Mercredi 3 novembre 2021 3 03 /11 /Nov /2021 17:05

A Genoux par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne

 

cul015

Le parvis écrasé de soleil, puis je me glisse dans l’ombre fraîche.

 

Silence.

 

Il n’y a personne, mes premiers pas, encore précipités, résonnent.

Je reprends mon souffle, j’écoute plus attentivement, mon cœur bat.

 

Personne.

 

A droite, dans l’ombre plus profonde, le confessionnal, petite lampe rouge éteinte.

Je m’avance, de plus en plus lentement, je m’aperçois que mes mains étreignent mon petit sac à hauteur de ma poitrine, quelle posture empruntée !

Je m’arrête devant le lourd rideau de velours aux trois quarts écarté.

J’ai repoussé mon sac à main sur mon dos, je laisse retomber mes bras le long de mes hanches.

Je suis nue sous ma jupe.

Je sens cette fraîcheur inhabituelle sur mes cuisses, le tissu sur la peau de mes reins.

Immobile, je me sens nue, je suis nue sous ma jupe, mais qui pourrait le savoir ?

 

Silence.

 

Je suis seule, je peux ne pas être convenable, par exemple pousser ma poitrine en avant, comme pour montrer mes seins dont je suis fière, accentuant la pression de mon chemisier sur ma peau, nue là aussi, on les voit bien comme cela.

Je peux creuser les reins, pour sentir mes fesses s’arrondir, je suis belle, je sens un frémissement dans le bas de mon ventre.

J’ai envie d’être plus nue que cela, mes doigts cherchent l’ourlet de ma jupe, je n’ose pas, je reste songeuse.

Il devrait arriver bientôt, il faut que je prenne place.

Je fais un pas, baissant la tête, il fait presque noir, parfum de cire, je touche les boiseries.

Je m’agenouille sur le petit coussin de velours.

Je ne peux pas refermer le rideau, on croirait que la confession a commencé alors qu’il n’est pas encore là, la petite lampe est éteinte.

Voilà, ici je suis en sécurité, au creux du secret, où je puis tout confier.

Où je suis acceptée, comprise, où tout me sera pardonné.

Où je suis aimée peut-être ?

Où mes pensées les plus intimes, mes désirs les plus spontanés ne vont pas provoquer une réprobation immédiate.

J’aime l’idée de me confesser.

J’aime ce mot : « me confesser ».

Mes fesses sont nues sous ma jupe.

J’ai envie de me les toucher, ce serait « me confesser » à ma façon.

Ici, je peux peut-être le faire sans que personne ne le voie ?

J’ajuste ma position, écartant légèrement les genoux pour tenir en équilibre sans l’aide de mes mains.

Mes mains sont libres, je les croise dans mon dos.

Ce n’est pas indécent, on pourrait croire que j’attends simplement, dans une position à la fois digne et humble, assez appropriée après tout.

J’attends, j’écoute.

J’ai envie de le faire, personne ne me verra : il n’y a personne.

Si quelqu’un arrive, je l’entendrai et j’aurai le temps de réajuster ma posture.

J’écoute, mes oreilles en bourdonnent presque, je laisse descendre mes mains jusqu’à l’ourlet, je le saisis.

Je respire plus fort, je sens mon cœur battre, je ferme les yeux.

Je remonte lentement ma jupe, je sens la fraîcheur sur le haut de mes cuisses.

Sur le bas de mes fesses maintenant.

S’il y avait quelqu’un ! Quelle honte !

Je ramène mes mains croisées sur mes reins, dans la même position humble et digne, mais mes fesses sont complètement nues maintenant.

 

Silence.

ageniux

Je vous montre mes fesses.

Il n’y a personne.

Je creuse le dos pour les arrondir.

Je les tends même en arrière, je suis indécente.

J’expose mes belles fesses blanches mais personne n’est là pour les voir.

Je peux être aussi « effrontée » que je veux.

J’ai envie de l’être, je suis ici pour me confesser.

Regardez mes fesses.

Mes mains redescendent pour les empaumer.

Je me sens défaillante, je respire de plus en plus fort.

Je commence à bouger les mains, je me touche les fesses.

Je me tâte doucement, je me pétris du bout des doigts.

J’ai envie de m’écarter les fesses pour être encore plus exposée.

Mes doigts se glissent entre elles.

Je les écarte un peu, je les presse de nouveau, puis je les écarte encore.

Cela m’excite, j’ai envie, j’ai envie de cela, de m’exposer.

Je me creuse le dos un peu plus, mes doigts s’arriment plus profond, se rencontrent.

Je m’écarte les fesses.

Je m’écarte les fesses complètement, la fraîcheur vient me caresser la raie.

Je suis complètement exposée.

Regardez mon cul.

J’ai envie… J’ai envie …

Mais de quoi ? Comment aller plus loin ?

Je me ressaisis, remets prestement ma jupe en place en ouvrant les yeux.

Il fait bien sombre, mon cœur bat la chamade.

Quand même, il faudra que je fasse attention, je ne suis pas sûre d’avoir bien écouté à tout moment…

 

Silence.

 

Je reprends mon souffle, glisse un regard circulaire au dehors.

Qu’est-ce qui a changé dans la qualité de la pénombre ?

Mon sang se glace : la petite lumière rouge est allumée.

 

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 3 novembre 2021 3 03 /11 /Nov /2021 11:08

Lèches amoureuses par Elian Lvekman

sperm stamp

C'était en vacances : un soir que je me promenais sur la plage tiède et déserte; Au bout d'un bon quart d'heure, je rencontrai une femme d'à peine 30 ans qui s'était assise sous la lune, dans une petite robe légère, et qui me regardait approcher depuis un moment. Je suis un peu sauvage et je n'aime pas me sentir observé, aussi, j'avais hâte de la dépasser pour continuer ma promenade nocturne (non que je n'espérais pas secrètement une rencontre fortuite, mais je savais d'expérience que cela n'arrive jamais...) Or, ce soir-là me fit mentir, car la femme me tendis rapidement une perche pour lui faire la conversation ! 

 

Ce fut bien sûr d'abord les banalités d'usage, mais bien vite, elle m'invita à s'asseoir à côté d'elle et je sentis son parfum qui m'envahit : En écoutant sa voix douce, j'eus soudain envie de la serrer dans mes bras. Elle sembla s'en apercevoir et me regarda un peu effrontément; je me dis tout d'abord que je devais me faire des idées, mais après tout, il est assez rare qu'une fille invite quelqu'un à s'asseoir à côté d'elle sans arrière-pensées, et fort de cette prise de conscience, je lui pris la main, et m'approchai doucement pour l'embrasser: elle n'attendait apparemment que cela et nos deux langues se mêlèrent frénétiquement. Nous étions comme électrisés par notre audace réciproque. 

 

Sans préambule, elle ouvrit ma braguette et défit ma ceinture pour atteindre mon sexe où le sang battait avec force. Continuant à m'embrasser, elle me masturba un peu maladroitement d'abord, puis ses caresses devinrent plus subtiles. Au comble de l'excitation, j'espérais qu'elle se pencherait sur moi pour me faire une fellation, mais elle n'osait visiblement pas. Je me dis alors qu'elle pouvait avoir les mêmes attentes, et j'entrepris d'ôter sa culotte pour lécher sa vulve. A vrai dire je n'avais jamais fait une chose pareille, et je craignais un peu que l'expérience ne soit rebutante: mais à ma grande surprise, ses lèvres roses et un peu dégoulinantes n' étaient pas désagréables à léchotter, et leur discrète odeur âcre avaient même quelque chose d'enivrant qui m'encouragea à être plus fougueux dans mon étrange baiser... 

 

00LvekmanJe la léchais bientôt abondamment et tentais parfois de pénétrer son vagin avec ma langue; tantôt je tournais autour de son clitoris, tantôt j'avalai littéralement sa vulve et broutais son pubis Je ne me serais jamais cru si ardent et si comblé moi-même par la pratique du cunnilingus... Tout essoufflée, c'est elle qui m'arrêta pour se jeter à son tour sur mon sexe. Elle n'avait pas l'air très à l'aise, mais elle s'appliqua à enserrer mon gland avec ses lèvres rondes et un peu fraîches, et fit de délicates et lentes allées et venues. Je ne savais pas quelle attitude adopter, et je lui caressais les cheveux pendant qu'elle osait enfoncer de plus en plus profondément mon pénis dans sa bouche. On entendait des bruits de succion pas très esthétiques, mais assez excitants. Comme je l'avais fait, elle se montra de plus en plus fougueuse, et je dû bientôt l'arrêter pour ne pas éjaculer dans sa bouche... 

 

- Tu veux jouir, me dit-elle?

- Je vais avoir du mal à me retenir encore longtemps...

 

Elle me regarda et sembla réfléchir quelques instants, puis redescendit vers mon sexe bouillant en me disant : 

 

- Laisse toi allez: tu peux éjaculer si tu veux...

 

Je l'arrêtai encore.

 

- Tu sais, je ne sais pas si le goût de mon sperme est bien agréable...

 

Elle continua ce qu'elle avait commencé en me disant soudain : 

 

- Ejacule dans ma bouche! je veux que tu le fasses !

 

Au bout de nouvelles caresses au rythme maintenant effréné, je sentis l'orgasme m'envahir progressivement; je balbutiai que j'allais jouir pour lui laisser encore le choix d'éviter la décharge en pleine bouche: ses lèvres continuèrent à sucer mon sexe et je sentis les longs jets chauds se répandre à l'intérieur d'elle. je fus longtemps secoué par les spasmes de l'éjaculation, et comme elle avalait toujours mon gland, elle en eut littéralement plein la bouche; à tel point que je vis couler de ses lèvres un flot de sperme qu'elle ne pouvait contenir! 

 

Ma partenaire garda longtemps les yeux fermés tandis qu'elle déglutissait patiemment et sans dégoût mon épaisse semence et achevait sur mon pénis les dernières lèches de toilette. Le baiser quelle me donna ensuite me laissa un petit goût particulier... 

 

N'étant pas un surhomme, j'aurais été en mal de continuer à lui faire l'amour, car mon sexe était maintenant devenu lourd et flasque et toute nouvelle performance m'était provisoirement interdite... A dire vrai, je n'en éprouvais même plus l'envie sur le moment, tant mon orgasme fut intense et puissant; je ne me souvenais d'ailleurs pas avoir déjà éjaculé autant et si longtemps.

 

Elle se rendit à l'évidence sans me faire de remarque désobligeante, puis l'informant qu'il me fallait satisfaire un besoin bien naturel, elle me regard fixement, la bouche entr'ouverte avant de me demander :

 

- Laisse moi boire ton urine !

 

Je resté bouche bée, incapable de répondre, elle insista.

 

- Je t'en prie, fais-moi ce cadeau, j'en ai trop envie.

 

Alors j'ai fermé les yeux et j'ai commencé à pisser. Quand je les réouvert,, je constatais que ma belle inconnue avait positionné sa bouche sur la trajectoire de mon jet et avalait ce qu'elle pouvait sans se départir d'un énigmatique sourire.

 

Ensuite nous allâmes à pied chez elle pour prendre un verre ensemble. Après avoir discuté une partie de la soirée, nous nous étreignirent de nouveau et je pus enfin la pénétrer profondément et avec délectation. Nous fîmes l'amour lentement et longtemps, avec une étrange complicité, comme si nous nous étions toujours connus. 

 

Je n'aime pas prendre les filles par l'arrière. J'aime pouvoir les embrasser et les regarder dans les yeux pendant que je les pénètre: j'aime beaucoup quand elles montent sur moi et me donnent du fil à retordre... j'aime les tenir par les hanches pendant qu'elles font rouler leur bassin et soulèvent rythmiquement et lentement leurs fesses avant de s'empaler à nouveau profondément sur mon pénis... J'aime quand elles arrêtent leur danse sensuelle juste avant que mon sexe ne sorte de leurs lèvres chaudes et sonores, j'aime quand elles prolongent cet instant subtil avant de redescendre inexorablement jusqu'à ce que nos pubis se percutent un peu violemment. 

 

Ce soir-là, cette femme m'offrit tout ce que j'aimais le plus; en retour, je l'ai fait jouir jusqu'à ce qu'elle soit presque tétanisée sous les puissantes vagues de son orgasme féminin, où son vagin enserra puissamment ma verge pendant près d'une minute tandis que sans un geste et le regard flou, je vacillais finalement comme étourdi par le brasier intérieur du plaisir, alors que je laissais couler de mon pénis les lourdes larmes blanchâtres et visqueuses qui affluaient du plus profond de mon ventre vaincu.

 

D'après un récit anonyme paru sur le site de Sophiexxx en 2000

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 3 novembre 2021 3 03 /11 /Nov /2021 08:55

Une soirée pas si tranquille... par Mathilda Stenberg

Ninotchka

L'autre soir, j'étais seule chez moi. J'avais passé une petite soirée tranquille, en pyjama devant la télé, vous savez, l'une de ces soirées où il fait si bon de simplement paresser et perdre son temps. Le film que j'avais regardé venait de s'achever.

 

J'entamais donc la grande tournée des chaînes, histoire de voir s'il y avait encore quelque chose d'intéressant à cette heure tardive. Au hasard de mon jeu de télécommande, je tombai sur un de ces films dit érotiques. Je ne sais pas pourquoi mais contrairement à mon habitude, je n'avais pas envie de changer de chaîne. À l'écran, un jeune voyeur espionnait sa voisine très peu pudique... et en était visiblement excité. Mes pensées vagabondèrent un peu et je me figurais être cette fille, que l'on observait avec désir et envie. Cette idée provoqua une sensation de chaleur jusque dans mon sexe, comme un courant électrique parcourant mon corps fébrile.

 

Alors que mes pensées évoluaient, le film s'enchaîna sur une pause publicitaire. Un peu déçue, j'entrepris d'explorer les canaux brouillés d'où nous proviennent chaque soir des longs métrages beaucoup plus qu'érotiques. Chanceuse, je tombai sur un poste où l'image était presque parfaitement claire. À la vue de ces scènes explicites, mon excitation décupla. Sans que je m'en rende compte, ma main s'était égarée sous ma culotte et agaçait ma chatte déjà humide. Je tentais alors de modérer mon excitation. Rapidement, j'éteignis le téléviseur et me dirigeai vers la salle de bain. Là, je mouillai un gant de toilette que je pressai sur mon sexe. D'ordinaire ce petit manège tempérait mes ardeurs, mais cette fois, rien n'y fit.

 

D'un geste rageur je lançai le gant de toilette sur le comptoir et arrachais mes vêtements. L'image de mon corps dans le miroir, mes seins aux pointes dressées et mes fesses semblant appeler une caresse m'excita davantage. Je me dirigeai vers ma chambre et m'étendit, nue, sur mon lit.

 

Je m'imaginai être épiée. Au fur et à mesure que mes mains parcouraient mon corps, mon excitation grandissait. 

 

ChandelleJe me levais, me précipitais vers la salle de bain et m'emparais de la boite où je range mes pinces à linges, j'en choisi deux que je m'accrochais de suite sur la pointe de mes seins. La morsure du plastique me provoquait une douleur étrange, j'adore cette sensation. Dans ma tête je m'imaginais d'être à la merci d'un dominateur imaginaire. Il me demandait de boire ma pisse. Pourquoi pas ? Je pissais dans mon verre à dents, puis portais le verre rempli à mes lèvres, c'était de l'urine du soir, elle n'était pas trop forte, je bus tout cela cul sec.

 

Mais j'avais envie d'être encore plus cochonne, je retournais sur le lit et m'emparais du godemichet qui est dans le tiroir de la table de chevet, je le suçais un petit peu, m'imaginant qu'il s'agissait d'une bonne bite ! Mon dominateur imaginaire m'imposait maintenant de me l'enfoncer dans l'anus. Je le fit aller et venir, retardant le moment où je devrais le sortir et en constater l'état.

 

Je ressortis le gode, il était un peu sale, juste ce qu'il fallait de petites taches de merde. Je le reniflais, ça sentais un peu la merde. Alors d'un coup je me mis à le nettoyer de la langue m'imaginant là encore que je suçais une bite merdeuse qui sortait de mon trou du cul.

 

Je n'en pouvais plus, l'excitation était trop forte.

 

Je glissais deux doigts dans ma fente humide. De ces doigts, j'entrepris de titiller mon clitoris, ce petit bouton de plaisir saillant qui n'en demandait pas mieux.

 

Mon autre main continuait de parcourir les courbes de mes seins et de mes hanches, torturant au passage mes mamelons en agissant sur les pinces.

 

Tout en poursuivant mes caresses, je continuais de m'imaginer qu'un homme m'observait, excité par mes jeux si peu enfantins. Me croire ainsi observée venait combler mon petit côté exhibitionniste et poussa mon excitation à son comble. J'accélérais mes caresses et m'accordai une jouissance d'une puissance surprenante, étant donné que je m'étais débrouillée seule, comme une grande...

 

La force de ce plaisir me fit m'écraser sur mon lit, sans énergie. Je retirais les pinces et m'endormis presque aussitôt, tandis que je savourais les bons moments que je venais de me procurer...

 

Rewriting d'un texte de "Chandelle" déposé sur le site de Sophiexxx en 2000

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 2 novembre 2021 2 02 /11 /Nov /2021 15:13

La descente aux enfers de Madame Grenet par Irénée Vardin

Stamp sodo2

Je m'appelle Julien, j'ai 25 ans et travaille dans un cabinet d'assurance depuis quelques mois. Je suis tout à fait ordinaire, mon physique est quelconque, mais je suis très doué en l'informatique. Je suis au service comptabilité et directement sous les ordres de madame Grenet, la directrice financière. Cette femme d'une quarantaine d'année, plutôt belle, toujours habillée strictement est un cauchemar pour tous les employés du service qu'elle se plait à humilier. Hautaine et fière, méprisante, personne n'ose la contredire et ses désirs sont des ordres. 

 

Mais dans le comportement de madame Grenet, il y a une faille. Et je l'ai trouvée. J'ai remarqué que chaque vendredi, une rubrique comptable était débitée de petites sommes ne dépassant jamais quelques centaines d'euros. Quelqu'un préparait-t-il ses week-ends ?

 

Après de longues recherches, J'ai découvert grâce aux références du compte crédité que c'était la directrice financière elle-même qui se servait ! Ah l'informatique ! Après avoir réfléchi, je décide de ne pas laisser passer une si bonne occasion.

 

Je rédige un rapport détaillé à l'attention de la direction parisienne de la société en me donnant le beau rôle évidemment, J'espère ainsi obtenir une promotion substantielle. Mais avant je veux avoir le plaisir d'en informer ma directrice afin de l'humilier à son tour.

 

Le jour venu, je demande à la secrétaire de madame Grenet un rendez-vous en précisant que c'est important et urgent. En entrant dans le bureau, je ressens un moment de grande jubilation. Madame Grenet est assise derrière son bureau et sans lever la tête me dit :

 

- J'espère que c'est important ? 

- En effet, j'aimerai vous montrer ces documents, puis-je me servir de votre PC ?

- Oui, mais dépêcherez-vous je n'ai pas que ça à faire…

 

J'introduis une clé USB dans le lecteur.

 

- Depuis quelque temps, j'ai remarqué des irrégularités comptables qui je crois vont vous intéresser

- Ah ?

 

Madame Grenet regarde l'écran, son visage blêmit…

 

- Comment avez-vous ? … 

- Par hasard !

 

Je commence à savourer son triomphe.

 

- Au siège de Paris, ils ne vont pas apprécier les fraudes de leur directrice financière. 

- Nous pouvons nous arranger, dit-elle d'une voie plus douce, je vous donne la moitié des sommes. 

- L'argent ne m'intéresse pas… Répondis-je jouant les grand seigneurs.

- Alors, vous comptez faire quoi ? 

- Prévenir Paris ! Mais avant je voulais m'amuser à vous l'annoncer, rien que pour voir votre bobine ! Vous faites moins la fière maintenant !

- Connard !

- N'aggravez pas votre cas !

- Bon foutez le camp de mon bureau ! 

- Bonne continuation, Madame Grenet !

 

Je vais pour sortir, savourant ma vengeance.

 

- Attendez ! Ne me dites pas qu'il est impossible de s'arranger !

- Si, c'est impossible ! 

- Vous vous prenez pour quoi, pour le chevalier blanc ? Vous êtes sans doute un saint, vous ?

 

Et c'est à ce moment là que j'ai eu l'idée de lui faire une réplique salace.

 

- Il y aurait bien une solution…

- Je savais bien…

- Ce serait que tu deviennes mon esclave sexuelle.

- Hein ? S'esclaffe-t-elle en rougissant comme une pucelle

- On pourrait commencer, ce soir, je te fouetterais ton gros cul de salope avant de t'enculer comme une chienne.

 

La tronche qu'elle tire ! Madame Grenet reste stupéfaite et hébétée durant quelques minutes. Jamais elle n'aura imaginer une telle issue. Que faire ? Si au siège, cela se sait, sa carrière est fichue, sans oublier les éventuelles suites judiciaires.

 

Je me dirige à nouveau vers la porte

 

- Attendez, je suis d'accord !

- Sans blague ?

- Puisque je vous le dit ! On ferait comment ?

- Je vais te donner mon adresse, à 19 heures, tu sonneras chez moi, je te veux habillée en pute, décolleté, escarpins, porte-jarretelle… 

 

A 19 heures précises elle sonnait à l'interphone de mon immeuble, je lui ouvris et lui précisait l'étage et la porte.

 

-  Entre, grosse pute et donne-moi ton manteau ! 

 

Elle est superbe moulée dans un tailleur pied de poule, ses cheveux en chignon lui donnent un air encore plus sévère.

 

- Pose ton gros cul sur la chaise ! Tu devines ce qui va t'arriver ?

- Oui, je vous demande simplement de ne pas abuser de la situation.

- T'es pas en position de discuter, ma vieille ! Si tu n'as pas confiance, tu te casses et demain j'envoie mon rapport à Paris.

- Bien, je suis à votre merci !

- Tu portes quoi sous ta jupe ?

- Des bas 

- Fais voir ! !

 

Madame Grenet remonte sa jupe jusqu'à la lisière des bas.

 

- Maintenant je te veux à poil !

- Complètement ?

- Evidemment abrutie !

 

GranetPutain, elle a une de ses paires de doudounes, la directrice, Je m'empresse de les malaxer et d'en sucer et d'en mordiller le bout. Bizarrement ça n'a pas l'ai de lui déplaire. Je lui accroche des pnces à linges au bout des tétons. Oh, la vilaine grimace qu'elle me fait. Alors par pur sadisme je les retire… pour les remettre aussitôt.

 

- Aïe !

- Supporte connasse ! On t'as déjà dit que tu avais une bouche à tailler des pipes ?

- Euh, non ?

- Ben maintenant tu le sauras ! Tu va fouiller dans ma braguette et me sortir la bite, ensuite tu la mettras dans ta bouche.

- Maintenant ?

- Bien sûr que c'est maintenant, pas dans 8 jours, conasse ! A genoux et au boulot !

 

Madame Grenet s'agenouille entre mes jambes de Julien. Elle défait la ceinture et ouvre la braguette du pantalon. Elle sort du slip ma verge gonflée de désir.

 

- Allez, salope, en avant et commence par me donner des petits coups de langue, comme une bonne bourgeoise. 

 

Morte de honte, elle s'exécute. Le gland devient tout mouillé, je suis fou d'excitation.

 

- Suce-moi à fond !

 

La bouche enroule la verge et commence un long va-et-vient.

 

- C'est bien, continue, et surtout avale tout. Comme c'est bon de se faire sucer par sa directrice ! Aaaah, madame Grenet est une suceuse, Aaaah ! Aaaah ! Avale tout !

 

Ça a été trop vite, mais la soirée est à peine commencée.  Et j'ai quelques idées.

 

- Bon, ça m'a creusé tout ça ! Tu vas aller dans le frigo, il y a des œufs et du gruyère râpé , tu vas me faire une bonne omelette.

- Une omelette pour une personne ?

- Non pour deux, je ne voudrais pas que tu meures de faim.

- Je me rhabille ?

- Non !

- A quelle heure je vais pouvoir partir ?

- J'en sais rien !

 

Je regarde nonchalamment la télé pendant qu'elle est en cuisine.

 

- On mange où ? Demande- t-elle quelque minutes plus tard !

- Moi ici ! Et toi par terre !

- Par terre ?

- Ben oui les chiennes, ça bouffe par terre !

 

Quelle humiliation pour cette femme hautaine de devoir manger par terre, complètement nue. Me voilà de nouveau en train de bander.

 

J'attends qu'elle ait terminé son assiette, je n'aime gâcher la nourriture, puis je m'empare de ma ceinture et sans prévenir commence à lui cingler le cul en l'insultant !

 

- Tiens grosse pouffe, tiens morue !

- Aïe !

- Ta gueule !

 

Quand elle eut le cul bien rouge, je lui ai demandé de se mettre en levrette et je l'ai enculé. Elle a grogné au début, disant que ça lui faisait mal, mais je n'ai rien voulu entendre, et à ma grande surprise quelque minutes plus tard, elle en redemandait presque et c'est mise à joui du cul ! La salope !

 

Après m'être retiré, j'avais comme une envie de pisser. Idée !

 

- A genoux ! Chiennasse ! je vais te pisser dans la bouche !

- Non…

- Comment ça "non" ?

 

Elle a ouvert la bouche, manifestement elle n'avait jamais pratiqué ce genre de choses. Mais elle fit contre mauvaise fortune, bon cœur !

 

- Maintenant rhabille-toi et rentre chez toi ! Désormais chaque fois que j'aurais envie de m'amuser avec toi tu devras venir ! D'accord ?

- Puisque je ne peux pas faire autrement !

 

Voilà comment à commencer la déchéance de madame Grenet. Elle y a pris goût. Nos rapports sont toujours basés sur la domination mais une certaine complicité s'est installée entre nous à ce point que parfois c'est moi qui fait l'esclave !

 

Et l'argent détourné demanderez-vous ? Eh bien on se le partage. Et grâce à mes connaissances informatiques le détournement est maintenant bien sécurisé.

 

Un jour une mission d'audit a été annoncée, Pas grave, un vilain virus informatique a détruit tout l'historique des opérations comptables. La direction parisienne nous a infligé un blâme pour ne pas avoir installé un antivirus efficace. Ça nous a bien fait rigoler !

 

Fin

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Irenée Vardin
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 1 novembre 2021 1 01 /11 /Nov /2021 18:01

En revenant de Paris par Belle-Cour

blob

Je revenais de Paris après un week-end plutôt ennuyeux chez ma tante dont je venais de faire connaissance après 19 ans de vie.

 

Je montais dans le TGV et m'apprêtais un voyage plutôt ennuyeux à écouter ma musique et à faire des mots fléchés quand une belle blonde mature pris place juste devant moi.

 

Le train démarra et discrètement je commençais à loucher sur ma voisine. Elle avait les cheveux longs (fausse blonde), des yeux verts magnifiques, portait un tailleur vert amande et un décolleté à faire bander un monastère. Elle devait avoir une quarantaine d'années peut-être plus et était fort bien conservée. Rien qu'à la regarder mon sexe commença à grossir et à former une bosse sur mon pantalon. 

 

Elle avait sorti la plaquette et avait commencé à travailler sur son pc portable lorsqu'elle fit tomber un tas de feuille devant elle. Elle se pencha sur moi et essaya de les attraper mais n'y arrivait pas. Quelle vue, elle ne portait pas de soutif et j'eus tout le loisir d'admirer sa poitrine très ferme et d'une rondeur exceptionnelle. Je me suis pressé de lui ramasser les feuilles juste devant moi en admirant ces jambes et en lui redonnant. Pendant ce temps j'aperçus des notes juste au bas de ces pieds et m'excusai pour aller les ramassés. (il est bien évident que j'espérais pouvoir entre apercevoir sa petite culotte) mais qu'elle ne fut pas ma surprise de voir qu'au lieu de serrer ces jambes afin de ne me rien laisser entrevoir, elle écarta les jambes afin de me laisser voir sa chatte épilée. 

 

Je n'en revenais pas, mon sexe dans mon jean me faisait mal tellement je bandais fort. Quand je me rassis, elle me remercia et passa sa langue sur ces lèvres. Je devenais franc fou. Ensuite je vis que son regard se dirigeait sur ma bosse et elle avait vraiment l'air de vouloir voir ce qu'il se cachait là-dessous. Elle commença à caresser mon sexe avec douceur tout en se penchant vers moi pour me laisser voir sa poitrine. J'essayai de passer ma main sous sa jupe, mais celle-ci les referma en me disant que pour le moment je ne devais pas toucher et me contenter de savourer ses caresses.

 

Ensuite au bout de dix minutes de ces savoureuses caresses, elle me fit signe du doigt de la suivre et nous dirigeâmes vers les toilettes. A peine j'eus fini de fermer la porte qu'elle me plaqua contre la porte, défit ma ceinture et délivra mon sexe de mon jeans. Elle commença par le lécher délicatement tout en massant mes boules de l'autre main. Puis elle le happa d'un coup et l'entra entièrement dans sa bouche et on aurait dit qu'elle le tétait. C'était divinement bon. Puis au bout de dix minutes de ce traitement je luis fis signe que j'allais exploser, alors elle intensifia son va-et-vient avec sa bouche et avala toute ma liqueur de plaisir, laissant juste quelques gouttes déborder sur son menton qu'elle balaya de sa langue d'un geste infiniment troublant.

 

Ensuite elle me branla un petit moment juste histoire que je reprenne vigueur et enleva sa mini et monta sur la cuvette des WC, se mit dos à moi et en retournant sa tête, elle mit un doigt dans sa bouche puis se le mit dans son cul en me disant :

 

- C''est par là que j'ai envie que tu me prennes !

train111

J'étais éberlué, et je me mis à lui lécher son petit trou tout en lui titillant son clitoris. Quand elle fut prête, je mis mon sexe en face de son anus et je commençai à rentrer tout doucement centimètres après centimètres. Je voyais bien qu'elle aurait voulu que j'aille plus vite mais il n'en était pas question. Elle prenait son pied. Une fois parvenu bien au fond je commençais à faire du va-et-vient toujours aussi doucement et toujours en jouant avec son clitoris. Elle eut un premier orgasme et à ce moment j'ai commencé à la pilonner très fort et très vite et à chaque fois que je sentais qu'elle allait venir je ralentissais au point de presque m'arrêter. Après une petite demi-heure de ce traitement je lui rentrais dedans avec force et nous partîmes tous les deux dans un plaisir immense. Après avoir repris nos esprits, elle retira ma capote et pour me remercier me refit une pipe dont je n'ai pu trouver de comparaison jusqu'à aujourd'hui.

 

Elle s'assit ensuite sur la cuvette, pour soulager sa vessie ! Je cru un moment qu'elle me proposerai de l'essuyer avec ma langue, mais non ! Il ne faut pas être trop gourmand non plus et je garderais ce dernier acte pour mes fantasmes nocturnes.

 

Je conserve un souvenir immense de cette belle mature dont je ne connais point le nom et depuis ce jour j'adore les femmes plus âgées que moi.

Rewriting d'un teste paru sur le site de Sophiexxx en 200 intitulé Retour de Paris et signé David

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Images Aléatoires

  • Bisex0404
  • Vard26
  • Rocabite
  • Chanette20c2
  • Zarouny25a
  • Martinov12b

Derniers Commentaires

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés