libère.

 

- Viens, j'ai trop envie !

 

Je la suis dans la salle de bain, elle me fait allonger par terre, puis approche son pubis de mon visage. C'est vrai qu'elle avait une grosse envie, j'en avale pas mal mais rapidement, je ne peux plus suivre; j'en laisse plein à côté, on rigole comme des bossues.

 

- Alors,  il est comment mon pipi ?

- Hum ! Un délice !

- T'as pas envie, toi ?

- Si je peux t'en faire un peu, c'est quand tu veux !

 

Elle m'embrasse à nouveau, je suis bien, elle me susurre alors à l'oreille :

 

- Alors tu voudrais qu'on fasse des grosses cochonneries maintenant ?

 

Je lui fais signe de la tête que oui, le moment fatidique est donc arrivé.

 

- T'as envie de faire un petit caca ? Demande-t-elle.

- Je ne sais pas, je ne crois pas, pas tout de suite !

- Pousse pour voir !

 

Je le fais, mais sans résultat !

 

- La meilleure façon est d'aller voir sur place ! Répond-elle alors. 

 

Elle mouille alors son doigt et me le pénètre dans l'anus qu'elle me trifouille avec énergie.

 

- Pousse en même temps... C'est pas très loin, je sens ta merde, mais il faut peut-être attendre un petit peu... c'est pas un problème... On attendra.

 

Elle sort son index en vérifie l'état ! Il n'est pas très net, c'est le moins que l'on puise dire, recouvert qu'il est de choses marrons. Elle le regarde, amusée et sans hésiter un seul instant elle se le fourre dans la bouche et le nettoie de sa langue.

 

- Deuxième tentative ! Dit-elle en m'enfonçant cette fois deux doigts ! Allez pousse, pousse ma petite salope !

 

Elle retire ses doigts, me les fout sous le nez !

 

- Lèche !

- Non !

- Sois pas bête, ça n'a pas beaucoup de goût !

- Si ça n'a pas de goût, pourquoi veux-tu que je le fasse ?

- Parce que c'est pervers, parce qu'on est deux belles cochonnes et parce que ça me fait plaisir ! Ouvre ta bouche, ma mignonne !

 

Elle me dit ça tellement gentiment que je n'ose pas refuser. Je lèche ses doigts, c'est acre, et effectivement ça n'a pas beaucoup de goût.

 

- C'est bien, on fera quelque chose de toi, commente Gwen en plaisantant. On va attendre que ça vienne... Mmmm moi par contre, je crois que je vais faire un joli petit étron !

 

Elle me fait un peu peur, je ne sais pas trop où je m'embarque. Peur mais fascinée aussi !

 

- Tu veux vérifier ? Demande-t-elle

- Tu veux que je te mette un doigt ? Osais-je.

 

A mon tour je me mouille l'index et lui introduit dans l'anus, je sens effectivement une masse un peu molle. Je réalise que je suis en train de lui toucher sa merde, et que non seulement ça ne me gêne pas plus que ça, mais que ça m'excite ! 

 

- Je crois qu'il y a un gros caca en préparation ! Lui-dis je !

- Ok ! Retire ton doigt ! 

 

Bien sûr mon index est sale, je lui offre à sucer ! Je pensais qu'elle refuserait, me demandant de le faire, mais non elle me lèche le doigt, et une fois que c'est fini, elle approche son visage de mes lèvres, nous nous embrassons, un vague goût acre reste alors sur sa langue ajoutant à mon trouble.

 

Gwen s'en va chercher une assiette dans sa cuisine, elle se met ensuite à genoux sur la table, me tourne le dos au dessus du plat qui est prêt à recevoir ce qu'elle va chier.

 

- Tu veux me sucer l'anus avant ! 

- Oui, mais ne pousse pas, alors ?

- Tu as tort, mais OK, autant y aller progressivement.

 

J'approche mon visage de son trou du cul ! Bigre, ça ne sent pas la rose par là ! Ça sent nettement plus fort que ce qu'il y avait sur nos doigts à l'instant !

 

- Dis donc, tu sens un peu fort !

- C'est normal, c'est un trou du cul, c'est une odeur naturelle. Tu vas t'habituer, lèche !

 

Je lèche quelques instants son petit anus, mais j'ai l'impression que celui-ci à tendance à se dilater, je n'ai quand même pas envie de recevoir sa crotte dans la bouche. Je me recule.

 

- Ne pousse pas !

- Je ne pousse pas, c'est toi qui appréhendes. Bon j'y vais ! Regarde bien et tu vas me commenter tout ça !

Chloe

Commenter ? Il faut faire des commentaires ?

 

- Tu vas me dire ce que tu vois !

- Pour l'instant je ne vois pas grand chose, si... ton trou du cul se dilate !

- Je vais essayer de faire ça tout doucement !

- Ça y est, ton caca commence à sortir !

- Ça te plait de me regarder chier ?

- Je ne sais pas si ça me plait mais ça m'excite.

- C'est de quelle couleur ?

- Ben, marron, c'est toujours marron, non ?

- Oui mais marron comment ?

- Marron foncé !

- T'as de la chance se sont les plus belles merdes.

 

Un long étron merdeux se fraye un chemin hors de l'étroit conduit, sa taille augmente dans des proportions que je n'aurais pas cru possible, puis la merde se casse et tombe dans l'assiette. Gwen défèque toujours, une nouvelle merde sort de son anus et vient rejoindre l'autre, une troisième arrive; mais avant qu'elle ne tombe, elle y met la main, en récupère un peu et se l'étale entre ses fesses. 

 

Je crois que j'ai fini, viens me nettoyer avec ta langue !

 

Je jette un coup d'œil sur le cul merdeux de ma complice de ce soir, non trop c'est trop, je ne me vois pas lécher tout ça et je le lui dis.

 

- Juste un peu, je ne te demande pas de tout enlever... mais juste un peu pour faire plaisir à ta copine !

- Je ne sais pas...

- Ce n'est pas pire que de lécher les doigts, c'est la même chose...

- Bon je vais essayer, mais tu ne seras pas fâchée si j'arrête ?

 

J'y vais. Je choisis une zone pas trop encombrée et je commence à lécher, effectivement à part ce petit côté acre, le goût est plutôt neutre. Il y a l'odeur, mais ça reste supportable, je lèche, je lèche.

 

- Ça va ? demande-t-elle ?

- Ouais ! 

- Lèche-moi le trou !

 

Au point où j'en suis, je n'ai plus aucune réticence, je lance ma langue sur l'anus merdeux, je l'embrasse puis je le suce de petits coups de langues répétées. Je m'enivre de ce que je fais, je suis maintenant complètement dans le trip. Le goût n'est pas à proprement (?) parler désagréable, avec un arrière-goût un peu amer comme certains fromages. En fait le premier pas franchi, c'est même pas mauvais du tout, un peu particulier mais pas mauvais. 

 

- Hummm, elle est bonne ta merde !

- Ben tu vois !

 

Je suis dans un état second, ma chatte est mouillée comme une soupe, je continue à lui lécher le cul comme si je dégustais le meilleur plat d'un grand restaurant.

 

Et puis les jeux scatos ont aussi leur limites, alors excitées comme des puces nous nous sommes retrouvées spontanément en soixante-neuf à nous lécher la moule jusqu'à l'orgasme…

 

On a pris une douche, pas ensemble, l'une après l'autre…

 

Je craignais un peu la suite, mais Gwen m'a rassuré.

 

- C'était un fantasme, je suis contente de l'avoir réalisé ! Me dit-elle. Mais on ne recommencera pas… Si on se croise un jour dans Montpellier on se fera un bisou, on pourra même prendre un café vite fait, mais on en resteras là.

 

Voilà qui me convenait très bien.

 

Environ un mois après cette rencontre, je croisais Gwen en rentrant du boulot. Nous somme allées boire un verre, en fait on était contente de se retrouver, nous avons bavardé comme des pies, je l'ai suivi chez elle, on s'est bien amusé, on s'est trouvé tellement bien ensemble que cela va bientôt faire 10 ans que nous vivons ensemble.

 

Fin

 

 

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Mercredi 10 novembre 2021 3 10 /11 /Nov /2021 16:29

Diane, ma prof de piano par Mathilda Stenberg

scat

Texte scato explicite

 

Je m'appelle Claire, j'ai 35 ans et je m'emmerde ! Mariée avec un cadre supérieur, celui-ci est toujours en vadrouille aux quatre coins du globe. Son niveau de rémunération est impressionnant. Ah, ça, je ne risque pas de manquer de quelque chose ! Mais enfin, on se demande à quoi je sers ? Prendre un amant, bof, je n'aime pas assez les hommes, me lancer dans des activités, j'en ai essayé plein, des solitaires comme l'aquarelle ou la sculpture. Des collectives comme la gymnastique, la randonnée, le chant choral, mais au bout de quelques mois tout cela ne me passionne plus, je laisse tout tomber. Je voudrais en fait changer de vie, avoir l'occasion de le faire, mais je ne sais tout simplement pas comment procéder. Et puis tout ce fric m'a habitué à un certain confort, suis-je vraiment prête à l'abandonner... On a beau se dire qu'il n'y a pas que ça dans la vie, mais bon...

 

J'ai le cafard cet après-midi : je me passe un disque, je ne choisis même pas, c'est une anthologie de morceaux pour le piano. Je connais tous ces airs par cœur. Tiens, la "Romance sans parole" de Mendelssohn ! Je savais la jouer avant ! Est-ce que je saurais encore ? Il y a des mois que je n'ai pas ouvert ce magnifique piano hérité de la tante de mon mari. Je m'y installe ! Et allons-y ! Le désastre ! Nouvel essai ! Nouveau désastre ! Je m'énerve, j'ai envie de casser quelque chose, je vais casser quelque chose, et je choisi cette ridicule sculpture "spéciale touriste naïf" ramenée par mon mari de Birmanie ! Patatras ! En miette l'œuvre d'art ! Au moins je ne la verrai plus !

 

- Oh madame !

 

Quoi "Oh madame !" ? La bonne qui joue les éplorées à présent. Elle est mignonne, mais elle m'énerve, tout le temps dans mes pattes, si au moins elle possédait un peu de tendresse, mais la seule fois où je me suis amusée à lui demander de me frotter le dos alors que je prenais mon bain, elle s'est enfuie en courant !

 

- Ecoute Anna ! Je te fais cadeau de huit jours de vacances, je ne veux pas te voir avant la semaine prochaine... 

- Mais pourquoi, madame ?

- Parce que c'est comme ça, allez file !

 

Je dois être timbrée, pendant huit jours je vais me farcir la cuisine les courses, le ménage, non pas le ménage, je vais lui laisser...

 

Je cours faire pipi, il faut que vous explique, je suis une pisseuse, j'ai souvent envie, le docteur m'a dit que je devais avoir une toute petite vessie, pas si facile à gérer, j'évite de boire trop de liquide ainsi que tout ce qui est diurétique si je dois sortir.

 

Je pisse, je me mets la main devant la chatte afin de l'imbiber de mon urine, puis je lèche, j'adore faire ça. J'aurais dû profiter de l'absence de la bonne pour me faire pipi dans ma culotte et rester comme ça un moment, pas grave, ce sera pour plus tard, de toute façon comme je vous l'ai, dit, je pisse tout le temps. Je me fous un doigt dans le cul, je le fais aller et venir, puis le ressors, il est un peu merdeux. Je le lèche ! Hum, c'est bon et c'est surtout délicieusement pervers, je recommence. Cet autre jeu est plus rare, mais j'adore le faire quand je sens l'excitation monter. Je crois qu'en poussant je peux faire un petit caca. Je pousse tout en mettant mes mains en corolle sous mon anus. La merde sort et tombe dans le creux de mes mains. J'approche ma main de mon visage, je contemple l'étron, le hume et m'enhardit jusqu'à le lécher un peu. Je me sens salope et j'aime ça !

 

Je quitte les chiottes sans me torcher le cul ni me laver les mains et vais me branler sur le lit.

 

Bon, si je n'arrive plus à jouer correctement au piano, quelques cours devraient me faire du bien. Je recherche un prof de piano, décide que je préférerais que ce soit une femme.

 

- D'accord ! Me dit la dame, on peut commencer jeudi, c'est à quelle adresse ?

 

Le problème c'est que jeudi, la maison sera pleine de poussière…

 

- Je préfère que ça se passe chez vous.

- Non, je ne donne pas de cours chez moi. Me précise la dame.

- Même si je double le prix ?

- Ce sera donc à titre exceptionnel.

 

Diane est blonde, la quarantaine, habillée très bourgeoise, le chignon ridicule prêt à chanceler, des lunettes… En s'arrangeant elle pourrait être pas trop mal, elle a des belles lèvres et un beau sourire… et bien sûr de très belles mains.

 

Nous sommes en pleine leçon quand j'ai soudain envie de faire pipi. Pour bousiller la concentration quand on est au piano c'est pas mal ! Je lui demande donc où sont les toilettes.

 

- Les toilettes ?

 

Ben quoi ? On dirait que je lui demande la lune, il y a bien des toilettes dans son appart, non ? Elle devient toute blanche.

 

- Heuh... c'est dans le couloir la deuxième porte, mais, euh, c'est un peu délicat, la chasse d'eau ne fonctionne pas très bien, le plombier devait passer hier, mais il faut que je le rappelle.

 

OK, pas la peine de se mettre dans des états pareils, je me rends donc à l'endroit indiqué ! Ça ne sent vraiment pas la rose, elle ne sait pas qu'il existe des déodorants pour chiottes, la prof de piano ? Un coup d'œil instinctif dans la cuvette. Il y a un magnifique colombin marron qui flotte dans de l'eau brunâtre. Bon, je n'effarouche pas pour si peu, elle m'avait prévenue, et puis comme ça par réflexe, je tire la chasse ! Miracle tout s'en va ! Elle fonctionne très bien sa chasse d'eau ! C'est quoi ce délire. ?

 

Je ne me suis ce jour-là pas attardée sur cette bizarrerie, j'ai fait ce que j'avais à faire, j'ai tiré la chasse qui pour la seconde fois de suite a fonctionné parfaitement, et je me suis remise à la musique.

 

C'est quelques jours après que la bizarrerie se renouvela. Pressée d'aller faire pipi, je remarquais encore une fois que la chasse n'avait pas été tirée ! Tout cela n'avait aucun sens ! Ou alors elle oubliait régulièrement de l'actionner ? Oui ça devait être ça, et c'est ce qui expliquait son trouble de l'autre jour ! Elle devait être incapable de se souvenir si elle avait tiré la chasse ou pas, d'où son explication vaseuse... Le syndrome du poisson rouge ! Quand on y réfléchit, les choses deviennent parfois bien simples... Et puis soudain un éclair dans mon esprit, la chose se compliquait. Où était donc passé le papier avec lequel elle s'était torchée et qui aurait dû être dans la cuvette ? On peut oublier de tirer la chasse mais pas de se torcher le cul quand même ! 

 

A moins d'être aussi cochonne que moi !

 

J'appuyais sur le mécanisme actionnant la chasse d'eau éliminant définitivement l'hypothèse d'un dysfonctionnement. Elle le faisait donc exprès. En voilà une perversion qui est bizarre ! Bizarre ? Mais pourquoi bizarre, puisque moi aussi, il m'arrive de faire des cochoncetés avec mon caca… 

 

Une réminiscence de mon adolescence me vint à l'esprit. Une sortie en forêt avec des copines, je m'étais isolée avec Julie pour faire caca. Et cette dernière m'avait proposé de jouer à qui ferait le plus gros boudin. On avait poussé, accroupies l'une devant l'autre en rigolant comme des malades.

 

- Celle qui a perdu à un gage ! Me dit-elle

- D'accord.

 

J'avais perdu.

 

- Le gage, c'est que tu ramasses mon caca et que tu le lèches !

- T'es malade. T'as qu'à le faire toi !

- C'est pas moi qui a perdu.

- Oui, mais si tu avais perdu, tu l'aurais fait ?

- Bien sûr !

- Mon œil !

- Regarde !

 

Et devant mes yeux effarés, Julie, ramasse un morceau de son boudin, le porte devant ses lèvres et le lèche en me narguant.

 

Alors tout c'est passé très vite, comme dans un rêve, sans doute n'ais-je pas voulu perdre la face, j'ai fait pareil. La surprise c'est que je pensais trouver quelque chose d'abominable, mais qui ne durerait que quelques secondes, une épreuve, quoi ! Au lieu de ça je rencontrais un gout plutôt neutre et loin d'être désagréable, 

 

L'affaire n'eut pas de suite immédiate, mais me troubla profondément. 

 

Quelques mots là-dessus quand même, étant gosse, le caca ne me dérangeait pas, et je me moquais de mes petites camarades que la chose révulsait. En grandissant, je me suis rendu compte que j'étais bien seule sur ce sujet, je me suis dit alors que je n'étais peut-être pas très normale et j'ai refoulé tout ça.. Jusqu'au jour ou en surfant sur Internet j'ai découvert des petites vidéos où l'on voyait de jolies femmes s'amuser comme des folles en faisant de la scato. Ce jour-là j'ai dû rester l'après-midi sur Internet, la main dans la culotte.

 

C'est à partir de ce moment là que j'ai commencé à me doigter le cul, et quand le doigt sortait il allait directement dans ma bouche.

 

Quand j'étais très excité, j'allais plus loin, parfois je chiais dans le creux de ma main et portait mon étron à mes lèvres et je le léchais vicieusement.

 

J'ai ensuite voulu chercher une complice C'était il y a trois mois, j'avais passé une annonce sous pseudo en ouvrant une boite mail anonyme. Une nana m'a répondu, elle voulait savoir si j'étais une vraie femme, un travelo… Bref elle se faisait payer, je m'en fous j'ai du fric. On a pris rendez-vous, et j'avais quelques idées sur ce que je lui demanderais de faire. Sur place, j'ai un peu déchanté, la nana n'était pas conviviale pour un rond, pas un sourire, pas une once d'humour, une moue dédaigneuse et suffisante. Je lui ai juste demandé de chier devant moi : elle m'a fait un joli boudin bien moulé, mais quand elle m'a demandé si je désirais autre chose, j'ai préféré en rester là. 

 

Alors parfois dans mes fantasmes, quand je suis réellement trop excitée, je me rejoue la scène avec Julie, et parfois j'y incorpore des variantes. 

 

Se pourrait-il que Diane...

 

Je décidais de la provoquer... Dommage, je n'avais envie que de faire pipi...

 

- Je crois que votre chasse d'eau est de nouveau bloquée, je n'ai pas tirée la chasse, on ne sait jamais, je ne voudrais pas que vous soyez inondée...

 

Sa tête ! L'autre jour, elle était blanche, mais aujourd'hui elle est rouge. Elle cherche quelque chose à dire ! Mais rien ne sort, elle me regarde, elle a les larmes aux yeux. Je suis sans doute allé trop loin. Soudain elle se lève, se dirige vers la patère où j'ai accroché mon manteau, me le lance !

 

- Foutez-moi le camp ! Trouvez une autre prof ! Je n'ai pas de compte à vous rendre. C'est si facile de juger les gens !

- Mais je ne vous juge pas !

- Si ! Vous me prenez pour une folle ! Comme si les choses étaient si simples que ça ! Disparaissez, j'ai besoin d'être seule !

 

Moi qui pensais créer un déclic positif, j'ai raté mon coup, lamentablement ! Diane est manifestement au bord de la crise de nerf ! Il faut que je trouve quelque chose pour la désamorcer.

 

- Je peux vous aider ! Vous n'êtes pas folle, ce sont les autres qui ne vous comprennent pas !

- Qu'est-ce que vous en savez, vous êtes psychiatre ? De toute façon, je le sais que je ne suis pas normale ! Maintenant laissez-moi, s'il vous plait, laissez-moi !

- Diane, vous êtes parfaitement normale !

 

Elle ne répond pas, elle sanglote, je lui mets la main sur les épaules, mais elle se dégage. 

 

J'aurais pu la planter là, et la laisser avec ses étranges pratiques, mais que voulez-vous, ce doit être mon côté protectrice, je n'aime pas que les gens soient malheureux. Et puis elle est mignonne avec son petit bout de nez en l'air... Je comprends que la seule façon de s'en sortir ça va être l'ultra choc, mais ça va être à mes risques et périls car après il faudra gérer la suite :

 

- Diane, j'ai les mêmes fantasmes que vous ! C'est pour cela qu'il faut arrêter de vous mettre dans de tels états.

 

Elle continue d'abord de se rebiffer !

 

- Quels fantasmes ? Qu'est-ce que vous en savez qu'on a les mêmes fantasmes ?

- Si vous le souhaitez, la prochaine fois que j'aurais envie, vous pourrez regarder, ça ne me dérange pas du tout....

 

Elle fait des yeux tout ronds, incrédules.

 

- Vous aussi vous aimez ces trucs-là, alors ?

- Puisque je vous le dis !

 

Elle n'a plus envie de me foutre à la porte. Je raccroche mon manteau. Elle a l'air un peu paumée. 

 

- Ecoutez, je ne suis plus très motivée aujourd'hui pour faire une leçon de piano, revenez demain, nous aurons pris du recul, et nous verrons bien si nous pouvons comment dire… rester en contact.

 

J'étais dans un état d'esprit assez partagé, d'une part je regrettais qu'elle ait mis fin à notre rencontre alors que les conditions étaient réunies pour que l'on tente d'aller plus loin. Mais je me disais aussi que demain je pourrais caresser son corps et lui offrir le mien… à moins qu'elle ne se dégonfle… à moins que ce soit moi qui me dégonfle !

 

Le lendemain, je me suis retenue d'aller faire caca. Diane m'accueille, tout sourire, elle s'est passé une petite robe beige, sans manches, et légèrement décolletée, je lui tends la main.

 

- Il faut d'abord que je vous dise une chose ! Commence-t-elle

 

Qu'est-ce qu'elle va me sortir ?

 

- Pour les toilettes, faut que je vous explique, j'aime bien l'odeur de mon caca…

 

En me disant ça elle devient rouge comme une pivoine

 

- Donc je ne tire pas toujours la chasse et je ne m'essuie pas systématiquement. Comme je ne reçois personne depuis mon divorce, ça ne gêne personne. Alors quand vous avez insisté pour prendre les cours chez moi, je n'aurais jamais imaginé que vous auriez besoin d'aller aux toilettes. Si ça vous choque, on en reste là.

- Mais non, ça ne me choque pas du tout.

- Alors, on s'embrasse ? Me propose-t-elle ?

 

Je lui fais un chaste bisou, mais elle me reprend :

 

- Si nos relations prennent un tour un peu particulier, autant nous embrasser mieux.

 

Je n'ai rien contre, et on se roule un patin. Mais alors le patin de chez patin, celui qui bave jusqu'au menton.

 

- Et la deuxième fois, vous aviez oublié… Demandais-je, poussé par la curiosité.

- Non, j'ai été naïve, je me suis dit :"elle ne va quand même pas aller pisser à chaque fois qu'elle va venir !"

 

On rigole de bon cœur, Et toujours est-il que la prof à l'air enchantée, ravie de ma réaction.

 

- Je peux vous caresser ?

- Bien sûr

 

En fait, elle se contente de me caresser les bras par-dessus mon chemisier, comme érotisme on fait mieux, mais elle s'enhardit rapidement et me pose les mains sur les seins.

 

Je lui fais un sourire d'encouragement, elle continue un peu puis elle se recule, manifestement elle a envie de me dire quelque chose, mais ça a du mal à sortir.

 

- Claire !

- Oui

- Je me suis un peu retenue en vous attendant, mais maintenant il faut je le fasse… Euh, cela vous plairait vraiment de me voir chier ?

- Mais assurément !

- Vous n'imaginez pas quel plaisir je vais avoir à chier devant vous !

- Je crois que le plaisir sera partagé !

- Vous préférez que je sois nue !

- Oui bien sûr !

 

Elle se déshabille vite fait et se plante devant moi. Je réalise alors que la situation est incongrue dans la mesure où je suis restée habillée... je me déshabille à mon tour, elle ne bouge pas, elle m'attend.

 

Ses jolis seins m'attirent irrésistiblement, je les pelote, je suce un peu les tétons, elle me caresse aussi, on se roule un nouveau patin aussi baveux que le précédent.

 

- Euh, on fait comment ? Dans les toilettes, nous risquons d'y être un peu à l'étroit ! La salle de bain ?

 

Allons-y pour la salle de bain, où elle s'y accroupit.

 

- Je vais faire par terre, me prévient-elle. 

 

Elle cherche une serviette.

 

- A moins que je fasse sur vous ? Ce n'est peut-être pas dans vos pratiques ?

- Dans mes pratiques, non, mais dans mes fantasmes, oui ! Alors faisons comme ça ! Chez moi dessus, Diane ! 

 

Je m'allonge sur le sol, elle s'accroupit de nouveau mais cette fois au-dessus de ma poitrine. Elle commence à pousser, mais abandonne au bout d'un moment.

 

- Ça ne vient pas, on va attendre un peu. Je vais faire pipi d'abord.

- Pissez-moi dessus, Diane ! Dans la bouche, je veux vous boire !

- Hum, et si je vous crachais dans la bouche, un tout petit peu !

- Allez-y Diane.

 

J'ouvre la bouche, elle me crache une première fois.

 

- Je peux vous insulter, je veux dire en le prenant comme un jeu ?

- Mais bien sûr !

- N'hésitez pas à me rendre la pareille, ça n'en sera que plus excitant.

- Crache-moi dessus, salope !

 

Elle le fait et ça m'émoustille, elle rectifie la position.

 

- Ouvre la bouche, grognasse !

 

La "grognasse" ouvre la bouche, et je reçois son urine dans la bouche, c'est délicieux, je me régale, il y avait une éternité que je n'avais pas goûté une autre pisse que la mienne.

 

Quand elle s'arrête c'est pour m'informer que cette fois "ça vient" et qu'elle va pouvoir me chier dessus.

 

- Vas-y ! 

- On y va !

Diane

L'anus s'ouvre, un petit étron marron quémande la sortie, il grossit, c'est maintenant un magnifique boudin qui sort du cul de la prof de piano, il se détache et me tombe sur la tronche.

 

Je n'ouvre pas la bouche, je n'ose pas, pas encore. L'odeur de merde m'envahit, pas grave, c'est de la fraiche, je m'habitue.

 

Diane se recule, un autre étron descend de son cul, il est magnifique. Terriblement excitée je me délecte du spectacle. Que c'est beau une belle merde qui sort d'un joli cul !

 

J'ose ouvrir la bouche, ma langue touche un peu de la merde de Diane, C'est surprenant, c'est même plutôt bon. Du coup, je m'enhardis et je lèche davantage.

 

Diane m'enlève le plus gros de ce que j'ai sur le visage et me badigeonne le torse avec, me voila avec les seins tout merdeux. Elle en prend un peu dans sa bouche, le garde et viens m'embrasser.

 

Son petit étron passe de sa bouche dans la mienne, puis de la mienne dans la sienne, je deviens folle d'excitation, mes cuisses dégoulinent de mouille.

 

Elle aussi s'est badigeonné, on est dans un drôle d'état, excitées comme des puces.

 

Et c'est quasi spontanément qu'on s'est retrouvé en soixante-neuf. J'ai sa belle chatte devant ma bouche, je lèche, je suce son jus, mais je sens mon ventre qui gargouille.

 

- Je crois que j'ai vais chier à mon tour !

- Chic ! Je veux ta merde dans ma bouche !

 

Je chie une grosse merde, Diane en a plein la tronche.

 

Ensuite ce fut la douche, le rhabillage, la cigarette, une bière.

 

- Je vais y aller…

- On se reverra ? Demande-t-elle avec une pointe d'angoisse dans la voix.

- Evidemment, j'ai vraiment besoin de vraies leçons de piano !

 

FIN

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Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Lundi 8 novembre 2021 1 08 /11 /Nov /2021 17:43

Florence, femme soumise par Firmin Dumigron 

stamp slave

 

Lorsque je suis entré dans la chambre, Florence s'y trouvait déjà…

 

Nous avons tous les deux la quarantaine, j'ai rencontré Florence un peu par hasard il y a environ un an. Elle était attablée au bistrot et chialait comme une madeleine. Je n'aime pas voir les femmes pleurer. Je suis allé la consoler, elle a mis un certain temps à m'expliquer que son jules venait de la quitter pour une autre et qu'elle ne savait même pas où dormir.

 

Je l'ai donc invité à venir chez moi. Nous n'avons pas baisé de soir-là, mais le lendemain on s'en est donné à cœur joie. Et tout de suite elle s'est révélée soumise et maso. Voilà qui tombait bien puisque je suis un tantinet dominateur.

 

Elle est brune, les cheveux longs, un beau visage avec un nez mutin, elle a une jolie poitrine dont les tétons s'ornent de piercing en anneaux.

 

Je suis cadre dans une grosse boite d'édition, et comme elle était sans travail, je lui ai obtenu un poste de traductrice qu'elle exerce à la maison.

 

Ce jour-là je suis rentré du boulot à 18 heures, un mot m'attendait :

 

"J'ai envie que tu me corriges, viens me rejoindre !"

 

Je criais : "j'arrive dans cinq minutes" 

 

Le temps de retirer ma veste et mes chaussures et d'aller faire pipi, non pas pipi, le pipi ce sera pour elle !

 

Elle était vêtue d'une simple chemise de nuit qui laissait découverts ses seins et ses épaules et lui descendait aux mollets, elle était debout au pied de son lit. Elle s'était attaché les mains à l'aide d'une corde fixée à la barre du lit. 

 

Je viens m'asseoir tranquillement dans un fauteuil.

 

- Quelle correction ce soir ? Demandais-je

- Je veux que tu me fouettes les épaules et les seins avec le petit bouquet d'orties fraîches que je t'ai cueilli ce matin ! Ensuite je voudrais douze coups de martinet sur les fesses !

- A nu ? 

- Evidemment !

 

J'ouvre une boite en carton dans laquelle se trouvaient rangée une dizaine de tiges d'orties bien garnies de feuilles. Florence avait entouré l'extrémité des tiges avec du papier d'aluminium afin d'éviter que je me pique. Délicate attention ! Je dénoue les rubans qui retenaient la chemise de Florence aux épaules. Elle tombe par terre, se retrouvant toute nue. Les épaules, le dos gracieusement incurvé, la poitrine bombée, les seins droits et blancs m'apparurent. 

 

- Baisse ta tête, poufiasse, pendant la correction… Et je ne veux pas t'entendre !

 

Je brandis le bouquet d'orties, commence à flageller mollement les épaules les seins, le dos et les flancs de Florence. Elle se met à gémir tout doucement tandis qu'elle remue son buste en tous sens sous l'action cuisante des plantes urticantes. 

 

- Je te défends de bouger ! Morue ! Baisse la tête sinon je te donne vingt-quatre coups de martinet sur le cul au lieu de douze ! T'as compris, trainée ?

 

Florence ne bouge plus. Maintenant la peau tout entière est rouge. Je décide d'arrêter la flagellation aux orties mais j'exige que ses fesses soient bien tendues. 

 

- Tu vas être une bonne fille, n'est-ce pas? Une bonne et sage fille, bien soumise, bien obéissante ? Penche-toi encore un peu, je vais te donner tes douze coups de martinet sur tes fesses de salope. 

 

DumigronFlorence se penche en avant. Je lui passe la main gauche sous l'estomac, au creux, pour la soutenir et armée du martinet, je lui demande de compter les coups qu'elle désirait recevoir. Sur ses fesses tendues, le premier coup, donné en travers des fesses, je l'applique très bas, presque sur les cuisses, Florence sur ce coup rebondit en tressaillant tout entière en même temps que l'on entend le bruit de grêle des six lanières du martinet s'abattant presque simultanément et d'une voix étouffé Florence compte "un". 

 

Le second coup suit presque aussitôt, puis le mouvement se précipite. Florence est fouettée avec force et rage, sans que je donne une seconde de répit au pauvre derrière corrigé. Un dernier coup donné sur ses fesses rouges et boursouflées et Florence prononce avec soulagement le dernier chiffre. Je pose le martinet sur le lit. Je palpe un instant la partie fouettée, vérifiant si elle était suffisamment échauffée par le fouet. 

 

Je détache les mains de Florence, qui se frictionne sans pudeur aucune, puis s'agenouille et vient vers moi… sur les genoux

 

- J'ai soif !

 

Alors je sors ma bite bandée de ma braguette, attend un petit moment et me met à pisser d'abondance dans son adorable petite bouche.

 

Ma miction terminée, je suis branlé un petit peu pour redonner vigueur à mon membre. Elle l'a pris entre ses lèvres et m'a sucé jusqu'à la jouissance. Vicieusement elle ouvre sa bouche remplie de sperme, puis se relève et me demande de l'embrasser.

 

Drôle de fille !

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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Vendredi 5 novembre 2021 5 05 /11 /Nov /2021 15:41

La mouche - 3 – Telle mère, telle fille.par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne

Stamp MD

 

Carole rencontre une femme intrigante dans une salle de sport, Carole la surnomme « la mouche » mais elle se fait appeler « Madame Isabelle ». Celle-ci l’emmène chez elle, et lui montre ses talents de dominatrice en punissant sévèrement la bonne. Carole ayant confié à la « mouche » les rapports particuliers qu’elle entretenait avec sa fille, se fait inviter chez elle, le but étant de s’arranger pour l’emmener dans son donjon…

 

Carole avait accepté avec l’impression de se lancer à l’eau, elle ignorait comment sa fille de 19 ans allait réagir et cela l’angoissait, mais elle se disait aussi que Madame Isabelle savait ce qu’elle faisait.

 

Carole n’avait pas invité « la mouche » à diner. Comment aurait-elle pu rivaliser avec la table succulente qu’elle lui avait servie chez elle ? La différence de classe était énorme. Ce serait donc juste un apéritif, tous les gens ne deviennent-ils pas égaux devant un Martini avec des glaçons et une rondelle de citron ?

 

Actuellement Elodie faute de mieux travaille à mi-temps dans un magasin de fringues à bon marché. A 18 heures elle rentre à la maison et embrasse sa mère.

 

– J’ai mal aux fesses ! Lui dit Carole

– Voilà ce que c’est d’abuser de la salle de sports !

– Non ce n’est pas ça, j’ai rencontré une nana qui m’a donnée une fessée !

– Pardon ?

– Une jolie femme, dans la salle de sport justement, elle m’a dragué, je me suis laissé faire.

– Et elle t’as donnée une fessée ?

– Oui, c’était très… comment dire ? Très érotique, très sensuel !

– Elle fesse mieux que moi ?

– C’est différent, toi tu aimes mieux recevoir que donner.

– Bon, qu’est-ce qu’on mange ?

– Il reste du poulet, mais j’ai invité la fille pour l’apéro.

– Ah ? Répondit Elodie sans enthousiasme.

 

Carole téléphona discrètement à « la mouche » pour lui confirmer le rendez-vous et lui décrire comment elle avait annoncé sa venue à sa fille.

 

Madame Isabelle est là à l’heure, offrant à ses hôtes une bouteille de whisky pur malt. Elle s’est habillée de façon quasi provocante, pantalon et blouson en vinyle. On se présente ! Elodie n’a fait aucun effort de toilettes et après avoir pris une douche s’est revêtue d’un jogging gris trop ample,

 

On s’installe autour de la table basse, on remplit les verres, « la mouche prend un Martini » Carole le whisky, non pas par préférences mais par politesse. Elodie se contente d’un jus d’orange.

 

La conversation a du mal à s’installer, alors on parle de la météo épouvantable et de la circulation difficile.

 

Elodie a envie de sonder cette inconnue qui la fascine :

 

– Alors comme ça vous fréquentez la salle de sport ?

– En fait je viens juste de m’y mettre…

– Et si j’ai bien compris vous avez fessé ma mère ?

– C’était un jeu !

– Je n’en doute pas Et vous aimez faire ça !

– J’adore ! Et quand une personne a de jolies fesses, comme votre maman, c’est encore mieux.

– Et ça vous intéresserait de me donner une fessée, à moi ?

 

Madame Isabelle n’en revient pas que les choses aillent si vite, mais cela n’est pas pour lui déplaire.

 

– Pourquoi voudrais-tu une fessée, tu as fait des bêtises ?

– Vous avez besoin d’un prétexte pour me fesser ?

– Non mais ce serait mieux !

– Alors j’ai piqué le gode de ma mère, j’avais trop envie de me le foutre dans le cul ! Ça ira comme prétexte ?

– Oh la vilaine fille ! S’écrie Madame Isabelle, entrant dans le trip, retire-moi ce pantalon trop moche et viens t’allonger sur mes genoux.

– Maman, tu vas la laisser faire ? Demande Elodie, joueuse.

– Bien sûr ! Ça t’apprendra à me piquer mon gode.

 

Elodie se débarrasse de son pantalon sous lequel ne logeait aucune culotte.

 

– Oh ! Le joli cul ! S’exclame Madame Isabelle. Il est aussi beau que celui de ta mère… Bien que pour comparer, il faudrait que tu te mettes aussi les fesses à l’air, Carole !

 

Carole à son tour enlève le bas, la mère et la fille sont maintenant côte à côte, Madame Isabelle leur pelote le cul sans vergogne à la façon d’un maquignon à la foire aux bestiaux.

 

– Humm, difficile de départager, mais ce sont de vrais culs de putes. Ça ne te gêne pas Elodie d’avoir un cul de pute ?

– On ne me l’avait jamais dit, mais ça ne me gêne pas du tout !

– Petite effrontée ! Allez viens te coucher sur mes cuisses, tu vas l’avoir ta raclée

 

Elodie obtempère et offre ses fesses aux instincts sadiques de la « mouche », en ponctuant ses coups d’insultes diverses et variés.

 

– Tiens ! Jeune dévergondée ! Tu es aussi salope que ta mère !

– Aïe !

– Tiens putain !

– Ouille !

 

En fait Madame Isabelle est peu habituée à prodiguer des fessées à mains nues, et ne tarde pas à ressentir de la douleur dans les mains, tandis que le cul de la belle Elodie se met à virer au cramoisie.

 

– Bon j’arrête, tu as eu ce que tu méritais, mais je vais te dire un secret !

– Un secret ?

– Oui, tu m’as fait mouiller

– J’en suis fort aise, chère madame.

– Tu dis ça mais je suis sûre que tu ne me crois pas !

– Si, si !

– Je vais te montrer quand même !

 

La « mouche » ôte son pantalon, elle ne mentait pas, la mouille lui dégoulinant sur les cuisses.

 

– Je ne peux pas rester ainsi ! Dit-elle.

– Et que voudriez-vous que je fisse ?

– Que tu me lèches !

– Et pourquoi moi et non pas Maman ?

– Justement j’y pensais ! Mais tu ne vas pas te défiler ! Vous allez me lécher le minou toutes les deux !

– On le fait Maman ? Demande Elodie.

– Je crois bien que nous allons le faire !

– Mettons nous toutes à poil propose madame Isabelle, ce sera plus fun..

 

Et tout en disant cela, elle dézippe la fermeture éclair de son blouson de vinyle… elle n’avait rien en dessous.

 

– Alors ma salope, ils te plaisent mes nichons ?

– Je peux les embrasser ? Demande Elodie.

– Oui, tu pourras, mais pas maintenant, pour l’instant ça va être du broute-minou.

 

Elle s’installe sur le canapé, les jambes écartées, Elodie et sa mère viennent lui butiner la chatte, pas facile de faire ça en même temps mais en pratiquant de façon alternative, ça le fait très bien.

 

– Stop ! Dit « la mouche » au bout d’un moment, vous avez de la mouille plein la bouche, j’aimerais vous voir vous embrasser.

 

La suggestion amuse Elodie qui ouvre les lèvres et approche sa bouche de celle de sa mère, l’instant d’après elles se roulaient un patin.

 

– C’est bien ce que je pensais, vous êtes des vraies salopes, continuez à me lécher ! Oui comme ça, l’une après l’autre…

 

Madame Isabelle eut la jouissance aussi fulgurante qu’humide. Carole très excitée aurait bien joui, Elodie aussi, mais elles n’étaient plus maîtresses du jeu.

 

– Vous m’avez l’air bien excitées toutes les deux, si vous voulez on va arranger ça, mais c’est moi qui vais vous dire comment cela va se passer. D’accord ?

– Pourquoi pas ? Répondit Elodie.

– Vous allez vous mettre toutes les deux en soixante-neuf, j’ai assisté à pas mal de turpitudes mais je n’ai pas encore vu une mère et une fille se gouiner devant moi ! Alors vous allez m’offrir ce spectacle ! Objections ?

 

Les deux femmes ne répondent même pas, se positionnent comme il se doit et se gamahuchent jusqu’à l’extase.

 

Elles se relèvent, épuisées. Carole ressert des apéritifs et la « mouche » s’adresse à Elodie :

 

– Tu es très soumise, n’est-ce pas ?

– Par jeu, uniquement par jeu !

– Et tu serais capable d’aller plus loin que des fessées ?

– Oui !

– Alors si tu veux, je vous emmène toutes les deux chez moi, j’ai un sous-sol aménagé dans lequel je peux faire plein de misères à mes esclaves du moment. Ça te dit ?

– Je ne me laisse pas faire n’importe quoi ?

– Ce ne sera pas n’importe quoi, un peu de flagellation, de bondage, de pinces et aussi quelques humiliations à ma manière !

– Je ne veux pas de trucs dangereux…

– Il n’y en aura pas et on emploiera un mot de sécurité !

– C’est quoi ça ?

– Par exemple si tu dis une fois « roudoudou », j’arrête ce que je fais et je passe à autre chose. Si tu dis deux fois « roudoudou », on arrête tout. Mais ça c’est la théorie, j’ai acquis une certaine habitude et je suis capable de deviner ce que vont supporter ou non mes soumises.

– Mwais… et on ferait ça quand ?

– Mais tout de suite, si tu veux, on se rhabille et on monte dans la bagnole !

 

***

 

C’est Annie, la soubrette délurée qui ouvre aux trois femmes.

 

– Nous allons descendre à la cave ! Lui dit « la mouche ». Prépare-nous un repas pour trois personnes que tu serviras dans une heure et demie.

– Bien Madame !

– Tu vois j’ai ramené l’autre salope avec sa fille ! Ce sont vraiment des trainées, elle se sont gouinées devant moi !

– La mère et la fille ?

– C’est comme je te le dis !

– Mais c’est très mal, ça, ça mérite une bonne punition !

– Justement c’est prévu ! Tu aurais aimé voir ça, je suppose ?

– Oui bien sûr !

– Mais ça, ce n’est pas dans mes intentions, file en cuisine et réserve nous un bon pinard.

 

Elodie exprime alors le souhait de satisfaire un petit besoin naturel avant de passer à autre chose.

 

– Pas question, tu te retiens, on gérera ça en bas.

 

Une fois dans le donjon, Madame Isabelle ordonne à ses « invitées » de se déshabiller, ce qu’elles font sans rechigner. Elle demande ensuite à Carole de se coucher sur le sol.

 

– Elodie tu as envie de pisser, si je ne m’amuse ?

– Ben oui !

– Et bien tu vas pisser sur ta mère !

– Quoi ?

 

Elodie croise le regard de sa mère, y cherchant un quelconque signe de désapprobation, mais c’est le contraire qui se produit, Carole opine du chef en signe d’assentiment.

 

Résignée, Elodie enjambe sa mère et se positionne au niveau de son ventre, mais elle bloque.

 

– Ben alors, mademoiselle ne peut pas pisser ? Se moque madame Isabelle.

– C’est que je n’y arrive pas !

– Voilà qui est fâcheux ! Ne bouge pas, reste comme tu es !

 

Madame Isabelle se saisit d’une cravache !

 

– Ton cul est déjà rouge, mais bon, un peu plus, un peu moins…

– Aïe !

 

Cinq coups de cravache viennent zébrer les fesses de la pauvre Elodie.

 

– Alors tu pisses ?

– J’essaie.

 

Elodie se concentre, essaie de faire le vide dans son esprit mais sa vessie refuse de se vider.

 

– En te cravachant le ventre et les nichons, ça va peut-être venir.

– Non !

– Ta gueule !

 

La cravache cingle son ventre, Elodie crie de douleur, la « mouche » arme de nouveau son instrument.

 

– Non, je crois que ça vient, juste une seconde !

 

Effectivement, le jet doré commence à jaillir se sa source.

 

– Et maintenant, tu avances en pissant vers son visage !

 

Carole comprend ce qui va se passer et ouvre la bouche, geste qui stoppe Elodie dans son élan. Mais la mère lui fait de la main signe de continuer d’avancer.

 

Et c’est le cœur battant et le rouge aux joues qu’Elodie finit de faire son pipi dans le gosier de sa propre mère qui s’astreint à avaler ce qu’elle peut.

 

Sa miction terminée, Elodie se déplace sur le côté, elle est chancelante, mais n’a pas employé le mot de sécurité. Quant à Cadole elle est aux anges.

 

– Quelle humiliation ! Se faire pisser dessus par sa propre fille ! J’en suis tout émoustillée ! Mon dieu, je mouille comme une éponge !

– C’est vrai, maman, C’est dingue ce qu’elle nous a fait faire !

 

Carole se relève, elle embrasse sa fille… sur la bouche évidement…. Et profondément.

 

– C’est très bien, mes chéries, Nous allons passer à autre chose.

 

A l’aide de menottes fourrées, Madame Isabelle attache les mains des deux femmes derrière leur dos puis s’emparant d’épingles à linges, elle leur fixe sur les tétons, enfin avec l’aide d’une chainette elle relie le téton droit de Carole au téton gauche de sa fille et inversement…

 

Mouche3La « mouche » se saisit à nouveau de la cravache et s’en va fouetter les cuisses, le dos et les fesses des deux femmes qui gigotent en tous sens, faisant s’étirer les chainettes et leur provoquant des cris de douleur. Elle agit avec beaucoup de sérieux, prenant garde à ce que les chainettes ne se tendent pas de trop, mais c’est surtout pour faire durer le plaisir parce que le final est terrible. Elle abat sa cravache sur les chainettes faisant voler les pinces et crier les deux soumises qui s’étreignent en pleurant tandis que « la mouche » les libère des menottes.

 

Madame Isabelle s’en va dans un coin et utilise son téléphone portable, puis elle s’assoit et attend. Les deux femmes restent plantées au milieu de la place, se demandant quels diaboliques sévices va encore leur tomber dessus.

 

Et voilà qu’arrive un bonhomme, la quarantaine, grosse moustache, il tient en laisse un gros labrador noir qu’il fait se coucher à l’entrée.

 

– Voici Roger, mon régisseur et jardinier, vous savez il y a toujours quelque chose à faire dans ces grandes baraques… Le chien c’est Zoltan, mais on va faire les choses dans l’ordre, vous n’aimez pas les hommes me semble-t-il ?

– Pas trop, non ! Répond Elodie

– Ça tombe bien, sinon ce n’aurait pas été une punition. A poil Roger !

 

Les deux femmes se regardent, résignées tandis que Roger exhibe maisnteant une vraie bite de complétion qu’il branle énergiquement pour la rendre très raide.

 

– Allez les putes, allez sucer Roger, l’une devant l’autre derrière, faites comme vous voulez, de toute façon on invertira les rôles au bout d’un moment.

 

C’est Carole qui spontanément se place derrière, ne voulant pas laisser la pose la plus « humiliante » à sa fille, et elle qui n’a pas eu de rapport avec un homme depuis bien longtemps se met à lécher le trou du cul du bonhomme, un trou du cul qui est loin de sentir la rose. Et pendant ce temps-là, Elodie lui suce la bite, elle a d’ailleurs conscience de le faire très mal. Hé, c’est qu’elle n’en pas sucé beaucoup dans sa jeune vie ! Une ou deux, l’histoire ne le dira pas.

 

– Ça se passe bien ! Demande la « mouche »

– J’ai l’impression qu’elle ne sait pas sucer, on sent ses dents ! Répond le moustachu.

– D’accord, j’ai du pain sur la planche si je veux en faire une bonne pute. Allez les filles on alterne.

 

Elodie est rouge de honte, la tentation de laisser tomber tout ça l’effleure, mais comme sa mère semble à l’aise, elle n’en fait rien. L’anus de Roger est maintenant tellement imprégné de salive que le gout en est devenu neutre. Carole suce la bite avec application, elle n’a rien contre les bites, ce qu’elle ne supporte plus ce sont leurs propriétaires, mais présentement ce genre de relation n’ayant rien d’affectif, elle peut se lâcher et même y trouver un certain plaisir.

 

Mais Carole fait signe d’arrêter et demande aux deux femmes de se mettre en levrette.

 

– Mieux que ça, le cul cambré, les jambes écartées, Roger va vous enculer l’une après l’autre.

 

Elles n’hésitent même pas ! A quoi bon d’ailleurs ? Elles se contentent de prier les dieux de la baise que l’homme ne fasse pas usage de brutalité.

 

Il commence par la mère, l’introduction se fait sans aucune douceur. Eh oui une bite ce n’est pas comme un gode où l’on reste constamment maîtresse du jeu. Et les premiers instants sont pénibles, ensuite ça va mieux et ça commence même à être plutôt agréable, mais Roger décule, change de capote et s’en va enculer la fille qu’il gardait pour le dessert.

 

– Doucement, doucement !

– Je vais doucement !

– Ah bon !

 

Mais excité comme il est Roger ne tient pas la distance et jouit dans le fondement d’Elodie en meuglant comme un veau qu’on égorge.

 

– Merci Roger, maintenant amène le chien au milieu et vas t’assoir sur une chaise. Lui dit la « mouche »

– Je ne fais rien avec le chien ! Proteste Elodie !

– Essaie au moins !

– Non !

– Et on peut savoir pourquoi ?

– Ça ne me branche pas, c’est tout !

– Et toi Carole ?

– Qu’est que tu voudrais que je fasse ? Que je suce le chien ?

– Pas forcément ! Pour l’instant ne bouge pas je vais vous montrer quelque chose.

 

La « mouche » sort d’un petit placard une boite de conserve de pâté pour chien et l’ouvre, elle enlève ensuite son pantalon et s’enduit le pubis et la chatte d’un peu de pâté.

 

– Viens Zoltan, viens mon chien .

 

Le chien hésite mais elle l’attire avec son doigt qu’elle rapproche insensiblement de son bas ventre. Le chien cette fois comprend, sort une large langue et viens lécher tout ça !

 

– A quelle langue, mes chéries quelle langue ! Tu m’as bien léché tu es un bon chien.

 

Il est content Zoltan, il remue la queue en tous sens, mais il n’y a plus de pâté.

 

– A toi, Carole !

– C’est pas dangereux ?

– T’en a d’autres des questions idiotes, allez lance-toi.

 

Carole se tartine à son tour et se laisse lécher par le chien.

 

– Je suis vraiment une salope ! Commente-t-elle

– Je ne te le fais pas dire. A toi Elodie.

– J’ai dit que je ne voulais pas !

– Jusqu’à présent ça n’a tué personne ! Carole empêche-la de bouger je vais lui tartiner la chatte.

 

Carole hésite, voilà une façon de procéder qui n’a plus rien à voir avec le consentement, mais elle se dit aussi que si vraiment sa fille veut quitter le jeu, il y a le mot de sécurité, alors elle l’immobilise, mais Elodie ne se débat pas et se laisse faire. Et quand le chien vient lui laper la chatte elle se met à rigoler de bon cœur !

 

– C’est pas possible une langue pareille !

 

Madame Isabelle fait ensuite coucher le chien sur le côté et lui tripote la bite, celle-ci ne tarde pas à émerger de son fourreau et de présenter une belle raideur, sans hésiter elle porte l’organe en bouche.

 

– C’est quand vous voulez les filles ! Leur dit-elle en leur faisant signe de la rejoindre.

 

Elodie n’est pas du tout décidée, mais Carole hésite.

 

– Bon alors ? Vous vouliez être humiliées, c’est pas une bonne humiliation, ça de sucer la bite d’un chien ?

 

L’argument est sans aucun doute idiot mais il fonctionne et Carole se lance, timidement mais elle le fait .

 

– Mais c’est épouvantable de faire ça ! S’écrie Elodie qui à la surprise générale se lance à son tour et goute brièvement la bite du chien.

– C’est bien Elodie, je t’avais promis que je te laisserais me lécher les seins, tu peux y aller maintenant.

 

La bouche d’Elodie s’approche du téton droit de Madame Isabelle, il est tout érigée d’excitation, tout dur. Inutile de préciser qu’Elodie se régale

 

– Pour vous les tortures sont terminées, nous allons monter déguster ce que nous préparé Annie mais avant je vais vous offrir un petit spectacle. Ah ! Vous auriez aimé jouir, mes chéries, et bien faites-le en me regardant…

 

Le « mouche » extrait du placard une paire de grosses chaussettes qu’elle enfile sur les pattes avant du chien, elle se met en levrette et attire le quadrupède qui la monte et qui la bourre.

 

Carole et Elodie n’ont regardé que le début, elle se sont rapidement enlacées, caressées, pelotées, embrassées, léchées et c’est en position de soixante-neuf quelles firent éclater leur plaisir.

 

Ce qui clôt la partie sexe de cette folle soirée qui se termina dans une bonne ambiance autour d’un délicieux canard à l’orange et d’un Pommard millésimé.

 

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Vendredi 5 novembre 2021 5 05 /11 /Nov /2021 15:37

La mouche – 2 – La punition de la soubrette par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne

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Carole s’est fait draguer par Madame Isabelle (ou la « mouche »), celle-ci se révèle être une dominatrice. Chez elle après avoir commencé à humilier sa soubrette Annie, elle s’en prend à Carole.

 

Carole regarda du côté d’Annie comme pour supputer ses chances d’obtenir du secours d’elle, mais elle s’aperçut qu’elle n’avait nullement bougé depuis qu’elle s’était dévêtue. Elle gardait toujours la même pose et on voyait sa mouille couler lentement sur l’intérieur de ses cuisses, commençant même à s’accumuler en une petite mare sous sa chatte. Comprenant qu’elle avait intérêt à filer doux, Carole entreprit de retirer ses vêtements, commençant par son haut.

 

– Garde la jupe de cuir, ordonna la « mouche », c’est plus érotique ! Enlève tout le reste !

 

Versant toujours son lot de larmes en silence, Carole poursuivit son humiliation en retirant son collant, sa culotte, puis son soutien-gorge. Madame Isabelle la prit par le bras, l’aida à se relever, puis elle la poussa vers une chaise de style bistro qui trônait au fond de la rotonde. Sans ménagement, elle la fit asseoir et écarter les jambes. Elle alla quérir un assortiment de cordes dont elle se servit pour ficeler la jeune femme à la chaise. Carole se retrouva immobilisée les mains attachées par derrière au dossier et les chevilles aux pieds avant de la chaise.

 

Rassurée de ce côté, Madame Isabelle reporta son attention vers la soubrette qui n’avait toujours pas bougé. Elle lui releva le menton, l’obligeant à la regarder en désignant son invitée et elle dit :

 

– Maintenant, salope ! Tu vas ramper jusqu’à ses pieds, dépêches-toi !

 

Annie s’allongea sur le plancher glacé et elle entreprit une lente reptation en s’efforçant pour bien plaire à sa maîtresse de maintenir autant que possible le contact de la pierre avec ses avant-bras, sa poitrine et ses cuisses. Trouvant néanmoins que ses mouvements manquaient de vigueur, la « mouche » alla prendre une cravache dont elle utilisa le bourrelet pour houspiller le fessier de la soubrette, lui arrachant des petits cris apeurés.

 

Lorsqu’elle fut parvenue à moins d’un mètre de son but, Madame Isabelle jeta devant elle la jupe plissée de Carole qu’elle reçut sur la tête.

 

– Allons, fit la maîtresse, nettoies !

 

Annie voulut se redresser, mais un bon coup de cravache sur les fesses l’obligea à demeurer à plat ventre. Carole se demanda comment elle allait bien pouvoir s’acquitter de sa tâche de nettoyage car il ne semblait y avoir rien qu’elle pourrait utiliser à cette fin. C’est donc avec une surprise doublée d’une légère excitation qu’elle vit Annie étendre sa jupe sur le sol pour entreprendre le nettoyage à l’aide du seul moyen dont elle disposait : sa bouche. Ayant circonscrit la tache, Annie mouilla celle-ci de salive, puis lécha longuement le vêtement poissé de potage. Voir ainsi cette jeune femme nue procéder de manière si érotique au nettoyage de sa jupe fit naître une sensation étrange dans l’entrejambe de Carole, mais elle s’efforça de n’en rien laisser paraître devant les deux autres femmes. La « mouche » devait cependant s’être aperçue de quelque chose car elle s’approcha de sa prisonnière et elle entreprit de lui caresser les seins, par derrière, à la fois pour jouir du spectacle d’Annie et sans rien en cacher à son invitée impuissante. Elle lui écrasait les globes comme si elle voulait lui en extirper tout le lait qu’ils pouvaient contenir.

 

Carole se mit à tressauter de plaisir et se laissa aller à haleter en murmurant :

 

– Oh ! oui… faites-moi mal, ça m’excite !

 

N’attendant que cela, Madame Isabelle redoubla de force et profita de l’impuissance de sa prisonnière pour lui étirer le bout des seins comme si elle voulait les faire allonger de force. Insouciante de ce qui se passait devant elle, Annie continuait de lécher le vêtement souillé comme si son salut en dépendait. De leur côté, les deux autres femmes ne perdaient rien de sa prestation.

 

Lorsque la docilité de la jeune soubrette commença à décliner légèrement, la « mouche » abandonna son pétrissage mammaire pour se diriger vers elle et lui relever le menton sans ménagement. Elle la força à ouvrir la bouche et tirer la langue qu’elle trouva épaisse et desséchée.

 

– Ma pauvre petite, tu dois avoir soif ! Ouvre bien ta gueule de pute que je te pisse dedans.

 

Sans rechigner Annie ouvrit une large bouche et reçu le champagne dorée de sa maîtresse en pleine bouche, elle avait l’air d’apprécier.

 

– Qu’est-ce que tu as à nous regarder comme ça ! S’écria Madame Isabelle à l’adresse de Carole. Serais-tu jalouse ? En voudrais-tu un peu ?

– Je, je… balbutia Carole, incapable de trouver ses mots.

– Eh bien ça tombe bien, j’ai pensé que ça te ferais plaisir, je n’ai pas pissé à fond.

 

« La « mouche » ouvrit une petite armoirette et en sortit un verre à pied en cristal. Elle écarta les jambes afin d’uriner à l’intérieur sans risquer de se mouiller les cuisses. Le verre rempli, elle le mira à la lumière comme elle l’aurait fait d’un grand cru et vint le porter aux lèvres de Carole.

 

– Non ! protesta cette dernière.

 

Madame Isabelle lui pinça un téton par surprise, Carole ouvrit la bouche laissant ainsi le passage à l’urine.

 

– Bois et avale ! Trainée !

– Gloup !

– Alors c’est bon ?

– C’est spécial !

– C’est peut-être spécial mais c’est un cadeau de ta maîtresse, tu dois l’apprécier à sa juste valeur. Et ne te plains pas, parfois j’offre des cadeaux bien plus consistants.

 

A cette évocation, le visage de Carole blanchit.

 

– Accepter la défécation c’est accepter l’humiliation suprême, mais c’est aussi un magnifique acte de soumission envers sa maîtresse. Réfléchis-y !

 

La « mouche » fit parcourir à la soubrette à genoux le mètre qui la séparait de la chaise-bistrot, releva la jupe de cuir de Carole et lui enfonça la tête entre les deux jambes en disant :

 

– Maintenant, tu vas lécher sa brûlure, petite salope !

 

Annie ne se le fit pas demander deux fois. Elle fit jaillir sa langue d’entre les lèvres et elle entreprit de laper la cuisse encore rougie de Carole. Aussitôt, celle-ci se mit à gémir de plaisir et à tenter de se trémousser. Madame Isabelle reprit ses manipulations à la poitrine, mais avec plus de douceur, cette fois.

 

– Je vois que ça te plaît, maintenant !

 

Carole ne put qu’opiner de la tête, sans voix, s’abandonnant aux caresses saphiques de la jeune soubrette qui déjà délaissait la blessure pour pousser sa tête plus haut, vers la fente humide. Elle l’atteignit bientôt et poursuivit ses dévotions buccales avec une endurance étonnante. Très vite, Carole ne put plus contenir son émotion, ses lèvres s’écartant à l’encontre de sa volonté pour accueillir la douce caresse. Du bout de la langue, Annie entreprit de titiller le clitoris qui quitta son enveloppe et durcit. C’était plus qu’il n’en fallait et le vagin de Carole se mit à dégorger une mouille épaisse; elle jouissait sans retenue.

 

Quand elle eut récupéré, Carole sentit que ses liens se desserraient; la « mouche » allait-elle la libérer ? La réponse ne se fit guère attendre car elle dit :

 

– J’espère que cela te servira de leçon ! Ou tu es avec moi ou tu es contre moi, il te faut choisir dès maintenant…

 

Carole considéra la situation sans répondre. A ses pieds, Annie était toujours agenouillée, soumise; à ses côtés, Madame Isabelle se tenait avec toute la grandeur que chacun connaissait maintenant. Les plaisirs inconnus qui l’avaient submergé n’étaient-ils que la pointe de l’iceberg ?

 

– Que devrais-je faire ? demanda-t-elle.

– Tout ce que je t’ordonnerai, tu seras, selon ma volonté et mon humeur, ou dominatrice ou soumise.

– Pourquoi pas, si c’est un jeu ! Fit-elle sans trop savoir dans quel tourbillon de turpitudes elle allait s’engager.

 

Madame Isabelle termina de défaire ses liens, puis l’aida à se lever de la chaise où elle fit asseoir la soubrette dans la même position que la première infortunée. Tendant les cordes à Carole, elle lui fit signe de l’entraver :

 

– Voyons comment tu te débrouilles…

 

Malgré des gestes mal assurés, Carole attacha les chevilles d’Annie aux pieds de la chaise, puis lui lia les mains derrière le dossier, mais contrairement à la « mouche », sans utiliser les circonvolutions du bois pour l’immobiliser complètement. Cependant, la soubrette ne semblait nullement désireuse de tenter de se libérer, n’ignorant sans doute pas que toute velléité de rébellion se retournerait contre elle. Son ligotage complété, Carole s’aperçut qu’il lui restait un bon mètre de corde dont elle ne voyait guère l’utilité.

 

– Pas trop mal pour une débutante, déclara Madame Isabelle.

 

Ignorant quoi faire d’autre, Carole étreignait toujours le bout de corde inutile.

 

– Attaches-lui les seins avec ce qui reste ! Ordonna la maîtresse.

– Lui attacher les seins ? Fit Carole sans comprendre.

 

La « mouche » soupira, puis laissa échapper un petit rire avant d’ajouter :

 

– Tu as beaucoup de choses à apprendre. Je vois que tu n’as pas dû passer beaucoup de temps à parcourir les sites spécialisés sur Internet…

 

Carole fit non de la tête, se rappelant vaguement son étonnement lorsqu’elle avait plus ou moins par hasard abouti sur un site pornographique agrémenté de corps de femmes dénudés et ficelées.

 

S’emparant du bout de corde, Madame Isabelle se posta derrière la chaise pour lui faire une démonstration. Tout d’abord, elle serra les liens au maximum ce qui lui permit d’ajouter quelques centimètres à ce qu’elle avait sous la main. Annie poussa une légère plainte en percevant son immobilisation plus complète.

 

Utilisant les deux mains, la « mouche » fit glisser le cordage autour des épaules de la jeune femme, puis le laissa couler vers le buste. Des deux mains, elle étira le lien qu’elle fit passer, de part et d’autre, sous les seins, puis les ramena vers le haut entre les deux globes, puis de nouveau, autour de ceux-ci et ainsi de suite. Elle fit plusieurs tours avant de compléter son ouvrage en nouant les deux extrémités du cordage pour en assurer la stabilité.

 

Avec stupéfaction, Carole avait vu les seins de la jeune femme se gonfler sous l’afflux de sang et prendre une teinte de plus en plus rosée.

 

– C’est joli, n’est-ce pas ? Interrogea la « mouche ».

 

Annie2Son invitée ne savait que dire. Elle n’arrivait pas à détacher son regard des seins d’Annie qui, de plus en plus, prenaient l’apparence de ballons bien gonflés. L’air crispé de la soubrette la renseignait assez sur la douleur qu’elle devait éprouver, mais qu’il lui fallait supporter en silence.

 

Madame Isabelle passa devant et effleura des doigts la poitrine ligotée, ce qui arracha à sa propriétaire un sursaut.

 

– Viens toucher ! ordonna-t-elle à son invitée.

 

A petits pas, Carole s’approcha et tendit la main droite, retardant le plus possible le moment où ses doigts viendraient en contact avec les globes de chair. Finalement, elle s’enhardit et toucha le sein gauche. La soubrette sursauta encore une fois. Sa peau était moite, chaude et très dure à cause de la constriction. Carole n’avait jamais rien ressenti d’aussi étrange.

 

Coupant court, la maîtresse alla chercher sa cravache et quelques autres objets. Quand elle fut de retour, elle montra à son invitée ainsi qu’à la suppliciée deux épingles à linge en bois. Annie devait bien connaître la destination de ces accessoires car elle se tortilla dans ses liens en montrant tous les signes de la peur. Ignorant ces soubresauts, la « mouche » se tourna vers son invitée et lui tendit les épingles à linge en ordonnant :

 

– Tu vas lui mettre ces épingles sur les mamelons !

 

Carole fut saisi d’un tremblement en s’approchant de la soubrette; elle ne savait trop comment s’y prendre.

 

– Il vaut mieux lui stimuler les mamelons avant pour qu’ils soient bien érigés, expliqua la maîtresse. Suce-les-lui ! Et dépêches-toi car si tu tardes trop, le gonflement des seins sera tel qu’il ne permettra pas aux mamelons de darder…

 

Faisant diligence, Carole se pencha sur les globes qui devenaient de plus en plus monstrueux et elle entreprit une succion rapide du mamelon gauche qui finit par se dresser d’excitation. Sans attendre, elle ouvrit l’épingle à linge entre le pouce et l’index et la mit en place, laissant les mâchoires de bois se refermer sur l’éminence toute rouge. Rapidement, elle s’attaqua au droit qui lui donna du fil à retordre car, ainsi que lui en avait fait mention Madame Isabelle, la congestion commençait à durcir dangereusement le sein. Elle compléta cependant sa tâche dans le double du temps et Annie se retrouva avec les deux épingles à linge aux mamelons et les globes toujours bien ficelés et de plus en plus rouges.

 

– Maintenant, décréta Madame Isabelle, nous allons nous amuser un peu pour la punir de sa maladresse… Tire sur les épingles !

 

Obéissante, Carole s’empara de l’extrémité des épingles à linge et, en alternance, les tira vers elle. Annie tentait de se tendre pour réduire la tension, mais elle n’y parvenait guère et ce, au prix d’efforts exténuants. Durant plusieurs minutes, le petit jeu se poursuivit, Carole prenant de l’assurance et optant pour des gestes moins prévisibles et moins répétitifs, tirant vers le haut, puis vers le bas, réussissant à exaspérer la jeune femme.

 

Soudain, la maîtresse intervint, jugeant que cela avait suffisamment duré :

 

– Ça suffit, comme ça !

 

Trop heureuse d’arrêter cet exercice sadique, Carole cessa et s’éloigna, laissant la place à l’autre femme qui s’approcha, toujours armée de sa cravache.

 

– Alors, petite salope, fit-elle en s’adressant à sa soubrette, tu aimes ça ?

 

Trop endolorie pour répondre, Annie roula des yeux effarés. Pour l’obliger à parler, elle prit l’épingle à linge qui ornait le mamelon droit et lui fit faire un mouvement de rotation qui lui arracha un cri.

 

– Je t’ai posé une question, salope. Allons, réponds !

– Oui… oui… Maîtresse ! J’aime ça, je suis votre esclave !

 

Satisfaite, Madame Isabelle entreprit de chatouiller chaque sein du bout de sa cravache, initiant une sensation trouble dans le corps de la suppliciée.

 

– Maintenant, il faut te débarrasser de ces breloques !

 

Pour ce faire, la « mouche » allait utiliser la manière forte. D’une main experte, elle leva la cravache et frappa à plusieurs reprises les globes de chair jusqu’à ce que les épingles, touchées, volent dans la rotonde. Les seins d’Annie, marqués de nombreuses lignes sombres, prenaient une couleur encore plus sombre, tournant au violacé.

 

Jugeant la punition suffisante, Madame Isabelle se hâta de défaire les liens de la jeune femme tout en gardant le bondage des seins pour la fin de la libération. Les globes tuméfiés pendaient lamentablement, marqués par les coups de cravache et les anneaux de cordes. On la fit mettre à genoux et marcher à quatre pattes pour demander pardon à l’invitée qui acquiesça sur un signe de la « mouche ».

 

Annie fut renvoyée à ses tâches ménagères et les deux autres femmes demeurèrent seules dans la rotonde du sous-sol.

 

Carole se sentait étrangement excitée par le spectacle que l’on venait de lui présenter. En un sens, elle commençait à se demander si elle n’aurait pas préféré jouer le rôle de la suppliciée plutôt que de la tortionnaire. Peut-être qu’un autre jour, elle aurait la chance d’explorer cette autre facette de cette sexualité débridée à laquelle elle se voyait confrontée.

 

Madame Isabelle s’affala de tout son long sur une banquette recouverte de velours rouge. Elle écarta les jambes et intima à Carole l’ordre de venir la lécher.

 

– Viens ma pute, viens me faire jouir.

 

Sans hésiter une seconde, Carole vint loger son visage entre les cuisses accueillantes de la « mouche », de sa langue agile elle lapa les sucs qui s’échappaient de sa chatte trempée. Lorsque Madame Isabelle commença à gémir, Carole vint titiller le clitoris effrontément érigé. La jouissance fut fulgurante, à l’instar d’un diablotin surgissant de sa boite, elle se jeta dans les bras de celle qui venait de lui donner du plaisir et les deux femmes s’échangèrent un baiser brûlant.

 

Carole pensait qu’à ce moment, la « mouche » lui rendrait la pareille, mais cela ne devait pas être dans ses intentions immédiates.

 

– On voit que tu as l’habitude ! Lui dit Madame Isabelle.

– J’ai eu quelques copines…

– Lesbienne exclusive ?

– Presque.

– J’avais deviné ! Tu sais j’ai fait des études de psychologie, souvent je sais percer la personnalité des gens même s’il veulent la cacher. Il ne m’a pas été bien difficile de deviner tes penchants pour les femmes, pour ton côté maso, c’était davantage caché… mais pas assez.

– Tu es très forte ! Se gaussa Carole.

– Et dis-moi, ta fille elle est comme toi ?

– Et qu’est ce que ça peut te foutre ?

– Mais dis donc, comment tu me parles ? C’est une punition que tu veux ?

– Pourquoi pas ? Mais laisse ma fille tranquille.

– D’accord, écarte tes jambes, c’est à mon tour de te donner du plaisir.

 

« La mouche » était une redoutable lécheuse, et tandis que sa langue entrait en action, son index venait forcer le trou intime en lui imprimant une bonne cadence. Après trois minutes de cunnilingus combiné au doigtage anal, Carole partit dans un orgasme bruyant.

 

Une nouvelle fois les deux femmes s’étreignent, s’embrassent et s’échangent de douces caresses.

 

– Dis-moi pour ta fille, j’ai envie de savoir !

– Merde !

 

Carole ne vit pas venir la gifle.

 

– Fous-moi le camp ! Lui dit « la mouche »

– T’a raison, j’ai assez perdu de temps ici !

– Tu ne disais pas ça tout à l’heure !

 

Carole ne répliqua pas et se rhabilla, Etait-ce un tour de son subconscient, toujours est-il qu’au lieu de se vêtir de la robe bizarrement nettoyée par Annie, elle enfila la jupe de cuir prêtée par la « mouche ».

 

– Je peux récupérer mon manteau ?

– Là-haut !

 

Elle remontèrent en silence, Madame Isabelle disparut quelques secondes et revint avec le manteau qu’elle balança par terre d’un geste rageur.

 

– C’est dommage quand même on aurait pu établir une relation intéressante… Je te laisse ma carte au cas où…

– Tu peux te la foutre au cul ! Sale bourgeoise !

 

Le lendemain

 

L’épisode neigeux n’avait pas cessé. Carole s’en voulait d’avoir quitté la « mouche  » sur un coup de tête. Elle n’avait pas pris sa carte, mais saurait la retrouver à son adresse.

 

« Si elle veut encore de moi ! » Se dit-elle.

 

Elle eut l’idée d’aller se déstresser dans la salle de sport encore quasi déserte aujourd’hui. Après quelques exercices d’échauffement avec les appareils, elle se retourna. La « mouche » était là ! Leur regard se croisèrent, la « mouche » toisa Carole de toute sa hauteur avec un sourire narquois.

 

Carole s’approcha tremblante.

 

– Suis-moi ! Lui dit la « mouche ».

 

Madame Isabelle entra dans une cabine de toilette, invita Carole à la suivre, puis verrouilla la porte.

 

– Alors ? Demanda simplement le « mouche ». Qu’as-tu à me dire ?

– Tu m’avais posé une question, alors je e réponds : ma fille est comme moi attiré par les femmes !

– Et est-elle aussi maso que toi ?

– Sans doute même davantage !

– Et comment tu le sais…

– Peu importe…

– Tu t’es amusé à des petits jeux maso avec elle, c’est ça ?

– Ben…

– Et comme ça vous a bien excité toutes les deux, vous avec même été un peu plus loin, j’ai bon ?

– T’es une sorcière !

– Invite-moi chez toi, j’aimerais la connaître, on improvisera, on ne fera peut-être rien, mais si ça la branche on la conduira chez moi et on s’amusera toutes les trois.

– Tu te rends compte de ce que tu me demandes ?

– Bien sûr que je me rends compte ! Tu me donnes ton adresse et tu me dis à quelle heure je peux passer.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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