Mercredi 28 juillet 2021 3 28 /07 /Juil /2021 17:23

Apéritifs avec Véronique par Eddy

 

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Pour Helena, évidemment

 

Si vous avez l’habitude de lire des histoires érotiques, vous devez avoir lu ce fantasme archi rabâché du type qui n’a qu’une idée en tête, voir sa femme se faire prendre par un autre homme ! Ne pratiquant pas ce fantasme (rassurez-vous, j’en ai d’autres) ni en tant que mari, ni même en tant qu’amant occasionnel, j’avais même tendance à croire que de telles fantaisies n’existaient que sur le papier. Jusqu’à ce jour où…

 

Mais avant un peu de présentation, je m’appelle Eric, bientôt la quarantaine, je travaille dans les bureaux d’une grande boite. Je ne me plains pas trop, il y a pire que moi. Je suis d’un naturel peu liant, étant assez marginal et supportant mal la beauferie omniprésente. Pourtant ces derniers mois, je me suis surpris à sympathiser avec un type qui venait de province, il ne connaissait évidemment personne et je me suis découvert pas mal d’affinité avec lui sur pas mal de sujets (loisirs, politique, boulot…). Bref, un gars sympa, très mesuré et intelligent. Il y a un peu plus d’un an, il a eu un problème d’ordinateur dont il n’arrivait pas à se dépêtrer, il m’a demandé de passer voir. C’est ainsi que j’ai fait la connaissance de Véronique, son épouse, une blonde à lunettes et cheveux courts, très souriante, mais aussi très réservée.

 

Au bout de deux ans de présence de Daniel dans notre équipe, sa réserve de  » nouveau  » s’était estompé, et son naturel avait repris le dessus, le gars s’était révélé être un joyeux obsédé sexuel et fier de l’être (un peu comme moi), et c’est maintenant très souvent qu’on parlait de cul. Il avait d’ailleurs en la matière une bonne mentalité, il nous arrivait d’évoquer les fantasmes plus ou moins insolites que pouvaient avoir les gens. Lui-même ouvert s’étonnait cependant de la libéralité de mes idées. Je concluais souvent la discussion d’un :

 

– Tu sais, j’ai les idées larges !

 

C’était devenu notre mot, je le répétais sans arrêt et il s’en amusait.

 

J’ai revu une fois sa femme en vitesse, elle venait manger avec lui un midi, j’ai juste échangé deux ou trois mots avec elle, très souriante, très à l’aise. C’est quelques jours après j’ai eu droit à ces étranges confidences :

 

– Le truc de ma femme, ce serait de faire l’amour avec deux mecs ! Moi je ne suis pas contre, mais avec qui faire ça ? Pas avec des amis ou des copains qui viennent tout le temps à la maison, ça changerait complètement nos rapports… pas avec des voisins non plus, tu n’imagines pas…

 

J’étais à mille lieues de penser qu’il s’agissait d’un appel du pied !

 

– Ça ne te brancherait pas ? Toi ?

 

J’ai dû bafouiller je ne sais trop quoi sous l’effet de la surprise, et comprenant mon trouble, il s’est empressé de parler d’autre chose tout en me disant qu’on en reparlerait.

 

Après l’avoir quitté, je m’en suis voulu de m’être fait déstabiliser ainsi, et je me demandais s’il oserait de nouveau évoquer le sujet. En fait ça n’a pas traîné, et cette fois je lui ai donné mon accord.

 

– Je savais bien que tu accepterais !

– Tu sais bien que j’ai les idées larges ! Répondis-je, reprenant mon leitmotiv en plaisantant

 

Encore à ce moment-là, je n’avais pas l’impression que le fantasme de son épouse se concrétiserait. Pourquoi moi ? Ce mec connaît un tas de gens et je n’ai rien d’un play-boy. Si j’arrive à m’affirmer auprès des femmes c’est parce que j’ai compris très vite dès le collège que pour compenser un physique ou je partais battu, il me fallait d’autres arguments, les faire rire, et surtout les écouter… Je lui demande. Il me répond qu’elle me trouve sympa !

 

– Comment peut-elle dire cela ? Je ne l’ai aperçue que deux fois et en coup de vent !

– Mais je lui parle souvent de toi…

 

Le rendez-vous n’a pas traîné non plus ! Le jeudi suivant après notre journée, nous avons pris le train ensemble et arrivé à sa gare de destination il téléphone de son portable pour vérifier s’il elle est toujours d’accord. Elle l’est. Il me dit qu’il était un peu inquiet parce que quelques tentatives d’échangismes n’ont pas pu se faire au dernier moment.

 

Bref, on arrive ! Véronique nous ouvre, je lui tends la main mais elle m’embrasse. Elle est en jean et pull-over blanc, et toujours ce sourire… Elle nous fait rentrer dans le salon dans lequel elle a préparé une petite table basse avec des bouteilles d’apéritif et les petits amuse-gueules qui vont avec. Elle nous sert. Je ne sais pas pourquoi, je remarque alors que la bouteille de martini porte sur son étiquette une grosse tache noire, on remarque parfois des choses sans importance. On échange quelques banalités, je me demande comment va se dérouler la chose et soudain alors que nous étions en pleine conversation, la voici qui retire son pull-over. En dessous il n’y a que son soutien-gorge et il est très transparent. Je n’en crois pas mes yeux !

 

– Autant se mettre à l’aise tout de suite ! Dira-elle ?

 

La suite s’est passée très vite, trop vite !

 

Daniel se lève s’approche de sa femme, dégrafe sa braguette et sort sa queue, il m’invite à en faire autant, et on s’approche de Véronique, qui elle reste assise. Elle gobe la bite de son mari et masturbe la mienne, puis la suce également, elle s’amuse à passer de l’une à l’autre. Mon collègue, littéralement fou d’excitation ne tarde pas à décharger dans sa bouche. Elle avale tout, puis s’occupe de moi, je suis un peu plus long à venir, mais elle fait cela très bien. Je n’ose pas prendre trop d’initiatives, et me contente de lui caresser distraitement les épaules et les avants bras. Je suis surpris par l’extrême douceur de sa peau. A mon tour j’éjacule dans son palais, toutefois elle n’avalera pas mon sperme, le recrachant dans un kleenex. J’en prends un à mon tour afin de m’essuyer, assez satisfait de la façon dont commençait cette rencontre.

 

– Ben voilà, c’était mon fantasme, je suis toute contente de l’avoir réalisé ! Nous déclara-t-elle avec un large sourire.

 

Et sur ce, elle remet son pull-over, je réalise à ce moment que je n’ai même pas vu ses seins ! Je suis sur le cul, il n’y a donc pas de suite ? Mon collègue a l’air un peu embêté.

 

– Je vous remercie encore de m’avoir aidé à concrétiser ce truc. J’ignore si nous reverrons, s’il y aura une suite, je ne vous demande que deux choses, c’est d’abord la plus grande discrétion, Daniel m’a bien dit que nous pouvions compter sur vous, et puis vous allez me promettre de ne vous livrer à aucune initiative qui vous permettrait de me revoir que ce soit seule ou avec mon mari. Vous êtes d’accord ?

 

J’étais un peu saoulé par ce déluge de paroles et par la façon dont l’affaire se concluait, mais au moins ça avait le mérite d’être clair !

 

– Bon d’accord, pas de problèmes !

– Daniel va vous raccompagner à la Gare ! Bisous ?

 

Voici une façon très élégante de me foutre à la porte. J’embrasse gentiment Véronique, et au prétexte que marcher me fera du bien, je refuse l’accompagnement. Cette partouse éclair m’a laissé un goût d’amertume dans la bouche.

 

Le lendemain, mon Daniel était un peu gêné :

 

– Elle s’est bloquée, elle ne souhaitait pas de pénétration, mais ça va la travailler, il y aura une suite…

 

Ce fut sa seule allusion, il se fit très distant les jours suivants, il ne m’évitait pas, certes non, mais il jouait les débordés, me faisant comprendre que totalement pris par son travail, il n’avait aucun moment pour s’en dégager. Cette situation n’est pas claire et quelque part j’en souffrais. Si j’avais commis chez eux une bourde involontaire, qu’on me le dise, bon dieu, au lieu de me laisser mariner comme ça ! Combien de fois me suis-je passé le film des événements de cette fin d’après-midi ? Non décidément je ne voyais pas ce que j’avais pu faire de travers. J’ai voulu lui demander, j’en attendais l’occasion, elle ne s’est jamais présentée.

 

Et puis le temps a passé, le temps arrange beaucoup de choses. Petit à petit Daniel revint le joyeux compagnon d’avant cette soirée bizarre. Pour ma part je m’efforçais de ne pas trahir le serment prêté à son épouse et n’abordais jamais le sujet. Cela devenait comme si cet acte n’avait finalement jamais existé !

 

Et puis un jour…

 

Je suis dans le bureau de Daniel, nous avons plusieurs petites questions professionnelles à régler et tout cela se passe comme d’habitude très bien. Le téléphone sonne. Il répond ! Je ne me rappelle plus si c’était un emmerdeur ou si c’était tout simplement une affaire compliquée, toujours est-il que ça dure, ça dure ! A ce point que j’entreprends de m’en aller, quitte à revenir un peu plus tard. Mais Daniel me fait signe qu’il en a presque terminé, je reste assis et prend mon mal en patience, la communication continue et soudain on rentre dans le bureau, je me retourne et me retrouve face à face avec Véronique !

 

Je ne sais plus trop ou me foutre, je balbutie un vague bonjour et m’apprête à partir pour de bon :

 

– Bonjour Eric, tu vas bien !

 

Et elle me tend sa joue, on s’embrasse ! Elle m’a appelé par mon prénom, elle me tutoie, elle me fait la bise. Elle n’aurait pas fait cela à quelqu’un qui aurait commis une grosse bêtise ! Du coup me voici rassuré et donc le plus heureux des hommes. Mais bon, je ne vais pas rester là ! Mais j’ai à peine franchi la porte du bureau que Daniel qui a terminé sa communication me rappelle !

 

– Reviens, j’ai fini !

– Non je reviendrais cet après-midi !

– Non, on se débarrasse de ces trucs !

 

Bon, je réintègre son bureau, et tout en jetant un coup d’œil au restant des dossiers que je lui ai présenté, il me dit :

 

– J’avais oublié de te dire que je mange au restau avec Véronique ce midi !

– Tu n’as qu’à descendre avec nous ! Propose alors cette dernière. On te paie l’apéro !

– Non, merci c’est gentil, mais je vais vous laisser en tête-à-tête !

– Tu sais les petites bouffes en tête-à-tête, on connaît, on fait ça tous les soirs ! Si on t’invite ce n’est pas par politesse, c’est de bon cœur !

 

Alors allons-y ! Je remets l’analyse de la situation à plus tard, on boit l’apéro, et puis tant qu’on y est, ils me proposent de partager leur table. Je croyais qu’ils voulaient fêter une occasion. En fait, il ne s’agit pas de ça, Véronique qui travaille dans un tout autre quartier est venu porter des papiers dont son mari avait besoin en urgence pour organiser leurs vacances. La bouffe sur place n’a donc qu’une fonction bassement utilitaire. Le repas se passe très bien, on parle de choses et d’autres, on n’a même pas besoin d’éviter les sujets qui fâchent étant en accord dans beaucoup de domaine. Par contre aucune allusion sexuelle et pour ma part je me garde bien d’en faire. J’ai rarement été aussi sage, même après un apéro et deux verres de côtes du Rhône !

 

On en est au café ! Véronique se racle la gorge comme pour attirer mon attention et me regarde :

 

– Tu sais Daniel me parle souvent de toi !

– Ah ?

– Heureusement que tu es là pour le distraire un peu !

 

Me voici donc réduit au rôle de boute en train attitré du mari ! Pas bien grave !

 

– C’est vrai qu’on s’entend bien !

 

Qu’est-ce que vous voulez que je dise d’autre ?

 

– Dis-moi, Eric, tu es marié ?

 

Pourquoi cette question, avec l’autre qui lui raconte tout, elle doit bien le savoir que je suis marié !

 

– Oui !

– Je peux te poser une question embarrassante !

 

Je ne vais pas dire  » non « , mais je n’en mène pas large, à tous les coups elle va aborder la pipe de l’autre mois !

 

– Oui, bien sûr !

– Si c’est ta femme qui avait fait une fellation à Daniel, tu l’aurais accepté, toi !

 

Putain, la question est encore pire que ce que je craignais. Je n’ai qu’une solution pour m’en sortir : jouer la carte de la franchise

 

– Moi, oui !

– Pourquoi tu dis  » moi  » oui ?

– Parce que c’est mon opinion à moi !

– Et elle !

– Je n’en sais rien, je n’en sais rien du tout, j’ai tendance à dire non, mais je ne suis sûr de rien !

– T’as une photo de ta femme sur toi ?

 

C’est tout oui ? Elle va me foutre la paix cette pétasse ! Je ne suis pas venu bouffer pour subir un interrogatoire ! Je lui présente une photo, je n’en ai qu’une dans mon portefeuille et elle date de plusieurs années.

 

– Elle est mignonne ! C’est quoi son prénom ?

– C’est Karine !

– Elle t’a déjà trompée ?

– Pas que je sache !

– Ça te ferait quoi ?

– Dans une vie de couple, il peut se passer beaucoup de choses, et puis on n’est pas obligé de chercher à tout savoir !

– Tu vois, je t’avais bien dit qu’il avait les idées larges, intervint Daniel !

 

Mais je ne relevais pas cette interruption. J’étais plutôt inquiet de la suite. Parce que maintenant elle va me demander quoi, son numéro de portable ?

 

– Daniel ?

– Oui !

 

Je commence à me sentir pas très bien !

 

– La promesse que tu m’as fait l’autre fois, ça tient toujours, d’accord ? Aucune allusion !

– Ben, oui !

– Donc c’était juste une parenthèse, je voulais savoir, et maintenant on parle d’autre chose.

 

Ouf ! Ça va mieux, on parle effectivement d’autre chose, on se sépare, elle me fait un gros bisou sur la joue. Par contre c’est Daniel qui n’a pas l’air dans son assiette ! Je ne les pensais pas si compliqués ces deux-là !

 

Je me suis remis à bosser depuis un quart d’heure, le téléphone sonne.

 

– Allô, c’est Daniel, tu as cinq minutes ?

– Là, tout de suite ?

– Oui, si tu peux !

 

Je me déplace dans son bureau, je m’installe dans le fauteuil visiteur, il se lève et ferme la porte ! C’est un geste complètement inhabituel et pas vraiment dans la culture de l’entreprise ! Je suis un peu inquiet :

 

– Faut que je t’avoue un truc !

– C’est grave !

– J’espère que non !

– Vas-y !

– L’autre fois je t’ai dit que le truc de ma femme, c’était de faire l’amour avec deux mecs…

– Ça m’embête qu’on parle de ça, j’ai fait une promesse à ta femme !

– Mais je ne te demande pas de m’en parler ! C’est moi qui t’en parle !

– Bon !

– Bon, ben alors, je vais te dire un truc, il y longtemps que je l’avais sur la patate, mais ça n’arrivait pas à sortir, mais avec le numéro de Véro à midi, je ne peux plus garder ça pour moi !

 

Qu’est-ce qu’il va me sortir ?

 

– Je t’écoute !

– Je t’ai baratiné en disant cela ! Ce n’est pas vraiment son truc !

– Pardon ?

– Par contre c’est le mien ! J’ai mis des mois à lui faire accepter, lui demander qu’elle le fasse pour me faire plaisir ! A chaque fois elle refusait, tous les arguments y sont passés, pas les amis, pas les voisins, pas ceci, pas cela. Tu étais le candidat idéal. Elle ne pouvait plus opposer d’argument d’ordre pratique. De ce côté-là c’était gagné, restait l’aspect psychologique, je lui ai fait le grand jeu. Toute la journée j’ai cru qu’elle refuserait, elle a accepté. Je lui ai même raconté que tu n’avais accepté que parce que c’était un fantasme à elle, et elle a bien voulu rentrer dans le jeu.

 

Je regarde Eric, il a presque les larmes aux yeux, ça fait drôle !

 

– Elle s’est lancée dans le truc, j’étais fier de la voir si volontariste, alors elle nous a sucé, elle t’a sucé, et puis pouf, tout cela est retombé comme un soufflé.

– Je sais !

– Non tu ne sais pas, elle t’a jeté, elle ne voulait pas que tu sois là au moment de la crise de larmes

– Mon dieu !

– Et depuis notre couple ne va plus très bien, elle considère que je l’ai arnaqué dans cette affaire !

 

Tout se bouscule dans ma tête, je comprends mieux les choses à présent

 

– Si je peux faire quelque chose pour t’aider ?

 

Je demande ça comme ça par pure politesse, je ne vois pas en quoi je pourrais l’aider !

 

– Ouais peut-être, mais ouvre la porte les gens vont se poser des questions !

– C’est un peu tôt, tu as une drôle de tête, les gens on s’en fout, on dira qu’on était sur un projet confidentiel !

– Tu m’as dit un jour que ta femme avait déjà eu des rapports avec une autre femme ! C’est vrai de vrai cette histoire ?

 

C’est ce qui s’appelle passer du coq à l’âne ! Pourquoi cette question ?

 

– Bien sûr que c’est vrai, mais c’était, il y a longtemps !

– Quoique tu ne peux pas savoir vraiment ?

– Bien sûr que je le sais, j’étais dans la pièce à côté !

– Non, ce n’est pas ça que je veux dire ! Mais tu ne peux pas savoir si elle ne l’a pas fait récemment !

– Je crois qu’elle me l’aurait dit, mais je peux me tromper !

– Et ça lui dirait !

– Je ne pense pas qu’elle cherche. Il faudrait une occasion et puis ça dépend de la fille, je suppose !

 

Je le vois alors farfouiller dans son portefeuille, il en sort une photo que je ne distingue pas et la pose à l’envers sur le bureau :

 

– Samedi, vous êtes libre ?

– Oui, il me semble !

– On vous invite à bouffer, il ne se passera peut-être rien, mais glisse-lui que ma femme ne dirait pas non, et tu lui montreras ça !

 

Il me tend alors la photo, c’est Véronique, une photo récente, une photo de plage, elle sort de l’eau en maillot deux pièces. Pas mal d’ailleurs !

 

– Et tu crois que si ça marche, ça va sauver ton couple ?

– Il ne s’agit pas de le sauver, mais de le recentrer.

– Mais enfin réfléchis, si ta femme est attirée par les femmes, elle n’a sûrement pas attendu que je lui présente la mienne !

 

Je le sens hésiter, il tapote son stylo sur le bureau, nerveusement !

 

– C’est plus compliqué que ça, elle veut que je sois là !

– Elle a le même fantasme que toi alors ! Et ça lui est venu comme ça ?

– Pas du tout, quand je lui parlais de mes fantasmes elle me disait qu’on ferait ça quand on serait plus vieux, aussi bien les miens que les siens.

– Vous n’êtes pas vieux !

– Non, mais j’ai tellement insisté avec mon truc, que j’ai tout fait foirer, elle n’était pas assez préparée. J’ai cru qu’elle m’en voulait de t’avoir baratiné, de te dire que c’était son fantasme à elle…

– Parce que ce n’est pas ça ?

– Ce n’est pas que ça, elle s’est dit que si je n’arrivais pas à l’aider à concrétiser ses propres fantasmes, il lui serait difficile de concrétiser les miens !

– Alors ?

– Alors on a parlé ! Si son truc réussit, elle sera dans une tout autre disposition d’esprit pour réaliser les miens. En fait, il faut que nous mélangions nos fantasmes.

– Bon, et tu crois que je vais convaincre ma femme, comme ça.  » Viens chéri, le couple de mon collègue ne va pas bien, mais sa femme aime les femmes et d’ailleurs voici sa photo, on va essayer de les aider et toi tu t’arranges pour coucher avec elle  » Mais ça n’a aucun sens !

– Si ! Parce que je te demande bien plus, on ne va pas faire ça la première soirée, il faut que nous devenions un couple d’amis, je crois que nous avons tant de choses à partager. On se recevra plusieurs fois, et le déclic se fera un jour !

– Bon, alors, vu comme cela ; c’est d’accord !

– Je le savais bien !

– Qu’est-ce tu veux, j’ai les idées larges !

 

Me restait à convaincre mon épouse. Karine est plutôt grande, brune les cheveux mi-longs, la peau assez pâle et le visage très doux, elle travaille dans une pharmacie. Je ne me plains pas de ma vie de couple, ça pourrait être mieux, ça pourrait être pire. Sexuellement nous nous sommes installés dans une certaine routine, mais il nous arrive encore d’avoir nos heures de pures folies.

 

– J’espère qu’elle est sympa sa femme parce que je connais le truc, au bout d’une demi-heure vous aller parler boulot et je vais être complètement largué !

– Elle est sympa, et il paraît qu’elle aime les femmes !

– Comment tu le sais ?

– C’est Daniel qui me l’a dit !

– Il espère peut-être que ça se finisse en partouse ?

– Mais, non on vous regardera, c’est tout ! Répondis-je en plaisantant.

– Elle est comment physiquement ! Demande-t-elle brusquement

 

Non, ce n’est pas vrai, elle ne mord pas déjà à l’hameçon ! Je lui tends la photo !

 

– Il t’a donné une photo en plus ?

– Non, il me l’a prêté !

– Hummm, pas mal !

– Tu vois !

– Et sa peau elle est comment ?

– Oh ! Super douce !

 

W?h ! La gaffe ! La super gaffe ! Comment rattraper ça ?

 

– Et comment tu le sais ? Tu m’explique ?

– Ben ça se voit quand je l’embrasse !

– Ah ! Tu l’as embrassé ?

– Oui sur les joues et en présence de Daniel ! Qu’est-ce que tu vas imaginer ?

– Je n’imagine rien ! Répond-elle avec un sourire malicieux !

 

Ouf !

 

Le samedi suivant, le matin, chez nous.

 

– Pff, quelle journée, dès que ça se refroidit un peu, ils sont tous malades ! On est toujours invité chez ton copain ?

– Oui, bien sûr pourquoi cette question ?

– Je voulais passer au magasin de lingerie m’acheter un porte-jarretelles et des bas, je n’ai même pas eu le temps de m’absenter une demi-heure ! Je n’ai plus rien à me foutre !

– Tu n’exagère pas un petit peu, on ne peut même plus fermer l’armoire !

– Bon je vais prendre une douche, tu es prêt toi ?

– Ouais, je n’ai plus que les godasses à mettre !

 

Un porte-jarretelles ? Et puis quoi encore ? Elle croit que c’est arrivé, elle a dû se faire son cinéma dans sa tête ! Ça n’a aucun sens de sauter sur l’occasion comme ça ! Qu’est-ce qu’il lui prend ?

 

– Je me mets un soutien-gorge ou pas ?

– Ben, bien sûr que tu en mets un, quelle question ?

– C’est parce que je n’ai pas de string, alors sous mon pantalon, on va voir le slip, donc je ne vais pas mettre de culotte, alors je me demandais si c’était raisonnable de ne pas mettre de culotte et de mettre un soutien-gorge quand même !

 

Elle pète les plombs, ce n’est pas possible, la douche aurait dû pourtant la calmer !

 

– Tu ne vas pas te balader sans culotte ?

– Et pourquoi pas ? D’abord ? Vous êtes bien les bonhommes. Tu m’envoi sans complexe me faire gouiner par une nana que je ne connais même pas, et il faudrait que le port de la culotte soit obligatoire !

– Je ne t’envoie pas te gouiner, je t’ai juste dit qu’elle aimait les femmes. Ce n’est pas pour ça qu’elle les saute toutes !

– Arrête ! Ton copain avait bien un message à faire passer, non ? Sinon tu ne serais pas baladé avec la photo de sa femme à moitié à poil !

– Je me demande si je ne vais pas trouver un prétexte pour qu’on reste là, tu m’as l’air dans un drôle d’état !

– Ah ! Non alors ! Je me suis tâté toute la semaine pour savoir si j’irais, maintenant je suis hyper décidée, on y va ! Bon, je vais me mettre quelque chose de plus discret.

 

Plus discret c’est une façon de parler, elle s’est dégoté un vieil ensemble pantalon et mini veste vert amande. Mais alors en dessous ! Elle s’est revêtue un chemisier en voile noir quasiment transparent, le genre de truc spécial réveillon du Jour de l’An ! Le soutien-gorge en dessous est lui aussi très suggestif et pas vraiment opaque. C’est bien simple on lui voit presque les tétons !

 

– Karine, on est invité à un dîner, pas à une partouse !

– T’inquiètes pas j’ai pris un petit gilet blanc dans mon sac, si l’ambiance ne s’y prête pas je me couvrirais. D’accord mon gros biquet ?

 

Et une heure plus tard, nous sonnions à la porte de Véronique et Daniel. On avait apporté des fleurs pour madame et une bonne bouteille pour la table. Tout le monde s’embrasse comme des vieux amis (sauf les hommes). On visite les lieux, les femmes s’assoient dans le canapé, l’une à côté de l’autre. Elle a l’air maline Karine avec ses petits dessous affriolants, Véronique n’a fait aucun frais en ce sens et nous reçoit en jean et pull-over rose ! L’apéritif est prêt à être servi. Je reconnais alors la grosse tache noire sur la bouteille de Martini. Depuis mon passage, la bouteille n’a pas descendu d’un niveau. Ces gens-là ne boivent donc pas et ne reçoivent donc personne !!!! Ou alors ils n’aiment tout simplement pas le Martini, et leurs amis non plus !

 

– On a prévu une fondue ! Ça vous va ? Nous demande Véronique.

 

On approuve ! Je n’y ai pas fait attention tout de suite, mais la fondue comme plat de réjouissance quand vous envisagez de faire des galipettes, c’est super. Personne mobilisé en cuisine, rien à surveiller, pas de  » passons à table, ça va être trop cuit  » Vive la fondue et la liberté !

 

La conversation va bon train, ça rigole dur, l’ambiance est chaleureuse, et puis tout d’un coup je décroche, je me dis que quelque chose ne va pas ! Pourquoi Daniel m’a parlé d’une approche sur plusieurs rencontres, une progression à petit pas feutré, alors que toutes les conditions sont réunies pour que cela se fasse tout de suite ! Pourquoi ce nouveau mensonge ! Qu’est-ce que ça lui apportait de plus à le faire ! J’avoue ne pas comprendre. L’ambiance est de plus en plus chaude. Véronique et Karine se regardent comme si elles allaient se sauter dessus d’un instant à l’autre. Je ne sais pas qui va déclencher les grandes manœuvres, mais croire qu’elles ne vont pas avoir lieu ce soir, c’est se foutre du monde !

 

– Eric !

– Oui !

– T’es parti où ?

– Je suis là ! Je suis là ! Je pensais à des conneries, excusez-moi !

 

Karine et Véronique n’en peuvent plus, elles se matent avec des grands yeux pleins d’envies. Dans une minute elles vont se rouler un patin ! Je fais quoi, je lance le compte à rebours ! Daniel a rapproché son fauteuil, il est maintenant collé au mien ! C’est nouveau ce truc ? Il souhaite peut-être que je le réconforte quand ces dames auront décidé de passer enfin aux choses concrètes. Il raconte je ne sais pas quoi, Daniel, mais il me fait rire, il fait des grands gestes, il parle avec les mains, il me met la main sur le genou, la retire, la remet, la retire, la remet et finit par la laisser ! Il fait quoi ? Il a besoin de tendresse, ou c’est l’alcool ? C’est vrai qu’ils n’ont pas l’air d’avoir l’habitude de picoler. S’il devient collant, je ne sais pas trop comment je vais faire. Je jette un coup d’œil aux nanas. Tiens, en parlant de genoux, ça y est Véro a laissé sa main sur la cuisse de ma tendre épouse. Ça m’excite de les regarder ! Alors ça y est ? Je me mets à compter tout fort :

 

– 10, 9, 8, 7 !

– Ben Eric, ça ne va pas ?

– Ça doit être le Martini !

– C’était le compte à rebours pour quoi ?

– Moi je sais ! Dit soudain Karine.

– Ah oui c’est quoi ?

– Continue à compter, Eric

– 6, 5, 4

 

Le visage de Karine se rapproche de celui de Véronique

 

– 3, 2

 

Véronique à compris l’appel et rapproche à son tour son visage !

 

– 1

 

Leurs bouches sont à quelques millimètres l’une de l’autre, Véronique ouvre les lèvres

 

– Zéro !

 

Leurs bouches se collent ! Que c’est beau ! J’en ai la bite toute raide ! Elles n’arrêtent pas ! C’est un baiser passionné, fougueux, diabolique. Un moment, elles se séparent pour reprendre leurs souffles, elles bavent sur leur menton tellement elles salivent. Deuxième contact, mais cette fois Karine qui est plus lourde s’est plus avancé que Véronique, résultat cette dernière bascule sur le dos sur le canapé. Qu’importe ma femme ne décolle pas et l’accompagne dans sa chute ! Elles sont maintenant l’une sur l’autre. Elles vont, si ça continue, s’envoyer en l’air, là tout de suite. Je suis excité comme un pou, pourtant un bref instant les paroles de Daniel me reviennent en mémoire « il faudra plusieurs invitations…  » Tu parles ! Mais on réfléchira à tout cela plus tard. J’ai une folle envie de participer, mais je sais que ce ne serait pas raisonnable, ça ne fait pas partie du plan, et sans doute cela pourrait gêner ces dames. La soirée ne fait que commencer.

 

– Putain, que ça m’excite ! Me dit Daniel !

 

Mais il est tout blanc, Daniel, l’émotion sans doute ! Karine est maintenant en train de fouiller sous le pull-over de sa toute nouvelle copine et lui pelote les seins, tandis que Véro lui tripote les fesses par-dessus le pantalon. Ça chauffe mes amis, ça chauffe ! J’aperçois alors Véro disant quelque chose d’incompréhensible à mon épouse. Alors elles se lèvent :

 

– On revient, ne bougez pas !

 

Elles disparaissent. Vers la salle de bain, je crois !

 

Je me tourne vers Daniel, interrogateur, mais je n’ai pas trop le courage à insister, il est vraiment très blanc.

 

– Ça ne va pas ?

– Si, j’ai un peu chaud, mais ça m’arrive de temps en temps, ça va passer ! Elles sont chouettes, hein ?

– Oui, mais tu sais où elles sont parties, toi ?

– Non, mais elles vont revenir ! Euh Eric ?

– Oui !

– Tu bandes ?

– Tu m’étonnes !

– Moi aussi ! Tu veux voir ?

– Non, merci je te fais confiance !

– Tu ne devrais pas, je t’ai déjà menti une fois !

– Allons, allons, si tu me resservais un petit coup à boire ! Proposais-je pour faire diversion !

 

Mais voici nos gouinettes sauvages qui rappliquent :

 

– Ben les mecs, vous en tirez une tronche, regardez comme on est heureuses d’être ensemble nous !

 

Je ne sais pas ce qu’elles se sont faites dans la salle de bain, mais je constate que Karine n’a plus de soutien-gorge et que son corsage mal reboutonné ne cache plus grand chose. Voilà qui réveille un peu la mélancolie de Daniel qui du coup n’en perd pas une miette.

 

– On vous propose un jeu ! Dit soudain Véronique ! On est très joueuses ce soir.

 

Un jeu, pour quoi faire ? Est-il vraiment utile de se laisser embarquer dans un strip-poker ou dans un trivial-poursuite version porno ?

 

– On vous fait un petit spectacle toutes les deux, on en profite et vous en profitez, mais on aimerait bien aussi notre petit spectacle !

 

Je m’attends au pire ! J’espère que je ne vais pas être obligé de faire un strip-tease, j’ai horreur des chippendales et de l’esprit que ça trimbale ! Mais non ce n’était pas ça, c’était pire !

 

– On voudrait que vous vous pelotiez tous les deux ! dit Véronique en me regardant et en détachant bien les mots

 

– Quoi ? m’écriais-je.

– Oui, moi aussi j’aimerais bien voir ça ! Intervient, Karine mon épouse.

– Ben c’est que ça ne me dit pas grand-chose ! Répondis-je du tac au tac !

– Et toi Daniel ? Reprend Véronique.

– Oh, moi j’ai les idées larges ! Dit alors ce dernier très calmement et en me regardant !

 

Du coup c’est moi qui suis tout blanc ! Un complot ! C’est cela un complot ! Je n’en comprends pas encore toutes les ficèles ! Et que faire, ma femme qui s’est laissé embarquée là-dedans comme une sole dans un filet de pêcheur !

 

– J’ai le droit de ne pas vouloir ! Parvins-je à articuler.

– Eric, ne soit pas rabat joie !

 

Ça y est Karine qui en remet une louche !

 

– Viens dans la chambre, ils changeront peut-être d’avis ! Dit alors Véro y entraînant mon épouse.

 

Elles disparaissent !

 

– C’était combiné d’avance !

– Non, ce n’était qu’une éventualité parmi d’autres !

– Tu aurais pu m’en parler !

– Et tu serais venu ?

– Je ne sais pas !

– Eric, tu m’as toujours dit que tu avais les idées larges…

 

Je deviens tout blanc, je balbutie

 

– Ce n’est pas pour ça !

– Ecoute-moi, Eric, laisse-toi aller, combien de fois tu m’as dit que tu n’étais pas indifférent à la vue d’une belle queue, combien de fois tu m’as dit que les hommes ne t’attiraient pas mais que si un jour tu avais l’occasion… Tu veux que je continue ? Ou alors c’était des paroles en l’air, je ne peux pas croire ça de toi ?

– Je ne sais plus où j’en suis Daniel, comprend-moi !

– Tu as peur de quoi ? Peur que ta femme te voie en train de faire ça, mais bon dieu c’est aussi elle qui te le demande !

 

Je pousse un profond soupir !

 

– Daniel ? Est-ce que je suis obligé ?

– Bien sûr que non !

– Si je le fais, je le fais librement, on est bien d’accord ?

– On n’est jamais complètement libre, ce sont quelquefois les circonstances qui nous amènent à faire des trucs. Parfois elles nous forcent, parfois elles nous aident !

– Joli !

– C’est pas de moi !

– Daniel !

– Oui ?

– Ok, on va le faire !

– Super, j’appelle les filles

– Attends, on va répéter un peu !

 

Ma décision est prise, il ne faut pas maintenant que je me trouve dans des conditions qui me ferait le regretter. Je retire mes pompes à toute vitesse, je quitte le pantalon et le slip. Ma quéquette a repris un aspect super ramollie.

 

– Ben voilà ! Me dit Daniel ! Attend, je vais la branlotter un petit peu !

 

Je me laisse faire, je me fais masturber par mon collègue, je retire tout le haut. Daniel me pelote le cul de sa main resté libre !

 

– Bon dieu, si tu savais ce que j’ai pu fantasmer sur ce petit cul ?

– Hein ?

– Je t’expliquerais, ben tu rebandes joliment maintenant ! Je peux sucer ?

– Si tu te mettais à poil avant, non ?

 

Il approuve, se déshabille à son tour, le fait de me tripoter la déjà fait rebander. L’animal à une jolie bite, me revoici enfin devant quelque chose qui m’excite, je m’en empare. Il y a si longtemps que les seules bites avec lesquelles je jouais n’étaient que celles de mes fantasmes. Ma dernière fellation active doit dater du collège. Il veut me sucer, je veux le sucer, on se cogne, on se marre.

 

– Si on veut le faire ensemble, il faut se mettre en soixante-neuf !

– Ok ! Mais juste un peu, après on va prévenir les filles ! Ça leur fera tellement plaisir !

 

Il y a encore quelque chose de pas clair dans cette salade, mais il ne faut pas que j’y pense pour l’instant sinon je vais débander. Après tout, pour l’instant j’ai une bonne queue dans la bouche, et ça me plait super. Qu’est-ce que ce contact peut être doux et chaud ! J’espère simplement que le zigoto n’est pas un éjaculateur précoce et qu’il ne va pas me lâcher tout cela en quelques dixièmes de secondes. Non, ça a l’air de bien se passer. Son gland se sale, mais juste de quelques gouttes de préjouissance. Quant à ma propre queue elle est en bonnes mains ou plutôt en bonne bouche, Où ce mec a-t-il appris à sucer ? Bien qu’il paraisse que les hommes le savent d’instinct ! On s’est placé légèrement sur le côté, c’est plus pratique que le sens dessus dessous, et cela lui permet de me peloter les fesses en même temps. Ses doigts s’approchent dangereusement de mon petit trou. Ah mais ! Il n’est pas bien, celui-là ! Je me relève d’un bond !

 

– Bon, on va chercher les filles !

 

Je me rends compte qu’une fois de plus que je suis en train de refouler mes pulsions, je n’avais qu’à le laisser faire, ça aussi ça fait partie du jeu.

 

On part à poil frapper à la porte de la chambre !

 

– Vous venez, on est prêt pour le spectacle !

 

Pas de réponse ! Mais on entend des gémissements caractéristiques. Daniel ouvre la porte avec de multiples précautions.

 

Quel spectacle magnifique ! Les deux femmes sont enlacées comme des furies en position de soixante-neuf, elles aussi ! La sueur fait briller leurs peaux, et leurs corps ondulent, trémoussent, gigotent de partout. Que c’est beau de voir ces cuisses, ces fesses remuer ainsi de plaisir. C’est Karine qui est en dessous, je l’entends râler de plaisir. Il y avait longtemps qu’elle n’avait pas poussé un pareil cri ! Je vais craquer, ma bite est en état de bandaison maximum, si personne ne s’occupe de moi, je vais me faire une branlette. Et c’est au tour de Karine de gueuler sa jouissance, les deux femmes s’embrassent. Est-il nécessaire vraiment de les déranger ? Daniel l’a compris et m’attrape le sexe et le masturbe doucement, je lui rends la politesse, et nous voici à nous branler mutuellement en attendant que ces dames veuillent bien se remettre de leurs légitimes émotions.

 

– Ah ben vous êtes là les mecs ! Intervient soudain Véronique se rendant enfin compte de notre présence. On avait tellement envie l’une de l’autre qu’on s’est fait jouir comme des fusées ! Alors, vous allez nous montrer ce que vous savez faire ?

 

Daniel opine légèrement du chef

 

– On va leur laisser un peu le plumard ! Propose Karine !

 

Ben, voyons, nous voici réduit au rôle d’amuseurs sexuels.  » Mesdames, Daniel et Eric, vont avoir le plaisir de se sucer devant vous et peut-être même qu’ils vont s’enculer ! Quel suspense !  » Ce n’était vraiment pas prévu dans le programme, cette affaire-là et puis ce quelque chose qui me chiffonne et qui me trotte dans la tête. Mais c’est vrai qu’elle est mignonne cette bibite, la revoici dans ma bouche, tandis que la mienne retrouve le palais de Daniel. On se suce à qui mieux mieux. Ces dames se sont assises sur la moquette, elles se caressent mutuellement avec une infinie tendresse et se permettent de faire des commentaires.

 

– Ça fait drôle de voir mon mari se faire sucer ! Dira Karine. Pas toi ?

– Moi, le mien il l’a déjà fait, mais c’est toujours excitant à regarder !

 

Oh ! Oh ! La réflexion qui ne tombe pas dans l’oreille d’un sourd ! Ah, tu m’avais caché ça le Daniel, tu vas voir tout à l’heure ! Mais tout à l’heure, car pour l’instant je me régale avec ta bite !

 

C’est que cette situation m’excitait comme un dingue, mais sans doute pas autant que le Daniel, qui est à présent déchaîné et qui apparemment se retrouve à fond dans son trip, tout en me suçant, il me tripote de partout, me caresse avec une tendresse que je n’aurais pas imaginée et que je ne sais comment lui rendre. Je suis à l’évidence beaucoup moins bisexuel que ce petit cachottier !

 

Il m’attrape le bout des seins et commence à les tortiller. J’aime ça, mais saurât-il faire ? La réponse est immédiate, il sait faire, il sait très bien faire. Mon excitation est à son comble ! Je me surprends à lui demander :

 

– Plus fort, plus fort !

 

Se sentant encouragé, il y va de toutes ses forces, il me fait un peu mal, mais l’excitation ressentie surmonte la douleur. Je n’essaie plus de contrôler mon plaisir. A ce rythme-là, je vais éjaculer dans les secondes qui vont venir. C’est à ce moment-là que cet idiot, se retourne tel un lézard, approche son visage du mien ! Ce n’est pas vrai qu’il veut me rouler un patin ! Ben, si c’est vrai ! Faut peut-être pas exagérer, ce n’est pas parce qu’on s’est sucé la bite que j’ai changé de…

 

Glups !

 

Je ne sais pas comment il a fait, mais j’ai sa langue, dans ma bouche et je me surprends à répondre à cette caresse. Finalement ça n’a rien de désagréable. Daniel ne fume pas, il a l’haleine fraîche. Du coin de l’œil je m’aperçois que les deux nanas se sont approchées ! Chic, on va vers une mêlée générale ! Et bien non ! Elles ont simplement changé d’angle de vision.

 

Daniel a repris ses caresses, il laisse ma queue tranquille pour l’instant, et semble à présent faire une fixation sur mes fesses. Et que je te les pelote, et que je te les caresse, et que je te les malaxe… et que je te les écarte… Les écarte ! Mon dieu ! Ses doigts s’approchent dangereusement de mon anus ! Ça va, j’ai compris le message ! Je fais le geste de me retourner, pour lui empêcher l’accès de ces régions de mon anatomie.

 

– Laisse-toi faire ! Il te fera pas mal !

 

C’est Véronique ! De quoi elle se mêle d’abord ? Mais surpris par son intervention, je me laisse faire, un doigt me pénètre maintenant le fondement ! La caresse en elle-même ne me déplait pas, il nous arrive de la pratiquer dans notre couple. J’ai même un jour acheté un gode dont nous nous sommes servis mutuellement, avant de l’oublier dans le fond du tiroir d’une de nos tables de chevet. C’est le fait de me le faire faire par un homme qui me gêne quand même un peu, sans que je puisse vraiment dire pourquoi, et puis j’appréhende la suite. Et pourquoi je l’appréhende ? Il n’a pas de tabou, le Daniel, pourquoi j’en aurais, et les femmes qui se régalent ! Est-ce que je vais passer pour le plus timoré de cet étrange quatuor ? Alors je ne sais pas ce qu’il m’a pris, par bravade, par provocation, je dis à mon collègue dans un souffle :

 

– Encule-moi !

– J’y comptais bien !

 

Le voici soulagé des mouvements d’approche, déjà son sexe se revêt d’un préservatif, je tends mon cul, je m’ouvre, j’attends, ça veut rentrer, ça a du mal, ça ne rentre pas, deuxième essai, deuxième échec, Daniel rigole, change de position et viens m’humecter la rosace. Hum… cette caresse humide est bien excitante, apaisante et excitante à la fois en fait. Et puis troisième tentative, ça va rentrer, ça rentre, ça rentre mieux, c’est rentré !

 

Et ça c’est vraiment une première !

 

Je sens le sexe dur de Daniel me pilonner le fondement ! Curieuse impression, physiquement c’est loin d’être désagréable, quoiqu’une certaine gêne quand même, et pour le reste je n’y pense pas trop, l’excitation en matière de sexe aide souvent à franchir des pas que l’on ne pensait jamais franchir un jour ! Ça ne dure pas bien longtemps, il jouit en s’affalant sur moi. Je m’attrape mon sexe, commence à me masturber, mais Daniel vient m’offrir sa bouche, je ne la refuse pas, mais lui éjacule dans le palais au premier coup de langue. Il a l’air ravi, moi je suis crevé,

 

Un coup d’œil vers mon épouse, elle est tout sourire, je me lève !

 

– Alors c’était bien ? Demande-t-elle histoire de dire quelque chose.

– Pas mal !

 

Elle me fait un petit bisou, ce n’est pas le grand baiser passionné, mais elle est contente. Véronique s’est placée derrière elle, et n’arrête pas de la peloter, elle lui pince les deux tétons, mon épouse se pâme, soulève son cou l’offrant aux lèvres de sa partenaire qui la lèche. Karine se cambre, légèrement de trop, elle perd l’équilibre. Véronique se recule, Karine se retrouve par terre, entraînant dans sa chute sa partenaire qui essaie de la retenir. Les voici toutes les deux les quatre fers en l’air en train de rigoler.

 

– Tu ne t’es pas fait mal au moins, minaude Véronique !

– Non, mais qu’est-ce que tu veux la situation était renversante.

 

Et puis les revoilà qui se bécotent, tout en se caressant. J’hésite à rentrer dans leurs jeux coquins, mais me dit que finalement elles n’ont pas besoin de moi. Daniel est resté couché sur le lit, il s’est mis sur le ventre et regarde le spectacle d’un air béat ! Alors je fais comme lui, je regarde, et je ne regrette pas parce que le spectacle devient exceptionnel, époustouflant.

 

Elles ne l’ont pas fait exprès, mais pour la 3ème fois de la soirée, les filles se sont remises en soixante-neuf, Karine est à plat ventre, chevauchée par Véronique, et d’où nous sommes Daniel et moi, nous avons pleine vue sur les belles fesses de Véronique. Les mains de Karine les écartent alors, son visage se soulève un petit peu, sa langue cherche à atteindre son petit trou, puis furète à son entrée ! C’est tout simplement magnifique. Et voilà que je rebande. Ce cycle infernal va s’arrêter quand ?

 

bise36dDaniel s’est aperçu de mon état et me caresse la verge négligemment, on ne peut pas dire qu’il la masturbe, non, il la caresse, mais c’est bougrement agréable, du coup je me sens obligé de lui rendre la politesse.

 

 

En face Véronique mouille comme une fontaine, ses sécrétions intimes mélangées à la salive de mon épouse finissent par faire briller le modelé des fesses de notre hôtesse. J’en ai mal à la queue tellement je bande. Ce charmant orifice à moins d’un mètre de moi, et tout ce que je sais faire c’est de la masturbation réciproque avec le mari ! Mais, enfin je sais me tenir, je n’ai pas été invité.

Karine est redescendue sur la chatte de l’autre femme. On ne voit plus bien ce qui se passe. Mais ça devient très sonore, leur affaire, les cris et les soupirs emplissent la pièce, s’accélèrent, s’amplifient. Elles jouissent pratiquement en même temps, s’affalent l’une sur l’autre, s’embrassent encore, se détachent enfin.

 

– Et ben dis donc ! Dit soudain ma femme devenue soudain philosophe.

– Tu l’as dit ! Répond Véronique, qui le devient à son tour.

 

Elle jette alors un regard amusé à nos membres virils.

 

– Je m’occupe d’Eric et tu t’occupes de Daniel ? Propose Véronique à mon épouse !

 

Enfin ! Mais pourvu qu’elle soit d’accord ! Elle doit l’être puisque cette dernière sans répondre se dirige carrément vers Daniel et après avoir joué quelques instants avec sa quéquette, se la met dans la bouche ! ça me gêne un peu, ce n’est pas mon fantasme, voir pour la première fois son épouse avec un autre mec, ça fait quand même drôle, mais je sais aussi que j’aurais ma contrepartie.

 

– Mais c’est que c’est plein de sperme cette affaire, là, tu aurais pu aller te laver, gros cochon !

– Ce n’est pas un problème, je vais me faire une rincette, propose Daniel ne sachant pas très bien si cette réflexion procède du lard ou du… cochon

– Mais non, je plaisante, j’adore nettoyer !

 

Elle ne bluffe pas, je sais que c’est vrai ! J’attends, j’attends patiemment que Véronique ait fini de mater, et quelle mette la proposition qu’elle a elle-même formulée en application. Elle s’avance centimètre par centimètres telle une panthère qui va se jeter sur un zèbre !

 

Justement je dois être un drôle de zèbre en ce moment !

 

Elle rayonne de sensualité, j’aime ses cuisses, son ventre, ses hanches, sa petite chatte, elle s’approche, elle me sourit, elle se penche, je crois à ce moment-là qu’elle va se jeter sur ma bite, non elle s’arrête à la hauteur de mon visage. Alors, ce sera un petit bisou ou un gros ? Et bien ce n’est rien de tout cela, elle approche ses lèvres de mon oreille et me chuchote :

 

– Je savais bien que je la ressucerais un jour !

 

Elle bluffe, bien sûr, c’est si facile de dire ce genre de chose après ! Mais ça me fait plaisir quand même. Elle s’approche de mon gland ouvre la bouche et commence à la faire coulisser dans son palais. J’aimerais en profiter mieux, j’aimerais lui faire l’amour, mais je me dis qu’après tout, la soirée n’est pas finie, je me laisse faire, me contentant de lui caresser la peau des bras, sa peau si douce. A côté, ils ont déjà terminé, je les vois se lever et je crois comprendre qu’ils vont se rincer dans la salle de bain. Je n’aime pas les voir partir toutes les deux, bizarre, les réactions, non ? Je me relâche un petit peu, j’ai un peu mal au sexe avec toutes ces émotions, je demande à Véronique de me pincer le bout des seins, elle le fait, je rebande correctement, je vais partir, je pars, elle récupère tout dans sa bouche et comme la première fois recrache tout dans un kleenex.

 

Il y a une suite ? Non ! Je vais pouvoir souffler un peu ! Véronique me gratifie d’un magnifique sourire :

 

– Viens, on va se rincer !

 

Je la suis dans la salle de bain, Karine et Daniel s’apprêtent à en sortir

 

– Vous pouvez vous occuper de mettre la table, j’ai une de ces faims ! Leur commande Véronique. Ne vous rhabillez pas complètement on va faire une fondue topless !

 

L’idée n’a pas l’air de séduire particulièrement Karine, mais elle ne réplique pas

 

– J’ai une de ces envies de pisser, me précise Véronique !

– Humm ! Je peux regarder !

– Bien sûr gros cochon, j’attendais ta proposition. Daniel m’a dit que tu lui avais dit que tu aimais ça !

 

Elle se met debout dans la baignoire, se concentre quelques instants, puis le jet doré se précipite, c’est trop tentant, j’y mets les mains, me lèche les doigts.

 

– Qu’est-ce que tu fais ?

– Ben tu vois, je goutte !

– Tu ne crois pas que ce serait meilleur à la source ?

– C’est vrai je peux ?

– Puisque je te dis !

 

Elle se retient quelques instants, je me place sous son sexe, ouvre la bouche, et ça repart, j’en reçois un vrai déluge, ne pouvant absorber cette incroyable quantité. Elle rigole, elle s’esclaffe, elle n’en peut plus !

 

– T’es vraiment un gros cochon !

– Ben oui !

– Et tu rebande encore ?

– C’est de ta faute !

– C’est con que tu rebande, parce qu’on aurait bien inversé les rôles !

– Je vais me débrouiller !

– Non, pas tout tout de suite, gardons en pour tout à l’heure ! Allez, on se dépêche de se doucher !

 

J’allais dire, elle est frustrante, mais avec tout ce qu’elle m’a donné, ce qu’ils m’ont donné, je serais vraiment le roi des ingrats de venir me plaindre, je m’amuse quand même par taquinerie à lui arroser les jambes, mais elle fait comme si de rien n’était, je n’insiste pas.

 

On se sèche, on rejoint la salle à manger ou la table est dressée, Daniel est resté à poil, Karine a juste remis sa culotte.

 

– La viande est coupée ? Demande Véronique

– Ben, je suppose, j’ai demandé de la viande à fondue, le boucher a dû la couper ! Répond Daniel.

– Va vérifier ! De toute façon, les autres viandes, elles ne sont pas coupées. Vous vous en occupez les mecs ?

 

Quelles autres viandes ? J’apprends alors qu’il s’agit d’une fondue aux quatre viandes rouges, bœuf, cheval, autruche, et magret de canard ! Ils n’ont pas hésité ! C’est la fête ! Mais voilà qui tombe bien, car je me retrouve enfin en tête à tête avec Daniel !

 

– Je te dois une explication, me dit Daniel, en préalable.

– Oh ! Tu n’es pas obligé, tout se passe très bien de toute façon ! Répondis-je.

 

N’empêche que j’avais envie de savoir quand même

 

– Tu ne veux pas que je te dise alors ?

– Si ! Si !

– Quand nous étions à Bordeaux, nous fréquentions un autre couple. On se voyait en gros une fois par mois et on se mélangeait complètement. Des gens super sympas, bonne mentalité, et tout et tout ! Quand on est arrivé à Paris, on s’est aperçu que ça nous manquait. On a fait les clubs échangistes, mais bof, les annonces mais bof… Et puis j’ai appris à te connaître !

– Pardon ?

– J’ai compris que tu avais des idées libérées sur le sexe, mais je ne savais pas comment aborder le problème, le monde du travail est très bizarre, je me méfie toujours, comme on dit, les amis d’aujourd’hui sont parfois les ennemis de demain. Je ne voulais me retrouver avec une réputation déformée. Alors avec Véronique on a imaginé un scénario, je te faisais croire qu’elle avait le fantasme du troisième homme, tu venais à la maison et d’approche en approche on finissait dans l’ambiance à faire des trucs bisexuels. Le truc aurait été à la fin de te dire :  » La prochaine fois, il faudra venir avec ta femme. » Le plan avait l’air bon, si quelque chose ne marchait pas je devais faire un signe à Véronique et on arrêtait l’affaire !

– Alors !

– Ben c’est ce qui s’est passé, tu n’y étais pour rien, c’est moi qui me suis dégonflé, j’ai imaginé que tu refuserais d’aller plus loin, et qu’un jour ou l’autre tu parlerais, que tu dirais  » Daniel il est à voile et à vapeur « . J’avais été sous tension toute la journée, j’étais remonté à bloc et au dernier moment, pfutt ! Le syndrome de la baudruche quoi !

– Je vois !

– Alors je t’ai évité pendant quelque temps, et puis le naturel a repris le dessus ! Nous, on ne trouvait toujours personne, c’est vrai qu’on ne cherchait pas beaucoup non plus, alors ma femme un jour que l’on parlait de toi, m’as dit « mets-le au pied du mur ! » On a parlé de la façon dont on pourrait faire ça, et elle a voulu te parler, de connaître un tout petit peu plus afin de se faire un avis, voir comment tu réagissais par rapport à ton couple. Après le restaurant, elle m’a dit vas-y c’est tout bon !

– Mais la tronche que tu tirais !

– J’adore jouer la comédie Je mettais tous les atouts pour que la soirée se fasse et qu’elle soit orientée ! Le seul bluff, c’est que notre couple n’était pas à sauver !

– … et c’est comme ça qu’in jour j’ai fini par me faire enculer !

– Tu le regrette ?

– Non !

– Alors tout est parfait, on file à table, moi aussi j’ai la dalle !

– Mais la viande à découper ?

– T’inquiète pas c’est déjà fait, mais fallait bien qu’on cause !

– Ah ! ouais ? Et tu veux vraiment savoir dans quel état d’esprit je suis en ce moment, Daniel ?

– Hum, non, mais je crois que tu vas me sortir quelque chose de coquin, tu as de ces yeux !

– Bouge pas !

 

Je me plaçais alors en face de lui, me baissais à hauteur de son pubis et lui absorbais sa verge, l’enroulant et la cajolant de ma langue

 

– Alors vous venez les mecs ?

– Deux secondes ! On s’occupe des saucisses !

– Oh !

 

FIN

 

© Edvard Stokien – Paris 11/2001

 

Première publication sur Vassilia, le 25/11/2001

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eddy
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Mercredi 28 juillet 2021 3 28 /07 /Juil /2021 15:43

Fathia de surprise en surprises 2 - Les trans s'en mêlent par Eddy

Bombe

 

C'est à cet instant que le téléphone sonna !

 

Hector à l'air dépité !

 

- Oh ! J'avais complètement oublié ! Oui, bon, on arrive dans une demi-heure ! Non on n'est pas au magasin ! Il fallait qu'on passe à la maison ! Des problèmes personnels ! Oui, oui, dans une demi-heure, attendez-nous, on arrive !

 

Il raccroche, apostrophe Gisèle, il est question de la signature de je ne sais quel avenant à je ne sais quel contrat. Si j'ai bien compris quelqu'un devait passer au magasin recueillir un document et s'est cassé le nez ! 

 

- Bon on s'excuse ! Dira Hector, Gisèle et moi avons un petit contretemps, c'est bête parce qu'on s'amusait bien. Ce que je vous propose, c'est d'aller bouffer, et après vous allez tous les trois au magasin pour avancer un peu, et on se retrouve tous en début de soirée.

 

Après-midi, restaurant et taxi

 

C'est peut-être le moment de lui dire que je n'ai rien à voir avec le rangement de son magasin, mais nos deux tourtereaux semblent hyper pressés et je n'ai pas le temps d'en placer une. Tout le monde se rhabille. Avec tout cela je n'ai pas joui et j'hésite sur la conduite à tenir.

 

On prend le métro avec Fathia et Denis, direction le centre commercial. Je n'ai vraiment pas trop envie de me farcir le rangement d'un magasin de fringues. Je sais bien qu'au bout il y a la suite annoncée de la partie, mais j'ai l'impression que mon quiproquo peut être découvert d'un moment à l'autre. Tout à l'heure dans le feu de l'action cela n'avait aucune espèce d'importance, mais d'ici ce soir il peut se passer pas mal de choses !

 

- Fathia, j'ai un aveu à te faire !

- Si c'est une déclaration d'amour, je suis déjà prise !

- Ah ? Et quel est donc l'heureux élu !

- C'est un secret !

- Non, je parle sérieusement, je suis entré disons un peu par hasard dans votre magasin et je ne sais pas qui est ce Devrieux ! Donc voilà, j'en ai pas mal profité, mais maintenant je vais vous dire aurevoir ! Cela aura été une belle aventure !

- A vrai dire, on s'en doutait un petit peu, mais on n'a pas eu trop le temps d'en parler ! Mais ça ne fait rien, on va te garder quand même !

- Non, mais attends, je ne cherche pas un emploi de rangeur de magasin, j'ai un boulot fixe et d'ailleurs je dois…

- Ecoute mon bonhomme, tu fais ce que tu veux, mais si tu veux assister à la seconde mi-temps ce soir tu vas ranger le magasin avec nous, c'est le prix à payer, et Devrieux ou pas Devrieux, je crois que ça n'a aucune importance. Et puis il y a autre chose !

- Oui ?

- Nous, on aimerait bien que tu restes !

 

J'allais lui dire que j'avais aussi une vie privée et qu'il faudrait que je rentre et patati patata, mais devant un tel argument je fonds complètement et j'obtempère.

 

Il est sans doute inutile que je vous raconte dans le détail notre après-midi. Après avoir déjeuné assez rapidement d'une pizza à emporter, on m'expliqua ce qu'on attendait de moi ! Quelques heures après, j'étais devenu le roi du cintre et de l'étiquette et trompait l'ennui de ces taches absolument inintéressantes par une ardeur volontariste qui étonna mes deux " collègues ". Nous n'échangions que peu de paroles à l'exception de celles nécessaires au bon déroulement de notre activité. Pourtant à un moment, elle me demanda à brûle pourpoint :

 

- T'es marié ?

- Divorcé !

- Tu vis avec quelqu'un ?

- Pas en ce moment ! Pourquoi ?

- Pour rien, pour savoir !

 

Denis s'aperçu assez vite que Fathia n'avait pas l'intention d'entrecouper ses taches de l'après-midi par des entractes sexuels, et paraissait en être dépité. De Fathia je n'avais plus que son visage à regarder entre deux plongeons dans les cartons de fringues. Mais c'était déjà beaucoup ! Un visage de femme peut être extrêmement érotique. Je ne me lassais pas de ce minois si expressif, de ce nez droit et fin, de ses lèvres joliment ourlées et même de ses fines oreilles si finement dessinées, et s'il n'y avait que ça, sa peau lisse et sans défaut et ses yeux noirs, noir comme ceux d'une sorcière disait Gisèle ! Je lui lançais de temps à autre un petit sourire auquel elle me répondait gentiment mais sans insister. Denis n'avait pas cette chance. Et pour le coup je la trouvais vache, donner un sourire c'est donner beaucoup et notre troisième larron de l'après-midi ne me paraissait pas mériter pas ce quasi-mépris. C'est sans doute la raison pour laquelle, vers 18 heures ce dernier nous avertit qu'il ne pourrait pas rester, qu'il avait des obligations, etc…

 

- C'est malin ! Tu ne pouvais pas le dire avant !

- J'y pensais plus !

- Bon écoute, on s'est bougrement avancé, on a super bossé tous les trois, dans une heure tout va presque être prêt. Alors je voudrais vraiment terminer !

- Vous allez pouvoir terminer à deux !

- T'as rien compris ! Je referais bien la sorcière pour t'obliger à rester, mais je n'ai pas le temps !

 

Du coup, Denis réfléchit un instant, regarde Fathia qui commence à lui faire de grands yeux langoureux, et soudain détale littéralement du magasin !

 

- Ah le salaud ! Mais qu'est-ce qu'il lui a pris ?

- Il a dû se dire que s'il restait une minute de plus, il ne pourrait pas résister à ton charme !

- J'aime pas ça !

- On aurait dit que tu avais quelque chose contre lui !

- Il m'a pris pour une pute ! J'en suis d'ailleurs peut-être une, ce n'est pas une raison pour me manque de respect ! Je m'en fous un peu des mots qu'on me dit, mais pas de la façon dont on me les dit !

 

Elle ne lui avait donc pas pardonné sa tentative de sodomie pendant son étreinte avec Gisèle !

 

- Et pourquoi tu as essayé de le retenir à la fin alors !

- Ben pour Hector, cette bonne blague ! D'ailleurs il faudrait que je lui téléphone !

 

Du coup elle le fait, lui dit que c'est dommage que Denis fasse faux bon. Mais elle présente un visage rasséréné en raccrochant et m'avertit que le maître des lieux lui cherchera un remplaçant 

 

- J'espère qu'il sera bien ! Dira-t-elle en conclusion.

- On verra bien, ça ne m'explique pas pourquoi Hector et Gisèle ne sont pas passé cet après-midi !

- Bof, c'est long tout cela, ils ont sans doute été au restaurant arroser le contrat, et après ils ont peut-être été discuter d'autres contrats. Hector a les affaires dans le sang, il discute le moindre détail, il sent les bonnes affaires. Il sent les fringues comme il sent le sexe, c'est un esthète !

 

On continue à finir de ranger et une demi-heure après c'est Hector lui-même qui nous rappelle, il nous donne rendez-vous à 20 heures dans un petit restaurant du 17ème arrondissement, il nous dit avoir réservé 6 places.

 

- 6 places, il a trouvé deux personnes pour remplacer Denis ?

 

Ça m'embête un peu, je n'aime pas trop rencontrer des inconnus, mais encore une fois je me dis qu'on verra bien, personne ne me retient prisonnier !

 

- Ben oui, il ne me pas donné de précisions, c'est peut-être un couple ?

- Ça lui arrive souvent à Hector d'organiser des petites parties comme ça !

- Ne soit pas si curieux, profite donc de ce qui t'arrive, le reste n'a aucune importance !

 

Ah ! Bon ?

 

On arrive les premiers, on s'assoit en bout de table. J'aime bien les bouts de table, comme ça si la conversation m'emmerde, je peux m'évader, et si ça devient franchement insupportable, je peux même me carapater sans être obligé de bousculer tout le monde pour faire semblant d'aller aux toilettes.

 

Hector et sa compagne finissent par arriver avec un peu (pas mal) de retard. Deux créatures féminines suivent le couple. Chic alors, je ne pouvais pas espérer mieux ! Deux femmes de plus ! Je ne vous dis pas la partouze, deux hommes et quatre femmes ! Je vais être la vedette. A moins que ? A moins que ? Si ces nouvelles nanas sont aussi bisexuelles que les autres, nous les hommes ont va peut-être rester en plan. Je veux bien certes m'amuser avec Hector, mas il n'y a pas que cela dans la vie.

 

On fait les présentations : Il y a Maud, une fausse blonde au visage très régulier et très maquillé et à la voix voilée. La voix ? Se pourrait-il que ? On me présente l'autre ! Gina, une grande mulâtresse au corps sculptural et aux longs cheveux bouclés, on me précise qu'elle ne parle pas beaucoup le français, Gina est brésilienne, ça va j'ai compris ! Hector a été dégotté deux joyeux travelos ! Je m'attendais à tout sauf à ça, et bien ça promets ! 

 

Maud s'assied à côté de moi, Hector devant elle, donc en plein milieu. On commande l'apéro ! On trinque ! 

 

- On trinque à quoi !

- Au sexe propose Maud !

 

Fathia la regarde d'un sale œil, elle n'a pas envie de se faire chiper la vedette de la partie en préparation. N'empêche qu'on lève tous nos verres, on trinque, tchin, tchin. Assez bizarrement la conversation démarre sur les chapeaux de roue sur le sexe, mais n'y reste pas. A ma grande surprise Hector se met à nous narrer des anecdotes sur l'histoire de la table et de la cuisine tout à fait palpitantes, il n'y a que lui qui parle à l'exception de Gisèle qui rajoute quelques propos de ci de là. Mais c'est passionnant, délicieusement raconté, on se régale, j'apprendrais un peu plus tard qu'Hector et Gisèle sont tous les deux d'anciens professeurs d'histoire et qu'ils ont conservé une passion pour cette discipline. Tout le monde est suspendu aux lèvres d'Hector qui se révèle non seulement une personne cultivée et agréable, mais quelqu'un d'intelligent aux idées et aux positions intéressantes. Je me fais la réflexion stupide de dire que Fathia et Maud suivent parfaitement la conversation ! Stupide parce que pourquoi ne l'auraient-ils pas suivi ? Ils n'ont l'air idiot ni l'un ni l'autre ! Seule Gina semble un peu larguée mais sans doute est-ce la barrière de la langue ?

 

Le dessert arrive ! L'ambiance s'est à ce point transformée que personne n'ose faire de digressions. C'est Hector alors lui-même qui débridera l'atmosphère en faisant une illusion graveleuse sur le beignet de banane flambé commandée par Maud :

 

- Et alors ? Je suis une flambeuse de banane ! Répond cette dernière.

- Ah oui ? Fais-nous voir !

- Humm ! Nous sommes au restaurant mais vous allez voir tout à l'heure !

- Personne ne nous regarde !

- Vous l'aurez voulu !

 

Il se tourne alors vers moi !

 

- Avez-vous quelque chose contre les transsexuelles, jeune homme ?

- Non, non, je n'ai rien contre !

- Ouf, j'ai eu peur !

 

Et en disant cela il me fout carrément la main à la braguette. Ce doit être un réflexe, moi quand on me fait ça je me mets à bander instantanément. Il m'aide un petit peu 

 

(je vais par convention à partir de maintenant employer systématiquement le féminin pour parler des péripéties de ces deux transsexuelles, c'est plus facile, plus sympa et plus érotique)

 

Donc elle m'aide un petit peu de ses doigts agiles qui ne tarde pas à dézipper ma fermeture et à s'aventurer le long de la toile de mon slip, dans un premier temps, pour ensuite s'engouffrer à l'intérieur de ce dernier et me palper carrément la verge, pour ensuite la sortir résolument. Me voici la bite à l'air en plein restaurant, mais c'est vrai que placé comme je suis, on a du mal à me voir !

 

Mais je n'étais pas au bout de mes surprises ! Voilà que Maud se laisse glisser sur sa banquette, elle s'apprête à disparaître, mais stoppe en plein milieu de sa progression : 

 

- J'ai carte blanche ?

- Vas-y ! Réponds Hector !

 

Cette fois, elle disparaît pour de bon, la voici entre mes jambes, elle me masturbe un petit peu, puis très vite engloutit mon membre en pleine bouche. Je ne vous dis pas l'effet que ça fait, être sucé en plein restaurant par une transsexuelle devant quatre personnes qui vous regardent. Moi qui d'ordinaire ne jouit pas très vite, je suis au bout de quelques minutes secoué par des spasmes éjaculatoires et je dois fournir un considérable effort de self contrôle pour ne pas hurler ma jouissance.

 

Maud se relève, et dévoile à notre petit groupe sa langue chargée de mon sperme ! Il la propose à Gisèle qui est assise à sa gauche, mais elle refuse poliment. Maud se redresse alors et tend son visage vers Hector qui lui, accepte l'offrande sans rechigner. Pendant ce temps-là, je m'essuie avec ma serviette.

 

L'ambiance s'est pas mal débridée, mais sans que pour les autres, les choses dépassent l'aspect verbal, on nous sert du café. Gisèle se lève.

 

- Tu vas où ? L'apostrophe Hector

- Je vais pisser, il faut te demander la permission ? C'est nouveau ?

- Si tu pouvais te retenir, ça ne me déplairait pas de faire un petit délire uro une fois rentrés à la maison !

- Et tu te figures que parce que je vais pisser maintenant, je n'aurais plus envie à la maison ?

- Bon admettons ! Et là, tu ne pourrais pas faire dans un verre ?

- C'est pas un verre qu'il me faudrait c'est une soupière !

 

Elle rigole et se dirige vers les toilettes.

 

- Bon ! Se console, Hector, on verra tout ça à la maison ! Puis se tournant vers moi : " Au fait tu n'aimes peut-être pas ce genre de choses ? "

 

Je le rassure.

 

- J'en étais sûr !

- C'est facile de dire ça après !

- Non, j'en étais sûr, je t'expliquerais pourquoi tout à l'heure.

 

Gisèle revient, elle a un sourire énigmatique et malicieux accroché au coin de ses lèvres. Elle se rassoit.

 

- Tiens, passe-moi ton verre, Hector, tu vas voir que moi aussi je peux être capable de délirer à fond !

- Chic, tu t'en es gardée une petite goutte alors ?

- Non, ce n'est pas tout à fait cela, c'est encore plus pervers !

- Fichtre ! Qu'est-ce qu'elle va nous inventer ?

 

Gisèle ouvre alors sa main, dévoilant la minuscule culotte qui y était cachée. Elle est trempée de son urine. Elle la presse alors au-dessus du verre comme elle le ferait d'un citron. Le récipient se remplit d'un peu de liquide vaguement jaunâtre !

 

- Maintenant bois !

 

- C'est que ce n'est pas très correct de boire seul !

- C'est un cadeau personnel, les autres en auront autant qu'ils le veulent tout à l'heure !

- C'est une promesse ?

- C'est une promesse ! Alors maintenant cesse de discuter et bois !

 

Hector surpris par l'attitude sa compagne, ne se dégonfle pourtant pas, il lève son verre

 

- A votre santé !

 

Et il abreuve le liquide cul sec, sous les applaudissements enthousiastes de notre petite compagnie.

 

C'est Hector qui donnera le signal du départ, nous précisant qu'on était tous un peu pressé de passer à des choses encore plus coquines en privé. C'est à ce moment-là que nous nous sommes rendu compte que nous ne pouvions monter à six dans la voiture. Il fallait donc qu'un ou deux d'entre nous se débrouillent par leurs propres moyens. Et alors que Fathia s'apprêtait à dire quelque chose se fut Maud qui fut la plus rapide et qui déclara :

 

- Ça ne fait rien, je vais vous rejoindre en métro avec mon biquet !

 

Je ne compris qui était le biquet en question que quand la joyeuse transsexuelle me mis son bras sous le mien.

 

Un peu paumé dans ce quartier de Paris que nous ne connaissions ni l'un ni l'autre, nous laissions rapidement tomber la recherche d'une station de métro pour faire plus simple et attendre un taxi. L'attente fut rapide. Maud s'était pris "d'affection" pour moi et n'arrêtait pas de me faire des bisous dans le taxi, sous le regard égrillard du chauffeur qui n'en perdait pas une miette. Les petits bisous devinrent vite de plus en plus osés et nous nous roulions carrément des pelles d'enfer.

 

- Profitez-en, faites comme si je n'étais pas là, vous savez j'en ai vu d'autres ! Ne vous gênez surtout pas pour moi !

 

Ah ! Oui, puisque c'était comme ça, et excité comme j'étais, je n'allais pas jouer les timides, et quand Maud pour la deuxième fois de la soirée me tata la braguette, je répondais en soulevant sa jupe à la recherche de la culotte, je la caressais, y trouvais une jolie bosse dont je caressais les formes avant de la libérer de son tissu. Je sortais ainsi une jolie queue de taille moyenne de belle forme et surtout bien raidie.

 

- Elle est belle, hein ? Demanda Maud.

- Humm ! Ravissante !

- Et vous le chauffeur, vous la trouvez comment ?

- Oh ! Moi vous savez, ce n'est pas mon truc ! Mais chacun fait ce qu'il veut !

- Vous n'aimez pas les bites alors ?

- Si la mienne !

- Ah ! bon ! Elle est si exceptionnelle que ça ? Vous nous montrerez tout à l'heure ?

 

Le chauffeur un peu désarçonné ne trouva pas de réplique propre à relancer ce passionnant échange. Quant à moi je branlais cette belle tige de chair, puis saisi d'une impulsion irrésistible, en approchait mon visage, et en attrapait le gland avec mes lèvres avant d'humecter tout cela et de la faire coulisser dans ma bouche ! 

 

- Ne me fait pas jouir, il faut se garder des réserves pour tout à l'heure !

- En fait si, ça m'excite ce que vous faites ! Dit subrepticement le chauffeur !

- C'est possible, mais ce n'est pas la peine de tourner à gauche pour prolonger le plaisir, c'est tout droit, c'est à 400 mètres et on est arrivé !

- Ah ! Excusez-moi c'est la fatigue !

 

Bizarrement, le mec, après avoir stationné, ne nous demande pas le prix de la course, sort du véhicule, et nous ouvre la porte !

 

- Je vais vous faire un aveu, voilà longtemps que je fantasme sur les travelos, mais je n'ai jamais osé franchir le pas, j'ai cru comprendre que vous vous rendiez à une sorte de partie, est-ce qu'il vous serait possible de m'y introduire ?

 

- Vous introduire ?

 

Il se rend compte à ce moment-là du quiproquo que peut provoquer sa requête, devient tout rouge.

 

- Je, je voulais dire…

- On a compris, répond Maud, non ce n'est pas possible. C'est un cercle très privé, mais si tu veux me sucer la bite c'est 40 euros !

 

Le mec est complètement troublé, il regarde Maud, semble hésiter.

 

- Bon, alors tu te décides ? Parce que nous, on nous attend !

- 40 euros pour vous sucer la bite ?

- Oui et dépêche-toi, parce que tout augmente en ce moment !

- Euh, j'aurais préféré le contraire !

- Tu veux qu'on te suce !

- Oui, enfin que vous me suciez, vous !

- Tu rêves ou quoi, tu crois que c'est la fête, ce soir ? Tu nous suces cinq minutes et si t'as envie de jouir, tu peux te branler en même temps !

- Je…

- Alors ? Oui, ou non ?

- Je ne sais pas !

- Je te plais ou pas ?

- Bon allez d'accord, on fait ça où ?

- Ben dans ta charrette, on va tous s'asseoir à l'arrière, et toi tu vas te mettre au milieu, et tu vas nous sucer à tour de rôle !

- Euh, monsieur ce n'est peut-être pas utile, dit-il en me regardant !

- Non ! Tu nous suces tous les deux ou rien du tout !

- Bon, ben tant pis, bonne soirée, je me casse !

 

Il referme alors les portes-arrières, rejoint sa place au volant et démarre sans nous demander le prix de la course !

 

Nous le voyons stopper à environ 50 mètres.

 

- Qu'est-ce qu'il fabrique ?

- Il hésite ! Me dit Maud ! Pour lui le pas à franchir est énorme, mais il va y penser toute la nuit et il le franchira un jour !

- Pourquoi il pile, alors ?

- Il se ment à lui-même, il se dit qu'il va peut-être accepter, mais en fait, il attend qu'on disparaisse. Tiens, roule-moi un patin, là tout de suite.

 

Ça ce n'est vraiment pas une corvée et j'embrasse goulûment la joli transi. Je vois d'un œil notre chauffeur entamer une lente marche arrière vers notre direction. Maud se détache de moi et lui fait signe de venir. Il continue de reculer, il est à cinq mètres de nous. Encore quelques mètres, il devrait alors sortir de voiture et accepter la proposition de Maud.

 

- Il va le faire ou pas ? demandais-je à Maud 

- Non !

- Qu'est ce qui te fait dire ça ?

- Je connais les mecs !

- Pas si sûr !

- On parie ?

- On parie quoi ?

- Celui qui a gagné encule l'autre ?

- Tu parles d'un pari, ce genre de chose on l'aurait fait de toute façon !

- ça fait rien c'est symbolique !

 

Le chauffeur sort du véhicule !

 

- Tu vois j'ai gagné ! dis-je à Maud.

- Pas encore, pas encore !

- Euh, dit le chauffeur, je suis un peu pressé ce soir, mais si vous aviez une carte, un numéro de téléphone ?

- Ok ! Si tu nous suces, je te donne ma carte !

 

Le chauffeur qui croyait avoir trouvé un bon plan se retrouve dépité !

 

- Pffuit, pédés va !

 

Et cette fois, il disparaît pour de bon !

 

- Ben tu vois j'ai gagné !

 

La partie est repartie

 

Nous montons, nos quatre complices nous attendent :

 

- Ben alors, vous en avez mis du temps, on commençait à s'inquiéter !

- On est tombé sur un taxi qui nous a baladés un peu et qui ne savait pas ce qu'il voulait !

 

Je m'attendais à ce qu'ils aient commencé les "hostilités" sans nous attendre, mais non, ils sont en " tenues de ville ", trois sur le canapé et Hector sur un rocking-chair, ils regardent la télé ! Une cassette, un film de cul ?

 

- Je montrais à mes amis un vieux documentaire que j'avais commenté pour la télé, c'est un truc sur les orgues de foire !

 

Des orgues de foire ? Il se fout de ma gueule ! Je jette un coup d'œil, non c'est bien ce qu'il disait. Quel personnage énigmatique capable de passer de la partouze la plus débridée à de grands monologues sur l'histoire de la table, au commentaire d'un documentaire ou à la conduite d'une négociation sur un stock de fringues à la mode !

 

- Bon allez, on va arrêter ça ! On va faire un peu les fous une petite heure, ou alors deux petites heures, ou même plus on ne peut pas savoir d'avance ! On en était où Fathia ?

 

Fathia qu'on n'a pas trop entendu depuis le début de la soirée, a l'air toute étonné que l'on s'adresse à elle :

 

- On n'en était nulle part ! Tu veux que je dirige un peu les opérations ? C'est ça ?

- Du moins au début ! Oui !

- Ben je crois que Gisèle vous a fait une promesse ?

- Ah ! T'oublies rien, toi, hein ?

- Non, je n'oublie pas grand-chose, Gisèle !

 

Elle dit cela bizarrement en appuyant les mots, s'il y a un double sens dans cette phrase je ne le saisis pas, mais sans doute n'est-il pas pour moi ?

 

- Bon une promesse est une promesse ! Asseyez-vous, vous autres, je vais me mettre à l'aise !

 

Gisèle se déshabille devant nous, assez vite, trop vite, je suis toujours sensible au charme d'un strip-tease pratiqué avec une lenteur calculée, où tout est basé sur le prochain carré de chair que l'on va découvrir ! Non, là ça fonce ! Elle se retrouve rapidement vêtu de son seul soutien-gorge, n'ayant pas remis de culotte depuis sa sortie du restaurant. Elle le retire, elle est nue comme un ver, comme ce matin. C'est une belle femme, le temps ne l'a presque pas atteinte, et j'aime bien ses seins qui malgré leur blancheur brillent à la lumière. Elle disparaît un moment de la pièce, puis revient rapidement avec une sorte de saladier transparent. Elle le place sur la table de la salle à manger, dans le coin repas du salon.

 

- Allez, approchez-vous !

 

Elle grimpe alors sur la table, s'accroupit au-dessus du saladier, se concentre quelques secondes et se met à le remplir de son urine qui coule à présent en un joli filet doré. Nous sommes tous autour de la table en train d'admirer ce surprenant tableau vivant. Elle avait décidément une grosse envie malgré le fait qu'elle ait déjà mouillé sa culotte au restaurant. Le saladier doit contenir environ un litre de liquide. 

 

- Allez, on ne touche à rien ! Dit-elle en desescaladant la table. Délire pour délire on va continuer !

 

Elle part de nouveau dans la cuisine, en revient avec une louche qu'elle pose dans le saladier puis ouvre le vaisselier du salon et en sort cinq flûtes à champagne !

 

- Il en manque une Gisèle ! Lui fait remarquer Hector !

- Mais, non !

- Tu ne trinques pas, alors ?

- Mais si ! Il ne comprend rien celui-là ! Voilà, l'un d'entre vous va avoir l'honneur pendant que nous trinquerons de me nettoyer la chatte avec sa langue !

- Oh ! Mais elle est en pleine forme Gisèle ! Feint de s'étonner son compagnon !

- Mais il y a un mais, celui qui fera ça s'engage après m'avoir nettoyée à ne plus me toucher de la soirée ! Et bien sûr Hector est hors-jeu !

 

Du coup on se regarde tous, cruelle décision, j'ai tendance à refuser, je ne vois pas pourquoi je me priverais de ses caresses, ni que je priverais son corps des miennes. Et puis des foufounes à lécher, il y en aura d'autres, enfin d'autres, il y a celle de Fathia ! Ah Fathia ! Tiens c'est ma préféré, j'ai décidé cela !

 

- Si tout le monde refuse, on va tirer au sort !

 

Finalement Maud dit quelque chose à Gina, laquelle Gina se baisse alors pour laper le minou de la blonde ! Je ne suis pas très sûr qu'elle ait tout compris… Mais qu'importe ! Nous trinquons. Nous buvons. Nous sommes des cochons et heureux de l'être !

 

Hector se tourne alors vers Fathia :

 

- Alors Fathia ? On fait quoi maintenant ? 

- Je n'en sais rien, je manque d'inspiration !

 

Elle ne regarde même pas Hector en lui répondant, c'est moi qu'elle regarde, un regard troublant, un regard qui dépasse le simple désir physique, il se passe quelque chose, je lui rends son regard, elle cligne légèrement de l'œil, puis tape dans ses mains :

 

- Ce que j'aimerais bien, c'est que Gina quand elle aura fini de laper Gisèle, elle nous fasse un petit strip-tease.

 

Gina, nous l'avons dit est une métisse brésilienne assez grande, aux longs cheveux bruns qui lui descendent en ondulant sur les épaules. Elle est vêtue d'une robe beige assez classique, relativement décolleté et s'arrêtant juste au-dessus des genoux. Une très large ceinture noire est censée finir d'habiller le tout.

 

- Moi ! strip-tease ?

- Oui toi strip-tease !

- Mouzique ! Alors ?

- Allons-y pour la mouzique ? Classique, Jazz, disco ?

- Techno !

- Tu as ça Hector ?

- Non, passe-lui le Boléro de Ravel, ça ira très bien !

 

Les notes du Boléro envahissent alors la pièce

 

- Ça pas techno !

- Tu devrais t'en tirer quand même ! Lui indique Maud.

- Moi essayer !

 

On va s'asseoir, elle reste plantée là comme un piquet, elle a l'air de s'imprégner de la musique, de se demander ce qu'elle va bien pouvoir en faire, puis soudain demande :

 

- Vous voulez strip-tease juste à poil ou strip-tease porno ?

- C'est quoi ton strip porno ?

- Comment on dit en français ? Demande-t-elle à Maud

- La totale !

- Voilà, la totale !

- Alors allons-y pour la totale !

 

Gina se met à tourbillonner au rythme envoûtant de la musique. Je me suis assis dans le canapé et Fathia est venue à mes côtés, j'en suis tout ému, mais à ma droite il y aussi Gisèle qui est évidement restée toute nue. Ce doit être un réflexe, une cuisse nue à côté de moi, à quelques centimètres de ma main, il faut que je la caresse, et bien sûr, elle se laisse faire. Maud, elle, s'est assise dans le rocking-chair sur le genou d'Hector qui la caresse tendrement.

 

Je pensais le strip-tease de Gina classique, il ne le fut pas tant que ça. Elle commença par enlever sa gigantesque ceinture qu'elle s'amusa à faire claquer dans les airs à la manière d'un fouet, puis elle fit virevolter le bas de sa robe, afin que l'on distingue bien la petite culotte en dentelle rouge. Elle laissa alors le vêtement retomber le long de ses cuisses, y glissa la main par en dessous et enleva ainsi son sous-vêtement qu'elle envoya promener à l'autre bout de la pièce dans un grand éclat de rire :

 

- Faudra que je le récoupère !

 

Elle s'amusa ensuite à coller le tissu de sa robe contre son entre-jambe afin que nous devinions la forme de son sexe. Elle tendait le tissu au maximum, à ce point que l'on voyait maintenant son pénis entrer en érection. Voilà qui était bien troublant ! Elle recommence à virevolter, la robe monte, son sexe apparaît quelques instants, elle recommence plusieurs fois le même manège, puis elle se dirige vers moi et me met la main à la braguette. Du coup ma bite déjà assez excitée se met à raidir à toute vitesse. Gina se recule et fait signe aux deux femmes :

 

- Dégagé loui la bite !

 

Elles se prennent au jeu et comme des furies, me dézippent la braguette, sortent ma queue de son logement, puis estimant que ça ne suffit pas, font descendre pantalon et slip sur mes chaussettes. Ayant horreur d'être à moitié à poil et espérant bien que quelqu'un va s'attarder à me pincer les tétons j'enlève alors moi-même le haut.

 

 Et voilà notre transsexuelle qui revient, elle me touche un peu la queue, se baisse et y dépose un " chaste " bisous, puis elle retrousse carrément sa robe et la retire par le haut. Le voici la quéquette à l'air et revêtue simplement de son soutien-gorge. Elle a un sexe supérieur à la moyenne sans pour autant être monstrueux, comme beaucoup de métisse la peau de sa verge est beaucoup plus noire que celle de son corps et le gland est particulièrement sombre. Mais c'est très joli ! Elle s'avance vers moi la main sur son sexe bandé ainsi dirigée vers moi ! C'est pour ma bouche, je suis prêt à l'accepter et j'ouvre déjà les lèvres, mais notre Brésilienne est facétieuse, et elle se détourne un petit peu vers sa gauche et dirige son membre vers Gisèle. Celle-ci qui ne l'attendait pas vraiment accueille l'organe avec ravissement, à tel point que lorsque Gina veut reculer sans doute pour aller tester d'autres accueillants palais, Gisèle s'accroche à sa proie en lui agrippant les fesses et en continuant à sucer.

 

Kessia27- Eh, vous deux, vous trichez dit soudain Hector ! Normalement Gina n'a plus le droit de te toucher !

- Qui sait qui va avoir un gage ? S'exclame soudain Fathia moqueuse ! 

 

La voici qui se réveille ! Les gages et les punitions, ça a l'air d'être son truc ! 

 

- Qu'est-ce qu'on va lui faire à Gina ?

- Je n'en sais rien ! réfléchit Fathia, l'enculer avec mon gode ? Pour elle ce n'est pas un gage, elle va se régaler !

- Hum, tu dois faire ça très bien !

 

J'espère ainsi réveiller sa mémoire et lui donner des idées, j'ai en fait envie que Fathia s'occupe de moi, alors si cela doit passer par une séance d'engodage, après tout pourquoi pas ?

 

- T'inquiète pas mon biquet, tu ne perds rien pour attendre !

 

Et ce disant elle me fait un petit bisou sur le bout des lèvres ! Je fonds !

 

Pendant ce temps Maud est obligé de se lever pour expliquer à Gina qu'elle s'est mise hors-jeu, mais notre brésilienne a de sérieux problèmes de communication, et comme personne ne sait quoi lui donner comme gage, on l'en exempte et on lui demande de continuer. Elle se recule, s'avance et comme tout à l'heure revient en dirigeant sa bite vers moi ! Je parierais qu'au dernier moment elle va l'offrir à Fathia. Gagné ! Non perdu, elle fait deux changements de direction et revient vers moi. J'ouvre une large bouche, le contact est délicieux, mais elle m'impose ses méthodes. Les rares quéquettes que j'ai eu l'occasion de déguster, j'ai préféré les lécher que les sucer et quand je suce, je me concentre vers le gland et le prépuce, je ne vais pas plus loin n'ayant pas pris des cours d'avaleur de sabre. Gina, elle me fout carrément tout ce qu'elle peut dans la bouche à tel point que je suis obligé de me reculer. Elle se retire et l'offre cette fois sans effectuer de nouvelles feintes à Fathia. Elle est maline Fathia, pour l'empêcher la jolie trans de diriger la fellation elle lui attrape la queue de ses doigts et se met à tourbillonner de la langue sur la partie dégagée. 

 

Gina se dirige ensuite vers le rocking-chair, fait signe à Hector de se déshabiller, il le fait à toute vitesse et pendant ce temps je demande à la brésilienne de nous dévoiler ses seins. Par chance elle comprend et nous dévoile une superbe poitrine colorée aux tétons très sombres. Saisi de je ne sais quelle réflexe conditionné, je me lève et je les lui caresse ! Surprise ! Immense surprise, la plupart du temps la poitrine des transsexuels ont une consistance très chirurgie plastique, pas celle-ci ! On dirait vraiment des seins de femmes. On m'expliquera un peu plus tard qu'il existe plusieurs méthodes pour modeler les seins, et qu'à côté de la classique implantation de silicone, il se pratique aussi des techniques à base de coussinets gonflés à l'eau distillé et sucrée. Notre transsexuelle se laisse peloter quelques instants sans mot dire puis revient au sujet qui l'intéresse, Hector qui maintenant est nu comme un ver.

 

- A yenou !

- Pardon ?

- A yenou et souce la bite !

 

Il a compris cette fois, et s'applique à sucer le travelo tout en se tripotant la sienne 

 

- Tu aimerais que je t'encoule !

- Si ! répond Hector en portugais

 

Je me souviens alors que ce matin Gisèle s'était plus ou moins opposé à ce que Fathia l'encule avec le gode. Là, elle ne dit rien, bizarre !

 

Gina se revêt d'un préservatif, fait mettre Hector à quatre pattes et commence à lui écarter ses fesses de ses mains.

 

- C'est pas assez loubrifié ! Quelqu'un pour lui lécher le trou ?

 

Il désigne un peu au hasard semble-t-il, Fathia pour accomplir cette tâche. Celle-ci estimant sans doute qu'aller faire une feuille de rose à un homme qui va se faire enculer en restant elle-même habillé serait une faute de goût, entreprend de se déshabiller. C'est alors que Gisèle intervient et me donne un coup de coude :

 

- Vas-y toi, ce sera plus marrant si c'est un homme qui le fait, et puis tu es déjà à poil.

 

Fathia regarde Gisèle d'un air interrogateur, ne comprenant manifestement pas sa réaction, mais cette dernière fuit son regard. Quant à moi je ne suis pas très enthousiaste, j'ai accompli cette pratique ce matin, mais dans le cadre d'un petit gage SM. Ce soir je suis beaucoup moins motivé. J'hésite ! Fathia qui est maintenant complètement nue, hésite aussi ! Nos regards se croisent un instant !

 

- Bon j'y vais ! Se décide cette dernière !

 

C'est à cet instant précis que nous avons frôlé la catastrophe 

 

- Non, tu n'y vas pas ! Hurle Gisèle qui se lève et attrape violemment Fathia par les cheveux.

 

Cette dernière surprise, a à ce moment-là le réflexe qui faillit tout faire dégénérer, elle retourne une gifle à l'autre femme avec une telle force qu'elle chancelle. Fathia porte alors sa main à sa bouche se rendant compte de la gravité de son acte. Gisèle se relève alors et saute littéralement sur la petite beurette. Les deux femmes roulent à terre. Personne ne comprend plus rien.

 

Quelle mouche a donc piqué Gisèle, puisque c'est bien elle qui a commencé ? Nous nous sommes tous levés et faisons cercle ! Hector à l'air affolé :

 

- Séparez-les ! Séparez-les !

 

Facile à dire, elles gigotent de partout ! Le combat paraît incertain, Gisèle est plus lourde, mais Fathia plus jeune et plus nerveuse, elle a rapidement le dessus, et réussit à immobiliser son adversaire ! Il n'y a déjà plus de combat.

 

Fathia relève la tête, se rendant compte qu'elles se donnent en spectacle.

 

- Ecoutez, ne restez pas là, allez tous vous rasseoir, c'est un malentendu, dans cinq minutes ou se sera réglé ou on se dira au revoir.

- Mais Gisèle, qu'est ce qui t'as pris ? Tente Hector !

- Laissez-nous cinq minutes ! Juste cinq minutes, c'est une histoire de femmes, vous ne pouvez pas comprendre ! Tout va bien se terminer j'en suis presque sûre

 

On se recule, on se rassoit, Hector en dernier presque à remord. 

 

- Gisèle je suis désolée ! lui dit Fathia

- Ta gueule, pétasse !

- Je suis peut-être une pétasse, mais je suis désolée, la violence n'a jamais rien réglé !

- C'est facile à dire quand on domine l'autre !

- Si tu veux, je lâche ma prise, mais tu me promets de discuter calmement !

- T'es qu'une pétasse !

- Tu l'as déjà dit ! Gisèle, je veux simplement savoir pourquoi tu t'es jetée sur moi !

- Tu le sais très bien !

- Non, Gisèle, je ne le sais pas !

- Tu crois que je n'ai pas compris ton manège !

- Explique-moi mieux !

- T'es qu'une pétasse !

- Oui, je sais, mais explique-moi mieux quand même !

 

Finalement on entendait tout, je ne me lassais pas d'admirer la maîtrise avec laquelle Fathia essayait de décanter la situation.

 

- Tous les prétextes sont bons pour que tu fasses des trucs avec mon mari !

- Mais, Gisèle, vous m'avez aussi embauché pour ça !

- Oui, mais tu vas trop loin !

- C'est toi qui a l'impression que je vais trop loin, mais d'accord tu sais bien que je ne te veux aucun mal et que je n'ai aucune envie de prendre ta place. On discutera demain tous les trois et on prendra les décisions qui s'imposent. D'accord Gisèle ?

- Tu accepterais de ne plus y toucher ?

- Oui !

- Tu ferais ça ?

- Oui ! A une condition !

- Une condition ?

- Oui, c'est que toi, je puisse continuer à te toucher !

- Ah, non c'est pas vrai ! Et tu…

 

- Tais-toi, on s'embrasse et on fait la paix !

 

Fathia a relâché son étreinte, les deux femmes s'embrassent à présent, passionnément. Gisèle se dégage

 

- Ça va ? demande quelqu'un.

 

Les deux femmes se relèvent !

 

- Oui, ça va j'ai pété les plombs, allez la fête continue, je suis désolé, je… je … 

 

Elle s'assoit sur le canapé, se met à chialer comme une madeleine, elle est en pleine crise nerveuse ! Du coup Hector se ramène !

 

- Mais qu'est ce qui se passe ?

- Je t'expliquerais ! Dit-elle entre deux sanglots.

- Non, explique ! Ou plutôt non, attends !

 

Puis il se tourne vers nous :

 

- Je crois qu'on va en rester là ! Ma femme est très fatiguée !

- Mais non ! Intervient Gisèle, on fait une pause un quart d'heure et après on verra bien ! Fathia soit gentille, sert du champagne à tout le monde, il doit y avoir des petits gâteaux dans le placard de la cuisine.

- Alors ?

 

J'étais un peu gêné sur mon canapé, mais j'entendais tout

 

- Alors je suis jalouse, tu sais bien que j'aime le cul ! Depuis qu'on a recommencé à partouzer, on s'éclate bien, mais on a commis l'erreur d'embaucher Fathia, cette fille est formidable, j'adore jouer avec elle, mais je ne supporte pas qu'elle te touche. Ou plutôt je ne supporte pas de la voir te toucher ! Quand je ne la vois pas faire, je m'en fous. C'est de la jalousie, de la jalousie pure et simple, ça ne se commande pas, je suis la reine de connes, d'autant que je ne pense pas qu'elle espère quelque chose !

- On fait quoi ? Je dis à nos amis de partir ?

- Non, on va relancer tout cela, quand j'ai vu que la partie allait tourner uro, j'étais contente, tu sais comme j'adore ces trucs-là ! Et puis, tu as vu, on ne peut jamais vraiment diriger une partouze, au bout d'un moment tout nous échappe !

- Tu veux qu'on se retire et qu'on les laisse jouer ensemble ?

- Non.

 

Fathia a eu la diplomatie de ne pas se presser pour ramener le champagne. Elle revient maintenant.

 

- Et, oui dira Hector, il n'y a que dans les films X que les partouzes sont sans histoires. Le tout c'est de se comporter en gens intelligents et nous avons je crois deux femmes formidables parmi nous ce soir :

- Arrête Hector, tu vas me refaire chialer !

- Et pour vous prouver qu'il n'y a plus de problèmes, elles vont s'embrasser de nouveau !

 

Elles le font sous les applaudissements du petit groupe.

 

- Y s'est passé quoi ? demande Gina.

 

Non, ce n'est pas vrai, il faut tout lui expliquer à celle-ci. On trinque ! Mais cette crise à malgré son issue heureuse considérablement alourdie l'atmosphère. Ça sent le pot d'adieu ! On a l'air fin notre flûte de champagne à la main tous à moitié à poil, à l'exception notable de Maud qui est tout de même fort débraillée.

 

Il se passa alors quelque chose de curieux, le groupe n'ayant pour l'instant plus rien à se dire, les participants se rapprochèrent par deux ou trois, parlant à voix basse comme pour ne pas déranger les autres. C'est ainsi que Fathia se retrouva près de moi :

 

- Alors ? Pas trop déçu ?

- Non, et puis ça m'a permis de te connaître !

 

Elle se rapproche encore plus de moi, mutine. Lorsque " l'appel de la chair s'endort, il suffit de la caresser pour le réveiller " a dit je ne sais plus quel poète. Ais-je vraiment besoin de la caresser alors que ce corps si près, ses formes, sa peau, son odeur, viennent à ma rencontre. Pourtant je le fais, et avec la plus grande tendresse dont je suis capable je lui caresse les fesses.

 

- J'aime qu'on me caresse les fesses !

 

Elle me prend par la taille, se laisse faire, elle a l'air contente et moi je suis aux anges. Soudain j'entends un rire que je ne n'avais pas encore entendu ! Je me retourne c'est Gina qui rigole comme une bossue de je ne sais quel propos que lui tient Hector ! Je tends l'oreille et m'aperçois que notre prof d'histoire essaie de placer à la belle brésilienne des brides de phrases en portugais ! En plus il est polyglotte, le mec ! Quant à Gisèle et Maud elles parlent ensemble, mais je n'ai pas l'impression que le sujet soit d'un érotisme brûlant. 

 

Alors la partouze repartira ou la partouze ne repartira pas ? Je m'en fous un peu, ce que je veux maintenant c'est rester un moment auprès de Fathia. Ici ou ailleurs ? Quelle importance ? Mais me suivra-t-elle ailleurs ?

 

Hector caresse à présent tant qu'il peut sa brésilienne préférée qui se remet à rebander et qui l'entraîne vers le canapé. Ils s'y précipitent, s'y engouffrent ! On est passé à un autre stade, ces deux-là n'ont plus trop envie de se donner en spectacle, ils ont simplement envie, très envie de faire l'amour. Je crois alors opportun de profiter de l'exemple donné, et je prends la main de Fathia pour l'entraîner un peu plus loin !

 

- Où tu m'emmènes ?

- On va faire comme eux !

- Tu voudrais bien, hein ?

- Si tu savais comme j'en ai envie !

- C'est ta bite qui parle ou c'est ton cœur ?

 

Qu'est-ce que c'est que cette question idiote ?

 

- C'est les deux, mais ils ne sont pas très bien coordonnés !

- Ah ? Explique-moi ! 

- J'ai envie de faire l'amour avec toi, mais j'ai aussi envie te dire combien tu es désirable, excitante, tu es belle Fathia !

- Humm, je t'adore toi ! Allez viens que je te saute !

 

Quelle poésie ! Et quelle inversion des rôles. Elle me balance carrément sur l'extrémité libre du canapé d'angle en rigolant !

 

- Attend-moi ici, tu ne vas pas le regretter !

 

Où est-elle partie à présent ? Mais voici que Maud s'approche de moi :

 

- Ça va biquet ?

 

Je l'informe qu'effectivement le biquet ne va pas trop mal, mais je ne sais pas trop comment faire par contre pour lui expliquer que j'aurais souhaité rester en tête-à-tête avec Fathia !

 

- Humm, j'ai très envie que tu me déshabilles, pièce par pièce en prenant bien ton temps, en m'embrasant sur chaque partie de mon corps que tu vas découvrir, ça te plairait comme programme ça ?

- Ma foi...

- Hein dis-le que tu en meurs d'envie ? Que tu as envie de revoir ma petite bite et de la mettre dans ta bouche !

- C'est que...

- C'est que quoi, tu ne vas pas me dire que tu la voudrais dans le cul aussi ?

- Mais non...

- Comment non ? Tu as peur que je te fasse du mal ? Détrompe-toi je vais t'enculer avec plein de douceur !

- Ben alors qu'est-ce que tu attends pour le foutre à poil ?

 

Ça c'est Fathia qui est revenue. Elle semble pour sa part s'accommoder très bien de ce qui reste pour moi un contretemps. Et puis je découvre à présent ce qu'elle était partie chercher. Elle est comme ce matin de nouveau harnachée de son gode ceinture.

 

- La jupe d'abord !

 

Je retire donc la jupe droite en cuir noir de Maud, la fait glisser sur ses pieds et la range délicatement sur un dossier de chaise. La seule étendue de chair que cet enlèvement me permet de découvrir est l'espace restreint situé entre le haut du bas et le porte jarretelle, et j'y dépose un chaste baiser. Je déboutonne ensuite son petit chemisier vert amande, découvrant ainsi un ravissant soutien-gorge en dentelle moulant sa jolie petite poitrine. Tout cela commence à me faire de l'effet, j'aurais mauvaise grâce à dire le contraire, mais en avais-je réellement besoin ? J'embrasse le haut de ses seins, puis fait glisser le chemisier, lui dénudant ainsi les épaules, de jolies épaules assez fines et parsemées de petites taches de son. Je les embrase à leur tour. Je dégrafe alors le soutien-gorge, approche mes lèvres des tétons roses de sa poitrine. Ah ! Il faut toujours faire des comparaisons et il est vrai que son contact n'est pas aussi agréable que celle de Gina. Mais, bon, tout cela est bien émoustillant quand même ! N'ayant pas l'intention de lui enlever ses bas et son porte jarretelle à moins qu'elle ne me le demande, je passais directement à la culotte, et plutôt que de l'enlever tout de suite, je préférais m'attarder sur le modelé de son sexe, afin de le sentir se raidir au contact de ma main. Quelques secondes plus tard, sa bite avait changé d'aspect, je pouvais maintenant la sortir, et ne retirais la culotte qu'après. J'avais déjà vu sa queue dans le taxi, mais là cette belle bite bandée émergeant de son corps complètement épilé et habillé simplement de porte jarretelles et de bas me fit un effet extraordinaire, et sans plus réfléchir une minute je la prenais dans ma bouche et entamait une fellation des plus débridées, à ce point que Fathia dû me faire stopper :

 

- Hum... il me semble que tu as oublié de lui embrasser les fesses !

 

Je m'empressais de combler cette lacune et lui décochais une série de bisous sonores sur ces petits globes charmants. D'une façon quasi naturelle je lui écartais ensuite tout cela pour venir faire fureter ma langue à l'entrée de son trou du cul. Et cela ne me posait aucun problème. Autant j'avais eu des réticences à faire feuille de rose à Hector, autant là, à la limite j'en redemandais ! Mais il faut dire que dans ma façon de voir les choses (dans mon code comme diraient les structuralistes) les transsexuelles ne sont pas des hommes, ni des femmes d'ailleurs, non c'est vraiment un troisième sexe, des femmes à bites en quelque sorte !

 

Je bandais tellement que pour la première fois de ma vie, j'avais une envie réelle de sodomiser Maud. Et je l'aurais sans doute fait si Fathia ne s'était pas mise soudain à s'impatienter en piaffant des :

 

- Et moi ? Et moi ?

 

Incapable de résister à cet appel, je me jetais sur elle, et la caressais, l'embrassais, la léchais, lui suçais les seins, lui mordillais les oreilles, me transformais en ouragan. Evidement cette saloperie de gode ceinture me gênait considérablement, je lui proposais de retirer ce machin devenu en l'instant ridicule :

 

- Non ! Lèche-le !

- A non pas deux fois dans la même journée !

- Si ! Ça m'excite !

 

Ah ! Bon dans ce cas, je m'exécute et tandis que je lèche le mandrin en plastique, je sens une humidité frétiller sur mon anus. C'est bien sûr Maud qui me rend la politesse. Elle s'arrête, et va s'enquérir d'un préservatif ! Ça y est, je vais passer à la casserole !

 

- Moi d'abord ! Propose Fathia.

- Mais je vous en prie Chère demoiselle ! Répond Maud, se moquant gentiment.

 

Je sens qu'on m'applique du gel, je sens que ça veut rentrer, je sens que ça rentre, je sens que ça pousse, je sens que ça rentre encore plus, je sens que ça coulisse.

 

- Aie !

- C'est rien, tu vas t'habituer !

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C'est vite dit, ça fait mal et surtout il y a cette impression bizarre de sentir que les muscles n'ont pas l'air à leur place et qu'ils voudraient bien y revenir. J'en ai vite marre de ce truc, je vais pour lui dire d'arrêter quand je commence à ressentir une drôle d'impression, c'est que le frottement de cette bite en plastique sur ma prostate me provoque une curieuse sensation, je commence à avoir des petits picotements partout, c'est bon, je suis aux anges et j'en veux encore ! C'est trop bon, je veux qu'on m'encule encore ! Je hurle mon plaisir !

 

- C'est bon, c'est bon, encule-moi encore !

- Tu aimes ça hein ? Petite pédale !

- Oh ! Oui, encore ! Encore !

 

C'est à ce moment-là qu'elle se retire !

 

- Bouge pas tu vas en avoir une vraie maintenant !

 

Je ne bouge pas et je sens la queue de Maud me pénétrer. Le passage est devenu facile, et les sensations reviennent vite, mais en mieux, le contact est curieux, d'abord je ne sens pas la différence de taille, je devrais pourtant il me semble, mais surtout j'ai maintenant quelque chose de chaud et de nerveux, quelque chose de vivant. Maud s'excite comme une folle, et accélère ses coups de boutoir, me faisant cogner dans le dossier du canapé. Fathia trouve le moyen de se glisser partiellement sous moi et de m'attraper mes tétons pendant que l'autre continue de me sodomiser. Je suis dans un océan de plaisir, je m'abandonne ! Maud finit par éjaculer, et tombe sur moi épuisé. Fathia continue de m'asticoter mes bouts de seins et je bande comme un âne !

 

- Je vais te prendre Fathia !

- Non, pas maintenant, tu vas aller trop vite ! Je veux que nous deux, on prenne notre temps !

 

Qu'est-ce qu'elle me raconte là ? Mais c'est formidable d'entendre des choses pareilles 

 

- Allez, on le suce à deux ! Propose-t-elle à Maud.

 

Et pendant qu'elles exercent, je regarde autour de moi, et j'ai la surprise de découvrir Gisèle chevauchant par l'anus la grosse queue de Gina. Ce spectacle pourrait être trivial mais la combinaison de leurs corps déchaînés baignés de sueur à quelque chose de magique, je n'avais guère besoin de ça et ne tarde pas à jouir au milieu des lèvres de Maud et de Fathia qui se partagèrent le goût de ma semence. Au fond de la pièce Hector contemple le spectacle, l'air ravi et la main sur le sexe.

 

Je suis crevé, je m'endors quelques instants. Je me réveille en sursaut, ça crie, ça rigole, quelqu'un dit qu'il a envie de pipi, mais tout le monde a envie de pipi ! Il y a déjà quelqu'un dans les toilettes. Ça fait rien on s'en va tous dans la salle de bain. Gina y rentre la première et sans reprendre son souffle se met à pisser sur le carrelage. Gisèle se précipite alors pour se mettre en travers de son jet et recueillir ainsi sur son corps cette pluie dorée. Elle en reçoit partout, sur les cuisses, sur le ventre, sur les seins et sur son visage qu'elle tend comme une offrande, la bouche ouverte et l'œil coquin.

 

Maud se met à pisser à son tour, prenant la place de sa camarade. J'en veux aussi ma part et je m'allonge aux côtés de Gisèle, bientôt rejointe par Fathia et tandis que la pluie continue nous nous échangeons tous trois de doux baisers salés.

 

On est trempée, on se douche un petit peu, on se sèche, on rigole comme des fous, on revient dans le salon !

 

Fathia s'est assise sur le canapé les jambes légèrement écartées, sa petite chatte rasée à l'air de m'attendre. L'occasion est trop belle ! Depuis le temps que je l'attendais. Je m'y précipite. Me voici entre ses cuisses, elle s'ouvre, m'accueille et déjà je lèche ce délicieux organe de grands coups de langue. Je jubile de bonheur, je m'imprègne du goût de sa chair, elle s'abandonne à mes caresses, ferme les yeux :

 

- Lèche, lèche ! Lèche plus haut !

 

Ça va j'ai compris, ma langue concentre son travail sur son clitoris érigé, je lape, je tête, je m'applique et pratiquement sans aucun préalable Fathia éclate de plaisir. Je me sens fier de l'avoir fait jouir. Je la regarde. Son sourire est magnifique. Nous nous embrassons.

 

- Bon, je suis un peu fatigué ! Nous déclare Hector, et puis je voudrais faire un gros câlin à ma femme avant de m'endormir. Si quelqu'un veut coucher ici, on à ce qui faut, avec le canapé et la chambre d'amis on peut accueillir quatre personnes.

 

Nos deux trans préfèrent s'en aller on ne sait où, et Fathia déclina l'invitation au titre que son chat allait finir par s'inquiéter. On se quitte tous, bisous, bisous ! Tout le monde est content.

 

- Qu'est-ce qu'on fait ! Demandais-je alors à Fathia le cœur plein d'espoir !

- Je ne sais pas, pour l'instant on est crevé, il faut que je réfléchisse, je te rappelle demain

 

Je lui donnais mon numéro sans y croire, je me retenais de ne pas pleurer de dépit. Et m'enfonçais dans la nuit des rues de Paris, le sexe satisfait mais le cœur lourd, me demandant si les lendemains de partouses n'étaient pas à l'instar des lendemains de beuverie que des désenchantements.

 

Epilogue 

 

- Ça se termine bien tristement !

- Ben oui ! 

- Elle ne t'a pas rappelé !

- Si, mais pour me dire qu'elle ne savait pas trop où elle en était, et qu'elle me rappellerait avant la fin de la semaine

- Et tu y crois ?

- Non !

- Bon allez, on va prendre le dessert ça te changera les idées !

 

Cheng vint alors nous chercher et nous conduisit dans une salle privée, il s'agissait d'un simple salon sans aménagement particulier et cela m'étonna un peu.

 

- Ça se passe ici ?

- Oui !

 

Ne voulant pas trop chercher à me poser de question je commençais à déboucler la ceinture de mon pantalon !

 

- Qu'est-ce que vous faites ? Demanda alors Cheng.

- Ah ? Excusez-moi, on ne se déshabille pas ?

- Non, ça ne se passe pas comme ça ! Vous allez voir, c'est très excitant ! Asseyez-vous sur les chaises, là !

 

On s'assoit, 

 

- Bon, je vais vous bander les yeux !

 

J'ai tendance à avoir horreur de ce truc-là ! 

 

- Il faut vraiment ?

- Vraiment ! Ça ne dure que deux ou trois minutes et vous ne le regretterez pas !

 

Je le laisse faire ! J'essaie de voir à travers, mais c'est impossible, je n'y vois goutte !

 

Je sens qu'on me déboutonne ma chemise, des mains approchent les pointes de mes seins les frôlent, les serrent, les tordent, les agacent, les excitent. L'effet est radical, je bande comme un mulet !

 

- Ça te plait ?

- Oui ! 

 

J'ai répondu oui par réflexe, parce que, oui, ça me plait, mais cette voix, ce n'est pas la voix de Cheng, c'est la voix de...

 

- Fathia !

 

Je ne comprends plus ! Je voudrais être sûr !

 

- Il n'y a jamais eu d'activité d'arrière-salle, c'était une petite idée d'Hector, il a voulu te faire une surprise ! Comment tu la trouves ?

 

Comment je la trouve ? Je suis incapable de répondre, des larmes de bonheur me coulent à présent sur les joues !

 

FIN

© Edvard Stokien. Paris Décembre 2001 

 

Première publication sur Vassilia, le 23/12/2001

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eddy
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Mercredi 28 juillet 2021 3 28 /07 /Juil /2021 15:36

Fathia de surprise en surprises 1 - Les coquins du magasin - 

par Eddy

Bombe

Ce récit est très long, je l'ai voulu, mais il y a différents chapitres et le lecteur peut le lire à son rythme. J'espère qu'il vous plaira, car c'est le récit que j'ai le plus travaillé, c'est aussi celui qui m'a donné le plus de plaisir en l'écrivant

 

1 - Les coquins du magasin

 

Prologue

 

Quelle idée, il avait eu là, Hector, de me donner rendez-vous dans ce restaurant perdu du 18ème arrondissement m'obligeant à faire un impossible détour. Et puis à 13 heures 30 en plus, moi qui adore déjeuner à midi pile ! Quand je trouve enfin l'endroit, il est déjà là, attablé, devant un whisky, et il en a commandé un autre pour moi.

 

- Alors ?

- Ça y est, c'est prêt !

 

Je sors de ma sacoche une vingtaine de feuilles !

 

- Tout ça ?

- Hé, oui, c'est qu'on en a fait des choses !

- Oui mais tu pouvais résumer ?

- En fait, il y a longtemps que je voulais écrire une histoire purement porno, des actes, des actes, avec des saynètes qui me permettent de décrire tous mes fantasmes. Alors ce qui s'est passé l'autre jour m'en a donné l'occasion.

- Que du porno, alors, mais le lecteur risque de se lasser ?

- Non justement, en cours d'écriture, j'ai complètement changé d'optique, il y a sept personnages, j'ai voulu leur donner une vie, un caractère, un comportement propre, et puis je voulais montrer aussi qu'une partouze entre êtres humains ce n'est pas simplement que des corps qui s'emboîtent ! Tiens, lis !

 

Je lui tends les feuilles.

 

- Non, je préférerais que tu me les lises, je n'ai pas mes lunettes.

- Comme tu veux, mais pour l'instant, à la tienne !

- A la tienne !

 

C'est alors qu'apparut la serveuse ! Le terme "apparut" me paraît vraiment très approprié, on pouvait véritablement parler d'apparition : une déesse : Une magnifique asiatique aux cheveux de jais, au sourire enjôleur, et aux yeux malicieux, avec un visage sans défaut reflétant une douceur totale ! Sa tenue à mi-chemin entre la serveuse de restaurant et la soubrette d'opérette était un ravissement, la petite jupe était ultra courte, laissant découvrir des jolies jambes nerveuses et des cuisses accueillantes. Quant au haut, je vous l'ai gardé pour la fin, un décolleté carré très suggestif à la limite des aréoles :

 

Elle nous tend les menus :

 

- Nous avons un excellent steak tartare aujourd'hui, c'est une spécialité maison, et je vous propose un petit pâté de canard en entrée !

- Ça me convient très bien ! Répond Hector.

- Avec un petit Brouilly ?

- C'est cela avec un petit Brouilly.

- Et pour Monsieur ?

- La même chose ! Bredouillais-je incapable de détourner mes yeux de cette inattendue et troublante beauté. 

- Voilà, je te présente Johan, c'est un ami ! Dit Hector s'adressant à la serveuse, elle s'appelle Cheng Wing Chee 

- Alors vous êtes mon ami, les amis de mes amis sont mes amis !

 

Je n'en demandais pas tant mais j'étais profondément troublé !

 

- Vous faites toujours le dessert spécial ? S'enquit soudain Hector.

- Oui, bien sûr ! Alors deux desserts spécials ?

- Spéciaux !

- Oui, spéciaux ! Heu ! Tous les deux avec moi ?

- Oui !

- L'un après l'autre ?

- Non, ensemble !

- Pas de problème, mais ce ne sera pas avant 14 heures 30 !

 

Elle nous quitta l'air toute joyeuse en ondulant légèrement des fesses.

 

- Euh, je voudrais être sûr de bien comprendre !

- Cherche pas, c'est moi qui offre !

- Bon ! 

- Allez lis-moi ton truc !

 

Un matin d'astreinte

 

 

Deux doigts de présentation avant de commencer cet étrange récit. Et d'abord autant savoir qui je suis. Je me prénomme Johan ! Ben quoi ? Ce n'est pas de ma faute, c'est mes parents. A l'époque de ma naissance, ils étaient m'ont-ils dit, fascinés par le Moyen-âge ! Il y a effectivement de quoi être fasciné par cette charmante époque, sa misère, ses famines, ses épidémies, ses guerres incessantes, ses injustices criantes et son obscurantisme outré (même si l'inquisition n'était pas encore là) ! Enfin, bref ! Je suis divorcé, j'ai bientôt la quarantaine, je n'ai plus beaucoup de cheveux, il paraît comme on dit, que j'ai un certain charme. Reste le boulot et le sexe, on va commencer par le sexe ! Cette bonne blague !

 

J'ai en la matière, essayé vraiment beaucoup de choses, " pervers polymorphe " diront ceux qui veulent absolument classer tout le monde ! J'ai donc goûté le SM avec intérêt, l'uro avec perversité, la bisexualité avec curiosité, d'autres trucs aussi assez rigolos, et j'aurais l'occasion d'en reparler. Il n'y a guère que la zoo auquel je n'ai pas touché personnellement, bien que regarder une jolie fille se faire lécher la minette par un gros toutou ne m'a pas laissé insensible.... passons !

 

Héritant d'une petite fortune personnelle, et emporté par l'enthousiasme de la jeunesse, je crus faire œuvre de salubrité publique en donnant à mes goûts sexuels les moyens de leur popularisation. C'est ainsi que je fondais l'éphémère radio "France Nympho", laquelle connut des imbroglios judiciaires qui me firent dire que la révolution sexuelle n'était vraiment pas pour demain. Quelques procès en cours, et pas mal d'argent en moins, je revoyais mes ambitions à la baisse et lançait un journal. Ce fut un très beau fiasco qui acheva complètement de me ruiner.

 

Alors j'ai lancé un site Internet, ça ça ne coûte pas cher, mais il fallait aussi vivre, j'ai donc proposé mes services et mes diplômes d'informatiques à qui en voulait. J'ai obtenu un poste complètement sous payé, où il s'agit d'assurer la maintenance informatique d'une moyenne entreprise. C'est assez peu intéressant, et en plus il y a des astreintes.

 

Autrement dit, un week-end sur trois, je dois m'assurer à distance toutes les 8 heures que les serveurs tournent. Si ce n'est pas le cas, il faut que je me déplace pour relancer les bestioles, et c'est exactement ce que je m'apprête à faire lorsque commence (enfin) ce récit.

 

Entraîné par la curiosité

 

Pour me rendre sur le lieu de mon travail, je traverse un grand centre commercial, j'aime bien, il y a quelques vitrines intéressantes, et puis c'est vivant. Sauf qu'un beau jour, tout cela a été restructuré, et que les magasins ont été remplacés par des palissades, le chemin devint aussi triste qu'énigmatique, personne n'étant capable de dire le pourquoi et le devenir de cette situation.

 

Et ce matin, surprise ! A l'emplacement de l'une des palissades, il y a une belle vitrine fraîchement posée. Par contre il n'y a rien à voir, des bonnes âmes ayant peinturluré en blanc, l'ensemble de la chose. Je ne pourrais donc pas savoir ce que va contenir cette mystérieuse échoppe. Moi qui suis curieux comme une vielle chatte, me voici frustré, je regarde mieux, il serait quand même étrange que la peinture ait opacifié la totalité de cette paroi dont la vocation première est d'être transparente.

 

Je regarde bien, je regarde mieux, et là je découvre une toute petite surface mal recouverte, c'est un peu haut, il faut que je me mette sur la pointe des pieds, ce n'est pas très discret ce truc là, mais ce n'est pas bien grave, il ne passe pratiquement plus personne dans cette galerie.

 

Pas grand-chose à voir, des caisses, des cartons, certains sont ouverts mais non déballés, ce sont des vêtements, je crois bien.

 

Trois personnages discutent au milieu de la salle, une femme et deux hommes. Cette dernière vient probablement d'arriver puisqu'elle n'a pas enlevé son manteau en cuir noir. Elle est très brune, la peau mate, de beaux cheveux noirs, le visage plutôt long et le nez droit, un joli minois, bien régulier et surtout éclairé par un magnifique sourire, c'est sans doute une beurette. L'un des deux hommes est un barbu d'allure assez distingué, la cinquantaine, l'autre un antillais ou un africain de taille plutôt moyenne. La femme parle à ce dernier, on a l'impression qu'elle l'interpelle sur le ton de la plaisanterie, elle fait de grands gestes, s'agite beaucoup, rigole, elle est très expressive. L'autre en face répond de façon fort brève, écartant parfois les bras d'un geste fataliste ! Tout cela devant le barbu qui n'intervient pas et observe tout cela d'un œil goguenard.

 

Et voilà, c'est tout ce qu'il y avait à voir à ce moment-là et je serais certainement parti et n'aurait pas tardé à oublier cette scène, si à un moment, la fille n'avait pas d'un geste plus ou moins provocateur, tripoté la braguette du petit noir.

 

Du coup, je regarde un peu, un peu fatigué par cette position qui m'oblige à rester sur la pointe de mes pieds. Je scrute autour de moi, il n'y a toujours personne dans la galerie. Je continue mon observation espérant qu'il se passera quelque chose. Non, pourtant ça devrait, je vois la fille qui du doigt pointe l'entre jambe de son interlocuteur. Le barbu intervient, se rapproche. Le black rigole, la fille lui remet la main à la braguette mais plus longtemps, puis l'enlève, nouvelle discussion... Et c'est alors que je vois ce dernier défaire la ceinture de son pantalon, se déboutonner, laisser chuter au sol ses vêtements du bas, et exhiber comme ça sa quéquette. Un bel objet d'une longueur intéressante, et d'une belle couleur chocolatée. La fille s'en empare de la main et le branlotte un petit peu.

 

Du coup je ne sais plus où me foutre, et je me surprends à bander comme un ours polaire devant madame grizzly !

 

J'attrape des crampes, non pas au sexe mais aux pieds, et les repose un instant sur terre. Je me relève ! Et devant mes yeux incrédules j'aperçois maintenant notre petite beurette qui agenouillée devant l'antillais lui suce carrément la bite. Voici un bien joli et intéressant spectacle. Quel dommage que le poste d'observation soit si nul ! Si seulement il pouvait y en avoir un autre ! 

 

C'est alors qu'un coup d'œil circulaire me permet de discerner au fond de la salle, une porte entrouverte ! En voilà un endroit qui serait idéal pour mater, d'autant que le lieu est en plus envahi par des cartons empilés. Mais s'agit-il d'une porte par laquelle on peut entrer ou tout simplement de l'accès à je ne sais quelle remise ? Je ne sais que faire, aller vérifier risque de me faire perdre la vue de scènes bien intéressantes, mais d'un autre côté si je pouvais y accéder... 

 

Allez, je tente le coup, je calcule, le magasin est à 15 mètres de la première intersection des galeries. J'y vais, je tourne à droite, pas de galeries parallèles ! Tant pis, je vais pour retourner à mon poste, et soudain j'aperçois un accès dans l'allée perpendiculaire. Si seulement ! J'approche, il y a un digicode. Pas de bol, je m'approche mieux. Miracle, la porte n'est pas poussée à fond, je rentre, me voici dans un couloir non éclairé mais où émerge la lumière d'une ouverture entrebâillé. Si je ne me suis pas trompé, il doit s'agir de la porte que j'ai entrevue. Oui c'est bien ça, je m'approche a pas de loup. Ils sont toujours là tous les trois. La beurette suce toujours le petit black, mais le barbu a sorti son sexe de son pantalon et s'est approché, comme attendant son tour. Effectivement, la fille sans lâcher de sa bouche la quéquette qu'elle est goulûment en train de sucer, tend sa main vers ce deuxième sexe offert et entreprend de le masturber. Puis elle se met à alterner les deux bites dans sa bouche, elle semble, et c'est un ravissement de la voir, prendre un plaisir inouï à réaliser cet acte, son visage rayonne. Mais je n'avais encore rien vu ! Voici que notre barbu s'accroupit ! Que va-t-il faire ? Il approche son visage du sexe de l'antillais. Il ne va tout de même pas... Et bien si ! La fille qui semble avoir compris le but de la manœuvre lui tend la bite noire et la dirige vers sa bouche. Il la suce à son tour. Alors là, l'insolite de la situation est trop excitant, mon propre sexe va éclater, et contre toute raison, je le sors et me masturbe en continuant à profiter du spectacle. La fellatrice et le fellateur s'en donnent à cœur joie se refilant le beau sexe bien raidi du mignon petit black. En ce qui me concerne, j'en suis à rechercher un kleenex dans mes poches pour éponger l'inéluctable et proche conclusion de cet acte voyeuriste improvisé...

 

Quand soudain...

 

Je sens une poussée dans mon dos, deux mains appuyées à plat qui me projette en avant. Je trébuche, parviens à amortir ma chute de mes mains, je me reçois de travers, je me fais horriblement mal, je pousse un hurlement, le trio est stoppé net dans son action, et tout en me regardant, hébété se réajuste comme il peut, tandis qu'une voix féminine hurle derrière moi :

 

- C'est quoi ce bordel ?

 

Personne ne répond ! La douleur au poignet est la limite du supportable, j'ai l'impression que ça commence à enfler. Pourtant de l'autre main par un incroyable réflexe de pudeur instinctive, je parviens à ranger ma biroute dans mon pantalon. Il faut maintenant que je rassemble mes forces pour fuir d'ici. Un coup d'œil sur mon agresseur : C'est une femme, assez grande, blonde, plus toute jeune, sûrement plus proche des cinquante que des quarante, et habillé d'un élégant ciré blanc. Elle a dû être très belle et l'est encore pas mal ! Mais pour l'instant ma grosse préoccupation, c'est qu'elle s'est adossée à la porte qu'elle a refermée, je ne peux donc pas m'échapper sans la virer. Pourvu qu'elle bouge, mais qu'elle bouge, bon dieu !

 

- C'est qui lui ? Demande cette dernière à l'assemblée, en me désignant !

- Je n'en sais rien ! Répond le barbu, je suppose que c'est Devrieux qui l'envoi !

 

Oh ! là là ! Si l'affaire tourne en quiproquo, je ne sais pas ce que ça peut donner, mais comme un con, quand il me demande de confirmer que c'est effectivement le susnommé Devrieux qui m'envoi, je le confirme. J'avais espéré que ce mensonge inciterait la blonde à dégager de la porte, mais non, elle reste là, on se demande pourquoi. Me viens alors un plan, je vais dire que j'ai mal et que j'ai besoin d'eau, mais je n'arrive pas à en placer une ! La grande blonde a encore des questions à poser et s'adressant au barbu lui demande qui est le petit black :

 

- C'est Denis, le frère de Julien, le vendeur de Devrieux. J'avais demandé trois gars à Devrieux pour la matinée, mais il s'est gouré dans les dates, alors il m'a dit qu'il m'enverrait du monde au fur et à mesure qu'il trouvait, et comme Julien était là, il a téléphoné à son frère !

 

Oh ! Lala ! C'est quoi cette salade ? Je n'y comprends rien !

 

- Et vous faisiez quoi au juste ? C'est en taillant des pipes que le magasin va être prêt pour mardi peut-être ? Mais vous n'en n'avez jamais assez ? Ça ne vous a pas suffi ce qu'on a fait hier soir ? Non ?

- Ne te fâche pas, Gisèle, répond le barbu ! C'est moi qui ai incité Fathia à provoquer notre ami, et puis voilà ! Remarque, je te le conseille, il a une super bite !

- J'en ai marre de vivre avec un obsédé sexuel qui ne s'entoure que d'obsédés sexuels !

- Pourquoi tu n'aimes plus ça ce matin ?

- Ce matin, j'ai un magasin à ranger et à préparer, moi ! Et l'autre qu'était en train de se branler en vous regardant ! T'as précisé aussi à Devrieux que tu voulais des obsédés pour nous aider ?

- Non mais il connaît mes goûts ! Rigole le barbu. 

 

Je me suis relevé, j'attends toujours que la porte se libère pour fuir comme un lapin ! Le barbu, m'apostrophe jovialement !

 

- Il vous a dit quelque chose de spécial, Devrieux ?

 

L'occasion, enfin !

 

- Non, mais je souffre le martyre, si je pouvais faire couler de l'eau, ça devrait me faire du bien !

- C'est au fond du couloir, mais faut une clé ! Où j'ai foutu la clé ? 

 

Je m'en fous de la clé ! Je veux juste qu'on me dégage cette putain de porte !

 

Alors il cherche la clé, ne la trouve pas !

 

- Faite voir ça, faut peut-être pas mettre d'eau !

 

Le voilà qui m'ausculte le poignet, il n'y connaît évidemment rien du tout, et pas plus que moi, Mais ça a encore enflé !

 

- Vous devriez plutôt voir le pharmacien !

- Oui, c'est ça le pharmacien, ça c'est une bonne idée !

- Mais quelle idée tu as eu de le foutre par terre ?

- Il était en train de se branler en vous matant, je ne savais pas que c'était Devrieux qui l'envoyait !

- Se branler ! Tu as dit ?

- Ben, oui ! Se branler ! C'est comme je te le dis !

- Humm ! C'est rare les hommes qui sont excités par un spectacle aussi… aussi... disons… inhabituel ! Vous aimez bien ça, vous ? Me demande-t-il !

- Ecoutez, je répondrais à toutes vos questions, mais il faut absolument que j'aille chez le pharmacien.

- Remarque que c'est peut-être pas la peine, on peut téléphoner à la pharmacienne et lui dire qu'elle vienne avec de la pommade ! Reprend le barbu en s'adressant à la grande blonde.

- Pourquoi faire ? De toute façon, il ne pourra pas travailler !

- Ah ! Ben oui, elle a raison. Donc on va vous laisser. Et je vais dire à Devrieux qu'il me faut une personne de plus, mais ne vous inquiétez pas pour le reste, je lui dirais que vous vous êtes blessé avec un carton, comme ça fera un accident de travail !

 

Et le voilà parti à rigoler à sa propre plaisanterie !

 

Ouf !

 

Il interprète mal mon soulagement, mais qu'importe, je vais pouvoir partir, et la blonde Gisèle s'est enfin écartée de la porte afin de me laisser sortir.

 

- Juste une question !

 

J'aurais pu ne pas écouter, et prendre mes jambes à mon cou. Mais non, je m'arrête stupidement.

 

- La question de tout à l'heure, comme on ne se reverra peut-être jamais, ça vous embêterait de me répondre, comme ça juste par curiosité ?

 

Je ne sais pas trop quoi dire, je reste planté là comme un con tandis que le barbu s'approche de moi, s'approche, s'approche, s'approche encore, et d'un geste brusque me fout la main à la braguette, avant de me demander, tout sourire :

 

- T'es quoi, toi sexuellement ?

 

Je suis paralysé, ce contact me cloue sur place.

 

- Alors tu me réponds ? insiste-t-il.

 

Mais est-ce la peine que je réponde, mon sexe répond à ma place en grossissant sous la main de ce troublant monsieur.

 

- T'es homo, hétéro, un peu les deux ?

- Plutôt hétéro, mais...

- Mais tu es ouvert à la discussion on dirait ?

 

Je me contente de répondre d'un sourire approbateur, incapable de proférer un son. Fathia et Gisèle se sont légèrement approchées, les curieuses ! 

 

- Tu veux que je te suce ! Finit par me demander le barbu en me regardant dans les yeux !

 

Je ne réponds pas ! Dans quel truc j'ai été mettre les pieds (enfin quand je parle des pieds...)

 

- Allez les filles, dégrafez-lui son pantalon, il ne peut pas le faire tout seul, il a mal à la main !

 

C'est Fathia qui se charge de l'affaire, je me laisse faire toujours sans mots dire et j'en profite pour la regarder de plus près, une petite merveille. Je préférerais cent fois que ce soit elle qui me suce plutôt que ce vieux vicelard, mais soyons francs, la situation m'excite quand même pas mal !

 

- Ouais, évidemment, à côté de celle de Denis, il n'y a pas photos ! remarque Fathia

 

C'est intelligent comme réflexion, comme si je ne le savais pas ? Hector (il s'appelle Hector, le vieux beau !) m'a sorti mon sexe de mon slip et s'est accroupi devant moi. Il commence par me masturber un petit peu, puis sa main devient caresse, il frôle la hampe du bout des doigts, se balade sur le gland, redescend sur les couilles, une véritable et très excitante inspection digitale ! A ce point que quelques gouttes de liqueur séminale viennent perler mon gland, il s'en empare et les étale, approche son visage, hume littéralement mon sexe, sort sa langue, l'approche de l'extrémité de mon sexe, puis me donne une première lapée. Une deuxième, une troisième, il se prend pour un chat de gouttière, il ne suce pas il lèche, chaque contact de sa langue me provoque des soubresauts. A ce rythme-là je ne vais pas tenir longtemps. Il en a conscience ! Il se redresse m'abandonnant pour l'instant. C'est malin !

 

Il est là devant moi, à quelques centimètres de mon visage, et je réalise soudain ce qu'il va m'arriver. Il se rapproche, entrouvre la bouche ! Non, je ne peux pas faire ça ! Je ne l'ai d'ailleurs jamais fait. Je veux bien sucer un mec, me faire sucer, je peux même éventuellement aller jusqu'à me faire sodomiser, mais embrasser un mec, j'ai un blocage je ne peux pas !

 

- Non, pas ça, je suis désolé !

- Tu devrais pourtant !

- Je ne peux pas !

- C'est bien dommage, parce que maintenant qu'on est cinq, on t'aurait bien emmené faire une petite partie !

- Hector ! Je te signale qu'on a un magasin à préparer !

- Mais Gisèle, il faut profiter de la vie, c'est le destin qui nous envoie ce mec !

- Ah bon ? Je croyais que c'était Devrieux, rigole-t-elle !

- Des mecs bisexuels avec une aussi jolie quéquette, ça ne court pas les rues !

- Il n'est pas bisexuel, il a peur de te rouler une pelle !

 

J'ai l'air un peu con au milieu de cette discussion, debout la bite à l'air toujours tendue ! C'est quoi le deal : embrasser Hector contre une promesse de partouze ! Ça veut dire pouvoir caresser Fathia, la belle Fathia et son charme fou, et puis Gisèle, elle n'a pas l'air mal non plus ! Tout cela me tombe du ciel ! Et je me passerais de tels plaisirs simplement parce que je refuse de bécoter ce barbu ! Je suis vraiment le roi des cons !

 

- Embrasse-moi, je viens de changer d'avis !

- Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis !

 

Je ne sais pas ce que j'allais répliquer, mais de toute façon, me voici en état de ne pouvoir en placer une, il me plaque sa bouche contre la mienne, et me voici pour la première fois de ma vie en train de rouler une pelle à un mec, ça manquait à ma panoplie. Je mentirais en disant que ça m'excite, mais c'est loin d'être désagréable, je me laisse faire. L'autre insiste lourdement et en profite pour balader ses mains un peu partout, par-dessus les vêtements et surtout par-dessous, il me débraille complètement, si ça continue je vais me retrouver à poil, il a des mains partout ce mec, à ce point que mon pantalon finit par dégringoler, il termine du coup son étreinte, et finit de faire tomber mon slip, il me contourne et me tâte les fesses !

 

- Oh ! Quel joli petit cul ! Venez voir ça !

 

Les voilà tous en train de m'examiner le cul ! C'est un peu gênant tout de même, des mains se baladent, pas toutes d'ailleurs mais parmi celles qui le font, il y a celles de Fathia, et ça, ça m'excite un max ! Elle me triture les fesses, cherche à les écarter. 

 

- Un vrai petit cul de gonzesse ! Dit Fathia ! Humm, j'aimerais bien voir une bite lui rentrer dedans ! Ça te dirait Denis !

- Non ! Répond ce dernier !

 

Ouf ! Je ne me voyais pas me faire sodomiser par cet engin certes ravissant mais bien trop gros pour mon petit cul qui n'a pas fait ça très souvent, et en tous les cas pas récemment.

 

- Tant mieux ! Lui rétorque Fathia, je t'obligerais à le faire !

- Mais elle est complètement déchaînée, celle-ci ! Intervient la blonde Gisèle !

- Bon on fait quoi ? Dit Fathia en guise de réponse !

- On file à la maison, je suis trop excité, on va s'amuser un peu, et puis après, je ne sais pas, on ira bouffer, et puis on viendra bosser après, on mettra les bouchées doubles ! Propose Hector.

- Tu parles qu'on va mettre les bouchées doubles, on va foutre en l'air la journée, et on ne sera jamais prêt pour l'ouverture ! Proteste Gisèle

- Eh bien on bossera dimanche, et si on n'est pas prêt mardi, on ouvrira mercredi, après tout on ne vit qu'une fois !

- Bon allez-y sans moi, vous êtes peut-être excités comme des lapins, mais pas moi !

- Oh ! Gisèle ! Tu ne vas pas nous faire ça ?

- Mais si, allez vous amuser, moi je reste là, ça ne me gêne pas, j'ai les idées larges, j'en ai vu d'autres !

- Bon ben, tous les autres veulent venir ?

- Oui ! réponds Fathia

- Denis aussi ?

- Mais bien sûr qu'il va venir, il ne va pas me faire le coup de ne pas venir, hein Denis ?

- Heu !

- Bon on y va, mais avant je vais dire au revoir à Gisèle.

 

Et ce disant, Fathia s'approche alors très doucement, très lascivement de Gisèle :

 

- Tu joues à quoi, toi ? Demande la blonde.

- A rien ! Je viens te dire au revoir !

- Ne t'approche pas ! Sorcière !

- Sorcière ! C'est méchant ça les sorcières, je ne suis pas une sorcière, je serais plutôt une gentille fée, une gentille fée avec des doigts de fée !

- Tu arrêtes ton cinéma, s'il te plait !

- Tu veux que je me serve de mes doigts de fée ? Hein dis-le que tu voudrais bien !

- Laisse-moi travailler Fathia !

- Et si je m'en servais de mes doigts de fée pour te pincer tes jolis bouts de seins, pour les serrer les tirer, les tortiller.

- Fathia, arrête, s'il te plait !

- Dis-le que tu ne veux pas de mes mains sur tes seins, sur tes jolis seins !

- Je vais t'en retourner une !

- Ah ! Oui ! Essaye donc pour voir !

 

Elle s'approche encore, les deux femmes se font face !

 

- Interdit-moi de te toucher, si tu en es capable !

- Tu présumes de tes capacités, Fathia ! Oui, je te l'interdis !

- Tu me l'interdis, mais je le fais quand même !

 

Et elle joint alors le geste à la parole, Fathia lui a plaqué sa main gauche sur le sein droit, quant à sa main droite, elle va encore plus loin, recherchant le téton gauche sous le tissu, elle le déniche et passe ostensiblement ses doigts dessus pour l'exciter.

 

- T'es vraiment une salope !

- C'est pour ça que tu m'aimes ! Hein Gisèle ?

- Qu'est ce qui te fait croire ça ?

- Embrase-moi, que je te dise aurevoir comme il faut !

 

Gisèle est en sueur, elle semble subjuguée par le numéro de la jeune beurette, leurs visages se collent sans qu'il ne m'ait été possible de dire qui a fait le premier pas. Fathia continue de peloter sa complice, puis soudain se recule de cinquante centimètres :

 

- Dis-moi d'arrêter si tu veux !

 

Gisèle fait un geste de dénégation de la tête ! 

 

- Continue, tu as gagné !

- On t'emmène alors ?

- Ben oui, tu es vraiment une sorcière, une salope !

- Oui, mais j'ai la peau si douce !

- Une pute !

- Oui, mais je fais si bien l'amour !

 

Fin de matinée chez Monsieur Hector

 

Nous montons tous dans la voiture, Hector est au volant, Gisèle à ses côtés. Sur la banquette arrière, Fathia est coincée entre Denis et moi-même. On ne met pas impunément cinq obsédés sexuels dans la même caisse, me disais-je et j'attendais, persuadé qu'il allait se passer quelque chose. En fait il ne se passera rien, à ce point que je finis par me demander si Fathia n'avait pas reçu l'instruction formelle de Monsieur Hector de ne pas faire le zouave en voiture. Un peu déçu malgré tout ! M'emmènerait-on vers une partouze triste ? Vous savez le genre de machin à peine éclairé où tout se passe en catimini. Bof, pas grave, si ça ne me plait pas leur truc, je ne resterais pas. Je réalise à ce moment-là que j'aurais déjà dû depuis longtemps faire l'intervention nécessaire à ma boite. Il faudra que je me débrouille pour inventer un truc qui tienne la route. Ma rêverie s'interrompt soudain, une main s'est posée sur ma braguette et me procure un délicieux frisson. Je m'aperçois également que nous sommes sur le point de franchir le portail d'un parking d'immeuble. Nous sommes donc d'ores et déjà arrivé, le parcours aura été bien court.

 

Nous prenons l'ascenseur très sagement et nous voici arrivé dans un grand appartement décoré avec goût. Ces messieurs dames posent leur sac et leur manteau.

 

- Bon, on va se boire un petit coup ! Propose Hector.

 

Je constate alors avec amusement qu'Hector et Gisèle apportant sur la table quelques amuse-gueules traditionnels y déposèrent aussi dans une petite coupelle en osier une vingtaine de préservatifs ! C'est quand même un peu tôt pour boire l'apéritif, mais à circonstances exceptionnelles... Je mettrais donc que très peu de whisky dans mon coca-cola ! On discute, ou plutôt ils discutent autour des verres en grignotant des cacahuètes, me sentant un peu largué par la conversation.

 

- Bien, bien, bien, bien ! Dit soudain Fathia en posant son verre qu'elle vient de vider, puis en se frottant les mains tout en regardant l'assistance d'un air coquin !

- C'est à quel sujet ? Répond Hector en se moquant gentiment !

- On improvise ? Ou alors vous me laisser diriger un peu tout ça au début ?

- Hum... si tu dis ça c'est que tu dois avoir une idée derrière la tête !

- Ouais, on pourrait commencer par un petit spectacle ! 

 

On ne dit rien, on attend tous, essayant de deviner quel peut bien être le spectacle en question. Fathia pointe alors son index vers Denis !

 

- Toi !

- Moi ? Répond l'antillais tout étonné de se voir apostrophé ainsi.

- Oui, toi ! Ton frère m'a dit que tu savais faire un show un peu spécial !

- De quoi ? Il parle de trop mon frère ! Je ne fais pas de show !

- Il m'a pourtant donné des précisions !

- Quelles précisions ?

- Ça se passe sous la douche !

- Ah ! C'est de ça qu'il t'a parlé !

- Allez en piste !

- Vous savez ce n'est pas terrible, il faut pas vous attendre à des miracles !

- En piste j'te dis ! On est tous impatients de voir ça !

- Bon, ben alors faut que je me déshabille ?

- Ben oui, cette bonne blague !

 

Le Denis se débarrasse rapidement de ces vêtements. La situation doit l'exciter car sa bite est déjà à moitié raide.

 

- Bon elle est où la salle de bain ?

 

On lui montre, on le suit.

 

- Ah ! C'est ici ! Il va y avoir un problème, si je ferme le rideau de douche, vous n'allez rien voir, et si je le laisse ouvert ça va éclabousser !

- Bon, c'est pas un problème intervient Hector, on va tous se mettre à poil !

 

Et ce disant, il joint le geste à la parole, nous voilà tous en train, de nous déshabiller. Curieux, j'aurais préféré que les choses se passent autrement, plus progressivement. Tout cela est trop direct pour moi. Et puis il y a autre chose, je ne suis pas si bisexuel que ça, je veux dire que quand une belle femme est devant moi, je ne regarde plus les hommes ! Alors si en plus la femme en question est toute nue, je ne vous dis pas ! C'est dans ce contexte que je regardais nos deux gazelles ôter leurs vêtements. Elles sont vraiment très différentes, Fathia et sa peau velouté couleur de caramel est adorable, elle a des seins très moyens, mais fort mignons et terminés par des pointes très noires et très développées. Son minou est complètement glabre et elle possède une impressionnante cambrure de fesses. Le genre de truc qui attire la main de façon quasi magnétique, et d'ailleurs je ne sais ce qui me retient de le faire. Un coup d'œil sur Gisèle ! Ah ! Ce n'est pas le même genre, les deux femmes ont au moins 20 ans de différences. C'est une vraie blonde, les chattes ne savent pas mentir, sa peau est très blanche, presque laiteuse, sans aucune trace de bronzage, elle doit sans doute craindre le soleil. Sa poitrine un peu lourde à un fort bel aspect et sa vision me provoque d'intéressants frétillements au niveau de ma verge ! Par contre les fesses, ce n'est pas terrible, on ne peut pas tout avoir, en la matière celles de Fathia c'est véritablement la division supérieure ! Et ce qui devait arriver arriva, mettez-vous à ma place ! Et ma main se mit à caresser le joli postérieur de la petite beurette !

 

- Surtout ne te gêne pas, toi !

 

Elle dit ça histoire de dire quelque chose, le geste ne l'importune pas, elle se tourne néanmoins vers moi, à l'impression de me découvrir, et au moment où je l'attendais le moins, elle me pince un téton. Elle le serre entre le pouce et l'index, le tortille, le tire. J'adore cette caresse ! Comment l'a-t-elle devinée ? Et ma bite est cette fois toute raide !

 

- Tu vas voir tout à l'heure, tu ne perds rien pour attendre, ça va être ta fête ! Me dit-elle.

- Chic alors !

- Profites-en ! Continue à me peloter les fesses, de toute façon j'adore ça... et puis tout à l'heure tu n'en aurais peut-être plus l'occasion.

 

Voilà qui était bien énigmatique, mais je ne me faisais pas trop de soucis, et tout en en continuant négligemment de lui caresser le cul, je jetais plus par curiosité qu'autre chose un coup d'œil au carré de douche.

 

Le Denis était en train de se savonner, il ne lésinait pas sur la mousse, il y en avait partout ! Pas grand intérêt ! Je me demandais quel était ce fameux numéro ! Soudain l'antillais se retourna, nous présentant ses fesses, deux jolies petites fesses bien reluisantes du produit à douche, bien dodues, bien galbées, bien... Oh là ! Voilà que je fantasme en regardant les fesses d'un mec ! Ça ne va pas mieux, moi ce matin. Il passe ses mains dessus d'une façon très suggestive, les fait s'agiter avec ses reins, puis écarte les jambes, met les deux mains dans sa raie, sépare les globes, nous montre son trou du cul ! Ça devient très troublant, cette affaire-là ! Il enlève ses mains, puis les remets recommençant le mouvement, il se penche, écarte au maximum ses fesses, fait passer un doigt au-dessus et en dessous de son œillet, plusieurs fois de suite, puis se pénètre carrément, il s'encule avec l'index le faisant aller et venir dans son anus. De l'autre main il a attrapé son sexe et le fait basculer entre ses jambes. Il recommence plusieurs fois son manège, caresses, écartement, doigtage... 

 

Encore une nouvelle fois il s'écarte ses globes, son anus s'ouvre entre ses fesses, sa bite dépasse entre ses jambes écartées, la pose est délicieusement obscène. Que peut-il bien inventer d'autres à présent ? Rien, il n'invente rien, il ne bouge plus, il reste comme çà, s'offrant, attendant qu'on le pénètre !

 

Les choses se précipitèrent alors, Hector dont le sexe était comme le mien aussi raide qu'un pylône en béton, se saisit d'un préservatif et interpelle Fathia :

 

- Je peux y aller ! Ou tu as prévu autre chose ?

- Non, tu vas pouvoir y aller, mais il y a juste une condition !

- Qu'est-ce que tu as encore inventé ?

- Rien ! Mais tu ne vas quand même pas l'enculer sans qu'il te le demande !

- Mais bien sûr qu'il est d'accord, hein Denis, que tu veux bien que je t'encule ?

- Pas de problème ! Répond ce dernier

- Non pas comme ça ! On veut t'entendre lui demander !

- Qu'est-ce qu'il faut que je dise, alors ? Demande Denis

- D'après toi ?

- Bon, allez, je voudrais bien que tu viennes m'enculer, Hector !

 

Ce dernier ne se le fait pas dire deux fois, se saisit d'un préservatif et se précipite vers le cul offert de notre antillais allumeur. Mais il se précipite à une telle vitesse que ne prenant pas garde à la mousse glissante répandue sur le sol, le voici qui perd l'équilibre, et qui se retrouve par terre, il essaye de contrôler sa chute et accomplit alors l'exploit de se ramasser sans le moindre bobo !

 

Du coup l'assistance est pliée en deux et applaudit sa performance ! Mais très vite il reprend ses esprits et se consacre à la tâche qu'il la fait accourir si vite, il pelote un peu les fesses du petit black toujours retourné, il se colle derrière lui, parcourt des mains tout son corps, fait coulisser sa verge le long de la raie de ses fesses, puis il se recule un petit peu, présente son sexe à l'entrée de l'anus, pousse, pénètre, pousse encore, pénètre mieux puis se met à coulisser. Notre antillais est aux anges et pousse des petits cris de plaisirs. Puis Hector se retire. Il n'a pas joui, et n'a manifestement pas envie de le faire de suite, sans doute, se réserve-t-il pour la suite ! Il est content Hector, il nous sourit :

 

- Putain, quelle trouille j'ai eu ! Mais bon, vous avez vu, je n'ai rien de cassé !

- T'as eu du bol ! Lui répond Gisèle !

- Non, je sais me recevoir, moi, je ne suis pas comme Johan ! Réplique Hector, taquin.

- Oui, mais moi, c'est différent, on m'a lâchement poussé dans le dos ! 

- Oh ! Mais ce n'est pas bien du tout de faire des choses pareilles ! C'est dommage que l'on ne sache pas qui sait, parce que des actes comme ça, ça mérite une bonne fessée !

- Bon, alors c'est moi, je me dénonce ! Intervient Gisèle !

- C'est très bien de se dénoncer, reprend le mari, mais ça n'enlève pas la punition, Johan tu vas pouvoir lui foutre une bonne correction, mais on va d'abord sortir de là-dedans, c'est une véritable étuve !

 

On se sèche un peu, du moins ceux qui sont mouillés ou éclaboussés, on retourne dans le salon, on se ressert à boire, je constate avec satisfaction que personne ne force à outrance sur l'alcool. Cela m'aurait déplu que l'affaire tourne en beuverie.

 

Je m'assois sur le canapé, Gisèle vient se poser debout près de moi. Je croyais que cette histoire de fessée était une plaisanterie ! Pas du tout.

martine sp1

- Allez, tu m'en files 20 et bien fortes, et si je te dis d'arrêter, tu n'en tiens pas compte, tu continues ! Je veux que tu me fasses un cul tout rouge !

- Non pas 20 ! 30 intervient Fathia

- Non arrête ! Trente je ne pourrais pas !

- Alors 25 !

- Admettons ! Dit alors Gisèle en se couchant carrément sur mes cuisses, ses fesses à portée de mes mains. 

 

En matière de S.M. je suis beaucoup plus soumis que dominateur, mais il ne me déplait pas de temps à autre d'inverser les rôles. Ses fesses ne sont pas les plus belles de la terre (oh que j'aurais voulu que ce soit Fathia qui soit à sa place en ce moment, les choses ne se passent décidément jamais comme on le souhaite) mais la position les mettent en valeur, et d'instinct je lui flanque la première fessée !

 

- Plus fort !

 

Je fais ce que je veux, l'objectif n'est pas de l'abîmer quand même ! Je tape alternativement sur les deux fesses, de temps en temps je fais une pause et lui en caresse la peau, une vraie peau de blonde, légèrement granuleuse, mais loin d'être désagréable, j'alterne les deux fesses pour que le rougissement soit équilibré, au fur et mesure de ma frappe, je m'enhardis et ose aller plus fort.

 

- Aie !

- Tais-toi ! Répondis-je, me prenant au jeu !

- Moins fort !

- Je t'ai dit de te taire !

- Aie !

- Tu voulais un cul tout rouge, tu ne vas pas être déçue !

- Aie !

 

A ce stade, elle a réellement mal, les larmes qu'elle a au coin des yeux ne sont pas venues toutes seules ! J'hésite à continuer, mais elle ne me dit pas d'arrêter, et d'ailleurs elle m'a précisé de ne pas en tenir compte si elle le disait. Je suppose alors qu'elle prend un profond plaisir masochiste à cette situation. C'est elle-même qui en a indiqué les limites. Je continue. Encore trois coups.

 

- Aie, non ça suffit arrête !

- Vingt-quatre !

- Arrête, arrête, ça chauffe de trop ! 

- Vingt-cinq !

 

Je stoppe !

 

- Tu t'es trompé, il en manque un !

 

 

Elle se fout de moi ! Je rassemble toutes mes forces et lui en flanque une dernière, une double et magistrale ! Cette fois elle a eu son compte, elle se relève, me fait un petit bisou sur les lèvres :

 

- Hum tu es un amour !

 

Voilà qui me rend tout chose, que voulez-vous, je suis un sentimental !

 

On se refait une petite pause. Ça donne chaud, toutes ces conneries ! Et puis voici que Fathia vient se poser juste derrière moi ses mains m'entourent le torse et viennent à la hauteur de mes seins, elle en prend chaque pointe entre son pouce et son index et comme tout à l'heure les serre. Ce doit être un réflexe, Moi, on me fait ça, je bande !

 

- Vous avez vu ces tétons, au mec, dit-elle à la cantonade !

- Ils sont aussi gros que les miens ! Remarque Gisèle !

- C'est à force de me les faire tripoter, crois-je opportun de préciser.

- Faut être un peu maso pour se les faire tripoter comme ça, non ? Demande Fathia !

- T'as tout deviné ! Que je lui réponds.

- Hum... et si on lui faisait une petite domination à ma façon au Johan ! Hein !

 

Evidement tout le monde approuve et on ne me demande pas mon avis :

 

- A genoux, esclave ! Me dit-elle ! Et attend-moi, je reviens, je vais chercher quelques bricoles !

 

J'ai l'air fin à genoux comme ça au milieu de la pièce. Et en attendant que Fathia revienne, ces gens vaquent à des occupations variées et diverses, c'est ainsi qu'Hector s'amuse à faire une pipe à Denis tandis que Gisèle s'est emparée de deux glaçons et se les passe sur les fesses sans doute pour tenter d'apaiser la cuisson de la fessée que je lui ai administrée.

 

Fathia revient, elle s'est harnachée d'un gode ceinture. Je suis assez mitigé devant ce genre de trucs. Tout va dépendre ce qu'elle veut en faire et comment elle le fait !

 

- Allez suce !

 

J'obtempère ! C'est bien pour lui faire plaisir, sucer du plastique ne m'émeut guère :

 

- T'aime ça sucer des bites, hein ?

- Tant qu'à faire, je préférerais une vraie !

- Non, mais vous l'entendez, celui-là, il veut en sucer des vraies ! On s'est dégoté une vraie pédale ma parole !

- Hein, que tu es une vraie pédale ?

 

Comme jeu stupide c'est pas mal, mais la domination c'est comme le Monopoly, ça a ses règles !

 

- Oui, oui !

- Oui qui ?

 

Tiens qu'est-ce que je vous disais ?

 

- Oui, maîtresse !

- Bon, parle un peu moins et suce mieux que ça

 

Elle m'enfourne le truc en plastique au fond de la bouche, ça n'a rien de vraiment agréable, finalement au bout d'un moment je trouve le truc, il ne faut pas l'absorber par le milieu mais sur le côté, il finit ainsi par se bloquer au fond des joues et ne peut aller plus loin. Le cirque dure encore plusieurs minutes, avant qu'elle ne me le retire.

 

- Alors c'était bon ?

- C'était très bon, maîtresse !

- T'es un brave esclave ! Tu sais où je vais te le mettre maintenant ?

 

Ben, oui je le sais, c'est tellement évident, la bonne question aurait été de savoir si j'en ai envie, mais celle-ci elle ne se risquera pas à me la poser !

 

- Oui !

- Où ça !

- Dans le cul !

- Dans ton trou du cul de pédale ! Tu en jouis d'avance, hein esclave !

- Oui, maîtresse !

- Ben tu as tout faux, pour l'instant le programme ce n'est pas ça du tout !

 

Qu'est-ce que cette diablesse vient encore d'inventer ?

 

- Viens Hector, viens ma puce ! Dit-elle à ce dernier.

- Tu parles d'une puce ! Pouffe Gisèle qui n'a l'air de goûter que modérément cette interpellation familière.

 

Hector m'a écouté jusqu'ici avec intérêt et ne m'as pas interrompu :

 

- C'est curieux ce que tu dis " la domination c'est comme le Monopoly, ça a ses règles ! "

- Ben, oui la domination est un jeu, un jeu cela a des règles ! On peut les accepter ou les modifier, mais l'avantage des règles c'est qu'elles sont connues, on les applique tout de suite même si on ne se connaît pas très bien ! Vue comme ça, les expressions " oui, maîtresse ! ", ou " esclave " en sont que des conventions codées. Ce sont des mots de jeux comme " Echec et mat ", comme " Dix de der " !

- Mais elles ne sont pas obligatoires ?

- Bien sûr que non, un jeu est une convention entre individus, mais quand les règles sont connues d'avance c'est autant de temps de gagné… et ça n'empêche pas par la suite d'élaborer ses propres règles !

- O.K.

- Bon, je continue à lire !

 

Je crois alors à ce moment-là que Fathia va me donner la pine d'Hector à sucer, mais non, elle le fait se retourner, lui demande d'écarter ses fesses, de se pencher légèrement :

 

- Allez, suce-lui son cul !

 

Voilà une pratique qui ne me plait que modérément, comme je l'ai dit, je suis un peu bisexuel, mais pas au point de faire ce genre de choses.

 

- Non !

- Comment, non !

- Je ne fais pas cela !

- Essaie !

 

J'hésite, essayer n'engage à rien, mais comme ils ont l'air d'admettre que je puise refuser, pourquoi me forcerais-je ?

 

- Non, pas ça, désolé !

- Ok ! On n'insiste pas ! Me dit Fathia, mais je te parie que dans un quart d'heure tu vas le faire quand même !

- Je ne souhaite pas que l'on m'oblige à faire ça ! 

- On ne t'obligera pas !

 

Alors ça va, elle peut toujours courir !

 

- On va faire autre chose, assieds-toi sur la chaise, là, on va t'attacher ! Allez me dégotter de la ficelle !

 

Je suis là à poil sur une chaise, attendant que ces messieurs dames trouvent de quoi me ligoter. Ni Hector, ni Gisèle ne sont foutus de trouver de la ficelle dans leur baraque. Fathia fait semblant de s'énerver :

 

- Mais bon dieu, vous êtes nuls, allez me chercher, je ne sais pas moi, des écharpes, des foulards, de torchons, des collants.

 

Du coup les voici qui reviennent avec de quoi attacher au moins dix personnes. On me ligote les jambes aux pieds de la chaise et les poignets dans le dos. C'est une fois entravé que me reviennent en mémoire les articles que j'écrivais dans mon journal :

 

"N'acceptez jamais de vous faire attacher par des gens que vous ne connaissez à peine, personne n'est à l'abri d'un coup de folie !"

 

J'ai soudain un frisson dans le dos. Je pourrais demander qu'on me détache ! A quoi bon, si leurs intentions sont vraiment malveillantes, ça ne servira à rien ! J'ose simplement espérer que puisqu'ils sont quatre, la probabilité de tomber sur quatre frappadingues reste malgré tout assez faible !

 

- C'est pas très pratique pour le fouetter, remarque Gisèle !

- Mais pour l'instant je n'ai aucune intention de le fouetter ! Regardez bien tous, je vais vous faire un tour de magie ! Môssieur ne veut pas sucer le trou du cul d'Hector ! Bon ben dans dix minutes il aura changé d'avis !

- C'est un pari ?

- Si vous voulez, si je le perds, les hommes pourront me sodomiser !

- Et moi ? Demande alors Gisèle ?

- Toi, tu pourras me faire tout ce que tu veux !

 

Cinglée, elle est cinglée ! Je vérifie mes liens, mes poignets ne sont pas attachés trop fort, quelques contorsions devraient suffirent à desserrer le nœud. Si ça tourne mal, je tire ma révérence... mais je n'ai même pas l'impression que ça va mal tourner. 

 

Ça y est Fathia est face à moi, elle se caresse langoureusement :

 

- Alors, comment tu me trouves ?

- Superbe !

- Superbe, n'exagérons rien, mais c'est pas mal, tout ça, hein ?

- C'est même très bien !

 

Elle se colle devant moi et se penche de façon à me coller son téton à hauteur de mes lèvres. Ce doit être un réflexe, j'ouvre la bouche et me met à le téter.

 

- C'est bon, hein ?

- Délicieux !

- Un peu l'autre, il ne faut pas faire de jaloux !

 

Je suçote l'autre, tandis que ma bite pointe vers le ciel, raide comme une fusée Ariane prête au décollage. Elle se recule brusquement, c'est frustrant, j'étais pourtant occupé fort sainement !

 

- Voyons voir ces petits tétons de mec ! Me dit-elle.

 

Et joignant le geste à la parole, elle me les asticote du bout des doigts ! Oh là là, si elle se met à tripoter ma zone érogène, je ne vais plus me contrôler longtemps ! Elle me les prend entre le pouce et l'index du bout des ongles et de façon imperceptible elle augmente sa pression. Je soupire fortement, je frissonne, je suis bien, ça me plait, elle change ensuite la position de ses doigts, et cette fois elle met la pression immédiatement. Je crie !

 

- Ça fait mal ?

- Oui, mais c'est bon !

- Tu veux plus fort ?

- Oui !

- Comme ça ?

- Oui, encore !

- Tu as déjà essayé avec des pinces à linges ?

- Oui !

- Je te le ferai bien, mais ça va te faire très mal !

- Non, vas-y !

 

Elle cavale en chercher, revient avec deux belles pinces rouges et sans aucun préliminaires elle me les fixe sur le bout du téton. Aussi curieux que cela puisse paraître, la douleur est inférieure à celle de la pression manuelle ! Mais mes illusions sont de courtes durées, la diablesse sait parfaitement ce qu'elle fait ! Elle m'enlève quelques instants les pinces pour les refixer encore plus près de l'extrémité, là où sont rassemblées toutes les terminaisons nerveuses. Ça commence à faire sérieusement mal, mais c'est une douleur que je sais transcender, ça me plait, c'est bon et j'en redemande. Alors Fathia met ses doigts sur les pinces et augmente ainsi le serrement. Je hurle ! 

 

- J'arrête ou je continue ?

- Vas-y continue, c'est trop bon !

- Comme ça ?

- Aie ! Oui comme ça ! C'est un peu fort, mais ça va !

- Je continue alors ?

- Oui !

- Tu en as de la chance que je m'occupe de toi ! Tu vois, j'ai des vraies mains de fées !

- C'est vrai !

 

Et c'est à ce moment-là qu'elle retira ses mains se les planquant derrières ses fesses.

 

- Oh ! Elles ont disparues mes mains de fées, j'ai dû les perdre !

- C'est un nouveau jeu ?

- Non, non, je t'assure, elles sont perdues !

- Je suppose qu'il faut que je t'aide à les retrouver ?

- Ça c'est une bonne idée ! Parce que ça m'embête, je les aime bien mes petites mimines ! Surtout que ça te plaisait bien ce que je te faisais !

 

J'ignore où elle veut en venir ! Elle demande à Gisèle de me retirer les pinces, me fait un incroyable sourire de chatte, et puis continue son délire !

 

- Oh ! Je les ai retrouvées ! Je vais pouvoir continuer à te faire des petits trucs !

 

Elle attrape de nouveau mes seins, les tortille, me faisant pousser un nouveau cri de plaisir. Mais cela ne dure que quelques secondes, et elle remet à nouveau ses mains derrière elle !

 

- Ah zut, ça recommence ! C'est dommage hein ? Remarque, il suffit que tu dises le mot magique et on va continuer !

 

Ah ! Je crois comprendre ! 

 

- Continue maîtresse !

- Ah ! Tu m'appelles maîtresse, tu es un bon esclave alors !

- Oui maîtresse !

- Et un bon esclave, ça obéit à sa maîtresse !

- Oui maîtresse !

- Alors pourquoi tu m'as désobéi tout à l'heure ?

 

Putain, ça y est j'ai compris ! Fathia me remet les mains sur la pointe de mes seins mais sans serrer, juste une caresse d'une extrême sensualité ! Elle les laisse, ne les retire pas, les frôle, les pinces un tout petit peu, desserre. Je suis bandé comme un arc ! Elle appelle Hector et Denis !

 

- Venez les gars amenez vos bites !

 

Les deux hommes se mettent chacun d'un côté, tenant leur pine tendue à la main à quelques centimètre de mon visage. Ces deux petites choses si différentes ont en commun d'être mignonnes comme tout. Mignonnes à croquer ? Je ne sais pas ! A sucer, j'en suis sûr, car me voici en train de saliver littéralement

 

- Allez, admet que tu as désobéi à ta maîtresse !

- Je crois, oui !

- Dis-le !

- J'ai désobéi maîtresse !

- Tu vas lui lécher le cul, alors, à Hector ?

- Je crois bien que je suis obligé !

 

Je sais être bon joueur. D'autant que ces gens malgré le fait qu'ils soient complètement allumés m'ont l'air tout à fait corrects. Sans doute est-ce ma nature profondément masochiste qui me fait prendre un plaisir trouble à avouer avoir perdu et à en réaliser le gage ? Mais attention, je n'ai pas dit non plus que j'aurais accepté n'importe quoi ! Si quelque chose ne va pas, je peux toujours hurler et faire un scandale, je suis persuadé qu'on ne me retiendra pas et qu'on ne m'en tiendra pas une extrême rigueur. Je sais aussi que faire ce geste définitif me priverais d'une suite qui s'annonce de plus en plus chaude. Revenons à la pratique, j'ai en ce moment le cul d'Hector à sucer. Je me dis qu'il vaut mieux faire rapide, et précipite ma langue sur son œillet. Dieu merci, l'endroit est propre et l'affaire ne sera pas une corvée. Je le suce et surtout le lèche quelques minutes, puis pensant ma tâche accomplie, je me redresse avec la satisfaction du labeur accompli !

 

- Encore ! Je veux que ce soit mieux humecté ! m'ordonne Fathia !

 

Mille fois sur métier, etc... etc.. Qui a dit cela ? Pénélope, non ? Sacrée Pénélope ! Je remets ça, j'humecte du mieux que je peux, je lui fais carrément un trou du cul complètement baveux.

 

- C'est bon comme, ça, tu es un bon lèche cul !

 

Ben voyons !

 

- Allez casse-toi en deux, je vais t'enculer ! Dit alors Fathia à Hector !

- Tu ne vas tout de même pas enculer mon homme devant moi ! Proteste alors Gisèle. 

- Qu'est-ce t'as toi ? T'es jalouse ? Je t'enculerais tout à l'heure !

- Tu ne l'encules pas, c'est tout !

- Mais qu'est ce qui t'arrive, hier tu n'as rien dit !

- Hier on était entre nous !

- On était trois !

- Oui, ben aujourd'hui on est cinq, et on ne connaît pas bien ces deux messieurs, c'est ce qui fait toute la différence !

- Bon, ben je ne vais pas non plus créer une scène de ménage ! Tu vas devoir attendre Hector, je vais devoir ressortir mes talents de dompteuse !

 

Alors Fathia s'avance vers Gisèle !

 

- Retire ton gode, Fathia !

- Je n'en ai pas la moindre intention !

- Fathia je veux bien jouer, mais retire ton gode, sinon je me rhabille et je retourne au magasin !

 

Fathia semble hésiter, elle jette un coup d'œil à Hector, guettant un signe d'encouragement ou de désapprobation, mais l'homme reste de marbre ! Elle retire finalement son harnachement, mais on sent bien que ce n'est pas de gaieté de cœur.

 

Elle se dirige lentement vers Gisèle, puis saisie d'une idée soudaine, elle bifurque vers la cédéthéque, farfouille un instant, sort un CD, le place dans le lecteur et la salle s'envahit de la musique lancinante et suave de Natacha Atlas ! Fathia se met alors à danser. Ce n'est pas à proprement parler une danse du ventre, c'est d'ailleurs carrément n'importe quoi, c'est une invention à elle, mais c'est saisissant. Tout y passe, les fesses qui frétillent, les seins qui ondulent, le corps qui chavire et qui tourne, les jambes qui rythment la mesure, et les bras qui s'agitent, elle se déchaîne à une cadence effrénée, bientôt son corps se recouvre de gouttelettes de transpiration, puis ça commence à dégouliner carrément, sa peau brille de mille feux. J'ai rarement vu un truc aussi excitant. Hector et Denis se masturbent chacun de leur côté. Gisèle semble lutter pour ne pas en faire autant. Et moi, pauvre de moi, je suis toujours sur ma chaise, où personne n'aurait eu l'idée de venir me détacher !

 

On sent un moment qu'elle fatigue, à moins que ce soit de l'étourdissement, elle trébuche, se rattrape, le petit groupe se rapproche d'elle, un instant inquiet. Mais Fathia se reprend, les deux mains et les genoux posés au sol, elle continue à agiter ses seins qui ballottent de droite à gauche, puis elle pivote afin que son fessier soit bien dans l'axe de vision de Gisèle et se met à effectuer des mouvements de fesses s'ouvrant sa chatte de façon obscène. Obscène ais-je dis ? Non je le retire, une aussi belle chose ne saurait être obscène ! J'ai alors l'étrange vision de Gisèle qui porte un doigt à sa bouche, le mouille de sa salive, puis s'apercevant que je l'avais vu, stoppe malheureusement son geste ! Les étranges réserves de Gisèle la rendent encore plus désirable à mes yeux. Gisèle et Fathia se complètent, l'une érotise ses retenues tandis que l'autre déchaîne un cyclone de sensualité naturelle qui aurait été trop longtemps bridée.

 

- Viens ! Dit soudain Fathia à l'adresse de Gisèle et après avoir cessé tout mouvement

- Sorcière !

- Je sais ! Viens !

- Petite pute !

- Je sais, je suis tout ce que tu voudras, mais viens donc !

- Tu n'emploies pas des armes loyales, Fathia !

- Ce sont mes armes Gisèle ! Avance un petit peu plus s'il te plait !

- Tu dois avoir des illusions d'optique, pour l'instant je n'ai pas encore démarré !

- Si ! Dans ton esprit tu es déjà en route !

 

Alors Gisèle nous regarde, écarte et fait revenir ses bras sur ses hanches dans un signe d'impuissance absolue, et tout en avançant vers sa tentatrice, lâche avec fatalisme :

 

- Qu'est-ce que vous voulez que je lui réponde ?

 

Personne ne fait de commentaire. Gisèle s'est précipitée entre les fesses de Fathia et lape à grands coups de langue le mélange de sueur et de liqueur intime qui s'écoule sur ses globes. Puis elle se positionne au centre et lèche tout ce qui est à sa portée, un peu l'anus, c'est d'ailleurs curieusement par-là qu'elle commence, avant de plonger vers sa chatte humide qu'elle gobe littéralement. Et puis nous assistons à ce spectacle étonnant : Gisèle abandonne son étreinte un moment provoquant l'étonnement de sa partenaire qui conserve néanmoins sa position. La blonde se met alors sur le dos, ses pieds sous les fesses de Fathia, puis elle commence à ramper, son corps passe ainsi sous celui de la beurette. J'ai compris ce qui va maintenant se passer. Les chattes s'ajustent sur les bouches, les langues se synchronisent, le soixante-neuf a démarré. Il durera un certain temps. Les filles ne changeront pas de position, mais outre l'excitation que cette vision nous procure quelques mini scènes virent ponctuer l'acte de façon savoureuse. C'est d'abord Gisèle qui interrompant son travail l'espace d'une seconde se met à crier à tue-tête :

 

- Putain qu'est-ce que ça peut être bon !

 

C'est Fathia qui ramasse sur la cuisse de Gisèle un surplus de cyprine avec le plat de la main, qui le ramène à sa source et qui le lape.

 

Mais c'est aussi Denis qui n'en pouvant plus et perdant toute retenue s'approche bite bandée du cul de Fathia, prêt à la pénétrer en s'excitant de ses propres mots :

 

- Je vais t'enculer, petite pute !

 

Et qui l'aurait sans doute fait si la petite beurette interrompant l'espace d'une seconde son labeur ne lui avait pas glissé de façon assassine :

 

- Tu me parles autrement ! S'il te plait !

 

Dépité, il ira se finir dans un kleenex. 

 

Je demande à Hector de me détacher, il le fait. Ça fait du bien de se dégourdir les jambes. J'avoue que je jouirais bien, mais je n'ai pas trop envie de prendre des initiatives. Du côté de nos deux filoutes, ça commence à s'agiter de plus en plus frénétiquement, les râles de plaisir se font de plus en plus rapprochés et de plus en plus rauques. C'est Gisèle qui jouira la première atteinte d'étranges soubresauts, mais s'efforçant néanmoins de ne pas lâcher sa partenaire qui la suivra quelques brefs instants plus tard. Les deux femmes sont épuisées, elles sont collées l'une contre l'autre, ne bougent plus. Si ça continue, elles sont capables de s'endormir comme ça ! Finalement c'est Fathia qui sort de sa torpeur, quitte sa position mais reste à quatre pattes et vient embrasser Gisèle sur ses lèvres. Elle lui chuchote on ne sait trop quoi dans le creux de l'oreille. L'autre rigole comme une folle…

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eddy
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Mardi 27 juillet 2021 2 27 /07 /Juil /2021 08:47

Les pérégrinations érotiques d‘un buveur de bière

Par Alexis Defond-Rossignol

Gs2

 

Prologue

 

– Garçon tu nous remets ça ! La même chose !

 

Le garçon de café au teint blanchâtre nous resservit pour la troisième fois nos demis débordant d’une mousse qu’il rasa de sa spatule d’un geste très professionnel.

 

– Tu m’as dit l’autre fois que tu ne croyais pas aux horoscopes ! Qu’il me dit Marcel !

– Ce n’est pas de l’horoscope ! C’est l’influence de la Lune, ça n’a rien à voir !

– Elle fait quoi la Lune ?

– Ben, elle fait les marées, c’est déjà pas mal !

– Si ça se trouve ce n’est même pas vrai !

– Mais si c’est vrai, c’est scientifique !

– Pfeu ! Les scientifiques, alors pourquoi la Méditerranée elle n’a pas de marée ?

– On s’en fout, Marcel, ce n’est pas le sujet !

– C’est quoi déjà le sujet ?

– Le sujet c’est que quand c’est la pleine lune, je suis en rut… je bande encore plus que d’habitude !

– Ça me fait penser aux films avec les loups-garous !

– Tu dis ça en rigolant mais c’est le même phénomène !

– Qu’est-ce qu’il y a à la télé ce soir ?

– Alors elle ne t’intéresse pas mon histoire ?

– Quelle histoire ?

– Mon histoire de cul !

– Si ! Si !

– Je te la raconte ou pas ?

– Raconte ! Raconte !

– Allez viens t’asseoir !

– Ok c’est ma tournée !

– Dis Marcel, comment je suis ?

– Hein ? Normal, pourquoi ?

– Non, décris-moi !

– Te décrire ? T’as oublié comment tu étais ?

– Mais non, con ! C’est pour les lecteurs !

– Ah, bon ! Alors sachez, amis lecteurs, qu’Alexis, mon copain est grand, brun, qu’il a d’épais sourcils, des lèvres charnues, de beaux yeux sombres et la peau mate, le type comment dire…

– Espagnol ?

– C’est ça, espagnol !

– Olé ! C’est tout ?

– Non, il est coiffé à la Clark Gable, toujours très élégant, la quarantaine, sportif, et un joyeux compagnon de table…

– Et puis…

– Et puis il adore les femmes !

– Olé ! Et maintenant écoute bien, Marcel, ouvre bien grande tes portugaises et vous amis lecteurs faites-moi le plaisir de vous laisser narrer ces anecdotes tirées de mes pérégrinations nocturnes (et diurnes également)

 

1 – Le récit d’Alexis

 

C’était une nuit de pleine lune, et en rentrant à la maison, j’avais une grosse envie de sexe. D’habitude quand ça m’arrive j’attrape un bouquin de cul qui traîne sous la table de nuit de ma femme pour me branler. Mais là, j’ai eu envie de cul pervers et sans limites… Alors quand elle est rentrée, je lui ai dit de s’habiller sexy, que j’allais l’emmener à Paris au restaurant. Je l’ai même surveillée tandis qu’elle s’habillait, dirigeant ses choix vers des bas noirs, une longue jupe et un chemisier… lorsqu’elle a attrapé une jolie culotte dans son armoire, je lui ai dit que ça elle n’en aurait sûrement pas besoin. Ignorant ses questions, je l’ai enlacée pour le plaisir de la caresser sans culotte, passant mes doigts dans sa raie : génial !

 

– Elle est comment ta femme ?

– Comment ça comment ?

– Blonde, brune, rousse ?

– Mais je te l’ai déjà dit !

– Mais les lecteurs, Alexis, les lecteurs !

– Monique est blonde (fausse), bientôt la quarantaine, taille moyenne, un visage d’ange, de beaux yeux bleus, une belle et forte poitrine, et la voix pleine de miel !

 

Nous sommes donc partis en voiture, je n’ai pas pu m’empêcher de lui caresser les cuisses et la chatte pendant le voyage. Puis nous sommes arrivés pas trop loin de la rue St Denis…

 

2 – Cinoche

 

Je l’ai emmenée au restaurant japonais, on a bien mangé, on a parlé de tout et de rien, puis à la fin du repas, je lui ai proposé un ciné… Elle aime bien le cinéma ma femme… Alors je l’ai emmenée dans l’une des dernières salles qui passe encore des films cochons en boucle. Nous nous sommes assis au fond de la salle, deux pervers se trituraient mutuellement le manche. Mon cœur qui ne s’attendait pas vraiment à ça avait l’air plutôt surprise et assez contente. Elle a posé la main sur ma braguette et m’a caressé la queue. J’ai placé ma main sur ses cuisses qu’elle a écartées en grand, puis j’ai remonté sa jupe. Ne pas avoir de culotte à dépasser, c’est vraiment un plaisir, elle ne quittait pas l’écran des yeux, mais je voyais bien qu’elle appréciait d’avoir ma main sur la motte et un doigt dans la chatte. Quand elle a voulu sortir mon sexe de mon pantalon, j’ai refusé. D’après mon plan, ça n’était pas la dernière étape de la soirée, j’allais attendre un peu pour en profiter pleinement. Pour ne pas céder à la tentation, je suis passé entre ses jambes et j’ai collé ma bouche à sa chatte. Le goût de son excitation était meilleur que d’habitude, elle regardait le film, les mains dans mes cheveux, et souriait. Sur l’écran, une jolie blonde un peu rondelette se faisait prendre par le cul et suçait un black avec un braquemart géant. J’entendais les soupirs de ma femme se mêler aux cris étouffés de cette salope américaine, c’était très excitant… Ma langue a accéléré sur son clito, ses hanches se sont mises à onduler au rythme de la musique, de plus en plus vite, et Monique a fini par jouir en gémissant très fort. J’ai reçu un flot de mouille dans la bouche que je me suis empressé de savourer. Le black a éjaculé dans la bouche de la fille, les gémissements de tout ce monde m’ont donné une autre idée…

 

Nous nous sommes levés, de la mouille coulait le long des jambes de ma femme, j’ai passé mes doigts pour ne rien perdre, je lui en ai même fait goûter un, elle l’a léché en me regardant d’un air pervers, je me suis dit que ce serait le moment ou jamais d’exécuter cette fameuse idée. Mais voilà que ma tendre me dit avoir une forte envie de pisser. Elle m’a demandé de l’accompagner aux toilettes du ciné car elle n’avait pas trop confiance. On est entré, ça ne sentait pas très bon et un mec était en train d’en sucer un autre, tandis que trois autres types les regardaient en se masturbant. Deux d’entre eux se sont alors avancés vers Monique. Elle a pris peur et nous nous sommes enfuis.

 

– Ce n’est pas très sentimental, ton truc ! Qu’il me fait observer le Marcel

– Je sais, mais mes sentiments, je n’en fais pas profiter tout le monde, par contre mes excitations je peux les faire partager !

– C’est de la porno pure, alors ?

– Oui, mais je le revendique ! J’ai lu une critique sur un site Internet qui disait que les ébats sexuels étaient plus difficiles à écrire que ce qu’il y a autour !

– Autour il y a des poils !

– Qu’est-ce que tu es con, dès fois !

– Faut bien rire !

– Tout doit pouvoir exister, le porno en tant que partie chaude d’un récit quelconque, mais aussi le porno pur, du moment que ce n’est ni crade ni dégradant…

– Continue, Alexis !

– La règle c’est « pas de ghetto ! »

– Continue, Alexis, j’ai compris.

 

3 – La boite

 

Le cœur un peu accéléré, nous sommes sortis du ciné, et ne pouvant contenir son envie de pisser, elle s’est accroupie entre deux voitures en stationnement. Deux types s’arrêtèrent pour la mater.

 

– Et alors ! Dit-elle en les interpellant. Vous n’avez jamais vu une femme en train de pisser ?

 

Les deux hurluberlus un peu vexés s’en allèrent sans insister, je restais donc le seul mateur ! Voici un privilège intéressant ! Elle n’avait rien pour s’essuyer, pas grave ! Je l’ai emmenée ensuite dans une rue un peu plus loin (où j’étais déjà allé avant de la rencontrer). Un vieux rideau de velours rouge cachait l’entrée, je l’ai écarté et j’ai fait entrer ma femme. Elle a marqué un temps d’arrêt devant ce qu’elle découvrait, un escalier d’où venait de la musique, gardé par deux baraqués en costumes. Ils lui ont souris et m’ont fait un signe de tête et nous sommes descendus.

 

En bas, en plus de la musique, nous entendions des cris de plaisir et de jouissance. Une belle asiatique nue s’est approchée de ma femme, un téléphone portable à la main et lui a expliqué que le prix d’entrée était une photo de sa chatte. A mon grand étonnement, ma femme ne s’est pas démontée, elle s’est retournée, s’est penchée bien en avant, les jambes écartées et a remonté sa jupe pour que la belle hôtesse puisse voir à la fois son cul et sa moule. L’asiatique a fait sa photo, l’a immédiatement envoyé sur une imprimante et l’a épinglée au mur près de centaines d’autres… La pièce suivante était très sombre, un bar occupait la partie gauche et le reste était meublé de divans rouge sombre sur lesquels des clients, nus ou habillés (ou un peu les deux), buvaient, parlaient ou baisaient… Ma femme s’est retournée vers moi, ses yeux pétillaient, sa langue est passée sur ses lèvres et elle m’a embrassé à pleine bouche comme jamais elle ne l’avait fait.

 

– J’ai besoin d’un alcool fort ! Me dit-elle.

 

Nous avons alors pris un verre au bar avant d’aller s’asseoir sur un divan libre au fond de la pièce. Sur le divan le plus proche de nous, une jeune femme à quatre pattes se faisait prendre par derrière et elle semblait aimer ça, une jolie femme, probablement antillaise avec un visage très doux, des petites lunettes et des cheveux bouclés. Le visage figé d’étonnement, ma femme s’est mise à la fixer. J’allais lui faire une réflexion lorsque la jeune femme l’a vu et a pris le même regard éberlué. Elle s’est retournée vers le mec lui disant d’aller se finir avec quelqu’un d’autre et elle est venue s’asseoir près de Monique qui n’avait toujours pas bougé. Et là, elles se sont mises à parler en même temps. J’ai cru comprendre que c’était une amie d’enfance de ma femme. Dès fois le monde est petit ! Eh bien, elle pourrait m’en ramener tous les jours des amies de ce genre là…

 

Je les ai laissées à leurs souvenirs pour aller faire le tour de la boite. J’ai ainsi découvert qu’il y avait plusieurs pièces dans lesquelles l’activité principale était la même : le CUL ! J’ai même été entrepris par une femme assez mûre qui a sorti ma queue et s’est mise à la sucer. Je l’ai laissée faire un peu, puis je suis parti, elle s’est retournée vers un autre et a recommencé à sucer… j’ai été faire un tour aux toilettes, j’avais envie de pisser. Surprise, une belle femme complètement nue et aux formes sculpturales se faisait pisser dessus par deux mecs. Ça avait l’air de lui plaire, et comme je m’approchais de l’urinoir, elle m’a fait signe que je pouvais aussi l’asperger. La chose n’était pas très facile parce que j’étais assez excité par la chose, et que pisser en bandant ce n’est vraiment pas évident, mais je fini par y arriver. L’un des deux hommes lorgnait à fond sur ma bite, et à un moment sa main s’approchait impunément de mon organe. J’hésitais un peu sur la conduite à tenir, mais finalement je le laissais faire, il me branla quelques instants, mais je lui fis signe que je ne tenais pas à jouir si vite, ni dans de telles conditions

 

– Je te la suce un peu alors ? Juste un peu !

– Juste un peu d’accord !

 

Me voici en train de me faire tailler une pipe par un mec, on aura tout vu ! Et non seulement je n’ai pas honte, mais ça aurait plutôt tendance à m’exciter. Il va falloir que je consulte mon sexologue ! Ou plutôt non, je ne consulterais personne, je fais ce que je veux de mon corps, du moment que je n’emmerde pas le monde, et que l’on ne m’emmerde pas.

 

Lorsque je suis revenu dans la pièce centrale, je suis allé chercher un autre verre, Monique et sa copine étaient toujours en train de parler. Je suis retourné près d’elles, j’ai roulé une pelle à Marie-Laurence, cette jolie blackette, histoire de lui dire bonjour et je me suis installé derrière Monique. Elles étaient en train de se raconter ce qu’elles faisaient là. Marie-Laurence expliquait :

 

– Je viens presque une fois par mois, avec mon mec du moment. Je prends mon pied et j’aime vraiment ça !

 

Pendant qu’elles parlaient, j’ai passé mes mains sur les seins de Monique qui m’a laissé faire, alors je lui ai enlevé son chemisier, son soutien-gorge et sa jupe. Elle s’est retrouvée en bas et escarpins. Elle racontait à son amie la séance de cinéma que nous venions de vivre. Je me suis levé et je me suis mis devant elles en disant que je m’ennuyais. Elles se sont regardées et excusées auprès de moi, puis, avec un sourire coquin se sont occupées de me déshabiller. J’ai eu vite fait moi aussi de me retrouver à poil. Monique tenait ma bite dans sa main et a attrapé le cou de Marie-Laurence et l’a poussée vers moi, j’ai senti sa bouche glisser sur ma queue, sa langue sur mon gland et je regardais ma femme, qui d’un air vraiment vicieux me faisait sucer la bite par une amie d’enfance… Là-dessus, un mec est arrivé en souriant, Marie-Laurence a arrêté de me sucer pour nous présenter :

 

– Voici Corentin, c’est le mari d’une de mes amies, Florence, qui doit être un peu plus loin.

 

Corentin est un petit moustachu très dégarni et au visage très jovial. Marie-Laurence lui a demandé d’aller chercher sa femme pour nous présenter. Elle s’est remise au travail avec l’aide de Monique jusqu’à ce qu’ils reviennent.

 

Florence était très bien faite aussi, une grande fille à la peau un peu pâle, les cheveux assez courts décolorés auburn. Nous nous sommes embrassés (finalement, je crois que se faire une pelle pour se dire bonjour est une bonne idée), puis elle s’est assise à côté des deux autres pour les aider à me bouffer la queue. Je ne sais pas si ça vous est déjà arrivé de se faire sucer par trois jolies filles, mais c’est une expérience à tenter et à retenter… Corentin les a fait mettre à genoux sur le divan toutes les trois et pendant qu’elles essayaient d’emboucher ma bite, il s’amusait à rentrer dans l’une d’elles puis ressortait, puis passait à l’autre et ainsi de suite. Ce jeu-là nous amusait tous les cinq. Marie-Laurence s’est levée, puis avec un air coquin a installé la bite de Corentin dans la chatte de ma femme et la mienne dans celle de Florence. A genoux, l’une dans le sens contraire de l’autre, elles regardaient avec des yeux vagues leur mari baiser l’autre. Monique regardait à tour de rôle ma bite entrer entre les jambes de Florence et mon visage (je devais avoir l’air d’un gamin devant un tas de cadeaux à Noël). Marie-Laurence passait de l’une à l’autre, leur caressant les fesses, les seins ou les embrassant à pleine bouche. Monique n’a pas tardé à jouir, bientôt suivie de Florence. J’ai alors attrapé Marie-Laurence qui me plaisait bien et je l’ai allongée sur un divan à côté, puis je me suis allongé dessus et je l’ai pénétré. Sa moule était accueillante et j’aimais bien le contraste entre l’intérieur de sa chatte rose et très mouillée et sa belle peau noire couleur de chocolat à croquer. A un moment de nos ébats, la bite de Corentin est passée près de mon visage, me provoquant un trouble bizarre. Je pensais qu’il s’agissait d’un hasard, mais sa bite restait là à quelques centimètres de ma bouche.

 

– Suce-le ! Me dit Florence, il adore aussi se faire sucer par un homme.

 

Je me mis à le sucer un petit peu, puis Florence et Monique prirent le relais et sucèrent Corentin jusqu’à ce qu’il leur jouisse sur le visage, puis elles ont chacune léché les restes de foutre sur le visage de l’autre… Je n’aurai jamais imaginé ma femme capable de ça, de sucer un mec devant moi, d’avaler son sperme, de se faire baiser parmi tant de gens et de trouver ça bien. Et encore moins d’embrasser une autre femme, de lui caresser les seins ou de lécher son visage à la recherche d’une dernière goutte de foutre. Elle s’est ensuite installée à califourchon sur le visage de Marie-Laurence pour se faire faire un nettoyage en règle. Corentin et Florence l’ont suivi et l’ont embrassée et caressée pendant ce temps. J’ai joui très vite sur le ventre de Marie-Laurence qui criait son plaisir, et les deux autres sont allées chercher mon foutre dans ses poils avant de le partager avec elle.

 

Devant ce tableau, Corentin eu vite fait de retrouver une forme correcte et moi aussi. Nous nous sommes jetés sur les femmes et avons chacun pris la femme de l’autre. Cette fois ci, Florence s’est mise au-dessus de moi, s’empalant sur ma queue. C’était un vrai plaisir de la voir vraiment, de lui embrasser les seins et le cou pendant qu’elle bougeait de plus en plus frénétiquement sur mon sexe. Corentin avait repris ma femme en levrette et je devinais à son visage qu’il y trouvait son compte, elle aussi d’ailleurs. Marie-Laurence profita de ma position pour venir s’asseoir sur moi. J’écartais d’un doigt ses lèvres pour poser ma langue sur son clito. Les deux filles se sont mises à aller et venir de plus en plus vite, haletant de plus en plus fort et nous avons joui tous les trois en même temps, je sentais de la mouille de femme me couler en même temps sur le menton et sur les couilles.

 

Ensuite elles ont échangé, Florence est venue m’embrasser et récupérer ce qu’elle pouvait de la mouille de Marie-Laurence et celle-ci est partie nettoyer ma queue de mon sperme et de la mouille de Florence. Je vis alors le visage de Monique curieusement déformé, Corentin la pilonnait toujours par derrière et je devinais que cette fois-ci, il assaillait son petit trou. Curieusement, ça ne m’embêta pas qu’elle se fasse enculer pour la première fois par un autre, mais à partir de maintenant, elle ne pourrait plus me le refuser. Avec Florence et Marie-Laurence, nous nous sommes approchés d’eux. Monique, dans un souffle, me dit qu’elle n’imaginait pas ça si bien. Je lui ai demandé de s’expliquer pour le plaisir de lui faire dire des mots cochons. Elle me dit qu’elle aimait se faire enculer et baiser par tous les trous. Je lui répondis que j’étais content que ça lui plaise, puis, encore pour le plaisir de faire un truc pervers, j’ai léché la pointe des seins de Florence en la regardant dans les yeux. Monique avait l’air de prendre du plaisir à me voir faire ça, j’étais content.

 

Lorsque Corentin a joui dans son cul, Monique a poussé un énorme cri de jouissance et s’est affalée sur le divan. Nous sommes restés là, tous les cinq, pendant quelques minutes, les uns sur les autres avant d’avoir la force de bouger, comme si le cri de Monique nous avait tous vidés de notre énergie. Marie-Laurence n’avait même pas la force de se lever pour pisser et se pissait allégrement dessus. Du coup Corentin sorti de sa torpeur et entrepris de lui lécher son ventre et ses cuisses trempées d’urine ! Quel cochon, ce Corentin. Puis nous nous sommes rhabillés et nous sommes partis. Dehors devant la boite, nous avons échangé numéros de téléphone et adresse. J’ai embrassé Florence et Marie-Laurence pendant que Corentin prenait Monique dans ses bras. Sur le chemin du retour, nous n’avons pas dit grand-chose, mais nous savions tous les deux le plaisir qu’avait pris l’autre, du plaisir pour le plaisir.

 

4 – Chez Marie-Laurence

 

Le mercredi suivant, Marie-Laurence vint manger à la maison, nous avons passé une bonne et chaude soirée et elle nous a invités chez elle pour son anniversaire le samedi suivant. Elle précisa, le sourire aux lèvres, que Florence et Corentin seraient là…

 

Le samedi, avant d’aller chez Marie-Laurence, nous sommes repassés rue Saint-Denis, effectivement, Monique avait une bonne idée de cadeau à acheter à son ami d’enfance, un double gode ceinture c’est à dire que de part et d’autre de la ceinture il y avait deux godes dont l’un pour pénétrer dans la chatte de la fille qui mettrait la ceinture. Lorsque nous sommes arrivés chez Marie-Laurence, Florence et Corentin étaient déjà là. Les filles avaient fait des efforts pour être sexy sans être vulgaires et étaient vraiment très belles. J’espérais que la soirée serait aussi sympa que la précédente. Nous avons pris l’apéro en discutant comme on le fait toujours dans ce genre de repas, rien ne laissait suggérer dans nos paroles ou dans nos gestes la séance de samedi dernier ou la partouze qui, je l’espérais, allait clôturer cette soirée-là.

 

Ce n’est qu’au dessert, après avoir bien bu, que les allusions salaces et les promesses lubriques sont apparues. Nous sommes passés au salon et Marie-Laurence a déballé ses cadeaux, la ceinture gode lui a manifestement fait plaisir, ainsi qu’à Florence qui voyait tout l’intérêt d’un ustensile de ce genre. Corentin et sa femme avaient jeté leur dévolu sur une série de sous-vêtements très excitants. Une guêpière blanche tout en dentelle, un soutien-gorge tout petit et un slip encore plus minuscule et enfin un body noir en dentelle, fendu entre les jambes et ouvert au niveau des seins de manière à ce qu’on puisse les atteindre sans être gêné. Corentin eut alors une idée lumineuse, il me regardait et dit :

 

– Viens, nous allons la préparer pour nos femmes…

 

Marie-Laurence nous a suivis jusque dans sa chambre. Nous l’avons déshabillée et caressée partout. Une fois nue, nous l’avons allongée sur le lit et pendant que je lui pétrissais et embrassais les seins, Corentin lui léchait la chatte, Marie-Laurence haletait, ondulant des hanches sous les coups de langue. Lorsqu’il s’arrêta, elle en voulait encore, mais la suite serait beaucoup plus… « orgasmique ». Nous lui avons passé le body, puis posé la ceinture, faisant bien attention que le petit bout lui entre bien au fond du minou.

 

Elle était magnifique, perchée sur des hauts talons, les seins sortant de la dentelle et une queue bien tendue entre les jambes. Nous sommes retournés au salon, Florence et Monique attendaient sagement notre retour en discutant. Elles se sont tues et Marie-Laurence a pris le commandement des opérations. Elle a ordonné à nos épouses de nous mettre à poil lentement. Ce qui fut fait de manière très sensuelle, j’ai pu remarquer que nous étions tous les deux très excités. Ensuite, sur ordre de Marie-Laurence, elles nous ont sucées. Puis nous avons dû les déshabiller et les lécher.

 

Marie-Laurence a ensuite voulu que les filles se mettent à quatre pattes sur le canapé et que nous les prenions lentement dans la chatte. J’ai enfilé ma queue dans le sexe de ma femme déjà tout chaud en regardant Florence sourire en sentant celle de son mari entrer en elle. Lentement, en suivant le même rythme, nous avons limé nos femmes, puis Marie-Laurence nous a ordonnés de nous asseoir, elle s’est mise derrière Florence et a rentré son sexe en elle. Florence grimaçait en sentant passer ce membre en plastique plus large et plus long qu’une queue humaine. Puis Marie-Laurence, en faisant une remarque sur l’utilité du gode lui rentrant dans la chatte pendant qu’elle baisait, a accéléré. Elle s’acharnait sur Florence de plus en plus vite en caressant le cul de ma femme. Elles gémissaient de plus en plus fort, Marie-Laurence enfourna un doigt dans la moule trempée de Monique qui semblait désirer aussi le gode. Un orgasme puissant arracha Florence à la queue de Marie-Laurence qui vint la planter dans Monique. Elles jouirent en même temps, s’affalant sur le canapé. Florence a enlevé la ceinture de Marie-Laurence et je l’ai aidée à se l’installer.

 

Puis elle s’est assise sur le canapé et a demandé à Marie-Laurence de venir s’installer dessus. Elle ne s’est pas fait prier, bien que ses mouvements soient lents et lourds après son orgasme. Elle s’est empalée dessus, Florence lui léchait les seins. Monique s’est emparée de ma queue et m’a conduit vers le cul de Marie-Laurence, puis plaçant mon gland sur son trou du cul serré m’a ordonné de l’enculer. Son trou était étroit, mais en y allant doucement, j’ai réussi à tout lui entrer. Marie-Laurence, la tête dans le cou de Florence étouffait des gémissements. Je sentais le gode dans sa chatte, à travers la fine paroi. Monique a ensuite attrapé Corentin et l’a conduit de l’autre côté du canapé, puis a demandé à Marie-Laurence d’emboucher sa queue bien tendue.

 

Une bite dans chaque trou, cette dernière a commencé à s’agiter, elle gémissait de plus en plus fort. Soudain, tout son corps s’est tendu, elle s’est cabrée dans un cri et est retombée sur Florence sans pouvoir bouger. Je n’avais jamais vu quelqu’un perdre connaissance d’avoir trop joui. Je l’ai portée sur un fauteuil à côté et j’ai fait signe à ma femme de s’installer. Elle ne s’est pas fait prier, mais j’ai eu du mal à lui entrer ma queue dans le cul tellement elle s’agitait sur le gode. Florence a posé ses mains sur ses fesses et les a écartées pour m’aider. Ma bite est entrée toute seule, d’un coup, Monique ne bougeait plus, elle semblait profiter de la situation. La bite de Corentin dans la bouche, la mienne dans le cul et un gode dans la chatte, elle gémissait et criait.

 

Corentin a joui le premier, déversant tout son foutre dans la bouche de ma femme qui embrassa ensuite Florence pour partager avec elle la semence de son mari. J’ai ensuite inondé les intestins de ma femme avec mon sperme et les deux filles ont joui quelques instants plus tard. Nous sommes restés longtemps sans bouger, puis Marie-Laurence s’est réveillée. Les filles l’ont emmenée dans la salle de bain. Corentin et moi nous nous doutions qu’elles allaient y faire des bêtises, Marie-Laurence pénétra la première dans la baignoire et resta debout, mais demanda aux deux autres filles de s’asseoir de part et d’autre d’elles. Puis elle se mit à pisser, aspergeant Monique et Florence d’une abondante douche dorée. Monique avait l’air très surprise, mais Florence en redemandait, recueillant même l’urine dans le creux de sa main pour la laper. Puis Marie-Laurence et Florence intervertirent leur position.

 

Corentin et moi bandions comme des cerfs, et je pensais à me jeter dans cette mêlée humide quand je sentis la main de Corentin se placer sur mon sexe chaud. Il m’invita à faire de même avec sa propre queue. Nous voici donc en train de nous branler mutuellement, moi qui traitais de pervers les deux mecs du cinéma qui faisait pareil l’autre jour ! Comme quoi il ne faut jamais dire fontaine ! Corentin se mit ensuite à genoux devant moi et se mit à me sucer, je me laissais faire, mais je n’étais pas au bout de mes surprises :

 

– Je veux que tu m’encules ! Me dit-il soudain !

 

Et sans attendre de réponse, il partit chercher un préservatif qu’il m’installa sur ma queue, il se pencha ensuite en avant et écarta ses fesses. Sans trop essayer de comprendre dans quoi je m’embarquais, je pénétrais assez facilement dans ce cul masculin que je labourais consciencieusement. C’est à ce moment-là que nos trois grâces (ou nos trois garces) sortirent de la douche et nous surprirent ! Monique faisait une drôle de bobine mais Florence prenait cela du bon côté !

 

– Regardez comme ils sont mignons !

 

Quand même, Monique n’arrivait pas encore à s’y faire !

 

– Faudra m’expliquer ! Tu as trois femmes à ta disposition, je ne suis pas jalouse, et il faut que tu aille enculer un mec ! Tu es devenu pédé ou quoi ?

– On fait bien des trucs entre nous, intervint Marie-Laurence, alors pourquoi, eux ils n’auraient pas le droit ?

– Ben oui, elle a raison, reprit Florence, regarde mon Corentin comme il apprécie, d’ailleurs je ne vois pas pourquoi le plaisir anal serait réservé aux femmes !

– Bon, bon ! Admit Monique !

 

Excité par l’étrangeté de la scène et par les encouragements des filles, je me mis à décharger dans le cul de Corentin qui ânonnait de plaisir. C’est alors que je vis Marie-Laurence s’harnacher à nouveau avec son gode ceinture et s’approcher subrepticement de moi !

 

– Hé ! Qu’est-ce que tu fabriques ? Lui demandais-je

– Je ne fabrique rien, je vais t’enculer !

– Alors, là certainement pas ! Protestais-je

– Allez les filles on l’attrape !

 

Je vis débouler alors Florence ce qui n’était pas une surprise mais aussi ma femme, ce qui en était une, aidées par Corentin ils m’immobilisèrent. Je ne luttais plus, puisqu’elles voulaient que je passe à la casserole, je me laissais faire et sentit bientôt le bout de caoutchouc du gode forcer mon petit trou, y pénétrer, et me limer !

 

Après un petit moment où je n’avais qu’une envie, c’est que ça finisse, je me mis à apprécier ce qu’elle me faisait et mon corps s’envahit de délicieuse vibrations

 

– Alors qu’est-ce que ça te fait ? Demanda Monique devenue curieuse.

– Ce n’est pas désagréable !

– Je continue ? Demanda l’antillaise

– Oui !

– Tu vois, tu es un enculé !

– Si tu veux !

Après cinq bonnes minutes de ce traitement, Marie-Laurence me retira le gode et se mit devant mes yeux ébahis à le lécher avec gourmandise.

 

– Ben quoi, il y a juste un peu de merde ! Ce n’est pas mauvais.

– Tu me fais goûter ? Demanda Florence.

 

Alors là, je sais que l’excitation aide parfois à briser les tabous, mais je ne pensais pas que ces deux belles gouines iraient jusque-là.

 

– Hum c’est bon ! Dommage il n’y avait pas grand-chose. Commente Marie-Laurence

– Attend ! Répond Florence en mouillant son doigt et en me l’introduisant dans le cul.

 

En le ressortant, elle le donne à sucer à l’antillaise qui s’en délecte comme s’il s’agissait d’un esquimau au chocolat.

 

– Tu en veux un peu ? Demande-t-elle à Monique.

– Non, non ce n’est pas mon trip.

– Embrasse-moi alors !

– Après ce que tu viens de faire ? Non, je ne suis pas prête pour ce genre de truc, un jour peut-être.

 

Elles eurent l’intelligence de ne pas insister.

 

– Vous faites ça souvent ? Demanda-t-elle néanmoins

– Souvent, non, mais ça nous est arrivé ! Répond Florence ! L’autre fois Marie-Laurence à chié devant nous, un bel étron, vraiment bien moulé, très joli, et je lui ai nettoyé le cul avec ma langue ! C’était génial !

 

Pourquoi est-ce que je bande en écoutant ces conneries, moi ?

 

Après tout cela on a tous pris une douche (une vraie) et on s’est rhabillés. Nous sommes partis après avoir invité nos joyeux complices le mois suivant à la maison.

 

5 – Poses photos

 

Après ce jour-là, nos ébats ont été grandement stimulés, nous parlions beaucoup pendant l’amour, et nous étions plus pervers et plus directs. Mais ce qui m’a vraiment étonné, c’est quand, deux semaines après, Monique est rentrée un soir et m’a montré une annonce. Un photographe cherchait des modèles pour faire des photos pornos rémunérées. Un Euro la photo, ce n’est pas beaucoup, mais les séances peuvent être amusantes. Monique, les yeux pleins d’envie demanda à ce que l’on réponde à cette annonce.

 

– Encore une séance de cul amusante, pensais-je,

 

Alors j’ai accepté à condition qu’elle s’occupe de tout. Elle s’est effectivement occupée de tout et le photographe vint trois jours plus tard. Vers 20 heures, j’allais ouvrir après son coup de sonnette et je découvrais une assez jeune femme, dans les 20 ans, brune typée et assez jolie avec un corps que je devinais parfait sous sa longue robe. Elle portait deux gros sacs de reporter et une valise en métal brillant.

 

– Bonjour, dit-elle, je m’appelle Rachida.

 

Je la détaillais un peu plus précisément.

 

– Bonjour, vous êtes le photographe ?

– Oui, pourquoi, je n’en ai pas l’air ? Répondit-elle en souriant.

 

Je la fis entrer d’un geste.

 

– Et bien… Disons que je m’attendais plus à voir apparaître un vieil homme à l’air vicieux et pas une jolie femme…

 

Elle rit et posa son matériel dans le salon, découvrant la pièce d’un regard intéressé. Monique arriva, aussi étonnée que moi de découvrir le sexe du photographe. Rachida nous expliqua qu’elle prenait beaucoup de plaisir à faire des photos d’ébats amoureux et qu’elle se servait de son métier pour vivre ses fantasmes. Elle nous inspecta brièvement, puis nous trouvant manifestement à son goût, elle déballa son matériel. Cela fait, elle accepta un café que Monique venait de préparer et nous expliqua notre rôle. Je devais tout d’abord aller mettre un pantalon en toile, une chemise et une veste. Monique devait s’habiller sexy avec une longue jupe, un chemisier et des escarpins, et porter en dessous des sous-vêtements blancs ou bleu bien affriolants. Le temps que nous allions nous changer, elle avait transformé le salon en studio.

 

Elle expliqua ensuite le scénario, je devais jouer un représentant en sous-vêtements, arriver à la maison avec une valise dans laquelle j’aurais mis des sous-vêtements. J’allais les faire essayer à Monique, ma cliente, puis lorsqu’elle verrait mon excitation, elle devrait la soulager… Nous fîmes une photo de moi à l’entrée de la maison, ma valise à la main. Puis une autre ou je déballais des culottes et des soutien-gorge à Monique, qui devait rougir en les voyant. Après cinq ou six photos d’approche, elle me fit signe de venir près d’elle. Tout en expliquant la prochaine photo, elle descendit ma braguette et sortit ma queue. Je voyais sa main caresser mon sexe et il ne mit pas beaucoup de temps à prendre une épaisseur très correcte. Elle le rangea dans mon pantalon avec un sourire et me dit de m’asseoir, les jambes un peu écartées de manière à ce que l’on voie ma bite sous le tissu fin du pantalon.

 

Monique dut ensuite poser sa main sur la bosse de mon pantalon. Clic.

 

Puis sortir ma bite par la braguette. Clic.

 

Puis la prendre dans sa bouche. Clic.

 

Passer sa langue sur la longueur. Clic. Clic.

 

Et ensuite enlever ma ceinture et baisser mon pantalon. Clic.

 

La pipe dura un bon moment le temps que Rachida trouve à chaque fois une bonne position pour prendre la photo. Pendant qu’elle se déplaçait, je la voyais souvent passer sa main sur son entrejambe. Lorsque je fus nu, elle nous fit prendre une pose, enlacés, Monique contre la table en chêne de la salle à manger. Puis allongée, la jupe relevée jusqu’à la taille. Clic

 

Ma bouche sur le tissu blanc de son string. Clic

 

Le string enlevé dans la même position. Clic

 

Ma langue sur sa chatte. Clic.

 

Monique était très excitée. Je lui entrais un doigt tout en goûtant son clitoris. Clic. Clic.

 

Je la léchais avec le plat de la langue. Clic.

 

J’entrais le bout de ma langue dans sa chatte et commençait à espérer de pouvoir la baiser. Elle nous fit arrêter, Monique devait me pousser vers le canapé et se déshabiller complètement puis venir se fourrer ma queue dans la chatte. Clic. Clic. Clic.

 

Elle était accroupie sur ma queue, bougeant le cul pour bien se la mettre au fond. Clic. Clic.

 

Rachida était le plus près possible du cul de ma femme, je sentais sa présence entre mes jambes. Clic

 

J’ai pris les fesses de Monique et les ai écartées pour ne rien cacher à l’appareil. Clic

 

Elle m’a dit de lécher les seins de ma femme. Clic.

 

Puis elle a demandé à ma femme de se retourner. Clic.

 

Monique, empalée sur ma bite me tournait le dos. Clic.

 

Gémissant, elle allait de plus en plus fort. Clic.

 

Rachida lui a demandé de se toucher la chatte pendant que ma queue la fouillait. Clic. Clic.

 

Puis elle a demandé à ma femme si elle voulait bien se faire enculer, cette dernière ne s’est pas fait prier. Elle s’est levée puis rassise lentement, je tenais ma queue pour qu’elle lui entre dans le cul. Clic

 

Les jambes bien relevées pour tout montrer à l’appareil, Monique était assise sur moi, ma bite au plus profond dans son petit trou. Clic. Clic. Clic.

 

Voyant que je n’y tenais plus, Rachida m’a demandé d’éjaculer sur les seins de ma femme. Clic

 

Nous nous sommes mis en position. Clic

 

– J’adore voir du sperme sur les seins a-t-elle dit. Clic

 

J’ai éjaculé. Clic.

 

Lui inondant la gorge. Clic.

 

La vallée entre ses mamelons tout durs. Clic.

 

Le bout des seins. Clic.

 

Rachida était maintenant tout près de nous, après un dernier clic, elle a étalé mon foutre sur la poitrine de ma femme, la caressant avec le sperme. Puis se levant et nous tournant le dos, je vis qu’elle léchait sa main comme une gourmande qui s’est mise du chocolat plein les doigts. Nous nous sommes rhabillés, elle semblait contente de la séance. Elle nous a remercié chaleureusement, puis est partie en nous promettant de revenir la semaine suivante nous montrer les photos et nous payer.

 

6 – Séance de projection

 

Pour la séance de projection, nous avions invités Corentin, Florence et Marie-Laurence. Lorsque Rachida est arrivée, elle a eu l’air surpris de voir tant de monde et n’a pas osé nous parler des photos. Monique l’a emmenée à l’écart et lui a expliqué que nous n’avions plus rien à cacher à nos trois amis. Rachida a allumé son ordinateur portable et a commencé à faire défiler les photos en diaporama. A la photo où Monique me caresse la queue, je me suis penché vers Rachida et je lui ai susurré à l’oreille :

 

– Ça recommence… Tu peux peut-être faire quelque chose pour moi ?

 

J’ai attrapé sa main et je l’ai glissé vers ma braguette qu’elle a ouverte. Tout en passant les photos, elle m’a branlé la queue. Vers la fin de la séance, j’allais bientôt jouir, elle s’est baissée et a reçu mon foutre dans la bouche… Ensuite, nous avons rallumé la lumière, Rachida arborait un grand sourire, et les autres filles qui n’avaient pas manqué notre manège avaient l’air contentes aussi. Elles se sont mises à questionner Rachida sur ses habitudes sexuelles. Les questions étaient si crues qu’elle rougissait, mais elle a tout de même répondu. Elle nous a ainsi avoué qu’elle aimait parfois être dominée. Vers onze heures, Marie-Laurence lui a ordonné d’un ton très dur :

 

– Met toi à poil, on va voir comment tu es faite et si une nouvelle comme toi supporte des trucs de grande…

 

Rachida s’est exécutée. Les trois filles se sont prises au jeu.

 

– Mais c’est qu’elle est pas mal foutue finalement !

 

Elles l’ont examiné comme du bétail.

 

– Pas très poilue… Tu t’épile ?… Réponds quand on te parle !

– Oui…

 

Même Monique arrivait à garder son calme et à avoir l’air méchant. Corentin et moi nous sommes servis un verre et avons regardé le spectacle. Rachida, nue, devant trois femmes plus âgées de dix ou quinze ans avait vraiment l’air d’une très jeune fille. Le visage rouge mais les seins durcis, elle devait être excitée aussi. Elles recommencèrent les questions :

 

– T’aime sucer des bites ? Te branler ? Avaler le sperme ? Te faire baiser ? T’as déjà léché une chatte ?

 

Rachida regardait ses pieds et répondait à l’affirmative.

 

– T’es une jeune salope ?

– Oui !

– Tu fais ça pour le plaisir ou pour l’argent ?

– Pour le plaisir, amis si on me donne de l’argent je ne le refuse pas..

– T’as déjà baisé avec plusieurs personnes ?

– Oui !

– Et tu voudrais le refaire ?

– Oui !

 

Les filles étaient déchaînées, les questions fusaient, Rachida rougissait encore.

 

– On t’a déjà attachée ?

– Non ! Et je ne veux pas qu’on me le fasse.

– On t’a déjà pissé dessus ?

– Ben oui !

– Et caca ?

– Oui, une fois !

– Tu t’es déjà fait enculer ?

– Bien sûr !.

– Tu voudrais, maintenant ?

– Oui.

– Va voir les mecs et supplie-les de t’enculer !

 

Elle s’est approchée de nous et nous a timidement demandé de l’enculer. Nous nous sommes regardés.

 

– Pas ce soir, a répondu Corentin.

– Je vous en prie, je voudrais me faire enculer, j’en ai envie…

 

Rachida s’est mise à genoux.

 

– Si t’es gentille ce soir, on t’enculera la prochaine fois…

 

Finalement ce jeu m’amusait aussi…

 

– Je veux bien être gentille…

 

Elle se prenait aussi au jeu. Les filles sont venues la relever. Puis se sont déshabillées, Marie-Laurence a fait signe à Florence et Monique de s’asseoir près de nous et s’est elle-même assise sur le fauteuil en face du canapé. Elle a écarté les jambes et a tendu la main vers Rachida qui s’est approchée et s’est agenouillée entre ses jambes. Puis elle a penché la tête vers la chatte offerte. De l’endroit où j’étais assis, je voyais la tête de Rachida bouger entre les jambes de Marie-Laurence et son cul bien fait. Marie-Laurence a été longue à jouir, mais la jeune femme ne s’est pas plainte, elle a léché jusqu’à ce que Marie-Laurence explose sur sa langue. Puis Marie-Laurence s’est levée et Florence l’a remplacée. Rachida a continué à lécher jusqu’à ce qu’elle jouisse à son tour, et enfin, Monique est allée s’asseoir sur le fauteuil. Et Rachida l’a amenée à la jouissance avec sa langue et ses doigts.

 

Elle a dû lécher sans s’arrêter pendant plus d’une heure ! Corentin l’a fait asseoir sur le fauteuil et l’a léché à son tour jusqu’à ce qu’elle jouisse, mais ça n’a pas été trop long. Ensuite les filles l’ont emmenée prendre une douche, et comme la dernière fois Corentin et moi nous avons maté, nous régalant, la bite tendue, de la douche dorée que les trois filles infligèrent à la mignonne petite beurette. Cette fois ci c’est moi qui pris l’initiative de branler la belle queue de Corentin et de la prendre dans la bouche. J’aurais bien voulu qu’il m’encule, cette expérience me manquait, mais je suis timide je n’ai pas osé lui demander.

 

7 – Week-end en bord de la mer

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Après cette soirée, nous n’avons pas revu nos amis pendant deux mois. Les impératifs de chacun nous ont empêchés de nous réunir. Mais nous nous appelions régulièrement et nous avons fini par combiner un week-end dans une maison au bord de la mer. Nous devions nous rejoindre là-bas le vendredi soir. Marie-Laurence qui s’était occupée de tout avait même réussi à joindre Rachida. C’était une belle maison des Côtes d’Armor en Bretagne. Nous sommes arrivés juste après Marie-Laurence. Florence. Rachida et Corentin arriveraient un peu plus tard. Le temps n’était pas beau et la mer déchaînée, nous avons fait un feu dans la cheminée et préparé à manger.

 

Lorsque les trois derniers sont arrivés, Rachida avait l’air plus sûre d’elle, un peu comme si elle était maintenant intégrée dans le groupe. Il faut dire qu’après de coup de la dernière fois, il ne pouvait plus lui arriver grand-chose. Après le repas, Corentin et moi avons fait la vaisselle. Les filles avaient exigé que nous la fassions déguisés en femmes. Elles nous ont alors maquillés le visage, rouge à lèvres et fard à paupières compris, puis elles nous ont fait mettre à poil et habillé d’un simple tablier. Cela les a distraits quelques minutes, puis elles nous laissèrent. On s’est alors amusé en se passant les plats à se frôler bite contre fesses et nous n’avons pas tardé à bander sérieusement. C’est Corentin qui craqua le premier, et jetant le tablier me tendit sa bite en me demandant de la sucer. Je pris son beau sexe dans ma bouche et lui suçais tout, le gland, les couilles, la verge, en me régalant de cette texture si douce. Comme il voulait me sucer aussi, on s’est étalé sur le carrelage un peu froid de la cuisine et nous avons fait un soixante-neuf. Je m’apprêtais à demander à Corentin de m’enculer mais nous avons été interrompus par l’arrivé des femmes :

 

– Encore s’écria Marie-Laurence ! Tout à l’heure vous nous ferez un petit spectacle mais en attendant il y a du boulot.

 

Les quatre femmes avaient décidé que nous dormirions tous dans le salon. Nous avons donc descendu tous les matelas de la maison après nous être assurés que nous serions récompensés de nos efforts. Puis Rachida a sorti deux grosses valises desquelles elle a sorti quatre caméras. Je crois qu’elle était de mèche avec Marie-Laurence pour préparer ce coup-là. Elle a embauché Corentin pour les installer, chacune dans un coin de la pièce et nous a expliquée qu’elle ferait un montage des meilleurs moments de ce séjour.

 

Lorsqu’ils eurent fini, elle sortit encore une surprise de sa valise : ses meilleures photos sur son ordi… Nous nous sommes installés confortablement, mais pendant le diaporama, personne n’a osé prendre l’initiative. Certaines de ses photos étaient très réussies. Toutes montraient un couple faisant l’amour, dans toutes les positions, sous toutes les coutures. A un Euro la photo, il y en avait pour une petite fortune…

 

Après ce hors d’œuvre, ma foi très appétissant, Corentin et moi avons proposé aux filles de faire un concours de strip-tease où nous ferions office de jury. Ces effeuillages nous ont tous excités et après que la dernière soit passée, elles se sont toutes jetées sur nous. Florence et Rachida se sont précipitées sur moi, laissant Corentin à Marie-Laurence et Monique. Elles m’ont allongé et Rachida s’est assise sur mon visage et avant que j’aie pu commencer quoique ce soit, elle s’est mise à me pisser abondamment dessus. Je fus d’abord surpris puis me laissais prendre au jeu en avalant de larges goulées de ce bien curieux breuvage.

 

– C’est Florence qui m’a demandé de te pisser dessus, elle est tellement gentille que je n’ai pas osé refuser !

 

Une fois son pipi terminé, j’ai commencé à donner des coups de langues à sa chatte qu’elle tenait ouverte avec une main, et j’ai senti Florence enfourner ma queue. Rachida s’est penchée pour la rejoindre et elles se sont partagé mon bâton. Le jus de Rachida me coulait dans la bouche, je caressais ses fesses dures et douces.

 

A côté de moi, Marie-Laurence et Corentin se partageaient la moule de ma femme, donnant chacun son tour un coup de langue sur son petit bouton. Puis ils ont échangé, je regardais ma femme lécher une autre femme et j’ai failli avoir un orgasme juste en pensant à ce concept. Florence et Rachida avaient délaissé ma queue pour se fourrer la langue dans la bouche, je me suis dégagé et j’ai forcé Rachida à s’allonger. Puis, mettant un doigt dans son trou humide, j’ai fait signe à Florence de goûter ce nectar. Des halètements commençaient à se faire entendre. Du jus de femme me coulait sur la main, j’ai fait coulisser mon doigt dans son minou, puis je l’ai présenté devant les lèvres de Florence qui l’a enfourné en soupirant de plaisir. Rachida a attiré mon attention et m’a dit qu’elle voulait sentir ma bite. Je me suis installé entre ses jambes, Florence a attrapé mon sexe tendu et l’a posé à l’entrée de la chatte de Rachida, puis elle a imprimé un mouvement lent et ample à mes reins. Ma queue est entrée lentement et facilement dans ses chairs.

 

A côté, il se passait quelque chose de bizarre, Monique avait passé le gode-ceinture et baisait Marie-Laurence par-dessous pendant que Corentin lui bouffait le petit trou à grands coups de langue. J’ai eu envie d’enculer cette petite salope de Rachida, je me suis retiré d’elle et je lui ai dit de se retourner. Elle l’a fait, mais ses yeux montraient bien qu’elle n’était pas rassurée. Florence s’est allongée sous elle et s’est mise à lui parler pour la rassurer, puis elle a écarté ses fesses avec ses mains. Plongeant une dernière fois ma queue dans sa moule pour bien la lubrifier, j’ai posé mon gland sur la rosace de son petit trou.

 

Lentement, très lentement, je l’ai pénétrée. Son trou du cul m’opposait une certaine résistance, mais je savais que j’y arriverais. Deux ou trois fois, Rachida s’est raidie, mais j’ai continué, et lorsque tout mon sexe fut entré dans son rectum elle poussa un soupir de soulagement. Les autres s’étaient arrêtés pour assister au spectacle. Les trois filles murmuraient des encouragements à Rachida. Je suis ressorti pour y retourner tout aussi lentement. C’est une baiseuse née, son cul s’est tout de suite habitué à ma queue et j’ai pu accélérer. Elle raidissait les cuisses pour que je puisse entrer le plus profond possible. Du coin de l’œil, j’ai vu ma femme la regarder avec envie. Marie-Laurence s’est mise à sucer Corentin qui l’a repoussée pour proposer sa bite à Rachida. Il se faisait sucer par Rachida, les yeux fermés et Florence lui léchait les couilles. Monique s’est occupée de Marie-Laurence.

 

J’ai continué à défoncer le cul de ma petite salope. Elle haletait, étouffée par le mandrin de Corentin, mais elle avait l’air d’aimer ça. J’ai encore accéléré, elle répondait maintenant à mes coups de boutoir en lançant son cul vers moi, en rythme. J’ai vu Corentin jouir, sûrement dans sa bouche, et elle a joui à son tour, poussant de grands cris. Je sentais son anus me serrer de plus en plus fort. J’ai joui aussi, je lui ai inondé l’intestin. Après moi, Marie-Laurence est arrivée aussi à l’orgasme sous la langue de ma femme. Je me suis allongé sur Rachida, la queue toujours à l’intérieur et je me suis endormi. Lorsque je me suis réveillé, j’étais toujours sur Rachida qui dormait, Marie-Laurence dormait dans les bras de Corentin, mais Monique et Florence n’étaient plus là. J’ai embrassé Rachida qui s’est réveillée. Elle s’est levée pour prendre une douche et je l’ai accompagnée.

 

Le lendemain matin, les quatre filles se faisaient bronzer à poil dans des chaises longues

 

Joli spectacle que ces quatre belles femmes les jambes écartées, la chatte à l’air, toutes différentes, Rachida la beurette, Florence la blondinette… Marie Laurence sans se préoccuper des autres commençait à se frotter la chatte de sa main droite tandis que sa main gauche pinçait son gros téton.

 

Et voilà que le labrador du voisin, probablement passé par un trou du grillage se radine et se pavane devant ses dames en agitant sa queue.

 

Il s’approche de Marie Laurence qui tend la main pour l’éloigner. Mais le chien ne comprend pas le geste, prend ça pour une invite et lèche la main de la grande brune qui se laisse faire. Faut dire que sa main était pleine de mouille. Sauf qu’au bout d’un moment il n’y a plus rien à lécher, le chien se déplace alors légèrement et approche sa truffe de la chatte la femme !

 

– Mais qu’est-ce que tu nous fais ! Sale bête !

– Laisse le il ne va pas te manger ! intervient Marie-Laurence !

– Mais il veut me lécher la chatte !

– Et ben laisse toi faire tu n’en mourras pas !

– Quelle langue il a ! Je me fais lécher par un chien, je suis vraiment une salope !

 

Florence se pâme de plaisir sous la langue du chien, Marie Laurence veut essayer à son tour et s’approche du chien, mais ma femme lui brille la politesse et offre sa chatte à lécher au toutou..

 

– Vous avez-vu comme il bande ! S’exclame Marie Laurence

– Et alors ? Répond Florence, tu ne vas tout de même pas le sucer ?

– Si, j’essaierais bien.

 

Le chien s’est retrouvé sur le côté, Marie-Laurence reprend son souffle et commence à sucer la bite du chien. Elles sont trois autour de la bête, Rachida ne voulant pas se sentir larguée arrive à son tour et participe à l’orgie.

 

Le chien finit par éjaculer, puis s’en va peinard regagner son territoire.

 

– Dommage ! Dit Florence, je me serais bien fait sauter !

– Par le chien !

– Ben oui ! En attendant je vais faire caca, tu viens ?

– T’as besoin de moi ?

– Oui, il y a longtemps que tu ne m’as pas nettoyé le cul après mon caca.

– Alors j’arrive !

 

Florence s'est éloigné d'une dizaine de mètres et s'est accroupie, chiant un joli colombin sur la pelouse.


- Alors ? demande-t-elle.

- C'est un joli boudin !


Complètement excitée, Marie-Laurence le ramasse, l'approche de sa bouche et d'un air de défi lui donne un rapide coup de langue.


- T'es vraiment une salope !

- A ton tour de lécher.

 

- Si tu crois que je vais me dégonfler ! Répondit Florence en imitant le geste de sa copine.

 

Nous avons passé tout le week-end à baiser comme des fous. Les quatre salopes en demandaient toujours plus. Rachida a pris beaucoup de photos. Je suis rentré très fatigué…

 

8 – Activités professionnelles

 

– J’aime bien ton histoire, qu’il me dit le Marcel

– Ça t’excite ? Hein ! Obsédé !

– Non, ce n’est pas ça ! Mais ce que tu racontes c’est sain, je veux dire tout le monde est d’accord, ce que je n’aime pas c’est les histoires où il y a de la contrainte, mais toi c’est pas ton genre !

– Tu sais, je ne suis pas un saint !

– Il n’y a pas de saint, mais pourquoi tu dis ça ?

– Parce que justement une fois, et c’est un peu la suite de cette histoire, j’ai baisé une femme par la contrainte, je n’en suis pas fier du tout, mais bon je me suis rattrapé après, enfin c’est ce que je me dis pour me donner bonne conscience !

– Raconte !

– Je t’ai dit que j’en étais pas fier !

– Faute avouée est à demi pardonné, et j’ai l’impression que tu n’es pas si méchant que ça !

 

Ça s’est passé la semaine suivante, au boulot. Le Directeur n’étant pas là, je le remplaçais pour un entretien d’embauche avec un informaticien, je ne savais pas qu’il aurait de si jolies jambes cet informaticien… Cette très jolie jeune femme se prénommait Li-Anne. Elle était métissée asiatique avec les yeux en amande et un corps élancé. Elle portait un tailleur clair, un chemisier et des petites chaussures à talons. Elle était vraiment très bien faite et je dois dire que ses grands cheveux raides et ses lunettes m’attiraient encore plus. Nous avons discuté du poste et de son CV, mais au bout d’un moment, je me suis lancé :

 

– Vous savez que vous n’êtes pas la seule personne que je vais rencontrer cette semaine pour ce poste ?

– Oui, j’imagine qu’il est très demandé…

 

Elle me regardait un peu étonnée

 

– Et pourtant, vous me plaisez, vous êtes jolie !

 

Elle rougit, j’enfonçais le clou :

 

– Et vous avez l’air de savoir ce que vous valez…

 

Je laissais ma phrase se terminer en la fixant. Elle prit l’air de quelqu’un qui vient de faire un choix crucial et me répondit :

 

– Je suis prête à tout pour ce poste, j’en ai besoin !

– Vraiment tout ?… Vous êtes mariée ?

 

Ce que je fis me déplus, j’abusais de ma position et ma question l’assomma, elle venait de vraiment réaliser où je voulais en venir. Je faillis revenir en arrière, mais je ne fis pas et elle me balbutia un « oui » peu convaincu. Je ne pus m’empêcher de relancer :

 

– Vous ne portez pas d’alliance pourtant…

 

Elle ne savait plus quoi répondre, et comme un salaud je profitais de la faiblesse de ma proie :

 

– Mais si vous promettez d’être gentille, je crois que je pourrais vous avoir ce poste.

– C’est dégueulasse ce que vous faites !

 

Elle pleurait presque.

 

– Je ne vous force pas ! Vous êtes libre ! Vous n’êtes pas obligée ! Et si vous ne faites rien vous aurez peut-être ce poste quand même, mais disons que vous aurez plus de chances si vous êtes coopérative…

 

Elle ne répondait pas, j’ai fait le tour du bureau et je me suis accroupi devant elle. Elle m’a regardé. J’ai posé mes mains sur ses genoux, que j’ai un peu écartés.

 

– Vous aimez bien ça, non ?

 

Elle ne répondit toujours pas, mais elle me fit un sourire que je pris pour un encouragement, et alors que je ne m’y attendais absolument pas, je reçus une superbe baffe en pleine poire. Et avant que j’ai pu réagir j’en reçu une deuxième. Alors elle se leva, et se dirigea vers la sortie !

 

– Revenez, vous avez le poste ! Lui criais-je

 

Elle stoppa sa course :

 

– Non ? Vous plaisantez !

– Pas du tout, je suis désolé, je ne sais pas ce qui m’a pris, je crois que je ferais n’importe quoi pour me faire pardonner !

– Bon, alors d’accord, je suis d’accord pour oublier cet épisode.

– D’accord !

– Remarquez, j’ai failli me laisser faire !

– N’en parlons plus !

– On en parlera plus, mais pour l’instant j’ai envie de parler… Je voulais ce boulot à tout prix, même à celui-là, et puis j’ai réalisé que si je disais « oui » une fois, ça n’arrêterait plus !

– Je ne peux même pas vous dire que vous avez tort… parfois on ne sait pas comment on réagit !

– Ne culpabilisez pas, je suis aussi salope que vous, puisque j’ai envisagé de céder !

– Et maintenant que vous êtes embauché, que nous savons que nous pouvons être abjects tous les deux, puisque nous avons su nous arrêter à temps, si nous faisions l’amour comme ça, pour rien, juste pour le plaisir ?

– Vous êtes complètement fou !

– Je sais, laissez tomber !

– Non, revenez près de moi !

 

De nouveau, je me suis accroupi devant elle. Elle m’a regardé. J’ai posé mes mains sur ses genoux, que j’ai un peu écartés. Et d’elle-même, elle les écarta un peu plus.

 

– Ça se voit que tu aimes ça !

 

Nous nous sommes embrassés, mes mains sont passées dans la veste de son tailleur et je le lui ai enlevé. Elle s’est levée pour se coller contre moi. J’ai enlevé aussi sa jupe et son chemisier, il ne lui restait plus qu’un tout petit slip qui lui entrait dans la raie des fesses et un soutien-gorge qui maintenait ses petits seins en poire. Je l’ai écartée et j’ai ouvert mon pantalon, sortant ma queue. Puis, la tenant par les épaules, je l’ai forcée à plier les genoux

 

– Je suis sûr que tu aimes ça aussi, avoir une bite dans la bouche !

 

Pour seule réponse, elle a englouti mon sexe, serrant bien ses lèvres sur le manche. Elle le prenait bien au fond, jusqu’à sa gorge et, ses mains libres, enleva mon pantalon et mon caleçon. Elle me pompait le dard d’une manière très franche, caressant mes couilles d’une main et sa chatte de l’autre. Sa langue passait dessus, dessous, sur tout le long. Lorsque j’en ai eu assez, je l’ai relevée et elle s’est penchée sur mon bureau.

 

– Mets la moi bien au fond…

– Depuis que j’ai rencontré ma première bite, j’ai toujours aimé ça

 

Je lui enfournai ma bite dans sa moule bien lubrifiée. Son minou était serré, mais habitué à se faire pilonner. Je l’ai attrapé par les hanches et j’ai accéléré. Ses halètements se mêlaient aux bruits de succion de sa chatte. Elle m’encourageait, me disait que ma bite lui faisait du bien et que finalement je ne devais pas être si méchant que ça, qu’elle était contente de son choix. De mes mains, j’ai écarté ses fesses et j’ai caressé son anus d’un doigt. Elle répondait maintenant par des coups de reins, engloutissant ma queue le plus possible. Je sentais qu’elle allait venir, son vagin se resserrait par à-coups sur ma bite. J’ai accéléré encore et, au moment de sa jouissance, j’ai enfoncé le majeur sans ménagement dans son cul, elle a crié encore plus fort. J’ai tout de suite giclé au fond de sa chatte, crispé contre le bureau. Nous avons repris notre souffle et nous sommes rhabillés, puis nous avons rempli les formulaires d’embauche. Au moment de la raccompagner, nous nous sommes embrassés et je lui ai donné ma carte de visite. Elle m’a alors confirmé qu’elle était célibataire, expliqué qu’elle était dans un hôtel (elle vient de province) et je lui ai proposé de l’héberger jusqu’à ce qu’elle trouve un appartement.

 

9 – Hébergement

 

Li-Anne a accepté ma proposition et nous sommes partis tous les deux dans ma voiture vers son hôtel où nous avons refait l’amour, puis à la maison. En chemin, je lui dis que j’étais marié, elle m’a regardé comme si j’étais un mutant et j’ai fini par lui dire qu’elle serait bien à la maison. Arrivés là-bas, Monique nous a ouvert avec un grand sourire.

 

– Bonjour ma chérie, je te présente Li-Anne, qui est nouvelle au boulot et à qui j’ai proposé d’habiter un peu à la maison.

 

Monique a continué à sourire, a salué Li-Anne mais n’a rien répondu. Une fois installés au salon, je leur ai servi un verre. Puis après un petit moment de silence, Monique a regardé Li-Anne dans les yeux et m’a demandé à brûle pourpoint :

 

– Elle suce bien ?

 

Li-Anne a rougit fortement, baissant les yeux. Voyant la lueur amusée dans les yeux de ma femme, j’ai répondu :

 

– Divinement… Li-Anne ma chère, veux-tu lui montrer ta technique ?

 

Elle m’a regardé encore plus étonnée. Monique s’est levée et est venue me déboutonner le pantalon. Puis, une fois ma bite sortie, elle a regardé Li-Anne qui ne savait vraiment plus à quel saint se vouer. Finalement, elle s’est penchée vers ma queue et, sous le regard inquisiteur de ma femme, elle a embouché ma bite encore molle et l’a amenée à une fermeté plus convenable. Monique lui souriait et s’est mise à lui caresser les cheveux.

 

– Ne t’inquiète pas ma belle, si tu es ici c’est que tu aimes ça, mais nous n’abusons pas… Nous partageons les plaisirs du corps avec ceux qui aiment.

 

Li-Anne a relevé la tête, lui a souri et s’est remise à son noble ouvrage : me tailler une pipe. C’est alors que le téléphone s’est mis à sonner. J’ai répondu. Lorsque j’ai eu raccroché, j’ai expliqué à Monique :

 

– C’est Rachida, son frère est tombé sur le film du week-end en Bretagne et l’a mise dehors dans une fureur noire, je vais la chercher… Li-Anne, tu vas avoir une copine de chambre.

 

Je me suis levé sans la laisser finir. J’ai vu dans les yeux de ma femme qu’elle prendrait bien ma place, mais je ne suis pas resté pour vérifier, j’ai sauté dans la voiture pour aller chercher Rachida. Celle-ci était en pleurs en bas de son immeuble, toutes ses affaires à côté d’elle. J’ai tout mis dans le coffre et je l’ai ramenée à la maison. Elle pleurait :

 

– Il a regardé la vidéo de Bretagne… Il est tombé juste au moment où vous m’avez prise tous les deux, toi et Corentin… Ça l’a mis dans une fureur dingue, il m’a crié qu’il n’y aurait pas de pute sous son toit et m’a dit de partir. Alors il est allé dans ma chambre et a jeté mes affaires dans le couloir. Juste mes vêtements, il a gardé mon ordi…

 

– Encore un hypocrite, ce mec ! On va t’accueillir à la maison tant que tu en auras besoin, ne t’inquiète pas.

 

J’ai fait ce que j’ai pu pour la consoler. Lorsque nous sommes arrivés, elle était calmée et il faisait nuit. Li-Anne et Monique étaient devant la télé, pleurant comme des bêtasses devant un film triste… Je leur ai laissé Rachida et j’ai débarqué ses affaires directement dans la chambre qu’elle allait partager avec Li-Anne. Quand j’ai eu fini, ça allait mieux, Li-Anne et Rachida avaient fait connaissance. Monique était en train de leur raconter le jour où elle s’était fait virer de chez elle et où je l’avais recueillie.

 

Le lendemain, je travaillais et je ne les ai revues toutes les trois que dans la soirée. Elles avaient l’air de bien s’entendre et de s’amuser. Je les ai emmenées au cinéma et au restaurant. Arrivés à la maison, nous avons pris un thé et Li-Anne (qui n’avait peut-être pas encore tout compris) a demandé ce qu’il avait de spécial ce week-end en Bretagne. Rachida a éclaté de rire lui a montré la copie du film sur son téléphone. Nous nous sommes installés devant la télé. Le début de la vidéo ressemblait à n’importe quel film souvenir, mais lorsque l’image est passée sur tout le monde en train de baiser, j’ai vu Li-Anne rougir. Mais lorsqu’elle a vu à l’image Rachida brouter la chatte de Florence, j’ai cru qu’elle allait partir en courant. Les filles l’avaient vu aussi, Monique s’est levée et est venue derrière elle pour lui masser les épaules, Rachida qui était assise à côté d’elle a posé la main sur sa cuisse.

 

Li-Anne avait l’air ne pas arriver à détacher son regard de la télé où l’on voyait maintenant Monique sucer Corentin. J’ai accéléré la bande jusqu’à ce que la caméra revienne sur Rachida qui, cette fois, léchait Marie-Laurence en mettant un doigt dans sa chatte. La main de Rachida pelotait maintenant les seins de Li-Anne, se faufilant sous son Tee-shirt. Monique lui caressait les épaules et le cou. Ses mains sont venues remplacer celles de Rachida qui sont descendues vers les cuisses de Li-Anne. Elles l’ont déshabillé et se sont déshabillées. Li-Anne ne réagissait pas, elle regardait le film que je veillais à laisser sur des scènes de sexe. Monique m’a demandé d’éteindre la télé et elles ont fait allonger Li-Anne. Puis elles se sont penchées toutes les deux sur elle, dévorant son corps avec la langue.

 

Je me suis mis nu aussi et j’ai commencé à me branler devant ce spectacle. Rachida est passée entre ses jambes et s’est penchée vers son sexe à peine velu. Lorsqu’elle a posé sa bouche dessus, Li-Anne a repris vie, lui a attrapé les cheveux et a essayé de l’en empêcher. Je me suis levé et j’ai pris ses mains dans les miennes. Rachida a repris son avance vers l’entrejambe de Li-Anne qui me souriait. Monique léchait ses seins, promenant ses mains sur tout son corps. Lorsque Rachida a posé le bout de sa langue sur le clitoris de Li-Anne, elle a cessé de se débattre et s’est mise à en demander plus. Elle voulait que Rachida la baise avec sa langue, que Monique lui titille encore le bout des seins et elle voulait ma queue. Je la lui ai présentée près de ses lèvres et elle l’a engloutie. Monique et Rachida ont continué un peu, puis Rachida s’est allongée à côté et Monique a pris le bras de Li-Anne pour l’installer entre ses jambes. Elle s’est penchée vers le petit minou bien épilé de la beurette et regardait d’un air très intéressé les chairs roses et le trou béant et mouillé. Elle a posé un doigt et l’a fait entrer, Monique s’est installée à côté et a approché son visage du sien. Li-Anne n’osait plus bouger, Monique a passé sa langue sur ses lèvres qui se sont ouvertes et leurs langues se sont mélangées.

 

Enfin, Li-Anne a posé timidement le bout de sa langue sur la chatte de Rachida, Monique la caressait. Moi, voir cette jeune femme à genoux en train d’en lécher une autre, ça m’a donné une idée perverse. Je me suis installé derrière elle. Je lui ai écarté les fesses et j’ai posé ma langue sur son petit trou bien fermé. Monique est allée s’asseoir sur la bouche de Rachida que Li-Anne léchait avec entrain. Maintenant, les trois filles gémissaient, je me suis relevé et j’ai posé ma queue contre le trou de Li-Anne. Comme je l’avais fait pour Rachida quelques semaines avant, je l’ai enculée, doucement, lentement. Elle a été prise de panique, mais Rachida l’a tenue par les cheveux pour qu’elle continue à la lécher. Je n’ai pas mis longtemps à tout lui rentrer, elle avait l’air d’apprécier. J’ai commencé à lui ramoner le cul de plus en plus vite et j’ai joui assez rapidement. Li-Anne a eu juste après moi un orgasme ravageur, puis Rachida s’est mise à crier et enfin Monique, sous la langue maintenant experte de la petite beurette.

 

Ce soir-là, nous nous sommes tous retrouvés dans le même lit et je me doutais que Li-Anne et Rachida allaient devenir un couple à part entière dans nos ébats en groupe.

 

10 – La Maman de Florence

 

Corentin m’avait demandé de lui rapporter sa ponceuse, j’avais complètement oublié, il m’envoie un SMS en me précisant que ça urge, j’essaie de le joindre, lui ou Florence, mais leurs portables sont tout le temps occupés. Quels bavards ! Tant pis je me pointe !

 

Florence et Corentin m’accueillent avec le sourire et ils me présentent une jolie femme, très classe, très bourgeoise, dans les cinquante ans.

 

– Voici Micheline, ma maman, me précise ! Florence.

 

Je tends la main, mais la nana veut absolument me faire la bise. Pas de soucis, le bisou est chaste, mais la peau est douce.

 

– Je vais vous laisser ! Déclarais-je diplomatiquement.

– Prenez un verre avec nous ! Répond la maman

 

Allons-y pour le verre

 

– C’est donc vous, Alexis, ma fille m’a parlé de vous, il parait que vous êtes un petit cochon !

– Cochon, moi, je suis un homme, c’est tout !

– Tu peux lui toucher la braguette, Maman, il ne dira rien !

 

Et c’est exactement ce qui se passe, la Micheline me tripote la braguette et ma bite se met à bander quasi instantanément.

 

– Vous êtes très réactif !

– Mettez-vous à ma place.

– Pas facile.

 

Et la voilà qui me dézippe ma braguette, qui farfouille dedans et qui me sort ma bite, qui la branlotte et qui se baisse pour me la sucer.

 

Je me laisse faire et soudain j’ai envie de prendre un peu d’initiative.

 

– C’est gentil ce que vous me faite, mais j’aimerais bien vous voir toute nue. Lui dis-je.

– Vous risquez d’être déçu, je ne suis plus de la première jeunesse.

– Vous ne voulez pas ?

– A vos risque et périls, alors.

 

La mature se déshabille, je ne sais pas de quoi elle se plaint elle pourrait en remontrer à pas mal de jeunettes. Les seins sont magnifiques, et je les embrasse.

 

– Allez-y caressez-moi ! J’adore qu’on me caresse et qu’on m’embrasse, venez les enfants,

 

Sans qu’on ne leur demande Corentin et Florence se sont déshabillés, je crois donc devoir en faire autant.

 

Mais je n’étais pas au bout de mes surprises, alors que j’achevais d’ôter mon pantalon, Florence s’est approché de sa mère et est venue lui lécher les tétons, tandis que Corentin pelote le cul de sa belle-mère ! Quelle famille.

 

On s’est retrouvé je ne sais comment sur le canapé, Micheline suce alternativement ma bite et celle de Corentin et repasse de temps en temps nos bites à sa fille.

 

Micheline me demande de l’enculer, pas de problème ! Distribution de capotes, puis, elle fait coucher Corentin sur le dos, vient s’empaler sur sa queue, puis s’écarte les fesses, m’invitant à la pénétrer analement. Je rentre là-dedans comme dans du beurre et je la pilonne en cadence. Florence s’approche sa chatte du visage de sa mère et lui donne sa chatte à lécher.

 

Moment de folie, tout le monde se déchaîne, je n’ai pu m’empêcher de jouir, Corentin m’a suivi quelques secondes après tandis que Micheline gueulait comme une truie.

 

On s’est dégagé, les deux femmes se sont alors mises en soixante-neuf, la mère et la fille se léchant mutuellement leur chatte dégoulinante de mouille, joli spectacle.

 

Quand je pense que j’étais juste passé pour leur rendre la ponceuse, j

 

11 – Une dernière pour la route

 

Deux semaines plus tard, nous avons présenté Li-Anne à Marie-Laurence, Florence et Corentin. Elle a découvert ce soir-là d’autres plaisirs qu’elle ne connaissait pas, deux queues en même temps dans différents trous. Corentin et moi nous sommes amusés à n’oublier aucune configuration possible. Mais aussi une langue de femme sur chaque trou et les seins. Elle a également goûté le sperme pour la première fois et a apprécié. Le dernier arrivant du groupe ainsi constitué a été David, Marie-Laurence l’a rencontré à son boulot. Sa première soirée a dû être mémorable, Marie-Laurence avait demandé à Li-Anne, Rachida, Florence et Monique de venir lui faire une petite fête. Marie-Laurence lui avait bandé les yeux, puis s’était déshabillée et lui avait demandé de la caresser. Puis elle est sortie de la pièce et l’une des filles est arrivée pour prendre sa place. Il s’est aperçu à la troisième que ce n’était pas Marie-Laurence et a enlevé son bandeau. Les filles rigolent encore de la tête qu’il a faite lorsqu’il s’est rendu compte qu’il tenait Rachida dans ses bras et que trois autres femmes qu’il ne connaissait pas gouinaient sa copine… Mais il a été très content de la surprise et en a bien profité.

 

Un peu plus tard, Corentin a tenu à informer David qu’il se livrait parfois à quelques fantaisies un peu gays. Il nous a répondu qu’il n’avait rien contre mais qu’il était pas pratiquant mais qu’il aimerait bien regarder.

 

J’ai sauté sur l’occasion et demandé à Corentin de m’enculer, depuis le temps que l’idée me trottait dans la tête. On s’est mis à poil, je me suis mis en levrette et mon ami m’a pénétré, j’ai adoré cette sensation. Devant moi, David très excité a sorti sa bite et à commencer à se branler. J’ai approché ma bouche, il n’a rien dit quand j’ai commencé à le sucer et m’a lâché tout son sperme dans le gosier.

 

La soirée d’après, nous étions là Corentin et moi, et nous nous sommes bien amusés. Trois hommes et cinq femmes, ça permet certaines combinaisons inédites… Les vacances suivantes, nous sommes tous partis dans la maison de campagne de David. Nous avons passé les deux semaines presque tout le temps nu. C’est à la fin de ces vacances que Li-Anne et Rachida nous ont demandées de les accompagner en Hollande pour se marier. Ce que nous avons fait avec plaisir, puis elles ont proposé à ceux qui voulaient d’acheter une maison et d’y habiter tous… Avec Monique nous ne nous sommes pas joints à cette expérience… pas encore ! Un jour peut-être…

 

Nos amis vivent tous les six dans une belle maison de banlieue depuis maintenant trois ans. Le sexe fait partie de leur vie, chacun fait ce qu’il veut avec les autres, mais ils ont été obligés de limiter les pièces aux quatre chambres et au salon télé. Pour arrondir les fins de mois, ils ont créé un site Internet payant où ils fournissent photos et films de leurs ébats, et par lequel les filles se proposent comme modèle pour des séances photo porno (activité qui marche de plus en plus) et vendent leurs culottes propres ou portées, sèches ou mouillés (ça aussi ça marche bien !). Parfois des clients demandent aux filles d’aller plus loin et propose de l’argent contre du sexe, elles ont refusé au début, puis se sont dit qu’il n’y avait aucun mal à faire la pute si personne ne les forçait à le faire et si la prestation se passait dans le respect mutuel.

 

Epilogue

 

– Alors Marcel ?

– C’est malin, avec tes histoires, j’ai la queue toute raide maintenant !

– Ah, oui ! Fait voir !

– Comment ça fait voir ? Tu ne vas pas me dire que ça t’intéresse aussi ?

– Je m’intéresse à tout !

– Autrement dit, tu me demandes cela dans un but culturel ?

– Oui !

– Ben tu te cultiveras une autre fois. Mais n’empêche, j’aime bien tes histoires, on sent que c’est vrai !

– Pas de bol, Marcel, c’est de la pure invention, j’ai bien une femme, mais ma vie sexuelle est un désert permanent, je n’ai pas de maîtresse, et je n’ose pas aller voir les putes.

– Non ?

– Si ! C’est pour cela qu’exiger qu’une histoire soit véridique est débile ! Je n’ai rien, je ne suis rien, alors qu’on me foute la paix et qu’on me laisse le droit de délirer PUISQUE C’EST LA SEULE CHOSE QUI ME RESTE !

 

FIN

 

(c) Alexis Defond-Rossignol 2001

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Alexis
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Samedi 24 juillet 2021 6 24 /07 /Juil /2021 15:42

Martinov 22 – Univers parallèles – 13 – Matures joyeuses par Maud-Anne Amaro

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– Je m’en veux vraiment d’avoir eu cette conduite inqualifiable tout à l’heure, j’en suis désolé. S’excuse Romain

– Mais ce n’est pas grave, voyons ! Est-ce que j’ai l’air de vous en vouloir ?

– Je ne pense pas, non !

– Alors, vous venez avec nous coincer Beautilleux ?

– On va faire un effort.

– On se prévient quand le traceur commencera à bouger.

 

Afin de ne pas faire traîner l’affaire, Romain livra le cadran à Beautilleux bien avant les délais.

 

Beautilleux passa une annonce dans une feuille gratuite disponible chez les commerçants.

 

« Le mage Kuolacar a le pouvoir de faire revenir devant vous le spectre de l’être cher que vous avez perdu, ni trucage, ni arnaque, résultat garanti… »

 

Il fut surpris d’avoir dix réponses dès le lendemain, il en sélectionna une.

 

Odette, ancienne vedette de cinéma et veuve du général Polivert, décédé prématurément, avait eu son quart d’heure de célébrité quand elle avait été la maîtresse du milliardaire Jacky Dondelle dans les années 1970, l’extravagance de leur liaison avait défrayé la chronique, la femme n’hésitant pas à exhiber devant les photographes les somptueux présents que l’amant lui offrait : bijoux, rivière de diamants, fourrures, bagnoles… L’un des articles décrivait l’un des diamants sur deux pages entières, le « Chambalard », le nom amusa Beautilleux.

 

Et un jour on avait retrouvé le type dans sa baignoire, vidé de son sang. On soupçonna Odette, mais elle fût disculpée dans un premier temps, le coupable, un monte-en-l’air sans envergure fût vite appréhendé, ce dernier ne trouva rien de mieux que de déclarer qu’Odette était sa complice, ce qui fut infirmé mais entre-temps la presse à scandale en avait fait ses choux gras.

 

Beautilleux se rendit à la bibliothèque nationale et consulta tous les journaux d’époque, la matière ne manquait pas, il prit des tas de notes.

 

Après que la dame eut-été blanchi dans l’affaire du meurtre, il semblait qu’elle avait ensuite protégé sa vie privée, à ce point qu’elle tomba dans l’oubli, les gazettes trouvèrent facilement d’autres os à ronger.

 

Beautilleux fit une recherche dans les bases de données, mais ne trouva rien après ces événements, mais allez savoir pourquoi, il fit une autre recherche sur le nom du diamant, l’énigmatique « Chambalard ». Et là il trouva un compte rendu de vente aux enchères à l’hôtel Drouot indiquant que le diamant en question avait été acquis pour un prix faramineux par un émir moyen-oriental.

 

« Voilà de quoi déstabiliser la petite dame… »

 

Beautilleux avait choisi un hologramme d’un homme portant moustaches à la Clark Gable. Ça ne ressemblait que de très loin à son ancien amant mais avec le flou et la probable vue basse de la dame, ça pouvait le faire. Quant à la voix dont il n’avait aucun échantillon, le modificateur vocal devrait faire l’affaire en la jouant « outre-tombe ».

 

Un peu avant 20 heures, le traceur indiqua la direction de Neuilly

 

Mathilde prévient Romain et Inès.

 

Mathilde dirige les opérations de sa voiture en guidant celle d’Inès et la troisième dans laquelle se trouve Romain et Édith. Rien ne presse puisque c’est à la sortie que tout devrait se passer.

 

L’immeuble étant repéré, ils n’ont plus qu’à attendre. Et comme il fait beau, inutile d’aller encombrer l’escalier. Tout se passera dans la rue.

 

Quand Beautilleux se présenta devant la veuve, celle-ci ne fut pas particulièrement aimable et ouvrit de suite les hostilités :

 

– Des charlatans, j’en ai vu un certain nombre, ils ont voulu me gruger, je les ai foutus à la porte, je ne suis pas gâteuse et je sais me défendre.

– Rassurez-vous…

– Je n’ai pas fini, il est bien évident que je ne vous paierai qu’après et que si le résultat me satisfait !

– Mais certainement !

 

Beautilleux déballe son matériel.

 

– C’est quoi ça ?

– L’interface.

– Hum.

– Je vais vous demandez de déplacer votre siège dans le fond de la pièce, derrière moi, de vous y installer et de vous concentrer sur la personne que vous voulez invoquer.

– J’ai oublié de vous dire, reprit la veuve. Si vous en avez après mon argent, c’est au coffre, il est sous alarme et relié à une société de sécurité.

– Mais enfin madame…

– Autant que vous soyez prévenu. Maintenant je me tais.

 

Après qu’il eut demandé à sa future victime d’éteindre la lumière, il commença la séance

 

– Qui voulez-vous invoquez, madame Polivert ?

– Jacky !

 

Le risque existait qu’elle invoqua quelqu’un d’autre, auquel cas, Beautilleux aurait trouvé un prétexte pour remballer ses outils, mais la chance avait l’air de lui sourire.

 

– Jacky, veux-tu répondre à Odette ?

 

Beautilleux active le projecteur faisant apparaître un ectoplasme flou à moustaches. Puis émet un grognement incompréhensible dans le modificateur vocal.

 

– C’est quoi ce cirque ? Rouspète Odette

– Qu’as-tu fais du « Chambalard », Odette ? Demande la voix caverneuse, tandis que Beautilleux fait dodeliner l’hologramme.

 

Et du coup, Odette devient blanche comme une craie.

 

– J’ai été obligé de le vendre ?

– Pourquoi as-tu vendu le « Chambalard » ?

– Mais j’étais ruinée, il me fallait de l’argent

– Alors tu as bien fait !

 

Odette se met à pleurnicher.

 

– Et aujourd’hui, tu es ruinée ?

– Non, je me suis remariée… arrêtez-ça Monsieur le mage !

– L’argent qui est dans ton coffre, tu dois le destiner à ma famille, le mage s’en chargera.

– Non ! Arrêtez ça monsieur le mage !

– Je ne peux pas, j’ai libéré une force qui me dépasse.

– Ouvrez votre coffre et vous pourrez dormir en paix ! reprend la voix de l’hologramme.

 

Comme un zombie, Odette ouvre son coffre.

 

– Je fais quoi maintenant ? demande-t-elle

– Eloignez-vous je vais me servir.

– Ne prenez pas tout !

– Ne vous inquiétez pas !

 

Beautilleux emplit sa mallette de billets et de bijoux.

 

– Jacky, tu ne veux plus parler à Odette ?

– Odette, je t’aime ! Merci de ce que tu viens de faire !

 

Et Beautilleux éteint le projecteur.

 

– On peut rallumer s’il vous plait ?

– C’est diabolique, c’est diabolique !

 

Odette a la tremblote

 

« Pourvu qu’elle ne me claque pas dans les doigts ! »

 

– Je vais vous payer, mais je ne veux plus vous revoir !

– Ce n’est pas nécessaire, je crois que je viens de faire une bonne action !

– Alors tout va bien !

 

Sur le trottoir la petite bande à tout entendu. Inès et Mathilde exultent !

 

Il est 21 heures quand Beautilleux, gai comme un pinson sort de l’immeuble et se dirige en direction du métro. Sur un signe de Mathilde, il se retrouve entouré sans comprendre ce qui se passe.

 

– Tu l’as mis où le fric de la vieille ?

– Quelle vieille ? Qu’est-ce que vous faites ici ?

– Donne le fric ou on va s’énerver !

– Quel fric ?Je n’ai pas de fric. De quoi parlez-vous ?

– Ce ne serait pas dans sa petite mallette, là?

– Laissez ma petite mallette tranquille !

 

On lui arrache des mains. L’argent est bien dedans, les bijoux aussi.

 

– Escroquer les personnes âgées, tu n’as pas honte ?

– Qu’est-ce que ça peut vous foutre ?

– Fous le camp ! Lui dit Mathilde.

– Vous lui laissez son cadran ? S’étonne Edith ?

– Qu’est-ce que vous voulez que j’en fasse ?

 

Beautilleux, son sac contenant le cadran sous le bras, prend au hasard la première rue à gauche et disparaît aux yeux de ses « agresseurs ».

 

– Il va continuer ses escroqueries ! Dit Edith qui ne comprend toujours pas.

– Oui, mais ce n’est plus mon problème, on a récupéré le fric et même davantage. Beautilleux, cadran ou pas, est un escroc dans l’âme, un jour il se fera pincer, il n’a pas une vue assez intelligente des choses pour éviter les erreurs. On vous paie le restau ?

– Pourquoi pas ?

– D’ailleurs c’est l’argent de Beautilleux qui va payer.

 

Le restau se passa dans une bonne ambiance, mais chacun avait envie de terminer la soirée de façon conviviale, c’est donc d’un commun accord que les trois voitures se dirigèrent vers Montmartre là où réside Inès afin de boire le traditionnel dernier verre..

 

– Nous n’avons pas eu le temps de faire les présentations dans les règles ! Voici donc Inès Kermaillard, ancienne vedette de cinéma, Romain, chef d’entreprise dans l’électronique et sa charmante femme Edith. C’est Romain qui a bricolé le traceur qui nous a permis de localiser et de coincer Beautilleux.

 

Du coup tout le monde se fait des bisous, puis Inès va chercher une bouteille de champagne au frigo et le verse dans des coupes sur une table basse. On trinque joyeusement après avoir pris place sur les deux luxueux canapés qui se font face.

 

– Inès est aussi salope que moi ! Tient à préciser Mathilde histoire d’ouvrir les festivités. Mais je dis ça comme ça, si parfois la chose vous tente, sinon on peut se contenter de boire un verre entre amis.

– Mais enfin Mathilde ! Fait mine de s’offusquer Inès.

– Ben quoi, je n’ai rien dit de méchant !

– Salope, moi ? Non mais dès fois ? Franchement est-ce que j’ai l’air d’une salope, Monsieur Framboisert.?

– Vous m’embarrassez, je ne vous connais pas ! Répond l’intéressé qui prend ça à la rigolade. Mais je ne demande qu’à faire connaissance.

– Quel cochon ! Commente Edith.

– Mais on les aime nos petits cochons ! Précise Mathilde.

 

Et sans plus attendre, Inès porte la main sur la braguette de Romain.

 

– Oh, excusez-moi, je ne sais plus ce que je fais, ni pourquoi je mets la main à cet endroit ! Plaisante-t-elle. Faut-il que je la retire ?

 

Et tout en disant cela, elle accentue sa pression sur l’endroit sentant la chose grossir sous l’action de ses petits doigts agiles.

 

– Vous êtes une rapide, vous ?

– Nous ne sommes que de passage sur terre, notre temps est précieux.

– Philosophe en plus !

– En fait je suis davantage calée pour sucer des bites que pour faire de la philo

 

En face, Mathilde et Edith s’amuse du spectacle et s’amuse à de petits jeux de langues tout en se pelotant allégrement .

 

– Je peux ! Demande Inès en dézippant la braguette.

– C’est déjà fait !

– Suis-je bête, voyons ce qu’il y a là-dedans ! Dit-elle en laissant sa main farfouiller dans le caleçon de l’homme.

 

Elle en teste l’état et ayant constaté sa bonne rigidité, l’extrait de sa cachette.

 

– Oh ! une bite !

– Vous pensiez trouver quoi ? Un hélicoptère ?

– Grand sot ! Laisse-moi un peu branler tout ça ! Mais baisse-moi ton pantalon ce sera plus pratique… Ou alors met-toi carrément à poil,… au point où on en est.

 

Excité comme une puce, Romain obtempère, gardant uniquement ses chaussettes. Et pour ne pas être en reste, Inès en fait de même, dévoilant son corps bronzé.

 

Romain en reste baba, il avait bien deviné que la dame avait de beaux restants, mais pas à ce point-là !

 

– Pas mal ! Hein ? Dit-elle et regardez mes fesses ! Pas mal non plus ? Hein ? Tâtez-les !

 

Vous pensez bien que l’homme n’allait pas refuser, il caresse le cul d’Inès.

 

– Mieux que ça, j’adore qu’on me tripote les fesses ! Oui comme ça, continue, écarte-les maintenant. Tu vois mon petit trou ?

– Oui !

– Tu le trouves comment mon petit trou ?

– Charmant, absolument charmant.

– T’as le droit de le lécher.

 

Encore une instruction qu’il n’est nullement nécessaire de dire deux fois à Romain Framboisert, qui si penche langue en avant vers le trou mignon et vient le déguster.

 

– Ça va ? Il a bon goût mon cul ?

– Un goût exquis !

– On me l’a dit souvent, mais je n’ai jamais pu y gouter, je ne suis pas contorsionniste.

 

Sur le canapé d’en face Mathilde et Edith complètement débraillées en sont déjà au soixante-neuf et pousse des cris qui ne laissent aucun doute sur le plaisir qu’elles y prennent.

 

– Mettez-moi un doigt ? Demande Inès.

– Bien volontiers ! Répondit Romain en humectant son index avant de l’enfoncer dans le trou de balle de la dame.

– Hum, c’est bon, j’adore qu’on me foute un doigt dans le trou du cul. Essayez d’aller plus vite, mettez un deuxième doigt.

– Comme ça ?

– Oui c’est bon, j’aime qu’on s’occupe de mon cul, continuez avec vos doigts et après vous pourrez m’enculer !

– Mais avec plaisir !

– J’aime me faire enculer !

– Je vais essayer de vous faire ça bien !

– Les hommes ne savent pas ce qu’ils perdent ! Ce genre de plaisir est divin ! Ça ne vous a jamais tenté d’essayer, Romain ?

– D’essayer quoi, chère madame ?

– De vous faire sodomiser !

– Et si je vous disais que ça m’arrive de temps en temps et que j’apprécie beaucoup.

– Et vous sucez aussi ?

– Ça m’arrive.

– Oh ! Mais c’est formidable ce que vous me dites, retirez vos doigts, je reviens tout de suite.

 

Et voici qu’Inès se lève et s’en va farfouiller dans le tiroir inférieur d’un grand vaisselier, elle en sort une boite de préservatifs et un gode ceinture.

 

– Voilà, regarde un peu comme il est beau ! On peut se tutoyer n’est-ce pas ? Il y a une éternité que je ne l’ai pas utilisé, beaucoup d’hommes quand on leur parle de ça, ils se sauvent en courant… c’est vraiment con, ceux qui y ont gouté, ils en redemandent ! Moi j’aime bien me servir d’un gode, j’en ai un autre avec des piles, il ressemble vraiment à une vraie bite, je l’appelle Firmin, hi, hi ! Bouge pas je vais te le montrer tu vas voir comme il est beau.

 

« Ce n’est pas possible, elle a avalé un magnétophone ! »

 

Elle revient donc avec « Firmin » et le fout sous le nez de Romain.

 

– Comme tu le trouves ?

– Il est attendrissant ! se moque l’homme.

– Montre-moi comment tu suces les bites

– Je préfèrerais une vraie…

– Je veux juste voir, fais-moi plaisir.

 

Martino22M

 

Inès lui demande alors de s’agenouiller entre ses cuisses, elle lui introduit le gode dans la bouche, puis lui pince ses bouts de sein, d’abord doucement puis de plus en plus fort, Romain se pâme tout en léchant la bite factice.

 

– T’aimes ça, qu’on te pinces, allez suce, oui comme ça, tourne bien ta langue autour du gland et maintenant tu l’enfonces bien dans ta bouche, voilà t’es un bon suceur de bite.

 

Mathilde et Edith se sont approchées.

 

– Ben dis donc ton mari, il aime ça la bite ! Lance Inès à Edith.

– Ben, oui c’est un petit cochon !

– Et ça ne te gêne pas ?

– Pourquoi ça me générait ? Encule-le donc avec ton engin, il n’attend que ça !

– C’est vrai ça Romain, tu veux que je t’encule ?

– Oui, oui, vas-y !

 

Pendant que l’homme se met en levrette, prêt à l’assaut, Inès s’harnache avec le gode ceinture, et le recouvre d’un préservatif.

 

– Faut’y mettre du gel ? S’interroge-t-elle.

– Lèche moi un peu le trou, ça devrait le faire.

– Tu voudrais que je te lèche ta rondelle ?

– Ce n’est qu’une suggestion !

 

Inès se mit donc à faire feuille de rose à Framboisert, sa langue était d’une telle agilité que le petit œillet brun ne tarda pas à bailler de plaisir.

 

– Et maintenant, fini la rigolade, attention à ton cul, j’arrive !

 

Ça entre tout seul, Inès pilonne à grand coups de rein le trou du cul de Romain, celui-ci apprécie même s’il préfère quand c’est sa femme qui lui fait ce genre de choses à la maison. Et puis c’est vrai que ça ne vaut pas une vraie bite…

 

Mathilde vient devant lui afin de se faire lécher la foufoune, ainsi le plaisir est-il double. Elle devait être super excitée puisqu’elle prend son deuxième pied de la journée en moins de trois minutes.

 

– J’ai envie de pisser, tu viens avec moi ? demande-t-elle à Edith.

– Au fond à gauche ! La deuxième porte ! Lui précise Inès tout en continuant à besogner .le cul de l’homme.

 

Edith cru d’abord que cette proposition d’accompagnement était innocente.

 

– Tu veux me regarder ? Osa Mathilde en s’installant sur la cuvette.

– C’est comme tu veux, moi je veux bien !

– Je peux t’offrir une belle vue, si tu veux ! Reprend la mature en se redressant.

– Tu aimes les jeux de pipi ?

– Disons que ça m’amuse.

– Tu veux m’asperger ?

– Hum, bien sûr !

 

Du coup Mathilde rectifie une nouvelle fois la position, elle se rassied sur la cuvette mais s’avance sur le bord, mettant ainsi sa chatte devant Edith qui s’agenouille devant elle.

 

Et soudain, le jet fuse, Edith en reçoit plein sur les seins et se l’étale, elle ouvre ensuite une large bouche, Mathilde comprend évidemment le message et lui donne à boire.

 

La miction terminée, les deux femmes s’embrasent spontanément.

 

– On fait une belle paire de salopes ! Commente Mathilde.

– Oui, mais on assume !

 

Au bout d’un moment Inès commence à fatiguer et se retire laissant Romain exténué mais ravi.

 

– A toi de m’enculer, mon grand !

– Mais avec grand plaisir, ma chère !

– Et traite-moi de tous les noms, ça me stimule.

 

Romain s’encapote et pénètre facilement la belle sexagénaire.

 

– T’aime ça qu’on t’encule, hein vielle salope, trainée, morue, radasse !

– Ils sont mignons tous les deux ! Commente Mathilde en jouant avec les tétons d’Edith.

 

Et tandis qu’Inès se met à jouir rapidement du cul en poussant des hurlements, Romain excité comme un pou et incapable de se contrôler davantage jouit dans la capote et se retire.

 

Moment calme, on se rince, on se rhabille, puis Inès propose d’emmener tout ce petit monde dans un petit piano bar du quartier.

 

Bonne ambiance, on boit, on rigole… Mathilde profite du fait qu’Edith soit partie aux toilettes (oui toute seule cette fois !) pour entreprendre Romain.

 

– Téléphonez-moi discrètement dès que vous pourrez, j’ai une petite proposition coquine à vous présenter.

 

Mercredi 20 avril

 

Et le lendemain elle lui expliqua.

 

– J’aimerais que vous m’aidiez à réaliser un petit fantasme.

– Moi, je veux bien, mais lequel ?

– Voyez-vous, il y a un certain temps que je n’ai pas vu deux hommes bisexuels se faire des trucs ensemble…

– Vous savez, je ne fais ça que de temps en temps, mais disons que c’est l’occasion qui fait le larron.

– C’est un refus ?

– Oui, je regrette…

– Cela m’aurait fait plaisir !

– Non, n’insistez pas, et puis c’est qui l’autre ?

– Quelqu’un que vous connaissez.

– Martinov ?

– Eh, oui !

– Dans ce cas on peut s’arranger.

 

Samedi 23 avril

 

Le professeur Martinov est très ponctuel, Fabienne en tenue de soubrette lui a servi un whisky, Mathilde s’est habillée, si on peut appeler ça « habiller » d’un extravagant corset à bretelles rouge carmin avec le string assorti. Notre vert professeur en bave d’émotion.

 

Romain Framboisert arrive dix minutes plus tard, se confond en excuse. Les embouteillages… Il embrasse Mathilde puis interpelle le professeur.

 

– Alors, toi aussi tu t’es fait débaucher ?

– Que veut-tu la chair est faible.

 

Fabienne vient s’enquérir de ce que souhaite boire le nouvel arrivant.

 

– Je veux bien un whisky.

 

Puis une fois Fabienne sorti de la pièce.

 

– Votre servante est charmante !

– Charmante et peu farouche, d’ailleurs elle restera à mes côté pendant que vous allez m’offrir votre petit spectacle

 

On trinque, on boit, puis Mathilde fait signe au deux hommes qu’elle voudrait bien que ça commence. Fabienne vient s’assoir à droite de sa patronne, les deux hommes se déshabillent. C’est parti !

 

Romain et Martinov sont face à face.

 

– On gère ça comment ? demande le professeur mezzo voce.

– On se laisse aller, on verra bien !

 

Et Romain attrape les tétons de Martinov et les serre entre ses doigts, du coup ce dernier lui rend la politesse. Et c’est magique les bites se mettent à grossir et à indiquer la direction du ciel.

 

– Tu as vu des deux cochons, Fabienne comme ils bandent bien.

– Hum c’est excitant !

– Et attend il vont se sucer et s’enculer !

– Super !

– Tu vas me caresser pendant que je les regarde.

– Oui madame !

 

Qui sucera l’autre ? Petit accord tacite entre les deux hommes, Martinov s’accroupit en engloutit la bite de Romain. C’est qu’il aime ça, Martinov sucer de la bite, et celle de Romain il la connait bien, alors il s’applique, Il lèche, il suce, il pompe…

 

Puis Romain s’en va se coucher sur le dos sur le canapé, Martinov a compris la manœuvre et se positionne tête bêche avec son camarade de débauche de façon à ce qu’ils se sucent mutuellement la queue.

 

– Oh, le joli soixante-neuf ! Commente Mathilde à présent bien débraillée par Fabienne, le string a disparu on ne sait où, les bonnets du corset ont sautés, exhibant ainsi sa jolie poitrine. D’une main Fabienne lui trifouille la chatte tandis que ses lèvres butine un téton fripon.

 

Fabienne avait prévu sur la table basse, quelques préservatifs joliment présentés dans une coupelle en porcelaine de Sèvres.

 

Romain s’encapote, le professeur se positionne en levrette et s’écarte les fesses. L’instant d’après il se faisait proprement enculer.

 

L’affaire dura bien plusieurs minutes, on a du mal évoluer le temps quand on baise, mais Romain finit par prendre son pied, alors qu’au même moment Mathilde éclatait son plaisir sous l’action de la langue de Fabienne qui lui faisait minette.

 

Romain s’est retiré, fait signe à Mathilde qu’il est momentanément hors service, ce que la mature avait aisément compris.

 

– C’était très bien, un peu court, mais je ne vais pas faire la difficile ! Cher professeur, vous n’avez pas joui ! Je vous confie Fabienne, elle est à vous. D’ailleurs je crois bien que vous avez déjà fait des choses ensemble

– Oui, madame, répondit Fabienne

– Enculez-là, cher professeur.

– Vous voulez-bien, Fabienne ? demande Martinov.

– Oui dit-elle, en se mettant en position et en dégageant d’autant plus facilement son joli derrière qu’elle n’avait pas de culotte.

 

Et c’est ainsi que ce termina cette rocambolesque histoire d’univers parallèles !

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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