Samedi 16 octobre 2021 6 16 /10 /Oct /2021 09:56

Abigaelle par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 2 – Capturées

stamp slave

Sur le chemin du couvent, Sœur Jeanne avait arraché une poignée de fines branches qu’elle utilisait pour cingler les postérieurs de Mina et d’Abigaelle, tout en les traitant de tous les noms d’oiseaux que la nonne pouvait connaître… et elle en connaissait beaucoup. Les filles avaient bien tenté de faire du chantage en disant qu’elle dirait à tout le monde ce que faisait Sœur Jeanne dans la grange. Mais la nonne avait une réponse toute faite… C’était les filles qui étaient sous l’emprise du démon, c’était elles qui imaginaient des choses, peut être étaient-elles possédées… peut-être qu’il faudrait les brûler… Même si de nos jours cela ne se faisait plus guère que dans les coins reculés des pays les moins éclairés. Mais en l’an de grâce 1782 c’était quand même du passé. C’est donc les fesses rougies par les badines de la sœur que le duo arriva à la porte du couvent.

 

La bâtisse était immense, ceinte de hauts murs. Sur la droite se dressait la chapelle qui jouxtait le bâtiment où se tenaient les cellules des nonnes et le dispensaire. De l’autre côté les communs, le réfectoire et de grandes salles qui étaient utilisées pour stocker ce que les nonnes récoltaient dans les jardins qui se tenaient derrière le bâtiment.

 

A l’entrée la petite maison du concierge, qui faisait office de gardien et de protecteur du couvent. Augustin avait été dans sa jeunesse au service du roi. Malgré son âge il ne fallait pas lui chercher noise car il avait la cane aussi leste qu’une rapière. Il avait lancé un regard noir à la sœur qui menait les filles à la baguette. Augustin s’était pris d’amitié pour les deux filles depuis leur enfance, et ils ne manquait pas une occasion d’en faire des garçons manqués en leur initiant moult pratiques réservées aux hommes.

 

Les sœurs travaillaient et priaient le plus clair de leur temps. Mais la chair est faible et beaucoup n’avaient pas la vocation mais avaient été expédiée au couvent pour arranger les affaires de la famille. Nos chères sœurs avaient une vision de l’abstinence assez particulière. Du moins certaines sœurs concevaient le célibat et le mariage avec dieu comme une idée bien fumeuse. N’oublions pas le chapelain qui était un fieffé coquin, porté sur la bouteille et la chair aussi bien avec les nonnes qu’avec quelques gitons de passage.

 

Sœur Jeanne, poussait sans ménagement les deux mignonnes, elle devait déjà les isoler le temps qu’elle puisse compter sur le soutien d’autres nonnes aussi dévergondées qu’elle et cacher tout ça à la mère supérieure qui n’entendait rien à rien, croyant à l’intégrité de ses condisciples. Cette pauvre femme dévote, sénile mais sincère aurait fait une crise d’apoplexie si elle avait appris les agissements de tout le couvent, qui était plus considéré comme un lieu de débauche et de plaisir par une partie des nobliaux et bourgeois de la région, que comme un lieu dédié au seigneur.

 

– Ouste ! Allez descendez à la cave !

 

La porte voûtée, basse et vermoulue, donnait sur un escalier étroit et glissant aux marches usées et creusées par des années de montées et de descente. Une odeur d’humidité montait de ce boyau chichement éclairé, mais elle était atténuée par la senteur des fut de chêne et l’odeur du vin qui se languissait dans la cave. Abigaelle et Mina étaient inquiètes, jamais elles n’avaient eu le droit de descendre dans ce lieu. Il se murmurait des choses, qu’il y avait des visites à la nuit tombée. Les deux filles avaient bien aperçu parfois des lueurs furtives qui disparaissaient dans l’ombre. Elles n’avaient jamais été assez effrontées et hardies pour aller mettre leur jolis minois dans cette noirceur. Marches et dalles étaient froides à leurs pieds nus, même leur corps était glacé par le froid qui montait des dalles, les filles n’ayant que leurs chemises pour unique vêtement.

 

En bas, le couloir de pierre ouvrait sur deux grandes salles où dormaient les fûts. Après un coude, il s’ouvrait sur une porte cadenassée. Sœur Jeanne tira une clef de sous sa robe, ouvrit le cadenas.

 

Là, plus de pierres nues, des tapis au sol, des candélabres dorés. Le couloir ouvrait sur six portes aux serrures et aux ferrures luisantes dans la pénombre. La sœur les poussa vers la deuxième porte à droite, extirpa une autre clef et ouvrit la porte. Sans ménagement elle poussa Abi et Mina dans la pièce sombre.

 

– Restez là sales catins ! On s’occupera de vous demain soir !

– Mais ma sœur… tenta Abigaelle

– Silence, effrontée ! cria Sœur Jeanne en giflant la jeune fille.

 

Puis tournant les talons elle sortit et verrouilla la lourde porte, laissant les filles dans le noir. Elles restèrent un moment immobiles, haletantes, apeurées, se demandant ce qui allait leur arriver maintenant.

 

Il n’y avait aucun bruit, leurs yeux s’accoutumèrent à l’ombre et elles commencèrent à explorer le lieu se cognant dans tous les meubles de la pièce. Mina trouva une cheminée sur l’un des murs, et à tâtons finit par trouver un briquet et une chandelle. Elle battit le briquet, la mèche rougeoya et enfin la chandelle diffusa une lueur jaune et tremblotante. Mina alluma ensuite les candélabres qui étaient fixés aux murs de la pièce.

 

La pièce était confortable, de bons sièges tendus de velours rouge offrait le repos, divans et fauteuils faisaient assaut de moelleux pour accueillir les séants des visiteurs. Maintenant que la lumière brillait, la pièce était moins inquiétante, enfin moins sombre certes mais peut-être pas si inoffensive que cela. Le long d’un mur des cages d’acier, mimant la forme humaine, étaient suspendues. Mina et Abi se jetaient des regard interrogateurs. Cédant à la curiosité, Abi ouvrit les portes d’un haut meuble, elle poussa un cri de surprise.

 

– Mina ! Mon dieu ! Viens voir vite ! s’exclama Abi.

 

Mina mit son doigt sur ses lèvres pour inviter son amie à plus de modération dans ses exclamations. Mais quand elle vit le contenu de l’armoire elle frissonna et poussa un petit cri. Rangées sagement dans le meuble, pendus comme les outils d’un artisan, il y avait moult fouets, badines, cravaches, chaînes diverses des pinces, bracelets et colliers, quelques pots de chambre et un nombre faramineux d’olisbos de toutes matières, en bois, en os, en verre…

 

Les deux filles étaient serrées l’une contre l’autre… La vision de ces instruments leur provoquant un mélange de crainte et d’excitation.

 

Elles virent alors que derrière une tenture murale se trouvait une autre porte dans cette salle. Avec précaution elles tentèrent d’écouter, mais ne perçurent aucun bruit… un œil à la serrure ne leur fit découvrir que de l’ombre… Mina posa la man sur la poignée de la porte qui céda dans un léger grincement. Elle ouvrait sur une sorte de couloir assez large, silencieux et désert.

 

Elles allumèrent les chandelles dans cet endroit. Une fois la lumière suffisante, elles examinèrent les lieux. Sur un mur une longue tenture ou plutôt un rideau… Sur le mur lui faisant face un long sofa moelleux. Abi tira sur le cordon qui pendait et le rideau s’ouvrit sur une surface lisse brillante… Un miroir ? Une vitre ? C’était un peu étrange. Soudain Mina remarqua qu’on apercevait comme un rai de lumière dans cette immense miroir.

 

C’était sans doute une vitre, et la lumière filtrait sous la porte de la pièce de l’autre côté. Elles refermèrent le rideau bien vite.

 

Les deux amies se réfugièrent dans l’autre pièce. Elles s’installèrent le plus confortablement possible en attendant. Quoi ? Elles n’en savaient rien. Les deux amies s’assoupirent. Soudain elle furent tirées de leur torpeur par des bruits.de voix. Mina toujours vive fut sur pied la première. Elle ouvrit le fameux corridor au sofa. La lumière filtrait de derrière le grand rideau. Abi moins prudente tira le cordon et le rideau coulissa. Mina se cacha rapidement tandis qu’Abigaelle restait subjuguée par le spectacle. La pièce était brillamment éclairée par des douzaines de chandelles. Elles étaient derrière une vitre… mais de l’autre pièce on ne les voyait pas sinon l’alarme aurait été donnée.

 

Abigaelle2BLe spectacle que donnait l’autre pièce était incroyable. Cette pièce elle aussi tendue de lourds rideaux rouges était encombrée de chaînes… de râteliers ou pendaient moult instruments de sévices. Des sofas entouraient la salle sur trois cotés, sur le velours rouge des corps nus ou demis nus étaient enchevêtrés. Une jeune fille nue, était comme écartelée par des chaînes venant du plafond et du sol, pieds et poignets liés… elle était suspendue au milieu de la pièce. Deux grands chiens étaient également dans la salle. Sœur Jeanne était là… nue… ses gros seins pendant, elle était penchée en avant tandis que deux hommes nus, la flamberge dressée. l’enfilaient hardiment avec un cierge d’au moins quatre pieds de long, un de ces gros cierges qui encadre l’autel. Comme Sœur Jeanne était de dos, nos deux amies voyaient le con béant de la religieuse qui baillait alors que les servants le retiraient avant le replonger dans la caverne spongieuse avec un grand « han » de bûcherons.

 

Sur le sofa près du miroir sans tain qui les masquait à la vue des orgiaques, un homme… la perruque de guingois, lutinait un mignon aux fesses joufflues, page ou petit écuyer dont la queue dressée crachait des gouttelettes de foutre, tandis que l’homme lui prenait le fondement avec son énorme vit noueux. De l’autre côté, la fille des cuisines, une grosse rougeaude s’empalait le cul sur le chibre d’un moustachu, mousquetaire ou garde d’un noble quelconque.

 

La porte de la salle s’ouvrit sur deux dames en manteau, capuche rabattue sur le visage. Une fois la porte fermée elles laissent leur manteau tomber. Belles robes, décolleté provocant, perruque et mouches au coin des lèvres, éventail à la main, les dames font le tour de la salle, saluant, touchant parfois les corps nus qui s’enchevêtrent. Elles s’arrêtent, se regardent et se donnent un baiser lascif… tout en se dégrafant mutuellement. Les robes tombent, les deux femmes sont nues, l’une d’elle porte une chaîne dorée autour de la taille. Toutes deux n’ont plus que leur bas. Leurs mains parcourent leurs corps, puis se tenant par la taille elles approchent de la jeune fille enchaînée…

 

Abi et Mina ne perdent pas une miette du spectacle malgré leur situation de prisonnières leurs sens s’échauffent. Mina qui a le plus de tempérament a glissé sa main sous la chemise d’Abi et doucement lui caresse les fesses. Abi tente mollement de repousser les avances de Mina, mais elle aussi a le feu au sang, ses joues sont rouges, ses lèvres humides, ses yeux subjugués par cette orgie qui se déroule sous son nez.

 

Mina s’est débarrassée de sa chemise. Nue debout derrière son amie, elle fait glisser la chemise qui l’empêche de profiter du corps d’Abi.

 

Mina se presse contre son amie… frottant ses seins contre son dos, sa motte contre les fesses douces d’Abi.

 

– Abi, regarde comme c’est excitant de les voir… regarde la sœur comment elle est grande ouverte, on n’entend mal mais elle doit crier !

 

Les mains de Mina parcourait le corps d’Abi,. remontant vers les seins généreux et leur pointes sensibles. Abigaelle commençait à être aussi brûlante que Mina et elle frottait sa croupe sans vergogne contre le sexe de son amie…

 

– Ah ! Si tu étais un homme… Mina… je brûle… de voir ce spectacle… Je brûle d’être prise ! dit Abi essoufflée.

– Oh… ma douce amie, je suis si excitée, dit Mina

 

Elle quitta un instant Abi plongée dans la contemplation de ce spectacle. Elle passa dans la pièce à côté de leur réduit et fouillant les armoires fini par mettre la main sur un olisbos d’ivoire monté sur un harnachement de cuir. Mina ajusta prestement ce substitut de verge et rejoignit Abi…

 

Elle posa l’olisbos sur les fesses d’Abi… qui frissonna mais se cambrait s’appuyant sur le rebord de la vitre. Mina promenait la tête de ce sexe inerte contre la fente de son amie, fente rose et déjà brillante de rosée. Humidifiant l’engin dans la crevasse rose, Mina le promena plus haut, vers l’étroit pertuis, le mouillant au passage, puis revint à la blessure d’amour, posant l’extrémité arrondie prête à pourfendre son amie…

 

– Non… pas là… il faut me préserver… dit Abi plus haut… oui… remonte… là… passe la petite porte !

– C’est vrai tu es une catin… comme moi… mais pure avec une fleur… se gaussa Mina.

 

Abigaelle était capable de toutes les turpides mais refusait obstinément de donner sa fleur, la préservant sans doute pour un prince charmant. Mina elle, dont le sang chaud l’avait toujours entraîné à des joutes d’amour avait pris sa fleur elle-même en se découvrant et ne rechignait pas à se faire prendre au cul, au con et à la bouche…

 

Abigaelle se tendait, attendant la pénétration avec impatientante. Mina d’un coup de rein fit entrer l’olisbos par l’étroite porte. Mina avait passé ses bras autour de la taille d’Abi. Et ses doigts avaient investi la fente humide de son amie.

 

– Oh… c’est bon je te sens bien mon amie… bouge en moi… ouvre-moi le ventre ! Gémissait Abi

– Méchante fille… petite catin… ton con pleure sur mes doigts… ton cul est à moi. Dit Mina très excitée.

 

De l’autre côté de la vitre le giton semblait crier sous les coups de boutoir de son amant. Il avait une verge énorme qu’il poussait loin dans le cul du jeune homme.

 

– Oui, oui. va mon amie ! Oh tu me brises, tu me remplis. Oh, tes doigts dans ma chatte c’est bon ! gémissait Abi

 

Mina donnait des coups de reins enfonçant l’engin au plus profond du cul de son amie pour le ressortir et recommencer. Mina avait placé les lanières de telle façon qu’elle s’enfonçait dons son con, et ses mouvements lui sciait le baveux. Elle était ainsi à l’unisson de son amie, le con de Mina ruisselait, un fourmillement intense lui mangeait le ventre. Mina sentait des explosions de plaisir lui tordre tout son être. En un mot Mina jouissait en continu, tandis qu’Abi le cul béant, lui mouillait les doigts.

 

De l’autre côté du miroir, les deux femmes tournaient autour de la jeune fille écartelée… Elles la fouettaient alternativement, et on commençait à voir les trainées rosâtres que les deux belles laissaient derrière le ballet de leur cravaches…

 

Sœur Jeanne couchée sur le dos, continuait à se faire défoncer le con avec le cierge. Les hommes le sortait totalement avant de pousser pour l’enfouir dans la crevasse ruisselante de la nonne qui se donnait de grands coups sur les mamelles, se prenait les bouts les étirant avant de les lâcher et de redonner des coups…

 

Abigaelle poussa un cri tandis qu’elle jouissait sur les doigts de Mina… qui suivit dans le plaisir sa meilleure amie…

 

Elle se laissèrent tomber sur le sofa…

 

C’est à ce moment que s’ouvrit violemment la porte

 

– Ah ! catins ! venez avec nous ! vous êtes chaudes !

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Samedi 16 octobre 2021 6 16 /10 /Oct /2021 09:52

Abigaelle par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 1 – Les chaleurs de Sœur Jeanne

cheval

 

Nous sommes en l’an de grâce 1782 sous le règne de Louis le seizième. Quelques privilégiés s’en donnent à cœur joie tandis que le peuple accablé d’impôts crie famine.

 

Cachées dans la paille, les deux filles surplombaient la grange depuis le grenier. Perçant la toiture vétuste, les rais de soleil, dans lesquels dansait la poussière, éclairaient suffisamment la grange pour qu’elles puissent profiter du spectacle. Le nez dans la paille elles ne perdaient pas une miette de ce qui se jouait en bas. Ce n’était pas la première fois que les deux coquines venaient assister à ce genre de spectacle. Elles en étaient toujours friandes et émoustillées à l’avance.

 

En bas le père Adrien le fermier des terres attachées au couvent, la face rougeaude, ahanait avec force. Les pantalons sur les sabots il s’agitait avec force dans le con ébouriffé de sœur Jeanne qui troussée jusqu’aux épaules se pétrissait les mamelles qu’elle avait flasques et énormes, comme le ventre qui s’agitait à chaque coup de boutoir de l’homme. Le fermier avait un vit de belle taille et noueux. Ce bâton de chair luisait des sucs que la nonne dispensait abondamment en criant.

 

– Bourre-moi ! Bourre-moi donc plus fort… Pète-moi la charnière. Plus fort ! Encore !  »

– Z’etes une vraie truie, ma sœur! J’peut point plus. Z’avez l’con trop gros

– Benêt ! Va donc chercher Martin !

 

Abigaelle et Mina étaient elles aussi troussées et les deux amies couchées sur le ventre dans la paille, se caressaient mutuellement les fesses, parfois une main glissait dans le sillon, un doigt s’aventurait les faisant glousser doucement.

 

Abigaelle était d’une blondeur éclatante, sa chevelure qu’elle gardait tressée le plus souvent était d’une douceur de soie. Son visage d’angelot, aux grands yeux limpides aux couleurs changeantes passant du bleu au vert selon les moments, étaient protégés par de longs cils. Son petit nez mutin avait toujours l’air de vouloir humer tous les parfums alentours. Sa bouche dessinée à merveille, était pleine et d’un rose soutenu et brillant car elle n’arrêtait pas de passer sa langue pour l’humecter.

 

Ses petites fesses fermes et rondes à la peau laiteuse étaient exposées au regard et aux mains de son amie Mina.

 

Celle-ci était l’exacte contraire d’Abigaelle. Ses cheveux qu’elle gardait courts étaient noirs comme les ailes d’un corbeau. Sa peau avait la couleur du miel, ses yeux noirs semblaient habités par le démon, ils pouvaient lancer des regards d’assassin. Son nez en bec d’aigle était un peu long, mais non disgracieux. Sa bouche était pleine et voluptueuse, toujours avec une moue dédaigneuse qui la rendait encore plus désirable.

 

Les deux filles étaient inséparables et toujours complices quand il y avait un mauvais tour à accomplir.

 

Abigaelle avait été abandonnée devant la porte du couvent, simplement emmaillotée dans force linges pour lui éviter le froid, on avait tiré la cloche en pleine nuit et la sœur qui alla ouvrir ne vit qu’une ombre à cheval qui attendait de voir si la porte s’ouvrirait avant de disparaître dans la nuit. En ces temps troublés il arrivait souvent que des enfants soient ainsi confiés aux servantes du seigneur. Mina elle avait été recueillie plus tard quand ses parents gitans avaient été massacrés par des villageois fanatisés. Elle n’avait été sauvée que par l’intervention du curé qui l’avait confiée ensuite au couvent.

 

Sœur Jeanne se languissait sur la paille… Elle avait jeté sa robe sur l’échelle. Elle était nue comme un ver, ses gros seins tombant de chaque côté de son torse, son ventre rebondi faisant des plis et son con largement ouvert, entaille rose dans la forêt de poils châtain qui lui ornait le bas du ventre. D’une main elle tenait les lèvres largement ouvertes, faisant saillir un gros bouton, tandis que de l’autre avec ses doigts elle fouillait l’antre du démon avec trois doigts qui faisait un bruit humide quand ils s’agitaient… Un bruit dehors… des pas… comme s’il y avait plusieurs hommes en sabots…

 

Abi et Mina reculèrent de crainte d’être vues.

 

Les pas s’approchaient… et elles entendirent avec soulagement la voix du père Adrien. Passant toutes deux leur nez au-dessus du tas de paille qui les masquaient… elles virent avec effarement qui accompagnait le fermier… C’était le baudet … Martin… c’était lui !

 

Sœur Jeanne cessa de se caresser et s’agenouilla près de l’âne qui semblait avoir une grande habitude de cette situation…

 

– Abi, tu ne crois pas que sœur Jeanne… dit Mina.

– Oh si je le crois… regarde… répliqua Abi

 

Le nonne avait empoigné le vit du baudet qui commençait à se tendre… Le père Adrien… avait à nouveau baissé culotte et se branlait allègrement. Sœur Jeanne agitait le braquemart de l’âne avec vigueur.

 

– Bande mon beau… Allez donne-moi de quoi me remplir le con ! Disait la nonne tout à son affaire.

– Moi je bande, dit le fermier…

– Alors prends moi le cul pendant que je mets en forme notre Martin.

soeur Jeanne

Si tôt dit, si tôt fait. Adrien se plaça derrière la nonne écarta largement les fesses dévoilant un œillet brun qui portait les stigmates de bien des pénétrations. Et d’un coup de rein il encula proprement la sœur qui astiquait le vit énorme de l’âne. La bête semblait prendre plaisir à ce jeu. Son membre était énorme, la tête plus grosse encore ressemblait à un champignon. Sœur Jeanne, commença à lécher ce gland difforme. Puis elle ouvrit grand la bouche et le fit entrer tout entier entre ses lèvres distendues avec force gloussements et borborygmes. Elle se mettait à sucer l’âne tandis que le père Adrien lui explosait le fondement. Sœur Jeanne appréciait le jeu… car sa grosse chatte dégoulinait, laissant tomber sur le sol de grosses gouttes de mouille grasse. Elle mouillait de plus en plus au fur et à mesure qu’Adrien lui dilatait le petit trou. Mais elle étaient encore plus excitée par l’idée de se faire prendre par le bel âne… qui commençait à piétiner.

 

Mina glissait sa main entre les fesses d’Abi… et elle sentit sous ses doigts la moiteur du con de son amie. Elle poussa un doigt dans le sexe, il était trempé.

 

– Dévergondée… ça te plaît de voir sœur Jeanne se faire défoncer ! dit Mina d’un air faussement courroucé en montrant son doigt mouillé à Abi.

– Oh oui… je prendrais bien sa place… et toi aussi… dit-elle en prenant le doigt luisant entre ses lèvres et en glissant sa main entre les cuisses de Mina.

 

Elle trouva le con ruisselant de son amie et y plongeât deux doigts qu’elle plaça devant le visage de la brune.

 

– Et ça ? C’est de la pluie peut-être… ton con est inondé mon amie ! dit Abi avec un sourire éloquent.

– Donne ! dit Mina en prenant la main de la blonde et elle se mit à lui sucer les doigts.

 

En bas… la nonne pompait allègrement le baudet… manquant de s’étouffer à chaque fois qu’elle engloutissait le braquemart de plus en plus turgescent de l’âne, qui maintenant piaffait et commençait à donner des signes d’énervement.

 

– Maintenant tu vas me baiser mon bel étalon ! Dit la nonne toute à la joie de la saillie imminente…

 

Elle se releva, laissant le père Adrien tout penaud avec son vit roide, gonflé et un peu merdeux venant d’où il venait… La nonne s’accouda à l’échelle, présentant sa croupe à l’âne, laissant ainsi pendre ses mamelles et son ventre flasque. Adrien lui écartait les fesses largement laissant voir le con baveux et déjà ouvert largement de la sœur. Martin en âne bien élevé ne se fit pas prier il se dressa sur ses pattes arrière, balançant ses sabots de part et d’autre de la nonne pour les appuyer sur la barrière. Sœur Jeanne avec une souplesse que ne laissait pas deviner sa corpulence, attrapa le vit de l’âne et le posa contre son con luisant. Martin donna un grand coup de rein et enfonça d’un trait un bond pied de chair… Tirant un cri à la sœur

 

– Ah! je le sens ! Ah il est dedans ! Oh qu’il est gros… pousse, pousse bel étalon… déchire-moi le con ! hurlait-elle.

– Et moi… Demanda naïvement Adrien

– Mais viens dans ma bouche nigaud ! Je vais pomper ton nœud !

 

Il ne se fit pas prier et fit taire sœur Jeanne avec son chibre.

 

Au risque d’être découvertes Abigaelle et Mina avait sorti la tête de leur cachette pour profiter du spectacle. La nonne était secouée par les coups de boutoir de l’âne qu’elle encourageait, lançant son fessier contre l’énorme queue, faisant naître des ondes dans sa chair qui se propageait comme les ricochets sur l’eau. Le con de la nonne baillait et dégouttait des ruisseaux de sucs qui faisait des tâches dans la poussière du sol. Le vit de l’âne se couvrait d’une mousse blanche et onctueuse comme si le barattage qu’il imposait à la religieuse était en train de faire du beurre. Sœur Jeanne le visage rouge, haletais, ne proférait plus que des onomatopées… des oh, des ha… des oui… des hue… Le père Adrien lui ne disait rien mais sa mine réjouie en disait long… son engin noueux se couvrait de salive qui s’égouttait le long de ses bourses velues… De ses mains il avait empoigné les mamelles de la nonne et semblait décidé à la traire.

 

Les mains d’Abi et de Mina étaient croisées chacune agaçant les fesses de l’autre. Agenouillées maintenant comme pour prier, elles ne perdaient pas une miette du spectacle. Elle se glissaient mutuellement des doigts dans leurs fentes de plus en plus humides, tandis que leur autre main caressait leur bouton qui ne cessait de gonfler. Les tétons se frottaient à leur chemise de toile rêche et se dressaient également. Les deux amies se mordaient les lèvres et se jetaient des regards langoureux… Ce n’était que par crainte de manquer le spectacle qu’elles n’avaient pas entrepris de se gamahucher.

 

En bas les cris redoublaient, l’âne donnait des coups de boutoirs qui faisait décoller du sol sœur Jeanne et la faisait crier de plus belle.

 

– Oh il me broie la matrice ! Il m’a démoli le con ! J’en pisse de plaisir ! criait-elle

 

En effet… de longs jets tombaient sur le sol, à chaque poussée de l’âne un jet puissant répondait associé à un cri de plaisir de la nonne.

 

– Je le veux dans mon œillet ! Qu’il me pète ma rondelle Adrien, guide le vers l’autre pertuis !

 

A regret le fermier qui n’était pas loin de se vider dans la bouche de la nonne… accéda à la demande… Il passa sa main sous le ventre de l’âne, empoignant le chibre bouillant et couvert de crème qu’avait distillé la sœur, elle en avait partout, sa motte ébouriffée avait des paquets de poils collés, luisants, avec de longs fils poisseux qui gouttaient au sol. Le fermier profita d’un coup de rein de la sœur pour faire sortir le sexe de l’âne et le guider vers le petit trou de la nonne. Petit était un peu exagéré sans doute. Il était lâche et avachi, bourrelet souvent sollicité par cierges et légumes divers, elle n’était plus une novice au petit cul serré et presque impénétrable. C’était une nonne respectable qui avait dû occuper les longues soirées d’hiver avec autre chose que les sempiternelles prières.

 

Sentant l’orifice à la pointe de son chibre l’âne donna un énorme coup de rein encouragé par le pervers Adrien qui lui avait claqué la croupe.

 

L’âne avait englouti la presque totalité de son membre soit pas loin de deux pieds dans le fondement de la nonne… qui la bouche ouverte tentait de reprendre son souffle… Son con, lui, dégouttait de tout ce qui était accumulé… elle laissais échapper ce que son ventre contenait d’urine en petits jets que suscitait l’ébranlement de l’âne. Chaque fois que l’animal se retirait un peu l’anus de la nonne suivait… gaine de chair incongrue qui semblait ne pas vouloir lâcher l’engin qui le distendait. Chaque fois qu’il redonnait un coup en avant l’anus reprenait sa place.

 

Nos deux voyeuses avaient de plus en plus de mal à rester spectatrices, leurs doigts investissaient tous les orifices, sondaient les grottes humides et brûlantes. Leur bouches partageaient des baisers tout en lorgnant du coin de l’œil sur la nonne et l’âne. Elles avaient laissé choir leurs chemises et leurs seins tendus se frottaient. Mina avait un buisson d’un noir de jais qui luisait sous le soleil, mais aussi à cause de la rosée qui commençait à emperler chaque touffes de poils. Abi avait à peine une ombre dorée et laissait voir la crevasse divine toute nue ou presque. Mina allait et venait dans la fente d’Abi qui se pâmait et gémissait doucement tout comme Mina qui frottait sa motte contre la main de son amie. Elles ne rêvaient que d’avoir un gros vit à se partager afin de se sentir comblées dans tous leurs orifices. Elle étaient également hypnotisées par l’âne et la sœur… Sans doute les deux coquines rêvaient elles de prendre la place de la nonne.

 

Soudain ce fut de grands hurlements, sœur Jeanne, étaient secouée par les grands coups que donnaient l’âne. Il entrait presque son vit jusqu’à la garde dans le cul béant de la religieuse. Cette fois son trou avait abdiqué il était dilaté, ourlé d’une écume rose. L’âne entrait et sortait à loisir tandis qu’agrippée à l’échelle sœur Jeanne tentait de ne pas tomber… Son con tout aussi béant que son cul, dégouttait et elle piétinait dans une flaque visqueuse qui s’était formée à ses pieds.

 

– Il me tue ! Je suis déchirée ! Je meurs ! Que c’est bon ! Encore, défonce-moi le ventre ! hurlait la nonne comme possédée.

– Suce-moi donc au lieu de bramer drôlesse ! lui intima le père Adrien en plantant son vit dans la bouche de la sœur.

 

Et il n’y resta pas longtemps car en deux coups de rein il se vidait les bourses dans la bouche de la nonne. Il ressortit son braquemart et laissa la nonne la bouche encombrée d’une énorme rasade de foutre qui ruisselait sur son menton et ses mamelles.

 

A cet instant le brave Martin tape du sabot… bourriquant comme un perdu… il défonce la nonne, qui empalée sur le vit est entraînée au milieu de la grange… Là le baudet se soulage, giclant des litres de foutres dans le rectum de la servante du seigneur qui se pâme en sentant la semence ânée inonder son ventre.

 

– Ah il m’emplit de liqueur, je déborde il m’empale je vais mourir ! C’est bon ! Hurle la nonne.

 

Elle est sous l’âne qui gicle en elle, et la transporte dans la grange… elle jouit à son tour, la sœur. Elle jouit en marchant à quatre pattes sous l’âne. Le visage rubicond de la none qui se pâme… exprime soudain une douleur… incommensurable ! L’âne se retire brusquement…. Sœur Jeanne dégringole sur le sol les mains dans le foutre et l’urine. Elle lèche ensuite sa main avant de se relever chancelante… Elle approche de Martin qui, le vit pendant, s’ébroue… Elle lui pose un baiser sur le chanfrein.

 

– Ah l’âne est bien plus humain que l’homme ! Dit-elle sentencieusement.

 

Le père Adrien prend l’âne au licol et l’entraîne hors de la grange…

 

Sœur Jeanne avec une poignée de paille se frotte le con et le cul pour les sécher un peu avant de reprendre sa robe qu’elle enfile sans autre vêtements dessous.

 

Soudain dans un grand fracas, le plancher du grenier cède… On entends des cris, et nues comme à leur naissance, cuisses et bras enchevêtrés, tête bêche. Abigaelle et Mina se retrouvent dans le tas de paille… sous les yeux effarées de sœur Jeanne…

 

– On a rien vu ma sœur… on a rien fait ! S’écrie Abigaelle tandis que Mina jauge la nonne d’un regard effronté.

– Petits démons ! que faites-vous là ! Que faisiez-vous? Couvrez-vous petites catins ! Je vais vous apprendre…

 

La nonne prenant chacune des filles par une oreille, les entraîna sur le chemin en direction du couvent…

 

Le père Adrien observant la scène dit à l’âne…

 

– Tu vois mon vieil ami… on a eu du bon temps… mais les petites vont passez un sale moment !

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Samedi 2 octobre 2021 6 02 /10 /Oct /2021 11:13

Les libertins d’Anvers par Boris Vasslan

Trio2

 

Ce récit est une suite (très) tardive de Route d’Anvers, qu’il n’est pas forcément nécessaire de relire

 

Dans cet immeuble très bourgeois, c’est une jeune fille qui m’ouvre, elle est blonde, belle et charmante, frisée comme un mouton, le décolleté au raz des tétons et un sourire désarmant. Que voici un accueil prometteur !

 

– Je vous présente Gertrud notre fille, et Alexis, mon fils, ils participent régulièrement à nos petits jeux érotiques. Voulez-vous une bière bien fraiche ?

– Bien volontiers !

 

Me voila donc chez Florence et Hubert, le couple de quadragénaires rencontré cet après-midi dans cet étrange relais de route. Je n’imaginais cependant pas que je me retrouverais chez une famille « tuyau de poêle » ! Cela-dit ça ne me choque pas plus que ça, puisque ces jeunes gens sont adultes.

 

Petit rappel : Monsieur est plutôt quelconque, chauve et légèrement bedonnant, mais comme on dit, il a une bonne bouille. Madame est une grande blonde coiffé à la Greta Garbo, elle s’est habillée ce soir d’une petite robe bleue hyper décolletée

 

Cet après-midi j’ai eu le loisir de goûter au champagne naturel de Florence qui m’a ensuite fait une pipe pendant que son mari, bisexuel, se faisait vaillamment sodomiser par un autre client de l’établissement. Et comme je devais avoir une tronche qui leur plaisait, ils m’ont invité à passer chez eux en fin d’après-midi.

 

Le dénommé Alexis doit avoir une vingtaine d’années et est, ma foi, fort troublant, il n’a pour tout vêtement qu’une petite culotte de femme. Il a de longs blonds cheveux bouclés, un visage très fin, il est entièrement épilé, et a de gros tétons assez sombres avec des petits piercings en anneau.

 

Qu’est ce qu’il me prend de regarder un mec de cette façon ? Décidemment mes petites aventures de l’après-midi ont réveillé de vieux démons… Laissons-les donc se réveiller !

 

Bien sûr, Florence s’est aperçue de mon trouble.

 

– Humm ! Alexis, débarrasse-toi de cette culotte de travelo, je sens notre invité impatient de découvrir ta bite !

 

Je rougis, mais Alexis s’exécute bien volontiers en me faisant un embarrassant sourire, et le voila la bite à l’air. Une jolie chose mais qui le serait encore mieux si elle bandait ! Il se tourne, me montre ses fesses, de jolies fesses agréablement cambrées dont il écarte les globes afin que je puisse mater son joli petit trou du cul.

 

– Beau spécimen, n’est ce pas ! Commente Florence, il est aussi bien actif que passif, et il est très endurant, il nous encule divinement, n’est-ce pas Hubert ?

– Absolument !

 

Eh, bien, quelle famille !

 

– Si vous désirez goûter à sa bite, ne vous gênez surtout pas ! Me précise la maîtresse de maison.

 

Et pour supprimer mes éventuelles hésitations, Alexis s’approche très près de moi, et me fait signe de le faire.

 

Me voila donc avec la bite de l’androgyne dans la bouche, elle est douce et agréable et je la sens grossir dans mon palais, je me recule un moment pour regarder le résultat, elle bande désormais fort correctement, joli cylindre bien nervuré au gland violacé, un petit bijou que cette bite. Je la remets dans ma bouche.

 

– Gardez-en pour tout à l’heure ! Me conseille Florence. Et venez vous assoir ici, Gertrud vous a apporté votre bière.

 

On me place au milieu du canapé, entre Hubert et Alexis, tandis que Florence prend place dans un fauteuil nous faisant face. J’aurais préféré une autre disposition, mais bon, la soirée est à peine commencée. Hubert me caresse la braguette d’un air faussement distrait.

 

– Je ne sais pas trop ce qu’on va faire, nous improviserons… reprend Florence. Mais autant finir la journée en beauté. Avant de vous rencontrer au restaurant, nous nous étions déjà livrés à quelques fantaisies dans la matinée. Souhaitez-vous que je vous raconte ?

– Bien sûr !

– Eh bien ce matin vers 8 heures j’avais rendez-vous avec mon coiffeur pour juste une petite rectification, il vient à domicile, c’est un très bel homme, assez efféminé, il est à voile et à vapeur et il a une jolie bite. La séance se termine souvent dans le lit. J’en ai parlé souvent à mon mari, mais il n’avait jamais eu l’opportunité de le rencontrer, mais cette semaine il est en vacances.

 

Le récit de Florence

 

– Voilà Hubert, je te présente Dominique, mon coiffeur.

– Félicitations, ma femme ne m’a pas menti, vous êtes très sexy !

– Vous aimez les hommes ? Répond le coiffeur en se passant vicieusement la langue sur les lèvres.

– Les hommes et les femmes, je suis complètement bisexuel.

– On dirait que je vous fais de l’effet ! Répond-il en lorgnant la braguette de mon mari. Auriez-vous des intentions coquines ?

 

Il ne répond pas, du coup je passe derrière Hubert et lui caresse la braguette.

 

– Humm, c’est vrai que ça bande là-dedans, souhaitez-vous vérifier, Dominique ?

– Bien sûr, si monsieur m’y autorise.

– Je vous autorise, mais j’ose espérer que vous avez conscience de ce que vous allez déclencher ?

– Mais absolument, humm, c’est vrai que c’est bien dur tout ça !

 

Et après quelques caresses par dessus le tissu, Dominique dézipe la fermeture éclair, et entreprend d’extraire la bite de mon époux. Il la branle quelques instants.

 

– Hummm ! Joli bite !

 

Il se met à genoux et commence alors à sucer le joli membre offert avec gloutonnerie.

 

– Hummm ! Je me régale ! Commente-t-il pendant une courte pause.

– Régalez-vous mon ami, elle est faite pour ça.

– Je la prendrais volontiers dans mon cul !

– Cela me paraît en effet une intéressante suggestion.

– On va dans la chambre, alors ? Suggère le coiffeur.

– Non on va rester là, ça m’amuse, déshabillez-vous donc que je vois comment vous êtes fait.

 

Dominique se déshabille, son corps est glabre. Il a une jolie bite assez fine avec le gland bien dégagé, et en ce moment elle est raide comme un bambou.

 

Hubert appelle alors Gertrud. Le coiffeur ne comprend pas et par réflexe se cache ses attributs.

 

– Ne vous inquiétez pas, plus on est de fous plus on rit.

 

Gertrud connaissait Dominique mais ne l’avait jamais vu nu.

 

– Gertrud, ma fille, goute-moi le trou du cul de ce charmant jeune homme et tu me diras comment il est.

 

Les deux intéressés se prêtent alors à ce jeu, la jeune fille faisant une feuille de rose experte au coiffeur pour dames.

 

– Alors ?

– Il est à point, papa !

– A point, ça veut dire quoi, à point ?

– Il s’ouvre bien, il a bon goût, pas trop fort, juste un bon petit goût.

– Doigte-le un petit peu !

– Avec plaisir !

– Non avec ton doigt.

 

Plaisanterie qui fait rire tout le monde. Elle pénètre un premier doigt, puis un second dans l’anus du coiffeur, puis les fait aller et venir, il se pâme d’aise et pousse des petits cris.

 

– Ça devrait suffire ! Retire tes doigts et lèche-les.

– Mais papa, tu me fais faires choses dégoutantes !

– C’est juste une suggestion, tu n’es pas obligée.

 

Gertrud fait un peu la grimace, regarde l’état de ses doigts, et rassurée se les met en bouche.

 

– Je confirme, papa, juste un bon petit goût. Tu as encore besoin de moi ?

– Non, mais tu peux rester si tu veux !

– Viens donc sur mes genoux, Gertrud, on va les regardez faire, intervins-je, mais avant, retire ta culotte, cela me sera plus facile pour te tripoter.

– Ben sûr Maman !

 

Hubert fait alors signe au coiffeur de se positionner de telle façon qu’il puisse le sodomiser, puis après s’être protégé comme il se doit, il approche sa bite de son trou du cul et force l’entrée. En fait c’est entré facilement du premier coup. Le coiffeur pousse un cri de contentement, puis mon mari se met à coulisser dans son conduit, d’abord de façon raisonnable, puis par saccades de plus en plus vives, à ce point que notre sodomisé se met à avancer à chaque nouveau coup de boutoir et finit par se retrouver face au mur où il reste calé, Hubert accélère encore, son visage tourne au rouge et il jouit avec une rare violence, laissant notre coiffeur pantelant.

 

Moi pendant ce temps, excitée par ce spectacle, je pelote et j’embrasse Gertrud, puis je lui fais quitter mes genoux pour lui demander de s’installer entrer mes cuisses afin qu’elle me fasse une minette. La coquine, elle m’a fait bien jouir, après elle a voulu se lever, je l’en ai dissuadé et je lui ai pissé dessus. J’avais trop envie !

 

Fin du récit de Florence

 

– N’était-ce pas un beau début de journée ?

– Je vois qu’on s’amuse bien chez vous ?

– Ça vous a fait bander au moins ? demande Florence.

– En effet !

– Oui, mais voyez vous reprend la bourgeoise, nous sommes ici un peu comme Saint-Thomas, nous ne croyons que ce que nous voyons. Vous nous feriez donc grand plaisir en nous montrant votre bite, d’autant que Gertrud et Alexis ne la connaissent pas.

– Bonne idée je m’en occupe ! Intervient Hubert qui avait toujours sa main sur ma braguette.

 

Bon, ben, après tout je suis venu pour ça, non ? Alors je me laisse faire, pendant qu’Hubert extrait ma bite de sa braguette et la masturbe un peu pour en affirmer sa raideur, puis se la met dans la bouche ! Quel gros coquin cet Hubert !

 

Il me suce ainsi quelques minutes, puis se redresse, son but n’étant pas de me faire jouir trop vite.

 

– Nous aimons parfois être un peu directifs, un peu dominateur, ça vous pose un problème ! Me demande Florence.

– Pourquoi pas, je suis très joueur ? Mais si quelque chose ne me plait pas ?

– Ça ne devrait pas arriver, mais si ça arrivait, ce n’est qu’un jeu, alors d’accord ?

– D’accord !

– Alors met-toi à poil espèce de petite salope.

Anvers

Glups ! Florence, la bourgeoise classieuse qui se meut en dominatrice vulgaire avec son impossible accent flamand ! C’est si inattendu que ça en serait presque comique. Mais j’obéis. Hubert se déshabille aussi de son côté. J’aimerais bien que notre hôtesse se débarrasse elle aussi de ses vêtements. Je l’ai honoré cet après-midi mais sans qu’elle ne me dévoile tous ses charmes. Cela n’a hélas pas l’air de faire partie des ses intentions immédiates.

 

– Allez Gertrud, goûte le cul de notre invité ! Ordonne Florence.

 

Cela semble donc une des habitudes de la maison ! Mais Alexis s’interpose !

 

– Maman, laisse-moi ce plaisir !

– D’accord, régale-toi et Gertrud va s’occuper du devant.

– Tu ne te déshabilles pas ? Lui demandais.

– Pourquoi, tu voudrais voir mes gros nichons, c’est ça ?

– Si ce n’est pas trop demander ?

– Tu serais pas un peu vicieux toi ?

 

Elle se fout de moi ! Mais elle se déshabille, sa poitrine est magnifique et ses tétons pointent fièrement, je les tripote et les suçote quelques instants.

 

Puis, Gertrud prend mon sexe en bouche et commence par me sucer de façon experte, tandis que le biquet me prodigue une feuille de rose diabolique. Si c’est ça les dominations de madame Florence, je veux bien être le roi des soumis. S’ils continuent je risque d’éclater prématurément. Mais, il ne fallait pas rêver, non plus !

 

– Stop, il est prêt ! Annonce la bourgeoise !

 

Alexis me contourne et vérifie l’état de ma queue :

 

– Effectivement ! Confirme-t-il les yeux plein de concupiscence.

– Je la verrai bien dans mon cul ! Annonce Florence.

– Non moi d’abord ! Intervient Alexis.

 

Ça devient compliqué d’autant que j’ai l’impression que Gertrud et Hubert ne dirait pas « non » non plus. Toujours est-il que je ne peux pas enculer tout le monde, je ne suis pas le dieu Priape.

 

– C’est moi qui ai postulé la première ! Fait remarquer Florence.

– On a qu’à tirer au sort ! Propose Alexis. Qui a une pièce de monnaie.

 

Il lance la pièce

 

– Pile c’est un garçon, face c’est une fille !

 

C’est face…

 

– Alors maintenant pile c’est Maman, face, c’est ma sœur !

 

C’est encore face !

 

La Gertrud est toute contente de m’exhiber son joli petit cul. Je m’empresse de lubrifier tout cela de ma langue coquine. Ça sent un peu fort mais ça ne me dérange pas plus que ça. L’anus s’ouvre, je m’encapote, j’avance ma bite, je l’encule.

 

Hubert vient présenter sa bite devant le visage de sa fille qui n’hésite pas une seconde à mettre dans sa bouche la virilité de son père.

 

Et pendant ce temps, Florence ne voulant pas être en reste, entreprend une joli fellation sur le membre viril et tendu de son fils.

 

Quelle famille ! Je n’en reviens pas ! Tout cela est trop excitant et j’ai du mal à me contrôler. Mais qu’importe la Gertrud miaule de plaisir, alors tout va bien, j’accélère et je lâche ma purée, puis me retire.

 

Gertrud continue à sucer son père qui lui jouit dans la bouche.

 

– Hum, qu’elle est bonne la bite à papa ! Clame-t-elle alors que le sperme lui dégouline sur le menton.

 

Alexis décharge à son tour dans la bouche de sa mère.. Gertrud ne lui laisse pas le temps d’avaler et les deux femmes s’échangent un long baiser baveux. Quelles belles cochonnes !

 

Hubert d’avance vers moi bite en avant, encore gluante de son sperme, je comprends qu’il me propose sans me le dire que je lui prédique un petit nettoyage.

 

Voilà qui tombe très bien, j’adore sucer des bites et la sienne est délicieuse. Du coup nous rebandons tous les deux. Alexis vient nous rejoindre, lui non plus ne s’est pas rincé la biroute. Alors je suce alternativement le Père et le Fils. (J’aurais bien sucé aussi le Saint-Esprit mais j’ignore où il se cache !) Et histoire de faire bonne mesure mon index s’égare dans le troufignon de ces messieurs.

 

Où sont les dames pendant ce temps ?

 

Florence s’est enfin déshabillée ! Quelle belle femme, quelle jolie poitrine ! Elle entraîne sa fille sur le tapis, elles se mettent en soixante-neuf, la fille broute la mère et la mère broute la fille. Quelle famille (comment ça je me répète ?)

 

Et c’est très excité que je demande à mes partenaires si l’un des deux ne voudrait pas m’enculer.

 

Hubert propose à son fils d’œuvrer ! Je me mets en levrette et tandis que je continue à sucer le père, le fils vient me pénétrer de son dard puissant.

 

Qu’est-ce qu’il encule bien ce salaud, ça coulisse dans mon trou du cul me provoquant des frissons de plaisirs inouïs. Je râle de bonheur, ma bite se couvre de sperme, je n’en peux plus je m’écroule, Alexis s’écroule sur moi, Hubert me lâche quelques gouttes de sperme dans la bouche.

 

Les deux femmes se relèvent, vont vers la salle de bain, je les suis aussi ayant une petite envie.

 

– Veux tu qu’on te pisse dessus, une fois ? Me demande Florence !

– Même plusieurs fois.

 

J’ai donc avalé la bonne pisse de ces dames, je me rince sommairement à l’aide d’un gant de toilette et reviens à côté.

 

Il va être temps pour moi de prendre congé, je me rhabille sans me presser.

 

Ne pars pas, nous avons encore une surprise ! Me dit Florence.

 

Ils sont bien gentils mais moi je suis épuisé, j’ai les couilles douloureuses et j’ai plus envie de me reposer qu’autre chose.

 

Et voilà Gertrud, toujours à poil qui se ramène avec la surprise.

 

– C’est une tarte flamande, tu ne vas pas partir avant d’y avoir gouté !

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Boris
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Dimanche 26 septembre 2021 7 26 /09 /Sep /2021 09:28

Maîtresse Cécile par Sylvain Zerberg – 3 – Le dernier tabou

stamp slave

J’avais beau me dire que la séance prévue avec ma mère ne serait pas une corvée, j’angoissais néanmoins.

 

Un tabou aussi fort que celui de l’inceste ne peut disparaître aussi facilement qu’une envolée de moineau..

 

Bien sûr, dans l’absolu, rien ne m’obligeait, je pouvais tout simplement me déclarer « non prêt » et remettre cette folie à plus tard, je pouvais aussi me défiler en invoquant une migraine toute diplomatique… Bref les scénarios de fuite ne manquaient pas.

 

Malgré moi, des images se formaient dans mon esprit. Cécile avait été on ne peut plus explicite en me disant :

 

– Je veux que tu l’encules devant moi !

 

Comme acte déviant, ça se pose là, non ?

 

Mais mon cerveau visualisait l’acte. Ma bite bandée entrant dans l’anus forcément accueillant de ma mère… Et cette évocation me faisait bander.

 

Et puis le reste, Cécile avait évoqué devant moi jusqu’où allait le dévergondage de ma mère… Jusqu’à faire des choses scato ou sucer le sexe d’un chien. La salope !

 

Au fait ma mère, parlons-en un peu, elle vient d’avoir 50 ans, très brune, bien conservée, de belles formes. A la maison, la nudité n’était pas taboue, et il n’était pas rare que je croise ma mère ou mon père à poil, Mais n’allez pas croire qu’ils étaient exhibitionnistes, non, ils ne se cachaient pas, c’est tout.

 

N’empêche que quand j’ai vu mon père avec la bite bandée comme un arc, je fus saisi d’un trouble étrange. Et quand ma mère se rendait aux toilettes sans en fermer la porte, me faisant entendre le bruit de son pipi tombant dans l’eau dormante… Oh là là ! Quel émoi !

 

Alors oui j’ai un peu fantasmé sur ma mère, mais cela n’a jamais constitué une obsession, des fantasmes, j’en avais d’autres et puis il avait la barrière du tabou…

 

Ma mère est cadre supérieure dans une société agro-alimentaire, inutile de vous dire qu’elle gagne bien sa vie. Mon père lui gère un magasin de chaussures c’est donc ma mère qui comme on le dit « fait bouillir la marmite »

 

Apparemment mes parents s’entendaient bien, Nous étions trois enfants, deux garçons et une fille, j’étais la cadet et les autres maintenant sont « casés ».

 

Il y avait peu de conflits à la maison, juste quelques rares prises de gueule. Mes parents faisaient, chambres à part. Depuis quand ? Je n’en savais rien, En fait j’avais plutôt l’impression qu’ils se contentaient de coexister, ils ne prenaient même plus leurs vacances ensemble.

 

Je supposais que ma mère devait avoir un amant, et mon père une maîtresse. Grand bien leur fasse, ça ne me regarde pas !

 

Mais revenons au présent.

 

– La séance c’est à 10 h 30, m’informe Cécile. Mais j’ai demandé à ta mère de venir une demi-heure avant, comme ça vous pourrez discuter un peu.

– Ah ?

– Ben oui, ce sera mieux comme ça, non ?

– Sans doute ! Répondis-je sans grande conviction.

 

En fait je trouvais que l’idée n’était pas si judicieuse que ça. Il y avait un pas à franchir, et pour moi le meilleur moyen de le franchir était ne pas perdre de temps genre « Je me lance et si je bloque, je laisse tomber l’affaire ». Mais bon je suppose que Cécile savait ce qu’elle faisait.

 

A 10 heures ma mère arriva, tailleur strict et tout sourire. Lucie, la petite bonne nous installe dans le salon et apporte un thé pour ma mère et un café pour moi.

 

– Madame Cécile me fait dire qu’elle vous attend tous les deux à 10 h 30 dans le donjon. Vous devrez descendre complétement nus et vous agenouiller à votre arrivée.

– Comme d’hab, quoi ! Répondit ma mère.

– Oui et voici vos colliers de chien.. .

 

Elle attendit que la soubrette ait quitté les lieux avant d’entamer la conversation.

 

– Nous voici réunis dans des circonstances un peu particulières.

– Oui, c’est vrai ! Approuvais-je bêtement.

– Mais retiens bien l’essentiel :Personne ne nous oblige ! On fait ce qu’on veut, nous sommes des adultes responsables.

– Oui bien sûr !

– Tu n’es guère bavard !

– Je t’écoute !

– En fait, nous n’en parlions pas à la maison, mais j’ai toujours aimé le sexe.

– Normal, non ?

– D’après toi comment ais-je fais pour devenir cadre de direction ?

– Tes compétences, je suppose ? Répondis-je alors que je me doutais bien de la réponse qu’elle allait me faire.

 

Elle se mit à rire ! J’aime quand ma mère rit, son beau visage s’éclaire !

 

– Des compétences, je crois en avoir, oui ! Mais ça ne suffit pas toujours, alors disons que j’ai sucé quelques bites, le chef de service, quelques fondés de pouvoir, quelques mecs influents. Ça n’a pas vraiment été une corvée, j’adore sucer de bonnes bites

 

Entendre ma mère employer des mots vulgaires, ce quelle ne faisait pratiquement jamais à la maison me provoqua un début d’excitation, elle s’en rendit compte et enfonça le clou.

 

– Surtout Perronet ! J’adorais le sucer, il avait une très belle bite, je le suçais souvent à fond et j’avalais son foutre, c’était délicieux !

 

Elle me raconte ça avec une décontraction étonnante, de la même façon qu’elle me dévoilerait une recette de cuisine.

 

– Parfois il m’enculait sur le bureau, quand il ressortait sa bite, il me la faisait nettoyer, ça ne me dérangeait pas.

– Eh bin !

– Je te choque ?

– Non, choqué n’est pas le mot !

– C’est quoi le mot, alors ?

– C’est un peu bizarre, en fait ça m’excite, ce que tu me racontes.

– C’est vrai, ça, laisse-moi vérifier.

 

Et voilà que ma mère porte sa main sur ma braguette, du coup je bande complétement en un temps record. J’aurais aimé qu’elle aille plus loin, mais elle retire sa main. En ce moment j’ai vraiment envie de la baiser.

 

– Avec ton père il y a longtemps qu’on ne fait plus rien ensemble, alors j’ai été voir ailleurs. Reprend-elle. J’ai toujours eu des tendances un peu maso. Pas si facile que ça de trouver quelqu’un avec qui concrétiser d’autant que je me méfie des mecs dominateurs, j’en ai croisé quelques-uns, ça ne m’a pas branché plis que ça. Et puis j’ai rencontré Cécile sur Internet. Et oui Cécile n’est pas une amie d’enfance, c’est une prof qui arrondit ses fins de mois en organisant des parties fines très spéciales et ça me convient parfaitement.

– C’est la journée des grandes révélations !

– Comme tu dis ! Et en ce qui me concerne il y a longtemps que je fantasme sur toi, en fait depuis le jour où je t’ai surpris en train de te branler dans la salle de bain, tu ne m’as pas vu, mais moi je me suis caressé la moule en te regardant !

 

Comment elle parle !

 

– Et toi tu as fantasmé sur moi ? Me demande-t-elle.

– Oui !

– Raconte !

– Ben on était tout nu, tous les deux, tu me suçais le sexe et après je te sodomisais.

– Emploie des mots crus, mon chéri, c’est tellement plus excitant !

– Alors tu me suçais la bite et après je t’enculais comme une chienne !

– C’est mieux ! Donc pas d’ambiguïté à 10 h 30 on descend ?

– Ça marche !

– On est un peu en avance, on peut déjà se déshabiller, comme ça tu pourra me caresser un peu, d’accord ?

 

Bien sûr que je suis d’accord.

 

On se déshabille de conserve, je bande comme un fou, excité de voir ma mère tout près de moi complétement nue. Je pose ma main sur son bras, elle a la peau d’une douceur incroyable, Ma main bifurque vers sa poitrine….

 

– Je peux te caresser les seins ?

– Juste un peu ! Il faut se réserver pour en bas !

– Alors je te fais juste un bisou !

 

Ma langue s’approche du téton !

 

– Garnement ! Lécher les seins de sa mère ! Plaisante-elle. Tu n’as pas honte ?

– Ben non !

 

Sa main vient se poser sur ma bite, elle effectue quelques mouvements de branle, mais n’insiste pas. Son visage s’approche du mien, on se roule une pelle. Non je ne rêve pas, je viens de rouler une pelle à ma mère !

 

C’est l’heure !

 

On s’attache nos colliers de chien autour du cou, on descend.et on s’agenouille.

 

Oh là là ! On n’est pas tout seuls. Je ne saurais les noms de ces messieurs dames que plus tard, mais pour la bonne compréhension du récit, présentons-les dès maintenant :

 

Henri et Baptiste sont deux grands blacks, montés comme des mulets, Odile est une superbe femme, grande perche brune très souriante avec une magnifique paire de seins dont les tétons sont ornés d’énormes piercings noirs, elle tient à la main un gros labrador beige qui a l’air de se demander ce qu’il fait là. Cécile toute vêtue de vinyle noir et Lucie en tenue de soubrette d’opérette complètent le tableau de cette bande de dépravés… dont je vais faire partie !

 

– Odile ! Fais-toi lécher le cul par cette pute ! Ordonne Cécile.

– Avec plaisir !

– Il est comment ton cul ?

– Je ne me le suis pas lavé…

 

Ma mère lèche le trou du cul de la géante avec une gourmandise non feinte, tandis que Baptiste s’approche de moi la bite en avant.

 

– Suce ! M’ordonne Cécile

 

Le contraire m’eut étonné. Moi je veux bien, ma réticence à sucer de la bite n’existe plus depuis cette fameuse partouze (voir le chapitre précèdent). Le problème c’est que je n’ai pas une si grande bouche que ça, et qu’il m’est impossible d’y mettre tout ce paquet ! Alors je triche, je lèche la hampe, je suçote le gland, c’est doux, velouté, pas mal du tout et quand ce connard voulant me forcer me l’enfonce dans la bouche, je fais en sorte de l’envoyer à l’intérieur des joues avant que Cécile le prie de calmer ses ardeurs.

 

Puis les deux blacks m’attachent sur une chaise. Cécile vient me voir et m’indique que si je veux me retirer, il me suffira de prononcer le mot de sécurité qui ce soir sera « Phacochère ».

 

– Alors il était comment le cul merdeux de ma copine ? Dis-le-moi, sale gouine !

– Il était délicieux, maîtresse.

 

Cécile la gifle avant d’ordonner :

 

– Ouvre la bouche, poufiasse.

 

Cécile lui crache dans la bouche, Odile lui fait la même chose et Lucie est invitée à en faire de même..

 

– Tu te rends compte ! Quelle déchéance ! Accepter de se faire cracher dessus par une boniche ! Pas de quoi faire la fière ! Morue !

 

Ma maman, est attachée, la poitrine contre une croix de Saint André. Cécile et Odile s’emparent chacune d’une cravache et se mettent à lui fouetter le cul et le dos lesquels s’ornent vite de belle zébrures écarlates.

 

Puis on la fait se retourner, mais avant de faire jouer de la cravache les deux dominas, lui accrochent des pinces sur les tétons, puis sur les lèvres vaginales, et pour faire bonne mesure elles ajoutent des poids. Et c’est ainsi suppliciée, que les cravaches viennent cingler son ventre ses cuisses et ses seins.

 

Ma mère pleure, mais en même temps son visage exprime une sorte d’extase.

 

On la détache.

 

– En levrette, grosse pute !

 

Pas compliqué de deviner ce qu’il va se passer. Baptiste est devant et lui donne sa bite à sucer. J’espère pour ma mère qu’il sera moins brutal qu’avec moi. Henri est derrière ma mère, la bite magnifiquement bandée et après lui avoir lubrifié l’anus il la pénètre sauvagement.

 

Quel spectacle de voir ainsi ma mère faire la chienne, une bite dans la bouche, une autre dans le derrière, et je bande, et je bande, ça en devient douloureux d’autant que je n’ai pas la possibilité de me toucher.

 

Henri jouit assez vite, les deux hommes permutent leur position, ma mère lui nettoie la queue après qu’il ai retiré sa capote. Il se retire de sa bouche et lui éjacule encore quelques gouttes sur son visage. Elle ne s’essuie pas. Baptiste n’a pas joui dans son cul, mais sentant son plaisir proche, il se précipite et viens gratifier ma mère de longues et épaisses giclés de sperme.

 

Elle se relève, pantelante, Odile la rejoint et les deux femmes s’embrassent goulument, Odile n’hésitant pas à lécher le sperme qui macule son visage.

 

– T’aimes ça les bites, hein ! Quand il n’y en a plus, tu en veux encore !

– Oui !

– Dis-le mieux que ça !

– J’aimes les bites, je suis une salope !

– Accroupis-toi devant ma chatte, je vais te pisser dans la bouche.

 

C’est qu’elle avait une grosse envie, Odile.

 

– Je ferais bien caca, mais je me réserve pour tout à l’heure…

– Chic alors ! Répond ma mère d’un air de défi !

– T’es vraiment une grosse salope !

– C’est bien vrai ça !

 

On nage en plein romantisme !

 

Odile réveille le chien qui roupillait comme un bienheureux, le caresse un peu et le fait s’allonger sur le flan.

 

– Viens ma salope, viens sucer la bite du chien !

– Non ! Intervient Cécile !

 

Ah ? Que se passe-t-il donc ? Veut-elle m’épargner ce spectacle que je ne suis pas certain d’apprécier ?

 

– Non rapprochez-vous un peu d’Olivier, je veux qui voit bien sa mère sucer le chien.

 

Je me disais aussi …

 

Odile a commencé à lécher la bite du labrador, puis laisse sa place à ma mère qui engouffre l’organe avec gourmandise.

 

C’est vraiment une salope !

 

– Dis donc toi la boniche ! Pourquoi tu fais la gueule ? Dit Cécile en apostrophant Lucie.

– Je ne fais pas la gueule madame.

– Si ! Ça ne plait pas de voir cette salope sucer la bite d’un chien.

– Oh, Si Madame !

– Alors qu’est- ce que tu attends pour la rejoindre, conasse !

 

La femme de ménage vient alors aider ma mère à lécher le chien. Mais cinq minutes après Cécile interrompait la scène.

 

– En levrette la pute, et cul bien relevé, le chien va te prendre.

 

C’est pas vrai qu’elle va accepter de faire ça !

 

Cecile02

 

Odile humecte le cul de ma mère avec sa propre mouille et guide le chien qui finit par comprendre, et qui se met à la baiser avec frénésie ! Quel spectacle, c’est vraiment la totale. D’autant que ma mère ne tarde pas à glousser de plaisir sous le coups de butoir du quadrupède.

 

Au bout d’un moment, Lucia remplace ma mère dans le rôle de la chienne. Elle aussi à l’air d’apprécier.

 

Je sais que maintenant le moment fatidique approche, on me détache. Je ne sais trop quoi faire, mais ma mère, elle le sait, et sans autre forme de procès vient me sucer la bite tandis que ses mains délicates viennent me tortiller me tétons.

 

Putain qu’est-ce qu’elle suce bien, d’autant que pour mettre un peu de piment dans cette fellation incestueuse, elle m’introduit un doigt dans le trou du cul et le fait aller et venir.

 

– Attention, je vais jouir !

 

Ma mère stoppe sa fellation, me laissant récupérer, je la caresse et cette fois je m’octroie la permission d’embrasser ses jolis seins.

 

Elle se laisse faire, me pince encore un peu mes petits bouts de seins, m’embrasse fiévreusement, puis vient se mettre en levrette.

 

– Viens, mon fils, viens enculer ta mère !

 

Alors je l’ai fait, toute honte bue, l’affaire a été rapide mais je me suis fait un point d’honneur à la faire jouir.

 

Pendant ce temps Cécile se faisait faire minette par Odile et quand ce fut terminé, la grande brune fit coucher Lucia à même le sol et lui chia un énorme boudin sur le visage.

 

– J’espère que tout le monde est content, ceux qui veulent pendre une douche, c’est là-haut, on se retrouve tous à midi pour la bouffe….

 

Le coq au vin mitonné par Lucia fut délicieux, nous étions six à table, l’ambiance était bon enfant et nous n’avons pas parlé de sexe… car comme disait ma grand-mère, le sexe c’est formidable, mais il n’y a pas que ça dans la vie.

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Dimanche 26 septembre 2021 7 26 /09 /Sep /2021 09:24

Maîtresse Cécile par Sylvain Zerberg – 2 – La partouze

 

Chanette2

Cécile me demanda de rester à poil. Ça ne me dérangeait pas… Et sur ces entrefaites, la femme de ménage arriva.

 

Elle se prénomme Lucie, c’est une jolie petite femme brune et mûre, un peu boulotte et dotée d’une forte poitrine.

 

Elle n’est pas sitôt entrée que Cécile la gifle. Et lui crache au visage.

 

– Qu’est-ce que tu as encore fait comme bêtise ?

– Je ne sais pas Madame, des bêtises, j’en fais souvent !

– A poil, chienne !

– Bien sûr, Madame !

– Qu’est-ce que tu regardes ? La bite d’Olivier, c’est le fils d’Elsa, la salope que tu as léché l’autre fois. Lui c’est un petit soumis que je dresse, pour l’instant ça se passe bien. Ce matin il m’a nettoyé mon cul plein de merde et ensuite je l’ai enculé avec un gode-ceinture.

 

Que l’on parle de moi ainsi me fit rougir de honte.

 

La soubrette se déshabilla, puis nous sommes descendus tous les trois à la cave où Cécile attacha Lucie de dos sur une croix de St André.

 

Ma maîtresse lui cingla fortement le dos et les fesses laissant de larges trainées rougeâtres à l’aide d’une cravache. La soubrette encaissait sans protester. Elle gémissait, criait, pleurait mais semblait se complaire de cette sévère fouettée.

 

Quand son verso fut assez cinglé, Cécile l’attacha de face et cette fois ce sont ses seins et son ventre qui furent martyrisé.

 

Cécile finit par lâcher sa cravache et vint rouler une pelle magistrale à sa soubrette.

 

– Tu as bien supporté, ça m’a terriblement excité, tu as droit à une récompense.

 

Apparemment, la soubrette savait ce qu’allait être cette récompense, aussi se coucha-t-elle su le dos, la bouche ouverte. Cécile s’accroupit à quelques centimètres de son visage.

 

– Regarde Olivier, le spectacle devrait te plaire.

 

Pour l’instant ce qui était fascinant, c’était l’attitude de Lucie, bouche ouverte dans une position quasi extatique attendant le cadeau de sa maîtresse.

 

C’était la première fois que j’allais voir une femme chier. J’ignorais si j’en supporterais la vue, mais je pourrais toujours fermer les yeux !

 

L’anus s’ouvre, un petit étron se fraye un chemin, il grossit, l’étron devient boudin et je garde les yeux ouverts, la fascination l’emportant sur la répulsion.

 

La merde tombe dans la bouche ouverte de Lucie, elle la dégage mais non sans en avoir léché un peu. Les deux femmes se relèvent se roulent de nouveau un patin ! Quelles salopes !

 

Je n’étais pas esclave à plein temps, cela aurait été lassant aussi bien pour moi que pour elle, elle me laissa donc le champ libre en me demandant de lui apporter le lendemain matin son petit déjeuner au lit comme la veille.

 

Je redoutais l’épreuve du caca, tout en étant quelque part fasciné. Je me demandais ce qu’elle allait encore aller inventer.

 

Quand elle eut finit de pisser et que je me fus régalé de son urine que j’apprécias de plus en plus, Cécile se mit à pousser sans que je voie quoi que ce soit mais en glissant sa main sous son anus afin de recueillir l’étron qu’elle chiait.

 

Ensuite, elle me le présenta avec un étrange sourire, le tenant dans ses mains tel un trophée sans dire un mot.

 

Je suis troublé, ce qu’elle tient dans sa main ne me dégoute pas mais ce n’est pas non plus une œuvre d’art et en plus l’odeur est loin d’être neutre.

 

– C’est beau, hein ? finit-elle par dire.

– Euh, oui ! Balbutias-je

– Quelle conviction ! Regarde ce qu’elle fait ta cochonne de maîtresse.

 

Elle approche l’étron de sa bouche, sort sa langue et le lèche en me narguant. Je sais quelle va me demander de l’imiter. Je suis tétanisé.

 

Sans un mot elle approche l’étron de ma bouche. Je ne bouge pas.

 

– Tu attends peut-être un ordre ?

– Oui maîtresse !

– Parce que tu n’es pas capable de prendre une initiative ? T’es vraiment nul comme esclave.

 

De sa main gauche, elle me gifle et me crache au visage.

 

– Et maintenant fait ton boulot d’esclave.

 

Alors j’ai léché la merde de ma maitresse, m’étonnant que l’épreuve soit bien moins difficile que je ne l’imaginais. Après tout j’avais bien léché son cul hier, pourquoi voudriez-vous que le gout soit différent aujourd’hui ?

 

– Votre merde est délicieuse, maîtresse !

– Je sais, ta mère l’apprécie beaucoup.

 

J’imagine le tableau, ma mère en train de lécher la merde de Cécile… et ça me fait bander.

 

Elle se retourna et me demanda de lui nettoyer le cul, je m’acquittais de cette tâche avec dévotion.

 

Et maintenant je vais te transformer en soubrette !

 

Une perruque blonde, un collier et des bracelets de cuirs pourvus d’un anneau, des bas résilles noir, un porte jarretelle de dentelle noire, des escarpins à talons aiguilles rouge et un petit tablier blanc de soubrette. Il me fallut plusieurs jours pour marcher ainsi accoutré sans me tordre les chevilles.

 

Un soir, je reçu l’ordre de mettre le couvert pour quatre, sans oublier deux autres au pied de leur table. En préparant, j’étais terrifié à l’idée que d’autres personnes soient témoins de nos petits jeux. Quand elle revint, sans même me laisser l’honorer de la langue, elle me fit descendre dans la cave pour me préparer. Elle me fit revêtir ma tenue de service, en remplaçant le porte jarretelle par une guêpière de cuir noir, qui laissait nues mes fesses et mes testicules. A peine eut elle finit de m’apprêter qu’on sonna à la porte.

 

– Va ouvrir, et fait les patienter pendant que je me prépare. Tous leurs désirs seront des ordres, tu as bien compris, esclave de merde ?

 

Les joues en feu et le sexe tendu qui faisait une bosse sur le devant de mon tablier, je fis entrer un couple d’une cinquantaine d’année, qui se présentèrent comme Odile et Robert. Une très belle femme cette Odile, belle brune à lunettes bien conservée ! Tandis qu’ils me suivaient au salon, Robert demanda à sa compagne :

 

– Il te plaît, ma chérie? Il a un beau cul, non?

– Oui. Et j’ai hâte de voir sa pine. Elle a l’air grosse.

 

Quand je leur eu servi un apéritif, Robert me fit mettre debout devant eux, et souleva mon tablier, et me soupesa les bourses de la main.

 

– Il a une belle queue, ma chérie, et un vrai fion de gonzesse…

 

Il fut interrompu par la sonnette, et j’allais ouvrir à un autre couple; une jeune femme blonde et souriante qui se prénommait Jessica, tenant en laisse un black, David, lui aussi travesti en femme avec escarpin, porte jarretelle, et un sexe énorme et dressé à l’horizontale, qui rejoignirent les autres au salon.

 

Odile et Jessica lancèrent l’idée d’un petit concours. Elles écartèrent les cuisses en retroussant leur jupe. Cécile fit agenouiller David devant Odile, et moi devant Jessica.

 

– Vous allez lécher ! Le premier qui fera jouir sa partenaire aura gagné. Quant au perdant, il sera puni sévèrement.

 

Je fis de mon mieux pour satisfaire la jeune femme, qui rapidement se mis à haleter, et jouit avec un cri, tandis qu’il fallut encore plusieurs minutes à David pour faire jouir Odile. Furieuse d’avoir perdu, elle insulta l’esclave, le gifla, lui cracha dessus.

 

Cécile intervint :

 

– Tu es nul. Puisque tu ne sais pas sucer, tu vas te faire enculer par ton vainqueur. Lopette. Olivier, défonce-lui le cul, à cet incapable.

 

Je n’avais encore jamais eu de rapport avec un homme, et j’hésitais à lui obéir. David s’était mis à quatre pattes sans un mot, et écartait ses fesses à deux mains.

 

– Ben alors qu’est-ce tu attends ! M’invectiva Cécile.

– Euh…

– Tu préfères peut-être qu’on inverse les rôles, tapette ? Ne t’inquiète pas ton tour viendra..

 

Je me mis à genoux derrière David, en enfonçant mon sexe entre ses fesses et commençais à aller et venir dans son cul en douceur. Mais quelque chose ne fonctionnait pas, je bandais mou et avait beau évoquer mes fantasmes les plus secrets, ma bite ne voulait plus rien savoir.

 

– Je t’ai dit de le défoncer. Si tu en es incapable, tu prends sa place ! Cria Jessica.

 

C’est Odile qui me sauva la mise, se plaquant tout contre moi par derrière de façon à ce que sente les pointes de ses seins dans mon dos, elle s’empara de mes propres tétons et les tortilla avec vigueur. Miracle, cela me fit rebander !

 

Cécile, Jessica et Robert s’étaient installés dans le canapé et nous regardaient baiser. David gémissait de plaisir sous mes coups de reins. Emoustillé par le spectacle, Robert se leva, sorti son sexe, et debout devant David se fit sucer. Il ne tarda pas à jouir dans sa bouche, tandis que je continuais à le pistonner, cela, jusqu’à ce qu’il s’effondre sous moi en éjaculant sur la moquette.

 

Cécile demanda à David de me nettoyer la bite, je n’avais pas joui mais elle était imprégnée du jus de son cul ! Il s’acquitta fort bien de cette tâche, il devait avoir l’habitude.

 

Ensuite ces braves gens passèrent à table, David et loi mangions par terre dans des écuelles à chien entre deux services.

 

Les conversations allaient bon train, et les voilà qui parlaient de cinéma, de voyages et d’autres choses encore. Comme dirait ma grand-mère, il n’y a pas que le sexe dans la vie.

 

Pendant le repas, Odile fut saisie d’une envie pressante de faire pipi, alors qu’elle se levait pour se diriger vers les toilettes, Cécile lui proposa de se soulager sur ma personne. J’ouvris la bouche pour accueillir ce curieux breuvage. Sa pisse était délicieuse.

 

Ils décidèrent de faire une pause avant le dessert, pour prendre un peu de bon temps. Cécile alla s’empaler l’anus sur la grosse queue de David, tandis que Jessica me fit allonger sur le dos sur la table du séjour, pour me chevaucher à son aise. Comme ma tête tombait en arrière sur le bord de la table, Odile s’approcha et me présenta sa chatte trempée dans laquelle j’enfonçais ma langue, tandis que son mari la sodomisait sans ménagement. Le séjour était rempli de gémissements lascifs et de halètements, jusqu’à ce que David ait le malheur de jouir dans ma maîtresse. Elle se releva, furieuse.

 

– Mais c’est quoi cet esclave de merde incapable de tenir la distance ?

– Pardon maîtresse !

– Il n’y a pas de pardon qui tienne, tu vas voir ce qu’il va t’arriver !

 

Quand Jessica eut joui, elles descendirent à la cave avec lui pour le punir, tandis qu’Odile prenait la place de Jessica sur mon sexe et me chevauchait en me griffant la poitrine et en me traitant de tous les noms orduriers de son répertoire. Elle était très endurante, et elle s’activa encore longtemps après que les autres soit remontés de la cave, où elles avaient laissé David écartelé sur une croix, un godemichet vibrant allumé entre les fesses, un autre maintenu par un bâillon dans la bouche. Je leur servi le dessert.

 

Odile se leva et la bouche encore remplie de sa crème caramel vint rouler un patin à Jessica. Les deux femmes se caressèrent et se plotèrent à qui mieux mieux et finirent par rouler sur la moquette où elle se retrouvèrent en position de soixante-neuf. Cécile s’empressa d’aller quérir deux godemichet qu’elle enfonça dans le trou du cul des deux femelles déchainées.

 

Nous redescendîmes à la cave. Cécile avec l’aide de Jessica m’attacha à une table basse, sur le ventre, par les chevilles et les poignées. Puis elles entreprirent de me fouetter chacune leur tour, le dos, les fesses, et le sexe qui était toujours dressé, au bord de la table. Robert s’approcha et voulu enfoncer son dard dans ma bouche. Comme je gardais les lèvres serrées, Cécile m’ordonna de le sucer.

 

– Je vous en supplie, maîtresse. Faites de moi ce que vous voudrez. Je suis votre esclave, mais pas un pédé.

– Tu es un esclave ! Un esclave c’est fait pour obéir, et si je t’ordonne de sucer une bite, tu vas le faire sans rouspéter.

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Je la vis avec appréhension libérer David. D’un rapide va-et-vient de la main, elle lui rendit sa vigueur, et lui ordonna de me prendre par-derrière. Je la suppliais en vain

– Tu vas fermer ta gueule, on n’entend que toi ! Tu veux peut-être que je te vire ?

– Pardon, maîtresse, je dirais plus rien, je vais me faire enculer pour vous puisque vous me le demandez !

– D’ailleurs, ne me dit pas que ça ne te plaît pas, tu bandes comme un cheval.

 

On m’enduisit le trou du cul de gel, puis d’une seule poussée, David me pénétra, m’arrachant un cri, j’avais réellement mal, et m’apprêtais à demander à ce que l’on stoppe cette pratique, quand je senti que la douleur s’estompait et laissait progressivement place à un plaisir trouble. Qui l’aurait cru, je me faisais enculer et me mettais à aimer ça !

 

Robert s’approche, Cécile me demanda de l’accueillir dans ma bouche ce que je fis. Je fus alors surpris de la texture agréable de cette bite.

 

Les deux hommes, encouragés par leur compagne, prirent le rythme en cadence. Le premier, Robert explosa, m’inondant de sperme que j’avalais à moitié tandis que David continuait de me pistonner vigoureusement, ce qui, à ma grande surprise, continua à me faire gémir de bonheur. Cécile lui ordonna de s’arrêter un instant.

 

– Alors, tu n’es pas un pédé? Donc si David arrête, tu seras content, n’est-ce pas ? Répond, esclave. Dis-nous que tu es un pédé et que tu veux qu’il continue !

– Je suis un pédé. Maîtresse. Je veux qu’il continue à m’enculer.

 

Quand David jouit avec grand bruit, il se retira et me donna sa bite à nettoyer, tâche dont je m’acquittais comme un bon esclave que je suis.

 

– C’est bon la bite ? Hein esclave ? Me nargua Cécile.

– Délicieux, maîtresse !

 

Cécile consulta son agenda devant moi

 

– Demain tu as quartier libre, je serais occupé à l’extérieur, mais après-demain, j’ai rendez-vous avec ta mère. Je veux que tu l’encules devant moi !

 

Bof, ce ne sera pas une corvée, j’étais vraiment devenu l’esclave de Cécile et j’aimais ça !

 

Fin (à moins que j’écrive la suite que vous devinez…)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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