Samedi 2 octobre 2021 6 02 /10 /Oct /2021 11:13

Les libertins d’Anvers par Boris Vasslan

Trio2

 

Ce récit est une suite (très) tardive de Route d’Anvers, qu’il n’est pas forcément nécessaire de relire

 

Dans cet immeuble très bourgeois, c’est une jeune fille qui m’ouvre, elle est blonde, belle et charmante, frisée comme un mouton, le décolleté au raz des tétons et un sourire désarmant. Que voici un accueil prometteur !

 

– Je vous présente Gertrud notre fille, et Alexis, mon fils, ils participent régulièrement à nos petits jeux érotiques. Voulez-vous une bière bien fraiche ?

– Bien volontiers !

 

Me voila donc chez Florence et Hubert, le couple de quadragénaires rencontré cet après-midi dans cet étrange relais de route. Je n’imaginais cependant pas que je me retrouverais chez une famille « tuyau de poêle » ! Cela-dit ça ne me choque pas plus que ça, puisque ces jeunes gens sont adultes.

 

Petit rappel : Monsieur est plutôt quelconque, chauve et légèrement bedonnant, mais comme on dit, il a une bonne bouille. Madame est une grande blonde coiffé à la Greta Garbo, elle s’est habillée ce soir d’une petite robe bleue hyper décolletée

 

Cet après-midi j’ai eu le loisir de goûter au champagne naturel de Florence qui m’a ensuite fait une pipe pendant que son mari, bisexuel, se faisait vaillamment sodomiser par un autre client de l’établissement. Et comme je devais avoir une tronche qui leur plaisait, ils m’ont invité à passer chez eux en fin d’après-midi.

 

Le dénommé Alexis doit avoir une vingtaine d’années et est, ma foi, fort troublant, il n’a pour tout vêtement qu’une petite culotte de femme. Il a de longs blonds cheveux bouclés, un visage très fin, il est entièrement épilé, et a de gros tétons assez sombres avec des petits piercings en anneau.

 

Qu’est ce qu’il me prend de regarder un mec de cette façon ? Décidemment mes petites aventures de l’après-midi ont réveillé de vieux démons… Laissons-les donc se réveiller !

 

Bien sûr, Florence s’est aperçue de mon trouble.

 

– Humm ! Alexis, débarrasse-toi de cette culotte de travelo, je sens notre invité impatient de découvrir ta bite !

 

Je rougis, mais Alexis s’exécute bien volontiers en me faisant un embarrassant sourire, et le voila la bite à l’air. Une jolie chose mais qui le serait encore mieux si elle bandait ! Il se tourne, me montre ses fesses, de jolies fesses agréablement cambrées dont il écarte les globes afin que je puisse mater son joli petit trou du cul.

 

– Beau spécimen, n’est ce pas ! Commente Florence, il est aussi bien actif que passif, et il est très endurant, il nous encule divinement, n’est-ce pas Hubert ?

– Absolument !

 

Eh, bien, quelle famille !

 

– Si vous désirez goûter à sa bite, ne vous gênez surtout pas ! Me précise la maîtresse de maison.

 

Et pour supprimer mes éventuelles hésitations, Alexis s’approche très près de moi, et me fait signe de le faire.

 

Me voila donc avec la bite de l’androgyne dans la bouche, elle est douce et agréable et je la sens grossir dans mon palais, je me recule un moment pour regarder le résultat, elle bande désormais fort correctement, joli cylindre bien nervuré au gland violacé, un petit bijou que cette bite. Je la remets dans ma bouche.

 

– Gardez-en pour tout à l’heure ! Me conseille Florence. Et venez vous assoir ici, Gertrud vous a apporté votre bière.

 

On me place au milieu du canapé, entre Hubert et Alexis, tandis que Florence prend place dans un fauteuil nous faisant face. J’aurais préféré une autre disposition, mais bon, la soirée est à peine commencée. Hubert me caresse la braguette d’un air faussement distrait.

 

– Je ne sais pas trop ce qu’on va faire, nous improviserons… reprend Florence. Mais autant finir la journée en beauté. Avant de vous rencontrer au restaurant, nous nous étions déjà livrés à quelques fantaisies dans la matinée. Souhaitez-vous que je vous raconte ?

– Bien sûr !

– Eh bien ce matin vers 8 heures j’avais rendez-vous avec mon coiffeur pour juste une petite rectification, il vient à domicile, c’est un très bel homme, assez efféminé, il est à voile et à vapeur et il a une jolie bite. La séance se termine souvent dans le lit. J’en ai parlé souvent à mon mari, mais il n’avait jamais eu l’opportunité de le rencontrer, mais cette semaine il est en vacances.

 

Le récit de Florence

 

– Voilà Hubert, je te présente Dominique, mon coiffeur.

– Félicitations, ma femme ne m’a pas menti, vous êtes très sexy !

– Vous aimez les hommes ? Répond le coiffeur en se passant vicieusement la langue sur les lèvres.

– Les hommes et les femmes, je suis complètement bisexuel.

– On dirait que je vous fais de l’effet ! Répond-il en lorgnant la braguette de mon mari. Auriez-vous des intentions coquines ?

 

Il ne répond pas, du coup je passe derrière Hubert et lui caresse la braguette.

 

– Humm, c’est vrai que ça bande là-dedans, souhaitez-vous vérifier, Dominique ?

– Bien sûr, si monsieur m’y autorise.

– Je vous autorise, mais j’ose espérer que vous avez conscience de ce que vous allez déclencher ?

– Mais absolument, humm, c’est vrai que c’est bien dur tout ça !

 

Et après quelques caresses par dessus le tissu, Dominique dézipe la fermeture éclair, et entreprend d’extraire la bite de mon époux. Il la branle quelques instants.

 

– Hummm ! Joli bite !

 

Il se met à genoux et commence alors à sucer le joli membre offert avec gloutonnerie.

 

– Hummm ! Je me régale ! Commente-t-il pendant une courte pause.

– Régalez-vous mon ami, elle est faite pour ça.

– Je la prendrais volontiers dans mon cul !

– Cela me paraît en effet une intéressante suggestion.

– On va dans la chambre, alors ? Suggère le coiffeur.

– Non on va rester là, ça m’amuse, déshabillez-vous donc que je vois comment vous êtes fait.

 

Dominique se déshabille, son corps est glabre. Il a une jolie bite assez fine avec le gland bien dégagé, et en ce moment elle est raide comme un bambou.

 

Hubert appelle alors Gertrud. Le coiffeur ne comprend pas et par réflexe se cache ses attributs.

 

– Ne vous inquiétez pas, plus on est de fous plus on rit.

 

Gertrud connaissait Dominique mais ne l’avait jamais vu nu.

 

– Gertrud, ma fille, goute-moi le trou du cul de ce charmant jeune homme et tu me diras comment il est.

 

Les deux intéressés se prêtent alors à ce jeu, la jeune fille faisant une feuille de rose experte au coiffeur pour dames.

 

– Alors ?

– Il est à point, papa !

– A point, ça veut dire quoi, à point ?

– Il s’ouvre bien, il a bon goût, pas trop fort, juste un bon petit goût.

– Doigte-le un petit peu !

– Avec plaisir !

– Non avec ton doigt.

 

Plaisanterie qui fait rire tout le monde. Elle pénètre un premier doigt, puis un second dans l’anus du coiffeur, puis les fait aller et venir, il se pâme d’aise et pousse des petits cris.

 

– Ça devrait suffire ! Retire tes doigts et lèche-les.

– Mais papa, tu me fais faires choses dégoutantes !

– C’est juste une suggestion, tu n’es pas obligée.

 

Gertrud fait un peu la grimace, regarde l’état de ses doigts, et rassurée se les met en bouche.

 

– Je confirme, papa, juste un bon petit goût. Tu as encore besoin de moi ?

– Non, mais tu peux rester si tu veux !

– Viens donc sur mes genoux, Gertrud, on va les regardez faire, intervins-je, mais avant, retire ta culotte, cela me sera plus facile pour te tripoter.

– Ben sûr Maman !

 

Hubert fait alors signe au coiffeur de se positionner de telle façon qu’il puisse le sodomiser, puis après s’être protégé comme il se doit, il approche sa bite de son trou du cul et force l’entrée. En fait c’est entré facilement du premier coup. Le coiffeur pousse un cri de contentement, puis mon mari se met à coulisser dans son conduit, d’abord de façon raisonnable, puis par saccades de plus en plus vives, à ce point que notre sodomisé se met à avancer à chaque nouveau coup de boutoir et finit par se retrouver face au mur où il reste calé, Hubert accélère encore, son visage tourne au rouge et il jouit avec une rare violence, laissant notre coiffeur pantelant.

 

Moi pendant ce temps, excitée par ce spectacle, je pelote et j’embrasse Gertrud, puis je lui fais quitter mes genoux pour lui demander de s’installer entrer mes cuisses afin qu’elle me fasse une minette. La coquine, elle m’a fait bien jouir, après elle a voulu se lever, je l’en ai dissuadé et je lui ai pissé dessus. J’avais trop envie !

 

Fin du récit de Florence

 

– N’était-ce pas un beau début de journée ?

– Je vois qu’on s’amuse bien chez vous ?

– Ça vous a fait bander au moins ? demande Florence.

– En effet !

– Oui, mais voyez vous reprend la bourgeoise, nous sommes ici un peu comme Saint-Thomas, nous ne croyons que ce que nous voyons. Vous nous feriez donc grand plaisir en nous montrant votre bite, d’autant que Gertrud et Alexis ne la connaissent pas.

– Bonne idée je m’en occupe ! Intervient Hubert qui avait toujours sa main sur ma braguette.

 

Bon, ben, après tout je suis venu pour ça, non ? Alors je me laisse faire, pendant qu’Hubert extrait ma bite de sa braguette et la masturbe un peu pour en affirmer sa raideur, puis se la met dans la bouche ! Quel gros coquin cet Hubert !

 

Il me suce ainsi quelques minutes, puis se redresse, son but n’étant pas de me faire jouir trop vite.

 

– Nous aimons parfois être un peu directifs, un peu dominateur, ça vous pose un problème ! Me demande Florence.

– Pourquoi pas, je suis très joueur ? Mais si quelque chose ne me plait pas ?

– Ça ne devrait pas arriver, mais si ça arrivait, ce n’est qu’un jeu, alors d’accord ?

– D’accord !

– Alors met-toi à poil espèce de petite salope.

Anvers

Glups ! Florence, la bourgeoise classieuse qui se meut en dominatrice vulgaire avec son impossible accent flamand ! C’est si inattendu que ça en serait presque comique. Mais j’obéis. Hubert se déshabille aussi de son côté. J’aimerais bien que notre hôtesse se débarrasse elle aussi de ses vêtements. Je l’ai honoré cet après-midi mais sans qu’elle ne me dévoile tous ses charmes. Cela n’a hélas pas l’air de faire partie des ses intentions immédiates.

 

– Allez Gertrud, goûte le cul de notre invité ! Ordonne Florence.

 

Cela semble donc une des habitudes de la maison ! Mais Alexis s’interpose !

 

– Maman, laisse-moi ce plaisir !

– D’accord, régale-toi et Gertrud va s’occuper du devant.

– Tu ne te déshabilles pas ? Lui demandais.

– Pourquoi, tu voudrais voir mes gros nichons, c’est ça ?

– Si ce n’est pas trop demander ?

– Tu serais pas un peu vicieux toi ?

 

Elle se fout de moi ! Mais elle se déshabille, sa poitrine est magnifique et ses tétons pointent fièrement, je les tripote et les suçote quelques instants.

 

Puis, Gertrud prend mon sexe en bouche et commence par me sucer de façon experte, tandis que le biquet me prodigue une feuille de rose diabolique. Si c’est ça les dominations de madame Florence, je veux bien être le roi des soumis. S’ils continuent je risque d’éclater prématurément. Mais, il ne fallait pas rêver, non plus !

 

– Stop, il est prêt ! Annonce la bourgeoise !

 

Alexis me contourne et vérifie l’état de ma queue :

 

– Effectivement ! Confirme-t-il les yeux plein de concupiscence.

– Je la verrai bien dans mon cul ! Annonce Florence.

– Non moi d’abord ! Intervient Alexis.

 

Ça devient compliqué d’autant que j’ai l’impression que Gertrud et Hubert ne dirait pas « non » non plus. Toujours est-il que je ne peux pas enculer tout le monde, je ne suis pas le dieu Priape.

 

– C’est moi qui ai postulé la première ! Fait remarquer Florence.

– On a qu’à tirer au sort ! Propose Alexis. Qui a une pièce de monnaie.

 

Il lance la pièce

 

– Pile c’est un garçon, face c’est une fille !

 

C’est face…

 

– Alors maintenant pile c’est Maman, face, c’est ma sœur !

 

C’est encore face !

 

La Gertrud est toute contente de m’exhiber son joli petit cul. Je m’empresse de lubrifier tout cela de ma langue coquine. Ça sent un peu fort mais ça ne me dérange pas plus que ça. L’anus s’ouvre, je m’encapote, j’avance ma bite, je l’encule.

 

Hubert vient présenter sa bite devant le visage de sa fille qui n’hésite pas une seconde à mettre dans sa bouche la virilité de son père.

 

Et pendant ce temps, Florence ne voulant pas être en reste, entreprend une joli fellation sur le membre viril et tendu de son fils.

 

Quelle famille ! Je n’en reviens pas ! Tout cela est trop excitant et j’ai du mal à me contrôler. Mais qu’importe la Gertrud miaule de plaisir, alors tout va bien, j’accélère et je lâche ma purée, puis me retire.

 

Gertrud continue à sucer son père qui lui jouit dans la bouche.

 

– Hum, qu’elle est bonne la bite à papa ! Clame-t-elle alors que le sperme lui dégouline sur le menton.

 

Alexis décharge à son tour dans la bouche de sa mère.. Gertrud ne lui laisse pas le temps d’avaler et les deux femmes s’échangent un long baiser baveux. Quelles belles cochonnes !

 

Hubert d’avance vers moi bite en avant, encore gluante de son sperme, je comprends qu’il me propose sans me le dire que je lui prédique un petit nettoyage.

 

Voilà qui tombe très bien, j’adore sucer des bites et la sienne est délicieuse. Du coup nous rebandons tous les deux. Alexis vient nous rejoindre, lui non plus ne s’est pas rincé la biroute. Alors je suce alternativement le Père et le Fils. (J’aurais bien sucé aussi le Saint-Esprit mais j’ignore où il se cache !) Et histoire de faire bonne mesure mon index s’égare dans le troufignon de ces messieurs.

 

Où sont les dames pendant ce temps ?

 

Florence s’est enfin déshabillée ! Quelle belle femme, quelle jolie poitrine ! Elle entraîne sa fille sur le tapis, elles se mettent en soixante-neuf, la fille broute la mère et la mère broute la fille. Quelle famille (comment ça je me répète ?)

 

Et c’est très excité que je demande à mes partenaires si l’un des deux ne voudrait pas m’enculer.

 

Hubert propose à son fils d’œuvrer ! Je me mets en levrette et tandis que je continue à sucer le père, le fils vient me pénétrer de son dard puissant.

 

Qu’est-ce qu’il encule bien ce salaud, ça coulisse dans mon trou du cul me provoquant des frissons de plaisirs inouïs. Je râle de bonheur, ma bite se couvre de sperme, je n’en peux plus je m’écroule, Alexis s’écroule sur moi, Hubert me lâche quelques gouttes de sperme dans la bouche.

 

Les deux femmes se relèvent, vont vers la salle de bain, je les suis aussi ayant une petite envie.

 

– Veux tu qu’on te pisse dessus, une fois ? Me demande Florence !

– Même plusieurs fois.

 

J’ai donc avalé la bonne pisse de ces dames, je me rince sommairement à l’aide d’un gant de toilette et reviens à côté.

 

Il va être temps pour moi de prendre congé, je me rhabille sans me presser.

 

Ne pars pas, nous avons encore une surprise ! Me dit Florence.

 

Ils sont bien gentils mais moi je suis épuisé, j’ai les couilles douloureuses et j’ai plus envie de me reposer qu’autre chose.

 

Et voilà Gertrud, toujours à poil qui se ramène avec la surprise.

 

– C’est une tarte flamande, tu ne vas pas partir avant d’y avoir gouté !

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Boris
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Dimanche 26 septembre 2021 7 26 /09 /Sep /2021 09:28

Maîtresse Cécile par Sylvain Zerberg – 3 – Le dernier tabou

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J’avais beau me dire que la séance prévue avec ma mère ne serait pas une corvée, j’angoissais néanmoins.

 

Un tabou aussi fort que celui de l’inceste ne peut disparaître aussi facilement qu’une envolée de moineau..

 

Bien sûr, dans l’absolu, rien ne m’obligeait, je pouvais tout simplement me déclarer « non prêt » et remettre cette folie à plus tard, je pouvais aussi me défiler en invoquant une migraine toute diplomatique… Bref les scénarios de fuite ne manquaient pas.

 

Malgré moi, des images se formaient dans mon esprit. Cécile avait été on ne peut plus explicite en me disant :

 

– Je veux que tu l’encules devant moi !

 

Comme acte déviant, ça se pose là, non ?

 

Mais mon cerveau visualisait l’acte. Ma bite bandée entrant dans l’anus forcément accueillant de ma mère… Et cette évocation me faisait bander.

 

Et puis le reste, Cécile avait évoqué devant moi jusqu’où allait le dévergondage de ma mère… Jusqu’à faire des choses scato ou sucer le sexe d’un chien. La salope !

 

Au fait ma mère, parlons-en un peu, elle vient d’avoir 50 ans, très brune, bien conservée, de belles formes. A la maison, la nudité n’était pas taboue, et il n’était pas rare que je croise ma mère ou mon père à poil, Mais n’allez pas croire qu’ils étaient exhibitionnistes, non, ils ne se cachaient pas, c’est tout.

 

N’empêche que quand j’ai vu mon père avec la bite bandée comme un arc, je fus saisi d’un trouble étrange. Et quand ma mère se rendait aux toilettes sans en fermer la porte, me faisant entendre le bruit de son pipi tombant dans l’eau dormante… Oh là là ! Quel émoi !

 

Alors oui j’ai un peu fantasmé sur ma mère, mais cela n’a jamais constitué une obsession, des fantasmes, j’en avais d’autres et puis il avait la barrière du tabou…

 

Ma mère est cadre supérieure dans une société agro-alimentaire, inutile de vous dire qu’elle gagne bien sa vie. Mon père lui gère un magasin de chaussures c’est donc ma mère qui comme on le dit « fait bouillir la marmite »

 

Apparemment mes parents s’entendaient bien, Nous étions trois enfants, deux garçons et une fille, j’étais la cadet et les autres maintenant sont « casés ».

 

Il y avait peu de conflits à la maison, juste quelques rares prises de gueule. Mes parents faisaient, chambres à part. Depuis quand ? Je n’en savais rien, En fait j’avais plutôt l’impression qu’ils se contentaient de coexister, ils ne prenaient même plus leurs vacances ensemble.

 

Je supposais que ma mère devait avoir un amant, et mon père une maîtresse. Grand bien leur fasse, ça ne me regarde pas !

 

Mais revenons au présent.

 

– La séance c’est à 10 h 30, m’informe Cécile. Mais j’ai demandé à ta mère de venir une demi-heure avant, comme ça vous pourrez discuter un peu.

– Ah ?

– Ben oui, ce sera mieux comme ça, non ?

– Sans doute ! Répondis-je sans grande conviction.

 

En fait je trouvais que l’idée n’était pas si judicieuse que ça. Il y avait un pas à franchir, et pour moi le meilleur moyen de le franchir était ne pas perdre de temps genre « Je me lance et si je bloque, je laisse tomber l’affaire ». Mais bon je suppose que Cécile savait ce qu’elle faisait.

 

A 10 heures ma mère arriva, tailleur strict et tout sourire. Lucie, la petite bonne nous installe dans le salon et apporte un thé pour ma mère et un café pour moi.

 

– Madame Cécile me fait dire qu’elle vous attend tous les deux à 10 h 30 dans le donjon. Vous devrez descendre complétement nus et vous agenouiller à votre arrivée.

– Comme d’hab, quoi ! Répondit ma mère.

– Oui et voici vos colliers de chien.. .

 

Elle attendit que la soubrette ait quitté les lieux avant d’entamer la conversation.

 

– Nous voici réunis dans des circonstances un peu particulières.

– Oui, c’est vrai ! Approuvais-je bêtement.

– Mais retiens bien l’essentiel :Personne ne nous oblige ! On fait ce qu’on veut, nous sommes des adultes responsables.

– Oui bien sûr !

– Tu n’es guère bavard !

– Je t’écoute !

– En fait, nous n’en parlions pas à la maison, mais j’ai toujours aimé le sexe.

– Normal, non ?

– D’après toi comment ais-je fais pour devenir cadre de direction ?

– Tes compétences, je suppose ? Répondis-je alors que je me doutais bien de la réponse qu’elle allait me faire.

 

Elle se mit à rire ! J’aime quand ma mère rit, son beau visage s’éclaire !

 

– Des compétences, je crois en avoir, oui ! Mais ça ne suffit pas toujours, alors disons que j’ai sucé quelques bites, le chef de service, quelques fondés de pouvoir, quelques mecs influents. Ça n’a pas vraiment été une corvée, j’adore sucer de bonnes bites

 

Entendre ma mère employer des mots vulgaires, ce quelle ne faisait pratiquement jamais à la maison me provoqua un début d’excitation, elle s’en rendit compte et enfonça le clou.

 

– Surtout Perronet ! J’adorais le sucer, il avait une très belle bite, je le suçais souvent à fond et j’avalais son foutre, c’était délicieux !

 

Elle me raconte ça avec une décontraction étonnante, de la même façon qu’elle me dévoilerait une recette de cuisine.

 

– Parfois il m’enculait sur le bureau, quand il ressortait sa bite, il me la faisait nettoyer, ça ne me dérangeait pas.

– Eh bin !

– Je te choque ?

– Non, choqué n’est pas le mot !

– C’est quoi le mot, alors ?

– C’est un peu bizarre, en fait ça m’excite, ce que tu me racontes.

– C’est vrai, ça, laisse-moi vérifier.

 

Et voilà que ma mère porte sa main sur ma braguette, du coup je bande complétement en un temps record. J’aurais aimé qu’elle aille plus loin, mais elle retire sa main. En ce moment j’ai vraiment envie de la baiser.

 

– Avec ton père il y a longtemps qu’on ne fait plus rien ensemble, alors j’ai été voir ailleurs. Reprend-elle. J’ai toujours eu des tendances un peu maso. Pas si facile que ça de trouver quelqu’un avec qui concrétiser d’autant que je me méfie des mecs dominateurs, j’en ai croisé quelques-uns, ça ne m’a pas branché plis que ça. Et puis j’ai rencontré Cécile sur Internet. Et oui Cécile n’est pas une amie d’enfance, c’est une prof qui arrondit ses fins de mois en organisant des parties fines très spéciales et ça me convient parfaitement.

– C’est la journée des grandes révélations !

– Comme tu dis ! Et en ce qui me concerne il y a longtemps que je fantasme sur toi, en fait depuis le jour où je t’ai surpris en train de te branler dans la salle de bain, tu ne m’as pas vu, mais moi je me suis caressé la moule en te regardant !

 

Comment elle parle !

 

– Et toi tu as fantasmé sur moi ? Me demande-t-elle.

– Oui !

– Raconte !

– Ben on était tout nu, tous les deux, tu me suçais le sexe et après je te sodomisais.

– Emploie des mots crus, mon chéri, c’est tellement plus excitant !

– Alors tu me suçais la bite et après je t’enculais comme une chienne !

– C’est mieux ! Donc pas d’ambiguïté à 10 h 30 on descend ?

– Ça marche !

– On est un peu en avance, on peut déjà se déshabiller, comme ça tu pourra me caresser un peu, d’accord ?

 

Bien sûr que je suis d’accord.

 

On se déshabille de conserve, je bande comme un fou, excité de voir ma mère tout près de moi complétement nue. Je pose ma main sur son bras, elle a la peau d’une douceur incroyable, Ma main bifurque vers sa poitrine….

 

– Je peux te caresser les seins ?

– Juste un peu ! Il faut se réserver pour en bas !

– Alors je te fais juste un bisou !

 

Ma langue s’approche du téton !

 

– Garnement ! Lécher les seins de sa mère ! Plaisante-elle. Tu n’as pas honte ?

– Ben non !

 

Sa main vient se poser sur ma bite, elle effectue quelques mouvements de branle, mais n’insiste pas. Son visage s’approche du mien, on se roule une pelle. Non je ne rêve pas, je viens de rouler une pelle à ma mère !

 

C’est l’heure !

 

On s’attache nos colliers de chien autour du cou, on descend.et on s’agenouille.

 

Oh là là ! On n’est pas tout seuls. Je ne saurais les noms de ces messieurs dames que plus tard, mais pour la bonne compréhension du récit, présentons-les dès maintenant :

 

Henri et Baptiste sont deux grands blacks, montés comme des mulets, Odile est une superbe femme, grande perche brune très souriante avec une magnifique paire de seins dont les tétons sont ornés d’énormes piercings noirs, elle tient à la main un gros labrador beige qui a l’air de se demander ce qu’il fait là. Cécile toute vêtue de vinyle noir et Lucie en tenue de soubrette d’opérette complètent le tableau de cette bande de dépravés… dont je vais faire partie !

 

– Odile ! Fais-toi lécher le cul par cette pute ! Ordonne Cécile.

– Avec plaisir !

– Il est comment ton cul ?

– Je ne me le suis pas lavé…

 

Ma mère lèche le trou du cul de la géante avec une gourmandise non feinte, tandis que Baptiste s’approche de moi la bite en avant.

 

– Suce ! M’ordonne Cécile

 

Le contraire m’eut étonné. Moi je veux bien, ma réticence à sucer de la bite n’existe plus depuis cette fameuse partouze (voir le chapitre précèdent). Le problème c’est que je n’ai pas une si grande bouche que ça, et qu’il m’est impossible d’y mettre tout ce paquet ! Alors je triche, je lèche la hampe, je suçote le gland, c’est doux, velouté, pas mal du tout et quand ce connard voulant me forcer me l’enfonce dans la bouche, je fais en sorte de l’envoyer à l’intérieur des joues avant que Cécile le prie de calmer ses ardeurs.

 

Puis les deux blacks m’attachent sur une chaise. Cécile vient me voir et m’indique que si je veux me retirer, il me suffira de prononcer le mot de sécurité qui ce soir sera « Phacochère ».

 

– Alors il était comment le cul merdeux de ma copine ? Dis-le-moi, sale gouine !

– Il était délicieux, maîtresse.

 

Cécile la gifle avant d’ordonner :

 

– Ouvre la bouche, poufiasse.

 

Cécile lui crache dans la bouche, Odile lui fait la même chose et Lucie est invitée à en faire de même..

 

– Tu te rends compte ! Quelle déchéance ! Accepter de se faire cracher dessus par une boniche ! Pas de quoi faire la fière ! Morue !

 

Ma maman, est attachée, la poitrine contre une croix de Saint André. Cécile et Odile s’emparent chacune d’une cravache et se mettent à lui fouetter le cul et le dos lesquels s’ornent vite de belle zébrures écarlates.

 

Puis on la fait se retourner, mais avant de faire jouer de la cravache les deux dominas, lui accrochent des pinces sur les tétons, puis sur les lèvres vaginales, et pour faire bonne mesure elles ajoutent des poids. Et c’est ainsi suppliciée, que les cravaches viennent cingler son ventre ses cuisses et ses seins.

 

Ma mère pleure, mais en même temps son visage exprime une sorte d’extase.

 

On la détache.

 

– En levrette, grosse pute !

 

Pas compliqué de deviner ce qu’il va se passer. Baptiste est devant et lui donne sa bite à sucer. J’espère pour ma mère qu’il sera moins brutal qu’avec moi. Henri est derrière ma mère, la bite magnifiquement bandée et après lui avoir lubrifié l’anus il la pénètre sauvagement.

 

Quel spectacle de voir ainsi ma mère faire la chienne, une bite dans la bouche, une autre dans le derrière, et je bande, et je bande, ça en devient douloureux d’autant que je n’ai pas la possibilité de me toucher.

 

Henri jouit assez vite, les deux hommes permutent leur position, ma mère lui nettoie la queue après qu’il ai retiré sa capote. Il se retire de sa bouche et lui éjacule encore quelques gouttes sur son visage. Elle ne s’essuie pas. Baptiste n’a pas joui dans son cul, mais sentant son plaisir proche, il se précipite et viens gratifier ma mère de longues et épaisses giclés de sperme.

 

Elle se relève, pantelante, Odile la rejoint et les deux femmes s’embrassent goulument, Odile n’hésitant pas à lécher le sperme qui macule son visage.

 

– T’aimes ça les bites, hein ! Quand il n’y en a plus, tu en veux encore !

– Oui !

– Dis-le mieux que ça !

– J’aimes les bites, je suis une salope !

– Accroupis-toi devant ma chatte, je vais te pisser dans la bouche.

 

C’est qu’elle avait une grosse envie, Odile.

 

– Je ferais bien caca, mais je me réserve pour tout à l’heure…

– Chic alors ! Répond ma mère d’un air de défi !

– T’es vraiment une grosse salope !

– C’est bien vrai ça !

 

On nage en plein romantisme !

 

Odile réveille le chien qui roupillait comme un bienheureux, le caresse un peu et le fait s’allonger sur le flan.

 

– Viens ma salope, viens sucer la bite du chien !

– Non ! Intervient Cécile !

 

Ah ? Que se passe-t-il donc ? Veut-elle m’épargner ce spectacle que je ne suis pas certain d’apprécier ?

 

– Non rapprochez-vous un peu d’Olivier, je veux qui voit bien sa mère sucer le chien.

 

Je me disais aussi …

 

Odile a commencé à lécher la bite du labrador, puis laisse sa place à ma mère qui engouffre l’organe avec gourmandise.

 

C’est vraiment une salope !

 

– Dis donc toi la boniche ! Pourquoi tu fais la gueule ? Dit Cécile en apostrophant Lucie.

– Je ne fais pas la gueule madame.

– Si ! Ça ne plait pas de voir cette salope sucer la bite d’un chien.

– Oh, Si Madame !

– Alors qu’est- ce que tu attends pour la rejoindre, conasse !

 

La femme de ménage vient alors aider ma mère à lécher le chien. Mais cinq minutes après Cécile interrompait la scène.

 

– En levrette la pute, et cul bien relevé, le chien va te prendre.

 

C’est pas vrai qu’elle va accepter de faire ça !

 

Cecile02

 

Odile humecte le cul de ma mère avec sa propre mouille et guide le chien qui finit par comprendre, et qui se met à la baiser avec frénésie ! Quel spectacle, c’est vraiment la totale. D’autant que ma mère ne tarde pas à glousser de plaisir sous le coups de butoir du quadrupède.

 

Au bout d’un moment, Lucia remplace ma mère dans le rôle de la chienne. Elle aussi à l’air d’apprécier.

 

Je sais que maintenant le moment fatidique approche, on me détache. Je ne sais trop quoi faire, mais ma mère, elle le sait, et sans autre forme de procès vient me sucer la bite tandis que ses mains délicates viennent me tortiller me tétons.

 

Putain qu’est-ce qu’elle suce bien, d’autant que pour mettre un peu de piment dans cette fellation incestueuse, elle m’introduit un doigt dans le trou du cul et le fait aller et venir.

 

– Attention, je vais jouir !

 

Ma mère stoppe sa fellation, me laissant récupérer, je la caresse et cette fois je m’octroie la permission d’embrasser ses jolis seins.

 

Elle se laisse faire, me pince encore un peu mes petits bouts de seins, m’embrasse fiévreusement, puis vient se mettre en levrette.

 

– Viens, mon fils, viens enculer ta mère !

 

Alors je l’ai fait, toute honte bue, l’affaire a été rapide mais je me suis fait un point d’honneur à la faire jouir.

 

Pendant ce temps Cécile se faisait faire minette par Odile et quand ce fut terminé, la grande brune fit coucher Lucia à même le sol et lui chia un énorme boudin sur le visage.

 

– J’espère que tout le monde est content, ceux qui veulent pendre une douche, c’est là-haut, on se retrouve tous à midi pour la bouffe….

 

Le coq au vin mitonné par Lucia fut délicieux, nous étions six à table, l’ambiance était bon enfant et nous n’avons pas parlé de sexe… car comme disait ma grand-mère, le sexe c’est formidable, mais il n’y a pas que ça dans la vie.

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Dimanche 26 septembre 2021 7 26 /09 /Sep /2021 09:24

Maîtresse Cécile par Sylvain Zerberg – 2 – La partouze

 

Chanette2

Cécile me demanda de rester à poil. Ça ne me dérangeait pas… Et sur ces entrefaites, la femme de ménage arriva.

 

Elle se prénomme Lucie, c’est une jolie petite femme brune et mûre, un peu boulotte et dotée d’une forte poitrine.

 

Elle n’est pas sitôt entrée que Cécile la gifle. Et lui crache au visage.

 

– Qu’est-ce que tu as encore fait comme bêtise ?

– Je ne sais pas Madame, des bêtises, j’en fais souvent !

– A poil, chienne !

– Bien sûr, Madame !

– Qu’est-ce que tu regardes ? La bite d’Olivier, c’est le fils d’Elsa, la salope que tu as léché l’autre fois. Lui c’est un petit soumis que je dresse, pour l’instant ça se passe bien. Ce matin il m’a nettoyé mon cul plein de merde et ensuite je l’ai enculé avec un gode-ceinture.

 

Que l’on parle de moi ainsi me fit rougir de honte.

 

La soubrette se déshabilla, puis nous sommes descendus tous les trois à la cave où Cécile attacha Lucie de dos sur une croix de St André.

 

Ma maîtresse lui cingla fortement le dos et les fesses laissant de larges trainées rougeâtres à l’aide d’une cravache. La soubrette encaissait sans protester. Elle gémissait, criait, pleurait mais semblait se complaire de cette sévère fouettée.

 

Quand son verso fut assez cinglé, Cécile l’attacha de face et cette fois ce sont ses seins et son ventre qui furent martyrisé.

 

Cécile finit par lâcher sa cravache et vint rouler une pelle magistrale à sa soubrette.

 

– Tu as bien supporté, ça m’a terriblement excité, tu as droit à une récompense.

 

Apparemment, la soubrette savait ce qu’allait être cette récompense, aussi se coucha-t-elle su le dos, la bouche ouverte. Cécile s’accroupit à quelques centimètres de son visage.

 

– Regarde Olivier, le spectacle devrait te plaire.

 

Pour l’instant ce qui était fascinant, c’était l’attitude de Lucie, bouche ouverte dans une position quasi extatique attendant le cadeau de sa maîtresse.

 

C’était la première fois que j’allais voir une femme chier. J’ignorais si j’en supporterais la vue, mais je pourrais toujours fermer les yeux !

 

L’anus s’ouvre, un petit étron se fraye un chemin, il grossit, l’étron devient boudin et je garde les yeux ouverts, la fascination l’emportant sur la répulsion.

 

La merde tombe dans la bouche ouverte de Lucie, elle la dégage mais non sans en avoir léché un peu. Les deux femmes se relèvent se roulent de nouveau un patin ! Quelles salopes !

 

Je n’étais pas esclave à plein temps, cela aurait été lassant aussi bien pour moi que pour elle, elle me laissa donc le champ libre en me demandant de lui apporter le lendemain matin son petit déjeuner au lit comme la veille.

 

Je redoutais l’épreuve du caca, tout en étant quelque part fasciné. Je me demandais ce qu’elle allait encore aller inventer.

 

Quand elle eut finit de pisser et que je me fus régalé de son urine que j’apprécias de plus en plus, Cécile se mit à pousser sans que je voie quoi que ce soit mais en glissant sa main sous son anus afin de recueillir l’étron qu’elle chiait.

 

Ensuite, elle me le présenta avec un étrange sourire, le tenant dans ses mains tel un trophée sans dire un mot.

 

Je suis troublé, ce qu’elle tient dans sa main ne me dégoute pas mais ce n’est pas non plus une œuvre d’art et en plus l’odeur est loin d’être neutre.

 

– C’est beau, hein ? finit-elle par dire.

– Euh, oui ! Balbutias-je

– Quelle conviction ! Regarde ce qu’elle fait ta cochonne de maîtresse.

 

Elle approche l’étron de sa bouche, sort sa langue et le lèche en me narguant. Je sais quelle va me demander de l’imiter. Je suis tétanisé.

 

Sans un mot elle approche l’étron de ma bouche. Je ne bouge pas.

 

– Tu attends peut-être un ordre ?

– Oui maîtresse !

– Parce que tu n’es pas capable de prendre une initiative ? T’es vraiment nul comme esclave.

 

De sa main gauche, elle me gifle et me crache au visage.

 

– Et maintenant fait ton boulot d’esclave.

 

Alors j’ai léché la merde de ma maitresse, m’étonnant que l’épreuve soit bien moins difficile que je ne l’imaginais. Après tout j’avais bien léché son cul hier, pourquoi voudriez-vous que le gout soit différent aujourd’hui ?

 

– Votre merde est délicieuse, maîtresse !

– Je sais, ta mère l’apprécie beaucoup.

 

J’imagine le tableau, ma mère en train de lécher la merde de Cécile… et ça me fait bander.

 

Elle se retourna et me demanda de lui nettoyer le cul, je m’acquittais de cette tâche avec dévotion.

 

Et maintenant je vais te transformer en soubrette !

 

Une perruque blonde, un collier et des bracelets de cuirs pourvus d’un anneau, des bas résilles noir, un porte jarretelle de dentelle noire, des escarpins à talons aiguilles rouge et un petit tablier blanc de soubrette. Il me fallut plusieurs jours pour marcher ainsi accoutré sans me tordre les chevilles.

 

Un soir, je reçu l’ordre de mettre le couvert pour quatre, sans oublier deux autres au pied de leur table. En préparant, j’étais terrifié à l’idée que d’autres personnes soient témoins de nos petits jeux. Quand elle revint, sans même me laisser l’honorer de la langue, elle me fit descendre dans la cave pour me préparer. Elle me fit revêtir ma tenue de service, en remplaçant le porte jarretelle par une guêpière de cuir noir, qui laissait nues mes fesses et mes testicules. A peine eut elle finit de m’apprêter qu’on sonna à la porte.

 

– Va ouvrir, et fait les patienter pendant que je me prépare. Tous leurs désirs seront des ordres, tu as bien compris, esclave de merde ?

 

Les joues en feu et le sexe tendu qui faisait une bosse sur le devant de mon tablier, je fis entrer un couple d’une cinquantaine d’année, qui se présentèrent comme Odile et Robert. Une très belle femme cette Odile, belle brune à lunettes bien conservée ! Tandis qu’ils me suivaient au salon, Robert demanda à sa compagne :

 

– Il te plaît, ma chérie? Il a un beau cul, non?

– Oui. Et j’ai hâte de voir sa pine. Elle a l’air grosse.

 

Quand je leur eu servi un apéritif, Robert me fit mettre debout devant eux, et souleva mon tablier, et me soupesa les bourses de la main.

 

– Il a une belle queue, ma chérie, et un vrai fion de gonzesse…

 

Il fut interrompu par la sonnette, et j’allais ouvrir à un autre couple; une jeune femme blonde et souriante qui se prénommait Jessica, tenant en laisse un black, David, lui aussi travesti en femme avec escarpin, porte jarretelle, et un sexe énorme et dressé à l’horizontale, qui rejoignirent les autres au salon.

 

Odile et Jessica lancèrent l’idée d’un petit concours. Elles écartèrent les cuisses en retroussant leur jupe. Cécile fit agenouiller David devant Odile, et moi devant Jessica.

 

– Vous allez lécher ! Le premier qui fera jouir sa partenaire aura gagné. Quant au perdant, il sera puni sévèrement.

 

Je fis de mon mieux pour satisfaire la jeune femme, qui rapidement se mis à haleter, et jouit avec un cri, tandis qu’il fallut encore plusieurs minutes à David pour faire jouir Odile. Furieuse d’avoir perdu, elle insulta l’esclave, le gifla, lui cracha dessus.

 

Cécile intervint :

 

– Tu es nul. Puisque tu ne sais pas sucer, tu vas te faire enculer par ton vainqueur. Lopette. Olivier, défonce-lui le cul, à cet incapable.

 

Je n’avais encore jamais eu de rapport avec un homme, et j’hésitais à lui obéir. David s’était mis à quatre pattes sans un mot, et écartait ses fesses à deux mains.

 

– Ben alors qu’est-ce tu attends ! M’invectiva Cécile.

– Euh…

– Tu préfères peut-être qu’on inverse les rôles, tapette ? Ne t’inquiète pas ton tour viendra..

 

Je me mis à genoux derrière David, en enfonçant mon sexe entre ses fesses et commençais à aller et venir dans son cul en douceur. Mais quelque chose ne fonctionnait pas, je bandais mou et avait beau évoquer mes fantasmes les plus secrets, ma bite ne voulait plus rien savoir.

 

– Je t’ai dit de le défoncer. Si tu en es incapable, tu prends sa place ! Cria Jessica.

 

C’est Odile qui me sauva la mise, se plaquant tout contre moi par derrière de façon à ce que sente les pointes de ses seins dans mon dos, elle s’empara de mes propres tétons et les tortilla avec vigueur. Miracle, cela me fit rebander !

 

Cécile, Jessica et Robert s’étaient installés dans le canapé et nous regardaient baiser. David gémissait de plaisir sous mes coups de reins. Emoustillé par le spectacle, Robert se leva, sorti son sexe, et debout devant David se fit sucer. Il ne tarda pas à jouir dans sa bouche, tandis que je continuais à le pistonner, cela, jusqu’à ce qu’il s’effondre sous moi en éjaculant sur la moquette.

 

Cécile demanda à David de me nettoyer la bite, je n’avais pas joui mais elle était imprégnée du jus de son cul ! Il s’acquitta fort bien de cette tâche, il devait avoir l’habitude.

 

Ensuite ces braves gens passèrent à table, David et loi mangions par terre dans des écuelles à chien entre deux services.

 

Les conversations allaient bon train, et les voilà qui parlaient de cinéma, de voyages et d’autres choses encore. Comme dirait ma grand-mère, il n’y a pas que le sexe dans la vie.

 

Pendant le repas, Odile fut saisie d’une envie pressante de faire pipi, alors qu’elle se levait pour se diriger vers les toilettes, Cécile lui proposa de se soulager sur ma personne. J’ouvris la bouche pour accueillir ce curieux breuvage. Sa pisse était délicieuse.

 

Ils décidèrent de faire une pause avant le dessert, pour prendre un peu de bon temps. Cécile alla s’empaler l’anus sur la grosse queue de David, tandis que Jessica me fit allonger sur le dos sur la table du séjour, pour me chevaucher à son aise. Comme ma tête tombait en arrière sur le bord de la table, Odile s’approcha et me présenta sa chatte trempée dans laquelle j’enfonçais ma langue, tandis que son mari la sodomisait sans ménagement. Le séjour était rempli de gémissements lascifs et de halètements, jusqu’à ce que David ait le malheur de jouir dans ma maîtresse. Elle se releva, furieuse.

 

– Mais c’est quoi cet esclave de merde incapable de tenir la distance ?

– Pardon maîtresse !

– Il n’y a pas de pardon qui tienne, tu vas voir ce qu’il va t’arriver !

 

Quand Jessica eut joui, elles descendirent à la cave avec lui pour le punir, tandis qu’Odile prenait la place de Jessica sur mon sexe et me chevauchait en me griffant la poitrine et en me traitant de tous les noms orduriers de son répertoire. Elle était très endurante, et elle s’activa encore longtemps après que les autres soit remontés de la cave, où elles avaient laissé David écartelé sur une croix, un godemichet vibrant allumé entre les fesses, un autre maintenu par un bâillon dans la bouche. Je leur servi le dessert.

 

Odile se leva et la bouche encore remplie de sa crème caramel vint rouler un patin à Jessica. Les deux femmes se caressèrent et se plotèrent à qui mieux mieux et finirent par rouler sur la moquette où elle se retrouvèrent en position de soixante-neuf. Cécile s’empressa d’aller quérir deux godemichet qu’elle enfonça dans le trou du cul des deux femelles déchainées.

 

Nous redescendîmes à la cave. Cécile avec l’aide de Jessica m’attacha à une table basse, sur le ventre, par les chevilles et les poignées. Puis elles entreprirent de me fouetter chacune leur tour, le dos, les fesses, et le sexe qui était toujours dressé, au bord de la table. Robert s’approcha et voulu enfoncer son dard dans ma bouche. Comme je gardais les lèvres serrées, Cécile m’ordonna de le sucer.

 

– Je vous en supplie, maîtresse. Faites de moi ce que vous voudrez. Je suis votre esclave, mais pas un pédé.

– Tu es un esclave ! Un esclave c’est fait pour obéir, et si je t’ordonne de sucer une bite, tu vas le faire sans rouspéter.

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Je la vis avec appréhension libérer David. D’un rapide va-et-vient de la main, elle lui rendit sa vigueur, et lui ordonna de me prendre par-derrière. Je la suppliais en vain

– Tu vas fermer ta gueule, on n’entend que toi ! Tu veux peut-être que je te vire ?

– Pardon, maîtresse, je dirais plus rien, je vais me faire enculer pour vous puisque vous me le demandez !

– D’ailleurs, ne me dit pas que ça ne te plaît pas, tu bandes comme un cheval.

 

On m’enduisit le trou du cul de gel, puis d’une seule poussée, David me pénétra, m’arrachant un cri, j’avais réellement mal, et m’apprêtais à demander à ce que l’on stoppe cette pratique, quand je senti que la douleur s’estompait et laissait progressivement place à un plaisir trouble. Qui l’aurait cru, je me faisais enculer et me mettais à aimer ça !

 

Robert s’approche, Cécile me demanda de l’accueillir dans ma bouche ce que je fis. Je fus alors surpris de la texture agréable de cette bite.

 

Les deux hommes, encouragés par leur compagne, prirent le rythme en cadence. Le premier, Robert explosa, m’inondant de sperme que j’avalais à moitié tandis que David continuait de me pistonner vigoureusement, ce qui, à ma grande surprise, continua à me faire gémir de bonheur. Cécile lui ordonna de s’arrêter un instant.

 

– Alors, tu n’es pas un pédé? Donc si David arrête, tu seras content, n’est-ce pas ? Répond, esclave. Dis-nous que tu es un pédé et que tu veux qu’il continue !

– Je suis un pédé. Maîtresse. Je veux qu’il continue à m’enculer.

 

Quand David jouit avec grand bruit, il se retira et me donna sa bite à nettoyer, tâche dont je m’acquittais comme un bon esclave que je suis.

 

– C’est bon la bite ? Hein esclave ? Me nargua Cécile.

– Délicieux, maîtresse !

 

Cécile consulta son agenda devant moi

 

– Demain tu as quartier libre, je serais occupé à l’extérieur, mais après-demain, j’ai rendez-vous avec ta mère. Je veux que tu l’encules devant moi !

 

Bof, ce ne sera pas une corvée, j’étais vraiment devenu l’esclave de Cécile et j’aimais ça !

 

Fin (à moins que j’écrive la suite que vous devinez…)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Dimanche 26 septembre 2021 7 26 /09 /Sep /2021 09:20

Maîtresse Cécile par Sylvain Zerberg – 1 – Esclave débutant

Domina

Je me prénomme Olivier. Durant mes études supérieures, j’habitais une chambre que je louais chez Cécile, qui était une amie de mes parents et professeur de math. Cela m’évitait d’avoir à parcourir tous les jours les 50 kilomètres séparant le domicile de mes parents de l’université.

 

Cécile avait 42 ans, 23 de plus que moi, était une grande rousse au physique passe-partout, qui s’habillait de façon très classique.

 

Un jour où elle n’était pas à la maison, je ne trouvais plus mon peignoir qu’elle avait dû mettre au lavage, j’ouvris son dressing dans laquelle un tiroir était mal refermé. Une culotte en fine dentelle en dépassait. Poussé par la curiosité, je regardais et découvrais plusieurs pièces de lingerie assez osées. Du coup je me lançais dans une exploration systématique et fus très surpris de trouver dans son placard de nombreuses paires de chaussures à talon aiguille, des perruques blondes et brunes, toute une collection d’accessoires en cuir, sous-vêtement, combinaison, cravache, fouet, godemichés ainsi qu’une pile de DVD uniquement marqués d’un numéro. Curieux, j’en glissais un dans le lecteur, pour découvrir une suite de scène où on la voyait en guêpière noire, sodomisant à l’aide d’un gode ceinture un homme attaché sur son lit et cagoulé. Sur une autre elle en fouettait sévèrement un autre attaché sur une croix.

 

Sans même m’en rendre compte, j’avais sorti mon sexe et je m’étais masturbé dans sa chambre. Tous les jours, quand Cécile était absente, je visionnais un nouveau DVD en me caressant.

 

Tout allait bien, mais un soir alors que je regardais la télé sans trop m’y intéresser, Cécile m’apostropha.

 

– C’est trop nul ce que tu regardes, j’ai quelques DVD qui devraient t’intéresser !

– Pourquoi pas ?

 

Mais quand je la vis revenir avec l’un de ses DVD numérotés, je fus pétrifié de honte.

 

– Pourquoi tu rougis ? J’ai bien vu que tu avais fouillé dans mes affaires, et hier tu avais oublié un DVD dans le lecteur.

– Je, je… bredouillais-je

– Je me demande ce que tes parents penseront de ton comportement ! Déclara-t-elle d’un air mauvais.

– Je vous en prie, ne faites pas cela. Je vais chercher une autre chambre, et vous n’entendrez plus parler de moi, mais n’en parlez pas à mes parents.

– Je plaisantais, voyons, je n’ai rien d’une maitre chanteuse, après tout c’est de ton âge…

– Je vais quand même partir…

– Ça ne plairait pas d’essayer d’être mon petit esclave ? Comme dans mes vidéos ?

– Je ne sais pas !

– Mais si tu le sais et tu en meurs d’envie, sinon tu ne te branlerais pas devant mes films ! Parce que tu t’es branlé, n’est-ce -pas ?

– Euh…

– Commence donc par te mettre à poil, on va voir ce qu’on peut faire ensemble.

 

Je devais être dans un état second pour lui obéir, comme ça sans rechigner.

 

Lorsque je fus nu, debout devant elle, elle fit une moue déçu en regardant mon sexe mou

 

– Ben alors on ne bande pas devant sa maîtresse ? Agenouille-toi devant moi !

 

Lorsque j’eus obéi, elle posa le pied sur mon bas ventre et s’amusa avec mon sexe, ce qui ne tarda pas à le faire durcir.

 

– Voilà qui est mieux. Chaque fois que je voudrais me servir de toi et que tu ne banderas pas, chaque fois que tu désobéiras ou que tu discuteras mes ordres, tu seras puni. Lève-toi, suis-moi,

 

Elle me guida jusqu’à la cave, où je découvris la pièce que j’avais déjà vue sur les vidéos, ou elle s’amusait avec ses soumis. Je fus rapidement suspendu par les chevilles et les poignets, écartelé sur une croix de métal froid.

 

– Ta bite n’a rien d’extraordinaire, mais elle est quand même jolie, je l’aime bien ! Je la sucerais bien, mais je n’ai pas envie que tu jouisses de suite !

 

Elle se laissa tomber sur un fauteuil, retroussa sa jupe en me révélant son porte-jarretelle rouge, ses bas noirs et sa toison rousse. Ma queue était douloureuse à force de désir, quand elle m’ordonna :

 

– Viens lécher ta maîtresse, esclave.

 

Je tombais à genoux entre ses cuisses et enfoui ma tête sous sa jupe. Sa fente était trempée de désir lorsque ma langue s’y enfonça, et je fis de mon mieux pour titiller son bouton gonflé, alternant les caresses avec de profondes pénétrations de ma langue dans son vagin. Elle avait empoigné mes cheveux et guidait mes mouvements, jusqu’au moment où elle cria en me repoussant violemment du pied.

 

– Quelle surprise ! Tu suces divinement, esclave. Tu as des dispositions, pour un puceau, car tu es encore puceau, non ?

– Oui, maîtresse ! Répondit je, très excité par les événements.

 

C’était faux, mais puisque tout cela était un jeu…

 

Du bout du pied, elle me poussa sur le dos, enleva sa jupe et son chemisier et vint s’accroupir au-dessus de moi.

 

– L’avantage de l’esclave sur le godemiché, c’est qu’il te caresse les seins en même temps qu’il te baise, vois-tu ?

.

Et elle s’empala sur ma bite avec un grand cri. Elle me chevaucha ainsi pendant une éternité, tandis que mes mains fébriles exploraient son corps, faisant durcir les pointes de ses seins, courant le long de son dos, caressant ses cuisses, ses hanches et ses fesses. Un moment elle se retira, je compris alors qu’elle désirait changer d’orifice et c’est maintenant par l’anus qu’elle s’empalait. Elle finit par jouir en gigotant et en criant comme une damnée de l’enfer. Encouragée par ses cris j’augmentais la cadence et jouissais à mon tour.

 

Cécile s’empara de ma bite gluante de sperme et me la nettoya de ma bouche.

 

– Hum, j’adore ! Tu gagnes à être connu, gamin. C’était très bon. A présent, il faut que je fasse pipi, tu vas me servir de chiotte.

– Euh, peut-être pas…

 

Je n’avais rien contre l’uro qui était une pratique sur laquelle je fantasmais sans concrétiser, mais je craignais néanmoins qu’elle ne m’entraîne trop loin.

 

Je ne vis pas arriver la gifle.

 

– Ouvre la bouche !

 

J’eu juste le temps d’éviter que le crachat atterrisse dans ma bouche.

 

– Qu’est-ce qui se passe ? On arrête tout, c’est ça que tu veux ? Me demande-t-elle.

– Il y a des choses que je ne veux pas faire.

– Alors va te faire enculer ailleurs, connard !

 

Complètement dépité, je cherchais mes vêtements et les enfilais.

 

– Tu passeras le bonjour à ta mère, elle aussi c’est une bonne pute, la dernière fois je lui ai fait sucer un black avec une queue énorme pendant qu’un autre lui fouettait le cul avec une branche de céleri.

– Quoi ?

– Ben oui ! Si tu savais le nombre de gens qui ont une vie cachée… Bon nous n’allons pas nous quitter fâchés, viens boire une bière dans la cuisine.

– Ma mère vient se faire fouetter et tout ça ! Je n’y crois pas ?

 

En fait j’étais davantage troublé que choqué, allez donc savoir pourquoi ?

 

– Dommage je n’ai pas de vidéo, elle n’était pas d’accord pour ça, sinon je te l’aurais montré. Une fois il y a une copine qui est venue avec son chien, j’ai demandé à ta mère de sucer le chien, elle a eu l’air d’apprécier.

– Les bras m’en tombent !

– Ramasse-les, ça peut servir.

 

J’avais quelque mal à assimiler les propos de Cécile sur ma mère… Mais elle en ajouta une couche.

 

– Tu as déjà fantasmé sur ta mère ?

– Non, enfin si, un petit peu… bredouillais-je, mais enfin c’est ma mère…

– Parce que, elle, elle fantasme sur toi, mais elle n’ose pas te demander…

– Je rêve !

– Si ça t’intéresse, je peux organiser une petite rencontre…

– Non, non…

– Réfléchis-y quand même, allez suis-moi !

 

Comme un zombi, je suivais Cécile dans la cuisine. Je regrettais déjà mon mouvement de révolte, mais que faire, je ne souhaitais pas me laisser entrainer dans des voies qui ne me disaient rien. Mais aussi pourquoi était-elle adepte du « tout ou rien » ?

 

– Il y a une chose qu’il te faut savoir, avant de partir, la domination est un jeu. L’esclave est libre de s’en retirer quand bon lui simple, mais ce n’est pas lui qui mène la barque, ce serait trop facile. Si je propose une pratique à un esclave et que ça ne lui dit trop rien, il y a une attitude que je ne supporte pas, c’est le refus. On ne refuse jamais sans avoir essayé. Ensuite c’est à moi, suivant les réactions de l’esclave de gérer la situation. C’est moi qui gère, pas lui !

 

Elle était en train de me tendre une perche et j’en étais heureux.

 

Maintenant, tu as le choix, soit tu t’en vas et nous ne reparlerons plus jamais de ces petites fantaisies, soit tu retournes à la cave, tu te déshabilles et on reprend là où nous en étions restés !

 

– Je retourne à la cave ! Lui indiquais-je et cette fois sans hésitation..

 

Elle me fit attendre dix minutes, jouant ainsi avec mes nerfs.

 

Quand elle revint, elle me toisa et empoigna mes tétons qu’elle tordit fortement. Cette action eut pour résultat immédiat de me faire bander très fort.

 

– Ouvre ta bouche, chien !

 

J’ai faillir dire non, mais me rappelait ses propos et reçu son jet de salive en pleine bouche.

 

– Très bien et maintenant, la douche….

 

Elle me fit coucher sur la partie carrelée de son donjon, s’accroupit légèrement et se mit à pisser d’abondance.

 

– Ouvre la bouche, esclave, goute à ma bonne pisse.

 

J’essayais, découvrant un goût assez bizarre, pas trop génial mais pas désagréable non plus. Voulant montrer à ma maîtresse que j’étais un bon esclave et que j’avais compris sa façon de fonctionner, j’en avalais une bonne rasade.

 

– Ben voilà quand tu veux ! Dommage que je n’aie pas envie de chier, on verra ça demain matin.

 

Oh, non ! me dis-je, mais je me rassurais aussitôt : »quand elle verra que ça ne me plait pas, elle n’insistera pas  »

 

– Tu me réveilleras demain à 8 heures précises, tu m’apporteras mon petit déjeuner au lit, complétement à poil, je veux du café, du jus d’orange et des tartines grillées avec de la confiture. Maintenant tu as quartier libre, si tu veux aller faire un tour dehors, ne t’en prive pas.

 

Le lendemain je la réveillai comme prévu. Elle s’assit dans le lit et je pu ainsi contempler de nouveau sa belle et opulente poitrine. Du coup je mis à bander.

 

– Hier j’ai oublié de mettre ma petite culotte au sale, elle est là-bas sur la chaise, prend-là !

 

Je le fis, elle me demanda de la sentir, puis de la lécher, je me surpris à bander en le faisant

 

– Ah, j’ai oublié de te dire, à 9 heures la femme de ménage va arriver, je vais la punir, tu assistera à la punition.

– La punir pourquoi ? Demandais-je

– Est-ce que je t’en pose des questions, je n’ai pas besoin de motif pour punir qui je veux ! Reste là et mets-toi à genoux pendant que je déjeune.

 

Quand elle eut fini son petit déjeuner, elle se leva, je la voyais donc pour la première fois complètement nue.

 

On se dirigea vers les toilettes, elle s’assit sur la cuvette et se mit à uriner, elle s’amusa à se pisser sur les mains et à me les faire lécher. Je commençais à bien apprécier ce gout particulier.

 

– Et maintenant caca ! Dit-elle.

 

Moment fatidique, comprendra-t-elle que la chose ne me plaira pas ?

 

Elle pousse, j’entends la merde tomber dans l’eau dormante avec un grand floc.

 

– Je n’ai pas chié à fond, je me réserve pour la femme de ménage. Mais ne t’inquiète pas, on va faire ça progressivement ! Dit-elle en se relevant, essuie-moi le cul.

– Avec le papier ?

– Non, avec ta langue.

 

Si je refuse, me dis-je, elle va me jeter, il me faut donc procéder autrement. »

 

Il faut tout simplement qu’elle constate que la pratique ne me plait pas. Et là se pose un problème idiot : Comment pourra-t-elle juger de ma réaction puisqu’elle me tourne le dos ?

 

Ne sachant comment gérer la situation, je me dit qu’il me fallait faire confiance à mes qualités d’improvisation.

 

Cécile écarte ses globes fessiers afin que ma langue puisse accéder facilement à son trou du cul. J’approche mon visage, ça sent la merde, mais ça n’a rien de pestilentiel. Il n’y a pas grand-chose à essuyer, juste quelques taches marrons et ça me rassure.

 

Je respire un bon coup et j’approche le bout de ma langue de la première tache en fermant les yeux. Je lèche et surprise, là où je pensais trouver de l’abominable, je ne trouve qu’une saveur assez âcre mais qui n’a rien de repoussante, du coup je lèche mieux et je réouvre les yeux.

 

J’ai tout nettoyé, Cécile a maintenant le cul propre comme un sou neuf… et même que je suis fier de moi !

 

– Ça t’as plu, esclave de lécher la merde de ta maîtresse ?

– C’était délicieux ! Répondis-je.

 

J’en rajoutais, délicieux n’était sans doute pas le mot approprié mais j’étais tellement content de m’être acquitté de cette épreuve que je redoutais.

 

– Demain nous essaierons d’aller plus loin !

 

J’ignorais ce qu’elle entendait précisément par-là et n’était pas vraiment certain de pouvoir la suivre.

 

Cecile (1)– Viens, tu as droit à une petite récompense.

 

Elle se leva, fouillant un long moment dans un placard, dans mon dos. Quand elle se retourna, je l’aperçu dans la glace, nue, la taille ceinte d’un gros godemiché noir, une cravache à la main.

 

– Tends-moi ton cul, morue ! Ordonna-elle en me cinglant de sa cravache.

 

Elle me cravacha les fesses plusieurs fois me laissant échapper des cris de douleur puis elle me fit me mettre à quatre pattes. Elle s’agenouilla derrière moi, posa les mains sur mes fesses, et je sentis son doigt me pénétrer l’anus et s’y agiter frénétiquement. Mon dieu que c’était bon, mais ce n’était rien à côté de qui suivit : le doigt fut remplacé par le gland de plastique du gode qui força doucement mon petit cul. Elle enfonça par petits coups, et je criais de douleur et de surprise. Lorsque le gode fut complètement entré dans mon cul, elle resta un moment sans bouger, et commença à donner de petits coups de reins. Je constatai avec surprise que la douleur avais disparu rapidement pour faire place à un plaisir trouble. Après quelques minutes de ce traitement, je me mis à haleter, puis à gémir, de plus en plus fort à mesure qu’elle accélérait son mouvement. Et sans me toucher, je sentis mon sexe exploser et je m’effondrais en répandant mon sperme sur la moquette.

 

– Cochon, nettoie tout ça avec ta langue !

 

Je m’exécutais tant bien que mal.

 

– Dis-moi, ça t’as plus, mon gode dans ton cul de pédé ?.

– Oh oui, maîtresse ! Vous pourrez me le refaire quand vous voudrez.

– Tu es un enculé maintenant !

 

A quoi joue-t-elle ?

 

– Je n’ai pas entendu ta réponse !

– Oui, maîtresse

– Quoi « oui, maîtresse », je veux t’entendre dire que tu es un enculé.

 

Si ça lui fait plaisir…

 

– Je suis un enculé, maîtresse.

– Et encore, ce n’était qu’un gode, imagine, quand je te ferais prendre par une vraie bite, une bonne bite que tu aurais bien sucée avant. Dis-moi que ça te plairait ?

 

Horrifié par cette perspective, je me souvenais néanmoins de sa façon de procéder « On ne refuse jamais sans avoir essayé. Ensuite c’est à moi, suivant les réactions de l’esclave de gérer sas réactions. »

 

– Je ne sais pas, mais je suis prêt à essayer !

– Tu ne sais pas ce qu’on va faire, je vais te prendre en photo avec une bonne bite dans la bouche, et je la montrerais à ta mère. Ça va bien l’exciter et ensuite tu pourras la baiser.

 

Elle est folle !

 

– Penses-y en t’endormant mais si tu te branles évite de tacher les draps !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Mercredi 15 septembre 2021 3 15 /09 /Sep /2021 11:05

Les gros seins de ma prof par Belle-Cour

BigsTits

A la fin de mes études, j'avais une prof d'anglais sur laquelle j'ai toujours fantasmé. 

 

C'est une de ces vieilles filles de 45 ans, du genre qui vit avec sa sœur ou sa mère. On la disait lesbienne, le gens disent toujours des choses. Elle n'est pas vraiment belle mais je lui trouvais quelque chose de très excitant. Petite, brune bien en chair avec de très gros seins et de grosses fesses. Elle portait souvent des jupes et pour son poids, elle avait des jambes superbes. Toute la graisse était dans les seins et dans les fesses. J'adore ça. 

 

Cela faisait deux ans maintenant que j'avais terminé mes études, mais je pensais toujours à elle lors de mes masturbations et autres branlettes. Je décidais donc de reprendre contact avec elle. Je lui ai alors envoyé une lettre de rendez-vous en spécifiant que j'étais un ancien élève qui l'avait toujours aimée et que je rêvais de la revoir et de lui parler. Je l'attendais donc au bar dudit rendez-vous et, accablé par la chaleur de ce brûlant été, je sirotais nerveusement un coca bien frais.

 

Et enfin, contre tout espoir elle arriva et observa chaque client quand son regard tomba sur moi. Elle portait une jupe bleue qui descendait au-dessus des genoux et un chemisier qui ne mettait pas assez ses seins en valeur à mon goût. J'étais très gêné et ne savais où me mettre. Elle s'assit à ma table et me demanda si c'était bien moi qui avait écrit : 

 

- Hum... Oui, c'est moi qui vous ai donné ce... rendez-vous.

- Je ne pensais pas du tout à vous... je dois dire que... c'est bien la première que l'on me fait ce genre de choses. 

- J'espère que ça ne vous pas choqué ou quelque chose du genre parce que, sachez que je regrette un peu... je me sens un peu ridicule. 

- Mais non, au contraire, c'est très flatteur, je suis heureuse. Je craignais que ce ne soit une blague. 

 

La discussion s'égara un peu, nous parlions de choses et d'autres de manière très décontractée, à ce point que nous décidions de nous tutoyer. Puis elle prononça enfin ces mots tant attendus : 

 

- Tu voudrais venir chez moi, nous serons plus à l'aise.

 

Quelques minutes plus tard, nous entrions chez elle. Je m'assit sur le canapé et après m'avoir servi une boisson, elle s'installa à côté de moi. Sa jupe remonte un peu et je ne peux m'empêcher de regarder . Elle me dit ;

 

000Chubby- C'est vrai alors, je te plais ?

 

Je mets alors ma main sur sa cuisse et l'embrasse fougueusement, nos langues se tournant autour. Je fais remonter ma main jusqu'à ses fesses si désirées et les caresse. Elle s'écarte alors et commence à déboutonner son chemisier. Oh mon dieu, quels beaux seins ! Le soutien-gorge trop petit les fait déborder. Je me relance alors dans un baiser et en profite pour lui enlever. Ses seins sont mieux que dans mes rêves, les mamelons foncés et larges avec les tétons courts. Ils sont si lourds qu'ils tombent au-dessus du nombril. Je commence à en sucer un, comme un bébé qui tète et je masse en même temps l'autre. Mon sexe est énorme. Elle le libère donc, d'abord le jean puis le slip et elle peut lors constater l'effet qu'elle me fait. Elle passe sa large langue sur mon membre dressé et je suis déjà au bord de l'explosion. Elle s'enlève alors sa jupe et sa culotte et frotte son gros derrière contre mon visage en disant 

 

- Tu l'aimes hein mon gros cul ?

- Oh ! Oui !

- Tu peux employer des mots vulgaires, ça m'excite !

 

Je réponds donc par l'affirmative en la traitant en prime de salope et de morue et l'agrippe par les fesses pour ramener sa chatte poilue contre ma bouche. Elle est debout, je suis à ses pieds en train de passer ma langue sur ses petites lèvres, les faisant rentrer légèrement de temps en temps. Elle, elle gémit, quelques " han ", quelques " oui.. ". 

 

Je sens le chaud liquide couler sur mes lèvres, il a un goût fort légèrement teinté de celui de l'urine. 

- C'est bon tu aimes ?

- Pisse-moi dans la bouche, ma salope.

- Mais bien sûr, son salaud !

 

Elle était délicieuse sa pisse, j'ignore ce qu'elle avait bu, mais j'étais au anges.

 

Je reprends mon travail de lèche qui m'excite au plus haut et je ralentis au maximum le moment de sa jouissance, titillant son clitoris bien bandé. Enfin, elle et secouée de spasmes, hurlant de plaisir, elle tombe à genoux faisant remuer ainsi ses deux énormes seins. Je suis plutôt fier du résultat et je m'assied sur le tapis, écartant les jambes pour l'inviter à me faire jouir à mon tour (à me tailler une pipe quoi). Reprenant enfin ses esprits, elle s'approche à quatre pattes, ses deux seins pendants touchant presque le sol et commence à enfourner mon sexe dans sa bouche. Elle commence alors un va et vient, enroulant sa large langue autour de mon membre. Je ne mets pas longtemps à jouir, au moment où elle me titille le bout du gland du bout de sa langue, je lui explose au visage et me laisse tomber sur le sol.

 

- T'es pas déjà à bout de force ? 

- Non, non, je reviens à l'assaut !

 

Elle profite de ce cours répit pour avaler le sperme de son visage et lécher mon sexe. Quelle salope ! Ce geste me redonne du tonus et juste au moment où j'allais me relever pour remettre ça, elle enserre mon sexe de son énorme poitrine et commence à me masturber de la sorte. Je la laisse faire quelques instants puis, je lui agrippe les seins et les malaxe un moment avant de la mettre sur le dos. Je lui lèche et lui mordille longuement ses gros tétons et je commence à la pénétrer avec violence. Mes mouvements rapides font vibrer tout son corps, de ses jolis petits pieds à ses magnifiques seins en passant par ses grosses fesses. Approchant de l'orgasme et voulant faire durer le plaisir, je ralentis mes pénétrations jusqu'à stopper carrément laissant mon membre dans son vagin. Elle en profite pour se caresser l'anus d'un doigt. 

 

- T'aimes ça, petit pédé ?

- Je ne suis pas pédé !

- N'empêche que tu aimes bien mon doigt ! 

- Tu peux même en mette deux !

 

Après l'avoir traité de grosse dégueulasse, je reprends le pilonnage de sa chatte, puis à sa demande je l'encule jusqu'à ce que je déverse ma semence en elle. Elle jouit en même temps que moi et nous restons quelques instants ainsi. Je me retire enfin et commence à me rhabiller. Je l'embrasse et je pars lui promettant de la rappeler... 

 

…ce que je fis, bien sûr.

 

Fin

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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