Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 18:50

Martinov 22 – Univers parallèles.- 2 – Une bonne fessée pour Marianne par Maud-Anne Amaro

 

Spanking

Marianne fut fort étonnée de voir arriver Martinov en plein milieu de la semaine, et en plus sans prévenir, ce qui n’était guère dans ses habitudes.

 

– Ben qu’est-ce qu’il t’arrive, ta pétasse t’a laissé tomber ? T’aurais pu me téléphoner !

– Je viens juste te demander si tu peux me prêter ton garage deux ou trois jours ?

– Pourquoi,? Tu t’es acheté une bagnole ?

– Non, faut que je travaille sur une cabine d’ascenseur !

– N’importe quoi !

 

Il lui expliqua…

 

– Tu sais bien que je ne peux rien te refuser.

– T’es un amour.

– C’est vraiment bête de ne pas m’avoir prévenu, je t’aurais fait une petite bouffe ! Remarque, j’ai des œufs frais, je peux nous faire une bonne omelette !

 

Le professeur n’osa pas la contrarier.

 

– Un petit câlin d’abord ?

 

Marianne n’avait rien d’une bête de sexe, mais Martinov appréciait sa gentillesse et ses rondeurs, quand ils faisaient l’amour c’était souvent à la papa, la pipe et la pénétration quelque fois en levrette mais souvent en missionnaire. Mais parfois les fantasmes de soumission de la dame reprenaient le dessus. Martinov n’était pas contre le fait de la dominer si elle était demanderesse

 

Et c’est exactement ce qui se passa aujourd’hui.

 

– J’ai envie que tu me fasses des petites misères !

– Y’avait longtemps !

– Une fessée ! Je veux que tu me flanques une fessée sur mon gros cul.

– Eh bien retire le bas, je vais t’arranger ça.

 

Marianne ne retire pas que le bas et se met complètement à poil.

 

– Attache-moi, maintenant les mains et les pieds !

– Si je t’attache les mains, ça ne va pas être pratique pour te donner la fessée.

– Attache-les moi par devant !

– Non, je vais me débrouiller.

 

Martinov louchait sur les grosses mamelles de sa maîtresse, il avait beau les connaitre par cœur, il ne s’en lassait pas.

 

– Tu les aimes, mes nichons, hein ?

– Tu le sais bien.

– Ils sont trop gros et ils commencent à tomber.

– N’exagérons rien !

– Alors elle vient cette fessée ? Mais si tu as envie de maltraiter les nichons avant, vas-y, ne te gêne pas.

 

Martinov n’a rien d’un sadique, mais puisque la chose est un jeu, il joue, et s’emparant des tétons de la Marianne, il les serre dans ses doigts, les tortille, les tiraille.

 

– Tu me fait mal !

– Oh pardon ! Dit-il en relâchant sa pression.

– Mais je ne t’ai pas dit d’arrêter, c’était bien !

– Ah bon ! Alors on reprend !

– Insulte moi !

– J’aime pas trop tu sais bien !

– Fais pas ta chochotte !

– Tiens, grosse truie, fille à soldat, radasse !

– Tu vois quand tu veux…

– Tourne-toi maintenant que je m’occupe de ton gros cul !

– Oui, mais si tu te mettais à poil, ce serait plus fun !

 

Martinov se demande d’ailleurs pourquoi ce n’est pas déjà fait, et se débarrasse de ses vêtements en les posant précautionneusement sur le dossier d’une chaise, mais il garde ses chaussettes.

 

– Ben dit donc, tu bandes comme un cochon ! Viens là que je te suce cette bonne bite.

– Plus tard, pour l’instant c’est la fessée !

– Homme cruel !

– Faudrait savoir ce que tu veux ?

– Je veux une fessée.

 

Martinov relève un peu les poignets attachés de Marianne pour avoir mieux accès à ses fesses et commence à taper.

 

– Plus fort ! Je ne suis pas en sucre.

– Oh, mais si tu veux que je tape fort, je vais taper fort, ça va te faire drôle !

– Je veux que tu me marques, je veux avoir les fesses toutes rouges.

 

Martinov se met à taper comme un forcené, à ce point qu’il finit par en avoir mal aux mains.

 

– Ça va comme ça ? Demande-t-il.

– J’en aurais bien pris encore un peu !

– Je ne peux plus, c’est moi qui me fais mal.

– Prend un objet !

– Un objet ?

– Je ne sais pas, moi, ta ceinture ?

– Mais Marianne, tu veux vraiment des coups de ceinture ?

– On peut essayer.

– Tu me fais faire de ces trucs, bon, tu vas te mettre à genoux contre le canapé, tu relèves bien tes bras

 

Martinov se demande si sa maîtresse n’a pas pété un câble, mais quelque part la situation l’excite même s’il se défend d’être amateur de ce genre de pratiques

 

Il lève sa ceinture et la dirige vers le cul déjà bien rougie de la Marianne, le coup laisse une belle trainée rougeâtre. La femme pousse un petit cri, mais maintient la position.

 

– Ça va ? Demande le professeur !

– Ecoute, Dédé, tu ne vas pas me demander à chaque fois si ça va ? Quand ça n’iras plus je te ferais signe. Je veux dix coups, allez vas-y et insulte-moi comme tout à l’heure.

 

– Tiens salope, tiens morue, tiens suceuse de bites, tiens enculée !

Martinov22b

Le pauvre Martinov a en la matière un répertoire peu varié et répète sans arrêt les mêmes mots, tout en cinglant durement sa victime consentante dont le cul vire maintenant au cramoisi.

 

– Voilà ça fait dix, tu devrais aller voir ton cul dans le miroir, il a une vilaine couleur.

– Ah bon ! Détache-moi, tu seras gentil !

– Bien sûr que je suis gentil !

– Parce que moi je suis vilaine, et j’aime bien qu’on me punisse quand je suis vilaine !

 

« En plein dans son délire, la Marianne ! »

 

Celle-ci s’en va se regarder dans le miroir de sa salle de bain et revient avec un gant d’eau froide.

 

– Tiens applique-moi ça sur le cul, ça va me faire du bien !

 

Martinov se prête volontiers à ce petit intermède, bien qu’il soit toujours énormément excité.

 

– On mettra un peu de pommade tout à l’heure. Pour l’instant je vais bien te sucer la bite et après tu vas m’enculer.

– Mais avec plaisir ma chère !

 

Marianne est une bonne suceuse de bites. Martinov ignore où elle a appris ça, il croit savoir qu’il est son seul amant, mais un voile recouvre son passé dont elle évite toujours de parler.

 

« Et puis on s’en fiche de son passé, du moment qu’elle me prodigue des bonnes pipes ! »

 

Sa bouche gourmande vient happer la bite du professeur, ses lèvres l’enserrent et la langue virevolte autour du gland turgescent.

 

– C’est bon, tu suces bien. Continue c’est trop bon

– Ne me jouis pas dans la bouche, c’est dans mon cul que je veux qu’on finisse !

– Alors tourne-toi ! On va le faire !

 

La femme se retourne exhibant de nouveau son fessier meurtri.

 

– Non pas comme ça ! Dit le professeur.

– Comment ça : pas comme ça ?

 

Martinov ne sait pas comment lui dire qu’il ne souhaite pas la sodomiser avec l’image de ce cul meurtri.

 

– Mets-toi sur le dos et lève tes jambes, je vais t’enculer comme ça !

– Mais ça ne va pas, j’ai déjà mal aux fesses…

– Tu voulais être punie, considère ça comme une punition.

– Alors d’accord.

– Et puis c’est pas si mal, je peux te regarder te palucher en même temps et je peux mater tes jolis seins.

– Bon, alors tu m’encules ou tu nous fais un discours.

 

Martinov approche sa bite, la Marianne a tellement mouillée pendant la flagellation que même son cul est imbibé. Et après qu’elle se soit mise dans la position adéquate, Martinov la pénètre avec une facilité déconcertante.

 

L’affaire ne traine pas, aussi excité l’un que l’autre, la sodomie se déroule à un rythme infernal, la bite entre et sort comme un piston de locomotive. Marianne piaille, gémit et finit par hurler, Martinov accélère et jouit comme une bête en rut.

 

Ils tombent ensuite dans les bras l’un de l’autre mélangeant leurs langues.

 

– Ça ne te dérange pas de me faire une petite course, je n’ai pas trop envie de sortir ?

– Non, tu veux quoi ? De l’homéoplasmine chez le pharmacien, je vais te marquer le nom.

– Mais ça va être fermé !

– Non ils ferment à 20 heures, t’as juste le temps

– C’est pourquoi faire ?

– Pour me pommader le cul !

 

Jeudi 20 février

 

C’est donc le lendemain en fin de matinée que Beautilleux repassa au domicile du professeur Martinov.

 

– On va pouvoir faire affaire ! Annonça ce dernier, j’ai trouvé un sous-traitant pour les circuits et un local pour la cabine.

– O.K ! Vous aurez les circuits quand ?

– Mardi matin ! Ma collaboratrice les récupère chez le sous-traitant et je pourrais travailler dessus dans la journée.

– Parfait, je déposerais la cabine lundi soir, donnez-moi l’adresse !

– Voilà, c’est indiqué sur ce petit carton.

– Ce sera donc terminé mardi soir ?

– Soyons raisonnable, donnons-nous un délai, on va dire mercredi en fin d’après-midi. Euh pour le paiement…

– Je passe à la banque demander un chèque de banque, je vous le déposerais dans votre boite aux lettres cet après-midi.

 

C’est alors que Béatrice intervint :

 

– Simple curiosité, mais vous allez présenter votre attraction dans quel cadre ?

– Je suis en négociation avec Disneyland et le parc Astérix !

– Un monde parallèle chez les gaulois ?

– Ben oui, pourquoi pas ?

 

En fin d’après-midi, Martinov eu la curiosité de regarder sa boite aux lettres. Il y avait effectivement une enveloppe contenant un chèque de banque de 7 000 euros auquel était joint un petit carton : « le chèque est daté de jeudi prochain, merci de ne pas l’encaisser avant cette date ». Il s’en étonna auprès de Béatrice.

 

– Un chèque de banque antidaté, c’est la première fois que je vois ça ! C’est légal au moins ?

– J’en sais rien, mais si c’est un gros client…

– Hum…

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 18:29

Martinov 22 – Univers parallèles - 1 – Béatrice en trio par Maud-Anne Amaro

StampFFH

 

Mercredi 19 février

 

– T’as besoin de moi pour le rendez-vous de 10 heures ? Demande Béatrice.

– Je sais pas, c’est quoi ? Répond le professeur Martinov.

– Un mec qui veut une espèce de cabine futuriste pour une attraction foraine.

– Comme tu veux ! Mais autant que tu sois là, tu aurais peut-être des idées, t’as toujours des bonnes idées…

– Bien, mon petit professeur.

 

Un petit rappel pour ceux qui n’ont pas lu les précédentes (et passionnantes) aventures du professeur Martinov. Ce dernier est un chercheur indépendant, sexagénaire, sorte de Géo Trouvetout. Un jour on lui demanda de trouver un produit augmentant la fertilité des lapins, (voir Martinov et le Lapin dur) Débordé, et un peu juste sur les questions de biologie, il embaucha Béatrice une jeune diplômée sortant tout droit de l’école de chimie et de plus de trente ans sa cadette. Vraie blonde, souriante et bien faite. En testant le produit sur eux-mêmes, ils furent tous deux atteint d’une frénésie sexuelle imprévue qui eut plusieurs conséquences : la première fut que le produit fut commercialisé en sex-shop comme une bon substitut au Viagra, la seconde fut qu’ils firent fortune, la troisième fut que la complicité sexuelle entre eux deux s’installa sans qu’ils ne se considèrent pour autant comme amant et maîtresse. L’action se passe à Louveciennes, localité cossue des Yvelines, non loin de Paris.

 

On entre maintenant dans le vif du sujet :

 

– Jean-Louis Beautilleux, physicien retraité ! S’annonce l’individu, costume gris clair élimé, polo Lacoste blanc, grosses lunettes et pas un poil sur le caillou.

– André Martinov, et voici ma collaboratrice Béatrice Clerc-Fontaine ! Alors expliquez-nous un peu tout ça !:

– Comme je vous l’ai dit, c’est une attraction foraine. La personne entre dans une cabine, et à la sortie elle est censée se retrouver dans un monde parallèle, alors évidement faut que ce soit ludique, je veux juste que la cabine soit remplie de boutons, de cadrans lumineux, il devra y avoir aussi des messages vocaux, je vous en laisse les textes, et je vous ai dessiné un petit schéma, le voilà. Ah, il me faudrait aussi un casque, un casque futuriste genre bande dessinée des années 30 avec des fils métalliques qui sortent en tortillons.

 

Le professeur jeta un coup d’œil d’un air perplexe, en fait la chose s’avérait relativement complexe, il ne s’agissait pas seulement d’allumer où d’étreindre des cadrans à l’aide de boutons, mais de programmer des messages lumineux ou vocaux en fonction des instructions des utilisateurs.

 

– Je suis désolé, mais l’électronique ce n’est pas trop mon fort, nous ne ferons malheureusement pas affaire ! Annonça Martinov en se levant déjà de son siège afin de mettre un terme à l’entretien.

– Ecoutez, je suis pressé et je ne souhaite pas avoir affaire à trente-six interlocuteurs.

– Mais…

– Je vous propose 5 000 euros, avec ça vous serez maître d’œuvre, ce que vous ne savez pas faire, sous-traitez-le. Puis vous finaliserez la chose en fixant les cadrans et en me faisant quelque chose de joli !

– Hum !

 

Béatrice griffonne un nom sur un papier et le tend à Martinov :

 

« Framboisert »

 

Evidemment l’idée est bonne, l’homme ainsi désigné est ingénieur en électronique, lui et son épouse sont devenus de joyeux complices de Martinov et de Béatrice. Encore faudrait-il qu’il accepte !

 

– Je réserve ma décision, je vous appelle demain.

– Je n’ai pas de portable, je suis allergique à ces machins-là, je passerais en vitesse demain pour avoir votre réponse.

– Comme vous voulez, si je prends l’affaire, il faudra que je me déplace où ça pour travailler dans votre cabine ?

– Eh bien, dans votre atelier, non ? Je vous la ferais livrer dès que j’aurais votre accord.

– Elle est grande comment votre cabine ?

– C’est une cabine d’ascenseur que j’ai acheté en brocante !

– On trouve des cabines d’ascenseur en brocante ?

– Eh oui !

– Je n’ai pas la place, pourquoi ne pas faire ça chez vous ?

– Pour des raisons personnelles ! Avec la somme que je vais vous verser, vois pouvez bien trouver un hangar ou un garage…

– C’est que justement, j’ai peur que la somme soit un peu juste.

– 7 000 ? Je ne peux pas plus !

– Ça ira !

 

Le type parti, Martinov et Béatrice décidèrent de se répartir les rôles : Béa se rendrait chez les époux Framboisert, le professeur pour sa part essaiera de convaincre la Marianne de lui prêter son garage pour quelques jours.

 

Il nous faut donc parler un peu de cette Marianne. C’est la veuve du grainetier et plus ou moins la maîtresse de Martinov lequel se rend chez elle le vendredi soir ou le samedi soir. Elle lui mitonne un bon petit repas et ça se termine dans le plumard. Le problème de Marianne c’est qu’elle est jalouse comme une tigresse, et à ce propos ne peut pas encadrer Béatrice ce qui fait que les deux femmes s’évitent et ne se sont rencontrées que fort rarement. Elle soupçonne évidemment la jeune chimiste de coucher avec le professeur. Pourtant Béa et Martinov sont discrets, mais que voulez-vous, la rumeur publique…

 

« – Vous vous rendez compte, ce pourrait être sa fille !

– Même sa petite-fille !

– C’est de la pédophilie ! »

 

Que voulez-vous, personne n’empêchera jamais les gens de jaser, et on n’empêchera jamais les gens d’être cons !

 

Romain et Edith Framboisert constitue un couple de joyeux partouzeurs. En annonçant sa venue, Béatrice savait pertinemment que sa visite risquait de tourner en trio lubrique. Cela ne la dérangeait pas outre mesure, ces gens étant aussi sympathiques que corrects, et elle appréciait tout particulièrement le charme mature de la belle Edith.

 

Celle-ci avait dépassé la quarantaine. Très brune, cheveux frisottant en cascade, joli visage, yeux bleu vif, lunettes à montures noires, sourire carnassier, belle silhouette.

 

Romain, directeur d’une entreprise d’électronique, la branchait moins, ce sont des choses qui ne se commandent pas, mais que voulez-vous parfois pour avoir la femme, il faut se farcir le mari, ainsi va la vie.

 

Elle arrive, bisous, bisous ! Edith lui roule quasiment un patin, celle-ci a peaufiné son maquillage et revêtu un chemisier quasi transparent sur sa poitrine nue ! C’est ce qui s’appelle afficher la couleur.

 

– Qu’as-tu fait de Martinov ? Lui demande Romain.

– Il avait quelqu’un à voir ce soir ! Il vous transmet ses amitiés. Alors voilà ce qui m’amène, un client veut nous faire travailler sur une attraction foraine, on n’a pas dit oui, on n’a pas dit non, le souci c’est qu’il y a beaucoup d’électronique…

 

Bref, elle raconte toute l’histoire et présente les schémas à Framboisert.

 

– Ça m’a pas l’air si compliqué que ça, je peux vous bricoler ça à temps perdu, il n’est pas pressé votre gars au moins ?

– Ben si justement, mais il paye bien, tu fais un petit devis et tu peux le multiplier par deux !

– Je peux demander 1 000 balles ?

– Oui et tu mettrais combien de temps ?

– Une petite journée, je peux m’arranger pour faire faire ça par un de mes gars à l’usine…

 

Bref l’affaire fut conclue

 

– Euh les messages vocaux, ils sont où?

– Nulle part, on a juste les textes, il faut les enregistrer !

– Qui va faire ça ?

– Pourquoi pas Edith ?

– C’est quoi les textes ?

– Essaie de lire celui-là ! Lui dit son mari, prends un ton d’hôtesse de l’air :

– « Dans un instant, la porte va s’ouvrir sur un monde parallèle. Soyez sans crainte, votre sécurité est assurée ». C’est n’importe quoi ?

– N’empêche que c’est impressionnant, on s’y croirait !

– Et toi Béatrice, qu’en penses-tu ?

– Tu as fait ça très bien !

– Alors viens m’embrasser !

 

Evidemment, Béatrice ne saurait refuser, reste à savoir comment va être ce bisou ? Un petit poutou amical ou bien un roulage de pelle ? Dans ce dernier cas la chose risquait de se terminer sur le canapé et Romain viendrait y ajouter son grain de sel, ou plutôt sa virilité.

 

En fait Edith enlace si fortement Béatrice qu’elles basculent toutes deux sur le canapé en se tordant de rire.

 

– Tu t’accroches à quoi, exactement, là ? Lui demande Edith.

– A tes nichons, on dirait ! Je ne t’ai pas fait mal au moins ?

– Non mais pour te faire pardonner, tu vas me les caresser.

– Devant ce vilain monsieur ? Se gausse-t-elle en narguant Romain.

– Ce vilain monsieur a le droit de nous regarder, mais c’est tout pour l’instant !

– Et est-ce que j’ai le droit de me branler ? Demande l’homme entrant volontiers dans le jeu de ces dames.

– Qu’est-ce que tu en penses, Béatrice ? Demande Edith.

– Ne soyons pas vache, on va dire oui ! Mais qu’il recule d’un mètre.

 

Après avoir retiré leurs pantalons, les deux femmes s’embrassent tendrement, Edith s’attardant sur les jolies cuisses de sa partenaire, puis la faisant se coucher sur le dos, elle lui dégage les seins en faisant sauter les bonnets du soutien-gorge et se met à lécher les tétons avec frénésie.

 

Au bout d’un moment, Edith enlève son haut et invite sa complice à lui rendre la politesse en lui offrant ses seins. Mais la brune est gourmande et c’est la chatte de Béatrice qu’elle veut, elle plonge entre ses cuisses et commence à laper tandis que Béa se tire les bouts de seins. Elle procède par de longs, savants et rapides balayages sur les chairs intimes s’imprégnant de leur jus.

 

Un jus de chatte qu’elle garde en bouche pour le partager avec sa partenaire en un fougueux baiser.

 

Il vient ensuite à Béatrice l’idée un peu perverse de lécher les doigts de pieds d’Edith. Elle s’en régale, joignant les deux pieds l’un près de l’autre avec ses mains, elle a pour s’occuper dix orteils qu’elle suce et lèche les uns après les autres, mais en s’attardant plus particulièrement sur les pouces qu’elle travaille en bouche comme elle le ferait d’une petite bite trapue.

 

Et après les pieds c’est la minouche, c’est donc au tour de Béatrice de faire de l’entrecuisse avec sa langue, tandis qu’Edith a relevé ses jambes sur elle afin de lui faciliter la tâche.

 

Béatrice est coquine et descend sa langue un peu plus bas de façon à s’occuper de l’anus de sa complice.

 

– Il est comment mon cul ?

– Il est beau, pourquoi ?

– Oui, mais il ne sent pas un peu fort ?

– Si, mais justement, c’est encore meilleur, c’est aphrodisiaque !

– Alors continue, ma petite chérie

 

Bien sûr qu’elle continue, s’amusant à faire aller et venir sa petite langue sur ce mignon petit trou étoilé qui semble la narguer

 

– Mets un doigt ! Implore Edith.

– Je vais même t’en mettre deux.

 

Béatrice s’en mouille deux et les enfonce dans le troufignon de la brune où ça entre comme dans du beurre.

 

– Ça glisse tout seul !

– Hé, hé ! Continue c’est bon !

 

Et pendant ce temps-là, Romain qui a retiré boxer et pantalon, s’approche à pas feutrés, se prenant pour un gros matou !

 

– Toi, tu restes à ta place, on t’appellera si on a besoin de toi ! Lui dit son épouse.

– C’est trop cruel !

– Justement, j’aime bien !

 

Béatrice continue de doigter le dargeot de sa partenaire, mais que voulez-vous, les doigts fatiguent aussi !

 

Elle les retire.

 

– Suce-les! Lui dit Edith.

– Non mais dis donc ?

– Tu te dégonfles ?

– Mais pas du tout ! Répond-elle en les portant en bouche.

– Il a bon goût aujourd’hui mon cul ?

– Il est délicieux, ma chère !

– On se met un peu comme ça ? Propose Edith en faisant un curieux geste des mains, voulant signifier par-là qu’un soixante-neuf serait le bienvenu.

 

Aussitôt dit, aussitôt fait, Béatrice en dessous, Edith au-dessus, les deux filles alternent les léchages et les frotti-frotta avec les mains.

 

Et bientôt ça geint, les respirations deviennent haletantes, les corps transpirent, sans se concerter les deux femmes titillent le clitoris qu’elles ont à portée de langue, et c’est bientôt l’explosion.

 

Moment calme, gros bisous, cigarette.

 

– Et moi, je fais quoi ? Demande Romain

– On fume notre clope, après on verra…

– Mais je ne tiens plus, moi !

– Branle toi à fond, si tu ne peux plus tenir !

– Méchantes !

– Et d’abord, faut que j’aille pisser ! Déclare Edith, tu viens Béa ?

 

Les deux femmes ont déjà joué à ces jeux plusieurs fois, mais elles ne s’en lassent pas et d’ailleurs c’est le péché mignon de Béatrice.

 

– On fait comment ? Demande Béa.

– Allonge toi par terre, je vais mettre une serviette.

 

Edith s’accroupit alors de façon à ce que sa chatte soit à dix centimètres de la bouche ouverte de Béatrice.

 

Le pipi jaillit, Béa en boit un peu, le reste coule sur sa poitrine et sur la serviette.

 

– Alors ?

– Délicieux !

– T’as envie toi ?

– Je peux essayer de t’en faire une goutte

– Alors allons y pour la goutte !

 

Les deux femmes permutent leur position, Bea parvient à offrir quelques gouttelettes à sa partenaire.

 

– Je ne peux pas plus, je suis désolée !

– Pas grave, il n’y avait pas la quantité, mais il y avait la qualité !

 

Les deux femmes se redressent et s’embrassent, un baiser au gout bien particulier comme vous vous en doutez !

 

Sur le pas de la porte, Romain mate, la queue superbement bandée.

 

– Qu’est-ce qu’il fout là, celui-ci ? Fait mine de s’indigner Edith, retourne à côté et attend-nous.

 

Une mini douche, vraiment mini et les deux femmes nues comme des grenouilles reviennent au salon.

 

– Qu’est-ce qu’on lui fait à lui ! Demande Edith.

– Je sais pas, on le suce à deux ?

– Oui, mais on pourrait l’enculer avant ? Je vais chercher le gode ceinture.

Martino22a

Elle revient avec l’objet, le passe à Béatrice qui s’harnache. Romain qui en fait n’est pas un homme compliqué se positionne spontanément en levrette sur le tapis. On recouvre le gode d’un préservatif et d’une noisette de gel intime.

 

Béatrice s’approche du fessier dressé et écarté, un coup de rein, et hop, ça entre, il ne reste plus qu’à pistonner. Romain pousse des hi et des han.

 

– Insulte-le, il adore ! Dit Edith

– Ça te plait de te faire enculer, vieille pédale !

– J’adore !

 

Et pendant ce temps-là Edith insatiable vient se régaler une fois encore des seins de la jeune chimiste.

 

Au bout de dix minutes, peut-être plus, peut-être moins le temps s’écoule bizarrement quand on baise, Béatrice qui fatigue un peu sort le toy du cul de Romain.

 

– Fais lui une pipe, ça lui fera plaisir ! Lui dit Edith.

– Je ne peux pas t’enculer ? Rétorque l’homme.

– Mais c’est qu’il est gourmand, pépère ! S’exclame son épouse

– Allez vas-y.! Concède Béatrice qui a son tour se met en levrette.

 

L’assaut est bref, forcément, avec tant d’excitation accumulée, la jouissance ne demandait qu’à venir.

 

– Ah ! Ça fait du bien dit-il en ressortant du cul de la blonde.

 

Béatrice se garda bien de lui dire qu’elle n’avait pas senti grand-chose.

 

– Tu restes diner avec nous, on peut commander des pizzas ! Propose Edith.

– D’accord, mais je boirais bien un petit coup d’abord.

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 18:23

Martinov 21 – Sex-machines – 10 – Toutes en scène par Maud-Anne Amaro

stamp partouz

 

Vendredi 22 février

 

Arrive enfin le grand moment :

 

Ce soir dans le cadre de l’exposition aux Tuileries doit avoir lieu la démonstration privée des trois machines de Camille Laviron.

 

Le dépliant de présentation de l’artiste se garde bien de parler de machines, lui préférant le terme d’installation vivante et dynamique, et les nomme pompeusement de noms abscons de la mythologie grecque : Alecto, Tisiphoné et Megaira. En partant du principe que plus c’est abscons, plus ça plait à la critique.

 

Gérard Petit-Couture a peaufiné son idée avec les trois filles, chacune connaît son rôle.

 

Il y a en fait trois séances : 21 heures, 22 heures et 23 heures, cette dernière étant réservée au V.I.P.

 

En se faisant passer pour un critique d’art moderne, Gérard s’est débrouillé pour envoyer quelques invitations bien ciblées : deux journalistes de la presse people pas très malins mais toujours friands de new salaces dont les écrits seront bien relayés sur Internet, mais aussi une militante féminine « pure et dure » connue pour ses prises de positions sans nuances. Il leur était précisé qu’ils ne seraient pas déçus.

 

Les trois femmes sont nues en bas, le haut étant dissimulé par un petit caraco sexy. Elles saluent la petite assistance et rejoignent chacune leur machine respective qui pour l’occasion ont été copieusement végétalisées..

 

Une voix off diffuse alors en boucle un message qui se veut pertinent : « Non, Dame nature ne sera pas vaincu par la société de consommation qui voudrait tout merchandiser et robotiser y compris le sexe ! » sur fond d’une musique concrète stridente et glougloutante

 

Laviron met en marche la première machine, le piston se met à ramoner en cadence la chatte de Sonia qui en rajoute en poussant des cris de chatte en chaleur, la seconde machine démarre à son tour, et Béatrice râle comme si elle avait vraiment très mal. Et sur la troisième machine Anne-Lise nous fait un numéro de simulation.

 

Les gens se regardent, certains sont visiblement gênés, d’autres crient au génie. Quant aux trois « invités », ils se demandent ce qu’ils font là, bien que les deux journalistes s’en mettent plein les mirettes, la féministe outrée réfléchit déjà à l’article vengeur et inquisiteur qu’elle ne manquera pas de rédiger et de diffuser sur ses réseaux.

 

Le spectacle ou plutôt « l’installation vivante et dynamique » puisqu’il s’agit « d’art moderne », étant terminé, les trois filles viennent saluer la petite assemblée qui applaudit poliment.

 

Et à ce moment-là, Sonia intervient !

 

– Juste deux mots, messieurs dames :

 

Et en disant cela les trois filles enlèvent leurs nuisettes sous lesquelles apparaît marqué au feutre rouge sur leurs seins : « Le travail du sexe c’est bien, mais quand c’est bien payé c’est encore mieux ! »

 

Certains croient que cette intervention fait partie du spectacle,, mais c’est la stupéfaction qui gagne Laviron qui ne sait comment réagir.

 

– Messieurs dames, on va maintenant passer dans les rangs…

– Mais taisez-vous Sonia ! Messieurs dames, c’est un malentendu ! La séance est terminée, veuillez nous excuser pour ce léger incident.

 

Mais ces dernières paroles se perdent dans le brouhaha !

 

– Laissez la parler ! Lance Gérard d’une voix ferme et tonitruante.

– Oui, oui, laissez-la parler, reprennent d’autres personnes.

– Je disais donc que nous allons passer parmi vous faire la quête parce que Camille Laviron, c’est pas pour dire, mais il a des oursins dans son porte-monnaie.

 

Rires dans l’assistance qui prépare généreusement les billets, à l’exception de quelques inévitables radins.

 

Laviron trépigne de rage et vocifère des « vous allez me le payer ! » Mais personne ne l’entend.

 

Le lendemain un article de la presse people titrait sur Internet :

 

« Un obscur artiste contemporain ridiculisé par un trio de call-girls » un autre « Le flop d’un artiste autoproclamé ».

 

L’information fut suffisamment relayée pour que Laviron se sente obligé d’annuler les représentations privées des jours suivants.

 

L’objectif était atteint et suffisant, mais eu des séquelles imprévues :La présence de la militante féministe était une erreur, allant trop loin elle broda l’événement, accusa carrément Laviron de harcèlement sexuel et de proxénétisme. Ces gens-là n’ont aucun sens des nuances.

 

Sonia fut harcelée, on la pressa de porter plainte, bref l’affaire fit quelques bruits à ce point que la féministe souhaita entraîner Sonia sur un plateau télé. Elle refusa dans un premier temps puis sur les conseils avisés de Gérard, elle finit par accepter.

 

Vendredi 8 mars, journée de la femme

 

– Donc, Mademoiselle Sonia, débite l’animateur de service, vous voilà au centre d’un scandale sexuel dont vous avez été la victime, nous n’avons pas encore eu l’occasion d’entendre votre version des faits.

– Eh bien voilà : Il n’y a aucun scandale sexuel. A aucun moment Monsieur Laviron ne m’a harcelé sexuellement et jamais Monsieur Laviron n’a proposé mes services à d’autres personnes, les accusations qu’on voudrait que je lui porte sont de pures calomnies.

– Vous dites que…

– Ah ! Laissez-moi terminer ou je quitte le plateau ! Monsieur Laviron est méprisant, invivable et colérique, c’est pas bien mais ce n’est pas un délit, sinon il nous a payé avec des queues de cerises, et c’est cela uniquement qu’on lui reproche ! Notre revendication était uniquement salariale. Sinon, madame la féministe, vous qui avez la prétention inouïe de vouloir parler au nom de toutes les femmes, je vous signale que je fais ce que je veux de mon corps et que je vous emmerde. Et cela dit, je vous laisse déblatérer dans le vide.

 

– Ouf ! j’ai été bonne ? Demande-t-elle à Gérard qui était dans le public et qui sortit avec elle.

– Excellente, ma chère ! Excellente !

 

Et tout ce petit monde se retrouva pour faire la fête dans la garçonnière des Petit-Couture.

 

Un traiteur avait livré de quoi faire un buffet froid, il y avait bien sûr du Champagne et du bon vin.

 

Evidemment tout le monde sait que cette petite réunion amicale va tourner en partouze et il n’est nul besoin de sauvegarder les apparences.

 

Certains ont des désirs particuliers, ainsi Florentine rêve de s’isoler ne serait-ce qu’un quart d’heure dans les doux bras de Sonia.

 

Mais Sonia a elle aussi quelques pensées coquines, ce que lui a dit Gérard la dernière fois n’est pas tombé dans l’oreille d’une sourde.

 

– Dis-moi Gérard, tu m’avais promis de me montrer quelque chose ? L’apostrophe-t-elle.

– Quoi donc ? Mes jolis dessins ? Mais ils ne sont pas ici, mais tu es invitée à venir les regarder à la campagne, cela nous fera plaisir !

– Allons, allons ! Il ne s’agit pas de ça ! Veux-tu que je te rafraichisse la mémoire.

– Oh, oui, rafraichis-moi !

– Quand Florentine, la dernière fois m’a confié que tu aimais sucer les bites, j’ai répondu que j’aimerais bien voir ça…

– Mais t’es vraiment coquine, toi ?

– N’est-ce pas !

– N’empêche que ça ne se fait pas de demander des choses pareilles ! Plaisante-t-il.

– On va être obligé de la punir ! Intervient Anne-Lise.

– Absolument, mais avant on peut lui faire plaisir ! Viens Martinov, on va se faire un petit truc tous les deux.

 

Le professeur n’a rien contre, vous vous en doutez bien, mais il temporise, comme ça, pour le principe.

 

– Comme ça tout de suite ?

– Ces dames sont impatientes de nous regarder faire, il ne faut jamais faire attendre les dames !

– Dans ce cas…

 

– On se met tous à poil ! Propose Florentine qui joignant le geste à la parole se débarrasse de ses vêtements en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.

 

Les filles se déshabillent et s’assoient, Florentine s’est arrangée pour être à côté de Sonia et commence déjà à la peloter. De leurs côtés Béatrice et Anne-Lise se caressent gentiment les cuisses.

 

Et voilà notre vert professeur face à face avec l’ancien ministre, ils sont nus tous les deux. Gérard attrape les tétons de Martinov et se met à les tortiller ce qui a pour effet de le faire bander quasi instantanément.

 

Le professeur allait se baisser pour mettre la bite de son partenaire en bouche, mais ce dernier est plus rapide que lui. Et le voilà qui se met à sucer goulument la queue de Martinov, la langue va partout, le gland, la hampe et même les couilles.

Martinov21J

– Regardez-moi ces deux vieux pédés, ça m’excite toujours de voir ça ! Commente Florentine les doigts dans la chatte de Sonia.

– Oh ! Tes doigts ! Mais qu’est-ce qu’ils font, là ?

– Ben, ils explorent ! Oh regarde, ils échangent leur rôle, maintenant c’est Martinov qui suce ! Regarde-moi ce vieux cochon comme il se régale.

– Oh ! Ne retire pas tes doigts, continue ! Tu crois qu’ils vont s’enculer ?

– S’ils ne le font pas, on va leur demander !

 

Elles n’eurent pas besoin. Spontanément le professeur se mit à quatre pattes.

 

– Non, pas comme ça, ce n’est pas confortable ! Lui suggéré Gérard, mets- toi sur le canapé, les genoux dessus, la tête sur l’accoudoir, et moi j’arrive derrière. Poussez-vous un peu les filles qu’on puisse faire ça à l’aise.

 

Martinov fit comme indiqué !

 

– Wha ! Quel cul tu te paies ! Un vrai cul de jeune homme, un bon cul d’enculé. S’extasie Gérard.

– On se calme ! On se calme !

 

Gérard est un méticuleux et avant de faire pénétrer son membre dans le trou du cul professoral, il prend soin de l’humecter de sa langue, puis d’y faire aller un peu les doigts.

 

– Ils vont être H.S après ça, il ne va plus rien rester pour nous ! Se désole Sonia.

– Penses-tu ! Martinov a toujours ses petites pilules miracles sur lui, tu ne savais pas ?

– Ben non !

 

Et ça y est, la bite de Gérard Petit-Couture est dans l’anus du professeur Martinov et va et vient à une cadence infernale, qui lui fait pousser d’étranges petits cris.

 

– Qu’est-ce que c’est beau une bite qui coulisse dans un trou du cul ! S’extasie Sonia.

– T’avais jamais vu ?

– Deux hommes ensembles ? Pas en vrai !

– Remets-toi !

– Si, si, je trouve ça très beau !

– T’as qu’à écrire un poème !

– Pourquoi pas ?

 

Gérard tente de se contrôler, mais l’excitation est trop forte, alors il se laisse aller et finit par éjaculer dans la capote encapuchonnant sa queue.

 

Il souffle comme un bœuf, après avoir échangé un sourire complice avec Martinov, il s’en va s’affaler au bout du canapé, tout près de Béatrice.

 

Le professeur affiche un sourire béat devant ces dames, et alors qu’il ne s’y attendait pas du tout, Sonia se défait de l’étreinte de Florentine et se précipite sur sa bite pour la mettre en bouche.

 

– Mais elle est déchaînée ! Commente le professeur, qui évidemment se laisse faire, d’autant que voici Anne-Lise qui accoure à son tour

 

Ce qui fait que c’est maintenant deux magnifiques jeunes femmes qui s’occupent de sa queue, soit en même temps, soit alternativement.

 

– On se calme, les filles, je en vais pas pouvoir tenir !

 

Mais elles ne l’écoutent pas, et bientôt les deux filoutes se retrouvent avec le sperme du professeur sur le visage. Pas bien grave, elles nettoient tout ça de leurs langues en rigolant comme des bossues.

 

Béatrice s’est levée pour se servir à boire, elle aperçoit sur la table un joli godemichet, elle s’en empare et s’en va narguer Gérard qui se remet à peine de ses émotions.

 

– Regarde ce que j’ai trouvé sur la table !

– Oh, comme c’est curieux !

 

Ayant actionné le vibrateur, elle caresse les boules de l’homme avec l’objet.

 

– M’enfin !

– C’est rigolo, non ?

– Ça change !

– Tu le voudrais dans ton cul !

– Tant qu’à faire, je préfèrerais la bite de Martinov !

– Oui, mais là faut attendre un peu, il est H.S.

– Dommage, je t’aurais bien enculé avec !

– La soirée est à peine commencée, on a le temps, mais dis donc et si c’était moi qui te le foutais dans le cul ?

– On peut faire comme ça aussi !

– Allez, montre-moi tes jolis fesses !

 

Béatrice se retourne, offrant son beau cul à la vue de son partenaire et se cambrant de façon obscène.

 

– Hum, que c’est attendrissant tout ça, il faut que je lèche !

– Vas-y, je me laisse faire !

 

Gérard fit travailler sa langue tant et si bien sur le trou du cul de la belle que l’anus finit par bailler.

 

– Ton trou du cul a un goût divin ! Commente-t-il

– Me serais-je mal essuyé le derrière ! Répond-elle sur le ton de la plaisanterie.

– Je ne veux pas le savoir, mais c’est délicieux !

– Alors régale-toi, mon grand !

– Je vais mettre un doigt, s’il ne ressort pas net, tu auras un gage, d’accord ?

 

Evidemment, Gérard affirma que le doigt n’était pas propre, et Béatrice, très joueuse ne démentit pas. Gérard se leva et alla chercher le martinet.

 

– Mets-toi en position, je vais te faire rougir le cul !

– Qu’est-ce qu’elle a fait ? Demanda Florentine.

– Elle m’a cochonné mon doigt quand je lui ai foutu dans le cul !

– Oh, la vilaine fille !

– Ça mérite bien dix coups ! Reprit Gérard.

– Seulement dix ? Le nargua Béatrice.

– Alors quinze !

 

Gérard frappa, ce n’était pas une brute et de plus il n’était pas sadique, mais du martinet, c’est quand même du martinet et les fesses de la pauvre Béatrice ne tardèrent pas à tourner au rose foncé.

 

Ce petit divertissement eut pour effet de faire rebander la bite de Gérard qui envisagea alors d’enculer la belle.

 

Mais Florentine s’interposa voulant à son tour gouter au cul de la jeune chimiste.

 

– Hum, quel parfum subtil, quel fumet ! Commenta-t-elle.

– Je te dis ! J’ai dû oublier de m’essuyer !

– Justement, c’est ce qui fait le charme !

– Florentine, t’es une cochonne !

– Je sais.

 

Pendant ce temps Gérard s’encapote le zizi.

 

– Florentine laisse-moi la place que j’encule cette charmante personne.

– Faudrait peut-être me demander mon avis ! Fais mine de protester l’intéressée.

– Tu as raison, j’attendrais que tu me le demandes !

– Encule-moi, mon Gérard, fous-moi ta bonne bite dans le cul !

 

C’est donc ce qu’il fit tandis que Florentine passée devant-elle offrait son trou du cul à lécher.

 

– Il a quel goût mon trou du cul ? Demanda Florentine se faisant provocatrice.

– Un goût d’andouille de Guéméné !

– N’importe quoi !

– Si, si je t’assure !

 

Et Béatrice toujours secouée par les coups de butoir de son enculeur, attrapa le gode qui trainait à côté et sans crier gare, l’introduisit dans l’anus de la belle mature !

 

– Mais c’est quoi cette chose qui me rentre dans le trou du cul ?

– Tais toi ! Chienne lubrique !

– Oh, oui, je suis une chienne lubrique, une morue, une dépravée, une salope….

 

Et la suite fut inaudible, les trois membres du trio se mettant à crier leur jouissance dans le désordre.

 

Spontanément Florentine et Béatrice s’embrassèrent goulument, un peu plus loin Anne-Lise et Sonia finissaient de se gamahucher en soixante-neuf avec une fougue qui faisait plaisir à voir.

 

Quant à notre bon professeur, il s’était endormi, la main sur la bite.

 

Anne-Lise qui venait de jouir sons la langue de Sonia passa devant Martinov et saisi d’une idée salace, lui déplaça la main, puis se mit à uriner sur sa bite. Du coup l’homme ouvrit un œil et se mit à rebander timidement. Sonia arriva à son tour et ne put résister à l’envie de prendre en bouche cette bite trempée de pisse !

 

Et la soirée ne faisait que commencer, nous allons quant à nous les laisser continuer à prendre du plaisir et mettre un terme à cet épisode qui je l’espère vous aura amusé.

 

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 18:19

Martinov 21 – Sex-machines – 9 – Réglages mécaniques par Maud-Anne Amaro

 

Ninotchka

Revenons un peu vers Duplessis, qui se retrouve avec un tas de problèmes à gérer : faire ouvrir sa voiture, soigner son nez, mais aussi se racheter un téléphone, signaler la perte du précèdent, se faire refaire ses clés de voiture, quant à essayer de comprendre ce que lui veut cet agent secret à la manque, il renonce à saisir, mais se dit qu’il n’a vraiment pas eu de bol d’avoir booké une fille qui fricote avec la « sécurité du territoire ».

 

Mardi 19 février

 

Le nez de Duplessis ne sera plus jamais le même ! Gérard Petit-Couture l’ayant définitivement écrabouillé.

 

Il s’est racheté un téléphone mais comme il n’a procédé à aucune précaution particulière afin de sauvegarder son carnet d’adresse et qu’il n’y connait pas grand-chose, il se retrouve gros jean comme devant. Il ne peut donc téléphoner à Sonia pour lui demander comment s’est déroulée sa mission auprès de Rondeval.

 

Se refusant à aller chez ce dernier sans savoir, il se résigne à se déplacer jusqu’à l’atelier de Laviron en espérant qu’elle y soit…

 

Ce jour-là le professeur Martinov avait convenu de se rendre au hangar de Laviron afin de remplacer les moteurs et de procéder aux réglages de ses machines.

 

Il récupère Béatrice au passage laquelle a insisté pour être présente :

 

– Je ne le sens pas ce mec, on ne sait jamais autant, qu’on soit deux ! Lui répéta-t-elle.

– T’as l’air fatiguée !

– J’ai eu une soirée un peu compliquée hier soir avec Gérard, mais on a bien rigolé et ça s’est terminé en partouze.

– Tu me racontes !

– Bien sûr !

 

Ce qu’elle fit et avec force détails !

 

– C’est malin de me raconter ça, maintenant je bande comme un âne !

– Mon pauvre petit professeur !

 

Sur place, ils saluèrent chastement Sonia, Laviron n’ayant nul besoin de savoir qu’ils la connaissaient désormais très intimement.

 

– Ça va être long ? s’enquit Laviron.

– Non, on a prévu la matinée, ça devrait le faire, mais on ne sait jamais.

– Bon, eh bien, allez-y, je vous laisse opérer !

– On va commencer par la machine à piston, ce sera la plus facile.

 

Le professeur Martinov se mit donc à bricoler la « fuck-machine » sous les yeux attentifs de Béatrice qui n’y connaissait pas grand-chose en mécanique. Laviron observait d’un œil, plus loin tandis que Sonia assise sur une chaise tripotait son téléphone portable en attendant qu’on ait besoin d’elle.

 

Un quart d’heure plus tard on sonnait à la porte du hangar. Agacé, Laviron s’en alla ouvrir.

 

– Bonjour, est-ce que je pourrais parler à Sonia ?

– Elle travaille !

– J’en aurais pour trois minutes chrono, j’aurais dû l’appeler mais j’ai un petit problème de téléphone.

– Entrez, je vais l’appeler !

 

– Sonia, il y a un type qui veut vous causer, restez dans l’entrée, je ne veux pas qu’on voit les machines, et ne vous éternisez pas.

 

Sonia réfléchit rapidement, personne ne savait qu’elle travaillait ici à part Rondeval-Blanquart, mais puisque ce dernier était censé être neutralisé…

 

– Dites que je suis pas là et demandez qui c’est ?

– Je ne suis pas là pour faire vos commissions.

– Toujours aussi charmant, Monsieur Laviron !

 

Un raclement de gorge, Duplessis vient de pénétrer dans l’atelier !

 

– Je ne vous ai pas autorisé à entrer ici ! Vocifère Laviron.

– Trois minutes j’en ai pour trois minutes !

– Allez discuter dans l’entrée, vous n’avez rien à faire ici !

 

Sonia un peu déboussolée se sent obligé d’y aller !

 

– Bonjour, mon téléphone est cassé je voulais juste savoir comment ça c’était passé ?

– Ça s’est passé sans problème !

– Vous pouvez me donner un détail de sa déco ?

– Une tête de cerf au-dessus d’un miroir en losange, pas un vrai losange mais je ne sais pas comment…

– C’est parfait ! Bonne journée mademoiselle, et merci pour le service !

 

Il disparaît laissant Sonia perplexe et en sueur.

 

– C’est qui cet emmerdeur ? Demande Laviron.

– Peu importe, le problème est réglé !

– Vous ne voulez pas me dire ?

– Ça ne vous regarde pas !

 

Béatrice est inquiète, elle a aperçu Duplessis et sa visite ne lui dit rien que vaille, de plus Sonia semble anxieuse.

 

Il faut qu’elle sache ! Mais comment faire dans ce hangar sans dévoiler leur complicité ?

 

Heureusement il y a le téléphone, elle envoie discrètement un message à Sonia.

 

– Il te voulait quoi ?

– Vérifier qu’on était bien allé chez son jules !

– C’est tout ?

– Oui, mais Gérard nous avait dit, qu’il n’y aurait pas de suite…

– Je l’appelle !

 

Béatrice prétexte une envie de pisser afin de s’isoler et rend compte à Gérard.

 

– Tout va bien ! Répond-il

– Comment ça « Tout va bien » ?

– Qu’est-ce qui va se passer ? Duplessis va se pointer chez Rondeval comme une fleur et il va se faire jeter. Comment veux-tu qu’en l’état actuel des choses il puisse deviner que vous lui avez raconté autre chose que ce qu’il avait prévu ?

– Certes, mais…

– Donc il va mettre la réaction de Rondeval sur le compte de sa psychorigidité et basta.

– Rondeval ne peut pas se douter qu’il a été manipulé ?

– Non, quatre personnes sont venues le voir en invoquant le lien entre Duplessis et les services secrets, et il a vu ma carte ! Non, on est bordé.

 

« Puisqu’il le dit ! »

 

Effectivement, c’est tout fringuant que Duplessis compose le digicode de l’immeuble de Rondeval et vient sonner à sa porte.

 

Mais Rondeval n’est pas là, il est allé dans une agence de voyage acheter un vol vers la Nouvelle-Calédonie ! C’est extra la Nouvelle-Calédonie, pas besoin de visa puisque c’est la France.

 

Quand il revient, son billet en poche, il aperçoit Duplessis qui fait le pied de grue devant son immeuble.

 

« Qu’est-ce qu’il fout là, ce con ? »

 

Duplessis s’avance vers lui, tout sourire, Rondeval le laisse approcher, puis avant qu’il n’ait pu ouvrit la bouche le gifle deux fois de suite.

 

– Je t’ai dit que je ne voulais plus voir ta sale gueule, vas te faire enculer chez les saoudiens !

– Mais…

 

Le dialogue est impossible, Rondeval a déjà franchi la porte d’entrée.

 

« Si on a été suivi, ces connards vont comprendre qu’on a un gros désaccord, ce qui est en soi plutôt une bonne nouvelle ! »

 

Il monta terminer de remplir ses valises, puis il prit un taxi jusqu’à l’aéroport de Roissy. On ne le suivait pas, mais cela ne le rassurait pas pour autant. Il y avait un vol dans trois heures en direction des Iles Saint Pierre et Miquelon, il se renseigna afin de savoir s’il restait des places, il paya en liquide, fier de son coup, si les barbouzes l’attendaient en Nouvelle Calédonie, ils risquaient de l’attendre longtemps

 

Duplessis marchait le long du canal Saint-Martin en regardant l’eau, il savait qu’il n’aurait pas le courage de s’y jeter. Alors il fit comme les loosers américains déprimés dans les films hollywoodiens, il commanda un whisky, puis un deuxième. Ne tenant pas trop bien l’alcool, il revint chez lui en titubant. Le lendemain il reprendrait sa petite vie de garçon de courses au Crédit Général, la petite vie quoi.

 

– Voilà c’est prêt ! Indiqua Martinov après avoir fait fonctionner à vide la fuck-machine. On peut maintenant procéder aux essais en réels.

– Allez Sonia, en position s’il vous plaît ! Ordonne Laviron, on commence par la fuck machine.

– On y va, on y va ! Vous avez enfilé un préservatif sur le piston ?

– Oui, mais c’est idiot, la machine n’a pas le sida.

– C’est peut-être idiot mais ça glissera mieux !

 

Sonia après avoir enlevé le bas, s’installe dans le fauteuil et relève les jambes.

 

– Quand même avec des étriers, ça aurait été plus confortable.

– Vous me l’avez déjà dit ! Bon Monsieur Martinov, je vous laisse introduire le piston dans l’intimité de mademoiselle.

– Béatrice va le faire, moi je reste près de la machine.

– Comme vous voulez !

 

Béatrice rapproche alors le fauteuil où est installée Sonia afin que l’extrémité du piston puise lui entrer dans la chatte, mais juste au bord.

 

– C’est bon ! Moteur !

 

Le professeur fait démarrer la machine en vitesse minimum, le piston ressort de la chatte de Sonia.

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– Il faut encore rapprocher le fauteuil.

 

On le fait, cette fois, le piston fait correctement son boulot, Martinov augmente progressivement la vitesse.

 

Le piston se met à faire des va-et-vient qui n’ont pas l’air de laisser Sonia indifférente puisqu’elle commence à se mettre à miauler d’aise.

 

– Bon, c’est O.K, on va pouvoir tester la seconde machine.

– Non, non proteste Laviron, la représentation durera dix minutes, donc on fait dix minutes, Et puis il faut qu’on teste l’introduction anale, Sonia, rectifier un peu la position de façon à ce que… à ce que…

– A ce que le machin me rentre dans le trou du cul, ça va j’ai compris.

– Ce n’est pas une raison pour être vulgaire

– Ce n’est pas de la vulgarité c’est de l’anatomie.

– Vous vous mettez en position, oui ou non ?

– On y va, on y va… Mais mettez un peu de gel.

– C’est tout, oui ?

– Ce sera tout, oui !

 

Laviron prend un carré de gel, ouvre l’étui et s’approche des intimités de Sonia.

 

– Non ! Vous ne touchez pas à mon cul ! Le gel c’est sur le piston.

– Chochotte !

 

Laviron fit signe a Martinov de faire redémarrer la machine. Le piston se mit alors à entrer et à sortir lentement de l’anus de la belle.

 

– Faut bien que je justifie mes appointements ! Commenta Sonia en nage.

 

Au bout de dix minutes, Laviron, fait signe au professeur qu’il peut arrêter la machine.

 

– Oh ! Proteste Sonia, on aurait pu continuer cinq minutes, j’ai la chatte et le cul en feu, moi !

– Mademoiselle Sonia, soyez correcte !

– J’ai dit quelque chose d’incorrect ?

– Bon on essaie la machine à fouetter… Hé, Sonia vous allez où comme ça, la machine elle est là sur la gauche !

– Je vais pisser, j’ai le droit, non ?

 

Et tandis que Sonia s’éloigne, Béatrice entreprend Laviron, le but étant de lui faire une proposition qui facilitera le plan que Gérard Petit-Couture à soumis à Sonia.

 

– Monsieur Laviron, il me vient une idée…

– Oui, je sais les étriers, je vais y réfléchir…

– Mais non ce n’est pas ça du tout, vous avez trois machines, la démonstration serait bien plus intéressante si vous aviez trois filles en même temps.

– J’y ai bien pensé, mais je suis pris par le temps, et puis c’est cher tout ça.

– Mais non, vous vous y retrouverez, au lieu de faire trois prestations avec une fille, vous aurez trois prestations avec trois filles.

– Vous croyez que ça se passe comme ça, vous ?

– Et puis c’est une garantie ! Si Sonia vous faisait faux bon, vous auriez ce qu’il faut pour la remplacez.

– C’est vrai que la Sonia, elle est un peu compliquée à gérer. Qu’est-ce qu’elle fout d’abord ? Trois heures pour pisser ! C’est pas possible !

– Alors, vous en pensez quoi de mon idée ?

– Je vais réfléchir, mais je n’aurais pas le temps de trouver des filles et de les briefer.

– Je peux vous en trouver, des filles, moi ! Et rapidement.

– Ah, oui, ou ça ? Quand ça ?

– Moi, je vous conviendrais ?

– Vous mais pourquoi ? Ce n’est pas votre métier !

– J’ai bien le droit d’avoir des fantasmes !

– Ah, pourquoi pas ? Mais vous m’embarrassez, je n’avais pas prévu ça !

– Réfléchissez, Monsieur Laviron ! Et pensez à la sécurité.

– Oui bon, ça marche ! Et la troisième personne.

– Une copine, je reviendrais avec demain pour les essais, si vous voulez ?

– Bon je suis obligé de vous demander de vous déshabiller, ne prenez pas ça pour du harcèlement, mais pour ce genre de spectacle, je suis obligé…

– Oui, bon ce n’est pas un problème, mais il faut qu’on discute du prix.

– 200 balles par soirée, 200 balles chacune

– Un peu plus quand même !

– 250 ?

 

Et quand Sonia réapparût elle feint la surprise en voyant Béatrice à poil à côté de la machine à fouetter.

 

– Qu’est ce qui se passe ?

– On ne sait jamais, tu peux avoir un empêchement, alors Mademoiselle Clerc-Fontaine s’est proposé comme back-up !

– Ah, bon !

– Bon, mademoiselle si vous voulez bien prendre place sur ce socle, non, pas comme ça, il faut présenter votre postérieur à la machine, voilà, cambrez-vous bien, ça risque de fouetter un tout petit peu, ça ne vous pose pas de problèmes, j’espère ?

– Je ne suis pas en sucre !

 

On déplace le socle de façon à ce que les lanières de la machine soient bien en contact avec les fesses de Béatrice, et le professeur règle la vitesse. Pas évident, il faut que la lanière claque, mais sans blesser, mais quelques traces seront néanmoins inévitables.

 

– Voilà on a trouvé la bonne vitesse, il faudra mettre le bouton sur 15, je vais faire un repère.

– Pas la peine je m’en souviendrais ! Répond Laviron.

– On est jamais trop prudent.

 

L’air de rien les fesses de Béatrice commencent à chauffer.

 

– Euh, ce machin-là, ça ne va pas durer dix minutes, tout de même ? Proteste Béatrice.

– Non, on va faire fonctionner la machine trois minutes, on l’arrête quatre minutes et on reprend trois minutes.

– Génial.

 

Il restait une machine à tester, le lèche-cul rotatif.

 

Sonia se met en place et offre son cul aux langues de latex. En fait la machine est nulle et ne provoque aucune sensation sinon un spectacle visuel… mais un joli spectacle.

 

Il ne restait plus qu’à demander à Anne-Lise de passer le lendemain pour postuler comme troisième figurante.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 18:15

Martinov 21 – Sex-machines – 8 – Quatre femmes pour Gérard par Maud-Anne Amaro

 

Gode stamp

Tout le monde se présente et Gérard en joyeux obsédé qu’il est ne manque pas de flasher sur la jolie Sonia !

– Nous ferons les présentations complètes plus tard, je suis Gérard et voici Florentine, nous sommes de vieux amis du professeur Martinov et de Béatrice, j’ai été agent secret puis ministre, maintenant je peins des conneries qui ne se vendent pas trop mal, j’ai conservé quelques rares contacts par ci, par-là, bref je pense que vous pouvez avoir confiance en moi.

– Sonia, modèle pour peintres, sculpteurs et photographes et activités collatérales.

– Joliment dit ! Mais nous parlerons éventuellement de nous un peu plus tard,

– Du coup, est-ce bien nécessaire qu’on aille chez ce Rondeval ? Demanda Béatrice.

– Ben oui, on va enfoncer le clou, mais avec une petite variante, je vais vous expliquer, voici le petit scénario que je vous propose…

– Donc le but de l’opération c’est d’obtenir exactement le contraire de ce qu’espère ce Duplessis.

– Oui !

– Il risque de réagir violemment !

– Non, il va encore s’écraser, une fois la chose faite. Faites-moi confiance !

 

Il est 19 h 30 quand Béatrice et Sonia sonnent chez Rondeval-Blanquart.

 

Celui-ci est interloqué, il reconnaît les deux femmes qu’il a rencontré furtivement et séparément et se demande bien ce qu’elles font ensemble sur le pas de sa porte.

 

– Nous sommes est porteuse d’un message de la part de monsieur Amaury Duplessis.

– Dans ce cas, je suis désolé, mais je ne veux plus rien savoir au sujet de cette personne…

– Même si vous êtes directement concerné ? Insiste Béatrice

– Concerné en quoi ?

– On va vous expliquer, ce ne sera pas long, on peut entrer cinq minutes ?

– Alors vite fait, j’attends quelqu’un ! Mentit Rondeval

 

Ce dernier les fit entrer et les invita à s’asseoir sur un joli canapé en cuir qui avait dû coûter bonbon !

 

– Alors voilà, commence Sonia, vendredi matin Duplessis m’a bookée pour la soirée…

– Bookée ?

– Disons qu’il a loué mes services et mes charmes, je joue parfois les call-girls…

– Qu’est-ce que vous me racontez-là ? C’est impossible !

– Attendez, il a été très correct, et m’a indiqué qu’on ne ferait rien et que je lui servirais uniquement d’alibi. Il m’avait donné rendez-vous dans un hôtel près de la Gare de Lyon !

 

La tête de Rondeval !

 

– J’ai trouvé ça un peu bizarre et j’ai demandé à Béatrice ici présente de le suivre quand il sortirait de l’hôtel ! Vas-y Béa raconte la suite !

– Il a quitté l’hôtel avec une mallette et il s’est dirigé vers le hall de la Gare de Lyon, il a retrouvé un mec et ils ont échangé leurs mallettes, il a ensuite pris le métro jusqu’à Courcelles et s’est pointé devant l’ambassade d’Arabie Saoudite, le planton a appelé un bonhomme qui est sorti, le type avait l’air furieux et un moment il a secoué assez durement Duplessis, ils ont été à deux doigts de se battre, puis le type a pris la mallette et est rentré dans l’ambassade. Duplessis a appelé un taxi et je l’ai perdu de vue ! A toi Sonia !

– Quand il est revenu à l’hôtel, il était très énervé, il s’est envoyé plusieurs whiskies, moi je n’ai pas voulu boire, je ne bois jamais pendant le boulot, il m’a demandé d’attendre une heure avant de partir, c’est ce que j’ai fait.

– Et pourquoi venez-vous me raconter ça ? Demande Rondeval.

– C’est Duplessis qui m’a demandé de vous le raconter !

– Hein ?

– Oui, on s’est engueulé tout à l’heure au téléphone, je me demandais pourquoi il me rappelait, il m’a dit qu’il s’était disputé avec vous et que c’était un malentendu ! Il m’a alors proposé de témoigner en votre faveur contre un peu d’argent. Je lui ai répondu qu’il aille se faire foutre, que je n’avais aucune confiance en lui et que je savais pertinemment que quand il avait quitté l’hôtel, c’est pour se livrer à des activités louches et dangereuses, je lui ai expliqué comment je savais ça. Bizarrement, ça a eu l’air de l’arranger et du coup il m’a demandé de convaincre Béatrice de venir témoigner avec moi.

– Et c’est tout ? Parce que la coupe est pleine, là !

– Non, il nous a dit de vous dire qu’il se savait repéré par la Sécurité du Territoire et qu’il avait la trouille de se prendre une balle, ce sont ses propres termes ! Il s’inquiétait aussi pour ses proches !

– Ses proches ? Quels proches ?

– Je l’ignore.

– Et cette fois c’est tout ?

– Oui !

 

Rondeval, blanc comme un linge se leva de son siège, signifiant par-là que l’entretien étant terminé, il ne retenait pas ses visiteuses. Voilà qui tombait bien ces demoiselles n’ayant aucunement l’intention de s’éterniser.

 

Rondeval-Blanquart se servit un Porto et tenta de mettre de l’ordre dans ses pensées.

 

Ainsi, se dit-il, ce con de Duplessis avait accepté, dieu sait à la suite de quelles circonstances, de jouer au porteur de valises au profit de gens surveillés par les services du contre-espionnage ! Sans doute des dangereux terroristes. Il s’était évidemment fait repérer, et par réaction en chaine, ses proches devenaient suspects, ce qui expliquait la visite de ce couple de flicaillons chez lui ! Il aurait aimé savoir ce que Duplessis fabriquait réellement, qui était ses contacts ? Pourquoi avoir besoin d’un alibi ? Pourquoi cette engueulade avec un type de l’ambassade ? Qui était cette Anne-Lise que les filles n’avaient pas évoquées ? Que de questions dont certaines réponses pouvaient être des bombes à retardement. Dans certaines circonstances il faut mieux ne pas trop chercher à savoir !

 

Rétrospectivement, les silences téléphoniques d’Amaury pendant cette soirée trouvaient leur explication toute simple : il voulait éviter qu’on le trace. Il ne l’avait donc pas trompé, du moins sexuellement parlant, il avait fait pire, il avait trahi sa confiance et l’avait mis en danger de par ses actes dénués de tout sens des responsabilités l

 

« Et il voudrait que je passe l’éponge ? Qu’il aille se faire foutre ! »

 

Il se dit qu’il a peut-être intérêt à disparaître de la circulation. Demain il descendra dans une agence de voyage et se prendra un vol pour il ne sait pas encore où !

 

Puis en ayant assez de ruminer et de tourner en rond dans son appartement il s’en va faire un tour dans les rues de Paris mais toujours en ruminant.

 

Sonia et Béatrice ont attendu d’être hors de portée des fenêtres de Rondeval pour se laisser aller à un fou rire nerveux

 

– Oh, la tronche qu’il nous a fait !

– Il a tout gobé ce con, même pas posé une question !

 

Elles rejoignent ensuite Gérard et Florentine qui d’emblée les invitent au restaurant. Et après avoir bien rigolé du récit des deux filles, Gérard change de sujet :

 

– Ainsi, m’avez-vous dit, vous posez !

– Je pose ! Répond Sonia.

– Poseriez-vous pour moi ?

– Oui !

– Vous dites oui, comme ça, sans demander de précision !

– J’ai confiance !

– Et si je vous propose une activité collatérale pour reprendre vos propos ?

– Vous pouvez toujours, mais cela me surprendrait que Madame soit d’accord ! Répond Sonia

– Madame a les idées larges ! Répond Florentine avec un grand sourire

– Ah ? Alors d’accord ! Rapports protégés, je n’ai pas de tabous, je refuse uniquement d’être attachée.

– Et en plus, ajoute Florentine, sachez que je suis un peu bisexuelle sur les bords.

– Autrement dit : vous me proposez une partouze !

– Si vous y consentez !

– J’y consens ! On sera trois, alors ! répond Sonia en jetant un regard complice sur Béatrice.

– Béatrice est la bienvenue, si elle le désire !

– Ben voyons, répond l’intéressée, mais c’est vrai que je me lasse pas de te lécher la moule, Florentine.

– Ce sera un plaisir, j’en mouille déjà d’avance !

– Ah, il y aura peut-être aussi Anne-Lise à moins qu’elle soit partie faire un tour ! Tient à préciser Gérard.

– Vous êtes sûr de n’avoir oublié personnes ? Il n’y a pas d’autres invités-surprise ? Je ne sais pas moi : les trois petits cochons ou alors Blanche Neige et les sept nains ?

– Non, on ne sera que quatre ou cinq, quelque chose d’intime, quoi !

– Vous ne me demandez pas mes tarifs ? Intervient Sonia

– Votre prix sera le mien !

– Sauf que je ne veux pas d’argent !

– Alors ?

– J’aimerais que vous me rendiez un petit service…

 

Et là Sonia explique ses relations difficiles et conflictuelles avec Laviron, son désir de lui faire une vacherie, son intervention avortée auprès de Martinov… Tout ça !

 

– C’est délicat, j’ai cassé bien comme il faut Duplessis parce qu’il avait chié dans mes bottes, mais Laviron ne m’a rien fait, il est con, c’est un fait, mais s’il fallait s’en prendre à tous les cons on ne serait jamais couché !

– Je ne vous demande pas de le casser, j’aimeras juste qu’on lui fasse une vacherie, le ridiculiser par exemple !

– Sonia serait si contente ! Renchérit Béatrice.

– Oui, mais là j’ai pas d’idée !

– Ça va venir, tu es un homme imaginatif, au besoin on se mettra à plusieurs pour trouver ! Intervient Florentine.

– Je suis au pied du mur alors ! Bon on ne prend pas de café ici, on file à la maison et on va s’amuser un peu.

 

Anne-Lise était là et regardait la télévision en baillant, elle ne connaissait pas Sonia, elles se présentent

 

– Anne-Lise, escort girl ! Mais ce soir je ne suis pas en mode business.

– Sonia ! A peu près la même activité et mêmes dispositions

 

Le courant passe bien, bisous, bisous entre la brune et la blonde.

 

– Quatre femmes pour un seul homme ! Je crois que je n’ai jamais connu une telle situation ! Remarque Gérard.

– T’as peur qu’on te viole ? Lui demande Florentine

– Si c’est son fantasme on peut éventuellement s’arranger ! Propose Anne-Lise.

– Je suis à votre disposition, les filles, je me laisse faire ! Répondit l’homme.

– Hum, et si on lui faisait une petite domination. J’aime bien les petits esclaves, bien soumis ! D’accord Gérard ?

– Dominé par quatre femmes ! Je veux bien, mais ne me brutalisez pas, j’ai des tendances masos, mais juste des petites tendances.

– Non, non pas quatre femmes, ça risque c’être un peu compliqué, seulement trois !

 

Tout le monde s’interroge sur ce qu’Anne-Lise entend par là.

 

– Il y en a une qui va faire banquette ? Demande Florentine.

– Non, pas banquette, tu vas faire l’esclave toi aussi ! Répond Anne-Lise. Tu veux bien ?

– Ah, oui ? Pourquoi pas ?

– Bon, vous-voulez bien que ce soit moi qui dirige un peu les opérations ? Reprend l’escort-girl.

 

Pas d’objection et elle demande donc au couple de se déshabiller.

 

– On se met tous à poil alors ? Intervient Gérard

– Non vous d’abord, nous ce sera quand on voudra !

 

C’est que Gérard piaffe d’impatience de voir Sonia dans le plus simple appareil. Mais bon puisque c’est le jeu, il patientera. Le sage n’a-t-il pas dit qu’il n’est pas de meilleur plaisir qu’un plaisir retardé !

 

– On aura peut-être besoin de quelques accessoires ! Suggère Béatrice.

– T’as raison, je vais chercher ma boite à malices.

 

La boite en question est un grand carton que Florentine s’empresse d’ouvrir. Curieuses comme des chattes, Béatrice, Anne-Lise et Sonia l’inventorise : un martinet, des pinces à seins, des poids pour accrocher aux pinces, des menottes, trois godes de différentes dimensions, un anus-picket, des boules de geisha… et bien évidemment les capotes et le gel lubrifiant. On ne s’embête pas chez les Petit-Couture !

 

– Vous êtes vraiment un couple de gros pervers ! Se moque Anne-Lise

– Oui, mais on assume ! Répond crânement Florentine.

– Impertinente avec ça ! Mettez-vous en levrette tous les deux que je vous fasse rougir les fesses.

 

Anne Lise distribue au couple quelques coups de martinets bien ajustés, puis les fait remettre debout et accroche des pinces à leurs tétons. Ces messieurs dames font la grimace, mais ils grimacent encore davantage quand elle leur accroche des poids.

 

– Et maintenant à quatre pattes et vous allez nous faire une petite balade.

 

– Attends, j’ai une idée ! dit Béatrice qui se débarrasse prestement de ses vêtements et monte à cheval sur le dos de Florentine.

 

Du coup Sonia qu’on n’avait pas trop entendu jusqu’ici se déshabille, à son tour et grimpe sur le dos de Gérard.

 

Et c’est parti pour un quart d’heure de folie, les filles font avancer leur monture, des montures peu rapides d’autant que chacun de leurs mouvements fait douloureusement bouger les poids accrochés aux tétons.

 

Anne-Lise a beau flageller tout ce petit monde, ça n’avance pas assez vite.

 

Le jeu trouve vite ses limites, Anna leur retire les pinces et en récompense, se déshabille et leur offre ses jolis seins à sucer.

 

– Ma chatte ! Ma chatte ! Léchez-moi la chatte !

 

On ne sait si cette invective s’adresse à Gérard ou à Florentine, mais c’est cette dernière qui s’en acquitte et qui lui procure un orgasme aussi rapide que fulgurant !

 

On fait une petite pause, boissons fraiches et cigarettes.

 

Gérard s’est approché de Sonia.

 

– Aurais-je le plaisir de te baiser ?

– Au moins, voilà une demande qui ne s’embarrasse pas de protocole !

– N’est-ce pas ! Mais je n’ai pas entendu la réponse ?

– Ça a l’air de vous faire tellement envie, et pour moi ce ne sera pas une corvée.

– Maintenant ?

– Le canapé est occupé !

– Il y a une chambre à côté !

– Alors allons-y

 

Et les voilà qui sortent de la pièce !

 

– Ben, on fait bande à part ! S’étonne Florentine.

– Ben quoi, on ne va tout de même pas baiser par terre ! Répond Sonia.

 

Anne-Lise à l’air épuisée et somnole à moitié, tandis que Florentine vient aux renseignements auprès de Béatrice :

 

– Elle est bien jolie cette Sonia, tu sais si elle est bi ?

– Oui, elle est bi, douce et coquine !

– Alors je vais patienter, en attendant ma chatte est à toi ! Reprend Florentine en écartant les cuisses.

– Je vais te la bouffer ! Répond Béa en y plongeant son visage.

 

Sa langue vint aussitôt butiner la chatte trempée de la belle mature, tandis que ses doigts titillaient ses gros tétons érigés.

 

– Oh, là ! Mais qu’est-ce que tu me fais !

 

Béatrice qui avait la bouche occupée ne répondit que par un borborygme inaudible, mais les miaulements que Florentine commençait à emmètre sortirent Anne-Lise de sa torpeur.

 

Celle-ci se lève, se dirige vers la mallette de sex-toys et s’empare un joli gode tout rose qu’elle amène sous le nez de la mature !

 

– Tiens suce, ma salope, suce la bonne bite !

 

Florentine se prend au jeu et se met à lécher l’olisbos tout en continuant de gémir.

 

Béatrice lui porte l’estocade en suçotant le clitoris qui ne demandait que ça. La mature explose en criant et en déchargeant une quantité impressionnante de mouille.

 

– Ben, dis donc, quand tu jouis, toi… Commente Anne-Lise.

– Le gode, le gode !

– Quoi, « le gode »

– Fous le moi dans le cul !

 

Puisque c’est demandé si gentiment, Anne-Lise s’exécute et lui introduit la bite en latex dans le trou du cul non sans avoir activé le vibreur, puis le fait aller et venir en cadence. Et pendant qu’on lui pilonne l’anus, Florentine s’est emparé de la bouche de Béatrice afin d’échanger un baiser aussi profond que baveux, tandis que quelques doigts coquins lui pénètrent la chatte.

 

Que voilà donc un joli trio ! Florentine ne tarde pas à jouir pour la seconde fois, tandis que Béatrice n’en pouvant plus de se faire doigter, part à son tour.

 

Les deux femmes sont épuisées, mais Anne-Lise qui a donc bien retrouvée la forme ne peux s’empêcher d’aller gouter ce qui a coulé sur les cuisses des deux coquines et leur chatte trempée, ceci tout en se paluchant allégrement.

 

Et sur ces entrefaites, Gérard réapparaît dans la pièce, suivi de Sonia complétement hilare qui apostrophe Florentine.

 

– Dis donc ! Il est terrible ton mec, il m’a superbement enculé, c’était géant !.

– T’as pas honte ? Vieux cochon ! Rétorque Florentine à l’intéressé.

– Pas du tout !

– Tu sais Sonia, que Gérard est à moitié pédé, il aime bien sucer des bites !

– Oh ! J’aimerais bien voir ça ! Répond la belle. Ça doit être génial !

– Il se fait même enculer !

– W?h !

 

Si Florentine essayait de choquer Sonia, c’était raté ! Et celle-ci se saisissant d’un gode très réaliste le met sous le nez de Gérard.

 

– Montre-nous comment tu suces des bites !

 

Gérard ne se dérobe pas et mime une fellation sur le gode, en le faisant aller et venir dans sa bouche après avoir bien léché le gland.

 

– Hum ! Impressionnant ! Et si je te le mettais dans le cul ?

– Pourquoi pas ?

– Alors tourne-toi ! Oh les jolies fesses ! Tu as vraiment un cul d’enculé !

 

Elle lui écarte les globes.

 

– Je vais te préparer, j’adore préparer un petit cul pour la sodo.

 

La langue de Sonia vient alors titiller l’œillet fripé de Gerard Petit-Couture qui en en gémit de bonheur. Quand l’anus fut convenablement imprégné de salive, elle enfonça deux doigts dans l’accueillant orifice et les fit aller et venir avec frénésie. Quand elle les ressortit, ils étaient très légèrement pollués.

 

– Mais dis donc, gros cochon, tu m’as saligoté mes jolis petits doigts. Je devrais te le faire lécher pour la peine ?

– Pourquoi pas ?

– T’es vraiment un gros cochon !

Martinov21H

Gérard s’acquitta de cette tâche sans réticence, puis Sonia après avoir encapoté le gode et enduit l’extrémité d’une noisette de gel intime, en actionna le vibrateur puis l’introduisit dans le foncement de l’homme, avant de le faire aller et venir en cadence.

 

Pendant ce temps sur le canapé, les trois femmes ne restaient pas inactives : Florentine au centre se faisait tripoter la chatte par Anne-Lise tandis que Béatrice lui suçait les tétons., tout cela en se régalant du spectacle.

 

– C’était bon ? Demanda Sonia en retirant le gode au bout de quelques minutes.

 

Demande de pure politesse car elle savait la réponse !

 

– Si tu es sage, on te donnera l’occasion d’en voir plus ! Tu savais que ce bon professeur Martinov était un peu à voile et à vapeur ? Intervint Florentine

– Il me l’a laisser entendre !

– Au fait tu as un gage ! Déclara Gérard en se relevant.

– Un gage, un gage de quoi ?

– Je ne me souviens plus, mais je sais que tu as droit à un gage.

– Et ce serait quoi le gage ?

– Te faire sauter par ces trois coquines !

– Et toi tu vas mater ? Ta femme a raison, t’es un vieux cochon !

– Bien sûr que je vais mater ! Mesdames, elle est à vous !

– Hé ! J’ai pas dit oui !

– Tu ne veux pas ?

– Mais si, je veux bien ! Venez les filles, ce sera la première fois que je fais des trucs avec trois filles !

 

Béatrice et Anne-Lise se précipitent, la première vient l’embrasser et lui tripoter les nichons, la seconde s’intéresse à ses fesses.

 

Florentine se pointe à son tour, un peu déçue qu’elle ne puisse pas profiter seule de Sonia comme elle l’avait projeté.

 

Sonia est caressée, pelotée, doigtée, godée et léchée de partout et commence à vibrer d’aise.

 

Spontanément ces dames ont pensé qu’elles seraient plus à l’aise sur le canapé, elles en dégagèrent donc Gérard qui venait de s’y assoir en se branlant la bite, et s’y installent un peu n’importe comment.

 

Mais très vite chacune trouve sa place, Béatrice lui lèche la chatte avec énergie, tandis que Florentine lui titille le trou du cul de sa langue, Anne-Lise s’occupe de sa bouche qu’elle embrasse goulument et de ses nichons dont elle agace les pointes.

 

A ce régime, Sonia ne résiste pas longtemps et se met à crier et à dégouliner son plaisir.

 

On se décolle, on souffle un peu, on boit un peu, les fumeuses allument une clope.

 

Mais revoilà Gérard qui se pointe, égrillard en se tenant sa bite demi molle.

 

– Attention , les filles je vais pisser !

 

Béatrice qui est toujours partante pour ce genre de chose ouvre la bouche en signe d’assentiment, et c’est elle qui reçoit le premier jet et l’avale avec gourmandise. Sonia réclame sa part et l’obtient à son tour. Quant à Anne-Lise elle est en la matière plus donneuse que receveuse, mais étant donné l’ambiance, elle ne refuse pas de gouter au bon pipi de Gérard.

 

– Humm, ce n’est pas mauvais, j’en reprendrais bien une goutte ! Commente-t-elle

– C’est que j’ai fini ! Déplora Gérard.

– Tu veux gouter au mien ? Proposa alors Florentine.

 

Elle accepta et apprécia, mais ce fut comme un signal, la chose devait être contagieuse, Sonia et Béatrice eurent à leur tour envie de pipi, et on se pissa allégrement dessus, on s’aspergea et on s’en donna à boire, tout cela dans une ambiance de franche rigolade.

 

– Putain le carrelage, il va falloir éponger tout ça ! Déplora Gérard.

– T’énerve pas je vais le faire ! Proposa Florentine.

– J’ai une idée, intervint Anne-Lise, on tire à la courte-paille pour savoir qui c’est qui s’en charge, et si elle ne fait pas ça comme il faut, on la fouette !

 

L’idée est acceptée avec enthousiasme par le petit groupe… mais Anne-Lise n’aurait pas dû faire cette proposition, c’est elle qui tira la mauvaise paille !

 

Pas bien grave, elle est très joueuse !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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