Lundi 2 août 2021 1 02 /08 /Août /2021 08:43

Mais… quel était donc le titre de ce film ? par Irénée Vardin

bi stamp

Mais… quel était donc le titre de ce film ?

 

C’était il y a quinze ans.

 

Ce soir-là, le temps était tellement maussade que nous n’avions absolument pas envie de faire quoique ce soit lorsque le téléphone résonna dans le salon. Nicole répondit d’une voix morne se demandant probablement qui pouvait bien appeler par une soirée semblable. La pluie tambourinait sur les vitres du salon tandis que le vent sifflait dans les arbres devant la maison.

 

C’était François, un de mes collègues de travail avec qui je m’entends bien. Nicole le trouve très séduisant, comme à peu près toutes les femmes, et j’en suis entièrement conscient. Je sais très bien que les deux se sentent sexuellement attirés l’un vers l’autre. Il s’était récemment séparé de son épouse et il trouvait les soirées longues à l’occasion. François, tout comme Nicole d’ailleurs, est un amateur de cinéma et la raison de son appel était de nous inviter à voir un nouveau film présenté au centre-ville.

 

Nous avons alors accepté son invitation. Je décidai alors de prendre une douche avant de partir et Nicole vint bientôt me rejoindre. Je ne me lasse jamais d’admirer son corps superbe. Ses seins, quoique modestes sont fermes et auréolés de mamelons roses très pâles. Ses jambes sont longues et effilées et ses fesses sont probablement les plus belles qu’il m’a été donné de caresser dans ma vie. Lorsque je tentais de la caresser sous la douche, c’est avec un sourire en coin et un petit éclair dans les yeux qu’elle me pria de garder mes énergies.

 

Dans la chambre à coucher, alors que je me préparais à m’habiller, je tentais encore une fois de la toucher mais c’est avec un baiser rapide qu’elle me congédia sous prétexte que nous serions en retard à la représentation. Elle ferma même la porte de la chambre afin de s’habiller en toute quiétude.

 

Lorsqu’elle sortit enfin de la chambre, c’est avec émerveillement que je constatais à quelle vitesse elle était capable de changer complètement d’apparence. En effet, une demi-heure auparavant, je n’aurais jamais pensé la voir aussi ravissante.

 

Elle avait revêtu une jupe portefeuille verte ainsi qu’un haut un peu transparent que j’appréciais particulièrement. Nicole ne porte pratiquement jamais de soutien-gorge et il était possible de déceler les mamelons en érection caressés par le tissu soyeux. Elle partait les cheveux sur les épaules et ceux-ci, d’un blond foncé, reflétaient la lumière. Son maquillage discret ne faisait que souligner ses traits. Ses yeux brillaient d’une façon un peu spéciale mais je ne pouvais expliquer pourquoi. Sa beauté classique ne cessait de me séduire.

 

En route pour le cinéma, alors que je conduisais, elle me dit qu’elle me réservait une petite surprise pour la soirée et qu’elle espérait ne pas me décevoir. C’est un peu intrigué que je rejoignis donc François qui nous attendait dans le hall. Il embrassa Nicole sur les joues et nous échangeâmes une franche poignée de main. Il nous dit que le film était un peu érotique et qu’il espérait que cela nous plairait. La salle était presque vide et nous nous sommes dirigés vers l’allée de droite. Nous prenons place vers le centre de la salle et Nicole est assise entre François et moi. Peu après, les lumières s’éteignent et l’écran prend vie. Après les bandes annonces traditionnelles et souvent agaçantes, le film débuta.

 

Très rapidement, les scènes érotiques commencèrent à se répéter et je me sentais un peu excité.

 

Tout à coup, Nicole me souffla à l’oreille qu’elle se sentait bien entre deux hommes qu’elle trouvait à son goût et elle me prit la main ainsi que celle de François. Celui-ci nous regarda avec un certain étonnement qui se changea rapidement en sourire. Il approcha la main de Nicole de ses lèvres et y déposa un baiser à la fois chaste et sensuel. Nous échangeâmes alors tous les deux, un sourire complice.

 

Il y a longtemps que je savais que François excitait Nicole et je trouvais que le temps était peut-être venu de permettre à la femme que j’aime plus que tout au monde de vivre un certain fantasme. En croisant les jambes, Nicole permit alors à sa jupe de s’ouvrir et c’est alors que je constatais, en raison de la lumière dansante de l’écran, qu’elle portait des bas avec des jarretelles. Celle-ci sait combien je trouve ça excitant et je pus constater que François aussi appréciait. Nous pouvions en effet voir les cuisses gainées de noir et le début de cette chair au-dessus du bas. Nicole se tourna vers moi et m’embrassa. Je pus constater, à sa respiration légèrement saccadée, qu’elle se sentait excitée. Son baiser était sensuel et sa langue jouait avec la mienne. Sa main serrait la mienne et lorsque nos bouches se séparèrent, elle me souffla qu’elle se sentait très femme. François ne pouvait quitter les cuisses de Nicole des yeux. Cela m’excitait beaucoup de voir mon meilleur copain désirer ainsi ma femme. Je libérais alors ma main et la plaçais derrière Nicole et de ma main gauche, je commençai à lui caresser les cuisses, m’attardant surtout sur cette partie de peau si tendre et si soyeuse de l’intérieur de la cuisse.

 

Elle me regarda et je lui souris. Elle comprit alors que tout était permis.

 

Ma main remonta sur ses cuisses les dénudant jusqu’à la culotte noire de dentelle. Ce genre de culotte ne serre pas à l’aine et permet donc plus de liberté. Pendant que je la caressais ainsi, elle se pencha vers notre ami et l’embrassa farouchement. Celui-ci en profita donc pour approcher sa main de ses seins et, avec une certaine gêne, commença à les caresser. Très rapidement, il les avait dénudés afin de mieux les contempler, Il se pencha ensuite sur la poitrine offerte et embrassa ces seins arrogants tout en mordillant gentiment les mamelons. Nicole se cabra sous la caresse et commença à geindre. J’insérais les doigts dans sa culotte et constatais à quel point elle désirait faire l’amour. Sa chatte était déjà toute humide et je n’eus aucun problème pour trouver son clitoris que je caressais avec délicatesse.

 

Elle se tourna vers moi et murmura qu’elle nous désirait tous les deux. J’étais très excité. Elle put le constater alors qu’elle me prit le pénis à travers mon pantalon. Mon érection était très ferme et je fus encore plus excité lorsque je constatais qu’elle caressait également François de la même façon. Je l’embrassais goulûment et commençai à caresser ses seins. Je dirigeai alors la main de François vers sa chatte et celui-ci ne se fit pas prier. Je sentis Nicole soulever le bassin afin de mieux s’abandonner à la caresse et très rapidement, elle fut prise de soubresauts que je connaissais tellement bien. La jouissance la parcourait par vagues incessantes et elle ne put retenir certains gémissements. Les doigts de François ne cessaient de lui parcourir la chatte et c’est toute pantelante que Nicole le suppliait de ne pas cesser.

 

Avec une certaine dextérité, elle était parvenue à extraire nos pénis respectifs de nos pantalons.

 

Elle n’avait d’yeux que pour la bite de François qui est beaucoup plus grosse que la mienne. Je sentais monter en elle un désir qui m’était jusqu’alors inconnu. Son corps obéissait maintenant à toutes nos caresses et ses gémissements devenaient de plus en plus audibles. Je me rendis compte que la culotte de Nicole avait maintenant disparue et que la main de François et la mienne s’affairaient à tour de rôle sur son sexe offert. Elle tenait les jambes bien écartées afin de nous permettre de bien la caresser.

 

film

Alors que mon copain la caressait en introduisant trois doigts dans sa chatte et que je dégustais ses seins, elle eut un autre orgasme aussi long que le premier tout en continuant, tant bien que mal, à nous masturber, François et moi. Peu de temps après, elle nous supplia de cesser de la caresser pour quelques instants, Elle désirait reprendre ses sens pendant qu’elle continuait à nous caresser tous les deux à la fois.

 

Tout à coup, elle m’embrassa et me dit :

 

« Je suis très heureuse et je t’aime. François est en train d’éjaculer dans ma main et cela est formidable. Retournons à la maison. Je t’en prie. »

 

C’est en essayant de retrouver une certaine contenance que nous quittâmes précipitamment le cinéma. La guichetière nous regarda avec un certain sourire en voyant Nicole nous tenir par le bras tous les deux. Se doutait-elle de quelque chose ? François nous avait rejoint dans notre voiture et il en profitait pour caresser les seins de Nicole et l’embrassant passionnément durant tout le trajet. C’est donc encore tous excités que nous sommes revenus à notre appartement. Dès notre arrivée, par contre, Nicole prit le contrôle de la situation. Alors que nous désirions la déshabiller complètement afin de lui faire l’amour, elle nous repoussa gentiment en disant que c’était son tour de s’amuser un peu.

 

Elle commença par nous faire tenir debout tous les deux et nous enleva nos chemises tout en nous embrassant partout sur la bouche et sur la poitrine. C’était la première fois que je pouvais voir à ce point combien elle était belle lorsqu’elle avait le goût de faire l’amour. J’aimais la voir embrasser mon ami et le provoquer. Bientôt, elle nous enleva nos pantalons et peu après, elle entreprit de nous enlever nos caleçons. François et moi étions en érection depuis longtemps et elle se plaisait à se faire désirer. Lorsqu’elle m’enleva mon caleçon, elle prit ma bite dans sa bouche pendant qu’elle me caressait avec ses mains. La douceur de sa langue ainsi que la chaleur de sa bouche m’amenèrent rapidement à une excitation maximale. Je dû me retenir pour ne pas laisser aller ce jet de sperme immédiatement dans sa gorge et je lui retirais ma pine afin de profiter encore plus longtemps de cette folie érotique.

 

Elle se retourna donc vers mon ami et je pus constater le désir de Nicole lorsque le pénis de François fut enfin libre. Elle commença par le caresser lentement et délicatement avant de le lécher. Elle semblait sucer un bonbon longtemps désiré. Elle mangea ainsi mon copain durant plusieurs minutes. Elle nous fit enfin asseoir sur le divan du salon et commença à nous faire un strip-tease. Jamais je ne l’avais vue aussi sensuelle. Elle caressait ses seins en nous les offrant, mais ne pouvions toujours pas la toucher. Lorsqu’elle se défit enfin de sa jupe, elle ne garda que ses bas ainsi que ses jarretières.

 

Ses yeux pétillaient de désir en regardant nos pénis en érection et nous pouvions voir quelques gouttes de jus perler sur les poils de sa chatte.

 

Elle nous prit alors par la main tous les deux afin de nous conduire dans notre chambre. Nous ne nous sommes pas fait prier et nous voici donc tous les trois dans le lit. Nicole se retrouve rapidement entre nous deux et nous embrassons ses seins pendant que François lui caresse l’entrejambe. Tout à coup, mon copain descend le long du ventre de ma compagne et se retrouve rapidement la figure entre ses cuisses. Nicole se cabre lorsque la langue de François commence à lui lécher les lèvres. Celui-ci est très doux avec elle et je l’apprécie beaucoup. Je regarde le sexe de mon ami avec un certain trouble, à ce point que Nicole finit par s’en apercevoir, alors elle se débrouille pour approcher ce pénis bandé avec fierté de ma propre bouche. Elle demande à François

 

 » Tu veux bien qu’il te suce ? »

 

Il répond par un sourire, Nicole ne m’a rien demandé à moi, sans doute lut-elle dans mon inconscient, et me voici en train de faire une fellation à un homme et d’en ressentir une excitation incroyable. Nicole ne voulant être en reste s’empare alors de mon pénis qu’elle dévore avec appétit. Très rapidement, alors qu’elle me suce avidement, son corps est traversé de soubresauts typiques et je ne peux plus me retenir. Je jouis dans sa bouche en même temps qu’elle. Nous formons alors un curieux triangle, Nicole me suce, je suce François qui n’a pas pour autant cessé de la déguster et lorsque je me retire afin de prendre un certain repos, elle lui demande de venir sur elle et de la pénétrer. Je ne croyais jamais voir autant de plaisir sur son visage et rapidement, elle fut secouée de plusieurs orgasmes. François la pénétrait à la fois avec douceur mais aussi avec toute l’ardeur du mâle.

 

Tous les deux avaient longtemps retenu cette attirance sexuelle qui créait quelques fois une certaine gêne entre nous trois. C’était très beau de les voir et je ne fus aucunement jaloux. Au contraire, j’étais heureux de voir Nicole combler un fantasme et de voir mon meilleur copain être aussi doux avec la femme que j’aime. Et puis j’avais aussi réalisé un de mes propres fantasmes, un fantasme que je croyais enfouis dans mon inconscient mais qui ne demandait qu’à ressurgir à la première occasion

 

Nous avons ainsi fait l’amour toute la nuit sans jamais sentir notre désir s’atténuer et ce n’est qu’au petit matin que nous réussîmes à nous endormir. Le lendemain matin, Nicole vint me rejoindre alors que je prenais ma douche. Elle m’embrassa amoureusement en me remerciant pour la nuit la plus formidable de son existence et me dit :

 

– « C’était formidable de faire l’amour avec François mais tu es l’homme que j’aime ; ne l’oublie jamais. »

 

Peu après, notre ami nous rejoignait dans la douche. Fatalement nos corps se frôlèrent, et François et moi ne tardions pas à bander de nouveau. Irrésistiblement attiré par le sexe de mon ami, je le pris de nouveau en bouche, pendant que Nicole m’introduisait un doigt fureteur dans l’anus.

 

« J’aimerais bien que François t’encule ! »

 

Je ne sais ce qui m’excita le plus, cette proposition inattendue ou la crudité du propos, toujours est-il que je fis à mon ami l’offrande de mes fesses et que celui-ci me pénétra avec tact et douceur, tandis que Nicole les yeux exorbités se régalait du spectacle.

 

Voilà, j’ai voulu coucher sur le papier cette histoire inoubliable, il y en eu d’autres, mais le charme de la première fois a rendu ce souvenir tenace. Mais… quel était donc le titre de ce film ?

 

fin

 

Cette histoire publiée jadis sur le site de sophiexxx a été remaniée pour publication sur le présent site

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Irenée Vardin
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 2 août 2021 1 02 /08 /Août /2021 08:30

Matinée incestueuse imprévue par Irenée Vardin

Mat Stamp

Je suis Tom, étudiant en langues orientales et après avoir passé un an au Japon, je rentrais en France passer quelques jours chez mes parents.

 

Tout commença le lendemain de mon arrivée alors que nous venions de nous lever; ma mère, mon père et moi. Ma mère était vêtue d'une chemise de nuit en coton blanc, mon père et moi étions déjà habillés. Après avoir déjeuné, mon père se leva et alla s'asseoir dans le salon. En se levant, il fit tomber un stylo, mais il ne s'en rendit pas compte. Ma mère, qui avait vu le stylo tomber, se leva et se baissa pour le ramasser. La chemise de nuit lui remonta sur les fesses et je me trouvai nez à nez avec son envoutante chatte, délicieusement et largement entrouverte. J'en restai paralysé, elle se rendit compte de la situation et se releva brusquement et se rassit, en me souriant. 

 

Après avoir terminé mon café, je montai travailler dans le bureau, quelques minutes après, j'entendis ma mère monter, elle allait probablement s'habiller dans sa chambre. En effet, elle y entra et après quelques temps redescendit au rez-de-chaussée, c'est ainsi que la matinée se déroula, moi devant mon ordinateur, mon père derrière son journal et ma mère derrière ses fourneaux. 

 

Au moment où je descendis pour déjeuner, ma mère me demanda d'aller chercher un médicament contre les maux d'estomac dans sa table de nuit. Je m'exécutai, je gravis les escaliers, arrivé dans sa chambre, je m'assis sur le lit et ouvris la table de nuit de ma mère. 

 

Je me trouvai en face d'un joli godemiché encore humide, je ne pus m'empêcher de le humer, et puis de le lécher pour en absorber le jus, ce nectar délicieux me rendait fou. Ensuite je cherchai le médicament mai j'avais beau m'appliquer, je ne le trouvais pas. 

 

J'allai sur le palier et j'appelai ma mère, elle me dit qu'il était peut-être sur une des planches de sa garde-robe, celle du haut, j'enlevai quelques objets, je trifouillais, quand je tombais sur une série de magazines porno. Je m'assis une nouvelle fois sur le lit, pour les feuilleter, ils étaient vraiment hard, il y avait même des revues gays on l'on voyait des jeunes hommes se sucer la bite et s'enculer. Cette vision me fit bander très fort car j'aime bien regarder des belles bites bien raides.

 

A un moment, en tournant une page, une enveloppe tomba d'un des magazine, Je la ramassai, l'ouvris et regardai ce qu'elle contenait : il s'agissait de photos de ma mère, entièrement nue avec ses gros nichons qui, se masturbait avec le godemiché et s'enfonçait un doigt dans l'anus . 

 

Cette découverte me provoqua une érection du tonner de dieu.

 

Ma mère rentra dans la chambre à ce moment- là, surpris, je fis tomber tous les magazines sur le sol, la plupart d'entre eux glissèrent sous le lit à cause du parquet.

 

-  Qu'est-ce que tu faisais ? me demanda-t-elle. 

 

Je la regardai dans les yeux, et lui dit en rougissant :

 

- Je regardais des photos !

 

Elle ramassa la photo tombée à mes pieds et s'assit à côté de moi. Elle me demanda ce que j'en pensais, je lui répondis, un peu gêné, qu'elle était belle. Je me levai et me dirigeai vers la porte. Elle me retint par les bras et me dit : 

 

- Attends, aide-moi à ramasser les magazines sous le lit !

 

Elle s'accroupit, en se frottant à moi. Je bandais encore à cause des magazines, du gode et surtout des photos, elle me fit remarquer que mon entrejambe était tout dur, elle me demanda si c'était à cause des photos, je lui répondis oui. Elle me dit qu'elle avait encore le gode et qu'elle l'utilisait très souvent, elle le sortit de la table de nuit et me le donna, elle me disait qu'il était doux, elle commença à se branler devant mon nez, ensuite elle me dit qu'il avait deux défauts : 

 

- Il est froid et il crache jamais rien, pas comme ça :

 

Elle m'empoigna l'entrejambe, elle s'accroupit par terre, tout en défaisant mes boutons. J'étais assis, jambes écartées au bord du lit, pendant que ma mère me suçait la bite ! Elle me demanda de lui enfoncer le gode dans la chatte, elle me dit qu'il était trop sec et avant qu'elle n'ait pu finir sa phrase je donnais de grands coups de langue sur l'objet. Ma mère me dit alors.

Tom2015

- Tu suces bien le gode, je parie que tu as déjà sucer des bites.

- Ça m'est arrivé deux ou trois fois, balbutias-je

- Tu as raison, c'est si bon la bite !

- Oui, maman !

 

Elle enleva son tee-shirt et dégrafa son soutien-gorge libérant ses gros nichons que je tétais avec bonheur.

 

Puis, j'approchai le gode de son cul pour le lui enfoncer mais elle me dit de le lui mettre dans la chatte, je lui demandai pourquoi, elle me répondit 

 

- Parce que ce trou là; c'est pour toi :

 

Elle se mit à quatre pattes sur le lit, se lécha le doigt et se mouilla l'anus avec. Je ne tenais plus, j'enlevai mon pantalon complètement et je montai sur le lit, j'enfonça mon membre bien profond dans son cul, mes va-et-vient se firent de plus en plus rapides, elle se mit progressivement à hurler ! J'étais en train de faire jouir ma mère ! J'étais submergé par un sentiment de culpabilité et en même temps je ressentais une jouissance extrême.

 

J'enlevai ma bite de son cul qui ressortit avec un peu de merde, je me baissai et commençai à la lécher, l'anus d'abord ou j'enlevais les petites taches de merde, et j'y donnais des petits coups de langue à l'intérieur, ensuite la chatte, j'en mordillais les bords, tout doucement, puis je commençai à aller plus vite, je léchai complètement sa belle petite chatte de haut en bas et bien profond, à un point tel que je devais en sortir pour prendre ma respiration ! 

 

Elle se retourna, se coucha sur le dos et écarta les jambes. Je déposa mes mains sur ses reins et je la pénétrai d'un coup sec, elle mit ses jambes sur mes épaules et c'était parti, je sentais que j'allais jouir, je lui dis et elle vint me sucer la bite malgré la merde qu'il y avait, elle ouvrit bien grand la bouche et je lui envoyai de grandes rasades de sperme au fond de la gorge ? Elle se lécha les lèvres avec gourmandise.

 

C'est à ce moment-là que j'aperçu mon père dans le coin de la porte, il avait tout vu et se branlait la bite. 

 

J'étais subjugué, sa bite était magnifiquement bandée, me narguait…

 

Il me demanda si je voulais le sucer.

 

Je me suis dit qu'au point où j'en étais autant accepter. Sa bite était délicieuse à sucer et ensuite quand il m'a proposé de m'enculer, je n'ai pas répondu, mais me suis tourné offrant mon anus à ses assauts incestueux.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Irenée Vardin
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 2 août 2021 1 02 /08 /Août /2021 07:04

Orgie de bureau par Alexis Defond-Rossignol

 

bi stamp

Voici l'histoire d'une partie à trois qui s'est déroulée sur mon lieu de travail, un week-end. Je devais finir un travail au bureau et j'annonçai à mes deux collègues, un homme et une femme, que j'allais venir bosser le samedi matin. Carole, ma collègue féminine, jolie blonde d'environ 1 m 65, corps menu, annonça à son tour qu'elle risquait de venir aussi. Petits regards complices, ce qui m'enchanta plutôt, car je la trouve bien mignonne. Notre autre collègue, Boris, grande bringue très macho, y va d'une réflexion graveleuse pour la forme.

 

En venant le samedi matin, je pensais à Carole et à son sourire mais je n'espérais rien, croyant plutôt à un petit jeu de séduction platonique. J'étais sur mon ordi depuis un quart d'heure quand la belle fit son apparition, toute guillerette. Elle portait une jupe noire très courte et un chemisier de couleur sombre assez décolleté. Appétissante !

 

- Salut, déjà là ? Tu es plus matinal que moi !

 

Et elle vint me taper la bise alors que d'habitude nous nous disions juste bonjour comme ça, pour garder une bonne ambiance de travail. Elle en profita pour poser une de ses mains sur ma poitrine et l'autre se balada gentiment vers mon entrejambe. Ses intentions étaient claires.

 

- Tu es venue travailler ou me déconcentrer, Carole ?

- Ben voilà ! J'ai justement plus grand chose à faire.

 

Elle s'éloigna et fit le tour de son bureau.

 

- En fait j'aime bien venir ici quand il n'y a personne car c'est très calme pour mon activité préférée.

 

Et voilà qu'elle sort un gode de son sac à main. Ma tête a dû en dire long sur mon étonnement, car Carole se mit à rire tout en faisant de la place sur son bureau, juste face de moi. Et elle continua sans broncher sa petite explication :

 

- Il y a trop de bruit chez moi, des gamins au-dessus et des gamins dessous qui font le boxon... Pas génial pour penser à des choses cochonnes. Elle s'installa sur le devant du bureau, bien face à moi, écarta les jambes et découvrit sa chatte bien épilée, elle ne portait pas de culotte, bien sûr.

 

- Ne te gêne pas pour moi ! Lui dis-je, j'ai plein de choses à faire moi aussi.

 

Je reculai mon siège à roulettes et me mis en position plus décontractée, pas collé à mon bureau, les jambes écartées. Une érection certaine commença à comprimer mon pénis dans mon pantalon.

 

- Oui, mets-toi à l'aise, mon chéri, et admire le spectacle.

 

Elle enfourna sans plus de préambule son godemiché dans son sexe. Il n'était pas très gros, assez épais mais pas très long (moins de 15 cm). Elle s'imprimait un va-et-vient énergique, sa tête renversée, les yeux mi-clos, plus qu'impudique. Je remarquai alors que ses petits seins étaient libres sous son chemisier, je pouvais les voir ballotter alors qu'elle balançait quelque peu son corps. Devant ce spectacle enchanteur, je sortis ma bite de mon pantalon et commençai à me branler.

 

- On va pas rester là à se mater, chère collègue, je suis sûr que nous avons mieux à faire.

 

Elle releva la tête, fixa mon pénis en érection dans ma main et retira son gode.

 

- Bien sûr que je vais m'occuper de toi, mon chéri.

 

Elle fit le tour de mon bureau et, après un baiser profond, se mit à genoux et goba mon sexe. Malgré une bouche qui ne m'avait jamais paru très grande, elle n'eut aucun mal à avaler tout mon sexe, bien plus long que son gode préféré et un peu plus large aussi. Elle suçait lentement, enfonçant bien mon membre jusqu'au fond à chaque fois. Son autre main était en train de frotter son clitoris avec frénésie. Elle gémissait à chaque fois que ma bite laissait la place aux sons, pour qu'ils puissent sortir de sa bouche.

 

- Tu suces bien, je connaissais beaucoup de tes compétences, mais pas celle-ci.

 

Elle était très habile, je grossissais dans sa bouche qui semblait se dilater comme un vagin. Je stoppai son va-et-vient, me retirai de sa bouche et me levai. Je l'aidai à se relever elle aussi et la plaçai contre le bureau. J'ouvris son chemisier, déboutonnai les premiers boutons. Tout en fourrant mes doigts dans sa chatte, je lui léchai ses délicieux petits seins bien fermes.

 

- Oui, prends-moi mon chéri, ta bite va faire merveille.

 

Je ne me fis pas prier. Je me relevai et présentai ma verge bien droite devant le vagin de la belle. Elle le prit de ses deux mains et la guida en elle. Je pris tout mon temps, ressortant plusieurs fois, ses mains m'y remettant aussitôt.

 

- Viens, me dit-elle.

 

Je poussai très fort d'un coup, elle lâcha un cri de surprise, j'étais bien au fond d'elle ! Je commençai à la limer bien profond et pas trop vite. Elle couinait à chaque fois que je touchais le fond et m'encouragea à continuer dans le même souffle.

 

Alors que tout allait pour le mieux, elle m'arrêta d'un seul coup.

 

- Attends mon chéri, j'aimerais bien avoir mes deux trous pleins en même temps.

 

Elle me fit me retirer, alla chercher son gode sur son bureau et revint se mettre très vite près de moi. Elle posa le gode sur le bureau qui tenait bien droit. Elle me demanda de l'aider à monter sur le bureau et je la tins alors qu'elle s'enfilait le gode dans le vagin pour bien le lubrifier. Puis elle se l'enfila lentement dans le cul, je la retins pour ne pas que ce soit trop rapide. Elle s'assit finalement littéralement sur le bureau, le godemiché avalé par le cul.

 

- Ça va être très très bon mon chéri ! Lâcha-t-elle.

 

Je pris ses jambes bien écartées sur mes bras, la tenant par les hanches. Je réintroduis ma bite dans son sexe comme dans du beurre et recommençai à la pilonner avec délice. Ses gémissements reprirent, plus langoureux.

 

- Deux bites, c'est vraiment le pied, mon chéri.

 

J'étais amusé qu'elle m'appelle mon chéri, et surtout très excité par son regard dans le mien, par cette double pénétration, par nous deux aussi. Je l'embrassai à pleine bouche. C'est à cet instant que la porte s'ouvrit en grand : le troisième occupant du bureau, Boris, débarqua, le sourire aux lèvres.

 

- J'en étais sûr, mes cochons, ça baise derrière mon dos !

 

Un peu incrédules d'abord, Carole et moi rîmes de bon cœur avec lui. Au bout de quelques secondes de silence, nous nous regardâmes l'un après l'autre, moi toujours planté dans Carole, elle toujours sur son gode. Puis elle annonça :

 

- On va pas arrêter là mon chéri, je suis super excitée !

 

L'ordre était trop tentant, donc je me remis à limer. Sans se sentir exclu, Boris se débarrassa de ses vêtements du haut (blouson et chemise) et déboutonna son pantalon pour sortir un pénis épais et pas trop long (comme le gode) qui fut rapidement en érection. Il se masturbait debout et se rapprocha de nous. Carole le prit dans la main et le branla alors qu'elle avait toujours un gode dans le cul et subissait mes coups de boutoir. Nous commençâmes tous à gémir en cadence. Boris titillait du bout le clito de Carole, introduisant parfois un doigt dans son vagin, accompagnant ma queue. Lorsqu'il voulut mettre un doigt dans son cul, il se rendit compte qu'elle avait déjà le gode.

 

- Eh mais carrément, vous y allez fort. T'es une vraie vicieuse ma petite !

- Et j'adore ça petit malin ! Ça te dirait d'y mettre ta bite ?

- À ton avis, coquine ?

 

Carole ne supportait pas trop les sarcasmes macho de Boris au bureau mais semblait apprécier ce langage crû dans cette situation. Carole se mit à genoux pour sucer la queue de Boris, le gode toujours dans le cul, pour qu'elle atteigne sa grosseur optimale. Moi je suis resté contre le bureau à les regarder, à quelques centimètres d'eux. Je ne me branlais pas, ma bite était suffisamment dardée. Je retirai mon polo et je me retrouvai avec la main de Boris autour de la bite.

 

- Et, je suis pas pédé, hein ! Me dit Boris le macho. Mais t'as une belle grosse queue. Tu dois aimer ça, toi, ma petite garce ?

 

Carole se foutait pas mal de ce que disait Boris et ne se formalisait pas que sa bite soit moins longue que la mienne. Elle devait avoir bon goût car Carole était goulue. Boris continua à me branler.

 

- Tu sais Boris, lui dis-je, je ne suis pas à proprement parler un pédé, mais j'ai déjà fait des trucs avec des mecs. Tu serais surpris du plaisir que tu aurais.

 

Carole se releva, visiblement étonné de ma déclaration. Elle sembla médusée de voir que Boris me branlait.

 

- Tu vas remonter dans mon estime Boris si tu continues comme ça.

 

Carole se remit à sa place sur le bureau, le gode toujours bien enfoncé, les jambes écartées.

 

- Boris, c'est ici que ça se passe mon petit.

 

Boris ne se fit pas prier et s'approcha pour s'empaler jusqu'à la garde dans le vagin de cette sacrée petite cochonne. Alors que les va-et-vient étaient rapides, je restai tout près d'eux, me laissant branler par Carole et Boris en même temps et léchant les seins de la belle. À un moment, je me mis derrière Boris, descendant son pantalon puis son caleçon et lui caressai l'anus. Il ne dit rien, Carole me sourit. Elle m'attrapa une main et lécha tous les doigts :

 

- Mets lui donc ça dans le cul !

- Euh là je ne suis pas sûr de...

 

J'avais déjà introduit un doigt dans le cul de Boris qui voulut se débattre. Je le poussai en avant, il pilonna un peu plus profondément Carole et accepta finalement plusieurs de mes doigts.

 

- Il va falloir dilater tout ça, dis-je, si tu veux accepter autre chose.

 

C'est le moment où Carole décida de se faire prendre par deux queues à la fois. Boris s'installa assis contre le bureau, la verge en avant. Carole retira le gode et je l'aidai à s'empaler par le cul sur la bite offerte, sans aucun mal. Boris tenait Carole par les bras tandis que je m'introduis dans son con tout mouillé. Nous nous mîmes à bouger ensemble, les bites butant l'une contre l'autre, Carole gémissant à chaque mouvement. Boris aussi semblait bien plus excité dans ce trou plus étroit. Il ne mit pas trop longtemps à venir alors que Carole en était déjà à deux ou trois orgasmes. Moi, je me retenais tant bien que mal. Boris jouit assez bruyamment, le corps de Carole fut parcouru de spasmes. Je continuai à limer alors que Boris et Carole ne bougeaient plus.

 

- Ok les gars, c'était vraiment parfait. Laissez- moi me reposer un instant, annonça la belle qui avait bien payée de sa personne.

 

Je me retirai. Carole se libéra de Boris et s'agenouilla devant moi, voulant que je jouisse sur elle. Elle m'astiqua sévère et mon sperme gicla sur sa bouche, ses cheveux, ses seins et son chemisier. Elle me nettoya bien la bite. Boris était resté comme il était, les bras en arrière en soutien, la bite en avant, souillée des secrétions de Carole et de son sperme. Je me mis alors à genoux et pris la bite de mon collègue de bureau dans ma bouche. Il fut surpris, mais me laissa faire. Je lui nettoyai la queue tout en le pompant pour lui rendre sa virilité maximale.

 

bureaubi

- Oh génial, s'écria Carole, mon chéri tu es un génie, tu sais tout faire.

 

Elle s'allongea par terre derrière moi, passa sa tête entre mes jambes et se mit à sucer ma queue qui avait dégonflé (j'aime bien sucer un mec pour l'incongruité de la chose, et le goût, mais ça m'excite peu). La bite de Boris était très bonne, le foutre de la belle et son sperme se mélangeaient à merveille. Les deux pénis reprirent ensemble de la vigueur. Carole ne cessait de faire des "hum" en me suçant. Je cessai ma séance homo et annonçai la couleur :

 

- Boris, tu as bien enculé Carole, je viens de te sucer, pour parfaire ta culture je te propose de te faire enculer à ton tour.

 

À ces mots, Carole se releva et dit qu'elle était d'accord, qu'elle allait lui foutre son gode dans le cul bien profond. Boris, finalement, ne se fit pas trop prier, excité qu'il était, et il se retrouva à moitié allongé sur le bureau, pointant ses fesses vers Carole. Elle lubrifia de nouveau le gode dans son vagin tout en titillant l'anus de Boris avec ses doigts et avec sa langue. Puis elle commença à enfoncer le godemiché assez lentement et sans grande difficulté. Boris dandina du cul pour l'aider. Carole, agenouillée derrière le cul de Boris, était en train de l'enculer avec son gode. Du délire ! Elle me fit signe de lui apporter son sac. Elle en sortit un préservatif et du lubrifiant. Avec quelques signes, elle me dit qu'elle voulait que j'encule Boris. Je compris vite l'intérêt de la capote, finalement plus facile à lubrifier, car mon calibre était imposant pour un cul novice. J'enfilai le préservatif large size et m'apprêtai à me mettre du lubrifiant.

 

- Non, prends-moi en levrette ! Annonça Carole.

 

Ce que je fis pendant quelques instants, avant que Carole ne dise à un Boris amorphe, soumis, que le gode n'était pas assez gros et qu'il lui fallait du sérieux. Il tourna la tête et me vit approcher la bite en main. Il manifesta un peu, mais Carole se mit sur le bureau, lui présentant sa chatte épilée sous le nez.

 

- Ça va aller, bouffe-moi en même temps et tu vas adorer !

 

Je mis ma queue à l'orée de l'anus masculin et commençai à pousser lentement. Ma bite était bien lubrifiée et le cul de Boris plutôt souple. Je ne mis pas très longtemps, petit coup par petit coup, à entrer en entier. Puis je me mis à limer et là Boris se mit à gémir grave. Il ne pouvait plus se concentrer pour lécher Carole. Elle reprit son gode et se le mit énergiquement dans le vagin. Ce trou étroit me comprimait la bite qui ne cessait de vouloir grossir. Les gémissements de Boris devenaient de plus en plus plaintifs. Je ne savais si je devais continuer car je ne me sentais pas venir alors que je grossissais toujours. C'est à ce moment que notre maîtresse de cérémonie décida d'en finir avec elle et moi. Elle sauta à terre, se mit à quatre pattes sur la moquette et m'invita dans son cul, ouvrant son anus à deux mains. Je me retirai sans prévenir de Boris, le macho enculé, et je me plaçai derrière elle. Je m'enfonçai avec difficulté, son cul devant être habitué à son petit gode, son anus étant finalement moins dilaté que celui de Boris. Mais j'y allai sans ménagement, bien décidé à lui mettre le paquet. À ce régime de va-et-vient profonds, pendant plusieurs minutes, le cul de Carole se dilata bien et elle se mit à gémir de plaisir. Elle eut plusieurs orgasmes. Moi j'étais long à venir car j'avais déjà juté peu avant. Boris s'assis devant elle pour se faire sucer. Au moment où je lâchai mon sperme dans ses entrailles, elle gueula littéralement. Mes longs jets la remplirent et son corps se raidit. Boris se termina à la main, il jouit une nouvelle fois lui aussi.

 

Cette petite séance terminée, nous fûmes heureux. Chacun se rhabilla (nous ne nous étions pas trop déshabillés de toute façon) et sans trop de mots prononcés, Boris et Carole partirent le sourire aux lèvres en disant à lundi ! Je restai, espérant travailler enfin, mais au bout d'une demi-heure, comme j'avais toujours la main sur la bite, je décidai de rentrer.

 

Fin

 

Ce texte a été publié sur le site de Story X en 2010

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Alexis
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 1 août 2021 7 01 /08 /Août /2021 22:30

Licenciement

cochon

Monsieur, est-ce que j’ose vous dire ?
Je n’entends plus vos mots ! Je vous respire…
Votre douce odeur me grise et m’attire,
Et votre chemise entrouverte m’invite à tous les délires.
J’imagine mes mains lentement vous dévêtir,
Oh ! Poser sur votre peau mes lèvres brûlantes de désirs…
Hélas ! Je vois bien que vous n’êtes pas prêt à consentir,
Puisque vous me montrez la porte et me priez de sortir !

Amanda

Angela

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Poèmes divers
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 1 août 2021 7 01 /08 /Août /2021 18:30

Confessions zoophiles - 2

 

zoo

 

 

 

Seule avec Benga par Nina

 

Je m'appelle Nina, jeune femme de 24 ans, brune yeux bleus

 

Voici mon histoire qui s'est déroulée il y a quelques mois, mon petit ami était parti "chez des copains" et m'avait laissée seule avec notre chien Benga un bel épagneul

 

Je décidai de m'habiller de façon à pouvoir me caresser en m'excitant je mis donc un beau petit string noir, une minijupe et un petit débardeur puis m'installai devant mon ordi et je commençai à regarder des sites pornographiques de tous genres : du banal en passant par le scato - uro - zoo enfin bref vous voyez le genre.

 

Quand soudain une envie de me badigeonner la chatte de Nutella et les seins d'huile me prit, je pris donc la bouteille d'huile et le pot de pâte à tartiner et partis dans la salle de bains je me déshabillai puis commençai à m'asseoir dans ma douche, je pris l'huile et m'en mis sur tout le corps, cette sensation douce et froide m'excita au plus haut point je me badigeonnai tout le corps puis pris le Nutella, j'en mis sur ma chatte et commençai à me caresser en me passant au début juste un doigt dans ma fente pour m'imaginer une petite langue douce quand l'idée folle me vint de me faire lécher par mon chien Benga, puis je l'appelai il arriva je mis du Nutella sur un de mes doigts puis j'ai dirigé ma main vers ma minette qui mouillait comme une folle, son premier coup de langue me fit un effet électrique, je la sentais elle était si grosse et me léchait aussi bien mon petit trou que mon clitoris en feu, je ne m'imaginai pas que des si gros coups de langue me rendrai folle à ce point, je ne tardai pas à jouir comme une chienne.

 

Pour le remercier je lui donnai de la pâtée pendant que je me lavai.

 

Je me mis devant ma télé réfléchissant à tout ça et je ne pus m'empêcher d'écarter les jambes en espérant qu'il recommencerai, je n'attendais que ça, voyant qu'il ne venait pas, je pris de la crème fraîche et m'en reversai sur la chatte et là il se remit à la lécher et à me faire jouir, quand ce fut fini je ne pus m'empêcher de prendre sa salive se trouvant sur ma chatte et à tout lécher, humm, rien que d'y penser j'en ai la chatte toute trempée.

 

Depuis je n'arrête pas de l'attirer dès que je peux, même quand mon copain est là, c'est plus fort que moi.

 

J'espère un jour pouvoir lui rendre la pareille mais je ne suis pas encore prête pour le moment

 

J'espère que mon histoire vous aura fait jouir autant que moi.

 

Bisous sur tous vos jolis sexes aussi bien aux filles une bonne léchouille qu'aux garçons

00zz

 

Expérience zoophile involontaire par Carita

 

Je suis une grande blonde, relativement svelte et très portée sur le plaisir. J'aime m'enfermer dans ma salle de bain, détacher le pommeau de douche du tuyau. En effet, j'ai découvert que lorsque je projetais à forte puissance le jet d'eau sur mon clitoris, il m'était facile d'atteindre l'orgasme. Ce dernier s'est révélé encore plus fort lorsque je me suis mise à lire des récits provenant de ce site, simultanément. Même si les histoires zoophiles m'ont toujours fait un effet indescriptible, même en ayant un chien chez moi, je ne supportais pas l'idée de "faire des choses" avec lui.

 

Un jour, je venais de "jouer" et je sortais de ma salle de bain, le clitoris encore très sensible, la moindre caresse provoquait en moi la montée de l'orgasme. C'est alors que mon chien apparut dans l'embrasure de la porte de ma chambre. En colère contre lui car il lui est interdit de monter à l'étage, je lui demande fermement de redescendre. Je l'entends s'exécuter pendant que je retourne dans la salle de bain me coiffer. Je remarque alors, sur le grand tapis blanc, qu'une boite de pinces à cheveux s'est répandue sur le sol. Je me mets alors à quatre pattes pour ramasser.

 

Je sens alors un souffle derrière moi, cependant, je n'ai pas le temps de me retourner lorsqu'un poids m'oblige à presque m'aplatir sur le sol. Pensant que mon chien veut jouer, je lui caresse doucement la tête. Quelques secondes plus tard, je sens une sorte de pointe, appuyant à coups répétés sur ma fesse droite. Pour savoir d'où provient cette pointe, je me tourne légèrement sur la gauche, et je la vois, je vois cette énorme bite, oui, mon chien a une trique monstre. Cependant, j'ai réagi trop tard. Ma torsion a permis à mon chien de trouver ma chatte et, par un violent coup de reins, il y pénètre, encore et encore sans retenue. Le plaisir monte en moi, malgré moi. Je sens ma chatte se remplir de son énorme membre à chaque coup de rein de sa part. Il va de plus en plus vite. Je me rends compte que je suis en train de me faire baiser par un chien, je le repousse et il finit par sortir définitivement. Je repose alors mes fesses sur mes talons et reste assise quelques secondes pour réaliser ce qui vient de se passer. Cependant, je ressens toujours le souffle dans mon dos qui accélère. En une demi seconde, mon chien a sauté de nouveau, mais cette fois il trouve le trou tout de suite. Mais pas le bon, je le sens en moi, dans mon cul et sa grosse bite me décape l'anus. Je le laisse faire. Ses coups répétés me font hurler mon plaisir. Par un geste maladroit, il se retire, puis après une hésitation, il entre à nouveau. Il a retrouvé ma chatte humide, et ça n'a pas l'air de lui déplaire. Il frappe de plus en plus fort. C'est alors que je sens le nœud se former. Je sais que je peux rester bloquée donc je mets ma main pour retirer son énorme membre de moi. Cependant, ma main glisse sur sa bite pleine de cyprine et je ne parviens qu'à lui donner plus de plaisir en le masturbant involontairement. Le nœud se forme, grossit, grossit, et on plaisir s'intensifie. L'orgasme que je retenais explose en moi. Puis un grand flot de sperme jaillit dans mon corps provoquant un autre orgasme. Le chien se retire, visiblement satisfait de s'être vidé les couilles sur mon pauvre corps meurtri. Une expérience involontaire que je n'ai pas regretté, croyez le bien !

Fabienne se sentait bien seule… par Kubila

Fabienne se sentait bien seule… Son mari André, était en voyage d’affaire au Vietnam et ne serait de retour que dans une semaine. Ses enfants en vacances chez leur grand-mère pour tout l’été. En fait, il n’y avait que son chien pour lui tenir compagnie, Rex le Rottweiler de son mari. Fabienne se sentait délaissée. Pourtant à 35 ans c’est encore une belle femme 1,60 m brune 50 kg environ et des seins qui notamment lorsqu’elle les expose sur la plage ne laisse pas indifférents.

Il est tard. Fabienne, nue dans son lit commence à se caresser en pensant à André. Elle caresse ses seins, titille ses tétons. Petit à petit une étrange chaleur commence à monter dans son bas ventre. Elle ferme les yeux, ses mains maintenant descendent pour atteindre son pubis. Ses mouvements se font plus fort, elle commence à mouiller..

C’est alors qu’elle sent une langue lui lécher le clitoris. Son plaisir décuple et sent que, si cela continue, elle va avoir un orgasme. Sur le coup elle croit qu’André est revenu à l’improviste et lui fait une merveilleuse surprise. Elle ouvre les yeux. : A sa grande surprise elle voit REX qu’elle croyait endormi au pied du lit lui lécher son clitoris. Fabienne a un sursaut, un mouvement de recul.

– REX, vas-t-en !

Mais REX n’as pas l’intention d’obéir. Fabienn monte le ton et le chien la queu entre les jambes sen va dans son coin…. Pas pour longtemps

C’est vrai qu’avec les yeux fermés, elle aurait presque pu croire qu’André lui léchait son clito. Humm que c’était bon… Ça y est son envie dans son bas ventre lui reprend. Ses mains redescendent titiller son clito. Elle commence à suer à grosses gouttes sous cette canicule. Le plaisir revient. Elle se cambre pour mieux jouir..

Au diable REX, Fabienne prend son pied. A nouveau elle sent une langue sur sa chatte, mais son plaisir est trop fort. Fabienne garde les yeux fermés tandis que REX continue à lécher sa petite chatte. Fabienne mouille, inonde les draps. Elle se crispe. REX donne le premier orgasme à sa maîtresse Fabienne.

– Oui REX… C’est bon, lèche bien ta maîtresse… Oh, j’ai envie d’une bonne bite !

Fabienne se retourne sur le côté et offre son anus à Rex qui s’empresse de lui lécher. Mais celui a maintenant d’autres idées et commence à agripper Fabienne.

– NON REX… pas ça !

REX se fait de plus en plus pressant. Fabienne peut sentir sa bite sur son cul. Celui-ci insiste lourdement.

Fabienne se met à quatre pattes et offre son cul à son chien REX. Ce dernier n’attendait que ça. Il se met en position et pénètre le vagin de Fabienne. Sa bite est énorme et remplit complètement le vagin de Fabienne. Fabienne n’en peut plus et commence à pousser des petits cris.

– Oui REX… Hum c’est bon… Oh je suis ta chienne… Bourre-moi à fond. « 

Fabienne sent un orgasme venir. Elle crie maintenant de plaisir tandis que REX s’agite de plus en plus fort en elle.

– Tu veux jouir dans ta maîtresse, mon salaud ?

C’est à ce moment-là que REX répand son sperme à l’intérieur du vagin de Fabienne, ce qui lui provoque un nouvel superbe orgasme. REX se calme et semble épuisé tout comme Fabienne d’ailleurs.

Fabienne resta collée à REX pendant encore une demi-heure, comme une vraie chienne avant enfin de pouvoir s’endormir épuisée inondée du foutre de REX dégoulinant encore entre ses cuisses.

 

Kubila

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Images Aléatoires

  • RussoN1
  • Sarahd1
  • Chanette20e1
  • Chanette20N2
  • feet09
  • Clara V01

Derniers Commentaires

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés